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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Nouvelles technologies

(2657 résultats)
Il y a 3 ans et 168 jours

Les professionnels de la construction partent en campagne auprès des jeunes

Dans les métiers de la construction, chaque jour est un nouveau défi… Pour le faire savoir, à l’initiative de l’ensemble des fédérations professionnelles d’employeurs et des organisations syndicales de salariés réunies au sein du conseil d’administration du CCCA-BTP, les professionnels de la construction partent en campagne avec « La Construction. Demain s’invente avec nous ».Cette campagne nationale s’adresse aux jeunes, pour leur faire découvrir la diversité et la richesse des métiers du bâtiment et des travaux publics et leur donner envie de rejoindre le secteur, en s’y formant par l’apprentissage. Lancée le 13 décembre 2021, elle se déploiera jusqu’au mois de juin 2022. La campagne s’inscrit dans le cadre de la dynamique de développement de l’apprentissage BTP du CCCA-BTP, au profit de l’ensemble des professionnels du bâtiment et des travaux publics, pour susciter de nouvelles vocations auprès des jeunes en quête d’orientation, futures forces vives du secteur de la construction.L’objectif de cette campagne ? Faire découvrir aux jeunes les atouts d’un secteur dynamique et innovant, qui offre à chaque talent de belles perspectives d’évolution et de carrière, tout au long de sa vie professionnelle, la garantie d’un emploi hautement qualifié et, surtout, que dans les métiers de la construction, chaque jour est un nouveau défi.Un casting de jeunes professionnels pour partager la fierté de leurs métiersParce que les professionnels de la construction sont les meilleurs porte-parole pour promouvoir leur métier auprès des jeunes en recherche d’une orientation, six jeunes professionnels du bâtiment et des travaux publics, venus de toute la France et retenu parmi les 200 candidats ayant participé à l’appel à candidatures « La Construction fait son casting ».Monteur de réseaux électriques, installateur thermique, couvreur, carreleur-mosaïste, maçon et menuisier aluminium-verre... Tous ont moins de 30 ans, sont apprentis, chef d'entreprise ou salariés.Leur point commun : l’envie de partager la passion et la fierté d’exercer leur métier au quotidien et d’en montrer toute la diversité !Les ambassadeurs de la campagne :Antoine : couvreur, apprenti, formé à BTP CFA Gironde (Blanquefort)Benjamin : maçon, salarié, formé chez les Compagnons du devoir et du Tour de FranceCallum : monteur de réseaux électriques, salarié, formé au CFCTP d’ÉgletonsDinis : menuisier aluminium-verre, apprenti, formé à BTP CFA Gironde (Blanquefort)Justine : carreleuse-mosaïste, salariée, formée à BTP CFA Vendée (La Roche-sur-Yon)Sébastien : installateur thermique, chef d’entreprise, formé à BTP CFA AntibesUn dispositif de communication à la hauteur des ambitions de la campagneLe dispositif de communication pluri média mis en place est à la hauteur des ambitions des professionnels : six films publicitaires diffusés à la télévision et sur Internet, un plan média et une animation sur les réseaux sociaux, un site internet dédié, un module de découverte ludique et interactive des métiers de la construction, une opération au sein des territoires…Six films publicitairesLes six films publicitaires, d’une durée de 30 secondes, mettent chacun en scène un métier : carreleur-mosaïste, couvreur, installateur thermique, maçon, menuisier aluminium-verre et monteur de réseaux électriques. Chacun montre qu’en exerçant un métier de la construction, chaque jour est différent, grâce à la diversité des situations de chantier.Trois vagues de deux semaines sont organisées pour la diffusion des six films en télévision sur les chaînes C8 et CStar, NRJ12, 6ter et W9, TFX et L’Équipe : du 13 au 26 décembre 2021, du 24 janvier au 6 février 2022 et du 5 au 19 mars 2022. Le dispositif est complété par un plan média digital sur les moteurs de recherche et les réseaux sociaux.Un site Internet dédié : laconstruction.frLe site internet laconstruction.fr propose de nombreux contenus, pour répondre aux interrogations des jeunes et les accompagner dans leur orientation professionnelle, notamment avec un moteur de recherche des formations en apprentissage aux métiers du BTP sur l’ensemble du territoire, un formulaire d’inscription, en lien avec l’opération de recrutement du CCCA-BTP « Boost apprentissage BTP », des fiches métiers, ou encore des vidéos de témoignages de professionnels.Un kit de communication de tous les supports de la campagne (affiches, flyer, fiches métiers, bannières Internet, vignettes pour les réseaux sociaux, etc.) est également mis à disposition, pour permettre à tous les organismes de formation aux métiers du BTP et prescripteurs de l’orientation et de l’emploi de relayer et d’être acteurs de la campagne sur leur territoire.Construction City, le module de découverte des métiers, disponible sur laconstruction.frConstruction City est un quiz sur les métiers du bâtiment et des travaux publics accessible via le site laconstruction.fr, pour faire découvrir leur diversité aux jeunes de façon interactive et ludique. Il peut être utilisé individuellement ou collectivement en classe, ou lors des portes ouvertes dans un CFA par exemple.Dans un univers urbain imaginaire créé en 3D, l’utilisateur découvre les métiers de la construction en cliquant sur différentes zones de construction, dans lesquelles les professionnels peuvent être amenés à intervenir, et répond à un quiz sur chacun des métiers. Pour répondre correctement, il peut s’appuyer l’ensemble des informations mises à sa disposition (fiches métiers, vidéos, etc.).Une opération de mobilisation nationale pour créer l’événement autour de l’apprentissage BTPDu 5 au 19 mars 2022, une opération spéciale de mobilisation #PassionConstruction sera organisée pour mettre un coup de projecteur sur les métiers de la construction et l’apprentissage comme voie d’excellence pour s’y former.L’occasion de donner plus de visibilité à tous les événements pouvant être organisés à cette période par les organismes de formation aux métiers du BTP, entreprises et prescripteurs de l’orientation, comme les journées portes ouvertes, pour promouvoir les métiers de la construction et la voie de l’apprentissage.Pour accompagner cette opération, une journée spéciale sur l’antenne d’une radio nationale, de la publicité digitale, à la télévision et en radio, une campagne d’affichage…
Il y a 3 ans et 169 jours

Urmet France propose un nouveau service clé en main pour les gestionnaires de copropriétés

Conscient de ces nouveaux enjeux, Urmet France, le fabricant d'interphone et de solutions de contrôle d'accès leader en France, lance un nouveau service pour faciliter la vie des installateurs électriciens, des gestionnaires de syndics et des copropriétaires. Ce service innovant sur mesure permet, lors du changement ou de la création du système de sécurisation par interphone, le paramétrage des badges et télécommandes.Vincent Bouche, Responsable Marketing Produit Opérationnel URMET France, explique : « Le principe est simple : les copropriétaires choisissent leur nouvel interphone (avec ou sans fil) et déterminent les droits d'accès de chacun avec toutes les possibilités offertes par nos systèmes Urmet : plages horaires dédiées, droits provisoires, etc. Ils établissent avec leur syndic et l'installateur la liste des résidents devant disposer d'un badge. Toutes ces informations sont transmises à Urmet qui crée alors la base sur l'outil d'administration VisiosoftWeb. »La plateforme VisiosoftWeb permet à un gestionnaire de patrimoine (bailleur, syndic ou installateur) ou même directement aux copropriétaires de gérer, via la plateforme gratuite accessible sur Internet, le contrôle d'accès d'un ou de plusieurs bâtimentsURMET France programme ensuite les badges et télécommandes, les places dans des boites dédiées et nominatives pour chacun des résidents avec la notice d'utilisation de l'interphone et les remet au syndic.Les badges et télécommandes peuvent être personnalisées avec le logo du syndic ou les coordonnées d'un service d'urgence par exemple.
Il y a 3 ans et 170 jours

L’application Matterport Capture est désormais disponible gratuitement pour les appareils Android

Matterport, Inc., l’entreprise de données spatiales à la tête de la transformation digitale du monde bâti, a annoncé aujourd'hui que Matterport for Mobile permet désormais aux utilisateurs d'Android du monde entier de créer instantanément le jumeau numérique précis d’un bâtiment ou d'un espace, seulement avec leur smartphone. Désormais disponible dans 175 pays sur Google Play store, l'application Matterport Capture, révolutionnaire en matière de capture 3D, passe à l’échelle supérieure. Avec à ce jour plus de 6 milliards de smartphones actifs dans le monde, Matterport vise à accélérer fortement sa progression dans la numérisation du monde bâti. « L'avenir du monde bâti est littéralement entre nos mains. Matterport for Mobile apporte une grande performance dans un petit format, augmentant la productivité avec chaque espace que nous numérisons », a déclaré RJ Pittman, président et PDG de Matterport. « Il suffit de télécharger l’app et c’est parti. Notre abonnement gratuit permet à chacun de numériser une maison, un bureau ou un hôtel avec n'importe quel appareil Android ou iOS compatible et de bénéficier de Matterport à 100 %, totalement gratuitement. Rien de plus simple pour démarrer ! »3D Capture pour tous : Les clients de divers secteurs d'activité utilisent Matterport pour mesurer, documenter, gérer et promouvoir leurs biens en ligne. En voici quelques exemples : Les propriétaires peuvent créer une évaluation numérique précise et complète de leur propriété et de tout ce qu'elle contient à des fins d'assurance, d'aménagement de l'espace ou tout simplement de tranquillité d'esprit.Les constructeurs peuvent planifier et gérer un projet de construction en ligne et collaborer à l'intérieur du jumeau numérique avec les concepteurs, les entrepreneurs et leur clientèle.Les agents immobiliers et les gestionnaires de biens locatifs peuvent rapidement capturer et publier en ligne une visite virtuelle en 3D époustouflante et la partager sur des sites Web et des réseaux professionnels et sociaux.Satisfaction immédiate Une fois l'application installée, un jumeau numérique peut être créé en quelques minutes seulement. L'installation est rapide et des tutoriels sont disponibles à chaque étape du processus. Le logiciel de capture de précision de Matterport, renforcé par l'IA, est conçu pour rendre la capture 3D rapide, facile et fiable pour tous.Mobiliser son équipe Les petites et grandes entreprises du monde entier peuvent instantanément découvrir la puissance de Matterport grâce à cette offre gratuite et complète qui est la meilleure du secteur. Les équipes peuvent créer un ensemble de jumeaux numériques pour plusieurs propriétés, simplement en téléchargeant l'application sur l'appareil de chaque membre de l'équipe. Il n'a jamais été aussi facile et rentable de capturer plusieurs espaces avec la commodité de Matterport for Mobile.Pour Japjit Tusli, CTO de Matterport : « Nous sommes ravis de présenter la puissance de Matterport aux utilisateurs d'Android à travers le monde, et de fournir à nos clients une alternative pour mettre leurs propriétés en ligne avec les appareils qu'ils possèdent déjà. Dès aujourd'hui, ils peuvent l'essayer gratuitement avec leurs équipes et augmenter instantanément leur capacité de numérisation 3D. » Matterport for Mobile accélère l'expansion internationale de l'entreprise en Asie-Pacifique, en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique, où la part de marché d'Android est particulièrement concentrée. Comme la version iOS, la nouvelle application Android de la société prend en charge la capture 3D à l'aide de toutes les autres options de caméra compatibles, notamment la caméra performante 3D Matterport Pro2, la caméra Lidar Leica BLK360 et six caméras 360 différentes d'Insta360 et de Ricoh.
Il y a 3 ans et 174 jours

Lancement de “La Construction. Demain s’invente avec nous”

Affiche promotionnelle du CCA-BTP pour “La Construction. Demain s’invente avec nous”. [©CCA-BTP] Les professionnels de la construction partent en campagne auprès des jeunes, en lançant “La Construction. Demain s’invente avec nous”. Ceci, pour promouvoir la richesse et la diversité́ des métiers du BTP, et l’apprentissage pour s’y former. Pilotée par le CCCA-BTP, cette campagne se déploiera jusqu’au mois de juin 2022. Son but ? Susciter de nouvelles vocations auprès des jeunes en quête d’orientation, « futures forces vives du secteur de la construction ». Un casting de jeunes pour partager la fierté de leurs métiers Venus de toute la France, six jeunes professionnels du bâtiment et des travaux publics ont été retenus parmi les 200 candidats ayant participé à l’appel à candidatures de “La Construction. Demain s’invente avec nous” pour être les ambassadeurs de la campagne : Antoine : couvreur, apprenti, formé à BTP CFA Gironde, Benjamin : maçon, salarié, formé chez les Compagnons du devoir et du Tour de France,Callum : monteur de réseaux électriques, salarié, formé au CFCTP d’Egletons, Dinis : menuisier aluminium-verre, apprenti, formé à BTP CFA Gironde, Justine : carreleuse-mosaïste, salariée, formée à BTP CFA Vendée,Sébastien : installateur thermique, chef d’entreprise, formé à BTP CFA Antibes. Tous ont moins de 30 ans. Leur point commun : l’envie de partager la passion et la fierté d’exercer leur métier au quotidien et d’en montrer toute la diversité ! Six films publicitaires, mais pas que… La campagne s’appuie aussi sur six films promotionnels, d’une durée de 30 s, qui mettent chacun en scène un métier. Trois vagues de deux semaines sont organisées pour leur diffusion en télévision sur les chaînes 6ter, C8, CStar, L’Equipe, NRJ12, TFX et W9. Le dispositif est complété par un plan média digital sur les moteurs de recherche et les réseaux sociaux. De plus, le site Internet “laconstruction.fr” propose de nombreux contenus. Avec, en particulier un moteur de recherche des formations en apprentissage aux métiers du BTP sur l’ensemble du territoire. Et un formulaire d’inscription, en lien avec l’opération de recrutement du CCCA-BTP “Boost apprentissage BTP”, des fiches métiers. Ou encore des vidéos de témoignages de professionnels. Par ailleurs, Construction City est disponible sur site. C’est un quizz qui fait découvrir la diversité des métiers aux jeunes de façon interactive et ludique.   Enfin, un kit de communication de tous les supports de la campagne (affiches, flyer, fiches métiers, bannières Internet…) est de plus mis à disposition de tous les organismes de formation aux métiers du BTP et prescripteurs de l’orientation et de l’emploi. Et ce, pour relayer les informations.
Il y a 3 ans et 175 jours

Dans le métavers, le marché immobilier a la cote

Cette semaine, l'entreprise Republic Realm, basée à New York, a annoncé avoir dépensé la somme record de 4,3 millions de dollars pour l'achat d'un terrain sur The Sandbox, une plateforme donnant accès à un monde virtuel où les participants peuvent discuter, jouer et même participer à des concerts.Sur le site concurrent Decentraland, la société canadienne Tokens.com, spécialisée dans les cryptomonnaies, avait déboursé 2,4 millions de dollars en novembre pour un achat immobilier.Quelques jours auparavant, la Barbade, un petit pays des Caraïbes, avait dit vouloir établir une ambassade dans le métavers, ce réseau d'espaces virtuels interconnectés, parfois décrit comme l'avenir d'internet.L'intérêt pour le métavers (contraction de méta et univers) a grimpé en flèche depuis octobre après la décision de Facebook de faire de cette idée son nouveau projet d'entreprise, le groupe allant jusqu'à renommer sa maison mère "Meta".Ce tournant stratégique a "fait découvrir le terme à des millions de gens bien plus rapidement que j'aurais pu l'imaginer", reconnaît Cathy Hackl, consultante tech pour des entreprises souhaitant entrer dans le métavers.Selon la base de données sur les cryptomonnaies Dapp, plus de 100 millions de dollars ont été dépensés lors de la semaine écoulée pour des achats immobiliers sur les quatre principaux sites du métavers que sont The Sandbox, Decentraland, CryptoVoxels et Somnium Space.Pour Mme Hackl, l'explosion du marché, qui fait interagir propriétaires, locataires et développeurs fonciers, n'est pas une surprise."On essaye de traduire dans le monde virtuel ce qu'on sait faire avec les biens physiques", indique-t-elle à l'AFP."5e Avenue" du métaversS'il faudra du temps avant que ces sites ne soient de vrais métavers, permettant aux utilisateurs d'explorer des mondes parallèles via des casques de réalité virtuelle, les terrains numériques fonctionnent déjà comme des actifs financiers, à l'instar de biens fonciers, explique Mme Hackl."On peut construire dessus, les louer ou les vendre", affirme-t-elle.Tokens.com a acquis une parcelle de choix sur Decentraland dans le quartier de Fashion Street que la plateforme veut transformer en destination pour les magasins virtuels des groupes de luxe."Si je n'avais pas fait de recherches et compris qu'il s'agit de propriétés de grande valeur, ça paraîtrait complètement fou", admet le patron de Tokens.com, Andrew Kiguel.Kiguel a travaillé pendant 20 ans comme banquier d'investissement dans le secteur de l'immobilier. Selon lui, les terrains virtuels représentent une opportunité semblable aux biens du monde réel: ils se situent dans un quartier en vogue très fréquenté."Ce sont des lieux pour la publicité et les événements où les gens vont se rassembler", explique-t-il, mentionnant un récent festival musical qui a attiré 50.000 visiteurs sur Decentraland.Les marques de luxe s'aventurent déjà dans le métavers: un sac à main Gucci s'est vendu sur la plateforme Roblox plus cher que sa version physique. M. Kiguel espère que Fashion Street deviendra l'équivalent de la 5e Avenue à New York.Quant à savoir comment dégager des revenus, "ça peut être aussi simple que de posséder un panneau publicitaire ou aussi complexe que d'avoir une boutique avec un vrai salarié", explique-t-il."On pourrait rentrer avec son avatar, regarder des modèles en 3D d'une chaussure qu'on pourrait tenir entre ses mains et poser des questions."Second Life 2.0Dès 2006, une promotrice immobilière avait fait parler d'elle après avoir vendu un terrain pour 1 million de dollars dans le monde virtuel de Second Life, site précurseur du métavers.Second Life est toujours en activité, mais les partisans de ses rivaux plus récents soulignent une différence majeure.Sur Decentraland, tous les achats, qu'il s'agisse d'immobilier ou d'oeuvres d'art virtuelles, se font via des jetons non fongibles (NFT).Certains internautes ont dépensé des dizaines de milliers de dollars pour ces objets numériques, le concept suscitant enthousiasme et scepticisme.M. Kiguel pense que la propriété numérique va devenir courante dans les prochaines années grâce à la technologie de la chaîne de blocs ("blockchain"), qui garantit la sécurité et la transparence des transactions."Je peux voir l'historique des propriétaires, ce que ça a coûté et comment c'est passé d'une personne à une autre", détaille-t-il.L'investissement comporte toutefois des risques, à commencer par la volatilité des cryptomonnaies utilisées pour acheter les NFT.Par ailleurs, si les concerts virtuels sur Roblox ou Fortnite ont attiré des dizaines de millions de curieux, la rareté des données sur le métavers suggère que la fréquentation de sites comme Decentraland est loin derrière celui de réseaux sociaux établis comme Facebook ou Instagram.La valeur des investissements immobiliers dans le métavers dépendra du nombre de personnes se rendant sur ces plateformes."Je sais que ça a l'air un peu absurde", reconnaît M. Kiguel. "Mais il y a une vision derrière tout ça."
Il y a 3 ans et 177 jours

Franciaflex complète sa gamme motorisation Well'Com avec le nouveau moteur radio Well'drive®

Fiabilité & longévitéLe moteur à double isolation Well’Drive est équipé d’aimants permanents. Cette conception sans balai (Brushless) élimine tout risque d’usure des pièces mécaniques et de surchauffe.Puissant, il se décline en 6, 10 et 20 Nm répondant ainsi à tous les besoins et toutes les configurations. Durable dans le temps, il est éprouvé pour 20 000 cycles de fonctionnement. Fabriqué en France, Certifié NF environnement et garantit 8 ans, le moteur Well’Drive offre aux professionnels de nombreux atouts valorisables auprès de leurs clients.Installation & maintenance simplifiéesExempt de fil de terre et doté d’une antenne intégrée avec une portée radio de 300 mètres, le moteur Well’drive est également équipé d’un câble d’alimentation débrochable facilitant la réparabilité du volet roulant.Emetteur pré-appairé en usine, réglages intuitifs du programme Well’com®, détection automatique du sens d’enroulement et des fins de courses sont autant de caractéristiques techniques simplifiant la pose pour les installateurs. Grâce au nouveau moteur radio Well’Drive, le volet roulant s’arrête et se relève légèrement en cas de détection d’obstacles. Il repère également lorsque le volet est gelé.Confort & respect de l’environnementCôté confort d’usage, son fonctionnement est ultra-silencieux. Côté praticité d’utilisation, son pilotage est simple et intuitif puisque les volets roulants et stores équipés du moteur radio Well’Drive sont compatibles avec les solutions maison connectée Well’Com de FRANCIAFLEX® et les commandes vocales Alexa et OK Google.Côté économique et écologique, les moteurs radio Well’Drive nécessitent une faible consommation électrique et sont agréés par Ecosystème pour leur recyclabilité.
Il y a 3 ans et 180 jours

L'Hexagone a perdu 100.000 exploitations agricoles en dix ans

"Si la baisse du nombre d'exploitations est continue depuis les années 1970, la dynamique baissière est moins forte que lors de la précédente décennie: le recul a été de -2,3% par an entre 2010 et 2020, contre -3,0% par an entre 2000 et 2010", relativise le ministère de l'Agriculture.Ce recensement décennal montre que les exploitations se sont agrandies et font désormais 69 hectares en moyenne, soit 14 hectares de plus qu'en 2010 (+25%)."C'est une augmentation qui reste raisonnable. On est loin de la taille de certaines exploitations hors Europe, comme aux Etats-Unis où la taille moyenne est de 178 hectares", fait valoir le cabinet du ministre de l'Agriculture Julien Denormandie.La surface agricole utile française s'est stabilisée, diminuant de 1% seulement en dix ans. Elle représente 26,7 millions d'hectares, soit près de 50% du territoire métropolitain (55 millions d'hectares).En 2020, 759.000 personnes occupent un emploi permanent dans les exploitations agricoles. C'est l'équivalent de 583.000 emplois temps plein, soit une baisse de 12% en 10 ans.Actuellement, 58% des chefs d'exploitations et co-exploitants ont 50 ans ou plus, un chiffre en augmentation de 6 points depuis 2010. "Cela montre un vieillissement certain de la population agricole et le besoin d'engager une politique volontariste encourageant le renouvellement des générations en agriculture", reconnaît le ministère."Un défi majeur"La photographie de la ferme France procurée par le recensement décennal montre une agriculture diversifiée avec des productions végétales désormais majoritaires.Actuellement, 52% des exploitations sont spécialisées en production végétale contre 45% dix ans plus tôt. Leur nombre a baissé moins fortement (-9%) que la moyenne (-21%) des exploitations.En revanche, les exploitations spécialisées en élevage accusent une chute de 31%. La baisse est encore plus marquée (-41%) parmi les exploitations combinant plusieurs types d'élevages (lait et viande) ou parmi les fermes associant cultures et élevage (-41%).Par ailleurs, le nombre d'exploitations dans les départements d'Outre-Mer se monte à 26.000. Leur surface moyenne est de 5 hectares. Au total la France compte donc 416.000 exploitations agricoles.Opération décennale européenne obligatoire, le recensement a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne. Il est mené par les services de la statistique et de la prospective du ministère.La collecte des informations s'est déroulée entre le 1er octobre 2020 et le 30 avril 2021. Une grande partie du recensement a été effectuée via internet. Les résultats présentés prochainement sont provisoires.
Il y a 3 ans et 182 jours

En France, vers une croissance de 6,7% en 2021 mais un regain d'incertitude lié à Omicron

Après avoir rattrapé son niveau d'avant-crise en août, le produit intérieur brut (PIB) devrait se situer en décembre à 0,75 point de pourcentage au-dessus de ce niveau, selon la note de conjoncture publiée par la banque centrale française.L'institut monétaire n'avait pas officiellement relevé sa prévision de croissance de 6,3% depuis septembre, publiée alors que les très bons résultats de l'économie française pour le troisième trimestre n'étaient pas encore connus.Mais son directeur général Olivier Garnier avait déjà évoqué en novembre un chiffre de l'ordre de 6,75%, tout en précisant qu'il ne s'agissait que d'un "calcul par rapport aux acquis" des trimestres précédents.Le gouvernement n'a pas de son côté révisé sa prévision de 6,25%, tandis que le FMI table sur 6,75% et l'OCDE sur 6,8%.Le niveau de 6,7% "est beaucoup plus élevé que ce que l'on attendait en première moitié de l'année et c'est le plus haut chiffre de croissance depuis plus de 50 ans", a déclaré François Villeroy de Galhau sur RTL, ajoutant que la Banque de France allait livrer ses prévisions complètes pour 2021 et les années à venir le 20 décembre.Dans sa note de conjoncture, la banque centrale française a par ailleurs légèrement abaissé sa prévision de croissance pour le quatrième trimestre en estimant désormais qu'elle serait "légèrement inférieure" à 0,75%, sans toutefois atteindre ce niveau comme elle le pensait précédemment.L'activité n'a d'ailleurs pas progressé au mois de novembre, se maintenant à 100,5% du niveau de début 2020, avant la crise, une stagnation que M. Garnier attribue à un léger repli du commerce, des transports et de l'hébergement-restauration, tandis que l'ensemble des services marchands tout comme l'industrie ont continué à progresser.Des mois difficilesEn décembre, le niveau d'activité devrait néanmoins reprendre sa progression pour se situer à 0,75 point de pourcentage au-dessus de l'avant-crise, selon la note.Les 8.500 chefs d'entreprises interrogés par la banque centrale estiment en effet qu'en décembre, l'activité va continuer à croître dans l'industrie et les services, mais stagner dans le bâtiment.Toutefois, avec l'aggravation de la cinquième vague et l'émergence du variant Omicron, "il y a un peu plus d'incertitudes sanitaires qui pourraient affecter l'économie au cours du mois de décembre", notamment au niveau de la consommation, a expliqué M. Garnier."La croissance française reste solide", a néanmoins assuré François Villeroy de Galhau, expliquant que les chefs d'entreprise avaient fait preuve de prudence lors de l'enquête réalisée la semaine dernière "alors qu'on ne savait rien sur Omicron"."Les bases de la croissance sont très bonnes" même si "la période actuelle est plus incertaine que ce qu'on a eu au troisième trimestre", a aussi expliqué à l'AFP Charlotte de Montpellier, économiste de la banque ING.Elle estime qu'en raison de la résurgence de l'épidémie, "on a quelques mois qui vont être plus difficiles" avant le printemps, pointant que les dernières données de carte bancaire sur les dépenses des consommateurs et de Google Mobility sur les transports font état "d'une diminution du rythme de l'activité économique par rapport à octobre".Le gouverneur de la Banque de France rappelle de son côté les "deux points d'attention qui sont la contrepartie" de la reprise économique, à savoir les problèmes d'approvisionnement "qui devraient se dissiper" et les difficultés de recrutement, moins fortes aujourd'hui mais plus durables, selon lui.
Il y a 3 ans et 182 jours

Elcia partenaire de Batigital pour accompagner les professionnels Menuiserie, Store, Fermeture dans leur digitalisation

Initié par l’Etat et France Relance, et financé par France Num en partenariat avec BPI France, ce programme de formations gratuites à la transformation digitale s’adresse aux petites et moyennes entreprises du bâtiment. Après le succès de la 1ère session dans les locaux d’ELCIA, trois nouvelles dates sont disponibles dans différentes régions pour tous les utilisateurs de ProDevis.« ELCIA est au coeur de la digitalisation des professionnels du secteur Menuiserie, Store, Fermeture depuis plus de 20 ans avec ProDevis. Cette initiative avec BATIGITAL permet à nos utilisateurs de mieux appréhender les outils digitaux indispensables à leur visibilité et leur développement, tout en redécouvrant les actions concrètes qu’ils peuvent mettre en place avec ProDevis comme l’envoi d’e-mails ou de sms » Clémence VERT, Chef de Projets Marketing BU RevendeursRéussite pour la 1ère session BATIGITAL dans les locaux d’ELCIACe sont 15 utilisateurs ProDevis de la région Rhône Alpes-Auvergne qu’ELCIA a réunis le 22 novembre pour la 1ère session BATIGITAL dans ses locaux près de Lyon.Chacun a ainsi pu passer une journée avec Stéphanie GERIFAUD, formatrice BATIGITAL, pour obtenir toutes les clés pour déployer des actions digitales concrètes et booster la visibilité de son entreprise. Parmi les thématiques abordées :Gérer son compte GoogleMyBusinessAnimer ses réseaux sociaux (Facebook, LinkedIn, Instagram)Gérer ses avis clientsÊtre présent localement sur le webIls sont menuisiers et ont suivi la formation BATIGITAL :David GESTIN – FERMETURE ECON’HOME« Notre secteur est concurrentiel avec des clients qui vont de plus en plus sur internet pour regarder les avis sur l’entreprise et son actualité. Les outils digitaux vont nous permettre de rassurer notre clientèle à ce niveau-là : nous avons notre site internet qui est la vitrine de l’entreprise et nous travaillons également sur les avis clients. Nous avions besoin d’en apprendre plus sur le digital pour continuer à nous développer. La formation BATIGITAL nous permet de voir les différents outils digitaux qui existent afin d’améliorer notre façon de communiquer auprès de nos clients. » Laurent CHEVALIER – FENETRES ET HABITAT« Le digital fait partie intégrante de la manière de consommer du particulier : avant d’acheter, il va avoir le réflexe de regarder les avis Google ou Facebook. En tant que PME, j’utilise le digital comme une vitrine. Un client est plus important qu’une vente et nous avons besoin du digital pour soigner nos clients et avoir de bonnes notes et de bons avis. Le COVID m’a permis d’investir dans mon site internet qui était devenu vétuste. La formation BATIGITAL me permet de découvrir des nouveautés que je ne connaissais pas. C’est très important d’être accompagné sur le digital parce qu’il est au coeur du développement des entreprises. Pour le développement personnel d’un chef d’entreprise, c’est hyper important d’être toujours à l’affût et de savoir si on est efficace dans les actions que l’on met en place. »Stéphanie GERIFAUD – Formatrice BATIGITAL« Le digital est un reflexe chez le particulier. Dans le milieu du bâtiment, même si le bouche-à-oreille fonctionne encore beaucoup, le particulier va quand même aller se renseigner sur Google ou les réseaux sociaux, voir si la société existe bien, son image, ce qu’elle inspire. Le particulier a besoin d’être rassuré. Le digital va aussi aider au recrutement, un axe primordial pour les entreprises du secteur. Elle se doivent de séduire et d’être attractives. Le secteur de la Menuiserie est déjà assez avancé en termes de communication. Les formations BATIGITAL s’adapte à chaque personne. L’idée est que chacune, quel que soit son degré d’avancement digital, reparte avec des clés pour évoluer dans sa communication, avec des parties opérationnelles, pendant lesquelles nous regardons ensemble leurs supports digitaux, on échange des bonnes pratiques, on donne des conseils pour s’améliorer. »Trois nouvelles sessions prévues dans différentes régionsLa réussite de la 1ère session dans les locaux d’ELCIA donne le coup d’envoi de trois nouvelles dates prévues dans différentes régions de France :Le 7 février à BordeauxLe 7 mars à NantesLe 4 avril à NiceTous les utilisateurs de ProDevis intéressés par une formation BATIGITAL peuvent s’inscrire dès maintenant en cliquant ici : www.elcia.com/batigital
Il y a 3 ans et 183 jours

Les Français et leurs agents immobiliers : une réconciliation qui perdure

En poursuivant l'objectif de restaurer la confiance des particuliers envers une profession dont la réputation s'était dégradée au fil des années, cet évènement posait les jalons d'un questionnement, inédit dans le secteur, sur la qualité de l'expérience offerte aux clients à un moment particulièrement anxiogène de leur vie.Un changement de paradigme salvateur aux retombées bénéfiques puisque la relation des Français avec leurs agents immobiliers n'a cessé depuis de s'améliorer. Et si malgré le contexte actuel, leur opinion favorable se maintient depuis deux ans à la note de 7,3/10 après plusieurs années de progression, le score atteint par les professionnels engagés dans une démarche qualité, à travers le management de la satisfaction client, frise lui l'excellence avec une performance moyenne de 9,4/10, en progression de 0,2 point par rapport à 2020.Dans un marché de l'immobilier où la concurrence s'accroît, les meilleures pratiques en termes de relation client feraient- elles la différence ? C'est ce que tend à confirmer la 6ème édition du baromètre annuel de la satisfaction client dans l'immobilier réalisé par l'Ifop pour Opinion System, numéro 1 français des avis clients contrôlés sur le secteur de l'immobilier, tiers indépendant triplement certifié par AFNOR.Expérience client dans l'immobilier : le digital rebat les cartesLa contexte sanitaire ne semble pas avoir freiné l'enthousiasme des porteurs de projets immobiliers. Ainsi les contacts initiés avec un professionnel en 2021 étaient d'abord motivés par l'achat (46%) et la vente d'un bien (27%), puis par un désir de location (16%). Et pour trouver leur agent immobilier, alors que le digital s'est davantage ancré dans le quotidien des Français, les sites d'annonces immobilières comme SeLoger.com, leboncoin ou encore Bien'ici se sont hissés, en l'espace d'un an, du troisième au premier rang (20%) des canaux utilisés par des particuliers de plus en plus autonomes dans leur recherche. Une réalité d'ailleurs plus marquée pour les locataires qui devancent ici les propriétaires de 10 points.Le passage devant l'agence (19%) ainsi que la recommandation d'un proche (18%), principaux moyens précédemment employés, se placent respectivement en deuxième et troisième position devant les sites internet des réseaux immobiliers, qui enregistrent une progression de 8% à 11%.Les moteurs de recherche restent quant à eux relativement peu décisifs (9%) dans le choix d'une agence et les actions de marketing direct (prospectus glissés dans les boîtes aux lettres) assez anecdotiques (4%).Pour les Français, les efforts réalisés par la profession depuis 5 ans ne passent pas inaperçus puisque leur évaluation a progressé significativement sur tous les critères d'appréciation :l'accueil général (7,8/10, +0,4 points),la compétence des interlocuteurs (7,5/10, +0,6 point),la qualité de service (7,4/10, +0,7 point),l'accompagnement et le suivi (7,2/10, +0,7 point),et même sur celui du rapport honoraires / services, « maillon faible » de la profession (6,7/10, +0,7 point).Ce niveau de satisfaction globale cache cependant quelques disparités, les provinciaux étant plus généreux dans leur notation que les Franciliens (7,3 contre 7,1), les inactifs que les actifs (7,6 contre 7,1), les 65 ans et plus que les jeunes de 25-34 ans (7,8 contre 7,1) et les propriétaires que les locataires (7,4 contre 6,7).La satisfaction client : un outil de différenciation payantAlors que les agences traditionnelles font face à une concurrence accrue avec l'explosion des agences "low-cost" en ligne, se démarquer devient primordial pour s'imposer auprès des particuliers. Si dans le choix d'un professionnel, le prix des prestations proposées n'est un point d'attention crucial que pour 8% des Français, le fait de développer une stratégie de satisfaction client est davantage décisive : entre une agence qui a des avis clients et une agence qui n'en a pas, près de 2 Français sur 3 privilégieraient celle qui a des avis clients (61%), 1 sur 2 jugeant par ailleurs leur absence peu rassurante (51%). Phénomène bien ancré dans les habitudes de consommation, 73% des Français estime que pour une entreprise, le recueil et l'affichage de l'avis de ses clients devraient être une pratique systématique.Les professionnels ne s'y trompent pas et sont de plus en plus nombreux à s'engager dans cette démarche pour offrir un gage de transparence à la clientèle (98%), créer un lien de confiance supplémentaire (96%) ou encore gagner en efficacité commerciale (95%). Si leurs motivations sont plurielles, l'impact perçu sur leur activité est bien réel pour 74% d'entre eux, que ce soit en termes de notoriété (84%) et de dynamisme global de leur agence (75%) mais aussi plus largement de motivation personnelle dans l'exercice de leur métier (81%), l'espace de dialogue créé par la simple existence des avis client les poussant à s'inscrire dans une démarche d'amélioration continue (89%) pour être meilleurs (86%). Car la critique est constructive et elle est également valorisante : plus de 8 Français sur 10 trouvent rassurant une agence qui répond de manière circonstanciée et personnalisée aux avis négatifs, près de 6 sur 10 ne se voyant pas en solliciter une qui les ignorerait (59%).Une stratégie payante rapidement et dans la durée : les clients des agences immobilières engagées dans une démarche de mesure et de gestion de la satisfaction client leur attribueraient une note de recommandation de 9,4/10 (versus 9,1 en 2016) quand les Français à l'échelle nationale leur donneraient une note de 7,2/10 (versus 6,3 en 2016).Pour Jean-David Lépineux, fondateur d'Opinion System : « Que de chemin parcouru pour les agents immobiliers dans le cœur des Français depuis cinq ans ! L'entrée en vigueur de la loi ALUR a favorisé une prise de conscience générale autour des enjeux de la relation client dans un univers où ce concept n'existait pas et a constitué un catalyseur des différentes évolutions en cours. Aujourd'hui, dans un environnement de plus en plus concurrentiel bousculé par la digitalisation, les agents immobiliers n'ont d'autre choix que de mettre les clients au centre de leur stratégie en s'assurant de leur niveau de satisfaction pour faire d'eux leurs meilleurs ambassadeurs. Il s'agit d'une tendance encore jeune mais qui se développe vite sous l'effet de l'évolution des usages et des attentes des consommateurs qui commencent à découvrir qu'en matière d'immobilier aussi, les avis clients peuvent faciliter la prise de décision et rendre un peu moins stressante l'acquisition ou la vente d'un bien. En voie de démocratisation dans le secteur, la démarche d'amélioration de la relation client est gagnante-gagnante avec des particuliers qui s'estiment mieux accompagnés et des professionnels qui valorisent leur image et leur expertise avec des effets tangibles sur leur activité. »
Il y a 3 ans et 184 jours

Le Groupe Lorillard donne une nouvelle dimension à sa production bois et se dote d’une nouvelle cabine de laquage unique en France

Le Groupe Lorillard qui fête ses 85 ans cette année, vient honorer cet anniversaire avec l’acquisition d’une nouvelle cabine de laquage. Outil unique et exceptionnel de par ses dimensions et sa technologie de pointe, cette cabine propulse le Groupe dans une dimension industrielle beaucoup plus ambitieuse. Partie intégrante de son ADN, l’ambition est pour le Groupe Lorillard un argument de croissance. 85 ans plus tard, et un ADN immuable, le Groupe investit massivement – 17 millions d’euros – dans son outil de production bois pour s’assurer la position légitime de N° 1 sur ce marché en France, en matière de savoir-faire. Cette expertise est notamment possible grâce à la singularité des moyens que le Groupe a acquis. Pour exemple, cette nouvelle cabine de laquage est la seule, actuellement en France, capable de laquer de façon industrielle un châssis de menuiserie de 4 mètres par 3 mètres. AUGMENTER LA CAPACITÉ DE PRODUCTION Sur les 40 000 m² d’ateliers de l’usine de Chartres, 1000 m² sont dédiés à l’installation de la nouvelle cabine de laquage bois – contre 340 m² auparavant pour la précédente cabine – afin d’augmenter la capacité de production. Et pour être plus précis, Thierry Luce – Président du Groupe Lorillard – explique « De 50 menuiseries bois par jour en 3-8, le Groupe est passé depuis le mois d’octobre à 90 menuiseries par jour avec ses 2 nouveaux robots et la possibilité de faire croitre la cadence à 125 menuiseries par jour avec un troisième robot. ». Au sein de ces 1000 m², la nouvelle unité de production rassemble un système de dépoussiérage automatique par flux d’air filtré, 2 cabines de laquage robotisées dont une pour l’impression et l’autre pour la finition, 3 tunnels de séchage infrarouge, ainsi qu’un système de recyclage des boues de peintures et eaux usées. Mais cette nouvelle cabine de laquage bois n’est que les prémices d’un projet bien plus conséquent visant à augmenter la volumétrie de fabrication des menuiseries bois. Pour ce faire, 1,5 millions d’euros viennent également d’être investis dans la commande d’un nouveau centre d’usinage. Automatisé et robotisé, en double cabine, pour l’usinage des dormants en bois, il sera en place à l’horizon fin 2022. Puis une troisième phase d’investissement en 2023 viendra doubler la capacité de production des dormants. TECHNOLOGIE DE POINTE Le système automatisé et les technologies intégrées à cette nouvelle cabine offrent au Groupe une technique de laquage de qualité bien supérieure à ce qui se fait sur le marché. L’ergonomie de la ligne avec son poste de pilotage centralisé, le scannage des menuiseries et le système de puce NFC (Near Field Communication) a intégré dans la production des notions d’instantanéité, de sécurité, d’économie, de traçabilité et d’efficacité prépondérantes pour une industrialisation de pointe. Ainsi le scannage de la menuiserie rassemble toutes ces caractéristiques et va permettre de définir la quantité, le type et le coloris de la peinture à appliquer. La puce NFC quant à elle, permettra de suivre étape par étape l’évolution du process de finition. En pratique, en entrée de cabine, toutes les menuiseries sont scannées. Elles sont placées sur des balancelles qui sont, elles, équipées d’une puce NFC. Les menuiseries sont d’abord dépoussiérées puis un premier flow-coat de préservation est appliqué par aspersion ; il permettra de préserver la menuiserie des insectes, champignons et moisissures. Le système aiguille ensuite la menuiserie vers une zone de séchage de préservation. Un deuxième flow-coat d’imprégnation est appliqué. L’aiguillage se fait automatiquement en fonction des finitions souhaitées : pour une finition lasure transparente, c’est u Balancelles équipées d’une puce NFC sur lesquelles sont placées les menuiseries. Les menuiseries sont par la suite égouttées. Cette étape d’égouttage est nécessaire pour préparer les menuiseries à recevoir la teinte finale. L’hygrométrie de cette zone est notamment régulée à 60% pour permettre d’optimiser l’égouttage afin que les menuiseries ne sèchent pas trop vite. Les boues de peintures et les eaux usées qui en proviennent sont récoltées et traitées avec un coagulant et un floculant permettant de séparer les éléments. Un filtre à charbon et un filtre à particules les nettoient avant leur rejet dans les égouts. Menuiseries séchées dans un tunnel à infrarouge de 11 kW Après égouttage, les menuiseries sont de nouveau séchées dans un tunnel à infrarouge de 11 kW (lampes halogènes). Ce séchage à coeur qui s’exécute de l’intérieur vers l’extérieur, est efficace en 30 minutes au toucher et à coeur en 1h 30. Avec une température ambiante de 25°C, cette méthode de séchage est 3 fois moins énergivore et ne nécessite pas le refroidissement du tunnel entre chaque menuiserie. Cette technique offre véritablement une qualité de séchage supérieure avec moins de défaut lors des manutentions ou lors des opérations sur les menuiseries après peinture. Elle autorise également la palettisation des menuiseries 6h après la sortie de la cabine, là où il fallait habituellement attendre un minimum de 12h pour éviter les phénomènes de collage entre les fenêtres. Deux autres cabines équipées de robots sont dédiées à la pulvérisation intermédiaire et à la pulvérisation de finitions. Réalisée par des robots anthropomorphes à 6 axes, la pulvérisation est appliquée par 2 pistolets automatiques airmix. Le calcul des trajectoires est automatique et précis, et, un système de débitmètre évalue la quantité de peinture par menuiserie. Leur grande amplitude de travail les habilite à peindre des cadres de 4m par 3m. Robot anthropomorphe à 6 axes équipé de 2 pistolets automatiques airmix 2 autres tunnels de séchage infrarouge de 22 kW sont dédiés au séchage des menuiseries des cabines de pulvérisation et finition. Un contrôle qualité, réalisé par un personnel qualifié, finalise le processus de laquage qui est garanti jusqu’à 10 ans pour les finitions opaques et 5 ans pour les lasures transparentes. Le séchage infrarouge à coeur s’exécute de l’intérieur vers l’extérieur, il est efficace en 30 minutes au toucher et à coeur en 1h 30. Avec une température ambiante de 25°C, cette méthode de séchage est 3 fois moins énergivore et ne nécessite pas le refroidissement du tunnel entre chaque menuiserie. En quelques chiffres, cette nouvelle cabine de laquage ce sont 1000 m² de panneaux sandwich, 25 tonnes d’ossature porteuse, 400 mètres de rail, 750 mètres de chaine avec 8 moteurs d’entraînement, 80 balancelles équipées de puces NFC, 1 menuiserie toutes les 7 minutes. Mais c’est également et surtout un laquage et un process industriel plus vertueux qui s’inscrivent le cadre d’une stratégie environnementale. En effet, cette nouvelle technologie de séchage infrarouge à coeur génère un gain énergétique en divisant par 3 la consommation électrique du site. Outre les mesures déjà mises en place comme l’optimisation des coûts énergétiques du transport et l’approvisionnement de bois issus de forêts gérées durablement, le Groupe utilise des produits classés A+ pour les émissions de Composés Organiques Volatils (COV), recycle les eaux et les boues de peintures de la cabine, exécute un laquage automatisé, précisément dosé et ciblé afin d’éviter le gaspillage et génère des économies de peintures. Assurément ces process engendrent un gain de productivité mais on le voit, le Groupe Lorillard a également à cœur de réduire son impact environnemental.
Il y a 3 ans et 189 jours

Sto accompagne les artisans pour gagner en productivité

Au travers d'une campagne à destination des artisans, au slogan accrocheur « L'avenir appartient à ceux qui se lèvent Sto », le spécialiste de la façade – isolation thermique par l'extérieur (ITE), produits techniques et d'embellissement des façades, livre une palette d'astuces pour gagner en productivité.Des astuces pour soutenir l'activité intense d'un secteur de relance prioritairePorté par le gouvernement au travers du dispositif d'aides MaPrimeRénov' et les objectifs climatiques à atteindre, le secteur de la rénovation énergétique en maison individuelle est en pleine effervescence. Les ménages doivent également faire face à l'augmentation des prix d'énergie. Conséquence : les professionnels de l'isolation de façade par l'extérieur sont actuellement très sollicités et donc volontiers preneurs de pistes pour « faire mieux, plus vite » ; en tant que fabricant leader de l'ITE, c'est le rôle de Sto que de leur simplifier la tâche.Déployée en plusieurs volets « Je me lève Sto pour… », la campagne a démarré en septembre et durera jusqu'à la fin de l'année 2021. Les bons produits, les bons outils, les bonnes pratiques sont au cœur de la campagne. Preuve que Sto pense à tout, dans le moindre détail ! Seront ainsi à l'honneur :la création d'un appui de fenêtre parfait (tablette + appui)la réalisation d'un encadrement parfaitla réalisation d'un chaînage d'anglela réalisation d'un arrêt d'enduit parfait aux jonctions menuiseriesla réalisation d'un bandeau filantla réalisation d'un départ parfait (profil à clipser)des coupes parfaitesune interview de Benoist Catroux, formateur – animateur chez StoChaque astuce se présente sous la forme d'une checklist téléchargeable en PDF, comprenant les produits nécessaires, les bons outils et les étapes de pose, accompagnée d'une vidéo d'application.L'ensemble des astuces seront dévoilées au fur et à mesure via une communication omnicanale sur : le site internet www.sto-facade.fr, les réseaux sociaux de l'entreprise (chaîne YouTube, LinkedIn, Instagram). Des e-newsletters sont également envoyées aux clients et prospects de Sto.Par ces astuces, ces courtes vidéos, ces « listes pré-formatées » pour ne rien oublier, Sto répond aux attentes formulées par les artisans poseurs d'ITE en maison individuelle, avec toujours cette particularité propre à l'entreprise de vente directe exclusive.Focus sur les premiers produits dévoilésL'appui de fenêtre StoDeco Frame F Type AF offre une solution deux en un, tablette et appui, afin d'apporter du relief et de la protection à votre façade, en rénovation comme en neuf, quelle que soit la configuration de la fenêtre. Ce matériau minéral est un réel atout pour le confort de l'habitat avec une efficacité éprouvée contre les intempéries.L'encadrement de fenêtre StoDeco Frame Type N apporte du relief à la façade. Polyvalents, ces modèles de profils de volumétrie simple type planche s'utilisent également en partie courante pour réaliser un chaînage d'angle. Ils sont facilement ajustables directement sur le chantier à l'aide d'une scie avec lame spéciale.Le profil d´arrêt menuiserie Sto-Profil Pro avec compribande et fibre de verre intégrés permet de réaliser des raccordements étanches et durables (dormants de fenêtres et de portes, rails de volets roulants) des systèmes d'isolation de façades.
Il y a 3 ans et 190 jours

Datagir : un service pour apporter l’information environnementale

L’ADEME (Agence de la Transition Ecologique) développe le service « Datagir » qui vise à encourager des comportements plus durables en apportant une information environnementale fiable au coeur des applications et services les plus utilisés par tous. Elle accompagne les entreprises, associations ou collectifs dans la compréhension et l’intégration des données environnementales de l’ADEME : facteurs d’émissions de gaz à effet de serre, données d’impact environnemental… Pour les structures qui recherchent des solutions simples et rapides à mettre en place, elle propose des calculateurs déjà opérationnels, qui restent à jour et sont faciles à intégrer dans un site internet ou un article. Par exemple, le simulateur d’empreinte carbone personnel Nos Gestes Climat interroge l’utilisateur sur ses habitudes quotidiennes (déplacements, alimentation, logement, etc) afin de lui indiquer son impact carbone et de la comparer avec la moyenne ou les objectifs climat. Sont ensuite proposées des fiches personnalisées à l’utilisateur afin de lui permettre d’identifier les actions qu’il peut mettre en place pour réduire son impact carbone. Autre exemple : Le calculateur transport qui permet de quantifier et comparer l’impact CO2 de différents moyens de transport pour une distance donnée.
Il y a 3 ans et 191 jours

Etude habitat 2021 : quel impact de la crise sanitaire sur le désir d’habitat ?

Dans le cadre des Inohadays, journée de réflexion stratégique organisée pour ses adhérents, consacrée cette année à l’Habitat de Demain, Inoha, l’Association des Industriels du Nouvel Habitat, a mené en partenariat avec la régie du Groupe Reworld Media et l’Institut d’Etudes Harris Interactive la reconduction d’une étude* réalisée en 2018. Cette dernière a pour but de mettre en évidence, trois ans après, les évolutions notables et l’impact de la crise sanitaire dans le désir des Français envers leur habitat. Depuis le début de la crise sanitaire, pour 44% des Français, l’habitat a pris encore plus d’importance qu’auparavant. 69% ont le sentiment de s’être davantage occupé de leur intérieur et/ou de leur jardin. Pour être bien chez soi, ils aspirent aujourd’hui à un habitat plus sûr (+10 points), plus sain (+ 8 points), plus confortable (+ 7 points), plus éco-responsable (+ 5 points). Mais plus encore, ils souhaitent bénéficier d’un extérieur, élément ayant le plus progressé en 3 ans dans les critères jugés essentiels par les Français (+ 3 rangs). Etat des lieux du logement des Français âgés de 25 – 64 ans Comme le révélait déjà l’étude en 2018, la majorité des Français interrogés dispose d’un cadre de vie confortable. Environ 6 sur 10 d’entre-eux vivent en maison, sont propriétaires de leur logement et bénéficient, pour la plupart, d’un grand espace de vie. Fait nouveau, l’étude 2021 révèle que 16% déclarent posséder une résidence secondaire. Ces heureux propriétaires ont un profil plus jeune (25 à 34 ans), sont franciliens et font partie des CSP+. Ils sont, pour près de la moitié d’entre-eux, des télétravailleurs réguliers. 2018 – 2021 : l’Habitat, un sujet qui mobilise toujours autant les Français Les Français aiment toujours autant leur habitat. 95% s’y sentent bien et adorent y passer du temps. 84% apprécient de l’équiper et de l’améliorer. Toutes tranches d’âge confondues, si 89% sont satisfaits de leur intérieur, la période de confinement a accéléré leurs attentes. Certaines se sont d’ailleurs fortement accrues en 3 ans. Parmi celles-ci, citons la sécurité du logement (45%), le confort (44%), une bonne connexion internet (39%), l’extérieur (28%). Habiter un logement plus sain (36%) et respectueux de l’environnement (26%) est également un critère en hausse. Le rapport des Français à l’habitat bousculé par la crise sanitaire Les confinements successifs et le développement du télétravail ont bousculé le rapport des Français à l’habitat. Pour plus de 4 sur 10, âgés de 25 à 64 ans (44%), la crise sanitaire a rendu leur logement plus important qu’avant. 69% ont le sentiment de s’être davantage occupé de leur intérieur et/ou de leur jardin dans lesquels ils ont d’ailleurs réalisé de nombreux travaux. 90% ont effectué au moins un achat de décoration, bricolage, mobilier et/ou jardinage au cours des 2 dernières années. 72% d’entre-eux ont entrepris un projet d’aménagement depuis le début de la crise sanitaire, au premier rang desquels des petits travaux (peinture, …) et l’organisation d’un espace de télétravail (50%). Ces changements de comportement ne semblent pas prêts de s’arrêter. En effet, 85% des propriétaires ont un projet de rénovation ou d’aménagement dans les 2 ans à venir. Peinture, décoration et jardin constituent le top 3 de ces projets qui seront réalisés en majeure partie par eux-mêmes. Des bricoleurs de plus en plus experts Cette période a également été propice pour la majorité de ces personnes (59%) de monter en compétences dans les domaines du bricolage et du jardinage. Des Français aux comportements de plus en plus éco-responsables dans l’habitat L’étude 2021 met en évidence un intérêt toujours plus grand des Français pour l’éco-responsabilité de l’habitat qui s’accompagne de réflexes et pratiques positifs, notamment en terme de consommation d’eau, d’électricité et de gestion de l’arrosage. 43% des personnes interrogées (+ 5 points) envisagent, d’ailleurs, l’installation d’un arrosage automatique de type goutte à goutte dans leur jardin. Cette démarche s’explique, en premier lieu, par la perspective d’économies. L’amélioration du bien-être et le respect de l’environnement sont également des motivations clés et en progression par rapport à 2018. En revanche, le prix reste un frein pour 9 Français sur 10. Enfin, 75% des Français (+7 points) font confiance aux professionnels pour réaliser des travaux afin d’améliorer l’éco-responsabilité de leur habitat, même si 63% n’hésitent pas à les effectuer eux-mêmes. Les travaux de plus grande envergure tels que l’installation de panneaux solaires ou photovoltaïques (28% ; + 6 points), le changement de fenêtres (27% ; +4 points) sont largement envisagés. Objets connectés et domotique : un taux d’équipement encore limité mais en progression Signe d’un marché qui murit, l’étude relève davantage d’adeptes de la domotique qu’il y a 3 ans. Bien qu’en progression de 6%, le nombre de Français dont l’habitat est équipé d’au moins un objet connecté (17%) et de ceux se déclarant très intéressés (35%) reste encore minoritaire. Près d’un Français sur 2, disposant d’un jardin ou d’un balcon, accorde de l’importance à la mise en place de la domotique pour leur extérieur ; un score en progression de 10 points depuis 2018. Autant un levier qu’un frein, le budget demeure l’argument clé du développement du marché de la domotique et des objets connectés en France. Néanmoins, 4 Français sur 10 envisageraient d’y consacrer un budget important soit une hausse de 10 points en 3 ans. Enfin, si les retraités interrogés semblent globalement en retrait par rapport à cet univers, le maintien à domicile pourrait à terme devenir un marché à fort potentiel de développement. Les jeunes, un véritable levier pour le secteur 92% des 25/34 ans ont un projet d’aménagement dans les deux prochaines années (vs 85% de l’ensemble des Français). De plus, 23% d’entre eux possèdent une résidence secondaire (vs 16% de l’ensemble). 52% d’entre-eux font du télétravail (vs 38% de l’ensemble de la population). Ce sont les jeunes (25% vs 17% de l’ensemble) qui sont le plus équipés d’objets connectés. Enfin, ils sont également plus sensibles et s’investissent davantage que le reste de la population en faveur de l’éco-responsabilité de leur logement (80% vs 76% de la population). « Cette étude, que nous avons révélé à nos adhérents lors des Inohadays, prouve que l’engouement des Français pour leur habitat continue. Elle est porteuse de signes positifs pour les industriels et l’avenir de la filière. Les Français vont entreprendre plus de travaux dans les deux ans à venir ; une tendance qui confirme que l’habitat est devenu une valeur refuge. Il est également intéressant de souligner que les jeunes sont un véritable levier pour le développement de notre secteur », conclut Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha. *Etude menée auprès d’un panel de plus de 1000 Français de 25 ans et plus http://www.inoha.org/
Il y a 3 ans et 191 jours

Palmarès de l’édition 2021 des Trophées Inoha

Lors de la 6ème édition de LA NUIT by Inoha, organisée par l’Association des Industriels du Nouvel Habitat le 25 novembre dernier au Musée des Arts Forains, quatre trophées ont été décernés à des sociétés adhérentes pour leur démarche engagée et novatrice dans l’une des 3 catégories du concours : Innovation, Communication, et R.S.E. / Responsabilité Sociétale des Entreprises. Le jury*, composé d’acteurs de la filière et de journalistes, a souhaité récompenser les sociétés suivantes : Recticel Insulation avec le Trophée de l’Innovation, Brunel Chimie Dérivés et sa marque Starwax avec le Trophée Communication, PPG et sa marque Ripolin avec le Trophée R.S.E. Un Coup de Cœur du Jury a également été décerné à l’entreprise Swap-Europe du Groupe Builder pour son service de reconditionnement. Les lauréats des Trophées Inoha 2021 Lors d’une soirée conviviale rassemblant plus de 300 invités issus des secteurs de l’industrie et de la distribution, la 6ème édition de LA NUIT by Inoha a été l’occasion pour Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, de dévoiler les 4 lauréats du palmarès des Trophées 2021. Trophée de l’Innovation : Recticel Insulation pour SIMFOCOR SIMFOCOR est une solution innovante établissant de nouveaux standards dans le secteur de l’isolation acoustique. Inédit, SIMFOCOR est un panneau d’isolation acoustique facile à installer dans les cloisons distributives standards, de type rails métalliques et recouverts d’une plaque de plâtre de 12,5 mm pour répondre aux exigences de sécurité incendie. Certifié, SIMFOCOR réduit les bruits aériens perçus dans l’habitat (gain d’affaiblissement ΔRw = 8 dB.) et crée ainsi un espace de vie paisible. Conçu à partir de 70% de mousses de Polyuréthane recyclées issues de matelas usagés (70%), SIMFOCOR limite l’impact environnemental et préserve les ressources naturelles. Légers, les panneaux semi-rigides SIMFOCOR sont faciles à manipuler. Ils ne se tassent pas et conviennent tout particulièrement aux travaux en neuf ou en rénovation. « Au-delà du facteur émotionnel, nous avons pris en compte les critères d’innovation, d’écologie, de design et d’usage afin de faire ressortir le projet le plus abouti, le plus responsable et le plus porteur de cette image que l’innovation doit véhiculer à un moment où les besoins de confiance, de qualité et de mobilisation autour de notre environnement sont essentiels. Recticel a su cocher le plus grand nombre de cases sur le processus de réutilisation des matières isolantes qui sont reconditionnées pour donner une nouvelle vie à un produit très innovant, une boucle vertueuse et tellement responsable » déclare le membre du Jury Philippe BERNA, Responsable du Pôle Innovation & Numérique de la Médiation des Entreprises. Trophée Communication : Brunel Chimie Dérivés pour la campagne menée pour sa marque STARWAX STARWAX, marque de l’entreprise française Brunel Chimie Dérivés, spécialiste des produits d’entretien pour la maison, est récompensée pour sa campagne de communication à 360° « AUSSI MANIAQUE QUE VOUS ». La marque STARWAX jouissait d’une excellente réputation de qualité et d’efficacité. Cependant, sa notoriété restait faible car elle était distribuée via les Grandes Surfaces de Bricolage, circuit peu naturel pour acheter des produits d’entretien. Dans un contexte extrêmement concurrentiel, STARWAX se devait d’émerger face à des marques multinationales et avait pour objectif de faire savoir à ses consommateurs cibles qu’elle disposait de solutions spécifiques pour résoudre les problématiques d’entretien de la maison. STARWAX a ainsi lancé une campagne de communication en 4 étapes successives : . une étude auprès de ses clients consommateurs pour cerner leurs profils, phase essentielle du processus de réécriture du positionnement de marque, . la création d’une nouvelle plateforme de communication réalisée par l’agence Buzzman, réputée pour ses idées innovantes et disruptives. Une nouvelle signature de marque a ainsi vu le jour : « AUSSI MANIAQUE QUE VOUS » faisant écho à la cible des consommateurs de STARWAX, . un plan média national d’affichage et de parutions presse, . un relais sur les réseaux sociaux de deux vidéos tutorielles réalisées avec Jessica Venancio, Ambassadrice de la marque. « Le Jury a décidé de récompenser Starwax pour sa capacité à répondre aux attentes des consommateurs en leur proposant une campagne de communication osée, assumée et innovante » commente le membre du Jury Etienne Bodin, Délégué Général des Jardineries et Animaleries de France. Trophée R.S.E / Responsabilité Sociétale des Entreprises : PPG pour sa marque Ripolin Afin de se positionner comme un acteur du changement au travers d’actions responsables et innovantes sur le marché de la peinture, PPG s’engage depuis 2009, au travers de sa marque à forte notoriété Ripolin, en faveur de l’Environnement et de la Santé tout en préservant la performance, la qualité et l’accessibilité de ses produits. Depuis 2020, la société a accéléré les initiatives concrètes pour : . réduire l’impact de ses produits et de ses sites de production français certifiés ISO 14001, avec notamment le lancement de sa gamme Ripolin O’Pur, peinture à base de résines biosourcées à 97% réduisant de 25% ses émissions de CO2. 96% de la gamme Ripolin est fabriquée en France sur des sites de production certifiés ISO 14001. . baisser son empreinte carbone en choisissant le plastique recyclé pour ses emballages, . sensibiliser les consommateurs en mettant à leur disposition, sur son site internet, un calculateur afin qu’ils achètent la juste quantité de peinture et une carte des déchetteries les plus proches de leur domicile. Ce projet s’accompagne également d’actions sociales et environnementales comme le reboisement lancé en 2021 en Corrèze avec son partenaire Reforest’Action (2000 arbres plantés). « Le jury a tout particulièrement apprécié la prise en compte de l’ensemble des problématiques dans la démarche R.S.E de PPG au travers de sa marque Ripolin, allant du calculateur pour acheter la juste quantité jusqu’à proposer une carte avec les déchetteries les plus proches du domicile des consommateurs » explique Laure Empereur, membre du Conseil d’Administration d’Inoha, qui a remis ce prix à l’entreprise. Coup de Cœur du Jury : Swap-Europe, filiale du Groupe Builder Systems, pour son service de reconditionnement Comment réduire son impact sur l’environnement tout en proposant des outils abordables pour tous ? Comment consommer mieux ? Builder Systems, fabricant d’outils de bricolage et de jardinage, met tout son savoir-faire pour offrir une nouvelle vie aux produits tout en réduisant les déchets et en recyclant les matières plastiques. Au travers de sa filiale Swap-Europe, spécialiste de la pièce détachée et engagée dans l’économie circulaire, Builder Systems a créé une filière de reconditionnement. Unique sur le marché, Swap Reused propose aux enseignes de la GSB et du e-commerce, depuis 2021, la collecte et le reconditionnement d’outils de jardin et de bricolage. Avec ce nouveau service, Swap-Europe leur permet de bénéficier d’une solution nationale, centralisée et gratuite, s’inscrivant dans leurs démarches RSE. La seconde main étant de plus en plus sollicitée, Swap-Europe met également à disposition des consommateurs une offre adaptée à leurs attentes. Tous les produits sont reconditionnés en France et Swap-Europe a pour objectif de créer des partenariats avec des organismes de l’économie sociale et solidaire afin de favoriser la réinsertion. « Le Jury a eu un véritable coup de coeur pour cette solution car elle est à la fois innovante et apporte une réponse à la problématique de la fin de vie des produits. Cette initiative s’inscrit dans la démarche d’économie circulaire couplée à nos ambitions RSE » conclut Jean-Luc GUÉRY, Président d’Inoha. *Membres du Jury : Jean-Luc Guéry, Président Inoha – Caroline Hupin, Déléguée Générale de la FMB – Etienne Bodin, Délégué Général des Jardineries et Animaleries de France – Philippe Berna, Responsable du Pôle Innovation et Numérique de la Médiation des Entreprises – Céline Chahi, Rédactrice en Chef de Maison & Travaux, Directrice Pôle Maison de Reworld Media – Guillaume Fédèle, journaliste au magazine Négoce. http://www.inoha.org/  
Il y a 3 ans et 194 jours

Le Groupe Lorillard se pare d’un nouveau site. Illustration digitale d’une expertise plurielle.

A l’aune de ses 85 ans le Groupe Lorillard est loin d’être une entreprise vieillissante et, bien au contraire, dynamise sa présence digitale avec la refonte totale de son site Internet. L’entreprise octogénaire qui cumule aussi les marques et les sites de production – forte d’une présence nationale et pluriactivités – a choisi de remanier la conception globale de son site afin de permettre une visibilité à 360°du Groupe. Ainsi, les différentes activités du Groupe, les valeurs, les 12 marques commerciales et l’identité de chacune ont été mises en lumière autour d’une arborescence agile, plus complète et de contenus enrichis. CONSIDÉRER LE GROUPE La première étape de la construction de ce nouveau site Internet a été de considérer digitalement le Groupe. Fort de 12 marques et d’autant de publics cibles, allant du particulier aux bailleurs sociaux en passant par les artisans, le Groupe Lorillard a choisi de donner plus de visibilité et de force à l’ensemble des entités. Pour ce faire, une arborescence plus structurée a été créée, le design tendance des pages et la sémantique ont été adaptés. Ainsi le nouveau site s’adresse en grande partie aux professionnels : artisans, architectes, bureaux d’études, bailleurs sociaux, collectivités et institutionnels, promoteurs, copropriétaires, etc. Les 12 marques du Groupe sont mises en lumière et accessibles via l’onglet «Toutes nos Marques». La notion de Groupe a inspiré toute la conception du site, son design, sa sémantique. Un formulaire de contact a notamment été créé pour qualifier chaque typologie de client. Il permet de diriger précisément les demandes afin qu’elles soient traitées plus rapidement par le service concerné. La notion de visibilité a été particulièrement étudiée pour bien différencier chaque marque et chaque site de production. Cette différenciation a trouvé sa solution avec la création d’une page dédiée pour chacun. Directement accessibles depuis le menu principal, ces pages sont des écosystèmes propres à chaque entité avec différents types de contenus qui peuvent leur être rattachés, comme des réalisations, des actualités, le détail de leurs activités ou des offres d’emplois. Cette arborescence permet également au Groupe de travailler avec plus de pertinence son référencement naturel à l’aide de requêtes locales et thématiques. Un formulaire de contact a été créé pour qualifier chaque typologie de client.   DES CONTENUS ENRICHIS Les contenus ont été travaillés de manière à répondre aux besoins spécifiques de chaque cible. Une réflexion a été menée pour apporter toutes les informations nécessaires de façon claire et structurée pour que les utilisateurs puissent avoir une vision complète des métiers et expertises du Groupe. Les contenus du nouveau site ont été rassemblés sous 6 grandes thématiques : la découverte du Groupe, les marques, les expertises, les produits, les réalisations et le recrutement. Les contenus ont été travaillés de manière à répondre aux besoins spécifiques de chaque cible, et apporter toutes les informations de façon claire et structurée.   Les pages sur l’histoire du Groupe, les valeurs, les sites de production ont particulièrement été travaillées pour souligner la notion de « Groupe ». Identiquement, les divers savoir-faire ont été catégorisés en 4 grandes expertises : Pose de menuiserie-Conduite de projet, Fabrication de menuiserie sur mesure et fourniture seule, Rénovation-Isolation des façades, Désamiantage-Déplombage des menuiseries. Deux autres rubriques à forte valeur ajoutée ont été pensées pour mettre en évidence le savoir-faire, la notion de sur-mesure et la capacité d’adaptation du Groupe aux contraintes et natures des divers chantiers. Ainsi, la rubrique dédiée aux réalisations du Groupe fera la part belle aux chantiers des différentes entités et mettra en exergue les expertises développées. La rubrique des dossiers conseils offrira quant à elle, des articles de fond, à la manière d’un blog, pour aider les utilisateurs sur diverses problématiques qu’ils peuvent rencontrer. La rubrique présentant les réalisations du Groupe fait la part belle aux chantiers des différentes entités et met en exergue les expertises développées. Ce nouveau site web, en accord avec les valeurs et l’identité du Groupe lui offre une présence digitale optimisée. Les contenus enrichis, l’expérience utilisateur perfectionnée avec une navigation simplifiée et l’arborescence retravaillée en font un site optimisé, sur mobile également ! La stratégie SEO, les actions marketing et digitales, les vidéos implémentées, les billets du blog vont offrir des contenus plus riches et de qualité permettant d’informer les utilisateurs, d’améliorer la visibilité et la notoriété du Groupe et de ses marques. Partager la publication « Le Groupe Lorillard se pare d’un nouveau site. Illustration digitale d’une expertise plurielle. »
Il y a 3 ans et 196 jours

Le Together World Tour d’Ideal Standard atterrit à Dubai : l’occasion de mettre en avant Intellemix et Conca

Ideal Standard s’est rendu à Dubaï pour le dernier rendez-vous de l’année de sa série unique d’événements, le Together World Tour. Mettant l’accent sur l’innovation en matière de design, l’événement du 22 novembre a été inspiré par la dynamique « ville du futur » et a été l’occasion de mettre l’accent sur le robinet intelligent sans contact Intellimix et la collection de céramiques, meubles, robinetteries et baignoires Conca. Le Together World Tour, la série d’événements cinématographiques d’Ideal Standard, s’est récemment arrêté à Dubaï pour le cinquième des six événements qui se déroulent à travers le monde. Fusion innovante de contenus numériques, ce voyage vise à inspirer la communauté internationale de l’architecture et du design en présentant le meilleur de la culture du design de chacune de ces six villes. Après le succès des événements précédents ayant pris place à travers 4 grandes villes d’Europe, l’avant- dernier événement de la série – intitulé Un moment d’innovation – s’est tourné vers l’avenir de l’architecture et du design, en utilisant l’une des destinations les plus modernes au monde comme toile de fond pour partager les tous derniers développements produits d’Ideal Standard. Le co-Directeur Général d’Ideal Standard, Jan Peter Tewes, a déclaré : « Dubaï est une ville qui symbolise la transformation, le progrès et un avenir radieux. C’est un endroit où le passé est encore visible, mais qui est devenu célèbre pour son développement urbain rapide, son paysage de gratte-ciel et ses centres culturels emblématiques. C’est un incroyable exemple de comment combiner une vision moderne avec le patrimoine et la culture. Cette ville nous montre que l’impossible est possible grâce à un design, une architecture et une ingénierie innovants. En ce sens, Ideal Standard a des similitudes avec Dubaï. Nous travaillons depuis plus de 100 ans avec les maîtres designers de leur époque et nous réinventons maintenant certains de nos designs les plus emblématiques du passé en utilisant les dernières technologies et matériaux de fabrication pour créer des collections qui répondent aux besoins de la vie moderne. » L’événement s’articulait autour de 3 temps forts : • la découverte de la culture et du patrimoine via la visite des quartiers historiques de la ville, avec un coup de projecteur sur la nouvelle collection primée d’Ideal Standard, Conca, qui s’inspire de la collection originelle du même nom, conçue en 1972, et qui inclut de la céramique, de la robinetterie, des meubles et des baignoires. Intégrant Atelier Collections, les produits contemporains sont le résultat du partenariat exclusif d’Ideal Standard avec le célèbre studio de design italien Palomba Serafini Associati et représentent l’engagement de la marque à façonner l’avenir de la vie moderne à travers le design, • des entretiens exclusifs avec certains des plus grands esprits de l’architecture et du design, dont Janus Rostock et Ahmed Al Salami, • la visite de l’Expo 2020, exposition universelle qui se déroule à Dubaï du 1/10/2021 au 31/03/2022 et qui présente des solutions innovantes aux problèmes mondiaux et encourage la collaboration pour assurer un avenir meilleur. Toujours sur le thème de l’innovation, le Chief Design Officer d’Ideal Standard, Roberto Palomba, a présenté Intellimix, le produit pionnier d’Ideal Standard. Intellimix est un robinet intelligent sans contact qui permet une hygiène supérieure sans effort avec une distribution programmée d’eau et de savon à partir du même appareil. Son cycle de lavage optimisé réduit la propagation des bactéries et virus nocifs ainsi que la consommation d’eau. En parlant d’Intellimix, Roberto a déclaré : « Les événements de l’année dernière ont renforcé l’importance de l’hygiène à travers le monde, ce qui a non seulement un impact sur le comportement humain, mais a également modifié de manière permanente les exigences en matière de conception des sanitaires collectifs. Il est plus important que jamais que ces espaces partagés et la technologie qu’ils contiennent soient conçus en tenant compte de la santé et de la protection de l’utilisateur final. Intellimix a été introduit pour répondre à ces exigences en améliorant l’hygiène et en garantissant plus que jamais que le lavage des mains soit réalisé efficacement et facilement par tous les utilisateurs d’un bâtiment. Cela contribue également à atteindre les objectifs de développement durable, tout en aidant les entreprises à réduire leurs coûts de maintenance et de fonctionnement. » Rappelons que depuis son lancement en avril, le Together World Tour a visité Milan, Berlin, Londres, Paris et maintenant Dubaï, plongeant dans la culture dynamique de chaque ville et explorant leur impact sur le monde de la conception de salles de bain. Jan Peter Tewes a conclu : « Le Together World Tour vise à faire voyager nos clients et partenaires dans le monde du design et de l’architecture. Chacune des villes a été sélectionnée précisément car elle reflète des philosophies similaires aux perspectives de conception d’Ideal Standard, y compris les qualités trouvées dans nos gammes de produits. Ce voyage a été un grand succès jusqu’à présent, mais il ne touche pas encore à sa fin. Nous avons un dernier arrêt prévu pour 2022 dans un endroit magnifique – alors restez à l’écoute pour plus d’informations. » Pour vous inscrire à l’événement final, revoir les précédents et accéder à du contenu supplémentaire exclusif : visitez https://www.togetherworldtour.com/fr/ https://www.idealstandard.fr/
Il y a 3 ans et 196 jours

La Fondation du patrimoine met à l’honneur la biodiversité agricole française

Pour la 10e fois, le Prix national de la Fondation du patrimoine pour l’agrobiodiversité animale, remis conjointement par la Fondation du patrimoine et Ceva Santé Animale et soutenu par le ministère de l’Agriculture, mettra à l’honneur des éleveurs, des associations de passionnés, des conservatoires régionaux de races, des groupements agricoles qui s’engagent au quotidien pour protéger la biodiversité agricole française. Les candidats ont jusqu’au 17 janvier 2022 pour déposer leur dossier sur le site internet de la Fondation du patrimoine. Retrouvez-également notre article sur les races menacées dans le dernier numéro d’Atrium (n°92), p.50… Aides de la Fondation du Patrimoine… Atrium patrimoine n°92…  
Il y a 3 ans et 200 jours

Au Japon, une ancienne maison close restaurée pour sa beauté

Et pourtant, ce complexe richement décoré datant de l'ère Taisho (1912-1926) est l'âme historique du quartier: il était à l'origine une luxueuse maison close."La majeure partie de l'architecture japonaise d'il y a un siècle ou plus a brûlé durant les bombardements de la Seconde Guerre mondiale ou dans des incendies", souligne Shinya Hashizume, professeur d'histoire de l'architecture à l'université du département d'Osaka."Les anciens bâtiments de maisons closes ont très rarement survécu", ajoute M. Hashizume lors d'une visite sur place avec l'AFP. Aussi ce lieu "est important car il est resté pratiquement intact".Depuis des décennies, le bâtiment à deux niveaux de près de 400 m2 héberge un restaurant appelé Taiyoshi Hyakuban. Il comprend des dizaines de salles de style japonais comme occidental autour d'une cour intérieure accueillant un jardin japonais traditionnel, avec une passerelle rouge en demi-lune, une mare et des rochers.Deux imposantes pierres se dressent dans la cour, une référence au yin et au yang, aux pôles féminin et masculin.Les plafonds et les portes coulissantes de nombreuses chambres sont décorées de fresques peintes pleines de raffinement: fleurs, oiseaux, rivière avec le Mont Fuji, déesses dansant ou jouant de la musique...Financement participatifLa nuit, les façades du bâtiment ont encore fière allure, avec son élégante balustrade à l'étage, doucement éclairée par des lanternes rouges suspendues.Mais la lumière du jour révèle crûment les affres du temps, le bois qui se fissure, les peintures qui s'écaillent.Le site est classé de longue date comme un "bien culturel matériel", mais cette reconnaissance officielle de son importance historique n'a pas été accompagnée de fonds publics pour le sauvegarder.Le propriétaire du restaurant prévoyait depuis longtemps des travaux de rénovation, mais ses finances ont été durement affectées par la pandémie, comme tout le secteur de l'hôtellerie-restauration au Japon.Aussi un collectif d'agents immobiliers et d'urbanistes locaux a lancé une campagne de financement participatif en ligne pour lever 15 millions de yens (plus de 113.000 euros)."On craignait que la rénovation devienne impossible si on attendait et laissait encore le bâtiment se détériorer pendant dix années supplémentaires", explique à l'AFP Keisuke Yotsui, l'un des membres du collectif.Contre l'oubliLe quartier de Tobita-Shinchi, où est situé le restaurant Taiyoshi Hyakuban, est un quartier de prostitution historique d'Osaka, qui comptait des centaines de maisons closes il y a un siècle.Quand la prostitution a été interdite au Japon à la fin des années 1950, beaucoup de ces maisons ont poursuivi leur activité en contournant la loi, par exemple en faisant payer aux clients la chambre au lieu de la passe.Et la pratique perdure: "Hé monsieur, pourquoi ne t'arrêterais-tu pas?" lance une vieille maquerelle dans la nuit, à côté d'une jeune femme prenant la pose à deux pas du restaurant.L'appel aux dons pour un établissement autrefois malfamé a indigné certains internautes, notamment des femmes, raconte M. Yotsui."Ce quartier vit avec une histoire sinistre" mais il ne s'agit pas de l'édulcorer ni de l'oublier, estime le professeur Hashizume.La campagne de financement participatif a finalement dépassé son objectif initial en récoltant cet été près de 19 millions de yens (144.000 euros), et les travaux de rénovation viennent de commencer.Le quartier de Tobita-Shinchi pourrait bientôt s'embourgeoiser: un immense hôtel de luxe doit notamment ouvrir ses portes au printemps prochain à proximité.Si le bâtiment historique du Taiyoshi Hyakuban disparaissait, "nous n'aurions plus aucun moyen de nous rappeler et d'apprendre à quoi cet endroit ressemblait autrefois", souligne M. Yotsui.Le site internet de la campagne pour sa sauvegarde propose une remarquable visite virtuelle du site en 3D (https://micro-heritage.jp/hyakuban).
Il y a 3 ans et 201 jours

L’envers du béton

“L’envers du béton”, un documentaire à voir sur France 5, le dimanche 5 décembre, à 20 h 55.[©France Télévisions] Le béton est-il aussi pérenne que l’on l’imagine ? Dimanche 5 décembre prochain, à 20 h 55, France 5 diffuse “L’envers du béton”, un documentaire signé Frédéric Biamonti et Alain Duval, qui pose cette question. L’effondrement du pont Morandi, à Gênes, le 14 août 2018, en constitue le point de départ. La catastrophe a fait 43 victimes. Quelle en est la cause ? Est-ce intrinsèquement la qualité du béton ou plutôt une quasi-absence d’entretien qui a conduit à la ruine de l’ouvrage ? Christian Tridon, président du Strres1, indique, dans une interview accordée à Béton[s] le Magazine2, que : « Cet ouvrage était très particulier dans sa conception et demandait un suivi très précis et poussé, qui, visiblement, n’avait pas été mis en place ». Lire aussi : Strres : « Il faut mettre en place un carnet de maintenance des ponts » Oui, le béton armé n’est ni éternel ni immuable. “L’envers du béton” le rappelle très bien et à juste titre. Même si, à une certaine époque, des architectes, des maîtres d’ouvrage, des politiques ont pu le croire. Un jugement qui a sans doute conduit à négliger la nécessité de l’entretien des ouvrages en béton armé. Mais ce constat est tout aussi vrai, quel que soit le matériau utilisé…  L’argent manque pour l’entretien La commune d’Avril-sur-Loire, dans la Nièvre, est accessible par un unique pont… [©France Télévisions] L’acier est le constituant secondaire du béton. Il donne son nom au matériau final qu’est le béton armé. Il est à la fois l’élément qui permet d’en tirer la quintessence, tout en étant le point faible du béton. Car mis en contact avec l’eau ou l’humidité de l’air, l’acier se corrode. Cette réaction crée une expansion qui aboutit à l’éclatement du béton et à la ruine de l’ouvrage, si rien n’est fait. C’est une réaction en chaîne.  On en revient donc toujours au même constat : le béton armé doit être entretenu, réparé, protégé de l’humidité, des intempéries pour empêcher l’acier qui constitue son armature de rouiller. Mais cette action a un coût et, visiblement, l’argent manque. Qu’il s’agisse des deniers de l’Etat, des fonds municipaux et des revenus des particuliers propriétaires de leur logement… “L’envers du béton” interroge aussi sur le devenir du béton. S’il a été le matériau du XXe siècle, sera-t-il celui du XXIe siècle ? D’une manière parfois abusive, le béton est accusé de tous les maux. En particulier d’épuiser les ressources en sable. Mais en est-il l’unique consommateur ?  Entre raréfaction des ressources et empreinte carbone A Marseille, cette tour d’habitations est très dégradée, faute d’entretien… [©France Télévisions] Une rapide recherche sur Internet suffit pour se rendre compte que le champ d’emploi du sable ressemble à une liste à la Prévert. Il est présent dans l’électronique pour fabriquer les micro-processeurs, en fonderie de métaux pour réaliser des moules. Il est la matière première du verre. On l’emploie pour filtrer les liquides, les gaz ou l’air. C’est un formidable abrasif industriel. L’effet délavé des jeans est le fait d’un sablage haute pression. Certains sables peuvent aussi être utilisés en amendement de terres agricoles…  Lire aussi : Strres & IMGC : Un inventaire des ponts à la Prévert Et l’industrie cimentière dans tout ça ? Le processus de fabrication est abordé dans le documentaire, avec une conclusion, implacable : “la production de 1 t de ciment génère 1 t de CO2”. Un résultat un peu trop arrondi, car augmentant le poids émis de près de 25 % par rapport aux valeurs constatées aujourd’hui en France. De la même manière que certains, dans le passé, considéraient le béton comme éternel, d’autres de nos jours estiment le ciment plus polluant qu’il ne l’est. D’autant que l’industrie cimentière s’est engagée depuis les années 1990 dans une démarche de réduction de son empreinte carbone3. Avec pour objectif, la neutralité en 2050. Cet aspect n’est hélas pas expliqué dans le film, alors qu’il fait aussi partie de l’envers du béton !  “Le bon matériau au bon endroit” Le béton armé a donc bel et bien fini son temps ? Entrons-nous dans l’ère du bois ? Pourquoi pas ! Ce matériau n’est pas nouveau. Les anciens l’ont utilisé durant des siècles pour construire des maisons, des ponts, des édifices. Un mur en bois lamellé-collé est aussi solide qu’un mur en béton banché. Lire aussi : Le Strres alerte aussi sur l’état des ponts de France Mais là doit se poser la question de la durabilité. Si le bois n’est pas protégé de l’humidité et des champignons, il ne risque certes pas de rouiller, mais il va pourrir. S’il ne bénéficie pas d’un traitement insecticide, il fera le régal des mérules, termites et autres capricornes. Et qu’en est-il de la sécurité au feu ? Jusqu’à preuve du contraire, le bois brûle. L’incendie de la charpente de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris nous l’a rappelé d’une manière aussi spectaculaire et tragique que l’effondrement du pont Morandi.  Trop longtemps, les matériaux ont été opposés les uns aux autres. “Après moi, le déluge” doit désormais appartenir au passé. Aux acteurs de la construction de prôner aujourd’hui la politique du “bon matériau au bon endroit”, au-delà des effets de mode. Frédéric Gluzicki 1Syndicat national des entrepreneurs spécialistes de travaux de réparation et de renforcement des structures.2Lire Béton[s] le Magazine n° 97 – Novembre/Décembre 2021, p. 23.3Lire Béton[s] le Magazine n° 96 – Septembre/Octobre 2021, p. 26.
Il y a 3 ans et 201 jours

Tout savoir sur les métiers du négoce des matériaux de construction

La Fédération des Distributeurs de Matériaux de Construction représente les distributeurs de matériaux et représente 1 200 adhérents, répartis sur 5 500 points de vente pour un chiffre d’affaires de 19 milliards d’euros. Elle lance le site internet de l’Observatoire des métiers du Négoce des matériaux de construction qui permet d’accéder en quelques clics à l’ensemble des ressources et travaux réalisés par l’Observatoire : fiches-métiers, certifications professionnelles, statistiques, études prospectives et actualités de la branche… Accueil
Il y a 3 ans et 202 jours

YouTube : le terrain de jeu des artisans influenceurs

Les artisans s’emparent de l’outil numérique et prodiguent leurs conseils sur la toile, à destination des particuliers amateurs et des professionnels du secteur. Ceux qui ont su fédérer un large public accèdent au statut implicite d’« influenceurs du bâtiment ». Chaque prise de parole de la part de ces leaders d’opinion est une manne potentielle pour les marques et fabricants susceptibles d’être cités, de manière spontanée ou dans le cadre d’un partenariat rémunéré. Retour sur les principes du marketing d'influence sur YouTube et leur mise en application par 7 personnalités du BTP qui cartonnent sur la plateforme. Les codes du marketing d’influence sur YouTube Les internautes ont vu émerger toutes sortes de profils et de contenus depuis la création de YouTube en 2005. La plateforme d'hébergement vidéo, rachetée par Google en 2006 moyennant quelque 1,65 milliards de dollars en actions, fait dans un premier temps remonter les contenus en fonction du nombre de vues, avant de recourir à des algorithmes plus poussés. Dès 2012, le temps de visionnage et la durée de session des utilisateurs sont pris en compte et, 4 ans plus tard, le machin learning et le deep learning entrent en scène pour mieux répondre aux attentes des internautes. Et l’enjeu est de taille, en 2020, le second réseau social le plus populaire au monde affiche chaque mois plus de 2 milliards d'utilisateurs connectés, dont 46 millions en France. Toutes les minutes, environ 500 heures de vidéos sont mises en ligne. Se détacher du lot à tout prix Pour émerger de cet océan de contenus, les youtubeurs à succès se plient aux codes de la visibilité sur YouTube : des vidéos courtes : 5 à 10 minutes ; une présentation face caméra, où l'auteur s’adresse directement à son public ; un titre accrocheur, voire aguicheur ; une miniature toute aussi percutante. Un contenu visible et qualitatif crée de l'engagement (des likes, des commentaires, des partages, des abonnements à la chaîne…). Le youtubeur peut ainsi gonfler sensiblement son nombre de followers abonnés et prétendre au titre d’influenceur. Jouer de son influence sur YouTube YouTube, comme la plupart des réseaux sociaux, est un espace promotionnel efficace. Les marques produisent leurs propres contenus, mais passent également par les influenceurs. Et plus la chaîne compte de followers, plus le message du youtubeur prend de la valeur. Selon les observations de l’Agence Omnicore, la vidéo d’un influenceur suivi par 500 à 5 000 personnes vaut en moyenne 315 dollars, celle d’un youtubeur totalisant plus 500 000 followers atteint en moyenne 3 857 dollars. Les vidéastes les plus regardés et les plus suivis gravitent essentiellement autour des thématiques humour, modes et beauté, histoire et sciences… Des univers bien éloignés du BTP où l’influenceur du bâtiment aurait pu faire figure d'ovni, mais il n’en est rien. Les influenceurs du bâtiment sur YouTube Alors que les contenus courts et percutants sont légion sur YouTube, l’influenceur du BTP se distingue par sa capacité à convertir sur des contenus longs et peu édités. Son auditoire attend une immersion dans le réel au plus proche de la réalité du terrain. Ce sont par exemple les chantiers de construction suivis de A à Z, la réparation d’un produit spécifique ou son remplacement par un équipement de telle ou telle marque. Les vidéos tutos s'autorisent ainsi le luxe de dépasser les 30, voire les 45 minutes. Des temps record sur YouTube pour des contenus affichant une forte audience. Si le youtubeur du BTP peut s'accorder quelques libertés, il n’en reste pas moins soumis aux règles impitoyables des algorithmes. S’en écarter, c’est prendre le risque de sombrer dans les confins dans la plateforme d'hébergement. Alors qui sont ces personnalités du BTP qui tiennent le cap ? Fiches d'identités de 7 personnalités qui cartonnent Dans des styles différents et opérant sur des sections distinctes du bâtiment, ces grandes figures du BTP ont en commun un discours accessible et un ton léger sur des sujets très recherchés au sein de leur communauté. Leurs chemins se croisent parfois aux hasards heureux de la tendance et de la rencontre des compétences. Les vidéos consacrées aux WC suspendus en sont un bon exemple, et figurent dans la liste des contenus les plus regardés chez nombre de youtubeurs du BTP, qu’ils soient carreleurs, plombiers, ou plaquistes. Un placement rémunéré ? Pas nécessairement… Cette récurrence qui s’applique à bien d’autres produits et travaux est davantage une conséquence naturelle des rouages du référencement. 1. DJ. Plomberie Profession : artisan plombier Nombre d’abonnés : 145 000 Cumul des vues : 19,8 millions depuis 2018 Contenu le plus vu : « Comment décoller du PVC » - 960 000 vues Exemples de contenus à succès : WC suspendu Détartrer canalisation E.C. Pose nouvelle chaudière de A à Z Installation d'un panneau solaire révolutionnaire " SUNPAD " Sa communauté le suit pour son expertise, mais aussi pour ses anecdotes, parfois croustillantes, sur le métier de plombier. En bon pédagogue, David Juanes use avec modération du jargon professionnel sans pour autant lésiner sur les détails techniques, rassemblant ainsi une audience composée de pros et d’amateurs. Les produits phares du métier sont nommés avec ou sans placement de produit. Il s’est naturellement plié à l’exercice du tuto sur l'installation d’un WC suspendu citant deux marques concurrentes sur un pied d'égalité. 2. Docteur Peinture Profession : peintre applicateur de revêtements Nombre d’abonnés : 146 000 Cumul des vues : 24,8 millions depuis fin 2013 Contenu le plus vu : « Comment peindre un mur blanc comme un pro » - 1 400 000 vues Exemples de contenus à succès : Enduire un mur pour débutant  Paint runner pro, j’ai testé le vrai de chez M6 boutique  Comment poser un parquet flottant/stratifié comme un pro Cet été, après 4 ans d’activités sur YouTube, Stéphane, alias Docteur Peinture, lance sa première vidéo sponsorisée, en partenariat avec une marque de colle. Un moyen pour ce peintre professionnel de bénéficier d’une rémunération complémentaire en mettant en avant des produits qu’il utilise sur ses chantiers. Ses vidéos au ton ludique, pleines d'astuces et de conseils pratiques, visent avant tout les particuliers bricoleurs. 3. Karo Tuto le carreleur Profession : artisan carreleur Nombre d’abonnés : 48 000 abonnés Cumul des vues : 9 millions depuis 2016 Contenu le plus vu : « une crédence de cuisine en carreaux de métro !!! » - 640 000 vues Exemples de contenus à succès : Réparer un mur après avoir enlevé le carrelage  Carrelage 60*60 rectifié sur carrelage existant (sol de cuisine)  Comment faire l’étanchéité d’une douche à l’italienne  Carreler un WC suspendu. Gilles Ruiz multiplie les effets spéciaux pour dynamiser ses contenus très denses en informations, avec le détail des matériaux utilisés, des outils et techniques mobilisés, sans oublier les prix ! L’occasion de mettre en avant différents produits qu’ils soient sponsorisés ou non avec, en description, de nombreux liens vers des sites d’achats en ligne. Sa vidéo sur les WC suspendus était surtout un moyen de se positionner sur un thème très recherché et d'accroître sa visibilité pour s’attarder sur des produits davantage en lien avec son cœur de métier. 4. Make In France Profession : artisan indépendant Nombre d’abonnés : 111 000 abonnées Cumul des vues : 17,9 millions depuis 2018 Contenu le plus vu : « Comment rénover une salle de bain » - 940 000 vues Exemples de contenus à succès : Astuce pour poser du placo au plafond facilement sans Lève Plaque ! Un plafond ultra léger et imputrescible ! Pourquoi se casser le dos avec du placo ? Douche 100 % étanche et prête à carreler Pose WC supendu sur bati autoportant ! Tuto de A à Z Si Cédric Caudal livre ses tuyaux face caméra dans plusieurs de ses vidéos, il sait aussi s’effacer au profit de time-lapses de chantiers non commentés. Accélérés au montage, ces contenus oscillent le plus souvent entre 20 et 40 minutes. En parallèle, il propose des formats extra courts mettant en scène un produit particulier : quelques poignées de secondes, sans discours, où la fonctionnalité de l’outil parle d'elle-même. Sa vidéo sur le thème récurrent des WC suspendus a enregistré plus de 200 000 vues. Un carton pour la chaîne, réalisé en dehors d’un placement de produit rémunéré.             5. LJVS Profession : artisan spécialisé dans la salle de bain clé en main Nombre d’abonnés : 285 000 Cumul des vues : 53,5 millions depuis 2015 Contenu le plus vu : « Ma technique bandes à joint INRATABLE de A à Z » - 1 600 000 vues Exemples de contenu à succès : Placo hydrofuge et étanchéité - Ne faites pas n'importe quoi ! Plomberie multicouche dans une maison neuve avec REHAU Remplacer un WC standard par un Suspendu Tout savoir sur la chape liquide ! Laurent Jaquet donne son avis sans filtre. Il fait partie de ces professionnels qui vous plongent en immersion sur le chantier, avec des vidéos peu éditées et un discours sans retouches. Les systèmes à plots pour la pose de plancher chauffant ? Pas son truc, mais chacun est libre d'apprécier. Et pour les WC suspendus ? Dans une vidéo qui remonte déjà à plus de 4 ans, l’artisan nous livre ses bons conseils pour anticiper la démocratisation des modèles aux fonctionnalités les plus avancées. 6. Taka Yaka Profession : jointeur-plaquiste Nombre d’abonnés : 171 000 Cumul des vues : 64,9 millions depuis 2010 Contenu le plus vu : « COLLER une bande à joint PLACO " PARFAIT de A à Z " » - 2 200 000 vues Exemples de contenus à succès : La bande grillagée autocollante joint placo, NON ! Faire faux plafond placo sous plancher bois, la pose des suspentes plates, le réglage Comment habiller un WC suspendu avec du placo ! Tes gaines électriques devant ou derrière ta laine ? Derrière leur écran, les internautes pourraient bien être les apprentis de Pascal Blache. L'artisan breton anime ses vidéos avec entrain et simplifie le discours sans faire de raccourci. Vous n’avez pas compris la méthode de calcul de la puissance de chauffage ? Qu’à cela ne tienne, Taka Yaka vous partage son écran d’ordinateur et vous montre le chemin vers un bon simulateur en ligne ! Pour les pros, le jointeur-plaquiste teste de nouveaux produits, partage ses impressions, et confie ses coups de cœur.  Dans l'incontournable tuto sur les WC suspendus, l’artisan a pris l’angle de l’habillage placo de l'équipement. Toujours par souci de positionnement et sans objectif de placement. 7. Papy Claude Profession : artisan de l’éco-construction Nombre d’abonnés : 17 000 Cumul des vues : 2,3 millions depuis 2015 Contenu le plus vu : « Isolants : leurs qualités et leurs limites » - 720 000 vues Exemples de contenus à succès : Faut-il enlever le vieil isolant en combles avant d'en poser un nouveau Le déphasage thermique, c'est quoi ? Selon quels critères choisir un isolant ? Pourquoi il ne faut pas tout miser sur l'isolation Claude Lefrançois, alias Papy Claude, rend la rénovation écologique accessible aux amateurs comme aux professionnels évoluant dans des filières connexes. En grand passionné, l’éco-artisan s’autorise régulièrement des contenus qui dépassent la demi-heure, et frôle parfois les 2 heures. L’occasion de mettre différents acteurs expérimentés autour de la table digitale pour traiter des grands sujets de la rénovation et de la construction écologique. En fin stratège, il réalise de très nombreux formats courts qui caracolent en tête de ses contenus les plus vus. À l’image d'un bâtiment basse consommation, la chaîne de Papy Claude évolue en relative autonomie, nourrie par un noyau dur de followers faisant circuler les contenus auprès de leurs réseaux respectifs.
Il y a 3 ans et 202 jours

Quelques conseils pour réussir des travaux de rénovation

Entreprendre des travaux de rénovation domiciliaire est passionnant, mais l’excitation peut être rapidement diminuée par des problèmes et des coûts imprévus. Heureusement, les chances de rencontrer des problèmes peuvent être minimisées, voire atténuées complètement, avec un peu de planification et de préparations minutieuses. Et pour vous assurer que votre projet se déroule sans complications, on vous a énuméré quelques préparations que vous devez connaître avant de vous engager dans une rénovation. Continuez à lire pour en savoir plus. Prévoir un budget réaliste pour le projet Il est indéniable que tout projet de rénovation de maison d’habitation nécessite un budget réaliste pour éviter que les coûts ne deviennent incontrôlables. Cependant, il n’est pas toujours facile de trouver le bon équilibre entre la vision du design et la somme que vous êtes prêt à dépenser pour y arriver. C’est justement pour cette raison que vous devez avoir une idée claire du prix, que ce soit pour la main-d’œuvre ou l’équipement et les matériaux dont vous avez besoin. Déterminer les travaux de bricolage À moins que vous ne disposiez de ressources financières illimitées pour travailler, vous voudrez probablement garder les coûts de votre projet au minimum. Les travaux risqués comme les travaux de plomberie et d’électricité devraient être confiés aux professionnels. C’est plus prudent. Par contre, il y a aussi des travaux que vous pouvez faire vous-même. À ce titre, vous devez déterminer quels travaux vous pouvez faire vous-même et lesquels laisser aux experts. De cette façon, vous pouvez choisir des tâches à bricoler et réduire les coûts de la rénovation sans compromettre le projet dans le processus. À cet effet, vous devez au moins avoir des outils de bricolage de base : à savoir un cutter, des pinces, des tournevis, une ponceuse, une paire de lunettes protectrice, une scie sauteuse, une clé à molette, un marteau, etc. Peu importe le travail de rénovation que vous allez effectuer, ces outils sont indispensables. Connaitre les personnes que vous embauchez Des entrepreneurs aux concepteurs, il est toujours utile de savoir qui sont les personnes que vous embauchez. Les recommandations et les références de la famille et des amis sont un bon début. Ce n’est jamais une mauvaise idée de vérifier vous-même sur Internet. Cela peut sembler être un petit détail, mais c’est quand même important d’embaucher des gens compétents et qui soignent leur travail et avec qui vous vous entendez. Ne jamais précipiter Les rénovations prennent du temps. Précipiter les travaux en espérant réduire les coûts est une mauvaise idée. Cela pourrait au contraire provoquer différents problèmes coûteux. Si vous prenez le temps de bien faire les choses, vous réduirez les risques d’erreurs. Ne précipitez donc jamais un projet de rénovation domiciliaire. Il est rare qu’une rénovation de maison se passe sans problème. Et si vous prenez les choses à la légère, il y a de fortes chances que le projet ne se déroule pas comme vous le souhaitez. Cependant, si vous gardez à l’esprit les conseils ci-dessus, non seulement, vous éviterez de rencontrer des problèmes graves en cours de route, mais vous serez beaucoup plus préparé à bien gérer au cas où des incidents se présenteraient.
Il y a 3 ans et 203 jours

Franciaflex présente ses solution de pilotage des ouvertures de la maison

Un gain de confort sans grands travaux Développés en partenariat avec Delta Dore, leader français de l'électronique embarquée dans les systèmes d'alarme et de régulation de chauffage, le service Well'com® propose des scénarios multiples qui permettent aux produits de communiquer entre eux grâce à divers capteurs. Avec la nouvelle technologie sans fil X3D (protocole radio conçu par Delta Dore), l'offre de solutions de pilotage des équipements de la baie du programme Well'com® permet de moderniser facilement un logement sans grands travaux. Il suffit de relier les équipements filaires existants (éclairage, volets, stores, portes de garage…) à de simples micro-récepteurs pour les rendre pilotables à partir de l'ensemble des points de commande Wellcom®.L'utilisateur a alors toute la liberté de personnaliser son installation : nommer chaque produit ou groupe de produits et scénariser les actions aux heures désirées. Le système est évolutif, et peut s'adapter à de nouveaux besoins (un store qui vient d'être installé, une porte de garage que l'on souhaite désormais automatiser…). Les installations obéissent au doigt et à l'œil pour un confort optimiséUne solution qui participe activement à la sécurité du foyerCôté sécurité des personnes, en cas d'incendie, le détecteur de fumée autonome siffle et ouvre les volets pour préserver les issues et laisser entrer les secours. Concernant la sécurité des biens, les volets s'allient au système d'alarme en se fermant lorsque l'alarme est activée, s'ouvrant en cas d'intrusion pour exposer le cambrioleur à la vue des passants. Avec la technologie Well'com®, il est possible de :Visualiser sur sa télécommande si les ordres de fermetures envoyés sont bien exécutés,Superviser à distance les différents accès de la maison.Simuler une présence en programmant des ouvertures / fermetures des volets, idéal lorsque l'on part en week-end ou en vacances quelques temps.Avec Well'com®, Franciaflex contribue à réduire la facture énergétique de la maisonEn fonction des scenarios en mémoire, les capteurs d'ensoleillement et de température agissent sur l'installation pour déployer les stores avant la surchauffe ou baisser les volets en hiver pour éviter les déperditions de chaleur en interaction avec les consignes de chauffage. Ainsi, l'utilisateur fait des économies d'énergie en toute simplicité.Qwidi, le service connecté dédié aux installateursDans le déploiement de ces nouvelles technologies, Franciaflex a aussi pensé aux installateurs, en lançant « Qwidi » ! Ce service permet de réaliser toutes les opérations de réglage et de maintenance des volets et protections solaires motorisés Well'Com depuis un smartphone ou une tablette. La mise en service de Qwidi s'effectue sans branchement grâce à une application mobile et un boîtier de connexion. L'installateur peut télécharger gratuitement l'application Qwidi sur l'App Store ou Google Play. Une fois le boîtier sous tension, Qwidi se connecte automatiquement à l'application via Bluetooth de manière sécurisée.
Il y a 3 ans et 204 jours

Trois mois de concertation pour un projet controversé de télécabine à Lyon

Ce projet de "téléphérique urbain" entre la commune de Francheville et Lyon suscite l'opposition de municipalités limitrophes concernées par certains des quatre tracés définis par des études de faisabilité, telles que les mairies LR de La Mulatière ou Sainte-Foy-lès-Lyon, ainsi que de plusieurs collectifs d'habitants.Mais le Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise (Sytral) veut mettre en avant les atouts du projet, tels que la possibilité de franchir le Rhône, la Saône et le "relief contrasté" de l'ouest lyonnais pour désenclaver une voirie saturée par le trafic automobile.Le Sytral et son président Bruno Bernard, également président écologiste de la métropole de Lyon, jugent ce mode de transport électrique comme "le plus adapté" à répondre aux besoins de ces communes et aux impératifs d'apaisement et de transition écologique, même s'il reconnaît des "obstacles" tels que la présence d'imposants pylônes et un survol qui peut poser problème pour les riverains.A terme, ce transport par câble d'un coût de 150 à 165 millions d'euros est censé assurer 59.000 déplacements quotidiens entre Francheville et le sud de Lyon pour un temps de trajet de 25 à 30 minutes d'un bout à l'autre de la ligne.La concertation annoncée lundi prévoit jusqu'à mi-février 2022 de recueillir l'avis des citoyens sur l'opportunité du projet, les hypothèses de tracés, les différentes technologies envisagées, les principes d'insertion des stations et pylônes, mais aussi sur les alternatives éventuelles, tel que le bus à haut niveau de service (BHNS), aussi appelé trolleybus électrique.Devant la presse, M. Bernard a assuré lundi que sa "conviction que ce projet (de transport par câble) est le bon ne vaut pas décision", et que sa réalisation dépendrait des résultats de la concertation.Sur internet et en mairie, des registres ont été mis en place pour recueillir observations, avis ou contributions et des réunions publiques seront également organisées à Sainte-Foy-lès-Lyon, Francheville, La Mulatière, Lyon 2 et Lyon 7, précise le Sytral.Les résultats des échanges menés sous la surveillance de deux garants nommés par la Commission nationale du débat public (CNDP) seront ensuite transmis à l'Autorité organisatrice des mobilités des territoires Lyonnais (AOMTL), qui remplacera le Sytral au 1er janvier 2022. Celle-ci décidera au printemps de la suite du projet.
Il y a 3 ans et 204 jours

Barbara Pompili et Bérangère Abba lancent le fonds d'amorçage du Label Bas-Carbone

Concrètement, des entreprises, acteurs publics ou citoyens peuvent financer des projets locaux de réduction d’émission de gaz à effet de serre ou de séquestration de CO2 avec des méthodologies fiables et reconnues qui font désormais référence. Le Label Bas-Carbone permettra notamment de financer des projets de boisement ou de reconstitution de forêts dégradées qui ont un impact positif sur la biodiversité.À l’occasion de son déplacement en Ardèche, le jeudi 26 août dernier, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, avait annoncé son ambition de mobiliser des financements d’ici la fin de l’année 2021 auprès d’acteurs volontaires pour constituer un fonds d’amorçage d’1 MtCO2 évitées. Le 1er septembre 2021, Barbara Pompili a rencontré plusieurs entreprises ayant déjà financé des projets ou volontaires pour s’inscrire dans la démarche, afin leur présenter le dispositif et les inciter à s’engager ou à se réengager. L’objectif annoncé par la ministre est d’atteindre d’ici fin 2021 un volume d’au moins 1 MtCO2 évitées et ainsi développer et consolider une offre de projets pérennes.Ce fonds d’amorçage est désormais en place. Il est proposé à toute structure déterminée à s’engager dans les trois prochaines années à financer des projets labellisés, de remplir un manifeste d’engagement qui est disponible sur la page internet du Label Bas-Carbone. Cet engagement permettra à ces structures de recevoir des actualités sur les méthodes approuvées et les projets nouvellement labellisés et disponibles au financement, mais aussi d’être mises en relation avec des mandataires ou porteurs de projet dans les secteurs qui les intéressent, et enfin d’être valorisées dans la communication du Ministère de la Transition Ecologique.Les financements qui seront générés permettront d’accélérer le développement des projets labellisés Bas Carbone en France afin de répondre à plusieurs ambitions récentes fixées par la Loi Climat et Résilience dans le domaine de la compensation des activités émettrices de gaz à effet de serre.C’est particulièrement le cas de l’article 147 de cette même loi qui vise à donner un cadre robuste d’intégrité environnementale aux projets de compensation qui pourront être mobilisés par les compagnies aériennes pour remplir leurs obligations de réduction d’émissions. La loi prévoit de donner la priorité aux projets européens et français afin de générer un effet levier sur le développement de ces projets sur notre territoire. Il s’agit également d’orienter ces nouveaux financements pérennes vers des projets dans les secteurs agricole et forestier tout en incitant les compagnies aériennes à financer des projets favorables à la biodiversité.Le Ministère de la Transition Ecologique va initier dans les prochains jours, une concertation avec les acteurs de la filière en vue d’affiner la rédaction du décret en Conseil d’Etat permettant la mise en œuvre de cette obligation de compensation des émissions de gaz à effet de serre des vols aériens intérieurs introduite par l’article 147 de la loi Climat Résilience.L’ensemble des détails pratiques est à retrouver sur la page internet du Label Bas-Carbone.
Il y a 3 ans et 208 jours

Comment trouver un bon dépanneur?

Vous avez une fuite d’eau ? Votre machine à laver vient de tomber en panne ? Vous avez un souci électrique ? De nombreuses situations peuvent vous pousser à faire appel à un dépanneur. Or, si vous n’avez pas un tel prestataire dans votre carnet d’adresse, vous vous demandez peut-être comment faire pour en trouver un. Sachez alors qu’il existe diverses méthodes pour dénicher un professionnel fiable et honnête. Découvrez sans plus attendre quelques-unes d’entre elles ! Chercher sur une plateforme spécialisée Si vous cherchez une entreprise de dépannage, vous pouvez tout d’abord vous tourner vers une plateforme spécialisée, qui référence les professionnels du secteur. Par exemple, vous pouvez notamment passer par la plateforme Belfix. Celle-ci regroupe une grande variété de professionnels et entreprises. Vous pouvez ainsi y trouver un plombier, un électricien, un serrurier, un frigoriste, un vitrier ou encore un réparateur électroménager. Pour préciser, la liste s’avère ici non exhaustive. Et les professionnels ne sont pas des employés Belfix. Effectivement, il s’agit d’entreprises et de professionnels indépendants. Demander à votre entourage L’autre méthode pour trouver un bon dépanneur est de demander conseil à son entourage. En effet, votre famille ou vos amis ont peut-être fait face à un problème similaire quelques semaines voire quelques mois plus tôt. Ainsi, il y a des chances qu’ils puissent vous recommander une entreprise ou un professionnel à la hauteur. Chercher sur Google Bien évidemment, une autre solution est de chercher sur Google. En l’occurrence, vous pourrez sans doute trouver de nombreux professionnels à proximité de chez vous. En passant par Google, vous pourrez notamment voir la note reçue par chaque professionnel ou entreprise. Ainsi, nous vous recommandons d’écarter les entreprises qui ont une note inférieure à 3 étoiles. Effectivement, cette précaution vous évitera toute mauvaise surprise. Demande de dépannage : quelques précautions à prendre Vous vous apprêtez à contacter un professionnel pour un dépannage ? Sachez alors que vous devez prendre quelques précautions pour éviter toute arnaque. Effectivement, dans tout secteur d’activité, il existe malheureusement des gens peu scrupuleux, qui n’hésitent par exemple pas à sur-facturer. Faites attention aux avis Comme évoqué, la première précaution à prendre est de faire attention aux avis de l’entreprise contactée. Considérez ainsi uniquement les entreprises ayant plus de 3 étoiles sur 5. En parallèle, nous vous conseillons même de prendre le temps de lire quelques avis pour vous faire une idée du prestataire. Demandez un devis écrit Ensuite, notez que toute prestation de dépannage nécessite en amont l’édition d’un devis écrit et parfaitement détaillé. Ainsi, n’acceptez aucun devis oral. De même, vérifiez bien le contenu du devis avant de signer. Et si le prix vous semble élevé, ne signez surtout pas. Faites plutôt jouer la concurrence pour comparer le coût proposé. Payez une fois la prestation réalisée Enfin, nous vous conseillons de régler la totalité de la prestation seulement une fois qu’elle a été réalisée. Bien évidemment, il est courant de payer un acompte, surtout s’il convient de changer une pièce. En général, les professionnels demandent 30% d’acompte.
Il y a 3 ans et 211 jours

LumiNature de Sylvania, la plus naturelle des lumières artificielles

Depuis toujours, le soleil, qui rythme les journées de chacun, est indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Pourtant, de l’enfance à l’âge adulte, l’être humain passe jusqu’à 90% de son temps en intérieur : écoles, bureaux, établissements de santé… Dans tous ces lieux de vie, il est le plus souvent soumis à un éclairage artificiel qui n’égale pas les bienfaits de la lumière naturelle sur la santé. Conscient que l’éclairage intérieur joue un rôle majeur sur le bien-être, le confort et la performance des usagers, Sylvania repousse les limites de l’innovation et lance à l’échelle européenne une véritable solution d’éclairage centrée sur l’humain : LumiNature, la plus naturelle des lumières artificielles. Une lumière au plus proche du spectre naturel du soleil La lumière naturelle impacte de façon significative les fonctions biologiques essentielles du corps humain. Au delà de ce qu’elle permet de percevoir, elle régule le rythme circadien qui regroupe l’ensemble des changements mentaux et comportementaux durant un cycle de 24 heures. Stimulée par la lumière du jour, cette horloge biologique interne influence les fonctions cognitives, la physiologie, l’humeur, le mode de vie mais aussi les cycles d’éveil et de sommeil. C’est durant ce dernier, en l’absence de lumière, qu’est sécrétée la mélatonine. Indispensable au bien-être, cette hormone du sommeil, dont le niveau varie en fonction de l’exposition à la lumière du jour, favorise l’endormissement. Trop de temps passé sous un éclairage artificiel peut donc perturber ce cycle. Même si les solutions d’éclairage LED « tunable white » actuelles reproduisent les différentes températures de couleur de la lumière naturelle, elles ne couvrent pas la totalité du spectre lumineux dont la courbe évolue en fonction du lieu et du moment. En début de soirée, un pic de lumière bleue, naturellement présent dans la lumière du soleil en 1ère partie de journée, persiste même dans les teintes chaudes, ce qui perturbe le rythme circadien. Cela entraîne alors une stimulation de l’organisme et retarde la sécrétion de la mélatonine. Une lumière artificielle plus naturelle peut préserver ce cycle. C’est pourquoi Sylvania, qui place le confort visuel et le bien-être des usagers au cœur de ses développements depuis plus de 100 ans, s’est intéressé à la qualité de l’éclairage artificiel, en particulier dans les lieux de vie (bureaux, crèches, EHPAD…) où le temps passé s’avère relativement long (en moyenne 8 à 10 heures par jour). Souhaitant proposer une solution qui va au-delà de la simple variation de température de couleur, Sylvania a mobilisé l’équipe Recherche & Développement de son site de production de Saint-Etienne pour travailler conjointement sur la source lumineuse et l’optique. Elle a conçu LumiNature qui reproduit au plus proche le spectre lumineux du soleil, sans ultra-violet (UV) ni infrarouge (IR), et supprime aussi le pic de lumière bleue des LED conventionnelles afin de respecter le rythme circadien. LumiNature offrant une distribution spectrale complète et équilibrée, toutes les couleurs de la lumière naturelle sont représentées de manière uniforme. Apportant la même qualité de lumière que le soleil, cette innovation centrée sur l’activité et les besoins de l’humain garantit en plus un confort optimal aux occupants grâce aux optiques anti-éblouissement (jusqu’à UGR97)(4) dans toutes les tonalités, y compris les rouges (R9>90), LumiNature offre la reproduction la plus fidèle des teintes de la lumière naturelle dans les espaces intérieurs. Idéale pour éclairer les pièces avec peu ou pas d’accès à la lumière naturelle, elle constitue la meilleure solution pour toutes les applications nécessitant une parfaite perception des nuances telles que la santé, le commerce ou encore l’industrie, dans le cadre de contrôles qualité. Une gestion d’éclairage dynamique 100% adaptée au rythme circadien Associée à la solution de gestion d’éclairage sans fil SylSmart Standalone, LumiNature reproduit à 100% l’évolution de la lumière naturelle pour accompagner au mieux les besoins du rythme circadien. De façon simultanée et en toute simplicité, grâce à une programmation qui s’effectue intégralement via l’application mobile dédiée, ce système intelligent combiné à LumiNature apporte : • la bonne lumière (contrôle personnalisé de la température de couleur et de l’intensité lumineuse, spectre complet et équilibré), • au bon endroit, grâce au réglage automatique zone par zone, • au bon moment, pour distribuer uniformément, uniquement si nécessaire, un éclairage adapté à chaque activité, au temps d’occupation et à l’ambiance recherchée. Offrant ainsi un maximum de bien-être et de confort visuel aux usagers, sa totale flexibilité lui permet de s’adapter à tous les environnements tels que : • les espaces de travail pour améliorer la productivité et la performance, • les lieux d’apprentissage pour favoriser la concentration et la créativité, • les établissements de santé pour faciliter la récupération des patients et stimuler l’humeur des occupants. Outre la version HCL SylSmart Standalone, les luminaires intégrant LumiNature se déclinent également avec une température de couleur fixe (3000K, 4000K DALI ou courant constant). Une innovation intégrée aux luminaires les plus performants Ascent 100, downlights décoratifs. Diamètres d’encastrement : 120 et 160 mm. Flux lumineux : de 1 100 à 2 650 lm. Fabriquée en Angleterre et 100 % personnalisable. Versions LumiNature disponibles : 3000 K fixe DALI, 4000 K fixe DALI, HCL SylSmart Standalone. Ratio mélanopique (MR) : 0,75 à 4 000 K ; >1,12 à 6 500 K OPTIX, un luminaire au confort visuel optimal. Disponible en version encastrée, linéaire, surface et suspendue. Dimensions : 600 x 600 et 1200 x 300 mm. Fabriquée en France et 100 % personnalisable. Versions LumiNature disponibles : 4 000 K fixe courant constant, 4 000 K fixe DALI, HCL SylSmart Standalone. Ratio mélanopique (MR) : 0,77 à 4 000 K ; >1,07 à 6 200 K. Très basse luminance : L
Il y a 3 ans et 215 jours

79% des consommateurs estiment que les pays doivent unir leurs forces pour enrayer le changement climatique

Dans le contexte de la COP26, Dynata – la plus grande plateforme de données first-party et d’insights au monde – publie un nouveau rapport révélant que près de huit personnes sur dix dans le monde estiment que les gouvernements doivent agir et s’obliger les uns les autres à atteindre des objectifs communs en matière de changement climatique. En outre, les répondants sont d’avis qu’en unissant leurs forces pour lutter contre le changement climatique, les gouvernements, les entreprises et les particuliers verront leurs actions produire des effets plus tangibles. Pour la classe politique, les enjeux électoraux de la lutte contre le changement climatique ne cessent de s’amplifier. En effet, 54% des 12 000 personnes interrogées indiquent que la position d’un(e) candidat(e) à ce sujet figure dans le top 3 de leurs priorités à l’heure de passer aux urnes – et sept sur dix estiment que les élus joignent rarement le geste à la parole en matière de climat.Ces conclusions – et d’autres – sont présentées dans le rapport de Dynata, Tendances mondiales de consommation : la lutte urgente contre le changement climatique, qui se penche sur l’impératif qu’ont les gouvernements, les entreprises et les particuliers à agir ensemble sans tarder pour enrayer le dérèglement climatique. Celui-ci se veut également être une réflexion sur les mesures que peuvent prendre les gouvernements, les entreprises et les particuliers face à cette menace croissante. Le rapport met par ailleurs en exergue les points suivants :Forte conviction que le changement climatique est bien réel – 84% des personnes interrogées pensent que le changement climatique est réel, et 69% en sont « 100% sûres » ou « plutôt sûres ».Sentiment d’urgence à agir pour le climat, en progression ces cinq dernières années – Sept personnes sur 10 (69%) dans le monde sont d’avis qu’il est « extrêmement » ou « très » urgent d’agir pour le climat ; et 65% de celles-ci pensent que l’urgence s’est accélérée ces cinq dernières années.Les entreprises doivent agir, maintenant – Pour les convaincus du changement climatique, les entreprises devraient investir dans les énergies propres et renouvelables (60%) ; adopter des pratiques commerciales durables (59%) ; et s’engager envers un objectif zéro émission nette (53%). 35% des convaincus du changement climatique estiment que les entreprises devraient exiger des comptes du gouvernement en la matière.Les particuliers peuvent agir, à leur niveau – Les convaincus du changement climatique ont une idée bien précise des gestes que chacun devrait poser, notamment acheter plus « vert » (77%) et opter pour des moyens de transport plus respectueux de l’environnement (67%). Quatre personnes sur dix pensent que les consommateurs devraient agir pour influencer la politique climatique de leur gouvernement, et 24% prônent d’effectuer des dons ou du bénévolat au sein d’associations environnementales.« Le dérèglement climatique est l’un des enjeux les plus urgents et les plus pressants de notre époque, et l’attention accordée à la COP26 et à d’autres sommets sur le climat ne fait que prouver que l’heure tourne et qu’il est temps d’agir concrètement », a déclaré Gary S. Laben, PDG de Dynata. « Chacun d’entre nous a un rôle à jouer », et celui de Dynata, c’est d’utiliser le pouvoir de ses données et insights pour faire avancer le débat sur le changement climatique en y intégrant l’avis des consommateurs quant à l’urgence de l’enjeu. Cette approche, conjuguée à nos autres initiatives, dont le programme de reforestation que nous menons avec Ecosia Trees, souligne notre engagement à exploiter la force de nos données pour comprendre et relever les défis sociaux, économiques et politiques de la lutte contre le changement climatique. »Tendances mondiales de consommation : la lutte urgente contre le changement climatique, est disponible au téléchargement sur le site Internet de Dynata, et sera présenté lors d’un webinaire le 10 novembre – pour vous inscrire, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 215 jours

District 2020, héritage durable et intelligent de l'Expo 2020 Dubai

Livrable d’ici octobre 2022, ce nouveau quartier sera un tout nouveau type d'expérience urbaine dans la région. Ce lieu a pour ambition d’être une communauté inclusive et diversifiée conçue autour de l'équilibre et du bien-être ; un lieu qui inspire de nouvelles idées, facilite une croissance durable, développe le potentiel humain.District 2020 : une ville intelligente résolument tournée vers l'avenir Dotée d’une infrastructure physique et numérique, District 2020 sera une communauté à usages multiples où les habitants pourront vivre, travailler et profiter d’un vrai cadre de vie avec des commerces. Ils pourront y vivre et y travailler en tout équilibre, en ayant accès aux dernières technologies (5G et IoT) tout en étant dans un environnement intégré et à usage mixte pour favoriser l’épanouissement de chacun. Héritant de l'infrastructure numérique et de technologies de communication avancées d'Expo, le District 2020 s’entoure de partenaires de choix pour façonner une ville intelligente : Siemens : le géant allemand était déjà partenaire officiel de numérisation des infrastructures de l'Expo 2020 Dubaï.Terminus Technologies : la société chinoise, leader dans l’intelligence artificielle et l’Internet of Things, y établira un centre de Recherche & Développement. Une collaboration issue de sa participation à l'Expo 2020 en tant que partenaire robotique officiel. Comme toute ville intelligente, District 2020 conjuguera la technologie à des pratiques durables intégrées. Des capteurs et compteurs intelligents fourniront des analyses précises de l'utilisation de l'eau et de l'énergie, pour contrôler et réduire leur consommation, et ainsi améliorer la vie de ses résidents et travailleurs.Une ville centrée sur l'humain Afin d'assurer le bien-être de sa population, District 2020 a accordé une attention particulière à la mobilité intelligente et à la réduction du temps de trajet. Des itinéraires de véhicules autonomes et des sentiers piétonniers interconnectés ont été pensés pour permettre aux usagers de se déplacer rapidement et en toute transparence, à pied, à vélo ou en voiture. Les personnes pourront également se déplacer plus facilement grâce aux transports en communs, la ville étant en lien direct avec le réseau de métro de Dubaï et trois grandes autoroutes. En intégrant des bâtiments emblématiques de l’exposition universelle comme l’Al Wasl Plaza ou le Centre des Expositions, les habitants du District 2020 pourront profiter d'événements sociaux, culturels et commerciaux.Un lieu unique pour permettre aux entreprises de se développerTPE, PME, ou grande entreprise, District 2020 propose des espaces de bureaux modernes, flexibles et locatifs, avec l’opportunité de travailler avec d'autres parties prenantes, de partager ses connaissances et de trouver de nouvelles façons de prospérer. Il fournira également aux entreprises un écosystème d’affaires centré sur l’innovation, la technologie et la transformation numérique pour développer leur croissance industrielle. Grâce à son laboratoire urbain, la ville permettra aux entreprises de participer à des projets pilotes répondant aux problématiques urbains, qui pourront bénéficier aux habitants du District 2020. Avec son infrastructure physique et numérique, Scale2Dubai, des entreprises internationales de toute taille pourront innover au sein d'industries intelligentes tout en collaborant avec des institutions gouvernementales, des accélérateurs de recherche, des incubateurs et les 500 plus grandes entreprises américaines du “Fortune 500”.
Il y a 3 ans et 216 jours

Chiffre d'affaires en hausse sur les 9 premiers mois pour Serge Ferrari

RÉSULTATS. Après un premier semestre au beau fixe, le spécialiste de la toile tendue, Serge Ferrari, poursuit sur sa lancée en annonçant une hausse de son chiffre d'affaires sur les 9 premiers mois de l'année.
Il y a 3 ans et 218 jours

Kiloutou lance sa gamme environnementale “Impakt”

Kiloutou dévoile sa nouvelle gamme “Impakt” pour réduire l’empreinte carbone des activités de leurs clients [©Franck Dunouau] Le spécialiste de la location de matériels, Kiloutou poursuit sa stratégie environnementale. Le groupe propose sa nouvelle gamme “Impakt”, pour accompagner les professionnels dans leur démarche de réduction d’émissions de CO2. La collection réunit environ 3 500 matériels électriques, hybrides ou bi-énergie. Depuis plus de 10 ans, le loueur s’engage en faveur de la transformation durable du secteur de la location. Lire aussi : Unilin Insulation rejoint le programme environnemental “Circular Foam” En effet, le groupe a pris conscience que les actions de ses clients représentaient 94 % de ses émissions totales de CO2, dont 63 % sont liées aux chantiers. Kiloutou a donc fait évoluer son offre pour offrir des produits à énergies alternatives. Parmi ces matériels : il propose des nacelles hybrides, des découpeuses ou encore, des bétonnières. L’avantage majeur de ces équipements est leur faible impact environnemental. Mais aussi, lors de leur utilisation, ils réduisent les nuisances sonores, les troubles musculo-squelettiques ou les émissions de particules fines.  Kiloutou au service des professionnels En parallèle, Kiloutou a lancé une campagne d’information. Afin de faire connaître ses produits aux professionnels, l’industriel a dévoilé son “guide de matériels”. Cet ouvrage propose une présentation détaillée des produits. Et regroupe les caractéristiques des matériels, comme l’autonomie ou les coûts. Il identifie aussi les performances des équipements pour déterminer lequel est le plus éco-responsable. Cela a pour but de sensibiliser aux enjeux environnementaux liés à ces solutions. Lire aussi : France Rénov’ à votre service De plus, le spécialiste de la location a créé un espace dédié à la gamme “Impakt” sur Internet. Un peu comme le guide, le site donne les caractéristiques techniques des appareils. Néanmoins, il permet aussi aux maîtres d’œuvre et d’ouvrage de visualiser l’impact carbone de leurs projets grâce à la “calculette carbone”. Enfin, les collaborateurs de Kiloutou ont été formés pour conseiller et aider les professionnels à choisir leur matériel. Ils les accompagnent et les sensibilisent sur le fonctionnement et les performances des nouveaux matériels.
Il y a 3 ans et 222 jours

L’entreprise française Humidistop prend le virage du 100% digital et poursuit son développement malgré la crise

Leur secret ? Avoir su faire preuve d’agilité en s’adaptant aux enjeux actuels et en investissant pour accélérer leur transition digitale. Un pari qui au départ pouvait sembler audacieux mais qui s’est finalement avéré largement rentable.L’exemple du spécialiste français des produits contre l’humidité, Humidistop France, est particulièrement flagrant.Face à la crise sanitaire, la société toulousaine a immédiatement décidé de réagir en transformant toute son organisation sanitaire.« Nous avons délibérément choisi d’abandonner les visites au domicile des particuliers, qui étaient pourtant jusque-là notre principal vecteur de vente. A la place, nous avons opté pour un modèle 100% digital reposant sur un diagnostic par téléphone et des commandes en ligne. » William COIGNARD, le fondateurCette stratégie s’est avérée gagnante : aujourd’hui Humidistop est en pleine croissance malgré la crise et continue son expansion à l’international.Le digital, un véritable accélérateur de croissance à l’ère de la Covid-19Au moment où troisième vague épidémique contraignait le Gouvernement à reconfiner davantage de départements et à adopter de nouvelles contraintes sanitaires, Humidistop développait une stratégie qui pour intégrer les règles de distanciations sociales.Son approche en ligne est également en phase avec le “monde d’après”, dans la mesure où les Français utilisent désormais massivement Internet et les téléphones mobiles.Cette société française dynamique s’est donc dotée d’un nouveau site internet qui lui a permis d’étendre son offre à l’ensemble de la France et aux pays voisins.Humidistop propose ainsi :Un diagnostic à distance gratuit, pour identifier le problème et trouver la solution adaptée : Tâches & moisissures, Inondation & dégâts des eaux, Buée & condensation excessive, Salpêtre et mur humide, Façade, sous-sol ou cave humide.Des prix “direct usine” ultra-compétitifs afin de démocratiser l’accès aux produits contre les remontées capillaires et l’humidité dans les murs dans tous les types de bâtiments (églises, bureaux, appartements et maisons) pour résoudre définitivement les problèmes d’humidité.Une boutique en ligne intuitive et performante pour commander des appareils anti-humidité d’une redoutable efficacité.La fabrication française des inverseurs de polarité contre l’humidité dans les murs.Pour les pros : des solutions alternatives pour tous les travaux de rénovation via Help HumiditéDepuis février dernier, Humidistop a confié la distribution de ses produits aux professionnels à la société Help Humidité, qui dispose également d’une boutique en ligne.Cette démarche leur permet d’élargir leur offre en proposant des alternatives complémentaires aux travaux de rénovation. Les inverseurs de polarité STOP ONE (électromagnétique) et GEOSTOP (géomagnétique) conviennent en effet à tous les types d’habitation et à tous les budgets.« Nos produits sont appréciés par les particuliers pour leur faible coût, leur rapidité d’installation et leur efficacité. En ce sens elles représentent une forte valeur ajoutée pour tous les professionnels de l’habitat. » William COIGNARDZoom sur les produits phares HumidistopSTOP ONE : l’inverseur de polarité électromagnétiquePour lutter contre l’humidité dans les murs, cet appareil simple et efficace se branche à une prise de terre, à poser ou à fixer dans la zone humide, sans toucher à la maçonnerie.Le ratio d’émission de STOP-ONE s’étend de 30m2 à plusieurs centaines de mètres carrés selon la version installée et fonctionne à travers les murs et cloisons.L’assèchement des murs s’effectue ensuite par évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et le suivi des recommandations).STOP-ONE est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1 100 € (selon le modèle choisi).GEOSTOP : l’inverseur de polarité géomagnétiqueLa centrale géomagnétique GEOSTOP ne nécessite aucun travaux, ni batterie, ni branchement sur secteur. Ce boitier cylindrique fonctionne uniquement avec l’énergie des champs électromagnétiques.Complètement autonome, il permet d’assécher les murs grâce à l’évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et du suivi des recommandations).GEOSTOP est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1100 € selon le modèle choisi.Humidistop : plus de 10 ans d’expertise dans le traitement de l’humiditéWilliam Coignard crée sa société Humidistop France en février 2012.Constatant que plus d’un foyer sur deux connaît des problèmes d’humidité et que les solutions existantes semblent toujours inaccessibles ou trop coûteuses, il choisit d’investir ses compétences dans ce domaine encore mal développé. Il participe activement au traitement de l’humidité dans les bâtiments : infiltrations, remontées capillaires, moisissures, salpêtre, humidité de l’air, dégât des eaux...Au fil des années, des interventions et des progrès de la science, il élargit l’éventail de ses possibilités et connaît rapidement une forte croissance. Plus que sa motivation commerciale, c’est aussi ses convictions qui le pousse à se dépasser.Entreprise certifiée QUALIBAT, Humidistop intervient auprès des particuliers, des maîtres d’ouvrages, DGS, des assureurs, des syndics, mais aussi directement auprès des médias. William Coignard intervient régulièrement dans les médias pour toutes les questions relatives aux problèmes d’humidité.Aujourd’hui, Humidistop ambitionne de continuer à développer ses diagnostics à distance gratuits et la vente de ses produits via son nouveau site web.« Entrepreneur militant, je suis en lutte contre les phénomènes d’humidité et je souhaite rendre le traitement contre l’humidité accessible à tous. Je vais au-delà d’une simple démarche commerciale de vente de produits. » William COIGNARD
Il y a 3 ans et 224 jours

Cheminées Poujoulat renforce son accompagnement auprès des distributeurs professionnels

C'est pourquoi Cheminées Poujoulat souhaite renforcer son maillage territorial par le recrutement de 5 Animateurs(trices) des Ventes Merchandiser (AVM) afin d'accompagner quotidiennement et travailler en proximité avec ses clients distributeurs. Les distributeurs et Cheminées Poujoulat, c'est une histoire qui dure depuis toujours et reste la base historique de l'activité du leader européen des conduits de fumées et sorties de toit métalliques.Des animateurs des ventes merchandiser pour former et animer les négocesPour Cheminées Poujoulat l'animateur des ventes merchandiser joue un rôle important en complément du commercial qui suit le client.Véritables ambassadeurs de la marque, les Animateurs des Ventes Merchandiser sont chargés de faire monter en compétences les distributeurs en assurant, en relais du commercial, le suivi des opérations, l'animation et la formation proposés par Cheminées Poujoulat. L'objectif est le développement du chiffre d'affaires des distributeurs quelle que soit leur activité.Structurés par région, les AVM viennent compléter l'action commerciale et assurent le relais commercial avec les enseignes.Un accompagnement humain complémentaire à la démarche d'e-merchandisingCheminées Poujoulat n'en délaisse pas pour autant l'e-merchandising. Depuis plusieurs années, l'entreprise déploie un éventail de services digitaux pour accompagner et faciliter le quotidien de ses clients distributeurs et installateurs :disponibilité des produits via l'Espace pro Cheminées Poujoulatdes bannières et bases de donnéesdes vidéos et tutoriels de montagedes outils numériques « CAT-TOOLS » :CAT-DRAW Pour le calcul du dimensionnement des conduitsCAT-CHECK Carnet de chauffage en ligneCAT-RANGE Catalogue en ligneCAT-DESIGN Configurateur de mise en situation de l'appareil, du conduit et de la sortie toit"Les points de vente et les sites Internet sont étroitement liés. Nous sensibilisons les enseignes à déployer des outils digitaux pour les installateurs qui vont souvent sur le web avant de se rendre au sein du point de vente. Nous les accompagnons dans leur démarche d'e-merchandising et de merchandising en leur fournissant du contenu produits, réglementaire, des photos, vidéos, et même des bannières si besoin", relève Stéphane Thomas, directeur de la stratégie et du développement de Cheminées Poujoulat.
Il y a 3 ans et 225 jours

Ideal Standard dévoile sa nouvelle collection I.LIFE lors du Together World Tour à Paris

La tournée mondiale Together d’Ideal Standard est récemment arrivée à Paris pour la quatrième étape de son voyage cinématographique inspirant autour du monde. L’événement du 21 octobre a été l’occasion pour Ideal Standard de présenter sa dernière collection de salle de bain i.life. i.life, une collection contemporaine et polyvalente Le Together World Tour, qui s’est déroulé à Paris, a permis à Ideal Standard de dévoiler sa collection i.life, une solution de salle de bain complète pour le quotidien. Elaborée pour apporter de la beauté dans tous les types d’habitat, i.life offre la simplicité avec des lignes pures pour un intérieur de salle de bain serein où fonction et praticité se marient à merveille. Conçu en collaboration avec le studio de design italien Palomba Serafini Associati, i.life permet aux utilisateurs de créer un intérieur de salle de bain dont ils peuvent profiter jour après jour. Composé d’une sélection de lavabos, toilettes et bidets caractérisés par des formes douces et arrondies et un design accessible, i.life est à la fois pratique et esthétique. Avec i.life, même les petites salles de bains disposent d’équipements de qualité. A propos de cette collection contemporaine, Roberto Palomba, Directeur du design d’Ideal Standard, a déclaré « La collection de salle de bains i.life est un véritable exemple de design qui crée une toile de fond pour bien vivre ; un design qui favorise un espace sûr. C’est une collection intelligente et polyvalente où l’esthétique, le confort et l’hygiène se marient à merveille et nous avons hâte que nos clients en fassent l’expérience chez eux. Ideal Standard a également profité de cet événement parisien pour présenter les nouveaux produits de ses collections Atelier primées : Extra, Linda-X et Tipo-Z.» Roberto a poursuivi : « Atelier Collections est la version de la Haute Couture d’Ideal Standard, un projet magnifiquement conçu et organisé, incarnant la valeur éternelle d’un bon design. Avec ces produits, nous avons pu saisir l’essence du temps et la traduire en designs qui accompagnent l’évolution de la société. Comme l’ont prouvé les grands noms parisiens, le fondement d’un design intemporel repose sur des valeurs plutôt que sur des tendances, et c’est exactement ce qui a inspiré nos gammes phares Atelier Collections. » La tournée mondiale d’Ideal Standard s’est arrêtée à Paris Le Together World Tour est une série d’événements liés à six destinations – chacune sélectionnée en raison de sa célèbre contribution au design et à la culture. Alors que Together World Tour plonge dans la beauté unique de chaque ville, Ideal Standard lance simultanément de nouvelles collections de produits destinées à la communauté de l’architecture et du design à travers un format engageant et artistique. Après le succès des trois précédents événements de la tournée à Milan, Berlin et Londres, le dernier de la série s’inspire de l’une des capitales mondiales de la mode pour offrir un aperçu unique des tendances et explorer l’évolution du design de la salle de bain. Jan Peter Tewes, co-Directeur Général d’Ideal Standard, a déclaré « Paris est mondialement connue pour sa théâtralité et sa haute-couture, abritant certains des designers et artistes les plus emblématiques du monde. Tout au long de l’histoire, cette capitale ayant présenté à la société des milliers de tendances au fur et à mesure de l’évolution du style, il nous a donc semblé juste de choisir cet endroit pour montrer comment nous avons affiné nos propres processus de fabrication tout au long de nos 200 ans d’expérience. Le processus créatif d’Ideal Standard est en interaction sans fin avec la recherche et l’expérimentation, toujours dans le but de développer des produits de la plus haute qualité. Grâce à une expérience numérique cinématographique avec Paris comme point d’ancrage, nous avons pu cerner l’évolution de la société, de l’atelier à l’industrie de la céramique, et transmettre notre véritable passion pour la conception de salle de bain. » Le film a offert aux téléspectateurs un aperçu exclusif des coulisses de l’usine de fabrication d’Ideal Standard, résumant les étapes de la conception d’une collection et le processus de fabrication innovant, qui utilise les dernières technologies pour créer un design saisissant. Jan Peter a poursuivi « un atelier n’est pas seulement un lieu physique, mais un lieu emblématique où les maîtres actuels enseignent aux futurs maîtres comment fabriquer des pièces. Ils assurent la fiabilité grâce à des pratiques éprouvées, tout en ayant la liberté de jouer et d’appliquer de nouvelles techniques et technologies. Pour Ideal Standard, cela signifie fixer les objectifs de qualité les plus élevés, produire en série sans négliger les moindres détails qui améliorent l’expérience client. » Le prochain événement de la tournée mondiale Together aura lieu à Dubaï, la ville du futur, le 22 novembre 2021. Il s’agira d’un voyage dans l’évolution de l’architecture moderne et de la manière dont la diversité, la jeunesse d’esprit, l’ambition et la vision de la ville influencent son avenir. https://www.idealstandard.fr/
Il y a 3 ans et 228 jours

En Afrique du Nord, l'énergie solaire peine à rayonner

S'ils se targuent d'accueillir quelques-uns des plus grands projets photovoltaïques au monde, les pays de la région feraient mieux de mettre l'accent sur des projets de moindre envergure aux résultats plus tangibles, estiment des entrepreneurs spécialisés dans ce domaine.Pays arabe le plus peuplé avec quelque 102 millions d'habitants, l'Egypte s'est fixé comme objectif d'atteindre 42% de son électricité provenant d'énergies renouvelables d'ici 2035.Le parc solaire de Benban est la parfaite incarnation de cette nouvelle ambition égyptienne. Installée dans une zone désertique si vaste qu'elle est visible depuis l'espace, cette installation colossale, six millions de panneaux solaires sur 37 kilomètres carrés, est née d'un projet de 4 milliards de dollars (3,4 milliards d'euros) partiellement financé par la Banque mondiale.Toutefois, la production de ce parc solaire inauguré en 2019 permet d'éclairer seulement 420.000 foyers égyptiens, selon les Nations unies. Et en 2016, seuls 9% de l'électricité du pays étaient issus d'énergies renouvelables, d'après les chiffres officiels les plus récents.Mesures incitativesAinsi, si les autorités espèrent accélérer la cadence, elles devront mettre en place des mesures incitatives pour les consommateurs qui n'ont souvent pas les moyens matériels de passer à l'énergie solaire, estime le chercheur en économie verte Mohamed Abdel Raouf.S'il considère l'Egypte rurale et les complexes touristiques des littoraux méditerranéens et de la mer Rouge propices à l'expansion du photovoltaïque, le chercheur assure qu'installer des panneaux solaires au Caire risque de s'avérer délicat "parce qu'il faut beaucoup d'espace" au sommet des immeubles notamment, un véritable défi pour une ville aussi densément peuplée que la capitale égyptienne abritant environ un cinquième de la population égyptienne.Par ailleurs, les panneaux solaires ne parviendraient pas à couvrir certains besoins énergivores de la mégalopole comme "l'alimentation des climatiseurs durant l'été", précise le spécialiste du Moyen-Orient.Pour chaque foyer cairote, M. Raouf estime le coût du passage à l'énergie solaire à environ 60.000 livres égyptiennes (3.350 euros). "Pourquoi investirait-on dans une technologie respectueuse de l'environnement qui coûte cher ?", s'interroge-t-il."L'Etat doit prendre l'initiative de rendre (cette opération) attractive", dit-il.Ces dix dernières années, l'Afrique du Nord a augmenté sa production d'énergie renouvelables de 40%, selon les données de l'agence internationale de l'énergie (IEA) mais la dépendance aux énergies fossiles reste bien ancrée.Grand pays gazier et pétrolier, l'Algérie bénéficie de 3.600 heures d'ensoleillement annuelles. Pourtant, les énergies renouvelables ne représentent que 1,8% de la consommation énergétique du pays."Projets monstrueux"Parmi les pionniers de l'énergie verte dans la région, le Maroc s'enorgueillit de sa centrale Noor Ouarzazate, l'un des plus grands complexes solaires du monde, aux portes du Sahara, dans le sud du pays. Mais sa gestion se fait à perte."Depuis le début, il était clair que la stratégie était déséquilibrée. L'erreur (...) est d'avoir voulu investir dans des projets monstrueux qui sont difficiles à financer", a déclaré à l'AFP l'expert en maîtrise énergétique Saïd Guemra.Pour Ahmed Zahran, PDG de la start-up égyptienne Karm Solar, il est temps de changer le modèle commercial de la vente d'énergie à l'Etat, reposant comme à Benban sur des partenariats publics-privés."Les entreprises sont concentrées sur la vente d'électricité à leur acheteur (ndlr: l'Etat)" et ne s'intéressent pas vraiment à "contribuer aux infrastructures des pays dans lesquels elles opèrent", juge-t-il.Première entreprise privée à obtenir le permis de distribuer de l'électricité solaire en Egypte, Karm Solar conçoit des immeubles alimentés à l'énergie solaire et des systèmes de pompage d'eau pour permettre à des villages d'avoir accès à l'eau et l'électricité sans avoir besoin de recourir au réseau national ou à des énergies fossiles.Sur son site Internet, Karm Solar s'enorgueillit d'avoir permis d'éviter la consommation de 2,3 millions de litres de diesel et la production de 10.000 tonnes de dioxyde de carbone par an notamment.
Il y a 3 ans et 229 jours

Le gouvernement dévoile un dispositif simplifié pour faciliter la rénovation énergétique des logements privés

Davantage de "lisibilité" et de "simplicité", c'est l'objectif de la refonte du dispositif, souligne-t-on au ministère du Logement.La ministre Emmanuelle Wargon sera vendredi dans le Loiret pour présenter le nouveau "service public unique" destiné à "guider les Français dans leurs travaux de rénovation énergétique", baptisé France Rénov'.Cela prendra la forme, à partir du 1er janvier 2022, d'une plateforme internet (france-renov.gouv.fr) et d'un numéro de téléphone (0.808.800.700) uniques, ainsi que d'un réseau unifié d'espaces conseil réparti sur toute la France.Ce dernier s'appuiera sur le réseau actuel de quelque 450 guichets tenus par l'Anah (Agence nationale de l'habitat) et "va continuer de grandir en lien avec les collectivités locales et avec le financement du programme de certificats d'économie d'énergie", souligne le ministère.Dès l'année prochaine également, les personnes intéressées pourront être suivies, de l'état des lieux à la réception des travaux, par un "accompagnateur Rénov'" pour "répondre à la demande des ménages qui, trop souvent, ne savent pas vers qui se tourner pour obtenir des réponses neutres et qui redoutent les pratiques abusives et les malversations", souligne le ministère dans le dossier de presse.Dans un premier temps, il s'agira d'agents de l'Anah et du réseau FAIRE (Faciliter, Accompagner et Informer à la Rénovation Énergétique) coordonné par l'Ademe (Agence de la transition écologique). Puis dans la deuxième partie de l'année la fonction s'ouvrira à des tiers du privé, dont l'activité sera encadrée par un décret attendu au printemps prochain.Dès 2022, les aides seront aussi renforcées. Le gouvernement avait déjà annoncé qu'une nouvelle enveloppe de deux milliards d'euros serait consacrée à MaPrimeRénov', dispositif pour lequel 500.000 dossiers ont été déposés en 2021."MaPrimRénov' Sérénité" va remplacer le programme "Habiter mieux" à destination des ménages les plus modestes, pour capitaliser sur la "marque" désormais bien identifiée par les Français. Avec pour cible principale les 4,8 millions de "passoires thermiques", logements "en grande partie" occupés par les plus modestes.Pour s'attaquer à ces logements privés mal notés dans les dix prochaines années, "il faudrait traiter, chaque année, 290.000 maisons individuelles et 9.500 copropriétés", note le ministère.Est prévue également la création du "Prêt avance rénovation" pour financer le reste à charge des travaux de rénovation, avec une garantie apportée par l'Etat pour les ménages les plus modestes.
Il y a 3 ans et 229 jours

Un nouveau collectif veut donner un autre "cap" à l'enseignement professionnel

La création de ce collectif, qui rebondit sur une tribune parue dans Le Monde le 7 juillet ("Les lycéens de la voie professionnelle ne sont pas des élèves de seconde zone"), entend notamment installer la réforme de la voie professionnelle dans le débat en vue de l'élection présidentielle de 2022.Le collectif est notamment composé des associations de jeunesse Ghett'up, Different Leaders ainsi que des syndicats lycéens comme l'UNL ou le Mouvement national lycéen. Il revendique le futur soutien de syndicats enseignants et d'élus ancrés à gauche comme le député ex-LREM Aurélien Taché (Val-d'Oise) ou Amina Bacar, conseillère municipale dans le Val-de-Marne.La voie professionnelle "ne doit pas être une assignation mais un épanouissement" et celle-ci a besoin d'un "nouveau cap éducatif", a affirmé Dylan Ayissi, porte-parole du collectif lors d'une conférence de presse à l'Assemblée nationale.Faisant le constat largement documenté d'une filière abandonnée par les pouvoirs publics, souffrant de "dévalorisation", "désengagement", "déscolarisation" et "désorientation", le collectif propose la création de nouvelles filières (bac pro métiers des médias, bac pro métiers de la communication, bac pro métiers de l'action sociale...).Quelque 665.000 élèves suivent actuellement un parcours scolaire menant à un CAP ou un bac professionnel.Leur insertion professionnelle reste peu satisfaisante: 51% des titulaires d'un CAP et 34% des bacheliers professionnels sont au chômage sept mois après l'obtention de leur diplôme.Mal-aimée, la voie professionnelle a fait l'objet sous la houlette du ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, d'une énième tentative de réforme pour la revaloriser sans que celle-ci ne trouve grâce aux yeux des syndicats enseignants comme à ceux du collectif.Celui-ci critique la baisse des heures d'enseignement général, la "prise de pouvoir des organisations patronales" et la "mise en place d'une concurrence avec l'apprentissage", avec en toile de fond des "objectifs budgétaires", dénoncent M. Ayissi et Mme Bacar."On est prêt à descendre dans la rue" pour faire entendre ces revendications, a déclaré Camille Lecomte, co-secrétaire générale du MNL.Le collectif dit aussi travailler à une future proposition de loi sur la réforme de la voie "pro" en collaboration avec M. Taché.
Il y a 3 ans et 229 jours

Eldotravo.fr devient Eldo et accélère son déploiement européen

La start-up mène ce projet depuis plus d'un an et a mobilisé l'intégralité de ses équipes, 55 collaborateurs, pour offrir le meilleur à ses partenaires et utilisateurs. Les deux frères co-fondateurs, Hugo et Jean-Bernard Melet, ont dit au revoir à leur ancien nom, trop long et trop “français” et opté pour Eldo : duplicable et interprétable à l'international, qui met mieux en avant l'offre SaaS de la start-up.Un rebranding pour préparer une expansion européenne et asseoir sa position d'éditeur de logiciel pour les pros et les marques du BTPAvec plus de 100.000 avis et photos de particuliers sur son site, Eldo a réussi à devenir leader des avis clients du BTP avec l'obtention, en mars 2021, de sa certification AFNOR pour ses processus de collecte, modération et restitution d'avis.Un gage de qualité et de confiance, notamment pour les particuliers qui sont 88% à se fier aux avis clients en ligne lorsqu'ils recherchent des pros pour leurs travaux. Avec sa certification et son nouveau site internet, modernisé et repensé pour répondre aux besoins des visiteurs particuliers, Eldo améliore l'expérience utilisateur et renforce sa position de tiers de confiance du BTP.« Le Covid a changé la donne, avec le confinement, le BTP a connu une explosion historique de la demande de travaux : nous avons constaté une augmentation de 100% des demandes sur notre site et via les 1500 fiches Google my Business qui sont gérées via notre solution SaaS. Sur le 1er semestre 2021, il y a eu plus de 9 millions de recherches de professionnels supplémentaires.” explique Jean-Bernard Melet, CEO d'Eldo. “50% des consommateurs se disent insatisfaits du parcours client. Les professionnels ne doivent plus uniquement satisfaire sur la qualité des travaux, mais aussi être hyper réactif et qualitatif sur l'expérience client. »300 marques et 20.000 professionnels en Europe d'ici 2025Aujourd'hui, Eldo collabore avec plus de 50 industriels et marques, nationales et internationales du secteur, telles que SOMFY, Schneider Electric, Ariston ou encore Treppenmeister.Déjà présente en Belgique et Suisse avec son partenaire Murprotec, Eldo ambitionne d'ici 2022 de conquérir l'Europe et s'ouvrir ensuite à ses voisins espagnols et allemands.Le rebranding d'Eldo permet à la start-up d'élargir son offre, au-delà du site d'avis, et d'étendre sa plateforme marketing SaaS aux installateurs et marques d'Europe. Les travaux de rénovation résidentiels représentent un marché de 560B d'euros en Europe : soit plus de 5000 marques et 3,4 millions d'entreprises.Eldo, spécialiste de l'accompagnement digital des professionnels et marques du secteur de l'amélioration de l'habitatDepuis sa création en 2016, Eldo accompagne 2.500 pros et 50 marques du secteur à se digitaliser pour croître et assurer la meilleure expérience au client final. Eldo propose une suite applicative marketing, développée avec et pour eux, permettant de gérer simplement leurs principaux besoins du quotidien et leur faire gagner du temps :Réputation en ligne : collecte, gestion et diffusion d'avis clientsVisibilité locale Google : solution de référencement local et rayonnement de la marqueGestion intelligente des leads : centralisation des contacts, pilotage marketing et commercialAssistant digital commercial : envois automatiques de sms et rappels, conseils personnalisés« Je ne pensais pas que le partenariat prendrait si vite et si fort. Eldo était une toute petite boite, c'est aujourd'hui notre meilleur partenariat communication et d'aide à la vente.» Témoigne Pascale Anselme, Responsable marketing communication chez Profils Systèmes, filiale du groupe Corialis, un des acteurs majeurs de la menuiserie aluminium en France.Les outils digitaux constituent des ressources uniques pour développer des relations solides et garantir des réalisations qui durent. La maison est au centre de tout : le projet de vie des particuliers, l'accompagnement de ces derniers par les professionnels ainsi que les matériaux derrière ces projets, apportés par les industriels. Eldo s'attache à créer une solution pensée pour apporter de la valeur aux 3 parties indissociables : redonner force et considération aux professionnels, rassurer le particulier et faire rayonner les marques pour construire et rénover l'habitat de manière durable.
Il y a 3 ans et 230 jours

Goran Ostojic, nouveau directeur du développement de Wizzcad

Goran Ostojic est le nouveau directeur du développement de Wizzcad. [©Wizzcad] Goran Ostojic rejoint Wizzcad à la direction du développement. Cette nomination illustre la stratégie du spécialiste du conseil des acteurs de l’immobilier et de la construction dans leur transformation digitale à renforcer ses équipes. Ceci, pour accélérer son engagement auprès des acteurs du BTP. Mais aussi de tous les acteurs qui franchissent le cap du numérique. Le recrutement de talents se poursuivra sur les prochains mois, dans toutes les lignes métiers. Goran Ostojic aura pour mission d’accélérer la trajectoire de croissance de l’entreprise vers la scale-up1. « C’est l’âge d’or du numérique en France et dans le monde entier d’ailleurs, alors ceux qui savent que je n’aime pas m’arrêter sur ce que je sais ne sont pas du tout surpris de mon choix pour Wizzcad ! Leur plate-forme technologique est la plus avancée d’Europe en matière de BIM et leur solution digitale utilisée par bon nombre d’acteurs différents m’a séduit dès le départ. Elle dispose en outre d’un track2 record sans égal dans ce domaine d’avenir. L’entreprise est moderne et le bonheur au travail s’y ressent dès l’intégration. Je me réjouis donc de rejoindre cette équipe dynamique où il fait bon travailler et innover ensemble pour un monde de demain plus efficient ! », déclare Goran Ostojic. Son parcours Goran Ostojic dispose d’une solide expérience de plus de 20 ans dans le management, la stratégie, le commerce, le marketing et les technologies du numérique. Après des études de commerce, d’audit et de gestion d’entreprise, puis de management, il a débuté sa carrière chez Ecus, un fabricant français de solutions de protection électrique data center. Il décide ensuite de s’orienter vers un marché en pleine croissance et rejoint le premier fournisseur d’accès Internet, c’était alors les débuts du digital en France en 1998. Il est séduit quelques années plus tard par un éditeur de logiciels Alpi France, grâce auquel, en tant que membre du directoire, il oriente la stratégie vers l’automatisation des documents et le processus BIM. Depuis ce jour, sa perception de la modélisation des données du bâtiment et son souhait d’aller vers les solutions digitales n’a cessé de grandir. « Les seules limites que je vois à la digitalisation sont celles de notre vision », conclut Goran Ostojic. 1La scale-up est une start-up passée à l’étape numéro 2. D’où le mot anglais “Scale”, qui signifie “échelle” en français. De la start-up à la scale-up, le changement d’échelle se manifeste à tous les niveaux, car l’entreprise adopte volontairement une stratégie de croissance. A ce stade, l’offre et le business model sont validés. L’objectif d’une scale-up est donc d’être capable de changer d’échelle pour faire croître son business et son chiffre d’affaires de façon significative. 2Le track record désigne l’historique de vie d’une entreprise ou d’un fonds de placement.
Il y a 3 ans et 231 jours

Nouveau baromètre France Num sur l'évolution du numérique dans les TPE/PME depuis 2020

Confié au Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CREDOC), ce Baromètre s'inscrit dans la continuité de l'étude BCG-EY réalisée en 2020 et permet ainsi de mesurer le chemin parcouru par les TPE/PME, notamment depuis la crise sanitaire, et d'identifier les freins et les leviers pour accélérer leur transformation numérique. Les principaux enseignements du BaromètreLes chefs d'entreprise renforcent leur intérêt pour le numérique.78% des dirigeants sondés considèrent que le numérique représente un bénéfice réel pour leur entreprise contre 68% en 2020.Les TPE/PME utilisent de plus en plus d'outils numériques.66% des TPE/PME interrogées ont désormais un site internet, hors réseaux sociaux contre 37% en 2020. 43% d'entre elles disposent d'une plateforme de partage de documents entre collaborateurs contre 17% en 2020.33% de ces entreprises disposent d'outils de collaboration professionnelle contre 21% en 2020. Ces tendances positives ne concernent pas tous les secteurs d'activité.Les entreprises de l'hébergement et de la restauration arrivent ainsi en tête des entreprises les plus visibles sur l'internet, 50% de ces entreprises vendent en ligne et 93% ont un site internet ou sont présentes sur des réseaux sociaux. A l'inverse, les entreprises du secteur du bâtiment et de la logistique sont peu équipées en outils de visibilité et se tournent plutôt vers les outils de gestion de stock ou de facturation.Certains dirigeants de TPE/PME ont encore des réticences face au numérique et de nouvelles préoccupations émergent.18% des entreprises sondées n'ont encore aucune solution de visibilité en ligne et 13% ne prévoient pas d'en acquérir dans les 12 mois. Les raisons sont à chercher principalement dans la non-pertinence par rapport au secteur d'activité, la demande d'efforts continus de mise à jour des informations ou dans la peur de se faire pirater des données.A cette occasion, Alain Griset a déclaré A Le numérique doit être un outil au service de nos TPE et de nos PME pour leur permettre de conquérir de nouveaux marchés, d'améliorer leur relations clients, de simplifier la gestion quotidienne de leur activité… en un mot : d'être plus compétitives. Ce baromètre prouve que notre action porte ses fruits et que nous devons, en lien avec France Num et ses partenaires, accentuer nos efforts pour accompagner les chefs d'entreprises désireux d'entamer leur numérisation B.Les enseignements de ce Baromètre confirment une progression de la numérisation des TPE/PME qui résulte de l'impact de la crise sanitaire et des mesures prises par le Gouvernement notamment dans le cadre du Plan de relance (diagnostics numériques, chèque France Num,…). Cependant, le Baromètre révèle le besoin de poursuivre cette transformation au numérique des TPE/PME pour les former aux bénéfices concrets du numérique dans leur quotidien et dans le développement de leur activité tout en renforçant leur sensibilisation à des sujets comme la cybersécurité.Pour consulter les résultats complets de la première édition du baromètre France Num, cliquez ici
Il y a 3 ans et 231 jours

En 25 ans, 35.000 édifices sauvés par la Fondation du patrimoine

"D'un budget de 40 millions d'euros il y a cinq ans, nous sommes passés à 70 millions en 2020 et espérons atteindre les 80 millions en 2021, même si c'est insuffisant au regard de la tâche à accomplir", dit-il."Notre équivalent en Angleterre, le +National Trust+ (national trust for places of historic interest or natural beauty,ndlr) a un budget de 300 millions d'euros", relève-t-il.M. Poitrinal se réjouit néanmoins de voir "l'important essor pris par la fondation depuis cinq ans", grâce notamment,dit-il, à la Mission Patrimoine pour la sauvegarde du patrimoine en péril, confiée à l'animateur Stéphane Bern, et à la souscription pour Notre-Dame.Une enquête d'impact réalisée par le cabinet Pluricité, à l'occasion des 25 ans de la fondation, fait état de "retombées économiques liées au tourisme culturel" en général de "15 milliards d'euros ", représentant directement ou indirectement "500.000 emplois" en France.Si "l'Etat s'occupe bien de ses grands palais nationaux", c'est la fondation qui reçoit "les appels au secours des petites communes, des associations ou des particuliers, soucieux de sauver leur patrimoine local" et qui concentrent "80% de l'activité de la fondation" à travers ses moyens que sont notamment le mécénat et la collecte de dons, selon M. Poitrinal.L'enquête d'impact révèle qu'"un quart des bâtiments" historiques français sont "en mauvais état" alors que 46.000 sites étaient classés "monuments historiques" en 2020 et "40 autres inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco".86% des Français se disent "attachés à ce patrimoine" et 31% ont déjà fait un don pour sa conservation, tandis que 74% visitent des sites patrimoniaux chaque année, souligne la même enquête.Chapelles, petits théâtres, musées, ponts, phares, lavoirs, locomotives ...: avec un réseau de 800 bénévoles, la fondation, vient notamment en aide à nombre de villages et communes de moins de 2.500 habitants. Sa plateforme de "crowdfunding" collecte actuellement des dons sur internet pour plus de 2.700 projets de restauration.
Il y a 3 ans et 231 jours

Siporex dévoile un nouveau site internet, source d'inspiration

Pour valoriser les multiples avantages des solutions SIPOREX et les possibilités infi nies d’aménagement quelles offrent, Xella France lance le nouveau site www.siporex.fr.Véritable source d’inspiration pour les professionnels comme les particuliers, ce site présente, à travers différents exemples de réalisations, le béton cellulaire SIPOREX comme une solution rapide et pratique à mettre en oeuvre, et parfaitement adaptée à tous les projets.Entrez dans l’univers SIPOREX, trouvez l’inspiration et créez vos projetsLe nouveau site SIPOREX a été entièrement pensé pour assurer la meilleure expérience utilisateur. Responsive, il offre une navigation fl uide et agréable sur ordinateur comme sur Smartphone ou tablette. Riche en visuels inspirants, il délivre des informations claires et didactiques. La structure est simple, les pages sont épurées et le contenu aéré.Des rubriques accessibles rapidementUne homepage défi lante permet de visualiser, d’un seul coup d’oeil et de manière intuitive, les principales rubriques du site internet. L’internaute, qu’il soit bricoleur ou professionnel, peut choisir parmi 6 grandes rubriques :SIPOREX : retrace l’historique de la marque, son offre et son positionnement au sein de Xella France.La gamme : présente les avantages du béton cellulaire, les caractéristiques techniques illustrées de visuels pour chaque produit (carreaux et colle) et les certifi cations. Le guide pratique SIPOREX intégrant les conseils de mise en oeuvre y est également disponible en téléchargement.Votre projet : propose des réalisations en carreaux de SIPOREX, avec la liste des outils, des accessoires et la quantité de matériaux nécessaires pour reproduire le projet. L’internaute peut ainsi se projeter dans des réalisations concrètes.Trouver nos produits : permet à l’internaute de trouver rapidement, avec un simple code postal, les points de vente partenaires les plus proches de chez lui.Téléchargement : rassemble l’ensemble des documents téléchargeables : brochures techniques, guides de pose et certifi cations.FAQ & Contact : liste les principales questions que les internautes peuvent se poser sur le béton cellulaire, son utilisation... et propose un formulaire de contact pour une mise en relation facile avec la marque.Social Wall : une passerelle créative entre le site et le compte instagram SIPOREXEn bas de la homepage, l’internaute accède au Social Wall #AvecDesSi ils l’ont fait, des projets d’aménagement d’instagrammeurs(euses) repartagés sur la nouvelle page instagram SIPOREX.Véritable lien entre le réseau social et le site web de la marque, ce Social Wall permet de fédérer une communauté autour de SIPOREX et d’être proche des utilisateurs, en valorisant les projets fi nis, divers et variés. Il montre également que les solutions SIPOREX sont tout-terrain et accessibles à tous et contribue à faire du site une vraie source d’inspiration pour les internautes !Résolument orienté projets utilisateurs, le site www.siporex.fr veut éveiller les envies d’aménagement à travers des visuels de réalisations concrètes, créatives... et la base line de la marque « Avec des SI on peut tout faire » prend tout son sens.Découvrez le nouveau site https://www.siporex.fr/
Il y a 3 ans et 237 jours

Comment bien vendre son offre ?

La e-réputation est très importante. Elle demande aux artisans d’être actifs sur le web et les réseaux, pour répondre aux avis qui sont émis. Les ressources fournies par Google my business sont très utiles… Ecouter le client pour mieux se vendre… Orienter sa communication vers des activités porteuses… Optimiser son temps, être dans la course au bon devis… Artibat 2021 / Intervenant : Laurent Deschamps, Formateur – ARFAB Interrogé par Stéphane Miget Voir les vidéos d’Artibat 2021