Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Technique et produits

(78553 résultats)
Il y a 6 ans et 76 jours

TBC Innovations publie son étude sur le marché des fenêtres à fin 2018

TBC Innovations a publié une nouvelle étude de marché sur les fenêtres en France. Grâce à une étude quantitative menée en janvier 2019 auprès de 400 acteurs, TBC a mesuré et analysé les ventes de fenêtres sur l'année 2018. Une année 2018 en croissance pour le marché des fenêtres en France L'année 2018 est à nouveau … Cet article TBC Innovations publie son étude sur le marché des fenêtres à fin 2018 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 6 ans et 76 jours

Dunkerque : la future patinoire surfe sur des innovations glaciales

Se refroidir mais aussi se réchauffer grâce au CO2 : une affaire qui glisse à Dunkerque. Le Moniteur a visité fin février 2019 le chantier du bâtiment qui, pour être le plus vertueux possible en matière environnementale, intègre plusieurs innovations, dont l'utilisation de CO2 en guise de fluide frigorigènes. C'est une des premières patinoires en France à utiliser cette innovation qui facilite notamment la récupération des calories issue du process de fabrication du froid.
Il y a 6 ans et 76 jours

Le Mooc rénovation performante revient pour une quatrième édition

FORMATION. Fort de ses 15.000 participants lors de ses trois premières éditions en 2017 et 2018, le Mooc rénovation performante, réalisé par l'Asder et l'Arcanne, a ouvert les inscriptions pour une quatrième session, qui débutera le 12 mars 2019.
Il y a 6 ans et 76 jours

Play 2030 - Technicien 4.0

Un technicien de maintenance éolienne arrive sur site. Il chausse ses lunettes digitales? Réalité augmentée, commande vocale, intelligence artificielle, détection à distance? les nouvelles technologies ont radicalement bouleversé la manière de dépanner une éolienne. Récit en live.
Il y a 6 ans et 76 jours

A Drancy, rénovation thermique raisonnée pour 400 logements occupés

CHANTIER. La rénovation énergétique de la caserne de gendarmerie de Drancy (Seine-Saint-Denis) est une intervention complexe à plusieurs titres. Le vaste ensemble de bâtiments des années 1970 est occupé, il jouxte la Cité de la Muette classée et le budget impose un phasage précis des travaux. Autant de contraintes que nous expose Hélène Fricout-Cassignol, l'architecte en charge du projet.
Il y a 6 ans et 76 jours

Évènement : Haute Agora

La Haute Agora, c'est l'incarnation d'une prospection qui a duré un an. Une recherche prospective qui porte sur les potentialités d'une structure de grande dimension, sur ce qu'elle génère comme questionnements en termes d'économie, de performance technique et d'usages. L'étude ambitieuse, exposée au Pavillon de l'Arsenal, est menée par l'architecte Jean-Christophe Quinton et les ingénieurs Bollinger+Grohmann, et se concrétise dans un immeuble de grande hauteur culminant à 700 mètres de haut. Essentiel à la démocratisation de l'architecture, le Pavillon de l'Arsenal aspire à faire connaître la recherche par le projet, grâce aux expositions temporaires qu'il accueille. L'événement Haute Agora ne fait pas exception et tend, jusqu'au 31 mars prochain, à expliciter des enjeux complexes qui interrogent les formes générées par la création architecturale, dans un contexte d'économie de matériaux et de diversité d'usages. Un programme à priori peu accessible que les concepteurs ont su rendre aussi intéressant que ludique grâce à l'emploi de la réalité virtuelle, d'"uvres immersives ou de changements d'échelles impressionnants. L'ensemble se divise en trois temps : une phase reservée aux hypothèses de recherches et à la conception du projet, un deuxième moment qui reconstitue le cadavre exquis réalisé par les architectes, et pour finir une zone dédiée à l'immersion du visiteur dans l'espace du projet. Ainsi, le premier espace de l'exposition est consacré aux intentions de l'étude et aux termes qui émergent à l'aube de cette recherche. Il ouvre la réflexion sur la façon dont apparaissent les formes en architecture.Le projet formule des possibilités innovantes autour d'une problématique liée à la forme et à la structure : dans quelle mesure une architecture organique, paramétrée, est-elle adaptable à l'échelle d'un projet humain ? Comment révolutionne-t-elle son implantation?La manifestation rassemble ici les études, calculs et dessins techniques qui ont construit le projet, où les carnets de croquis soignés de Jean-Christophe Quinton se mêlent aux maquettes des différents modules l'ayant inspiré pour illustrer le débat. L'objet de la recherche prend alors la forme d'un cadavre exquis, visible dans le deuxième temps de Haute Agora. La tour, composée et ordonnancée par une centaine d'architectes, est exposée à même le sol sur une fresque en noir et blanc de 20 mètres que l'on parcoure à l'aide de chaussons. L'élévation renouvelle le rapport du visiteur à l'espace représenté : en parcourant le projet, il est confronté à un rapport singulier avec l'objet montré, se penchant pour observer des détails qui se diversifient à mesure qu'il avance.Celui-ci peut apprécier, au fil des 170 étages, un programme aussi mixte et complet que le nombre des architectes l'ayant constitué est grand. Quelques 96 concepteurs investissent les volumes, et travaillent à renégocier la façon dont s'articulent les usages dans les espaces. Ils formulent des nouvelles civilités, des relations décomposées et fictionnelles qui ponctuent, les différentes mécaniques d'habitation du bâtiment . Entre des parcs intérieurs, et jardins suspendus, l'ensemble respire autour d'espaces laissés vides, ce qui amoindrit la densité des propositions.Un édifice purement théorique, rassemblant des projets uniques qui, s'ils semblent déconnectés les uns des autres, jouent en la faveur d'une lecture harmonieuse du bâtiment. La composition de la tour est rythmée par d'immenses promenades, un peu à la manière d'un level-design où tous les niveaux concourent séparément à un but commun : une pratique décomplexée d'un type de construction depuis trop longtemps méprisé de la politique de la ville " et de ses habitants. La silhouette de la tour est constituée des modules indépendants, exposés grâce à des maquettes posées, suspendues ou dupliquées par des miroirs, et qui révèlent une composition à la géométrie variable, adaptable à l'infini. Le programme innovant de cet immeuble vise ainsi à dompter l'immense bâtiment par la morphogénèse, utilisant des modules fragmentés et imbriquées pour ne plus former qu'une multitude d'élément composites déployés à la verticale. Les ingénieurs exploitent des ressources matérielles limitées grâce à ce modèle, dupliqué autour d'un espace tubulaire pour former un amas de cellules habitables. Il ne leur a d'ailleurs fallu que 30 centimètres d'épaisseur pour constituer les voiles de béton qui soutiennent les premiers niveaux de la tour depuis le sol.L'épaisseur de ces voiles préfabriquées en béton varie selon les étages. Certains documents démontrent la diversité des facteurs étudiés pour la conception technique de ces éléments, tels que l' " écoulement du vent " autour de la tour ou la répartition de la lumières. Le tout est organisé dans des visuels graphiques attrayants, capables de communiquer les aspects du projet aux regards amateurs autant qu'experts, avec beaucoup de clarté et de simplicité. La présentation se conclue sur un dernier espace dédié à l'immersion du visiteur, par le biais de simulation informatique. Elle dispose trois plans isolés, affichés à même le sol, de façon similaire à l'élévation, dans lesquels le spectateur se plonge grâce aux casques de réalité virtuelle. Quant à la mise en forme de l'exposition, si le projet de recherche convoque des éléments divers dans une exposition visuellement aérée, la répartition de l'exposition en trois temps -mériterait d'être plus efficacement identifiable. Afin d'offrir une meilleure lecture des étapes qui ont encadré la recherche, elle gagnerait à être explicitée. La déambulation n'y est pas toujours évidente ni encadrée, ce qui pourrait rapidement égarer le visiteur autour d'un parcours qui ne répond pas à ces trois étapes. Par les moyens physiques employés, l'exhibition témoigne cependant énergiquement des paris relevés par une recherche très inspirante : elle aboutit à une proposition qui ose redéfinir les standards pour articuler autrement les activités humaines dans l'aménagement des immeubles de grande hauteur. Pour en savoir plus, visitez le site de Pavillon de l'Arsenal Photographies : DR
Il y a 6 ans et 76 jours

Six fontaines lumineuses de 13 mètres sur les Champs-Elysées

Six fontaines en cristal et bronze de 13 mètres de haut, oeuvres des designers Erwan et Ronan Bouroullec, vont être installées sur le rond-point des Champs-Elysées.
Il y a 6 ans et 76 jours

Concertation pour la transformation de la Gare du Nord à Paris

La société chargée de tripler d'ici 2024 la surface de la Gare du Nord à Paris, coentreprise entre la SNCF et Ceetrus (groupe Auchan), a lancé une concertation visant à peaufiner le projet.
Il y a 6 ans et 76 jours

Formation des artisans : incertitudes sur le financement

La FFB s'alarme des informations communiquées par le Fonds d'assurance f...
Il y a 6 ans et 76 jours

Gramitherm veut imposer l'herbe de prairie comme isolant

Les isolants biosourcés connaissent un regain d'intérêt de la part des industriels. La marque suisse Gramitherm illustre cette tendance, avec ses panneaux isolants à base d'herbe de prairie.
Il y a 6 ans et 79 jours

La FFB dénonce les graves incertitudes qui planent sur le financement de la formation des artisans

La FFB s'alarme des informations communiquées par le Fonds d'assurance formation des chefs d'entreprise artisanale (FAFCEA), selon lesquelles plus aucune demande de financement ne sera honorée à compter du 15 mars 2019.
Il y a 6 ans et 79 jours

L'isolation par laine de chanvre primée aux trophées de la bioéconomie

INNOVATION. Grâce à sa marque Biofib'isolation, qui utilise la laine de chanvre comme alternative écologique aux isolants thermiques et acoustiques, la société Cavac Biomatériaux a été l'un des deux co-lauréats des premiers Trophées de la bioéconomie.
Il y a 6 ans et 79 jours

Retour sur : Desert X

En ces jours pluvieux, quoi de mieux que de s'immerger dans la chaleur du désert de Coachella (USA) ? L'occasion pour la rédaction de Muuuz de revenir sur la deuxième édition de la manifestation Desert X qui agrémente le paysage aride de la région de Palm Springs d'ouvrages architecturaux et d'installations artistiques. Une toile vierge sous le soleil qui a su, une année de plus, inspirer les plus grands noms de la production contemporaine. Organisé par le critique d'art Neville Wakefield, la commissaire d'exposition Amanda Hunt et le conservateur Matthew Schum et présidé par Susan L Davis, l'événement avait déjà attiré près de 200 000 curieux en 2017, lors de sa première édition. A travers différents terrains d'expression " l'installation, la sculpture, les pavillons ou encore les panneaux d'affichage ", les artistes questionnent une problématique générale, politique ou environnementale. Cette année, les 15 intervenants sélectionnés ont été amenés à réfléchir sur notre rapport avec l'eau ; une thématique ancrée dans l'actualité mise en exergue dans un environnement désertique. " Notre mission initiale a été créée dans le but d'inspirer des artistes contemporains et de placer un objectif international dans la vallée, de mettre en lumière les problèmes auxquels nous sommes tous confrontés, tout en entamant des conversations avec tous nos visiteurs. " Susan L Davis, présidente Un questionnement qui pousse l'artiste colombien basé à Paris, Iván Argote, à mettre en lumière le désastre écologique qui concerne le lac de Salton Sea, le plus grand de Californie dont la surface diminue au fil du temps. Son installation, A Point of View, est un escalier en béton " mélange d'architecture brutaliste et d'influences précolombiennes ", dans lequel chacune des marches comporte une inscription, que le visiteur découvre une fois son ascension achevée.Sterling Ruby, quant à lui, travaille sur le mirage, une réalité " souvent confondue avec une hallucination " liée à une propagation anormale de la lumière dans un environnement où la température, la pression et l'humidité ne sont pas cohérentes. Ce phénomène mystique, qui apparaît souvent dans les déserts justement par rapport au manque d'eau, est ici traduit par Specter, un monolithe rouge épuré, faisant référence aux doubles soleils fréquents dans ce genre de situation.Le collectif Superflex traite la thématique sous un angle mêlant cinéma et architecture. Son "uvre Dive-in " contraction de diving, " plonger " en anglais et de drive-in, cinéma en plein air ", est un film explorant le réchauffement climatique projeté sur une structure en résine de corail rose. Les poissons flottant interagissent avec l'installation de Superflex et disparaissent lentement dans sa pierre poreuse. Biennale hors norme, Desert X fait rimer architecture, esthétique et conscience politique et écologique avec brio. Pour en savoir plus, visitez le site de Desert X Photographies : DR
Il y a 6 ans et 79 jours

Le béton parie sur les économies

Depuis 2005, les cimenteries qui émettent trop de CO² doivent compenser tout dépassement, en achetant des crédits par exemple. Aussi, l'heure est désormais à une utilisation parcimonieuse du béton et les entreprises ont également recours à des solutions innovantes telles que l'impression 3D et le recyclage des granulats pour diminuer ces émissions. Notre dossier présente ces différentes façons d'économiser le béton, notamment à travers des exemples de poteaux et de piliers plus affinés que jamais.
Il y a 6 ans et 79 jours

Adapta Color, protection invisible contre la corrosion

Un stade, une université, une distillerie, une plate-forme offshore, autant d'ouvrages soumis à la brutalité des éléments et pourtant appelés à durer. Adapta Color a mis au point un système anticorrosion pour les structures en acier, acier galvanisé (HDG) et […] L'article Adapta Color, protection invisible contre la corrosion est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 79 jours

La stratégie d'Engie expliquée en 1m30

Le 28 février 2019, ENGIE, leader mondial de la transition zéro carbone, a présenté sa stratégie pour les années à venir. L'essentiel de ce qu'il faut retenir en 1m30.
Il y a 6 ans et 79 jours

Elise Fouin : Saika

Difficile de passer à côté des références faites au Japon dans la production artistique de 2018 ! Une tendance encouragée par les " Japonismes " à laquelle la designer française Elise Fouin n'a pas pu déroger. Présenté au dernier salon Maison & Objet, son luminaire Saika " réalisé en collaboration avec Yoshishige Tanaka ", est une ode à la culture nippone et à son artisanat. Réalisée dans le cadre du Kyoto Contemporary Project " qui met en lien des artisans de Kyoto (Japon) et des designers français ", la lampe Saika réinterprète des savoir-faire asiatiques dans un ouvrage épuré et contemporain. Elle résulte de l'association d'Elise Fouin, créatrice parisienne, et de Yoshishige Tanaka, maître artisan nippon spécialisé dans les techniques du hyuogu, consistant à coller entre elles plusieurs feuilles de papier washi ; et du kakejiku, une peinture montée sur papier ou sur soie respectant les codes des fameuses estampes japonaises. " Ici, les subtils plissages deviennent des paysages à part entière propices à la contemplation comme pouvaient l'être ces tentures que l'on suspendait historiquement dans l'habitat. " Elise Fouin, designer Un emprunt à la virtuosité des réalisations du pays du soleil levant étayé par la silhouette du projet final, non sans rappeler celle des kakemonos. D'une hauteur de 55 centimètres et d'une largeur d'un mètre, l'objet est composé de cinq panneaux suspendu à un bâton en hêtre avec embout en céramique. Les éléments sont en papier washi plissé dont le l'aspect froissé révèle de subtils motifs sous la lumière douce qu'il en émane. Les contours courbes sont soulignés par un tissu en dégradé de couleurs, contrecollé sur le papier. Un ouvrage délicat invitant à la découverte de l'Orient. Pour en savoir plus, visitez le site d'Elise Fouin Photographies : Gengoro
Il y a 6 ans et 79 jours

Les levageurs répercuteront les hausses de carburant dans leur facturation

MARCHÉ. L'Union française du levage recommande à ses adhérents de reporter la hausse du coût moyen de l'essence sur leurs factures de mise à disposition d'engins. Le syndicat rappelle que le carburant a flambé de 15% en 2018.
Il y a 6 ans et 79 jours

SPIE décroche un contrat pour l'installation électrique de turbines éoliennes au large du Royaume-Uni

SPIE UK, filiale du groupe SPIE, leader européen indépendant des services multi-techniques dans les domaines de l'énergie et des communications, a décroché un contrat avec Wilton Engineering Services Ltd (WESL) pour l'installation des équipements électriques et mécaniques de 20 turbines sur le parc éolien offshore Hornsea Project One, appartenant à la société Ørsted.
Il y a 6 ans et 79 jours

Premier bilan positif pour les formations clients d'Unilin Insulation

Leader européen sur le marché des panneaux de toiture et 2ème producteur de plaques de polyuréthane, UNILIN Insulation France est depuis fin 2017 organisme de formation agréé. Dans le cadre de ses nouvelles orientations stratégiques pour renforcer sa présence sur le marché de l'isolation des toitures en pente, le fabricant a initié fin 2018, au sein de son centre de formation de Desselgem en Belgique, des sessions spécifiquement dédiées à ses partenaires distributeurs EXTERIO*.
Il y a 6 ans et 79 jours

Les chiffres-clés du marché de la fenêtre en France

RADIOGRAPHIE. Une étude offre un tour d'horizon du marché de la menuiserie en France. Matériaux utilisés, niveau de ventes, découvrez-en les principales données.
Il y a 6 ans et 79 jours

Efficacité énergétique : la CRE valide un plan d'investissement de 530 millions d'euros

Le Gendarme de l'énergie a donné son feu vert à un plan d'aides à l'investissement de 530 millions d'euros dans les zones non interconnectées (ZNI). Ce programme cible en particulier les travaux d'isolation des bâtiments, l'installation de chauffe-eaux solaires et de climatisation performant auprès des particuliers et des entreprises.
Il y a 6 ans et 79 jours

Collection Astoria de la Ligne Céramique Carré d'Arc

Les terrasses et les plages de piscine actuelles appellent des lignes simples et des tons sobres. Contemporaine, la ligne de dalles et accessoires Céramique CARRÉ D'ARC répond à ces critères. Elle comprend la Collection Astoria, finition pierre, dont les dalles monolithiques en grès cérame sont proposées en plusieurs tons tendance.
Il y a 6 ans et 79 jours

Premier trophée de la bioéconomie pour Biofib' isolation

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Il y a 6 ans et 80 jours

La croissance française a bien ralenti à 1,5% en 2018 selon l'Insee

La hausse du produit intérieur brut (PIB) en France a bien atteint 1,5% en 2018 contre 2,3% en 2017, a indiqué jeudi l'Insee, confirmant le ralentissement de l'économie française l'an dernier.
Il y a 6 ans et 80 jours

COBE et MVRDV : Roskilde Festival Folk High School

Un lycée sans examen, sans note et à proximité d'un festival de musique ? Un rêve pour nos jeunes étudiants français, une réalité pour les habitants de Roskilde (Danemark). Installé dans une ancienne usine de béton désaffectée, l'établissement propose une éducation alternative valorisant la créativité de ses élèves et favorisant autant l'apprentissage de la guitare électrique que la compréhension d'équations mathématique. Très peu exploité en France, le concept scandinave des lycées populaires a de doux accents utopistes. Et pourtant, ce schéma d'éducation basé sur les préceptes de l'intellectuel danois NFS Grundtvig " établi au 19e siècle ", a de quoi faire réfléchir. Partant du principe que l'éduction favorise la bonne intégration dans la société, les lycées populaires offrent à de jeunes " et moins jeunes " adultes l'occasion de prolonger leur apprentissage tout au long de leur vie en sortant des traditionnels cours d'histoire et de géométrie. Si le modèle a largement séduit le siècle dernier, il a quelque peu été mis de côté ces dernières années au profit d'écoles standardisées. C'était sans compter sur la commune de Roskilde " petite ville de la périphérie de Copenhague célèbre pour son festival de rock annuel éponyme ", qui propose de remettre au goût du jour ce concept oublié en confiant aux agences COBE et MVRDV le projet de réhabilitation d'une manufacture délaissée en un établissement flambant neuf proposant des cours de musique, de politique, d'art, d'architecture, de design ou encore de médias ou de " leadership ". Tout un programme ! " Notre conception, tout comme l'école elle-même, a été inspirée par l'esprit du festival de Roskilde. Tout est question de musique, d'art, de militantisme, mais avant tout de liberté. " Jacob van Rijs, directeur et confondateur de MVRDV Premier établissement du genre depuis 50 ans, le lycée prend place dans le quartier de Musicon, près du site du festival, au sein d'une usine délaissée qui a rapidement séduit les maîtres d'"uvre : " Les entrepôts étaient rugueux, usés et nous les avons immédiatement aimés. Nous avons tout de suite vu un immense potentiel dans le fait d'y installer une école créative [...] Son aspect abandonné signifiait aussi que cette école ne deviendrait jamais institutionnelle, ce qui aurait pu être le cas dans un ensemble neuf ", confie Dan Stubbergaard, fondateur de COBE. Soucieux de conserver l'âme du lieu, les architectes gardent volontairement les poutres et les piliers en béton de l'usine et agrémentent les épaisses parois de grandes fenêtres. Sous un plafond de 8 mètres de haut, les équipes de COBE et MVRDV imaginent deux demi-niveaux échelonnés autour d'un espace commun central dont le large escalier amphithéâtre en bois constitue le c"ur.Les espaces sont ensuite divisés grâce à un système de " boîte dans la boîte " intégrant 16 modules définissant les différents ateliers proposés par l'établissement. Chacune de ces boîtes est revêtue d'une couleur vive, les nuances servant de signalétique aux élèves et définissant la nature des enseignements dispensés : un studio de musique, des salles de danse, des ateliers artistiques etc. Une polyvalence de discipline répartie en trois zones : activités de l'esprit, du corps et la main. Lui-même ancien élève d'un lycée populaire, Dan Stubbergaard garde ainsi le souvenir du logement sur place l'hiver, avant de rejoindre le domicile familial durant les beaux jours. Un aspect essentiel dans la doctrine de Grundtvig qui est ici réhabilité. Reliés aux espaces communs par des passerelles métalliques, les pénates des étudiants prennent place dans deux blocs annexes de quatre étages revêtu d'une double peau métallique, situés à l'avant du bâtiment principal. Chaque niveau accueille entre 12 et 15 étudiants qui sont logés dans des pièces étroites et intimistes, le tout étant agrémenté d'espaces communs comme la cuisine, la cantine ou encore des niches de travail : " À mon avis, cela contribue à renforcer la communauté, qui fait partie intégrante de la vie dans un lycée populaire. Très souvent, tout le plaisir se passe dans les petites salles, car elles ne sont pas aussi contrôlées que les salles d'apprentissage classiques. " explique Stubbergaard. Quatre maison alignées " également revêtues de métal ", sont juxtaposées à cet ensemble et hébergent quant à elle le corps professoral. De quoi donner envie aux étudiants de bachoter sans relâche ! Pour en savoir plus, visitez le site de COBE et MVRDV Photographies : Rasmus Hjortshøj de COAST et Ossip van Duivenbode
Il y a 6 ans et 80 jours

Orma Architettura : Observatoire du Cerf Corse

Après avoir offert l'occasion aux touristes de découvrir les trois monts de Casamaccioli (22) avec la Casa Vanella, les équipes d'Orma Architettura valorisent à nouveau le patrimoine de l'Île de Beauté grâce à l'édification de trois observatoires dans le Parc Naturel Régional de Corse. Un programme sobre et modeste où le paysage et ses habitants sont rois. Recouvrant près de 40% de la surface totale de l'île méditerranéenne, le Parc Naturel fait l'objet, depuis 1985, d'un programme de réintroduction du cerf corse, espèce autrefois emblématique de la région qui a vu sa population fortement réduite à la fin des années 1969. Une époque désormais révolue puisque la présence d'élaphes dans les zones montagneuses a été largement multipliées depuis la mise en place du projet. Un succès de la première phase du programme qui en amorce en seconde : la sensibilisation des visiteurs à la fragilité de l'espèce animale. Pour se faire, les autorités locales ont fait appel à l'agence Orma Architettura pour la mise en place d'observatoires sur les affleurements de Saint-Pierre-de-Venaco, Castifao et Quenza, les trois zones de prédilection des chevreuils. " Comme en témoignent les jeux d'ombres et de lumières qui traversent les clins de bois empruntés aux forêts avoisinantes, le projet cherche à se faire accepter du paysage sans pour autant s'en effacer. " Orma Architettura Conçues en lien avec l'environnement, les cabines de 4 mètres carrés sont surélevées sur les rochers pour ne pas perturber les daims et sont ainsi accessibles par une échelle fixée à la structure. La structure d'ancrage " visible au travers de la jupe de bois ", facilite l'assemblage des éléments construits sur leur site rocheux. Les trois installations sont caractérisées par des formes rectilignes qui font écho aux troncs d'arbres adjacents. Construits par des artisans locaux, les points de vue sont réalisés à partir de lattes de bois verticales espacées les unes des autres, en caillebotis, laissant ainsi apparaître le panorama d'exception et permettant ainsi d'observer la faune de la région sans être vu. De quoi admirer l'immensité de la nature sauvage corse sans jamais la troubler. Pour en savoir plus, visitez le site d'Orma Architettura Photographies : Julien Kerdraon et David Giancatarina
Il y a 6 ans et 80 jours

"Nous ne voulons pas qu'une seule organisation représente le Bâtiment", P.Liébus

ENTRETIEN. Le président de la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb), Patrick Liébus, s'inquiète d'un "durcissement" du dialogue social dans la branche. Et appelle à modifier le calcul de la représentativité patronale pour renouer avec la concertation et la justice. Explications.
Il y a 6 ans et 80 jours

Chantier d'urgence pour sauver le château de la Salvetat-Saint-Gilles

PATRIMOINE. Bientôt millénaire, le château de la Salvetat-Saint-Gilles (Haute-Garonne) a bien souffert. Malmené par les tempêtes, ses toitures ont été endommagées au point de s'écrouler en partie. Grâce à de multiples mobilisations des pouvoirs publics et une opération de mécénat menée par Terreal et la Fondation du patrimoine, sa sauvegarde est lancée. Visite guidée.
Il y a 6 ans et 80 jours

Ossature bois pour un logement social de qualité

  Le logement social peut être confortable et beau. C'est ce que démontre, sans ostentation et sans prétention, l'agence Tétrac Architectes à Venansault, avec ce bel ensemble de dix logements sociaux à ossature bois tridimensionnelle.
Il y a 6 ans et 80 jours

Leopold Banchini et Daniel Zamarbide: Dodge House

Dans le vieux centre de Lisbonne (Portugal), la Dodge House passerait presque inaperçue... Et pourtant. C'est derrière une façade intacte, témoin de l'héritage architectural du quartier de Mouraria, que se dévoile une maison humble aux proportions singulières , "uvre des architectes Leopold Banchini et Daniel Zamarbide. Mouraria, Lisbonne. Ce centre historique a vu sa popularité croître depuis la dernière campagne de restauration et de réhabilitation. Un patchwork de façades et de ruines colorées, faites de briques, de béton, de fresques ou d'azulejos qui a transformé son ancienne réputation de bidonville en un authentique enchevêtrement architectural dans la ville. Cette dernière fait pourtant face à un marché de l'immobilier limité et tendu, qui impose aux architectes de composer avec quantité de logements denses et étriqués, le tout avec peu de moyens. C'est derrière l'une de ces façades restaurées que se cache la modeste " mais néanmoins inspirante ", Dodge House. Etablie sur 4 niveaux de moins de 40 mètres carrés chacun, la résidence réalisée par les deux architectes du projet, Leopold Banchini et Daniel Zamarbide, conserve un extérieur intact et discret pour révéler une astucieuse composition intérieure, une modernité inspirée d'Irving Gill, un architecte américain, pionnier dans le design rationnel et minimal, et occupé par des causes sociales.Avec l'économie de moyen comme ligne conductrice, les maîtres d'"uvre utilisent des matériaux locaux dans l'édification du projet. Les concepteurs ont choisi d'exploiter la force structurelle du bâtiment, en conservant un plafond en pleine hauteur dans la pièce à vivre. Celle-ci communique directement avec les trois chambres " une par étage -, disposées en mezzanines ouvertes, exploitant avec générosité le manque d'espace de la maison de 94 mètres carrés. Le mur donnant sur rue doit composer avec une devanture opaque et fermée, qui fait écho au choix des architectes de miser sur une fonction moins commercialisable du bâtiment. C'est pourquoi les ouvertures sont disposées avec autant d'intelligence sur les deux façades exploitables du projet : face à la cour, une large baie vitrée pivotante donnant sur l'espace à vivre, ainsi que des fenêtres arquées ; et sur les surfaces horizontales, des trouées apportent une lumière zénithale dans les chambres. L'espace intérieur, mélange de briques blanches et de béton, habillé de marbre grâce au mobilier, conserve une identité minimaliste dans des tons à la fois nobles et bruts. La réalisation communique la complexité du bâti avec une lecture simple et déliée d'un volume peu évident. Elle répond avec habileté aux défis que présente le contexte architectural portugais. Un bel exemple d'ingéniosité. Pour en savoir plus, visitez le site de Leopold Banchini Photographies : Dylan Perrenoud
Il y a 6 ans et 80 jours

Eoletec présente son nouveau système connecté de Ventilation Positive pour l'Habitat : VPH ATTIC

Eoletec, fabricant et distributeur de systèmes de ventilation positive hygrorégulée, propose des solutions qui permettent de diagnostiquer les polluants dans l'air et de lutter contre la pollution intérieure.
Il y a 6 ans et 80 jours

Mecanoo : Longgang Cultural Centre

Si Paris a sa canopée, la ville de Shenzhen (Chine) a elle aussi été envahie par un OANI : Objet Architectural Non Identifié. Installé au c"ur du quartier de Longgang, l'ensemble monumental dénote par un revêtement de couleur vive ainsi que par son horizontalité assumée dans un paysage urbain fait de gratte-ciels. Retour sur un ouvrage pas comme les autres. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la commune de Shenzhen a su donner une place de choix à la culture ! C'est en effet sur une surface de 95 000 mètres carrés que cohabitent galerie d'art, musée des sciences, centre de jeunesse et libraire. Une superficie impressionnante répartie sur quatre volume de quatre niveaux chacun, dont les silhouettes diverses aux bords incurvés et aux façades inclinées sont rendues cohérentes par un langage formel unique, une hauteur commune et un traitement extérieur métallique rouge similaire. Les ouvertures sur l'extérieur matérialisées par des fenêtres bandeaux traversantes, discrètes vues de la rue mais bien présentes une fois les nombreuses entrées placées sur les places couvertes franchies. Chaque programme bénéficie de son propre local dont la structure en béton coulé sur site est laissée apparente aux visiteurs qui se promènent ainsi sous les poutres, colonnes et noyaux massifs dans un ensemble où tout est révélé. Un parti-pris réchauffé par la large présence d'éléments en bois " escaliers, plafonds ou encore mobilier. " La structure en béton a été soigneusement conçue pour faire partie de l'expérience des visiteurs. Errer dans le bâtiment, c'est comme regarder une sculpture en béton coulé de l'intérieur. " Mecanoo Le point fort de l'édifice réside dans sa multiplicité de programmes, en adéquation avec la prolifération récente d'ensembles culturels chinois " le Musée international du design d'Alvaro Siza et de Carlos Castanheira, la Bibliothèque scientifique Xiangmi par MLA+ ou encore l'Exploratorium museum de Bernard Tschumi. Ainsi, le musée des sciences bénéficie d'une programmation axée pour les enfants et les jeunes adultes tandis que le centre de jeunesse propose des activités sportives ou musicales extrascolaires. La galerie d'art, quant à elle, combine un centre d'urbanisme au sous-sol et au rez-de-chaussée ainsi que des expositions contemporaines aux niveaux supérieurs. Enfin, le plus grand des bâtiments agit comme un " centre commercial du livre ", mettant la lecture à l'honneur, souvent oubliée dans les ouvrages culturels. Un projet complet qui contribue efficacement à l'entreprise de redynamisation de Shenzhen. Pour en savoir plus, visitez le site de Mecanoo Photographies : Zhang Chao
Il y a 6 ans et 80 jours

Ergosup lève 11 millions d'euros pour la production et le stockage d'hydrogène vert

ERGOSUP développe des infrastructures hydrogène basées sur sa technologie unique et brevetée d'électrolyse de l'eau directement sous très haute pression. Cette solution intégrée, compétitive et sécurisée répond aux besoins en forte croissance en hydrogène décarboné, à la fois pour les applications de " mobilité propre ", mais aussi de gaz industriels à faible impact carbone.
Il y a 6 ans et 80 jours

Photovoltaïque en façade : quelles solutions dans le cadre du Bepos ?

L'échéance BEPOS ou Bâtiment à énergie positive arrive bientôt, ce qui suppose de poser du photovoltaïque en façade. Voici un outil et quelques solutions techniques pour y parvenir.
Il y a 6 ans et 80 jours

Thermador Groupe réalise " globalement une bonne année " 2018

En 2018, le fabricant de matériel de plomberie a réalisé un chiffre d'affaires de 311,2 M¤, en croissance de 3,4 % à périmètre constant.
Il y a 6 ans et 81 jours

Évènement : Experimental Architecture Award

Créée en 1933, la Arts Foundation de Londres (Angleterre) a pour but est de soutenir et de promouvoir tous types de production artistique, de la poésie à la peinture, en passant par la photographie. Un panel au sein duquel le premier art ne trouvait jusqu'alors malheureusement pas sa place. Il s'agit désormais une époque révolue puisque, le mois dernier, a été remis le premier prix pour l'architecture expérimentale. Zoom sur la valorisation d'une discipline ancrée dans son temps. L'architecture expérimentale, quèsaco ? C'est la question que se sont posé les organisateurs du prix de 10 000 £ remis par la Arts Foundation. Difficile en effet d'établir un constat unique concernant ce pan de la discipline tant il est sujet aux débats. Quand certains le renvoient aux années 1970 " et à l'ouvrage de éponyme de Peter Cook ", d'autres l'utilisent comme un terme " fourre-tout ", désignant des projets à l'enveloppe originale sans nécessairement jouir d'un discours expérimental. Une définition ambigüe aux contours encore flous qui a justifié l'absence d'un tel prix durant des années. " Nous avons vraiment dû lutter avec le terme "architecture expérimentale". Qu'est-ce que cela signifie? " déclare d'ailleurs Justin McGuirk, conservateur en chef du Design Museum de Londres et juge du prix. " Nous avons rapidement établi que cela ne voulait plus dire ce que cela pouvait être dans les années 1970 [...] Cela semblait plutôt concerner davantage d'autres possibilités, allant des espaces virtuels et des systèmes bureaucratiques aux interventions sculpturales. " conclue-t-il.Pour représenter cette idée de l'architecture expérimentale, quatre candidats ont été soumis au vote d'un jury d'experts " composé bien entendu de Justin McGuirk mais également de l'architecte Amanda Levete et du directeur de l'Architectural Association's Design Research, Theodore Spyropoulos. Avec la recherche et la considération essentielle des besoins actuels comme discours centraux, les concurrents se sont distingués avec des interprétations diversifiées des problèmes architecturaux et sociétaux. Ainsi, l'architecte Chris Hildrey a retenu l'attention des organisateurs de l'évènement pour son projet ProxyAdress " réalisé lors de sa résidence au Design Museum de Londres ", qui tend à ré-imaginer les villes en fonction des difficultés sociales, et notamment de logement en conférant aux sans-abris une adresse fixe à donner aux différentes administrations " banques, emplois, études etc. ", afin de pouvoir sortir de cette situation précaire.Le deuxième projet ayant retenu l'attention du comité de sélection résulte de l'association des maîtres d'"uvres Pooja Agrawal et Finn Williams, sous le nom de Public Practice, une entreprise facilitant les échanges entre architectes, urbanistes et autorités locales. Toujours dans le but d'améliorer le quotidien des populations, le programme tend à sensibiliser les administrations à la planification proactive, permettant ainsi au secteur public de se montrer créatif dans l'élaboration de solutions quant aux problèmes de logement " abordés ici au niveau local.Plus utopiste, la démarche de l'architecte Lawrence Lek associe des graphiques utilisés en temps réel à des outils de réalité virtuelle pour créer des espaces numériques, conçus à partir de véritable points géographiques agrémentés pour l'occasion de scénarios fictifs. Un procédé qui permet de réfléchir à la notion même d'espace et aux expériences qu'un monde virtuel peut générer. Mais c'est la dernière candidate qui a su charmer les membres du jury. Située entre sculpture et architecture, la pratique de Holly Henry utilise les éléments de construction techniques, rarement mis en valeur, pour imaginer des compositions abstraites intégrées à l'architecture vernaculaire. Son travail donne à voir les détails et la complexité d'une édification urbaine tout en brouillant les frontières entre intervention artistique et ouvrage architectural. Première lauréate du prix, Holly Henry reçoit à cette occasion une bourse de 10 000 £ lui permettant de financer ses expériences futures. Une belle place donnée à l'architecture expérimentale qui ne manquera pas d'alimenter les débats. Pour en savoir plus, visitez le site de l'Arts Foundation Photographies : 1) DR2) Thierry Bal3) Andrew Meredith4) 5) Hildrey Studio6) 7) DR
Il y a 6 ans et 81 jours

Le réseau Glastetik attire de nouveaux partenaires et densifie son maillage national

Le réseau Glastetik fédère depuis son lancement en 2012 les meilleurs transformateurs et installateurs, véritables spécialistes des verres de décoration pour applications en intérieur. Force est de constater aujourd'hui que la dynamique Glastetik incite nombre d'artisans, de tous corps d'états (plombier, carreleur, agenceur...) à densifier la présence du réseau sur le territoire national.
Il y a 6 ans et 81 jours

La ville d'Albias (82) équipe sa salle polyvalente avec le plafond Acoustished® A40 d'Eurocoustic

Véritable lieu de vie et de rencontre pour les 3.200 habitants d'Albias, la salle polyvalente a été entièrement rénovée en 2018. Accueillant les événements de la commune et les marchés couverts depuis 1968, cette salle de 1.600 m2 a ainsi bénéficié de la solution de plafond acoustique Acoustished® A40 d'Eurocoustic. Une solution parfaitement adaptée à une pose sous toiture arrondie et convenant à de grands volumes.
Il y a 6 ans et 81 jours

Inessa Hansch Architecte : Campus de Belval

Le campus de la Faculté des Sciences à Esch-sur-Alzette (Luxembourg) est situé sur un ancien site industriel qui a laissé un vestige de premier abord peu attirant. En surélevant son intervention grâce à une structure aérée à l'identité remarquable, l'architecte Inessa Hansch offre aux usagers un point de rencontre où circulations et activités s'effectuent de manière spontanée et récréative. En relation avec l'échelle monumentale des bâtiments industriels autour de la Faculté des Sciences, l'ensemble prend place sur une friche peu adaptée aux activités extérieures. En installant au c"ur de l'ancien site industriel d'Esch-sur-Alzette une structure graphique composée d'échafaudages sur quatre niveaux " alternant matériaux industriels et minéraux ", le bureau Inessa Hansch Architectes renvoie à l'emplacement unique et complexe du campus. Grace à leur intervention de 466 mètres carrés, les architectes encouragent une plus grande variété et intensité des usages. Ils imaginent pour cela un squelette exploitable et modulable déclinés en trois exemplaires répartis à différents endroits du site, avec l'intention de composer une ossature évidée et ouverte, en acier inoxydable, qui permette au trafic des piétons de s'effectuer indépendamment des autres activités de la faculté. Le nouveau programme du campus inclut notamment un espace de projection, un jardin central et des espaces dédiés au sport ou à la promenade. La composition métallique encadre, concentre et redistribue le flot d'étudiants du campus, en déplaçant les espaces publics sur des plateformes en hauteur. Les sols en panneaux de béton, complétés par un remplissage en résine artificielle, composent les fondations légères et solides des mezzanines, accessibles par des escaliers aux garde-corps en acier laqué ou en filet inox. En travaillant sur les profondeurs et les échelles, l'architecte encourage les échanges et la mobilité, à travers des séquences visuelles variées, entre des vues rapprochées de la végétation aux premiers niveaux, et un panorama plus vaste sur le secteur, accessible en hauteur au dernier étage. Positionnée le long d'un axe traversant, la structure est accessible depuis plusieurs point d'entrés, situés aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur de la place. La construction est composée de plusieurs modules identiques et empilés les uns sur les autres, dont les formats correspondent avec la largeur des plateformes en béton des hauts fourneaux sur lesquels ils se posent. Les éléments évidés de 3,6 x 3,6 mètres en longueur et largeur, et 3 mètres en hauteur, sont ainsi superposés sur une hauteur totale de 12 mètres. Chaque module présente une typologie d'usage différente : belvédères, passerelles, arcades, escaliers et alcôves y sont en effet disposés afin de multiplier les expériences et correspondre à un maximum d'usages et de situations observables dans l'espace public. L'architecture affiche des dimensions généreuses et facilement identifiables, générant des espaces tridimensionnels qui correspondent aux besoins du campus, à savoir l'adaptabilité et l'habitabilité de celui-ci. Une intervention légère qui vient réveiller un site peu attractif, offrant ainsi de nouvelles possibilités de divertissement aux étudiants. Pour en savoir plus, visitez le site de Inessa Hansch Photographies : Maxime Delvaux
Il y a 6 ans et 81 jours

Junya Ishigami à la Serpentine Gallery du 20 juin au 6 octobre 2019

Accueillant la prochaine programmation estivale de la Galerie Serpentine, le Pavillon Serpentine 2019 sera signé par l'architecte japonais Junya Ishigami.… Cet article Junya Ishigami à la Serpentine Gallery du 20 juin au 6 octobre 2019 est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 6 ans et 81 jours

Renson, des solutions naturelles et économiques pour éviter la surchauffe

Groupe industriel leader en Europe dans le domaine de la ventilation naturelle et des systèmes de protection solaire, Renson propose… Cet article Renson, des solutions naturelles et économiques pour éviter la surchauffe est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 6 ans et 81 jours

La CAPEB et Initial s'associent pour faciliter l'activité des entreprises artisanales du bâtiment

La Confédération de l'Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB), via sa filiale Béranger Développement, et INITIAL, spécialiste de la location-entretien d'articles textiles et d'hygiène sanitaire, ont signé récemment un partenariat pour une durée de quatre ans.
Il y a 6 ans et 81 jours

Digitalisation des chantiers : Fayat noue un partenariat avec FinalCad

Le numéro 4 français du BTP veut accélérer sa transformation numérique. Il vient de signer un accord avec FinalCad, qui déploie des solutions mobiles pour le secteur de la construction. Fayat déploie notamment la brique digitale de suivi des travaux.