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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Transport et infrastructure

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Il y a 5 ans et 10 jours

L'arrêt du BTP français causé par le confinement a été plus brutal qu'ailleurs, selon Martin Bouygues

"L'arrêt français a été plus profond et plus brutal que dans d'autres pays", a estimé le PDG de Bouygues lors d'une audition devant des députés.Le bâtiment est l'un des secteurs qui a été largement contraint à l'inactivité par le confinement mis en place entre mars et mai. De nombreux chantiers ont dû s'arrêter, faute de pouvoir mettre en place des mesures sanitaires adéquates."Comme nous sommes dans 52 pays à travers le monde, on a constaté des régimes très très différents", a détaillé M. Bouygues."En Suisse alémanique, il n'y a pas eu d'arrêt et en Suisse francophone, romande, ça s'est arrêté en même temps que la France", a-t-il cité en exemple.En ce qui concerne son propre groupe, M. Bouygues a réitéré des estimations données le mois dernier: la crise lui a coûté 750 millions d'euros au premier trimestre, une somme amenée à augmenter car elle ne concerne que le début du confinement.S'abstenant de commenter les décisions du gouvernement en matière sanitaire, sauf à dire qu'elles lui paraissent "opportunes", M. Bouygues a appelé à prendre désormais des mesures pour aider la reprise du bâtiment.Il se prononce notamment pour une simplification des procédures administratives, une mesure dès à présent mise au programme par le gouvernement pour des mesures de relance prévues à l'automne."Il faut aller vite parce que la remise en route est un peu difficile", a souligné M. Bouygues. "On est rentré dans de nombreuses procédures sanitaires qui évidemment ont un effet sur la productivité."Sur cette question des surcoûts, l'exécutif a promis mercredi de mettre à contribution les clients publics qui dépendent de l'État, ainsi que d'installer un "comité de suivi" pour servir de base aux négociations à venir sur le partage des coûts.
Il y a 5 ans et 10 jours

Une entrepreneure aux commandes d'un bio-béton dédié aux côtes marines

START-UP. L'israélienne Shimrit Perkol-Finkel fait partie 10 entrepreneures finalistes du Female Founder Challenge organisé dans le cadre de VivaTech. Elle présentera le 18 juin prochain Ecoconcrete, sa start-up qui a créé un béton pour les infrastructures marines ou côtières.
Il y a 5 ans et 10 jours

Dossier : 5 photographes d'architecture à suivre

De nombreux photographes contemporains se servent d'Instagram pour diffuser leurs clichés créatifs, paysages urbains, bâtiments iconiques ou détails abstraits. Cette semaine, la rédaction de Muuuz vous révèle ses cinq photographes d’architecture préférés à suivre sur le réseau social. Manuel Pita (@sejkko)Découvert sur Instagram sous le pseudonyme Sejkko (@sejkko), le photographe portugais Manuel Pita immortalise les maisons isolées qu’il rencontre lors de ses pérégrinations en Europe, de son pays d’origine à la Croatie en passant par la Turquie. Tantôt rénovées, tantôt vétustes, ces petites habitations colorées évoquent à la fois la solitude de tout un chacun et le souvenir nostalgique de la Home, Sweet Home de son enfance. . Chak Kit (@_chakmkit)Plutôt que de capturer des images réalistes de Hong Kong, le jeune photographe Chak Kit immortalise l’énergie magnétique de la mégalopole chinoise dans des clichés épurés à la frontière de l’abstraction. Devenu célèbre grâce aux réseaux sociaux, il pose un regard d’esthète sur le paysage urbain hongkongais et partage ses visions colorées de la ville sur Instagram. . Morgane Renou et Simon Schnepp (@schnepp.renou) Les deux jeunes photographes, Morgane Renou et Simon Schnepp, forment depuis 2012 le tandem Schnepp Renou. Spécialisé dans la photographie d’architecture, le duo franco-allemand capture les paysages urbains du monde entier et les magnifie par une maîtrise artistique de la photographie. Zoom sur une œuvre collective hors pair. . Sebastian Weiss (@le_blanc)Décidément, Instagram est une source d'inspiration inépuisable. C'est ainsi qu'au fil de mes scroll tardifs, j'ai découvert les prises de vues puissantes de Sebastian Weiss en 2018. Depuis, le talent du photographe n'a pas faibli, bien au contraire ! La preuve avec la série « Monolicious », déclinée en trois étapes, qui, à travers des clichés hypnotiques, nous fait redécouvrir les ouvrages iconiques de l'architecture contemporaine milanaise. . Sinziana Velicescu (@casualtimetravel)Bien que Los Angeles (USA) en fasse rêver plus d'un, la vie d'un autochtone peut rapidement devenir aliénante, lui qui passe plus de temps dans le trafic automobile qu'à parcourir Venice Beach en skateboard. Et si c'est en voiture que l'on parcourt L.A, c'est également là que la photographe locale Sinziana Velicescu puise son inspiration. Ou quand les interactions humaines font place à la contemplation du paysage urbain. La Rédaction
Il y a 5 ans et 10 jours

Lancement de waggon.io, l'appli qui bouscule les règles du marché pro de l'architecture

Lors de pics d'activités ou de projets volumineux, les Architectes et les Aménageurs d'espaces font appel à des solutions externes pour concevoir et réaliser les projets de leurs clients. Les Agences adaptent alors leur organisation pour répondre au mieux à la diversité et à l'envergure de leurs projets en se tournant vers leur réseau de freelances ou vers des agences d'intérim spécialisées. Mais cela est souvent complexe, long et mal adapté aux besoins du projet.Après plusieurs années passées en Agences, les co-fondateurs Edson et Cédrick ont été frustrés de ne pas avoir un accès centralisé aux Freelances, pour intervenir sur des projets, renforcer ou compléter des équipes partout en France. La recherche de « compétences externes » était souvent longue et complexe. De leurs côtés, les Freelances disposant de compétences spécialisées et d'expériences probantes, pouvaient rencontrer des difficultés à accéder aux projets des Agences françaises.Waggon est né pour répondre plus vite et mieux à ces problématiques :« Waggon simplement une solution dont nous aurions aimé disposer : nous l'avons créé pour offrir un service global, pratique et performant pour les Agences »Avec l'outil waggon.io, les Agences disposent d'une interface permettant de déposer des projets et de recevoir en moins de 48h, trois profils de Freelances appropriés.Notre algorithme effectue une pré-sélection de Freelances, notre équipe s'appuie sur notre expertise et notre expérience pour analyser les besoins du projet et proposer trois profils ciblés aux Agences.Pour les Agences, Waggon c'est :Une interface accessible 24h/24 et 7j/7 pour déposer des projets,Un accès à une communauté de Freelances,Une messagerie interne pour échanger et diffuser des documents,Un tableau de bord permettant la gestion des projets confiés (accès aux devis, avancement des projets, bons de commandes, factures, …)Waggon permet aux Agences de gagner un temps considérable pour leurs recherches de partenaires et sécurise les prestations que les Agences souhaitent confier.Un unique tarif : 13% du montant de la prestation du Freelance.Pour les Freelances, Waggon c'est :Un accès totalement gratuit à la solution Waggon,Une qualification des projets en accord avec leur compétences, singularités et envies,Un accès à la communauté des Freelances de France leur permettant de s'entraider et d'échanger sur les objectifs communs.Afin d'aller plus loin que l'expérience digitale et de créer une véritable communauté de Freelances, nous avons créé les « Waggon Events » : des événements qui rassemblent et fédèrent la communauté à travers toute la France pour partager et s'enrichir.Waggon est une nouvelle solution attendue. Preuve de cet engouement, plusieurs projets ont été rapidement déposés et au bout de trois semaines, plus de 300 freelances se sont inscrits.La volonté du développeur est que Waggon soit utilisé par toutes les agences françaises et ainsi devenir le pôle de compétences externes de leurs organisations.A terme Waggon prévoit également de s'implanter dans plusieurs pays européens.
Il y a 5 ans et 11 jours

Eurovia dynamise sa marque employeur en s'appuyant sur la régionalité

CAMPAGNE. La filiale infrastructures du groupe Vinci, Eurovia, a lancé une campagne pour booster sa marque employeur avec en filigrane un objectif de recrutement. Le groupe s'est appuyé sur ses forces en région pour créer son dispositif.
Il y a 5 ans et 11 jours

Le gouvernement présente un nouveau budget en soutien aux secteurs fragilisés dont le bâtiment

Il s'agit du troisième projet de loi de finances rectificative élaboré depuis le début de la crise et il correspond au "deuxième temps de la réponse à la crise", a affirmé mardi soir le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur RTL."Le deuxième temps, c'est de venir au secours de tous les secteurs qui sont les plus menacés", a-t-il ajouté.Après les plus de 400 milliards d'euros de mesures d'urgence prises dans les deux budgets précédents, ce nouveau budget rectifié va faire monter le soutien public à "460 milliards" d'euros, a précisé le ministre.Il inclut ainsi les 18 milliards d'euros du plan d'aide au secteur du tourisme, l'un des plus affectés par le confinement, les 8 milliards d'euros du plan pour l'automobile, les 600 millions pour la French Tech, ou encore les 15 milliards d'euros de soutien au secteur de l'aéronautique et les aides au secteur du livre. S'y ajouteront des mesures en faveur du petit commerce et du bâtiment.Le gouvernement fait de premiers pas pour alléger les surcoûts liés à la crise dans le bâtimentLes entreprises du bâtiment seront aidées à assumer les coûts supplémentaires induits sur leurs chantiers par les mesures de lutte contre le coronavirus, a annoncé le gouvernement, promettant surtout de mettre à contribution les clients publics."Le gouvernement a décidé de prendre des mesures pour aider les entreprises du BTP à compenser les surcoûts et à accélérer la reprise", a annoncé l'exécutif, en marge de la présentation d'un nouveau budget rectificatif. Le bâtiment est l'un des secteurs qui a été largement contraint à l'inactivité par le confinement mis en place entre mars et mai. De nombreux chantiers ont dû s'arrêter, faute de pouvoir mettre en place des mesures sanitaires adéquates. Depuis, le plus gros des chantiers ont repris, plus de 85% dans le bâtiment, selon le gouvernement, mais le secteur doit assumer des coûts supplémentaires pour assurer la sécurité sanitaire.A plusieurs reprises, ses fédérations ont demandé à partager ces coûts avec les clients, publics et privés. En début de semaine, dans une lettre ouverte, la FFB, principale organisation du secteur, et la FNTP, centrée sur les travaux publics, accusaient encore le gouvernement de "tergiverser".Celui-ci va d'abord demander aux clients publics de prendre leur part. Le Premier ministre, Edouard Philippe, a prié les organismes dépendant de l'Etat "de négocier rapidement avec les entreprises du BTP une prise en charge d'une partie des surcoûts".Au-delà, le gouvernement annonce la mise en place d'un "comité de suivi" qui doit permettre d'évaluer précisément le manque à gagner des entreprises.Ses conclusions doivent servir de base aux négociations avec les clients, publics et privés. L'exécutif a, par ailleurs, mis en avant d'autres mesures qui ne sont pas spécifiques au bâtiment mais le concernent largement, comme l'annulation de plusieurs mois de charges pour les petites entreprises, moins de 50 salariés, ayant subi une chute de leurs revenus. Néanmoins, la mise en place d'un plan de relance du secteur attendra la rentrée, avec la présentation plus générale de mesures destinées à orienter la reprise économique à long terme."Le secteur du BTP sera directement concerné par ce plan de relance au titre de l'investissement notamment pour la rénovation thermique et au titre des simplifications de procédure", a affirmé le gouvernement.Vague de faillites et perte de centaines de milliers d'emploisAlors que se profilent "une vague de faillites" et des "centaines de milliers" de pertes d'emploi, selon Bruno Le Maire, le gouvernement va renforcer d'environ 5 milliards d'euros le dispositif de chômage partiel et débloquer 1 milliard pour élargir les aides aux entreprises qui embauchent un apprenti.Même si à Bercy, on défend une politique de soutien à "l'offre", ce budget intégrera aussi des aides exceptionnelles directes pour les 800.000 jeunes précaires de moins de 25 ans et les ménages les plus modestes.Enfin, il doit entériner un soutien de 4,5 milliards d'euros de l'État pour les collectivités, au moment où leurs recettes fondent avec la crise.Au total toutefois, les dépenses budgétaires directes supplémentaires ne représenteront que 13 milliards d'euros, le reste étant des mesures de trésorerie (reports de charges, prêts garantis, etc.).Malgré ce nouveau soutien, certains secteurs s'estiment oubliés, comme l'agriculture ou les transports publics.L'ONG environnementale Greenpeace regrette elle qu'à côté des plans pour l'automobile ou l'aérien, il y ait "toujours zéro pour la relance du ferroviaire".Récession, déficit et dette recordsOutre ces plans d'aides, le gouvernement est contraint d'aggraver encore ses prévisions économiques pour cette année. Il table désormais sur une récession de -11%, contre 8% de baisse du PIB anticipée il y a seulement quelques semaines.Les difficultés du secteur du tourisme devraient à elles seules amputer le PIB de quasiment un point cette année.Conséquence: avec des recettes fiscales qui vont fondre de 27 milliards de plus par rapport à l'estimation déjà en baisse du précédent budget rectifié, le déficit devrait encore s'aggraver à 11,4% du PIB et la dette publique gonfler à 120,9%, estime le gouvernement.Mardi, la Banque de France a elle tablé sur une chute d'environ 10% du PIB cette année. Si elle envisage un rebond de l'activité dès le troisième trimestre, le patron du Medef, appelle lui dans un entretien aux Echos à accélérer le déconfinement et à "réviser les protocoles sanitaires s'appliquant en entreprise".De son côté, le gouvernement souhaite mettre fin au 10 juillet à l'état d'urgence sanitaire, a annoncé Matignon mardi soir.Inquiétude du Haut conseil pour les finances publiquesLe Haut conseil des finances publiques (HCFP) s'inquiète que le gouvernement ait pu sous-évaluer les dépenses prévues pour faire face à la crise, et à l'inverse minimiser la perte de recettes attendues, dans son avis sur le troisième projet de budget rectifié pour 2020."Toutes les mesures de soutien de l'activité annoncées par le gouvernement, notamment certains plans sectoriels de relance, n'ont pas été traduites" dans ce projet de loi de finances rectificative (PLFR), écrit notamment le Haut conseil dans son avis publié mercredi au moment où le gouvernement présente son projet de budget rectifié en conseil des ministres.Par ailleurs, "une partie des mesures présentées comme des mesures de trésorerie pourrait finalement avoir un impact sur le déficit dès cette année", note-t-il.Or le gouvernement prévoit déjà que la dépense publique atteindrait 63,6% du PIB cette année, "un niveau jamais atteint au cours de ces 70 dernières années", souligne le HCFP.Côté recettes, le Haut conseil note que des "aléas négatifs" entourent la prévision du gouvernement d'une baisse de 27 milliards des rentrées issues des prélèvements obligatoires.En particulier, le gouvernement n'a pas révisé celles provenant de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux.De même, le gouvernement "fait l'hypothèse forte que les reports de quelques mois d'échéances fiscales et sociales ne donneront pas lieu à des abandons de créances significatifs en 2020, alors même que de nombreuses entreprises concernées par ces reports seront fragilisées par la chute de leur activité du fait de la crise sanitaire", prévient le HCFP.Déjà à plusieurs reprises inquiète de l'état des finances publiques, l'instance alerte enfin une nouvelle fois sur le fait que la dette, qui devrait gonfler à 120,9% du PIB selon le gouvernement, contre 98,1% l'an dernier, "fragilise la soutenabilité à moyen terme des finances publiques de la France et appelle une vigilance particulière".Il s'agit d'une "hausse massive" de la dette, a commenté mercredi lors d'une audition à l'Assemblée nationale le président du HCFP, Pierre Moscovici. Depuis la création de la zone euro, "un tel niveau de dette n'avait été atteint (...) que par très peu de pays", a-t-il souligné.En revanche, le Haut conseil apparait un peu plus optimiste que le gouvernement sur l'ampleur de la récession, attendue à -11% par le gouvernement.Il juge "prudente" cette prévision, estimant que le taux d'épargne des ménages "pourrait être inférieur au niveau exceptionnellement élevé prévu par le gouvernement pour 2020 (23,2 % contre 14,9 % en 2019), et donc la consommation plus élevée".De même il juge que "l'emploi pourrait être un peu plus élevé que prévu par le gouvernement", qui table sur 1,2 million d'emplois perdus en fin d'année.Au total, depuis la loi de finances initiale, "les prévisions se sont dégradées de plus de 12 points de croissance, de 9 points de déficit public et de 22 points de dette, c'est évidemment considérable (...), c'est à la hauteur du choc que nous traversons", a observé M. Moscovici, qui souhaite que "les missions, le champs de compétences et les moyens" du Haut Conseil soient renforcés.
Il y a 5 ans et 11 jours

Le gouvernement français déploie un nouveau budget en soutien aux secteurs fragilisés

Il s'agit du troisième projet de loi de finances rectificative élaboré depuis le début de la crise et il correspond au "deuxième temps de la réponse à la crise", a affirmé mardi soir le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur RTL."Le deuxième temps, c'est de venir au secours de tous les secteurs qui sont les plus menacés", a-t-il ajouté.Après les plus de 400 milliards d'euros de mesures d'urgence prises dans les deux budgets précédents, ce nouveau budget rectifié va faire monter le soutien public à "460 milliards" d'euros, a précisé le ministre.Il inclut ainsi les 18 milliards d'euros du plan d'aide au secteur du tourisme, l'un des plus affectés par le confinement, les 8 milliards d'euros du plan pour l'automobile, les 600 millions pour la French Tech, ou encore les 15 milliards d'euros de soutien au secteur de l'aéronautique et les aides au secteur du livre.S'y ajouteront des mesures en faveur du petit commerce et du bâtiment.Pour ce dernier secteur, le gouvernement envisage notamment de compenser les surcoûts engendrés par les mesures sanitaires sur les chantiers."L'accent est mis sur des secteurs qui sont des marqueurs forts de l'économie française et qui concernent beaucoup d'emplois. Cela permet d'envoyer un signal positif pour soutenir la confiance des entrepreneurs et des ménages", estime Hélène Baudchon, économiste chez BNP Paribas.Alors que se profilent "une vague de faillites" et des "centaines de milliers" de pertes d'emploi, selon Bruno Le Maire, le gouvernement va renforcer d'environ 5 milliards d'euros le dispositif de chômage partiel et débloquer 1 milliard pour élargir les aides aux entreprises qui embauchent un apprenti.Même si à Bercy, on défend une politique de soutien à "l'offre", ce budget intégrera aussi des aides exceptionnelles directes pour les 800.000 jeunes précaires de moins de 25 ans et les ménages les plus modestes.Enfin, il doit entériner un soutien de 4,5 milliards d'euros de l'État pour les collectivités, au moment où leurs recettes fondent avec la crise.Au total toutefois, les dépenses budgétaires directes supplémentaires ne représenteront que 13 milliards d'euros, le reste étant des mesures de trésorerie (reports de charges, prêts garantis, etc.).Malgré ce nouveau soutien, certains secteurs s'estiment oubliés, comme l'agriculture ou les transports publics.L'ONG environnementale Greenpeace regrette elle qu'à côté des plans pour l'automobile ou l'aérien, il y ait "toujours zéro pour la relance du ferroviaire".Récession, déficit et dette recordsOutre ces plans d'aides, le gouvernement est contraint d'aggraver encore ses prévisions économiques pour cette année. Il table désormais sur une récession de -11%, contre 8% de baisse du PIB anticipée il y a seulement quelques semaines.Les difficultés du secteur du tourisme devraient à elles seules amputer le PIB de quasiment un point cette année.Conséquence: avec des recettes fiscales qui vont fondre de 27 milliards de plus par rapport à l'estimation déjà en baisse du précédent budget rectifié, le déficit devrait encore s'aggraver à 11,4% du PIB et la dette publique gonfler à 120,9%, estime le gouvernement.Mardi, la Banque de France a elle tablé sur une chute d'environ 10% du PIB cette année. Si elle envisage un rebond de l'activité dès le troisième trimestre, le patron du Medef, appelle lui dans un entretien aux Echos à accélérer le déconfinement et à "réviser les protocoles sanitaires s'appliquant en entreprise".De son côté, le gouvernement souhaite mettre fin au 10 juillet à l'état d'urgence sanitaire, a annoncé Matignon mardi soir.Inquiétude du Haut conseil pour les finances publiquesLe Haut conseil des finances publiques (HCFP) s'inquiète que le gouvernement ait pu sous-évaluer les dépenses prévues pour faire face à la crise, et à l'inverse minimiser la perte de recettes attendues, dans son avis sur le troisième projet de budget rectifié pour 2020."Toutes les mesures de soutien de l'activité annoncées par le gouvernement, notamment certains plans sectoriels de relance, n'ont pas été traduites" dans ce projet de loi de finances rectificative (PLFR), écrit notamment le Haut conseil dans son avis publié mercredi au moment où le gouvernement présente son projet de budget rectifié en conseil des ministres.Par ailleurs, "une partie des mesures présentées comme des mesures de trésorerie pourrait finalement avoir un impact sur le déficit dès cette année", note-t-il.Or le gouvernement prévoit déjà que la dépense publique atteindrait 63,6% du PIB cette année, "un niveau jamais atteint au cours de ces 70 dernières années", souligne le HCFP.Côté recettes, le Haut conseil note que des "aléas négatifs" entourent la prévision du gouvernement d'une baisse de 27 milliards des rentrées issues des prélèvements obligatoires.En particulier, le gouvernement n'a pas révisé celles provenant de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux.De même, le gouvernement "fait l'hypothèse forte que les reports de quelques mois d'échéances fiscales et sociales ne donneront pas lieu à des abandons de créances significatifs en 2020, alors même que de nombreuses entreprises concernées par ces reports seront fragilisées par la chute de leur activité du fait de la crise sanitaire", prévient le HCFP.Déjà à plusieurs reprises inquiète de l'état des finances publiques, l'instance alerte enfin une nouvelle fois sur le fait que la dette, qui devrait gonfler à 120,9% du PIB selon le gouvernement, contre 98,1% l'an dernier, "fragilise la soutenabilité à moyen terme des finances publiques de la France et appelle une vigilance particulière".Il s'agit d'une "hausse massive" de la dette, a commenté mercredi lors d'une audition à l'Assemblée nationale le président du HCFP, Pierre Moscovici. Depuis la création de la zone euro, "un tel niveau de dette n'avait été atteint (...) que par très peu de pays", a-t-il souligné.En revanche, le Haut conseil apparait un peu plus optimiste que le gouvernement sur l'ampleur de la récession, attendue à -11% par le gouvernement.Il juge "prudente" cette prévision, estimant que le taux d'épargne des ménages "pourrait être inférieur au niveau exceptionnellement élevé prévu par le gouvernement pour 2020 (23,2 % contre 14,9 % en 2019), et donc la consommation plus élevée".De même il juge que "l'emploi pourrait être un peu plus élevé que prévu par le gouvernement", qui table sur 1,2 million d'emplois perdus en fin d'année.Au total, depuis la loi de finances initiale, "les prévisions se sont dégradées de plus de 12 points de croissance, de 9 points de déficit public et de 22 points de dette, c'est évidemment considérable (...), c'est à la hauteur du choc que nous traversons", a observé M. Moscovici, qui souhaite que "les missions, le champs de compétences et les moyens" du Haut Conseil soient renforcés.
Il y a 5 ans et 11 jours

Frumecar et l’UPTC créent une nouvelle chaire

La mission de la nouvelle chaire UPCT-Frumecar sera d’étudier le développement technologique des machines de production et de transport du béton. [©Frumecar] L’Espagnol Frumecar et l’Université polytechnique de Carthagène (UPCT), en Espagne ont signé un accord visant à créer une nouvelle chaire UPCT-Frumecar. La mission de cette chaire sera d’étudier le développement technologique des machines de production et de transport du béton. Elle se chargera de diffuser les recherches dans le domaine de l’industrie du béton. Formera les étudiants de l’UPCT et proposera des cours de formation, des conférences. Ainsi que sa coopération en matière d’éducation. Les lignes prioritaires de recherche seront la robotique collaborative, l’IoT et l’intelligence artificielle (machine learning). Ceci, afin de développer, dans un futur proche, des centrales à béton autonomes dotées de dispositifs d’intelligence et de communication. Qui activeront à la demande les commandes des automates de production, sans intervention humaine. Cette chaire permettra de participer à des projets nationaux et internationaux. Et de promouvoir des rencontres avec des spécialistes lors de journées et de congrès, aussi bien en Espagne qu’à l’étranger.
Il y a 5 ans et 11 jours

A Perpignan, relance musclée pour le BTP

Perpignan Méditerranée Métropole, la Ville de Perpignan et l’Office public HLM Perpignan-Méditerranée ont adopté un plan triennal de 750 millions d’euros en faveur du bâtiment et des travaux publics.
Il y a 5 ans et 11 jours

Le belge Besix aménagera l'une des principales gares du Grand Paris Express

"Besix France remporte le marché des travaux d'aménagement de la gare de Saint-Denis Pleyel du Grand Paris Express", a indiqué le groupe belge dans un communiqué."Le montant du marché attribué à Besix [est] supérieur à 100 millions d'euros", précise-t-il, confirmant des annonces effectuées en avril par la Société du Grand Paris, l'établissement public qui gère ce projet majeur d'urbanisme autour de la capitale.La gare de Saint-Denis Pleyel constitue l'une des principales stations de métro prévues dans le cadre de l'extension du réseau. Elle sera à la fois le nouveau terminus de l'actuelle ligne 14 et verra aussi passer les futures lignes 15, 16 et 17.La gare doit être prête début 2024 pour les Jeux Olympiques. Des travaux ont déjà commencé, notamment menés par le géant français Eiffage, mais Besix réalisera le gros du projet."Les travaux comprennent les importantes façades et la verrière, les voiries et réseaux divers, les corps d'état architecturaux -parachèvements- et les corps d'état techniques", dont les travaux d'électricité, a énuméré le groupe belge.
Il y a 5 ans et 11 jours

BMW sollicite Colas pour ses infrastructures routières en République tchèque

La filiale locale, Colas CZ, construit le site d’expérimentation de l’entreprise allemande d'automobiles. Les travaux impliquent de recourir à des solutions géotechniques particulières.
Il y a 5 ans et 11 jours

Colas réalise un site d'expérimentation pour la mobilité en République tchèque

INFRASTRUCTURE. Le groupe Colas participe actuellement à la construction du centre de développement de la mobilité du futur, l'un des plus grands d'Europe, dans l'ouest du pays.
Il y a 5 ans et 11 jours

Nouvelle offre du logiciel PV archelios™ PRO

Développé avec Cythelia Energy, division solaire de Trace Software, archelios™ PRO permet de dimensionner tout type de projet solaire de quelques kWc à plusieurs dizaines de MWc, sur toiture, en ombrière ou au sol.archelios™ Pro Free, Silver, Gold et Platinum : une nouvelle gamme de logiciels PV adaptée à chaque activitéQu'ils soient artisans, installateurs de petits projets, développeurs de grandes centrales solaires ou concepteurs occasionnels, tous les utilisateurs n'ont pas besoin des mêmes fonctionnalités. Avec la nouvelle gamme archelios™ PRO, Trace Software dote les professionnels d'un outil ergonomique et performant, adapté à la taille de leurs projets, avec des fonctionnalités dimensionnées pour leur activité.Une nouvelle offre archelios™ PRO élargie :archelios™ PRO Free : conception de projets jusqu'à 36 kWc sans 3Darchelios™ PRO Silver : conception de projets jusqu'à 100 kWcarchelios™ PRO Gold : conception de projets jusqu'à 1 MWcarchelios ™ PRO Platinum : dimensionnement de projets complexes illimitésL'une des grandes nouveautés de cette gamme est l'accès gratuit à la version archelios™ Pro Free.archelios™ Pro Free : un logiciel gratuit pour démarrer avec des petits projets PVQue l'on soit artisan, étudiant, ou encore jeune entreprise, et que les projets ne dépassent pas une puissance de 36 kWc, le logiciel archelios™ PRO Free est idéal.Le logiciel permet de concevoir des projets d'installations solaires raccordées au réseau ou en autoconsommation, mais également de fournir très précisément le calcul de productible et les indicateurs économiques associés. L'utilisateur bénéficie d'une base de données et de fonctionnalités qui l'assistent pour le dimensionnement des onduleurs et des modules en fonction du projet.Grâce à sa prise en main simple et ergonomique, archelios™ PRO Free est un excellent outil pédagogique pour les utilisateurs qui débutent dans la conception photovoltaïque.archelios™ Pro Silver, Gold et Platinum : des gammes premium pour les bureaux d'études et installateurs photovoltaïquesLes versions Silver, Gold et Platinum s'adressent aux bureaux d'études et aux installateurs photovoltaïques qui conçoivent des installations PV raccordées au réseau ou en sites isolés, en autoconsommation, avec ou non stockage d'énergie.La version archelios™ PRO Silver permet une conception rapide, notamment grâce à la modélisation 3D et détaillée des projets. Elle permet également de fournir très précisément le calcul de productible et les indicateurs économiques associés (LCOE, CGA, rentabilité, …). Les concepteurs disposent d'une large base de données de références multi-fabricants qui leur permet de réaliser le meilleur choix de matériel pour un rendement optimal de l'installation. Ils ont la possibilité d'exporter directement leur projet vers les logiciels de la suite archelios™ : archelios™ CALC et archelios™ O&M.Avec archelios™ PRO Gold les utilisateurs gagnent en temps de conception grâce à des fonctionnalités de saisie rapide et des outils de conception 3D automatiques, notamment pour le câblage des boîtes de jonction et des onduleurs. Accès aux bases de données météo et Google Maps comme pour la version Silver, gestion optimisée de l'autoconsommation, comparaison de projets, exports du projet en format AutoCAD et CSV et vers les autres outils de la suite, sont autant d'atouts qui permettent aux concepteurs de gagner en temps de conception et de livrer des projets ultra précis au plus proche, voire au-delà, des attentes de leurs clients.Bénéficiant des fonctions Silver et Gold, archelios™ PRO Platinum est de loin le logiciel le plus complet du marché des logiciels PV. Il dote les concepteurs de fonctionnalités uniques telles que l'optimisation de l'écrêtage, l'outil de terrassement en 3D et la gestion de grandes centrales multi-MWc. Pour les installations de grande envergure, c'est la garantie d'un projet rigoureux donc moins coûteux, maîtrisé et au plus proche des conditions de production, même pour les installations les plus complexes.Intégrez l'environnement 3D de votre projet en un clic avec 3D Maparchelios™ PRO est le seul logiciel du marché à proposer la fonctionnalité 3D Map qui permet d'intégrer automatiquement l'environnement 3D de votre projet en un clic, avec prise en compte automatique de la végétation et des bâtiments environnants pour une évaluation précise et rapide des pertes dues aux masques proches, sans besoin de visite de site. Un gain de temps impressionnant ! 3D Map est disponible sur Silver, Gold et Platinum.
Il y a 5 ans et 11 jours

Paris et Berlin veulent que l'UE garde la main sur ses données

Gaia-X, présentée jeudi par les ministres de l'Économie des deux pays, Bruno Le Maire et Peter Altmaier, sera une sorte de place de marché, où les entreprises européennes pourront trouver des services de "cloud" (informatique dématérialisée) respectant un certain nombre de critères et de normes européens.Le monde actuel des services de "cloud" est dominé par les grands acteurs américains, et les chinois comme Alibaba commencent à pointer leur bout de leur nez.La France et l'Allemagne ne veulent pas que les opérateurs européens se laissent définitivement distancer, alors que leur position est déjà faible sur certains marchés comme celui du "cloud" public.Ce dernier propose aux entreprises une ressource informatique bon marché et utilisable à la demande, grâce à la mutualisation de serveurs dans de gigantesques centres de données.Il est complètement dominé par des grands acteurs américains comme Amazon, Microsoft ou Google.L'une des grandes exigences qui s'appliquera aux fournisseurs de services de "cloud" présents sur Gaia-X sera la transparence sur leur juridiction de référence, a expliqué M. Le Maire jeudi lors d'une téléconférence avec son homologue allemand."Si les données" confiées au fournisseur de services cloud "sont concernées par une loi extra-territoriale, par exemple le +Cloud Act+ américain, alors ce devra être précisé", a-t-il indiqué.Le Cloud Act, une loi américaine de 2018, prévoit que dans certains cas, le gouvernement américain puisse demander aux fournisseurs de "cloud" la communications des données qu'ils hébergent, même si les centres de données en question sont situés hors des États-Unis.Une autre grande exigence sera celle de l'interopérabilité des services présents sur la plate-forme."Si vous n'êtes pas satisfait de votre fournisseur actuel de service cloud, ou que celui-ci devient trop cher, vous pourrez changer de fournisseur sans perdre des données", a expliqué Bruno Le Maire.L'idée des Européens est en fait de permettre l'émergence non de géants comme les opérateurs américains ou chinois, mais d'une galaxie d'opérateurs capables de fonctionner en réseau et d'apporter collectivement tous les services qu'Amazon, Microsoft, Alibaba et les autres concentrent aujourd'hui.Premiers pas début 2021L'objectif n'est pas seulement un objectif de souveraineté, mais aussi de performance économique, ont expliqué MM. Le Maire et Altmaier.Construire une infrastructure européenne représente "un point de départ pour la construction d'un écosystème européen de la donnée", ou ces informations peuvent circuler sans difficulté entre les acteurs économiques pour augmenter leur performance et créer de nouveaux services, a indiqué Peter Altmaier."Pour développer une voiture autonome vous avez besoin d'un grand nombre de données sur la sécurité routière", a illustré de son côté Bruno Le Maire."Pouvoir facilement échanger des données entre constructeurs européens" grâce à des infrastructures compatibles peut donc considérablement leur faciliter la tâche, a-t-il expliqué.Bercy espère que les premiers services estampillés "Gaia-X" verront le jour au premier semestre 2021.La gouvernance de Gaia-X sera pilotée par les 22 entreprises fondatrices, 11 allemandes et 11 françaises, qui représentent à la fois le monde des fournisseurs de services "cloud", mais aussi celui des utilisateur de ces services.En France, le projet est porté par des entreprises comme OVH, Scaleway, Dassault Systèmes (fournisseurs de services cloud), Orange, EDF, Docaposte, ou l'Institut Mines Telecom (IMT, école d'ingénieurs).En Allemagne, il est porté notamment par Deutsche Telekom, les industriels Siemens, Bosch et BMW, ou le géant du logiciel SAP.Les fournisseurs non-européens, et notamment les géants américains, pourront être présents sur la plate-forme s'ils respectent ses critères et ses conditions."Le sujet n'est pas d'exclure des acteurs, mais d'apporter de la transparence", a indiqué à l'AFP Alban Schmutz, vice-président d'OVH chargé des affaires publiques.Dans un communiqué commun, le Medef et la fédération industrielle allemande BDI ont salué l'avancement de ce projet, "qui devrait servir de modèle à d'autres initiatives numériques en Europe" et permettre de "renforcer la compétitivité des entreprises européennes".
Il y a 5 ans et 12 jours

Le directeur général de Guy Hoquet devient président

NOMINATION. Stéphane Fritz, qui était jusque là directeur général, a été nommé président du réseau d'agences immobilières Guy Hoquet. Il aura notamment pour tâche de développer l'offre "multi-services" de la société.
Il y a 5 ans et 12 jours

«Surcoûts : quelle règle dit que c’est au maître d’ouvrage de tout payer ?», Salvador Nunez, directeur d’Escota

Concessionnaire d’un des premiers réseaux autoroutiers construits en France, Escota, la filiale de Vinci Autoroutes, gère un réseau de 471 km traversant six départements dans le sud-est. Avant le confinement, la direction de la maîtrise d’ouvrage qui compte une quarantaine de salariés, avait en cours l’équivalent de 37 millions d’euros HT de travaux pour la maintenance du patrimoine et la création de nouveaux ouvrages. Son directeur, Salvador Nunez, appelle à la raison et invite à prendre son temps pour bien identifier et mesurer les surcoûts liés à la gestion de la crise.
Il y a 5 ans et 12 jours

Les professionnels du BTP lancent un cri d'alarme au gouvernement pour éviter l'effondrement du secteur

Les surcoûts liés à la mise en sécurité des compagnons sur chantier ne sont que rarement partagés, ce qui fragilise fortement les entreprises du BTP. A ce premier choc vient s’ajouter un second, en raison de l’effondrement de la commande publique comme privée. Si rien n’est fait, cette combinaison désastreuse se traduira inévitablement en septembre avec des entreprises en faillite et des salariés qui ne manqueront pas de grossir les rangs de pôle emploi.La construction représente près de 2 millions d’emplois et près de 500.000 entreprises, essentiellement des TPE/PME situées sur tout le territoire, dont la baisse d’activité a été comparable aux entreprises frappées par les fermetures administratives. Autant les premières mesures de soutien du gouvernement se sont avérées efficaces, autant, depuis plusieurs semaines, il tergiverse à prendre les dispositions qui s’imposent pour maintenir à flot un secteur essentiel à l’ensemble de l’économie du pays. Pour stimuler l’investissement des ménages, des acteurs privés et des collectivités publiques, la FNTP et la FFB demandent au gouvernement et aux parlementaires d’intégrer au projet de loi de finances rectificatif les mesures suivantes :La prise en charge des surcoûts liés au COVID-19 et l’annulation des charges fiscales et socialesLa mise en place d’un véritable mécanisme d’incitation à l’investissement local grâce au FCTVAUn plan massif de rénovation énergétique des bâtimentsLe relèvement des budgets consacrés au niveau national aux infrastructures et à la gestion de l’eau Le retour à un taux réduit de TVA à 5,5 % pour l’ensemble des travaux. Pour Jacques Chanut, Président de la Fédération Française du Bâtiment : « Le ministre de l’Économie et des Finances a annoncé que la question des surcoûts sera traitée mais nous n’avons toujours pas de précisions à ce stade. En tout état de cause, nous ne pouvons-nous contenter de demi-mesures. Quid par ailleurs des mesures de soutien aux comptes d’exploitation de nos entreprises ? Nous demandons l’annulation et non le lissage des reports de charges ce qui est justifié dans un secteur qui a été tout autant impacté par la crise que les secteurs fermés par décision administrative. Par ailleurs, nous souhaitons la mise en place au plus vite du grand plan d’accompagnement de la rénovation énergétique annoncé depuis plusieurs années. »Pour Bruno Cavagné, Président de la Fédération Nationale des Travaux Publics : « La priorité du gouvernement doit être donnée au soutien à la demande. Nous craignons, en effet, un effondrement des appels d’offres à la rentrée de septembre. Il convient donc de soutenir par tous moyens la commande publique locale, qui représente 50% de notre activité, voire plus de 90% pour de nombreuses TPE/PME. »
Il y a 5 ans et 12 jours

L'économie française devrait mettre au moins deux ans à se relever de la pandémie

"L'économie française est en train de remonter assez rapidement du plongeon brutal de mars, mais nous sommes loin d'être sortis d'affaire", a estimé le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau sur France Info."Comme l'ensemble du monde, (elle) a subi un choc d'une ampleur inédite au premier semestre 2020" avec le confinement strict mis en place mi-mars et levé mi-mai, constate la Banque centrale française dans ses projections macroéconomiques jusqu'en 2022 publiées mardi.Le rebond de l'économie dès le troisième trimestre ne suffira donc pas a éviter une récession inédite de l'économie cette année. Évaluée à -10%, cette prévision est proche des -11% anticipés par le gouvernement dans le troisième projet de loi de finances rectificative qu'il présentera mercredi en Conseil des ministres.Après cela, "2021 et 2022 seraient des années de redressement net mais progressif", prédit la Banque de France, avec une croissance de 7% prévue l'an prochain, puis une progression de 4% du PIB en 2022.Mais "ce fort rebond apparent ne permettrait pas de retrouver le niveau d'activité de fin 2019 avant mi-2022", prévient la banque centrale française.En effet, l'économie française doit redémarrer à partir d'un niveau historiquement désastreux. Après le recul du PIB de 5,3% au premier trimestre, selon l'évaluation de l'Insee, l'économie devrait plonger d'environ 15% au deuxième trimestre, prévoit la Banque de France.Elle est un peu plus optimiste que l'Insee qui table sur une chute de 20%.Car, selon la banque centrale, l'activité a rebondi au mois de mai, avec une perte d'activité estimée à -17% sur une semaine-type de la fin mai par rapport à la normale, contre -27% en avril et -32% fin mars.Et le mois de juin devrait confirmer cette tendance, avec une perte d'activité ramenée à -12%.Déjà, les fermetures de sites dans l'industrie "sont devenues marginales" et le bâtiment reprend "de façon très dynamique", note la Banque de France.La situation est plus contrastée dans les services, avec des secteurs toujours en difficulté, comme l'hébergement ou la restauration encore en partie confinés, et d'autres qui ont nettement rebondi, comme les services à la personne, le travail temporaire ou les services automobiles.Chômage historique mi-2021Mais l'élément "essentiel" de la reprise sera le rythme du rebond de la consommation des ménages. Il est "probable que la montée attendue du chômage et le contexte global de forte incertitude continuent de peser sur les comportements d'achats", juge la BdF.Avec une épargne cumulée autour de 100 milliards d'euros, le taux d'épargne des ménages dépassera les 22% cette année et la consommation reculera de 9,3%.Si le dispositif massif de chômage partiel mis en place par le gouvernement va quelque peu ralentir l'impact de la crise sur l'emploi et le pouvoir d'achat cette année, le taux de chômage devrait dépasser les 10% fin 2020, et grimper jusqu'à un pic supérieur à 11,5% à la mi-2021, un niveau "au dessus des précédents historiques", projette la Banque de France.Et là encore, il faudra attendre 2022 pour le voir redescendre à 9,7%. Le pouvoir d'achat devrait lui légèrement reculer de 0,5% cette année, avant de repartir à la hausse mais à un rythme bien plus faible que l'activité.L'ensemble de ce scénario de reprise repose sur une circulation du Covid-19 sous contrôle et une économie qui s'adapte aux contraintes sanitaires. Et il ne tient pas compte des futures mesures de relance que le gouvernement devrait prendre.M. Villeroy de Galhau a notamment plaidé pour la mobilisation de 10 à 30 milliards d'euros pour soutenir les fonds propres des entreprises "fragilisées financièrement" et très endettées.Cette reprise pourrait aussi être plus rapide si une solution médicale pérenne arrivait mi-2021, et si l'épargne des ménages se réduisait plus rapidement, a estimé le gouverneur. Ou à l'inverse, encore plus lente en cas de rechute sanitaire.
Il y a 5 ans et 12 jours

Grand Paris Express : Besix aménagera la gare Saint-Denis Pleyel

INFRASTRUCTURE. La Société du Grand Paris a attribué le marché d'aménagement de l'une des plus grandes gares de son réseau à Besix France.
Il y a 5 ans et 12 jours

Covid-19 : urbanistes, géographes et designers veulent inventer de nouveaux espaces de fête

"Danser, faire la fête, se serrer dans les bras... Toutes ces choses qui nous semblaient acquises, se sont évaporées du jour au lendemain", observe Technopol, l'association de défense des musiques électroniques et organisatrice de la Techno Parade, qui a lancé "Danser demain", collectif créé pour "penser la fête d'après".Pour Tommy Vaudecrane, président de Technopol, "il ne faut pas être inquiet pour l'avenir de la fête, mais pour la forme qu'elle prendra".Une première table ronde, organisée récemment sur Facebook et toujours disponible en replay, a déjà été suivie par plus de 60.000 internautes."Depuis l'apparition des musiques électroniques, on a dû les imposer en trouvant des circuits alternatifs. C'est une gymnastique dont on est familier", assure Tommy Vaudecrane."Pendant le confinement, la fête digitale s'est distinguée avec un public fidèle. Bob Sinclar, en mixant depuis chez lui en direct, a mis la pêche, même si on ne pourra pas se passer du vivre ensemble. Si demain, les fêtes de plus de 1.000 personnes restent interdites, que va-t-on faire ?", se demande le président de Technopol."Sortir la fête de ses murs"Pour le musicien Jean-Michel Jarre, pionnier des musiques électroniques, qui participe aussi au collectif "Danser demain", "le contact physique est irremplaçable. Les e-concerts sont des moyens de communiquer d'une autre manière, en attendant le réel".Parmi les autres intervenants du collectif, le géographe et urbaniste Luc Gwiazdzinski, professeur à l'université de Grenoble, estime que la crise sanitaire s'est attaquée au cœur même de ce qu'est une ville, mais aussi à la vie nocturne."La fête convoque les corps, les face à face, l'émotion... Le Covid met cela à distance. C'est un défi à la ville et à la nuit, posant de grosses difficultés pour ceux qui fabriquent la fête", dit à l'AFP le président du conseil scientifique de la Plateforme nationale de la vie nocturne, un club de réflexion réunissant des élus, experts, professionnels, universitaires..."Une des clés est la possibilité d'avoir accès à l'espace public: en ouvrant les parcs, en créant des rues réservées, tout en prenant en compte les riverains qui risquent de s'être habitués au silence...", ajoute Luc Gwiazdzinski."Si la fête veut s'en sortir, elle doit sortir de ses murs, récupérer l'espace public en partenariat avec les collectivités pour se diluer et éviter la saturation, sur des temps plus longs, dans la journée par exemple, avec aussi des micro-fêtes où on maîtrise mieux les règles sanitaires", suggère-t-il, suggérant par exemple d'investir toujours plus "des halles d'exposition ou des friches, d'autant que la fête, souvent à l'avant-poste, n'a pas attendu" pour gagner ces lieux. Le temps presse toutefois: "Dehors Brut", club électro parisien en plein air sur une friche de la SNCF près de Bercy, n'a pas résisté à la crise sanitaire et se retrouve en liquidation judiciaire.
Il y a 5 ans et 12 jours

Sanidoor® by Doortal élimine germes et bactéries sur les blocs-portes

Confrontée, comme la majorité des entreprises industrielles de l'Hexagone, au ralentissement de ses activités avec l'apparition du coronavirus et la mise en application du confinement, l'entreprise Doortal a mis à profit ce temps de crise pour innover. Spécialisée dans la fabrication de blocs-portes métalliques pour les lieux publics et sites sensibles, l'entreprise investit en moyenne 1,5 M€ chaque année dans la recherche et le développement de nouveaux produits toujours plus performants.« L'innovation est dans notre ADN », affirme Johnny Guilhot, gérant associé. Une véritable marque de fabrique, que les équipes de Doortal ont apposée cette fois en un temps record, afin de répondre à l'urgence de la situation sanitaire. En l'espace de six semaines, elles ont mis au point, avec leurs partenaires, SANIDOOR® by Doortal : une solution globale antibactérienne capable d'éliminer jusqu'à 99% des germes et bactéries sur les blocs-portes.Un traitement breveté pour une gamme haute sécuritéPour être en mesure de proposer cette nouvelle offre, pourvue de traitements testés et certifiés en laboratoires agréés, l'entreprise Doortal a sélectionné des matériaux et procédés antimicrobiens permettant d'offrir une solution innovante adaptée aux règles d'hygiène anti-infectieuses.L'entreprise est dès à présent en mesure de proposer le système de thermolaquage SANIDOOR® sur l'ensemble de sa gamme de blocs-portes métalliques techniques. Formulé à partir d'une poudre d'ions d'argent actifs, ce revêtement de peinture provoque, par son action antimicrobienne, la destruction des bactéries selon un mécanisme d'action en 3 phases : blocage des échanges cellulaires, arrêt de la respiration des cellules, blocage de la division cellulaire.Un traitement antibactérien sans substance nociveMais au-delà du bloc-porte, c'est aujourd'hui l'ensemble des équipements proposés dans la gamme SANIDOOR® by Doortal qui permet de proposer aux professionnels du bâtiment une solution parfaitement sécurisée. Pour relever ce défi, Doortal a fait appel à ses partenaires scrupuleusement sélectionnés pour la fourniture de poignées de porte et de barres anti-panique. « Dans un bâtiment accueillant quotidiennement un très large public, plusieurs centaines de personnes vont en effet poser la main sur ces éléments et peuvent donc transmettre les microbes dont elles sont éventuellement porteuses. » souligne Johnny Guilhot.Ainsi, le revêtement antibactérien des poignées SANIDOOR® contient des ions métalliques qui préviennent la prolifération des germes. Conçu pour une application sur le métal, il comprend un vernis qui élimine les bactéries, virus et champignons, sans aucune substance nocive. Il en va de même pour les barres anti-panique dont le traitement antibactérien, totalement inoffensif pour l'homme, repose sur l'émission lente et constante d'ions d'argent, capables de pénétrer l'organisme microbien et de bloquer sa reproduction.Une gamme adaptée pour les milieux exigeantsPourvus de ce traitement breveté, les équipements SANIDOOR® by Doortal constituent une solution globale efficace pour tous les bâtiments où l'activité microbienne est redoutée. Peu présente jusque-là dans l'univers de la santé, l'entreprise compte sur cette gamme parfaitement adaptée aux enjeux du milieu médical pour s'imposer dans les hôpitaux, cliniques, cabinets médicaux, ehpad… « Notre solution constitue une protection active pour réduire de façon radicale le risque de contagion, notamment dans les bâtiments publics où la propagation des maladies infectieuses est facilitée par une forte concentration bactérienne sur les poignées et barres de poussée », affirme le gérant associé de l'entreprise.Néanmoins, la cible potentielle de SANIDOOR® by Doortal est beaucoup plus large. Bien que le déconfinement s'engage dans l'Hexagone, l'épidémie de coronavirus continue de susciter de très nombreuses inquiétudes dans la population. Les établissements scolaires, les restaurants, les hôtels, les centres de sport, les bâtiments des administrations… représentent ainsi autant de débouchés naturels pour Doortal. Des marchés sur lesquels l'entreprise entend se positionner, en s'appuyant sur un réseau de prescripteurs du bâtiment, au premier rang desquels on retrouve les architectes DPLG, architectes d'intérieur et promoteurs. « Nous visons le marché hexagonal dans l'immédiat », conclut Johnny Guilhot, qui ne ferme cependant pas la porte à d'autres développements à terme.
Il y a 5 ans et 12 jours

Nomination d’Arnold Jacquier, DAF Onduline

Arnold Jacquier est nommé Directeur Administratif et Financier (DAF) du Groupe Onduline, spécialiste mondial de l’étanchéité des toitures. Arnold Jacquier a commencé sa carrière chez PwC dans l’audit puis en « Transaction Services » à Paris et Londres, où il a travaillé sur plus de 50 transactions pour des clients Corporate et Private Equity. Il est nommé DAF de RLD (une société sous LBO de 150M€ et 2 000 salariés) en 2011, puis il est recruté comme DAF de Soflog (une société sous LBO de 185m€ et 1 800 salariés) en 2015. Arnold est diplômé d’Audencia, formation complétée par un DESCF. Pour Patrick Destang, CEO d’Onduline : « Depuis le rachat de Onduline par Naxicap et Nextstone fin 2018, nous avons écrit une nouvelle feuille de route pour le groupe, qui vise à augmenter sensiblement notre chiffre d’affaires et notre rentabilité via une croissance interne accélérée et des acquisitions. L’objectif du groupe est de s’appuyer sur sa très large implantation internationale (plus de 32 filiales dans le monde) pour consolider sa position de spécialiste de l’étanchéité des toitures, en se développant sur des solutions pour les toits en pente, mais également pour les toits plats ». « Arnold vient compléter le comité exécutif du groupe et nous apporte une expérience solide de pilotage des performances dans un contexte de LBO, et d’expérience sur les sujets d’acquisition et de croissance/évolution du portefeuille d’activité ». Onduline est un spécialiste mondial de l’étanchéité des toitures, avec 32 filiales commerciales dans le monde, 9 usines de production sur 5 continents, 250M€ de CA et 1 800 salariés. Plus de 85% de son chiffre d’affaires est réalisé en dehors de France. L’offre produit inclut des plaques de couverture légères à base de fibre de cellulose recyclées, des plaques transparentes en polycarbonate et pvc, des membranes d’étanchéité pour les toits plats, et des films/écrans de sous-toiture.
Il y a 5 ans et 12 jours

Intermat : le salon mondial de la Construction se prépare pour 2021

Intermat, salon triennal dédié à la construction et aux infrastructures du BTP et de matériels de chantier, prépare activement son édition 2021 malgré les incertitudes liées à la pandémie.
Il y a 5 ans et 13 jours

"Nous serons au rendez-vous" de 2024, assure la Solideo

PARIS 2024. Le maître d'ouvrage des installations olympiques affirme être parvenu à s'adapter durant la crise sanitaire, et avoir franchi des étapes significatives. Ce qui lui permet de maintenir son calendrier, avec en ligne de mire la livraison des infrastructures au premier trimestre de l'année 2024.
Il y a 5 ans et 13 jours

De Rouen à Saclay, l'urbanisme transitoire continue sur sa lancée

MÉTHODE. L'urbanisme transitoire a décidément le vent en poupe. Si SNCF Immobilier est familier du concept, pour avoir, via sa filiale Espaces ferroviaires, "activé" nombre de friches situées dans la capitale, mais pas seulement, d'autres acteurs s'engagent dans cette voie, à l'image de Paris-Saclay qui a lancé Version bêta, une "démarche globale d'urbanisme transitoire à l'échelle de l'Opération d'intérêt national", dont le premier marché est lancé ce mois-ci.
Il y a 5 ans et 13 jours

Premier contrat en Croatie pour Colas Rail

La filiale croate du groupe reconstruira 2,4 km de voies ferrées. Le montant total de l’opération s’élève à 5,5 M€.
Il y a 5 ans et 13 jours

Un troisième stade achevé pour le Mondial-2022 au Qatar

Cette annonce intervient alors que le petit pays du Golfe marque vendredi le troisième anniversaire de l'embargo terrestre, maritime, aérien imposé par l'Arabie saoudite, Bahreïn, les Émirats arabes unis et l'Égypte. Ces pays accusent Doha d'être trop proche de l'Iran, rival régional de Ryad, et de soutenir des islamistes radicaux, ce que le Qatar dément.Situé dans la ville d'Al Rayyan, à l'ouest de Doha, le stade devait initialement être inauguré le 18 décembre 2019 à l'occasion de la seconde demi-finale du Mondial des clubs.Mais le stade, intitulé "Education City" en raison de sa proximité avec une université et ses campus, n'a pas été homologué à temps par les autorités.Après la tenue du Mondial-2022, la moitié des 40.000 sièges du stade seront donnés à des pays en voie de développement afin de les aider à construire des infrastructures sportives.Cinq stades sont encore en construction au Qatar, qui accueillera en novembre et décembre 2022 le plus grand rendez-vous du monde du football.
Il y a 5 ans et 13 jours

Reprise d’activité post Covid-19 : le réseau Initial 100% opérationnel

Né à l’initiative de Kawneer en 1994, le réseau INITIAL regroupe des fabricants indépendants experts de la menuiserie en aluminium prête à poser. Grâce à leur mobilisation et au soutien de Kawneer, gammiste reconnu, les membres du réseau INITIAL n’ont cessé de travailler durant la période de confinement et abordent la reprise d’activité en étant 100% opérationnel avec des commandes fabriquées, prêtes à livrer ! Le réseau INITIAL, les experts de la menuiserie aluminium prête à poser, 100% opérationnel Créé par Kawneer il y a près de 30 ans, le réseau INITIAL constitue une véritable communauté de fabricants indépendants experts de l’aluminium, bien implantés localement, qui représente la marque INITIAL avec l’offre 100% alu la plus large du marché. Au fil des années, le réseau INITIAL, à taille humaine, a su s’adapter à l’évolution du marché de la menuiserie aluminium. Il s’est professionnalisé à la fois par des investissements (surface de production, équipements, outils industriels…) mais également dans son approche du commerce et du service. 10 sites industriels de fabricants de menuiseries aluminium prêtes à la pose, répartis sur le territoire français, réalisent plus de 2500 menuiseries prêtes à poser par mois sans compter les productions spéciales telles que vérandas, extensions d’habitat, châssis grandes dimensions, portes-repliables, gardes corps, murs- rideaux… pour les professionnels poseurs et les distributeurs spécialisés. Aujourd’hui mature, ce réseau d’entrepreneurs nés a démontré toute son agilité dans sa capacité à maintenir l’activité et apporter le savoir-faire, le service et la qualité attendus par ses clients en portant haut et fort les couleurs d’Initial. Toutes ces entreprises et leurs équipes se sont mobilisées pour surmonter la période de crise de ces deux derniers mois en réussissant à fabriquer et à livrer leurs clients poseurs dès la reprise de leur activité. « Avant le confinement, notre carnet de commande était bien rempli. Nous avons fermé le 18 mars au soir mais dès le 23 mars, j’ai repris contact avec mes fournisseurs pour savoir s’ils étaient en mesure de me livrer la matière première pour continuer mon activité et servir les clients restés ouverts. Après avoir mis en place les protocoles sanitaires afin d’assurer la sécurité de tout le personnel, nous avons ainsi repris à mi-temps dès le 31 mars. Dès l’annonce de la date du déconfinement, toute l’entreprise a repris le 27 avril à 100%. Grâce à notre faculté d’anticipation et d’adaptation, nous avons aujourd’hui rattrapé tout le retard pris lors de cette période et nous sommes revenus dans des délais habituels de livraison de 3 à 5 semaines », témoigne M. Jaap Van Linschoten, gérant de la société MBR basée à Alès, membre du réseau depuis 1996, employant 16 salariés. INITIAL, un réseau profitable aux valeurs fortes, prêt à relever tous les défis Les membres du réseau INITIAL véhiculent l’ADN de la marque basé sur des valeurs fortes et respectées par tous telles que : • le service, avec des offres sur-mesure, adaptées ; • la qualité, avec une charte qualité étudiée et revendiquée ; • la proximité, avec une identité locale, une notoriété et une reconnaissance sur leurs terres ; • le respect des délais et des engagements ; • l’expertise technique. Initial, dans le top 3 des réseaux de fabricants de menuiseries prêtes à poser 100% aluminium, est aujourd’hui un réseau profitable, prêt à relever tous les défis. C’est pour cela que Kawneer souhaite dynamiser davantage le réseau avec pour objectif d’atteindre 15 à 20 membres d’ici 2021. La course n’étant pas au nombre mais au respect des valeurs fondamentales qui constituent l’ADN de ce réseau et de la marque INITIAL. http://www.initial-fenetres.com
Il y a 5 ans et 16 jours

Le député européen Yannick Jadot attaque Bruno Le Maire sur Renault et la rénovation des bâtiments

"Les Français ne comprennent pas que l'État, une nouvelle fois mettent des milliards et des milliards dans l'automobile et que ça conduise à 5.000 suppressions de postes" chez Renault, s'est emporté M. Jadot au cours de l'émission politique "Vous avez la parole"."On a eu le scandale du diesel, l'explosion des SUV et là vous nous refaites le même plan de relance sans penser la relocalisation autour du recyclage de l'automobile et des services de l'automobile", a poursuivi le leader écologiste."Il faut savoir ce qu'on veut, si Renault ferme ou pas, Renault joue sa survie, et la responsabilité du ministre de l'Économie, c'est de lui apporter son soutien pour qu'elle puisse vivre", lui a rétorqué le ministre de l'Économie, qui a signé cette semaine une garantie de l'État pour un prêt de cinq milliards d'euros au constructeur automobile en difficulté."Nous avons demandé à Renault de faire des relocalisations, le moteur 100 kilowatts qui devait être produit en Chine sera produit à Cléon. Renault multipliera par 4 ou 5 le nombre de véhicules électriques produits en France", a assuré Bruno Le Maire."Dans votre parti, j'entends certains qui disent que les véhicules électriques ne sont pas l'avenir, alors c'est quoi, la trottinette?", a-t-il lancé à son détracteur.L'eurodéputé vert a ensuite déploré que sur la rénovation thermique du bâtiment, le gouvernement ait "réduit le budget, alors que c'est un sujet éminemment consensuel", selon lui."Il y a 12 % de notre population qui vit dans la précarité énergétique, on a six millions de passoires énergétiques. On a des bâtiments publics, des écoles notamment, qui ne sont pas rénovés", a dénoncé M. Jadot."On a là un potentiel extraordinaire de créations d'emplois, d'amélioration du pouvoir d'achat, d'aménagement du territoire", a-t-il répété.Bruno Le Maire a indiqué qu'il y aurait des mesures pour le bâtiment au sein des 40 milliards de dépenses supplémentaires destinées à soutenir les secteurs les plus touchés par la crise du coronavirus. Elles seront présentées le 10 juin dans le projet de budget rectificatif, a-t-il précisé."La rénovation thermique des bâtiments, ça peut être le projet phare de la relance verte de la France", a estimé le ministre.
Il y a 5 ans et 16 jours

Quelles solutions pour concevoir des bâtiments répondant aux nouveaux enjeux sanitaires ?

Patrick Nossent, président de Certivéa : « Alors que le pays entame un long processus de déconfinement, un retour possible au bureau, à l'école, dans les magasins impose des réaménagements et changements d'usages en urgence au sein des bâtis. Mais pour répondre à ces enjeux sanitaires sur le long terme, nous devons aller plus loin et concevoir des bâtiments sains et performants, qui assurent une fonction de refuge, en temps de crise mais pas seulement. »Qualité sanitaire, flexibilité, connectivité, services : l'avènement du bâtiment refugePatrick Nossent : « L'Organisation Mondiale de la Santé définit la santé comme un état de bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie. La santé passe donc par le confort, la qualité des services, mais également la protection contre les évènements climatiques extrêmes. Qualité du bâtiment, flexibilité des espaces, connectivité et bonnes pratiques vont jouer un rôle central pour la qualité de vie des occupants. »1. Les qualités intrinsèques du bâtiment : qualité de l'air intérieur, de l'eau et de l'entretien des espacesVentilation, filtres, mesure de la qualité de l'air intérieur ;Mesure de la qualité de l'eau, traitements d'entretien et décontamination des réseaux intérieurs pour éviter l'altération des propriétés organoleptiques (odeur, couleur, goût, etc.), la modification des caractéristiques physico-chimiques (température, dureté, concentrations en métaux et composés organiques et contamination microbiologique ;Mesure des polluants ; mesure des seuils d'ondes électromagnétiques ;Matériaux antibactériens et faciles à entretenir ; espace de stockage des déchets, etc.2. Accessibilité et flexibilité du bâtiment pour s'adapter aux besoins des usagerAménagements intérieurs modulables pour la gestion des flux de personnes, l'espacement des postes de travail ;Modularité des usages d'un bâtiment, en particulier bâtiment public : de salle communale à lieu d'accueil pour sans-abris, de centre de congrès à hôpital de campagne, de village vacance à centre de quarantaine, etc.3. La connectivité et le numérique pour garantir le maintien de toutes les interactions, en toutes circonstancesPour organiser le télétravail, nécessité de pouvoir compter sur des réseaux sécurisés, fiables avec des outils de partage et de collaboration en ligne ;Services d'informations pour favoriser l'application des consignes sanitaires : nombre de personnes dans une salle, un étage, le nombre de voiture dans un parking ; montres connectées pour signaler la distance de sécurité ; état du trafic des réseaux de transports en commun pour éviter la cohue, etc.Ouverture des portes sans contact ;Nettoyage automatique des espaces sanitaires, etc.4. Les services associés et bonnes pratiques pour préserver la santé et favoriser le mieux-êtreDémarches d'amélioration de la Qualité de Vie au Travail en entreprise avec politiques de sensibilisation aux enjeux sanitaires ; cellule d'écoute psychologique ;Cabine médicale connectée pour bénéficier d'une téléconsultation ou check up santé ;Salles de sport, salles de sieste, espace de restauration collective de qualité ;Ergonomie des postes de travail, etc.Chocs sanitaires et climatiques : comment se prémunir durablement ?Le bâtiment doit permettre aux usagers de gérer les chocs climatiques comme sanitaires dans les meilleures conditions possibles. Les innovations en construction / rénovation et les règlementations incluent progressivement ces réalités.Mais le secteur doit surtout participer à l'amélioration durable des cadres de vie. Cela suppose un engagement multi thématiques : sobriété énergétique et installations bas carbones, préservation de la biodiversité, santé et confort des usagers, performance économique des territoires, sont autant d'enjeux interconnectés.Pour accompagner les professionnels dans la prise en compte de l'ensemble de ces problématiques, la règlementation ne suffit pas à elle seule. Les certifications volontaires en développement durable (HQE, R2S, OsmoZ) offrent des cadres méthodologiques, des solutions de gestion de projet, des grilles d'évaluation, des référentiels de bonnes pratiques exemplaires et des outils pour valoriser les efforts entrepris par les professionnels.Patrick Nossent : « Construire et préserver un cadre de vie durable et résilient suppose qu'on agisse de manière globale sur la qualité de vie, la préservation de l'environnement et la performance économique. La certification des bâtiments privés ou publics et des infrastructures sur les enjeux de développement durable permet aux professionnels d'apporter une réponse holistique à ces enjeux. »
Il y a 5 ans et 16 jours

Des VRV à condensation à eau pour climatiser les nouveaux locaux de Multiburo à Montparnasse

Une installation peu courante : des VRV à eauC'est dans le cadre d'un vaste projet de transformation du quartier de la gare Montparnasse que la SNCF Gares et Connexion a proposé la location de nouveaux espaces commerciaux en lieu et place de ses anciens bureaux.Multiburo, spécialiste de la location de salles de réunions et d'espaces de coworking, s'est installé dans la plus grande surface commerciale de la gare Montparnasse. Sur 1 600 m², des 19.000 m² de superficie totale de la galerie commerçante, Multiburo propose :11 salles de réunion35 bureaux locatifsune zone de coworking pouvant accueillir jusqu'à 30 personnes.Il s'agit de la 27e surface Multiburo ouverte en France, et la 3e en gare parisienne.Dans son cahier des charges concernant l'installation de confort climatique au sein de ses locaux, équipement prégnant au vu de son activité de loueurs d'espaces conviviaux, Multiburo avait pour exigences :Confort acoustique essentiel pour offrir un service de location de bureaux calmesConfort thermique individualisé avec thermostat déportéL'ensemble de la zone commerciale de la Gare Montparnasse est connecté sur boucle d'eau, donc de fait, imposée aux commerçants preneurs. Les installations extérieures sont interdites par manque de place, et en raison du caractère patrimonial de la bâtisse qui est classée.La recommandation d'Erwan Mener, EMD Conseil (AMO) intervenant pour Multiburo, a porté sur l'installation d'un VRV à condensation eau Daikin raccordé sur boucle d'eau, une installation peu courante et différente de celle privilégiée par les autres commerçants de la gare préférant un système PAC classique sur boucle d'eau.Bien que ne l'ayant jamais préconisé jusqu'à présent, Erwan Mener a été séduit par une installation similaire visitée à Séville, avec des avantages pluriels comparativement à un système plus classique, notamment celui d'afficher un excellent ratio confort / récupération d'énergie.Le VRV à condensation eau Daikin allie performance et économie d'énergie grâce à la pluralité de nombreuses technologies telles que l'Inverter. De plus, les groupes des VRV eau ne nécessitent qu'un réseau hydraulique direct et court, alors qu'un groupe traditionnel aurait demandé d'opérer un raccordement derrière chaque terminal intérieur. L'installation VRV s'avère plus simple à réaliser, avec moins de contraintes, et moins coûteuse en termes de mise en œuvre pour la maîtrise d'ouvrage.L'installateur, Spie Industrie Tertiaire, a donc procédé à la mise en place de 5 VRV à eau 3 tubes RWEYQ10T9Y1B dont les groupes, très compacts, sont contenus dans un local technique.Chacun reste maître de son confort thermiquePour que ses clients puissent travailler dans l'ambiance qui leur convient le mieux, Multiburo a souhaité qu'ils puissent choisir eux-mêmes la température de leur espace de travail.L'air est distribué dans les différentes pièces grâce à 59 unités cassettes (600 x 600) réparties sur l'ensemble de la zone. Ces cassettes permettent une diffusion de l'air individualisée, pour un confort optimal et adapté à chacun des clients.42 télécommandes MADOKA ont été installées, apportant une touche design aux espaces de travail. Très instinctives, elles sont laissées à la disposition des clients qui peuvent réguler la température selon leurs besoins.Un niveau sonore extrêmement réduitDésireux d'offrir à ses clients une ambiance de travail calme et propice à la concentration, Multiburo s'est tourné vers la marque Daikin pour installer des solutions très silencieuses. La technologie à détente directe du système VRV mis en place assure un niveau sonore beaucoup plus faible qu'un système de PAC air/eau.La solution VRV à eau de Daikin est donc apparue comme la solution idéale, au vu de ses performances acoustiques, pour un espace de coworking.Daikin et Multiburo n'en sont pas à leur première collaboration : les espaces de la Gare de Lyon et de Saint Lazare ont également été équipés de solution Daikin.
Il y a 5 ans et 16 jours

Le patron de SNCF Réseau n'a pas convaincu les sénateurs

FERROVIAIRE. A l'issue de l'audition, le 3 juin, du nouveau P-DG du gestionnaire d'infrastructure Luc Lallemand, la commission de l'Aménagement du territoire et du Développement durable du Sénat estime que de trop nombreuses incertitudes subsistent.
Il y a 5 ans et 16 jours

L'UFME élit son Président Bruno Cadudal et constitue son nouveau Bureau

Après des années d'aides fiscales dédiées à la fenêtre, la profession est entrée depuis deux ans dans une nouvelle ère. Souhaitant que l'UFME prenne une nouvelle dimension dans les débats de demain, Bruno Cadudal se fixe pour missions de :développer le réseau d'adhérents afin de renforcer sa représentativité et notamment sur les sujets liés à l'environnement,consolider sa position auprès des instances du secteur (Pôle Fenêtre, CSTB, DHUP, FCBA, AIMCC, EPPA…),permettre à chacun de participer aux travaux et échanges, quelle que soit la taille de l'entreprise, et de poursuivre son ouverture vers les extrudeurs gammistes et professions associées.« L'optimisation thermique des bâtiments reste le fer de lance de la fenêtre. Mais d'autres sujets émergent et nous occuperont dans les prochaines années. Tel est le cas de la question environnementale et du recyclage des menuiseries, sans oublier le confort que le ménage français est en droit d'attendre pour son logement.L'UFME aura de nombreux enjeux dont la revalorisation de la fenêtre PVC par exemple. Depuis 2019, la section concepteurs gammistes, rassemblant l'ensemble des acteurs de la profession, s'est mobilisée pour favoriser la revalorisation du matériau PVC. Le volet social et formation assuré depuis 2007 par l'UFME prend depuis ces derniers mois une nouvelle orientation. Même si cette mission reste plus méconnue, la gestion de la Convention Collective Menuiserie Charpente est une autre facette de nos compétences, très importante et nous offre toute légitimité pour porter haut et fort la fenêtre bois française de qualité auprès de l'ensemble des instances nationales (FCBA, Ministère …). », déclare Bruno Cadudal.Bruno Cadudal est Président d'Atlantem, activité menuiserie du Groupe HERIGE depuis dix-huit ans. Issu d'une formation d'ingénieur agro-alimentaire (ENSAIA - 1987), complétée d'un master de management (ICG - 1995), il a débuté sa carrière dans l'industrie agro-alimentaire à l'étranger pendant quatorze ans (Nouvelle-Zélande et Etats-Unis) puis en France (Lactalis et United Biscuits). Il s'est investi depuis plus de dix ans dans les actions de l'UFME et est notamment à l'initiative du baromètre d'activité, indicateur d'activité permettant chaque mois aux adhérents de se positionner par rapport au marché français. Il participe au développement et renouveau du salon Equip'baie et est impliqué dans les relations avec les partenaires de l'UFME tels que le SNFA. Ses nombreuses années en tant qu'administrateur et membre du Bureau lui ont permises d'acquérir une profonde connaissance du fonctionnement de l'UFME.La constitution d'un nouveau bureauBruno Cadudal a nommé les Présidents des Commissions :Hugues de Forges à la Commission technique (nouveau nommé),Jean-Marc Combes à la Commission sociale et formation,Patrick Sage à la Commission communication.Le Conseil d'Administration a également validé la composition du Bureau de l'UFME :Patrick Bouvet, Vice-PrésidentVincent Pasquet, TrésorierFrançois Guérin, Secrétaire Général (nouveau nommé)Jos Lenferink, Représentant de la Section extrudeurs gammistesFrançois de Labarthe, Représentant de la Section professions associées.
Il y a 5 ans et 16 jours

"Il n'y a pas de projet alternatif" pour le Triangle de Gonesse (Patrick Renaud)

ENTRETIEN. Le président de l'agglomération Roissy Pays de France répond aux accusations des associations environnementales qui ont attaqué le Scot du territoire. Les deux projets au centre de la discorde, l'urbanisation du Triangle de Gonesse et la création d'un quatrième terminal à l'aéroport, sont indispensables, assure l'élu.
Il y a 5 ans et 17 jours

Les TPE à la peine mais toujours motivées pour se développer

ETUDE. Initiative France, réseau associatif de financement et d'accompagnement des entrepreneurs, livre les résultats d'une étude sur les conséquences de la crise sanitaire, les besoins et les perspectives pour les TPE. Téléchargez l'infographie et l'étude.
Il y a 5 ans et 17 jours

Les conséquences du "choc covid" sur la stratégie de SNCF Réseau

L'ESSENTIEL EN 3 POINTS. P-DG du gestionnaire d'infrastructure ferroviaire depuis le 1er mars 2020, Luc Lallemand était auditionné au Sénat le 3 juin. L'occasion d'aborder la situation financière du groupe, les besoins en investissement, et la vision stratégique à dessiner. Le tout en prenant en compte l'impact de la crise sanitaire.
Il y a 5 ans et 17 jours

Le monde d'après : l'architecte japonais Shigeru Ban appelle à repenser les habitats d'urgence

En cas de séisme, tsunami, violente tempête ou inondation dans un contexte pandémique, "les centres d'évacuation représenteraient des lieux à haut risque" d'infections en raison des attroupements de gens, avertit l'architecte de 62 ans interrogé par l'AFP."Gérer la situation avec quelques jours de retard serait rédhibitoire", ajoute-t-il, recommandant par conséquent d'anticiper des infrastructures adaptées.Lui et ses équipes ont conçu des espaces individuels, cloisonnés par des tentures suspendues à de longs tubes en papier: un système spartiate mais souple, récemment testé dans un gymnase de la ville de Yokohama (sud-ouest de Tokyo) pour héberger des personnes démunies lors de la crise du Covid-19.Les autorités japonaises par exemple ont été tellement accaparées par la crise sanitaire qu'elles n'ont pas anticipé le scénario d'une catastrophe naturelle en période de pandémie, selon l'architecte: "C'est seulement récemment que les gens ont commencé à se demander ce qu'il faudrait faire en cas de séisme"."Je sais que ce n'est pas facile mais je pense que nous devons y réfléchir", insiste-t-il.Lauréat du prix Pritzker en 2014, la plus prestigieuse récompense en architecture, Shigeru Ban propose des solutions innovantes d'habitat d'urgence depuis plus d'un quart de siècle et aux quatre coins de la planète, du Japon à la Turquie en passant par Haïti et le Rwanda.Ému par le printempsIl est notamment connu pour sa "cathédrale de carton" de Christchurch, structure semi-temporaire construite après le séisme dévastateur de 2011 en Nouvelle-Zélande.Mais il a aussi conçu des bâtiments permanents, comme en France le musée d'art contemporain Centre Pompidou-Metz ou la salle de spectacle La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt, avec son associé Jean de Gastines.En mars, Shigeru Ban devait justement s'envoler pour Paris, où son bureau européen est installé, mais a renoncé en dernière minute à son déplacement devant le confinement imminent de la France.Depuis, il n'a pas cessé de travailler, sept jours sur sept: son bureau à Tokyo n'est qu'à cinq minutes à pied de son domicile."Je ne fais rien d'autre que travailler. Je n'ai pas de loisirs et je ne fais rien de spécial à cause de la situation dans laquelle nous sommes".Ce temps suspendu est toutefois aussi l'occasion pour lui de poser son regard sur la nature environnante et le rythme des saisons au Japon, pour la première fois depuis une éternité."C'est probablement la première fois depuis 16 ans que je reste au Japon pendant plus d'un mois d'affilée. J'ai été très ému par la beauté de l'arrivée du printemps", confie-t-il.Mirages de la technologieMais le travail sur le terrain lui manque. "Il est dangereux d'essayer de tout résoudre avec la technologie. Il est faux de croire que l'on n'a pas besoin de se rencontrer en personne parce qu'on a la vidéoconférence", prévient-il."Faire des modèles 3D sur ordinateur n'a rien à voir avec le fait de créer une véritable maquette ou de fabriquer un objet avec les matériaux en main", ajoute-t-il. "Il faut pouvoir être capable de créer en ressentant les matières et leur poids".Il déplore aussi le manque d'ouverture sur le monde des étudiants japonais, une attitude risquant de se renforcer encore avec la pandémie selon lui."Ce serait vraiment grave si les étudiants japonais se repliaient sur eux-mêmes et n'allaient plus à l'étranger sous prétexte qu'ils sont bien au Japon. C'est ce qui me préoccupe le plus"."Il faut plus que jamais se tourner vers l'extérieur, se mélanger et échanger avec des personnes différentes", insiste celui qui a étudié l'architecture aux Etats-Unis.Le Japon a été relativement épargné par la pandémie, avec environ 17.000 cas de contamination recensés et 900 morts depuis le début de la crise sanitaire.L'état d'urgence avait été déclaré par le gouvernement en avril, et a été levé par étapes à partir de la seconde quinzaine de mai.
Il y a 5 ans et 17 jours

Les seules scies sur table avec aspirateur intégré pour une coupe à sec et sans poussière

Depuis la fin d’année 2019, ATDV a repris une nouvelle carte très prometteuse sur le marché. Déjà beaucoup plébiscitée dans l’Europe et l’Amérique, la société est maintenant en mesure de proposer des scies sur table iQ pour couper tous types de carrelages, de la brique, des pierres du béton et des pavés etc.. Trois modèles sont disponibles suivant le besoin de l’utilisateur. La grande innovation de ses produits ? Ce sont les seules scies sur table au monde avec un système d’aspiration cyclonique intégré. Elles permettent une coupe à sec et sans poussière et donc de travailler en intérieur et en extérieur. Grâce à ce nouveau système l’utilisateur sécurise ses voies respiratoires, garde son champ de vision dégagé et travaille plus rapidement. De plus, les scies sont simples à transporter et l’utilisateur n’aura plus de nettoyage à effectuer en fin de chantier. De quoi changer la vie de beaucoup d’entreprises. Les 3 types de scies sur table sont compactes, simples d’utilisation et facilement transportables. Les avantages : Un aspirateur intégré captant 99.5 % des poussières Montage simple, pas d’eau ni de poussière. Plus d’installation de protection de chantier et de nettoyage dus à l’utilisation de l’eau Transport simple Coupe précise, nette et rapide Pas de laitance et d’eau contaminée dans la nature et les canalisations L’utilisateur ne respirera plus de la silice Le disque reste froid ce qui permet d’avoir une plus grande durée de vie du matériel et consommable.   Informations supplémentaires : iQTS244 Coupe tout type de carrelage, pierre naturelle etc.. Capacité de coupe standard : 25 mm d’épaisseur et 610 mm en longueur Dimensions (en mm) : 685 x 711 x 864 Tension : 230 V Puissance : 2000 W Poids : 42 kg Diamètre du disque : 255 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 5 kg Accessoires : Support X – Guide d’onglets – Kit de tuyau d’aspiration iQ360XR Coupe la pierre, la brique, des pavés etc.. Capacité de coupe : 95 mm d’épaisseur et 305 mm en longueur Dimensions (en mm) : 432 x 762 x 508 Tension : 230 V Puissance : 2300 W Poids : 30 kg Diamètre du disque : 355 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 22 kg Accessoires : SmartCart iQMS362 Coupe du béton, pierre, maçonnerie etc.. Capacité de coupe : 140 mm d’épaisseur et 610 mm en longueur Dimensions (en mm) : 432 x 762 x 508 Tension : 230 V Puissance : 2300 W Poids : 68 kg Diamètre du disque : Q-drive 420 mm Aspirateur : 47 dm3/s Capacité bac à poussière : 18 kg Poids maxi sur la table : 25 kg
Il y a 5 ans et 17 jours

Riou Glass invente le premier verre sanitaire auto-désinfectant pour faire barrière au Coronavirus

Même pendant la période de confinement, le verrier RIOU Glass n’a jamais cessé d’innover. Pour faire face à la crise sanitaire du COVID-19, et la nécessité de protéger les populations, l’ETI normande annonce avoir mis au point le premier verre auto-désinfectant.Chauffé à intervalle régulier, à une température de 70°C, ce vitrage, qui ne présente aucun risque de brûlure pour l’homme, a la particularité de s’auto-désinfecter. Il permet ainsi de faire barrière à la propagation du COVID-19.« Des études scientifiques montrent que le COVID-19 perd de son potentiel infectieux quand il est soumis à une température de 65°C pendant 5 à 10 minutes. Une technique qui est utilisée dans des CHU pour désinfecter le matériel médical » explique Christine Riou, Vice-Présidente de RIOU Glass.Une technologie déjà éprouvéePour concevoir ce nouveau verre sanitaire, l’ETI RIOU Glass s’est appuyée sur une technologie déjà éprouvée, celle de son autre innovation : le vitrage chauffant par rayonnement CalorGlass®.Grâce à une fine couche de microparticules métalliques déposée à l’intérieur du vitrage, la paroi reliée à une alimentation électrique monte progressivement en température jusqu’à 70°C dans le cadre de son application sanitaire (20 à 45°C pour une fonction chauffage). Le tout étant totalement invisible à l’œil nu et automatisable.« Les produits d’hier ne seront plus ceux d’aujourd’hui. Pour protéger la population des virus ou bactéries, les architectes et designers devront nécessairement intégrer dans leurs créations cette notion de protection sanitaire. Imaginez le nombre de personnes que des surfaces vitrées auto-désinfectantes pourraient protéger à l’avenir. Les applications et perspectives sont nombreuses : dans les hôpitaux, hôtels, restaurants, bureaux, transports publics (aéroports, gares, trains, métros, bus…), magasins… » poursuit Christine Riou.HygiaGlass® : une gamme complète d’écrans de protection sanitaireCette nouvelle utilisation du verre est d’ores et déjà applicable dans la nouvelle gamme d’écrans de protection sanitaire lancée par RIOU Glass. Destinée à protéger les personnes travaillant en contact direct avec le public (accueils, guichets ou caisses des commerces, entreprises, administrations, cabinets médicaux, établissements de santé…), la gamme HygiaGlass® offre, en plus de solutions verrières sur-mesure, 3 modèles standardisés en verre extra-clair trempé de sécurité, faciles à poser et amovibles : SOLO LUNA, des écrans de protection design tout en verre, SOLO PURA, avec supports métalliques, et TRIO, équipés de protections d’angle vitrées.RIOU Glass propose également sur ses solutions de protection parfaitement transparentes, qu’elles soient standardisées ou sur-mesure, plusieurs options de personnalisation possibles (encoches passe-documents, parloirs, coins arrondis). Ces écrans vitrés peuvent aussi être marqués (logos, textes, images…) ou encore opacifiés pour offrir plus d’intimité entre deux espaces.« Le verre est un matériau noble, qualitatif, recyclable à l’infini. Il offre de nombreux avantages par rapport au plexiglas que ce soit en termes d’esthétique, d’hygiène, de facilité d’entretien ou de durabilité dans le temps. Des écrans qui de surcroît participent à la reprise de notre économie car de production 100% française » conclut la Vice-Présidente.
Il y a 5 ans et 17 jours

LG Solar distribue des cerisiers à ses clients dans le cadre de son Plan Climat - Neutralité Carbone 2030

La protection de l'environnement et la réduction des activités à forte production d'énergie sont en tête des priorités des entreprises pour participer à la lutte contre le réchauffement climatique. La division solaire de LG Electronics bénéficie déjà d'une très bonne réputation dans toute l'Europe en matière de durabilité, et cherche constamment à prendre de nouvelles mesures pour renforcer son engagement. LG Solar a notamment décidé de donner à ses clients de jeunes cerisiers à planter ou installer au sein de leurs locaux. Cette action concrète fait partie d'un ensemble de mesures prises par le groupe afin d‘atteindre la neutralité carbone dans toutes ses activités opérationnelles d'ici 2030.Un pas de plus vers la neutralité en CO²Depuis des années, LG Solar produit des modules solaires de haute qualité ainsi que des systèmes de stockage d'énergie, contribuant ainsi de manière décisive au redressement de la situation énergétique. Néanmoins, LG Electronics souhaite continuellement renforcer son engagement et a ainsi élaboré un ensemble de mesures pour lesquelles LG Solar s'est également engagée. Sous la devise « Pour un présent meilleur et un meilleur futur », LG a défini trois grands objectifs que l'entreprise vise à atteindre d'ici 2030 :la mise en œuvre de la neutralité en CO² dans toutes les activités d'exploitation,des programmes de bénévolat réguliers pour les employés dans tous les pays,un taux de recyclage de 95% pour les déchets dans les installations de production.Mais ces mesures demandent du temps avant de pouvoir être pleinement effectives. Alors, en attendant, LG Solar a réfléchi à des actions à plus court terme, comme la campagne « Cherry Trees », qui consiste à faire don de jeunes arbres à ses clients. Les cerisiers, particulièrement reconnus pour leur efficacité à absorber beaucoup de CO², sont adaptés à tous les jardins et peuvent être plantés sur n'importe quelle surface. À première vue, ce n'est qu‘un petit pas, mais cela aide chaque client à participer à la lutte contre le réchauffement climatique à son échelle.« Chez LG, nous travaillons continuellement la durabilité de nos produits afin de contribuer à un monde meilleur. Au cours des prochaines années, nous allons développer des produits plus intelligents qui fonctionnent encore plus efficacement, et en réseau, et qui sont également fabriqués dans des conditions optimisées. Mais nous voulons aussi regarder au-delà de nos propres horizons et sensibiliser davantage les acheteurs à la protection du climat avec des campagnes telles que Cherry Trees. » Explique Michael Harre, Vice President EU Solar Group chez LG Electronics.
Il y a 5 ans et 18 jours

Avec Web2vi, Unilin Insulation renforce son offre de services pour les membres du Club Unilin

Aujourd'hui, pour poursuivre son engagement sur les chemins de l'innovation, l'industriel étaye son offre pour les membres du Club en partenariat avec WEB2Vi.com, créateur d'outils numériques pour les professionnels du bâtiment. UNILIN Insulation propose deux packs pour réaliser des devis 2 fois plus vite et optimiser la gestion de l'entreprise, en prenant en charge jusqu'à 50% de l'investissement, en fonction du nombre de chantiers réalisés.WEB2VI.com, un partenaire innovantGrâce à ce partenariat, UNILIN Insulation se met au service des adhérents pour les aider à mieux gérer leur entreprise et maintenir leur savoir-faire dans un monde où le digital offre des solutions innovantes et impactantes qui couvrent toutes les étapes d'un projet.En effet, plus qu'un outil de prise de mesure et de chiffrage, WEB2Vi.com est un logiciel et une bibliothèque d'ouvrages pour couvreurs et charpentiers ainsi qu'une plateforme de gestion en ligne depuis le métré jusqu'à l'export comptable. Des référentiels de poses précis créés par des professionnels pour tous les métiers du bâtiment y sont disponibles. De plus, l'intégration du métré 3D dans le devis grâce au drone ANAFI avec prise de vue 4K (en collaboration avec Parrot) complète l'offre de solutions novatrices.Ces outils numériques permettent aux artisans de renforcer l'efficacité dans leur gestion :réalisation de maquettes 3D métrées à partir des images 4K du drone,des temps de métrés et devis divisés par 10,amélioration des diagnostics terrain et visualisation parfaite de l'état de la toiture,réduction des risques de chute, la sécurité étant une préoccupation majeure chez UNILIN Insulation,gestion des clients et négociation commerciale simplifiées.Deux packs WEB2Vi.com pour répondre aux différents besoinsUNILIN Insulation propose aux membres du Club deux packs avec une participation financière pouvant aller jusqu'à 1145 euros en fonction du nombre de chantiers Trilatte réalisés avec cet outil.Le pack métré 3DUne solution intermédiaire comprenant le logiciel de photogrammétrie, le drone PARROT ANAFI ainsi qu'une tablette, pour réaliser les maquettes 3D et les mesures et diagnostics.Le pack ProLa solution complète comprenant le Pack métré 3D ainsi que le logiciel de gestion avec les bibliothèques d'ouvrages et de matériaux de WEB2Vi.com.A travers ce partenariat, UNILIN Insulation poursuit donc sa mission d'accompagnement auprès de ses partenaires installateurs en les sensibilisant, en les formant et en leur proposant d'accéder de manière privilégiée à des solutions innovantes et simples.Le Club UNILIN est plus que jamais au service des couvreurs, charpentiers et entreprises générales pour les aider, au quotidien, à mettre en œuvre les meilleures solutions d'isolation par l'extérieur des toitures en pente.
Il y a 5 ans et 18 jours

ONDULINE : Une toiture amiantée de 4 200 m2 rénovée avec ONDUCLAIR RENOV FC

Changer l’ensemble d’une toiture en fibrociment amianté prend du temps et exige souvent des investissements élevés. Pour rénover la toiture de leur concession automobile et éviter toute perte d’exploitation durant le chantier, les dirigeants de cette entreprise, située à Caudan dans le Morbihan, ont choisi une rénovation en sur-toiture avec le système ONDUCLAIR RENOV FC proposé par ONDULINE. La législation en termes de rénovation d’une toiture amiantée implique de nombreuses contraintes. Déposer une toiture amiantée peut vite devenir lourd d’un point de vue financier car il convient de faire appel à une société spécialisée et certifée sous section 3 du Code du travail. Celle-ci doit sécuriser l’ensemble du chantier, dans un cadre législatif très strict, ce qui dans le cas de cette concession automobile risquait de rendre inaccessible les locaux, le temps du démontage puis de l’installation d’une nouvelle couverture. Pourtant l’ancienneté de la toiture de ce bâtiment la rendait sujette à des problèmes d’infiltration, ce qui présentait des risques pour la santé des employés. Le bâtiment est composé de 3 halls, chacun recouvert d’une toiture ondulée en fibrociment amianté de 1 400 m2, soit une surface totale de 4 200 m2. Compte tenu de l‘importance de la surface à rénover et des contraintes économiques, il a été choisi de conserver l’ancienne toiture et de la recouvrir sans perçage avec un matériau adapté. Il a fallu opter pour une solution légère, qui puisse être supportée par la charpente existante. Romuald Bigot, responsable commercial de La Maison de l’Étancheur, et Michel Provost, dirigeant de l’entreprise de couverture CCBI agréé Onduline, en charge du chantier, ont proposé le système ONDUCLAIR RENOV FC, dont l’application revêt de nombreux avantages. ONDUCLAIR RENOV FC Solution économique et efficace Le système ONDUCLAIR RENOV FC est une solution de sur-toiture efficace, en termes d’étanchéité et d’isolation, qui permet un strict respect de la législation « amiante ». Le procédé consiste à couvrir, sans aucun perçage, la toiture ondulée en fibrociment des bâtiments. Posés sur les plaques existantes, les éléments ondulés et isolants (ép. 30, 50, 80 mm) en polystyrène expansé (version ONDUCLAIR FC PSE) seront eux-mêmes recouverts de plaques en polyester armé pour assurer une bonne étanchéité. Disponible en différentes couleurs et dans un large choix de profils, ONDUCLAIR RENOV FC s’adapte aux mesures de la couverture d’origine. Les attaches spécifiques viennent « pincer » sur leurs bords les plaques de fibrociment existantes, assurant ainsi leur recouvrement sans les altérer. Autres avantages : la simplicité et la rapidité de la mise en œuvre, qui permettent à un poseur de couvrir à lui seul 10 m2 par heure ; le poids très léger de 3 kg au m2 de la couverture et de son isolant (en ONDUCLAIR FC PSE), qui évite toute surcharge sur la charpente existante. Un système complet, facile à poser Les nombreux atouts d’ONDUCLAIR RENOV FC ont convaincu les intervenants de privilégier cette solution. Romuald Bigot, de La Maison de l’Étancheur, affirme : « Nous avons choisi ONDUCLAIR RENOV FC car, compte tenu de la surface, nous avions une grande contrainte relative à la charge sur la structure existante. Cette solution était largement la plus performante sur ce point. » La réalisation des travaux a pu s’effectuer dans des délais limités, sans suspendre les activités et sans déménager les infrastructures de la concession et de son atelier, ce qui aurait généré une perte financière importante. Par ailleurs, la longueur des plaques (jusqu’à 12 m) a permis de limiter le nombre de recouvrements sur la couverture initiale, pour une pose, une esthétique et une étanchéité optimisées. Michel Provost, de l’entreprise de couverture CCBI, ajoute : « Ce système est d’une grande facilité de pose. Les éléments, très simples à manipuler, permettent une exécution rapide du chantier. » La gamme ONDUCLAIR RENOV FC se compose en effet d’un large choix d’accessoires tels que faitières, raccords de murs, rives, plaques à châssis, entourage de cheminée… En outre, des plaques translucides sont proposées pour réaliser des puits de lumière. Pour Olivier Lafitte, chef d’équipe de l’atelier de la concession, ce type de rénovation rend le travail plus confortable : « Nous avons pu continuer à travailler pendant toute la durée du chantier. Nous profitons à présent d’une toiture complètement étanche, d’une meilleure luminosité grâce aux translucides qui ont été remplacés. Nous profitons aussi d’une meilleure isolation thermique et acoustique, ressentie en cas de forte pluie. » Avantage produits : • Évite le démontage et l’évacuation coûteuse des plaques en fibrociment amianté • 8 à 10 m2 à l’heure par poseur • Permet de restaurer facilement tous les bâtiments : s’adapte aux profils de la couverture initiale • Isolation par l’extérieur sans perçage de la couverture initiale • Pas de perte d’exploitation (commerces, industries, bureaux…) • Système léger : à partir de 3 kg/m2 pas de surcharge de couverture Caractéristiques • Épaisseurs : 30 mm* / 50 mm* / 80 mm • Profils : GO 92 (5 ondes 1⁄2 – 177 x 51) GO 110 (6 ondes 1⁄2 – 177 x 51), existe en PST, super onde ou maxi onde • Coloris : rouge foncé / ardoise / gris • Isolant : E • Résistance thermique : R(m2/°C/w) : 2.50 en PSE graphité, ép. 80 mm)
Il y a 5 ans et 18 jours

Coup double pour Colas Rail

CONTRATS. Le groupe Colas s'est récemment vu attribuer deux nouveaux marchés ferroviaires. L'un, en France, concerne l'extension d'une ligne de métro. L'autre, à l'international, porte sur la reconstruction d'une voie ferrée qui lui permet de s'implanter dans un pays d'Europe du sud.
Il y a 5 ans et 18 jours

SPIE conçoit un nouveau centre de contrôle sur la Potsdamer Platz

Lancé en août 2019, le projet doit s'achever en mai 2021. TELBA GmbH, une filiale de SPIE Deutschland & Zentraleuropa, réalise les travaux portant au total sur 16 bâtiments de la Potsdamer Platz, parmi lesquels des complexes de bureaux, un centre commercial, une salle de spectacle et plusieurs cinémas, ainsi qu'un parking souterrain sous toute la superficie de la place.Une solution système fiable et durableLe contrat prévoit la connexion de tous les dispositifs techniques de sécurité, tels que les systèmes d'alarme incendie et anti-intrusion, les équipements vidéo, les issues de secours et ascenseurs déjà en place, et le système de contrôle d'accès à la totalité des 16 bâtiments de la Potsdamer Platz, à un nouveau système de vidéosurveillance et de gestion des risques basé sur WinGuard et Milestone, deux logiciels indépendants du matériel. Lorsque l'opération sera terminée, le système complet assurera l'administration et la gestion d'environ 40 000 points de données et 700 caméras vidéo.Le contrat prévoit également le renouvellement de la technologie vidéo, avec l'installation de caméras sur IP Axis (sans câble réseau), d'un système de détection vidéo intelligent et de la technologie de centre de contrôle (équipements, mur d'images, salle de crise, etc.), avec notamment un système de communication basé sur la solution UNIFY OpenScape Xpert. Jörg Marks, directeur général de TELBA GmbH, explique : « En plus de ce contrat majeur, nous sommes heureux d'avoir négocié un contrat de maintenance de dix ans pour les nouvelles installations. »De hautes compétences d'une seule et unique sourceLes clients du fournisseur de services multi-techniques bénéficient d'un large éventail de services auprès d'une seule et unique source. D'autres unités SPIE sont impliquées dans l'installation des solutions de communication et la mise en œuvre technique du système de vidéosurveillance et de gestion des risques. « Grâce aux multiples compétences de SPIE, nous étions le seul fournisseur à proposer une solution technique tout-en-un convaincante. Ce projet phare met en lumière nos capacités et illustre parfaitement la force collective des unités opérationnelles de SPIE », explique Michael Hartung, directeur de la division ICS (Information & Communication Services) et membre du comité de direction de SPIE Deutschland & Zentraleuropa. En outre, le projet marque une nouvelle étape importante dans le développement continu de l'activité des systèmes d'alarme.Respect du calendrierLes premières étapes se sont correctement déroulées : Le centre de contrôle, désormais équipé d'un nouveau mobilier et de nouveaux écrans, est d'ores et déjà opérationnel avec les systèmes existants. Dans les prochaines semaines, les nouveaux logiciels de gestion du centre de contrôle seront installés sur des serveurs virtuels et accessibles sur site ; ils seront alimentés en données d'ici fin 2020. Des tests complets ont déjà été menés avec succès. Par ailleurs, au cours des 12 prochains mois, les caméras, au nombre d'environ 700, seront installées sur toute la zone de la Potsdamer Platz et seront progressivement mises en service. Jörg Marks : « Le test final du système est prévu pour début 2021, et nous devrions livrer le projet à notre client, Brookfield Properties, en mai la même année. »Un partenariat de confiance et certifié« Aux dires mêmes de notre client, la solution technique que nous lui avons proposée avec notre partenaire Advancis a été décisive dans l'attribution de ce projet, et nous en sommes très fiers. Notre solution apporte une valeur ajoutée nettement supérieure à celle des solutions concurrentes. Une raison de plus de nous réjouir d'avoir remporté ce contrat ! », se félicite Jörg Marks. Au début du mois de mars 2020, SPIE a été certifiée « partenaire système » d'Advancis Software & Services GmbH. L'éditeur de logiciels est l'un des leaders du marché mondial des logiciels de gestion de la sécurité et de la technique du bâtiment multi-fournisseurs.