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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

(78556 résultats)
Il y a 4 ans et 344 jours

En deux coups de peinture, urbanisme tactique = urbanisme opportuniste

Quelle mouche, abeille ou palombe a bien pu piquer nos édiles pendant le confinement pour que les gazettes s’emparent soudain du sujet de l’urbanisme tactique comme du dernier scoop depuis les Ovnis ? Voyons (liste non exhaustive) « S’inspirer de l’urbanisme tactique pour adapter les villes à la distanciation physique »The conversation 23 avril 2020« L’urbanisme tactique : […] L’article En deux coups de peinture, urbanisme tactique = urbanisme opportuniste est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 344 jours

Après le déconfinement, on est tous à la rue

La rue, symbole du vivre ensemble, de l’être ensemble ou du faire ensemble n’est ni l’un ni l’autre et tout à la fois ! Jour de gloire, de libération ou de frustration, le 11 mai 2020 a connu La RUEE, « cette action de se ruer quelque part ou sur quelque chose, devenant un mouvement impétueux de […] L’article Après le déconfinement, on est tous à la rue est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 344 jours

L'économie française devrait mettre au moins deux ans à se relever de la pandémie

"L'économie française est en train de remonter assez rapidement du plongeon brutal de mars, mais nous sommes loin d'être sortis d'affaire", a estimé le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau sur France Info."Comme l'ensemble du monde, (elle) a subi un choc d'une ampleur inédite au premier semestre 2020" avec le confinement strict mis en place mi-mars et levé mi-mai, constate la Banque centrale française dans ses projections macroéconomiques jusqu'en 2022 publiées mardi.Le rebond de l'économie dès le troisième trimestre ne suffira donc pas a éviter une récession inédite de l'économie cette année. Évaluée à -10%, cette prévision est proche des -11% anticipés par le gouvernement dans le troisième projet de loi de finances rectificative qu'il présentera mercredi en Conseil des ministres.Après cela, "2021 et 2022 seraient des années de redressement net mais progressif", prédit la Banque de France, avec une croissance de 7% prévue l'an prochain, puis une progression de 4% du PIB en 2022.Mais "ce fort rebond apparent ne permettrait pas de retrouver le niveau d'activité de fin 2019 avant mi-2022", prévient la banque centrale française.En effet, l'économie française doit redémarrer à partir d'un niveau historiquement désastreux. Après le recul du PIB de 5,3% au premier trimestre, selon l'évaluation de l'Insee, l'économie devrait plonger d'environ 15% au deuxième trimestre, prévoit la Banque de France.Elle est un peu plus optimiste que l'Insee qui table sur une chute de 20%.Car, selon la banque centrale, l'activité a rebondi au mois de mai, avec une perte d'activité estimée à -17% sur une semaine-type de la fin mai par rapport à la normale, contre -27% en avril et -32% fin mars.Et le mois de juin devrait confirmer cette tendance, avec une perte d'activité ramenée à -12%.Déjà, les fermetures de sites dans l'industrie "sont devenues marginales" et le bâtiment reprend "de façon très dynamique", note la Banque de France.La situation est plus contrastée dans les services, avec des secteurs toujours en difficulté, comme l'hébergement ou la restauration encore en partie confinés, et d'autres qui ont nettement rebondi, comme les services à la personne, le travail temporaire ou les services automobiles.Chômage historique mi-2021Mais l'élément "essentiel" de la reprise sera le rythme du rebond de la consommation des ménages. Il est "probable que la montée attendue du chômage et le contexte global de forte incertitude continuent de peser sur les comportements d'achats", juge la BdF.Avec une épargne cumulée autour de 100 milliards d'euros, le taux d'épargne des ménages dépassera les 22% cette année et la consommation reculera de 9,3%.Si le dispositif massif de chômage partiel mis en place par le gouvernement va quelque peu ralentir l'impact de la crise sur l'emploi et le pouvoir d'achat cette année, le taux de chômage devrait dépasser les 10% fin 2020, et grimper jusqu'à un pic supérieur à 11,5% à la mi-2021, un niveau "au dessus des précédents historiques", projette la Banque de France.Et là encore, il faudra attendre 2022 pour le voir redescendre à 9,7%. Le pouvoir d'achat devrait lui légèrement reculer de 0,5% cette année, avant de repartir à la hausse mais à un rythme bien plus faible que l'activité.L'ensemble de ce scénario de reprise repose sur une circulation du Covid-19 sous contrôle et une économie qui s'adapte aux contraintes sanitaires. Et il ne tient pas compte des futures mesures de relance que le gouvernement devrait prendre.M. Villeroy de Galhau a notamment plaidé pour la mobilisation de 10 à 30 milliards d'euros pour soutenir les fonds propres des entreprises "fragilisées financièrement" et très endettées.Cette reprise pourrait aussi être plus rapide si une solution médicale pérenne arrivait mi-2021, et si l'épargne des ménages se réduisait plus rapidement, a estimé le gouverneur. Ou à l'inverse, encore plus lente en cas de rechute sanitaire.
Il y a 4 ans et 344 jours

Les énergies renouvelables veulent une place de choix dans le plan de relance

DEVELOPPEMENT DURABLE. Dans la foulée d'un grand nombre d'acteurs publics et privés, le Syndicat des énergies renouvelables (SER) demande fort logiquement à ce que le plan de relance post-Covid fasse une place de choix aux énergies vertes. Ce 8 juin, la ministre de la Transition écologique Elisabeth Borne a d'ailleurs désigné plus de 300 lauréats de projets photovoltaïques sur bâtiments pour une puissance cumulée de 152 MW.
Il y a 4 ans et 344 jours

L’Image-Lieu : l’espace d’un instant …

Dans ce texte-programme pour un avenir binaire de l’architecture, il est question de définir le concept d’« Image-Lieu » et les contours de celui d’« Image-Habitée » et de « Réelle-Fiction ». Des murs peints au cinéma, du cinéma à l’architecture-installation, de l’installation-architecture à l’écran, de l’écran aux particules, voici comment l’humain habite l’image, la […] L’article L’Image-Lieu : l’espace d’un instant … est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 344 jours

« Les professionnels du bâtiment seront les hussards de la transition énergétique », selon Boris Vallaud, député

La « Prime pour le climat » refait surface à l’heure du déconfinement, après son recalage cet automne à l’Assemblée nationale. Co-auteur de la proposition de loi aux côtés de son collègue de l’Aisne Jean-Louis Bricout, le député socialiste des Landes Boris Vallaud détaille pour lemoniteur.fr ce plan de lutte contre la précarité énergétique, assorti de 510 milliards d’euros d’investissements sur 30 ans.
Il y a 4 ans et 344 jours

Covid-19 : urbanistes, géographes et designers veulent inventer de nouveaux espaces de fête

"Danser, faire la fête, se serrer dans les bras... Toutes ces choses qui nous semblaient acquises, se sont évaporées du jour au lendemain", observe Technopol, l'association de défense des musiques électroniques et organisatrice de la Techno Parade, qui a lancé "Danser demain", collectif créé pour "penser la fête d'après".Pour Tommy Vaudecrane, président de Technopol, "il ne faut pas être inquiet pour l'avenir de la fête, mais pour la forme qu'elle prendra".Une première table ronde, organisée récemment sur Facebook et toujours disponible en replay, a déjà été suivie par plus de 60.000 internautes."Depuis l'apparition des musiques électroniques, on a dû les imposer en trouvant des circuits alternatifs. C'est une gymnastique dont on est familier", assure Tommy Vaudecrane."Pendant le confinement, la fête digitale s'est distinguée avec un public fidèle. Bob Sinclar, en mixant depuis chez lui en direct, a mis la pêche, même si on ne pourra pas se passer du vivre ensemble. Si demain, les fêtes de plus de 1.000 personnes restent interdites, que va-t-on faire ?", se demande le président de Technopol."Sortir la fête de ses murs"Pour le musicien Jean-Michel Jarre, pionnier des musiques électroniques, qui participe aussi au collectif "Danser demain", "le contact physique est irremplaçable. Les e-concerts sont des moyens de communiquer d'une autre manière, en attendant le réel".Parmi les autres intervenants du collectif, le géographe et urbaniste Luc Gwiazdzinski, professeur à l'université de Grenoble, estime que la crise sanitaire s'est attaquée au cœur même de ce qu'est une ville, mais aussi à la vie nocturne."La fête convoque les corps, les face à face, l'émotion... Le Covid met cela à distance. C'est un défi à la ville et à la nuit, posant de grosses difficultés pour ceux qui fabriquent la fête", dit à l'AFP le président du conseil scientifique de la Plateforme nationale de la vie nocturne, un club de réflexion réunissant des élus, experts, professionnels, universitaires..."Une des clés est la possibilité d'avoir accès à l'espace public: en ouvrant les parcs, en créant des rues réservées, tout en prenant en compte les riverains qui risquent de s'être habitués au silence...", ajoute Luc Gwiazdzinski."Si la fête veut s'en sortir, elle doit sortir de ses murs, récupérer l'espace public en partenariat avec les collectivités pour se diluer et éviter la saturation, sur des temps plus longs, dans la journée par exemple, avec aussi des micro-fêtes où on maîtrise mieux les règles sanitaires", suggère-t-il, suggérant par exemple d'investir toujours plus "des halles d'exposition ou des friches, d'autant que la fête, souvent à l'avant-poste, n'a pas attendu" pour gagner ces lieux. Le temps presse toutefois: "Dehors Brut", club électro parisien en plein air sur une friche de la SNCF près de Bercy, n'a pas résisté à la crise sanitaire et se retrouve en liquidation judiciaire.
Il y a 4 ans et 344 jours

Charte de reprise des chantiers BTP en Ile de France

Les acteurs de la construction en Ile-de-France ont rédigé une charte d’accompagnement de la reprise des chantiers dans le contexte de la crise sanitaire. Elle a été signée ce lundi 8 juin.
Il y a 4 ans et 344 jours

Sanidoor® by Doortal élimine germes et bactéries sur les blocs-portes

Confrontée, comme la majorité des entreprises industrielles de l'Hexagone, au ralentissement de ses activités avec l'apparition du coronavirus et la mise en application du confinement, l'entreprise Doortal a mis à profit ce temps de crise pour innover. Spécialisée dans la fabrication de blocs-portes métalliques pour les lieux publics et sites sensibles, l'entreprise investit en moyenne 1,5 M€ chaque année dans la recherche et le développement de nouveaux produits toujours plus performants.« L'innovation est dans notre ADN », affirme Johnny Guilhot, gérant associé. Une véritable marque de fabrique, que les équipes de Doortal ont apposée cette fois en un temps record, afin de répondre à l'urgence de la situation sanitaire. En l'espace de six semaines, elles ont mis au point, avec leurs partenaires, SANIDOOR® by Doortal : une solution globale antibactérienne capable d'éliminer jusqu'à 99% des germes et bactéries sur les blocs-portes.Un traitement breveté pour une gamme haute sécuritéPour être en mesure de proposer cette nouvelle offre, pourvue de traitements testés et certifiés en laboratoires agréés, l'entreprise Doortal a sélectionné des matériaux et procédés antimicrobiens permettant d'offrir une solution innovante adaptée aux règles d'hygiène anti-infectieuses.L'entreprise est dès à présent en mesure de proposer le système de thermolaquage SANIDOOR® sur l'ensemble de sa gamme de blocs-portes métalliques techniques. Formulé à partir d'une poudre d'ions d'argent actifs, ce revêtement de peinture provoque, par son action antimicrobienne, la destruction des bactéries selon un mécanisme d'action en 3 phases : blocage des échanges cellulaires, arrêt de la respiration des cellules, blocage de la division cellulaire.Un traitement antibactérien sans substance nociveMais au-delà du bloc-porte, c'est aujourd'hui l'ensemble des équipements proposés dans la gamme SANIDOOR® by Doortal qui permet de proposer aux professionnels du bâtiment une solution parfaitement sécurisée. Pour relever ce défi, Doortal a fait appel à ses partenaires scrupuleusement sélectionnés pour la fourniture de poignées de porte et de barres anti-panique. « Dans un bâtiment accueillant quotidiennement un très large public, plusieurs centaines de personnes vont en effet poser la main sur ces éléments et peuvent donc transmettre les microbes dont elles sont éventuellement porteuses. » souligne Johnny Guilhot.Ainsi, le revêtement antibactérien des poignées SANIDOOR® contient des ions métalliques qui préviennent la prolifération des germes. Conçu pour une application sur le métal, il comprend un vernis qui élimine les bactéries, virus et champignons, sans aucune substance nocive. Il en va de même pour les barres anti-panique dont le traitement antibactérien, totalement inoffensif pour l'homme, repose sur l'émission lente et constante d'ions d'argent, capables de pénétrer l'organisme microbien et de bloquer sa reproduction.Une gamme adaptée pour les milieux exigeantsPourvus de ce traitement breveté, les équipements SANIDOOR® by Doortal constituent une solution globale efficace pour tous les bâtiments où l'activité microbienne est redoutée. Peu présente jusque-là dans l'univers de la santé, l'entreprise compte sur cette gamme parfaitement adaptée aux enjeux du milieu médical pour s'imposer dans les hôpitaux, cliniques, cabinets médicaux, ehpad… « Notre solution constitue une protection active pour réduire de façon radicale le risque de contagion, notamment dans les bâtiments publics où la propagation des maladies infectieuses est facilitée par une forte concentration bactérienne sur les poignées et barres de poussée », affirme le gérant associé de l'entreprise.Néanmoins, la cible potentielle de SANIDOOR® by Doortal est beaucoup plus large. Bien que le déconfinement s'engage dans l'Hexagone, l'épidémie de coronavirus continue de susciter de très nombreuses inquiétudes dans la population. Les établissements scolaires, les restaurants, les hôtels, les centres de sport, les bâtiments des administrations… représentent ainsi autant de débouchés naturels pour Doortal. Des marchés sur lesquels l'entreprise entend se positionner, en s'appuyant sur un réseau de prescripteurs du bâtiment, au premier rang desquels on retrouve les architectes DPLG, architectes d'intérieur et promoteurs. « Nous visons le marché hexagonal dans l'immédiat », conclut Johnny Guilhot, qui ne ferme cependant pas la porte à d'autres développements à terme.
Il y a 4 ans et 344 jours

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Vous êtes Industriels du secteur de la Menuiserie, du Store et de la Fermeture ? Que diriez-vous de : – Faciliter le chiffrage de vos clients en leur permettant de créer des devis précis, vendeurs et fidèles à vos tarifs – Fiabilisez vos commandes et les recevant complètes et sans erreurs – Faire gagner un temps précieux à vos équipes à consacrer à des tâches à valeur ajoutée – Améliorer la satisfaction de vos clients – Développer vos ventes Téléchargez gratuitement LE guide complet pour déployer un outil de chiffrage Web chez vos clients ! Profitez de plus de 25 pages gratuites pour découvrir les 6 étapes essentielles pour mettre en place efficacement votre solution de chiffrage Web !
Il y a 4 ans et 344 jours

Béton[s] le Magazine sort du confinement avec son numéro 88 !

Non, l’équipe d’ACPresse n’a pas chômé… Pendant les 3 mois d’activités confinées, mais non moins intenses, nous avons continué à vous informer régulièrement sur le site ACPresse. En parallèle, nous nous sommes consacrés à la préparation de ce nouveau numéro. Nous sommes donc heureux de vous présenter en format papier, ainsi que sous liseuse numérique, le petit dernier “Béton[s] le Magazine” consacré à l’esthétisme des bétons. Poli, soyeux, uni, rugueux, inégal, rude, noble… Tous les adjectifs peuvent être utilisés pour parler du béton. Preuve que ce matériau protéiforme est capable, grâce au savoir-faire des fournisseurs et aux techniques développées par les entreprises de BTP, de répondre aux desseins et aux exigences des architectes. Notre dossier de 19 pages vous propose de découvrir différents procédés de mise en œuvre de bétons architectoniques à travers cinq réalisations emblématiques. Ainsi que le who’s who des beaux bétons. Si l’offre des bétons s’étend… Le matériel s’adapte ! Vous découvrirez également la nouvelle offre des malaxeurs, avec un tour d’horizon des innovations du secteur. Le numéro arrive chez les abonnés. Et pour ceux qui n’ont toujours pas repris le chemin du bureau, nous vous proposons de profiter d’une lecture en ligne accessible à la fin de l’article : pour les abonnés avec votre compte premium et sur inscription pour ceux qui ne sont toujours pas abonnés Du coté des reportages, rendez-vous à Boulogne-Billancourt avec le bâtiment le plus haut d’Europe et ses huit niveaux en béton de chanvre. Et à Neuilly-sur-Seine pour suivre la rénovation des Maisons Jaoul imaginées par Le Corbusier. De plus, ce numéro sera l’occasion de faire un point sur le marché de la construction avec les derniers indicateurs économiques commentés. Vous y retrouverez aussi :• Du coté des acteurs, les interviews de Pierre Alexandre Cot d’Ingérop, de Michel Aron d’Adesol, d’Anne Labroille et de Rosella Cotti pour l’association Mémo ;• L’actualité des entreprises des régions ;• Le décryptage de la solution de protection des bétons Ultra Grip, développée par l’industriel autrichien Agru ;• Une présentation de Mobile STK, la centrale hyper compacte d’Imer ;• Quand le fragmentaire fait sens avec un “Esprit béton” consacré à l’œuvre en béton romain de Michel Carpentier. Bonne lecture ! Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 4 ans et 344 jours

Nomination d’Arnold Jacquier, DAF Onduline

Arnold Jacquier est nommé Directeur Administratif et Financier (DAF) du Groupe Onduline, spécialiste mondial de l’étanchéité des toitures. Arnold Jacquier a commencé sa carrière chez PwC dans l’audit puis en « Transaction Services » à Paris et Londres, où il a travaillé sur plus de 50 transactions pour des clients Corporate et Private Equity. Il est nommé DAF de RLD (une société sous LBO de 150M€ et 2 000 salariés) en 2011, puis il est recruté comme DAF de Soflog (une société sous LBO de 185m€ et 1 800 salariés) en 2015. Arnold est diplômé d’Audencia, formation complétée par un DESCF. Pour Patrick Destang, CEO d’Onduline : « Depuis le rachat de Onduline par Naxicap et Nextstone fin 2018, nous avons écrit une nouvelle feuille de route pour le groupe, qui vise à augmenter sensiblement notre chiffre d’affaires et notre rentabilité via une croissance interne accélérée et des acquisitions. L’objectif du groupe est de s’appuyer sur sa très large implantation internationale (plus de 32 filiales dans le monde) pour consolider sa position de spécialiste de l’étanchéité des toitures, en se développant sur des solutions pour les toits en pente, mais également pour les toits plats ». « Arnold vient compléter le comité exécutif du groupe et nous apporte une expérience solide de pilotage des performances dans un contexte de LBO, et d’expérience sur les sujets d’acquisition et de croissance/évolution du portefeuille d’activité ». Onduline est un spécialiste mondial de l’étanchéité des toitures, avec 32 filiales commerciales dans le monde, 9 usines de production sur 5 continents, 250M€ de CA et 1 800 salariés. Plus de 85% de son chiffre d’affaires est réalisé en dehors de France. L’offre produit inclut des plaques de couverture légères à base de fibre de cellulose recyclées, des plaques transparentes en polycarbonate et pvc, des membranes d’étanchéité pour les toits plats, et des films/écrans de sous-toiture.
Il y a 4 ans et 344 jours

Le BTP craint l'effondrement

La Fédération française du bâtiment et la Fédération nationale des travaux publics lancent un cri d'alarme et pressent le gouvernement d'adopter rapidement des mesures de soutien.
Il y a 4 ans et 344 jours

Appel à contributions pour la biennale d'architecture de Séoul 2021

Premier événement international du monde de l'architecture qui ouvrira ses portes après la pandémie de coronavirus, la troisième biennale d'architecture et d'urbanisme de Séoul (SBAU 2021) se tiendra de septembre à novembre 2021, sous la houlette de l'architecte Dominique Perrault, commissaire général de la […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 344 jours

K-STUDIO : Villa Mandra

Perchée sur les hauteurs d'Aleomandra à Mykonos (Grèce), mais presque entièrement cachée des regards, la Villa Mandra offre une vue spectaculaire sur l’île de Delos. Cette grande maison de vacances, conçue par l’agence athénienne K-STUDIO, est un havre de paix, où les propriétaires viennent profiter de l’été avec leur famille et leurs amis. Surplombant la mer, cette maison de vacances confortable, spacieuse et raffinée, est une invitation à se reposer en pleine nature. À la demande des propriétaires, la Villa Mandra a été pensée comme un lieu hors du temps, où il fait bon vivre. Les architectes de K-STUDIO ont édifié une maison discrète en s’inspirant de l’architecture vernaculaire grecque. La villa, composée de deux petits volumes traditionnellement blanchis à la chaux, est construite autour d’une vaste terrasse, ouverte sur la mer et protégée du soleil grâce à une élégante pergola en châtaignier. Cette terrasse extérieure est d’ailleurs le carrefour de la maison, car elle relie les six chambres aux espaces de vie – le salon, la cuisine, la piscine et le jardin. Les volumes blanc immaculé, les murs en pierres locales et les trois pergolas s'intègrent parfaitement à l’environnement naturel alentour. Les architectes puisent leurs différentes influences dans la diversité des paysages cycladiques, et proposent ainsi une réinterprétation contemporaine de la maison méditerranéenne. À l’intérieur comme à l’extérieur, la décoration est dépouillée, mais sans jamais être austère. Les décorateurs ont en effet choisi d’insuffler à chaque pièce une ambiance apaisante en associant couleurs claires, matières naturelles et meubles indispensables. Une maison de rêve qui fait rimer simplicité avec douceur de vivre. Pour en savoir plus, visitez le site de K-STUDIO. Photographies : © Claus Brechenmacher et Reiner BaumannLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 344 jours

Le portail Batipédia propose de nouveaux services-métiers

Aujourd'hui, deux premiers services, développés par le groupe Kinaxia, éditeur de solutions logicielles en ligne dans les domaines du droit de l'urbanisme et de l'information environnementale, sont accessibles, via un paiement à l'acte, sur le portail BATIPÉDIA : Preventimmo, leader national des renseignements d'urbanisme, et CityScan, premier service de géo-décision immobilière.BATIPÉDIA : faciliter l'accès à toute l'information nécessaire aux acteurs de la construction et de l'urbanismeBATIPÉDIA centralise les contenus scientifiques et technico-réglementaires nécessaires à la filière construction : informations réglementaires, normatives et thématiques ; actualités, au jour le jour, dédiées à l'évolution de la réglementation, aux faits marquants du secteur ; logiciels prédictifs en ligne, etc.Promoteurs, constructeurs, architectes, urbanistes, diagnostiqueurs, aménageurs, experts, artisans, industriels, bureaux d'étude et de contrôle, etc. accèdent ainsi facilement aux informations indispensables à l'exercice de leur métier.Vers des contenus enrichis : de nouveaux services métiers accessibles depuis BATIPEDIAAfin de renforcer l'accompagnement des acteurs et répondre toujours plus précisément à leurs attentes, de nouveaux services viendront régulièrement compléter le portail BATIPEDIA.Des partenariats sont ainsi engagés avec des éditeurs proposant des solutions à forte valeur ajoutée pour les utilisateurs du site, à l'image de Preventimmo et CityScan, deux services-métiers en ligne développés par le groupe Kinaxia, dès aujourd'hui disponibles sur BATIPÉDIA :Preventimmo est un service web de fourniture de renseignements d'urbanisme : état des risques & pollutions, note de renseignements d'urbanisme, certificats & attestations ou encore études spécifiques (constructibilité, concordance cadastrale, etc.). Preventimmo est destiné aux acteurs du marché de l'immobilier en France : notaires, promoteurs, diagnostiqueurs immobiliers, etc.CityScan est le premier service en ligne de géo-décision immobilière. Grâce à plus de 120 indicateurs géolocalisés exclusifs, CityScan permet de tout savoir sur un emplacement immobilier en France métropolitaine : éducation & transports, commerces, qualité de vie, urbanisme, risques naturels, qualité numérique, etc.Les utilisateurs du site BATIPÉDIA peuvent accéder à ces deux services via paiement à l'acte auprès de Kinaxia.D'autres services viendront peu à peu enrichir l'écosystème BATIPÉDIA, offrant ainsi aux professionnels un accès simple et rapide à une gamme de services adaptés à leurs besoins.Prochaine étape : un nouveau service prévu pour fin juin 2020, qui permettra aux professionnels d'acheter à l'unité des modèles de documents administratifs et techniques afin de faciliter la passation et la gestion de projets de construction en marché public et en marché privé.
Il y a 4 ans et 344 jours

Cougnaud mise sur l'open innovation

Le spécialiste de la construction modulaire lance un concours pour accélérer la transition énergétique dans le BTP. Une compétition ouverte jusqu'au 10 juillet aux startups, aux entreprises et aux étudiants en architecture, design et ingénierie.
Il y a 4 ans et 344 jours

Fred Taupin, architecte: "Face aux outils qui fabriquent la médiocrité du logement, l’architecte n’arrive pas à s'imposer"

De nombreux architectes espèrent que "le monde d'après" tirera les leçons de la crise sanitaire, pour repenser la fabrique du logement en France. Comment éviter la standardisation des plans? Comment agrandir les surfaces? Et surtout, comment redonner de la place à l'invention dans la conception de ces espaces, très contraints par la […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 345 jours

Restaurant : RAL 8004

Faire le choix d’une couleur unique pour déterminer les grandes lignes d’un projet est un exercice souvent prisé par le studio Briand & Berthereau. « Nous aimons partir sur une couleur majeure – un peu comme un matériau finalement – et nous essayons d’être le plus proche possible avec les différents supports et matériaux », explique Arnaud Berthereau. Pour le Saint Croc – un espace de restauration rapide autour du croque-monsieur situé dans un centre commercial de la région...
Il y a 4 ans et 345 jours

Restaurant : Invitation au voyage

Située place de la Rotonde à Rennes et inaugurée en décembre dernier, La Cavale offre un écrin digne des romans de Pierre Loti. Après une restructuration très lourde (en raison d’un plafond qui menaçait de s’effondrer), ce restaurant de 250 m2 « pensé comme un bar de quartier convivial » accueille 90 places assises en salle et 35 en terrasse. Pour sa rénovation complète et radicale, l’agence Pierre-Arnaud Descôtes Architecte a proposé un métissage de matériaux comme pour...
Il y a 4 ans et 345 jours

Restaurant : Boire ou travailler ?

Et pourquoi pas les deux en même temps ? C’est à cette question qu’ont répondu les architectes de l’Atelier Leymarie Gourdon pour aménager un local de 110 m2 du 11e arrondissement parisien. La commande du client – la Beer Fabrique – est multiple : installer des bureaux pour 20 personnes, ainsi qu’un espace public consacré à la formation pour le brassage de la bière. Ici, l’esthétique brute des murs défraîchis et du béton au sol contraste avec les paillasses en ceppo...
Il y a 4 ans et 345 jours

Photographies de Stefan Tuchila : "Paris vide"

La série des photos “Paris vide” a commencé par une envie d’exploration et de découverte de la ville dans un cadre atypique. Une opportunité s’est invitée face à une situation hors du commun : faire un relevé des grands axes et monuments parisiens en l’absence de la vie qui anime et parfois perturbe ces lieux emblématiques. Après 340 km à vélo et environ 20 contrôles de police, il est difficile de ne pas s’attacher aux conséquences enrichissantes de cette expérience :...
Il y a 4 ans et 345 jours

Espaces de travail : Shigeru Ban en Suisse

Spectaculaire dans sa résolution formelle et structurelle, cette opération est exemplaire par l’imbrication de ses programmes, provenant du secteur secondaire, tertiaire et culturel. Logés sous une grande toiture de type gridshell en bois, le siège social de Swatch, l’usine Omega et la Cité du Temps s’articulent et cohabitent – mêlant espaces intérieurs et extérieurs – tout en ayant leur autonomie. Suivant une typologie très souple qui rappelle celle du Centre Pompidou Metz,...
Il y a 4 ans et 345 jours

La mutuelle MBTP décernera le Prix de la Prévention et de la Santé au Travail en octobre 2020

En 2020, elle en fait un axe prioritaire et décernera son Prix de la Prévention et de la Santé au Travail dans le cadre des Trophées du Cadre de Vie du festival FimbACTE.« Les accidents du travail ont augmenté et sont particulièrement graves du fait de la dangerosité des métiers dans notre secteur. Nous voulons être un acteur de référence dans ce domaine et prenons cela comme un vrai devoir. Depuis début 2020, nous nous engageons dans la prévention et ce prix en est l’illustration. Nous sommes fiers d’accompagner celles et ceux qui s’investissent dans des démarches porteuses d’espoir en matière de sécurité et de qualité de vie sur les chantiers, dans les bureaux et ateliers » explique Annie Pinault, directeur de MBTP.Après 10 années de baisse continue, les accidents repartent à la hausse avec 88.531 événements recensés par la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) en 2018, faisant du BTP un secteur particulièrement exposé.De plus, dans ce contexte de crise sanitaire, la protection sur les chantiers est plus que jamais au centre de toutes les préoccupations. La prévention et la sensibilisation des professionnels est donc un enjeu majeur pour toute la filière, que MBTP prend à cœur de promouvoir. Un prix et des avancées majeures pour la qualité de vie au travailLe festival FimbACTE réunit chaque année en octobre, et ce depuis 1996, plus de 600 participants. Il valorise de nombreux projets engagés, précurseurs, créatifs et exemplaires au travers notamment des Trophées du Cadre de Vie.Surtout, l’événement se fait le terreau de nouvelles tendances et innovations en matière d’urbanisme, d’aménagement, d’architecture et de construction, répondant aux attentes des professionnels et «usagers » du secteur.Depuis 2016, le prix de la Prévention et de la Santé au travail de la Mutuelle MBTP y récompense les projets innovants contribuant à améliorer la sécurité, la santé, ou la qualité de vie dans les entreprises de la construction. Candidatures ouvertes sur fimbacte.comLe prix MBTP de la Prévention et Santé au travail, sera remis en octobre 2020À la clé pour les lauréats, un accompagnement personnalisé de MBTP pour aider au développement ou au lancement du projet.« L’enjeu principal est de soutenir le projet et de l’aider suivant ses besoins. Un groupe solide versus une jeune start-up n’ont pas besoin du même soutien, que nous adapterons à chacun, avec comme objectif de développer un projet méritant et surtout porteur en termes de prévention et d’amélioration des conditions de vie au travail.» explique Clémence Mazereau, Responsable marketing et communication de MBTP Des projets innovants sont primés chaque annéeLes précédentes éditions ont vu des projets particulièrement ambitieux en matière d’amélioration de conditions de vie au travail être primés, notamment : LogistiQ en 2017 : conçu par CONSTRUIRE PRO pour faciliter et optimiser la gestion des flux entrants et sortants des chantiers réalisés en milieu contraint. L’outil de gestion est une plateforme connectée qui permet de gérer les livraisons, maîtriser les nuisances, optimiser et planifier les flux et manutentions sur le chantier.Le PAQT en 2018, Programme d’amélioration de la qualité de vie au travail. Un plan d’actions décidé et mis en œuvre au sein d’EQIOM (filiale du groupe CHR spécialisé dans les matériaux de construction). Au programme, des formations sur la gestion du stress, le management attentif, le droit à la déconnexion numérique, etc. Le PAQT aura permis une diminution de 70 % des accidents en 3 ans.Ironhand en 2019. Ce gant bionique est un exosquelette souple, léger et personnalisé chargé de faciliter les tâches quotidiennes. Expérimenté par le groupe EIFFAGE, il permet de soulager les efforts de la main et du poignet afin de réduire les risques quotidiens de TMS (Troubles Musculo-Squelettiques).Les conditions d’inscriptionQui peut s’inscrire ?Toute structure dont les perspectives de croissance sont fortes mais dont le projet nécessite une aide au lancement (et/ou financement).Une société (ou plusieurs sociétés partenaires d’un même projet) française, déjà immatriculée et détenant son KBis.Quel projet peut concourir ?Le projet doit porter sur une technologie nouvelle et être présenté en bon état d’avancement (amorçage, early-stage) ou de finalisation.Les grandes dates du concoursOuvertures des candidatures : 20 mars 2020Fermeture des candidatures : 28 juillet 2020Jury MBTP : 24 septembre 2020Cérémonie de remise de prix : 13 octobre 2020 à Paris (Cité de l’architecture)La mutuelle MBTP, engagée dans la prévention et la qualité de vie au travail aux côtés de la Fondation du BTPPrésente en Rhône-Alpes et Saône-et-Loire depuis 2004, la Fondation du BTP soutient des actions au service des hommes et des femmes du Bâtiment et des Travaux Publics de sa région. Elle contribue ainsi au travers de son partenariat avec MBTP à la prévention des risques, notamment routiers et liés aux addictions, apportant sa connaissance des enjeux et des dangers auxquels sont confrontés les salariés du secteur.
Il y a 4 ans et 345 jours

"Nous serons au rendez-vous" de 2024, assure la Solideo

PARIS 2024. Le maître d'ouvrage des installations olympiques affirme être parvenu à s'adapter durant la crise sanitaire, et avoir franchi des étapes significatives. Ce qui lui permet de maintenir son calendrier, avec en ligne de mire la livraison des infrastructures au premier trimestre de l'année 2024.
Il y a 4 ans et 345 jours

De Rouen à Saclay, l'urbanisme transitoire continue sur sa lancée

MÉTHODE. L'urbanisme transitoire a décidément le vent en poupe. Si SNCF Immobilier est familier du concept, pour avoir, via sa filiale Espaces ferroviaires, "activé" nombre de friches situées dans la capitale, mais pas seulement, d'autres acteurs s'engagent dans cette voie, à l'image de Paris-Saclay qui a lancé Version bêta, une "démarche globale d'urbanisme transitoire à l'échelle de l'Opération d'intérêt national", dont le premier marché est lancé ce mois-ci.
Il y a 4 ans et 345 jours

Sika se renforce dans l'étanchéité

ACQUISITION. Le spécialiste suisse des produits de chimie annonce l'acquisition d'un fabricant de toiture et d'étanchéité.
Il y a 4 ans et 345 jours

306 nouvelles couvertures photovoltaïques dans l’Hexagone

306 bâtiments vont couvrir leur toiture d’équipements photovoltaïques. Le ministère de la Transition écologique et solidaire en a publié la liste le 8 juin, à l’issue d’un appel d’offres consécutif à la programmation pluriannuelle de l’énergie. La puissance cumulée de ces équipements atteindra 152 MW.
Il y a 4 ans et 345 jours

Atelier Sauvage : Créations

Cofondatrice et dirigeante de l’Atelier Sauvage, l’ébéniste et designer Albane Salmon dessine et fabrique des objets en bois massif à mi-chemin entre la sculpture et l’ébénisterie, jouant ainsi la carte de la créativité. L’Atelier Sauvage est un atelier artisanal de création et de fabrication de mobilier basé à Bagnolet (93), qui prône une audace et une liberté très contemporaines. Depuis 2015, Albane Salmon imagine en effet des pièces de mobilier et des aménagements en bois massif pour des intérieurs actuels. Ses créations audacieuses séduisent aujourd’hui particuliers et professionnels. Les subtils jeux de matières de ses meubles ont déjà fait sensation à plusieurs événements. Son paravent Moeraki, objet composite coloré imaginé en collaboration avec l’illustratrice et designer Marie de Lignerolles, avait fait forte impression au salon Révélations (Grand Palais, Paris) en 2017, tandis que son petit banc en érable sycomore massif Trace, pièce unique modelée « à main levée », s’était fait remarquer à la dernière COLLECTIBLE (Espace Vanderborght, Bruxelles) en 2020. Les pièces de mobilier sculpturales signées Atelier Sauvage mêlent formes simples, teintes sobres et effets de matières délicats. Fortement inspirée par la nature, Albane Salmon met l’accent sur la beauté naturelle du bois et privilégie une belle économie de moyens pour dévoiler toute la poésie des matières qu’elle travaille. Des pièces incontournables qui se démarquent par leur grande originalité. Pour en savoir plus, visitez le site d’Atelier Sauvage. Photographies : © Laura BonnefousLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 345 jours

Notre-Dame de Paris : le délicat démontage de l'échafaudage commence

Deux équipes de cinq cordistes vont bientôt descendre au plus près des parties calcinées. Leur mission: découper, à l'aide de scies sabres, les tubes métalliques soudés entre en eux par la chaleur. Cet échafaudage avait été installé avant l'incendie pour rénover une flèche désormais disparue."Quand tout cela sera réglé, on sera très soulagés car la cathédrale sera sauvée", estime Christophe Rousselot, délégué général de la fondation Notre-Dame, à propos de cette "opération très sensible, très compliquée, avec un facteur de risque non négligeable". Et dont le succès apparaît crucial pour tenir le délai d'une reconstruction en cinq ans de la cathédrale comme le souhaite le président Emmanuel Macron."Il peut y avoir des morceaux qui tombent de l'échafaudage et fragilisent telle ou telle partie des murs de la cathédrale", explique encore le responsable de la fondation Notre-Dame.L'échafaudage constitué de 40.000 pièces, de 200 tonnes dont la moitié se trouve à plus de 40 mètres de haut, a résisté à l'effondrement de la flèche, mais a été déformé par la chaleur, au point de ressembler à une vaste toile d'araignée.Pour préparer cette opération périlleuse, outre l'installation d'une grue géante, un ceinturage de l'échafaudage avec des poutres métalliques a été réalisé il y a plusieurs mois, sur trois niveaux pour empêcher un éventuel écroulement. Un deuxième échafaudage léger s'élève de part et d'autre de l'ancien. Des nacelles ont également été mises en place pour cette opération.Geste architectural ou à l'identique ?Lundi matin, des ouvriers munis de casques de chantier ont commencé à monter à l'intérieur de l'échafaudage, via un ascenseur, pour des vérifications avant l'arrivée des cordistes, les "écureuils", mardi. Une sorte de "+check-up+, comme dans une fusée avant le décollage", souligne M. Rousselot.Cette opération, prévue initialement pour durer quatre mois, doit se dérouler tout au long de l'été. Elle a été maintes fois repoussée avec les nombreux aléas et contretemps subis par le chantier de Notre-Dame, entre l'instauration de mesures contre la contamination au plomb, des intempéries fin 2019 et la crise du coronavirus. Il a repris progressivement fin avril.Le général Jean-Louis Georgelin, qui pilote "la task-force Notre-Dame", a reconnu qu'il y aurait un coût supplémentaire dû à tous les retards, coût que "nous n'avons pas encore complètement chiffré". L'achèvement de la phase actuelle de sécurisation est toujours prévu avant la fin 2020. Après le démontage de l'échafaudage viendra le temps des choix architecturaux et des appels d'offres. La phase de reconstruction pourrait alors débuter en 2021.La reconstruction de la flèche est un des points sensibles du chantier, entre le souhait du président Macron d'inscrire un "geste contemporain" sur la cathédrale et les tenants d'une continuité architecturale avec une restauration à l'identique.Certains ont proposé une flèche en verre, ou de créer sur le toit un parc-jardin bio, voire une terrasse panoramique pour les touristes...L'architecte Philippe Villeneuve plaide lui pour la fidélité à l'ouvrage retouché dans le style gothique par l'architecte Viollet-le-Duc, dont sont conservés les plans. Il a estimé qu'une reconstruction à l'identique permettrait de mieux de tenir les délais d'une reconstruction dans le délai de cinq ans souhaité par Emmanuel Macron.
Il y a 4 ans et 345 jours

Le libre-service, c’est du béton

Le négociant lorrain Silix lance l’offre « Selfbéton » par application au matériau du principe de la borne de distribution automatique accessible à tout moment. Il cible les consommateurs de petites quantités.
Il y a 4 ans et 345 jours

Smarthome : enfin une solution universelle pour des produits compatibles en 2021

Google, Amazon et Apple se sont associés avec la ZigBee Alliance pour concevoir CHIP, une nouvelle couche applicative universelle pour le Smarthome. Les premiers produits compatibles arrivent en 2021
Il y a 4 ans et 345 jours

Le coût des énergies renouvelables s'avère de plus en plus compétitif face au charbon

Selon un nouveau rapport de l'Agence internationale de l'énergie renouvelable (IRENA), publié aujourd'hui, les énergies renouvelables sont de moins en moins chères par rapport toute autre source de nouvelle électricité à base de combustibles fossiles. Le rapport Coût de la production d'énergie renouvelable en 2019 montre que plus de la moitié de la capacité renouvelable ajoutée en 2019 permettait de réduire les coûts de l'électricité par rapport à ceux des nouvelles centrales au charbon les moins chères.Le rapport souligne que les nouveaux projets de production d'énergie à partir de sources renouvelables sont aujourd'hui de moins en moins chers par rapport aux centrales à charbon existantes. En moyenne, il est moins cher de mettre en service de nouvelles installations d'énergie solaire photovoltaïque et éolienne que de maintenir de nombreuses centrales au charbon en exploitation. Les résultats des enchères montrent que cette tendance s'accélère et viennent confirmer le besoin de mettre définitivement fin à la filière charbon. Le rapport montre que l'année prochaine, il pourrait être plus coûteux d'exploiter 1 200 gigawatts (GW) de capacité existante dans des centrales à charbon que de mettre en service de nouvelles installations solaires photovoltaïques à l'échelle industrielle.Le remplacement des 500 GW les moins chers de la filière charbon par du solaire photovoltaïque et de l'éolien terrestre pourrait réduire sur l'année prochaine les coûts du système électrique de 23 milliards de dollars par an, et les émissions annuelles de dioxyde de carbone d'environ 1,8 Gt, soit l'équivalent de 5% du total des rejets mondiaux de CO2 en 2019. Cela représenterait également un stimulus de 940 milliards de dollars, à savoir environ 1% du PIB mondial.« Nous avons atteint un tournant important dans la transition énergétique. Tant sur le plan environnemental qu'économique, les arguments en faveur de l'installation de nouvelles centrales à charbon ou du maintien de celles qui existent sont injustifiables », a déclaré Francesco La Camera, directeur général de l'IRENA. « De plus en plus, les énergies renouvelables sont la source de nouvelle électricité la moins chère. Leur potentiel pour stimuler l'économie mondiale et créer des emplois est considérable. Les investissements dans les énergies renouvelables sont stables, rentables et attractifs ; ils offrent des rendements constants et prévisibles, et l'économie tout entière profite de leurs bénéfices. »« La stratégie mondiale de relance doit être une stratégie verte », a ajouté La Camera. « Les énergies renouvelables constituent un moyen d'aligner les initiatives politiques à court terme sur les objectifs à moyen et long terme en matière d'énergie et de climat. Les efforts déployés par les nations pour relancer les économies après la crise du COVID-19 doivent reposer sur les énergies renouvelables. Par la mise en œuvre de politiques appropriées, la chute des coûts de la production d'électricité à base d'énergies renouvelables peut transformer les marchés et contribuer dans une large mesure à une relance verte. »Au cours des dix dernières années, l'amélioration des technologies, les économies d'échelle, la compétitivité des chaînes d'approvisionnement et l'expérience croissante des développeurs ont entraîné une forte baisse du coût de l'électricité provenant de sources renouvelables. Depuis 2010, la plus forte baisse des coûts a été enregistrée par l'électricité solaire photovoltaïque à l'échelle industrielle, avec 82%. Venaient ensuite l'énergie solaire à concentration (CSP), avec 47%, l'éolien terrestre, avec 39%, et l'éolien offshore, avec 29%.Le coût des technologies solaire et éolienne a également poursuivi sa diminution d'année en année. Le coût de l'électricité de source solaire photovoltaïque à l'échelle industrielle a baissé de 13% en 2019, atteignant une moyenne mondiale de 6,8 cents (0,068 USD) par kilowattheure (kWh). L'éolien terrestre et l'éolien offshore ont tous deux diminué d'environ 9%, pour atteindre respectivement 0,053 et 0,115 USD/kWh.Les enchères et contrats d'achat d'électricité (CAE) les plus récents montrent que la tendance à la baisse se poursuit pour les nouveaux projets mis en service en 2020 et au-delà. Les prix de l'électricité de source solaire photovoltaïque basés sur un approvisionnement compétitif pourraient en moyenne s'établir à 0,039 USD/kWh pour les projets mis en service en 2021, ce qui représente une diminution de 42% par rapport à 2019. Cette valeur est par ailleurs inférieure de plus d'un cinquième à celle de l'électricité issue de combustible fossile la moins chère, qui est celle produite par les centrales à charbon. Les chiffres record atteints par les enchères d'électricité de source solaire photovoltaïque à Abou Dhabi et Dubaï (EAU), au Chili, en Éthiopie, au Mexique, au Pérou et en Arabie saoudite confirment que des valeurs de seulement 0,03 USD/kWh sont déjà possibles. Pour la première fois, le rapport annuel de l'IRENA examine également la valeur des investissements par rapport à la baisse des coûts de production. Pour la même somme d'argent investie en énergies renouvelables aujourd'hui, les nouvelles capacités produites sont supérieures à celles d'il y a dix ans. En 2019, la capacité de production d'énergie renouvelable mise en service était deux fois plus élevée qu'en 2010, mais elle avait nécessité seulement 18% d'investissements en plus. Découvrez les conclusions principales du rapportLisez le rapport complet « Coût de la production d'énergie renouvelable en 2019 »
Il y a 4 ans et 345 jours

Goujon FBN II HDG : le premier goujon galvanisé à chaud évalué pour une utilisation en extérieur (ETE)

En outre, il offre une capacité de charges maximales, attestée par l'Évaluation Technique Européenne ETA-18/0101 (Option 7) pour le béton non fissuré, et dispose d'une résistance au feu R120.Évalué pour une utilisation en zones humides et les applications extérieures (ETE), le goujon FBN II HDG galvanisé fischer est recommandé pour fixer des constructions métalliques, des profilés, des platines, des garde-corps, des mains-courantes, des chemins de câbles, des escaliers, des constructions en bois…Une double profondeur d'ancrage pour plus de flexibilité Les professionnels peuvent utiliser le nouveau goujon FBN II HDG galvanisé fischer pour toutes les applications en extérieur et en environnement humide.Pour une flexibilité optimale sur les chantiers, deux profondeurs d'ancrage sont disponibles :La profondeur d'ancrage standard permet d'utiliser la capacité maximale de l'ancrage et donc de fixer les charges les plus élevées avec moins de points de fixation.La profondeur d'ancrage réduite permet de diminuer les temps de forage. Elle est idéale lorsqu'il est nécessaire d'utiliser une longueur utile supérieure ou lorsque la profondeur de forage est limitée (ex. en présence d'armatures). La profondeur d'ancrage peut être ajustée à la situation et à l'application.Goujon FBN II HDG galvaniséUn ancrage haute résistance à la traction...Le goujon fischer FNB II HDG en acier galvanisé fischer dispose d'un long filetage, idéal pour les fixations déportées. Il permet le meilleur ajustement possible des pièces déportées, même en cas de variations des profondeurs d'ancrage.Le couple formé par la bague et le cône d'expansion fournit une capacité de charges en traction maximales dans le béton non fissuré avec des entraxes et des distances aux bords très faibles. La contrainte d'expansion est ainsi mieux répartie dans le support. De plus, les très faibles entraxes et distances aux bords autorisent la fixation de petites platines proches des bords pour plus d'applications.L'épaulement de tête est lisse ce qui évite l'endommagement du filetage lors de la mise en œuvre. Par ailleurs, il dispose d'un marquage permettant d'identifier la version du goujon mais aussi de contrôler la profondeur d'ancrage.... et à la corrosionLe goujon FNB II HDG bénéficie d'une galvanisation à chaud d'une épaisseur minimum de 50 μm respectant les dispositions de la EN ISO 10684:2011.La durabilité du revêtement a été évaluée selon la EAD 330232-00-0601 et peut s'étendre jusqu'à 50 ans (en fonction des catégories de corrosivité C1, C2, C3, C4, C5, CX).Un confort d'installation optimalLe goujon fischer FNB II HDG galvanisé est un ancrage à expansion par serrage contrôlé. Le serrage de l'écrou entraîne le cône dans la bague d'expansion et expanse cette dernière contre les parois du trou foré.Il peut être installé avec seulement quelques coups de marteau, ce qui facilite son usage dans les situations ne permettant pas de donner des coups de marteau puissants, comme par ex. pour les constructions difficilement accessibles. Quelques tours d'écrou suffisent pour appliquer le couple de serrage.Une large gammePour multiplier les champs d'applications, fischer propose une large gamme de goujons FBN II HDG. En plus de la version standard avec sa double profondeur d'ancrage, une version courte FBN II HDG K (avec profondeur d'ancrage réduite uniquement) assure une mise en œuvre encore plus rapide. Cette version est une alternative économique et avantageuse pour les fixations non-structurelles, qui ne nécessitent pas de charges importantes.Le goujon FNB II HDG galvanisé est homologué pour le béton non fissuré C20/25 à C50/60 ainsi que le béton non fissuré C12/15, et dans la pierre naturelle à structure dense, pour les dimensions M8 à M20.
Il y a 4 ans et 345 jours

Du collège jésuite au palais de justice, par l'architecte Vincent Brossy

De nombreux architectes espèrent que "le monde d'après" tirera les leçons de la crise sanitaire, pour repenser la fabrique du logement en France. Comment éviter la standardisation des plans? Comment agrandir les surfaces? Et surtout, comment redonner de la place à l'invention dans la conception de ces espaces, très contraints par la […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 345 jours

Reprise d’activité post Covid-19 : le réseau Initial 100% opérationnel

Né à l’initiative de Kawneer en 1994, le réseau INITIAL regroupe des fabricants indépendants experts de la menuiserie en aluminium prête à poser. Grâce à leur mobilisation et au soutien de Kawneer, gammiste reconnu, les membres du réseau INITIAL n’ont cessé de travailler durant la période de confinement et abordent la reprise d’activité en étant 100% opérationnel avec des commandes fabriquées, prêtes à livrer ! Le réseau INITIAL, les experts de la menuiserie aluminium prête à poser, 100% opérationnel Créé par Kawneer il y a près de 30 ans, le réseau INITIAL constitue une véritable communauté de fabricants indépendants experts de l’aluminium, bien implantés localement, qui représente la marque INITIAL avec l’offre 100% alu la plus large du marché. Au fil des années, le réseau INITIAL, à taille humaine, a su s’adapter à l’évolution du marché de la menuiserie aluminium. Il s’est professionnalisé à la fois par des investissements (surface de production, équipements, outils industriels…) mais également dans son approche du commerce et du service. 10 sites industriels de fabricants de menuiseries aluminium prêtes à la pose, répartis sur le territoire français, réalisent plus de 2500 menuiseries prêtes à poser par mois sans compter les productions spéciales telles que vérandas, extensions d’habitat, châssis grandes dimensions, portes-repliables, gardes corps, murs- rideaux… pour les professionnels poseurs et les distributeurs spécialisés. Aujourd’hui mature, ce réseau d’entrepreneurs nés a démontré toute son agilité dans sa capacité à maintenir l’activité et apporter le savoir-faire, le service et la qualité attendus par ses clients en portant haut et fort les couleurs d’Initial. Toutes ces entreprises et leurs équipes se sont mobilisées pour surmonter la période de crise de ces deux derniers mois en réussissant à fabriquer et à livrer leurs clients poseurs dès la reprise de leur activité. « Avant le confinement, notre carnet de commande était bien rempli. Nous avons fermé le 18 mars au soir mais dès le 23 mars, j’ai repris contact avec mes fournisseurs pour savoir s’ils étaient en mesure de me livrer la matière première pour continuer mon activité et servir les clients restés ouverts. Après avoir mis en place les protocoles sanitaires afin d’assurer la sécurité de tout le personnel, nous avons ainsi repris à mi-temps dès le 31 mars. Dès l’annonce de la date du déconfinement, toute l’entreprise a repris le 27 avril à 100%. Grâce à notre faculté d’anticipation et d’adaptation, nous avons aujourd’hui rattrapé tout le retard pris lors de cette période et nous sommes revenus dans des délais habituels de livraison de 3 à 5 semaines », témoigne M. Jaap Van Linschoten, gérant de la société MBR basée à Alès, membre du réseau depuis 1996, employant 16 salariés. INITIAL, un réseau profitable aux valeurs fortes, prêt à relever tous les défis Les membres du réseau INITIAL véhiculent l’ADN de la marque basé sur des valeurs fortes et respectées par tous telles que : • le service, avec des offres sur-mesure, adaptées ; • la qualité, avec une charte qualité étudiée et revendiquée ; • la proximité, avec une identité locale, une notoriété et une reconnaissance sur leurs terres ; • le respect des délais et des engagements ; • l’expertise technique. Initial, dans le top 3 des réseaux de fabricants de menuiseries prêtes à poser 100% aluminium, est aujourd’hui un réseau profitable, prêt à relever tous les défis. C’est pour cela que Kawneer souhaite dynamiser davantage le réseau avec pour objectif d’atteindre 15 à 20 membres d’ici 2021. La course n’étant pas au nombre mais au respect des valeurs fondamentales qui constituent l’ADN de ce réseau et de la marque INITIAL. http://www.initial-fenetres.com
Il y a 4 ans et 345 jours

Saint-Gobain poursuit la recherche de "partenariats" pour PAM et Lapeyre

Interrogé sur l'évolution de l'activité canalisation, M. Bazin a déclaré lors de l'assemblée générale du groupe que "la pertinence stratégique de la recherche de partenariats demeure"."Le processus est un peu en pause compte tenu de la crise du Covid au cours des derniers mois", mais le groupe le reprendra "dès que les circonstances le permettront (...) avec la volonté de garantir la pérennité de l'activité de Saint-Gobain Pont-à-Mousson dans le long terme", a-t-il ajouté.M. Bazin a précisé que la crise avait pesé "fortement (sur) la rentabilité à court terme", avec notamment la fermeture pendant six semaines du haut-fourneau principal de Pont-à-Mousson.Mais il a souligné que le travail de redressement de l'activité canalisation en cours depuis 2017 "porte ses fruits", avec une réduction des coûts, des investissements de productivité et une réduction des surcapacités en Europe.Concernant les magasins Lapeyre (aménagement de la maison), le directeur général délégué a également dit que "le projet de recherche de partenariats reste toujours valide au plan stratégique" et que "les démarches pourraient reprendre progressivement autour de l'été"."Les efforts stratégiques d'amélioration progressent bien", a affirmé M. Bazin, en citant la logistique, la refonte de la gamme et l'informatique.De son côté, le PDG de Saint-Gobain, Pierre-André de Chalendar a souligné que les niveaux d'activité du groupe "progressent chaque semaine"."Depuis le point bas touché début avril, cette progression n'a cessé de se poursuivre avec un mois de mai qui enregistrait un niveau d'activité d'environ 80% par rapport à 2019, en jours ouvrés comparables, en nette hausse par rapport au mois d'avril qui était d'environ 60%", a détaillé M. de Chalendar, tout en précisant que les processus de reprise sont "très disparates (...) selon les pays".Le PDG a d'autre part estimé que pour les salariés du groupe en France, le chômage partiel pourrait se terminer à la fin juin, après avoir concerné plus de la moitié des effectifs durant le premier mois de confinement, de mi-mars à mi-avril, avant de diminuer régulièrement.
Il y a 4 ans et 345 jours

Covid-19 : certaines préconisations de sécurité sanitaire allégées pour le BTP

L’OPPBTP publie une mise à jour du guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la construction. Avec des changements concernant les apprentis mineurs, écrans faciaux, prise de température, procédures de nettoyage.
Il y a 4 ans et 345 jours

Dumont Legrand architectes - Portrait

Diplômés de l’Ensa Paris-Belleville et remarqués avec le préau de l’école Pierre-Corneille à Versailles, Grégoire Dumont et Olivier Legrand fondent leur agence en 2009, à Paris et Bordeaux. Soucieux de développer le recours aux matériaux biosourcés, les architectes Grégoire Dumont et Olivier Legrand […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 346 jours

Une robe légère et mordorée pour l’école Port Chemin vert signée Archi5

Pour le Groupe Scolaire Port Chemin vert (6 311 m²) réalisé par Archi5 à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), le métal déployé est plus qu’un habillage de façade esthétique, c’est une solution de conception pour un projet sur une parcelle particulièrement contraignante. « Port Chemin Vert est un pari d’avenir qui participe à la transformation de la jachère industrielle […] L’article Une robe légère et mordorée pour l’école Port Chemin vert signée Archi5 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 346 jours

Théâtre-Sénart, de Chaix & Morel, un vaisseau à peau de métal

Dans le sud-est francilien, étonnante cette silhouette émergeant du Carré Sénart (10 600 m²), un théâtre livré par l’Atelier d’architecture Chaix & Morel et Associés. Tel un bloc sculpté, l’enveloppe du théâtre est dessinée au plus près des masses intérieures.  Cette forme unique fédère les volumes et donne une image cohérente et forte dans le […] L’article Théâtre-Sénart, de Chaix & Morel, un vaisseau à peau de métal est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 346 jours

L’ISMO de Paris-Saclay, par KAAN et FRES : deux âmes, une façade

KAAN Architecten, en collaboration avec FRES architectes, a livré au printemps 2018 l’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay (ISMO). Implanté sur le campus de la future Université Paris-Saclay, ce bâtiment de 10.000 m², pour un budget de 20M€, se distingue par une apparence « puissante et élégante ». Communiqué. L’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay (ISMO), né en 2010 […] L’article L’ISMO de Paris-Saclay, par KAAN et FRES : deux âmes, une façade est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 348 jours

Le député européen Yannick Jadot attaque Bruno Le Maire sur Renault et la rénovation des bâtiments

"Les Français ne comprennent pas que l'État, une nouvelle fois mettent des milliards et des milliards dans l'automobile et que ça conduise à 5.000 suppressions de postes" chez Renault, s'est emporté M. Jadot au cours de l'émission politique "Vous avez la parole"."On a eu le scandale du diesel, l'explosion des SUV et là vous nous refaites le même plan de relance sans penser la relocalisation autour du recyclage de l'automobile et des services de l'automobile", a poursuivi le leader écologiste."Il faut savoir ce qu'on veut, si Renault ferme ou pas, Renault joue sa survie, et la responsabilité du ministre de l'Économie, c'est de lui apporter son soutien pour qu'elle puisse vivre", lui a rétorqué le ministre de l'Économie, qui a signé cette semaine une garantie de l'État pour un prêt de cinq milliards d'euros au constructeur automobile en difficulté."Nous avons demandé à Renault de faire des relocalisations, le moteur 100 kilowatts qui devait être produit en Chine sera produit à Cléon. Renault multipliera par 4 ou 5 le nombre de véhicules électriques produits en France", a assuré Bruno Le Maire."Dans votre parti, j'entends certains qui disent que les véhicules électriques ne sont pas l'avenir, alors c'est quoi, la trottinette?", a-t-il lancé à son détracteur.L'eurodéputé vert a ensuite déploré que sur la rénovation thermique du bâtiment, le gouvernement ait "réduit le budget, alors que c'est un sujet éminemment consensuel", selon lui."Il y a 12 % de notre population qui vit dans la précarité énergétique, on a six millions de passoires énergétiques. On a des bâtiments publics, des écoles notamment, qui ne sont pas rénovés", a dénoncé M. Jadot."On a là un potentiel extraordinaire de créations d'emplois, d'amélioration du pouvoir d'achat, d'aménagement du territoire", a-t-il répété.Bruno Le Maire a indiqué qu'il y aurait des mesures pour le bâtiment au sein des 40 milliards de dépenses supplémentaires destinées à soutenir les secteurs les plus touchés par la crise du coronavirus. Elles seront présentées le 10 juin dans le projet de budget rectificatif, a-t-il précisé."La rénovation thermique des bâtiments, ça peut être le projet phare de la relance verte de la France", a estimé le ministre.
Il y a 4 ans et 348 jours

Quelles solutions pour concevoir des bâtiments répondant aux nouveaux enjeux sanitaires ?

Patrick Nossent, président de Certivéa : « Alors que le pays entame un long processus de déconfinement, un retour possible au bureau, à l'école, dans les magasins impose des réaménagements et changements d'usages en urgence au sein des bâtis. Mais pour répondre à ces enjeux sanitaires sur le long terme, nous devons aller plus loin et concevoir des bâtiments sains et performants, qui assurent une fonction de refuge, en temps de crise mais pas seulement. »Qualité sanitaire, flexibilité, connectivité, services : l'avènement du bâtiment refugePatrick Nossent : « L'Organisation Mondiale de la Santé définit la santé comme un état de bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie. La santé passe donc par le confort, la qualité des services, mais également la protection contre les évènements climatiques extrêmes. Qualité du bâtiment, flexibilité des espaces, connectivité et bonnes pratiques vont jouer un rôle central pour la qualité de vie des occupants. »1. Les qualités intrinsèques du bâtiment : qualité de l'air intérieur, de l'eau et de l'entretien des espacesVentilation, filtres, mesure de la qualité de l'air intérieur ;Mesure de la qualité de l'eau, traitements d'entretien et décontamination des réseaux intérieurs pour éviter l'altération des propriétés organoleptiques (odeur, couleur, goût, etc.), la modification des caractéristiques physico-chimiques (température, dureté, concentrations en métaux et composés organiques et contamination microbiologique ;Mesure des polluants ; mesure des seuils d'ondes électromagnétiques ;Matériaux antibactériens et faciles à entretenir ; espace de stockage des déchets, etc.2. Accessibilité et flexibilité du bâtiment pour s'adapter aux besoins des usagerAménagements intérieurs modulables pour la gestion des flux de personnes, l'espacement des postes de travail ;Modularité des usages d'un bâtiment, en particulier bâtiment public : de salle communale à lieu d'accueil pour sans-abris, de centre de congrès à hôpital de campagne, de village vacance à centre de quarantaine, etc.3. La connectivité et le numérique pour garantir le maintien de toutes les interactions, en toutes circonstancesPour organiser le télétravail, nécessité de pouvoir compter sur des réseaux sécurisés, fiables avec des outils de partage et de collaboration en ligne ;Services d'informations pour favoriser l'application des consignes sanitaires : nombre de personnes dans une salle, un étage, le nombre de voiture dans un parking ; montres connectées pour signaler la distance de sécurité ; état du trafic des réseaux de transports en commun pour éviter la cohue, etc.Ouverture des portes sans contact ;Nettoyage automatique des espaces sanitaires, etc.4. Les services associés et bonnes pratiques pour préserver la santé et favoriser le mieux-êtreDémarches d'amélioration de la Qualité de Vie au Travail en entreprise avec politiques de sensibilisation aux enjeux sanitaires ; cellule d'écoute psychologique ;Cabine médicale connectée pour bénéficier d'une téléconsultation ou check up santé ;Salles de sport, salles de sieste, espace de restauration collective de qualité ;Ergonomie des postes de travail, etc.Chocs sanitaires et climatiques : comment se prémunir durablement ?Le bâtiment doit permettre aux usagers de gérer les chocs climatiques comme sanitaires dans les meilleures conditions possibles. Les innovations en construction / rénovation et les règlementations incluent progressivement ces réalités.Mais le secteur doit surtout participer à l'amélioration durable des cadres de vie. Cela suppose un engagement multi thématiques : sobriété énergétique et installations bas carbones, préservation de la biodiversité, santé et confort des usagers, performance économique des territoires, sont autant d'enjeux interconnectés.Pour accompagner les professionnels dans la prise en compte de l'ensemble de ces problématiques, la règlementation ne suffit pas à elle seule. Les certifications volontaires en développement durable (HQE, R2S, OsmoZ) offrent des cadres méthodologiques, des solutions de gestion de projet, des grilles d'évaluation, des référentiels de bonnes pratiques exemplaires et des outils pour valoriser les efforts entrepris par les professionnels.Patrick Nossent : « Construire et préserver un cadre de vie durable et résilient suppose qu'on agisse de manière globale sur la qualité de vie, la préservation de l'environnement et la performance économique. La certification des bâtiments privés ou publics et des infrastructures sur les enjeux de développement durable permet aux professionnels d'apporter une réponse holistique à ces enjeux. »