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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

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Il y a 4 ans et 348 jours

Frédéric Carré, nouveau président de la FFB Occitanie

Le dirigeant du groupe Carré (Métallerie – Menuiserie Aluminium), ancien président (2012-2018) de la FBTP Haute-Garonne, succède à Bruno Dumas, président depuis le 1er juillet 2016.
Il y a 4 ans et 348 jours

Zoom sur la numérisation des artisans du secteur de la baie et de la métallerie

Des artisans adeptes des réseaux sociauxUne large majorité des artisans interrogés disent posséder un site internet (68,5%) et sont très présents sur les réseaux sociaux (78%). Parmi ceux-ci, Facebook est largement plébiscité avec 58% des artisans qui s'y rendent régulièrement. Viennent ensuite Linkedin (44%) et Instagram (22%). Twitter n'est utilisé que par 5% d'entre eux. A noter que les artisans qui disposent d'un site internet sont encore plus présents sur les réseaux sociaux (87%).Des artisans très équipés pour travaillerLe taux d'équipement est assez élevé parmi les artisans interrogés. Ainsi, 83% déclarent disposer d'un ordinateur portable à titre professionnel et 82,5% d'un smartphone. Bien sûr, la plupart d'entre eux utilisent plusieurs outils (2,6 en moyenne par artisan).La recherche d'information est le premier objectif pour lequel les artisans utilisent les terminaux dont ils sont équipés (96%). C'est principalement avec leur smartphone qu'ils réalisent ces recherches (72%) puis via leur ordinateur portable (58%). Viennent ensuite la réalisation de devis (91%) puis la gestion des clients (88%).Pour gérer leur activité, les artisans préfèrent toutefois l'ordinateur portable : 73% pour la réalisation des devis et la gestion des clients ; 63% pour la facturation ; 65% pour la gestion des commandes ; 70% pour trouver et gérer des prospects.De la même manière, l'utilisation de configurateurs (73% des artisans) ou de simulateurs (63%) est faite principalement sur un ordinateur portable (respectivement 68% et 59%).Parmi les services dont disposent les artisans, il est à noter que seuls 14% d'entre eux font appel à des plateformes d'intermédiation pour trouver des chantiers et être mis en contact avec des particuliers.De la même manière, le BIM est seulement utilisé par 15% des artisans pour leurs chantiers. En revanche, ils ont recours plus facilement à des applications professionnelles (36%). La réalité virtuelle, et notamment l'utilisation de lunettes 3D, n'est encore utilisée que par 4% d'entre eux.L'automatisation : un levier de développement pour les artisansLes artisans ont bien pris conscience du potentiel que représentent les objets connectés. La demande est en effet croissante de la part des clients et ces solutions offrent de nombreux avantages en termes de confort, d'économies d'énergie, de performances des habitations. Il s'agit donc d'une véritable opportunité de développement de business pour les professionnels et la plupart ont pris ce virage depuis quelques temps déjà.Ainsi 87% des artisans interrogés sont capables de répondre aux demandes d'automatisation, principalement sur les portails (46%) et les volets (44%). Les stores viennent en troisième position avec 30%, suivis des portes (19%) et des fenêtres (11%).Lorsqu'ils proposent cette solution, ils sont 54% à avoir intégré cette compétence dans leur entreprise et 46% à faire appel à un tiers (sous-traitant ou partenaire).Du côté des demandes d'automatisation, les artisans déclarent en recevoir 70% de manière spontanée. Là encore, ce sont majoritairement les portails et les volets qui sont concernés (49% pour les deux), mais aussi les stores à 33% puis les portes (23%) et les fenêtres (15%).« La transition numérique est en cours et inéluctable. Les professionnels du bâtiment et notamment ceux de la baie et de la métallerie l'ont parfaitement compris et avancent en ce sens depuis quelques années. Pour se différencier de leurs concurrents et répondre aux besoins de leurs clients voire les anticiper, ils savent que se munir d'outils numériques est primordial et c'est ce que montre l'étude que nous avons réalisée. Même si des progrès peuvent être faits, et c'est en cela qu'un salon comme EQUIPBAIE-METALEXPO est indispensable pour accompagner les professionnels. Ce n'est pas un hasard si nous avons choisi pour thème cette année « L'avenir des métiers et le numérique ». », indique Guillaume Loizeaud, directeur d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO.
Il y a 4 ans et 348 jours

Covid-19 : syndicats et patronat reçus à l'Élysée pour "sauver l'emploi"

"L'enjeu", a souligné la ministre du Travail Muriel Pénicaud à l'issue de la réunion, c'est de "sauver l'emploi", de "bâtir une nouvelle donne" pour préserver les compétences des salariés.Parmi les annonces faites à l'issue de cette rencontre de près de trois heures avec les partenaires sociaux: les entreprises qui recruteront un apprenti du 1er juillet au 28 février bénéficieront d'une aide élargie à l'embauche de 8.000 euros pour les majeurs et 5.000 euros pour les mineurs.Alors que cette aide est aujourd'hui réservée aux entreprises de moins de 250 salariés et pour des diplômes au niveau inférieur ou égal au bac, le dispositif sera élargi jusqu'au niveau de la licence et à toutes les entreprises, ce qui représentera "un coût supplémentaire supérieur à un milliard d'euros", selon l'entourage de la ministre.Autre point sur lequel l'exécutif était très attendu: la réforme contestée de l'assurance-chômage. Des discussions sur ce sujet vont s'ouvrir "dans les semaines qui viennent" avec les organisations syndicales et patronales en vue de parvenir à des décisions "d'ici l'été", a annoncé la ministre du Travail dans la cour de l'Elysée.Alors que toutes les organisations syndicales réclament l'annulation de cette réforme, "les choses sont très, très ouvertes sur l'assurance-chômage", a précisé le ministère.D'autres chantiers se poursuivront dans les prochaines semaines, sur le chômage partiel qui va être aménagé, sur l'emploi des jeunes, dont "près de 800.000 vont sortir du système scolaire ou universitaire cet été", a rappelé Mme Pénicaud, ou encore sur la formation.A la sortie de la réunion, les syndicats ont accueilli avec prudence les annonces concernant l'apprentissage, et ont insisté sur la question des salaires. Philippe Martinez (CGT) a exhorté le président de la République à "convertir en actes ses propos sur les salaires, la prise en compte des deuxièmes lignes". Laurent Berger (CFDT) a appelé à "ne pas oublier la reconnaissance des travailleurs exposés pendant la période de confinement", tandis qu'Yves Veyrier (FO) a dit être "resté complètement sur (sa) faim" car "il n'y a pas eu d'annonce du tout" sur le sujet.Plus de huit millions de personnes sont au chômage partiel et plus de six millions de demandeurs d'emploi ont été comptabilisés par Pôle emploi en avril, du jamais vu en France. Et la situation devrait s'aggraver: mardi, Mme Pénicaud a anticipé que la France "repasserait les 10%" pour le taux de chômage, contre 8,1% avant l'épidémie.Le gouvernement anticipe une chute du PIB de 11% cette année et un creusement du déficit public à 11,4% du PIB contre 3% en 2019. Pour répondre à cette crise historique, "nous avons mis 450 milliards d'euros sur la table de mesures de trésorerie et budgétaire, 20% de notre richesse nationale", a souligné le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, à l'issue de la réunion à l'Elysée.Déconfinement accéléréDepuis mardi, le déconfinement a connu un coup d'accélérateur, avec la levée de l'interdiction de se déplacer à plus de 100 km de son domicile, ou encore l'ouverture partielle des cafés, restaurants et petites salles de spectacle. Le ministre de l'Education, Jean-Michel Blanquer, a par ailleurs dit jeudi espérer que le protocole sanitaire puisse être assoupli "bientôt" dans les écoles.Sur le front de l'épidémie, 44 nouveaux décès ont été recensés dans les hôpitaux en France, portant le bilan total à 29.065 morts depuis le début de l'épidémie, selon le bilan quotidien communiqué jeudi soir par le ministère de la Santé, (qui ne comprend pas les morts dans les établissements sociaux et médico-sociaux au cours des dernières 24 heures). Et la baisse se poursuit en réanimation.Durement éprouvés, les soignants ne désarment pas et plusieurs syndicats (CGT, FO, SUD, Unsa) et collectifs (Inter-Urgences, Inter-Hôpitaux) ont appelé jeudi à une journée d'action nationale le 16 juin pour réclamer notamment des moyens supplémentaires et une revalorisation générale des salaires. Ils se sont de nouveau rassemblés par centaines jeudi devant des hôpitaux.Le président Macron avait souhaité que le 14 juillet soit l'occasion de rendre hommage aux soignants. L'Elysée a confirmé jeudi que ce serait le cas, au cours d'une cérémonie militaire place de la Concorde, qui remplacera, pour des raisons sanitaires, le traditionnel défilé sur les Champs-Elysées.
Il y a 4 ans et 348 jours

Pour le parc éolien en mer de Saint-Brieuc, Ailes Marines choisit Prysmian comme fournisseur des câbles sous-marins inter-éoliennes

Ce contrat d’un montant de 80 millions d’euros renforce la position du Groupe Prysmian comme acteur majeur de la transition énergétique en France Ailes Marines, en charge du développement, de la construction, de l’installation et de l’exploitation du parc éolien en mer de la Baie de Saint-Brieuc, vient de signer avec le Groupe Prysmian, leader mondial dans l’industrie des systèmes de câbles de puissance et de télécommunication, un contrat de 80 millions d’euros pour fournir les câbles inter-éoliennes du parc de Saint-Brieuc. Prysmian fournira une offre complète clé en main comprenant la conception, la fourniture, l’installation ainsi que de l’ensemble des tests pour la mise en service des 90 km de câbles tripolaires sous-marins  de 66 kV haute tension à courant alternatif (HVAC) avec une isolation XLPE. Les phases des câbles (âmes et isolation) seront fabriquées dans les usines du groupe Prysmian situées à Montereau-Fault-Yonne et à Gron (France), puis l’assemblage final des câbles tripolaires sera effectué à Nordenham (Allemagne). La livraison et la mise en service sont prévues pour fin 2022. « Ce contrat confirme une fois de plus notre avance technologique, que nous mettons au service de la transition énergétique en France, ainsi que notre capacité à fournir à nos clients des solutions performantes fabriquées localement » affirme Laurent Tardif, PDG Europe du Sud au sein du Groupe Prysmian. « Ce contrat marque un jalon important pour Prysmian, cela prouve que notre ambition de devenir un fournisseur d’une solution clé en main, couvrant l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement, est crédible et durable à long terme. Notre système de câbles inter-éoliennes de 66 kV permet de transporter deux fois plus d’énergie par rapport à des câbles de 33 kV » a ajouté Olivier Angoulevant, Directeur de la division Énergie Éolienne Offshore. Ce contrat renforce aussi la longue et fructueuse collaboration entre le Groupe Prysmian et Iberdrola Renovables, actionnaire unique de la société de projet Ailes Marines. Iberdrola Renovables a déjà confié à Prysmian plusieurs projets ces dernières années, comme le parc éolien offshore de Wikinger en mer Baltique, ainsi que le parc éolien offshore de Vineyard, situé dans l’état du Massachusetts, aux Etats-Unis. Selon Javier Garcia Perez, Président d’Ailes Marines et Directeur Offshore International d’Iberdrola : « Le contrat avec Prysmian concernant les câbles inter-éoliennes pour le parc éolien en mer de Saint-Brieuc est une nouvelle étape importante qui prouve une fois de plus qu’Ailes Marines est déterminée à investir dans la relance “verte” de l’économie et de l’industrie en France tout en contribuant à l’objectif d’atteindre zéro émission nette grâce aux énergies renouvelables » Le parc éolien en mar de Saint-Brieuc  Le parc éolien en mer de Saint-Brieuc se situera dans la Baie de Saint-Brieuc en Bretagne, à 16,3 kilomètres au large des côtes françaises. Une fois terminé, le parc éolien, d’une capacité totale de 496 MW, produira 1 820 GWh par an, l’équivalent de la consommation électrique annuelle de 835 000 habitants. Les travaux d’installation dureront plusieurs mois et se poursuivront jusqu’en 2022. Le parc éolien sera totalement opérationnel en 2023.
Il y a 4 ans et 348 jours

Des VRV à condensation à eau pour climatiser les nouveaux locaux de Multiburo à Montparnasse

Une installation peu courante : des VRV à eauC'est dans le cadre d'un vaste projet de transformation du quartier de la gare Montparnasse que la SNCF Gares et Connexion a proposé la location de nouveaux espaces commerciaux en lieu et place de ses anciens bureaux.Multiburo, spécialiste de la location de salles de réunions et d'espaces de coworking, s'est installé dans la plus grande surface commerciale de la gare Montparnasse. Sur 1 600 m², des 19.000 m² de superficie totale de la galerie commerçante, Multiburo propose :11 salles de réunion35 bureaux locatifsune zone de coworking pouvant accueillir jusqu'à 30 personnes.Il s'agit de la 27e surface Multiburo ouverte en France, et la 3e en gare parisienne.Dans son cahier des charges concernant l'installation de confort climatique au sein de ses locaux, équipement prégnant au vu de son activité de loueurs d'espaces conviviaux, Multiburo avait pour exigences :Confort acoustique essentiel pour offrir un service de location de bureaux calmesConfort thermique individualisé avec thermostat déportéL'ensemble de la zone commerciale de la Gare Montparnasse est connecté sur boucle d'eau, donc de fait, imposée aux commerçants preneurs. Les installations extérieures sont interdites par manque de place, et en raison du caractère patrimonial de la bâtisse qui est classée.La recommandation d'Erwan Mener, EMD Conseil (AMO) intervenant pour Multiburo, a porté sur l'installation d'un VRV à condensation eau Daikin raccordé sur boucle d'eau, une installation peu courante et différente de celle privilégiée par les autres commerçants de la gare préférant un système PAC classique sur boucle d'eau.Bien que ne l'ayant jamais préconisé jusqu'à présent, Erwan Mener a été séduit par une installation similaire visitée à Séville, avec des avantages pluriels comparativement à un système plus classique, notamment celui d'afficher un excellent ratio confort / récupération d'énergie.Le VRV à condensation eau Daikin allie performance et économie d'énergie grâce à la pluralité de nombreuses technologies telles que l'Inverter. De plus, les groupes des VRV eau ne nécessitent qu'un réseau hydraulique direct et court, alors qu'un groupe traditionnel aurait demandé d'opérer un raccordement derrière chaque terminal intérieur. L'installation VRV s'avère plus simple à réaliser, avec moins de contraintes, et moins coûteuse en termes de mise en œuvre pour la maîtrise d'ouvrage.L'installateur, Spie Industrie Tertiaire, a donc procédé à la mise en place de 5 VRV à eau 3 tubes RWEYQ10T9Y1B dont les groupes, très compacts, sont contenus dans un local technique.Chacun reste maître de son confort thermiquePour que ses clients puissent travailler dans l'ambiance qui leur convient le mieux, Multiburo a souhaité qu'ils puissent choisir eux-mêmes la température de leur espace de travail.L'air est distribué dans les différentes pièces grâce à 59 unités cassettes (600 x 600) réparties sur l'ensemble de la zone. Ces cassettes permettent une diffusion de l'air individualisée, pour un confort optimal et adapté à chacun des clients.42 télécommandes MADOKA ont été installées, apportant une touche design aux espaces de travail. Très instinctives, elles sont laissées à la disposition des clients qui peuvent réguler la température selon leurs besoins.Un niveau sonore extrêmement réduitDésireux d'offrir à ses clients une ambiance de travail calme et propice à la concentration, Multiburo s'est tourné vers la marque Daikin pour installer des solutions très silencieuses. La technologie à détente directe du système VRV mis en place assure un niveau sonore beaucoup plus faible qu'un système de PAC air/eau.La solution VRV à eau de Daikin est donc apparue comme la solution idéale, au vu de ses performances acoustiques, pour un espace de coworking.Daikin et Multiburo n'en sont pas à leur première collaboration : les espaces de la Gare de Lyon et de Saint Lazare ont également été équipés de solution Daikin.
Il y a 4 ans et 348 jours

Un accord trouvé pour protéger les agences d'architecture en redressement

MARCHÉS PUBLICS. Selon le texte adopté en commission mixte paritaire, le projet de loi "portant diverses dispositions liées à la crise sanitaire" apporte une protection aux agences d'architectes qui se trouveraient en redressement judiciaire, explique l'Unsfa. En revanche, les seuils d'exemption de mise en concurrence restent inchangés.
Il y a 4 ans et 348 jours

L'UFME élit son Président Bruno Cadudal et constitue son nouveau Bureau

Après des années d'aides fiscales dédiées à la fenêtre, la profession est entrée depuis deux ans dans une nouvelle ère. Souhaitant que l'UFME prenne une nouvelle dimension dans les débats de demain, Bruno Cadudal se fixe pour missions de :développer le réseau d'adhérents afin de renforcer sa représentativité et notamment sur les sujets liés à l'environnement,consolider sa position auprès des instances du secteur (Pôle Fenêtre, CSTB, DHUP, FCBA, AIMCC, EPPA…),permettre à chacun de participer aux travaux et échanges, quelle que soit la taille de l'entreprise, et de poursuivre son ouverture vers les extrudeurs gammistes et professions associées.« L'optimisation thermique des bâtiments reste le fer de lance de la fenêtre. Mais d'autres sujets émergent et nous occuperont dans les prochaines années. Tel est le cas de la question environnementale et du recyclage des menuiseries, sans oublier le confort que le ménage français est en droit d'attendre pour son logement.L'UFME aura de nombreux enjeux dont la revalorisation de la fenêtre PVC par exemple. Depuis 2019, la section concepteurs gammistes, rassemblant l'ensemble des acteurs de la profession, s'est mobilisée pour favoriser la revalorisation du matériau PVC. Le volet social et formation assuré depuis 2007 par l'UFME prend depuis ces derniers mois une nouvelle orientation. Même si cette mission reste plus méconnue, la gestion de la Convention Collective Menuiserie Charpente est une autre facette de nos compétences, très importante et nous offre toute légitimité pour porter haut et fort la fenêtre bois française de qualité auprès de l'ensemble des instances nationales (FCBA, Ministère …). », déclare Bruno Cadudal.Bruno Cadudal est Président d'Atlantem, activité menuiserie du Groupe HERIGE depuis dix-huit ans. Issu d'une formation d'ingénieur agro-alimentaire (ENSAIA - 1987), complétée d'un master de management (ICG - 1995), il a débuté sa carrière dans l'industrie agro-alimentaire à l'étranger pendant quatorze ans (Nouvelle-Zélande et Etats-Unis) puis en France (Lactalis et United Biscuits). Il s'est investi depuis plus de dix ans dans les actions de l'UFME et est notamment à l'initiative du baromètre d'activité, indicateur d'activité permettant chaque mois aux adhérents de se positionner par rapport au marché français. Il participe au développement et renouveau du salon Equip'baie et est impliqué dans les relations avec les partenaires de l'UFME tels que le SNFA. Ses nombreuses années en tant qu'administrateur et membre du Bureau lui ont permises d'acquérir une profonde connaissance du fonctionnement de l'UFME.La constitution d'un nouveau bureauBruno Cadudal a nommé les Présidents des Commissions :Hugues de Forges à la Commission technique (nouveau nommé),Jean-Marc Combes à la Commission sociale et formation,Patrick Sage à la Commission communication.Le Conseil d'Administration a également validé la composition du Bureau de l'UFME :Patrick Bouvet, Vice-PrésidentVincent Pasquet, TrésorierFrançois Guérin, Secrétaire Général (nouveau nommé)Jos Lenferink, Représentant de la Section extrudeurs gammistesFrançois de Labarthe, Représentant de la Section professions associées.
Il y a 4 ans et 348 jours

Un espace de vie aéré et agrandi pour ce studio

AVANT-APRES. En piteux état, ce studio est devenu un logement confortable. Repensé pour agrandir l'espace de vie, il a aussi gagné une vraie salle de bains, et sa déco, inspirée du style industriel, lui donne une allure de petit cocon urbain.
Il y a 4 ans et 348 jours

Cléa : nouvel espace numérique de la maison, au service de la relation et de l'accompagnement client

Tout au long du projet, CLÉA facilite et renforce la qualité de la relation entre le professionnel (constructeur, promoteur, architecte, maître d'œuvre, entreprise…) et ses clients, en permettant notamment à ces derniers de mieux suivre l'évolution du chantier et de s'approprier leur maison.Le principe : un espace numérique dédié à la maison, de sa conception à sa livraison, tout au long de son cycle de vie Contrat, suivi du chantier, réception, prise en main... : tout au long d'un projet de maison individuelle, la qualité de la relation client est fondamentale. Mais il n'est pas toujours simple de répondre rapidement à toutes les questions des propriétaires, les intégrer pleinement dans le projet, quelle qu'en soit l'étape, ou leur permettre d'accéder facilement et quand ils le souhaitent aux documents et informations-clés.C'est dans cet esprit que QUALITEL Espace Numérique du Logement a conçu et développé CLÉA, solution numérique dédiée à la maison.Objectif : faciliter le quotidien des acteurs de la construction, qu'ils soient constructeurs, promoteurs, architectes, maître d'œuvre, entreprises, etc., avec un outil pratique et interactif.Du côté des professionnels : quotidien facilité, relation client renforcéeSpécifiquement adaptée aux enjeux de la relation client dans le domaine de la maison individuelle en construction, CLÉA intègre 3 fonctionnalités essentielles pour permettre aux professionnels d'apporter à leurs clients un service à forte valeur ajoutée :Un espace sécurisé* pour centraliser, stocker et partager avec les clients toutes les informations et documents de la maison : proposition commerciale, plans, contrat et notice descriptive, etc.Un outil interactif permettant de fluidifier la communication avec les clients : suivi et avancement du chantier, envoi de photos, invitations aux visites, etc.Un guide d'entretien personnalisé pour chaque maison.Au-delà du renforcement de l'accompagnement client, c'est aussi sur la simplicité d'utilisation que les équipes de QUALITEL ont particulièrement travaillé pour faire de CLÉA un outil facilitateur au quotidien. En quelques clics, les professionnels peuvent notamment :Créer, avec le moins de saisie possible, l'espace dédié au projet ;Renseigner automatiquement les informations principales du projet et du site, en téléchargeant simplement l'étude thermique au format XML et en indiquant l'adresse de la maison ;Créer des modèles types de maisons, duplicables / adaptables à d'autres projets ;Personnaliser facilement la liste des équipements, à partir d'une bibliothèque régulièrement mise à jour en fonction des évolutions techniques, des informations, notices et conseils rédigés par les experts QUALITEL.Du côté des propriétaires : un service en plus, avant, pendant et après le chantier Avec CLÉA, via un accès dédié, protégé par un code personnel, les particuliers peuvent :Suivre plus facilement l'avancée de leur projet ;Accéder à l'ensemble des données, qu'elles soient relatives au contrat, aux caractéristiques techniques, aux équipements... ;Bénéficier de conseils et de contenus variés autour de la maison : écogestes, qualité de l'air intérieur, ventilation... ;Etc.Ce service d'accompagnement perdure par ailleurs au-delà de la livraison avec des rappels automatiques pour l'entretien des équipements, ainsi qu'un outil de suivi des consommations d'énergie conforme à l'article 23 de la RT 2012, disponible en option d'ici la fin 2020.Mieux informés, les propriétaires peuvent pleinement s'impliquer dans leur projet et s'approprier facilement le fonctionnement de leur maison et ainsi, assurer la pérennité de leur bien.*L'ensemble des informations stockées sont hébergées sur des serveurs en France et sont protégées dans le respect de la réglementation RGPD.CLÉA en brefDe quoi s'agit-il ? Un espace numérique dédié à la maison, pensé pour faciliter et renforcer la qualité de la relation client.Pour qui ?Pour tous les professionnels de la construction, en maison individuelle : constructeurs, promoteurs, maîtres d'œuvre, architectes, etc.Quand et comment y accéder ?Dès le 18 mai 2020, sur smartphones, tablettes et ordinateurs via clea.qualitel.orgCombien ça coûte ?40€ HT / maison25€ HT / maison pour les professionnels engagés dans la certification NF HabitatProchaines étapes ? Dans les tous prochains mois, CLEA sera disponible pour les acteurs du logement collectif. A l'automne 2020, une version 100% grand public sera également déployée permettant de créer l'espace de son logement actuel.
Il y a 4 ans et 348 jours

Image de marque : quelles enseignes de bricolage ont bénéficié du confinement ?

IMPRESSION. Les deux mois de confinement ont fait de la maison un lieu de repli et de réconfort. Les enseignes et magasins ont dû fermer leur portes. Néanmoins, le business en ligne s'est poursuivi. Quelles enseignes du secteur du bricolage ont su tirer leur épingle du jeu en matière d'image ? Eléments de réponse dans une étude Yougov.
Il y a 4 ans et 348 jours

Dossier : 5 intérieurs minimalistes qui nous inspirent

Avec leurs intérieurs épurés, plusieurs agences privilégient la sobriété poussée à l’extrême et annoncent ainsi le grand retour du minimalisme dans nos foyer. Cette semaine, la rédaction de Muuuz vous dévoile cinq intérieurs minimalistes inspirants qui nous prouvent qu'en matière d'intérieur, less is more. Moulin d’Ubalt ArchitectesL’agence d’architecture d’intérieur parisienne Ubalt Architectes, fondée en 2015 par Mylène Vasse et Nastasia Potel, métamorphose un appartement de Montreuil (93) en un loft minimaliste blanc, noir et gris rehaussé par des touches de couleurs subtiles. C’est l’une des réalisations les plus représentatives de la palette surprenante du duo, mêlant ici lignes graphiques, couleurs délicates et matières travaillées. . Appartement Saint-Denis de JCPCDRParis regorge de surprises ! La preuve avec cet appartement étonnant de 75 mètres carrés situé rue Saint-Denis. Entre ouvrage haussmannien et inspiration scandinave, le projet signé JCPCDR est un ensemble contemporain, lumineux et fait la part belle aux volumes atypiques, caractéristiques de la capitale. Une source d’inspiration pour tous les citadins qui souhaiterait rafraichir leur décoration ! . Maison à Beaune d’Atelier OrdinaireConnu pour son travail du bois, l’Atelier Ordinaire signe un nouvel ouvrage familial en Bourgogne. C’est plus précisément à Beaune que l’agence alsacienne conçoit une maison préfabriquée dialoguant avec le paysage sylvestre et destinée à un couple de viticulteurs. Une cabane des plus contemporaines construite hors site qui laisse entrer la lumière grâce à de larges ouvertures savamment placées. . Appartement L de PseudonymeCréée en juillet 2017, la jeune agence parisienne Pseudonyme prouve que la valeur n'attend pas le nombre des années. Après avoir revalorisé la façade du célèbre Circus Hotel de Berlin (Allemagne), le duo d'architectes affiche son goût pour les textures métalliques et signe un lieu unique au cœur du 6e arrondissement de la capitale, entre espace privé, appartement de collectionneur et galerie d'art. Focus sur un studio dont on n'a pas fini d'entendre parler... . MA d’Extra MediumLe projet « MA », c’est tout d’abord une histoire de famille. Le terrain, acheté par les proches de l’architecte au début des années 2000, était jadis une ferme typique du Vaucluse se confondant avec le paysage. Repris en mains par les équipes d’Extra Medium il y a 4 ans, la demeure se transforme ainsi en un havre de paix où paysage, charme et design cohabitent en harmonie.La Rédaction
Il y a 4 ans et 348 jours

En 2019, l'hydrodistribution a fait deux fois mieux que la plomberie

TENDANCES. Impactée elle aussi par la crise du coronavirus, la filière de l'hydrodistribution a tout de même enregistré des chiffres encourageants pour l'exercice 2019 : le système multicouche a progressé d'environ 8% et les tubes PER se sont stabilisés en dépit d'une baisse de 9% des volumes. Détails.
Il y a 4 ans et 348 jours

Enedis envisage d'investir 69 milliards d'euros d'ici à 2035

Enedis attend un retour à la normale début septembre pour ses chantiers, selon sa présidente, en marge de l'installation d'un nouveau transformateur électrique à Paris, en vue des JO.
Il y a 4 ans et 348 jours

EAS Solutions présente Baku, plafonnier encastré LED pour un éclairage sur-mesure basse consommation

Le plafonnier encastré LED BAKU offre un éclairage performant à faible luminance (UGR
Il y a 4 ans et 348 jours

LafargeHolcim renouvelle avec Solidia Technologies

LafargeHolcim et Solidia Technologies développent des ciments bas carbone. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim annonce avoir accéléré son partenariat avec Solidia Technologies pour réduire les émissions de CO2 tout au long de sa chaîne de production. Avec cette annonce, l’association des deux industriels, débutée en 2013, est étendue de manière formelle jusqu’en 2025, avec une option de poursuite. Ensemble, LafargeHolcim et Solidia Technologies ont été capables non seulement de réduire de 30 % les émissions de CO2 durant la production de ciment. Mais aussi de capturer du C02. Ce qui leur permet de proposer un ciment, dont les émissions de carbone sont réduites de 70 %. Ainsi, les deux industriels vont continuer le développement de leurs technologies pour la production de bétons non renforcé (non armé) et routier. Tout en travaillant à étendre son application à ceux structurels. « Guider la voie vers une construction bas carbone passe par la facilitation et l’accélération de l’utilisation des solutions innovantes de Solidia à travers nos opérations mondiales, explique Marcel Cobuz, directeur Europe pour LafargeHolcim. Avec les solutions de Solidia Technologies, nous pouvons encore accélérer notre vision des neutres en carbone. » Pour Tom Schuler, président de Solidia Technologies, ce partenariat permet « d’avoir accès aux marchés, à l’expertise technique, à l’intelligence de marché de LafargeHolcim. Et nous aide à développer un meilleur ciment et un meilleur béton ».
Il y a 4 ans et 348 jours

Tout beau tout chaud, le nouveau site HerculePro

Un nouveau site internet HerculePro est en ligne. Une nouvelle charte graphique, un nouveau logo et un site repensé pour mettre au premier plan nos clients industriels, installateurs, réseaux et négoces. Notre préoccupation est votre besoin et la réponse que vous attendez d’un éditeur de logiciel métier, leader dans l’innovation sur son marché et sur les applications web. Découvrez le sur www.herculepro.com
Il y a 4 ans et 348 jours

24 logements sociaux à Montreuil, par Augustin Faucheur

Diplômés de l’Ensa Paris-Belleville et remarqués avec le préau de l’école Pierre-Corneille à Versailles, Grégoire Dumont et Olivier Legrand fondent leur agence en 2009, à Paris et Bordeaux. Soucieux de développer le recours aux matériaux biosourcés, les architectes Grégoire Dumont et Olivier Legrand […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 349 jours

Depuis le début de la crise sanitaire, le CSTB poursuit et adapte son activité de formation au service des professionnels

Le CSTB, comme toutes les entreprises, organismes de recherche et centres de formation, est directement impacté par la crise sanitaire majeure que nous traversons. Dans ce contexte exceptionnel, notre priorité est de prévenir le risque pour toutes les personnes que nous côtoyons et avec lesquelles nous travaillons, nos clients et partenaires, parmi lesquels une centaine de formateurs et près de 2 000 professionnels formés chaque année, nos fournisseurs et prestataires. Depuis le début de la crise sanitaire, l'activité de formation du CSTB au service des professionnels a été poursuivie et adaptée : une sélection des formations en présentiel a été aménagée sous forme de classes virtuelles, complétant ainsi l'offre de formation e-learning. Ces formations à distance se poursuivront dans les mois à venir, y compris quand les formations en présentiel reprendront. Le MOOC E+C- a été à nouveau mis à disposition des professionnels, pour les aider à mieux comprendre les enjeux de l'expérimentation et les exigences des niveaux Carbone et Énergie, en lien avec la future réglementation RE2020. Fin juin nous proposerons à nouveau des formations en présentiel. Les premières formations programmées au début de l'été privilégieront les thématiques de la qualité de vie au travail, ainsi que l'analyse du cycle de vie. Un protocole sanitaire spécifique permettant de garantir la sécurité sanitaire des formateurs et des stagiaires sera prochainement disponible sur notre site Internet. Les équipes Formations du CSTB restent à votre écoute pour programmer avec vous les formations qui répondront le mieux à vos besoins, en Inter-entreprises comme en Intra-entreprise ou sur-mesure. > Pour nous contacter
Il y a 4 ans et 349 jours

Covid-19 : les bailleurs acceptent le report de 3 mois des loyers commerciaux

Fin avril, Bercy avait annoncé la nomination d'une médiatrice, Jeanne-Marie Prost, afin de définir "des accords-cadres" et des règles de bonne conduite entre les commerçants en difficulté et leurs bailleurs.Mercredi, dans un communiqué, le ministère annonce la finalisation de ces travaux sous la forme d'"une charte encadrant les reports et annulations de loyers pour la période de confinement et la période de reprise jusqu'au 30 septembre 2020"."Dans cette charte, les bailleurs acceptent de reporter trois mois de loyers (deux au titre du confinement et un correspondant à un prorata des quatre mois de reprise jusqu'à septembre) pour les commerçants qui en ont besoin, quelle que soit leur taille", est-il précisé.Bercy rappelle que les grandes fédérations de bailleurs (CNCC, SFIF, CDC, AFG, ASPIM, FFA) "s'étaient déjà engagées à annuler trois mois de loyers pour les TPE fermées administrativement"."Le bailleur et son commerçant devront s'accorder avant le 30 juin sur le règlement des sommes reportées et l'échéancier de remboursement, qui pourra s'étendre au-delà du 30 septembre si la situation du commerçant le justifie", précise le communiqué.Le ministère précise que la charte a reçu l'adhésion des fédérations de bailleurs CNCC, SFIF, UNPI, AFG, ASPIM, FFA d'une part, de plusieurs fédérations de commerçants d'autre part (Confédération des commerçants de France, Commerçants et artisans des métropoles de France, fédérations de l'habillement, de l'équipement du foyer, des détaillants de la chaussure, de la photographie, etc.)D'autres fédérations associées à la médiation "n'ont pas souhaité adhérer à la charte, préférant poursuivre la négociation avec leurs bailleurs sans se référer à ce cadre", selon le communiqué.Pour ces 15 fédérations opposées au projet de charte sur les loyers, parmi lesquelles la FFF, l'alliance du commerce, la Fnaem, les propositions sont "limitées, non contraignantes, déséquilibrées et excluantes", indiquent-elles dans un communiqué où elles pointent du doigt "l'échec de cette médiation".Le report d'un trimestre d'un loyers est "déjà largement [appliqué]", développent ces non-signataires, et les contraintes appliquées aux bailleurs ne leur semblent pas suffisantes.L'accord ne prend pas en compte "tous les lieux encore fermés, comme les cinémas, les bars et restaurants dans les zones orange, et les commerces implantés dans les centres commerciaux de plus de 70.000m³, que l'État n'a pas autorisés à rouvrir le 2 juin", ajoutent-ils.Interrogé par l'AFP, le président de la Confédération des commerçants de France Francis Palombi s'est félicité de la conclusion de cette charte "qui était nécessaire. Cela a été laborieux, mais nous avons une base de travail: nous devons à présent nous retrouver autour d'une table pour discuter des clauses et des détails".Ces mesures sont "particulièrement satisfaisantes pour les toutes petites entreprises que nous représentons, de moins de 11 salariés", a souligné M. Palombi.
Il y a 4 ans et 349 jours

Qui est le nouveau directeur de marché Bâtiment de Wilo France ?

CARNET-NOMINATION. Le fabricant de pompes et de systèmes de pompage, Wilo, vient de se doter d'un nouveau directeur de marché Bâtiment pour la France. Dé qui s'agit-il ? Découvrez son profil.
Il y a 4 ans et 349 jours

Covid-19 : bailleurs et locataires commerçants trouvent un accord

MEDIATION. La mission de médiation conduite par Jeanne-Marie Prost sur les relations entre bailleurs et locataires commerçants durant la période de confinement sanitaire a rendu ses conclusions : les propriétaires ont ainsi accepté de reporter trois mois de loyers pour les artisans dans le besoin, quelle que soit la taille de l'entreprise.
Il y a 4 ans et 349 jours

Un protocole pionnier pour les surcoûts du Covid-19 en Alsace-Moselle

Le Syndicat des eaux et de l’assainissement Alsace-Moselle a signé le 3 juin un accord avec les fédérations locales de travaux publics sur sa prise en charge des dépenses induites par les mesures sanitaires. Elle repose sur un plafonnement par rapport au montant du marché et au coût journalier par salarié.
Il y a 4 ans et 349 jours

Les TPE à la peine mais toujours motivées pour se développer

ETUDE. Initiative France, réseau associatif de financement et d'accompagnement des entrepreneurs, livre les résultats d'une étude sur les conséquences de la crise sanitaire, les besoins et les perspectives pour les TPE. Téléchargez l'infographie et l'étude.
Il y a 4 ans et 349 jours

Les conséquences du "choc covid" sur la stratégie de SNCF Réseau

L'ESSENTIEL EN 3 POINTS. P-DG du gestionnaire d'infrastructure ferroviaire depuis le 1er mars 2020, Luc Lallemand était auditionné au Sénat le 3 juin. L'occasion d'aborder la situation financière du groupe, les besoins en investissement, et la vision stratégique à dessiner. Le tout en prenant en compte l'impact de la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 349 jours

Trois acteurs du Bâtiment nous parlent de "leur" télétravail

TEMOIGNAGES. Avec la crise sanitaire, le télétravail s'est étendu à une large frange de l'entreprise. Comment cette pratique a-t-elle été vécue ? Un attaché commercial, un directeur marketing et une directrice d'agence de relations presse du Bâtiment nous livrent leur expérience.
Il y a 4 ans et 349 jours

Le confinement, révélateur des inégalités en matière de qualité du logement

École, travail, loisirs... c'est tout leur quotidien que les Français confinés ont dû revisiter pendant 2 mois. Au cœur de ces nouveaux modes de vie improvisés, un élément charnière : le logement. Perçu et vécu comme un « cocon », celui-ci a pu aider à vivre cette période inédite et complexe. À l'inverse, moins bien supporté, il a aussi pu contribuer à générer des tensions supplémentaires.Dans tous les cas, alors que la vie commence à reprendre un cours « plus normal », l'étude QUALITEL - IPSOS le montre : le confinement a révélé et confirmé l'importance de la qualité du logement dans la vie des Français. L'importance de la qualité du logement plus que jamais confirmée, mais des inégalités observéesCette période de confinement a été un révélateur de l'importance de la qualité du logement pour les Français, pour le meilleur et parfois pour le pire.Un grand nombre de Français ont plutôt, voire beaucoup, apprécié leur logement pendant ces deux mois. Une part non-négligeable (34%) affirmait même, au bout de 6 semaines, « qu'ils pourraient vivre en confinement très longtemps sans problème ».Mais qui étaient ces confinés « heureux à la maison » ? Des personnes plutôt âgées de 60 ans et plus, vivant en couple et propriétaires d'une maison en commune rurale. Ce sont ceux qui donnent la meilleure note à la qualité de leur logement, 7,2/10 [1] contre 6,7/10 pour ceux qui avouaient « commencer à en avoir marre ». Certains ressortent même de cette période avec un attachement renforcé à leur domicile : 37% affirment avoir « adoré » leur logement pendant le confinement.A contrario, 20% de Français, soit près de 8 millions de foyers, ont déclaré avoir « mal supporté » leur logement pendant le confinement.Parmi eux, on trouve une sur-proportion de jeunes (28% des moins de 35 ans), de personnes seules (26%), en appartement (29%) avec des revenus modestes (32% des personnes gagnant moins de 1 250€).Plusieurs facteurs liés au logement ont contribué à vivre plus ou moins bien le « mode confiné »La catégorie d'agglomération...Sans surprise, la France des campagnes qui juge en temps normal plus favorablement la qualité de son logement (cf. baromètre Qualitel 2019) a globalement mieux vécu le confinement. 65% des personnes vivant en zone rurale ont estimé que leur logement était tout à fait adapté pour vivre confiné, 47% pour les personnes vivant dans une grande métropole (35% pour l'Île-de-France)....Le fait d'habiter en appartement ou en maison...Un des éléments particulièrement discriminant pour avoir bien vécu le confinement est le fait d'habiter en maison plutôt qu'en appartement. Les habitants d'appartement qui évaluent la qualité de leur logement à 6,2/10, n'ont été que 28% à juger que leur logement était tout à fait adapté à une vie confinée, contre 65% de ceux vivant en maison avec une note de 7,1/10....D'être propriétaire ou locataire...Les propriétaires ont également noté plus généreusement leur logement en cette période de confinement (7,3/10), par rapport aux locataires (6 en moyenne et 5,7 pour les locataires de logements sociaux). Et ce sont ces mêmes propriétaires, qui, à 61%, ont trouvé que leur logement était tout à fait adapté au confinement (33% pour les locataires)....De bénéficier du vrai luxe, l'espaceSans surprise, la surface du logement a constitué l'un des critères les plus décisifs pour bien vivre le confinement : seul 1 Français sur 4 habitant dans moins de 75 m² (hors studio) a jugé son logement tout à fait adapté au confinement, une proportion passant à près de 8 Français sur 10 pour ceux habitant dans plus de 120 m².Dans le détail, ceux qui ont jugé leur logement inadapté l'ont principalement expliqué par le manque d'un espace extérieur (52%), une surface globale trop petite (49%) ou l'absence d'une pièce pour s'isoler (33%).Le grand confinement de 2020 pourrait ainsi marquer un tournant dans cette « conquête de l'espace ».Vers de nouveaux horizons38% des habitants d'appartements affirment que cette période leur a donné envie de déménager, soit un chiffre 3 fois plus élevé que les habitants de maison. C'est le cas aussi de 31% des habitants de l'agglomération parisienne, bien plus nombreux que les résidents des villes moyennes (21%) à émettre le souhait de déménager.Même constat chez les parents : 41% des personnes ayant des enfants en bas âge souhaitaient déménager à l'issu de ce confinement. Ils ont davantage souffert de la promiscuité et du manque d'espace. Des difficultés qui ont été anticipées par certains : ainsi les familles avec enfants en bas âge ont été deux fois plus nombreuses que la moyenne des Français à quitter leur logement pour passer le confinement ailleurs (11% contre 6%).
Il y a 4 ans et 349 jours

Le monde d'après : l'architecte japonais Shigeru Ban appelle à repenser les habitats d'urgence

En cas de séisme, tsunami, violente tempête ou inondation dans un contexte pandémique, "les centres d'évacuation représenteraient des lieux à haut risque" d'infections en raison des attroupements de gens, avertit l'architecte de 62 ans interrogé par l'AFP."Gérer la situation avec quelques jours de retard serait rédhibitoire", ajoute-t-il, recommandant par conséquent d'anticiper des infrastructures adaptées.Lui et ses équipes ont conçu des espaces individuels, cloisonnés par des tentures suspendues à de longs tubes en papier: un système spartiate mais souple, récemment testé dans un gymnase de la ville de Yokohama (sud-ouest de Tokyo) pour héberger des personnes démunies lors de la crise du Covid-19.Les autorités japonaises par exemple ont été tellement accaparées par la crise sanitaire qu'elles n'ont pas anticipé le scénario d'une catastrophe naturelle en période de pandémie, selon l'architecte: "C'est seulement récemment que les gens ont commencé à se demander ce qu'il faudrait faire en cas de séisme"."Je sais que ce n'est pas facile mais je pense que nous devons y réfléchir", insiste-t-il.Lauréat du prix Pritzker en 2014, la plus prestigieuse récompense en architecture, Shigeru Ban propose des solutions innovantes d'habitat d'urgence depuis plus d'un quart de siècle et aux quatre coins de la planète, du Japon à la Turquie en passant par Haïti et le Rwanda.Ému par le printempsIl est notamment connu pour sa "cathédrale de carton" de Christchurch, structure semi-temporaire construite après le séisme dévastateur de 2011 en Nouvelle-Zélande.Mais il a aussi conçu des bâtiments permanents, comme en France le musée d'art contemporain Centre Pompidou-Metz ou la salle de spectacle La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt, avec son associé Jean de Gastines.En mars, Shigeru Ban devait justement s'envoler pour Paris, où son bureau européen est installé, mais a renoncé en dernière minute à son déplacement devant le confinement imminent de la France.Depuis, il n'a pas cessé de travailler, sept jours sur sept: son bureau à Tokyo n'est qu'à cinq minutes à pied de son domicile."Je ne fais rien d'autre que travailler. Je n'ai pas de loisirs et je ne fais rien de spécial à cause de la situation dans laquelle nous sommes".Ce temps suspendu est toutefois aussi l'occasion pour lui de poser son regard sur la nature environnante et le rythme des saisons au Japon, pour la première fois depuis une éternité."C'est probablement la première fois depuis 16 ans que je reste au Japon pendant plus d'un mois d'affilée. J'ai été très ému par la beauté de l'arrivée du printemps", confie-t-il.Mirages de la technologieMais le travail sur le terrain lui manque. "Il est dangereux d'essayer de tout résoudre avec la technologie. Il est faux de croire que l'on n'a pas besoin de se rencontrer en personne parce qu'on a la vidéoconférence", prévient-il."Faire des modèles 3D sur ordinateur n'a rien à voir avec le fait de créer une véritable maquette ou de fabriquer un objet avec les matériaux en main", ajoute-t-il. "Il faut pouvoir être capable de créer en ressentant les matières et leur poids".Il déplore aussi le manque d'ouverture sur le monde des étudiants japonais, une attitude risquant de se renforcer encore avec la pandémie selon lui."Ce serait vraiment grave si les étudiants japonais se repliaient sur eux-mêmes et n'allaient plus à l'étranger sous prétexte qu'ils sont bien au Japon. C'est ce qui me préoccupe le plus"."Il faut plus que jamais se tourner vers l'extérieur, se mélanger et échanger avec des personnes différentes", insiste celui qui a étudié l'architecture aux Etats-Unis.Le Japon a été relativement épargné par la pandémie, avec environ 17.000 cas de contamination recensés et 900 morts depuis le début de la crise sanitaire.L'état d'urgence avait été déclaré par le gouvernement en avril, et a été levé par étapes à partir de la seconde quinzaine de mai.
Il y a 4 ans et 349 jours

Photovoltaïque: Dracula Technologies se lance dans un projet d'impression innovant

La jeune société Dracula Technologies vient de lever 2,2 millions d'euros pour lancer la pré-industrialisation de sa technologie d'impression de cellules photovoltaïques.
Il y a 4 ans et 349 jours

Donner de l’espace aux commerçants grâce à la terrasse «made in Aisne»

Basé dans l’Aisne, l’architecte Éric Pace, a mis au point, avec le designer Jean-Louis Frechin, une terrasse préfabriquée permettant aux restaurateurs et autres commerçants d’augmenter provisoirement et aisément leur surface de vente. Aperçu du projet naissant « Goodnest » qui permet de respecter les mesures anti-Covid-19, tout en étant financièrement supportable.
Il y a 4 ans et 349 jours

Travailler moins pour gagner moins et éviter le licenciement

Depuis mi-mai, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, vante les "accords de performance collective" rendus possibles par les ordonnances réformant le Code du travail de 2017, au tout début de quinquennat.Ce dispositif a remplacé les "accords de maintien de l'emploi"; "de préservation ou de développement de l'emploi" et les "accords de mobilité". Visant à "préserver" ou de "développer" l'emploi, il peut: aménager la durée du travail; aménager la rémunération; déterminer les conditions de la mobilité professionnelle ou géographique interne à l'entreprise. A défaut de précisions, l'accord est valable cinq ans. En cas de refus, le salarié est licencié."Je pense qu'il faut se serrer les coudes dans cette période. Pour se serrer les coudes on peut aussi négocier des accords de performance collective", a suggéré Mme Pénicaud dimanche sur LCI. Cette mesure permet "de se dire +plutôt qu'il y en ait 20% qui perdent leur emploi, on va pendant quelque temps baisser le temps de travail, donc la rémunération+".Mais pas à n'importe quel prix pour les salariés.Le cas de Ryanair ne passe pas, par exemple. La direction de Malta Air, qui opère pour la compagnie irlandaise low cost en France, a proposé de baisser de 10% la rémunération de son personnel navigant commercial pendant cinq ans, un "chantage au licenciement", selon le syndicat majoritaire de Ryanair France."Si les personnels de Ryanair étaient payés 30% de plus que le marché (…) je pourrais entendre +On a un problème structurel et ça suppose de revoir notre modèle pour être à peu près comme les autres+. Je ne suis pas sûre que ce soit la situation", a réagi mercredi sur France Inter la secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie Agnès Pannier-Runacher, qui a repris le terme "chantage", tout comme Bruno Le Maire la veille, ou Muriel Pénicaud.Mais les accords de performance sont "de bonnes pistes" car "à terme, ces négociations sont plus créatrices d'emploi", a relevé la secrétaire d'Etat, proposant que les "gros salaires baissent aussi"."Aucune garantie aux salariés""Plus de 300" accords de ce type ont été signés cette année, selon Muriel Pénicaud."C'est l'outil idéal, le plus flexible, le plus simple et le plus complet pour adapter l'entreprise à la situation de crise actuelle, voire sur le long terme. Il permet de moduler tous les aspects essentiels de la relation au travail", s'enthousiasme Déborah David, avocate associée au cabinet De Gaulle Fleurance & Associés (côté employeurs), évoquant notamment le télétravail. "L'avantage principal" de ce genre d'accord: "transformer l'entreprise complètement sans procéder à des licenciements".Pour Pascal Lokiec, professeur de droit social à la Sorbonne, ce dispositif "doit être manié avec extrême prudence car le cadre légal, tel que défini par le Code du travail, est extrêmement léger et n'offre quasiment aucune garantie aux salariés"."Ce type d'accord n'est viable que dans une entreprise où le dialogue social est très équilibré, y compris en temps de crise, à moins que le gouvernement fasse le choix de renforcer, dans l'urgence, le cadre légal pour offrir plus de garanties aux salariés", ajoute-t-il.Yves Veyrier, le numéro un de FO, partage cette inquiétude, évoquant "des exemples passés où on a contraint les salariés par le biais d'une forme de chantage à l'emploi à accepter des baisses de salaires (…) pour au final que des emplois soient malgré tout supprimés".Parmi les garanties nécessaires pour que de tels cas ne se produisent pas, M. Lokiec cite "un engagement de l'entreprise de ne pas licencier pour une certaine durée; une clause de retour à meilleure fortune qui signifie que si l'entreprise va mieux, l'accord devient caduc; et l'engagement des actionnaires et dirigeants de faire des efforts proportionnés à ceux des salariés".Et de rappeler que ces clauses étaient obligatoires dans les premières générations d'accords sur l'emploi, créées en 2013, avant de devenir progressivement facultatives.
Il y a 4 ans et 349 jours

Technal développe une menuiserie aux performances acoustique et esthétique pour le « Trait d’Union »

L'aluminier Technal a développé une menuiserie sur-mesure pour l'ouvrage "Trait d'Union". Une structure performante... Cet article Technal développe une menuiserie aux performances acoustique et esthétique pour le « Trait d’Union » est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 349 jours

Les travaux publics anticipent une forte chute de leur activité en 2020

ETUDE. A fin mai, la quasi-totalité des entreprises de TP ont retrouvé le chemin des chantiers selon la dernière enquête publiée par la FNTP, dont les résultats complets sont à télécharger. Mais les conséquences de la crise sanitaire sur le chiffre d'affaires de l'année et sur l'emploi seront très lourdes.
Il y a 4 ans et 349 jours

Transformation "à minima" de la maison d'Hitler pour en faire un poste de police

C'est par son approche sciemment "minimaliste en apparence" que le cabinet d'architecte autrichien Marte.Marte a remporté l'appel d'offre européen lancé pour transformer la bâtisse, a expliqué le président du jury, Robert Wimmer, en conférence de presse.Le gouvernement autrichien a mené une longue bataille judiciaire pour s'assurer la propriété de cette maison située dans le nord du pays, dans le but d'empêcher que l'endroit où est né Adolf Hitler le 20 avril 1889 ne devienne un lieu de pèlerinage néonazi.La bâtisse de 800 mètres carrés située dans le centre de Braunau-am-Inn, à la frontière allemande, va notamment être rehaussée par une nouvelle toiture, et subir un agrandissement."Confier ce bâtiment à la police est la meilleure des choses à faire pour le neutraliser", a estimé le responsable du projet au gouvernement, Hermann Feiner.Plusieurs hypothèses avaient été envisagées pour l'avenir du bâtiment, y compris sa démolition ou une transformation radicale de son architecture.Les travaux vont coûter cinq millions d'euros financés par l'État. Ils s'achèveront au début de l'année 2023."Un nouveau chapitre, tourné vers l'avenir, va être ouvert concernant la maison natale d'un dictateur et d'un meurtrier de masse", a déclaré le ministre autrichien de l'Intérieur Karl Nehammer.Au terme d'une longue procédure, l'Autriche était définitivement devenue en 2019 propriétaire de cette maison, après en avoir été locataire pendant plus de 40 ans. Une expropriation avait dû être engagée contre la propriétaire.L'Autriche, annexée par l'Allemagne en 1938, a longtemps entretenu une relation complexe avec son passé. Après la Seconde guerre mondiale, ses gouvernements successifs l'ont présentée comme "la première victime du nazisme", niant la complicité de nombreux Autrichiens dans les crimes du IIIe Reich. Un regard critique a commencé à s'exercer au milieu des années 1980.
Il y a 4 ans et 349 jours

Les seules scies sur table avec aspirateur intégré pour une coupe à sec et sans poussière

Depuis la fin d’année 2019, ATDV a repris une nouvelle carte très prometteuse sur le marché. Déjà beaucoup plébiscitée dans l’Europe et l’Amérique, la société est maintenant en mesure de proposer des scies sur table iQ pour couper tous types de carrelages, de la brique, des pierres du béton et des pavés etc.. Trois modèles sont disponibles suivant le besoin de l’utilisateur. La grande innovation de ses produits ? Ce sont les seules scies sur table au monde avec un système d’aspiration cyclonique intégré. Elles permettent une coupe à sec et sans poussière et donc de travailler en intérieur et en extérieur. Grâce à ce nouveau système l’utilisateur sécurise ses voies respiratoires, garde son champ de vision dégagé et travaille plus rapidement. De plus, les scies sont simples à transporter et l’utilisateur n’aura plus de nettoyage à effectuer en fin de chantier. De quoi changer la vie de beaucoup d’entreprises. Les 3 types de scies sur table sont compactes, simples d’utilisation et facilement transportables. Les avantages : Un aspirateur intégré captant 99.5 % des poussières Montage simple, pas d’eau ni de poussière. Plus d’installation de protection de chantier et de nettoyage dus à l’utilisation de l’eau Transport simple Coupe précise, nette et rapide Pas de laitance et d’eau contaminée dans la nature et les canalisations L’utilisateur ne respirera plus de la silice Le disque reste froid ce qui permet d’avoir une plus grande durée de vie du matériel et consommable.   Informations supplémentaires : iQTS244 Coupe tout type de carrelage, pierre naturelle etc.. Capacité de coupe standard : 25 mm d’épaisseur et 610 mm en longueur Dimensions (en mm) : 685 x 711 x 864 Tension : 230 V Puissance : 2000 W Poids : 42 kg Diamètre du disque : 255 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 5 kg Accessoires : Support X – Guide d’onglets – Kit de tuyau d’aspiration iQ360XR Coupe la pierre, la brique, des pavés etc.. Capacité de coupe : 95 mm d’épaisseur et 305 mm en longueur Dimensions (en mm) : 432 x 762 x 508 Tension : 230 V Puissance : 2300 W Poids : 30 kg Diamètre du disque : 355 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 22 kg Accessoires : SmartCart iQMS362 Coupe du béton, pierre, maçonnerie etc.. Capacité de coupe : 140 mm d’épaisseur et 610 mm en longueur Dimensions (en mm) : 432 x 762 x 508 Tension : 230 V Puissance : 2300 W Poids : 68 kg Diamètre du disque : Q-drive 420 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 18 kg Poids maxi sur la table : 25 kg
Il y a 4 ans et 349 jours

Riou Glass invente le premier verre sanitaire auto-désinfectant pour faire barrière au Coronavirus

Même pendant la période de confinement, le verrier RIOU Glass n’a jamais cessé d’innover. Pour faire face à la crise sanitaire du COVID-19, et la nécessité de protéger les populations, l’ETI normande annonce avoir mis au point le premier verre auto-désinfectant.Chauffé à intervalle régulier, à une température de 70°C, ce vitrage, qui ne présente aucun risque de brûlure pour l’homme, a la particularité de s’auto-désinfecter. Il permet ainsi de faire barrière à la propagation du COVID-19.« Des études scientifiques montrent que le COVID-19 perd de son potentiel infectieux quand il est soumis à une température de 65°C pendant 5 à 10 minutes. Une technique qui est utilisée dans des CHU pour désinfecter le matériel médical » explique Christine Riou, Vice-Présidente de RIOU Glass.Une technologie déjà éprouvéePour concevoir ce nouveau verre sanitaire, l’ETI RIOU Glass s’est appuyée sur une technologie déjà éprouvée, celle de son autre innovation : le vitrage chauffant par rayonnement CalorGlass®.Grâce à une fine couche de microparticules métalliques déposée à l’intérieur du vitrage, la paroi reliée à une alimentation électrique monte progressivement en température jusqu’à 70°C dans le cadre de son application sanitaire (20 à 45°C pour une fonction chauffage). Le tout étant totalement invisible à l’œil nu et automatisable.« Les produits d’hier ne seront plus ceux d’aujourd’hui. Pour protéger la population des virus ou bactéries, les architectes et designers devront nécessairement intégrer dans leurs créations cette notion de protection sanitaire. Imaginez le nombre de personnes que des surfaces vitrées auto-désinfectantes pourraient protéger à l’avenir. Les applications et perspectives sont nombreuses : dans les hôpitaux, hôtels, restaurants, bureaux, transports publics (aéroports, gares, trains, métros, bus…), magasins… » poursuit Christine Riou.HygiaGlass® : une gamme complète d’écrans de protection sanitaireCette nouvelle utilisation du verre est d’ores et déjà applicable dans la nouvelle gamme d’écrans de protection sanitaire lancée par RIOU Glass. Destinée à protéger les personnes travaillant en contact direct avec le public (accueils, guichets ou caisses des commerces, entreprises, administrations, cabinets médicaux, établissements de santé…), la gamme HygiaGlass® offre, en plus de solutions verrières sur-mesure, 3 modèles standardisés en verre extra-clair trempé de sécurité, faciles à poser et amovibles : SOLO LUNA, des écrans de protection design tout en verre, SOLO PURA, avec supports métalliques, et TRIO, équipés de protections d’angle vitrées.RIOU Glass propose également sur ses solutions de protection parfaitement transparentes, qu’elles soient standardisées ou sur-mesure, plusieurs options de personnalisation possibles (encoches passe-documents, parloirs, coins arrondis). Ces écrans vitrés peuvent aussi être marqués (logos, textes, images…) ou encore opacifiés pour offrir plus d’intimité entre deux espaces.« Le verre est un matériau noble, qualitatif, recyclable à l’infini. Il offre de nombreux avantages par rapport au plexiglas que ce soit en termes d’esthétique, d’hygiène, de facilité d’entretien ou de durabilité dans le temps. Des écrans qui de surcroît participent à la reprise de notre économie car de production 100% française » conclut la Vice-Présidente.
Il y a 4 ans et 349 jours

Le Salon Artibat est reporté en octobre 2021

Le salon Artibat sera finalement reporté à la mi octobre 2021, selon les organisateurs du salon qui jugent que la gravité de la situation sanitaire et de ses impacts économiques justifie leur choix.
Il y a 4 ans et 349 jours

Un ruban de corten, en hommage aux carrières d'Alsace

Diplômés de l’Ensa Paris-Belleville et remarqués avec le préau de l’école Pierre-Corneille à Versailles, Grégoire Dumont et Olivier Legrand fondent leur agence en 2009, à Paris et Bordeaux. Soucieux de développer le recours aux matériaux biosourcés, les architectes Grégoire Dumont et Olivier Legrand […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 349 jours

LG Solar distribue des cerisiers à ses clients dans le cadre de son Plan Climat - Neutralité Carbone 2030

La protection de l'environnement et la réduction des activités à forte production d'énergie sont en tête des priorités des entreprises pour participer à la lutte contre le réchauffement climatique. La division solaire de LG Electronics bénéficie déjà d'une très bonne réputation dans toute l'Europe en matière de durabilité, et cherche constamment à prendre de nouvelles mesures pour renforcer son engagement. LG Solar a notamment décidé de donner à ses clients de jeunes cerisiers à planter ou installer au sein de leurs locaux. Cette action concrète fait partie d'un ensemble de mesures prises par le groupe afin d‘atteindre la neutralité carbone dans toutes ses activités opérationnelles d'ici 2030.Un pas de plus vers la neutralité en CO²Depuis des années, LG Solar produit des modules solaires de haute qualité ainsi que des systèmes de stockage d'énergie, contribuant ainsi de manière décisive au redressement de la situation énergétique. Néanmoins, LG Electronics souhaite continuellement renforcer son engagement et a ainsi élaboré un ensemble de mesures pour lesquelles LG Solar s'est également engagée. Sous la devise « Pour un présent meilleur et un meilleur futur », LG a défini trois grands objectifs que l'entreprise vise à atteindre d'ici 2030 :la mise en œuvre de la neutralité en CO² dans toutes les activités d'exploitation,des programmes de bénévolat réguliers pour les employés dans tous les pays,un taux de recyclage de 95% pour les déchets dans les installations de production.Mais ces mesures demandent du temps avant de pouvoir être pleinement effectives. Alors, en attendant, LG Solar a réfléchi à des actions à plus court terme, comme la campagne « Cherry Trees », qui consiste à faire don de jeunes arbres à ses clients. Les cerisiers, particulièrement reconnus pour leur efficacité à absorber beaucoup de CO², sont adaptés à tous les jardins et peuvent être plantés sur n'importe quelle surface. À première vue, ce n'est qu‘un petit pas, mais cela aide chaque client à participer à la lutte contre le réchauffement climatique à son échelle.« Chez LG, nous travaillons continuellement la durabilité de nos produits afin de contribuer à un monde meilleur. Au cours des prochaines années, nous allons développer des produits plus intelligents qui fonctionnent encore plus efficacement, et en réseau, et qui sont également fabriqués dans des conditions optimisées. Mais nous voulons aussi regarder au-delà de nos propres horizons et sensibiliser davantage les acheteurs à la protection du climat avec des campagnes telles que Cherry Trees. » Explique Michael Harre, Vice President EU Solar Group chez LG Electronics.
Il y a 4 ans et 350 jours

Incendie sur le chantier de la Poste du Louvre à Paris

Un incendie spectaculaire est survenu rue Étienne Marcel ce mardi 2 juin, devant le chantier de restructuration de la Poste du Louvre conduit par Dominique Perrault Architecture depuis 2016. Une fuite de gaz provenant d’une canalisation « sous-trottoir » s’est rompue et des flammes de dix mètres de haut se sont propagées le long de la façade en pierre du bâtiment historique, conservée et restaurée dans l’esprit du bâtiment transformable de Julien Guadet, son concepteur. L’intervention...
Il y a 4 ans et 350 jours

L'Autorité de la concurrence promet de tenir compte de la crise pour la suite de la libéralisation du notariat

Les recommandations de l'Autorité "tiendront compte de l'impact, à court, moyen et long terme, de la pandémie de Covid-19 sur l'activité notariale", a annoncé l'institution dans un communiqué.Depuis 2016, depuis la loi Macron, le notariat connaît une relative libéralisation alors que l'ouverture de nouveaux offices étaient jusqu'alors extrêmement encadrée.Cette ouverture suscite l'opposition, vive au début puis plus contenue par la suite, des instances de la profession qui craignent les conséquences économiques d'une ouverture à la concurrence jugée trop brusque.C'est dans ce contexte, auquel s'ajoute désormais la crise du coronavirus, que l'Autorité de la concurrence doit formuler cet été, comme tous les deux ans, ses recommandations sur la suite de la libéralisation. C'est ensuite au gouvernement de se prononcer, mais il a jusqu'à maintenant suivi les avis de l'Autorité."Comme un grand nombre d'autres professions, les notaires ne sont pas épargnés par cette crise, certains offices ayant subi un ralentissement très important de leur activité pendant la période de confinement", a admis l'institution, annonçant une consultation auprès des notaires d'ici à la mi-juillet.L'Autorité a aussi annoncé qu'elle allait réviser les dernières mesures d'ouverture en date, remontant à la fin 2018. Celles-ci prévoyaient l'installation d'un peu plus de 700 notaires supplémentaires en France.Pour l'heure, environ la moitié de cet objectif a été concrétisé, selon l'Autorité, qui fait état de 330 nouveaux offices créés, les autorisations ayant été données par tirage au sort du fait de l'afflux massif de demandes.
Il y a 4 ans et 350 jours

Nouvelle date d’inscription pour le Trophée Béton Ecoles 2020

La date de clôture des inscriptions 2020 au Trophée Béton Ecoles a été décalée au 30 octobre prochain. [©DR] Dans un contexte inédit de crise sanitaire liée au Covid-19, les organisateurs du Trophée Béton Ecoles ont repoussé la date de clôture des inscriptions 2020 au 30 octobre prochain. Soit un mois plus tard qu’initialement prévu. Ceci, pour permettre aux étudiants de participer plus facilement.  Rappelons que ce concours est organisé depuis 2012 par l’association Bétocib, Cimbéton et la Fondation Ecole Française du béton, sous le patronage du ministère de la Culture. Il a pour but de révéler les jeunes talents des écoles d’architecture françaises, de les parrainer. Ainsi que de leur offrir une visibilité à l’orée de leur vie professionnelle. Une édition 2020 déclinée en deux catégories   Pour cette 9e édition, le Trophée Béton Ecoles sera décliné en deux catégories, comme l’année précédente. Appelée “PFE”, la première récompensera les jeunes diplômés, dont le projet de fin d’étude valorise les qualités esthétiques, environnementales et techniques du béton. Et, pour la deuxième fois, la catégorie dite “Studio” s’ouvrira aux étudiants en architecture de premier et second cycle. Ces derniers sont invités à réinterpréter une œuvre architecturale majeure en béton, selon une expression graphique libre (dessin, peinture, collage, maquette).
Il y a 4 ans et 350 jours

Patrick Norguet x Postforming : SEE U

Le designer Patrick Norguet s’associe à l’entreprise française spécialisée dans l’agencement Postforming pour produire une collection inédite de paravents et d’écrans. Baptisée « SEE U », la série répond élégamment aux nouvelles demandes d’organisation spatiale liées à la situation sanitaire actuelle. Conscient des logiques actuelles d’agencement, le créateur français Patrick Norguet a imaginé une collection d’objets made in France qui permettent d’organiser des espaces des lieux publics ou privés. Ces paravents et écrans transparents en métal et en polycarbonate se déclinent en diverses teintes et tailles, mais sont aussi personnalisables sur demande. Ils garantissent ainsi la sécurité des salariés sur leur lieu de travail ou des particuliers chez eux tout en habillant des intérieurs ou des espaces extérieurs. Très actuelle, la collection SEE U propose une réinterprétation contemporaine du paravent pour répondre au mieux aux nouveaux besoins des entreprises et des particuliers, et leur permettre de partager des moments de convivialité en toute sécurité. Pour en savoir plus, visitez le site de Patrick Norguet et celui de Postforming. Photographies : Studio Norguet design Léa Pagnier
Il y a 4 ans et 350 jours

Point.P publie son nouveau catalogue

Point.P a publié le catalogue “Matériaux, Outillages & Consommables”. [©Point.P] Point.P lance l’édition 2020 de son catalogue “Matériaux, Outillages & Consommables”. L’outil se veut 2-en-1, en intégrant à la fois une partie matériaux, qu’une partie outillages et consommables, avec plus de 30 000 références. Il s’adresse à l’ensemble des acteurs du BTP. Pour répondre aux besoins de la filière, plus de 365 000 exemplaires sont diffusés. Soit 40 % d’exemplaires en moins que l’année 2019. Et ce, pour répondre aux contraintes environnementales actuelles. Le catalogue se décline en 10 versions régionales. Pour chacune, la partie “matériaux” comprend 11 univers. A savoir : Gros œuvre, Façade ITE, Assainissement, VRD-TP, Bois et Panneaux, Couverture, Systèmes plaque et Plâtre, Isolation, Plafond, Menuiseries intérieures & extérieures et Revêtements sol & mur. Quant à la partie “Outillages”, elle est repartie en 8 univers. Tels que Connectivité-électricité, Electro & Consommables, Matériel de chantier, Protection individuelle, Outillage manuel, Fixation-quincaillerie, Plomberie-sanitaire. Ainsi que Mastic-peinture-droguerie. Ce nouveau catalogue a été pensé, afin de faire gagner du temps aux professionnels. Afin de pousser cette volonté encore plus loin, Point.P a même intégré un nouveau service de contact par SMS. En effet, en fin de page, une liste d’agences Point.P ayant adopté ce service est proposée.
Il y a 4 ans et 350 jours

Mesures d'urgences pour les finances des communes et des intercommunalités

Suite à la remise du rapport demandé à Jean-René CAZENEUVE, député du Gers et président de la Délégation aux collectivités territoriales de l'Assemblée nationale, visant à mesurer, déterminer, quantifier l'impact de la crise, beaucoup de ses propositions sont reprises par le Gouvernement.Les mesures qui seront contenues dans le projet de loi de finances rectificative qui sera présenté au Conseil des ministres dans la première quinzaine du mois de juin, puis ensuite discuté à l'Assemblée nationale et au Sénat, sont d'une ampleur inédite. Elles doivent permettre au bloc communal, à l'ensemble des communes, aux EPCI de faire face aux difficultés financières qu'elles connaissent.Clause de sauvegarde pour les recettes des collectivités du bloc communal de 750 millions d'eurosPour les communes et intercommunalités, le Gouvernement proposera au Parlement, lors de cette prochaine loi de finances rectificative, un mécanisme de compensation des recettes fiscales et domaniales. Les recettes fiscales et domaniales des communes seront donc garanties, à hauteur de la moyenne des années 2019, 2018 et 2017. Ce mécanisme n'a jamais été employé. Il a été évalué, mais c'est une fourchette haute, à un montant d'environ 750 millions d'euros, et il devrait bénéficier à 12000 à 14000 communes. Cela est donc parfaitement massif et inédit, et c'est pour ces communes, l'assurance d'un montant minimal de recettes qui est évidemment extrêmement précieux pour faire face à la crise.Le Gouvernement a souhaité créer un instrument supplémentaire pour faire face aux dépenses exceptionnelles liées au Covid19 auxquelles les communes doivent faire face. Cela s'est fait en suspendant l'application des contrats de Cahors, et en prenant en charge 50% du coût des masques commandés et payés par les communes. Au-delà de la prise en compte de ces deux éléments, il est apparu nécessaire, de créer un système qui permette de lisser dans le temps la prise en charge des dépenses exclusivement liées au Covid. Le Gouvernement va donc mettre en place un mécanisme qui permettra de lisser sur trois ans le coût des mesures prises pour faire face au Covid19.1 milliard d'euros pour l'investissementIl s'agit enfin de donner dès à présent aux exécutifs communaux et intercommunaux les moyens de relancer la machine économique. C'est la raison pour laquelle, sur la proposition de Jacqueline GOURAULT et de Sébastien LECORNU, le Gouvernement a pris la décision de doter d'un milliard d'euros supplémentaire le fonds de dotation de soutien à l'investissement local (DSIL), qui permettra d'accompagner les investissements verts des communes.