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Il y a 4 ans et 97 jours

Le château de Monts-sur-Guesnes transformé en historial du Poitou

Le château de Monts-sur-Guesnes, dans la Vienne, a fait l’objet de nombreux travaux de restauration dans les années 1990 et 2000 notamment pour y installer la mairie dans l’aile Sud. Actuellement, il connaît une nouvelle et importante phase de travaux liée à l’installation de l’historial du Poitou, créé à l’initiative du Conseil départemental de la Vienne et réalisé par la SAS Aliénor qui est maître d’ouvrage. Il est en effet prévu que l’historial se déploie dans les ailes nord-ouest et nord-est, cette dernière en ruine étant à restituer dans sa volumétrie. Ce projet s’étend, aujourd’hui, également hors des murs du château, à la ferme Deram, ancienne ferme du château qui formait une basse-cour du côté de l’aile nord-ouest. Une nouvelle jonction devra être trouvée entre ces deux ensembles bâtis, actuellement séparés par une route départementale. La maîtrise d’œuvre concernant la restauration du château a été confiée à l’agence Michel Goutal, architecte en chef des monuments historiques. Le coût total du projet s’élève à 3 360 000€ avec la création d’une scénographie. Le montant de la restauration du château est quant à lui de 1 554 010 €, dont plus de la moitié, 800 000 € sont subventionnés par la DRAC Nouvelle-Aquitaine. L’étude sur la création de l’historial du Poitou à Monts-sur-Guesnes réalisée par le cabinet « In Extenso », avait envisagé une variante avec l’implantation de l’historial dans le château de Monts-sur-Guesnes suite à un premier projet visant à la réalisation d’une construction neuve aux abords du château. Cela nécessitait la construction d’un bâti de 240m2 sur deux niveaux dans l’aile nord-est qui serait donc à restituer car à l’état de ruine, l’occupation des tours nord-est sur deux niveaux et l’excavation à -4m (sans certitude) pour la construction en sous-sol dans la cour du château, d’un espace d’exposition permanente de 700m2. Ce parti, retenu, a fait l’objet d’une première autorisation de travaux qui a reçu un avis favorable en date du 27 avril 2020. La volumétrie de l’aile nord-est est attestée par les vestiges des maçonneries encore en place et par les photographies d’archives qui montrent la façade sur cour et la couverture avant leur destruction. Un projet de restitution au plus proche de ces volumes originels est proposé afin de réinscrire ces aménagements de manière pérenne et sans connotation d’époque dans la volumétrie générale du château. Pour ce faire, la façade principale sur cour sera rétablie en pierre de taille massive en évoquant par des défoncés l’emplacement des anciennes ouvertures. La corniche serait restituée pour recevoir la couverture en tuile plate et relier les deux extrémités existantes.  La sous-face de la charpente sera habillée pour augmenter l’espace et permettre de disposer de surfaces de projections plus importantes. À l’intérieur, la façade en pierre sera confortée par une contre structure poteaux-poutres en béton ou des contreforts intérieurs en pierre qui recevront également les appuis de la nouvelle charpente.  Parallèlement, des prescriptions de fouilles ont été émises au niveau de deux secteurs du château le 9 mars 2020 (arrêté n°75-2020-03-04), notamment dans le fossé de l’aile nord-est. Les sondages menés par l’INRAP ont révélé la présence de silos creusés dans la roche. La maîtrise d’ouvrage a donc décidé d’abandonner la construction de cette salle en sous-œuvre et une nouvelle demande d’autorisation de travaux a été déposée en septembre 2020 concernant un projet modifié. L’aménagement de l’historial du Poitou est donc finalement fixé dans une partie du château de Monts-sur-Guesnes ainsi qu’au sein de la ferme Deram et des bâtiments annexes situés en face du château.  Les aménagements situés hors château sont l’objet d’un autre programme confié à un autre maître d’œuvre, l’architecte Umberto Tumino, tandis que la maîtrise d’ouvrage est assurée par la SEML Patrimoniale de la Vienne, propriétaire et actionnaire majoritaire de la SAS Aliénor en charge du projet de l’historial.  Afin de relier la ferme au château il est prévu la construction d’un souterrain passant sous la route séparant les bâtiments. Le souterrain déboucherait côté château au niveau du fossé dégagé le long de la façade nord-ouest. Des fouilles archéologiques sont donc programmées en 2021 pour dégager l’ancien fossé au pied de la façade nord-ouest du château au niveau de l’ancien pont d’accès. Le projet reste à être finalisé en fonction des découvertes des vestiges archéologiques de l’ancien pont qui pourront avoir lieu, mais il prévoit la mise en valeur de cette façade d’entrée du château. 
Il y a 4 ans et 97 jours

Transport et stockage des vaccins anti-Covid 19 : les solutions d’enregistrement et de contrôle de température Testo

Maintenir les vaccins anti-Covid 19, comme celui de Moderna, à une température de – 20°C et/ou + 2 à + 8°C, est essentiel pour respecter la chaîne du froid et assurer leur qualité. Testo, spécialiste des instruments de mesure, dispose d’une offre large d’enregistreurs de données de température, classiques ou connectés, pour garantir l’efficacité des vaccins, de leur livraison jusqu’à leur stockage en pharmacie. Suivi des températures pendant le transport des vaccins Extrêmement précis et conformes aux directives de l’OMS, le testo 184 T3 est l’enregistreur de données le plus adapté pour réaliser les contrôles lors du transport des vaccins anti-Covid 19 dont la température doit être maintenue entre -20°C et/ou + 2°à + 8°C. Placé dans les colis de vaccins, le testo 184 T3 avec son capteur intégré en format clé USB, assure la surveillance de ces produits sensibles pendant le transport. La commande intuitive de l’enregistrement des données est réalisée à partir du bouton marche/arrêt. Sa programmation est simple grâce au fichier de configuration stocké au sein de l’appareil. A réception de la marchandise, la lecture des enregistreurs embarqués permet de s’assurer que les colis ont bien été transportés dans les bonnes conditions de température.En connectant l’enregistreur à un ordinateur via un port USB, il permet de récupérer facilement les données collectées, d’éditer un rapport automatique ou un ticket de contrôle sur site grâce à une imprimante.Les enregistreurs testo 184 T3 peuvent être consultés également à l’aide d’un Smartphone Android compatible NFC. Contrôle et suivi des températures pendant le stockage des vaccins Dans les pharmacies d’officines, le Conseil de l’Ordre National des Pharmaciens recommande l’utilisation d’enceintes réfrigérées professionnelles dans lesquelles les vaccins et les produits thermo-sensibles doivent être stockés entre +2° C et +8° C pour conserver leurs qualités. Au sein de ces enceintes, le pharmacien a l’obligation d’enregistrer et suivre en continu la température à l’aide d’appareils de mesure automatiques pour respecter la chaîne du froid. Pour une plus grande fiabilité, le Conseil de l’Ordre recommande aujourd’hui des enregistreurs de température à 2 points de mesure, point haut et point bas, car la température n’est parfois pas stable. Testo propose deux types d’appareils de mesure répondant à ces obligations : . testo 175 T2, enregistreur de données de température doté d’un capteur interne (CTN) et un raccord pour une sonde de température externe permettant de mesurer les conditions ambiantes dans les stocks et contrôler simultanément la température des vaccins. La sonde de température CTN, intégrée à l’enregistreur de données, effectue des mesures extrêmement précises (plus ou moins 0,5°C). Visibles sur l’écran de l’enregistreur à tout moment, les données les plus importantes peuvent être contrôlées sans devoir les consulter sur PC. Même à des cadences de mesure courtes, l’enregistreur de données peut être consulté moins fréquemment grâce à sa mémoire étendue à 1 million de valeurs et ses piles longue durée. Le logiciel ComSoft Basic, en libre téléchargement, permet une programmation rapide de l’enregistreur et une analyse aisée des données. . testo Saveris 2 T2, enregistreur de données WiFi Doté d’un écran et de 2 entrées pour des sondes de température CTN ou contacts de porte, le testo Saveris 2 T2 est l’enregistreur de données idéal pour contrôler, en même temps et de manière automatisée, les températures de 2 enceintes réfrigérées. Le système d’enregistreurs de données WiFi testo Saveris 2 T2 constitue une solution simple, flexible et sûre pour la mesure et la surveillance des valeurs de température et des contacts de porte des réfrigérateurs. Il enregistre et transmet toutes les valeurs de température et de fermetures de portes mesurées vers le Cloud de Testo, via le réseau WiFi. Les valeurs sont ensuite consultables partout et à tout moment via un Smartphone, une tablette ou un PC connecté à Internet. En cas de dépassement des limites, la fonction d’alarme avertit immédiatement par e-mail ou par SMS l’utilisateur. Une sonde de température CTN avec câble plat Pour la mesure et le suivi à l’intérieur des enceintes réfrigérées, les enregistreurs testo 175 T2 et testo Saveris 2 T2 doivent être reliés à une sonde de température équipée d’un câble plat de 2 mètres pouvant être glissé dans le joint de la porte du réfrigérateur. Avec l’ensemble de ces solutions de mesure testo garantissant la bonne conservation des vaccins anti-Covid 19, les professionnels font le choix de la qualité et de la sécurité. http://www.testo.com
Il y a 4 ans et 98 jours

L’impression 3d, l’alternative à l’injection plastique

L’impression 3D est une technique de fabrication offrant un résultat très précis. Cependant, elle est encore très peu utilisée pour concevoir des produits commercialisables à grande échelle. La grande majorité des objets en plastique que vous distinguez sur le marché ont été conçus suivant la méthode de production classique c’est-à-dire via les moules d’injection plastique. Découvrez dans cet article, le pour et le contre de ces deux techniques afin de décider laquelle est la plus appropriée à vos projets. Quels sont les points distinctifs entre le moulage par injection et la fabrication additive ? Peu importe la technique que vous utilisez, l’une comme l’autre peut vous aider pour votre prototypage que pour votre production. Elles ont chacune leurs avantages, mais vous devez réellement connaître ce qui fait leurs différences. •   Le moulage par injection C’est une méthode de fabrication traditionnelle qui permet de créer des pièces en injectant un matériau au sein d’une cavité. Au final, cela permettra de créer votre objet. En d’autres termes, le moulage par l’injection plastique donne la forme à votre produit par le biais d’un moule où est injecté le matériau fondu. Lorsqu’il se refroidit, vous pouvez récupérer l’objet solidifié à l’intérieur. •   L’impression 3D C’est une technique de fabrication additive, ce qui signifie que l’objet en question est fabriqué par addition de couches. Vous n’aurez pas besoin de créer un moule pour obtenir la pièce voulue. Il faut seulement un fichier 3D et le tour est joué ! D’ailleurs, il existe un large choix de technologies et de matériaux d’impression 3D sur le marché. Les avantages du moulage par injection Si vous avez un projet qui consiste à produire de gros volumes, avec précision et une bonne répétabilité, optez pour le moulage par injection. Vous aurez le choix entre de nombreux plastiques pour effectuer le moulage dont chacun amène ses propres propriétés en termes de poids, de coût et de flexibilité. Depuis son invention, il y a près de 150 ans, le moulage par injection a été l’unique pivot de la production industrielle. Avec le temps, elle a connu beaucoup d’amélioration, mais la chose à propos du moulage n’a pas du tout changé, c’est-à-dire le besoin d’outillage. Ainsi, la conception et la fabrication de l’outillage de moules d’injection deviennent de plus en plus complexes. Les avantages de l’impression 3D Utiliser la fabrication additive est une alternative plus avantageuse par rapport à la fabrication traditionnelle. Cette solution est parfaite pour créer des itérations. De ce fait, elle est devenue une technique de production fiable. Mais, le prototypage n’est pas du tout simple et rapide, ce qui fait partie de ces avantages. Avec le service d’impression 3D, vous pouvez imprimer votre projet pour le tester et effectuer toutes les modifications que vous voulez à l’aide du logiciel de modélisation 3D et l’imprimer à nouveau pour valider les modifications. Ainsi, la flexibilité de cette technique permet de gagner du temps, de l’argent tout en améliorant la création, notamment au niveau du design. En outre, si vous choisissez cette option, vous réduirez les pertes de matériau. Même si le moulage par injection laisse peu de déchets comparés à l’utilisation de machine CNC, l’impression 3D reste le grand gagnant dans cette catégorie. Elle utilise uniquement la dose de matériau nécessaire à la création de l’objet. En optant pour la fabrication additive, vous éviterez aussi d’avoir des soucis de stocks et d’inventaire. Vous créez vos pièces quand vous le souhaitez pour ne plus vous soucier de votre stockage. De même, les économies de coûts et de temps offertes par l’impression 3D sont particulièrement intéressantes vis-à-vis de la technique de moulage par injection. À quel moment utiliser ces techniques de fabrication ? Ces deux procédés de fabrication sont efficaces, mais tout à fait différents. Le choix dépend entièrement de vos attentes. Si le moulage par injection parait plus professionnel, les choses sont en train d’évoluer de nos jours et l’impression 3D devient une alternative favorable qui permet de réaliser des pièces très précises. •   Moulage par injection Vous ne pourrez jamais utiliser cette technologie sans avoir les équipements nécessaires c’est-à-dire des machines professionnelles qui effectuent le moulage par injection. Ainsi, la création de moules est plutôt onéreuse et n’est pas adaptée au prototypage. Il faudra créer un nouveau moule à chaque fois pour faire plusieurs itérations. D’ailleurs, les moules sont toujours en acier, ce qui complique un peu les changements. Malgré tout cela, si vous désirez créer de gros volumes, le moulage par injection sera la solution adéquate. •   Impression 3D Il existe plusieurs façons d’utiliser la fabrication additive. Vous pouvez, par exemple, acheter une imprimante 3D de bureau et utiliser les diverses technologies y afférents. Pour avoir un résultat plus professionnel, investissez dans des machines plus complexes comme celles qui utilisent le Frittage sélectif par laser. Le service d’impression 3D vous donne accès à de nombreuses combinaisons de finitions et de matériaux. Il suffit de charger le design 3D, choisir la technologie appropriée, le matériau et les finitions.
Il y a 4 ans et 98 jours

Nemours : 12 M€ pour le plan de réhabilitation thermique du quartier Beauregard

La ville de Nemours fera l’objet d’un vaste programme de réhabilitation, d’un montant de 12 M€.
Il y a 4 ans et 98 jours

Inondations : un programme de prévention renouvelé pour protéger la population d'IDF

RISQUES. L'Établissement public territorial de bassin (EPTB) Seine Grands Lacs a tenu ce mardi 16 mars une conférence sur les risques aux inondations et aux crues en Île-de-France. Fort du succès de son programme de prévention lancé en 2014, le syndicat annonce son renouvellement pour les sept prochaines années.
Il y a 4 ans et 98 jours

Partenariat entre la Régie immobilière de la Ville de Paris et le CSTB

Dans la continuité d’une première collaboration engagée en 2018, la Régie immobilière de la Ville de Paris et le CSTB renouvellent leur partenariat de recherche pour 3 ans. Cette nouvelle…Cet article Partenariat entre la Régie immobilière de la Ville de Paris et le CSTB est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 99 jours

Gérez vos chantiers depuis votre Smartphone avec Sage e-chantier Alobees

Synchronisée avec le logiciel Sage Batigest Connect, cette application vous offre des fonctionnalités innovantes pour optimiser toutes les facettes de la gestion chantier : planning, alertes, stockage de documents… Explications.Un outil de gestion de chantier tout-en-unCompatible avec Sage Batigest Connect, l'application Sage e-chantier Alobees vous permet de gérer toutes les facettes de votre activité depuis votre téléphone mobile et en temps réel.Suivez vos chantiers en direct : les renseignements intégrés dans Batigest Connect et e-chantier Alobees sont automatiquement synchronisés, sans ressaisie. Les utilisateurs peuvent consulter et modifier les informations à tout moment, mais également y ajouter des documents (photo, vidéo, commentaire, etc.). Tous les acteurs peuvent ainsi participer à la vie du chantier en temps réel ;Centralisez toutes les informations : grâce à un stockage illimité en volume et en durée, vous pouvez centraliser toutes les informations relatives à vos chantiers sur une interface unique. En tant qu'administrateur, vous définissez les droits d'accès pour chaque utilisateur. Ceux qui sont rattachés à un projet peuvent ainsi consulter les documents relatifs et recevoir une notification lorsqu'un nouvel élément est publié ;Planifiez vos chantiers : depuis e-chantier Alobees ou Batigest Connect, les administrateurs et conducteurs de travaux peuvent définir et modifier les plannings des équipes. Vos compagnons peuvent ainsi consulter leurs horaires depuis leur Smartphone en temps réel et sont directement informés en cas de modification ;Gérez les horaires de vos collaborateurs : les collaborateurs désignés (conducteur de travaux, chef de chantier, etc.) peuvent déclarer les heures travaillées par les équipes depuis leur Smartphone. Vous disposez ainsi d'une feuille d'heures déclarative, remplaçant les feuilles de présence, que vous pouvez transférer automatiquement vers Batigest Connect. Le suivi des horaires et la gestion de la paie s'en voient ainsi facilités.Un suivi des chantiers innovant et optimiséSimple d’utilisation et polyvalente, l’application Sage e-chantier Alobees a été pensée pour tous les professionnels du BTP et vous offre des fonctionnalités innovantes pour mieux gérer vos chantiers.Pour tous les professionnels : à la fois simple et performante, l’application Sage e-chantier Alobees peut être utilisée par un artisan indépendant, une PME ou même une grande entreprise. Elle s’adresse également à tous les professionnels du bâtiment, à l’image des conducteurs de travaux, des chefs de chantier ou encore des ouvriers ;Une interface web et mobile : accessible sous Android et iOS, cette application peut être utilisée facilement depuis votre Smartphone. Mais vous pouvez également vous en servir sur votre ordinateur, au moyen de votre navigateur web. L’idéal pour gérer votre activité sur le terrain, mais également depuis vos bureaux ;Des fonctionnalités performantes : communication en temps réel avec les équipes, suivi en direct de l’avancement du chantier, localisation des collaborateurs… autant de fonctionnalités qui simplifient votre gestion de chantier.Des mises à jour automatiques : l’application mobile et web Sage e-chantier Alobees s’actualise automatiquement dès qu’une mise à jour est disponible. Tous les utilisateurs disposent ainsi de la même version au même moment, évitant ainsi les éventuels problèmes de compatibilité.En savoir plus sur Sage e-chantier Alobees
Il y a 4 ans et 99 jours

Signé FABG Quai 5160 – Maison de la culture de Verdun, au Canada

Le programme de Quai 5160 – Maison de la Culture Verdun, un ouvrage livré à Montréal en 2018 et réalisé par FABG (André Brodeur, Eric Gauthier, André Lavoie), consistait en la conversion de l’aréna Guy-Gagnon en Maison de la Culture pour l’Arrondissement de Verdun. Communiqué. L’ancien centre sportif, devenu Quai 5160, compte aujourd’hui une salle […] L’article Signé FABG Quai 5160 – Maison de la culture de Verdun, au Canada est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 99 jours

Histoire de marque : Work4cad

Bati-Journal vous présente « Histoire de marque » : Work4CAD Yoann QUELLIEN, PDG de Work4CAD nous ouvre les portes de ses nouveaux locaux. Il revient sur l’histoire et le développement du groupe et nous présente les différentes entités et leurs synergies : CadWork, éditeur de logiciel 3D/CFAO CadCom, agence globale de communication CadDev, développement web/logiciel/mobile Capture4Cad, captation de données et modélisation 3D Toutes les informations sur w4c.group
Il y a 4 ans et 99 jours

Spie annonce un bénéfice 2020 divisé par trois sous l'effet de la crise sanitaire

Son chiffre d'affaires a reculé de 4,7% à 6,6 milliards d'euros, pour un bénéfice net de 53 millions (-64,7%).Il avait fait un plongeon de 17,1% au deuxième trimestre lié aux mesures de confinement en particulier en France, Belgique et Royaume-Uni, tandis que l'Allemagne et l'Europe du nord-ouest (Pays-Bas) résistaient mieux. L'activité a repris ensuite, malgré un durcissement des restrictions en fin de période dans la plupart des pays d'implantation du groupe (Europe).Le bénéfice opérationnel (Ebita) est à 339 millions d'euros, en repli de 18,9%. La marge est in fine maintenue à 5,1% de l'activité (6% en 2019), grâce à des mesures de réduction des coûts et la progressive répercussion sur les clients des dépenses engendrées par la situation sanitaire, indique Spie.Le PDG Gauthier Louette met en avant "la remarquable résilience" des résultats, grâce aux "atouts du modèle": "le caractère essentiel de nos services, l'équilibre de notre répartition géographique, notre gestion rigoureuse en matière de santé et sécurité, et l'engagement sans faille de nos équipes"."Spie ressort de 2020 avec des fondamentaux intacts, une situation financière renforcée, des relations encore plus solides avec ses clients, et est bien positionnée pour accompagner la transition énergétique et la transformation numérique. Nous abordons 2021 avec confiance", a ajouté le patron lors d'une conférence de presse.Après cette "année très chahutée", Spie prévoit en 2021 un "fort rebond" du chiffre d'affaires et de la marge d'Ebita, attendus "très proches des niveaux de 2019".Le groupe va aussi "renouer avec les acquisitions", en particulier en Allemagne où il se développe depuis 2013 et où il occupe désormais la 2e place dans son secteur, selon le PDG: il fallait "avoir une présence forte dans la première économie d'Europe. L'industrie allemande c'est trois fois l'industrie française, donc le champ des possibles y est considérable. On a encore la place pour y doubler notre activité"Selon M. Louette, globalement, "les acquisitions, petites et moyennes, ont contribué chaque année depuis 2006 à environ 3,5% de croissance du chiffre d'affaires".Ce groupe de 45.000 salariés fournit des services de génie électrique et mécanique, notamment dans l'efficacité énergétique, la mobilité verte, les technologies de la communication: raccordement de parcs éoliens ou photovoltaïques, équipement de centres de données, éclairage public...Spie s'estime notamment "bien positionné pour bénéficier des futurs investissements de relance" verts.Du côté des collectivités, le groupe constate une forte demande notamment pour l'installation de la fibre optique, de bornes de recharge des véhicules électriques (Spie a remporté un contrat auprès du Grand Paris, pour rééquiper l'ancien réseau Autolib), ou encore d'équipement informatique de collèges-lycées.Selon la taxonomie européenne des activités durables, la part verte de son activité est de 41%.
Il y a 4 ans et 102 jours

Le CSTB et la RIVP renouvellent leur partenariat pour faire avancer la recherche

Dans la continuité d'une première collaboration engagée en 2018, la RIVP (Régie immobilière de la Ville de Paris) et le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) renouvellent leur partenariat de recherche pour 3 ans.Cette nouvelle étape s'inscrit dans la stratégie de gestion de patrimoine de la RIVP et permet d'explorer et approfondir différents sujets en lien avec des thématiques clés du bâtiment et de la ville durables : matériaux biosourcés, rénovation thermique & industrialisation, trajectoire carbone, confort d'été à l'échelle quartier (ICU), Qualité de l'Air intérieur et Linked Data.S'appuyant sur l'expertise pluridisciplinaire du CSTB appliquée aux projets de la RIVP, ces travaux permettront de renforcer la convergence entre Recherche et réalité de la construction, réhabilitation et exploitation des immeubles.Déployer l'innovation en confiance : une priorité pour le CSTB comme pour la RIVPÉtablissement public, le CSTB structure ses activités de recherche et expertise, évaluation, essais, certification et diffusion des connaissances, pour répondre aux enjeux des transitions environnementale, énergétique et numérique dans le monde de la construction et de l'aménagement urbain. L'objectif est d'anticiper le bâtiment et la ville de demain, en accompagnant l'innovation dans une approche systémique. Une vision pleinement partagée avec la RIVP, bailleur social innovant, solidaire et éthique.« Notre partenariat avec le CSTB, basé sur du long terme, permet de nouer des relations de confiance sur des domaines d'innovation au service du logement social, qui bénéficient plus largement aux domaines de la construction et de l'environnement. Cette année encore, nous poursuivons notre collaboration et nos expérimentations sur des problématiques concrètes non résolues par les règles de l'art actuelles, afin d'accompagner la transition dans le bâtiment de demain, mais aussi l'évolution des usages pour les habitants. Et je suis fier de pouvoir signer cet accord afin de contribuer à une meilleure qualité de vie de nos locataires et relever les défis environnementaux », s'exprime Serge Contat, directeur général de la RIVP, acteur majeur du logement à Paris avec plus de 62.000 logements sociaux.Forts de cette ambition commune, les deux acteurs avaient noué un premier partenariat de recherche en 2018, autour du numérique, de l'énergie & carbone, de l'amiante et de la sécurité incendie. Un partenariat aujourd'hui renouvelé pour approfondir certains de ces sujets et en explorer de nouveaux.« Les échanges entre nos équipes au cours de la première collaboration ont prouvé l'utilité et l'intérêt réel de travailler en commun pour faire avancer la recherche sur de nombreux sujets. Et les résultats sont concrets puisque des avancées significatives ont été faites sur des sujets comme les punaises de lit, le confort d'été ou bien la sécurité incendie. Il reste encore d'importants sujets sur lesquels travailler de concert, il était donc tout naturel de poursuivre ce travail avec le CSTB. »Serge Contat, Directeur général de la RIVP« La première phase de notre partenariat avec la RIVP a permis au CSTB d'expérimenter, en situation réelle, de nombreuses approches et outils, au service des bâtiments dans toute la diversité de leurs fonctions et usages. Je suis heureux de poursuivre cette collaboration, d'approfondir les connaissances déjà mobilisées et d'élargir les domaines explorés, en lien avec les grands enjeux du logement social, et plus largement du bâtiment et de la ville de demain. »Etienne Crépon, Président du CSTBNouvelle période de collaboration : programmation & thématiquesLes matériaux biosourcés : pour réduire l'empreinte carbone des bâtiments, le recours aux matériaux biosourcés est un levier pertinent, à organiser, structurer et renforcer, dans une approche systémique. Dans le cadre du partenariat RIVP - CSTB, une recherche sera menée pour explorer des méthodes d'analyse multicritère de ces matériaux combinant les enjeux de durabilité, pathologie(s), thermique, sécurité, etc.La rénovation / industrialisation : l'industrialisation des process, via l'usage de la maquette numérique à toutes les étapes des projets, permet de massifier, sécuriser et optimiser les opérations de rénovation performante, contribuant à réduire l'empreinte carbone des bâtiments et diminuer les charges des locataires. Les équipes du CSTB et de la RIVP travailleront sur cet enjeu associant rénovation thermique et maquette numérique. Des procédés industrialisables et duplicables, mais néanmoins « sur-mesure », seront ainsi étudiés, notamment dans le domaine de l'ITE.Trajectoire Carbone : pour réduire le bilan carbone de son parc, en partie lié à la consommation énergétique des immeubles, la RIVP souhaite développer son recours à des énergies moins carbonées. Pour accélérer la démarche et nourrir les process de décision, le partenariat de recherche avec le CSTB intègrera une série de travaux dédiés à cet enjeu.Confort d'été à l'échelle quartier (ICU) : la RIVP et le CSTB ont récemment mené des travaux sur le confort d'été des logements, à l'échelle des bâtiments. L'objectif est aujourd'hui d'élargir cette réflexion à l'échelle des espaces extérieurs, en abordant plus particulièrement la question des îlots de chaleur urbains.Qualité de l'Air Intérieur : thématique majeure en termes de santé publique et de confort, la qualité de l'air intérieur fera l'objet de travaux plus exploratoires et complémentaires aux programmes nationaux déjà engagés. Il s'agira notamment, au-delà des obligations règlementaires, de définir des prescriptions spécifiques aux opérations de construction.Linked Data : permettant de constituer un entrepôt unique de multiples données, connectées à des outils métier, la technologie Linked Data pourrait être mobilisée pour optimiser la gestion et le traitement des données patrimoniales et techniques intégrées dans le BIM Gestion Exploitation Maintenance. En collaboration avec d'autres partenaires bailleurs et des éditeurs de logiciel de gestion patrimoniale, des travaux seront menés pour étudier le recours à une telle technologie dans les systèmes d'information techniques.
Il y a 4 ans et 102 jours

Skyhome, sur l’Ile de Nantes, un projet signé XDGA

Dans le quartier Tripode-Viviani, Skyhome, conçu par Xaveer De Geyter Architects (XDGA), bénéficie d’une situation exceptionnelle en bord de Loire, à deux pas de boulevard de Gaulle et du Busway. Ce projet de logements et de bureaux répartis sur 16 715m² se démarque par sa qualité architecturale. Livraison 2022. Un programme immobilier entre ciel et […] L’article Skyhome, sur l’Ile de Nantes, un projet signé XDGA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 102 jours

Le groupe Kramer à nouveau candidat au rachat du site industriel Jacob Delafon de Damparis dans le Jura

Le groupe Kramer s'était officiellement positionné comme un éventuel repreneur le 5 février dernier et avait retiré son offre le 26 février suivant. Dans un contexte social tendu, le groupe Kramer ne souhaitait pas être tenu responsable d'un report du PSE (fixé au 3 mars), tout en étant dans l'impossibilité de répondre aux conditions et délais imposés par le groupe Kohler, au regard de l'opacité dont faisait preuve le groupe Kohler en matière d'informations.Avec le soutien de l'État, de la Région, de ses partenaires commerciaux, le groupe Kramer réaffirme son implication dans la sauvegarde d'un site historique et dans la préservation d'emplois. Il a désormais la confiance du personnel du site de Damparis.Dans un contexte aujourd'hui différent et après signature du PSE, le projet du groupe Kramer repose sur une nouvelle activité qui ne dépend plus du groupe Kohler, avec un programme de progression d'embauches dans lequel les futurs ex-salariés seront les bienvenus.Par cette acquisition, le groupe Kramer entend toujours diversifier ses activités, étoffer logiquement son offre sur l'ensemble du marché sanitaire (céramique et robinetterie) au niveau national et à l'export, selon les valeurs du Made in France.« Il ne s'agit pas de stratégie mais de philosophie d'entreprise, inscrire l'humain au cœur de notre écosystème » exprime en ce sens Manuel Rodriguez, Président du groupe Kramer.
Il y a 4 ans et 103 jours

Construction d'un campus de formation écologique à Saint-Priest

Un complexe multiusageEn 2015, la SNCF a lancé un programme visant à remplacer plusieurs centres de formation vieillissants et ne répondant plus aux besoins actuels répartis sur l'ensemble du territoire par trois nouveaux campus implantés dans les agglomérations de Paris, Lyon et Bordeaux. Sur une surface de 12.900 m², l'aménagement du campus lyonnais consiste à construire trois bâtiments à usages différents : industriel, tertiaire, hébergement et restauration. On y trouve des espaces de formation théorique, un atelier pour la formation pratique, des locaux administratifs, des locaux d'hébergement (273 chambres) et de restauration, un espace événementiel pouvant accueillir jusqu'à 200 personnes ainsi qu'un showroom digital de 100 m². Un parking de 80 places de stationnement ainsi qu'un aménagement paysager complètent l'ensemble.Réduire l'empreinte carbone des bâtimentsDès la phase de conception, SNCF Réseau a placé la performance environementale au coeur du projet, visant pour les bâtiments la certification HQE. Pour répondre à cette ambition, Eiffage Construction, en charge des travaux, a fait appel à CEMEX pour la fourniture d'un béton Vertua®, une gamme de bétons bas carbone éprouvés depuis plusieurs années. Ici, pour les fondations, voiles et planchers des bâtiments, c'est un béton Vertua® classic qui a été choisi, présentant une diminution de l'empreinte carbone de 20 à 35%. La formulation du béton conçu à partir de matières premières locales et de co-produits issus de processus industriels a été validée par le bureau d'études Inddigo spécialisé dans le développement durable. Les premiers coulages ont démarré en septembre dernier et devraient s'achever au printemps 2021, à la fin des travaux de gros œuvre. Au total, 6.500 m³ de Vertua® classic auront été livrés depuis les unités de production CEMEX de Lyon Herriot, Mions et Saint-Pierre-de-ChandieuFaciliter le travail des équipes de constructionSéduites par la présentation de CEMEX Go, une solution 100 % digitale spécialisée dans la gestion des commandes de matériaux de A à Z et le suivi des livraisons en temps réel, les équipes d'Eiffage Construction ont fait le choix de passer et de suivre l'intégralité de leurs commandes de bétons en utilisant cette plateforme créée par CEMEX en 2018 pour accompagner l'évolution du secteur de la construction. Ainsi Eiffage Construction a pu doter son chantier d'un nouvel élément de performance environnementale et sécuritaire, en évitant par exemple l'impression, le transfert et la manipulation de documents papier. Sans oublier le gain de temps et l'efficacité engendrés, un vrai plus pour le major du BTP.Les intervenantsMaître d'ouvrage : SNCF RéseauMaître d'œuvre : Eiffage ConstructionArchitecte : Reichen et Robet & AssociésBureau d'études environnental : InddigoUnités de production : Lyon Herriot, Mions et Saint-Pierre-de-Chandieu
Il y a 4 ans et 104 jours

L’Afpa encourage les femmes qui osent !

Les 7 lauréates de gauche à droite : Cécile Dubois, Harmony Delacour, Marine Montin, Lisa Marteau, Florbela Loureiro Da Rocha Gil, Denitsa Hristova, Sylvie Linxe. [©Johanne Goudstikker] L’agence nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa) se mobilise pour l’égalité professionnelle et la mixité des métiers. Opérateur majeur de la formation en Europe, l’Afpa a lancé un concours destiné à valoriser les femmes ayant choisi une formation dans un métier accueillant moins de 30 % de la gent féminine. Intitulé les “Trophées Afpa Métiers pour ELLES”, cet évènement est l’occasion d’inciter et d’encourager les femmes à s’ouvrir à des métiers encore stéréotypés. Les deux seules conditions pour participer étaient de suivre une formation dans des secteurs comme le BTP, l’industrie, les transports, la logistique ou encore l’informatique. Et d’être en stage à l’Afpa à la date de candidature. Un engagement pour l’évolution des genres dans les métiers Quelque 250 candidatures ont été examinées par un jury composé de 11 experts de l’entreprise, du sport ou encore de l’université. Mais seulement 7 femmes ont été désignées lauréates. « Cet évènement spécial met en valeur des femmes qui osent surmonter les préjugés et les difficultés. Et qui choisissent de se former à un métier dit “masculin” », déclare Pascale Gérard, directrice innovation sociale à l’Afpa. L’un des objectifs du gouvernement est de faire passer de 12 % à 30 %, d’ici 2025, la part des métiers considérés comme mixtes. Aujourd’hui, il existe 87 familles professionnelles. Et pourtant dans seulement 12 d’entre elles se trouvent 50 % de femmes. Aujourd’hui, leur présence reste concentrée dans les métiers du service, de l’éducation et du social. « Ces femmes font bouger les lignes, aussi bien chez nos formateurs, leurs collègues et leurs employeurs, indique Pascale Gérard. Dans cette ambiance de crise, nous avons voulu, avec cette première édition des Trophées, apporter une touche d’espoir aux femmes qui, on le sait, sont aussi les plus pénalisées en période de crise. » 7 trophées pour 7 femmes lauréates Quelque 7 femmes ont été honorées à travers 7 trophées : • Le trophée Sensation’Elle récompense une femme « bien dans ses baskets et dans sa formation ». Il a été attribué à Lisa Marteau, âgée de 33 ans et habitant en Nouvelle-Aquitaine. Elle suit une formation d’agent d’entretien du bâtiment. • Le trophée Passion’Elle récompense une femme, « qui sait ce qu’elle veut, s’y tient et ne lâche rien ». Il a été attribué à Denitsa Hristova, âgée de 28 ans et habitant en Ile-de-France. Elle suit une formation de technicienne électro-mécanicienne automobile. • Le trophée Pluri’Elle récompense une femme en reconversion. Il a été attribué à Sylvie Linxe, âgée de 53 ans et habitant en Occitanie. Elle suit une formation de développeuse web. • Le trophée Essenti’Elle récompense une femme « qui a confiance en elle et qui devenue indispensable au groupe de travail ». Il a été attribué à Cécile Dubois, âgée de 33 ans et habitant en Nouvelle-Aquitaine. Elle suit une formation de peintre en bâtiment. • Le trophée Profession’Elle récompense une femme « au grand potentiel professionnel brillant par ses réalisations et son investissement ». Il a été attribué à Harmony Delacour, âgée de 33 ans et habitant dans le Centre – Val de Loire. Elle suit une formation d’agente de sûreté sécurité privée. • Le trophée Exception’Elle récompense une femme pionnière, « qui ouvre la voie dans un métier où la place des femmes est particulièrement rare ». Il a été attribué à Florbela Loureiro da Rocha Gil, âgée de 43 ans et habitant en Provence – Alpes – Côte d’Azur. Elle suit une formation d’installatrice thermique et sanitaire. • La mention Univer’Elle correspond au prix spécial du jury. Elle a été attribuée à Marine Montin, âgée de 31 ans et habitant dans le Grand Est. Elle suit une formation de conductrice de transport routier de marchandises sur tous véhicules. Chacune de ces lauréates recevra une dotation de 1 000 €.
Il y a 4 ans et 104 jours

Autodesk acquiert un expert des logiciels d'infrastructures hydrauliques

ACQUISITION. L'éditeur de logiciels, Autodesk, vient de racheter un expert américain des logiciels d'infrastructures hydrauliques pour un milliard de dollars.
Il y a 4 ans et 104 jours

Plusieurs députés dénoncent un débat tronqué sur le projet de loi climat

Ce texte est passé en revue en commission spéciale depuis lundi et pour deux semaines, avant son passage dans l'hémicycle à compter du 29 mars.L'ancienne ministre de l'Ecologie Delphine Batho (non inscrite) a dénoncé devant la presse des conditions de travail "surréalistes" en commission avec un nombre de places limitées en raison des règles anti-Covid."Il y a un problème très concret de places: la commission a 71 membres, il y a 51 places dans la commission (...). Il y a des députés qui ne peuvent pas venir siéger", a abondé Damien Abad, chef de file des députés LR, lors d'une conférence de presse.Mme Batho ainsi que Matthieu Orphelin, autre député de sensibilité écolo, s'alarment en outre de "l'interprétation brutale des dispositions de l'article 45 de la Constitution" qui permet de retoquer des amendements jugés hors sujet. Ils affirment que 55% des amendements jusqu'ici traités par les services de l'Assemblée ont été jugés irrecevables."L'écoprêt pour changer de véhicule, la régulation de la publicité, la rénovation énergétique, la consommation durable: tous ces sujets, nous ne pourrons pas en débattre", a regretté M. Orphelin.Pour sa part, la présidente de la commission spéciale Laurence Maillart-Méhaignerie (LREM) regrette une position "polémique" sur l'irrecevabilité. Et concernant les places, c'est aux groupes politiques de "définir les jauges" et "nous sommes tous soumis à cette contrainte", a-t-elle déclaré lundi soir en commission.En outre, pour l'examen dans l'hémicycle, un temps législatif programmé de 45 heures a été fixé mardi en conférence des présidents de l'Assemblée. Ce temps, réparti entre les groupes politiques, va réduire à la portion congrue les interventions des députés non-inscrits comme Mme Batho et M. Orphelin."C'est une manipulation de plus pour tenter de museler ceux qui veulent porter haut l'écologie", a regretté M. Orphelin, ex-député LREM.Les deux députés donnent rendez-vous le 28 mars dans les manifestations à l'appel de membres de la Convention citoyenne pour le climat mécontents du texte présenté par le gouvernement.
Il y a 4 ans et 104 jours

Artibat, un rendez-vous très attendu

Le très attendu salon Artibat prend ses marques et attend encore des exposants. [©Artibat] Avec déjà plus de 700 inscrits, soit 85 % des 65 000 m2de surface d’exposition, le salon Artibat 2021 prend ses marques. Il se tiendra les 13, 14 et 15 octobre prochains au Parc des expositions de Rennes. D’autres exposants sont encore attendus ! A chacun de faire ses choix… Cet évènement incontournable de la filière sera le premier grand rendez-vous sectoriel physique depuis le début de la pandémie. Il est donc très attendu par les exposants, tant pour la rencontre conviviale avec les professionnels de la construction que pour le business qu’il génère. Pareil du côté des visiteurs ! Artibat s’annonce comme LE rendez-vous très attendu par la profession, surtout après cette année si particulière.  Un lieu d’échanges  Les visiteurs (40 000 espérés) connaissent bien le salon et apprécient ce qu’ils viennent y trouver. A savoir le rapport direct avec les exposants, la possibilité de toucher les produits, les tester et découvrir les dernières nouveautés. Le programme prévoit aussi les innovations de 15 start-up sélectionnées, des prises de parole d’architectes, de fabricants et d’institutions. Mais aussi une expérience immersive dans une installation temporaire, déployée sur 130 m², grâce au partenariat engagé avec HB Développement… « C’est grâce à la confiance de nos exposants que nous gardons le cap et l’envie de préparer un salon exceptionnel pour la fin de cette année. L’éclaircie se devine sur le second semestre et l’équipe est pleinement mobilisée. Ceci, afin d’accompagner les exposants dans leurs préparatifs, organiser les projets ambitieux qui font l’actualité du bâtiment. Et bien sûr, veiller au respect des mesures sanitaires indispensables au rassemblement de plus de 40 000 professionnels. Nous avons hâte de tous vous retrouver. Rendez-vous en octobre 2021 à Rennes ! », a déclaré Valérie Sfartz, directrice du salon Artibat.
Il y a 4 ans et 104 jours

Le Musée de Mossoul renaît progressivement

Six ans après l’attaque de Daech, le Musée de Mossoul renaît progressivement grâce à l’engagement des autorités irakiennes et d’un consortium international du patrimoine. Depuis 2018, les membres fondateurs de ce consortium ont stabilisé le bâtiment et la collection qu’il abritait, formé et équipé ses équipes, et contribué à préparer sa réhabilitation complète. En 2020, ils ont été rejoints par le WMF, qui va définir le programme de restauration et de réhabilitation du musée. L’objectif est de rendre le plus rapidement possible cette institution culturelle importante aux citoyens de Mossoul, et de permettre de présenter à nouveau la richesse de la culture irakienne. Première étape de la préservation de la collection, les fragments des artefacts ont été minutieusement triés, documentés, nettoyés et stockés par l’équipe du Musée de Mossoul, avec l’appui des experts du Musée du Louvre. Pour préparer la restauration de cette collection, le musée parisien, en étroite collaboration avec l’équipe du Musée de Mossoul, a livré du matériel et des produits de conservation. La Smithsonian Institution et l’équipe de Mossoul ont ensuite mis en place un laboratoire de conservation de première urgence, afin de pouvoir restaurer les objets sur place. Malgré les défis posés par la pandémie, les équipes locales ont poursuivi leur travail tout en respectant les consignes sanitaires. Ainsi, en juillet 2020, du matériel informatique a été livré au personnel du musée, en vue notamment de pouvoir suivre le programme complet d’études muséales préparé par le Musée du Louvre, et dont la première composante était dédiée à la conservation à distance. L’équipe du Louvre a en effet enregistré 18 vidéos de formation appliquée à la restauration de la pierre. Celles-ci proposent des conseils de restauration en arabe, étape par étape, illustrés par des exemples concrets, et complétés par des documents écrits et des exercices pratiques. Les futurs cours de formation du Musée du Louvre porteront sur des sujets tels que les techniques de restauration des métaux et du bois, ainsi que la gestion des collections. Ils incluront également des sessions avec des experts sur la conduite d’un projet de restauration de cette ampleur. Au second semestre 2020, la Smithsonian Institution a fourni du matériel au personnel du musée et a soutenu d’autres mesures de stabilisation du bâtiment, notamment relatives à la tombe assyrienne située à l’extérieur, ainsi que le déblaiement du sous-sol de l’aile administrative, la réparation des sanitaires ou encore le nettoyage des jardins, afin de garantir une meilleure sécurité, y compris contre les incendies. Le personnel de la Smithsonian Institution a par ailleurs dispensé des formations complémentaires de celles du Louvre. Cette formation professionnelle du personnel du musée va se poursuivre dans les mois à venir. Enfin, en 2020, le WMF a rejoint le consortium et s’est vu confier la tâche de définir le programme de restauration et de réhabilitation du bâtiment du musée et de ses abords. Une mission d’expertise a ainsi été menée sur le terrain en février 2021, qui va permettre d’ouvrir la voie à une nouvelle étape de cet effort collectif : la reconstruction et le développement du futur musée, qui devrait rouvrir au public d’ici quelques années. Photo : Musée de Mossoul ©Smithsonian Institution  
Il y a 4 ans et 104 jours

Valoriser le patrimoine culturel à travers la réalité augmentée : quels obstacles juridiques ?

La réalité augmentée (RA) est un outil de développement stratégique qui permet de développer certaines initiatives culturelles et éducatives, et offre nombre d’opportunités commerciales. Le droit d’auteur génère toutefois des obstacles juridiques qui peuvent compromettre la viabilité des initiatives fondées sur la RA. La RA consiste à superposer des éléments calculés par un système informatique à la réalité en temps réel. Cette technologie permet ainsi de voir, à l’aide d’un dispositif – tel qu’un smartphone – des images élaborées par un logiciel dans un contexte réel. Un exemple célèbre est le jeu des Pokemons, où les images en mouvement de ces personnages de fantaisie apparaissent aux joueurs munis d’un smartphone doué d’une application spécifique en des lieux spécifiques. Elle s’applique à différents secteurs, dont le patrimoine culturel. La RA peut jouer un rôle dans l’éducation à l’histoire et à l’art d’une communauté. Ces éléments sont fondamentaux pour mieux développer une identité, aussi bien au niveau individuel que communautaire. À travers la RA, il est possible de valoriser les sites où se trouvent des biens culturels, ainsi que les collections des musées ou des archives qui hébergent ces biens. Ainsi, une RA sur un ou plusieurs tableaux du Louvre pourrait valoriser non seulement le tableau, mais également la collection du musée. À travers des reproductions et représentations d’objets culturels, un public large peut alors accéder non seulement aux objets qui composent actuellement le patrimoine culturel, mais aussi à des informations sur l’histoire de ce bien, les techniques qui ont permis de l’élaborer, ou le contexte historique de sa création. L’expérience de visite devient ainsi plus exhaustive, interactive, enrichissante ; en un mot, plus attrayante. On peut émettre l’hypothèse que tout cela peut avoir des retombées positives sur le développement culturel, ainsi que de façon plus indirecte, sur d’autres éléments, tels que l’évolution du secteur touristique alentour, mais aussi un intérêt croissant des opérateurs du marché qui développent des solutions RA. Les exemples de RA appliquée aux biens culturels se multiplient en France et ailleurs : citons le pont d’Avignon), l’Ara Pacis Augustae à Rome), des pièces du musée d’art Islamique à Berlin), les tableaux du musée Van Gogh à Amsterdam, ainsi que quelques tableaux de la Tate à Londres, ou de la Art Gallery of Ontario à Toronto ; ou encore les dinosaures exposés au musée de Trento. À travers ces exemples, on note que les objets concernés par la RA sont plutôt anciens ; ou bien il s’agit d’objets qui présentent un intérêt scientifique, mais pas artistique. Cette précision factuelle permet de comprendre qu’il est plus simple de développer une application RA sur des objets anciens ou de caractère scientifique que sur des objets à caractère artistique et ce en raison de l’absence de droit d’auteur sur les premiers. S’agissant des biens culturels à caractère artistique, ils incorporent une œuvre de l’esprit, c’est-à-dire la forme expressive d’une idée. C’est le cas pour la sculpture, la peinture, la littérature. Ce type d’œuvre peut faire l’objet d’un droit d’auteur. Ce droit couvre les œuvres originales, c’est-à-dire découlant de l’effort intellectuel d’une personne physique ; ainsi les œuvres générées par une machine, par un logiciel, ne pourraient pas être protégées. La protection concerne les œuvres qui ne sont pas particulièrement anciennes. En France et en UE, ainsi qu’aux États-Unis, les œuvres originales sont protégeables jusqu’à soixante-dix ans après la mort de l’auteur ou du dernier auteur. Ainsi, un bien culturel artistique peut être protégé par le droit d’auteur si son créateur est décédé il y a moins de soixante-dix ans. C’est le cas, par exemple, des tableaux de Jackson Pollock. La protection offerte par le droit d’auteur permet de jouir d’un droit exclusif sur les œuvres de l’esprit, ce qui confère une position sur le marché plutôt forte à son titulaire. En effet, en principe la présence du droit exclusif empêche d’exploiter une œuvre en l’absence du consentement de son titulaire. La protection des bases de données D’autre part, les collections des instituts du patrimoine culturel, c’est-à-dire les musées, bibliothèques, archives et instituts de dépôt légal pour le matériel audiovisuel ou radiophonique peuvent être qualifiés en tant que bases de données, c’est-à-dire comme recueils de données, informations, contenus et autres matériels, organisés de façon méthodologique et systématique et au sein desquels on peut accéder aux éléments individuellement. À certaines conditions, les bases de données dans l’UE peuvent jouir d’une protection qui limite l’extraction et l’exploitation des données les composant : il s’agit du droit sui generis sur les bases de données, une forme de protection juridique supplémentaire par rapport à celle offerte – éventuellement – par le droit d’auteur. En sa présence, il sera nécessaire d’obtenir l’autorisation du titulaire du droit avant de pouvoir copier et coller des éléments de la base de données dans un autre contexte. Cette forme de protection sur les bases de données peut venir se rajouter à celle couvrant les éléments qu’une telle base de données contient. Ainsi, une collection d’archives est une base de données et les documents contenus dans la collection peuvent être des œuvres de l’esprit protégées par le droit d’auteur. À titre d’exemple, la collection du musée George Pompidou peut être qualifiée en tant que base de données et elle est protégeable par le droit d’auteur de façon globale, ainsi que par le droit sui generis sur les bases de données, tout comme les œuvres de Pollock qui y sont contenues et exposées sont protégées par le droit d’auteur. Comment faire si on veut développer une application RA autour des œuvres de Pollock, Koons et d’autres auteurs contemporains ou de l’histoire récente exposés au centre Pompidou ? Il faut alors obtenir l’autorisation d’exploitation des droits d’auteur et sui generis auprès des titulaires, tout en étant attentif au respect de la paternité et de l’intégrité des œuvres exploitées, si l’autorisation est donnée. Globalement, le droit d’auteur peut faire obstacle à des exploitations telles que les reproductions et représentations nécessaires à des applications en RA. En effet, il s’agit d’un droit exclusif, et donc en l’absence d’autorisation l’œuvre ne peut pas être exploitée. Le consentement doit être fourni par le titulaire des droits patrimoniaux, c’est-à-dire des droits qui peuvent faire l’objet d’un contrat et qui couvrent les activités de reproduction et de représentation. Or, en raison des règles d’attribution de ces droits, il n’est pas toujours facile d’identifier qui détient les prérogatives et peut donc contrôler toute reproduction ou représentation. De plus, le créateur de l’œuvre – qui parfois ne détient plus les droits patrimoniaux en raison de la possibilité de les céder pour les monétiser – a toujours le droit d’être reconnu comme « père » de l’œuvre, ainsi que le droit au respect de la forme et de l’esprit de l’œuvre : c’est ce qu’on appelle les droits moraux, qui ne peuvent pas être cédés par contrat et qui durent au-delà des soixante-dix ans après la mort de l’auteur. De même, le droit sur les bases de données étant exclusif et se cumulant à la protection sur les éléments individuels composant la base de données peut vraisemblablement constituer une limite au développement de telles initiatives. Comment procéder alors ? Exceptions au droit d’auteur Les réponses sur la viabilité d’application RA peuvent être cherchées dans certaines exceptions au droit d’auteur, c’est-à-dire dans les règles qui permettent une exploitation des œuvres de l’esprit – ainsi que des bases de données – protégées même en l’absence d’une autorisation. On songe notamment à l’exception de citation, mais également à l’exception pédagogique, ainsi qu’à celles moins mentionnées par la presse et les œuvres de divulgation, telles que les exceptions sur les œuvres orphelines, et, plus récemment, sur les œuvres hors commerce, ou sur le data mining. Les exceptions sont expressément listées par le code de propriété intellectuelle français – à l’art. 122-5 notamment – et par les textes nationaux homologues au sein de l’UE. Une lecture creusée de ces dispositions révélant que seules certaines activités de reproduction et représentation pourraient être justifiées en l’absence du consentement du titulaire des droits, cette solution ne saurait être que partielle. D’autres solutions semblent par ailleurs pouvoir découler des normes exogènes aux droits de propriété littéraires et artistiques. On songe notamment aux règles sur la réutilisation des données publiques, qui peuvent s’appliquer également aux informations gérées par les instituts du patrimoine culturel et par les administrations et établissements publics voués à la gestion du patrimoine culturel. Mais là encore, il ne s’agit que de solutions partielles, puisque les conditions pour que ces normes interviennent ne sont pas toujours remplies. Il est possible que la pratique bien intégrée par le système français des accords collectifs entre les instituts du patrimoine culturel, les administrations gérant les biens culturels et les sociétés de gestion collectives (telle que l’ADAGP par exemple) fournisse, à terme, une solution plus exhaustive et vienne soutenir le développement de la RA. Cristiana Sappa, Professeur associé en droit des affaires, IÉSEG School of Management Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original. Photo : A la Conciergerie, la réalité augmentée permet de découvrir les lieux sous un autre oeil. La Conciergerie, Paris
Il y a 4 ans et 105 jours

Impression 3d ou Usinage CNC, comment choisir ?

Pour mener à bien son métier, l’ingénieur a souvent besoin d’un prototype ou d’une pièce fonctionnelle sans rechange. Dans ce cas, il doit faire appel à des technologies modernes de prototypage ou de conception comme l’impression 3D et l’usinage CNC. Cependant, ces deux techniques ont leurs points forts et points faibles qu’il faudra considérer avant de faire un choix définitif. Dans cet article, voyez quelles sont les différences entre ces procédés. Les différences entre l’usinage CNC et l’impression 3D ? Avant toute chose, il est réellement important de comprendre les différences entre ces deux procédés. De cette manière, vous saurez lequel est le mieux adapté à vos besoins d’usinage. En fait, le choix de l’un ou l’autre se fait en tenant compte des spécificités de chacun d’eux. L’impression 3D est un processus de fabrication additive qui crée des objets physiques à partir d’un modèle digital. Cet objet en question est fabriqué en posant de fines couches de matériaux graduellement. Au final, ces matériaux vont se fusionner. Le résultat obtenu est très raffiné et les possibilités de forme sont plus ou moins indéfinissables. C’est la capacité de l’imprimante qui détermine sa limite. L’impression 3D est plutôt destinée à la conception d’objets personnalisés ou des besoins ponctuels. Elle aura du mal à assurer une production à grande échelle comme dans les industries. De plus, elle ne convient pas du tout aux objets de grande taille. Par contre, l’usinage CNC (Computer Numerical Control) est assez propre au domaine industriel, car il utilise plutôt le processus de fabrication soustractive. Les outils des aléseuses CNC sont contrôlés en utilisant un logiciel intégré dans le micro-ordinateur qui est lié à ceux-ci. Le procédé en question taille le matériel initial pour obtenir l’objet d’une certaine forme. Cette technique demande donc plus de travail et d’intervention humaine pour les ajustements. L’usinage CNC ne conviendra jamais à la production d’objet authentique et personnalisé étant donné que son coût unitaire est plus élevé. Les matériaux de l’impression 3D et de l’usinage CNC Ces deux procédés sont compatibles avec une grande variété de matériaux y compris les plastiques et les métaux. Mais, il y a tout de même quelques distinctions entre les deux. L’impression 3D, par exemple, se concentre un peu plus sur les plastiques même si certains fabricants commencent une impression 3D métal. Les plastiques les plus utilisés en CNC sont : le nylon (PA66), l’ABS, le polycarbonate (PC), l’acrylique (PMMA), le POM, le PEEK et le polypropylène (PP). En ce qui concerne les métaux, l’aluminium est le plus employé dans l’usinage CNC. Cette matière permet de créer des prototypes de qualité. D’ailleurs, l’alu est aussi recyclable et peut créer facilement des prototypes. Néanmoins, les autres métaux utilisés sont l’acier inoxydable, les alliages de magnésium, l’alliage de zinc, le laiton et le titane. L’usinage CNC : une méthode économique et une grande versatilité Avec l’automatisation des aléseuses CNC, l’usinage CNC n’est donc plus un procédé dispendieux qui nécessite la présence permanente d’un technicien spécialisé. De nos jours, cette tâche est devenue moins complexe. Les machines adoptent des interfaces conviviales que tout le monde peut maitriser après une formation de quelques jours. Par conséquent, vous n’aurez nullement besoin de l’expertise dispendieuse pour fabriquer des pièces en grande quantité. Par ailleurs, l’usinage CNC permet de travailler toutes sortes de matériaux que vous ne pouvez pas encore imprimer, comme le bois, par exemple. Enfin, les aléseuses CNC offrent une grande précision de coupe pour pouvoir fabriquer des pièces complexes telles que les engrenages ou les pièces sur mesure. Les points forts de l’impression 3D L’un des avantages de l’impression 3D c’est son coût moins onéreux lorsqu’il s’agit de fabriquer un prototype unique. Mais ce tarif peut connaître certaines modifications en fonction du matériau à utiliser, du volume et de la complexité. Ce sont les principaux facteurs qui influencent le temps d’impression. Pour ne pas avoir d’imprévus, effectuez au préalable un devis en impression 3d. De cette manière, vous pourrez mieux gérer vos dépenses. En outre, les étapes post-impression sont nombreuses pour avoir une finition impeccable. Ce sont des points à considérer dans votre budget. Pour ces dernières raisons, ce procédé est moins avantageux économiquement parlant, surtout si vous avez une commande de 50 ou 100 prototypes. Le point positif de l’impression 3D reste sa capacité à produire des pièces uniques ayant des complexités géométriques importantes. C’est grâce à la fabrication additive que cette technique arrive à créer des formes uniques et qui sont impossibles à réaliser par la fabrication soustractive. L’impact sur l’environnement L’usinage CNC implique plusieurs découpages de matériau à partir d’un bloc d’origine. Ainsi, les débris doivent être nettoyés et jetés après chaque utilisation. Or, vous éviterez cela en utilisant une impression 3D. En effet, cette seconde méthode vient ajouter de la matière et ne produit aucun déchet particulier à l’exception des éventuels supports d’impression. Vous aurez moins de gaspillage en adoptant une impression 3D.
Il y a 4 ans et 105 jours

La croissance sera "au moins égale à 5%" en 2021, selon le gouverneur de la Banque de France

Cette prévision "conforte" celle de 5% faite par la banque centrale en décembre, alors que "la récession est derrière nous", selon le gouverneur.Cette croissance sera "l'une des plus fortes d'Europe, nettement supérieure à la moyenne européenne", a-t-il assuré. Le gouvernement table pour sa part sur une croissance de 6% cette année."Devant nous, nous avons une deuxième étape qui va durer un an à peu près" et "qui est au fond un faux plat, c'est-à-dire qu'il y aura moins d'accidents et qu'on va continuer à remonter en pente douce", ce qui permettra de ramener le niveau d'activité à son niveau d'avant-crise d'ici le printemps ou l'été 2022, alors qu'il est actuellement 5% en dessous, a détaillé M. Villeroy de Galhau.La Banque de France a publié lundi une note de conjoncture qui prévoit une croissance légèrement positive pour le premier trimestre, avant la publication de prévisions plus complètes pour l'ensemble de l'année lundi prochain.La reprise de l'économie française "va dépendre de la confiance des consommateurs" une fois les restrictions sanitaires levées, a souligné le gouverneur, ajoutant que "l'amortissement public (les mesures de soutien à l'économie) doit être relayé par la confiance privée".Il s'est voulu optimiste, notamment parce que l'emploi et l'investissement public ont résisté "plutôt mieux qu'on ne pouvait le craindre" à la crise du Covid-19, qui a provoqué en 2020 une récession historique de 8,2% de l'économie française.L'OCDE relève fortement sa prévision de croissance mondiale à 5,6% en 2021L'OCDE a fortement revu à la hausse sa prévision de croissance mondiale en 2021, à 5,6% contre 4,2%, tablant sur les effets conjugués du méga-plan de relance américain et de la vaccination, dans ses perspectives économiques intérimaires publiées mardi."Les perspectives économiques mondiales se sont nettement améliorées ces derniers mois en raison du déploiement progressif de vaccins efficaces, de l'annonce de nouvelles mesures de soutien dans certains pays et de signes montrant que les économies s'accommodent mieux que prévu des mesures de restriction", explique l'Organisation de coopération et de développement économiques.A lui seul, le plan de 1.900 milliards de dollars voulu par le président américain Joe Biden pour relancer la première économie mondiale contribue à hauteur de 1 point de pourcentage à cette révision de 1,4 point de la croissance mondiale, a expliqué à l'AFP Laurence Boone, la cheffe économiste de cette organisation qui réunit 37 pays développés.Grâce à cette injection massive de liquidités, les Etats-Unis, qui dénombrent un cinquième des décès dus à la pandémie de Covid-19, devraient voir leur rythme de croissance du PIB doubler par rapport à ce qui était attendu en décembre, à 6,5%. Sans entraîner de risque inflationniste majeur, estime Mme Boone.Le gain de croissance est plus modeste pour la zone euro, où le programme de vaccination patine: le PIB continental devrait croitre de 3,9% cette année, quand le Royaume-Uni, où les écoles ont rouvert lundi, devrait afficher une croissance de 5,1%Pour la France, l'OCDE table sur un rebond de 5,9%, quasiment inchangé par rapport à ses dernières prévisions, de 5,7% pour l'Espagne, de 4,1% pour Italie et de 3% pour l'Allemagne.Moteur de la croissance mondiale, la Chine, où les exportations ont bondi de 60% en un an en janvier-février, devrait afficher une croissance de 7,8%. Mais c'est en Inde que le rebond est le plus spectaculaire: après avoir plongé de 7,4% en 2020, le PIB devrait progresser de 12,6% cette année.Des risquent pèsent cependant sur la croissance: un rythme trop lent de vaccination ou "l'émergence de nouveaux variants résistants aux vaccins existants". "Plus vite les pays vaccinent, plus vite ils pourront rouvrir leur économie (...) Notre principal message est donc d'accélérer le rythme de la vaccination pour rouvrir l'économie", a déclaré Mme Boone.Plus de 304,8 millions de doses de vaccins anti-Covid ont été administrées dans le monde, un chiffre qui cache de profondes disparités: Israël a vacciné près de 60% de sa population, les Etats-Unis près de 20%, la France autour de 5% et le Brésil 3%, selon les calculs de l'OCDE.
Il y a 4 ans et 105 jours

Rénovation énergétique : des devis conformes avec Sage Batigest Connect

Devis de rénovation énergétique, des règles complexes et mouvantesEn tant que professionnel du bâtiment, vous avez le devoir de faire figurer certaines informations obligatoires sur vos devis : nom de l'entreprise, numéro de TVA, détail des prestations, coût unitaire, etc. Toutefois, l’édition de vos devis peut être plus complexe dans le cadre d’un projet de rénovation énergétique, et ce, pour plusieurs raisons :Vos documents doivent respecter un certain formalisme afin de permettre à vos clients de profiter éventuellement d'aides à la rénovation énergétique ;Les contraintes sont susceptibles de varier selon les dispositifs auxquels sont éligibles les travaux (MaPrimeRénov, Coup de pouce économies d'énergie, etc.) ;Vous devez faire apparaître les critères de qualification de votre entreprise, notamment RGE ;Les prestations éligibles aux aides doivent être plus détaillées que pour d'autres travaux (norme des matériaux, critères techniques de performance, etc.).Les règles à respecter sont susceptibles d’évoluer si les aides à la rénovation énergétique évoluent elles-mêmes. Batigest Connect : un outil performant pour des devis conformesConsacré à la gestion commerciale des professionnels du BTP, le logiciel Sage Batigest Connect vous permet d'éditer des devis de rénovation énergétique conformes à la réglementation. Grâce à différentes fonctionnalités performantes, il optimise considérablement vos propositions commerciales. Des modèles de devis sur mesure : depuis le logiciel, vous avez accès à des modules préconçus, répondant notamment aux règles applicables aux aides à la rénovation énergétique. Vous êtes ainsi sûr d’éditer un devis conforme à la réglementation, vous permettant de vous concentrer sur votre proposition commercialeDes mises à jour automatiques : la gestion du logiciel est déléguée à votre fournisseur Sage. En fonction des évolutions réglementaires (modification des formalités de devis, création d’une nouvelle aide, etc.), des mises à jour peuvent vous être proposées. Vous avez ainsi la garantie de respecter le cadre en vigueurUne liberté de saisie : si vous le souhaitez, vous pouvez personnaliser vos devis de rénovation énergétique, notamment en ajoutant des commentaires, des articles non référencés ou encore des avenants. Le logiciel vous fournit également une grille de saisie paramétrable, vous permettant de contrôler tous les éléments relatifs à votre devis (gestion du déboursé sec, coût de revient, etc.)Une tarification au plus juste : vous pouvez souscrire à l'option Sage e-tarif afin d'accéder aux catalogues des fournisseurs commerciaux et techniques. Cela vous permet ainsi de consulter 4 millions de références produits, dont les tarifs sont mis à jour en temps réel. L’idéal pour éditer des devis de rénovation énergétique conformes et à jour des prix et solutions disponiblesEn savoir plus sur Batigest Connect
Il y a 4 ans et 105 jours

Action Logement : une rénovation lourde de 138 logements aux Lilas

Action Logement participe activement au programme national de rénovation des logements existants et à l’effort d’augmentation de la construction de logements sociaux neufs.
Il y a 4 ans et 106 jours

Communauté Pays Basque : renouvellement du réseau d’eau potable à Bidart

Des travaux de renouvellement du réseau d’eau potable ont été lancés à Bidart le 3 mars 2021. Ils font partie d’un programme d’entretien entrepris par la Communauté Pays Basque.
Il y a 4 ans et 106 jours

Creil : Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat

Dans l’Oise, une partie du centre-ville de Creil bénéficie d’un programme d’Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat – Renouvellement Urbain (OPAH-RU).
Il y a 4 ans et 106 jours

Nouveau logo Onfly : Modernité, adaptabilité & universalité

La communication d’Onfly fait peau neuve ! L’équipe BIM&CO est fière de dévoiler le nouveau logo de son outil phare, reflétant les valeurs qu’elle partage avec ses clients et partenaires. Tous les jours, c’est avec l’ensemble de ses 200 clients actifs sur Onfly que l’entreprise répond aux enjeux de la transformation digitale par le biais de ses outils. Intégralement pensée autour de sa marque, BIM&CO vous révèle ici les dessous de cette nouveauté. Paris, France – le 4 mars 2021 Déployée depuis plus d’un an et demi, la solution innovante de gestion de bibliothèque partagée  « Onfly » affirme son identité visuelle. Fruit d’un processus de réflexion s’écoulant sur plusieurs mois, Camille, UX/UI Designer chez BIM&CO témoigne : « Nous nous devions de raconter l’histoire de notre  produit, autour de laquelle nous construirons le reste, allant des besoins de nos utilisateurs jusqu’à la culture de notre entreprise ». Nouveau logo 2021 Une volonté de transmettre les valeurs de l’entreprise La composante du cercle bleu clair sur ce nouveau logo a été retenue pour sa symbolique vertueuse et universelle : celle d’un projet architectural, celle d’un projet BIM, et celle de la création d’un produit numérique. Il s’agissait de créer une forme simple, commune et parlant au monde entier, illustrant la facilité d’utilisation de l’outil Onfly. Lorsqu’il en vient à sa forme ronde et universelle, celle-ci invite plusieurs corps de métiers à utiliser l’outil, tels que les fabricants et bureaux d’études. De plus, ce cycle vertueux illustre le fait qu’Onfly permet de capitaliser sur les projets passés pour construire l’avenir. Les valeurs d’Onfly reflètent la vision de Baptiste Mullie, CEO de BIM&CO : «Nous sommes persuadés que c’est la réutilisabilité des données et des matériaux qui nous permettra de répondre aux enjeux environnementaux et économiques majeurs auxquels la construction est confrontée.» L’élément de la virgule bleue marine est quant à lui le prolongement de la « goutte » verte foncée du logo de BIM&CO, faisant de cette composante la première brique de la construction de cette nouvelle identité visuelle. Cette référence au logo de l’entreprise, créatrice de l’outil, permet de montrer la fierté de ses collaborateurs quant à leur héritage : « Pour savoir où tu vas, regarde d’où tu viens ». Cette goutte, s’étendant, symbolise l’équipe et les utilisateurs d’Onfly qui continuent d’écrire ensemble l’histoire de l’outil. L’élément représente ainsi un véritable connecteur entre plusieurs univers, là où se rencontrent les compétences et où la valeur se crée. Il s’agit d’un espace d’échange où tout le monde parle un langage commun et universel, reflétant par ailleurs la dimension internationale de BIM&CO. Selon Camille, cette goutte symbolise « la croisée des chemins, un espace commun de deux mondes qui se rencontrent : les fabricants et les bureaux d’études ». Un logo simplifié pour les clients et partenaires Ce logo, permettant de faciliter la transmission des principes moraux et sociétaux sur lesquels se base l’entreprise, a été simplifié. En effet, BIM&CO, priorisant toujours ses clients et partenaires, se devait également d’avoir un logo plus facile à lire pour eux quant à son produit. Grâce à ce nouveau design, le logo Onfly permet à la fois de transmettre une image corporate, tout en communiquant le dynamisme de l’entreprise BIM&CO et de son outil phare. À propos de Onfly Le produit Onfly, né en 2018, permet aux architectes, ingénieurs et constructeurs de partager et mettre à jour à la volée, les objets et données des différents projets, dans n’importe quel logiciel de conception. Grâce à cet outil, il est désormais possible de rationaliser les processus de construction avec des outils à la hauteur des ambitions de chacun. Admirez notre nouveau logo de plus près, en découvrant l’outil Onfly ici ! À propos de BIM&CO – bimandco.com/fr – @bimandco Filiale du groupe Trace, BIM&CO est née en 2015 et bénéficie de plus de 30 ans d’héritage technologique dans le calcul, le traitement et la redistribution de la donnée technique. L’entreprise a pour mission de connecter tout corps d’état aux pouvoirs de la data, pour bâtir ensemble le monde de demain. BIM&CO met en place des solutions de gestion des données pour les ingénieries et fabricants, au-delà des barrières de langues, standards et formats. Pour répondre aux enjeux de la digitalisation des métiers de l’industrie, l’éditeur de logiciel Saas préconise une approche ingénieuse et maîtrisée du BIM, basée sur l’usage optimisé de la donnée partagée.  Sa technologie d’harmonisation et de synchronisation s’enrichit quotidiennement pour permettre à tout corps d’état de disposer d’objets validés et de données connectées qualifiées, exploitables sur toute plateforme (dans tous standards ou formats). BIM&CO est un acteur global, présent à Paris, Bologne, Madrid et Montréal. BIM&CO s’appuie sur son réseau de partenaires pour construire une communauté de spécialistes. Contact Presse BIM&CO : press@bimandco.com
Il y a 4 ans et 106 jours

Le projet du bassin d'entraînement à Noisy-le-Sec pour les Jeux olympiques Paris 2024 est abandonné

"Suite aux conclusions d'un audit demandé en septembre dernier par la Solideo, le projet de piscine du Pont de Bondy, à Noisy-le-Sec, a été abandonné", a fait savoir la Solideo à l'issue d'un conseil d'administration, évoquant "des difficultés opérationnelles ne permettant pas de garantir la livraison de l'ouvrage dans les délais".Ce projet était subventionné à hauteur de 5 millions d'euros par la Solideo, organisme chargé de construire les ouvrages pérennes en lien avec Paris 2024.La piscine de Montreuil (Maurice Thorez) la remplacera comme site d'entraînement, avec à la clé un programme de rénovation (2,5 millions d'euros), a précisé la Solideo.A Aubervilliers, un autre projet de centre aquatique provoque actuellement des remous. Cette piscine qui doit aussi servir de bassin d'entraînement suscite la colère car il déloge et rabote une partie de jardins ouvriers.La Seine-Saint-Denis est très pauvre en infrastructures sportives. Elle "compte moins de 60 m2 de bassin de natation pour 10.000 habitants, contre plus de 160 m2 en moyenne en Ile-de-France", selon les acteurs des JO et le département.Outre le centre aquatique olympique (CAO) de Saint-Denis, plusieurs projets de piscines ont été actés, comme le futur centre aquatique de Marville, qui va remplacer l'actuelle piscine située dans le parc de la Courneuve, site d'entraînement pour le water-polo.Par ailleurs, trois bassins provisoires de natation de 50 mètres sont officiellement proposés aux collectivités de Seine-Saint-Denis.Deux de ces bassins (dont un d'échauffement) seront installés dans La Défense Arena à Nanterre pour les épreuves de natation, de para-natation, et la finale de water-polo des JO.Initialement ils devaient être accolés au CAO, mais ils ont migré dans l'ouest parisien pour des raisons d'économies. Le troisième bassin de 50 mètres est le bassin qui servira d'échauffement à proximité du CAO pour la natation synchronisée et le water-polo.Ces bassins peuvent être transformés et aménagés dans certaines limites, mais ces transformations seront à la charge de la collectivité qui le recevra, en plus du bâtiment en dur qui l'abritera lui aussi à la charge de la collectivité.Plusieurs collectivités ont déjà manifesté leur intérêt dont justement Noisy-le-Sec, Bagnolet et Bobigny via l'établissement public territorial Est Ensemble.
Il y a 4 ans et 106 jours

L’écosystème Somfy s'enrichit d’une nouvelle offre solaire avec Oximo® Solar io

Les avantages de l’énergie solaireDepuis quelques années, le marché de l’énergie connaît de profonds changements. Le soleil est une énergie naturelle, accessible et renouvelable. L’énergie solaire peut être exploitée en installant des panneaux thermiques ou des panneaux photovoltaïques.Recyclables, les panneaux solaires - qu’ils soient thermiques ou photovoltaïques - sont simples et rapides à installer. Ces systèmes sont fiables et stables, notamment grâce à leur résistance aux intempéries et aux variations de température, et ne nécessitent que très peu de maintenance.Les panneaux photovoltaïques monocristallins sont appréciés pour leur rendement (entre 16 et 21%) et ont une durée de vie estimée entre 25 et 30ans.**** Source : Ministère de l’Ecologie - SolaireDes réserves à prendre en compteSi les consommateurs sont désormais plus sensibilisés aux énergies renouvelables pour leur habitat, on identifie néanmoins des freins importants qui les dissuadent d’adopter le solaire pour la motorisation des volets roulants.En effet, bien que le marché du solaire soit en très forte croissance, certains consommateurs craignent encore un manque de fiabilité ou d’autonomie.Si les bénéfices des motorisations et automatismes en terme d’économies d’énergies sont réels, c’est un modèle qui doit encore être standardiséOximo® Solar ioOximo® Solar io est un nouveau système motorisé pour volet roulant éco-conçu et auto-alimenté par la lumière du jour.Ultra-performant, Oximo® Solar io fonctionne à la lumière naturelle (autonomie de 45jours sans lumière). Son installation est facilitée grâce à l’application Solar App.L’écosyteme Oximo® Solar io, c’est aussi une démarche responsable, conçue pour satisfaire aux exigences du label ACT FOR GREEN.Un nouveau moteur Oximo® Solar ioEn 2015, Somfy révolutionne le marché du volet roulant avec sa dernière génération de moteursS&S0 RS 100 io connectés, silencieux et éco-conçus. A l’instar des moteurs phares Somfy, le nouveau moteur Oximo® Solar io reprend les caractéristiques techniques qui ont fait le succès de la marque :La détection d’obstacleLe moteur s’arrête automatiquement en cas d’obstacle à la descente.La résistance à l’effractionRésistance au levage lorsque le tablier est baissé.Protection en cas de gelLe moteur se bloque en cas de gel à la remontée pour éviter toute détérioration.Soft stop & startUn démarrage et un accostage en douceur pour protéger le volet roulant.Somfy Drive ControlTMAnalyse électronique permanente du couple moteur pour limiter les efforts et permettre une longévité accrue de l’écosystème.En complément, Oximo® Solar io dispose d’une alerte batterie faible et donne le statut de la batterie (correcte ou faible) et du panneau solaire (fonctionnel ou défaut, par exemple, lorsque celui-ci a une ombre portée qui limite sa performance).Un panneau photovoltaïque pour capter la lumière du jourGrâce à sa fixation universelle, le panneau s’adapte à tous les types de coffres ou de murs.Quelle que soit l’orientation de la fenêtre, un seul panneau est nécessaire, et il peut se déporter en cas d’obstacle à la luminosité grâce aux rallonges de 1 et 5m.Batterie : 2 solutions pour chaque type d’installationLa lumière naturelle suffit à elle seule pour charger la batterie. En obscurité totale, elle est parfaitement autonome pendant 45 jours minimum, sur la base de 2 montées et 2 descentes par jour.2 solutions sont disponibles pour couvrir tous les besoins :Installation à l’intérieur du coffre avec une batterie sans coque permettant un encombrement optimisé.Installation à l’extérieur avec une batterie coque alu, se déclipsant et et démontant facilement en laissant les supports au mur.45 jours minimum d’autonomie (2 montées/2 descentes)Fonctionne de manière optimale entre -20°C et +60°CSolution de secours possible grâce au chargeur de batterie externe Somfy.Un large choix de pilotageTaHomaOximo® Solar io est compatible avec l’écosystème TaHoma, soit près de 300 types de produits de la maison (Somfy et les plus grandes marques de l’habitat ainsi que les assistants vocaux Amazon Alexa, Google Assistant et Apple HomeKit).En connectant Oximo® Solar io à la box TaHoma et à son écosystème de produits (alarmes, motorisations de portail, porte garage, stores extérieurs et intérieurs…), l’utilisateur pourra profiter d’une expérience unique et enrichie de la maison connectée.Ouverture des volets roulants, désactivation de l’alarme, déverrouillage de la porte d’entrée et ouverture du portail pourront être déclenchés de manière combinée lorsque l’utilisateur rentrera chez lui. Par exemple, le scénario « matin » programme l’ouverture des volets roulants à 7h et la désactivation de l’alarmeCommande murale sans filSmoove ioCommande murale mécanique ou tactilePour piloter 1 volet roulantTélécommande de centralisationNina ioPour piloter plusieurs équipements de manière individuelle ou groupéeLes volets motorisésLes stores Les brises soleils orientales
Il y a 4 ans et 109 jours

Chalucet à Toulon, exemplaire

Vaste programme que celui du réaménagement du quartier Chalucet à Toulon : proposé par l’agence Corinne ...En savoir plus Cet article Chalucet à Toulon, exemplaire est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 110 jours

Utiliser l’impression en 3d de manière utile

L’usage de l’impression 3d est devenu populaire dans le monde professionnel, notamment dans le secteur médical et industriel. Cette nouvelle technologie a permis des avancées majeures dans plusieurs secteurs d’activités. Grâce à elle, les sociétés ont un gain de temps favorable dans le processus de développement. Découvrez ci-dessous comment utiliser cette révolution d’une manière utile et nécessaire. Comment fonctionne l’impression 3D ? Tout commence par un modèle numérique 3D créé par un logiciel. Ce modèle conçu est ensuite découpé en plusieurs couches pour que l’imprimante 3D puisse le lire convenablement. Le matériau utilisé par l’imprimante 3D est superposé couche par couche selon le modèle 3D et le processus de fabrication. Bien évidemment, les procédés de fabrication 3D utilisent différents types de matériaux comme : plastique, métaux, céramique, sable, biomatériaux, aliments, matières organiques, etc. Cependant les imprimantes d’entrée de gamme ne peuvent pas utiliser l’ensemble de ces matériaux. Chacune de ces machines traite les matériaux de différentes manières. C’est un point important à ne pas oublier et qui est malheureusement l’une des limites de cette révolution. Les procédés d’impression courants •   La stéréolithographie ou SLA C’est l’un des premiers procédés de l’impression 3D à avoir été mise en pratique. Elle a été créée par l’américain Charles Hull, fondateur de 3D Systems. Ce processus se base sur la création d’un modèle numérique pour la fabrication d’un prototypage. Il utilise un liquide photosensible (résine photopolymère) maintenu dans la cuve qui réagit avec le rayon laser ultraviolet et se durcit petit à petit pour former une forme précise. Généralement, ce type d’imprimante comporte quatre parties principales : le réservoir q, la plateforme perforée, le rayonnement UV et l’ordinateur qui commande la plateforme ainsi que le laser. Ce premier procédé est toujours mis en œuvre puisqu’il offre des finitions bien précises et abouties. D’ailleurs, si vous cherchez une impression 3d à Paris, optez pour cette solution. •   Le traitement numérique de la lumière ou DLP Ce traitement est similaire à la stéréolithographie, car il fonctionne avec des photopolymères. L’unique différence est la source de lumière. Cette seconde technique utilise effectivement des lampes à arc avec un panneau à cristaux liquides ou un dispositif à miroir déformable. Ces accessoires sont ensuite appliqués sur la surface de la cuve. Bien entendu, le temps de fabrication s’avère être plus rapide par rapport à la précédente. •   Le frittage laser ou fusion au laser ou SLS Il s’agit d’un processus d’impression par laser. Le faisceau laser ultra puissant va entrer en fusion une poudre compacte (le polyamide) positionnée sur la plateforme mobile. Ce matériau va être balayé par les faisceaux laser à des points bien précis définis par le fichier STL communiqué par l’ordinateur ou l’imprimante 3D. Au final, les particules vont se solidifier et former un prototype. L’avantage de cette technique est que vous aurez la possibilité d’employer la poudre comme support afin de créer des pièces plus ou moins complexes. La matière première est généralement de couleur blanche et va donner une surface poreuse. Vous pouvez la repeindre si vous désirez lui donner de la couleur. La céramique ainsi que la poudre de verre peuvent aussi être utilisés sans problème lors de la découpe au laser en ligne. •   La 3DP ou Three-Dimensional Printing La 3DP constitue la base du processus d’impression 3D de Z Corporation. Le principe est simple, il étale une fine couche de poudre de composite sur une plateforme. Ensuite, la tête d’impression va déposer de fine gouttes de glu colorées qui vont combiner entre elles pour obtenir un panel de couler. La plateforme s’abaisse lentement jusqu’à ce que les couches de poudre se collent et obtiennent l’objet final. Pour avoir une finition impeccable, il suffit de brosser ou de poncer l’excédent de poudre sur la pièce et de la chauffer pour achever la solidification. Comme vous pouvez le constater, la 3DP est une méthode très rapide et propose une grande variété de couleurs. Malgré le fait qu’elle manque un peu de précision et de qualité d’impression, son prix est 6 fois moins cher que l’imprimante 3D SLA. •   Fused Deposition Modeling ou FDM/FFF/MPD C’est une méthode très courante pour les impressions 3D. La majorité des imprimantes 3D personnelles suivent ce principe. Elle fait fondre le filament de matière thermoplastique à 200 °C par le biais d’une extrudeuse et dépose une par une les couches de plastique sur une plateforme. Le plastique chauffé se durcit afin de former l’objet imaginé par l’imprimante. La tête d’impression se déplace en fonction des coordonnées transmises par le fichier 3D correspondant au modèle 3D de l’objet à imprimer. Grâce à l’évolution, cette imprimante ne se limite plus à du plastique. Elle peut supporter les filaments composites à base de métal, de fibres de carbone et de bois. À part la société Stratasys qui l’a inventé, la fabrication par dépôt de fil fondu est aussi adoptée dans la médecine, les aliments agroalimentaires.
Il y a 4 ans et 110 jours

Action coeur de ville : "des résultats encourageants et qui obligent"

Le Programme Action coeur de ville présente un premier bilan à mi-parcours de son action, sous la forme d'une publication. Retour sur les principales avancées et sur les perspectives annoncées, alors que la crise amplifie les attentes.
Il y a 4 ans et 111 jours

Château médiéval disparu et jeu de paume à Villers-Cotterêts

Destiné à accueillir la future Cité internationale de la langue française, le château de Villers-Cotterêts fait l’objet depuis 2019 d’un chantier de restauration d’envergure. Au cours de l’été 2020, une première fouille menée par les archéologues de l’Inrap et du service archéologique de l’Aisne a porté sur les abords du logis royal et la cour du jeu de paume. Une deuxième fouille se déploie actuellement dans la Cour des Offices, sur une surface de 3700 m². Une des principales problématiques des archéologues concerne le château médiéval, arasé au début du XVIe siècle, dont ni le plan, ni l’évolution au cours du Moyen Âge ne sont documentés par des archives. Les fouilles archéologiques menées entre mai et août 2020 ont permis de reconstituer en grande partie son plan. Les archéologues ont ainsi montré que le logis Renaissance prenait appui à son arrière (nord) sur la semelle du château médiéval et qu’il a été construit avec les pierres retaillées de ce dernier. Ils ont également mis au jour les vestiges d’une tour carrée, un grand fossé défensif (large de 13-14 m et profond de 6,5 m) ainsi qu’un réseau de canalisations. Un autre grand fossé protégeait la basse-cour médiévale. Les archéologues y ont mis au jour de nombreuses fosses, un puisard et des latrines mais aussi, au centre, un grand bâtiment. De plan rectangulaire, long de 18 m et large de 5 m, il comprend au moins trois pièces. Il est daté de la fin du Moyen Âge mais sa fonction reste pour l’instant inconnue. À Villers-Cotterêts, François Ier érige une demeure royale au cœur du Valois et de la forêt giboyeuse de Retz, dans le cadre d’un vaste programme de construction de châteaux royaux. Afin d’ériger les deux grandes ailes des Offices, le fossé sud de la basse-cour est comblé et le grand bâtiment est arasé. La fouille a remis au jour les murets soutenant des galeries connues par des plans et gravures des XVIe et XVIIe siècles et situées le long des murs des Offices. Les archéologues ont également exhumé une canalisation en terre cuite glaçurée participant du système d’adduction d’eau et qui, venant de la forêt, alimentait le château, les fontaines et son fossé sec. La fontaine apparaît sur les plans anciens mais il n’en reste plus que le socle et la cuve centrale. La cour de l’ancien logis de François Ier accueillait un jeu de paume, connu grâce au plan réalisé par Jacques Androuet du Cerceau vers 1570. L’âge d’or de ce jeu de balle, très prisé par François Ier et par la Cour, s’étend de la fin du XVe au premier tiers du XVIIe siècle. Celui de Villers-Cotterêts est ceinturé par les façades de la cour centrale, bordées de galeries. Les rebonds spectaculaires des esteufs (balles) sur ces parois, exigeaient de la part des participants une grande dextérité qui « épate la galerie ». Les archéologues ont mis au jour le radier de pierre, initialement couvert par un dallage de terre cuite que l’on appelle le « carreau » (d’où l’expression « rester sur le carreau »). Au centre de la façade est, le mur présente un biseau, nommé tambour, qui permet de surprendre l’adversaire en produisant des rebonds aléatoires. Parmi les cinq jeux de paume ayant fait l’objet d’une fouille archéologique en France, celui de Villers-Cotterêts est le plus ancien. Il appartient à une époque où les règles et l’architecture du jeu commencent à se fixer. Les trois jeux de paume précédemment mis au jour par l’Inrap à Versailles (celui de Louis XIII), Marseille et Rennes datent du XVIIe et XVIIIe siècles. Aménagement : Centre des Monuments Nationaux Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Hauts-de-France) Recherche archéologique : Inrap/service archéologique de l’Aisne Responsables scientifiques : Bénédicte Guillot, Inrap ; Thierry Galmiche (département de l’Aisne) Responsable scientifique jeu de paume : Aurélie Raffin, Inrap Photo : Fosse latrine rectangulaire construite en pierres de taille. Le conduit d’alimentation est creusé dans le contrefort (front nord). M. Poux, Inrap  
Il y a 4 ans et 111 jours

Une microexposition en vitrine au pavillon de l’Arsenal, à Paris

«Studiolo», c’est le nom donné par le pavillon de l’Arsenal, le centre d'urbanisme et d'architecture de la ville de Paris, à son nouveau programme de microexpositions visibles depuis le boulevard Morland (IVe arr.), en attendant que ses portes rouvrent au public. Jusqu’au 14 mars 2021 on y découvre le projet «Ceci n’est […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 112 jours

Xavier Niel va financer une école gratuite d'agriculture

L'objectif de cette école, qui verra le jour dans la commune de Lévis-Saint-Nom, est de former "un public adulte en reconversion professionnelle afin d'être salarié agricole ou repreneur" d'exploitation, a précisé la source."Il y aura tout un écosystème sur place, de startup, d'espaces partenaires, d'espaces d'expérimentation", a-t-elle ajouté, précisant que 2.000 personnes seront formées chaque année au sein de cette école baptisée "Hectar".Le magazine Capital a affirmé mercredi que le milliardaire - qui a déjà lancé l'école 42, une formation gratuite en informatique - sera associé à Audrey Bourolleau, ancienne conseillère agriculture d'Emmanuel Macron à l'Elysée."L'établissement sera semble-t-il opéré par une société créée pour l'occasion, S4H, au capital de 100.000 euros, détenue à 51% par Audrey Bourolleau et à 49% par NJJ Exclusive, la société personnelle de Xavier Niel", a détaillé le magazine.Avec une surface qui dépasse les 600 hectares, l'école comportera une cantine de 200 places, des cultures certifiées bio ou encore une laiterie qui produira du lait et du fromage.
Il y a 4 ans et 112 jours

Bilan et perspectives FEEBAT : un engagement affirmé au service de la formation à la rénovation énergétique

1 – Objectif formations initialesLes importants travaux conduits en 2020 vont déboucher en 2021 sur la conception de parcours de formation de grande envergure, destinés aux enseignants des lycées, formateurs des CFA et enseignants-chercheurs des ENSAP*.Les enjeux de la formation initiale à la rénovation énergétique, toutes voies confondues (scolaire, apprentissage, etc.), sont cruciaux. Bien former les enseignants et formateurs et leur donner tous les moyens de transmettre, à leur tour, aux futurs professionnels du bâtiment et de l'architecture sont des objectifs majeurs pour FEEBAT. Le défi est de taille car il s'agit de créer des formations ex nihilo. Depuis 2018, FEEBAT travaille à l'élaboration de ces nouveaux programmes de formation. Deux années de travaux collégiaux, menés avec des experts métiers, pédagogiques, techniques, les ministères et partenaires concernés, etc. ont permis de lancer deux consultations. En ligne de mire : la construction en 2021 des premiers dispositifs de formation pour les enseignants des lycées, formateurs des CFA et enseignants-chercheurs des ENSAP ; la conception des ressources pédagogiques qu'ils pourront utiliser auprès de leurs élèves, apprentis ou étudiants. À titre d'exemple :Plus de 140 formations concernées par FEEBAT ont été identifiées pour les lycées et CFA. Un groupe de travail a réfléchi à la prise en compte de la rénovation énergétique dans les examens des niveaux CAP, Bac professionnel et BTS ;Quant à l'enseignement de l'architecture, la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot-Narquin, déclarait il y a quelques semaines qu'il devait s'adapter, notamment aux implications de la transition énergétique**. Le programme FEEBAT répond parfaitement à ces attentes. Les formations, qui intègrent l'écosystème des ENSAP, seront déterminantes pour que les futurs architectes conçoivent ou réhabilitent des édifices intégrant les exigences de la transition énergétique.2 – De nouveaux modules innovants pour les professionnels en activité2020 aura été une année de fortes innovations pour la formation à la rénovation énergétique, avec AUDIT Reno pour les entreprises et les artisans, et DynaMOEpour les architectes et maîtres d'œuvre. Conçus dans un souci de qualité pédagogique et de modalités adaptées au contexte actuel, ces modules sont disponibles sous plusieurs formats, mixant présentiel et distanciel ou 100% distanciel.« Toutes les modalités (classes virtuelles, jeux de rôle, quizz, travail individuel et débriefing collectif, échanges entre apprenants et formateur, etc.) sont mobilisées pour favoriser une pédagogie active, adaptée au distanciel » selon Catherine Gillet, pilote de FEEBAT. Organismes de formation et formateurs ont par ailleurs bénéficié d'un accompagnement renforcé : mise à disposition de ressources pédagogiques, sessions d'appropriation, jurys de formateurs, etc. et continuent d'être animés par le programme FEEBAT. Pour 2021, FEEBAT travaille sur d'autres modules de ce type parmi lesquels des formations pour les entreprises et artisans en Outre-Mer et un module pour les architectes portant sur l'audit énergétique en copropriété, là où l'audit n'est pas obligatoire.3 – L'atout FEEBAT : la prise en charge des formationsMalgré le contexte sanitaire, ce sont plus de 3 000 stagiaires (chiffre non définitif) qui auront vu leur formation prise en charge en 2020 par FEEBAT dans le cadre du dispositif des CEE. Depuis 2020, en partenariat avec Qualit’EnR, FEEBAT accompagne aussi financièrement la formation des professionnels aux Énergies Renouvelables thermiques (EnR). Alors qu’aujourd’hui, seul un stagiaire sur cinq bénéficie du co-financement possible de sa formation par le programme FEEBAT, cette nouvelle incitation pour les EnR vient renforcer celles déjà en vigueur pour les modules FEEBAT hors EnR. La prise en charge, complémentaire aux conditions en vigueur au sein des OPCO et FAF, s’élève ainsi à : 30% pour les professionnels cotisant à Constructys et au FAFCEA ;50% pour les professionnels libéraux cotisant au FIF PL.En savoir plus : https://www.feebat.org/aides/financer-ma-formation/* École Nationale Supérieure d’Architecture et de Paysage** Le 15 janvier 2021, la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot-Narquin, a indiqué que « l’enseignement de l’architecture dans sa formation initiale doit également s’adapter aux évolutions de la société et aux besoins de la profession ». Les architectes doivent « être encore mieux préparés à l’exercice concret de leur métier en particulier pour ce qui relève des implications de la transition énergétique. L’intégration de ces nouveaux enseignements devra bien sûr être pensé dans une vision globale de l’évolution de la pédagogie en école d’architecture ».
Il y a 4 ans et 112 jours

Digital Timesheets : le pointage digital pour le BTP par Traxxeo

Efficacité au bureau, facilité sur les chantiersLorsque vous choisissez une solution digitale, il est important de penser utilisateurs. Dans le BTP, il est essentiel que l'application soit à la fois performante, et bien adoptée sur le terrain. L'application mobile Digital Timesheets répond à la fois au besoin des travailleurs dans les bureaux et sur les chantiers.Voici une liste d'éléments clés pour une application de pointage sur chantier :Disponible sur tous les appareils & systèmes d'exploitation (iOS, Android, Windows)Fonctionnement hors-ligne Facile d'utilisation sur le terrainSuivi en temps réel depuis le bureauVues multiples : chef de chantier, compagnon, conducteur de travaux, RH, etc.Précision des données : aide à l'encodage, ergonomie, saisie unique, processus de validation, alertes, etc.Règles et paramétrages personnalisables : codes chantiers, statuts travailleurs, etc.Intégration et communication bidirectionnelle : ERP, logiciel paie, SIRH, etc.Ce qu'ils en disentUne des forces de la solution Digital Timesheets de Traxxeo, c'est sa grande adoption par les travailleurs. « La tablette ? Vous ne me l'enlèverez pas ! » assure Eric Le Naon, conducteur de chantier chez Eiffage Perrard. Dans les bureaux, Enza Da Silva, la responsable RH, témoigne de l'efficacité du nouveau processus de pointage : « Le logiciel nous permet de voir - en temps réel - toutes les anomalies ». Pourquoi une telle adoption ? La solution Digital Timesheets a été développée pour répondre aux nombreuses problématiques vécues sur le terrain et au siège social :Fini les tâches administratives chronophages sur le terrain,Fini les erreurs et les multiples ré-encodages pour les ressources humaines,Accès à une vue d'ensemble de la répartition des coûts par poste et par personne, pour la finance.Sa facilité de mise en œuvre en fait une solution digitale vite adoptée et un investissement rapidement rentabilisé.Vous souhaitez passer au pointage digital ? Contactez Traxxeo au +33 7 87 18 72 59
Il y a 4 ans et 112 jours

La délicatesse de l'hospitalité, 30 habitation de transition à Stains par OBOH

«Studiolo», c’est le nom donné par le pavillon de l’Arsenal, le centre d'urbanisme et d'architecture de la ville de Paris, à son nouveau programme de microexpositions visibles depuis le boulevard Morland (IVe arr.), en attendant que ses portes rouvrent au public. Jusqu’au 14 mars 2021 on y découvre le projet «Ceci n’est […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 113 jours

L’ESITC Caen dévoile son nouveau bachelor

ESITC Caen annonce l’ouverture de son second bachelor intitulé “Construction” [©ESITC] Le premier bachelor “Projeteur BIM” de l’ESITC Caen a vu le jour il y a maintenant un an. Aujourd’hui, l’école annonce l’ouverture d’un second bachelor intitulé “Construction”, prévue pour la rentrée 2021. Ce nouveau diplôme répond aux attentes du secteur de la construction. Il permet d’obtenir une licence et est reconnu par le Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche. Le programme a été conçu pour développer les compétences techniques des étudiants, en lien avec le BTP. La formation se déroule en trois années avec des matières professionnalisantes. Les deux premières années apportent une connaissance générale. Lors de la troisième année, les étudiants sont amenés à choisir des options et des spécialisations. Celles-ci donneront aux élèves une expertise professionnelle ciblée sur des métiers en développement. Les étudiants seront aussi sensibilisés à l’aspect environnemental et à l’éco-responsable.  Les modalités d’inscription D’ici 2025, le secteur du BTP recrutera pas moins de 14 000 jeunes. En effet, les entreprises recherchent des collaborateurs avec des connaissances accrues. Et maîtrisant les dimensions environnementales, qui permettront de gérer des projets d’envergure. Les jeunes ainsi formés ressortiront avec un profil d’ingénieur. Ils seront capables de s’adapter aux changements liés à la construction durable, au déploiement des techniques de BIM et à la transition numérique.  Le recrutement se fait grâce à la plate-forme Parcoursup. L’accès à ce cursus est possible en première année et 50 places sont disponibles pour cette formation. Il est aussi possible d’intégrer la formation en 3eannée, lors de la spécialisation. Tout se fait sur dossier et entretien de motivation, via la plate-forme Avenir Bachelors. Pour plus d’information, visitez le site de l’ESITC.
Il y a 4 ans et 113 jours

Rockwool rénove le Lycée de l'image et du son d'Angoulême avec Rockfaçade et Ecorock

Le bâtiment fait encore partie des quatre secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre en France et est responsable de 18% des émissions territoriales et de 40% de la consommation finale d’énergie. C’est pourquoi, dans le cadre du plan de relance, le gouvernement va consacrer 2,7 milliards d’euros à la rénovation énergétique du patrimoine de l’Etat. Il est ainsi prévu, d’ici à 2023, de rénover plus de 4.200 bâtiments publics qui devront répondre à deux critères essentiels : leur performance énergétique et la capacité de mise en œuvre rapide du projet.Parmi ces chantiers, les produits de la gamme Ecorock Duo et Rockfaçade de ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche, ont été utilisés pour les travaux de rénovation énergétique du Lycée de l'Image et du Son d'Angoulême LISA, débutés en janvier 2020.Comme l’explique Franck Porcel, directeur de GEO Environnement : « La particularité du chantier LISA consistait à réaliser un ITE sur 10.000 m² de murs faïencés, nous devions préalablement faire sauter 3000 ml de listel, traiter des façades arrondies sur des satellites, composer avec des façades truffées de colonnes Gréco-Romaines et sur un lycée en site occupé. »Plus de 10.000 m² d’isolation sous enduit de la gamme Ecorock Duo et 3.500 m² d’isolation en bardage ventilée de la gamme Rockfaçade ont ainsi été utilisés pour l’enveloppe du bâtiment.« Compte tenu de la famille dans le classement feux pour des établissements recevant du public, dans le cadre d’un ITE seule la laine de roche peut répondre aux exigences sécurité incendie » explique Franck Porcel.Le traitement des façades, de l'obélisque et de l'arche est accompagné d'une amélioration énergétique grâce au remplacement de toutes les huisseries et à la pose de châssis double vitrage pour une économie thermique attendue de l'ordre de 40%.ROCKWOOL a également mis à disposition son programme de recyclage des déchets de chantier Rockcycle, afin d’accompagner la région Nouvelle Aquitaine dans sa démarche Développement Durable.« Nous valorisons nos mémoires techniques en mettant en avant le Rockcycle dans la majorité des appels d’offres publics sur lesquels nous répondons. Ce sont des points supplémentaires qui font parfois la différence sur les notes techniques en raison de la simplicité de la mise en œuvre du service Rockcycle et son côté écologique (...) Au final, le procédé mis en place est plutôt simple. C’est pour nous un retour très positif au regard de nos donneurs d’ordres, vis-à-vis de notre philosophie d’entreprise et cela ne nous complique pas plus la tache une fois le mode de fonctionnement intégré par nos équipes. » détaille Franck Porcel ITE : Ecorock, RockfaçadeMaître d’ouvrage : Région Nouvelle AquitaineMaitrise d’œuvre : ALTEREAEntreprise générale : Eiffage Construction Poitou CharenteArchitecte : SIGN ArchitectureBureau d’étude : ILAOEntreprises : Géo Environnement et SILVEA (revêtements extérieurs), GREGOIRE et MERCIER VAUNAC (menuiseries extérieures), REVET ISOL 24 (étanchéité)
Il y a 4 ans et 116 jours

La construction de logements a marqué le pas entre novembre et janvier

Sur les trois derniers mois, le nombre de permis de construire a certes augmenté de 9,6% par rapport aux trois mois précédents, mais après la "progression régulière" de juillet à novembre 2020, les autorisations se sont repliées en décembre pour finalement se "stabiliser" en janvier, selon le ministère de la Cohésion des Territoires.Sur cette même période de novembre 2020 à janvier 2021, "le nombre de logements autorisés est resté inférieur de 10,6 % à la moyenne des trois mois précédant le premier confinement", entre décembre 2019 à février 2020.En chiffres absolus, 377.600 logements ont été autorisés à la construction au cours des douze derniers mois, soit 73.500 de moins qu'au cours des douze mois précédents.Cette baisse vaut aussi pour les mises en chantier. Elles sont estimées en repli de 11,2 % par rapport à la période qui va d'août à octobre 2020. "On estime que 344.900 logements ont été mis en chantier, soit 44.000 de moins (-11,3 %) que pendant les douze mois précédents", explique le ministère.Si l'on regarde dans le détail, ce sont surtout les autorisations et les mises en chantier d'immeubles qui s'effritent. Entre novembre et janvier, le nombre de permis de construire a chuté de 21,5% et les mises en chantier de 15,9%.Du côté des des maisons, la tendance est plus contrastée sur la même période: +2,8% de permis de construire pour les logements individuels dits purs et -14,4% pour les logements groupés, c'est-à-dire intégrés à un programme immobilier plus large. Sur le front des mises en chantiers, les chiffres sont uniformément en baisse: -5,6% et -12,5% respectivement.
Il y a 4 ans et 116 jours

Podcast #5 – Francis Bouygues, l’épopée du “Roi du béton”

ACPresse – Francis Bouygues – Raconté par Muriel Carbonnet ACPresse · Podcast #5 – Francis Bouygues Francis Bouygues naît en 1922 à Paris. Son père est ingénieur de l’armement, puis, ingénieur conseil. Le jeune Francis suit ses traces et sort diplômé de l’Ecole centrale de Paris (1946). Après un passage rapide dans une entreprise de travaux d’entretien, puis chez Dumont et Besson, l’une des entreprises les plus prestigieuses de Paris, il fonde à 29 ans l’Entreprise Francis Bouygues avec des capitaux familiaux. Et, en 1953, la société décroche son premier gros contrat : la construction des bureaux d’IBM Europe à la Défense.  L’entrepreneur investit le marché immobilier privé et impose une méthode originale : acquérir un terrain, emprunter des fonds et faire financer les travaux par les acquéreurs, avant même la construction des fondations.  En 1959, pour soutenir le développement de son entreprise, Francis Bouygues s’associe à René Augereau qui lui apporte un important soutien financier. Des filiales régionales apparaissent. Pour valoriser et fidéliser la main d’œuvre, Francis crée l’ordre des Compagnons du Minorange. On est en 1963. L’innovation qui paie Le Parc des Princes a été livré au début des années 70. [©Bouygues Construction] Francis a toujours misé sur l’innovation. Un bureau d’études, un bureau des méthodes et une filiale spécialisée dans la préfabrication, entre autres, permettent à l’entreprise de se démarquer de la concurrence. En 1967, l’arrivé de Pierre Richard en tant que directeur scientifique permet à l’entreprise de combler son retard dans le domaine du béton précontraint.  Bouygues introduit de nouvelles méthodes de management, se dote d’une organisation hiérarchique, recourt aux nouvelles techniques de planification et adopte, dès 1972, l’informatique. Le développement de l’entreprise nécessite d’importants investissements. La décision d’une introduction en bourse est prise en juin 1970. Bouygues devient SA et augmente ses activités de génie civil avec, en particulier, la construction du Parc des Princes.  L’année 1972 marque le début de l’activité internationale. C’est aussi l’année de la création du logo Bouygues. En 1974, c’est Bouygues Off-Shore qui voit le jour. Malgré cette croissance fulgurante, Francis Bouygues garde une forte emprise sur le groupe. Atteint d’un cancer en 1976, il doit se retirer de l’entreprise pour quatorze mois. En 1978, Bouygues assure la construction du terminal II de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle.  Construction du Pont de l’Ile de Ré. [©Bouygues Construction] TF1 et la Leçon de piano Dans les années 80, le développement du groupe est assuré par la croissance externe et la diversification. Francis se renforce dans l’immobilier et se positionne sur le marché de l’ingénierie conseil, via le rachat de l’Américain HDR. Il fait l’acquisition de plusieurs sociétés : Saur, ETDE, Screg, Colas et Sacer, Dragages, Smac Acieroïd. Bouygues devient n° 1 mondial de la construction.  A partir de 1985, le groupe se diversifie à travers une nouvelle filiale : Bouygues Loisirs. Le point d’orgue est évidemment la reprise de TF1 en 1987. En parallèle, Bouygues marque les esprits avec la construction du Pont de l’Ile de Ré, de la Grande Arche de la Défense ou du Tunnel sous la Manche.  Travaux de construction de la Grande Arche de la Défense. [©Bouygues Construction] En 1989, Francis se retire du groupe et passe la main à son fils Martin, tout en restant l’administrateur. Le groupe réalise alors 57 MdF (8,7 M€) de chiffre d’affaires et emploie presque 70 000 personnes. L’année suivante, l’homme s’engage dans la production de longs métrages, à travers Ciby 2000. Il produit Une époque formidable, Talons aiguilles, ou encore La leçon de piano qui a remporté la Palme d’Or du Festival de Cannes en 1993 et trois Oscars l’année suivante.  Francis Bouygues disparaît au cours de l’été 1993. [Source : Service communication de Bouygues Construction et “Francis Bouygues. L’ascension d’un entrepreneur”, de D. Barjot, Revue d’histoire, 1992.]
Il y a 4 ans et 116 jours

Voies navigables de France annonce un investissement de 300 millions d'euros pour développer le trafic fluvial

"La capacité de financement des investissements de VNF est portée à 300 millions d'euros pour 2021, mais aussi 2022, accélérant l'augmentation du programme d'investissement de ces dernières années", indique dans un communiqué l'établissement public qui gère la majeure partie du réseau fluvial français et bénéficie de crédits issus du plan de relance gouvernemental.Le budget dédié aux investissements était de 170 millions d'euros en 2019 et de près de 220 millions en 2020, précise VNF.Le principal exploitant du trafic fluvial note que 2020 a été "marquée par une série de réalisations majeures pour l'établissement, visant à favoriser le développement de la logistique fluviale".Une grosse partie du budget a été engagée "sur la partie française de la liaison européenne Seine Escaut, qui connectera à grand gabarit le bassin de la Seine avec le réseau fluvial de l'Europe du Nord, et favorisera le développement économique des territoires". En jeu en particulier: des modernisations d'écluses et de barrages.Cette année, "de nouveaux projets vont être lancés (...) pour continuer à soutenir le développement et la régénération du réseau fluvial" : rénovation d'écluses, reconstruction ou confortement de barrages..."Il est important de rappeler que ce mode de transport bas carbone concourt directement, de par ses très fortes capacités de chargement, à lutter contre le réchauffement climatique, qui est un objectif plus que prioritaire", souligne le directeur général de VNF Thierry Guimbaud, cité dans le communiqué.
Il y a 4 ans et 116 jours

Le Mondial du Bâtiment se réinvente pour son édition de 2022

L’édition 2022 du Mondial du Bâtiment marquera le grand retour de l’évènement à Paris, au Parc des expositions de la porte de Versailles. [©ACPresse] Faire table rase du passé pour revenir aux fondamentaux, tout en s’inscrivant dans les tendances actuelles et à venir. C’est exactement ce qu’est en train de faire Reed Expositions France, l’organisateur du Mondial du Bâtiment. Et d’annoncer la tenue de l’évènement, non plus cette année, mais du 3 au 6 octobre 2022. Avec une grande nouvelle : « Le Mondial du Bâtiment revient au Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris », annonce Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Et de poursuivre : « Ce retour est plébiscité, puisque 93,6 % des exposants et 97,9 % des visiteurs ont exprimé leur intention de participer à la prochaine édition ».  Le rendez-vous qui réunit les salons Batimat, Idéobain et Interclima s’inscrira donc dans un Parc des expositions rénové. La première nouveauté pour les exposants est le format même des stands : limité à 99 m2 par société. Toutefois, il y aura possibilité d’intégrer un étage…  Des stands de 9 à 99 m2 Dans le détail, les surfaces proposées débuteront à 9 m2, pour échelonner par multiple de 9 : 18 m2, 36 m2, 54 m2 et 99 m2. Autre évolution, les exposants pourront choisir leur emplacement dès l’inscription. Premier arrivé, premier servi… Cette approche globale permet de rendre sa présence sur le salon plus économique. Car un stand plus petit ou limité en taille génère un moindre coût. D’autant plus que la durée de l’évènement ne sera plus que de 4 j. « Nous répondons à la demande des exposants de simplifier la préparation des salons. Tout en améliorant les flux logistiques autour de la porte de Versailles », reprend Guillaume Loizeaud. Octobre 2022 : la date est encore bien lointaine. Aussi, pour animer la communauté des professionnels exposants dès maintenant, le Mondial du Bâtiment a choisi de mettre en place des salons “augmentés”. Ceci, à travers un blog qui complétera les sites Internet dédiés aux salons physiques. Les professionnels pourront y entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations. Il y aura aussi à leur disposition des fiches produits, un annuaire des fournisseurs. Mais aussi des show-rooms virtuels, des vidéos de démonstrations ou des contenus sur les métiers. « Ce blog sera mis en service dès le mois de mai 2021. » Des matinales sur Batiradio « Nous venons de faire le choix de nous engager sur des ambitions prioritaires pour faire du rendez-vous de 2022 une édition exemplaire », affirme Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. [©Reed Expositions France] Toujours en amont des salons physiques, et en parallèle du blog, sont initiés “Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment. Et ce, sous la forme d’une matinale diffusée sur Batiradio. Mais aussi disponible en podcasts et en vidéos. « Ces rendez-vous décrypteront les grandes tendances de la construction pour favoriser les échanges entre les professionnels face aux enjeux du secteur », explique Guillaume Loizeaud. Les matinales sont programmées chaque premier vendredi du mois. Et doivent débuter le 2 avril 2021, entre 9 h 00 et 12 h 30. Toutes s’organiseront de la même matière. A savoir, le Rendez-vous France Relance, le Grand dossier du Mondial du Bâtiment, la Rénovation énergétique dans les territoires. Mais aussi, le Décryptage RE 2020, les Métiers, la Construction 4.0, les Tendances et le Design.  Pour l’année 2021, les thématiques du Grand dossier sont déjà en place. Le 2 avril, les débatteurs tenteront de répondre à la question : “En quoi la RE 2020 va-t-elle permettre de construire durable ?” Et au fil des mois, d’autres sujets seront égrenés [lire encadré]. Pour 2022, en revanche, le programme n’est pas encore déterminé. Mais une fois connu, il permettra de tenir jusqu’aux salons physiques. Ceux-ci occuperont six pavillons du Parc de la porte de Versailles, soit quelque 140 000 m2 d’expositions.  Batimat se déploiera sur 4 halls Batimat sera le mastodonte de l’évènement. Le pavillon 1 sera celui du gros œuvre, de la structure et de l’enveloppe. Les thèmes fédérateurs mis en avant par les exposants devraient être ceux du climat et de l’environnement. Construction Tech, le rendez-vous de l’innovation, des start-up et des “smart technologies”, et Interior&Garden, autrement dit les aménagements intérieurs et extérieurs, seront les deux autres points d’entrée de ce hall. Le matériel de chantier et l’outillage retrouveront le pavillon 4. Quant aux pavillons 5 et 6, ils concentreront les menuiseries et les fermetures. De son côté, Interclima, dédié aux équipements techniques pour le bâtiment, c’est au sein du pavillon 3 qu’il prendra ses quartiers. Avec l’entrée en application de la RE 2020, les sujets à balayer seront nombreux. Outre les enseignements de la nouvelle réglementation, les énergies renouvelables, la rénovation des bâtiments tertiaires. Ou encore la qualité de l’air intérieur seront des thèmes omniprésents dans les allées. Tout comme l’amélioration des logements et les solutions éco-responsables de confort d’été.  Réduire l’empreinte carbone du salon Le Mondial du Bâtiment occupera 6 halls du Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. [©Reed Expositions France] La préservation de l’environnement et la réduction de l’empreinte carbone constitueront donc un véritable leitmotiv pour les exposants comme pour les visiteurs. Et qu’en sera-t-il de l’organisateur lui-même ? Les cordonniers sont-ils les plus mal chaussés ? Ou bien, charité bien ordonnée commence par soi-même ? Reed Expositions France semble préférer le second dicton populaire. « Notre retour à la porte de Versailles et les nouvelles attentes du public sont l’occasion de lancer une démarche d’amélioration sur les sujets fondamentaux du RSE. Aussi, nous venons de faire le choix de nous engager sur quatre ambitions prioritaires pour faire du rendez-vous de 2022 une édition exemplaire », affirme Guillaume Loizeaud. Ainsi, l’organisateur s’engage, dès maintenant, à réduire son empreinte carbone. Du moins à la mesurer, tout en mettant des actions concrètes pour entamer cette démarche. Au programme : optimisation des process logistiques, accès au site privilégiant les mobilités écologique. Mais aussi éco-conception des aménagements, des zones communes et des stands. Un salon éco-responsable Reed Expositions France améliorera aussi la gestion des déchet. Avec, pour ambition, de les réduire d’au moins 10 % dès l’édition 2022. Par ailleurs, il souhaite accroître la circularité des matériaux utilisés, tout en améliorant le dispositif de tri. Ceci sera accompagné d’achats responsables qui privilégieront les produits, et des services éco-conçus et respectueux de l’environnement. Ou qui seront réalisés auprès du secteur du travail protégé et adapté (STPA). Enfin, la restauration sur place n’est pas oubliée. Là, Reed Expositions France veut mettre en place une offre limitant le gaspillage, gérant mieux les surplus et valorisant les bio-déchets. A la vue de toutes ces explications, l’édition 2022 du Mondial du Bâtiment semble née sous une bonne étoile. Et, à bien y réfléchir, l’organisateur pourrait même réussir à transformer tout le désarroi amené par la crise de la Covid-19 en quelque chose de positif !  Frédéric Gluzicki