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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

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Il y a 4 ans et 344 jours

3 start-up lauréates du projet Numériser l’existant

Bimeo, LevelS3D et WiseBIM sont les 3 start-up lauréates du challenge « Numériser l’existant », l’un des 9 projets du programme PROFEEL dédié à l’innovation technologique au service de la rénovation énergétique des bâtiments. Elles bénéficieront d’un soutien financier et technique pour développer les nouvelles fonctionnalités de leurs applis et plateformes de numérisation 3D du bâti, compatibles avec le BIM. Ces solutions digitales innovantes représentent une avancée technologique majeure pour accompagner les professionnels du secteur de la rénovation énergétique des bâtiments et ainsi faciliter et encourager les travaux. Les premiers livrables des outils devraient être finalisés dès l’automne 2020, suivis de nouvelles versions ou fonctionnalités au 1er semestre 2021. ARtoBuild de Bimeo Le scan 3D ultra rapide et précis en quelques clics ARtoBuild est une solution inédite développée par Bimeo, plateforme collaborative BIM, à destination des professionnels du bâtiment, récompensée en 2019 aux cérémonies du BIM d’Or et des Trophées de la Construction. Cette application, compatible avec le dernier iPad pro pour son capteur ultra-précis (technologie Lidar), permet de scanner en 3D simplement et rapidement n’importe quelle pièce. A partir de son interface, les pièces sont assemblées et la maquette numérique est générée au format. Le financement de PROFEEL permet à Bimeo de développer de nouvelles fonctionnalités, telles que la gestion de l’épaisseur des parois, l’ajout d’objets type radiateur, éclairage…, ou encore la possibilité d’annoter la maquette avec des cotations. S3D Capture de LevelS3D Appli, cloud et IA pour un rendu 3D complet LevelS3D est une start-up fondée en 2012 par Yannick Folliard, labellisée JEI (Jeune Entreprise Innovante). Elle a conçu l’application mobile de numérisation S3D Capture, accessible et à bas coût sous forme d’abonnement ou offres à l’acte, compatible avec des smartphones et tablettes équipés d’un capteur de profondeur intégré (compatible sur l’Ipad pro). Basée sur la technologie de nuages de points, elle permet de scanner une habitation aussi facilement qu’en filmant, puis de générer automatiquement et instantanément le modèle 3D. Grâce au financement du projet, LevelS3D prévoit trois phases de développement des nouvelles fonctionnalités : pré- positionnement des nuages de points, ajout de photos pour un rendu plus réaliste, et intégration d’IA pour identifier en 3D des objets et éléments du bâti. Plans2BIM de WiseBIM L’innovation unique qui transforme les plans 2D en 3D WiseBIM est une start-up issue du Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA) créée en 2017 qui accompagne les gestionnaires de patrimoines immobiliers dans leur transition numérique du bâtiment vers le BIM. Plans2BIM, son logiciel en mode SaaS, en cours de déploiement, sera disponible sur abonnement ou par jetons. Basée sur des algorithmes, cette solution permet de transformer automatiquement et très rapidement en maquette 3D IFC n’importe quel plan architectural 2D, ainsi qu’éditer et enrichir la maquette, via la plateforme en ligne, sans avoir à se déplacer sur site. Le financement obtenu permet à la start-up de finaliser le développement du logiciel, dont des modules pour obtenir rapidement les dimensions d’intérêt ainsi que pour assembler les différents niveaux du bâtiment en une maquette unique.
Il y a 4 ans et 344 jours

Agriculture urbaine : comment aménager une toiture-terrasse

Les exploitations agricoles en ville sont à la croisée des préoccupations environnementales et des aspirations sociétales des citadins. Répondre aux besoins de végétalisation des espaces urbains implique de valoriser les toits, réserve foncière sous-exploitée. Fanny Provent (AgroParisTech) et Paola Mugnier (Urbalia) ont rassemblé les meilleures pratiques pour accompagner les acteurs et décideurs de la ville dans l’installation de potagers en toiture-terrasse, dont elles ont rassemblé les meilleures pratiques. Rétention des eaux pluviales, entretien de la biodiversité, valorisation des déchets, isolation thermique… Les potagers en toiture contribuent, à l’échelle d’un immeuble, au mouvement de végétalisation des villes. Sources de production alimentaire distribuée en circuits courts, ils sont par ailleurs vecteurs de lien social et de pédagogie, à la manière des jardins partagés. Ce guide technique opérationnel correspond bien à l’état d’esprit des défenseurs d’une approche écologique de la vie quotidienne. Illustré de très nombreuses photos et d’infographies, cet ouvrage présente en outre des exemples de réalisations dans plusieurs villes françaises.
Il y a 4 ans et 344 jours

600 000 emplois mobilisés dans la filière électrique pour contribuer à la relance économique

Dans un contexte où l’emploi est plus que jamais un enjeu dans le cadre de la relance économique, les fédérations et associations professionnelles de la filière électrique communiquent les premiers résultats de l’Engagement de Développement de l’Emploi et des Compétences (EDEC). Mené sous l’égide du Ministère du Travail avec le soutien du Ministère de la transition écologique et solidaire, et avec l’appui du cabinet PwC, ce contrat d’étude prospective au périmètre inédit a pour objectif d’appréhender de manière concrète les évolutions à venir des emplois et des compétences de la filière électrique. Au coeur des transitions énergétique et numérique, la filière électrique sera soumise à de fortes transformations d’ici 2030 : évolution du mix énergétique avec davantage de production renouvelable, développement du bâtiment durable et connecté, de la mobilité électrique et de la ville intelligente. Le respect des objectifs fixés dans le cadre de la PPE constitue un potentiel de création de plus de 200 000 emplois directs et indirects supplémentaires dans les territoires d’ici 2030, dont 80 000 consacrés à la rénovation énergétique des bâtiments et 60 000 dédiés aux énergies renouvelables (éolien, solaire photovoltaïque et hydroélectricité). 600 000 emplois qualifiés et pérennes maillent le territoire national dont 300 000 interviennent sur le système électrique (production, transport, distribution et fourniture d’électricité), 220 000 dans le bâtiment, 40 000 dans l’industrie et 40 000 dans les infrastructures de la ville et de la mobilité. La filière électrique compte 30 000 entreprises de toutes tailles, réparties sur l’ensemble de la chaîne de valeur, de l’entreprise unipersonnelle à la multinationale dont plus de 40% des PME-TPE, Ces transformations génèreront en outre d’importantes retombées économiques réparties sur l’ensemble du territoire ou d’effets induits sur l’ensemble de l’économie, qu’il s’agisse d’activités liées à la production et l’acheminement de l’électricité, à la conception et la fourniture d’équipements, aux chantiers du bâtiment et de travaux publics. La transition énergétique s’inscrit dans une dynamique de transformation des métiers et des compétences qui nécessitera un investissement commun pour adapter l’offre de formation professionnelle continue en associant les différentes branches professionnelles concernées. Sécuriser des parcours professionnels dans la durée impliquera également un travail sur les passerelles de mobilité professionnelle, entre métiers du secteur de l’énergie, au niveau national et régional.
Il y a 4 ans et 344 jours

Un théâtre de verdure pour une université, l'installation de Paris 1 dans la caserne Lourcine par Chartier Dalix

Quelques heures seulement après sa nomination, la nouvelle ministre de la Culture Roselyne Bachelot a pu découvrir une lettre ouverte signée des enseignants des écoles d'architecture et dénonçant la précarité de leurs confrères contractuels et vacataires. Une action lancée le 4 mars 2020, qui regroupe désormais […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 345 jours

Résister aux tentatives d'effraction : vos portes et fenêtres testées au CSTB

Photo : Florence JoubertPlusieurs centaines de milliers de cambriolages de logements sont constatés chaque année et, pour un quart d'entre eux, les cambrioleurs sont passés par une fenêtre ou une porte. Les fabricants, soucieux de répondre à cet enjeu de sécurité, proposent de plus en plus de systèmes de retardement à l'effraction que le CSTB teste selon les normes européennes. Ces tests sont proposés dans le cadre de la certification NF ou dans le cadre d'essais à la demande réalisés sur la plateforme Baies et Vitrages du CSTB. Les fenêtres sont classées en fonction de leur temps de résistance à l'effraction. Le temps de résistance d'un produit non conçu pour résister à l'effraction est estimé à 30 secondes, alors qu'un produit conçu spécialement pour résister pourra avoir un temps de résistance bien supérieur à deux minutes. Selon les types de fenêtres proposées par les fabricants, le temps de résistance peut aller jusqu'à une dizaine de minutes. Les essais permettent de faire reconnaître la capacité des fenêtres et portes à retarder l'effraction. La norme européenne fixe à 3 minutes le temps minimum de résistance pour faire reconnaître la qualité du système de conception et de fabrication d'une fenêtre au retardement à l'effraction. Les tests menés au CSTB simulent les différents gestes réalisés par les cambrioleurs : pressions fortes simulant des coups d'épaule (essai de charge statique) ou des coups de pied répétés (essai de charge dynamique), utilisation d'outils - du tournevis au pied de biche - (essai d'attaque humaine), tout ceci en un temps donné. Selon les résultats des tests, la fenêtre ou la porte obtient un classement qui indique la capacité du produit à résister à des tentatives d'effraction. Option à la certification NF-Certifié CSTB Certified Le test de retardement à l'effraction est une option proposée aux fabricants dans le cadre de la certification NF-Certifié CSTB Certified des fenêtres (NF220). Par ailleurs, dans le cadre de la certification, la vérification de la conformité au certificat est effectuée lors des audits de suivi, et les performances certifiées de retardement à l'effraction sont contrôlées tous les 5 ans. Essais à la demande L'essai de retardement à l'effraction peut être également demandé dans le cadre d'essais à la demande qui font l'objet de rapports d'essais. Contact retardement-effraction@cstb.fr Certifications bénéficiant des essais de retardement à l'effraction Certification Fenêtres et blocs-baies aluminium à rupture de pont thermique Certification Fenêtres et blocs-baies PVC
Il y a 4 ans et 345 jours

Macron veut relancer la réforme des retraites, Castex souhaite la régler "à court terme"

Suspendue "sine die" par le chef de l'État mi-mars, la réforme des retraites reste un sujet hautement inflammable.Dans un entretien à la presse quotidienne régionale publié jeudi soir, M. Macron a affirmé qu'"il n'y (aurait) pas d'abandon" de son projet de système universel, qu'il juge toujours "juste", même s'il se dit "ouvert" à ce que sa réforme "soit transformée".Il souhaite aussi "réengager rapidement une concertation en profondeur (...) dès l'été sur (le) volet des équilibres financiers" et considère que "la question du nombre d'années pendant lesquelles nous cotisons demeure posée".En réalité, le problème financier devient brûlant: le déficit du système de retraites devrait approcher cette année le niveau record de 30 milliards d'euros, très loin des 4 milliards attendus avant la crise provoquée par le coronavirus.Selon les estimations dévoilées mi-juin par le Conseil d'orientation des retraites, cette dégradation se concentrerait sur les caisses des salariés du privé à hauteur de 27 milliards d'euros, à cause du recours massif au chômage partiel, tandis que les régimes spéciaux et la fonction publique seraient épargnés.La branche retraite de la "Sécu", l'assurance vieillesse, devrait à elle seule enregistrer une perte de 15 milliards.Le régime complémentaire du privé, l'Agirc-Arrco, qui a sollicité une avance de Bercy avant de recourir aux banques pour verser les pensions de juin, n'aura sans doute d'autres choix que de puiser à nouveau dans ses réserves.Raisons de plus pour reprendre la "conférence de financement" lancée en début d'année et interrompue par l'épidémie. Sauf qu'à cette époque, syndicats et patronat avaient déjà du mal à s'accorder pour résorber un "déséquilibre annuel de l'ordre de 12 milliards d'euros en 2027"."L'huile sur le feu"Aujourd'hui, alors que le feu couve, les intéressés ne sont pas pressés d'y retourner. "On est dans une situation très compliquée économiquement et socialement", a souligné le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, pour qui "la priorité des priorités, ça doit être l'emploi"."Des milliers de gens vont arriver malheureusement au chômage, 800.000 jeunes vont arriver sur le marché du travail (...) On ne va pas se remettre à se foutre sur la gueule sur la question des retraites dans cette période", a-t-il ajouté.S'il "continue à être pour un système universel des retraites", le leader du premier syndicat français a prévenu que "le débat sur l'augmentation de la durée du travail serait une ligne rouge"."Ce n'est vraiment pas le moment de remettre ce dossier sur la table", a également affirmé le numéro un de Force ouvrière, Yves Veyrier, qui entend prendre attache avec les autres dirigeants syndicaux et patronaux pour envoyer un message commun au président de la République: "Il faut qu'on lui dise non".Après les longues grèves de décembre et janvier, puis le recours au 49-3 à l'Assemblée nationale début mars, "on risque de rouvrir de la tension, un conflit social", a-t-il mis en garde."Il faut être très prudent pour ne pas remettre de l'huile sur le feu", pense aussi Dominique Corona, secrétaire national de l'Unsa.En plein remaniement de l'exécutif, il attend "d'avoir le gouvernement, les arbitrages et la feuille de route" de la nouvelle équipe qui sera chargée de mettre en œuvre l'emblématique mais controversée promesse de campagne du candidat Macron.Castex veut régler "à court terme" le dossier des retraitesLe Premier ministre Jean Castex affirme souhaiter conclure le Ségur de la Santé "la semaine prochaine" et régler "à court terme" le dossier des retraites, dans un entretien publié dimanche dans le JDD où il prévient ne pas croire "au consensus mou"."Des décisions essentielles sont sur la table. L'emploi, évidemment, qui dans le contexte actuel requiert une mobilisation de tous dans le cadre de la nouvelle donne sociale lancée par le président de la République. Le soutien aux soignants et la transformation de notre système de santé dans le cadre du Ségur que je conclurai la semaine prochaine", a-t-il déclaré.Faute d'accord avec les syndicats avant un remaniement imminent, le gouvernement de son prédécesseur Edouard Philippe avait décidé jeudi de prolonger de quelques jours le "Ségur de la santé", alors qu'une enveloppe de sept milliards d'euros se trouve sur la table pour les salaires des soignants."Le plan de relance doit être finalisé. À quoi s'ajoutent les réformes qui étaient dans les tuyaux sur les retraites et l'assurance chômage. Et celle de la dépendance qui devra venir ensuite et correspond à une nécessité. Tous ces sujets sont directement impactés par la crise, ce qui nécessite de les reprendre dans un cadre concerté et avec une cohérence d'ensemble", a-t-il ajouté.Interrogé sur les inquiétudes des syndicats concernant les retraites, il a affirmé que "dire qu'on va réexaminer un sujet, ce n'est pas se renier. C'est montrer notre capacité d'adaptation aux nouvelles circonstances, qui sont douloureuses"."Nouvel agenda social""Par exemple, la crise a aggravé fortement le déficit de nos régimes de retraite. Je souhaite reprendre le dialogue avec les partenaires sociaux, c'est indispensable. Arriverons-nous à régler ces dossiers à court terme? C'est mon souhait", a-t-il dit."A minima, nous devrons nous fixer un nouvel agenda social", a-t-il poursuivi, affirmant espérer un "compromis, qui n'est pas une compromission" pour sauver les régimes de protection sociale.Il a défini sa méthode comme "un mélange de volontarisme et d'expérience, avec le souci de rassembler". "Mais attention, je ne crois pas au consensus mou. Le temps est à l'action", a-t-il averti.Il a dit mettre "les bouchées doubles" avec Emmanuel Macron pour annoncer au plus vite son gouvernement. Répondant aux rumeurs sur une équipe resserrée autour de grands pôles principaux, il a affirmé ne "pas être sûr que des périmètres trop étendus soient forcément la garantie d'une plus grande efficacité".Après la forte percée verte aux municipales, il a répété que l'écologie n'était "pas une option". "C'est une obligation", a-t-il ajouté. Il entend "accélérer" les décisions en listant "avec les acteurs locaux tout ce que l'on peut faire immédiatement" comme la lutte contre les fuites dans les réseaux d'eau, contre l'artificialisation des terres, pour l'isolement thermique, les toitures photovoltaïques, ou le bien-être animal.L'ex-secrétaire général adjoint de l'Elysée sous Nicolas Sarkozy qui vient de rendre sa carte chez Les Républicains, s'est dit "peu attaché aux affaires des partis" mais a estimé "naturel" de s'inscrire "sans ambiguïté" dans la majorité présidentielle, car "celui qui accepte de devenir Premier ministre est, par vocation, le chef de la majorité : c'est son devoir de l'animer et de l'associer".Face à ses détracteurs qui le voit comme un simple exécutant de la volonté présidentielle, il a souligné qu'il n'entrait "pas dans les intentions du chef de l'État de faire de (lui) un subordonné voué aux tâches secondaires".Et de poursuivre: "Quand vous aurez appris à me connaître, vous verrez que ma personnalité n'est pas soluble dans le terme de +collaborateur +".
Il y a 4 ans et 345 jours

Programme PROFEEL : Trois start-up lauréates du challenge "Numériser l'existant"

NUMERIQUE ET BIM. Trois start-up ont été distinguées lors du Challenge "Numériser l'existant", lancé dans le cadre de PROFEEL, le programme de développement de l'innovation au service de la rénovation énergétique du bâtiment porté par la filière.
Il y a 4 ans et 345 jours

Béton Arty saison 2 : place à la BD !

CAMPAGNE ARTISTIQUE. Bigmat lance la deuxième saison de son opération Béton Arty. Cette fois, il nous entraîne dans l'univers de la BD.
Il y a 4 ans et 345 jours

La première communauté énergétique de maisons individuelles en France

Certes, il ne s'agit pas (encore) de tout le village, mais la communauté énergétique Harmon’Yeu, active depuis mars 2020, est composée de cinq foyers équipés de panneaux solaires fournissant l’électricité à l’ensemble des 23 foyers de la communauté. Les résultats sont prometteurs et les perspectives nombreuses, à condition d'un changement de réglementation.
Il y a 4 ans et 345 jours

Jean-Christophe REPON, nouveau président de la CAPEB

Jean-Christophe REPON vient d’être élu Président de la CAPEB dont il était le 1er Vice-président depuis 2019. Il succède à Patrick Liébus. Élu au 1er tour d’un scrutin à bulletin secret par le Conseil d’administration réuni ce matin, Jean-Christophe Repon, maître artisan électricien à la tête d’une entreprise employant deux salariés à Toulon dans le Var, devient donc à 53 ans le nouveau chef de file de l’artisanat du bâtiment et le 7ème président de la CAPEB depuis sa création en 1946. Le Conseil d’administration a ensuite procédé à l’élection du nouveau Bureau confédéral, compte tenu des départs du président, d’un vice-président et du secrétaire. Il se compose des huit membres suivants, intégrant 3 nouveaux membres (Christophe Bellanger, David Morales et Francis Mathieu issus du Conseil d’administration) et 3 membres changeant de poste (Corine Postel ancienne trésorière, Gilles Chatras ancien secrétaire adjoint et Michel Dumon ancien trésorier adjoint). Le conseil d’administration a élu membre d’honneur Patrick Liébus en sa qualité de président de la CAPEB de 2010 à 2020.
Il y a 4 ans et 345 jours

La certification NF Habitat – NF Habitat HQE plus accessible

CERQUAL Qualitel Certification a fait évoluer son offre de certification NF Habitat – NF Habitat HQE avec la création de 4 profils permettant aux acteurs d’atteindre des performances supérieures sur des thèmes spécifiques : Économie Circulaire, Air Intérieur, Biodiversité et Bas Carbone. Par ailleurs, les exigences en rénovation ont été ajustées, pour le collectif comme pour la maison individuelle, pour rendre la certification plus accessible et permettre ainsi à un plus grand nombre d’acteurs d’engager leurs projets et activité dans la voie de la qualité. Pour le collectif, les exigences minimales obligatoires ont été réajustées, recentrées autour d’un socle de qualités essentielles, communes à tout bâtiment certifié NF Habitat, afin de limiter les surplus de travaux. Ce socle fondamental porte principalement sur la sécurité des personnes, la sureté et une performance énergétique minimale (150 kWh/m2/an.). Les process de valorisation du niveau HQE ont été simplifiés. Pour la maison individuelle, des évolutions ont été apportées pour mieux répondre aux attentes des particuliers et aux pratiques des professionnels de la rénovation, en prenant en compte tous les fondamentaux d’un projet réussi, dont le respect d’exigences techniques minimales, quels que soient les travaux et toujours en cohérence avec la mention RGE. Pour tous les types de logement, une meilleure prise en compte des cas de surélévation/extension : en collectif par exemple, il est désormais possible de certifier une surélévation/extension seule ou intégrée à un projet de rénovation globale.
Il y a 4 ans et 345 jours

La filière du BTP est oubliée pour FO

18 milliards pour le tourisme, 15 milliards pour l’aéronautique et 8 milliards pour l’automobile… Pour FO, syndicat historique chez LafargeHolcim, l’absence de plan de relance pour le BTP met en péril toute la filière, de l’amont à l’aval. L’inquiétude grandit malgré l’accélération du déconfinement et la fin annoncée de l’état d’urgence sanitaire le 10 juillet. Le nouveau gouvernement va devoir réagir vite. Les plans de relance sectoriels annoncés ces dernières semaines font du BTP, le grand oublié selon Johan Guet, Délégué Syndical Central FO chez Lafarge Ciments. L’heure est à la mobilisation générale. L’administration doit être au rendez-vous. Les permis de construire doivent être délivrés dans des délais raccourcis pour permettre aux chantiers de reprendre au plus vite. C’est toute une chaîne qui est concernée : des matières premières aux installateurs et équipementiers en passant par la conception et la construction. Le syndicat attend un signal clair et rapide. Il s’agit de répondre à une inquiétude grandissante sur l’emploi et le pouvoir d’achat. 120.000 emplois direct sont menacés de suppression d’ici la fin de l’année. Le BTP est au cœur de la croissance verte. Il constitue un formidable levier pour répondre aux attentes de l’après-Covid. Les investissements sont là, à l’image de « l’usine du futur » de Martres-Tolosane. Le groupe LafargeHolcim investit 100 millions d’euros pour faire de cette cimenterie un modèle de développement durable. De la valorisation des déchets aux économies d’énergie, ce site symbolise la transformation du modèle et son entrée dans l’économie circulaire. Avec des coûts de production en baisse, le site de Martres sera compétitif sur un marché tendu et dont la concurrence va s’accroître encore et toujours en raison des conséquences du Covid. Cet investissement répond aussi aux nombreux projets régionaux qui doivent continuer à être soutenus par l’Etat et les collectivités. Il s’inscrit aussi dans l’attractivité du territoire et la qualité de vie à l’heure où le télétravail s’impose progressivement. C’est aussi une réponse aux aspirations et attentes exprimées par les Français.
Il y a 4 ans et 345 jours

Covid-19 : quand la R&D du Bâtiment mobilise ses ressources

PARTAGE D'EXPERIENCES. La période du Covid-19 est-elle propice à l'innovation ? Depuis quelques mois, les entreprises du Bâtiment font preuve de créativité dans un contexte compliqué. Afin de participer à lutte contre le virus, les services de recherche et développement ont entamé une course contre la montre. Plusieurs d'entre eux nous expliquent comment ils ont travaillé.
Il y a 4 ans et 345 jours

Éric Routier a été élu à la présidence du CCCA-BTP

Éric Routier (FNCB-CFDT), 62 ans, a été élu à la présidence du CCCA-BTP ,il succède à Jean-Christophe Repon (CAPEB), qui présidait l’association à gouvernance paritaire depuis 2016. Il a entièrement consacré sa carrière professionnelle au secteur du bâtiment et des travaux publics. Après une formation en menuiserie et avoir exercé dans plusieurs entreprises de la filière, depuis 1984, il travaille au sein de l’entreprise Kaefer Wanner, spécialiste de l’isolation thermique, de montage d’échafaudages, de désamiantage et de peinture en milieu industriel. Il est délégué national CFDT au sein de l’entreprise Kaefer Wanner depuis 1992 et a également été conseiller fédéral au niveau national de la FNCB-CFDT pendant douze ans, jusqu’en 2017. Éric Routier est également administrateur du CCCA-BTP depuis 1997. Jusqu’en 2019, il en a été le trésorier et le secrétaire pendant neuf ans. Son engagement de longue date dans la formation professionnelle aux métiers du bâtiment et des travaux publics, en particulier par la voie de l’apprentissage, l’a amené à présider l’association régionale à gouvernance paritaire BTP CFA Nord – Pas-de-Calais, qui gère les trois centres de formation du BTP du territoire. Éric Routier a par ailleurs présidé l’AREF Nord – Pas-de-Calais, avant d’être nommé administrateur national de Constructys, alors OPCA de la Construction, où il était membre de la commission paritaire du bâtiment des entreprises de moins de onze salariés jusqu’en 2019. Il est également administrateur de PRO BTP Prévoyance, le groupe de protection sociale du BTP.
Il y a 4 ans et 345 jours

SOLUTIONS TERRASSE CECIL PROFESSIONNEL : PRESERVER, PROTEGER ET ENTRENIR DURABLEMENT SA TERRASSE EN BOIS ET BOIS COMPOSITE

Pour profiter durablement de sa terrasse en bois ou bois composite, il est nécessaire de l’entretenir, de la nettoyer et de la protéger. Soumis aux aléas du temps (intempéries, UV…), aux agressions extérieures (taches, moisissure, mousse…), le matériau finit par perdre de son éclat, de sa couleur et vieilli prématurément. CECIL PRO, marque référente dans le traitement du bois, propose des produits de qualité professionnelle, spécifiques et adaptés à chaque matériau et essences, pour que la terrasse redevienne un magnifique espace de vie. Fabriqués en France, les produits d’entretien et de protection pour la terrasse sont haute performance et faciles à utiliser. Parmi la large gamme de solutions pour protéger le bois, CECIL PRO propose : – AX NET, le dégriseur pour raviver tous les bois. – AX Clean, le nettoyant pour dégraisser et désincruster les taches sur tous les bois et bois composite. – SX725, le saturateur terrasse anti-tache, anti-glisse, anti-vieillissement. – OPAQ SX, le saturateur opaque pour masquer les imperfections du bois et renover les bois composites AX Net – Dégriseur tous bois Ravive les bois tachés et noircis par les uv AX Net de CECIL PRO est idéal pour les terrasses et tous les autres aménagements extérieurs en bois (volets, mobiliers, abri de jardin…) qui ont besoin d’être rénovés. Sa formulation en phase aqueuse nettoie, dégrise et ravive les bois tachés et noircis par le soleil et les intempéries sans les décolorer. Ce dégriseur pour terrasses respecte l’esthétique du matériau. Par ailleurs, il supprime toutes les taches et a une action sur la rouille. Sous forme de gel anticoulure, AX Net est pratique et d’un grand confort d’application. Il s’utilise sur toutes les essences de bois : exotiques, résineux, feuillus, bois autoclavés, thermo traité… A noter : attention aux essences de bois sensibles à l’eau comme le châtaignier, le chêne… Conditionnement : 1 L – 5 L – Consommation : 6 à 7 m2/couche Prix de vente conseillé : 70,95 euros TTC – Points de vente : Négoces en matériaux AX Clean – Nettoyant bois et bois composite Nettoie les taches et désincruste les saletés AX Clean de CECIL PRO est un nettoyant surpuissant qui nettoie, dégraisse et désincruste efficacement toutes les salissures sur les terrasses, planchers, caillebottis, abords de piscine… Il permet l’entretien de différentes essences de bois exotiques, résineux, feuillus, bois autoclavés, thermo traité… ainsi que le bois composite. Sa formule en gel en phase aqueuse est très pratique car elle évite les coulures sur les surfaces verticales. Conditionnement : 1 L Consommation : 5 à 10 m2/couche Prix de vente conseillé : 15,95 euros TTC Points de vente : Négoces en matériaux SX725 – Saturateur terrasses Anti-glisse, anti-tache Le saturateur terrasses SX725 CECIL PRO est destiné à tous les bois extérieurs horizontaux : terrasses, escaliers, abords de piscine, caillebottis… et à toutes les essences de bois (exotiques, feuillus, résineux…). Sa formule à base d’huiles naturelles en phase aqueuse pénètre et nourrit en profondeur le bois pour le protéger durablement des UV et des intempéries. Le SX725 offre également au support une excellente résistance aux taches et à l’eau chlorée, grâce à son effet perlant, et un fort pouvoir antiglisse, même sur le bois mouillé. Ce pouvoir anti-glisse, conforme au PN24 selon la norme AFNOR XP P05-11, rend le saturateur idéal pour les terrasses et les abords de piscine. Sa finition mate préserve l’aspect naturel du bois et met en valeur son veinage. Il s’applique très facilement, sans essuyage, à la brosse ou au rouleau. Non filmogène, il ne s’écaille pas pour un entretien facile par simple ré-application. Conditionnement : 1 L, 5 L, 10 L – Consommation : 10 à 14 m2/L en 2 couches – Teintes : Incolore, Teck, Cèdre gris Prix de vente conseillé 5 L : 89,95 euros TTC – Points de vente : Négoces en matériaux OPAQ SX – Saturateur Opaque Rénove les terrasses en bois et bois composite vieillies et abîmées Spécialement étudié pour protéger les bois horizontaux (terrasses, escaliers, caillebottis…), le saturateur OPAQ SX CECIL PRO convient à toutes les essences exotiques, feuillus, résineux, bois autoclavés, mais aussi les bois composites. Ses 4 teintes modernes et son bel aspect mat embellissent et valorisent les bois anciens. Le saturateur OPAQ SX redonne de la couleur aux bois vieillis et grisaillés, et rénove les bois composites délavés et tachés. Son fort pouvoir opacifiant masque les défauts du bois et uniformise son aspect, tout en conservant la structure naturelle du bois au toucher. Le OPAQ SX pénètre parfaitement le bois pour une protection durable des surfaces contre les UV, les intempéries, les chocs et les taches. Ses pigments colorés apportent également une protection anti-UV supplémentaire. Son pouvoir antiglisse, conforme PN12 selon la norme AFNOR XP P05-11, en fait un saturateur adapté aux terrasses. Facile à appliquer, en 2 couches à la brosse ou au rouleau, il ne nécessite pas d’essuyage. Enfin, il ne s’écaille pas, ce qui simplifie l’entretien du support par simple ré-application. Conditionnement : 1 L, 5 L, 10 L – Consommation : 10 à 14 m2/L en 2 couches – Teintes : Wengé, Teck, Bois grisé, Anthracite Prix de vente conseillé 5 L : 99,95 euros TTC – Points de vente : Négoces en matériaux  
Il y a 4 ans et 345 jours

NOUVELLE GAMME DE VIS À BOIS FISCHER : POWER-FAST II – Vis à bois, la nouvelle génération haute performance

fischer est devenu la référence en matière de vissage avec sa gamme Power-Fast, des vis à bois haute qualité, aux propriétés technologiques uniques. Impressionnantes par leur facilité d’utilisation, les vis Power-Fast réalisent un vissage rapide et confortable, une pose aisée et assurent un travail propre, sans fendage du bois. Aujourd’hui, fischer va encore plus loin avec une nouvelle génération de vis à bois, la Power-Fast II, plus technique, avec une accroche et une pénétration encore plus faciles et plus rapides, une finition particulièrement soignée et une mise en œuvre qui nécessite un minimum d’efforts pour un maximum de productivité. Avec un revêtement plus respectueux de l’environnement et une compatibilité avec les chevilles nylon, les vis Power-Fast II fischer vont rapidement s’imposer sur tous les chantiers. Vis à bois Power-Fast II : Marquage CE et ATE 11/0027 La nouvelle gamme de vis fischer Power-Fast II dispose du marquage CE et bénéficie de l’Évaluation Technique Européenne (ATE), qui garantit aux professionnels un standard de qualité, des résistances en charge extrêmement élevées et une meilleure productivité. Une fixation encore plus rapide et plus nette (1) L’empreinte de la tête de vis est profonde ce qui garantit un parfait positionnement de l’embout sur la vis et diminue considérablement le risque de ripage. (2) La tête de vis a été optimisée. Les fraisoirs à facettes inversés assurent une découpe parfaite des épissures de bois lors d’assemblages bois sur bois, garantissant une finition propre et nette. Les surfaces ne sont ainsi ni abîmées, ni fissurées. De plus, elle permet une fixation optimale de pièces métalliques sur du bois, les fraisoirs inversés n’altérant pas la pièce métallique à fixer. La vis Power-Fast II réduit de manière importante la résistance au vissage et le temps de mise en œuvre. Grâce à la nouvelle géométrie brevetée du (3) filetage à angle asymétrique sans vrille de coupe, (4) au moletage, (5) aux doubles filets sur les premiers pas de vis et au revêtement anti-frottement haute performance, le vissage est nettement plus rapide et sans effort. Par ailleurs, les doubles filets permettent une évacuation rapide de la poussière de perçage vers la surface, assurent une avance continue de la vis et réduisent significativement les distances aux bords et entre les vis. La géométrie spéciale de la Power-Fast II en fait la 1er vis parfaitement compatible avec des chevilles nylon ! (6) Le filetage, jusqu’à la pointe, garantit un centrage très précis de la vis dans le support et une accroche immédiate dans le bois, sans aucun pré-perçage, ni risque de glisser ou de quitter sa position initiale. Son revêtement zingué blanc, sans chrome VI (Cr3) est plus respectueux de l’environnement et des utilisateurs. La nouvelle gamme de vis à bois Power-Fast II est disponible en 3 têtes de vis : tête fraisée, tête ronde et tête fraisée bombée en filetage partiel et filetage total. La nouvelle gamme Power-Fast II Points de vente : Négoces en matériaux, Négoces Professionnels, GSB
Il y a 4 ans et 345 jours

Écologie, inclusion et souveraineté, le triptyque compliqué de la croissance post-Covid

Cette crise "va être une accélération de transformations qui étaient déjà latentes dans nos économies", a prédit la présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde, présente en visioconférence à ce rendez-vous organisé normalement à Aix-en-Provence mais relocalisé cette année à Paris en raison de la pandémie."En fabrication, en travail, en commerce, ce que nous venons de vivre va accélérer les transformations et va entraîner probablement une évolution vers un mode vie plus soutenable et plus écologique", a-t-elle ajouté.Selon l'OCDE, le recul du produit intérieur brut mondial devrait atteindre au moins 6% cette année, et 7,6% en cas de deuxième vague épidémique, tandis que le rebond attendu pour 2021 serait de 5,2% sans retour du coronavirus, et de 2,8% avec."La bonne nouvelle (...), c'est que l'économie peut devenir le bras armé d'une transition écologique et d'une responsabilité sociale", a souligné Yannick Jadot, député européen écologiste tout en regrettant une "conditionnalité environnementale" et sociale insuffisante des mesures de soutien en France.Pourtant, les plans de relance de la croissance annoncés ou en préparation en Europe sont souvent placés par les gouvernements sous le signe de la transition écologique et énergétique.L'Allemagne va par exemple doper les primes à l'achat de véhicules électriques, la France envisage d'accélérer la rénovation énergétique des logements, et les deux Etats veulent aussi soutenir les investissements dans l'hydrogène, considérée comme une énergie propre d'avenir.La commission européenne souhaite aussi que le plan de relance européen de 750 milliards d'euros en négociation privilégie les investissements verts, quand certains Etats, notamment à l'Est de l'Europe, y sont moins enclins.La transition climatique "n'est plus une question de choix", mais "une évidence et même une nécessité", qui "n'est pas contraire au développement économique", c'est même "un formidable levier de prospérité si nous posons les bons choix", a défendu dimanche le président du Conseil européen, Charles Michel.Produire plus propre"Cette crise qui reste sanitaire et économique (...) nous a réveillés sur l'importance de l'écologie", a estimé la secrétaire générale de l'Organisation internationale de la francophonie, Louise Mushikiwago. "Ça a réveillé en nous la peur de ce qui pourrait arriver si on ne fait pas plus attention aux questions écologiques.""La montée de l'exigence environnementale est très claire avec un lien qui s'est fait entre la santé, le bien-être et la protection de la planète", a aussi constaté Pierre-André de Chalendar, PDG du groupe Saint-Gobain.Selon lui "la croissance durable et inclusive (pour les défavorisés) passe par l'industrie", à même selon lui de garantir notre souveraineté, la pandémie ayant fait éclater au grand jour notre dépendance de chaînes d'approvisionnement mondialisées.Pour l'économiste Hélène Rey, "le choc de la Covid a montré l'impasse d'une stratégie de décroissance pour combattre le changement climatique", car "les émissions de gaz à effet de serre n'auront baissé que de 8% en 2020", bien loin de ce qui est nécessaire limiter le réchauffement climatique.Donc, "la seule solution est de transformer notre système de production" grâce à des investissements massifs dans la recherche et à un prix du carbone qui oriente les investissements vers les technologies vertes, a-t-elle conclu.Et pour éviter une crise sociale comme celle que la France a connue avec le mouvement des gilets jaunes, "il faut redistribuer le dividende carbone aux citoyens de la façon la plus progressive possible et protéger les gens les plus fragiles", prévient Mme Rey.Acheter européenLa crise a aussi mis au jour la nécessité de relocaliser des productions stratégiques en Europe, pour protéger sa souveraineté et créer des emplois."Depuis 40 ans, nous avons comme objectif le consommateur", explique l'économiste Patrick Artus, qui rappelle qu'"on a délocalisé pour faire baisser les prix"."Nous avons construit une Europe de consommateurs et pas une Europe de travailleurs", abonde le PDG de Total Patrick Pouyanné."Je ne comprends toujours pas qu'on ne puisse pas avoir un Buy European Act en Europe, alors que les Américains l'ont, les Chinois l'ont", ajoute ce patron en référence à la loi américaine de 1933 qui impose à l'Etat fédéral d'acheter des produits fabriqués aux Etats-Unis.
Il y a 4 ans et 345 jours

« L’incertitude devient aujourd’hui un moteur » Martin Robain

Et si le confinement marquait le temps des idées ? Amateur de concepts, Martin Robain, associé fondateur d’architecturestudio (AS), président de l’Académie d’architecture de 2019 à 2020, use de la situation avec ses associés pour forger plus avant une nouvelle « théorie de la pratique ». De mars à juin 2020, durant le confinement et jusqu’au déconfinement, l’Académie […] L’article « L’incertitude devient aujourd’hui un moteur » Martin Robain est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 345 jours

La prime Macron 2019 a généré quelques effets d'aubaines pour les entreprises, selon l'Insee

"Bien qu'ils y soient plus élevés, les salaires (hors prime exceptionnelle) ont plus faiblement progressé entre le premier trimestre 2018 et le premier trimestre 2019 dans les établissements ayant versé la prime que dans les autres (écart de dynamisme de 0,4 point)", relève l'Insee."Des établissements auraient sans doute versé, sous une forme différente, au moins une partie du montant de cette prime en l'absence de cette mesure", poursuit l'Insee, qui s'est penché sur cette prime dans le cadre de son dossier 2020 "étude, emploi, chômage, revenus du travail".Cette prime, exonérée de cotisations sociales et d'impôt sur le revenu, pouvait aller jusque 1.000 euros.Au 1er trimestre 2019, "plus de 400.000 établissements ont versé près de 2,2 milliards d'euros à 4,8 millions de salariés, soit en moyenne 401 euros par salarié bénéficiaire"."39% des salariés de l'ensemble des établissements de 1.000 salariés ou plus (que ceux-ci recourent ou non au dispositif) ont réellement bénéficié de la prime, contre 15% dans les établissements de moins de 10 salariés", détaille l'Institut national de la statistique.Les secteurs de la finance ou de l'assurance ont plus versé cette prime que le commerce, le transport, certaines activités de services ainsi que l'industrie agroalimentaire, ou encore l'hébergement-restauration.Au premier trimestre 2019, "le salaire moyen par tête (SMPT) a augmenté de 2,7% sur un an, soit la plus forte augmentation depuis 9 ans. En excluant de la masse salariale les 2,2 milliards d'euros perçus par les salariés au titre de la prime, le SMPT n'aurait progressé que de 1,3% sur un an", détaille l'Insee, soit une "progression inférieure à celles des trimestres précédents ou suivants (supérieures à 1,5%), ce qui renforce l'hypothèse d'effets d'aubaine".
Il y a 4 ans et 345 jours

Bardages et vêtures : le triomphe du design

Le bardage s’impose sur les ouvrages à la faveur de grandes tendances : isolation par l’extérieur, multifonctionnalité et personnalisation des façades.
Il y a 4 ans et 345 jours

Le Cese en passe d'être à nouveau réformé

Le Cese, c'est quoi ?Créée en 1925 sous le nom de Conseil national économique, cette institution est la troisième assemblée de la République. Elle conseille le gouvernement et le Parlement sur les lois et les orientations des politiques publiques, mais ses avis, entre 25 et 30 par an, ne sont que consultatifs et restent donc peu audibles.Ses membres représentent la société civile (syndicats, entreprises, agriculteurs, artisans, associations, organisations de jeunesse)...Beaucoup de ses travaux résultent d'auto-saisines. Cette assemblée est présidée depuis décembre 2015 par l'ex-dirigeant du Medef Patrick Bernasconi.Sis au palais d'Iéna à Paris, le Cese a tout dernièrement abrité les travaux de la Convention citoyenne pour le climat.Des voix se lèvent régulièrement pour critiquer son coût, demander sa suppression ou sa fusion avec le Sénat - proposition que le général de Gaulle avait soumise au référendum en 1969, essuyant un échec.En 2019, 20% des contributeurs du site du "grand débat", organisé dans la foulée du mouvement des "gilets jaunes", ont proposé de le supprimer.Le budget, voté par le Parlement, était de 40,23 millions d'euros en 2019, stable depuis quelques années. Le Cese avait été épinglé en 2015 par la Cour des comptes sur la gestion des indemnités et le temps de travail.Que prévoit la réforme ?Annoncée en 2018 par Emmanuel Macron, le projet de loi organique (12 articles qui modifient l'ordonnance du 29 décembre 1958, selon le texte dont l'AFP a obtenu copie) vise à en faire une "chambre des conventions citoyennes", selon Emmanuel Macron.Le Cese pourra désormais être saisi par pétition électronique, et non plus seulement par écrit. Avec toujours le seuil de 500.000 personnes.Ce seuil n'a été atteint qu'une seule fois, en février 2013, par des opposants au mariage pour tous qui demandaient d'ouvrir un débat sur ce sujet. Le Cese a alors jugé cette demande irrecevable, estimant qu'il n'était pas habilité à émettre un avis sur un projet de loi examiné par le Parlement.Autre changement: 175 membres contre 233 actuellement, avec la répartition suivante: 52 personnes représentants des syndicats, 52 du patronat (entreprises, artisans, agriculteurs...); 45 des activités "relevant des domaines de la cohésion sociale et territoriale et de la vie associative" et 26 de la protection de la nature et de l'environnement.Nouvelle mission: recours, à son initiative ou à la demande du gouvernement, à la consultation du public, en procédant à des tirages au sort pour déterminer les participants. Le Cese l'a déjà testé lors d'une consultation pendant le mouvement des "gilets jaunes" et pour la Convention pour le climat.Qu'en disent les partenaires sociaux ?Patrick Bernasconi a toujours salué la réforme, notamment le tirage au sort, "un aboutissement" et un "renforcement de la démocratie participative".Thierry Cadart, de la CFDT, est aussi "très satisfait" que le Cese soit le lieu de la consultation citoyenne, car il garantira "l'indépendance" et évitera "l'instrumentalisation". Le "Cese avait beaucoup besoin de se moderniser".Alain Griset, de l'U2P (artisans, commerce de proximité), se dit "réservé" sur les critères des tirages au sort et prudent quant à l'impact de la réforme sur l'attitude de l'exécutif vis-à-vis des futures préconisations du Cese. "Si on est dans la philosophie de tenir compte de ce que dit le Cese, comme Emmanuel Macron l'a fait pour la Convention citoyenne pour le climat, alors on va dans le bon sens".Jean-Michel Pottier (CPME) se félicite de l'"équilibre général" du projet, avec le maintien des missions d'évaluation et de consultation. "Ce n'est pas évident pour le grand public, mais les avis du Cese finissent pas être distillés auprès des élus et dans le processus législatif".Inquiets, Philippe Martinez et Yves Veyrier, les numéros un de la CGT et FO, ont chacun écrit à Edouard Philippe à propos de l'article 6 qui prévoit qu'en cas de consultation du Cese sur un projet de réforme économique, sociale ou environnementale, le gouvernement ne procède pas aux consultations prévues par la loi. Or le Code du travail oblige à une "concertation préalable" des corps intermédiaires.
Il y a 4 ans et 345 jours

UNTEC : le rendez-vous des professionnels de la construction revient les 9 et 10 septembre 2020

Les 9 et 10 septembre 2020 retrouvez le congrès de l’UNTEC, rendez-vous des professionnels de la construction à Angers.  Cette année, le congrès traitera des ruptures en cours : économiques, climatiques, digitales et sociales. « Quels sont les enjeux et témoignages de professionnels et d’acteurs de la filière BTP quant à la rupture environnementale ? Quels sont les enjeux, risques et opportunités pour l’économie et la filière BTP de ces trois ruptures : climatique, digitale, sociale ? Quels sont les enjeux en matière de Responsabilité Sociale et Environnementale pour les entreprises et les cabinets d’économistes de la construction ? Comment la « force de l’humain » peut résoudre des ruptures grâce à la confiance ? » 4 thèmes qui seront abordés lors des conférences. Durant 2 jours : Assistez à des conférences et tables-rondes sur l’intelligence artificielle avec des intervenants experts et reconnus. Découvrez les dernières innovations produits et techniques de la filière construction avec les nombreux exposants présents. Réalisez des rendez-vous d’affaires pendant l’événements sur les espaces dédiés. Rencontrez d’autres professionnels du secteur. L’Untec est depuis 1972, la seule organisation patronale représentative des économistes de la construction en France, qui comptent environ 8 500 entreprises réparties sur l’ensemble du territoire. Conformément à ses statuts, l’Untec a notamment pour objet : de représenter et défendre les intérêts généraux de la profession des économistes de la construction dans ses rapports avec les pouvoirs publics ;  de participer à l’élaboration de la formation initiale et continue de la profession des économistes de la construction ; d’assurer les règles de concorde, de capacité et de probité professionnelle de ses membres au regard du Code de déontologie de la profession ; de promouvoir la profession auprès de tous les acteurs du secteur de la construction et de l’économie en France   Plus d’informations sur le site de l’événement : http://www.congreseconomistes.com/
Il y a 4 ans et 345 jours

Sto enrichit ses panneaux PSE de nouvelles possibilités pour des chantiers propres et plus rapides

La fabrication et le contrôle qualité y sont si rigoureux que le polystyrène à billes jaunes a été très vite adopté par les professionnels de la façade. Pour répondre aux attentes de ses clients en quête de productivité et de développement durable, Sto enrichit aujourd'hui son offre de nouvelles possibilités et de nouveaux services.Une qualité de panneaux PSE signée StoLa qualité de l'isolant joue un rôle clé dans celle du système d'ITE. « Une précision d'horloger » : c'est ainsi que Sto caractérise les procédés de fabrication et de contrôle de ses panneaux isolants en polystyrène expansé blanc (Sto-Panneau Polystyrène PS15SE) et graphité (Sto-Panneau Isolant Top31).Fabriqués sur un site ultra moderne, situé à Amilly, près de Montargis (45), ils conjuguent une très haute précision de découpe, grâce à un système de fils chauds à vibrations pendulaires, avec une excellente performance thermique (λD = 0,031 W/(m*K) pour le polystyrène graphité Top31 et λD = 0,038 W/(m*K) pour le polystyrène blanc PS15SE) grâce à la technologie InnoPearls®. Ces billes jaunes brevetées, très faciles à reconnaître, jouent le rôle de traceur pour identifier la qualité Sto. Les panneaux isolants sont conformes à la norme EN 13163 et EN 13501-1 (classement feu E). La fabrication du panneau permet à Sto d‘en maîtriser toutes les étapes de production et de contrôle qualité.Les panneaux PSE de Sto sont reconnus par les professionnels pour leur qualité de surface, leur cohésion, leur équerrage et leur stabilité dimensionnelle. Ces atouts font gagner un temps précieux sur le chantier par rapport à d'autres panneaux du marché moins réguliers, qui nécessitent des coûts supplémentaires de main d'œuvre pour le calage et le ponçage.NOUVEAU : plus besoin de filets de protection UV sur les échafaudages pour protéger le Sto-Panneau Top31 avant enduisageConformément à la note du Groupe Spécialisé n°7 annonçant la prochaine modification du cahier de prescriptions techniques (CPT 3035-V3), les panneaux isolants en polystyrène expansé graphité Sto-Panneau Top31 ne nécessitent plus la mise en œuvre d'un bâchage de protection d'échafaudage spécifique ne laissant pas passer plus de 30% de l'énergie solaire. Un avantage intéressant pour les entreprises de pose qui va leur permettre un gain de temps, une maniabilité, une économie, un confort et une rapidité lors de la mise en oeuvre sur les chantiers.NOUVEAU : Un collage rapide des panneaux PSE grâce à la nouvelle colle Sto-Turbofix MiniDernière nouveauté signée Sto, Sto-Turbofix Mini est une mousse polyuréthane expansive pensée pour faciliter et accélérer le collage du système d'ITE StoTherm Vario avec isolant thermique en polystyrène issu de la technologie InnoPearls de Sto.Ses avantages sont multiples : aucun temps de préparation, une bonne adhérence 2 heures seulement après la pose sur pratiquement tous les supports, un format compact, une utilisation polyvalente (elle convient également pour les petites surfaces, les encadrements et les réparations), pas de nettoyage quotidien des outils et machines.NOUVEAU : Un service de récupération et de valorisation des chutes de PSE pour des chantiers plus propres et respectueux de l'environnementEn tant que leader du marché français pour l'ITE, Sto ambitionne de s'inscrire dans une dimension éco circulaire. La signature en 2020 d'une convention de recyclage avec un partenaire en est la première étape. Sto procède désormais à la reprise des chutes de chantiers émanant de ses produits isolants en PSE.Dès la vente de ses produits, ce service de collecte est proposé aux clients. Les chutes propres et triées par le client sont enlevées pour être acheminées vers le site de retraitement agréé le plus proche. Les chutes d'ITE sont ensuite revalorisées pour devenir de nouvelles matières premières pour la fabrication d'autres produits comme par exemple des dalles acoustiques ou des bétons allégés.
Il y a 4 ans et 345 jours

Panasonic équipe le premier quartier intelligent de Berlin d'un chauffage presque sans CO² pour 90 foyers

À Berlin, l'installation concerne des logements à la fois écologiques et durables, numériques et connectés. Pour ce faire, des solutions énergétiques intelligentes sont utilisées, notamment les pompes à chaleur air-eau, les panneaux photovoltaïques (PV) et les batteries de stockage haute efficacité de Panasonic, le tout intégré à un système de gestion de l'énergie efficace et intelligent.Junichi Suzuki, PDG de Panasonic Europe B.V explique : « Forts de plus de 60 ans d'expertise en matière de chauffage et de climatisation, et de plusieurs décennies d'expérience dans les solutions PV et de batterie, nous apportons au projet toute notre passion de l'innovation afin de façonner l'avenir des générations futures. »Panasonic a connu une forte croissance des ventes dans les secteurs de l'énergie en Europe, notamment une croissance à deux chiffres des ventes de pompes à chaleur air-eau ces 10 dernières années. En 2019, l'entreprise s'est en outre engagée à développer le secteur des équipements résidentiels d'économie d'énergie d'ici 2025.Gestion efficace de l'énergiePour Panasonic, Future Living® Berlin constitue une expérience déterminante dans la mise au point de solutions énergétiques de pointe. Ce projet marque une étape vers l'atteinte des objectifs définis dans sa stratégie.Les experts de l'énergie et les ingénieurs logiciels du centre de R&D de Panasonic en Europe ont développé une solution intelligente de gestion de l'énergie afin d'optimiser l'utilisation de l'énergie générée en local et d'associer le secteur de l'énergie renouvelable à celui du chauffage. Le contrôle intelligent associe les pompes à chaleur à d'autres technologies vertes et efficaces de Panasonic, parmi lesquelles les panneaux PV et des systèmes de stockage de l'énergie optionnels. Ces technologies ont été intégrées à une solution efficace d'économie d'énergie qui est non seulement contrôlée, mais aussi constamment optimisée par la solution intelligente de gestion de l'énergie de Panasonic.Ralf Becker, Responsable de projet du groupe Énergie au sein du centre européen de R&D de Panasonic, précise : « Cette solution est une première mondiale. Il s'agit d'un projet commun avec de grandes institutions de recherche, l'objectif étant de parvenir à une gestion décentralisée de l'énergie. Des laboratoires de test universitaires ont procédé à des simulations, qui ont montré que nous obtenions une amélioration de la consommation d'énergie allant jusqu'à 15 %. »Une solution phare pour des habitats durablesLe composant énergétique central de l'objectif d'écologie et de développement durable du projet Future Living® Berlin n'est autre que la gamme de pompes à chaleur air-eau Aquarea de Panasonic. Dotées d'une technologie à fort rendement énergétique, ces pompes fonctionnent presque sans carbone lorsqu'elles sont alimentées par l'énergie renouvelable fournie par les 600 panneaux HIT de Panasonic, dont la puissance s'élève à 195 kWc.Grâce à la technologie silicium brevetée, le système photovoltaïque de Panasonic offre une efficacité 10 % plus élevée que les modules traditionnels. De plus, en raison de son coefficient de température exceptionnel, la technologie HIT de Panasonic garantit des performances nettement supérieures dans les environnements chauds, un avantage essentiel dans la lutte contre le réchauffement climatique.En s'appuyant sur une énergie renouvelable, le système air-eau assure le chauffage des locaux et fournit de l'eau chaude. Pour des performances et une fiabilité accrues, les pompes à chaleur incluent une fonction de connectivité via le cloud pour les installateurs : Aquarea Service Cloud. Cette fonction contribue à la réduction des émissions de CO2, dans la mesure où les visites de maintenance peuvent être organisées de manière bien plus efficace, voire effectuées en partie à distance.Ces solutions énergétiques sont associées avec le système Aquarea Smart Cloud, qui permet aux utilisateurs finaux de suivre leur consommation et de gérer les paramètres de température en conséquence. Le rendement et le confort s'en trouvent accrus, tandis que la consommation gagne en transparence.Pour atteindre des objectifs plus ambitieux en matière d'écologie et de développement durable, les résidents s'intègrent à un environnement écologique plus large : partage de véhicules verts, partage de machines à laver et solutions énergétiques Panasonic.Confort connectéL'objectif numérique et connecté du projet Future Living® Berlin débute avec les appartements résidentiels. Leur équipement doit être intelligent et connecté, avec notamment des téléviseurs et des haut-parleurs intelligents Panasonic intégrés à une infrastructure IoT globale, qui inclut un gestionnaire d'appartement comme hub central.Les solutions numériques et connectées sont encore étendues afin d'inclure davantage de solutions de sécurité et de construction intelligente, dans le but d'améliorer le confort général des résidents.M. Suzuki continue : « Future Living® Berlin incarne le mode de vie du futur : comment vivre demain en nous concentrant sur des logements sociaux, numériques et connectés, mais aussi écologiques et durables. »Dans le cadre du projet de ville intelligente, Panasonic est associé à GSW Sigmaringen, le propriétaire des bâtiments concernés par Future Living® Berlin.
Il y a 4 ans et 345 jours

"L'économie circulaire va s'imposer", Rafael Rodriguez, DG France et Europe du sud de Rockwool

Pour le directeur général France du spécialiste de l'isolation en laine de roche, la "recyclabilité" des produits et un mode de production plus vertueux seront les atouts maîtres sur un marché qui sera porté dans les années qui viennent par la rénovation des logements.
Il y a 4 ans et 345 jours

Udirev dévoile les tendances 2019 des sols décoratifs

Une couverture nationale, un historique avéré et une forte expertise permettent aujourd'hui à UDIREV de restituer un panel représentatif des catégories de revêtements de sols plébiscités sur le marché français.Une progression à deux chiffres pour 3 familles de produitsLVT, sols stratifiés et parquets bois sur le devant de la scèneEn 2019, ce sont les segments LVT, dalles et lames vinyles (+11,93%) et stratifiés (+11,53%) qui ont enregistré les plus fortes progressions en volume (m²). Un vrai succès pour ces solutions modernes portées par des innovations technologiques (durabilité, qualités phoniques, Avis Techniques…) et par des systèmes de pose séduisants et sécurisants. Ils sont suivis de près par les parquets bois (+11%) qui opèrent un beau retour et s'affichent de nouveau comme une tendance forte et pérenne du cadre de vie. Une répartition des ventes dominée par les solutions pvcLes solutions vinyles sur le haut du podiumEn 2019, les sols vinyles confirment leur succès et constituent plus de 60% des ventes chez UDIREV. Même si le vinyle en rouleau perd du terrain et progresse moins que les solutions en dalles et lames, il garde une belle part de marché (28%). Les tendances en détailLVT, en constante progressionLe succès se confirme pour le segment des dalles et lames vinyles. Avec une progression de +11,93% ce type de revêtement aisé à mettre en œuvre, créatif et à haut pouvoir décoratif remporte les suffrages. La lame PVC clipsable est appréciée pour les projets de rénovation où sa simplicité de pose est un atout. Anticipant l'engouement pour ces sols nouvelle génération, UDIREV crée depuis 10 ans des collections de LVT sous la marque LIBERTY. Aujourd'hui le groupe positionne clairement LIBERTY comme sa marque d'édition. Les associés témoignent de ventes boostées par les lancements des gammes LIBERTY de LVT rigides. Outre les nombreux avantages liés aux lames PVC, ces produits se caractérisent par un cœur rigide qui augmente encore la résistance à l'usure et la stabilité dimensionnelle. Stratifiés, l'alternative éléganteLes ventes de sols stratifiés progressent de 11,53% en 2019. Traitements hydrofuges, simplicité de pose, grand choix de décors en font des sols faciles à vivre et à entretenir. À noter que sur ces gammes, ce sont les imitant bois clairs, voire blanchis, qui ont la faveur des professionnels, répondant ainsi à la tendance « esprit scandinave » qui perdure en 2019.Un beau retour du parquet boisAvec une progression des ventes de 11%, le parquet bois retrouve une belle place dans le cœur des décorateurs et architectes d'intérieur. Chaleureux et robustes, les nouveaux parquets ont su évoluer en termes de système de pose, de finitions et de formats. Le parquet en chêne massif séduit par son aspect chaleureux et authentique évoquant les planchers d'autrefois. Ses nombreuses qualités (résistance à l'usure, stabilité dimensionnelle, grande variété des finitions et des teintes…) en font une valeur sûre qui s'adapte à tous les styles d'intérieur, ancien ou contemporain. Déjà bien présent sur ce segment avec sa marque UDIWOOD, UDIREV acte ce retour en grâce du parquet et lance de nouvelles collections UDIWOOD de parquets chêne en 2020, déclinées en quatre qualités de bois et en de multiples teintes de finition.Moquette, place à la douceurLa moquette fait l'objet d'un regain d'intérêt avec une progression de plus de 4% des ventes. Elle semble enfin sortir des (fausses) rumeurs qui courent à son sujet et les projets s'en ressentent ! Ce revêtement particulièrement doux et confortable fait son come-back dans les chambres et salons mais également dans le secteur tertiaire où la moquette en dalles équipe de nombreux bureaux et lobbys.UDIREV en 2019C'est une belle progression des ventes qu'annonce le premier réseau de distribution professionnel dédié aux revêtements de sol. Le chiffre d'affaires consolidé 2019 est de 223 millions d'euros contre 216 millions en 2018. UDIREV est fort d'un réseau national de plus de 80 points de vente animés par près de 720 collaborateurs. Chaque année, de nombreuses missions d'aide à la vente, de communication et de lancement de nouvelles gammes sont menées dans l'intérêt de ses associés et de la filière professionnelle. UDIREV est le représentant français de HOMEDECOR INTERNATIONAL GROUP (association qui compte, parmi ses 12 adhérents de 9 pays, les plus importantes entreprises nationales spécialisées dans les revêtements de sols). UDIREV est également membre de l'UFTM (Union Française des Tapis et Moquettes) et de la FND (Fédération Nationale de la Décoration).
Il y a 4 ans et 345 jours

Concours Acier 2020, un palmarès sous «Turbulences»

Quelques heures seulement après sa nomination, la nouvelle ministre de la Culture Roselyne Bachelot a pu découvrir une lettre ouverte signée des enseignants des écoles d'architecture et dénonçant la précarité de leurs confrères contractuels et vacataires. Une action lancée le 4 mars 2020, qui regroupe désormais […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 346 jours

Inondations (1/3) : Le territoire à l'épreuve du risque

Parmi les risques climatiques, celui des inondations est le plus important en métropole. À l'échelle du territoire, le risque est cartographié et des mesures de prévention appliquées en fonction des zones.
Il y a 4 ans et 347 jours

Wellio @cité numérique, Bordeaux, signé Studios Architecture

L’agence internationale Studios Architecture (Studios Paris compte 11 associés et 60 collaborateurs) a imaginé et développé, pour Wellio, un nouveau site à la pointe des nouvelles méthodes du pro-working, conjuguant l’ancien et le nouveau pour favoriser l’innovation. Dans la Cité Numérique d’Alexandre Chemetoff, Wellio a inauguré son nouvel espace en janvier 2020. Communiqué. Dans un […] L’article Wellio @cité numérique, Bordeaux, signé Studios Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 347 jours

L'Espagne tourne le dos au charbon

Aujourd'hui, "il est moins cher de produire avec des énergies renouvelables qu'avec du charbon", explique à l'AFP l'avocate environnementaliste Ana Barreira, directrice de l'Institut international de droit et environnement.Elle estime que l'ensemble des centrales espagnoles pourraient être fermées en 2025.Une échéance due uniquement aux décisions des entreprises propriétaires car en Espagne, contrairement à la France ou l'Allemagne, le gouvernement n'a jamais fixé de date de fermeture contraignante.Ces huit usines, sur quinze encore en activité, représentaient une puissance cumulée de 5,16 gigawatts, selon la plateforme d'ONG "Un futuro sin carbon" (Un avenir sans charbon).Leur fermeture permettra de diviser par deux la capacité de production d'énergie au charbon de l'Espagne, à 4,7 gigawatts selon ces ONG.Situées majoritairement dans le nord-ouest de l'Espagne (provinces de Galice, Asturies, Leon), ainsi qu'à Teruel (nord-est) et dans la province de Cordoue (sud), elles appartiennent aux groupes espagnols Naturgy, Iberdrola et Viesgo, à l'hispano-italien Endesa (propriété de Enel), qui ont tous confirmé à l'AFP l'arrêt de leurs opérations.L'une des centrales d'Iberdrola n'a pas encore reçu l'autorisation gouvernementale de démantèlement mais cessera d'opérer, conservant seulement un stock de charbon de secours.Le sort des centrales à charbon était décidé depuis longtemps par leurs propriétaires: l'arrêt des opérations au 30 juin correspond à la fin de la période de transition accordée à ces usines pour se mettre en conformité avec la directive européenne sur les émissions industrielles.InévitableOr, ces groupes énergétiques "n'ont pas fait les investissements nécessaires" pour continuer à les exploiter, un choix délibéré, a expliqué à l'AFP Tatiana Nuño de Greenpeace."Ces décisions répondent à des logiques de marché des entreprises électriques", pour lesquelles ces centrales "n'étaient plus rentables", détaille-t-elle, soulignant que "la majorité" de ces usines ne produisaient déjà quasiment plus d'électricité depuis de nombreux mois pour cette raison.Ces centrales "ne participaient plus au marché des prix de l'énergie car elles sont bien plus chères" que d'autres sources d'énergie, confirme un porte-parole d'Endesa.La fin de ces usines semblait inévitable depuis la fermeture des dernières mines de charbon fin 2018. Elle a été accélérée par l'évolution des prix de l'énergie.En 2019, le charbon ne représentait plus que 5% du total de l'électricité consommée contre 25% en 2007, selon l'opérateur du réseau électrique Red Electrica.Mais l'Espagne est encore loin de remplir ses engagements en matière d'énergies renouvelables: seuls 17,4% du total de l'énergie produite provenaient de sources renouvelables en 2018 (dernières données disponibles Eurostat), alors que l'objectif fixé avec Bruxelles est de 20% en 2020.L'Espagne avait pourtant été l'un des pionniers des énergies vertes dans les années 2000, mais leur développement fulgurant a été freiné net par la crise de 2008.Après plusieurs années de marasme, où le pays du soleil s'est notamment retrouvé distancé par l'Allemagne en matière de puissance photovoltaïque, l'appétit des investisseurs a repris depuis 2018, grâce à la rentabilité accrue des renouvelables, avec de gigantesques projets de parcs photovoltaïques.Même chose dans l'éolien, point fort du royaume, cinquième pays au monde en termes de capacité installées d'éoliennes. En 2019 selon le lobby européen WindEurope, le quart des financements de nouvelles installations en Europe concernait l'Espagne.Les multinationales énergétiques espagnoles s'y mettent aussi, comme Iberdrola, qui investit fortement dans les renouvelables même si la production à base d'énergie fossile représente encore les deux-tiers de son chiffre d'affaires.Reste à mesurer l'impact social de l'adieu au charbon. Le syndicat Commissions Ouvrières estime que 4.000 emplois (sous-traitants compris) pourraient être perdus lorsque toutes les centrales seront fermées.Les entreprises assurent, elles, travailler sur des solutions concertées, notamment des réaffectations sur d'autres sites et mettent en avant les emplois nécessaires aux futurs démantèlements.
Il y a 4 ans et 347 jours

A Dakar, le front de mer cède du terrain sous les assauts des promoteurs

Fin mai, un homme s'est présenté avec un permis et a entrepris de terrasser au pied de la colline pour construire un hôtel, causant la stupéfaction des habitants et des élus locaux, raconte Mamadou Mignane Diouf, de l'ONG Forum social.Pourtant, "ici, personne ne doit construire", dit-il, car la colline, surmontée d'un phare emblématique depuis 1864, est une zone verte protégée.La capitale sénégalaise, métropole de trois millions d'habitants en rapide expansion sous la pression de l'exode rural, se sent de plus en plus à l'étroit sur sa péninsule qui s'enfonce dans l'Atlantique.Depuis des années, les promoteurs ont pris pour cible son rivage de carte postale, érigeant hôtels et résidences de luxe et défigurant petit à petit le paysage en se jouant d'une législation complexe et peu appliquée.Les Dakarois ordinaires se plaignent de cette privatisation du littoral, qui réduit l'accès à la mer et aux plages dans une ville manquant cruellement d'espaces de loisirs collectifs.ElectrochocLa destruction d'une partie de la colline des Mamelles, bien que loin d'être un fait sans précédent, a constitué un électrochoc et soulevé de nombreuses protestations.Avec la colline voisine, surmontée de l'imposant monument de la Renaissance africaine, bâti par la Corée du Nord, les deux monticules volcaniques d'une centaine de mètres de haut portent le nom évocateur de "Mamelles". Elles sont un élément reconnaissables entre tous du paysage, auxquels les Dakarois sont attachés. Leurs abords sont déjà largement urbanisés.Après des protestations dans la presse et sur les réseaux sociaux, la police a interrompu le terrassement, qui laisse un trou béant au ton ocre."Ils ont déjà causé beaucoup de dégâts", regrette M. Diouf en parcourant un amas de gravats et en se demandant "pourquoi quelques privilégiés pensent qu'eux seuls ont droit d'accéder au littoral, de le privatiser, de le fermer et de permettre uniquement à eux et à leur famille d'y accéder au détriment des autres Sénégalais". Le ministre de l'Urbanisme, Abdou Karim Fofana, assure à l'AFP que le gouvernement du président Macky Sall, au pouvoir depuis 2012, travaille à une nouvelle loi de protection du littoral.Mais l'attribution sous les précédents régimes de titres de propriété et de permis de bâtir signifie que de nombreux projets immobiliers vont probablement se poursuivre, explique-t-il avec une dose de fatalisme."Il faut sauvegarder les parties non occupées, faire en sorte que les Sénégalais et la population dakaroise y aient accès", dit-il."La loi des plus forts"Pays pauvre de 16 millions d'habitants, le Sénégal s'est engagé dans un programme de développement et de modernisation. La construction d'autoroutes, le développement de carrières de calcaire et la construction à tout-va de logements pèsent sur l'environnement, déjà mis à mal par le changement climatique et la déforestation sauvage.Pour Marianne Alice Gomis, une élue dakaroise spécialiste d'urbanisme, "le problème principal vient des titres liés à la propriété foncière", le cadastre étant très lacunaire.La majorité des constructions à Dakar sont illégales, dit-elle, en soulignant que de nombreux responsables méconnaissent les codes urbanistiques.Mme Gomis cite en exemple un conflit qui oppose sa commune (subdivision de Dakar), Mermoz-Sacré-Coeur, au promoteur d'un projet d'appartements qui verrait le jours aux abords d'une des plus grandes plages. La commune de Mermoz affirme que le terrain litigieux se situe sur son territoire. Le promoteur détient un permis de bâtir, mais il a été délivré par une commune voisine.Le maire de Mermoz, Barthélémy Diaz, a qualifié l'opération "d'agression flagrante sur le domaine public maritime" et estimé qu'il "s'agit d'une contribution significative de ce promoteur à l'érosion côtière". "Et c'est cela qui est inadmissible", a-t-il ajouté. Balla Magassa, 43 ans, est propriétaire d'un petit bar sur ce qui reste de la plage des Mamelles, au pied de la colline. Déjà entouré de bâtiments, il craint d'être définitivement chassé par de nouveaux projets. "C'est simplement la loi des plus forts", dit-il.Texte
Il y a 4 ans et 348 jours

HOSPI-CAMP, l’hôpital de campagne modulaire selon AIA

Pour répondre aux besoins apparus à l’occasion de la pandémie de COVID19 et faire face à des situations sanitaires d’urgence, AIA Life Designers a dévoilé fin juin 2020 HOSPI-CAMP, une solution française d’hôpital de campagne, en partenariat avec LECO Construction, société de construction modulaire en ossature bois. Communiqué. La pandémie a révélé des besoins importants […] L’article HOSPI-CAMP, l’hôpital de campagne modulaire selon AIA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 348 jours

Budget : l'Assemblée aide les transports en IDF, les chambres de commerce et la rénovation énergétique

De la droite à la gauche, en passant par le groupe Agir ensemble, allié à la majorité, des députés de différents camps portaient la mesure pour les chambres de commerce, afin de revenir temporairement sur une baisse de leurs ressources, via la diminution d'une taxe affectée.Cette baisse de ressources devait accompagner la restructuration des chambres de commerce et la redéfinition de leurs missions.Contre ces amendements, le rapporteur général Laurent Saint-Martin (LREM) a regretté à "titre personnel" une tentative "de détricotage d'un projet de transformation publique". Ce "marcheur" a estimé que la mesure votée n'aurait pas l'effet escompté car elle modifie "des trajectoires et des ressources" des chambres de commerce, seulement "à partir de 2022".Le secrétaire d'Etat Olivier Dussopt a indiqué "qu'aujourd'hui" les éventuels problèmes de trésorerie des chambres de commerce "n'apparaissaient pas dans les prévisions" et qu'il n'y avait "pas urgence à intervenir".Certaines voix dans la majorité ont soutenu la mesure, comme la LREM Stella Dupont, critiquant les "suppressions d'emplois" dans les chambres de commerce et d'industrie (CCI)."Nous sommes en pleine gestion de crise, on est juste en train de demander un moratoire de quelques mois" sur la baisse des ressources, a aussi plaidé Olivier Becht (Agir Ensemble)."Il faut arrêter de penser qu'on peut faire plus avec moins", a complété Eric Coquerel (LFI), tandis que Marc Le Fur (LR) jugeait qu'il fallait "soutenir les CCI", même si "elles doivent évoluer".Les députés ont par ailleurs prévu, avec l'aval du gouvernement, d'étendre l'accompagnement financier des collectivités et de leurs autorités de transports à Ile-de-France Mobilités, via un amendement du rapporteur, déjà adopté en commission. Laurent Saint-Martin a précisé qu'un acompte de 425 millions euros était prévu dès promulgation du projet de loi, soulignant que ce n'est "pas à l'usager de payer".Des élus LR se sont émus qu'Ile-de-France Mobilités ait été "oublié" initialement, une "sacré bizzarerie" pour Eric Woerth, Gilles Carrez jugeant l'accompte de 425 millions "probablement insuffisant".Olivier Dussopt a souscrit "au montant" proposé et à la logique de l'amendement, défendant un traitement "ad hoc" pour Ile-de-France Mobilités.Jean-René Cazeneuve (LREM) a défendu un "effort tout à fait exceptionnel", jugeant que vouloir compenser l'intégralité des pertes des collectivités serait une manière de les "infantiliser".La présidente du conseil régional d'Ile-de-France, Valérie Pécresse, tire le signal d'alarme depuis plusieurs jours sur les pertes de recettes "abyssales" subies par les transports publics dans sa région en raison de la crise du coronavirus.Elle a réitéré mardi sa menace d'arrêter de payer la SNCF et la RATP le 8 juillet si l'Etat ne compensait pas les pertes subies.Selon elle, les quelque 425 millions promis par l'Etat représentent "15% des 2,6 milliards de pertes (...) que le Covid a générées pour Ile-de-France mobilités".Dans la soirée, les députés ont également débloqué 100 millions d'euros pour financer le dispositif "Ma Prime Rénov", qui est en train de remplacer pour les particuliers le crédit d'impôt à la transition énergétique (CITE).Le ministre de l'Action et des Comptes publics Gérald Darmanin a vanté un amendement "important" sur une prime "beaucoup plus efficace que le crédit d'impôt, plus sociale" et "plus écologiste", et qui "fonctionne très bien", avec quelque 47.000 dossiers déposés mi-juin.
Il y a 4 ans et 348 jours

CDC Habitat et Ile-de-France Energies nouent un partenariat

PASSOIRES THERMIQUES. Un accord signé entre CDC Habitat, appuyé de son GIE Grand Paris Habitat, et île-de-France Énergies, prévoit notamment l'achat de lots en copropriété par le bailleur social lorsque les propriétaires ne peuvent assumer les travaux de rénovation thermique.
Il y a 4 ans et 348 jours

Les attentes des Français sur le monde de demain

Pour les Français, la crise sanitaire que nous traversons va créer une rupture dans notre société : 72% d'entre eux estiment que rien ne sera comme avant lorsque la crise sera terminée.Les transformations plébiscitées par les Français laissent entrevoir un dénominateur commun : une aspiration forte à se réapproprier leur territoire de proximité. 60% des Français déclarent souhaiter modifier leur manière de consommer en privilégiant des achats locaux et 57% évoquent une volonté d'un retour à des rapports de proximité.La question de la reconsidération des territoires semble devenir une nécessité pour les Français, que ce soit sur leur manière de consommer, leur rapport aux autres, mais également sur leur engagement : 41% d'entre eux souhaitent s'impliquer davantage dans la vie de leurs communes.Les Français appellent à une action de l'État (pour 73% d'entre eux), des collectivités locales (pour 67% d'entre eux) et des entreprises (pour la moitié d'entre eux – 49%) pour opérer ces transformations et accompagner le développement économique et durable des territoires.Les principales attentes à l'égard de ces différents acteurs sont étroitement liées à la reconsidération des territoires de proximité : 62% des Français souhaitent que les villes soutiennent les commerçants locaux, près de la moitié des Français (46%) souhaitent que les entreprises relocalisent certaines de leurs activités, 42% des Français souhaitent que les entreprises soutiennent l'économie locale en privilégiant les circuits courts et 41% des Français souhaitent que les villes agissent sur leur impact environnemental et aillent vers plus de durabilité.La crise sanitaire qui impacte nos sociétés depuis plusieurs mois n'est pas sans conséquence sur les préoccupations et les attentes formulées par les Français quant au monde de demain. Pour 72% d'entre eux, cette crise va créer une rupture et transformer en profondeur leurs modes de vie, si bien que rien ne sera plus jamais comme avant.La crise les invite en premier lieu à reconsidérer leurs préoccupations, en se concentrant sur leurs besoins fondamentaux, avec en tête la santé (pour 54% d'entre eux). Arrivent ensuite des préoccupations liées à la crise économique générée par la crise : 42% se disent préoccupés par leur pouvoir d'achat, tandis que 27% le sont par l'emploi et 24% par les inégalités sociales. Ce contexte participe par ailleurs à donner une résonance plus forte à des préoccupations déjà présentes chez les Français. C'est le cas de l'écologie qui arrive en troisième position des préoccupations avec plus d'un tiers des répondants qui citent la protection de l'environnement (33%) et la lutte contre le réchauffement climatique (30%) comme une priorité.Pour ce qui est de leurs comportements, les changements anticipés par les Français au sortir de la crise laissent entrevoir un dénominateur commun : une aspiration forte à se réapproprier leur territoire de proximité.En effet, 60% des répondants anticipent une modification de leur manière de consommer et mentionnent notamment l'envie de faire des achats plus locaux, en circuit court et de privilégier les petits producteurs, surtout lors des courses alimentaires.En matière d'emploi, 59% des actifs déclarent anticiper un changement de leur rapport au travail et formulent de nouvelles attentes à l'égard des entreprises. En cohérence avec leurs aspirations à consommer plus local, 42% des Français considèrent que les entreprises doivent soutenir l'économie locale en privilégiant les circuits courts. Selon les Français, les collectivités locales et les entreprises sont en première ligne pour opérer ces transformations et accompagner le développement économique et durable des territoires.Au sortir de la crise, 96% des répondants estiment que les collectivités locales auront un rôle important à jouer (dont 67% un rôle primordial). Parmi les principales priorités, 62% considèrent que les collectivités devront soutenir les commerçants locaux et 41% qu'elles devront rendre les villes plus vertes et durables et engager des actions de rénovation des logements insalubres ou vétustes. Enfin, 38% estiment que la principale priorité sera de repenser la mobilité au sein de la ville.Pour ce qui est des entreprises, les attentes des Français sont également fortes : 91% des répondants estiment qu'elles auront un rôle majeur à jouer dans le contexte post-crise (dont 49% un rôle primordial). En matière de priorisation, 46% citent en premier lieu la relocalisation de certaines activités, 43% la préservation de l'emploi des salariés et 40% une meilleure prise en compte de leur bien-être. Dans une moindre mesure, ils sont 33% à relever l'importance de faire évoluer leurs pratiques actuelles de fonctionnement (modes de communication, télétravail…) et 28% à souhaiter qu'elles réduisent leur impact environnemental. Si les Français s'accordent sur le rôle que les entreprises ont à jouer pour construire le monde de demain, ils affichent cependant un certain scepticisme quant à leur capacité à opérer de véritables changements afin d'accompagner les transformations en cours. En effet, pour 34% d'entre eux, l'organisation des entreprises au sortir de la crise demeurera inchangée.« La crise de nous traversons crée une rupture profonde dans nos modes de vie et de consommation. Les Français nourrissent des attentes fortes quant au monde de demain qui convergent vers une nécessité de réinvestir et reconsidérer les territoires de proximité, qui constituent leurs lieux de vie et de travail. Les collectivités locales et les entreprises sont en première ligne pour accompagner ces transformations et adopter des pratiques qui soient plus durables, résilientes et qui encouragent le développement économique des territoires. Pour autant, les Français affichent un certain scepticisme quant à leur capacité à véritablement les mettre en œuvre.Parce que les entreprises et les collectivités qui sortiront renforcées de cette crise seront celles qui auront su créer les conditions de la confiance avec les citoyens en répondant à leurs attentes, ENGIE Solutions s'investit de cette responsabilité de les accompagner dans cette transition majeure en développant des dispositifs qui répondent à leurs nouveaux impératifs en matière de transition énergétique, de verdissement des énergies et de réinvention des lieux de vie et de travail ».- Pour Wilfrid Petrie, Directeur Général Adjoint d'ENGIE en charge d'ENGIE Solutions
Il y a 4 ans et 348 jours

Rencontre avec : Dahlia Subasi

Dahlia Subasi a étudié les sciences et la médecine avant de se consacrer à l'architecture et au design. Aujourd'hui, elle allie son savoir scientifique à son amour du beau pour fabriquer des objets écoresponsables en mycélium de champignon et matériaux naturels. Rencontre avec une créatrice engagée dans la lutte pour la protection de l’environnement. Muuuz : Comment votre parcours pluridisciplinaire s'est-il construit ? Dahlia Subasi : Depuis mon enfance, j’ai toujours eu un côté très créatif et un autre beaucoup plus scientifique. J’ai d’abord choisi de faire des études de médecine pour leur dimension humaine et sociale, mais le manque de créativité dans ce domaine m'a vite fait comprendre que ce n'était pas la voie que je devais suivre. Après quatre ans de médecine, j'ai décidé d'étudier l'architecture dans une école d'art, la Central Saint Martins à Londres, où j'ai finalement été épanouie. Il ne me restait plus qu’à combiner ces deux savoirs.Comment en êtes-vous arrivée à réfléchir sur l'écoconception ?J'ai toujours été intéressée par les innovations, et j'ai donc beaucoup lu à ce sujet. La recherche de nouveaux matériaux, et en particulier de ceux sensibles à l'environnement, me fascine. Je trouve cela passionnant. Comment sont nés vos objets « Teşekkül » réalisés en mycélium et matériaux naturels ?Je voulais absolument trouver un moyen de combiner mon savoir scientifique acquis en médecine avec les domaines de l'architecture et du design. J'ai fait beaucoup de recherches sur le mycélium et j’en suis tombée amoureuse. J'ai commencé à faire des expériences avec plusieurs espèces de champignons pour faire pousser du mycélium. Ensuite, j’ai construit des moules pour donner une forme à mes créations et j'ai testé les limites de ce matériau si intéressant. Il y a encore tant d’idées que j’aimerais explorer.Quels sont les enjeux de ces créations ?Le mycélium est un organisme vivant. Pour qu'il puisse croître, les conditions idéales doivent être réunies. Il m'arrive parfois de trouver de la moisissure dans mes cultures qui est causée par une contamination de microbes. Pour cultiver le mycélium, il faut également beaucoup de patience. Le mycélium prend du temps à pousser. S’il est contaminé, tout est à recommencer. C’est là que se trouve tout le challenge de mon projet. Comme je suis assez impatiente et impulsive, ce travail m’apprend à être tolérante et indulgente avec moi-même, ainsi qu’à réfléchir à mes erreurs. Selon vous, que signifie l'écologie aujourd'hui ?L’écologie devrait être inclue dans notre manière de penser et de voir les choses. C'est un sujet très complexe. Il y a beaucoup de paramètres à prendre en considération. En ce qui me concerne, je m’intéresse surtout à la création de matériaux respectueux de l’environnement et suivant les règles d’une économie circulaire. Cependant, utiliser des matériaux locaux et organiques ne suffit pas à créer des objets écologiques.Qu'attendez-vous du design de demain ?J'aimerais voir des concepts surprenants et inattendus. Quelque chose qui nous impressionne tout en ayant plus de sensibilité pour l'environnement et la recherche. Étant attirée par les matériaux et leur histoire, je suis impatiente de voir les surprises que le design nous proposera dans l’avenir. Le design et l’architecture se sont pendant longtemps concentrés sur le plaisir visuel. Je souhaiterais surtout être surprise au toucher maintenant. Tout comme les designs créés à partir de mycélium qui semblent être si fragiles mais qui sont en fait très solides. Ce qui m’a passionné le plus avec le mélange de mycélium et de matériaux naturels, c’est la rencontre de légèreté avec la solidité. C’est quelque chose qui ne se comprend qu’au toucher. La réaction des personnes, qui y sont confrontées pour la première fois, me fait toujours sourire. Pour en savoir plus, visitez le site et le compte Instagram de Dahlia Subasi. Visuels : © Dahlia Subasi Léa Pagnier
Il y a 4 ans et 348 jours

Fin du démontage de l'échafaudage de Notre-Dame "avant fin septembre", selon Jean-Louis Georgelin

"J'ai tout lieu d'espérer, de croire que ce démontage sera fini au plus tard fin septembre", a dit le général, entendu par la mission d'information de l'Assemblée nationale sur Notre-Dame."On ne peut avoir simultanément plus de quatre cordistes" qui découpent les barres de métal avec ses scies-sabres, tandis que "quatre autres personnes surveillent" cette opération délicate a-t-il décrit, soulignant qu'il s'agissait d'un travail "lent".Quant à l'objectif d'une réouverture en avril 2024 au culte et aux touristes, soit cinq ans seulement après l'incendie du 15 avril 2019 comme l'a souhaité le président de la République, "je ne la remets pas en question". Même si cette échéance ne signifie pas "la fin du chantier pour les abords".Un début du déblaiement de voûtes avait montré qu'elles semblaient "à peu près solides et en bon état" a-t-il poursuivi."Nous allons lancer dans les prochains jours l'importante opération de consolidation intérieure des voûtes par échafaudage et cintrage", a-t-il dit, ajoutant qu'"une première campagne de nettoyage complet des sols doit débuter dans le courant de l'été, qui permettra de faire baisser le niveau de plomb et de faciliter le conditions de travail futur"."La cathédrale n'est plus émettrice de plomb vers l'extérieur, et aucune plombémie anormale n'a été relevée chez les compagnons", a-t-il insisté, en invitant à traiter le sujet "avec rationalité".Va aussi bientôt débuter "le montage de l'échafaudage pour la dépose du grand orgue" de 8.000 tuyaux. Une opération "millimétrée" qui "aura lieu à l'automne". Avant 2024, il faudra compter "six mois pour réharmoniser l'orgue", a-t-il calculé.Interrogé sur les nombreuses discussions autour de la restauration, le général a répondu par cette formule: "on ne construit pas une maison en demandant leur avis à tous les passants".Une réunion très attendue de la commission nationale du patrimoine et de l'architecture (CNPA) qui réunira des élus, experts et les architectes du chantier, mais dont les avis sont purement consultatifs, est une autre "étape importante", le 9 juillet, a-t-il dit. Interrogé sur les préconisations qui pourraient y être exprimées, le général a refusé de spéculer. Cette consultation, a-t-il dit, se fera sur la "base des études des restauration réalisées par la maîtrise d'oeuvre: un travail volumineux --quelque 3.000 pages-- qui présentera des réflexions sur ce que pourrait être la restauration". Les travaux seront conduits par le sénateur Jean-Pierre Leleux (LR).Les architectes disposent du choix entre reproduire à l'identique, notamment la flèche, sur les plans détaillés laissés par l'architecte Viollet-le-Duc, et un geste architectural novateur souhaité par l'exécutif. L'architecte en chef Philippe Villeneuve, meilleur connaisseur de la cathédrale, est nettement hostile à cette deuxième option, qui prendrait en outre bien plus de temps.
Il y a 4 ans et 348 jours

Un interrupteur au sol pour limiter la propagation du Covid-19

TROIS QUESTIONS A... Le spécialiste de la maison connectée, Nodon, a créé durant le confinement un interrupteur au sol s'activant avec le pied. Objectif : éviter de le toucher et limiter ainsi le contact avec les mains. Olivier Roux, responsable R&D mécanique, nous en dit plus.
Il y a 4 ans et 348 jours

Innover et proposer de nouveaux services numériques

On ne ressort pas de la crise avec des idées révolutionnaires, mais avec l’envie de concrétiser celles qu’on avait déjà. Artelia, qui vient de dévoiler ses chiffres en forte hausse, place l’innovation, le numérique au cœur de ses problématiques sans pourtant oublier que la priorité est de poursuivre l’activité et les chantiers.
Il y a 4 ans et 348 jours

Déclaration paritaire en faveur de l'emploi dans le bâtiment

Sur cette période, les artisans et entreprises du bâtiment ont créé 56 500 emplois supplémentaires et ont permis le recrutement de 60 000 apprentis.Confronté comme l'ensemble des secteurs économiques à une crise sanitaire sans précédent, la branche du bâtiment a progressivement repris son activité dans des conditions encore inégales et en devant faire face à d'importants surcoûts. Si rien n'est fait, ce sont à terme plus de 120 000 emplois qui sont menacés en 2020.Convaincues devant l'urgence de la situation de la nécessité d'agir vite pour éviter l'aggravation des pertes d'emploi,persuadées de l'importance des besoins en logement et en rénovation dans tous les territoires, des opportunités apportées par la transition écologique en termes d'emplois et de développement des compétences,les organisations professionnelles et syndicales signataires ont décidé, par cette démarche commune, de lancer un appel solennel aux pouvoirs publics afin que des mesures structurelles et durables soient prises en faveur de la relance du secteur du Bâtiment.Seules des mesures fortes permettront aux artisans et entrepreneurs de recruter 150 000 talents, jeunes et demandeurs d'emploi à l'horizon 2023, année de la finale internationale de la compétition Worldskills (Olympiades des métiers) à Lyon.Porteur de tradition et vecteur d'innovation, le Bâtiment est une chance pour l'emploi !
Il y a 4 ans et 348 jours

GSO Capital Partners acquiert KP1

Créée en 1959 à Avignon, la société KP1 compte aujourd'hui 39 sites en France dont 21 usines de production et emploie plus de 1700 personnes. Depuis sa création, KP1 a été un pionnier dans la mise à disposition de solutions intelligentes dans le domaine du béton précontraint, pour tous types de constructions (maisons individuelles, logements collectifs et bâtiments non résidentiels).Paulo Eapen, Directeur Général de GSO Europe explique : « Nous connaissons très bien l'activité de KP1 en tant qu'investisseur impliqué depuis notre collaboration initiale en 2014. KP1 est une entreprise robuste et de grande qualité, qui a démontré sa capacité à générer de la croissance au fil des cycles économiques, y compris dans le contexte actuel. Avec son équipe de direction, nous prévoyons de capitaliser sur la stratégie récemment développée en estimant que le Groupe est bien positionné pour offrir une rentabilité à toutes les parties concernées ».Bruno Roqueplo, Président de KP1 témoigne : « L'équipe de GSO n'a cessé de nous impressionner par leur compréhension de notre activité et leur soutien constant au fil des années. Leur investissement récent ces derniers mois a permis de garantir le maintien de notre stabilité financière et de nos emplois. Outre le bénéfice d'avoir un nouvel actionnariat disposant de moyens considérables et d'une vraie connaissance du secteur, cette opération nous permet de renforcer notre structure de bilan de façon significative et nous permet de financer notre plan de développement à long terme. Nous pouvons ainsi préparer la phase suivante de l'histoire de notre Groupe ».
Il y a 4 ans et 348 jours

L'UNICEM sollicite le gouvernement pour soutenir le développement des territoires

Aujourd'hui, alors que la crise sanitaire a accentué la prise de conscience sur la nécessité de mettre en place un modèle économique basé sur les circuits courts, au sein duquel les collectivités territoriales occupent un rôle clé, l'UNICEM demande au gouvernement de passer aux actes pour engager un réel plan de sauvegarde et développement des territoires ruraux et périurbains.Grâce à l'engagement des chefs d'entreprise et de leurs équipes, la dernière enquête de l'UNICEM indique que l'activité des entreprises de matériaux de construction atteignait à fin mai 88% de son niveau, comparée à l'année dernière. Elle souligne, également, la mobilisation des professionnels du secteur : plus de 82% des entreprises interrogées indiquent avoir l'intégralité de leurs sites ouverts et, plus globalement, 98% des sites sont ouverts en France ; certaines régions, comme la Bretagne, les Pays-de-la-Loire, la Normandie, les Hauts-de-France ou le Centre-Val-de-Loire, atteignent même un taux de 100%.Partout sur le territoire, les entreprises de la filière ont fourni très rapidement les matériaux nécessaires à la reprise des premiers chantiers post-confinement. En outre, la filière des industries extractives et matériaux de construction a joué à plein son rôle de maillon essentiel au bon fonctionnement de plusieurs autres filières clés (santé, papier, sidérurgie, traitement de l'eau…), même au cœur de la crise.Aujourd'hui, la situation semble se stabiliser, mais, pour autant, certains sujets de fond préoccupent encore les professionnels du secteur qui attendent du gouvernement un engagement fort, notamment pour soutenir la résilience des territoires.Réorienter les contributions fiscales versées par les entreprisesA l'heure où la nécessité de créer de la valeur localement devient prioritaire, l'implantation et l'activité des entreprises adhérentes à l'UNICEM, basées sur les circuits court et une très grande réactivité, s'inscrivent parfaitement dans ce contexte. L'ancrage des sites industriels dans les territoires contribue également à réduire fortement l'empreinte carbone de leurs activités.L'implantation des sites « à la campagne » est gage de création et de maintien de l'emploi en dehors des grandes agglomérations, ce qui œuvre à la préservation, en complément de l'activité agricole, d'une population active dans les zones rurales. La survie ou le développement de nombreuses communes dépend, également, de la participation des entreprises du secteur à la fiscalité locale.Cet enjeu retient particulièrement l'attention de l'UNICEM qui encourage les pouvoirs publics à aller plus loin sur ce point.Dans la continuité des récentes annonces du gouvernement et des ambitions affichées pour soutenir les territoires, la fédération propose ainsi de réorienter les contributions fiscales versées par les entreprises de la filière au profit des collectivités locales, accueillant leurs installations.Cette évolution, dans un contexte où les enjeux liés à la transition écologiques et à la survie des entreprises sont plus forts que jamais, permettrait, par exemple, de conférer une véritable utilité aux sommes versées par les entreprises de l'UNICEM dans le cadre de la TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) sur les matériaux d'extraction.À l'heure actuelle, le produit de la TGAP sur les matériaux d'extraction ne répond plus aux objectifs du législateur. L'activité extractive ne génère pas de pollutions et ses externalités négatives ont été drastiquement combattues par la profession. Les performances des exploitants de carrières tant en matière de gestion dynamique de la biodiversité que de réhabilitation de leurs sites, restituant le plus souvent des externalités positives, sont désormais reconnues par de nombreuses parties prenantes. Par ailleurs, les exploitants de carrières ont développé une activité importante de valorisation et de recyclage des déchets inertes. Désormais, plus de 70% de ces matériaux sont valorisés.Dans ce cadre, l'UNICEM réitère sa demande de substituer à la TGAP une redevance, au profit des collectivités locales, qui bénéficierait directement aux territoires d'accueil des installations des entreprises adhérentes. Le produit de cette taxe soutiendrait ainsi directement l'économie des territoires.« L'UNICEM milite depuis de nombreuses années pour la réaffectation de certaines taxes au profit des collectivités qui accueillent les sites industriels des entreprises de la filière. Il est temps que cette demande, simple et concrète, soit entendue et suivie d'effets », souligne Nicolas Vuillier, Président de l'UNICEM.*Enquête réalisée auprès des entreprises adhérentes entre le 8 et le 14 juin - 216 entreprises répondantes, soit 1035 sites
Il y a 4 ans et 348 jours

FACIBLOC® choisit le système ECAP® d’EDILTECO® FRANCE pour l’isolation extérieure de ses maisons et extensions en construction ossature bois

FACIBLOC® est un système constructif de maison en ossature bois, sous forme de blocs, prêts à être assemblés. Breveté par son concepteur, Sébastien Borie, le système est commercialisé depuis un peu plus d’un an, dans toute la France. Afin de proposer une finition sous forme de crépi, doublée d’une isolation thermique extérieure, sur ses constructions ossature bois, Sébastien Borie a choisi d’utiliser le système ITE ECAP® d’EDILTECO® France. ECAP® présente de nombreux avantages notamment sa capacité d’imperméabilité, sa bonne isolation thermique, ses multiples coloris et matériaux de finition (Acrylic Colour, Acrylic Siloxane Colour, Silicate Colour) mais c’est aussi sa simplicité de mise en œuvre qui a séduit l’entrepreneur. ECAP® ET FACIBLOC®, PLUS DE SIMPLICITÉ POUR PLUS D’EFFICACITÉ Tout comme le système FACIBLOC®, ECAP® est une solution efficace offrant simplification de pose et rapidité de mise en oeuvre. En cours de fabrication, les plaques de polystyrène ECAP® reçoivent l’application d’un sous-enduit de 3 mm sur la surface du PSE et l’intégration, sur le sous-enduit, d’une armature en fibre de verre débordante des deux côtés. Les plaques sont préalablement découpées et dans le même temps, les emplacements des chevilles sont réalisés dans la couche de base et l’armature. La plaque est donc semi-finie en usine et cela offre un gain de temps considérable lors de leur mise en oeuvre. Également, les travaux ne nécessitent pas l’utilisation d’une bâche de protection aux U.V. ce qui allège sensiblement le coût du chantier. A l’instar d’ECAP®, les blocs en bois FACIBLOC® sont fabriqués en usine. Ils sont composés de briques de bois conçues en Douglas et bénéficient d’un double contreventement en OSB (Oriented Strand Board) de 12 mm, sans formaldéhyde. ©Copyright FACIBLOC. Les blocs sont proposés en 2 épaisseurs : 119 et 169 mm et sont également pré-isolés en usine avec de la laine minérales ou laine de bois. Livrés ainsi sur chantier, les murs FACIBLOC® sont manuportables et donc faciles à mettre en oeuvre. Le système d’emboitement breveté FACIBLOC® (système de clef de liaison) est unique et innovant, il simplifie le montage tout en conservant l’aspect technique de la maison ossature bois. LES PREMIERS CHANTIERS Les premiers chantiers ECAP® et FACIBLOC® viennent d’être mis en oeuvre dans le Puy-de-Dôme et à Lyon pour la conception de 3 extensions, de maisons individuelles conçues en FACIBLOC®. Ces extensions de 30 m², 25 m² et 22 m² deviendront une chambre, une cuisine et un bureau. Les clients ont choisi d’agrandir leurs maisons rapidement et à moindre coût, mais avec la certitude d’obtenir des performances très intéressantes en matière d’isolation thermique et phonique, grâce au système FACIBLOC®. ©Copyright FACIBLOC. Mise en oeuvre des plaques ECAP® sur l’ossature bois. Les propriétaires ont tous optés pour des blocs isolés en laine de bois avec un revêtement en crépi blanc ocre et une finition grésée. Le système ECAP® d’EDILTECO® a été chevillé sur les blocs FACIBLOC® et revêtu de la finition ECAP® AC « Acrylic Colour » ; un enduit mince qui donne du caractère au bâti et permet de lier esthétisme et protection des façades. En outre, sa formulation est dotée d’un traitement anticryptogamique offrant au produit une haute résistance à l’attaque des mousses et des champignons. L’ensemble confère une excellente isolation thermique avec un R de 6,20, répondant aux exigences de la RT 2020 (complexe mur en laine de bois R de 4,3 et plaque ECAP® en PSE blanc de 60 mm R de 1,9). ©Copyright FACIBLOC. L’AUTOCONSTRUCTION FACIBLOC® Du studio de jardin de 17 m² à la maison traditionnelle de plus de 100 m², avec un R+1, les constructions FACIBLOC® offrent tous les avantages de l’ossature bois. ©Copyright FACIBLOC. Studio de 17m². Tous les matériaux ont été choisis en fonction de leur qualité technique et du respect de l’environnement. Le bois notamment va permettre de réguler l’hygrométrie ambiante et reste respectueux de la nature grâce à ses bas rejets de CO2. ©Copyright FACIBLOC. Conception maison traditionnelle avec R+1. Les isolants concèderont une excellente isolation phonique et une isolation thermique performante répondant aux exigences de la RT 2012 et 2020. Dès leur usinage les blocs FACIBLOC® sont répertoriés afin d’être assemblés entre eux, suivant un schéma de calepinage. L’entreprise conçoit et fournit également au choix, une charpente traditionnelle, une charpente en fermette à 2 ou 4 pans ou un toit terrasse avec un système de poutres en I, trois fois plus légères que les poutres en bois massif et à performances mécaniques égales. ©Copyright FACIBLOC. Finition Crépi avec le Système ECAP® Les éléments de la baie sont également calibrés dans les blocs pour y être intégrés. Les pré-cadres des menuiseries sont réalisés en usine et habillés d’acier laqué de la couleur des menuiserie choisies. En option, des menuiseries en PVC, en aluminium ou en bois sont livrées avec les blocs. De la même manière, pour les volets roulants, les coffres tunnels sont usinés et fixés au pré-cadre. Ainsi ils sont livrés encastrés comme pour une maison en maçonnerie traditionnelle. 2 types de finitions sont disponibles : un crépi avec le système ECAP® d’EDILTECO® qui est mis en œuvre sur chantier ; ou un bardage dont les liteaux et le pare pluie sont fixés sur le bloc en usine. ©Copyright FACIBLOC. Finition bardage bois. EN PRATIQUE… Dès la validation de la commande, l’usinage est lancé et les délais de fabrication sont d’un mois environ. Les murs FACIBLOCS® sont livrés palettisés suivant le plan de calepinage. La mise en œuvre de l’extension ou de la maison se fait sur une dalle bois ou béton. Les blocs sont emboités les uns aux autres selon le système de clef FACIBLOC® qui permet de conserver tous les aspect écologiques, économiques et performants de la maison ossature bois. Grâce à l’isolation de la clef de liaison, il n’y a pas de discontinuité entre les matériaux et les parois de la structure ; les ponts thermiques sont ainsi pratiquement inexistants. FACIBLOC® fournit la lisse basse, la bande bitumeuse étanche, les blocs muraux identifiés selon le plan de calepinage, la lisse de chainage ainsi que toute la quincaillerie afin de permettre, même à un particulier novice, de monter ses murs dans les règles de l’art et en toute sécurité. Les documents de montage accompagnent pas à pas le monteur afin qu’il puisse, s’il le souhaite, assembler seul sa maison. Pour rappel, les autoconstruction FACIBLOC® sont légères et manuportables, elles ne nécessitent donc pas l’intervention d’un engin de levage. Mais le client peut aussi faire appel à un piloteur FACIBLOC® qui viendra l’aider et le conseiller à monter sa maison ou son extension, ou alors solliciter une équipe de montage indépendante (2 personnes) sur demande, qui prendra en charge le montage des murs et de la charpente. Les autoconstructions FACIBLOC® sont livrées hors d’eau, hors d’air. INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES Usinage : Usine FACIBLOC® Clermont-Ferrand. Hauteur maximale d’un panneau : 2,80 mètres. Essence de bois : Douglas ou Epicéa. Mise en oeuvre : pas de temps de séchage, murs secs, pose été comme hiver. Prix indicatif : Murs, charpente, menuiseries et revêtement extérieur, livrés, entre 400 et 460 euros TTC le m². Distribution : FACIBLOC® est distribué sous licence aux artisans indépendants, spécialistes ou non de l’ossature bois.
Il y a 4 ans et 347 jours

Support antivibratoire : le nouvel indispensable des entreprises

Nécessaires pour le confort des salariés, mais aussi pour la protection de vos appareils, les supports antivibratoires sont les nouveaux indispensables des entreprises modernes. Ils s’invitent aussi bien dans le domaine de la construction automobile que dans les industries. Et la société Solutions Elastomères basée à Saint-Etienne est la nouvelle référence en la matière. Les vibrations : une nuisance pour la productivité de vos salariés Les vibrations peuvent constituer des nuisances pour vos salariés, en plus de présenter des risques pour vos machines.  Depuis 2011 d’ailleurs, les autorités ont conclu que ces dernières pouvaient être un facteur à risque pour les travailleurs. Une remise aux normes de certaines entreprises a donc été demandée au cours de ces dernières années. On parle notamment des normes ISO 263-1 :1997 pour les vibrations sur tout le corps et ISO 5349-2 :2001 pour les vibrations au système main bras. Malgré tout, trouver des accessoires à même de réduire convenablement et facilement ces vibrations était pour le moins compliqués. La société Solutions Elastomères est donc venue combler un vide sur le marché en proposant sur https://www.solutions-elastomeres.com différentes alternatives pour les sociétés qui sont en quête de support antivibratoire. Non seulement sur cette plateforme dédiée, vous avez le choix entre différents accessoires, mais l’entreprise vous promet également une livraison rapide de ces derniers pour une remise aux normes efficace et simple de votre entreprise. Et en commandant sur le site, vous profiterez d’un système de paiement sécurisé. Ce qui ne vous empêche pas de contacter directement l’entreprise pour une expertise plus poussée. Un accompagnement personnalisé Expert depuis 50 ans dans le domaine des supports antivibratoires, Solutions Elastomères est à même aujourd’hui de vous proposer différentes alternatives pour réduire les vibrations de vos machines. Ce peut être des suspensions en caoutchouc, en métal, des articulations élastiques, des plaques antivibratoires ou bien d’autres. Le personnel de l’entreprise peut vous accompagner et vous aider dans la recherche de la meilleure alternative en fonction de la configuration de votre entreprise et de vos machines. Solutions Elastomères intervient dans plusieurs secteurs d’activités et est devenu une référence dans la proposition de support antivibratoire. Ces accessoires sont utilisés notamment pour l’isolation des machines-outils, des ventilateurs, des groupes moto-pompes, des groupes froids, des ascenseurs et même des armoires électriques et de bien d’autres encore. Solutions Elastomères vous propose des produits de qualité qui sont simples à installer et qui vous dureront des années. De quoi permettre une meilleure protection à la fois de vos machines et de votre personnelle, ainsi qu’un respect des normes en vigueur. Sans compter que ces solutions peuvent vous permettre de booster la production de vos machines en limitant les vibrations de manière optimale. Elles permettent de venir à bout simplement des inconvénients techniques liés aux vibrations. Pour un accompagnement optimal et réussi, les professionnels de Solutions Elastomères travaillent en collaboration avec SilentBloc PAULSTRA pour une expertise technique de vos besoins. Il est possible en effet de demander des supports personnalisés, plus adaptés à votre utilisation et à votre usine, et ce, à moindre coût. De nouvelles solutions disponibles tous les ans Pour répondre à tous les besoins et couvrir une large demande, Solutions Elastomères propose chaque année de nouvelles solutions pour permettre aux entreprises d’aménager simplement et efficacement leur appareil. Cela s’applique aussi bien aux très grandes entreprises qu’aux petites usines. Les suspensions notamment font l’objet de mises à jour fréquentes : supports marrons, Sylomer, accessoires élastiques, masses lourd bitume ou même des accessoires résistants au feu.