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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Informatique

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Il y a 4 ans et 116 jours

Brise-soleil verticaux pour une école élémentaire

Implanté sur la ville de Fâches-Thumesnil (59), le programme de réhabilitation de l’école élémentaire Kléber, rénovée entre 2018 et 2020, a consisté à renforcer l’isolation thermique du bâtiment, à réaménager ses abords et sa cour de récréation. S’agissant de la façade de l’école, l’atelier d’architecture Charles RENARD (59), en charge du projet, a pris le parti de l’agrémenter de brise-soleil à lames orientables de la gamme Recti’Ligne de TELLIER BRISE-SOLEIL. Le rôle premier des lames est de rendre un bâtiment plus confortable. Une étude de la course solaire a été déterminante pour utiliser les bienfaits du soleil tout en préservant le bâtiment des fortes chaleurs et ses occupants de l’éblouissement. Les brise-soleil à lames debout installés sur la façade de l’école Kleber permettent de bloquer les rayons du soleil lorsqu’ils sont bas dans l’horizon, ils assurent ainsi le confort d’été souhaité. Cette solution de rafraîchissement passif offre de nombreux avantages (écologiques, esthétiques et économiques) tout en répondant aux besoins des usagers en matière de protection. Grâce à la simplicité de rotation des lames pilotées à l’aide de vérins motorisées, les occupants de l’école peuvent moduler l’ombrage et régler les apports de lumière naturelle. Selon la période de l’année ou le moment de la journée, ils bénéficient ainsi continuellement d’un éclairage optimal. Ils peuvent également assurer une occultation totale en position fermée.  Composées de lames de section 350 x 50 cm, de barres de manœuvre et de montants tubulaires, les brise-soleil Recti’Ligne ont été entièrement usinés dans les ateliers de TELLIER BRISE-SOLEIL à Chemillé-en-Anjou (49). Toutes les pièces nécessaires à leur fonctionnement ont été assemblées en usine, y compris les kits de rotation placés aux extrémités des lames.  Le système de montage “en prêt-à-poser” a permis aux installateurs de gagner du temps et de faciliter la pose sur le chantier de l’école Kléber, en seulement 2 semaines.  Maîtrise d’ouvrage : Ville de FACHES-THUMESNIL (59) Maîtrise d’œuvre & Crédits photos : Atelier Charles RENARD – Architecte ROUBAIX (59) Entreprise de pose : Ecolopo (59) 
Il y a 4 ans et 117 jours

CDVI enrichit son offre de contrôle d’accès haute sécurité ATRIUM KRYPTO avec Mobile-Pass KRYPTO, une solution de badges dématérialisés

Sur un marché du contrôle d’accès encore majoritairement dominé par les badges traditionnels, la technologie mobile gagne du terrain. Ainsi dans les prochaines années, 20% des entreprises devraient utiliser des smartphones contre 5% en 2016*. Fin 2020, CVDI lançait son système de contrôle d’accès hautement sécurisé ATRIUM KRYPTO pour répondre aux nouvelles exigences de lutte contre la cybercriminalité. Aujourd’hui, l’entreprise va encore plus loin et présente MobilePass KRYPTO, une solution de badges virtuels offrant le même niveau de sécurité que les méthodes type DESfire® EV2. Une solution de contrôle d’accès par smartphone hautement sécurisée Soucieux d’accompagner ses clients dans une transition en douceur vers la technologie mobile, CDVI a intégré, dès la conception de son système ATRIUM KRYPTO, un module BLE (Bluetooth Low Energy) dans ses lecteurs de badges K2 et K3 (avec digicode intégré) hautement sécurisés. Pour activer cette solution d’identification sur smartphone, il suffit au gestionnaire d’un établissement : d’acquérir une licence de 25 badges Mobile-PASS KRYPTO, d’attribuer des droits d’accès virtuels à un utilisateur au fur et à mesure des besoins via le logiciel de gestion, de lui envoyer à distance sur une plateforme ultra sécurisée. A réception, ce dernier récupère l’autorisation d’accès sur son smartphone qui devient un badge dématérialisé. En fonction de ses droits, il peut alors l’utiliser grâce à l’application mobile ATRIUM BT, téléchargeable gratuitement sur l’Apple Store ou Google Play et compatible avec les montres connectées. Dès lors, différents modes d’identification sont possibles pour déverrouiller une porte : par appui sur le bouton « ouvrir la porte » de l’application, par balayage du smartphone devant le lecteur, en mode automatique « mains libres » ou par reconnaissance vocale « ouvrir la porte ». La solution s’adapte aux contraintes de l’accès ! Intégrant le chiffrement AES de « bout en bout » issu de la technologie DESfire® EV2, les badges virtuels développés par CDVI apporte un degré de sécurisation élevé qui est renforcé par les codes/ schémas de déverrouillage dont dispose la majorité des smartphones. Outre l’avantage de pallier aux négligences du facteur humain qui reste la principale faille de sécurité dans un bâtiment (oubli ou prêt d’un badge, entrée en même temps qu’un collègue…), cette solution dématérialisée présente en plus un intérêt essentiel pour respecter les protocoles sanitaires en vigueur actuellement. En effet, la fonction comptage/décomptage du système ATRIUM KRYPTO associée au Mobile-PASS KRYPTO, qui détecte l’ouverture de porte même si des employés rentrent à plusieurs en même temps dans une pièce, permet une gestion contrôlée des flux sans risque de dépasser le nombre de personnes autorisées dans un même endroit. Souplesse de gestion et simplicité d’utilisation Plus flexible qu’un système de contrôle d’accès par badges traditionnels, Mobile-PASS KRYPTO de CDVI offre une gestion dynamique des droits. En toute simplicité, le gestionnaire d’un bâtiment peut, à distance et en temps réel : activer/désactiver des badges avec des droits d’accès spécifiques à chaque utilisateur, programmer des badges temporaires, avec autorisation d’entrée à des horaires définies, suivre instantanément des événements d’accès pour modifier ou révoquer les droits si nécessaire. Idéale pour les administrations publiques et les collectivités (centre sportif, salle des fêtes…), cette solution dématérialisée s’avère particulièrement adaptée aux espaces de coworking qui, tout en facilitant l’accès des visiteurs, doivent garantir la sécurité des lieux. Transformant n’importe quelle marque de smartphone en trousseau de clé virtuel et intelligent, Mobile-PASS KRYPTO représente également un véritable gain de temps pour les utilisateurs qui n’ont plus besoin d’être présents pour retirer leur badge. *source cabinet d’analyse américain Gartner
Il y a 4 ans et 117 jours

Important programme d'investissements et nouveau directeur général pour Isonat

ANNONCES. Christophe Rogier a été nommé directeur général d'Isonat, filiale d'Isover depuis 2016, spécialisée en isolants biosourcés. Un important programme d'investissements est notamment annoncé.
Il y a 4 ans et 117 jours

Première réunion du Conseil National de l’Hydrogène

La stratégie pour le développement d’un hydrogène décarboné place la France parmi les pays les plus en pointe sur cette technologieCette stratégie, qui a été annoncée par le gouvernement le 8 septembre 2020, prévoit 7 milliards d'euros de soutien public d'ici 2030, dont 2 milliards d'euros d'ici 2022, dans le cadre de France Relance et des Investissements d’Avenir.La supervision des travaux menés pour la mise en œuvre de cette stratégie est assurée par un coordonnateur, Hoang Bui, dont la nomination a été confirmée.Les co-présidents du CNH, Benoit Potier, président directeur général d’Air Liquide, et Patrick Koller, directeur général de Faurecia, ont présenté une analyse comparative des stratégies internationales sur l’hydrogène, se fondant notamment sur les travaux du Conseil mondial de l’hydrogène (Hydrogen Council).Il en ressort que la France est positionnée dans le peloton de tête des pays les plus avancés pour leur stratégie, aux côtés de l’Allemagne en Europe ou de la Chine, la Corée et le Japon en Asie. Les critères d’évaluation suivants ont été analysés : développement de la production de l’hydrogène renouvelable et bas carbone, définition d’objectifs clairs, dispositif de pilotage et de suivi de la stratégie, moyens financiers, adaptation des réglementations.Le lancement de la stratégie en septembre a engendré une forte dynamique industrielleLe Conseil national de l’hydrogène constate une forte dynamique industrielle qui est amenée à se poursuivre dans les prochains mois.Dans le cadre de France Relance, 27 projets de R&D et d’intégration de technologies hydrogène ont d’ores et déjà été soutenus, pour 212 M€ d’investissement total et 37 M€ de soutien public(2).A ces projets viennent s’ajouter 60 M€ de soutien à la filière aéronautique dans le cadre du CORAC (Comité d’orientation de la recherche pour l’aéronautique civile). Par ailleurs, début 2021, un soutien financier a été annoncé pour aider 4 régions (Occitanie, Bourgogne-Franche-Comté, Auvergne-Rhône-Alpes, Grand-Est) à acquérir 14 trains hydrogène représentant un investissement total de 300 M€.Dans le cadre de la première session de l’appel à projets « écosystèmes territoriaux » de l’ADEME, 7 projets, représentant un investissement de 136M€ et une demande d’aide de 45M€, ont été présélectionnés pour soutenir la production par électrolyse et la mobilité hydrogène. La deuxième session de cet appel à projets compte déjà plus de 47 nouvelles demandes ouvertes, pour une présélection en juin.De premiers éléments ont été présentés concernant les projets d’envergure qui pourraient bénéficier d’un accompagnement dans le cadre du PIIEC(3) en cours de construction au niveau européen, sous l’impulsion de la France et de l’Allemagne. Ces projets français représentent un montant total d’aide avoisinant les 8 Mds € et concernent la production d’électrolyseurs, la décarbonation de l’industrie lourde, la production des équipements pour la mobilité. Les projets retenus donneront lieu aux premiers versements d’aides dès la fin de l’année.Dans ce cadre France Hydrogène a dénombré 4 projets d’usines en France de fabrication d’électrolyseurs et a identifié des installations d’électrolyse projetées d’une puissance totale de 3,2 GW, soit d’ores et déjà près de 50% de l’objectif fixé par la stratégie nationale de disposer d’une capacité d’électrolyse sur notre territoire de 6,5 GW en 2030.Des projets innovants utilisant les technologies de l’hydrogène sont également en développement dans les systèmes électriques des zones non interconnectées en outre-mer, tel que le projet CEOG(4) de centrale photovoltaïque à puissance garantie avec stockage hydrogène. Les modalités de son soutien sont en cours d’étude.Les écosystèmes français affichent une bonne maîtrise des technologies clés et le CNH travaille à renforcer les compétences et la chaine de valeur françaiseLe Conseil national Hydrogène a établi une cartographie des technologies clés, en s’appuyant sur l’expertise de l’ensemble des comités stratégiques de filières concernés. Cette analyse montre que la France maîtrise ou disposera rapidement de toutes les technologies critiques nécessaires à sa souveraineté et permettant un passage rapide à l'échelle industrielle. Des thématiques prioritaires ont été identifiées pour faire l’objet de travaux complémentaires. Il s’agit par exemple des membranes, des compresseurs d’air pour piles à combustible et électrolyseurs, ou encore des procédés de décarbonation pour l’industrie sidérurgique et les cimenteries.Le Conseil national de l’Hydrogène a ainsi initié des travaux pour identifier des contributeurs, former des consortia et développer des technologies, équipements, applications et logiciels correspondant pour renforcer la chaine de valeur française.Afin de soutenir ces nouveaux projets de R&D, le Secrétariat général pour l'investissement a amélioré le dispositif d’aide « briques technologiques et démonstrateurs hydrogène » opéré par l’ADEME, en portant notamment la part de subvention dans les aides accordées à 60%, voire 75% sous certaines conditions.Les industriels du Conseil national de l’hydrogène s’engagent pour développer les formations au sein de la filièreLa dynamique de la filière hydrogène est porteuse de perspectives importantes d’emplois.France Hydrogène est ainsi en cours de finalisation d’un référentiel des compétences-métiers qui sera présenté fin mars et accessible par internet. Sur les 75 métiers identifiés, une quinzaine apparait déjà en tension. Pour y remédier, des initiatives dans le domaine de la formation professionnelle ont été évoquées lors de cette réunion, telles que « la Symbio Hydrogen Academy » portée par l’entreprise Symbio et ses actionnaires Faurecia et Michelin. Elle vise à former 300 personnes par an aux métiers de l’hydrogène dans la région lyonnaise.De la même manière, le groupe Air Liquide apporte son soutien aux initiatives telles que la « H2 Académie », qui est destinée notamment à former des étudiants en BTS à partir de septembre 2021 à Port-Jérôme, près du Havre.Le Conseil national de l’hydrogène se réunira régulièrement pour s’assurer de la bonne mise en œuvre de la stratégie hydrogèneLa prochaine réunion du Conseil national de l'hydrogène se tiendra d’ici l’été. Elle permettra de faire le point sur des thématiques d’intérêt commun telles que :les enjeux de réglementation et de normalisation spécifiques au domaine de l’hydrogène, via des groupes de travail associant les industriels pour construire un cadre réglementaire permettant le développement de la filière en toute sécuritéles projets et partenariats autour des technologies clefs qui font encore défaut à la filière françaisela mise en place de mécanismes de soutien à la production d’hydrogène renouvelable et décarbonéla question des infrastructures de transport et de distribution(1) Le rôle et la constitution du Conseil national de l’hydrogène avaient été précisés lors d’un communiqué de presse le 11 janvier 2021.(2) Les subventions proviennent des fonds de modernisation automobile et aéronautique, du soutien aux projets industriels dans les territoires, du Programme Investissements d’Avenir dans le cadre du Comité d’orientation de la recherche pour l’automobile et les mobilités (CORAM).(3) Projet Important d’Intérêt Européen Commun. Le dispositif, à l’instar de celui sur les batteries, autorise les Etats membres à financer les projets au-delà des limites habituellement fixées par la réglementation européenne lorsqu’il s’agit de soutenir des projets de grande ampleur qui apportent une contribution très importante à la croissance économique, à l’emploi et à la compétitivité de l’industrie et de l’économie de l’Union(4) Centrale Electrique de l’Ouest Guyanais
Il y a 4 ans et 118 jours

Liebherr investit avec la relance de l’Etat à Colmar

Le fabricant de pelles pour les travaux publics démarre la première partie d’un programme de modernisation de 6 millions d’euros sur quatre ans. L’aide du plan de relance lui a fait lever ses dernières hésitations.
Il y a 4 ans et 118 jours

Deux riches maisons romaines à décors remarquables à Nîmes

A Nîmes, une fouille préventive, réalisée par l’Inrap, a été prescrite par le service régional de l’archéologie (Drac Occitanie), dans le cadre du programme immobilier prévoyant une cinquantaine d’appartements mené par le groupe Cogedim (« Écrin des arts »). L’objectif de cette opération d’archéologie préventive qui s’est achevée le 12 février 2021, est de sauvegarder, par l’étude scientifique, les vestiges romains qui avaient été identifiés lors d’un diagnostic réalisé précédemment par l’Inrap. Le plan complet des domus dépasse les limites de la fouille et des parcelles du programme d’aménagement. Néanmoins, l’un de ces deux bâtiments se signale par la présence d’une pièce de réception reconnue dans sa presque totalité. Fait rare dans le contexte archéologique nîmois, les enduits peints ornant les parois de cette salle ont été découverts effondrés au sol. Les traces visibles au revers de ces enduits montrent qu’ils étaient initialement posés sur un édifice en terre et incisé en chevrons pour assurer leur bonne adhérence. Sur leur face peinte, ces enduits présentent un décor classique à grands panneaux rouges et inter-panneaux noirs accueillant des candélabres raffinés. Ce type de composition correspond à une mode très présente en Gaule romaine au Ier siècle de notre ère. Le béton de sol associé aux enduits peints présente un décor géométrique en nid d’abeille fait de tesselles noires. Dans le grand axe de la pièce, ce pavement comprend un tapis en opus sectile (« appareil découpé ») :  des plaquettes de plusieurs variétés de marbres provenant de différentes provinces de l’Empire sont découpées et assemblées de façon à constituer un dessin, ici un damier. Le choix du marbre pour enrichir le décor incite à attribuer cette domus à un notable de la cité antique de Nîmes. D’autres vestiges reflètent également le niveau de luxe, comme des pièces avec système de chauffage par le sol avec hypocauste et tuyaux de chaleur. Dans une des cours, se trouvait un bassin à abside semi-circulaire et revêtement de marbre blanc du type Carrare. La seconde cour était agrémentée de plantations, certaines étant représentées par des pots horticoles trouvés en place. Source : Inrap Photo : Tapis en opus sectile d’une pièce de réception d’une domus datée des Ier/IIe siècles de notre ère. B Houix, Inrap
Il y a 4 ans et 118 jours

Parrot choisi par la Direction Générale de l’Armement (DGA) pour la fourniture de micro-drones ANAFI USA

Parrot, le premier Groupe européen de micro-drones, a été choisi par la DGA pour fournir son micro-drone ANAFI USA en vue d’équiper les 3 armées françaises (Air, Mer et Terre), dans le cadre de son appel d'offre lancé en février dernier.Ce succès est le fruit de deux années de travail pour développer, sécuriser et produire un micro-drone spécifiquement conçu pour répondre aux besoins des forces armées. Le drone ANAFI USA, spécialement adapté pour les Forces armées du monde entier, offre aux soldats un micro-drone quadricoptère de 500 g disposant de capacités d’observation de jour et de nuit. Avec 32 minutes de vol, il détient la meilleure performance de sa catégorie. Le contrat-cadre d’une durée de 5 ans s’entend pour plusieurs centaines de systèmes de drones, des équipements complémentaires, le développement d'adaptations et la formation de pilotes référents. Les premiers systèmes seront livrés dans les prochains mois. ANAFI USA permet d’étendre les capacités de reconnaissance des forces françaises. Grâce à son puissant zoom 32x, articulé autour de deux caméras 4K 21 mégapixels, la détection de cibles de taille humaine est possible jusqu’à 2 km de distance avec une précision de 13 cm de détail. Les images du zoom sont fusionnées avec celles obtenues par la caméra thermique FLIR Boson. Cette dernière permet de repérer les points chauds de jour comme de nuit. Déployable en 55 secondes, il est également très discret : avec une signature sonore de 79 dB à une distance de 1 m, il est inaudible dès 130 m.Grâce aux partenariats de développement logiciels mis en œuvre par Parrot avec des acteurs à la pointe dans leurs domaines, les utilisateurs peuvent également bénéficier de l'écosystème grandissant de logiciels compatibles. Ceux-ci permettent par exemple de gérer des flottes de drones en temps réel (Skyward, A Verizon company, DroneSense), de générer des photos/vidéos visibles et thermiques (Survae) et des cartographies tactiques (Pix4Dreact). Des prestations de R&D sont également prévues pour adapter ANAFI USA aux besoins des armées françaises. ANAFI USA est une révolution pour les organisations de Défense, issu de l’expertise développée par Parrot dans le grand public. Celles-ci cherchent désormais à mettre rapidement à disposition de leurs Hommes des technologies récentes, à la performance éprouvée, à un coût maitrisé.La technologie de la plateforme ANAFI, basée sur la banque de composants de la téléphonie mobile, atteint un niveau de fiabilité renforcée par les centaines de milliers d’heures de vol des drones grand public. Les choix technologiques de ANAFI USA offrent un coût d’acquisition et des performances sans commune mesure avec ceux de produits traditionnellement développés pour les forces armées.ANAFI USA a aussi répondu aux exigences de la DGA en termes de sécurité. Sécurisation de la liaison, sécurisation des données, sécurisation du firmware : il répond aux normes de cybersécurité les plus exigeantes. Une signature numérique protège de tentatives de modification malveillante du logiciel du drone.Le drone permet d’enregistrer les données de la mission uniquement sur le segment sol, et non dans le vecteur aérien, puis de les extraire pour analyse, par connexion physique. Le drone dispose d’une connexion WPA2 sécurisée et de protocoles ouverts qui garantissent la confiance dans l’interopérabilité des données enregistrées pour des missions sensibles.ANAFI USA est entièrement développé en France et produit aux États-Unis. Aucun composant essentiel n’est produit en Chine. Le drone et son application de pilotage fonctionnent sans nécessiter d'accès à Internet.Les traitements de données sont soumis aux normes les plus strictes du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données). Toutes les données du drone sont entièrement sous la maîtrise de l’utilisateur. Lorsqu'elles sont partagées, les données sont stockées sur des serveurs sécurisés en Europe.L’application de pilotage FreeFlight 6 auditée par l’entreprise privée Bishop Fox mondialement réputée pour ses services de sécurité offensive, confirme également la sécurité offerte aux utilisateurs et la protection de leurs données.ANAFI USA a aussi été sélectionné par des organisations partenaires du gouvernement fédéral américain dans le cadre du projet Blue sUAS. Il s’agit du seul drone d’une entreprise non américaine à être commercialisé sur la plateforme d’achat de l’armée, des agences gouvernementales et des forces de sécurité américaine : le « GSA Schedule ». Il est déjà commandé et utilisé par de nombreux policiers, agences fédérales et pompiers aux États-Unis et dans d’autres pays du monde.Le prototype de Parrot a également été finaliste dans la première tranche du programme SRR du ministère de la défense américain. Celui-ci continuera d’être évalué de manière indépendante par le gouvernement dans le cadre des mesures de réussites de l’« Other Transaction Agreement » (OTA). Le gouvernement américain fournira une notification séparée pour permettre à d'autres agences du DoD ou du gouvernement fédéral de passer d'éventuelles futures commandes.Parrot, pionnier et leader de l’industrie du drone en Europe, avec une R&D à Paris de 200 ingénieurs, se réjouit d’avoir été sélectionné par la DGA. Le Groupe qui s’appuie sur un total de plus 350 ingénieurs avec ses filiales en Europe et aux États-Unis, considère le marché de la Défense et de la Sécurité comme l’un des plus prometteurs.Le savoir-faire du Groupe Parrot s’articule principalement autour des micro-drones professionnels à marque Parrot, d’ailes volantes dédiées aux professionnels pour réaliser des missions plus longues (senseFly) et de solutions logiciels d’analyses et de mesures d’images (Pix4D) adaptées à un grand nombre de drones de toutes marques.Au-delà de la Défense et de la Sécurité, les autres domaines d’applications du Groupe Parrot sont la gestion et l’inspection des infrastructures d’énergie et de communication (lignes haute tension, tours de réseaux cellulaires, fermes solaires, centrales nucléaires et éoliennes, mines et carrières), la gestion et le suivi de chantiers (immobilier, routes, rails, ouvrage d’art), l’agriculture de précision (santé des cultures, hydrométrie, contrôles des parasites).Henri Seydoux, Président Directeur général, fondateur et principal actionnaire de Parrot conclut : « Nous sommes très fiers d’avoir gagné cet appel d’offre de la DGA et de continuer à travailler sur de nouvelles opportunités avec les États-Unis. C’est le fruit du travail minutieux accompli par nos équipes en France depuis plus de 2 ans, et celui de 10 ans d’expertises. En faisant le pari de développer la plateforme ANAFI, conçue pour le grand public, robustifiée pour les besoins des professionnels, et sécurisée pour les exigences des forces armées, nous avons franchi une étape importante pour le Groupe. Dans le monde actuel, Parrot est convaincu qu'il est clé pour les forces de sécurité, et les armées, de s’appuyer sur les puissants équipements issus de la high-tech grand public, et hautement sécurisés. ».
Il y a 4 ans et 120 jours

Face aux crises environnementales, l'ONU plaide pour une "nouvelle économie"

Ce rapport, produit par le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), synthétise les connaissances les plus récentes sur l'état du climat, avec les rapport du GIEC, de la biodiversité avec l'IPBES et sur l'émergence de nouvelles zoonoses comme le Covid-19.Il faut "faire face à trois menaces planétaires simultanément" et parvenir à "la restauration des écosystèmes et l'amélioration de la santé des populations, ainsi que par la stabilité du climat", indique le PNUE dans un communiqué.Sont menacées "la sécurité alimentaire, la sécurité en eau et la santé humaine", complète Bob Watson, ancien dirigeant de l'IPBES et du GIEC dans un entretien à l'AFP.Le monde n'est pas sur la bonne voie pour atteindre l'objectif de l'Accord de Paris de limiter le réchauffement climatique bien en-dessous de 2°C, si possible à 1,5°C, et se dirige vers un réchauffement d'au moins 3°C, avec son cortège de catastrophes naturelles, rappelle le PNUE.Aucun des 20 objectifs de protection de la biodiversité pour la période 2010-2020 n'a été pleinement atteint et les objectifs de développement durable (ODD), destinés notamment à lutter contre la pauvreté, les inégalités et à promouvoir la paix sont menacés par la crise du Covid-19, la faim et la pauvreté dans le monde repartant à la hausse.Comment en sommes-nous arrivés là? "Au cours des 50 dernières années, la richesse mondiale a presque quintuplé, en grande partie due au triplement des extractions de ressources naturelles et d'énergie qui ont alimenté la croissance de la production et de la consommation. La population mondiale a été multipliée par deux, à 7,8 milliards", dont 1,3 milliard restent pauvres et 700 millions souffrent de la faim, résume le rapport.Repenser l'économie"La croissance économique a apporté des bénéfices inégaux en termes de prospérité", rappelle le PNUE. Mais "la dégradation de l'environnement entrave les progrès réalisés pour mettre fin à la pauvreté et à la faim, réduire les inégalités et promouvoir une croissance économique durable", avertit-il."Notre guerre contre la nature a brisé la planète", s'alarme le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, cité dans le communiqué. "En transformant notre façon de voir la nature, nous pouvons reconnaître sa véritable valeur" et la traduire "dans les politiques, les plans et les systèmes économiques (pour) canaliser les investissements vers des activités qui restaurent la nature et en sont récompensés".L'activité économique ne peut pas être guidée par la seule mesure du produit intérieur brut (PIB), souligne le rapport. "Le PIB est un concept très limité. Il ne prend pas en compte la valeur de la nature, ni le coût environnemental de la pollution", souligne Bob Watson.Le rapport suggère aussi "d'éliminer les subventions nocives" pour les réinvestir dans des solutions propres.Ces subventions aux énergies fossiles, à des pratiques agricoles non durables ou à des transports polluants "dépassent les 5.000 milliards de dollars annuels", souligne le co-auteur du rapport, Ivar Baste."En démontrant à quel point la santé des personnes et la nature sont liées, la crise de la COVID-19 a mis en évidence la nécessité d'un changement radical dans notre façon de voir et de valoriser la nature", relève Inger Andersen, directrice exécutive du PNUE, citée dans le communiqué."Les plans de relance verte pour les économies frappées par la pandémie sont une occasion à ne pas manquer pour accélérer la transformation", poursuit-elle."Nous ne demandons pas aux gens de renoncer à des tonnes de choses, nous disons que nous pouvons être plus viables et avoir une vie agréable d'une manière légèrement différente", assure Bob Watson.
Il y a 4 ans et 123 jours

Notre-Dame de Paris : des études pour reconstruire charpente et flèche en bois dévoilées

PATRIMOINE. L'association Restaurons Notre-Dame vient de dévoiler ses premières études pour la restitution de la charpente et de la flèche de la cathédrale parisienne en recourant au matériau sylvestre. Ces propositions s'inscrivent dans un programme d'études scientifiques et universitaires en trois phases, et font office d'aide à la décision.
Il y a 4 ans et 123 jours

28 fiches pratiques pour faciliter la réception des travaux de rénovation énergétique

Ces 28 fiches de réception sont mises gratuitement à disposition des particuliers et des professionnels sur faire.gouv.fr et sur le site du programme PROFEEL. Elles couvrent l'ensemble des lots de travaux éligibles aux aides à la rénovation énergétique.Construites comme un outil de dialogue, elles permettent à chaque client de pointer avec son artisan ou son entreprise les points importants des travaux réalisés.Pédagogiques, elles rappellent également les enjeux de la formalisation d'un procès-verbal de réception et, explicitent les différentes garanties légales qui débutent à la date de réception des travaux." Je me réjouis de l'arrivée de ce nouvel outil gratuit au service des Français qui rénovent leur logement et pour des rénovations énergétiques de qualité. Le dialogue entre le particulier et le professionnel en fin de chantier est en effet un moment clé, qu'il faut rendre le plus simple et le plus efficace possible. Ces fiches vont contribuer à renforcer la confiance dans les travaux et les professionnels, au moment même où le Gouvernement accélère son soutien à la rénovation énergétique. "Emmanuelle WARGON, Ministre en charge du logementCes fiches ont été élaborées de manière concertée avec les organisations professionnelles du bâtiment (CAPEB et FFB) et des représentants des consommateurs (via l'Institut national de la consommation - INC) sous le pilotage de l'Agence Qualité Construction (AQC).Une fiche adaptée à chaque lot de travaux de rénovationIsolation des parois verticalesIsolation thermique par l'extérieur (ITE - BARDAGE)Isolation thermique par l'extérieur (ITE - ENDUIT)Isolation thermique par l'intérieur (ITI)Isolation des planchers hauts & toituresIsolation des combles perdusIsolation des combles amenagesIsolation de toiture-terrasseIsolation des planchers basIsolation de plancher bas par soufflageIsolation de plancher bas par panneaux rapportesMenuiseries extérieuresFenêtres & menuiseries extérieuresFenêtres de toitVentilationVMC double fluxVMC simple fluxVMRChauffagePompe a chaleur air/eauPompe a chaleur eau/eauPompe a chaleur air/airChaudière buchesChaudière granulesPoêle buchesPoêle granulésSystèmes solaires combines (SSC)Chaudière hybrideChaudière gazECSChauffe-eau thermodynamiqueChauffe-eau solaire individuelChauffe-eau électriqueChauffe-eau gazComment utiliser les fiches de réception de travaux ?En amont de la réception1. Identifier et télécharger sur le site www.faire.gouv.fr les fiches de réceptions qui correspondent aux travaux engagés.Pendant la réception2. Vérifier ensemble (avec votre client / avec votre artisan) chaque point clé indiqué et, dialoguer autour des spécificités des travaux réalisés.À la fin de la réception3. Officialiser en confiance l'achèvement du chantier avec la signature du procès-verbal de réception de travaux.Et bientôt, un service numérique dédié aux professionnelsEn septembre 2021, l'ensemble de ces fiches seront également accessibles avec un outil numérique dédié appelé Chek'Réno. Cet outil gratuit, en cours de développement, permettra également aux professionnels de faciliter leurs démarches d'autocontrôle tout au long de leurs chantiers.
Il y a 4 ans et 123 jours

Essai au feu concluant pour le béton de chanvre

Le Centre d’essai au feu du Cérib a soumis une façade en béton de chanvre à un incendie à travers le test Lepir 2. [©Cerib] Durant l’automne 2020, le Centre d’essais au feu du Cérib a conduit, le 16 octobre 2020, pour l’association “Construire en Chanvre” un test Lepir 2. Autrement dit, un essai de résistance au feu grandeur nature. Ceci, sur une paroi en béton de chanvre. Objectif : compléter les références déjà acquises pour ce matériau de construction en matière de comportement au feu. Les résultats sont désormais disponibles… Rappelons que le béton de chanvre est le mélange d’un liant minéral (chaux), d’un granulat végétal labellisé, obtenu après défibrage de la tige de chanvre, et d’eau. Une mise au point qui remonte à 1986, date à laquelle une première maison a été rénovée, en utilisant un béton de chanvre. « Ce test s’inscrit dans la continuité du programme d’essais au feu réalisés pour l’évolution des règles professionnelles. Avec le soutien financier du programme Pacte », précise Philippe Munoz, référent “Construire en Chanvre” pour ce programme. Le corps d’épreuve est une façade en béton de chanvre de 30 cm d’épaisseur, de 5,75 m de large et 6,55 m de haut (deux étages), avec une ossature bois noyée en son sein. Et une finition extérieure avec un enduit chaux-sable. Cet ensemble a été soumis à un feu très violent pendant 1 h. Une température de 1 100 °C après 36 mn d’incendie « Le but était de voir comment se comportait la façade, en termes de propagation des flammes. De vérifier que le feu ne se diffuse pas par la jonction entre la façade et le plancher entre les deux étages. Et de s’assurer que la température ne dépasse pas 180 °C. Sur la face supérieure de ce plancher », détaille, Christophe Tessier, directeur du Centre d’essais au feu du Cérib. L’analyse de l’ensemble des relevés de température issu des 125 thermocouples équipant la façade en béton de chanvre et ossature bois a permis de confirmer les appréciations qualitatives formulées lors de l’essai. L’élément soumis à essai est déclaré… « conforme à la réglementation applicable vis-à-vis de la non-propagation du feu par les façades pour une durée de 60 mn » (extrait de l’appréciation de laboratoire n° 026090). A l’instar de ce que laissait présager « la hauteur impressionnante des panaches de flammes », la sollicitation a bien été extrêmement sévère : la température dans la chambre de feu a dépassé 1 100 °C après 36 mn pour revenir à 900 °C en fin d’essai. Et les deux panaches de flammes atteignant 950 à 1 050 °C ont sollicité la maquette par l’extérieur. Le béton de chanvre, bon pour le service En réponse, l’enduit extérieur de 2 cm est resté adhérent au béton de chanvre.  Ce dernier a aussi joué son rôle d’écran de protection thermique de l’ossature bois noyée. En effet, à l’exception des linteaux et des doubles montants au niveau des ouvertures, aucun bois d’ossature n’a dépassé 100 °C pendant l’essai. Le dernier résultat attendu était le comportement de la jonction façade/plancher intermédiaire pour laquelle l’élévation de température admissible en face non exposée de plancher (face supérieure) mesurée à 50 mm en retrait de la façade est bornée à 180 °C. Résultat obtenu : 44 °C ! Soit le quart de la valeur limite. A cet instant, il y avait plus de 800 °C d’écart de température entre la face supérieure du plancher et la chambre de feu (26 cm plus bas)… La parution de l’Appréciation de laboratoire n° 026090 sera disponible sur la partie publique du site Internet de “Construire en Chanvre” (au même titre que le PV de classement EI 240). Une chose est certaine : le béton de chanvre est bon pour le service, pour une utilisation en façade.
Il y a 4 ans et 123 jours

RE2020, c’est pour le 1er janvier 2022

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la transition écologique, chargée du Logement, a réuni par visioconférence les principaux représentants du monde de la construction afin d’annoncer les dernières décisions concernant la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs. L’entrée en vigueur de la RE2020 sera finalement fixée au 1er janvier 2022, après une publication des textes d’ici la fin du premier semestre. Conservant un calendrier rapide de mise en œuvre, cette date laisse les quelques mois nécessaires à l’ensemble de la filière et notamment aux concepteurs et promoteurs pour mettre leurs projets à venir en conformité avec les nouvelles exigences. La mise en œuvre de la RE2020 sera par ailleurs l’occasion de simplifier les formalités administratives au moment du dépôt du permis de construire. De la même manière et afin d’assurer que la trajectoire fixée par la RE2020 permet aux innovations et développements industriels nécessaires de se déployer à temps, les autres jalons prévus par la RE2020 sont décalés d’un an (les dates de 2024, 2027 et 2030 devenant 2025, 2028 et 2031). Les ministres ont pu, lors des annonces du 24 novembre dernier, souligner la place croissante que seront amenés à prendre le bois et les matériaux biosourcés dans le futur de la construction. Emmanuelle Wargon a cependant tenu à souligner devant les acteurs réunis ce jour que la réglementation repose sur une exigence de résultat et non de moyens, permettra de faire place à la diversité des modes constructifs et favorisera la mixité des matériaux. Au-delà de l’usage de matériaux qui stockent le carbone (bois et biosourcés), cette nouvelle réglementation encouragera le recours aux matériaux géosourcés (comme la pierre de taille ou la terre crue) et aux matériaux plus usuels (brique et béton notamment) qui se seront décarbonnés, ainsi que l’introduction de davantage de mixité des matériaux. Emmanuelle Wargon a annoncé également l’ouverture d’un Appel à manifestations d’intérêt (AMI) dédié à la mixité des matériaux, financé par le Programme d’investissements d’avenir (PIA 4).   Tableau : les émissions liées à l’utilisation d’énergie lors de la phase «chantier» seront prises en compte avec des seuils qui globaliseront l’Ic_composants et les émissions de la phase chantier.  
Il y a 4 ans et 123 jours

Santé au travail : l'Assemblée vote un texte sur la prévention

La droite LR a associé ses voix à celles de la majorité pour voter la proposition de loi, adoptée par 104 voix contre 12, et désormais attendue au Sénat. Les groupes PS, LFI et communiste ont voté contre.Le texte est principalement la traduction d'un accord national interprofessionnel (ANI), le premier du genre sur le sujet, signé le 9 décembre, afin de relancer une réforme reportée depuis des années.Il va apporter des "outils de prévention", comme une "visite de mi-carrière" ou "un rendez-vous de liaison qui permet au salarié en congé maladie de longue durée, de pouvoir, à sa demande, anticiper son retour dans les meilleures conditions et organiser les aménagements nécessaires du poste et du temps de travail", a souligné la co-rapporteure de la proposition de loi Carole Grandjean (LREM).Parmi les critiques, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) redoute de nouvelles contraintes pour les PME avec l'obligation pour toutes les entreprises, quelle que soit leur taille, d'établir un "programme annuel de prévention".Le gouvernement a d'ailleurs lui aussi fait part de ses réserves à ce sujet, soutenant en vain des amendements de suppression de la mesure pour les PME, qui pourra à nouveau être discuté lors des prochaines étapes parlementaires.Cette proposition de loi tend en outre à "décloisonner" santé publique (médecine de ville) et santé au travail. Elle permet dans certaines conditions à des médecins généralistes, appelés "praticiens correspondants", de pallier la pénurie de médecins du travail.Autre mesure phare et qui fait débat, le médecin du travail pourra consulter le dossier médical partagé (DMP) avec l'accord du salarié.A gauche, l'opposition a jugé le texte "absolument pas à la hauteur" (Caroline Fiat, LFI), avec de simples "sparadraps" (Gisèle Biémouret, PS), reprochant notamment la suppression en début de mandat des CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) dans les entreprises.Ce texte part toutefois d'un constat partagé: les difficultés de "l'écosystème de la santé au travail", mises en exergue par la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 124 jours

Le gouvernement annonce un report de 6 mois de la RE2020 et détaille les conditions d'entrée en vigueur

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la transition écologique, chargée du Logement, a réuni par visioconférence ce jeudi 18 février les principaux représentants du monde de la construction afin d'annoncer les dernières décisions concernant la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs, la RE2020.Après l'annonce des principales orientations par Barbara Pompili et Emmanuelle Wargon le 24 novembre dernier, ces dernières décisions viennent clore une phase de consultation riche et intense, au cours de laquelle le Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE) a rendu un avis et ses recommandations. Les ministres remercient l'ensemble des acteurs pour leurs contributions, qui ont permis de procéder à plusieurs ajustements du projet de réglementation afin d'en assurer sa mise en œuvre et son succès, tout en conservant son ambition initiale.En particulier, l'entrée en vigueur de la RE2020 sera finalement fixée au 1er janvier 2022, après une publication des textes d'ici la fin du premier semestre. Conservant un calendrier rapide de mise en œuvre, cette date laisse les quelques mois nécessaires à l'ensemble de la filière et notamment aux concepteurs et promoteurs pour mettre leurs projets à venir en conformité avec les nouvelles exigences. La mise en œuvre de la RE2020 sera par ailleurs l'occasion de simplifier les formalités administratives au moment du dépôt du permis de construire.De la même manière et afin d'assurer que la trajectoire fixée par la RE2020 permet aux innovations et développements industriels nécessaires de se déployer à temps, les autres jalons prévus par la RE2020 sont décalés d'un an (les dates de 2024, 2027 et 2030 devenant 2025, 2028 et 2031).Globalement, les exigences fixées par la RE2020, reflet des orientations du Gouvernement pour la transition écologique dans le secteur du bâtiment, demeurent inchangées, qu'il s'agisse de sobriété énergétique, de sortie des énergies fossiles, d'amélioration du confort d'été ou de décarbonation de la construction tout le long du cycle de vie. La concertation a permis de procéder à plusieurs ajustements.En matière d'énergiePour ménager la transition prévue à l'entrée en vigueur, des permis de construire pour des maisons individuelles chauffées au gaz pourront encore être obtenus jusqu'à fin 2023 lorsqu'un permis d'aménager prévoyant une desserte en gaz a déjà été délivré. Un régime spécifique sera également prévu pour encourager le développement des réseaux de chaleur, qui constitue un enjeu stratégique de la politique nationale de décarbonation du chauffage des bâtiments.En parallèle, la réflexion sur des mécanismes spécifiques de développement du biométhane pour les projets de construction se poursuivra.En matière de constructionLes ministres ont pu, lors des annonces du 24 novembre dernier, souligner la place croissante que seront amenés à prendre le bois et les matériaux biosourcés dans le futur de la construction. Emmanuelle Wargon a cependant tenu à souligner devant les acteurs réunis ce jour que la réglementation repose sur une exigence de résultat et non de moyens, permettra de faire place à la diversité des modes constructifs et favorisera la mixité des matériaux. Au-delà de l'usage de matériaux qui stockent le carbone (bois et biosourcés), cette nouvelle réglementation encouragera le recours aux matériaux géosourcés (comme la pierre de taille ou la terre crue) et aux matériaux plus usuels (brique et béton notamment) qui se seront décarbonnés, ainsi que l'introduction de davantage de mixité des matériaux.A cet égard, des ajustements concernant les seuils de l'impact carbone de la construction ont été présentés, qui, tout en conservant une pleine cohérence avec la stratégie nationale bas-carbone, permettent d'assurer qu'à l'horizon 2031 (dernier jalon fixé par la RE2020), des modes constructifs variés auront leur place et que, sous réserve de leurs engagements de décarbonation, tous les matériaux continueront d'être utilisés, selon leurs atouts respectifs.Des travaux de normalisation au niveau français et européen seront par ailleurs engagés sur la méthode d' « analyse en cycle de vie dynamique » retenue pour la réglementation pour décompter les émissions carbone tout au long de la durée de vie du bâtiment et prendre en compte le stockage temporaire du carbone.Afin d'accompagner la trajectoire ambitieuse que fixe la RE2020 et d'encourager l'innovation constructive, Emmanuelle Wargon annonce également l'ouverture d'un Appel à manifestations d'intérêt (AMI) dédié à la mixité des matériaux, financé par le Programme d'investissements d'avenir (PIA 4).Enfin, la réunion avec les parties prenantes a également été l'occasion d'échanger sur les enjeux d'industrialisation des processus et modes constructifs et des questions de compétitivité de la filière, à partir de la présentation par Robin Rivaton et Bernard Michel de leur rapport le sujet.Les professionnels du bâtiment vigilantsPour la FFB, les derniers arbitrages du gouvernement sur la règlementation environnementale 2020 (RE2020) vont dans le bon sens.De fait, affichant des ambitions qui restent très élevées, cette règlementation viendra renforcer la qualité environnementale des logements neufs et incitera les filières à innover. Elle constitue toutefois un pari sur l’avenir : certaines exigences à horizon 2028 / 2031 restent inatteignables avec les technologies actuelles et nécessitent de fortes évolutions de tous les métiers du bâtiment et dans l’industrie.Devant cette incertitude, la FFB se félicite de la mise en place d’une clause de revoyure « au fil de l’eau ». Elle permettra, en fonction des retours terrain recensés dans un observatoire ad hoc, d’adapter les exigences, à la hausse comme à la baisse.En revanche, la FFB regrette la stigmatisation du gaz et souhaite que les travaux pour la prise en compte du gaz vert se poursuivent.Pour Olivier Salleron, président de la FFB,« Dans sa nouvelle version, la RE2020 reste très ambitieuse et la FFB se félicite que la clause de revoyure permette, dans les prochaines années, d’adapter les exigences 2028 et 2031 à l’aune du retour d’expérience. Nous allons nous engager pour relever le challenge. Il faudra toutefois s’assurer de mesures d’accompagnement suffisantes pour permettre à nos clients de supporter les surcoûts associés à cette nouvelle marche et à nos entreprises de se structurer, se former et s’équiper en conséquence. »Historique de la réglementation thermique (RT)La première réglementation thermique a vu le jour en 1974, à la suite du choc pétrolier, avec pour objectif de fixer des limites de consommation énergétique pour les bâtiments résidentiels neufs. Au rythme d'environ une par décennie, les réglementations thermiques se sont succédé jusqu'à la réglementation thermique 2012 (RT2012), en application depuis le 1er janvier 2013 et aujourd'hui toujours en vigueur. Ces réglementations sont devenues plus exigeantes avec le temps et ont couvert des champs de plus en plus vastes. Chauffage, surface vitrée, ventilation ou encore isolation, elles ont néanmoins toujours gardé pour objectif quasi exclusif de réduire les consommations énergétiques. En signant l'Accord de Paris en 2015, la France a pris un engagement important dans la lutte contre le changement climatique. Les émissions de gaz à effet de serre doivent diminuer et l'effort se répartir parmi les différents secteurs. Cette ambition a été réaffirmée dans la loi énergie-climat qui prévoit d'atteindre la neutralité carbone en 2050. C'est un défi pour l'ensemble des secteurs et notamment celui du bâtiment, qui, représente plus de 25 % des émissions nationales en 2019, (en 2e position après les transports). Aussi, l'État, avec l'aide des acteurs du secteur, a lancé un projet inédit pour prendre en compte dans la réglementation non seulement les consommations d'énergie, mais aussi les émissions de carbone, y compris celles liées à la phase de construction du bâtiment : la réglementation environnementale 2020 (RE2020). Cette nouvelle réglementation, qui viendra remplacer la RT2012, émerge de la volonté de l'État et du dialogue avec les acteurs qui ont décidé d'agir collectivement pour réduire les émissions du bâtiment. La RT2012 s'était grandement inspirée d'une expérimentation qui l'a précédée, à travers le label bâtiment basse consommation (BBC). De la même manière, l'État a lancé en 2017 l'expérimentation E+/C-, pour caractériser les bâtiments à la fois sobres en énergie et en carbone, servant ainsi de point de départ pour élaborer la RE2020.Pour la première fois, les acteurs de la construction ont pu travailler sur un indicateur carbone en cycle de vie, ce qui a permis de calibrer la réglementation environnementale. La RE2020 est désormais prête pour entrer en vigueur au 1er janvier 2022.
Il y a 4 ans et 124 jours

RE 2020 reportée de 6 mois

Le gouvernement a rappelé vouloir favoriser la mixité des matériaux. [©ACPresse] Réunie avec les grandes fédérations de la construction, Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, a fait de nouvelles annonces autour de la RE 2020. En effet, la mise en place de la réglementation environnementale reste très tendue. Entre critiques et incompréhensions, de nombreux professionnels du secteur font entendre leur voix depuis plusieurs mois. Ainsi, la ministre a indiqué le report de l’application de la RE 2020. Elle est désormais prévue le 1er janvier 2022. Une nouvelle échéance qui implique aussi un décalage des seuils de réduction d’émissions de CO2 (- 30 % à terme) portés à 2025, puis 2028 et enfin, 2031. Par ailleurs, un observatoire, piloté par la DHUP avec le CSCEE, sera créé, afin d’étudier l’impact et le suivi de la réglementation. Une façon d’intégrer une clause de revoyure pour d’éventuels ajustements des paliers de 2028 et 2031. « Nous souhaitons maintenir les exigences de départ, tout en continuant à travailler sur les méthodes et leur appropriation », explique Emmanuelle Wargon. Gros sujet de discorde, l’ACV dynamique simplifiée est toujours à l’ordre du jour ! La crainte des surcoûts exprimée « L’ACV dynamique est conservée comme méthode, détaille Guillem Canneva, directeur du cabinet adjoint. Nous allons porter sa normalisation à l’échelle française et européenne à l’occasion de la présidence de l’Union européenne de la France. Il y aura une phase de consultation avec des ajustements, si besoin… » Sur la question de l’indicateur Bbio, les objectifs restent inchangés : – 30 % par rapport à la RT 2012. « C’est une moyenne qui est amenée à moduler en fonction de la situation géographique et de la surface de la réalisation pour éviter les surcoûts. » Parmi les professionnels présents, Jean Passini, président de la commission environnement et construction durable de la FFB « salue l’ambition et l’audace de la RE 2020 ». Si la fédération est satisfaite du report de l’entrée en vigueur et de la clause de revoyure, elle maintient ses craintes autour des surcoûts. « Il faudra s’assurer de mesures d’accompagnement suffisantes pour permettre à nos clients de supporter les surcoûts associés à cette nouvelle marche, explique Olivier Salleron, président de la FFB. Mais aussi, à nos entreprises de se structurer, se former et s’équiper en conséquence. » Un changement de système d’exploitation De son côté, Emmanuelle Cosse, présidente de l’USH, rappelle l’importance de ce travail de consultation et d’échanges avec la profession. « Les concertations ont été menées à l’envers et ont amené des tensions. Les bailleurs sociaux partagent les ambitions et la volonté d’aller vers le bas carbone. Mais si la RE 2020 est trop technocratique, quid des usagers ? Nous avons un doute majeur sur notre capacité à tenir financièrement cette réglementation. » Un avis partagé par Alexis Rouque, délégué général de la Fédération des promoteurs immobiliers. « Nous avons du mal à évaluer les surcoûts. La RT 2012 était comme un changement de logiciel. Avec la RE 2020, nous sommes sur un changement de système d’exploitation ! Il faut de la soutenabilité financière et administrative. Nous ne souhaitons pas non plus nous enfermer dans des solutions techniques. » Il rappelle ainsi l’exemple de la voiture Diesel qui fut encouragée, puis sanctionnée ! « Il y a beaucoup de marge d’incertitudes. » A ces craintes, Emmanuelle Wargon estime que la nouvelle réglementation répond à des ambitions « écologiques et sociales ». Et que « la qualité des logements reste une priorité ». Le gouvernement a aussi rappelé vouloir favoriser la mixité des matériaux. Concernant les surcoûts, il compte sur « l’effet d’apprentissage des filières ». Et Guillem Canneva, directeur du cabinet adjoint, de conclure : « La préoccupation est plutôt sur les surcoûts immédiats. Mais selon les études, ces derniers sont estimés de + 3 % à + 4 %. »
Il y a 4 ans et 124 jours

Construire un cinéma en pleins crise sanitaire comme un pied de nez au Covid

La France compte un parc de 2.000 cinémas unique au monde par sa densité, et en 2020, 22 cinémas ont ouvert leurs portes, malgré les mois de rideau baissé.Cette année, en dépit du manque de perspective après plus de 100 jours de fermeture des salles, des projets de rénovation ou de construction se poursuivent un peu partout, du Lavandou (Var) au quartier de l'Opéra à Paris en passant par Givors (Rhône).A Romorantin, c'est l'effervescence sur le chantier du Ciné Sologne: ballet des chariots élévateurs, montage de cloisons... le futur complexe doit être prêt pour la fin mars. Il viendra prendre le relais du Palace, la salle historique du centre-ville.Avec le centre culturel ou l'escape game qui a ouvert en centre-ville, le cinéma, classé art et essai et qui programme blockbusters comme films plus pointus, est l'un des pôles d'animation de cette sous-préfecture de 17.000 habitants, sur les rives paisibles de la Sauldre.A une heure de voiture de Tours, de Bourges ou d'Orléans, la ville a connu "trois tsunamis", depuis les années 2000, retrace le maire Jeanny Lorgeoux: la fermeture de l'usine automobile Matra, qui employait 2.200 personnes, une grande crue avec plus de 500 évacuations, et maintenant le Covid...Dans ce contexte, "le cinéma, c'est un bien culturel fantastique" nécessaire "pour que la ville se perpétue", ajoute l'édile, aux commandes depuis 1985 et qui a tout fait pour favoriser l'installation du nouveau complexe."Dans les petites sous-préfectures, le cinéma c'est le lien intergénérationnel parfait", ajoute l'élu, et c'est aussi là que se croisent ce qu'il reste de la classe ouvrière, dans cette ancienne terre industrielle, et les plus aisés, qui vivent de "l'économie de château" et de la chasse, spécialité de la zone.Pour la ville, c'est aussi "un levier économique et d'attractivité. Si on s'en privait, ce serait catastrophique"."Repartir de zéro"Pourtant, le Palace, qui attirait chaque année 70.000 spectateurs, "n'était plus vraiment aux normes de confort actuelles", reconnaît le patron des lieux, Francis Fourneau.L'ancien cinéma, construit dans les années 1970 et resté dans son jus avec ses murs jaunes pastels, est promis à la fermeture. Le Palace était de toute façon à l'étroit dans son bâtiment historique du centre-ville."Après cette pandémie, il faudra retrouver les spectateurs un par un", anticipe cet exploitant, et "ce ne sera pas plus mal de repartir de zéro", avec un lieu flambant neuf. Tant pis pour le cachet des ruelles médiévales qu'a parcouru jadis François 1er, c'est à côté d'un ancien hypermarché, dans la zone commerciale accessible en voiture, que se construit le nouveau projet.Et pour rivaliser avec les multiplexes des grandes villes ou le streaming, il faut investir dans des fauteuils de plus en plus confortables et des écrans géants, 16 mètres de long pour la plus grande des cinq salles du futur Ciné Sologne.Le chef d'orchestre de ces travaux à 2,8 millions d'euros, c'est Cédric Aubry, qui s'est fait une spécialité de construire des cinémas dans de petites villes, considérées comme pas assez rentables par les gros réseaux.La pandémie ? "Ce n'est pas une raison de renoncer", tranche-t-il sur le chantier de Romorantin, tout en traquant sur le chantier les défauts d'étanchéité de la structure de métal et de béton, avant l'installation des 600 fauteuils."Il faut créer du public, attirer les gens qui se disent +j'irais bien au cinéma+, mais qui voient le petit ciné local et se disent +je laisse tomber+" explique M. Aubry.Une façon, selon lui aussi, de répondre "modestement" au message "sur l'abandon des territoires" formulé pendant la crise des "gilets jaunes". Et à l'en croire la recette a tout pour réussir: le cinéma qu'il a refait à Varennes (Meuse) est passé en quelques années de 80.000 à 200.000 spectateurs, et celui de Sens (Yonne) de 100.000 à 300.000 spectateurs.
Il y a 4 ans et 124 jours

Vinci – Leonard : La marche en avant

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Promotion 2021 programme IA. [©Leonard] Depuis près de quatre ans, l’incubateur Leonard du groupe Vinci explore et contribue à l’émergence de nouveaux marchés et innovations. Que ce soit dans le domaine de la construction, de la mobilité ou encore de l’énergie et de l’immobilier. Il propose quatre programmes ouverts aux start-up, aux entreprises et aux entités et collaborateurs de Vinci. Il fonctionne de manière autonome, tout en stimulant les synergies apportées par ces acteurs avec les activités du groupe. « Le programme Seed est inspiré de Y Combinator1, explique Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Le programme est ouvert aux start-up et entreprises en phase de prototypage. » Seed comprend un accompagnement d’experts Vinci, une certification de l’université de Stanford, un apport en capital à hauteur de 30 000 € et une mise en relation avec des investisseurs. Mais aussi, un hébergement dans les locaux parisiens de Leonard. Soit 1 500 m2 de coworking et 3 000 m2 de bureaux. « Pour Seed, nous avons plusieurs missions qui s’enchevêtrent. Nous souhaitons être la marche manquante dans l’accompagnement de ces start-up. Et même si c’est un risque d’investir dans ce type d’entreprises, nous nous y retrouvons en étendant nos savoir-faire. En 2020, 150 start-up ont postulé au programme. » De son côté, le rôle du programme Catalyst est de repérer des entreprises innovantes en hyper-croissance, mais qui ne sont pas encore déployées à grande échelle. « L’idée est de les accompagner vers le haut et de maximiser les chances de collaboration avec les entités de Vinci. » Des programmes spécifiques Le parcours Intrapreneurs s’intéresse au développement de projets à l’initiative des collaborateurs du groupe. Il permet de faire émerger de nouvelles activités. Enfin, le programme IA se concentre, comme son nom l’indique, sur l’intelligence artificielle. Et a pour ambition d’accélérer l’utilisation de cette technologie dans les métiers de la construction, des opérations des bâtiments et des infrastructures. « Nous contribuons à une multitude d’initiatives pour partager notre voix et faciliter le recrutement à nos programmes. » Par exemple, Leonard co-organise avec Cemex Ventures la plus grosse compétition de start-up au monde. L’incubateur travaille aussi avec les incubateurs des écoles, un réseau de partenaires ou organise des échanges… Cette année, Leonard accueille donc une nouvelle promotion d’acteurs pour chacun de ses programmes. Promo 2021 Pour cette promotion 2021, Leonard a sélectionné 44 nouvelles entreprises. « Les trois grandes thématiques choisies pour cette année, sont l’environnement, la sécurité et la mobilité », détaille Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Parmi les entreprises sélectionnées, la start-up SustainEcho intègre Seed. Elle propose une solution d’automatisation du bilan carbone. Le Canadien Carbon Upcycling Technologies rejoint, quant à lui, Catalyst. L’industriel développe une technologie d’utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2… En résumé, les entreprises participantes aux différents programmes rassemblent des projets autour de : – L’automatisation des opérations de construction et d’exploitation (robotique, cobotique), – Du monitoring à distance des chantiers et des infrastructures (drones, satellites), – La maintenance prédictive, mais aussi d’aide à la conception et au pilotage de projets (design paramétrique, échéancier…), – Des plates-formes collaboratives de gestion de projets et de sourcing de matériaux, – L’optimisation de l’efficacité énergétique et de réduction de l’impact environnemental des projets. 1Entreprise californienne qui apporte un capital de base, du conseil et de la mise en relation aux start-up durant ses premières phases. Les lauréats du programme Seed : PaintUp robotise les tâches pénibles et dangereuses liées au traitement de façade. Les premières applications commercialisées sont le nettoyage et la peinture jusqu'à 30 m de hauteur. Les solutions d’Orok se concentrent sur l’automatisation des opérations sur le tarmac des aéroports. Et ce, grâce à un système complet, composé d’une flotte de véhicules autonomes et d’un serveur de supervision. SustainEcho accompagne les organisations et les projets qui veulent engager ou renforcer leur démarche environnementale, en proposant une solution d’automatisation du bilan carbone. Tellux développe des solutions d'analyse et de détection rapide de la pollution dans les sols et sédiments par imagerie hyper-spectrale. Roomies réalise une plate-forme SaaS de collaboration et de gestion de projets à destination des architectes. Caeli Energie conçoit et fabrique de climatiseurs à forte efficacité énergétique et à très faible empreinte carbone pour les bâtiments résidentiels et le petit tertiaire. Rockease est une plate-forme en ligne, permettant de trouver la meilleure offre, de commander et de gérer la livraison de granulats sur chantier. Lokimo analyse et centralise des millions de données grâce à l'Intelligence artificielle, afin d'aider les professionnels de l'immobilier à identifier rapidement des zones à haut potentiel. Neoratceh développe des équipements de protection individuelle connectés pour les techniciens intervenant sur les réseaux électriques. Les lauréats du programme Catalyst : AI clearing (Pologne) travaille sur une plate-forme de suivi d’avancement de travaux d’infrastructures, basée sur des données géospatiales et alimentée par l’intelligence artificielle. Voyage Control (Royaume-Uni) est une solution logicielle destinée à améliorer la logistique de la construction et la gestion de la chaîne d'approvisionnement. Elle permet de rationaliser les processus, de renforcer la sécurité et de protéger l'environnement. vHive (Israël) est un logiciel qui permet aux entreprises de déployer des essaims de drones autonomes pour numériser leurs actifs et leurs opérations sur le terrain. Notamment pour l’inspection des tours télécoms, des grues, des façades et plus largement de tout type de constructions ou d’ouvrages d’art. Eave (Royaume-Uni) a développé un système complet de protection auditive pour les travailleurs de la construction, composé de protecteurs auditifs intelligents. Ils favorisent la conscience de leur environnement immédiat. Le système est renforcé d’une plate-forme en ligne pour surveiller les niveaux de bruit du chantier et l'exposition individuelle des travailleurs. Carbon Upcycling Technologies (Canada) développe une technologie d'utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2. Viibe (France) est une technologie d'assistance audio/vidéo sans téléchargement, dédiée aux centres de support technique assurant un diagnostic expert à distance. Infogrid (Royaume-Uni) combine les plus petits capteurs IoT du monde et la puissance de l’intelligence artificielle. Le tout dans le but d’optimiser et d’automatiser la gestion des bâtiments. Offrant ainsi un gain de temps, d’argent, de protection de l'environnement, tout en améliorant la sécurité. nPlan (Royaume-Uni) aide les entrepreneurs à identifier, prévenir et anticiper les retards dans les grands projets de construction, en s’appuyant sur l’analyse de plus de 500 000 plannings de construction. La solution permet ainsi d’identifier les risques de retard sur les projets pendant l'appel d'offres et l'exécution, en formulant des recommandations pour les livrer dans les délais. Utilis (Israël) offre des solutions d'évaluation et de surveillance des infrastructures, basées sur l'analyse satellite “L-band Sar.”. Plus spécifiquement dans les secteurs de l’approvisionnement en eau et des infrastructures de transport. Omniflow (Portugal) est un lampadaire IoT intelligent alimenté par l'énergie éolienne et solaire, qui propose des solutions durables pour les villes intelligentes. Ils alimentent des services à forte valeur ajoutée, tels que des cellules 5G, des caméras de sécurité ou des capteurs IoT. Les lauréats du parcours intrapreneurs : Carapace (France) développe des solutions de monitoring des digues. Aval Portal (Allemagne) conçoit une plate-forme Saas qui numérise le processus d'élimination des déchets, en facilitant l'échange de données entre les entreprises industrielles et les sociétés de gestion des déchets. Digital Ummspannwerk (Allemagne) travaille sur des solutions de numérisation des sous-stations pour améliorer la sécurité. Patou Data (France) développe un outil de prévention du risque environnemental, en collectant et en analysant les données en temps réel sur les sites de construction. H2 Free (France) imagine des solutions de construction d'infrastructures pour la production et le stockage d'hydrogène. CO2 Footprint App (Allemagne) est une application de calcul d'empreinte CO2 pour les employés. Greenwatt (France) propose une offre de travaux d'amélioration de la performance énergétique pour l'industrie. Visco (Allemagne) collecte de données sur les rues et l'environnement pour la gestion de la ville, en utilisant des caméras installées dans les véhicules de gestion des déchets. Renov'ON (France) se positionne sur les rénovations thermiques de bâtiments résidentiels. PureNest (France) développe des solutions de captation et de traitement des déchets plastiques dans les fleuves. Recy'Peru (Pérou) est une marketplace pour la gestion des déchets au Pérou et en Amérique latine. On Again (France) est une plate-forme consolidant les différentes sources de matériaux issus du réemploi à destination des grands acteurs de la construction. Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 125 jours

Action coeur de ville : le préfet Rollon Mouchel-Blaisot livre quelques chiffres clés

BILAN. A une dizaine de jours de la publication d'un "bilan de mi-parcours" du programme Action coeur de ville, son directeur, le préfet Rollon Mouchel-Blaisot, confiant dans la réussite de celui-ci, livre quelques chiffres clés.
Il y a 4 ans et 125 jours

Un nouveau volet de la réforme RGE voit le jour avec 28 fiches de réception des travaux

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Pour faciliter la réception des travaux de rénovation dans un dialogue entre clients et artisans, le programme Profeel a publié 28 fiches pédagogiques disponibles gratuitement sur le site Faire.
Il y a 4 ans et 125 jours

Logiciels : Donner vie à la centrale

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Les logiciels d’aide à la production des bétons ne se limitent plus à piloter les automatismes des centrales. De la gestion des flottes en direct à la digitalisation des bons de livraison, en passant par l’analyse prédictive, ils sont un puits, encore sans fond, de gain de productivité. Amis : Une solution globale pour la préfabrication Arcade : Nouvelle version Command Alkon : Large choix Delta Automation : Pour toutes les installations d’un site Exxia : Nouveau venu Marcotte Systems : Solution complète RSAI : Nouvelle mouture Amis propose à ses clients Prefamis. Cet automatisme pour centrales à béton de préfabrication associe la robustesse sur les postes de production, à la puissance de l’informatique sur les postes de gestion déportés, à travers le logiciel Datamis. Dans les ateliers, les postes de production sont équipés d’automates programmables avec écrans tactiles industriels de marques réputées et internationalement distribuées. Dans les bureaux, Datamis est installé sur les postes de gestion (PC, serveur…) en réseau avec la production. Cette organisation permet la formulation des bétons, l’analyse complète de la production, mais aussi la traçabilité des alarmes de maintenance. Le logiciel Datamis est conçu pour s’intégrer pleinement avec les systèmes d’information (ERP). De son côté, Prefamis intègre la totalité des composantes de l’usine de production. Comme l’ensilage des granulats, les sécurités remplissages des silos, mais aussi la livraison béton par tout type de bennes-bus. Sans oublier, la maintenance, avec prise en main à distance par tablette. La solution globale Prefamis est aujourd’hui utilisée à la fois par des entreprises indépendantes et par des grands groupes de l’industrie du béton. La solution globale Prefamis permet la gestion de la production des sites de préfabrication.[©Amis] Le successeur du logiciel de laboratoire Wil se nomme Massia-Laboratoire.[©Arcade] Après le succès de Wil, Arcade a présenté son successeur Massia-Laboratoire, au cours de l’année dernière. Pour l’éditeur, 2020 a été remplie de projets. Qui ont enrichi ce logiciel de nouveautés fonctionnelles importantes. En collaboration avec Delta Automation, il propose désormais une solution clefs en main : de la conception des formules bétons jusqu’à la livraison sur chantier. En passant par le suivi production, le contrôle qualité et le suivi livraison. La gamme de logiciels Massia, c’est aussi Massia Labo Mobilité, l’application mobile qui permet de saisir les prélèvements et essais sur smartphone ou tablette. Massia #Portail qui partage les documents avec les clients et partenaires, et peut s’interfacer avec les logiciels et matériels. Le logiciel Wil continue cependant d’être maintenu et commercialisé, tout en gagnant en facilité avec son application “Mobilité”. Les progiciels Command Alkon s’appuient sur plusieurs modules, dont Conactive Process Control (CP) et Conactive Quality Control (CL). La solution d’automatisation Command Alkon CP a été, il y a peu, revue et modernisée. Permettant de gérer l’ensemble d’une centrale BPE, elle offre la possibilité d’améliorer la qualité de production et l’efficacité des opérations. Ceci, grâce à la visibilité constante offerte sur toutes les opérations de production. Le module CL est, lui, l’assistant intelligent du technicien de contrôle qualité. En un seul endroit, ce dernier pourra retrouver tous les outils nécessaires à la gestion des matériaux, les mélanges, les tolérances. Le tout avec les tests et les analyses disponibles sur une seule plate-forme. Et ce, afin d’optimiser les formulations en fonction des besoins de chaque coulée. Quant au Conactive Materials Manager, il permet de gérer l’approvisionnement en matériaux à travers la gestion des automates de transport. De son côté, et comme son nom l’indique, Maintenance Manager planifie les interventions de maintenance pour limiter les arrêts de centrales. Il offre aussi la possibilité de consulter le journal des tâches effectuées et l’ensemble de statistiques sur la centrale. Le BPE monégasque EMT vient d’opter pour la suite de logiciels Command Alkon. [©Command Alkon] Parmi les derniers arrivés sur le marché, Delta Automation cherche à se démarquer. Ceci, à travers son système Delta Mix. Ce sytème permet de suivre la production du béton, de l’édition du devis à l’inscription dans la comptabilité. En passant par la génération des bons de production, la fabrication de produits et la facturation. « Nos solutions évoluent en permanence, explique Pascal Parrain, gérant de Delta Automation. Nous proposons à nos clients un module générique, qui fonctionne pour toutes les entreprises. Si besoin, nous développons des solutions spécifiques à leurs problématiques. Nous nous demandons alors si cette réponse peut leur être utile. Dans ce cas-là, nous l’intégrons directement à notre logiciel général. » Pour se démarquer, Delta Automation embarque de l’intelligence artificielle pour l’analyse prévisionnelle des productions. Tout en intégrant des modules destinés aux silos, aux matériaux et aux bassins de décantation. Permettant de gérer l’ensemble des installations d’un site de production. Enfin, l’industriel travaille main dans la main avec Arcad [Lien]. Le but est d’inclure des solutions Delta dans la suite Arcade. Le logiciel Eazzy d’Exxia utilise l’intelligence artificielle pour réaliser des analyses prédictives. [©Exxia] Exxia est une société créée fin 2019, spécialisée dans la conception de progiciels pour la production et le contrôle du BPE. « Notre plate-forme web se nomme Eazzy et fonctionne pour les professionnels des granulats, du BPE, de la préfabrication ou de la construction routière, explique David Ortolan, président de l’entreprise. Il dispose d’un socle commun à toutes les entreprises, qui englobe le pilotage, l’administration des ventes, la gestion de la production, le contrôle qualité et la gestion de la logistique. En fonction des besoins, nous activons ou désactivons ces options. » Adopté en particulier par Béton Solutions Mobiles, Eazzy dispose de fonctionnalités de navigation spécifiques. « Nous intégrons la reconnaissance vocale, des interfaces tactiles mobiles, une messagerie interne, les plannings dynamiques ou encore le traitement graphique des données internes ou externes en temps réel. » Tout en projetant une grosse mise à jour en cours d’année, « nous travaillons à l’incorporation d’intelligence artificielle pour optimiser les coûts de nos clients. Grâce à l’analyse prédictive, nous pourrons orienter la production en temps réel, en jouant simultanément sur plusieurs variables comme la qualité, les ressources humaines, les ventes prévisionnelles, les disponibilités logistiques, l’anticipation du trafic ou encore la météo ». L’ensemble des solutions Marcotte Systems permet la gestion des centrales à béton, de leur flotte de véhicules et de leurs activités commerciales. Ainsi, le module Marcotte Batch permet d’ajuster la quantité de chaque constituant d’une formulation, même en pleine exécution de ce lot. Le tout, en préservant ses ratios clefs. Ensuite, Marcotte Dispatch comprend un ensemble de caractéristiques, qui allège beaucoup la tâche des agents techniques de production. Le contrôle de charge des centrales et d’occupation des véhicules, en temps réel, permet aux répartiteurs d’agir de suite sur leurs livraisons et d’assurer une qualité de service optimale. Puis vient Marcotte GPS & eTicket, qui donne un relevé des statuts et du positionnement, en temps réel, des camions, grâce à une simple application. Dans le même temps, la plate-forme web permet la digitalisation des bons de livraison. Enfin, avec Marcotte Insights, les utilisateurs ont accès à une plate-forme offrant des données clefs pour l’analyse des performances de livraison et d’exécution de la production. Ceci, pour effectuer d’éventuelles corrections ou prédire les futurs besoins, en lien avec le carnet de commandes. Les logiciels Marcotte Systems permettent la gestion et l’anticipation des besoins des centrales BPE.[©Marcotte Systems] Le logiciel RSA Dispatch vient s’ajouter à la suite de solutions de RSAI. [©RSAI] L’année 2020 a été celle du renouveau du site Internet de RSAI. Et du lancement d’une nouvelle mouture de son logiciel phare. Profitant d’une interface revue, le nouveau site Internet permet de composer rapidement le menu de ses besoins. Quant à la nouvelle version du logiciel, elle améliore la navigation de la suite, qui a déjà convaincu des entreprises dans huit pays francophones, en Europe et en Afrique. « Notre solution s’organise autour de plusieurs modules, dont le principal est RSA Beton, explique Rémi Gueugneau, responsable commercial BTP et carrière. Il s’agit là de la gestion complète des automatismes de la centrale, le tout via une interface épurée. RSA Gestion Commerciale permet d’éditer les devis, offres, factures avec des termes et des pratiques adaptés aux métiers de la construction. RSA Qualité centralise les choix en matière de formulation, de paramétrage et de gestion des droits, pour l’ensemble des centrales d’une même entreprise. RSA Demat permet aux chauffeurs d’envoyer des informations en direct sur leurs actions, aux clients d’obtenir des statistiques sur leurs différentes livraisons. Enfin, RSA Dispatch, complètement repensé avec une interface graphique intuitive, est un module de prise de commande pour le BPE et les granulats. Planifiant au passage les livraisons et la charge de travail des différents sites. » Sur la même base, RSAI propose des solutions pour la préfabrication et les carrières. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92
Il y a 4 ans et 125 jours

Les cœurs de villes moyennes ont la banane

Avec 2,1 milliards d’euros engagés au 31 décembre 2020 sur un programme qui en totalise 5, le directeur d’Action cœur de ville tient bon sa barre. A quelques jours de la publication d’un bilan à mi-parcours, le préfet Rollon Mouchel-Blaisot a exprimé son optimisme le 17 février au cours d’un atelier débat sur la revitalisation durable. « La nouvelle France que vous inventez nous apporte de la joie et de l’espoir », a salué l’ancien ministre de l’environnement Brice Lalonde, président d’Equilibre des énergies, organisateur de l’événement.
Il y a 4 ans et 125 jours

Les rupteurs de ponts thermiques

Le rupteur de ponts thermiques Isotec RT+ répond aux besoins croissants de réduire la consommation d’énergie des logements. [©Plaka] Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Placés au bon endroit, les rupteurs de ponts thermiques sont les amis des occupants d’un bâtiment. Ce sont eux qui permettent d’optimiser les performances techniques, en “comblant” les espaces où le froid et la chaleur peuvent s’immiscer. Structurels, non structurels, maçonnés ou encore parasismiques… Il existe une large offre selon le projet et la problématique du chantier. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 125 jours

Le BRGM recherche les meilleures pierres pour restaurer Notre-Dame de Paris

La restauration de Notre-Dame de Paris, suite à l’incendie, réclame des pierres neuves, compatibles avec le monument, dans des quantités importantes par rapport à ce qu’entraînent les travaux ordinaires d’entretien et de restauration des monuments historiques. Pour répondre à ce besoin, l’établissement public et le BRGM ont défini un programme de recherche et développement portant sur l’identification, la caractérisation et la sélection de nouvelles pierres esthétiquement et physiquement compatibles avec les pierres endommagées. Ce programme débouchera sur un guide méthodologique de référence applicable à la cathédrale mais aussi à d’autres édifices de la région parisienne. La méthodologie de recherche prévoit notamment des investigations géologiques en carrières et des essais en laboratoire sur échantillons de pierres. Lancé en juillet 2020, le programme fait intervenir des géologues, des sédimentologues, des géomaticiens et des techniciens de laboratoire du BRGM. Il associe le Laboratoire de recherches des monuments historiques (LRMH) du ministère de la Culture pour sa connaissance approfondie des pierres de la cathédrale. Les pierres d’origine ont été initialement extraites du sous-sol de Paris. Il s’agit de roches calcaires d’âge lutétien, une couche géologique qui s’est formée il y a 41 à 48 millions d’années. De tels terrains affleurent en de nombreux secteurs du « bassin parisien » – plus grand des trois bassins sédimentaires français, qui couvre la majorité de la moitié Nord de la France avec une superficie de 110 000 km2 environ – et se trouvent encore exploités aujourd’hui pour la fourniture de pierres de construction dans une dizaine de carrières au nord de Paris, dans les départements de l’Oise et de l’Aisne. Ces calcaires lutétiens sont le fruit d’un processus complexe de sédimentation, que le programme signé entre l’établissement public et le BRGM prévoit d’étudier afin d’identifier les caractéristiques de pierres adaptées à la restauration de la cathédrale. Prévu pour s’achever mi-2021, ce programme d’études s’intéressera en priorité aux carrières en activité, puis aux gisements non exploités susceptibles si nécessaire de fournir au chantier les pierres compatibles avec celles de l’édifice. Photo : Front de taille d’une carrière extrayant de la pierre calcaire. © BRGM – S.Andrieu  
Il y a 4 ans et 126 jours

Restaurons Notre-Dame dévoile ses premières études pour la restitution de la charpente et de la flèche

Mobilisant de nombreux experts et dans un premier temps 30 jeunes architectes et ingénieurs en Master II Génie Civil « Architecture Bois Construction » de l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Nancy (ENSAN) et de l'École Nationale Supérieure des Technologies et des Industries du Bois d'Épinal (ENSTIB), Restaurons Notre-Dame (rND) s'est constitué en un véritable « PÔLE BOIS » avec l'ambition de contribuer à la restitution optimale de la charpente, de la flèche et de la toiture de Notre-Dame de Paris. rND dévoile aujourd'hui la phase 1 de son programme menée par ces étudiants de nos Grandes Écoles.Les équipes ont établi une série de propositions en s'inscrivant dans la forme, la géométrie et l'aspect extérieur d'origine de la toiture tout en restant dans le champ de la conservation du patrimoine. Bien que ces scénarios puissent s'éloigner parfois d'une restauration « à l'identique » comme l'entendrait un néophyte, il s'agit ici, avant tout, de mettre en lumière la problématique complexe de la charpente et flèche de Notre-Dame de Paris dont on ne peut faire l'économie.Les propositions pour la charpente, flèche et toiture de Notre-Dame prennent en compte différents critères comme le nombre de points d'appui, la conservation ou la réduction du poids propre de l'ensemble de la charpente, le choix du matériau de couverture, la maintenance de la charpente et de la couverture, la sécurité incendie, etc.Ces scénarios utilisent judicieusement des modules paramétriques qui permettent d'adapter toute solution à la pathologie de la maçonnerie de la Cathédrale sérieusement affectée par l'incendie.Les propositions s'intéressent également aux moyens de production actuels, aux enjeux environnementaux, aux questions de salubrité des matériaux employés, au développement de la filière bois, de ses métiers et des bénéfices qui pourraient en résulter, en particulier pour la formation des jeunes en leur ouvrant de nouvelles perspectives d'emploi.Deux articles complètent ce communiqué et donnent de plus amples précisions sur ce programme :« Les Grandes Écoles se mobilisent pour La charpente et la flèche de Notre-Dame de Paris » (par Alain Hays)« Un programme ambitieux pour la restauration de la toiture de Notre-Dame de Paris : Charpente - Flèche - Couverture » (par Pascal Jacob)
Il y a 4 ans et 126 jours

TraceParts & BIM&CO proposent aux fabricants la création et la publication unifiées des données CAO & BIM

Les fabricants pourront dorénavant publier sur la plateforme TraceParts, directement depuis les outils développés par BIM&CO, sans coûts supplémentaires.   Saint-Romain, France – le 10 février 2021 Les fabricants de la construction doivent aujourd’hui fournir de nombreuses données aux différents métiers du BTP. La multitude de formats géométriques et de données produits demandée rendent la phase de création et de maintenabilité de ces éléments complexes. Pour faire face à ces besoins, les processus sont souvent dupliqués et engendrent alors des coûts de gestion de projets et de services supplémentaires. Les délais de mise sur le marché des données produits se voient rallongés et il devient difficile de les maintenir dans le temps. C’est pour répondre à ces difficultés que TraceParts et BIM&CO ont choisi d’unir leurs forces dans le but de rendre cette transition plus facile pour leurs clients actuels et à venir. Ce partenariat TraceParts/BIM&CO permet en effet aux fabricants qui le souhaitent de faire modéliser leurs produits et de les diffuser dans une multitude de formats BIM et CAO (STEP, SOLIDWORKS, CATIA, AutoCAD 3D, Revit, Inventor…) en s’appuyant sur un processus unique et en bénéficiant d’une visibilité accrue. Les objets CAO sont automatiquement transformés à partir des données BIM et publiés sur la plateforme de contenu CAO TraceParts. Cela permet au fabricant d’avoir une plus grande diffusion de ses produits, mais aussi de réduire les coûts de création et de maintenance de ses données dans le temps. Un concept qui séduit déjà puisque de nombreux fabricants étaient en attente d’une solution qui leur permette de gérer plus aisément l’ensemble de leurs données à partir d’un seul et unique outil. Le fabricant de solutions HVAC France Air voit en cette solution un réel gain de productivité. Juliette FORTE, Expert Support Technique, précise :  « Il nous est déjà arrivé d’être confrontés à un litige sur un chantier, en raison d’une référence obsolète du modèle CAO utilisé par le client. Cette expérience nous a prouvé à quel point la mise à jour régulière de nos fichiers était cruciale. La solution de gestion de contenu proposée par BIM&CO se révèle être un véritable PIM pour notre quotidien et permet à nos équipes d’être plus efficaces sur la qualité des données tout en simplifiant le workflow de diffusion ! »   Antoine PIGEON, Directeur Commercial de TraceParts commente : « En publiant leurs catalogues depuis les outils BIM&CO, les fabricants ont également la possibilité de les rendre disponibles sur TraceParts.com, dans plus de 60 formats. Ils profitent par la même occasion de nos 30 ans d’expérience et d’une diffusion auprès d’une audience de plus de 29 millions d’ingénieurs et de concepteurs sur TraceParts et son réseau de sites partenaires TraceParts Publishing Network – c’est-à-dire autant de prescripteurs potentiels ! ». Les outils d’analyse et de statistique fournis par TraceParts et BIM&CO permettent en effet aux fabricants d’analyser les performances de leurs catalogues BIM ou CAO, mais également d’accéder aux profils des ingénieurs et concepteurs. Un moyen malin pour eux d’étendre le nombre de leurs prospects, d’identifier de nouveaux prescripteurs, ainsi que des pays prometteurs en matière de ventes. La diffusion des produits sur TraceParts et leur analyse statistique sous forme de rapport sera gratuite. Cependant la mise à disposition des données utilisateurs sera elle soumise à un abonnement annuel. Baptiste MULLIE, CEO de BIM&CO complète : « Les solutions de gestion de contenu BIM&CO permettent de convertir les modèles BIM en CA0 à la volée, et ce, en toute facilité, puisque le processus sera complètement transparent. Les fabricants pourront centraliser leur bibliothèque et structurer la publication digitale de l’ensemble de leurs produits au sein d’un seul et même workflow. Au-delà de l’aspect pratique, cette solution simplifiée représente un gain de temps, mais surtout d’argent puisque la diffusion sur TraceParts.com est totalement gratuite pour nos clients actuels et futurs ! » Pour en savoir plus sur les modalités de diffusion de catalogues CAO & BIM rendez-vous sur TraceParts.com ou bimandco.com.     À propos de TraceParts TraceParts est l’un des principaux fournisseurs mondiaux de contenu numérique 3D pour l’ingénierie. Appartenant au groupe Trace fondé en 1990, l’entreprise fournit de puissantes solutions web, telles que des bibliothèques de composants CAO, des catalogues électroniques et des configurateurs de produits. TraceParts propose des services de marketing numérique pour aider les fabricants de composants, les fournisseurs d’impression 3D, les éditeurs de logiciels et les fournisseurs de matériel informatique à promouvoir leurs produits et services et à générer des prospects B2B de grande qualité. Le portail TraceParts est accessible gratuitement à des millions d’utilisateurs CAO dans le monde entier. Il donne accès à des centaines de catalogues de fournisseurs et à plus de 100 millions de modèles CAO et fiches techniques qui répondent parfaitement aux besoins spécifiques des processus et des opérations de conception, d’achat, de fabrication et de maintenance.   À propos de BIM&CO – bimandco.com/fr – @bimandco BIM&CO évolue dans le monde de la digitalisation de la construction, en particulier dans le BIM, Building Information Modeling.   BIM&CO est un éditeur de logiciels SaaS qui propose aux acteurs de la construction et aux fabricants, des solutions de gestion et partage de leurs objets BIM. BIM&CO apporte un vrai gain opérationnel, en gérant l’ensemble des objets BIM constituant la maquette numérique, telle une base de données, et en assurant leur compatibilité avec les standards et logiciels du marché.   Son positionnement « au-delà des standards », s’appuie sur sa technologie d’harmonisation des données et permet aux clients de bénéficier pleinement de la valeur du BIM : réduire les erreurs, réaliser des calculs rapidement, connecter et documenter pour mieux exploiter, accélérer et automatiser les échanges avec les fournisseurs, ou encore mieux choisir les produits dont le projet a besoin.   BIM&CO est un acteur global, présent à Paris, Bologne, Madrid et en Asie. BIM&CO s’appuie sur son réseau de partenaires pour construire une communauté de spécialistes.   Contact Presse BIM&CO : press@bimandco.com
Il y a 4 ans et 126 jours

Anhydritec : « L’année 2021 sera celle de l’évolution majeure de la Thermio+ »

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Francis Augustin, directeur marketing et commercial Europe d’Anhydritec. [©Anhydritec]    Anhydritec existe depuis 7 années. Quel regard portez-vous sur le chemin parcouru ? Et le futur ? Francis Augustin : Anhydritec s’inscrit dans la continuité de La Chape Liquide, marque née il y a 30 ans. Marque forte aussi, qui s’est “générisée” au fil du temps. Pour beaucoup, Chape Liquide et chape fluide sont des synonymes. Aujourd’hui, notre politique est de mettre en avant le nom Anhydritec et d’estomper La Chape Liquide, au profit des marques que sont Thermio+, Excelio, Initio Classic… En rejoignant le groupe espagnol Minersa, en 2013, nous nous sommes enrichis, réciproquement. Tout en réalisant une intégration verticale, aboutissant à une meilleure maîtrise de nos matières premières. Avec Minersa, nous sommes passés d’une approche par pays à une stratégie transversale. Chaque marché se nourrit des expériences de tous. Ainsi, Excelio en est un exemple emblématique : l’expérience sur les chapes adhérentes, répandues aux Pays-Bas, a été le point de départ du développement d’Excelio. A commencer par le Royaume-Uni, marché où ce type de solutions n’existait pas. Nous allons continuer notre stratégie d’innovation et de différenciation en Europe. La Slovaquie est le prochain pays sur notre liste. En revanche, en Allemagne, l’adoption de l’innovation est plus lente, car ce marché est très réglementé et apparaît plus conservateur. Pourtant, c’est là que sont nées les chapes fluides anhydrite, il y a plus de 50 ans. Enfin, en France, nous restons n° 1, dans notre domaine d’activité. Quelque 230 centrales à béton proposent nos solutions et près de 600 entreprises applicatrices sont agréées Anhydritec. Vous lancez des technologies additionnelles. En quoi consistent-elles ? SP ou “Sans pellicule/sans ponçage” est la première technologie additionnelle que nous avons lancée. C’est une solution intéressante, en termes de gain de temps pour les entreprises applicatrices. Ce principe est demandé ou attendu, en particulier par des pays matures, comme la France ou le Royaume-Uni. Nous en poursuivons le développement avec deux nouvelles technologies. Tout d’abord, la solution SA ou “Séchage accéléré”. Son développement a nécessité 3 années de travail, dont 2 ans de tests sur le terrain. SA est commercialisée depuis 2 ans maintenant. Son action : faire sécher la chape plus vite, en provoquant une évacuation plus rapide de l’humidité. Le processus se fait, entre autres, via une modification de la structure interne de la chape. L’autre technologie additionnelle s’appelle R+R ou “Recouvrement plus rapide”. Cette fois-ci, il s’agit de permettre de recouvrir la chape plus tôt, malgré une humidité résiduelle plus importante : 2 % dans le cas du carrelage contre 1 % pour les autres chapes anhydrite sans R+R. Cette solution est sous Avis technique depuis le printemps 2019. SA et R+R sont des complémentaires. Elles sont proposées avec les chapes fluides Classic et Thermio+. D’autres technologies additionnelles verront le jour dans le futur… Au-delà de ces “compléments”, Anhydritec prépare-t-il le lancement de nouvelles chapes fluides ? L’année 2021 sera celle de l’évolution majeure de la Thermio+. Cette chape fluide anhydrite avait été lancée à l’occasion de la mise en application de la RT 2012. Avec l’arrivée de la RE 2020, elle sera disponible dans une nouvelle génération. D’autres chapes sont aussi au programme, mais pour plus tard. Beaucoup de choses nouvelles sont proposées depuis quelques mois. Une innovation majeure par an est un bon rythme. Une nouveauté, c’est 50 % de recherche en laboratoire, 50 % de tests sur chantiers. A quoi il faut ajouter 50 % à 100 % de temps additionnels pour accompagner le déploiement sur le terrain ! Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92
Il y a 4 ans et 126 jours

Icade choisit les interphones avec ou sans fil Urmet

Le contrat de partenariat référence une liste de produits de fabrication française : les plaques de rue, claviers codés connectés, kits de gestion à distance (modem), boutons poussoirs, badges, télécommandes et moniteurs vidéo.Urmet recommande aussi les partenaires installateurs Urmet Premium partout en France pour mettre en œuvre les solutions sur les projets Icade.La Direction Technique et Achats d’Icade Promotion explique l’importance d’un tel contrat : « Nous tendons vers la simplification de la conception et l’anticipation des usages de demain. L’harmonisation des choix de matériaux et d’équipements des halls et des parties communes des programmes de logement s’inscrivent dans cette démarche. La proposition d’Urmet France répond au triptyque du concept « hall by Icade » : être fonctionnel, sensoriel et connecté avec un niveau de prestation évolutif selon la gamme choisie pour chaque programme. Ce que nous avons retenu dans l’offre d’Urmet c’est l’ouverture et l’évolutivité de la solution Tel2Voice afin de pouvoir répondre à des usages d’aujourd’hui, mais aussi à ceux de demain avec un système pouvant s’interfacer avec nos smartphones si besoin ».Cyril Roumier, responsable prescription nationale pour Urmet France ajoute : « nous avons pu nouer une relation privilégiée avec lcade qui perçoit tout l’intérêt de notre interphone hybride. Dans le logement, les résidents peuvent, suivant leur mode de vie, répondre avec un poste audio ou vidéo ou avec un smartphone. Notre offre Tel2Voice préserve le choix de chacun, sans contraindre au seul smartphone qui n’est parfois pas adapté, faute de réseau suffisant par exemple, ou pour les jeunes enfants, les amis, les locataires fréquents. Grâce à la plateforme en ligne Visiosoftweb, le gestionnaire peut entre autres administrer en temps réel et à distance, ses contrôles d’accès, changer des codes claviers ou communiquer une information sur l’écran de la platine. Ce gain de temps génère moins de charges pour la copropriété. Urmet rejoint la vision d’Icade d’un logement durable et connecté qui est à l’écoute des besoins des résidents. »Icade est un opérateur immobilier intégré, qui conçoit des produits et des services immobiliers. Société cotée (SIIC) sur Euronext Paris. Ses actionnaires de référence sont le Groupe Caisse des Dépôts et Crédit Agricole Assurances. C’est à la fois une foncière, un développeur et un promoteur, 6è acteur en France pour plus de 6.000 logements par an et 1er acteur sur le tertiaire, avec 100.000 m² de surface de bureau par an. Plaçant la RSE et l’innovation au cœur de sa stratégie, Icade est au plus près des acteurs qui font la ville et allie l’investissement en immobilier tertiaire et de santé à la promotion pour contribuer à l’émergence des villes de demain, vertes, intelligentes et responsables.
Il y a 4 ans et 127 jours

Au Pays-Bas, le Pavillon Loenen, signé KAAN, est un mémorial multifonction

KAAN Architecten a livré en novembre 2020 à Loenen (Pays-Bas) un mémorial dédié à la mémoire des victimes néerlandaises de la Seconde Guerre mondiale et des conflits internationaux plus récents. Au programme de ce bâtiment multifonction de 583 m² : auditorium, espace éducatif, salle d’exposition, espace condoléances. Communiqué. Conçu à la demande de la fondation néerlandaise […] L’article Au Pays-Bas, le Pavillon Loenen, signé KAAN, est un mémorial multifonction est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 127 jours

Le confort d’usage et le plaisir d’habiter sont l’essence du projet Woodway

Séméio architecture réalise Woodway, un programme de 62 appartements en accession sociale à la propriété, inspiré des... Cet article Le confort d’usage et le plaisir d’habiter sont l’essence du projet Woodway est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 127 jours

Habiter autrement dans les petites villes de demain

Le 1er octobre 2020, Jacqueline Gourault a annoncé le lancement du programme Petites Villes de demain, porté par l’Agence nationale de cohésion des territoires (ANCT). Ce programme est une véritable boîte à outils qui permet aux villes de moins de 20 000 habitants de bénéficier d’un soutien spécifique de l’État et de ses partenaires pour leurs projets de revitalisation. En février 2021, une consultation lancée pour deux mois auprès des communes en constitue la première étape et répond à un double objectif : identifier les besoins nécessitant un soutien public pour concevoir et déployer des projets d’habitat innovant, en particulier inclusif en cœur de ville et identifier des initiatives et des conditions de réussite pour favoriser le partage d’expérience et d’initiatives entre petites villes de demain. Un groupe de compagnonnage entre élus intéressés et mobilisés autour des enjeux de l’habitat et de la transition démographique sera mis en place dans le cadre du club Petites Villes de demain, en s’appuyant sur des territoires pionniers en la matière.
Il y a 4 ans et 128 jours

« Prise d’Assaut » : une résidence de création d’arts visuels à Ajaccio

Dans le cadre du programme d’activation de la Citadelle, la Ville d’Ajaccio et la SPL Ametarra, avec l’appui de Manifesto, proposent une résidence de création de quatre mois. Jusqu’au 9 mars 2021. Dans le cadre d’un concours, cet appel à création vise à sélectionner un.e artiste pour une résidence de création au sein de la […] L’article « Prise d’Assaut » : une résidence de création d’arts visuels à Ajaccio est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 130 jours

Et la Journée de la Prévention devint semaine…

Créée en 2008 par la Fédération française du bâtiment, La Journée de la Prévention se déroule une fois par an et réunie près de 35 000 personnes. Cette opération est destinée aux chefs d’entreprise, salariés et apprentis. Elle a pour but de renforcer leurs connaissances et leurs pratiques en matière de prévention, face aux risques professionnels dans le BTP. Cette année, la FFB a décidé de modifier les règles et transforme cet évènement en “La Semaine de la Prévention”. Ainsi, durant une semaine du 29 mars au 2 avril, les professionnels du BTP auront l’opportunité d’être informés ur les risques du BTP et les moyens de s’en prémunir. Le nouveau dispositif mis en place sera proposé en 100 % digital. Il reposera sur un programme de 40 webinaires. Avec à la carte, santé et prévention. Une semaine pour se munir face aux risques professionnels Les objectifs de cet évènement restent identiques à La Journée de la Prévention. La différence repose sur un format plus souple, comprenant une variété de choix plus large. Notamment dans les horaires, les contenus ou encore dans les thématiques. Les sujets abordés porteront sur les risques routiers, sur les poussières et risques chimiques, sur les travaux en hauteur, sur les manutentions manuelles et troubles musculo-squelettiques. Et sur l’accueil dû à la santé et à la sécurité sur des chantiers, mais aussi, au sein des locaux administratifs. Parmi les collaborateurs historiques de la FFB, l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP), les Services interentreprises de santé au travail du bâtiment et des travaux publics (Sist BTP) et enfin, l’Assurance Maladie. L’objectif de cette semaine n’est pas des moindres. Pour la FFB et ses partenaires, il s’agit de promouvoir la prévention des risques professionnels. Et pour les chefs d’entreprise de fédérer leurs équipes sur ces potentiels contraintes. Une belle semaine de prévention est à prévoir. Pour y participer, un lien sera disponible à la fin du mois de février.
Il y a 4 ans et 130 jours

Leica Geosystems simplifie la capture de la réalité pour accompagner le secteur du bâtiment dans sa transition numérique

L’essor du BIM, qui permet aux professionnels de gagner en temps, en qualité, en sécurité et en rentabilité, nécessite en amont de disposer de données de mesure complètes et fiables.C’est l’objectif de la capture de la réalité, un secteur d’excellence pour Leica Geosystems qui multiplie les innovations alliant simplicité et précision afin de rendre accessibles à tous les métiers de la filière ces technologies de numérisation 3D.En parallèle, de nombreux acteurs ont fait leur apparition sur le marché pour accélérer cette mutation, à l’instar de Capture Solutions, distributeur agréé Leica Geosystems, qui accompagne les professionnels dans leurs projets de capture de la réalité et de traitement des données.La capture de la réalité dans la constructionÀ l’heure de la transition énergétique, de la neutralité carbone et des territoires intelligents, le secteur du BTP a pris le virage du digital et la maquette numérique collaborative s’impose progressivement dans les opérations de construction.Le déploiement du BIM (Building Information Modeling) et des outils digitaux, encouragé par les pouvoirs publics à travers le plan BIM 2022, a ouvert la voie à de nouvelles méthodes de travail permettant de fluidifier la collaboration des intervenants, d’améliorer la qualité des ouvrages et surtout, de gagner un temps précieux, gage de performance et de rentabilité pour les entreprises.Dans ce contexte, les données sont devenues essentielles pour améliorer l’acte de construire. Les solutions de capture de la réalité permettent de collecter des millions de points de données, de les transformer en nuages de points et de les intégrer à différents outils logiciels.Ce process de numérisation du réel permet d’obtenir des modèles 3D et jumeaux numériques qui seront utilisés à toutes les étapes des projets, de la conception à la construction et à l’exploitation des ouvrages.Les applications sont très nombreuses : lors de la conception, il est possible de capturer un ensemble de données complet et exact concernant la situation ou le paysage, pour produire un plan numérique détaillé du projet, lors de la construction, les maîtres d’œuvre peuvent comparer un nuage de points relevé sur site à une certaine étape du projet avec la maquette numérique de conception, et ainsi identifier les problèmes, éviter les retards...Toutes les parties peuvent collaborer tout au long des projets au moyen de modèles 3D à jour de l’existant et des plans de conception. En intégrant des données exactes et fiables qui font fusionner le monde réel et le monde numérique, les projets de construction bénéficient ainsi d’une meilleure planification, d’une meilleure conception et d’une meilleure exécution.Les solutions Leica Geosystems au service de la constructionToujours à l’écoute des attentes des professionnels, Leica Geosystems contribue par ses innovations à simplifier la capture de la réalité pour la rendre accessible à l’ensemble des métiers de la filière.Son offre, la plus étendue du marché, couvre en effet tous les besoins avec une large palette de solutions d’acquisition 3D statiques et dynamiques, à la fois agiles, précises et rapides.En quelques années, la technologie Leica Geosystems s’est développée pour offrir une vitesse d’acquisition et une précision accrues, des appareils toujours plus petits, plus légers, plus nomades mais également des fonctionnalités et des logiciels très aboutis, permettant aux professionnels de disposer de solutions performantes et simples d’utilisation, et de gagner un temps précieux.Les scanners laser Leica Geosystems permettent ainsi de collecter simplement et rapidement des millions de points de données de haute précision sous forme de nuages de points afin de créer des représentations exactes de la réalité à quelques millimètres près, aisément intégrables à différents outils logiciels.Systèmes complets, les solutions Leica Geosystems incluent également les outils logiciels, terrain et bureau, intégrant ainsi l’ensemble du flux de travail, de l’acquisition, au traitement des données et à la production de livrables.Parmi les innovations Leica GeosystemsLe scanner laser le plus rapide du marché (vitesse d’acquisition jusqu’à 2 millions de points par seconde), le Leica RTC360, combiné au logiciel terrain Cyclone FIELD 360 ainsi qu’au logiciel de bureau Cyclone Register 360, permet d’automatiser la collecte et l’assemblage des données.La solution la plus légère (1kg) et la plus simple d’utilisation avec un seul bouton, le Leica BLK360 est un scanner laser avec imagerie compact qui utilise un télémètre laser à 360° et des images panoramiques haute définition pour créer des nuages de points 3D.Compatible avec les logiciels Leica Geosystems et Autodesk, il simplifie le transfert des données et la production de livrables.Le Leica BLK2GO, scanner laser d’imagerie ultra mobile, permet d’effectuer un relevé 3D précis pendant que l’utilisateur est en mouvement. Il offre une mobilité accrue et simplifie ainsi la numérisation de lieux et d’objets jusqu’alors peu ou pas accessibles avec précision, rapidité et une exceptionnelle fluidité grâce aux technologies LiDAR (télédétection laser sur deux axes), SLAM (localisation et cartographie simultanées) et edge computing (traitement des données à la périphérie).Le point de vue d’un expert de la 3DDistributeur exclusif agréé Leica Geosystems, Capture Solutions accompagne depuis janvier 2020 les professionnels du secteur – bureaux d’étude, architectes, et plus largement tous les corps de métiers touchant à la construction et au patrimoine - dans leurs projets de capture de la réalité en région Île-de-France, Centre et Normandie. Créée par Romain Sommero et Jonathan Choinard, deux anciens collaborateurs Leica Geosystems experts des technologies 3D, Capture Solutions propose du matériel à la location et à la vente et intervient en conseil et formation.« L’arrivée de nouveaux capteurs a permis la démocratisation des solutions de numérisation 3D et notre rôle est de développer ce marché, de déceler les nouveaux besoins pour accompagner et accélérer la transition numérique du secteur de la construction » explique Romain SOMMERO, « Aujourd’hui, nous observons une évolution du besoin de nos clients. Nous souhaitons leur faciliter l’accès et la prise en main à ces technologies avec un service adapté. L’accompagnement que nous proposons permet de valoriser leurs chantiers et démocratise l’usage de la 3D. »
Il y a 4 ans et 132 jours

Paris-Saclay : trois lots attribués dans la Zac de Moulon

CONCOURS. Trois équipes d'architectes ont été choisies pour réaliser, pour Seqens, un programme de 181 logements sociaux, et une maison médicale, sur le quartier de Moulon, au sein du Campus urbain de Paris-Saclay.
Il y a 4 ans et 133 jours

SAMSE pour trouver un emploi rapidement dans le domaine du BTP

Envie de travailler dans le domaine du BTP ? C’est un marché en pleine tension depuis quelques années. Construction pour de simples particuliers, soutien pour les promoteurs immobiliers, ou simplement conseils pour les bricoleurs du dimanche et les professionnels dans ce domaine : le secteur ne souffre pas de la crise. Le tout est de trouver l’emploi qui vous convient. Et le groupe SAMSE est là pour vous aider en ce sens SAMSE Recrute : la nouvelle plateforme de recrutement pour les métiers du BTP Désormais, pour trouver un emploi, vous ne pouvez pas vous passer des plateformes de recrutement. Dans le domaine du BTP, vous avez entre autres SAMSE Recrute. C’est un incontournable dans son domaine. Créé en 1920, SAMSE groupe est connu dans le domaine du BTP. À l’origine, il propose 29 enseignes de vente de produits de bricolage et de BTP pour les amateurs et les professionnels. Désormais, il s’est diversifié pour proposer notamment des offres intéressantes et un accompagnement personnalisé pour les pourvoyeurs d’emploi. Son objectif n’est pas seulement de vous placer dans telle ou telle entreprise, mais de vous trouver le poste idéal qui correspond le plus à votre profil et à votre personnalité. Cariste, magasinier, approvisionneur, technico-commercial, etc. en emploi logistique, les postes à responsabilités ne manquent pas. Et le groupe travaille aussi désormais avec différents collaborateurs pour vous proposer des emplois dans le domaine de la construction directement : chef de chantier, conducteur PL, etc. La force et les avantages SAMSE La plateforme SAMSE recrute est un allié à ne pas manquer pour vous qui avez envie de vous lancer dans le domaine des travaux BTP. Outre ses années de métier dans ce domaine, cette dernière profite de 350 points de vente dans toute la France qui seront toujours en quête de nouvelles têtes. De quoi vous promettre de trouver un emploi rapidement. Et au-delà de ses magasins et points de vente, le groupe travaille aussi en collaboration avec 5 770 professionnels en tout dans toute la France et 29 enseignes dans les différents départements de France. Profitez de ses années d’expérience dans le domaine du BTP pour vous accompagner dans vos recherches. Les conseillers de cette nouvelle plateforme prennent en compte vos envies, vos demandes, mais aussi votre personnalité pour vous proposer une offre. Le but étant de vous trouver un emploi qui vous durera des années et dans lequel vous vous sentirez à l’aise. SAMSE Recrute : comment ça marche ?  Mais comment ça marche exactement ? Pour vous aider à construire votre carrière dans ce domaine, sur le site du groupe SAMSE, vous avez différentes catégories de métier au choix : le commerce et la vente, la logistique et le transport, le service à la clientèle ou les métiers de la sécurité et de la prévention, les postes à responsabilité dans l’administration ou dans l’achat, voire dans la comptabilité, la finance, le juridique, la communication, les RH ou encore l’informatique. Faites votre choix. Les offres sont disponibles directement sur la plateforme de recrutement où vous pouvez postuler en direct. Le système n’est guère différent des autres sites de recrutement disponibles sur le marché, à la différence près que toutes les offres concernent ici le monde du BTP uniquement. Et pour vous permettre de ne pas manquer la moindre offre intéressante, le site vous propose même un système de « job alert ». Il s’agit d’un programme qui vous propose une notification sur votre smartphone à chaque fois qu’une nouvelle offre dans le domaine qui vous intéresse est disponible sur la plateforme.
Il y a 4 ans et 133 jours

“Ceci n’est pas une porte”, le premier projet du Studiolo

Le Pavillon de l’Arsenal inaugure le Studiolo, programme ouvert de micro-expositions visibles depuis le... Cet article “Ceci n’est pas une porte”, le premier projet du Studiolo est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 133 jours

Edilians et Adecco lancent un dispositif innovant d’envergure pour former des couvreurs-zingueurs

Même si le secteur du BTP a été impacté par la crise sanitaire, certaines professions continuent de faire face à une pénurie de main d’œuvre. C’est le cas des entreprises de couverture qui, entre les départs à la retraite sans trouver de repreneur et un métier jugé peu séduisant par les jeunes, peinent à trouver des profils qualifiés. Pour aider ces artisans du bâtiment à trouver les candidats nécessaires à la continuité et au développement de leur activité, Edilians se mobilise et s’associe à Adecco. Ensemble, ils lancent une opération d’envergure, inédite dans le secteur, visant à former et recruter les couvreurs-zingueurs de demain. FORMATION & RECRUTEMENT : précurseur, Edilians soutient le métier de couvreur-zingueur Partenaire d’Adecco depuis plus de 20 ans dans le cadre de la gestion des recrutements pour l’ensemble des 14 sites industriels d’Edilians, c’est tout naturellement que le leader français de la tuile terre cuite et le leader mondial des solutions de Ressources Humaines se sont rapprochés pour créer une véritable formation en alternance au métier de couvreur-zingueur, ouverte à tous (hommes et femmes). Entièrement pris en charge, ce programme d’enseignement est dispensé dans un premier temps à Lille, Lyon, Beauvais, Reims et Toulouse via la filiale formation Adecco Training, et en partenariat avec le réseau Greta, Les Compagnons du Devoir et du Tour de France ainsi que l’INSTEP. D’une durée de 12 mois, il allie théorie et pratique à raison de 462 heures de cours, avec des modules dédiés à la pose des produits Edilians, et 1358 heures en entreprise en contrat d’apprentissage ou de professionnalisation. A l’issue de la formation, les candidats reçoivent un diplôme d’état Titre Professionnel niveau 3 de Couvreur-Zingueur et peuvent ainsi postuler à de nombreuses offres d’emploi partout en France, à une rémunération attractive ! Quant aux entreprises à la recherche de collaborateurs compétents et motivés, tout est mis en œuvre pour les accompagner dans leur processus de recrutement. Quel que soit le profil recherché, Adecco leur propose une solution clé en main, adaptée à leur besoin d’effectifs, et leur facilite la mise en relation avec les candidats grâce à une hotline et un interlocuteur dédié par ville. UNE CAMPAGNE DE COMMUNICATION à la hauteur de l’enjeu Pour annoncer cette initiative inédite, Edilians et Adecco déploient une importante campagne de communication. Officiellement lancée depuis le 26 janvier, elle s’adresse à : toutes les entreprises de couverture souhaitant être accompagnées dans leur problématique de formation et de recrutement, tous les candidats potentiels en vue d’une reconversion au métier de couvreur-zingueur, quel que soit leur profil (homme/femme, tous horizons, tous âges, en activité/au chômage). Outre la réalisation d’une vidéo par cible (entreprise/candidat) et la création d’une page web dédiée, cette opération de recrutement sera visible sur les réseaux sociaux (Twitter, Instagram, LinkedIn, Facebook) ainsi que sur le site de petites annonces Le Bon Coin. Elle sera également relayée sur l’application Adecco & Moi par le biais de notification et via un emailing co-brandé ayant comme message clé : « formons ensemble les compétences de demain : couvreur-zingueur ». Avec pour objectif de former plusieurs milliers de personnes dans les 5 prochaines années à travers ce partenariat, cette démarche témoigne de la volonté d’Edilians de développer les compétences et la formation, et s’inscrit dans la démarche gouvernementale « 1 jeune 1 solution ». Elle illustre également l’ancrage territorial fort de l’entreprise et son profond attachement aux différentes régions de France dans laquelle elle est présente.
Il y a 4 ans et 133 jours

Nouvelle Caméra thermique testo 883 : Une qualité et une gestion automatique des images

La thermographie infrarouge est extrêmement utilisée pour mettre en évidence des échauffements sur des infrastructures électriques en charge, par exemple, et réaliser des actions correctives qui évitent tout arrêt de la production et pertes d’exploitation. Alliant qualité parfaite et gestion automatique des images, la nouvelle caméra thermique testo 883 a été spécialement conçue pour faciliter le travail de contrôle des installations (armoires électriques,…) d’un site par les techniciens de maintenance. Ses fonctions inédites garantissent un travail rapide et fiable. Une qualité d’image parfaite La caméra thermique testo 883 bénéficie d’une résolution infrarouge de 320 x 240 pixels, extensible à 640 x 480 pixels grâce à la technologie testo SuperRésolution intégrée. De plus, la mise au point manuelle assure le contrôle total et des images thermiques nettes. testo SiteRecognition : Plus besoin d’attribuer manuellement les images sur PC ! Les techniciens de maintenance sont tous confrontés à la même difficulté lorsqu’ils réalisent des images thermiques d’une installation : de nombreux objets de mesure semblables donnent des images thermiques similaires. Jusqu’à présent, ils étaient obligés d’investir du temps pour créer des listes ou d’ajouter un commentaire vocal à chaque image thermique individuel afin de pouvoir attribuer les images correctement après une routine d’inspection. La technologie testo SiteRecognition de la nouvelle caméra testo 883 prend désormais en charge l’identification du lieu de mesure, l’enregistrement et la gestion des images thermiques de manière totalement automatique. En évitant les confusions et les erreurs d’évaluation, cette fonction fait gagner du temps au technicien car l’attribution manuelle des images n’est plus nécessaire. Outre la gestion des lieux de mesure avec testo SiteRecognition, le logiciel testo IRSoft permet de réaliser également l’analyse, le traitement et la documentation détaillés des images thermiques. Il est téléchargeable gratuitement sur : www.testo.com/irsoft. Une commande particulièrement intuitive La combinaison intelligente de l’écran tactile et du joystick éprouvé de Testo rend le travail plus efficace et rapide. Toujours connecté pendant le travail L’App testo Thermography offre également de nombreux atouts au technicien : réalisation d’analyses rapides sur site (ajout de points de mesure et/ou de commentaires, détermination de la courbe de température, …) ou intégration des valeurs de mesure de la pince ampèremétrique testo 770-3 dans l’image thermique, utilisation d’un Smartphone ou d’une tablette comme deuxième écran, commande à distance de la caméra thermique, documentation : sélection d’images, saisie des données pertinentes, prévisualisation et envoi du rapport par e-mail. Téléobjectif interchangeable Pour réaliser une thermographie précise des bâtiments ou d’objets éloignés, l’objectif standard 30° x 23° de la caméra thermique testo 883 est remplacable par un téléobjectif 12° x 9°.   Avec une qualité d’image parfaite et une gestion automatique de celles-ci, la nouvelle caméra thermique testo 883, proposée seule ou en kit, constitue une véritable aide efficace pour les techniciens de maintenance d’un site.
Il y a 4 ans et 133 jours

Nouvelle Caméra thermique testo 883, une aide efficace pour les conseillers en rénovation énergétique

Elle voit tout et offre une assistance intelligente Recherche de ponts thermiques et défauts d’isolation, détection de vices de construction…, Pour conserver ou augmenter la valeur de leurs biens immobiliers, particuliers et entreprises font confiance aux recommandations des conseillers en rénovation énergétique. La nouvelle caméra thermique testo 883 a été spécialement développée pour ces professionnels qui ont besoin d’un outil aux fonctions intelligentes pour détecter la moindre différence de température d’un bâtiment, analyser en détail les images et réaliser rapidement des rapports thermographiques fiables avec une qualité d’illustration parfaite. Une qualité d’image parfaite La caméra thermique testo 883 bénéficie d’une résolution infrarouge de 320 x 240 pixels, extensible à 640 x 480 pixels grâce à la technologie testo SuperRésolution intégrée. En outre, la sensibilité thermique inférieure à 40 mK permet de mettre en évidence même les différences de température minimes lors du conseil en rénovation énergétique et de la thermographie des bâtiments. Rédaction aisée et rapide de rapports thermographiques professionnels Grâce l’écran tactile qui facilite l’accès au menu et à l’outil de rédaction de rapports du logiciel intuitif testo IRSoft, les rapports professionnels sont créés de manière rapide et aisée. Les images infrarouges et réelles s’affichent simultanément à l’écran dès l’analyse et sont automatiquement ajoutées à celuici. Différents modèles sont disponibles (format PDF ou RTF au choix), tant pour une documentation courte et rapide que pour des rapports détaillés. Ils reprennent toutes les informations pertinentes sur le lieu et les tâches de mesure, ainsi que les résultats des analyses. L’éditeur de rapport du logiciel permet aussi de générer des modèles personnalisés pour les compte-rendus individuels. Sans licence, le logiciel est téléchargeable gratuitement. testo ScaleAssist : Réglage automatique du contraste pour des images thermiques comparables Lors d’une thermographie de bâtiments, les professionnels sont souvent confrontés à la même problématique : les images d’un même objet peuvent différer en fonction de la température intérieure et extérieure. La technologie testo ScaleAssist résout ce problème en réglant automatiquement l’échelle de la caméra thermique de manière optimale après la saisie des températures intérieure et extérieure. Ceci offre deux avantages : l’obtention d’images thermiques comparables de manière objective et un contraste optimal. Les éléments qui dérangent ou n’ont pas d’importance sont automatiquement masqués et les défauts de construction ne sont affichés que s’ils existent réellement. De plus, le mode « humidité » aide à visualiser le risque de moisissures au niveau des failles thermiques dans l’image avec les couleurs du feu tricolore. Les valeurs de mesure nécessaires à cet effet, à savoir la température et l’humidité de l’air intérieur, peuvent être transmises sans fil à la caméra testo 883 par le thermo-hygromètre testo 605i en option. Grâce à ces fonctions, le professionnel voit tout de suite ce qui importe et offre à ses clients une détection précise et fiable. Toujours connecté pendant le travail L’App testo Thermography autorise le transfert des mesures en direct sur un Smartphone ou une tablette afin que le client les visualise en même temps. Téléobjectif interchangeable et mise au point manuelle pour un contrôle total Pour réaliser une thermographie précise des bâtiments ou d’objets éloignés, l’objectif standard 30° x 23° de la caméra thermique testo 883 est remplacable par un téléobjectif 12° x 9°. De plus, la mise au point manuelle garantit le contrôle total et des images thermiques nettes.   Avec une qualité d’image parfaite et la réalisation de rapports professionnels, la nouvelle caméra thermique testo 883, proposée seule ou en kit, constitue une véritable aide efficace pour les conseillers en rénovation énergétique.
Il y a 4 ans et 134 jours

La plateforme de location touristique Airbnb fait un pas vers la transparence demandée par les villes

Vendredi, le ministère du Logement avait appelé les plateformes et leurs fédérations à "s'engager sur la mise en œuvre" d'une "feuille de route" qui établit "les attentes de l'État et des collectivités", et fixe un "programme de travail commun" entre l'État, 7 associations de collectivités territoriales et 30 villes, agglomérations et métropoles.En conséquence, Airbnb annonce apporter des "garanties" partielles: ainsi la plateforme va veiller à ce que les annonces de "logements entiers loués en courte durée soient enregistrées auprès des autorités locales à "Paris, Lyon et Bordeaux" à partir d'avril ou juin, puis du second semestre à Lille, Marseille, Nantes, Nice, Strasbourg et Toulouse, indique un communiqué.Toutefois les locations de "moyenne et longue durée" pourront toujours être réservées, même si le logement est dépourvu de numéro d'enregistrement.La plateforme va aussi permettre aux villes de trouver sur un "guichet en ligne", "des données sur l'activité des locations meublées touristiques, la collecte de la taxe de séjour" et y signaler des annonces problématiques.Airbnb indique par ailleurs, sans engagement concret, son intention de "soutenir le gouvernement" dans sa volonté de permettre aux villes de pouvoir "comparer plus facilement les données partagées" par les plateformes.Si toutes les plateformes jouent le jeu, cela permettra aux autorités de vérifier que les propriétaires ne dépassent pas la limite des 120 jours de location par an imposée aux résidences principales.Enfin, une "nouvelle ligne téléphonique" permettant aux voisins de "signaler toute nuisance" sera lancée au second semestre.Selon la plateforme, les propriétaires ayant "accueilli leurs premiers voyageurs depuis le début de la pandémie" ont bénéficié d'un "complément de revenu de 125 millions d'euros".
Il y a 4 ans et 137 jours

« Nous plaidons pour le zéro bonification dans les certificats d’économie d’énergie », Franck Annamayer, P-DG de Sonergia

Loin de dénoncer la diminution de la part des coups de pouce de Ma Prim’Rénov, Sonergia plaide pour la disparition de ce dispositif dans le programme des certificats d’économie d’énergie. Pour le P-DG Franck Annamayer, ces bonifications fragilisent la filière de distribution, en raison de leur instabilité.
Il y a 4 ans et 137 jours

Comment Traxxeo a accompagné en 2020 le secteur de la construction dans la transformation digitale

De nouvelles solutions pour soutenir les entreprises du bâtiment Depuis 2008, Traxxeo s'est spécialisé dans le développement des solutions numériques apportant le plus de valeur ajoutée aux entreprises du BTP. En 2020, la société a rapidement renforcé ses outils existants tout en développant de nouvelles solutions, pour permettre aux entreprises de faire face à cette période exceptionnelle. L'enjeu ? Augmenter la productivité sur le terrain grâce à la numérisation de la gestion des ressources mobiles.Avec les applications de pointage digital, contrôle de présences chantier, gestion documentaire, géolocalisation, contrôle d'accès, planification des ressources, gestion des transporteurs ou encore les rapports chantier ... chaque solution Traxxeo a considérablement évolué tout au long de l'année écoulée. Ces outils ont permis aux entreprises équipées de mieux faire face à la crise. Le besoin de contrôle de présence et de conformité administrative, par exemple, a fortement augmenté en 2020. Une transition numérique accompagnéeL'accélération majeure de la numérisation a bousculé les entreprises dans leurs habitudes, mettant en avant les faiblesses des processus actuels. Afin d'accompagner chaque entreprise dans la transition numérique, Traxxeo propose un suivi complet. Formations des équipes, workshops, webinaires dédiés aux problématiques du secteurs, contenus spécialisés... Traxxeo se veut plus qu'un éditeur de logiciel : un véritable partenaire, pour toute entreprise de construction. Regarder vers l'avenirEn 2020, de nombreuses entreprises de construction ont souhaité lancer ou renforcer leur collaboration avec Traxxeo. En 2021, la société continuera de développer ses solutions, en renforçant sa présence au Benelux, en France, en Suisse et en Espagne. Le développement international sur le marché européen et au-delà sera également important. 2021 sera donc une année remplie d'ambitions, dont celle de permettre à davantage de professionnels de la construction d'améliorer la productivité sur chantier, en tirant le meilleur parti des solutions digitales.
Il y a 4 ans et 137 jours

Le groupe Hellio présente ses nouvelles ambitions stratégiques à l'horizon 2022

Un nouveau positionnement : Hellio, l'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie en FranceDepuis sa création en 2008 sous la marque GEO PLC, Hellio reste le pionnier du marché des économies d'énergie en France (métropole et Outre-Mer). Le groupe, avec le soutien de ses bureaux d'études intégrés, adresse ses services à tous les consommateurs d'énergie : des particuliers aux entreprises, en passant par les collectivités locales, et ce pour tous les types de bâtiments et leurs équipements (habitat individuel et collectif, industriel, agricole, tertiaire public et privé).Hellio se démarque par le savoir-faire, l'innovation et la culture métiers de ses équipes sur toute la chaîne de valeur de la rénovation énergétique : du conseil à la réalisation des travaux garantis dans leur performance, en passant par la prise en charge administrative et financière pouvant aller jusqu'à 100 % selon le type de travaux (audit, conseil, renégociation de contrats d'énergie, travaux, fourniture de matériaux, financements, études et suivi de performance – CPE).Pour démocratiser les économies d'énergie, Hellio se positionne comme un interlocuteur unique pour toutes les problématiques de maîtrise de l'énergie, développant ses propres solutions en BtoB comme en BtoC.Partenaire de confiance, Hellio s'organise grâce à :Des équipes spécialisées proposant un accompagnement personnalisé et simplifié dans les démarches.6 bureaux implantés en France (métropole et Outre-Mer) pour interagir au plus près de l'échelon local.Un réseau de 6 500 artisans RGE agréés et audités qui oeuvrent chaque année à la réalisation de plus de 50 000 chantiers, et de 2 600 négoces de matériaux en France.Une expertise sur toutes les aides à la rénovation énergétique incluant une délégation historique aux Certificats d'Economies d'Energie et notre mandat administratif et financier MaPrimeRénov'.Au plus près des territoires, nous accompagnons les types de travaux suivants allant du sur-mesure à la rénovation globale :Particuliers : isolation, chauffage, rénovation globaleHabitat collectif : isolation, chauffage, rénovation globale, renégociation des contrats d'énergie, rénovation globaleIndustriels, tertiaire et agriculture : Indicateurs et Contrats de Performance Énergétique, groupes froids, tout équipement d'efficacité énergétiqueCollectivités : isolation, chauffage, ventilation, éclairage public, raccordement au réseau de chaleur…Engagé depuis plus de 12 ans, Hellio ambitionne de permettre au plus grand nombre de maîtriser son énergie : des solutions pour des économies d'énergies réelles, plus de confort et plus de pouvoir d'achat.Indépendant, expert et pleinement ancré dans la transition énergétique au quotidien, Hellio prend part à l'effort de relance pour faire de l'énergie de demain, une énergie positive et d'impact, au service de tous.Bilan du groupe en 20201 chantier sur 20 de rénovation énergétique sur lequel est intervenu HellioMaîtrise du changement de chaudières fioul, biomasse, gaz et PAC+ de 50 % de demandes d'audits énergétiques+ 12 ans de croissance+ 30 % de collaborateurs en 2020Des ambitions fortes pour 2021-2022Au service des particuliersHellio prend la responsabilité des travauxAu-delà des financements, Hellio est le seul acteur qui prend la responsabilité des travaux de rénovation énergétique sur l'ensemble de la chaîne de valeur : de l'étude de dimensionnement jusqu'à la réalisation du chantier et jusqu'au SAV. En amont des travaux, Hellio réalise les audits pour définir les travaux prioritaires et préconiser les meilleures solutions. Hellio se charge ensuite d'expliquer les aides, le reste à charge et la gestion administrative prise en charge par ses équipes pour le compte du particulier. Hellio réalise les travaux, via son réseau d'entreprises partenaires certifiées, et garantit le prix juste, avec toujours le même niveau de qualité. L'intervention de Hellio se termine avec la visite du bureau de contrôle, chargé de vérifier la bonne réalisation des travaux.50 000 visites techniques offertes aux particuliers en 2021Hellio a décidé d'allouer un budget spécial afin d'offrir 50 000 visites techniques aux particuliers en 2021. L'enjeu : trouver les moyens et les travaux les plus adaptés à chaque foyer et à chaque logement. C'est pourquoi, Hellio propose de réaliser une étude des logements pour préconiser les meilleurs travaux, afin de réduire les consommations énergétiques. Un chauffage adapté aux logementsDepuis son 1er programme d'économies d'énergie “Mes Ampoules Gratuites” en 2016 jusqu'à aujourd'hui, Hellio a appris à connaître les besoins de ses clients et a su développer une relation client de confiance pour apporter une solution personnalisée adaptée à chaque problématique.Dans la perspective de l'accompagnement pour la sortie du fioul en 2022, Hellio fait le choix de proposer tous les types de chauffage afin de conseiller les particuliers sur le plus adapté à leur habitat : biomasse, gaz, et prochainement la pompe à chaleur. En effet, Hellio reste persuadé qu'un seul type de chauffage ne peut apporter une solution unique pour tous les logements et chacun comporte ses avantages et ses limites : risque de mauvais dimensionnements pour les pompes à chaleur, barrières techniques pour l'installation d'une chaudière à granulés, etc. La pompe à chaleur apparaît aujourd'hui comme la solution de facilité, mais son installation n'est pas si simple et nécessite avant tout un dimensionnement approfondi.En proposant plusieurs solutions de chauffage, Hellio entend assurer la pérennité et la durabilité des équipements, garantir la baisse des consommations énergétiques du foyer et surtout s'assurer de ne pas mettre en péril la situation financière des ménages en installant des moyens de chauffage mal adaptés.Au service de l'habitat collectifRénovation globale des copropriétés avec un accompagnement en tant qu'assistant à maîtrise d'ouvrage (AMO) et pour l'obtention des financements MaPrimeRénov' Copropriétés et le Coup de pouce.Un engagement sur les économies d'énergie réellement attendues sur les chantiersLe passeport énergétique des copropriétésHellio a lancé le 1er janvier 2021 sa plateforme à destination des gestionnaires d'immeubles, pour favoriser la rénovation énergétique de leurs copropriétés. Suivi et demandes de travaux, valorisation des CEE, Hellio offre un service d'accompagnement personnalisé par copropriété afin d'accélérer l'accès à la connaissance des aides et des dispositifs de rénovation.Au service des collectivités localesÊtre un acteur de la relance des petits et moyens territoiresSolutions intégrées pour atteindre les objectifs du décret tertiaireL'équipe secteur public accompagne au plus près les territoires (de la commune jusqu'aux régions ), de la phase avant-projet à la réception des travaux, en mettant à disposition une ingénierie technique et financière afin de faciliter la réalisation de travaux offrant des performances énergétiques optimisées associées à un plan de financement maîtrisé.Au service de l'industrieRenforcement du déploiement des opérations spécifiques CEEAccompagnement des sites soumis aux quotas carbone, éligibles aux CEE uniquement sur des Opérations Spécifiques, avec des modalités réglementaires de montage de dossiers particulièresLancement d'un service d'obtention des aides France RelanceHellio est expert du financement de la performance environnementale qui englobe économies d'énergie et réduction des gaz à effet de serre. En tant qu'interlocuteur unique qui regroupe plusieurs compétences techniques et financières (gisements d'économies d'énergie et solutions via son bureau d'études), Hellio peut adresser des plans de financement complets et optimisés comprenant les aides dans le cadre de France Relance et du dispositif des CEE. Son objectif : optimiser le plan de financement pour ses bénéficiaires.Au service du tertiaire privéDéploiement d'offres clés en main supplémentaires (chauffage)Après l'isolation des combles, des planchers bas, des points singuliers et le calorifugeage en solutions clés en main, Hellio donne des moyens supplémentaires au tertiaire privé en proposant une offre complémentaire sur la conversion des modes de chauffage vers des solutions à impact carbone plus réduit grâce au dispositif Coup de pouce Chauffage tertiaire. Objectif : aider ces bâtiments à usage tertiaire dont la surface dépasse les 1 000 m² à atteindre les obligations du décret tertiaire, à savoir : une réduction de la consommation énergétique de 40 % en 2030, 50 % en 2040 et 60 % en 2050.Au service des négoces400 formations chez les négoces dès janvier 2021Convaincu depuis la première heure que les négoces sont les premiers relais d'informations auprès des professionnels, mais aussi des particuliers, grâce à leur maillage national pour promouvoir la rénovation énergétique, Hellio déploie depuis septembre 2020 un nouveau dispositif d'accompagnement : le guichet primes. Objectif : faire monter en compétences les négoces sur les aides possibles pour le financement des travaux de rénovation énergétique, et ainsi mieux conseiller leurs clients : les professionnels et les bénéficiaires des travaux. Une démarche qui s'avère nécessaire, comme le révèle une étude réalisée en ligne par Infopro Digital Etudes pour Négoce et Hellio, du 1er octobre au 8 novembre 2020, auprès 121 décideurs en négoce : seuls 54 % d'entre eux estiment connaître les démarches à effectuer, 51 % les aides financières existantes et 47 % les profils éligibles aux aides et les démarches à effectuer.Au service des professionnels du bâtimentRenforcement d'accompagnement / opportunité business et de qualité :Élargir le champs de compétencesÉvolution réglementaireHellio renforce son accompagnement auprès de ses entreprises partenaires de travaux en élargissant son service avec des chargés d'affaires supplémentaires pour la gestion administrative de leurs dossiers de financement et leurs quotations.Formation : Hellio Académie Hellio met un point d'honneur à faire monter en compétences ses entreprises partenaires pour les inciter à faire de la rénovation globale et pouvoir proposer plusieurs modes de chauffage.Ils ne doivent pas se limiter à un type de travaux, comme par exemple, l'isolation des combles, mais doivent être des professionnels qui renouvellent leur champ de compétences car ils sont la courroie entre l'actualité réglementaire et le terrain.Enfin, cette montée en compétences représente une réelle opportunité de développer et diversifier leur activité.Une nouvelle identité visuelleHellio s'adresse désormais à plusieurs types de consommateurs : grand public, collectivités, gestionnaires de l'habitat, grandes et petites entreprises, industriels, agriculteurs et professionnels de la rénovation. Pour refléter cette évolution, sa nouvelle identité a été conçue afin de s'adresser à chacun, de manière cohérente et homogène, à travers des codes et de visuels simples, affirmés et contemporains. Un nouveau logoMélangeant les bords arrondis et à angles droits, les lettres hellio s'adressent désormais avec un ton à la fois humain et professionnel.Le h se simplifie pour ne plus être un symbole uniquement à destination des particuliers (l'ancien h représentait la forme du toit d'une maison).“Votre énergie a de l'impact” : une nouvelle signature pour accompagner la communication B2B et B2C Combinant logotype et signature, le bloc-marque de Hellio renforce un message fort qui met l'humain au centre et lui donne un rôle d'acteur. Grâce aux services proposés par Hellio, l'énergie de ses clients a un impact financier et écologique qui leur permet d'améliorer leur quotidien, de réaliser leur projet et d'avoir de nouvelles ambitions, tout en protégeant la planète.Des symboles pour personnifier chaque secteurÀ chaque cible de Hellio correspond un symbole, conçu pour leur donner une voix, leur donner de l'impact. Ensemble, ces symboles forment une “famille”. Pour mettre en avant le développement d'une offre de services globale, Hellio a choisi une couleur par public pour montrer la diversité d'expertises et de solutions.De nouveaux sites InternetLe site Internet Hellio fait peau neuve et fait des petits ! Un site Internet corporate, aux couleurs de la nouvelle identité visuelle, s'adresse à l'ensemble des cibles pour présenter l'entreprise et ses actualités.Des sites dédiés à chacune des cibles ont été déclinés pour présenter les différentes offres pour les copropriétés et les particuliers.
Il y a 4 ans et 137 jours

Le Groupe ISB investit sur ses sites industriels et logistiques

Pour servir sa marque SILVERWOOD, le Groupe ISB investit 1,45 million d’euros en 2020 dans l’augmentation de ses capacités de production. Il accompagne ses deux activités : la transformation de bois rabotés et le trading de bois bruts, produits de structure et panneaux, dans le but de mieux répondre à ses clients. Le programme d’investissement a représenté le montage d’une ligne de rabotage, opérationnelle sur le 1er semestre 2021 et le montage d’un tunnel autoclave pour augmenter la capacité de traitement des produits sortis d’usine sur le site d’Honfleur. Sur le site de Saint-Malo, le montage d’une ligne de rabotage pour raboter des profils complexes à destination de la finition (peintures, saturateurs). Le Groupe a fortement recruté dans cette période afin d’accompagner l’accroissement de ses capacités de production (environ 30 personnes en 2020). Par ailleurs, un accord d’entreprise a été conclu avec les partenaires sociaux pour travailler la nuit sur les sites de Moult, Honfleur et Nantes sur des périodes définies afin de répondre aux besoins de l’activité du Groupe. La capacité logistique a, en outre, été repensée en centralisant et spécialisant les plateformes nationales de distribution des bois rabotés. Pour sa marque SINBPLA, le Groupe ISB va s’appuyer sur 3 grandes plateformes logistiques portuaires à Honfleur, Nantes et Rochefort pour régionaliser son activité trading. Un plan de stock a été construit pour répondre aux besoins locaux de chaque marché. Ces 3 plateformes s’appuient sur des infrastructures portuaires solides. Le Groupe ISB va d’ailleurs renforcer ses infrastructures pour augmenter ses capacités logistiques avec un investissement de 600 000 euros en 2021. Concrètement, cette évolution logistique représente sur le site d’Honfleur, un nouvel AOT supplémentaire d’une superficie de 20 000 m2 et deux bâtiments légers de 2 500 m2 chacun pour accueillir du stockage. Sur le site de Nantes, le montage d’un bâtiment de 2 500 m2, le doublement de la capacité de traitement classe 2 et l’arrivée d’une nouvelle calibreuse pour les produits de structure. Sur le site de Rochefort, 1 bâtiment de 1 500 m2 pour augmenter la capacité de stockage et d’une piste résinée pour les traitements classe 2. Ce site va également faire l’objet d’un programme d’investissement conséquent sur trois ans ayant pour but de moderniser son outil de production (nouvelles machines), d’équiper ses machines de système de détection/extension d’incendie et de maîtriser plus fortement son empreinte environnementale. Lauréat du plan France Relance, le Groupe a reçu une subvention de l’Etat qui va venir soutenir les investissements déjà lancés dont certains vont permettre de réduire de manière conséquente sa consommation d’énergie. Cette aide, d’un montant de 800 000 euros, devrait également accélérer un projet d’investissement de nouvelles machines dans le but d’élargir son offre de produits de structure bois et des services associés.