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Il y a 2 ans et 319 jours

Le Blackpearl à Courbevoie : quand La Défense s’habille en PREFA !

Au coeur du quartier d’affaires parisien se dresse un nouveau symbole, le Blackpearl, immeuble iconique habillé par PREFA, au caractère sombre et audacieux, à l’architecture contemporaine et aux formes monumentales. Un dôme en aluminium cuivré sur un toit-terrasse paysager et une façade rapportée en métal déployé, dont la forme rappelle des orgues gigantesques, caractérisent cet […]
Il y a 2 ans et 319 jours

Novéa Énergies équipe la ville de Villeneuve-Loubet (06) de 19 ensembles solaires éco-conçus

11 d’entre eux habillent ainsi un nouvel ensemble immobilier dans le quartier des Maurettes, et les 8 autres ont été installés pour éclairer et sécuriser le pôle culturel Auguste Escoffier.Particulièrement avancée, la politique RSE de Novéa Énergies défend un usage raisonné de la lumière, basé sur une démarche scientifique, grâce au développement de solutions fiables, durables et respectueuses de l’environnement. Tous les luminaires de l’entreprise angevine sont par ailleurs conformes à l’arrêté du 27 décembre 2018 relatif à la prévention, la réduction et la limitation des nuisances lumineuses. Des ensembles solaires au design unique, conçus au plus près du besoin d’éclairageVille de plus de 16 000 habitants, idéalement située en bordure de la célèbre Baie des anges, entre Nice et Antibes, Villeneuve-Loubet abrite une biodiversité riche qui lui vaut le surnom de « cœur nature de la Côte d’Azur ». Particulièrement dynamique, le quartier des Maurettes a fait l’objet d’un grand projet de requalification de la zone économique Pôle Marine 7 pour créer un véritable cœur de ville à fort enjeux en termes de développement durable. Ce projet « Cœur des Maurettes » s’inscrit dans un ensemble végétalisé préservé, doté de nouveaux équipements publics favorisant une qualité résidentielle soignée du quartier. De nouveaux programmes immobiliers ont vu le jour, avec de forts enjeux en termes de développement durable. La commune de Villeneuve-Loubet a recouru aux solutions de Novéa Énergies pour une application de plus en plus sollicitée, à savoir l’éclairage d’une partie d’un de ses nouveaux ensembles immobiliers : un parking et un chemin piétonnier.« Depuis 2016, la municipalité a engagé d’importants travaux d’investissement sur l’ensemble du parc d’éclairage public obsolète à 80 % afin de mieux éclairer les espaces publics assurant à la fois la sécurité des Villeneuvois et des économies d’énergie », affirme Lionnel LUCA, le Maire.11 mâts Combi Top 3 double crosse au design original et harmonieux avec l’éclairage public du quartier ont ainsi été installés. Novéa Énergies étant une filiale du groupe Ragni, l’entreprise angevine dispose de la palette de luminaires la plus large du marché et est le seul fabricant en capacité de proposer une continuité architecturale avec les ensembles traditionnels raccordés au réseau. Des consoles Tominia et luminaires Atinia de chez Ragni ont ainsi été apposés, sublimant la finition de ces ensembles solaires bleu capri (RAL 5019) qui se fondent parfaitement dans l’existant.Pour ce qui est de la sécurisation de la médiathèque de Villeneuve-Loubet, la ville a cette fois privilégié des luminaires Chic et des consoles Atilis sur les 8 mâts CT3, le tout en rouge vin (RAL 3005) pour valoriser la superbe allée devant le pôle culturel et l'architecture du village en toile de fond.Un choix évident pour le Maire de la ville : « Dans tous nos projets, la municipalité cherche systématiquement à faire appel aux techniques innovantes. L’usage de candélabres solaires est aussi une solution pratique et économique pour éclairer les secteurs vides de réseaux ». Sécuriser les usagers et préserver la biodiversité Intégrant la préservation de la biodiversité dans sa politique globale de développement durable, l’entreprise angevine propose des scénarii d’éclairage public autonome sur-mesure, qui éclairent juste, au plus près du besoin. En effet, pour Novéa Énergies, l’utilisation future de ses équipements solaires doit impérativement être définie au préalable, pour concevoir un scénario d’éclairage personnalisé, adapté aux écosystèmes dans lesquels ils s’intègrent.Ainsi, dans le quartier des Maurettes les ensembles solaires fonctionnent par détection de présence, en veille à 10 % toute la nuit avec 5 heures cumulées de détection prévues, soit 400 passages de 45 secondes.L’accès au pôle culturel est quant à lui éclairé à 100 % pendant les 5 heures suivant le crépuscule, puis les ensembles solaires entrent en veille à 10 % avec 1h30 de détection cumulée prévue. Les installations répondent donc à la fois au besoin de sécurité des usagers, tout en limitant les nuisances lumineuses et donc l’impact sur la biodiversité.
Il y a 2 ans et 320 jours

À 200 ans, la nouvelle jeunesse du canal de l'Ourcq

Voulu par Napoléon pour améliorer l'approvisionnement en eau potable de la capitale, puis devenu un axe majeur de la transformation industrielle et du transport de bois et charbon pour le marché parisien, le canal de 108 kilomètres inauguré en 1822 atteint cette année son bicentenaire.Sinistré par la désindustrialisation de l'Île-de-France, cet espace autrefois inhospitalier s'intègre à la ville depuis une vingtaine d'années pour devenir, pour la première fois de son histoire, un authentique lieu de vie pour les habitants. Une mue particulièrement visible du côté du XIXe arrondissement de Paris et de la commune voisine de Pantin, en Seine-Saint-Denis.Assis à l'ombre des Magasins Généraux de Pantin, des entrepôts de stockage de denrées coloniales reconvertis en siège d'une agence de publicité, Dolores et Miguel Julia savourent avec oisiveté le passage de péniches chargées de sable ou de gravats. Casquette sur la tête, ils suivent du regard les familles avec poussette qui prennent l'air, observent les cyclistes et joggeurs faisant de l'exercice.Bien que Pantinois depuis les années 1960, ce couple de retraités n'a découvert les plaisirs du canal de l'Ourcq qu'à la faveur de l'apparition du quartier flambant neuf qui a récemment remplacé de vieilles structures industrielles. Ils arpentent désormais deux fois par jour, en habitués, la nouvelle promenade aménagée au port de Pantin."C'est notre promenade des Anglais!", s'amuse Dolores, ex-rayonniste en pharmacie de 82 ans. "Avant on ne pouvait pas venir ici. C'était de la terre, il n'y avait pas de pavés".Avec sa fraîcheur et ses arbres dans cette zone urbanisée à l'extrême, ses péniches culturelles, ses nouveaux immeubles à l'architecture soignée dont les bobos parisiens s'arrachent les appartements, le canal de l'Ourcq est devenu la vitrine de Pantin, ville qui reste par ailleurs profondément populaire.Ancien no man's landL'emblématique minoterie des Grands Moulins, aux faux airs médiévaux, s'est transformée en bureaux, abritant des services de la banque BNP Paribas. Une fabrique de meubles du début du XXe siècle a été réaménagée en logements, un théâtre a pris ses quartiers dans un hangar en briques de la rive nord."Quand j'ai été élu en 2001, la ville tournait le dos au canal. C'était plutôt vécu comme une fracture. Nous avons retourné la ville vers le canal", témoigne auprès de l'AFP Bertrand Kern, le maire (PS) de Pantin. "Vous seriez venu un samedi il y a vingt ans sur les quais du canal, il n'y avait pas grand monde. Aujourd'hui ça se bouscule tellement que je suis obligé de faire des aménagements entre vélos et piétons."Les allures parfois hétéroclites des abords du canal montrent toutefois que sa transition reste encore à conclure. Ici une blanchisserie industrielle répand sur les quais une puissante odeur de linge propre, là opère une centrale à béton. Sous la passerelle du tramway T3, un camp de migrants est apparu ces derniers jours.Plus en aval, une fois le canal passé sous les voies du boulevard périphérique, le même processus de transformation urbaine s'observe dans le XIXe arrondissement de Paris.Les pique-niqueurs des pelouses de la Villette savent-ils qu'ils se tiennent à l'emplacement de l'ancienne "cité du sang" ? Jusqu'à sa reconversion en parc dans les années 1980, le lieu a accueilli pendant un siècle les immenses marchés aux bestiaux et abattoirs qui fournissaient Paris en viande fraîche.Au pont levant de la rue de Crimée, des petits bateaux de tourisme attendent de pouvoir passer. Des jeunes fument des joints en écoutant du rap, des couples dansent du tango sur une piste installée pour l'opération "Paris Plages".La renaissance du canal de l'Ourcq, le maire socialiste du XIXe, François Dagnaud, la date pour son arrondissement au mitan des années 1990 et au "pari" de la chaîne de cinémas MK2 d'ouvrir une salle dans un ancien hangar conçu par Gustave Eiffel, au milieu de ce qui était alors un "no man's land"."On était en pleine période où le crack était déjà présent, relate-t-il à l'AFP. Dans un quartier en perdition, marginalisé, pas du tout fréquenté par les habitants, ça a été l'amorce d'une mutation urbaine, culturelle et sociale."
Il y a 2 ans et 320 jours

La production de l'ambitieuse voiture solaire "Sion" prévue pour 2023

Après des années de développement, Sono Motors construit actuellement une flotte destinée aux tests et prévoit de lancer la production l'année prochaine chez un constructeur finlandais, Valmet.Avec sa carrosserie noire, couverte de 456 cellules photovoltaïques, et son autonomie de 305 kilomètres, la Sion promet d'engranger assez d'énergie chaque semaine pour parcourir 112 kilomètres en moyenne. Elle intègre aussi le système "Vehicule-to-Grid", qui permet à sa batterie de restituer de l'électricité au réseau ou à une autre voiture.Avec ses 4,40 mètres de long, et sa batterie moyenne de 54 kWh, la Sion vise des familles mais aussi des flottes en libre-service.Sono Motors a enregistré 19.000 réservations avec un acompte moyen de 2.225 euros, qui ont permis de financer le développement du modèle. Son tarif final est annoncé à 25.000 euros. La jeune marque envisage d'en produire plus de 250.000 dans les sept prochaines années.Le petit constructeur compte aussi vendre sa technologie solaire à d'autres, comme le groupe français de remorques frigorifiques Chéreau, et a présenté lundi un système de "rétrofit" solaire, qui permet d'ajouter des panneaux sur des bus pour limiter leur consommation de diesel.A l'image de Sono Motors, quelques start-ups, mais aussi des géants de l'automobile comme Toyota ont commencé à installer des panneaux solaires sur leurs nouvelles voitures électriques, promettant un peu d'autonomie supplémentaire.Les Hollandais de Lightyear doivent lancer fin 2022 leur modèle "O", doté d'une autonomie de 625 kilomètres et d'un prix très élevé, avant une version abordable qui pourrait affronter la Sion dès 2024-2025.La start-up californienne Aptera affiche de son côté 25.000 précommandes pour son premier modèle prévu pour 2023, une petite voiture à trois roues et deux places. Selon les versions, facturées entre 26.000 et 46.000 dollars, elle affiche entre 400 et 1.600 kilomètres d'autonomie.
Il y a 2 ans et 320 jours

Le texte sur l'accélération des énergies renouvelables examiné à la rentrée

"Nous avons aujourd'hui saisi le Conseil national de la transition énergétique du projet de loi accélération des énergies renouvelables, qui a d'ailleurs été également envoyé au Conseil d'État", a indiqué Matignon lors d'une conférence de presse téléphonique. Le texte, qui présentera "20 articles", abordera trois grands aspects. Il présentera tout d'abord "une série de mesures à la fois exceptionnelles et transitoires pour accélérer les procédures de développement des énergies renouvelables" - en réduisant notamment les délais de recours paralysants-, afin de répondre "aux urgences actuelles sur l'approvisionnement et notre capacité à atteindre nos objectifs renouvelables". Il se concentrera ensuite sur un certain nombres de mesures spécifiques portant sur les filières du photovoltaïque et de l'éolien en mer, "deux priorités de la politique énergétique pour produire plus en termes de kW/h", a indiqué Matignon, précisant notamment que pour le photovoltaïque, "l'idée c'est d'aller chercher à obtenir toutes les surfaces foncières disponibles en France" afin d'"élargir les surfaces" d'installation possibles. Le projet de loi présentera enfin "une série de mesures qui portent sur le partage de la valeur" des projets d'énergies renouvelables en France avec les riverains de ces projets, afin d'augmenter "l'adhésion et l'acceptabilité de ces sources de production auprès de nos concitoyens". "L'idée, c'est que ces énergies renouvelables génèrent un certain nombre de revenus et que ces revenus pourraient être redistribués aux personnes qui sont directement concernées par une présence visuelle de ces moyens de production", a détaillé Matignon, sans préciser quelle forme cela prendrait. Le texte devrait être présenté au Conseil des ministres mi-septembre, puis sera suivi d'un débat parlementaire "qui s'engagera au mois d'octobre", avait indiqué le gouvernement, en précisant qu'un "second texte législatif, une loi beaucoup plus large" était "attendu plus tard", mais que ce premier projet de loi visait à "faire face aux enjeux d'urgence". Pour lutter contre le réchauffement climatique et diversifier sa production électrique, la France vise 40% d'énergie renouvelable en 2030 (contre 20% en 2019), via notamment 1.000 MW d'éolien offshore en plus par an.
Il y a 2 ans et 320 jours

A Paris, premières amendes pour les commerces climatisés gardant porte ouverte

Depuis le lundi 25 juillet, un arrêté signé par la mairie de la capitale prévoit une contravention - s'accompagnant d'une amende de 150 euros maximum - pour les établissements commerciaux ou de service laissant leur porte ouverte lorsque le chauffage ou la climatisation fonctionnent à l'intérieur. Il s'agit d'une "mesure de lutte contre le gaspillage de l'énergie", selon la décision administrative. Les verbalisations ont débuté mercredi dans la très commerçante et touristique rue de Rivoli, dans le IVe arrondissement, mais "l'ensemble du dispositif est sur tous les arrondissements parisiens", précise la mairie. "Les deux précédentes semaines, nous sensibilisions les commerçants à la future verbalisation". La mairie n'a pas indiqué combien d'établissements avaient déjà été verbalisés. Chaque jour, deux patrouilles de la police municipale parisienne se consacrent à cela. La verbalisation a lieu "au cas par cas", a expliqué à l'AFP la Ville de Paris. "Si un commerçant nous montre qu'il est en train de changer de porte ou qu'il entame des démarches pour avoir une porte fermée nous ne verbalisons pas", explique-t-elle. "En revanche pour les autres enseignes déjà sensibilisées ou qui n'ont pas prévu d'efforts, nous verbalisons systématiquement". "Cette mesure vise à mettre un terme à une pratique aberrante dans le contexte actuel d'urgence climatique et de crise de l'énergie", avait fait valoir la mairie fin juillet. L'arrêté ne s'applique pas "aux restaurants ou aux débits de boisson disposant d'une terrasse extérieure régulièrement autorisée". Paris n'est pas la première ville à vouloir interdire aux commerces climatisés de garder leur porte ouverte. Le 15 juillet, la mairie PS de Bourg-en-Bresse avait émis un arrêté du même type, présenté comme une première en France. Lyon, puis Besançon l'avaient imitée dans la foulée. Dimanche 24 juillet, la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher avait annoncé son intention de généraliser à tout le territoire cette obligation pour les magasins climatisés de fermer leurs portes, mais les décrets n'ont pas encore été publiés.
Il y a 2 ans et 323 jours

A Paris, l'immeuble de la discorde dans un bel hôtel particulier

"Je ne vais pas me laisser faire." Parmi d'autres riverains du quartier chic de la Plaine-Monceau (XVIIe arrondissement), le radiologue Rodolphe Gombergh, 71 ans, est le premier opposant à la construction d'un bâtiment de cinq étages dans la cour de son immeuble.Dans un quartier qui en regorge, cet ancien hôtel particulier construit en 1889 se compose de deux bâtiments de style néogothique, en brique, reliés par un portique de deux arches avec des grilles en fer forgé.Dans la cour, deux charmants ouvrages d'époque: un ascenseur à pompe et un garage à fiacre... contre lequel doit bientôt se dresser un immeuble de bureaux de cinq étages dont le blanc lumineux et la forme en escalier font tâche au milieu de l'ensemble.Un bâtiment "comme à La Défense", "sans aucune allure," juge M. Gombergh en montrant le trou béant laissé par le creusement de la cour pavée pour y loger un sous-sol.La nouvelle construction a été commandée par l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire (Cern), un centre de recherche privé situé à Genève.Si le bâtiment contesté n'est pas encore sorti de terre, les travaux entamés en septembre 2021 ont déjà laissé quelques cicatrices: lanterne et grille portées disparues, morceaux d'arche arrachés puis colmatés, affaissement de la cour et, côté rue, d'une fenêtre au-dessus d'une nouvelle ouverture.D'où l'arrêt momentané des travaux, estime le médecin, qui a lancé plusieurs recours juridiques contre le projet.Protégé, mais pas classéComment celui-ci a-t-il pu être validé par la Ville de Paris, dans un bâtiment qui, s'il n'est pas classé monument historique, est tout de même protégé au titre du plan local d'urbanisme (PLU) ?"Bonne question, je me la suis posée moi-même", répond Emmanuel Grégoire, l'adjoint (PS) à l'urbanisme, pour qui le permis de construire est "passé sous les radars" parce que "totalement légal, ce qui fait qu'il n'a été traité ni par la mairie du XVIIe ni par mon cabinet"."Nous avions un avis réservé et nous avions demandé au propriétaire de consulter les riverains", affirme le maire (LR) de l'arrondissement, Geoffroy Boulard, qui dit avoir reçu un permis initial "extrêmement succinct".En août 2019, la Commission du Vieux Paris, dont l'avis est consultatif, n'a rien vu à redire au projet, qui comportait alors un étage de moins.Un an plus tard, le permis modificatif est délivré dans la foulée des élections municipales, à un moment où la commission met "un certain temps à être remise en place", justifie son président, Jean-François Legaret.En résumé, "il y a eu des trous dans la raquette à tous points de vue", regrette Karen Taïeb, adjointe (PS) au patrimoine et élue du XVIIe arrondissement.La mairie de cet arrondissement a réagi dès février 2021, en demandant un nouvel examen à la Commission du Vieux Paris. Ce que cette dernière a fait mi-juin 2022, réclamant la modification du projet.Espoir "faible"Mais "le permis est purgé de tout recours", souligne M. Grégoire, pour qui l'espoir est "modéré, voire faible" de voir le Cern accepter.Contacté par l'AFP, ce dernier ne s'est pas prononcé sur une éventuelle modification du projet, soulignant que son permis avait été "dûment obtenu" et affirmant avoir "toujours répondu favorablement à toute demande de réunion et d'échanges".Ses responsables "ne se rendent pas très disponibles", même si une première réunion de "conciliation" est prévue en septembre, rétorque toutefois M. Grégoire."Que de temps perdu", regrette M. Boulard, pour qui ce dossier souligne "les carences de la Ville en matière de contrôle d'urbanisme et de patrimoine"."Cette reconstruction d'un immeuble de bureaux dans un quartier excédentaire en bureaux n'a aucune légitimité", insiste l'élu de droite, qui veut tout autant éviter "un massacre sur le plan esthétique".Mme Taïeb espère toujours que le "porteur de projet puisse avoir une conscience patrimoniale". Sur le seul aspect chromatique, "un parement en brique serait déjà une évolution très positive", demande M. Legaret.
Il y a 2 ans et 323 jours

Les sciences photovoltaïques vers leur zénith

Pour atteindre la neutralité carbone en milieu de siècle et limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle -comme prévu par l'accord de Paris sur le climat- la planète devra installer chaque année d'ici 2030 quatre fois plus de capacités solaires qu'elle ne le fait aujourd'hui, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).La bonne nouvelle est que les prix ont baissé de façon spectaculaire.Selon un rapport des scientifiques du Giec publié début 2022, les coûts unitaires du solaire ont chuté de 85% entre 2010 et 2019, et ceux de l'éolien de 55%.Mais "c'est probablement le moyen le moins cher qu'ait trouvé l'humanité pour produire de l'électricité à grande échelle", estime Gregory Nemet, professeur à l'Université de Wisconsin-Madison, l'un des principaux auteurs du rapport.Entre l'envolée des prix des énergies fossiles et les craintes sur la sécurité énergétique causées par l'invasion russe de l'Ukraine, le développement des renouvelables est déjà amorcé.Selon un rapport de BloombergNEF, les investissements mondiaux dans les projets solaires ont progressé de 33% au premier semestre par rapport à l'an dernier, à 120 milliards de dollars. Dans l'éolien, ils ont augmenté de 16% à 84 milliards de dollars.Et le plan climatique de Joe Biden en passe d'être adopté au Congrès américain a musclé cette impulsion, avec 370 milliards de dollars d'argent public en incitations fiscales destinées à faire baisser de 40% les émissions américaines de gaz à effet de serre d'ici 2030 (par rapport à 2005)."Le plan de M. Biden va permettre de réinstaller une industrie de panneaux solaires aux Etats-Unis", a jugé la directrice de la Fondation européenne pour le climat, Laurence Tubiana, dans le quotidien français Le Monde jeudi. Selon M. Nemet, il est plausible que le solaire à lui seul représente la moitié de l'électricité mondiale d'ici le milieu du siècle. "Il y a un gros potentiel", dit-il.Découverte française"L'effet photovoltaïque" --processus qui permet de produire de l'électricité à partir du rayonnement solaire-- a été découvert en 1839 par le physicien français Edmond Becquerel.Les premières cellules à base de silicium ont été développées aux Etats-Unis dans les années 1950. Mais aujourd'hui, la grande majorité des panneaux solaires sont fabriqués en Chine.Selon l'AIE, les nouvelles cellules photovoltaiques sur le marché sont 20% plus efficaces pour convertir la lumière en énergie qu'elles ne l'étaient il y a seulement cinq ans, grâce à de nouveaux matériaux hybrides.Parmi les innovations figurent les panneaux dits "à couche mince", moins chers que les cellules en silicium. Ils peuvent être "imprimés" sur tous types de support, à partir d'encres en cristaux de perovskite, un matériau découvert au 19e siècle par le minéralogiste russe Lev Perovski.Selon les experts, cette découverte pourrait révolutionner le secteur en multipliant les lieux où l'on peut produire de l'énergie solaire. A condition que cette nouvelle génération de panneaux se dégrade moins vite qu'actuellement, et puisse durer au moins 20 ans.Ce que des recherches récentes semblent rendre possible. Dans la revue Science en avril, des scientifiques ont rapporté être parvenus à rendre les panneaux en perovskite aussi efficaces que ceux en silicium.Une autre étude publiée dans Nature parie sur des semi-conducteurs en "tandem" pour accroître la conversion en énergie du domaine spectral du rayonnement solaire : le perovskite pour les infrarouges et un matériau plus carboné pour les ultraviolets."Créativité"Reste à résoudre le problème de la nuit, lorsqu'il n'y a plus de rayonnement solaire.Des chercheurs de Stanford ont réussi cette année à produire une cellule solaire qui peut générer de l'énergie durant la nuit grâce à la chaleur générée par la Terre."Il y a beaucoup de créativité dans cette industrie", relève Ron Schoff, qui dirige la recherche sur les renouvelables au sein de l'Institut sur la recherche électrique (EPRI) basé aux Etats-Unis.Selon lui, l'une des réponses au problème de l'occupation croissante des sols par les fermes solaires reposera sur les panneaux bifaces : ils produisent de l'électricité sur leurs deux faces à partir de la lumière du soleil et de la lumière réfléchie par le sol.D'autres solutions parient sur l'agrivoltaïsme, des panneaux semi-transparents abritant des cultures. En Inde, des panneaux sont installés sur des canaux depuis une décennie, produisant de l'électricité et réduisant l'évaporation. Selon M. Nemet, les consommateurs peuvent aussi jouer un rôle en faisant évoluer leurs heures de consommation ou en se regroupant en réseaux privés dans une approche Airbnb.
Il y a 2 ans et 323 jours

Comment inciter les français à entreprendre des travaux de rénovation énergétique ?

Qu’en pensent les Français ? Où en sont-ils de leurs travaux de rénovation énergétique ? À l’heure où depuis le 1er mai 2022, on voit les aides sur le sujet diminuer, TOUT FAIRE a voulu comprendre comment les Français appréhendent ce sujet. L’enseigne a voulu savoir s’ils étaient prêts à engager ces travaux comme un véritable devoir citoyen, une simple obligation, ou s’ils y voyaient l’occasion de réaliser des économies. Une étude réalisée par Opinion Way sur un échantillon représentatif de la population revient sur cette relation que les Français ont avec le sujet et des aides dont ils auraient besoin pour se lancer dans de tels travaux. En effet, même si 52% des personnes interrogées se considèrent à l’aise sur le sujet, 71% des personnes jugent cependant qu’elles ne pourraient pas réaliser les travaux seuls.Un bagage technique qui freine la réalisation de travaux énergétiquesParmi les enseignements majeurs, cette étude révèle que 49% des Français estiment connaître le sujet de la rénovation énergétique. Pourtant, une large majorité des Français déplore un manque de clarté de l’information. Ils sont 59% a trouvé que la communication actuelle sur le sujet dissuade, plus qu’elle n’incite à se lancer dans ce type de projet. Les démarches administratives sont également considérées comme trop importantes pour ce type de travaux, pour 55% des Français, ces démarches sont même qualifiées d’insurmontables. Ainsi 69% de Français, soit deux tiers des personnes, ont affirmé leur besoin d’obtenir des précisions concernant la rénovation énergétique pour sauter le pas.Un passage à l’acte de rénovation, même avec toutes les informations nécessaires n’est pas si simple : 51% jugent que le manque de compétences est un frein majeur. Alors, pour trouver de l’aide, les particuliers se tournent à 41% vers les artisans, qui restent la référence en termes d’accompagnement dans ce type de projet. Ensuite, pour 21% d’entre eux, les proches sont également une bonne ressource à activer.Les enseignes de construction, un expert idéal mais encore trop peu identifiéLes enseignes de construction, tels que les groupements de négoces, restent encore trop peu mobilisés par les particuliers. Seulement 7% des interrogés perçoivent les magasins de construction comme des référents. Pourtant, ces derniers sont en première ligne lorsqu’il s’agit d’entreprendre des travaux de rénovation, pour accompagner et aider à les mener à bien. Experts dans les travaux, mais également dans les matières premières, les enseignes de construction se doivent d’être au fait des dernières réglementations afin de conseiller au mieux professionnels et particuliers qui se lancent dans ces travaux.TOUT FAIRE, premier groupement français de distributeurs de matériaux de construction et de rénovation avec 450 points de vente en France et en Belgique, accompagne les professionnels et les particuliers dans leurs travaux. 4.000 passionnés proposent leur expertise, leurs conseils et leurs services de qualité, et font de la rénovation énergétique un axe prioritaire de développement. Ainsi, pour répondre à leurs interrogations et leur apporter toute l’expertise propre à TOUT FAIRE, le groupement à proposer à ses adhérents de mettre en place un guichet prime.Ce dispositif disponible pour les professionnels et les particuliers permet de trouver toutes les informations auprès des experts TOUT FAIRE sur les aides possibles pour le financement des travaux de rénovation énergétique, les matériaux à utiliser et les travaux à entreprendre.MéthodologieL’étude « La rénovation énergétique pour les nuls » réalisée pour Tout Faire, est destinée à comprendre et analyser la confiance en eux des Français sur le thème de la rénovation énergétique, et les aides dont ils auraient besoin pour se lancer dans de tels travaux.Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1051 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération, de région de résidence et de statut d’habitation.Les interviews ont été réalisées par questionnaire autoadministré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview).Les interviews ont été réalisées les 13 et 14 avril 2022.
Il y a 2 ans et 323 jours

Arkitelia, des conceptions 3D ultra-réalistes pour donner vie à tous les projets des pros du bâtiment

Dans ce contexte, les travaux d'aménagement des logements ont le vent en poupe. Ainsi, le secteur du bâtiment a recruté massivement en 2021 (+4,8%) et prévoit de créer 25.000 nouveaux postes en 2022, selon la Fédération Française du Bâtiment.Une embellie qui ne doit pas faire oublier l'essentiel : dans un contexte de pouvoir d'achat en baisse, les clients sont plus exigeants quant à la qualité des prestations réalisées. Ils s'attendent à un savoir-faire qui se manifeste bien avant que les travaux ne commencent.De ce fait, les artisans doivent notamment relever un double challenge :Permettre à leurs clients de se projeter dans leur futur aménagement, en intérieur comme en extérieur. Ils doivent s'adapter à ce qui se fait en termes de 3D et de prévisualisation ;Créer de la valeur en optimisant l'espace et en accordant les matériaux.Comme les artisans n'ont ni le temps, ni l'équipement, Arkitelia propose un nouveau service de bureau d'études digitalisé. Les artisans reçoivent des conceptions 3D ultra-réalistes en 3 étapes, directement à partir des photos de l'existant et de croquis cotés. Un must pour inspirer les clients, développer les ventes et faciliter les commandes.Une appli très simple et fluide pour obtenir des visuels bluffants en quelques clicsRéaliser un projet sur Arkitelia est un jeu d'enfant, puisqu'il suffit de :Sélectionner la pièce ou les extérieurs à réaliser, ainsi que les rendus souhaitésTout peut être fait directement via son smartphone ou depuis son bureau.Transmettre les documents utilesDirectement via l'app, il est possible de prendre des photos de la pièce et d'ajouter des plans et croquis cotés. À ce stade, il est aussi conseillé d'enregistrer tous les détails importants afin d'obtenir une conception la plus précise possible.Définir le style du clientLe client de l'artisan reçoit un quizz déco interactif pour exprimer ses envies (« bois épuré », « campagne chic »...) et définir son budget.Impressionner le client avec de superbes visuels 3DEn fonction de l’offre retenue, Arkitelia permet de sélectionner la pièce et de visualiser les vues du dessus en 3D, les photos virtuelles et les vues 360° quelques jours plus tard.Les (grands) petits plusUne solide expertiseTous les visuels sont créés par des architectes d'intérieurs et paysagistes, diplômés et expérimentés, qui connaissent les contraintes techniques du bâtiment. Un service inédit conçu sur mesure pour les artisansComprenant les enjeux liés à la réalité « du terrain », Arkitelia est un service adapté au quotidien des artisans (paysagistes, maçons, menuisiers, carreleurs, plombiers...), des distributeurs et des fabricants :Ils bénéficient d'un suivi personnaliséLes visuels hyper réalistes sont conçus en utilisant les produits des catalogues de l'artisanLes rendus sont envoyés en 72hLes tarifs sont très attractifs, puisqu'aucun déplacement n'est nécessaireLes projets peuvent être réalisés en vues 3D, vues 360°, voire plans et planches matériaux.3 offres pour répondre à tous les besoinsToutes les formules sont disponibles sans ou avec abonnement (15€ HT/mois – prix de lancement).De plus, des options peuvent être rajoutées à la demande : plans d'exécution, autre projet d'aménagement, 2 vues supplémentaires par pièce, un changement de texture, ou encore une vue à 360° supplémentaire par pièce.EssentielElle inclut 2 vues 3D de la pièce.Prix : à partir de 350€ HT ou bien 250€ HT avec l'abonnement.L'abonnement à 15€ HT par mois permet de bénéficier de réductions pouvant aller jusqu'à 30%. L'abonnement permet également d'avoir son logo en marque blanche sur tous les supports disponibles. Les architectes de Arkitelia utilisent les produits des catalogues de l'artisan, une présentation des visuels en format PDF leur est offerte.StandardElle inclut : la formule Essentiel, ainsi qu'un plan du dessus et une vue 360°.Prix : à partir de 300 € HT.PremiumElle inclut : la formule Standard, ainsi que des planches matériaux.Prix : à partir de 350 € HT.À propos de Noëlle Corlay, la fondatriceNoëlle Corlay est Architecte d'intérieurs depuis 10 ans.Elle a eu l'idée du concept Arkitelia durant le confinement. À cette époque, elle est contactée par Fabrice, un plombier qui cherchait à débloquer une situation : son client ne voyait pas du tout comment aménager sa future extension.À partir des photos et des croquis à la main réalisés par Fabrice, Noëlle et son équipe ont pu proposer deux implantations différentes. Cela a été un vrai soulagement pour Fabrice et son client !Aujourd'hui, Arkitelia ambitionne de se déployer à l'échelle nationale.
Il y a 2 ans et 323 jours

A Nantes, le stade de la Beaujoire se refait une beauté

Retenu pour accueillir des matchs de la Coupe du monde de rugby en 2023 et de football lors des JO de 2024, le stade de la Beaujoire de Nantes a entamé d’importants travaux de mise aux normes et de modernisation. A commencer par une nouvelle pelouse, inaugurée le 12 août par les Canaris contre Lille, qui intègre un système expérimental de récupération des eaux de drainage.
Il y a 2 ans et 323 jours

En Norvège, la deuxième vie vertueuse des plateformes pétrolières

Un kilo d'acier recyclé représente jusqu'à 70% d'émissions de gaz à effet de serre en moins qu'un kilo d'acier neuf.
Il y a 2 ans et 323 jours

Vente Promotionnelle : – 15% sur les enduits décoratifs à l’argile

Si vous cherchez un produit naturel et tendance pour décorer votre intérieur, l’enduit décoratif à l’argile est la solution qu’il vous faut. Profitez d’une promotion spéciale réservée aux lecteurs de Build Green*.  Un produit naturel aux nombreuses vertus Quoi de plus naturel que l’argile ? C’est un matériau géosourcé abondant aux multiples atouts. Utilisé dans […]
Il y a 2 ans et 324 jours

Revitaliser les centres-villes : un défi toujours en chantier

Les sénateurs à la tête de la mission Revitalisation des centres-villes et des centres-bourgs en ont fait un premier bilan le 7 juillet et doivent rendre un rapport complet fin septembre.D'après une consultation menée par Opinion Way pour cette mission, une majorité des 856 élus répondants juge positivement les mesures de la loi Evolution du logement, de l'aménagement et du numérique (Elan), votée en 2018.Les sénateurs constatent aussi un retour positif des maires engagés dans Action cœur de ville (ACV), lancé en 2017, doté de 5 milliards d'euros de financements et auquel ont souscrit 234 communes de taille moyenne.51% des répondants concernés par ce programme jugent que la situation de leur centre-ville s'est améliorée, contre seulement 25% pour l'ensemble des élus.C'est le cas à Tarare, une ancienne cité textile du Rhône, autrefois célèbre pour sa mousseline, ses rideaux puis son voile Tergal, à une quarantaine de kilomètres de Lyon.Le projet Cœur de ville y a été signé en septembre 2018 et vient d'être prolongé jusqu'en 2026.A première vue, Tarare ressemble à de nombreuses villes moyennes victimes de l'effondrement de leur industrie unique. Mais les bâtiments et usines, longtemps désaffectés, y laissent peu à peu place aux grues et édifices neufs.Mise en œuvreInstallation d'un établissement du brasseur lyonnais Ninkasi en 2023, ouverture du tiers-lieu La Bobine, avec espace de coworking et campus connecté : la ville connaît un nouvel élan.Le taux de chômage a reculé de 7,3 à 4,8% de 2016 à 2022, se réjouit le maire DVD Bruno Peylachon, élu en 2014. "On tire un bilan extrêmement positif du projet +Cœur de ville+ (...) la plupart des objectifs ayant été atteints", poursuit l'élu.En recul, la population est aujourd'hui stabilisée autour de 10.500 habitants, note M. Peylachon."Forcément, dans les années à venir la population va croître", anticipe-t-il, "sur le logement, d'ici 2026 nous aurons entre 400 et 500 nouveaux logements neufs et 322 rénovés".Selon une étude de l'Agence nationale de la cohésion des territoires, publiée en juin, les ventes immobilières ont augmenté de 17% dans 200 villes moyennes en France, bénéficiant du programme Action cœur de ville.Les sénateurs pointent toutefois des limites aux dispositifs de revitalisation, dont "des difficultés de mise en oeuvre" et "des objectifs locaux pas toujours bien précis".Ainsi à Villers-sur-Mer (Calvados), où le programme Petites villes de demain a été signé en mai, la mairie peine à détailler les "problèmes structurels" qu'elle entend régler.Pour le maire Thierry Granturco, le principal défi de cette cité balnéaire - 2.700 habitants l'hiver, dix fois plus l'été - est l'évolution du quartier Villers 2000."Des gens à petits moyens ont acheté leurs 30m2 à la mer il y a quarante ans pour venir de Paris passer le weekend sur la côte. Aujourd'hui ils sont retraités et vivent ici à l'année", dit-il.Eloigné du centre-ville, Villers 2000 doit bénéficier d'un programme de désenclavement, avec construction d'un centre sportif traversant et d'une voie verte végétalisée, pour permettre à ses habitants du quartier d'accéder plus facilement au centre-ville et à ses commerces.Mais sans garantie que les résidents de Villers 2000, souvent âgés, s'y rendront effectivement. Le flou règne aussi sur l'occupation réelle du quartier en hiver."Déficit de notoriété"Les sénateurs relèvent en outre une autre inquiétude: les financements sont jugés "difficiles" voire "illisibles". Des élus s'interrogent aussi sur leur pérennisation, surtout pour les petites villes.Rollon Mouchel-Blaisot, le préfet directeur du programme national ACV, a tenu à rassurer les maires réunis au Congrès des villes de France le 11 juillet.Il veut aller "plus fort, plus vite et plus loin" pour la phase 2 d'ACV, étendue jusqu'en 2026. Il préconise ainsi de remettre en question la différence entre zones tendues (fort déséquilibre entre l'offre et la demande de logements) ou détendues: "il n'y a pas assez de logements adaptés".Il veut également élargir la revitalisation "aux quartiers de gare et aux entrées de ville" et poursuivre les programmes de défiscalisation des travaux de rénovation dans l'immobilier locatif."La politique publique de revitalisation souffre d'un déficit de notoriété manifeste qui nuit à son efficacité", constate la mission sénatoriale. Les élus ont de nombreux outils à leur disposition, insiste-t-elle, mais ils ne se sentent pas assez accompagnés par l'Etat.
Il y a 2 ans et 324 jours

Les prix de l'immobilier sur le littoral dopés par la crise sanitaire, selon la Fnaim

Le coût dans les stations balnéaires a augmenté sur un an de 13% contre 7,7% pour la France entière, même si l'écart est moindre avec la province (+8,8%).En moyenne pour l'ensemble des logements, le prix sur le littoral s'élève à 4.467 euros le mètre carré au 1er juin 2022, contre 3.020 euros/m2 sur l'ensemble du territoire."On constate clairement un +effet post Covid+ sur les stations balnéaires", explique le président de la Fnaim, Jean-Marc Torroillon. "Les Français sont à la recherche d'évasion, d'espace et de nature à l'issue de cette crise sanitaire. Plus que jamais, s'extraire des grandes zones urbaines est une priorité. Les fortes chaleurs qui deviennent plus violentes et plus récurrentes sont également certainement un argument de poids", ajoute t-il.Entre avril 2018 et mars 2020, dans les 24 mois précédant la crise sanitaire, les prix dans les stations balnéaires avaient augmenté de 6,9% (contre 7,5% sur tout l'Hexagone). Dans les 24 mois suivants la crise (de mai 2020 à avril 2022), les prix dans les stations balnéaires ont crû de 24,2% (contre 14,6% sur l'ensemble du pays).Au niveau régional, les deux régions où les prix dans les stations balnéaires ont le plus augmenté sont la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et la Nouvelle-Aquitaine : les communes littorales de région Paca ont un prix moyen de 5.429 euros du m2 au 1er juin 2022, celles de Nouvelle-Aquitaine, 5.307 euros.A l'inverse, les régions Normandie (2.939 euros) et Hauts-de-France (3.183) sont celles où les prix sur le littoral sont les moins élevés.
Il y a 2 ans et 324 jours

JO-2024 : une passerelle pour relier la piscine olympique au Stade de France

"C'est le symbole des Jeux olympiques et paralympiques qui approchent", se réjouit Mathieu Hanotin, maire PS de Saint-Denis, sur le parvis du Stade de France, à une cinquantaine de mètres du tronçon de la passerelle, en passe d'être déplacé."Au delà du symbole, cette passerelle va être un lien qui va permettre de recoudre un peu plus deux morceaux de Saint-Denis qui ne pouvaient pas cohabiter", ajoute le président de Plaine commune, évoquant le noeud routier séparant le quartier La Plaine et le futur quartier de la ZAC Plaine Saulnier dont le développement est prévu après les JO-2024. Assemblée à côté du futur centre aquatique, la passerelle a été déplacée et pivotée dans la matinée pour être placée dans l'axe de son emplacement final, perpendiculaire à l'A1, qu'elle surplombera.A midi, l'imposante structure reposait sur des remorques modulaires autopropulsées, engins adaptés au transport de structures massives, ont constaté des journalistes de l'AFP.Les ouvriers s'activaient pour s'assurer de la répartition de la charge de l'ouvrage avant le début de la translation."La structure fait 70 mètres de long, 20 mètres de large et 900 tonnes. Il faut que tout soit parfait", commente Bruno Menez, chargé de la communication chantiers chez Bouygues Bâtiment Ile-de-France, responsable de l'ouvrage. Le déplacement du tronçon sur 70 mètres s'effectuera sur plusieurs heures mardi après-midi."Ce n'est pas une course de vitesse mais de précision", note un des ingénieurs sur place.Après le déplacement, "il faut assurer les finitions de l'ouvrage", explique Jean-Michel Genestier, maire DVD du Raincy et conseiller métropolitain délégué à la logistique urbaine.La passerelle sera ouverte au public à l'été 2023, un an avant les JO-2024."On estime que 15% des spectateurs qui viennent sur le Stade de France ou le centre aquatique pendant les JO viendront par le Grand Paris Express (en construction, NDLR) et passeront par cette passerelle", détaille Mathieu Hanotin, évaluant le flux à 20.000 personnes par jour.Après les JO, la passerelle sera végétalisée et réduite à 12 mètres de large.L'ouvrage a engendré la fermeture exceptionnelle pendant 54 heures d'un tronçon de l'autoroute A1, qui rouvrira jeudi à 4H00 du matin.
Il y a 2 ans et 324 jours

Mecalac présente une toute nouvelle gamme de chargeuses compactes

Une gamme de 6 machines pour répondre à tous les besoinsLa nouvelle gamme Mecalac MCL comprend 6 modèles, de 1,74 t à 2,85 t :4 modèles à flèche longue (standard), adaptés aux besoins du segment agricole. 2 modèles à flèche courte, particulièrement adaptés aux besoins du segment de la construction.MCL2 : Son petit gabarit et sa transmission à moteurs roues lui permet d’évoluer avec agilité sur tous les terrains. Plus petite machine de la gamme MCL mais dotée de performances maximales, elle possède toutes les caractéristiques des grandes. Son poste de conduite moderne et ergonomique, protégé par un canopy, est également disponible en version cabine.MCL4 : Elle offre un excellent compromis entre compacité et performances de levage. Avec son moteur de 18,4 kW, c’est aussi la machine idéale pour les parcs de location qui souhaitent une machine performante et durable. Son poids de transport réduit permet de transporter la machine sur une remorque routière.MCL6 : Le meilleur de la MCL4 mais avec encore plus de puissance, son moteur de 36 kW lui permet notamment d’atteindre des vitesses élevées sur route. Son haut débit hydraulique et sa rapidité d’exécution permettent d’augmenter considérablement la productivité sur les chantiers.MCL8 : Puissance, grande hauteur de déversement et capacité de levage sont les maitres mots qui ont guidées la conception de cette machine. Elle est à l’aise dans toutes les circonstances que ce soit pour charger, manutentionner ou entrainer des accessoires hydrauliques.MCL4+ / MCL6+ : Des versions bras courts pour répondre aux besoins particuliers des différentes applications notamment pour le secteur de la construction en offrant une charge de basculement accrue.Toutes les machines seront disponibles en 3 versions : canopy, canopy avec toit escamotable ou cabine.Équipements et options exclusifsLes nouvelles chargeuses MCL pourront être équipées des dernières technologies Mecalac en matière de confort et d’assistance à la conduite parmi lesquelles :M-Drive : transforme votre machine en un porte-outil, vous pouvez contrôler la vitesse de la machine à la pédale à un régime moteur donné (accélérateur manuel)Speed-control : redéfinissez à la demande la plage de vitesse utilisable via la pédale d’avancement. Un choix d’une vitesse réduite permettra par exemple de réaliser des travaux de grande précisionMyMecalac Connected Services : maximisez l’utilisation de vos machines grâce à des données optimisées et accessibles, des temps d’arrêt réduits et une meilleure gestion de la flotteDigicode de démarrage : un clavier permettant de mieux contrôler l’utilisation de la machineCette nouvelle ligne de produits renforce encore la position de Mecalac sur le marché des chargeuses et permet d’accélérer le développement des segments de clientèles tels que les secteurs agricoles, du paysagisme ou de la location.
Il y a 2 ans et 325 jours

Cohabitation ou éradication : à Paris, le sort des rats divise les élus

Le dernier épisode a débuté par un vœu proposé par Paul Hatte, élu d'opposition (LR) du XVIIe arrondissement, lors du Conseil de Paris du 7 juillet. Rejeté par la majorité, ce vœu demandait un audit des mesures mises en place par les bailleurs sociaux pour lutter contre la prolifération des rats dans les parties communes des logements."La dératisation est totalement oubliée par la mairie de Paris", souligne M. Hatte auprès de l'AFP. Depuis 2018, les élus du XVIIe, dans le nord-ouest de la capitale, sont particulièrement mobilisés sur la lutte contre les rongeurs, avec la création de brigades citoyennes et le lancement d'un site de signalement."L'exécutif ne met pas les moyens politiques et techniques nécessaires", ajoute M. Hatte, reprochant à la mairie centrale de ne pas laisser assez de liberté aux maires d'arrondissement dans la politique de dératisation.La Ville de Paris défend quant à elle "un plan d'action à grande échelle lancé en 2017 pour limiter le nombre de rats bruns". Le plan se traduit en deux axes : une lutte directe pour en réduire la population (pièges, raticides...) et des actions pour limiter leur accès aux déchets (nouveaux conteneurs et poubelles, campagne de sensibilisation auprès du public).La politique de dératisation de la Ville a également fait l'objet de critiques de la part de Douchka Markovic, élue du Parti animaliste dans le XVIIIe arrondissement. Lors du Conseil du 7 juillet, elle a regretté l'emploi de méthodes létales contre les rats.Sa prise de parole, lorsqu'elle a tenu à désigner les rats par leur nom - réel - de "surmulot" et à "légitimer leur place dans les villes", a entraîné critiques et railleries sur les réseaux sociaux.L'Académie nationale de médecine a dénoncé "l'ingénuité de ces propos", rappelant que le rat reste une menace pour l'homme en raison "de nombreuses zoonoses transmissibles par ses exoparasites, ses déjections, ses morsures ou ses griffures".Ces risques sanitaires sont nuancés par la Ville de Paris qui rappelle que "le rat, très peureux, n'est pas un prédateur par nature". Elle estime que les transmissions sont réduites car "il faut en effet qu'il y ait un contact direct ou indirect entre l'homme et l'animal, et les contacts directs sont rarissimes".Garder le rat sous terre"L'humain a toujours essayé d'éradiquer les rats mais c'est impossible. Il faut réfléchir à d'autres méthodes", expose à l'AFP Douchka Markovic qui pointe également le coût de la dératisation. En 2017, la Ville de Paris avait estimé le coût annuel à 1,5 million d'euros ; un coût englobant l'ensemble des mesures (campagnes de dératisation, actions de propreté, changement de mobilier urbain, etc.)"C'est un sujet très sensible politiquement", juge Grégory Moreau, adjoint (EELV) dans le XIe arrondissement, qui regrette "la frilosité de l'Hôtel de Ville" où la question est tiraillée entre plusieurs délégations (propreté de l'espace public, santé, condition animale...)."On essaie de développer des méthodes non létales en parallèle des techniques traditionnelles", assure Christophe Najdovski, adjoint en charge de la végétalisation de l'espace public, des espaces verts, de la biodiversité et de la condition animale.M. Najdovski insiste sur la nécessité d'agir en amont, "pour faire en sorte que les rats n'aient pas accès à la nourriture", et sur le "civisme" nécessaire pour réduire les déchets dans l'espace public.Des expérimentations sont également prévues dans les XIe et XIIe arrondissements. Parmi les pistes d'essai, "les nettoyages seront effectués sur quelques sites en fin de journée plutôt que le matin", précise M. Moreau, à l'initiative de ce projet mené en partenariat avec des chercheurs du Muséum national d'Histoire naturelle.Le but est de limiter les sorties nocturnes des rongeurs alors que leur présence permet de réduire la quantité de déchets dans les égouts.Parmi les raisons de la remontée à la surface des rats se trouvent les (nombreux) travaux engagés dans la capitale. A deux ans des JO de Paris, le feuilleton politique devrait donc se poursuivre.
Il y a 2 ans et 325 jours

Vers une croissance "légèrement positive" au troisième trimestre, selon la Banque de France

"Avec les résultats que nous avons aujourd'hui et les anticipations fondées sur l'acquis de juillet, on peut tabler sur un taux de croissance légèrement positif" au troisième trimestre, a indiqué la Banque de France lors d'un point presse.La note de conjoncture, fruit d'une enquête menée auprès de 8.500 entreprises et établissements entre fin juillet et début août, montre, selon l'institution, que "l'activité continue de résister" dans un environnement difficile.Les données dont dispose l'institution sont pour l'heure très parcellaires mais elles suggèrent une stabilité du produit intérieur brut (PIB) en juillet par rapport au mois précédent. Celle-ci s'explique par une légère baisse de l'activité dans l'industrie et la construction, contrebalancée par une progression dans les services marchands, détaille la Banque de France dans son compte-rendu mensuel."Les premiers signaux suggèrent que cette stabilisation se poursuivrait en août", poursuit-elle, tout en soulignant que cette prévision est incertaine puisque que le mois ne fait que débuter, et en mettant en avant les contrastes selon les secteurs.L'ensemble des signaux économiques font dire à la Banque de France que la croissance pourrait être "légèrement positive" en variation trimestrielle au troisième trimestre.La croissance française avait retrouvé des couleurs sur l'ensemble du deuxième trimestre, progressant de 0,5% selon une première estimation publiée par l'Insee fin juillet, et qui reste à confirmer fin août. Celle-ci s'explique par une contribution nettement positive du commerce extérieur à la croissance.Le gouvernement anticipe sur l'année 2022 une croissance de 2,5%, un peu plus que l'Insee et le FMI qui tablent sur 2,3%.
Il y a 2 ans et 325 jours

Présentation de TH, entreprise qui conçoit et construit des habitats modulaires bas carbone en structure bois

Le saviez-vous ?Le bâtiment est le 2ème secteur le plus polluant, juste derrière les transports. Les émissions du bâtiment représentent, selon l’ONU, près de 40 % du total des émissions humaines mondiales.Avec la nouvelle réglementation environnementale pour les bâtiments neufs qui impose de privilégier les matériaux bas carbone, la construction en bois a le vent en poupe. Le bois constitue une alternative très intéressante au béton de ciment de par plusieurs facteurs : il est stockeur de carbone, produit peu de déchets, a des performances d’isolation thermiques et acoustiques remarquables et une régulation naturelle de l’humidité.*Spécialisée dans la construction à impact environnemental et sociétal positif, TH conçoit et construit des habitats modulaires bas carbone en bois, sans eau et sans déchet depuis 2014 dans sa première fabrique de 5.000 m2 implantée à Dole en Bourgogne-Franche-Comté. En choisissant le bois, issu de forêts gérées durablement, comme matière première, TH apporte une solution au gâchis environnemental de la construction en béton beaucoup plus émettrice de gaz à effet de serre. Les habitats TH émettent en effet 35% de GES en moins par rapport à une construction en maçonnerie traditionnelle.*https://www.lafabriqueecologique.fr/le-beton-mis-au-defi-des-enjeux-environnementaux/Les constructions en bois présentent plusieurs avantages :Légèreté : La structure cellulaire du bois le rend léger tout en étant très solide. Son faible poids permet également d'optimiser l'énergie consommée pour sa transformation et son transport. De plus, sa légèreté permet de construire sur tous types de terrains contrairement au béton ;Isolation : Les complexes des murs en bois assurent une bonne isolation thermique. Les modules TH nécessitent une très faible consommation énergétique grâce à une isolation quasiment passive jusqu’à 800m d’altitude ;Rapidité : Le temps de production des modules TH est divisé par 4 et la durée de chantier divisée par 10. Les modules TH étant préfabriqués dans leur fabrique, le temps de montage sur le lieu du chantier est réduit ;Recyclabilité : Contrairement aux matériaux de construction traditionnels, le bois est un matériau dont la revalorisation et le recyclage sont possibles ;Techniques sèches : les constructions en bois ne nécessitent pas d’utilisation d’eau.Répondant à une forte demande, TH continue son expansion en prouvant que la reconfiguration du secteur de la construction est possible. L’entreprise compte aujourd’hui 60 employés et réalise un chiffre d’affaires de 7 Mn€ (2022). En 2023 une nouvelle fabrique de 10.000 m2 ouvrira ses portes dans les Hauts-de-France. Pour 2026, TH ambitionne de livrer 1.000 logements par an avec un déploiement national sur plusieurs sites.
Il y a 2 ans et 325 jours

Le Jones Beach Energy & Nature Center s’équipe d’une terrasse en bois Kebony

Le hameau de Wantagh, dans l’état de New York, abrite le Jones Beach Energy & Nature Center. Il s’agit d’une organisation éducative unique centrée sur l’interconnexion entre la vie humaine, l’utilisation des énergies et la préservation de l’environnement. Le Jones Beach Energy & Nature Center propose une variété de programmes et d’événements qui apprennent aux visiteurs comment devenir des gardiens dévoués de l’environnement.L’une des raisons ayant motivé le choix du bois Kebony Clear pour toute la terrasse du site est son alignement sur le modèle de construction Net Zéro du centre. La technologie Kebony, née en Norvège, consiste en effet à modifier les bois résineux issus de sources durables afin de leur conférer les propriétés de durabilité, de dureté et de stabilité dimensionnelle des bois durs tropicaux. Ce procédé unique est respectueux de l’environnement et permet aux structures de ne nécessiter aucun entretien, tout en leur offrant une grande résistance aux aléas climatiques et aux passages répétés : autant de caractéristiques faisant de Kebony le bois idéal pour ce projet.Le centre est un lieu inspirant qui constitue, d’après les visiteurs, l’une des meilleures activités familiales de la région. De nombreuses expositions interactives y sont organisées, destinées aux enfants comme aux adultes. Situé à l’extrémité ouest de la plage de Jones Beach, le centre surplombe l’océan et les dunes. Ainsi, les lames de bois Kebony Clear lui permettent de s’intégrer harmonieusement dans cet environnement naturel fragile, sans le dénaturer.Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier.La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical. Le siège mondial de la société est basé à Oslo, en Norvège, et ses sites de production se situent à Skien, sud d'Oslo et à Anvers en Belgique.
Il y a 2 ans et 325 jours

D’une détresse respiratoire naquit Conscient, une peinture naturelle écologique

Dans notre recherche de partenaires pour nos abonnés, nous avons eu un véritable coup de cœur pour cette jeune entreprise de peinture naturelle, née d’une prise de conscience sanitaire et écologique : Conscient ! Découvrez notre interview complète réalisée en visio avec Anas et Sirine de Conscient : Une prise de conscience fortuite ! Après […]
Il y a 2 ans et 326 jours

A Paris, des feuilles mortes se ramassent déjà à la pelle

Depuis mi-juillet la capitale vit, comme d'autres territoires de France, un automne anticipé causé par les vagues de chaleur à répétition et la sécheresse.Avec un mois d'avance sur le calendrier, les platanes et les marronniers, sont les premiers feuillus a avoir perdu leurs feuilles.Au pied d'un marronnier du parc aux feuilles raréfiées et flétries, Tim Peiger, 28 ans, bûcheron de la Direction des espaces verts et de l'environnement (Deve) de Paris, grimace : "il a pris cher"."Le feuillage devrait être bien vert. Les branches retombent avec le poids des feuilles. Et quand les feuilles tombent, il n'y a plus de photosynthèse, le bois n'est plus nourri, il sèche et fait du bois mort", diagnostique M. Peiger.Pourtant, ce phénomène spectaculaire lié à la sécheresse reste sans gravité à ce stade, estiment les experts de la ville."Ces arbres sont loin d'être stupides, même s'ils affolent tout le monde, ils se mettent simplement en mode survie", se débarrassant de leurs verdure pour économiser leurs réserves, assure Béatrice Rizzo, chargée de la cellule expertise Arbres et bois à la Deve.Si les conditions météorologiques sont favorables, ces arbres séchés dès l'été "peuvent réenclencher une pousse" avant l'automne, assure Mme Rizzo, qui n'y voit rien d'anormal et célèbre leur "résilience".Mais d'autres pathologies liées aux chaleurs extrêmes, inquiète la patronne des arbres parisiens.Comme les "brûlures solaires", ces coups de soleil sur l'écorce, qui creusent une plaie au bois et va faciliter son parasitage, menaçant l'arbre à long terme."C'est nouveau et c'est lié au climat", souligne l'experte.Platanes de Napoléon IIILorsque le "grand jardinier" du Paris de Napoléon III, Adolphe Alphand s'attaque dans les années 1860 au chantier des parcs et jardins de Paris, créant quasi ex nihilo les Bois de Boulogne, Vincennes, les Buttes-Chaumont et les principaux "alignements" verts des avenues, les essences indigènes s'imposent, notamment le platane réputé à la fois robuste et ombrageant."C'est une essence très résistante, qui résiste bien à la sécheresse et puis c'est emblématique de la ville de Paris", affirme le jeune bûcheron des Buttes-Chaumont à propos de l'arbre fétiche de Napoléon, qui compose 38% des plantations de rue et borde par exemple les Champs-Elysées.Entre les périodes 1873-1902 et 2000-2019, la température moyenne de la capitale mesurée à la station du Parc Montsouris a augmenté de 2,3° contre 1° au niveau mondial, selon l'Agence parisienne du climat.Le climat de Paris change, mais les arbres d'Alphand, patrimoine iconique de la ville, resteront tant qu'ils tiennent.La municipalité s'est néanmoins dotée d'outils pour introduire de nouvelles essences plus adaptées à ce réchauffement parmi les 170.000 plantations planifiées dans les prochaines années.Les essences dites méditerranéennes, comme le micocoulier de Provence et même le pin commencent à être privilégiées à Paris.BrûluresDans ces nouvelles conditions climatiques, les jardiniers de Paris ont aussi adapté leur routine d'entretien.Malgré les restrictions d'eau "il n'y a plus un endroit qu'on n'arrose pas", explique Irène Henriques, la responsable des jardiniers municipaux aux Buttes-Chaumont. Son équipe finalise ainsi sur une application la programmation d'un arrosage automatique de nuit, recommandé par la Mairie.La pratique de la "taille" a aussi été modifiée. "On taille moins mais plus régulièrement pour garder plus de branches", renseigne la jardinière.Le "paillage", technique qui consiste à déposer aux pieds des arbres un tapis composé de branches broyées pour limiter l'évaporation est privilégiée.La surveillance, au pied comme en cime, pour repérer brûlures et branches prêtes à céder est renforcée.Et les habitués du parc s'y mettent aussi. En témoigne les mots plus ou moins doux reçus par les jardiniers de la part des vigies citoyennes du quartier."Aujourd'hui, on remarque pas encore de choses dramatique", reconnaît Daniel Ollivier, 78 ans, à la tête d'un groupe de randonneurs de marche nordique, peu affolé par l'automne anticipé."Mais ça ne veut pas dire que ça ne peut pas venir très prochainement", conclue-t-il en pointant son bâton de marche vers le ciel.
Il y a 2 ans et 326 jours

Val-de-Marne : des panneaux solaires sur le toit du futur immeuble administratif Eiffel à Créteil

À Créteil, le futur bâtiment administratif Eiffel a été équipé de panneaux photovoltaïques dans le cadre de la politique énergétique menée par le département du Val-de-Marne.
Il y a 2 ans et 326 jours

Seine-Saint-Denis : des travaux préparatoires à Aubervilliers en vue de la construction de la nouvelle gare de la ligne 15

En raison du chantier de la nouvelle gare de la ligne 15 à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), des travaux de voirie ont été lancés aux abords de l’avenue de la République.
Il y a 2 ans et 326 jours

Loire-Atlantique : Habitat 44 a créé 33 nouveaux logements à La Chapelle-sur-Erdre

À La Chapelle-sur-Erdre, la résidence Gaïa et les Villas Gaïa viennent d’être livrées. Il s’agit de projets immobiliers portés par Habitat 44.
Il y a 2 ans et 326 jours

Peinture réflective Solarcoat pour bâtiments industriels, commerciaux et publics

Avec l’accélération de la demande des entreprises pour rafraîchir leurs bâtiments énergivores tout en réduisant leur facture énergétique et en luttant contre le réchauffement climatique, SOLAR-PAINT s’inscrit dans une dynamique de croissance organique. Avec plus de 100.000 m2 de toits d’ores et déjà repeints, l’entreprise a l’objectif de recouvrir en peinture réflective près de 150.000 m2 de surfaces de toiture en 2022. Grâce à ce procédé de cool-roofing, technique qui consiste à revêtir les toits de peinture blanche et réflective, les bâtiments repeints peuvent ainsi voir leur température intérieure baisser en moyenne de 5°C.Une solution Made in France économique et très positive pour l’environnementLa solution SOLARCOAT est une peinture à l’eau qui intègre dans sa composition, des ingrédients naturels et des ajouts de matière recyclée comme la brisure de verre. SOLAR-PAINT s’est appuyée sur l’expertise de son fournisseur, premier fabricant français de peinture basé dans l’Ariège, pour mettre au point la formulation qui a nécessité de nombreux mois de R&D et un investissement de près de 400.000 euros.Simple, peu coûteuse (16 à 22 euros le m2 incluant la peinture et son application), durable et dotée de propriétés supérieures aux critères de référence, la solution SOLARCOAT est extrêmement performante. Son taux de réflexion solaire supérieur à 92% permet de baisser la température de 5°C en moyenne à l’intérieur des bâtiments et de limiter le recours aux climatisations en période estivale. A la clé, des économies d’énergie considérables, une amélioration du confort et du bien-être des salariés et des clients et une contribution à la lutte contre le réchauffement climatique.A titre d’exemple, quand la facture moyenne d’une grande surface en termes de consommation d’énergie est de l’ordre de 500.000 euros par an, les économies d’énergie peuvent atteindre jusqu’à 30% sur le poste climatisation des bâtiments en été. Couverte par une garantie décennale, SOLARCOAT a des capacités exceptionnelles de résistance aux eaux stagnantes, à la grêle et au feu (certification Broof (T3).SOLARCOAT a un pouvoir réfléchissant supérieur à la norme de référence SRI (Solar Reflectance Indicator) : 116,5/100. Un résultat qui place SOLARCOAT parmi les plus efficaces dans ce domaine.Pour Michel Rouault, Président de SOLAR-PAINT et de ICGroup : « La peinture athermique que nous avons mis au point constitue une réelle réponse aux économies d’énergie et donc aux émissions de gaz à effet de serre. De par sa conception écologique, sa facilité d’emploi, son faible coût et ses performances supérieures aux critères de référence, SOLARCOAT est une solution tout à fait pertinente pour réduire les coûts énergétiques et les coûts environnementaux des bâtiments avec une efficacité immédiate et pérenne dans le temps. Il y a en effet un réel besoin auquel nous entendons répondre au mieux. »Une capacité industrielle pour adresser les marchés français et européens du cool roofingIl y a aujourd’hui en France 500 millions de mètres carrés de toitures de bâtiments commerciaux, industriels publics et plateformes logistiques qui pourraient être recouverts de peintures réflectives. Peu connu en France et en Europe jusqu’alors, le cool-roofing (toit frais) qui nous vient des Etats-Unis, a un potentiel de marché considérable.Datas centers, sites industriels de secteurs d’activités très variés (industrie pharmaceutique, environnement, agro-alimentaire), plateformes logistiques, surfaces de la grande distribution, foncières immobilières, collectivités locales...les acteurs qui font appel au cool roofing pour réduire leur facture énergétique sont de plus en plus nombreux. La demande en France est boostée par la loi Elan de 2018 qui impose aux entreprises du secteur tertiaire, 40% de consommation énergétique en moins en 2030 par rapport à 2010 et 50% de réduction d’ici à 2040.Pour Michel Rouault, Président et fondateur de SOLAR-PAINT : « De par notre capacité industrielle et notre équipe intégrée d’applicateurs formés au cool roofing, nous sommes aujourd’hui très bien positionnés pour répondre à l’accélération de la demande en France et en Europe. Nous avons l’ambition d’être un acteur européen incontournable sur le marché porteur du cool roofing. On se projette d’ici à deux ans dans trois pays d’Europe du Sud avec l’Espagne en ligne de mire dès à présent du fait de notre proximité géographique avec la péninsule ibérique. »SOLAR-PAINT a signé des contrats commerciaux avec des acteurs de l’industrie et de la grande distribution en Occitanie, sa région d’origine, avant d’essaimer sur l’ensemble du territoire national avec de grandes entreprises comme E. Leclerc, Carrefour Market ou encore Aldi. L’entreprise est aujourd’hui dans une phase d’accélération de son déploiement commercial en France et en Europe. Son adossement à un groupe spécialisé dans les « services à l’industrie » et ce, depuis près de 45 années, lui procure la capacité industrielle pour répondre à un marché en forte croissance.
Il y a 2 ans et 326 jours

Val-de-Marne : livraison de la future scène digitale de Thiais en 2025

À Thiais (Val-de-Marne), l’équipement métropolitain « la scène digitale » verra le jour d’ici à 2025 dans la zone Senia.
Il y a 2 ans et 326 jours

Terre, eau, feu, air.

De la terre, mélangée à de l’eau, cuite par le feu et séchée à l’air. Le ...More about Cet article Terre, eau, feu, air. est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 326 jours

Würth France au salon Batimat

L’ensemble des experts guidera les professionnels à travers le stand pour leur faire découvrir les dernières innovations produits, ainsi que les systèmes & solutions consacrés aux applications et métiers de la construction. Venez découvrir de nombreuses démonstrations en fonction des univers : Visserie bois et autoforeuses, rivets autoperçantsCarottage et clouage,Forets métaux et multimatériaux,Test d’arrachement chevilles,Solutions de gestions de stocks connectées.Profitez également de votre présence pour tester l’expérience immersive de la réalité virtuelle tout en découvrant les initiatives RSE de Würth France !Chaque jour, les professionnels pourront également participer à un jeu concours pour tenter de remporter des lots exceptionnels et notamment une servante aux couleurs de la France. Enfin, du 3 au 31 octobre 2022, une brochure promotionnelle sera proposée aux clients et un coupon de réduction « BATIMAT20 » sera saisissable sur l’e-shop du 1er septembre au 16 octobre pour bénéficier de 20€ de réduction à partir de 100€ d’achat.Toute l’équipe se réjouit de pouvoir accueillir tous les professionnels de la construction afin de passer un moment convivial et de vivre une expérience inédite au sein de l’univers Construction de Würth France. Retrouvez Würth au pavillon 4 - stand N° G120 !Commandez votre badge gratuitement avec le code : BEX129764 sur batimat.com**Enregistrez-vous sur le site internet batimat.com et cliquez sur « Mon badge ».
Il y a 2 ans et 326 jours

AA a visité : l’exposition « Les Aliénés » au Mobilier national

L'exposition Les Aliénés s'est tenue au Mobilier national du 10 au 21 juin dernier. Parmi la ...More about Cet article AA a visité : l’exposition « Les Aliénés » au Mobilier national est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 326 jours

Le Groupe em2c annonce la livraison du programme Carré Lison, au cœur de Charbonnière-les-Bains (69)

La résidence Carré Lison se compose, sur près de 1.000 m2 de SdP, de 11 logements neufs allant du studio aux 4 pièces et d’une pharmacie en pied d’immeuble. Seul un T4 reste encore disponible.Le Groupe em2c, accompagné de l’architecte Olivier Gaudy, de A’Studio, propose ici une résidence intimiste, aux surfaces et volumes généreux, baignés de lumière naturelle grâce à ses larges ouvertures. Le promoteur immobilier fait également la promesse d’un cadre d’exception et d’une ambiance apaisée d’une ville-nature puisque 25% du territoire est en bois classé.La Résidence Carré Lison en quelques points clés :Près de 1.000 m² de surface de plancher en R+211 logements neufs allant du studio au T4Un local commercial en rez-de-chausséeLivraison : mai 2022
Il y a 2 ans et 327 jours

Locations saisonnières à Paris : une agence immobilière condamnée, une première selon la mairie

Dans un jugement en date du 29 juin consulté par l'AFP, le tribunal judiciaire de Paris a condamné la propriétaire d'un appartement du XXe arrondissement de la capitale et l'agence gérant son bien à une amende de 8.000 euros chacune. Une société mandatée par l'agence a également été condamnée à 2.500 euros d'amende.Il leur est reproché d'avoir mis cet appartement sur des sites de location touristique entre octobre 2018 et août 2020 alors qu'il n'était pas prévu à cet effet.En 2020, à la sortie du premier confinement, des voisins de l'appartement avaient protesté contre les nuisances engendrées par des locataires bruyants, en accrochant des banderoles "Stop Airbnb".Selon l'adjoint (PCF) à la maire de Paris chargé du Logement, Ian Brossat, c'est la première fois que la mairie obtient la condamnation d'une agence et d'une conciergerie dans une affaire de location touristique illégale."Il est heureux que non seulement les propriétaires soient condamnés, mais aussi cette économie parallèle qui s'est développée en marge de la loi et qui permet cette cannibalisation de notre surface de logements", a réagi l'élu communiste auprès de l'AFP."C'est un moyen de leur dire qu'ils finiront par être rattrapés par la patrouille", a-t-il ajouté.La ville de Paris ferraille de longue date contre les meublés touristiques, qu'elle accuse d'accentuer la pénurie de logements dans la capitale."Je considère que c'est un non-événement", a déclaré à l'AFP l'avocat de l'agence immobilière, Xavier Demeuzoy. "La Ville de Paris a déjà fait condamner à de très nombreuses reprises des conciergeries"."On a considéré qu'il n'y avait pas matière à appel. Parce qu'on a une des amendes les plus basses possibles", a ajouté Me Demeuzoy.
Il y a 2 ans et 327 jours

L'appétit des investisseurs pour les énergies renouvelables "plus fort que jamais" malgré les difficultés

Ces investissements ont totalisé 226 milliards de dollars sur les six premiers mois de l'année, en hausse de 11% sur un an, selon ce bilan.Les investissements dans les projets solaires ont ainsi atteint 120 milliards (+33%) et ceux dans l'éolien 84 milliards (+16%).Ces deux secteurs ont pourtant souffert récemment d'une hausse des coûts de matériaux cruciaux comme l'acier, de perturbations des chaînes d'approvisionnement et d'une augmentation des coûts de financement."Et pourtant, les chiffres publiés aujourd'hui montrent que l'appétit des investisseurs est plus fort que jamais, en partie en raison des prix très élevés de l'énergie sur de nombreux marchés à travers le monde", souligne BNEF."Les dirigeants politiques reconnaissent de plus en plus que les énergies renouvelables représentent la clef pour atteindre les objectifs de sécurité énergétique et réduire la dépendance aux matières premières volatiles", estime Albert Cheung, responsable des analyses chez BNEF, faisant allusion à la flambée des cours du pétrole et du gaz."La demande en faveur des sources d'énergie propre n'a jamais été aussi élevée et nous nous attendons à ce que la crise énergétique mondiale continue d'accélérer la transition énergétique", a-t-il dit.
Il y a 2 ans et 327 jours

AGC Glass Europe annonce une nouvelle gamme de verres bas carbone

Cette approche de développement durable, le Groupe la mène un pas plus loin en annonçant une nouvelle gamme de verres qui se distingue par une empreinte carbone significativement moindre, et qui sera lancée fin 2022. Les détails de la nouvelle offre seront communiqués lors d’une conférence de presse au salon glasstec 2022 qui aura lieu à Düsseldorf en septembre.La feuille de route vers la neutralité carbone d’AGC prévoit une réorientation vers de nouvelles technologies fondamentales, le recours à des matières premières durables, des énergies alternatives et un recyclage accru du verre afin de réduire, voire d’éliminer, les émissions à la fois indirectes et celles liées directement à la fabrication. Suite à un cycle de tests approfondis et des essais en production réussis, AGC pourra ainsi proposer une nouvelle gamme de verres bas carbone, les premières commandes devant être satisfaites fin 2022.La feuille de route d’AGC vers la neutralité carboneAGC a déjà fait connaître son engagement pour la neutralité carbone à l’horizon 2050, accompagné d’un objectif intérimaire de réduction de ses émissions directes et indirectes de CO2 de 30% d’ici 2030*. La feuille de route menant à la réalisation de ces buts, comprenant la réduction des émissions indirectes de CO2 , prévoit toute une série d’actions au cours des prochaines années sur la base d’une approche intégrée – allant de la recherche-développement au sourçage et à la production, en passant par toute la chaîne d’approvisionnement et du transport, pour fermer le cercle de la démarche Cradle to Cradle.« Parvenir à la neutralité carbone demande une transformation holistique de notre production de verre », indique Davide Cappellino, Président de la division Architectural Glass Europe and Americas d’AGC. « C’est une démarche qui va du sourçage et de l’utilisation de matières premières durables et de l’augmentation de la teneur en groisil aux méthodes de fusion du verre, par le recours à de nouvelles technologies, d’énergies alternatives et d’un accroissement de la part d’électricité renouvelable dans le processus de production – sans oublier la conception et les usages utiles de nos produits en vue d’optimiser leurs avantages climatiques pendant leur cycle de vie. »Une première gamme de verres bas carboneLa mise en œuvre d’un ensemble combiné de mesures sur plusieurs fours récemment rénovés a permis de réduire l’empreinte carbone d’une bonne part de la production du Groupe. « Je suis très heureux d’annoncer que, grâce à nos progrès constants sur la voie de la décarbonisation, AGC pourra lancer sa première gamme de verres bas carbone d’ici fin 2022.Pour Davide Cappellino : « C’est un jalon de première importance sur notre feuille de route vers la neutralité carbone. »* Emissions scope 1, 2 et 3 par comparaison avec 2019. Plus d’info ici.Contexte : AGC s’engage pour la construction durableDepuis maintenant de longues années, AGC Glass Europe consacre 50% de son budget de R&D à l’étude de produits et de solutions durables, susceptibles de donner à l’entreprise une empreinte climatique positive à l’avenir. Pour cela, AGC évalue le caractère durable de sa gamme très étendue de produits en recourant à une approche holistique, reposant sur trois piliers éprouvés :Déclarations environnementales de produit (FDES) et Analyses de cycle de vie : le parcours d’AGC Glass Europe en matière de qualité environnementale certifiée a débuté en 2009 avec la première FDES pour son verre float. Aujourd’hui, la plupart des produits AGC disposent d’une FDES.Empreinte carbone des activités de l’entreprise : le premier calcul d’empreinte carbone d’AGC a eu lieu en 2009 et a été répété tous les trois ans jusqu’en 2020. Aujourd’hui, l’empreinte est calculée tous les ans, pour une plus grande transparence des progrès sur la feuille de route de décarbonisation qu'AGC s'est tracée. Actuellement, pour chaque tonne de CO₂ émise par les activités d’AGC Glass Europe, plus de neuf tonnes de CO₂ sont économisées grâce à l’utilisation de produits à haute efficacité énergétique.
Il y a 2 ans et 327 jours

Loi Pouvoir d’achat : quelles conséquences pour l’immobilier ?

Au programme : plafonnement de l’indexation des loyers des baux d’habitation à 3,5% et renforcement de l’encadrement des loyers pour les logements jugés de faible qualité.L’indexation des loyers d’habitation plafonnée à 3,5%Depuis une loi du 8 février 2008 « pour le pouvoir d'achat » (déjà !), l’indice de révision des loyers (IRL) est calculé sur l’évolution des prix à la consommation. Mais ces derniers mois, l’inflation explose pour atteindre des niveaux plus connus en France depuis longtemps : entre 8 et 10% sont attendus fin 2022.Conséquence pour les locataires : le dernier indice de révision de loyer, sorti le 13 juillet 2022, permet une hausse des loyers de 3,6%, et ce pourcentage ne peut qu’augmenter dans les prochains mois.Pour protéger le pouvoir d’achat des locataires de hausses insoutenables, le Gouvernement a donc décidé de prévoir un plafonnement de l’indexation. Le plafonnement de l’indexation est fixé à :3,50% en France métropolitaine ;3,50% en Corse mais ce taux pourra y être baissé jusqu’à 2% près consultation pour avis de l’assemblée de Corse ;2,50% en Outre-mer.A noter : selon une étude menée du 7 au 15 juillet 2022 auprès des propriétaires-bailleurs de PAP, 66% des propriétaires n’appliquent pas la révision de loyer en cours de bail, soit parce que le dispositif leur paraît complexe, soit parce qu’ils souhaitent conserver de bonnes relations avec leurs locataires.Renforcement de l’encadrement des loyersDans vingt-quatre villes de métropole s’applique aujourd’hui un encadrement des loyers consistant en un plafonnement des loyers d’habitation (Paris, Lille, Lyon, Villeurbanne, Bordeaux, Montpellier, Plaine Commune et Est Ensemble). Cette mesure s’y justifie notamment par un niveau élevé des loyers.Or, la loi elle-même permet un dépassement du plafond, appelé « complément de loyer », lorsque le logement dispose de caractéristiques de confort ou de localisations relativement exceptionnelles. La loi ne définit cependant pas la nature de ces caractéristiques… pas plus que leur valorisation.Résultat, le complément de loyer est fréquent. D’après une étude menée sur les annonces de location publiées sur PAP à Paris en 2021, 42,1% des annonces appliquent un complément de loyer. Le phénomène est encore plus marqué sur les surfaces de moins de 20 m², qui appliquent un complément de loyer à 73,2%... ce qui ne les empêche pas d’être les biens qui reçoivent le plus de contacts (entre 60 et 80 en moyenne).Face à ce constat, la loi pouvoir d’achat liste les défauts des logements qui ne peuvent faire l’objet de complément de loyer. Ainsi, un logement ne pourra plus faire l’objet d’un complément de loyer :S’il dispose de sanitaires sur le palier ;En présence de signes d’humidité sur certains murs ;S’il est de classe F ou G s’agissant de son niveau de performance énergétique ;Si des fenêtres laissent anormalement passer l’air (hors grille de ventilation) ;En présence d’un vis-à-vis de moins de dix mètres ;En cas d’infiltrations ou d’inondations provenant de l’extérieur du logement ;En cas de problèmes d’évacuation d’eau au cours des trois derniers mois ;En présence d’une installation électrique dégradée ;En cas de mauvaise exposition de la pièce principale.Les passoires énergétiques dans la ligne de mireL'interdiction du complément de loyer pour les logements classés F et G par le diagnostic de performance énergétique (DPE) est une nouvelle mesure qui s'inscrit dans la lutte contre ce qu'on appelle les « passoires énergétiques » ou les « passoires thermiques ».Rappelons que depuis la loi Climat et Résilience de 2021, les logements de la classe F ou G: ne peuvent plus faire l'objet d'une augmentation de loyer entre deux locataires en zone tendue... règle étendue à toute la France à compter du 24 août 2022 ;ne pourront plus, à compter du 24 août 2022, faire l'objet d'une indexation en cours de bail ;que les logements classés G seront interdits à la location en 2025 puis les logements classés F en 2028.Et même que depuis la loi Climat de 2019, les logements dont la consommation excède 450 kWh/m²/an seront interdits à la location dès le 1er janvier 2023…Ces mesures de plus en plus strictes posent néanmoins de sérieux problèmes d’application. Après un couac important sur le Diagnostic de Performance Energétique fin 2021, un décret est actuellement en cours de préparation pour décaler la mise en place de l’Audit énergétique à la vente, initialement prévu le 1er septembre 2022.Quant aux aides (en particulier MaPrimeRénov), elles sont essentiellement utilisées pour des « gestes », comme le changement du système de chauffage, plutôt que des rénovations globales. Sans oublier les difficultés pour les logements en copropriété à faire voter des travaux d’isolation à l’échelle de l’immeuble.Ainsi, peu de logements sont actuellement sortis de leur statut de « passoire thermique ». On voit mal comment ces logements pourraient sortir du parc locatif, ce qui entrainerait une pénurie d’offres supplémentaire… et risquerait de poser des problèmes de pouvoir d’achat.La démarche de PAP Ces dernières années, plusieurs lois sont venues encadrer plus strictement les locations et nous mettons tout en œuvre pour informer les propriétaires de ces nouvelles lois. Mais les lois ne sont pas toujours simples... d’autant qu’elles s’enchaînent rapidement. C’est pour cette raison, qu’au-delà de l’information, PAP a centralisé toutes les informations et proposé de véritables outils qui permettent de respecter les règles simplement. De plus, les équipes de PAP sont joignables par téléphone pour répondre à toutes les questions. Leur objectif est toujours le même : la location de particulier à particulier doit rester sûre, simple, conforme à la loi… et toujours économique !
Il y a 2 ans et 330 jours

Rachat des RTT, un coup de pouce ou un coup de canif ?

De quoi parle-t-on ?Portée par la majorité présidentielle, les Républicains (LR) et le Rassemblement national, la mesure autorise les entreprises privées à proposer à leurs salariés de convertir leurs jours de réduction du temps de travail (RTT) non pris en une rémunération.Monétisées, ces RTT sont "rémunérées comme des heures supplémentaires", indique le ministère du Travail, et sont exonérées de toute cotisation et impôt.Si l'employeur donne son accord, le salarié peut monétiser autant de RTT qu'il le souhaite. "La logique de la mesure est bien de permettre au salarié de travailler plus et d'augmenter ainsi sa rémunération", précise l'entourage du ministre du Travail Olivier Dussopt.Cette logique n'est pas sans rappeler le "travailler plus pour gagner plus", slogan de Nicolas Sarkozy lors de son élection en 2007, qui défendait déjà le rachat des RTT.Le gouvernement souhaitait limiter ce dispositif à 2023, les sénateurs LR voulaient le pérenniser. Au final, le rachat sera possible jusque fin 2025.Qui est concerné ?Tous les employés ne pourront pas en bénéficier. La mesure ne s'applique qu'aux salariés du privé qui ne disposent ni de compte emploi-temps (CET), ni de forfait jours, selon le ministère du Travail.Le CET, dans les entreprises où il est appliqué, permet aux salariés d'épargner leurs jours de repos non pris et de gagner, à terme, une rémunération.Tandis qu'avec le forfait jours, les salariés du privé peuvent demander à leur employeur - qui in fine décide - de troquer leurs RTT contre une majoration de salaire.Et du côté de la fonction publique, les 5,6 millions de salariés disposent déjà des "dispositifs du CET et donc de possibilités de monétisation", rappelle le cabinet d'Olivier Dussopt.Avec cette réforme, tous les salariés bénéficiant de RTT pourront ainsi, d'une manière ou d'une autre, monétiser ces journées.Selon des données du ministère du Travail datées de 2011 (derniers chiffres communiqués), parmi les salariés du privé qui ne sont pas au forfait jour, 45% disposent de RTT en plus de leurs 25 jours de congés payés. En moyenne, les Français ont indiqué en 2015 disposer de 33 jours de congés par an (congés payés, congés d'ancienneté et RTT).Qu'en pensent les syndicats et le Medef ?Pendant la campagne présidentielle, la première organisation patronale, le Medef, a appelé à élargir le rachat de RTT à tous les salariés du privé pour "améliorer significativement le pouvoir d'achat des salariés"."La mise en place de ce dispositif est assez simple, surtout pour les TPE-PME", avance auprès de l'AFP un porte-parole du Medef. Ce projet "répond à une attente" des salariés du privé qui pouvaient perdre des jours de RTT, sans compensation, quand ils n'ont pas pu les poser, assure-t-il.Mais ce dispositif suscite l'ire des syndicats qui déplorent un "coup de canif" dans le régime des 35 heures hebdomadaires.Le lien entre rachat de RTT et hausse de pouvoir d'achat est "dangereux", s'inquiète Vincent Gautheron, à la commission exécutive de la CGT. "Les salariés vont voir les RTT comme une source potentielle de revenus et renoncer au temps supplémentaire pour se reposer", ajoute-t-il auprès de l'AFP.Pour Frédéric Souillot, secrétaire général de FO, "invoquer sans cesse l'objectif du plein emploi tout en faisant travailler plus ceux qui ont déjà un emploi relève du paradoxe !".FO pointe également le manque à gagner avec l'exonération de toute charge sociale lors du rachat de ces RTT. "C'est de la perte nette pour les caisses de la Sécurité sociale", regrette Michel Beaugas, secrétaire confédéral de FO.Le président de la CFTC Cyril Chabanier redoute, lui, que "les entreprises (disent) qu'elles n'ont pas besoin d'augmenter les salaires, puisque les salariés (peuvent) racheter leurs RTT". "Les négociations sont déjà difficiles, mais cette mesure va encore plus inciter les entreprises à augmenter a minima les salaires".
Il y a 2 ans et 330 jours

Le Sénat a validé le projet de loi finances rectificative pour 2022

Le texte final adopté le 4 août comporte plusieurs dispositions majeures.Tout d'abord, il maintient le bouclier tarifaire sur l’énergie et les modalités de la remise carburant mais aussi l’ensemble des mesures proposées pour alléger les coûts des salariés (renforcement de la « prime transport » et du forfait « mobilité durable », facilitation du recours à l’imposition aux frais réels, etc.).Le texte acte également le principe d’allocation d’une prime de rentrée exceptionnelle à tous les bénéficiaires de la prime d'activité, qu'ils soient ou non allocataires de minima sociaux ou d'aides personnelles au logement.Ce texte final confirme la pérennisation proposée par le Sénat de porter à 7.500 euros le plafond applicable pour la défiscalisation des heures supplémentaires.La possibilité offerte aux salariés de convertir en majoration de salaire tout ou partie des journées ou demi-journées de RTT non prises, avec l'accord de l'employeur, est étendue jusqu'au 31 décembre 2025.Les employeurs sont aussi incités par ce texte, pour 2022 et 2023, à participer davantage, de manière volontaire, à la prise en charge des abonnements de transports de leurs salariés au-delà de 50% de leur coût, en exonérant fiscalement et socialement la fraction allant jusqu’à 75%.Le bornage au 31 décembre 2024 de l’affectation d’une fraction du produit de TVA pour le financement de l’audiovisuel public est conservée.Le nouveau texte de loi finances confirme d'ailleurs les 40 millions d’euros votés par le Sénat à destination des associations d’aide alimentaire.En lien avec l'actualité, le texte ouvre des crédits, conformément aux orientations décidées par le Sénat, pour permettre la mise en place d’un système de carte vitale biométrique, pour préserver et pérenniser les filières d’exception de production de lavande, ou encore pour compléter le financement des colonnes de pompiers intervenant en renfort des départements touchés depuis plusieurs semaines par des feux de forêts.Enfin, le texte retient plusieurs améliorations proposées par le Sénat au soutien des collectivités territoriales.
Il y a 2 ans et 330 jours

Aldes rachète son partenaire Aereco

Le rachat de ce fabricant de systèmes de ventilation hygroréglables va permettre à l'ETI lyonnaise de renforcer sa position en France et de poursuivre son développement à l’international.
Il y a 2 ans et 330 jours

La collection Organic s'enrichit de nouvelles baffles acoustiques

En neuf comme en rénovation, Organic Claustra et Organic Factory se destinent tout particulièrement aux ERP (hôtels, brasseries, restaurants…), et aux bâtiments tertiaires (bureaux, open space, locaux d’entreprises...), hors locaux humides. La collection Organic sera à découvrir sur BATIMAT, (Pavillon 1, espace K66), du 3 au 6 octobre prochain à la Porte de Versailles. Organic Claustra : une séparation esthétique des espaces doublée d’une absorption acoustique idéale Baffle acoustique rectangulaire sur câbles, superposable et modulable, Organic Claustra séduit d’emblée par l’étendue de ses possibilités. Permettant tout à la fois de rythmer les espaces, les personnaliser à souhait, cette nouvelle solution Knauf traite efficacement l’acoustique.Disponibles dans l’éventail des 25 coloris de la collection Organic, mais également en Organic Creative Impression (personnalisation par impression monochome ou polychrome de motifs) ces nouvelles baffles Organic sont proposées en plusieurs dimensions (1955/1155/955 x 295/600) pour une épaisseur de 35 mm. Le champ des possibles est ainsi varié pour répondre à toutes les envies de créations audacieuses.Avec une masse surfacique de 17 kg/m2, Organic Claustra revendique une réaction au feu B-s1, d0, ainsi qu’une réflexion à la lumière allant jusqu’à 75 % pour le coloris White.De plus, ces nouvelles baffles Organic Claustra affichent des performances acoustiques allant jusqu’à aw 0,50 pour améliorer le confort sonore des usagers.S’adaptant à tous types de supports, ces baffles offrent également une grande facilité d’installation grâce à un ingénieux et discret kit de suspension comprenant deux câbles fixés au sol et au plafond, vendus séparément (câbles de 4 mètres de long, avec deux fixations déco plafond et 2 fixations déco sol), les dalles étant maintenues sur les côtés.Organic Factory : des baffles acoustiques verticales suspendues en toute légèreté Autre innovation signée Knauf, Organic Factory, un nouveau système de baffles acoustiques de plafonds sur câbles, au style industriel, minimaliste et épuré, jouant à 100 % l’effet matière.Le prescripteur et l’acousticien pourront donc à loisir rythmer et jouer sur les divers formats proposés pour des créations uniques qui se démarquent et se remarquent, tout en étant des sources de confort sonore et visuel.Disponibles en plusieurs dimensions (1000/1200/2000 x 600/295 x 35 mm), les baffles Organic Factory se déclinent dans l’intégralité de la palette de couleurs du nuancier Organic, pour toujours plus d’audace architecturale.Les baffles Organic Factory sont équipées en usine de 2 fixations permettant une installation aisée, sûre et pérenne grâce au kit de câbles et de fixation (vendus séparément) qui comporte deux fixations déco plafonds, 2 câbles de 1 mètre et 2 embouts déco tarraudés M6.Côté performances, Organic Factory affiche le même niveau d’exigences et de résultats qu’Organic Claustra, à savoir, une absorption acoustique allant jusqu’à w 0,50, une réaction feu B-s1, d0, ainsi qu’une réflexion à la lumière allant jusqu’à 75 % pour la référence White.Organic, une gamme biosourcée et fabriquée dans la seule usine de laine de bois en France Les dalles Organic sont issues de la seule usine de laine de bois en France, implantée en Haute-Saône. Organic est un produit biosourcé (laine de bois d’épicéa de 1 mm issue d’exploitations locales situées à moins de 200 km du site de production, minéralisée et enrobée de liant ciment/chaux blanche). Ces dalles sont particulièrement appréciées et prescrites de plus en plus, en particulier dans le cadre de chantiers à approche environnementale.Organic répond totalement aux exigences des constructions HQE®, LEED et BREEAM, et justifie du label Zone Verte Excell Gold et de la meilleure classe d’émission française dans l’air intérieur A+. Outre ses qualités esthétiques, avec une large palette de couleurs et la personnalisation à souhait, Organic est aussi reconnu pour ses qualités techniques. D’un point de vue acoustique, la laine de bois permet en effet de maîtriser la réverbération des bruits et garantit ainsi un confort acoustique remarquable dans toutes les situations données.Organic sur Knaufstudio.fr, comme source d’inspiration La collection Organic est à retrouver sur le site Knaufstudio.fr. Cet espace, dédié aux acteurs de la prescription, fait la part belle à l’esthétique, la matière, l’inspiration et la créativité pour les accompagner dans la signature de projets architecturaux uniques.Pour Emmanuel Blaudez, Chef de Marché Plafonds : « Avec Organic Claustra et Organic Factory, Knauf offre aux prescripteurs de nouvelles perspectives dans l’univers des baffles acoustiques, pour des réalisations qui conjuguent créativité et performances. L’origine naturelle et biosourcée d’Organic répond également aux attentes des maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre pour des bâtiments plus responsables. »
Il y a 2 ans et 330 jours

Étude Resideo : en 2022 les Français plus préoccupés par l’installation de systèmes connectés dans la maison

Paris, le 28 juillet 2022 – Alors que les produits intelligents et connectés se font toujours plus nombreux dans notre vie quotidienne, c’est la Smart Home qui séduit de plus en plus de Français. La préoccupation de l’efficacité énergétique ou isolation thermique est forte, avec 40% des Français qui ont effectués ou prévoient ce type de […]
Il y a 2 ans et 330 jours

Saint-Gobain finalise une emission obligataire d'un montant de 1,5 Md€

Cette opération doit permettre à l’industriel et distributeur d’étaler sa dette. Par ailleurs, le géant français des matériaux de construction annonce l’acquisition de l’entreprise nord-américaine Kaycan.
Il y a 2 ans et 330 jours

Centre commercial GINKO 2, un projet hors norme sur Bordeaux

Dessiné et conçu par le cabinet international L35 Architecture, ce projet hors norme a fait l’objet d’un traitement particulier par l’entreprise COVERIS, spécialiste dans la fabrication et la mise en œuvre de solutions à hautes valeurs techniques et architecturales. Le savoir-faire de l’entreprise s’est particulièrement concentré sur la réalisation des façades mur rideau vitrées, notamment sur les espaces commerciaux et de restauration des lots P7, P5, P4 et P3. Comme le souligne Damien ROMANI, directeur commercial et développement chez Coveris, « l’objectif était d’avoir une façade lisse, proche de l’aspect VEC, en intégrant différentes contraintes et notamment le calcul des verres bombés qui se situent sur un des îlots tout en ayant une économie de projet qui permettait d’y répondre favorablement ».Des façades aux vitrages bombés et clamés de grande dimensionAfin d’obtenir une façade vitrée lisse de type VEC, le choix s’est orienté vers le système CW60 SC à vitrage clamé qui offre l’avantage d’une structure porteuse à la vue d’aluminium réduite de 60mm de largeur. « L’utilisation du système à vitrage à clamer permet de s’adapter parfaitement à l’esthétique recherchée d’une façade lisse. Cette solution reste une solution intermédiaire intéressante entre la façade mur rideau à serrage et la façade VEC » précise Damien ROMANI. Le caractère hors norme du projet se traduit notamment par la mise en œuvre de vitrages de 5m de haut allant jusqu’à 1,8m de large, ayant un poids unitaire de 440kg. L’exigence de performance thermique élevée a trouvé sa réponse par l’intégration de triples virages, à l’image de la zone de restauration du lot P4. Comme précisé par le responsable technique « une attention particulière a été portée sur les aspects environnementaux du projet, ce qui a donné lieu à l’obtention d’une certification BREEAM pour les commerces.Le caractère singulier du projet provient également des vitrages des murs rideaux qui ont nécessité une étude approfondie. Le principe mis en œuvre est un patchwork de 2 à 3 couches de sérigraphie en bande filante verticale sur chaque vitrage, avec des zones de positionnement qui se chevauchent et d’autres ouvertes procurant ainsi, côté extérieur, une véritable sensation de volume et de profondeur aux façades des bâtiments. Des adaptations spécifiques pour le traitement des façades mur rideauDestiné à recevoir un large éventail de marques commerciales, les façades mur rideau des différents lots ont fait l’objet d’adaptations spécifiques et notamment l’intégration dans la structure porteuse de points d’ancrage pour la mise en œuvre de la signalétique de chaque enseigne. Afin de conserver la cohérence architecturale de l’aspect lisse et continue de la façade CW60 SC, des pièces de fixation ont été conçues, garantissant ainsi la parfaite résistance des garde-corps situés sur le rooftop du bâtiment P7.L’aboutissement d’un travail conjointLa solution technique de la façade mur rideau CW60 SC utilisée sur le projet Ginko 2 est issue de la collaboration entre Reynaers Aluminium et l’entreprise Coveris. Comme le souligne Damien ROMANI « le système technique existait dans la gamme des solutions proposées par le groupe Reynaers, mais demandait des adaptations afin de répondre aux réglementations et aux exigences du marché Français ». Le traitement des façades avec le mur rideau à clamer est le résultat d’une collaboration qui s’est exprimée sur de précédentes opérations qui ont donné lieu à plusieurs ATEX. « On a fait valoir ces expériences communes en s’appuyant sur les justifications des ATEX précédentes. Cette réalisation est une forme de capitalisation sur les développements que nous avons faits ensemble sur la base du système CW60 SC » précise le responsable technique du projet Ginko 2.Informations ProjetsCalendrier du projet :2017-2018 : études techniques façades2019-2020 : fabrication et pose des façades2020-2021 : livraison Intervenants :Maître d’ouvrage : Bouygues ImmobilierAgence d’architecture : cabinet L35 Architecture (Paris)Maîtrise d’oeuvre d’exécution : EGIS Bâtiment Sud OuestAMO certification : ELAN Bureau d’études structure : BET Le Joncour et SSOEntreprise de menuiseries : société COVERISSolutions techniques utilisées :Façade mur rideau à clamer CW60 SC Pièces de fixation spécifiquesRAL 9007
Il y a 2 ans et 331 jours

Le secteur privé poursuit son ralentissement en juillet

Le secteur privé français poursuit son ralentissement observé depuis trois mois, atteignant un niveau de 51,7 points au mois de juillet, en repli de 0,8 point par rapport au mois de juin, a précisé S&P dans son communiqué.Un taux supérieur à 50 marque une expansion de l'activité, un taux inférieur à cette limite signifiant à l'inverse une contraction.L'activité française est en partie victime d'une forte baisse des commandes dans le secteur manufacturier et une stagnation du volume des nouvelles affaires sur l'ensemble du mois. Ces tendances sont pour l'heure compensées par une légère hausse du nombre de nouveaux contrats dans le secteur des services."Le niveau très élevé de l'inflation nuit manifestement à la demande, les prestataires de services comme les fabricants ayant déjà fait état d'une plus grande réticence des clients à passer commande dans le contexte actuel", a estimé Joe Hayes, économiste senior pour S&P Global, cité dans le communiqué.Dans le détail, le secteur des services enregistre pour l'heure toujours plus d'entreprises connaissant une hausse de leur activité (28%) sur le mois de juillet que l'inverse (16%), ces dernières imputant cette tendance à la hausse des prix justement.Son indice est pourtant en recul, passant à 53,2 au mois de juillet, contre 53,9 le mois précédent, mais il enregistre cependant une seizième hausse mensuelle consécutive.L'activité manufacturière se contracte encore plus par rapport au mois de juin, qui était le premier à connaître une contraction depuis octobre 2021, enregistrant même sa plus forte contraction depuis mai 2020, au plus fort de la crise sanitaire.La tendance s'annonce plutôt négative, estime S&P Global, en particulier à l'export, alors que la demande en provenance de l'étranger pour les services poursuit sa baisse, avec un taux de contraction au plus haut depuis décembre dernier."Compte tenu de la crise du gaz, de la hausse des taux d'intérêt et du maintien d'une inflation très élevée, il paraît difficile d'envisager un rebond prochain de l'économie", a insisté M. Hayes.