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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

(78553 résultats)
Il y a 4 ans et 350 jours

SPIE conçoit un nouveau centre de contrôle sur la Potsdamer Platz

Lancé en août 2019, le projet doit s'achever en mai 2021. TELBA GmbH, une filiale de SPIE Deutschland & Zentraleuropa, réalise les travaux portant au total sur 16 bâtiments de la Potsdamer Platz, parmi lesquels des complexes de bureaux, un centre commercial, une salle de spectacle et plusieurs cinémas, ainsi qu'un parking souterrain sous toute la superficie de la place.Une solution système fiable et durableLe contrat prévoit la connexion de tous les dispositifs techniques de sécurité, tels que les systèmes d'alarme incendie et anti-intrusion, les équipements vidéo, les issues de secours et ascenseurs déjà en place, et le système de contrôle d'accès à la totalité des 16 bâtiments de la Potsdamer Platz, à un nouveau système de vidéosurveillance et de gestion des risques basé sur WinGuard et Milestone, deux logiciels indépendants du matériel. Lorsque l'opération sera terminée, le système complet assurera l'administration et la gestion d'environ 40 000 points de données et 700 caméras vidéo.Le contrat prévoit également le renouvellement de la technologie vidéo, avec l'installation de caméras sur IP Axis (sans câble réseau), d'un système de détection vidéo intelligent et de la technologie de centre de contrôle (équipements, mur d'images, salle de crise, etc.), avec notamment un système de communication basé sur la solution UNIFY OpenScape Xpert. Jörg Marks, directeur général de TELBA GmbH, explique : « En plus de ce contrat majeur, nous sommes heureux d'avoir négocié un contrat de maintenance de dix ans pour les nouvelles installations. »De hautes compétences d'une seule et unique sourceLes clients du fournisseur de services multi-techniques bénéficient d'un large éventail de services auprès d'une seule et unique source. D'autres unités SPIE sont impliquées dans l'installation des solutions de communication et la mise en œuvre technique du système de vidéosurveillance et de gestion des risques. « Grâce aux multiples compétences de SPIE, nous étions le seul fournisseur à proposer une solution technique tout-en-un convaincante. Ce projet phare met en lumière nos capacités et illustre parfaitement la force collective des unités opérationnelles de SPIE », explique Michael Hartung, directeur de la division ICS (Information & Communication Services) et membre du comité de direction de SPIE Deutschland & Zentraleuropa. En outre, le projet marque une nouvelle étape importante dans le développement continu de l'activité des systèmes d'alarme.Respect du calendrierLes premières étapes se sont correctement déroulées : Le centre de contrôle, désormais équipé d'un nouveau mobilier et de nouveaux écrans, est d'ores et déjà opérationnel avec les systèmes existants. Dans les prochaines semaines, les nouveaux logiciels de gestion du centre de contrôle seront installés sur des serveurs virtuels et accessibles sur site ; ils seront alimentés en données d'ici fin 2020. Des tests complets ont déjà été menés avec succès. Par ailleurs, au cours des 12 prochains mois, les caméras, au nombre d'environ 700, seront installées sur toute la zone de la Potsdamer Platz et seront progressivement mises en service. Jörg Marks : « Le test final du système est prévu pour début 2021, et nous devrions livrer le projet à notre client, Brookfield Properties, en mai la même année. »Un partenariat de confiance et certifié« Aux dires mêmes de notre client, la solution technique que nous lui avons proposée avec notre partenaire Advancis a été décisive dans l'attribution de ce projet, et nous en sommes très fiers. Notre solution apporte une valeur ajoutée nettement supérieure à celle des solutions concurrentes. Une raison de plus de nous réjouir d'avoir remporté ce contrat ! », se félicite Jörg Marks. Au début du mois de mars 2020, SPIE a été certifiée « partenaire système » d'Advancis Software & Services GmbH. L'éditeur de logiciels est l'un des leaders du marché mondial des logiciels de gestion de la sécurité et de la technique du bâtiment multi-fournisseurs.
Il y a 4 ans et 350 jours

Détecter les incendies (et la fièvre) le plus tôt possible

HIK Vision a mis au point des caméras permettant la détection précoce d’incendie en extérieur. La société vient de voir 15 de ses systèmes de détection de chaleur par caméra thermique certifiés par le CNPP.
Il y a 4 ans et 350 jours

Des matériaux composites souples traités contre le Covid-19

Le groupe Serge Ferrari a développé et breveté une technologie appliquée à ses membranes composites pour détruire les coronavirus des surfaces.
Il y a 4 ans et 350 jours

Bardage bois et bois composite : une offre démultipliée

Bénéficiant d’une image positive du bois dans la construction, les bardages bois et bois composite affichent tout à la fois : esthétique, pose maîtrisée et réponses réglementaires.
Il y a 4 ans et 350 jours

ACBI gagne son procès pour son produit breveté: Le Modulogard

Cette semaine, le tribunal de grande instance de la ville de Paris a rendu son verdict dans une affaire de violation de brevet. La cour a statué en faveur de la société ACBI. Deux ans de procédure auront été nécessaire pour faire condamner l’entreprise contrefactrice du brevet concernant le Modulogard® . Pour rappel ce procédé de garde-corps rabattable destiné à équiper les modules de chantier a vu son brevet déposé en 2012. La justice reconnait le caractère innovant dans l’association de moyens qui confèrent au brevet toute sa validité. En conclusion : Le verdict condamne le contrefacteur à mettre fin à toute infraction à la législation sur la propriété intellectuelle et à dédommager ACBI du préjudice subi. La jurisprudence est maintenant établie
Il y a 4 ans et 350 jours

Christo : 1935 – 2020

Il aimait emballer son monde. L’artiste d’origine bulgare Christo s’est éteint le dimanche 31 mars dernier, à l’âge de 84 ans. Inventeur de « l’entoilage de l’espace », le plasticien était notamment connu pour ses réalisations monumentales consistant à emballer les plus grands monuments, du Pont-neuf parisien au Reichstag de Berlin. Retour sur l’œuvre et la vie d’un grand enfant de l’art. Né Christo Vladimirov Javacheff, en Bulgarie, c’est à New York, sa ville d’adoption, qu’il s’est endormi. Grandes ambitions et sens de la démesure, l’artiste, toujours accompagnée de sa femme Jeanne-Claude, n’a cessé d’imaginer des projets à la démesure assumée. Si un grand nombre n’a pu voir le jour, 23 œuvres ont embellies notre planète au fil des décennies. Son dernier projet en date ? L’empaquetage de l’Arc de triomphe, idée datant de 1962, qui devait se faire en avril. Mais le Covid-19, ayant eu raison des questions logistiques, a retardé l’inauguration de ce cadeau géant fait à la ville de Paris. Une actualité brulante puisque, si le projet sera maintenu de façon posthume en septembre, l’artiste doit également faire l’objet d’une grande rétrospective au Centre Pompidou à partir du 1er juillet. Un projet d’exposition qui ne n’enchantait d’ailleurs pas Christo, qui confiait à nos confrères du Monde en mars « Je n’aime pas les rétrospectives, j’aime faire toujours de nouvelles choses. Les rétrospectives, ce sera pour quand je serai mort ! ». Aujourd’hui parti, Christo continue de faire ce qu’il aime tant : monter un projet pensé il y a 60 ans, innover et divertir les amateurs d’art qui viendront découvrir la période parisienne du plasticien à Beaubourg. Si le plasticien a marqué le monde de l’art de son vivant, nul doute qu’il laisse derrière lui un héritage d’œuvres publiques marquantes, à mi-chemin entre architecture monumentale et installation in situ. Redéfinissant les périmètres de l’art, Christo se définit lui même comme n’étant « ni peintre, ni sculpteur, ni architecte ».Mais sans doute un peu tout ça à la fois. Photographies : DRZoé Térouinard
Il y a 4 ans et 350 jours

Pomme de douche, robinet, filtre... La digitalisation de l'eau pour le bien-être de l'utilisateur

La gestion durable de cette ressource précieuse est devenue essentielle et l'on assiste à une véritable prise de conscience de la part des pouvoirs publics mais également des entreprises : réduction des déchets plastiques, consommation optimisée, retraitement des eaux usées…En tant que leader mondial des fabricants de robinetterie sanitaire, GROHE a pour mission de développer des technologies intelligentes permettant aux personnes d'utiliser l'eau de manière consciente et durable. Grâce aux solutions du fabricant qui œuvre pour une digitalisation de l'eau, les clients GROHE deviennent consomm'acteurs et peuvent agir au quotidien pour préserver cette ressource si précieuse.GROHE Rainshower Smart Connect : des fonctions intelligentes pour une douche incomparableGROHE met au point des innovations qui permettent une expérience durable de l'eau, combinant manipulation intuitive et précision de contrôle sans compromettre le plaisir de l'eau.La pomme de douche Rainshower 310 SmartConnect de GROHE (disponible en version ronde ou carrée) est connectée via Bluetooth à une télécommande ronde alimentée par batterie. Avec la commande sans fil qui peut être placée librement dans la douche, les types de jet de la pomme de douche peuvent être choisis de manière pratique et, grâce à des pictogrammes explicites, il est possible de choisir entre le motif de jet Rain et Jet. Cette connectivité permet de distribuer la juste quantité d'eau, sans avoir à rechercher les jets précédemment utilisés.GROHE Robinet Plus : la précision numérique au bout des doigtsLa digitalisation de l'eau passe également par son contrôle de la température de l'eau et ce, au degré près. Pour simplifier le quotidien et améliorer la qualité de vie de l'utilisateur, GROHE a conçu Plus, un robinet intelligent qui contrôle avec exactitude la température de l'eau grâce à un affichage digital de précision.Ce dispositif permet à l'utilisateur d'adapter exactement la température de l'eau à ses besoins, une fonctionnalité qui garantit une sécurité à la fois maximale et durable. Pour une indication plus claire, la couleur du chiffre affiché sur un écran LED passe du bleu au rouge en fonction de la température, ce qui rend les utilisateurs conscients de la fréquence d'une utilisation excessive de l'eau chaude. GROHE Plus présente également trois autres fonctionnalités avec une démarche développement durable : grâce à la fonction économie d'eau GROHE EcoJoy, les utilisateurs peuvent rapidement passer du jet standard au jet économique, via un capteur infrarouge placé sur le bec.GROHE Blue Home : le plaisir de l'eau filtrée et connectéeGROHE Blue Home offre une eau filtrée, pétillante voire gazeuse selon les envies et toujours à la bonne température. Ce système, situé sous le plan de travail et/ou sous la robinetterie, permet de réduire la consommation parfois excessive de bouteilles d'eau en plastique, limitant ainsi l'empreinte carbone.Cette eau filtrée de qualité est distribuée d'un simple geste via une commande tactile, directement à son consommateur. Avec l'application GROHE ONDUS, les utilisateurs sont avertis dès que le filtre ou la bouteille de CO2 doivent être remplacés. Il est même possible de commander les deux via l'application. En plus de faciliter la vie durable des personnes et de leur apporter du bien-être, le design élégant du système GROHE et leurs finitions de couleurs disponibles en font un atout élégant à toute cuisine.
Il y a 4 ans et 350 jours

Ruimtemakers Architecten x Niels Maier : The Oblique House

Les agences néerlandaises Ruimtemakers Architecten et Niels Maier ont conçu à quatre mains une maison graphique à la volumétrie étonnante. Nichée dans la forêt d’une grande propriété située en bordure du village limbourgeois de Beek (Pays-Bas), la résidence est un havre de paix loin de toute agitation urbaine. Les architectes de Ruimtemakers Architecten ont érigé une maison composée de trois volumes très différents. Le volume principal en brique grise accueille le salon, la salle à manger et la cuisine, ainsi que la chambre principale et la salle de bains au rez-de-chaussée. Le deuxième volume, en bois, abrite la buanderie et une salle de repassage. Le troisième volume, monté sur le toit de la résidence, fabriqué à partir d’un solide matériau composite Corian®, dont l’aspect s'apparente au granit. Sa façade blanche agrémentée de lignes obliques donna d’ailleurs son nom à la maison. Bien que ces trois entités soient très différentes, elles forment toutefois un ensemble harmonieux. Ce jeu de contrastes se poursuit à l'intérieur de la résidence. Les équipes de l’agence d’architecture d’intérieur Niels Maier ont en effet imaginé un intérieur minimaliste, dont la palette réduite à l’essentiel est parfois ponctuée de touches colorées. L’intérieur de la maison est sobre et élégant. Les murs et les plafonds sont blancs, et les sols gris foncé. Les détails contemporains et les meubles bien choisis ou réalisés sur-mesure confèrent aux diverses pièces leur identité propre tout en créant l’ambiance feutrée tant désirée par le propriétaire. Ensemble, les agences Ruimtemakers Architecten et Niels Maier signent une maison très atypique. Pour en savoir plus, visitez le site de Ruimtemakers Architecten et celui de Niels Majer. Photographies : © Cafeine, Thomas De BruyneLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 351 jours

La Cour des comptes inquiète des prêts accordés à la filière du nickel en Nouvelle-Calédonie

"Le risque pour l'État de ne pas être remboursé de certains de ses prêts n'est pas négligeable et la situation des entreprises aidées est loin d'être redressée", a-t-elle souligné dans son référé consacré à "vingt ans de soutien financier de l'État à la filière du nickel en Nouvelle-Calédonie"."Compte tenu du départ annoncé par Vale de son site calédonien", la Cour des comptes recommande à l'État de "s'assurer du remboursement du prêt accordé en 2016", rappelant qu'il s'élevait à 200 millions d'euros et qu'il avait été accordé à Vale Canada "pour surmonter les difficultés de trésorerie" de Vale Nouvelle-Calédonie.Le groupe brésilien envisageait alors la "mise sous cocon" de son site d'extraction de nickel si l'État français ne soutenait pas sa filiale calédonienne.Malgré ce soutien, Vale a annoncé l'année dernière son retrait de Nouvelle-Calédonie, mais s'est "jusqu'à présent acquitté des intérêts dus. Il convient de s'assurer du remboursement de ce prêt, qui doit, au plus tard, intervenir de façon échelonnée entre 2021 à 2026", souligne-t-elle.Dans ce même référé, la Cour juge aussi sévèrement un "prêt risqué" accordé en 2011 par l'Agence française de développement (AFD), d'un montant initial de 170 millions d'euros, à la société minière du Sud Pacifique (SMSP).Malgré une restructuration l'an dernier qui a maintenu l'encours du prêt à 56 millions, "le risque de non remboursement du prêt de l'AFD demeure, comme en témoigne le provisionnement élevé de la créance par l'AFD", constate le référé.La Cour revient également sur le projet de construction d'une nouvelle centrale électrique, dite "centrale pays", qui dispose d'une garantie de l'État de 320 millions d'euros. "Compte tenu de l'exposition importante de la puissance publique, la Cour recommande de clarifier les conditions du fonctionnement futur et du financement de la centrale avant d'octroyer la garantie de l'État", souligne-t-elle.Elle demande aussi au ministère des Comptes publics de supprimer l'actuel dispositif de défiscalisation en faveur des investissements productifs, jugé "coûteux et complexe", et de le remplacer par des mécanismes de soutien accordés par les collectivités de Nouvelle-Calédonie et, le cas échéant pour les projets les plus importants, par des aides financières de l'État ou de Bpifrance.
Il y a 4 ans et 351 jours

De la densité subie à l’urbanité choisie …

La crise sanitaire due au Covid nous oblige de toute évidence à revoir la façon d’envisager notre société, à tout le moins, elle invite à s’interroger sur la façon de construire la ville. Dans la cacophonie actuelle où chacun veut expliquer comment sera l’avenir, deux articles m’ont interpellé : d’une part celui de Jacques Ferrier (Le […] L’article De la densité subie à l’urbanité choisie … est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 351 jours

La 17e édition d’ARTIBAT reportée à 2021

Le salon de la construction ARTIBAT est reporté au mois d'octobre 2021. La crise sanitaire aura eu raison de cette 17e édition... Cet article La 17e édition d’ARTIBAT reportée à 2021 est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 351 jours

Covid-19 : les villes où investir dans le neuf après la crise sanitaire

Élaborée à partir de l’analyse de plusieurs millions de données croisées notamment avec les chiffres du chômage partiel (par catégorie d’activité dans chaque ville), cette étude permet de mesurer les conséquences immobilières de la crise sur les villes les plus attractives de France. Elle apporte également de précieuses recommandations aux futurs acquéreurs. Deux classements sont proposés : l’un axé sur un profil « rentabilité locative » et l’autre sur un profil « plus-value ».Synthèse des résultats du classement « plus-value » La Nouvelle Aquitaine occupe les 3 premières places du classement « plus-value ». Bruges arrive en première place grâce à une position stable post COVID. Bordeaux finit deuxième, en gagnant 6 points suite à l’épidémie. Biscarosse se place quant à elle en troisième position après avoir perdu une place. Cette belle performance de la Nouvelle-Aquitaine ne profite toutefois pas à toutes les villes de cette région puisque Parempuyre (qui se place tout de même à la 14ème position), aura probablement à gérer un impact fort du virus du fait de l’importante concentration d’activités de type « commerce » en local. En contraste, Bruges profite d’une forte présence des services publics, plutôt épargnés par la crise. Peynier en Provence-Alpes-Côte d'Azur, se hisse au top 5 derrière Asnières-sur-Seine, elle aussi grâce à une forte résilience face au Covid. Cela grâce aux activités de fabrication d’équipements électriques qu’elle héberge (seulement 2,4% de chômage partiel en moyenne).Synthèse des résultats du classement « rentabilité locative » Angers (Pays de la Loire), Le Puy-Sainte-Réparade (Provence-Alpes-Côte d'Azur) et Déville-lès-Rouen (Normandie) composent le trio de tête du classement « rentabilité ». Angers, en première position, bénéficie d’un impact nul du COVID grâce aux nombreux emplois publics. Idem pour le Puy-Sainte-Réparade, deuxième, qui gagne 5 places après la crise. Déville-lès-Rouen, sur la troisième marche du podium (+6 places post COVID) dispose d’activités de fabrication de produits industriels relativement épargnés par le chômage partiel (8,6% en moyenne).La ville d’Izon, en Nouvelle Aquitaine, termine 4ème en perdant deux places, tandis que Colombelles en Normandie finit 5ème avec une place en moins des suites du COVID.Les surprises de ce baromètre Certaines villes sur-performent en dépit d’un impact potentiellement important du Covid. C’est par exemple le cas de Meyreuil en Provence-Alpes-Côte d’Azur qui se maintient à la 14ème place du classement rentabilité locative avec de bonnes performances équilibrées sur les 5 critères GRIDKY, alors que l’impact du virus y sera probablement fort. D’autres résistent exceptionnellement bien grâce à une structure d’emploi plutôt épargnée. C’est le cas pour la ville du Puy-Sainte-Réparade, qui monte à la 8ème place en gagnant 13 positions sur le classement des villes offrant la meilleure chance de plus-value à la revente.« Le chômage a un impact massif sur la baisse du marché immobilier. Or, les villes ayant une forte concentration d’entreprises dites de « techniques spécialisées », ou de commerces risquent de voir leur taux de chômage augmenter fortement suite au COVID-19. A l’inverse, les communes où ces activités sont peu représentées et qui bénéficient d’un important secteur public ou de la présence d’entreprises de fabrication résistent bien à la crise. » - Mathieu Morio, co-fondateur de GridkyMéthodologie Addition du taux de chômage partiel + répartition des activités par commune sur toute la France croisés avec les données issues des critères Gridky (rentabilité locative, sécurité locative, potentiel de plus-value, facilité de revente et attractivité du quartier). Ce classement est construit en faisant l’hypothèse que les niveaux de chômage partiel constituent un indicateur avancé du chômage réel qui risque de toucher chaque commune dans les mois qui viennent. Ces impacts ont été estimés à partir des chiffres fournis par le Ministère du travail, croisés avec les bases de l’INSEE. Ces résultats ont ensuite été projetés sur les 5 critères GRIDKY d’analyse de la qualité des investissements immobiliers.
Il y a 4 ans et 351 jours

Le gouvernement prévient que l'économie française va se contracter de 11% cette année

"Je n'ai jamais caché que le plus dur est devant nous" parce que "le choc de la crise a été extrêmement brutal", a affirmé le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, en annonçant mardi cette nouvelle prévision sur la radio RTL. "Nous avons un énorme trou d'air" avec cette crise.Le gouvernement entérinera cette nouvelle estimation de l'ampleur de la récession dans un nouveau projet de budget rectificatif qui doit être présenté en conseil des ministres le 10 juin.La semaine dernière, l'Insee avait indiqué que la chute du PIB serait largement supérieure au -8% anticipé par le gouvernement, car la reprise de l'activité depuis le début du déconfinement sera "au mieux progressive au second semestre".Au premier trimestre, le recul de l'activité a finalement atteint -5,3%, mais l'Institut national de la statistique anticipe un plongeon de -20% environ au deuxième trimestre.L'économie française "s'efforce (...) de reprendre son souffle", mais elle "refait surface dans un monde qui n'est plus exactement le même qu'avant la crise sanitaire", avait jugé l'institut national de la statistique.Si le déconfinement a débuté le 11 mai, et que le Premier ministre a annoncé la semaine dernière une accélération avec notamment la levée de l'interdiction de se déplacer à plus de 100 kilomètres de son domicile, la reprise de l'activité est lente. Tous les commerces n'ont pas encore rouvert et le redémarrage de certaines entreprises est ralenti par des perturbations persistantes dans les chaînes de production.Petite éclaircie: mardi, les restaurants et cafés peuvent rouvrir dans les départements "verts" et seulement leurs terrasses dans les départements "orange", dont Paris.C'est "un signal très positif", avec 300.000 établissements qui vont pouvoir rouvrir et un demi million d'employés qui vont pouvoir reprendre leur activité, a souligné M. Le Maire, même s'il estime que "pour nous redresser économiquement il en faudra beaucoup plus".Apprentissage, tech et aéronautique"J'ai la conviction absolue que nous allons rebondir en 2021", a-t-il toutefois avancé.Après le plan d'urgence de plus de 100 milliards d'euros mis en place depuis le début de la crise, le gouvernement prépare désormais des plans de soutien spécifiques pour les secteurs les plus affectés.Des efforts de 18 milliards d'euros pour le tourisme, de 8 milliards d'euros pour l'automobile ou de 4,5 milliards d'euros pour les collectivités ont déjà été annoncés, avant des mesures pour l'aéronautique, l'apprentissage, l'emploi des jeunes ou les start-up dans les prochains jours."Nous prenons toutes les mesures dans tous les secteurs", a assuré Bruno Le Maire qui a toutefois déjà prévenu que des faillites et licenciements seraient inévitables malgré le soutien public.Plusieurs entreprises du secteur de la distribution, comme Camaïeu, La Halle ou Conforama, sont ainsi d'ores et déjà en grandes difficultés, avec des milliers d'emplois menacés, tandis que le constructeur automobile Renault prévoit de supprimer 15.000 emplois dont 4.600 en France, la crise ayant renforcé des difficultés préexistantes.Alors que certains plaident pour une augmentation du temps de travail afin d'accélérer la reprise dans les entreprises, le ministre a lui estimé que le défi de l'économie sera surtout de lutter contre le chômage."C'est ça l'enjeu pour la France dans les mois qui viennent: travailler tous et essayer de contenir un chômage qui va augmenter", a-t-il déclaré.
Il y a 4 ans et 351 jours

"Nous insistons pour que les appels d’offres mettent en avant les productions locales", Nicolas Vuillier, président de l'Unicem

Le président de l'Union nationale des industries de carrières et des matériaux de construction fait le point pour LeMoniteur.fr sur la situation de la filière après deux mois de confinement. S'attendant à un "trou d'air" de l'activité à la fin de l'année, il explique les mesures qui permettraient de l'atténuer.
Il y a 4 ans et 351 jours

Cinq leaders de l'industrie lancent l'édition 2020 du "Construction Startup Competition"

Sous le slogan « You are the missing piece » (Vous êtes la pièce manquante), les cinq acteurs clés de l'industrie invitent tous les entrepreneurs du monde entier ayant des solutions de construction innovantes à participer à l'édition de cette année en soumettant leurs projets du 19 mai au 26 juillet 2020. Les gagnants seront évalués dans cinq domaines d'opportunité au sein du secteur, allant des villes et bâtiments intelligents à l'optimisation de la gestion de la chaîne d'approvisionnement, la construction avec des matériaux ou méthodes innovants, l'optimisation de la productivité, l'efficacité et la qualité dans la gestion quotidienne des projets, entre autres.CEMEX Ventures, Ferrovial, Hilti, Leonard du groupe VINCI et NOVA de Saint-Gobain se sont réunis autour de l'édition 2020 du « Construction Startup Competition » afin d'apporter leur soutien à des start-up qui brisent les paradigmes de l'un des secteurs les moins digitalisés et les plus fragmentés. Ils uniront leur expertise et leurs ressources pour stimuler les start-up grâce à leur connaissance des infrastructures, des matériaux et des équipements, entre autres disciplines.Les personnes qui souhaitent participer peuvent s'inscrire sur la page web de CEMEX Ventures (https://www.cemexventures.com/startup-competition-2020/). Une fois que les cinq entreprises organisatrices auront évalué toutes les propositions, elles offriront aux start-up les plus prometteuses une série d'opportunités supplémentaires, allant d'ateliers à des projets pilotes ou des investissements. Pour cette quatrième édition du « Construction Startup Competition », les entreprises gagnantes seront invitées à Chicago, aux États-Unis, pour présenter leurs solutions à un public composé de leaders mondiaux de l'innovation, de l'investissement et de la construction, cet évènement devant en principe se tenir les 2 et 3 décembre 2020.L'implantation mondiale des cinq sociétés organisatrices permet aux start-up établies n'importe où dans le monde de participer au concours, leur donnant ainsi la possibilité d'étendre leurs activités à de nouveaux marchés géographiques. La position qu'occupent ces cinq leaders dans la chaîne de valeur de la construction offre aux participants une grande visibilité des défis auxquels l'industrie est confrontée, ainsi qu'un accès à un portefeuille actif de contacts importants. Ces éléments leur permettent de nouer des liens avec de nouveaux investisseurs et entreprises axés sur l'innovation. En outre, le concours offre aux participants la possibilité de tester et de mettre en œuvre leurs solutions avec l'un des cinq organisateurs.La forte montée en puissance des éditions précédentes - au sein desquelles le nombre de candidats a augmenté d'année en année - a permis de développer un écosystème de plus d'un millier de start-up, issues de plus de 80 pays, axées sur l'industrie de la construction. Le concours 2020 « Construction Startup Competition » vise à compléter une vision des nouvelles solutions émergentes dans l'industrie, à faciliter un examen efficace des opportunités d'investissement et à créer une communauté d'acteurs engagés à résoudre les défis de l'industrie d'un point de vue innovant, technologique et durable.Pour plus d'informations sur l'édition 2020 du « Construction Startup Competition », rendez-vous sur le site https://www.cemexventures.com/startup-competition-2020/.
Il y a 4 ans et 351 jours

Lippi présente Évolution : une pile élégante et compacte pour sécuriser les portails en collectif

Cette année, LIPPI® enrichit son offre avec la pile Évolution, un coffre technique prêt à poser pour équiper les portails coulissants et autoportants LIPPI®.Conçue pour les entreprises et les collectivités, cette pile au design épuré permet d'assurer la sécurité des usagers et de protéger les équipements tout en répondant aux normes les plus strictes et en offrant une installation simplifiée.Évolution : une solution fonctionnelle pour accroître la sécurité des portailsLIPPI® enrichit son offre de portails avec une solution spécialement dédiée au collectif, résidences, hôtellerie, bureaux, commerces et autres zones recevant du public soumis à un passage intensif : la pile Évolution, conçue pour sécuriser les portails coulissants et autoportants. Destinée à recevoir la motorisation et l'électronique des portails LIPPI®, cette solution technique permet en effet de préserver les équipements grâce à un boîtier étanche assurant une protection efficace contre les intempéries. Anti-choc et verrouillé par clé, le coffre permet en outre de se prémunir contre le vandalisme.Répondant aux normes de sécurité les plus strictes (normes Eurocodes - 4 zones France et Corse), la pile Évolution intègre une motorisation CARDIN et est dotée d'équipements de série permettant de garantir la sécurité des usagers : un feu clignotant, un éclairage de zone LED pour une parfaite visibilité du débattement du portail, de jour comme de nuit, un jeu de cellules et 5 barres palpeuses ou tranches de sécurité (1 sur le vantail et 4 sur la pile) offrant une protection renforcée contre les risques de cisaillement et d'écrasement. Ainsi le portail s'arrête automatiquement lorsqu'un obstacle est détecté lors de l'ouverture ou de la fermeture.Diverses solutions de contrôle d'accès sont également proposées en option permettant ainsi d'accroître la sécurité des biens et des personnes en fonction des besoins : interphone, visiophone, lecteur de badge ou clavier à code.Un produit design et simple à mettre en œuvreÉvolution, c'est une pile unique pour de multiples possibilités esthétiques : compatible avec les portails coulissants et autoportants Z®, STEM®, STEM Wall®, et AQUILON® (sauf Tivano, Aquilon Max et Practis), son design compact et ses lignes épurées offrent une alliance parfaite avec les différents univers LIPPI® et s'intègre donc harmonieusement à tous les projets architecturaux, des plus classiques aux plus audacieux. Elle se décline dans les 30 coloris standards des Univers Z et STEM et les 12 coloris de la gamme AQUILON. La pile Évolution permet également d'intégrer un logo pour des installations personnalisées.Sa compatibilité avec la majorité des modèles LIPPI® abolit par ailleurs les contraintes techniques, la pile étant adaptée aux dimensions (hauteurs et passages) des différents portails autoportants et coulissants.Câblée et testée en usine, elle constitue une solution prête à poser, offrant un réel gain de temps à la pose pour les installateurs. Son ergonomie facilite de plus l'accès aux équipements électroniques tant pour l'installation que pour la maintenance.Connectée, Évolution embarque la technologie Cardin permettant un diagnostic et un contrôle à distance via l'application CRD TWO. Très à l'écoute des besoins de ses clients, LIPPI® propose de plus avec la pile Évolution une offre complète de services dédiés aux professionnels : assistance à la pose, forfait de mise en route et contrat d'entretien. Enfin, Évolution est intégrée à la bibliothèque d'objets BIM de BimObject® afin de simplifier le travail des architectes.Une fabrication française de qualitéDistribuée via le réseau de concessionnaires LIPPI® et les revendeurs professionnels (voir liste sur le site), la pile Évolution bénéficie d'une fabrication de qualité réalisée en Charente dans les usines LIPPI® et d'une garantie de 10 ans contre la corrosion.Symbole du savoir-faire français depuis plus de 50 ans, la marque a su développer un niveau d'excellence dans la fabrication de portails et clôtures, du choix des matières premières aux traitements de protection et produits de finition. La triple certification Qualité Sécurité Environnement attribuée à la marque témoigne de la volonté de garantir des produits et services de qualité, dans le respect des valeurs managériales et environnementales de l'entreprise.Caractéristiques techniquesmatériau : acier galvaniséencombrement au sol : 570 mm x 480 mméquipements de série : motorisation CARDIN réf Sli1024Feu clignotant - 1 Récepteur radio avec antenne1 Transmetteur pour barre palpeuse5 Barres palpeuses (1 sur le vantail et 4 sur la pile)1 Jeu de cellules filaires - Borne de connexionÉclairage de zone à led - Carte électroniquePorte accès moteur avec serrure à clé2 TélécommandesHorloge hebdomadaireBatterie de secours NIMHéquipements en option : Contrôle d’accès (interphone/visiophone/lecteur de badge/clavier codé)Télécommandes supplémentaireshorloge annuelle avec jours fériés1 jeu de cellules poids lourdDisponibilité : 25 mai 2020
Il y a 4 ans et 351 jours

Le fabricant français VAUBAN SYSTEMS lance un nouveau module logiciel capable de gérer les contrôles d’accès à partir de la température des visiteurs, prise par les caméras thermographiques

Spécialisée dans la conception et la fabrication de solutions de contrôle d’accès, VAUBAN SYSTEMS propose la sécurisation des accès des bâtiments et des sites. Face aux nouveaux besoins de sécurité et de gestion du trafic, l’entreprise a travaillé à l’intégration et à l’analyse des données thermographiques dans le contrôle d’accès. En quelques jours seulement, les équipes de R&D ont mis au point un module complémentaire MOD-HEAT qui s’intègre simplement aux systèmes existants VISOR®, avec caméra thermographique, pour exploiter les données de températures afin de garantir la sécurité sanitaire des personnes sur site. En temps réel, et sans contact, le système peut prendre la température du visiteur, l’informer directement en cas d’anomalie et autoriser, ou non, son accès au site. Grâce à la caméra, le système est également capable de détecter le port du masque si nécessaire. VAUBAN SYSTEMS propose ainsi une solution clé en main pour sécuriser les déplacements des personnes, personnel comme visiteurs, que ce soit dans les bureaux, hôpitaux, aéroports, collectivités, chantiers, bateaux de croisière… Grâce à la mobilisation des équipes, ainsi qu’à un savoir-faire et une fabrication 100 % français, cette solution MOD-HEAT avec le logiciel VISOR® a pu être mise au point en une semaine seulement !
Il y a 4 ans et 351 jours

L’UFME enrichit sa palette d’objets BIM génériques

L’Union des Fabricants de MEnuiseries (UFME) propose désormais une nouvelle palette d'objets BIM.
Il y a 4 ans et 351 jours

Rockwool lance une solution pour calibrer soi-même son projet d'isolation

Lors de la construction d’un bâtiment ou à l’occasion d’une opération de rénovation énergétique d’un logement, il est primordial de déterminer en amont le produit le plus efficace et le plus adapté au projet. C’est pourquoi ROCKWOOL lance une calculette qui permet de choisir les produits pour les combles aménagés, combles perdus et toitures inclinées les plus adaptés à son projet, notamment en mesurant les quantités nécessaires. Cette calculette est destinée aux professionnels, artisans et particuliers. L’intérêt est de pouvoir trouver le bon produit grâce à un système de notation, de connaitre les avantages produits (gain de temps comparé à une solution standard, gain de surface pour les combles aménagés), pour enfin calculer les quantités nécessaires. Grâce au code EAN, les produits sont facilement trouvables ensuite chez les distributeurs.Pour tester la calculette : cliquez ici
Il y a 4 ans et 351 jours

EAS SOLUTIONS PRÉSENTE BAKU, UN PLAFONNIER ENCASTRÉ LED À FAIBLE LUMINANCE POUR UN ÉCLAIRAGE SUR-MESURE TRЀS ÉCONOME EN ÉNERGIE

EAS SOLUTIONS, spécialiste français de l’éclairage LED professionnel, présente BAKU un encastré LED conçu pour un éclairage sur-mesure, sans éblouissement et très économe en énergie. Le plafonnier encastré LED BAKU offre un éclairage performant à faible luminance (UGR< 19) pour un meilleur confort visuel. Son efficacité lumineuse est de 103 lm/W avec un flux lumineux de 3100 lm en 4000K (blanc neutre). Disponible en plusieurs puissances (20W et 30W) et températures de couleur (blanc chaud et blanc neutre), il possède un corps en polycarbonate et un réflecteur en métal poli avec Darklight. Son angle de faisceau est de 55° et sa durée de vie de 50 000 heures. Il fonctionne à des températures allant de -10° à +40° en on/off ou sur variateur, protocole DALI inclus et est garanti 5 ans. Equipé en option de luxmètre et de détecteur de présence, le plafonnier BAKU permet d’obtenir un éclairage LED à la carte très économe en énergie qui autorise dans un même espace différents niveaux d’éclairement. Il adapte ainsi la puissance du flux lumineux en fonction de la luminosité extérieure, du taux d’occupation des lieux et des besoins des utilisateurs, prenant en compte aussi bien la proximité d’une source de lumière naturelle que les préférences en éclairage de chacun. Compatible avec le système intelligent de gestion Digital Lumens (division du groupe Osram), le plafonnier LED BAKU peut-être également connecté. Il communique alors via le maillage radio des luminaires et constitue un réseau indépendant et parallèle qui ne perturbe pas les réseaux en place. Contrôlé le plus souvent par zone d’activité, l’éclairage passe ainsi automatiquement du niveau d’éclairement le plus bas en l’absence d’occupation au niveau d’éclairement maximum en pleine activité. En plus d’apporter un grand confort visuel aux utilisateurs, cette installation tertiaire intelligente réduit considérablement la consommation d’énergie, mesurable en temps réel. Le luminaire LED BAKU ainsi connecté économise 90 % d’énergie sur l’éclairage. Il est particulièrement adapté à l’éclairage des bureaux, espaces communs, locaux commerciaux, zones de transit des gares et aéroports … A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 4 ans et 351 jours

Covid-19 : la Fondation du BTP crée un fonds de solidarité

En effet, dans le respect des mesures de confinement, la plupart des entreprises ont dû arrêter leurs chantiers et ont été contraintes de mettre leurs salariés en chômage partiel. Dans ce contexte, 65% des entreprises du Bâtiment ont fait remonter des difficultés liées au COVID-19, quant aux entreprises des Travaux Publics, elles ont de leur côté, subi une baisse de 55% de leur activité au cours du 1er trimestre 2020 (source : point de conjoncture du 23 avril 2020, INSEE).Face à cette situation alarmante et dans ce contexte inédit, la Fondation du BTP, acteur engagé de la profession, dont les valeurs de solidarité et d'entraide sont au cœur de l'action, a décidé d'apporter son soutien au secteur. « À situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles, la Fondation du BTP se doit d'être présente au côté des entreprises et des salariés du BTP », pour reprendre les mots du Président de la Fondation du BTP, Didier Charbonnel, lors du conseil exceptionnel du 4 mai 2020.Une aide financière pour les salariés du btp ayant été au chômage partielPour cela, la Fondation du BTP a proposé la création d'un fonds de solidarité COVID-19 et y participe à hauteur de 500 000 euros renouvelable une fois. L'objectif est de permettre aux salariés mis au chômage partiel de bénéficier des garanties de leur contrat collectif en santé et en prévoyance sans contrepartie de cotisation. Cette aide tournée vers les salariés de la profession, leur permettra de continuer à bénéficier de leur protection sociale dans ce contexte économique, sanitaire et social difficile.De plus, le conseil d'administration de la Fondation a souhaité aller plus loin et a décidé d'allouer un budget supplémentaire à l'aide sociale individuelle. Les salariés en grandes difficultés pourront ainsi se tourner vers la Fondation pour obtenir un soutien financier.Distribution de matériel auprès des professionnels du BTPLa Fondation a souhaité que l'aide apportée aux acteurs du BTP soit aussi constituée d'équipements de protection aujourd'hui nécessaires comme des masques, gants etc. Ces fournitures sont redistribuées aux professionnels n'ayant pas pu se fournir en matériel et permettent la reprise des chantiers aux salariés dans des conditions optimales de sécurité.
Il y a 4 ans et 351 jours

Trois systèmes constructifs en bois ... et des cartes à jouer avec la RE 2020

Ossature bois, bois massif lamell&eacute; crois&eacute; coll&eacute; ou briques en bois ? Voici trois solutions de construction bois qui ont chacune des cartes &agrave; jouer, dans le cadre de la future r&eacute;glementation environnementale.
Il y a 4 ans et 351 jours

Nucléaire : Hinkley Point C franchit une nouvelle étape

EDF a annoncé le 1er juin que la pose de la dalle qui accueillera le deuxième réacteur EPR de la centrale britannique était achevée. Un ouvrage réalisé dans les délais impartis malgré la pandémie.
Il y a 4 ans et 351 jours

La construction de l'Arena 2 pour les JO Paris-2024 est confiée à Bouygues

Le coût de construction de cet équipement, qui accueillera les épreuves de badminton lors des jeux olympiques (26 juillet-11 août 2024), puis de para taekwondo et de para badminton pendant les jeux paralympiques (28 août-8 septembre), s'élève à ce stade à 98 millions d'euros HT en valeur 2020, financé à 50% par l'État, la ville de Paris et la région Ile de France à travers la Solideo, la société publique qui supervise les chantiers des JO, et à 50% par la ville de Paris sur son budget propre.La ville de Paris précise qu'elle ajoutera 20 millions d'euros HT pour "la conception-réalisation" de deux gymnases intégrés à l'arena, pour le sport amateur, ainsi que 7,2 millions d'euros HT pour financer un programme d'activités de proximité, de loisirs et de commerces.Au-delà des JO, l'arena, d'une capacité de 8.000 places assises, située entre les portes de la Chapelle et d'Aubervilliers, sera le lieu de résidence du Paris Basketball, le club de la capitale qui évolue en ProB et a l'ambition de devenir une équipe de premier plan sous la houlette de son président américain, David Kahn, ancien patron d'une franchise NBA (Minnesota Timberwolves).La salle pourra aussi accueillir des concerts, des spectacles ou des congrès.Selon la mairie de Paris, la commission d'appel d'offre "a attribué le 25 mai le marché global de conception, réalisation et exploitation technique (...) au groupement mené par Bouygues Bâtiment Île-de-France et les agences d'architecture SCAU et NP2F".Terrasse verteBouygues, en concurrence pour l'arena avec un duo Vinci-Eiffage, a déjà remporté fin avril le marché de construction et d'exploitation du centre aquatique olympique à Saint-Denis, dont la facture totale s'élève à 174,7 millions d'euros. Le groupe continue donc de prendre sa revanche, après avoir perdu la bataille du marché de construction du village olympique, toujours à Saint-Denis.Pour l'arena, la mairie met en avant les "qualités architecturale, paysagère, fonctionnelle et environnementale" du projet, qui se distingue notamment par un socle vitré et une terrasse végétalisée."L'exploitation commerciale se fera via une délégation de service public actuellement en cours d'instruction", précise la mairie. Les travaux doivent démarrer en juin 2021.La pandémie de Covid-19 créé des inquiétudes sur le coût des chantiers et l'organisation des JO de Paris-2024. La ministre des Sports, Roxana Maracineanu, avait averti début mai qu'il y aurait "sans doute" des "dépassements" de coûts.Le budget des JO de Paris-2024 se décompose en deux parties: d'une part, le volet des équipements pérennes (centre aquatique olympique, village des athlètes) s'élève pour l'heure à 3 milliards d'euros, dont environ 1,6 milliards d'euros d'investissements publics (Etat et collectivités) en valeur 2016 et hors taxes; d'autre part, le volet de l'organisation, géré par le Comité d'organisation des JO (Cojo), s'élève à ce stade à 3,8 milliards d'euros, financés par des recettes privées (sponsors, billetterie, contribution du CIO). Pour le Cojo, une révision budgétaire est attendue fin 2020-début 2021.
Il y a 4 ans et 351 jours

Réhabilitation énergétique de l'habitat social : quelles solutions efficaces en chauffage électrique ?

PRÉPARER 2050, projet partenarial, piloté par EDF R&D et le CSTB, en lien avec les acteurs du logement socialDévelopper et mettre l'innovation au service de la rénovation énergétique, sur l'ensemble du parc bâti existant, c'est tout l'enjeu de la filière construction pour accompagner et accélérer la rénovation énergétique des bâtiments. Cette priorité, soutenue par le gouvernement, s'inscrit dans la Stratégie nationale bas-carbone (SNBC) et contribue à lutter contre la précarité énergétique. EDF R&D et le CSTB, en association avec les acteurs du logement social, sont engagés dans ce défi au travers du projet PRÉPARER 2050. Découvrez en vidéo ce partenariat de recherche dédié à la rénovation énergétique du parc de logements sociaux, chauffé à l'électricité. Il développe une vision partagée des solutions adaptées à ce patrimoine et aux besoins de leurs occupants, avec une approche globale et pérenne de la réhabilitation. Vous avez une question, vous souhaitez participer à ce projet&nbsp;? Contactez-nous à preparer2020@cstb.fr En savoir plus&nbsp;: PREPARER2050.fr : le site Web du projet Plan rénovation énergétique des bâtiments
Il y a 4 ans et 352 jours

LIPPI fait confiance à BIMobject et à Polantis pour le développement et la publication de ses objets BIM

Pierre-Yves Laurent, Responsable de Marque chez LIPPI, fabricant français de portails et clôtures, revient sur les innovations produits et la démarche BIM de LIPPI. Du choix des matériaux à une proximité clients Créateur français d’Univers d’aménagements extérieurs innovants et inspirants à destination des professionnels, des particuliers et des collectivités, LIPPI conçoit et fabrique, depuis 1963, des portails, clôtures, mobiliers et accessoires colorés et modulables pour profiter des espaces en toute liberté . LIPPI a une politique de commercialisation omnicanale : Prescripteurs (architectes, bureaux d’études…), donneurs d’ordres Professionnels de la pose Paysagistes Clients sous enseignes (marchands de matériaux, grandes surfaces spécialisées) Réseaux de concessionnaire sous enseigne Lippi UniversZ Lippi LIPPI propose à la fois des gammes classiques de portails et clôtures, mais a su se démarquer avec des gammes plus sélectives et innovantes. LIPPI a défini une véritable stratégie de différenciation à forte valeur ajoutée pour ses clients suivant plusieurs axes : Être précurseur dans le BIM. LIPPI a été l’un des premiers fabricants de portails et clôtures à modéliser une partie de son portefeuille produits en BIM Avoir une véritable conscience environnementale, nous sommes un partenaire « éco-responsable » disposant de la triple certification ISO Qualité, Sécurité, Environnement, RSE (label Lucie). 17 gammes de nos produits sont labellisées « Origine France Garantie », label qui s&rsquo;obtient difficilement auprès d’un organisme indépendant pour certifier l’origine française d’un produit. Cette responsabilité est pensée à chaque instant : la fabrication des produits est propre, le choix des matériaux, les emplois sont locaux, moins de rejets, moins de chutes, réduction des emballages… Proposer une forte personnalisation des produits les clôtures et portails sont fabriqués à la demande avec une palette de couleurs élargie de 30 couleurs. Les couleurs proposées par son partenaire AkzoNobel sont choisies par une designer interne et suivent les tendances pour illuminer les espaces. Lippi colors Proposer des services de qualité autour des produits, services clients, services après-vente BIM, un levier de performance et de mise en relation S’intéresser au BIM fut une évidence pour LIPPI. Il y a quelques années, les autres fabricants de clôtures ne disposaient pas de fichiers BIM, nous avons su être précurseur, nous démarquer en développant nos fichiers BIM. En effet, les clôtures et les portails font partie intégrante d’un bâtiment et de son environnement. L’objectif de LIPPI est d’embellir les extérieurs et créer un écrin pour les bâtiments.  Nous avons créé deux gammes de produits spécifiques, plus innovantes et adaptées aux besoins des prescripteurs.  Ces derniers sont attentifs à nos produits et nos solutions leur plaisent beaucoup. La volonté de LIPPI est à la fois d’embellir un bâtiment mais également la ville. Nous souhaitons développer la visibilité de nos produits, qu’ils soient connus, achetés et posés. Nous offrons des produits complémentaires, plus innovants à la clôture classique. En effet, les villes demandent des produits modernes, esthétiques, colorés tout en gardant des fonctionnalités techniques, sécuritaires et modulables de l’unicité visuelle et stylistique. Cela fait écho à notre raison d’être « Vivre heureux ensemble » C’est une fierté pour l’entreprise de voir les produits LIPPI dans des réalisations car les portails s’intègrent parfaitement au design, à l’esthétique du bâtiment. Le BIM renvoie une image moderne de nos produits. Nous avons choisi de développer une partie de notre gamme en BIM, les produits à forte valeur ajoutée esthétique et technique et notamment ceux qui intéressent le plus les architectes. Une fois nos produits en BIM, nous les avons publiés sur la plateforme Polantis et aujourd’hui sur BIMobject (Polantis appartient à BIMobject). Nous avons été très vite surpris par l’adoption de nos produits par les architectes, par le nombre de téléchargements et de vues de nos produits.  Nous avons gagné des marchés, des chantiers grâce au BIM : du fait de proposer des obejets BIM et d’être présent sur la plateforme Polantis et BIMobject. Les architectes nous contactent pour des demandes de prix. Polantis a su relayer une demande d’un architecte et nous avons conclu un important marché. En effet, proposer une bibliothèque d’objets BIM sur ces plateformes, permet à nos produits d’être au bon endroit, au bon moment. Tous les prescripteurs qui consultent BIMobject et Polantis peuvent nous contacter pour avoir des informations complémentaires sur nos produits. Nos produits gagnent en visibilité sur ces plateformes. Les plateformes de contenu BIM sont des vitrines de nos produits. Cette présence réduit l&rsquo;action de prescription fastidieuse et souvent appliquée au mauvais moment avec les bureaux d&rsquo;architectes. Maintenant, ils ont accès à notre bibliothèque quand ils en ont besoin. Cela est beaucoup plus efficient.  LIPPI sur le salon BIM World les 7 et 8 octobre ! Cette année, LIPPI participe au salon BIM World aux côtés de BIMobject et Polantis pour échanger directement avec les prescripteurs, donneurs d’ordre, collectivités et mieux comprendre leurs besoins. Une démonstration des produits BIM LIPPI aura lieu sur le stand BIMobject, stand G21/H20. BIMobject et LIPPI vous offrent l&rsquo;entrée sur le salon avec le code : EXH-VIS-585275. Nouvelles dates pour le salon BIM World Paris cette année ! Découvrez les produits LIPPI disponibles pour  ARCHICAD, Revit, SketchUp et en IFC sur BIMobject; En savoir plus sur les produits LIPPI en visitant leur site internet.
Il y a 4 ans et 352 jours

Dans un parking, la sécurité ne peut pas être totale

Pour cette raison, la Cour de cassation a refusé qu'un piéton blessé après avoir glissé sur une flaque d'huile puisse réclamer une indemnisation à l'exploitant du parc.La Cour a observé que le parking était suffisamment bien aménagé et entretenu pour pouvoir considérer que l'obligation de sécurité "de moyens", due à la clientèle, avait été remplie. Il n'y a pas de faute de l'exploitant dans sa relation avec ce client, ont estimé les juges.En cas de dommage corporel, l'indemnisation doit être acquise pour le client comme pour les autres, sans qu'il soit nécessaire de prouver une faute de l'exploitant, disait le blessé, mais son argument a été rejeté et la justice l'a débouté.Le parking était propre, nettoyé quotidiennement par plusieurs salariés d'une société spécialisée, revêtu d'une peinture antidérapante, de couleur claire pour les zones de circulation et foncée pour les zones de piétons, et le règlement imposait de respecter ces zones, ont observé les juges. En conséquence, l'endroit ne présentait pas de risque particulier, l'obligation de sécurité de moyens était respectée et cette personne n'a pas été victime d'un risque anormal qui aurait engagé la responsabilité de l'exploitant du parking.(Cass. Civ 1, 5.2.2020, A 18-25.625).
Il y a 4 ans et 352 jours

Tout savoir sur le ciment bas carbone

Le ciment est un produit pulvérulent obtenu à partir de la cuisson du calcaire et de l’argile. Mélangée avec de l’eau, cette poudre permet d’agglomérer des sables et des granulats pour donner du mortier. En fonction de l&rsquo;utilisation du ciment, l’incorporation de nombreux autres éléments permet de constituer des véritables roches artificielles, dont le béton. La fabrication du ciment Les étapes suivantes sont nécessaires pour la fabrication du ciment. La première consiste à extraire les matières premières et les homogénéiser. Ensuite, il va falloir les sécher et les broyer. La cuisson constitue l’avant-dernière étape et le refroidissement marque la fin du processus. La cuisson du clinker et la décarbonatation du calcaire sont les deux importantes tâches de la production. Des combustibles fossiles ou de substitution sont utilisés pour la cuisson à 1450°C du clinker. Environ 40% des émissions de gaz à effet de serre sont imputées à cette étape, et les 60%  restants, à la décarbonatation du calcaire. Il est à rappeler que le béton est caractérisé par sa résistance mécanique, surtout à la pression, ainsi que sa très grande adaptabilité. Il est généralement composé d’eau, de ciment, de gravier et/ou d’adjuvants. Malgré sa faible masse, seulement 11,74 % par rapport à celle du béton, le ciment contient plus de 98% du carbone émis. Ciment et réchauffement climatique Actuellement, le monde fait face au réchauffement climatique, qui est dû principalement aux émissions de gaz à effet de serre. Il est prouvé que l’utilisation excessive du ciment dans la construction a un impact non négligeable dans la production de ces gaz. En effet, le monde produit chaque année 4 gigatonnes de ciment. Des études ont révélé que 10% des émissions de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale proviennent du secteur de la construction, dont 52%  sont produites par le ciment. Le ciment bas carbone c’est quoi ?  La diminution des émissions de gaz à effet de serre dans la fabrication du ciment permet d’obtenir du ciment « bas carbone ». Le lien suivant permet d’obtenir de plus amples informations sur le béton bas carbone de Ciments Hoffmann Green. L’obtention du ciment bas carbone est basée sur la cuisson du clinker et la décarbonatation du calcaire. Pour la cuisson du clinker, la valorisation énergétique des déchets non recyclables et leur utilisation en tant que combustible de substitution permettent une réduction notable des émissions de gaz à effet de serre. Le meilleur moyen de les réduire est de diminuer la quantité du calcaire à décarbonater, par  utilisation des matériaux de substitution de cet élément. Ce sont notamment les cendres volantes émanant des centrales thermiques et des laitiers de haut fourneau.
Il y a 4 ans et 352 jours

Les avantages d’acheter ses engins de chantier d’occasion

Les entreprises préfèrent souvent les équipements neufs surtout s’il est question de chantier important. Plus qu’un budget conséquent, les nouveaux engins sont aussi des investissements à ne pas négliger, d’autant plus qu’ils sont très onéreux. La nouveauté est aussi une assurance d’une bonne qualité. Pour autant les occasions ne sont pas à exclure  pour des achats à de bons prix. Les occasions peuvent être aussi rentables que les neuves à condition de bien les sélectionner. Une économie non négligeable Parce que l’achat d’engins de chantier c’est de grosses sommes en jeu, il est mieux de faire un bon choix. Et pour effectuer des économies, les engins d’occasion représentent une alternative à ne pas mettre de côté, que ce soit pour l’achat de petits équipements ou l’achat de camion de chantier d’occasion. Ils ont un coût relativement bas jusqu’à représenter la moitié d’un engin équivalent mais vendu neuf dans un magasin. Même avec une utilisation de plusieurs dizaines d&rsquo;heures au compteur, une machine reste utilisable pour différents projets. A prohiber aussi l’idée que les engins d’occasion signifient qualité réduite. Cela dépend de plusieurs facteurs non négligeables. De la qualité Comme il a été spécifié, les machines d’occasion ne sont pas forcément de mauvaise qualité. Toutefois, avant d’effectuer n’importe quel achat, il est conseillé de vérifier l’état de l’engin. Lors de cette vérification demandez des informations supplémentaires au vendeur : la machine est-elle déjà tombée en panne ? Des pièces ont-elles été remplacées ? Combien d’heure sur le compteur ?, etc. L’idéal est toujours d’être accompagné par un expert pour une bonne assurance. Notez que les machines de BTP ont la réputation d’être solides. Avec une fabrication répondant à toutes les normes, ces machines sont conçues pour résister à toute épreuve. Demandez les papiers des engins pour vérifier s’ils sont en règle. Profiter des engins de dernière génération Étant donné les prix affichés pour les nouveaux produits, les entreprises se ruent pour les occasions. Contrairement aux idées reçues, on retrouve des modèles de dernière génération dans les ventes d’occasion. Certains propriétaires voudraient s’en décharger après avoir fini leur chantier. Ils mettent ainsi en vente les engins qui ne sont plus susceptibles d’être utiles pour eux. C’est une bonne occasion de faire de nouvelles acquisitions dernier cri. Il est connu que le matériel récent présente l’avantage d’être équipé de nouvelles technologies, ce qui permet aussi de réduire les risques d’accident.
Il y a 4 ans et 352 jours

La numérisation des ateliers des Industriels Menuiserie, Store, Fermeture

Roland, qu'entend-t-on par « numérisation des ateliers » ?La numérisation des ateliers consiste à supprimer toutes les feuilles papiers que l'on peut retrouver dans un atelier, à l'instar des ordres de fabrication ou des fiches de montage. L'objectif de la numérisation est de remplacer toutes ces feuilles par des écrans, des tablettes ou tous autres supports numériques adaptés aux contraintes du poste atelier.Quels sont les enjeux liés à la numérisation des ateliers ?Les menuiseries sur-mesure étant des produits complexes à fabriquer, le premier enjeu est d'obtenir l'information la plus sûre et la plus claire possible pour l'opérateur.Le second objectif est double :Proposer des indicateurs opérationnels pour le poste, pour l'îlot ou la chaine de fabricationMettre à disposition des actions de déclaration « simple » pour la gestion des aléas, le contrôle qualité et les échanges d'information entre les postes‘' L'enjeu pour CAIB : obtenir un flux de production sans aucun support papier pour l'ordonnancement des séries et le montage des menuiseries en atelier ‘' David REVERSEAU (Responsable SI) et Christophe AUGEREAU (Responsable ERP) – CAIBOù en sont les Industriels de la Menuiserie dans la transformation numérique de leurs ateliers ?La numérisation des ateliers est un processus qui a démarré il y a quelques années chez les Industriels visionnaires. Aujourd'hui, quelle que soit la taille de l'atelier, tout le monde va dans ce sens. Certaines régions proposent même des aides aux Industriels pour cette démarche.Nous nous dirigeons de plus en plus vers l'usine 4.0 ! Le principe est de connecter et de lier chaque machine de l'atelier pour avoir des informations disponibles en temps réel et être en mesure de gérer et d'anticiper les aléas rapidement.Quels seraient vos conseils pour les Industriels souhaitant se lancer dans la numérisation de leurs ateliers ?Le principe de la numérisation est d'aller progressivement vers un atelier « 0 papier ». Il faut toujours garder en tête que l'objectif numéro 1 est de fabriquer des menuiseries. La numérisation doit simplifier l'accès et l'affichage des informations et permettre ainsi d'améliorer la productivité et la qualité de fabrication. Un autre facteur très important est l'implication des opérateurs très en amont de la démarche de numérisation. Ils doivent être présents dans les phases d'analyse, de validation et de formation.‘' Notre numérisation est passée par plusieurs facteurs clés :Une approche « AGILE » avec un déploiement poste par poste pour les lignes de production existantesUn investissement matériel important pour équiper l'atelier d'écran de déclarationDes ressources SI nécessaires pour l'adaptation des gammes de production et le paramétrage des différents écransDes développements SI en autonomie avec l'expertise ponctuelle d'ISIA sur certaines problématiques techniques ‘'David REVERSEAU (Responsable SI) et Christophe AUGEREAU (Responsable ERP) – CAIBEn quoi l'ERP et configurateur technique Diapason contribue-t-il à la numérisation des ateliers ?Diapason permet aux Industriels de répondre aux exigences clients, tout en maîtrisant leur production, leurs délais de fabrication et de livraison, leurs marges etc...L'un des points forts de la solution est de gérer les informations relatives aux clients ou à la production et de les diffuser dans toute l'entreprise en direct. Chaque opérateur est ainsi guidé par écran dans l'atelier. Ce dernier flashe le code barre placé sur chaque menuiserie pour que toutes les informations apparaissent à l'écran. Les points complexes ressortent en rouge. Chaque étape du process peut être déclarée afin d'obtenir une vision claire de l'avancement des lots dans l'atelier et de déclencher des actions immédiates pour traiter les aléas. Diapason fournit également des indicateurs de performance permettant à chacun de savoir où il en est par rapport à la cadence à respecter et à obtenir un retour en direct sur la productivité. Avec la numérisation des ateliers, les opérateurs bénéficient d'informations plus fiables. Ils sont alertés et guidés pas à pas par des modes opératoires numérisés ce qui leur fait gagner un temps précieux. Ils sont responsabilisés dans toutes leurs tâches, leur poste s'en retrouve donc valorisé. La numérisation des ateliers est au cœur de notre mission depuis plus de 20 ans. Nos équipes ont une expérience significative, couplée à leur expertise des métiers de la Menuiserie, du Store et de la Fermeture. Ces connaissances nous permettent d'accompagner nos clients dans la réussite du déploiement de leurs projets.Quels sont les retours d'expérience de la part de vos clients Industriels ?Leurs retours d'expérience montrent que la numérisation apporte de la fluidité dans l'atelier (optimisation des actions à réaliser, des déplacements, des recherches…) et augmente la satisfaction client. Les bénéfices de la numérisation des ateliers vus par CAIB :Gains de productivitéDiminution des déperditions de temps liées à la gestion du papierRigueur dans les process et flux de production (file d'attente)Informations et contrôles précis à chaque poste de productionFacilité d'utilisation des écransTraçabilité renforcée des menuiseries dans le process de productionGains financiers et environnementauxFin des impressionsDavantage de temps pour des tâches à valeurs ajoutéeGains en Management La supervision du pilotage en temps réelApproche « lean manufacturing » : maximiser la valeur client en minimisant le gaspillageTémoignage : Marc CAREY – DSI, EURADIF :« Avec Diapason, nous avons mis à disposition des opérateurs des écrans tactiles à chaque étape de fabrication »« Nous sommes un acteur majeur dans le domaine de la porte d'entrée. Notre effectif est de 160 personnes repartis sur 2 sites. Notre histoire avec ISIA a commencé en 2012. Il y a 105 utilisateurs Diapason aujourd'hui. Nous utilisons tous les modules : production, configuration, achats, stocks, CRM, ventes, QSE, coûts revient.Les équipes ISIA nous ont aidé à répondre à deux objectifs :Supprimer les ordres de fabrication papiers et mettre à disposition des écrans tactiles à chaque étape de gamme physique pour permettre une déclaration d'étape rapide et fluideTravailler par rapport aux dates de début et de fin d'étape, et proposer des listes de vitrage classées par date de prioritéNos ordres de fabrication vitrage sont désormais traités par priorité et les résultats d'ordonnancement se sont vite faits sentir. En parallèle, nous avons mis en place un outil de restitution Web pour accompagner le Service ordonnancement et le Responsable atelier afin de détecter très en amont les retards d'étape.Plusieurs éléments ont permis la réussite du projet :La structuration de l'analyse des besoins par rapport à un objectif défini au départLa mise en place d'une équipe dédiée au projetL'implication des opérateurs dès le début du projetLe travail en mode projet avec beaucoup de points de coordination »
Il y a 4 ans et 352 jours

La baisse des effectifs de contrôle de l'inspection du travail pointée par la Cour des Comptes

Dans un rapport dont l'instruction a été bouclée avant la crise du coronavirus, la Cour des comptes fait le point sur les réformes de l'inspection du travail conduites depuis une quinzaine d'années, notamment le plan "ministère fort" à compter de 2015.Si la réorganisation en faveur d'un fonctionnement plus collectif et d'une spécialisation plus grande des équipes est "en bonne voie", l'accompagnement de la réforme au plan des ressources humaines "apparaît comme son point faible", souligne la Cour.Certains secteurs, comme l'agriculture est les transports, ont vu les taux de contrôle baisser fortement. "Une attention particulière doit aussi être accordée au contrôle du risque lié à l'amiante, une moitié des agents de contrôle n'effectuant aucune mission dans ce domaine complexe", estime le rapport.Globalement, "le nombre annuel de contrôles, certes en progrès, peine à retrouver son niveau d'il y a dix ans", pointe la Cour.En cause, une baisse des effectifs "de 9% au global entre 2014 et 2018 (...), peu corrélée à une véritable définition des besoins, la norme d'un agent de contrôle pour 10.000 salariés connaissant de réelles limites dans son application".Les effectifs affectés au contrôle ont "diminué de plus de 6% depuis 2014", avec 1.898 équivalents temps plein en 2018 (pour un total de 3.675 ETP)."Il importe plus que jamais de dégager des moyens humains pour le contrôle des entreprises" souligne la Cour, qui avait déjà alerté sur le manque de moyens de contrôle en février 2016.La Cour préconise de "bâtir une véritable gestion des ressources humaines et de construire des parcours de carrière afin de remobiliser les acteurs face à la perte d'attractivité du métier".Les syndicats CGT, SUD, FSU et CNT de l'inspection du travail ont dénoncé le mois dernier des "entraves" mises à leurs missions de la part du ministère du Travail. Selon eux, la direction du travail interdit les contrôles inopinés dans les entreprises et les subordonne à l'autorisation de la hiérarchie, officiellement pour protéger les agents du coronavirus.De son côté, le ministère a demandé le 22 avril à ses inspecteurs "d'accroître les contrôles sur site" pour vérifier la bonne application des règles de sécurité sanitaire contre le coronavirus, faisant état de 42 mises en demeure et de plusieurs procédure de référés devant les tribunaux.
Il y a 4 ans et 352 jours

Les cellules solaires semi-transparentes une aubaine pour le bâtiment

Des scientifiques australiens affirment que des cellules solaires semi-transparentes pouvant être incorporées dans des fenêtres en verre pourraient transformer l&#8217;architecture, l&#8217;urbanisme et la production d&#8217;électricité. Les chercheurs dirigés par le professeur Jacek Jasieniak du Centre d&#8217;excellence ARC en sciences de l&#8217;Exciton et de l&#8216;Université Monash ont fait une percée avec la prochaine génération de cellules [&#8230;]
Il y a 4 ans et 354 jours

Trophée béton Écoles : 4 prix pour les étudiant(e)s

Le Trophée béton Écoles, doté de quatre prix, a pour but de révéler les futurs professionnels, de les parrainer et de leur offrir une visibilité à l’orée de leur vie professionnelle.&#160; Jusqu’au 30 octobre 2020. Trois prix pour le Trophée béton PFE Les futurs architectes peuvent inscrire leur Projet de Fin d’Études utilisant le béton [&#8230;] L’article Trophée béton Écoles : 4 prix pour les étudiant(e)s est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 355 jours

Le Sénat vote la création d'un "dispositif spécifique" de chômage partiel

L'amendement voté lors de l'examen en première lecture d'un projet de loi portant des "dispositions urgentes face à l'épidémie de Covid-19", prévoit la possibilité d'un "régime d'activité partielle spécifique sous réserve de la conclusion d'un accord collectif ou de l'élaboration d'un plan d'activité réduite pour le maintien en emploi"."À défaut d'accord (...), un document élaboré par l'employeur après consultation du comité social et économique, lorsqu'il existe, fixe le contenu du plan d'activité réduite pour le maintien en emploi", précise l'amendement.Mardi, le gouvernement avait présenté un amendement qui entendait l'habiliter par ordonnance à créer un "dispositif alternatif" au chômage partiel avec contrepartie sur l'emploi. Mais il n'avait pas été adopté, les sénateurs jugeant sa rédaction "trop vague".En défendant le nouvel amendement, la ministre du Travail Muriel Pénicaud a indiqué que le gouvernement avait "entendu" les craintes des sénateurs sur le renvoi à une ordonnance et avait donc décidé de présenter "un article en dur, précisant clairement le dispositif".Rappelant que 12 millions de salariés avaient bénéficié du chômage partiel, elle a souligné que "l'Etat ne peut pas durablement payer les salaires de millions de personnes du secteur privé".Des secteurs comme l'automobile ou l'aéronautique "vont être très impactés" et "il nous paraît nécessaire de mettre très rapidement de nouveaux dispositifs de préservation de l'emploi et des compétences qui vont permettre à ces entreprises d'ajuster la capacité de production à la baisse en fonction de la demande, de limiter les coûts économiques et sociaux tout en préservant l'emploi", a-t-elle poursuivi."Très concrètement, les entreprises pourront diminuer par accord avec les organisations syndicales le temps de travail, faire de la modération salariale, à condition de maintenir totalement l'emploi, avec une aide de l'Etat qui viendra en complément pour rattraper une partie de la perte du pouvoir d'achat", a-t-elle expliqué, jugeant le dispositif "gagnant pour tout le monde"."L'alternative, c'est de licencier une partie du personnel", a-t-elle insisté. Il vaut mieux "une réduction du temps de travail compensée en partie par un système d'activité partielle financé en partie par l'Etat".Elle a ajouté que via un décret le gouvernement souhaite "encourager" les entreprises à conclure des accords. Pour les entreprises qui auront "un accord majoritaire, le taux de prise en charge de l'Etat sera plus important", a-t-elle indiqué.Un autre amendement gouvernemental adopté vise à prolonger les droits à allocation de certains demandeurs d'emploi, notamment "jusqu'au 31 août 2021" pour les intermittents du spectacle.
Il y a 4 ans et 355 jours

Après le confinement, ces citadins qui veulent changer de vie

Avant le Covid-19, Olivier et sa compagne pensaient déjà à quitter le centre de Paris "pour s'agrandir". Après deux mois de confinement, ils ne cherchent plus un appartement: ce sera "une maison avec jardin"."On cherche vraiment avec un espace extérieur, quitte à aller un peu plus loin": la proximité d'un métro "n'est plus une obsession", dit-il.Pierre, 40 ans, avait "depuis cinq ans" le projet de "se rapprocher de la nature" et la crise va "précipiter un peu les choses"."Sans tomber dans la collapsologie pure et dure, il nous arrive quelque chose que je pressentais. Je voudrais y être préparé: avoir au moins un lopin de terre pour pouvoir faire un peu d'agriculture et faire en sorte que nous soyons autonomes avec mon épouse", explique-t-il.Cadre dans l'informatique, il faisait déjà "pas mal de télétravail" et l'activité de sa femme, couturière, ne lui semble "pas incompatible" avec ce nouveau mode de vie.Pour Anaïs*, journaliste de 29 ans et son compagnon, "le confinement a été un vrai déclic". A deux, ils vont "changer de mode de vie" d'ici la fin de l'année pour gérer un gîte en Drôme-Ardèche."A Paris, on n'a pas le temps de vivre. On court à droite à gauche et surtout, on sur-consomme", estime-t-elle. "Ça nous a fait nous rendre compte qu'on avait plus du tout envie de cette vie-là. Qu'on avait envie d'espace, d'air, de nature et de changer vraiment de rythme"."Vivre différemment""La pollution", "le manque de nature" sont aussi évoqués par Jana, qui s'installe avec sa famille près de Lorient (Morbihan). "Le confinement a permis d'en faire un projet familial, d'en discuter avec les enfants, ce dont ils rêvaient et ce qu'on pouvait réellement se permettre", raconte cette intermittente du spectacle.Paris ? "On n'y reviendra pas", assure-t-elle.Ces aspirations sont sensibles dans les recherches immobilières. Pendant le confinement, le site Leboncoin a noté une hausse de 30% des recherches en zones rurales et de 20% dans les zones urbaines moins denses, par rapport à la même période de 2019.Sur Seloger.com, "plus de recherches ont été effectuées en province qu'avant le confinement", avec "une appétence accentuée pour les maisons", indique le site.Dans son agence des Herbiers, commune de 16.000 habitants en Vendée, Fabrice Abraham a constaté depuis le déconfinement une augmentation des demandes venant de "grandes villes", notamment d'Ile-de-France."Ce sont des personnes qui sont en télétravail et qui peuvent profiter d'une surface de 100, 120 mètres carrés, pour un prix de vente moyen de 200.000 euros", décrit-il. "C'est ce qui a vraiment changé: ça sent l'envie d'avoir plus grand, d'avoir un bout de jardin et de vivre différemment"."Feu de paille ?"Le phénomène n'est pas nouveau: depuis les années 1980, de plus en plus d'actifs quittent les grandes agglomérations, indique Pascal Chevalier, géographe à l'université de Montpellier. "Ce sont en général des cadres qui étaient dans le tertiaire" et partent pour "retrouver une qualité de vie".S'il y a 10-15 ans, ces départs s'effectuaient vers les espaces ruraux plutôt isolés, "aujourd'hui, les gagnants de cette mobilité sont les petites villes, les bourgs", qui "associent qualité de vie et services", souligne M. Chevalier."Il y a un critère presque paradoxal qui est la proximité du rural avec des axes de circulation", confirme Cédric Szabo, directeur de l'Association des maires ruraux de France. "L'autre paramètre devenu incontournable, c'est la qualité du débit internet" - ce qui exclut certains territoires.De façon générale, il est "beaucoup trop tôt" pour savoir si ces envies entraineront un réel "exode", souligne Thomas Lefebvre, de la plateforme immobilière MeilleursAgents. "Est-ce un feu de paille ou une vraie volonté ?" Ces projets sont "conditionnés à beaucoup de choses", ajoute-t-il, notamment "l'emploi" et le "crédit".*prénom modifié
Il y a 4 ans et 355 jours

BIM&CO adopté par VM Building Solutions pour la gestion de ses objets et données BIM

Spécialiste du zinc en France et à l’international et principal fournisseur des membranes d’étanchéité EPDM, le fabricant VM Building Solutions propose ses solutions pour toitures et façades en BIM. Leader mondial de la fabrication du zinc laminé sous la marque VMZINC, VM Building Solutions fournit et commercialise également des solutions de membranes d’étanchéité EPDM pour les toitures. Le fabricant, qui avait d’ores et déjà modélisé une partie de sa gamme de produits pour les maquettes BIM, a choisi la plateforme bimandco.com pour la diffusion et la gestion de ses catalogues. « Étant lancés dans le monde du BIM depuis plus que quatre ans, nous sommes toujours à la recherche de valeur ajoutée pour le groupe, et pour nos clients. Notre objectif principal consistait à la mise à disposition d’objets BIM en téléchargement libre. C’est bien, mais c’est insuffisant pour faire du BIM collaboratif. Le niveau de maturité BIM évolue, les besoins aussi, d’où la nécessité d’aller plus loin dans la réflexion » explique Arwa BOUSSAA, Responsable BIM et support aux projets architecturaux chez VM Building Solutions. Tournées vers cette approche approfondie du BIM, les équipes de VM Building Solutions ont donc travaillé en collaboration avec l’équipe technique de BIM&CO pour offrir une version plus poussée de leurs objets. « Les objets dont disposait VM Building Solutions constituaient une bonne base de travail. Nous avons enrichi ces objets avec les paramètres nécessaires pour chaque produit, puis nous les avons diffusés sur bimandco.com », explique Baptise FERET, Modeleur chez BIM&CO. La technologie OPMS développée par BIM&CO permet en effet d’offrir un service personnalisé de mise à disposition des objets en gérant la donnée et de la géométrie de manière distincte, répondant ainsi précisément aux attentes des utilisateurs et aux besoins liés à un projet.  « Nous avons été séduits par l’OPMS qui permet de gérer plusieurs langues et les mises à jour de données à la volée, mais qui permet aussi de nous conformer aux futures normes, ainsi qu’aux classifications internationales. Toutes les informations techniques sont gérées à partir d’un seul et même endroit : BIM&CO se place comme un réel PIM ouvert pour partager efficacement sa donnée », complète Arwa BOUSSAA. Outre l’offre BIM&CO For Manufacturers, VM Building Solutions a souhaité bénéficier du service « site marque blanche », qui permet au fabricant d’intégrer rapidement ses catalogues d’objets aux couleurs de son site web. « Grâce à cette option, nous pouvons suivre plus précisément les téléchargements de nos leads dans l’outil Analytics de BIM&CO, et savoir s’ils proviennent du site dédié ou du site public », ajoute Arwa BOUSSAA. Au total, ce sont trois systèmes de toiture et six systèmes de revêtement de façades qui ont été intégrés, quatre autres systèmes de solutions d’étanchéité supplémentaires sont par ailleurs en cours de modélisation. « Nous souhaitons nous inscrire pleinement dans les enjeux de la transition numérique, et contribuer en tant qu’industriel à l’amélioration des échanges de données entre les intervenants de nos projets. Informer nos clients de manière efficace dans le domaine du BIM, c’est pour nous un enjeu essentiel pour identifier de nouvelles opportunités de projets, et y répondre avec des produits adaptés et des services à forte valeur ajoutée.  C’est aussi pour VM Building Solutions un moyen déterminant de sécuriser le bon déroulement des travaux et de préserver la satisfaction de nos clients », conclut Charles Derreumaux, Responsable Marketing Groupe VM ZINC. Les premiers objets BIM de la marque VM Building Solutions sont disponibles sous ce lien.   À propos de VM BUILDING SOLUTIONS VM Building Solutions offre des solutions de construction aux professionnels des toitures et des façades. VM Building Solutions est spécialisée dans les matériaux haut de gamme de l&rsquo;enveloppe du bâtiment, tels que le zinc laminé et les membranes EPDM. La société fabrique et commercialise des solutions en zinc laminé pour l&rsquo;enveloppe du bâtiment en Europe et dans le monde, sous la marque internationale VMZINC : &#8211; Systèmes de couverture &#8211; Système de Bardage &#8211; Accessoires pour façade et toiture &#8211; Systèmes d&rsquo;évacuation d&rsquo;eau pluviale &#8211; Ornements&#8230; Elle est également le principal fournisseur européen de membranes d’étanchéité EPDM, et assure la promotion et la commercialisation d’une gamme complète de produits pour la toiture. VM Building Solutions est présent dans 52 pays et 4 continents.   Contact Presse VM BUILDING SOLUTIONS : arwa.boussaa@vmbuildingsolutions.com
Il y a 4 ans et 355 jours

2e édition du Baromètre Covid-19 Ingénierie : une reprise à la peine malgré le déconfinement

Un trou d'air qui se double d'une accentuation des difficultés de trésorerie : la 2e édition du baromètre Covid-19 réalisée par Syntec-Ingénierie auprès de ses membres révèle qu'1 entreprise sur 2 est désormais confrontée à des délais de paiement plus importants.Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie : « Les appels d'offres publics et privés repartent à la hausse un peu partout en France. Néanmoins, l'investissement est très loin d'avoir retrouvé un niveau d'avant-crise. De nombreux points de blocages subsistent, notamment au niveau local où les décisions restent conditionnées à la tenue du 2nd tour des élections municipales. Cela crée un trou d'air et impacte durement les entreprises d'ingénierie qui sont à l'avant-poste de la relance de l'activité économique. » Un ralentissement économique qui se poursuit malgré le déconfinementL'ingénierie accompagne maîtres d'ouvrages et industriels dans la conception et réalisation de leurs projets industriels et de construction (aéronautique, automobile, environnement, construction, infrastructures, industrie, énergie, chimie, numérique, etc.).Alors que le confinement a pris fin le 11 mai et que l'investissement repart légèrement à la hausse, les entreprises d'ingénierie sont toujours plus nombreuses à enregistrer une baisse de leur prise de commandes par rapport à l'année dernière : 86% des répondants contre 70% il y a deux semaines. Logiquement, elles sont également plus nombreuses (95%, vs. 90%) à anticiper une baisse de leur activité au second semestre 2020. Enfin, elles sont 36% (vs. 28% précédemment), à estimer que le redémarrage économique n'aura pas lieu avant au moins un an. La trésorerie des entreprises mise à malCe phénomène de trou d'air pèse sur la trésorerie des ingénieristes. Ceux-ci sont pris dans un double mouvement contradictoire : d'une part la diminution de la part de leurs collaborateurs en activité partielle (de 30% la semaine du 27 avril à 19% celle du 12 mai) ; et d'autre part, l'apparition de nouvelles difficultés financières. Dorénavant, plus d'une entreprise sur 2 est confrontée à un allongement des délais de paiement (en 2 semaines : + 15 jours en moyenne pour 30% d'entre elles).Elles doivent également prendre à leur charge les frais des mesures de sécurité sanitaire qui permettent le retour au bureau de leurs collaborateurs qui sont de moins en moins nombreux à télétravailler (de 54% à 45%). Adaptation des postes, fourniture de kits sanitaires, désinfection des locaux… les entreprises devront en moyenne débourser 800 euros par salarié en 2020 et pour 78% d'entre elles, ces frais seront à leur charge uniquement.Focus télétravail : du working office au meeting office ?Les entreprises d'ingénierie, qui ont fait preuve de responsabilité, ont massivement eu recours au télétravail dès le début de la crise. Si plus d'1 entreprise sur 2 pense que cette nouvelle modalité de travail peut faire gagner en performance, elles sont 60% à estimer que le télétravail en période de confinement a engendré une perte de productivité. A cela s'ajoutent des difficultés liées à l'isolement, au manque de communication entre collaborateurs et au management quotidien.Un constat en demi-teinte qui s'accompagne néanmoins de bénéfices, avec en top 3 : la fin du temps de trajet domicile-travail, un meilleur équilibre vie professionnelle/personnelle et une meilleure concentration.« La crise liée au Covid-19 a changé la donne concernant le télétravail. S'il est clair qu'il sera amené à se généraliser, il conviendra de trouver un nouveau point d'équilibre. Le passage brutal du tout bureau au 100% télétravail ne s'est pas fait sans heurt – absence de préparation, situations personnelles complexes, etc. -. Les semaines à venir seront déterminantes pour inventer les nouvelles modalités du travail de demain et opérer une transition sereine du working office au meeting office. »- Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie.*Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents au cours de la semaine du 11 mai. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l'industrie et la construction et dans tous les secteurs d'activité d'ingénierie.
Il y a 4 ans et 355 jours

Le PIB français a chuté de 5,3% au premier trimestre, un record

L'Insee, qui avait fin avril estimé à -5,8% la baisse du produit intérieur brut au premier trimestre, a revu vendredi l'ampleur du recul de l'économie française, finalement un peu moins dramatique que calculé au départ.A -5,3%, la chute du PIB égale néanmoins celle enregistrée lors du deuxième trimestre de l'année 1968, marqué par les grèves massives de la seconde quinzaine de mai. Et elle confirme l'entrée de la France en récession, après le recul de -0,1% de l'activité au dernier trimestre 2019.Dans le détail, au premier trimestre, selon les nouvelles estimations de l'Insee, toutes les composantes de l'économie ont finalement un peu moins dégringolé qu'évalué lors de sa première estimation.Les dépenses de consommation des ménages ont bien connu une "baisse inédite" de -5,6%, quand l'Institut les avait d'abord évalué en recul de -6,1%. Même chose pour l'investissement des entreprises (-10,5%) ou pour l'évaluation des exportations (-6,1%) et des importations (-5,7%). Le solde du commerce extérieur a finalement un impact nul sur le PIB au premier trimestre.Mais la situation devrait s'aggraver considérablement au deuxième trimestre, avec un mois et demi de confinement et un début de déconfinement progressif depuis le 11 mai.L'Insee a déjà prévenu mercredi qu'elle tablait sur un plongeon de l'économie française d'environ -20% au deuxième trimestre. Et la récession dépassera largement cette année les -8% envisagé par le gouvernement pour l'instant.Ce dernier devrait d'ailleurs dévoiler sa nouvelle prévision lors d'un troisième budget rectificatif, qui sera présenté le 10 juin en conseil des ministres."J'ai toujours indiqué que les 8% de chute de croissance étaient un chiffre provisoire (...) Il faut nous attendre à des chiffres de récession très dégradés pour 2020 en France", a prévenu mercredi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.Premier signe avant-coureur: la consommation des ménages a fondu d'un tiers au mois d'avril par rapport à celle de février, juste avant la crise sanitaire, et de plus de 20% par rapport au mois de mars, a indiqué vendredi l'Insee.Et le moral des ménages s'est encore dégradé en mai après sa chute record d'avril.Reprise "progressive"Seule petite éclaircie: le climat des affaires a enrayé sa chute en mai, encouragé par le début du déconfinement qui a permis à la plupart des entreprises de reprendre leur activité et aux commerces d'accueillir de nouveau des clients en magasin.Jeudi, le Premier ministre Édouard Philippe a aussi annoncé une accélération du déconfinement, avec notamment la réouverture à partir du 2 juin des cafés et restaurants dans les départements "verts", la levée de l'interdiction de se déplacer à plus de 100 km de son domicile, ou encore la réouverture des piscines, salles de sports, gymnases, salles de spectacles et cinémas à partir du 22 juin.Mais l'Insee a déjà prévenu que si l'économie française "s'efforce (...) de reprendre son souffle", elle "refait surface dans un monde qui n'est plus exactement le même qu'avant la crise sanitaire".La reprise sera "au mieux progressive au second semestre", a-t-elle estimé mercredi.
Il y a 4 ans et 355 jours

EDMATILE – Une gamme de coupe-carreaux monorail en différentes dimensions

EDMA, qui a récemment élargi son offre d’outils pour les professionnels du second oeuvre du bâtiment au métier du Carreleur, vient de lancer EDMATILE, une gamme de coupe-carreaux monorail en différentes dimensions. Disponible en 600 mm, 925 mm et 1350 mm, EDMATILE est un coupe-carreaux destiné au carreleur professionnel, permettant de réaliser des coupes droites et en angle jusqu’à 45°, de façon rapide et précise. Fluidité et précision de coupe ont été particulièrement recherchées dès la conception de ces nouveaux coupe-carreaux d’EDMA qui se voient munis d’une roulette de coupe haute performance en carbure de tungstène et d’un chariot de coupe sur 6 roulements à billes. Deux séparateurs différents sont également fournis afin de permettre à l’artisan carreleur de s’adapter, sur ses chantiers, à différentes épaisseurs de carreaux. Sa poignée ergonomique et une base en aluminium font, en outre, d’EDMATILE un coupe-carreaux particulièrement léger et facile à manipuler pour le professionnel qui appréciera également sa facilité de transport à l’aide d’une sacoche en nylon fournie. Le coupe-carreaux EDMATILE est disponible en trois versions : EDMATILE 600 mm (Réf. 251055) pour carreaux max. 650 x 650 mm en coupe droite et 455 x 455 mm en coupe diagonale (épaisseur de coupe max. 20 mm) Poids : 13,20 kg Prix de vente maximum conseillé : 280 euros HT &#8211; sac de transport inclus EDMATILE 925 mm (Réf. 251155) pour carreaux max. 950 x 950 mm en coupe droite et 670 x 670 mm en coupe diagonale (épaisseur de coupe max. 20 mm) Poids : 14,60 kg Prix de vente maximum conseillé : 350 euros HT &#8211; sac de transport inclus EDMATILE 1350 mm (Réf. 251255) pour carreaux max. 1350 x 1350 mm en coupe droite et 950 x 950 mm en coupe diagonale (épaisseur de coupe max. 20 mm) Poids : 17,40 kg Prix de vente maximum conseillé : 420 euros HT &#8211; sac de transport inclus EDMATILE est en vente chez tous les spécialistes du métier du Carreleur. Depuis plus de 80 ans, EDMA fabrique et commercialise des outils destinés aux professionnels du second oeuvre du bâtiment et aux bricoleurs avertis. Des gammes complètes de produits innovants et très qualitatifs sont ainsi proposées aux plaquistes, maçons, couvreurs, façadiers, soliers et paysagistes pour leur apporter de vraies solutions de gain de temps et d’efforts dans leur métier au quotidien. EDMA exporte ses produits dans 66 pays et est présent sur les 5 continents.
Il y a 4 ans et 355 jours

Surcoûts liés au Covid-19 : en Haute-Garonne, collectivités et FBTP partageront la note

Qu’elles soient directes ou indirectes et grâce, notamment, à un comité de conciliation en cas de désaccord, les conséquences financières de la crise sanitaire sur les chantiers seront partagées par les maîtres d’ouvrage publics et la fédération départementale du bâtiment et des travaux publics haut-garonnais.
Il y a 4 ans et 355 jours

Une subvention de la région IDF à un projet photovoltaique porté par Total fait débat

Le projet prévoit "d'installer sur une résidence étudiante de 487 places sur le campus de l'École Polytechnique une installation expérimentale de production photovoltaïque en autoconsommation collective. La centrale photovoltaïque de 200 KWc est associée à un système de stockage de l'énergie", précise l'exposé des motifs de la délibération, présentée en commission permanente du conseil régional, réunie en visioconférence mardi.La subvention était initialement accordée directement à Total, mais l'exécutif régional a finalement produit un amendement afin que la subvention soit accordée à l'École Polytechnique."C'est le fond du projet qui compte", a argumenté le vice-président du conseil régional, Jean-Philippe Dugoin Clément. "Ce projet est vertueux sur le plan écologique car il permet une expérimentation de stockage d'énergie et d'autoconsommation collective de l'énergie solaire. C'est un projet pour l'École Polytechnique, pas pour Total qui est concepteur de l'outil. Je demande qu'on ne fasse pas de faux procès à ce projet", a-t-il dit.Mais pour Céline Malaisé, du Front de gauche, cette subvention s'apparente à "une opération de greenwashing". "Tout semble ici fait pour préserver discrètement les intérêts de Total, d'autant que cette multinationale a signé ces derniers mois un partenariat avec la direction de Polytechnique pour l'installation d'un centre de recherche de ce géant pétrolier en plein cœur du campus de l'École", dénoncé par des associations d'élèves."Non seulement la région envisage de verser plus de 130.000 euros à Total, mais elle cherche à le dissimuler honteusement par un amendement de dernière minute", a dénoncé Ghislaine Senée, présidente du groupe Alternative Écologiste et Sociale, pour qui "l'action publique a vocation à faire œuvre de transformation écologique et sociale, pas à soutenir le greenwashing des sociétés les plus polluantes du CAC 40"."Comment les Franciliens pourraient-ils comprendre que Valérie Pécresse propose de verser 132.000 euros à Total et dans le même temps, 50.000 euros seulement à la banque alimentaire ?", a déploré François Kalfon, au nom du groupe socialiste, écologiste progressiste, soulignant que la Région Occitanie a "débloqué 1,2 million d'euros d'aide d'urgence pour la précarité alimentaire".La Région IDF a accordé dans cette délibération plus de 12.317.000 euros pour des projets environnementaux et énergétiques, allant de projets géothermiques à des projets photovoltaïques sur le toit d'écoles. Elle a adopté en juillet 2018 une stratégie énergie-climat visant à "doubler la production d'énergies renouvelables sur le territoire d'ici 2030".
Il y a 4 ans et 355 jours

L’EPA Paris-Saclay lance une mission d’activation de l’urbanisme transitoire

Lancé dans le cadre de Paris-Saclay Version Bêta, démarche globale d’urbanisme transitoire à l’échelle de l’OIN (Opération d’intérêt national) Paris-Saclay, ce premier marché d’activation désignera un collectif pour la mise en œuvre d’animations et d’installations transitoires sur le Campus urbain. Jusqu’au 30 septembre 2020. Depuis plusieurs années, l’EPA Paris-Saclay encourage le déploiement de lieux de [&#8230;] L’article L’EPA Paris-Saclay lance une mission d’activation de l’urbanisme transitoire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 355 jours

FAAB Architektura tente sa chance avec son Vertical Oasis Building

L’agence FAAB Architektura (Adam Białobrzeski, Adam Figurski, Maria Messina), fondée à Varsovie (Pologne) en 2003, propose pour l’Arabie Saoudite une tour de 53 étages et 220 m de haut, intitulée Vertical Oasis Building, censée prendre soin d’elle-même et de son environnement. Intelligence artificielle&#160;? Communiqué. Capter l&#8217;électricité du soleil, réduire la demande énergétique du bâtiment, créer [&#8230;] L’article FAAB Architektura tente sa chance avec son Vertical Oasis Building est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 355 jours

Nouveau – Poly Max High Tack Express Griffon – La première colle pour profilés métalliques à recevoir la certification TÜV SÜD

&nbsp; Griffon, le spécialiste des systèmes d’assemblage, de collage, d’étanchéité et de protection dédiés aux professionnels, vient de recevoir une certification TÜV SÜD* pour sa colle Poly Max® High Tack Express ; un gage en matière de qualité et de sécurité. Cela signifie que le produit répond à des exigences strictes, notamment en termes de résistance du collage, dans le cadre d’une installation sans vis de profilés métalliques UW. Avec la colle Poly Max® High Tack Express Griffon, le montage des cloisons sèches ne requiert désormais aucun perçage. L’opération est simplifiée, précise, rapide et parfaitement sûre (pas de risque de percer des conduites, des câbles ou d’endommager du carrelage, un plancher chauffant…). L’assurance d’un gain de temps appréciable sur les chantiers. &nbsp; Un collage rapide et puissant   Certifiée pour le collage des rails métalliques pour cloisons sèches, la colle ultra-puissante Poly Max® High Tack Express Griffon offre de multiples avantages : une prise initiale (« Tack ») très rapide permettant un maintien immédiat des éléments à fixer, un séchage express en 4 heures, et une facilité d’extrusion pour une application plus aisée. Sans solvant et sans isocyanate (classée A+), la colle Poly Max® High Tack Express Griffon permet également de coller des matériaux lourds sur la plupart des supports tels que le bois, le plâtre, la pierre naturelle, le béton cellulaire, le métal, le verre, l’aluminium, le zinc, l’acier, la mousse rigide et diverses matières synthétiques, en intérieur comme en extérieur. Une manipulation plus sûre et sans nuisances   La colle Poly Max® High Tack Express Griffon apporte une grande sécurité en évitant d’avoir à percer dans un matériau qui risque d’être abîmé, comme des conduites, des câbles, du carrelage, un plancher chauffant… De plus, le bruit et la poussière dus à la perceuse et à l’aspirateur, désormais inutiles, ne gênent plus les artisans sur le chantier. Avec cette colle unique sur le marché, le montage des profilés s’effectue intégralement sans outils électriques. Autre avantage : tous les travaux peuvent être exécutés par une personne seule, même l’installation de profilés de plafond, qui n’ont plus besoin d’être chevillés et vissés. &nbsp; Un travail précis, rapide et résistant Avec la colle Poly Max® High Tack Express Griffon, fini le risque d’écarts mineurs se produisant lors du perçage, qui peuvent légèrement déformer les profilés et rendre impossible la pose à plat des panneaux à certains endroits. La précision est maximale ! De plus, comme la colle remplace la bande d’isolation phonique, la pose fastidieuse de cette bande sur la face inférieure des profilés n’est plus nécessaire. Cela signifie également qu’aucun pont acoustique ne peut être créé par les vis. Enfin, la résistance de l’ouvrage est renforcée car la colle Poly Max® High Tack Express Griffon fait adhérer toute la surface des profilés au support. Il n’y a donc plus de pointes de charge désavantageuses pouvant survenir au niveau des points de vissage, comme par exemple aux jonctions murales. &nbsp; Poly Max® High Tack Express Cartouche de 435 g Prix tarif : 13,03 euros HT Existe également en Éco poche de 600 ml &#8211; Prix tarif : 23,02 euros HT Points de vente : distribution professionnelle uniquement * Le produit répond aux exigences du programme d’essai TÜV SÜD mode opératoire assurance qualité (QS-Arbeitsanweisung) N° MUC-KSP-A 1044.