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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Transport et infrastructure

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Il y a 4 ans et 363 jours

Infrastructures de l’eau : les Agences de l’eau doivent pouvoir agir

Les acteurs du domaine de l'eau veulent que les Agences de l’eau assurent la relance du secteur et de la mise à niveau des infrastructures.
Il y a 4 ans et 363 jours

Une étude pointe les "inégalités de destin" des familles modestes selon les régions

Plutôt qu'une opposition - couramment évoquée - entre territoires ruraux et urbains, ou entre centres-villes et "France périphérique", cette étude réalisée par France Stratégie met en évidence des "inégalités de destin" entre régions."Avoir grandi dans une zone rurale ou périurbaine ne réduit pas les perspectives de niveau de vie des enfants d'origine modeste", concluent les auteurs, Clément Dherbécourt et Gustave Kenedi.En revanche, "les territoires à faibles perspectives de niveau de vie sont concentrés dans le Nord et au Sud du pays: anciennes régions Languedoc-Roussillon et Nord-Pas-de-Calais, Corse, départements de l'Aisne, des Ardennes, du Var et du Vaucluse", détaillent-ils.Pour répondre à la question "dans quelle mesure le niveau de vie d'une personne dépend-il du lieu où elle a grandi ?", les deux économistes ont étudié des données statistiques concernant 80.000 personnes, enfant d'ouvriers ou d'employés, nés entre 1970 et 1988. Ils ont croisé le niveau de vie actuel de ces personnes avec le lieu où elles ont passé leur adolescence - qu'elles y habitent toujours ou pas.Résultat: les "perspectives de revenus à l'âge adulte augmentent avec le niveau de richesse du territoire d'origine". Ainsi, les personnes d'origine modeste ayant grandi en Ile-de-France ont un niveau de vie médian à l'âge adulte de 1.730 euros, contre 1.474 euros pour ceux ayant grandi dans le Nord-Pas-de-Calais.Cela s'explique par les différences de richesse entre régions et aussi par le fait que, partout, les ménages modestes sont nettement moins mobiles que les familles aisées.Or, "ce qui distingue vraiment les régions à faibles perspectives de niveau de vie des autres, c'est le niveau de vie très faible des non-diplômés du supérieur qui n'ont pas émigré" dans d'autres régions, observent les auteurs.Pour tenter de résorber ces disparités, les pouvoirs publics devraient donc réfléchir à des "incitations à la mobilité" pour aider certains ménages à "rejoindre des régions à meilleure perspective d'emploi", suggèrent-ils.Cependant, cela ne doit pas être selon eux la seule piste d'action car changer de région peut avoir un "coût important sur le bien-être des individus".Pour les économistes, il convient donc également d'envisager dans ces territoires les plus défavorisés des "incitations socio-fiscales à la relocalisation de postes de travail de qualité", mais aussi d'y développer des emplois publics.
Il y a 4 ans et 363 jours

Activité presque normale sur les chantiers de Vinci, mais incertitude dans les aéroports

Sur les chantiers, "l'activité se situe actuellement à près de 90% de son niveau normal estimé en moyenne", a détaillé Vinci dans un communiqué quelques heures avant son assemblée générale.Le groupe, qui avait déjà renoncé à ses objectifs, n'a pas donné de prévision chiffrée sur l'impact de la crise sur ses comptes. Il a seulement prévenu que son chiffre d'affaires et ses bénéfices seraient affectés "de manière très significative" cette année.La crise du coronavirus a conduit de nombreux pays, dont la France, à prendre de strictes mesures de confinement qui ont, de fait, mis à l'arrêt momentané beaucoup de chantiers pour des raisons sanitaires."En France, où le groupe réalise environ la moitié de son chiffre d'affaires, l'activité a été très faible dans le bâtiment et les travaux publics pendant environ un mois à compter de l'entrée en confinement" à la mi-mars, a précisé Vinci."Dans de nombreux autres pays, elle s'est, en revanche, maintenue à des niveaux proches de la normale", a-t-il tempéré.Si la situation retrouve une relative normalité dans les chantiers, Vinci fait face à des perspectives toujours incertaines dans les aéroports, un secteur dans lequel il s'est massivement développé ces dernières années.Face à une restriction quasiment généralisée des voyages à travers le monde, l'activité de ses aéroports a été presque nulle en avril et mai."En juin, une reprise progressive de l'activité s'est amorcée pour les vols domestiques - notamment en France, au Japon et aux États-Unis - et les vols à l'intérieur de l'espace Schengen", a expliqué Vinci."Elle devrait être suivie, à partir du 1er juillet, d'une reprise progressive des liaisons internationales, la trajectoire de celle-ci restant, à ce stade, plus incertaine", a conclu le groupe, qui n'a pas non plus retrouvé un trafic normal sur ses autoroutes.
Il y a 4 ans et 363 jours

Husqvarna Construction Products France : une nouvelle stratégie ambitieuse pour devenir le partenaire privilégié des sociétés spécialisées dans le béton

Husqvarna Construction Products France, une histoire en béton Né il y a 330 ans en Suède, le groupe mondial Husqvarna se compose de 3 divisions : • Husqvarna, leader des produits d’extérieurs motorisés (tronçonneuses, robots tondeuses, …), • Gardena, spécialiste des solutions d’arrosage, • Husqvarna Construction Products, acteur incontournable de machines et d’outils diamantés pour l’industrie du béton. Présent dans le monde au travers de 9 usines et 4 centres de Recherche & Développement (Suède, Belgique, Bulgarie, Chine, Etats-Unis, …), le groupe a pour moteur l’innovation. Avec un chiffre d’affaires de 4 milliards d’euros en 2019, il compte 13 000 collaborateurs. La division Husqvarna Construction Products emploie quant à elle 2000 personnes et a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 573 millions d’euros. Riche de cette histoire industrielle familiale ancestrale, Husqvarna Construction Products France fait vivre la marque sur le territoire national auprès de ses clients (distributeurs, loueurs, scieurs, foreurs, démolisseurs, grands groupes et entreprises générales du BTP). Elle leur propose une gamme complète de machines et d’outils diamantés de très grande qualité pour la préparation, la pose, la mise en place, la coupe, le forage, le polissage et la démolition du béton, à l’horizontale comme à la verticale. Dirigée par Olivier Touzé, Husqvarna Construction Products France compte deux sites en France, basés à Bezons (95) et Blois (41), 65 collaborateurs et a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 33 millions d’euros (+ 17 %). Représentant 32% du marché français des ventes de scies murales, 41% des découpeuses et 34% des ponceuses de sol grand diamètre avec ses marques Husqvarna et HTC, l’entreprise est devenue leader sur son marché. S’inscrivant dans la stratégie disruptive de développement du groupe, et malgré le contexte actuel, Husqvarna Construction Products France s’est fixé de nouveaux objectifs, à atteindre d’ici 2025, orientés sur l’expérience client. Husqvarna, l’expérience béton 360° « Pour devenir le partenaire privilégié des clients les plus exigeants, Husqvarna Construction Products France souhaite passer d’une offre produits à une offre globale intégrant toutes les gammes et les services dont ils ont besoin » explique Olivier Touzé, Directeur Général. Outre renforcer son efficacité dans la vente d’outils diamantés, Husqvarna Construction Products France a défini des leviers de croissance clés, parmi lesquels : • séduire ses clients foreurs, scieurs et démolisseurs et en fidéliser de nouveaux grâce à sa nouvelle gamme de foreuse (DM 400), ses solutions d’aspiration performantes conformes aux nouvelles obligations européennes liées à la silice cristalline ; • continuer à accompagner les grands distributeurs et loueurs historiques français en leur proposant des produits solides, ergonomiques et durables ; • développer un réseau de 15 à 20 partenaires distributeurs réparateurs agréés d’ici fin 2020 qui bénéficieront d’un programme de formation technique pour pouvoir maintenir et dépanner toutes les machines Husqvarna Construction en quelques jours, sur l’ensemble de la France ; • travailler avec les majors du BTP. L’ensemble de ces objectifs s’accompagne de services associés tels que : • les solutions complètes de financement (crédit-bail, location) ; • le développement de l’offre TotalCare comprenant le financement, la maintenance, la réparation et le Fleet Management (solution de gestion du parc machines grâce à l’internet de l‘objet) ; • et toujours, l’accompagnement technique des clients pour résoudre leurs problématiques béton. « Avec d’ores et déjà deux centres services Husqvarna à Bezons et Blois, puis l’installation des ateliers des partenaires agréés sur l’ensemble du territoire français, le service après-vente doit devenir ainsi notre avantage concurrentiel », conclut Olivier Touzé. Répondant aux problématiques rencontrées par les professionnels, la volonté d’Husqvarna Construction Products France d’améliorer l’expérience client se traduit par une nouvelle signature de marque « Husqvarna, l’expérience béton 360° » déclinée dans une campagne de communication. http://www.husqvarnacp.com/fr
Il y a 4 ans et 363 jours

Frans Bonhomme accompagne la reprise d'activité du BTP

Leader de la distribution en France et en Espagne, sur les marchés de Travaux Publics, Aménagement Extérieur, Assainissement Non Collectif et Bâtiment, le Groupe Frans Bonhomme se positionne pour soutenir la reprise des chantiers.Selon Pierre Fleck, Président du Groupe, « Alors que notre secteur, notamment les Travaux Publics, a été un des plus touchés par la crise, nous sentons depuis quelques semaines une forte reprise aussi bien en France qu'en Espagne. Nous continuons à rouvrir nos points de vente, notre site e-commerce connaît une très forte progression des commandes et dès aujourd'hui nos équipes commerciales repartent au contact de nos clients et prospects. Aussi bien sur nos sites qu'en télétravail nos collaborateurs sont extrêmement mobilisés au service des acteurs des Travaux Publics et du Bâtiment. C'est grâce à leur engagement et à leur expertise que Frans Bonhomme va retrouver progressivement les voies du retour à un niveau d'activité proche de l'avant-crise. »Cette reprise d'activité du groupe se poursuit parallèlement aux pourparlers avancés avec ses actionnaires et ses prêteurs afin d'apporter de nouveaux moyens financiers pour renouer avec la dynamique de gains de parts de marché qui a été accélérée par l'acquisition de DMTP fin 2019.
Il y a 4 ans et 364 jours

Le Sénat présente dix-sept mesures pour sauver et relancer les PME, le commerce et l'artisanat

Élaborées en coordination avec le bureau de la Délégation aux entreprises, présidée par Élisabeth Lamure, ces mesures poursuivent deux objectifs principaux :à court-terme, sauvegarder le tissu commercial et artisanal français, en évitant une vague de faillites dont l'impact économique, social et sur le dynamisme de nos territoires serait dramatique ;préparer l'avenir et relancer durablement ces secteurs, en renforçant leur situation financière, en accélérant la numérisation des PME-TPE et en soutenant le commerce de proximité.Pour Serge Babary, « nombre de commerçants et d'artisans sont dans une situation critique, et ne bénéficieront pourtant pas du prolongement des aides annoncé par le Gouvernement. Ce dernier obéit à une logique sectorielle (restauration, culture, événementiel), ce qui le conduit à oublier les entreprises, souvent des PME, qui dépendent fortement de ces secteurs sans pour autant bénéficier de la même visibilité médiatique. L'approche doit au contraire être fondée sur les difficultés économiques concrètes, et inclure les entreprises tout au long de la chaîne d'approvisionnement ou de production ».En conséquence, les sénateurs préconisent de maintenir le Fonds de solidarité jusqu'au 31 décembre, non pas uniquement pour les entreprises de certains secteurs, mais pour toutes celles qui continuent d'enregistrer une baisse de 50% de leur activité. De la même façon, ils appellent à une prolongation de l'activité partielle et de sa prise en charge à 100% par l'État pour les entreprises qui continuent d'enregistrer de lourdes pertes d'exploitation. Une baisse du taux de TVA pour les secteurs les plus touchés est également proposée : elle présente l'avantage soit de bénéficier aux consommateurs, si elle est répercutée dans les prix, soit de permettre aux entreprises de reconstituer leur trésorerie, ce dont elles ont un besoin urgent.En outre, si les prêts garantis par l'État et les reports de charges se sont révélés être des solutions efficaces à très court terme, ils augmentent fortement l'endettement des PME et érigent un mur de la dette qu'elles risquent de ne pas pouvoir franchir, au détriment de leurs capacités d'investissement et de développement. Pour y faire face, les sénateurs appellent à renforcer les fonds propres des TPE-PME via des prêts participatifs ou des obligations convertibles, en lien avec les régions.Par ailleurs, la crise a mis en lumière les conséquences d'une des fragilités majeures des PME françaises : leur insuffisante numérisation, qui se traduit pour les commerçants par un faible recours aux ventes en ligne.Comme le rappelle Élisabeth Lamure, présidente de la Délégation aux entreprises, « face à l'interdiction d'accueil du public, les seules entreprises qui ont pu compenser – légèrement ‑ leurs pertes de chiffre d'affaires sont celles qui ont procédé à des ventes en ligne, soit via une livraison directe, soit sous la forme de click & collect ou de drives, à hauteur environ de 20 à 25% de leur chiffre d'affaires habituel. Or si 70% des consommateurs achètent et paient en ligne, seule une PME sur huit fait usage de solutions de vente en ligne, ainsi que le notait l'an dernier un rapport de la Délégation ».Par conséquent, les sénateurs proposent la mise en place d'un crédit d'impôt à la numérisation des PME, à destination des chefs d'entreprise et des salariés, qui couvrirait notamment une partie des dépenses de formation, d'équipement, et de services annexes. Ils préconisent également le déploiement à l'échelle nationale d'une plateforme publique, qui permettrait le référencement des commerçants et artisans qui le souhaitent, la publicité de leur catalogue de produits et services et de procéder à des ventes en ligne. Cet outil pourrait être la généralisation de la plateforme « Achatville », initiative bienvenue du réseau des chambres de commerce et d'industrie, aujourd'hui circonscrite à 29 départements.La relance de ces secteurs passe également, bien entendu, par celle du commerce de proximité. Pour Anne Chain-Larché, « le commerce de proximité, loin de se réduire à une activité de vente ou de prestation de services, joue avant tout un rôle social fondamental, alliant contacts humains, conseils au client, valorisation et maintien de savoir-faire précieux, animation des principaux lieux de vie et de socialisation. La relance du commerce de proximité est donc certes un enjeu économique, mais c'est aussi une nécessité vitale d'un point de vue sociétal, un atout fondamental de l'aménagement du territoire ».Il est ainsi proposé de préserver le FISAC (Fonds d'intervention pour la sauvegarde de l'artisanat et du commerce), d'augmenter fortement ses fonds et de mieux associer les élus locaux à ses décisions. Par ailleurs, un vaste plan de communication nationale afin de sensibiliser les consommateurs à l'importance du commerce de proximité et à ses difficultés pourrait être lancé.Enfin, l'apprentissage, pierre angulaire de l'artisanat, risque de connaître une « année noire » en 2020 si les carnets de commande restent peu remplis et que les employeurs n'embauchent pas d'apprentis. Ainsi que le note Fabien Gay, « cette situation est particulièrement grave : il ne s'agit pas seulement d'une hausse du chômage, qui à elle seule est déjà une conséquence dramatique de la crise. Il s'agit également d'une fragilisation de la capacité de la France à se redresser. En effet, les contrats non signés en 2020 représentent autant de compétences en moins pour les années à venir ».Si les mesures de soutien à l'artisanat annoncées par le Gouvernement le 4 juin vont dans le bon sens (notamment l'aide à l'embauche), les sénateurs proposent de les compléter et de revenir sur une inégalité de traitement qu'elles induisent entre jeunes. En effet, l'aide n'est versée que pour les formations au-dessous du niveau « licence pro ». Cette inégalité de traitement est difficilement compréhensible : une entreprise qui embauche un jeune en master peut également faire face à une chute drastique de son activité.« Surtout, un jeune en master a tout autant besoin d'être embauché à l'issue de sa formation qu'un jeune en bac pro, par exemple. Nous proposons donc d'octroyer cette aide quel que soit le niveau de diplôme préparé », explique Fabien Gay.Pour Sophie Primas, présidente de la Commission des affaires économiques, « les commerçants et artisans affrontent là une troisième crise en deux ans, après avoir perdu 30% de leur activité pendant la crise des gilets jaune et subi une baisse de fréquentation en décembre 2019 du fait des mouvements sociaux. Leur survie est en jeu, de même que celle de leurs fournisseurs. Il est absolument fondamental que le plan de relance qui leur est destiné ne se limite pas aux secteurs encore interdits d'accueil du public. Ces dix-sept recommandations prennent la mesure de cette urgence ». Pour lire l'étude : cliquez ici
Il y a 4 ans et 364 jours

Un immeuble de bureaux à Buenos Aires par Architecturestudio

Dans le quartier dynamique de Palermo à Buenos Aires (Argentine), le projet de bureaux Summers signé Architecturestudio complète un tissu urbain mixte en pleine mutation composé d’immeubles de logements et plus récemment d’activités tertiaires et commerciales. L’enveloppe est une double peau constituée de vantelles vitrées, pivotantes et sérigraphiées. Découverte en vidéo. L’article Un immeuble de bureaux à Buenos Aires par Architecturestudio est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 364 jours

La SNCF signe un contrat avec RES pour la fourniture d’électricité renouvelable

SNCF Énergie (filiale de SNCF Voyageurs) a signé cet engagement portant sur une capacité installée de 40 mégawatts sur 15 à 20 ans, ont indiqué les entreprises dans un communiqué commun.Le contrat doit représenter "environ 2% de la consommation d'électricité nécessaire à la circulation de l'ensemble des trains de SNCF Voyageurs"."Ce contrat permet la construction et l'exploitation de centrales solaires à partir de 2021, qui seront liées directement à SNCF Énergie pour ses besoins directs", expliquent les partenaires.D'une puissance totale de 40 MWc (mégawatts crête), elles seront situés dans les Alpes de Haute-Provence.L'an dernier, la SNCF avait déjà signé un contrat de ce type avec le producteur Voltalia, pour une puissance de 143 MW. C'était alors une annonce d'une ampleur inédite en France.Ce type de contrat de gré à gré, négocié sur le long terme par les entreprises avec les producteurs, est connu sous son nom anglais de "corporate PPA" (pour "power purchase agreement"). Généralement fondé sur les énergies renouvelables, il est très répandu aux États-Unis et se développe peu à peu en France.SNCF Voyageurs indique par ailleurs son souhait de signer d'autres contrats de ce type pour atteindre son objectif: 40 à 50% d'énergies renouvelables dans son mix de consommation d'électricité pour la traction des trains à l'horizon 2025.
Il y a 4 ans et 364 jours

Des granulats au service de l’aménagement urbain

Les extérieurs de la Cité Malbrouck, sise à Saint-Martin-Boulogne (62), ont fait peau neuve. [©Ghent Aggregates] Depuis 2014, Ghent Aggregates fournit des matériaux pour le Benelux, le Nord de la France et le Royaume-Uni. Fondée par Jonathan Kesteleyn, la société dispose d’une large gamme de granulats pour le BTP ou encore l’univers du béton. Fillers, sables, gravillons, Ghent Aggregates répond aux différentes problématiques chantier. Que ce soit au niveau de la granulométrie, des densités de granulats ou de la couleur. « Nous avons des espaces de stockages et des installations dans le port maritime de Gand, en Belgique. Avec des embranchements fer, maritime et fluvial. Ce qui nous permet de livrer de manière rapide nos granulats. », souligne Jonathan Kesteleyn.  Autour de la cité Les granulats de quartz jaune Tono Yellow utilisés rappellent les couleurs du littoral. [©Ghent Aggregates] A Saint-Martin-Boulogne (62), les extérieurs de la Cité Malbrouck ont fait peau neuve. Les trottoirs, parkings, allées et pourtours des bâtiments ont été réhabilités par l’agence Coquelles d’Eiffage TP. Les 6 100 m2 que représentent ces espaces ont été réalisés avec 850 m3 de béton désactivé, signé Eqiom Bétons. La Cité se trouvant près du littoral, cet aménagement devait s’adapter à l’environnement de la côte du Nord. Ainsi, Ghent Aggregates a fourni des granulats de quartz jaune Tono Yellow. « Cela a permis de ne pas utiliser de colorant, précise Jonathan Kesteleyn. En plus de sa teinte couleur sable variée avec du blanc à faible proportion, ce granulat permet au béton de tenir dans le temps. Il est résistant au passage des voitures, avec un coefficient de polissage accéléré (CPA) de 50. » Le béton a été pompé et mis en œuvre sur 14 cm d’épaisseur. Un swing chic Le Manoir Hôtel, au Touquet (62) a souhaité harmoniser le style de ses entrées. [©Ghent Aggregates] En face du golf du Touquet (62), le Manoir Hôtel a souhaité harmoniser le style de ses entrées de voitures avec le restaurant et les bâtiments alentour. « Il a fallu trouver une alternative, puisque la carrière qui a fourni le producteur de béton pour les espaces originels a fermé en 2016, explique Jonathan Kesteleyn. Nous avons su proposer une solution très proche. » Ainsi le béton lavé est basé sur un CEM III très léger en couleur. « Nous avons accompagné le client, en préconisant un calcaire très blanc et dur, stable et durable dans le temps. Sans colorants, nous pouvons offrir un béton sur base de granulats naturels, qui tient dans le temps. » Une nouvelle vie pour la Marquise Les accès et les trottoirs du centre ville de Marquise (62), ont été remis au goût du jour. [©Ghent Aggregates] « Pour les accès et les trottoirs du centre-ville de Marquise, dans le Pas-de-Calais, nous avons proposé différentes couleurs de granulats pour un effet dalmatien », détaille Jonathan Kesteleyn. Des quartz blancs s’associent à des noirs profonds pour plus de confort visuel. « Les granulats noirs permettent de masquer les diverses pollutions du temps. Ils sont visuellement plus durables. Et pour faire en sorte que cette réhabilitation s’extrait de l’ordinaire, nous avons rajouté des paillettes d’éclats de miroir sur les routes d’accès au centre. Ainsi, on créée un effet de brillants au sol lors d’un passage, le jour ou la nuit. »
Il y a 4 ans et 364 jours

Edificio Summers à Buenos Aires par architecturestudio, bureaux tempérés

architecturestudio (notez la nouvelle orthographe de l’agence) a livré en 2019 à Buenos Aires, en Argentine, Edificio Summers, un bâtiment de bureaux de 3 700m². Dans le climat tempéré de Buenos Aires, à l’ère de la révolution numérique, architecturestudio a imaginé pour Jack Green maître d’ouvrage un lieu où chaque occupant peut trouver les meilleures conditions […] L’article Edificio Summers à Buenos Aires par architecturestudio, bureaux tempérés est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 0 jours

AFEX 2020 – Grand Prix, Mention spéciale et le palmarès

Le Grand Prix AFEX 2020 a été décerné à l’agence architecturestudio pour l’immeuble Summers à Buenos Aires en Argentine. Un Prix spécial du jury a été attribué au Campus scolaire construit par l’Atelier Tanka dans la vallée du Zanskar en Inde. Grand Prix AFEX 2020 – Immeuble Summers à Buenos Aires, Argentine, par architecturestudio A […] L’article AFEX 2020 – Grand Prix, Mention spéciale et le palmarès est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 2 jours

Une relance verte aux contours encore flous

"Notre priorité est de reconstruire une économie forte, écologique, souveraine et solidaire", déclarait encore le président Emmanuel Macron il y a quelques jours.Estimant qu'il fallait "créer les emplois de demain par la reconstruction écologique qui réconcilie production et climat", il a plaidé pour "un plan de modernisation du pays autour de la rénovation thermique de nos bâtiments, des transports moins polluants, du soutien aux industries vertes".Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire répète aussi depuis des semaines que le plan de relance, prévu pour la rentrée, devra "faire de la France la première économie décarbonée d'Europe".Investissements massifs? Incitations fiscales? Contribution des territoires? Engagements contraignants? A quelle échelle de déploiement? L'exécutif s'est peu avancé sur la manière de concrétiser ses engagements."La décarbonation sera un fil rouge de toutes nos décisions même si cela nous force à faire des choix difficiles" à l'égard de certains projets ou entreprises, assure-t-on à Bercy.Moment de véritéJusqu'à présent, les plus de 460 milliards d'euros de soutien public déployés face à la crise intègrent très peu de contraintes ou de contreparties écologiques. La priorité était de sauver entreprises et emplois, se défend le gouvernement.Les aides aux secteurs aéronautique et automobile ont été teintées de vert, avec des primes à l'achat de véhicules électriques, une réduction des vols intérieurs ou des investissements dans l'avion à hydrogène.Mais on est loin du compte, ont regretté ONG et élus écologistes, quand les pouvoirs publics devraient mobiliser "seulement" 7 à 9 milliards d'euros de plus par an pour financer la transition écologique, selon l'Institut de l'économie pour le climat (I4CE)."On vient de dépenser 130 milliards d'euros en trois budgets rectificatifs. Il fallait les soutiens d'urgence, mais est-ce que la place de la transition écologique était suffisante? La réponse est non, toujours pas", pointe le député Matthieu Orphelin (ex-LREM). En particulier, "il n'y a rien eu sur la modération du transport aérien à long terme"."Un moment de vérité s'ouvre à nous: on veut un virage plutôt qu'un mirage", appuie Véronique Andrieux, du WWF.Une certitude: le plan de relance devrait faire la part belle à la rénovation thermique des bâtiments. Mais d'autres plans sur le sujet lancés par le passé n'ont pas eu le succès escompté."Une priorité sera donnée aux bâtiments publics (crèches, écoles, hôpitaux, universités)" et aux Ehpad, même si les travaux sont "parfois difficiles à déclencher car l'État n'a pas toujours la main", au côté des régions et communes, indique-t-on à Bercy et à l'Écologie.Hydrogène, train, citoyensLe gouvernement compte ainsi sur le milliard d'euros accordé aux collectivités pour leurs investissements.Le recours à cette enveloppe "devra être conditionné aux investissements dans la transformation écologique et sociale, et exclure tout investissement climaticide", comme "des rocades ou des ronds-points", réclame la Fondation Hulot.Car la France, qui vise la neutralité carbone d'ici à 2050, n'est pas sur cette voie. Ses émissions de gaz à effet de serre ont reculé depuis 1990, notamment dans l'industrie manufacturière, mais transports, résidentiel, agriculture restent de forts contributeurs. Et ce bilan n'inclut pas l'empreinte des importations.Le plan gouvernemental prévoit de soutenir l'hydrogène vert, technologie d'avenir pour les transports volumineux, l'industrie et le stockage d'énergie. Un appel à projet franco-allemand est dans les tuyaux, indique-t-on à Bercy, alors que les Allemands viennent d'annoncer un plan de 9 milliards.Et quid du train? Rien n'a encore été annoncé, même si le gouvernement a "des ambitions très fortes sur le ferroviaire" et compte accompagner la SNCF, assure à l'AFP la ministre de l'Écologie Elisabeth Borne.La compagnie nationale, qui a perdu 4 milliards d'euros de revenus avec la crise, risque de devoir reporter des investissements, a prévenu son président Jean-Pierre Farandou.
Il y a 5 ans et 2 jours

Bruno Cavagné, un 3e mandat de “combat” à la FNTP

Pour son 3e mandat à la tête de la FNTP, Bruno Cavagné milite pour l’adoption de deux plans de relance. [©FNTP] Dans un contexte de crise, Bruno Cavagné, 57 ans, a été réélu président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) . Ceci, pour un troisième mandat de trois ans. Ce mandat de “combat” s’ouvre dans une période de crise sanitaire et économique inédite. Bruno Cavagné milite ainsi pour l’adoption de deux plans de relance. D’abord, un plan d’urgence pour soutenir l’investissement public local. Puis, un plan de transformation au service de la transition écologique. Bruno Cavagné sera entouré d’une équipe renouvelée représentative des métiers, des territoires et des typologies d’entreprises de travaux publics. « C’est une course contre la montre » « Les administrateurs de la FNTP ont souhaité me renouveler leur confiance dans cette période, qui s’annonce très difficile pour le secteur des travaux. Et je les en remercie. Mon seul combat est aujourd’hui de surmonter la crise que nous vivons. Et pour ce faire, je plaide pour l’adoption en urgence d’un plan de soutien à l’investissement public local et d’un plan de transformation de nos infrastructures au service de la transition écologique. Le temps nous est compté et c’est une course contre la montre qui s’engage avec le gouvernement. Plus il tardera à engager ces plans, plus les dommages de la crise seront profonds dans notre secteur », estime Bruno Cavagné.  Celui-ci est toujours investi dans le groupe Giesper, à Toulouse, spécialisé dans les activités de génie civil, de canalisations, de VRD, de gros œuvre, de peinture, de recyclage, d’hôtellerie et de promotion. Homme d’échanges, Bruno Cavagné s’est impliqué dans la vie professionnelle comme dans son entreprise, depuis de longues années. Ainsi, Il est membre du bureau du Medef (Mouvement des entreprises de France), conseiller du Conseil économique, social et environnemental (Cese) au titre de la vie économique et du dialogue social. Et administrateur de BTP Banque, de la SMAvie BTP et de la Caisse nationale des entrepreneurs de travaux publics (CNETP). Il est aussi vice-président de la SGAM BTP, vice-président du Conseil d’orientation des infrastructures.
Il y a 5 ans et 2 jours

ISOcomble s'adapte en cette période délicate

En adaptant parfaitement ses méthodes selon les exigences actuelles dues au contexte sanitaire, toutes les agences ont pu reprendre leur activité depuis mi-avril pour le côté technique, et le 11 mai pour l'activité globale. Zoom sur l'accompagnement du réseau en cette situation délicate et sur cette dynamique reprise.Cette période de crise sanitaire aura été un véritable défi pour bon nombre d'entreprises. Cependant, des dispositifs d'aide ainsi que des initiatives de la part de certaines sociétés ont permis de faire face à certaines difficultés. C'est pourquoi ISOcomble a particulièrement mis l'accent sur l'accompagnement complet de son réseau mais aussi auprès des particuliers, afin de préserver la santé et le bien-être de chacun malgré les tensions existantes.Suite à l'annonce du confinement et à la fermeture des agences, Stéphane Lagneaux, Directeur réseau ISOcomble, a tenu à garder un lien régulier avec les franchisés, en les informant par téléphone ou par email sur toutes les démarches possibles susceptibles de les aider. Puis, selon le souhait et la capacité de chacun, des chantiers ont pu reprendre chez les particuliers, en respectant à la lettre les mesures d'hygiène et de sécurité via les préconisations de l'OPPBTP (L'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics).Stéphane Lagneaux précise : « Avant toute intervention, les équipes veillent à obtenir de la part du client la garantie de non contamination par le Covid-19 ainsi qu'un accord d'intervention. Nous insistons également sur la nécessité d'interagir le moins possible avec les experts ISOcomble sauf si nécessaire au moment de la signature des fins de travaux ou lors de l'état des lieux, en respectant les gestes barrières et en portant l'équipement de sécurité indispensable. »Grâce à des dispositifs clairs et précis informant les clients de manière détaillée sur le déroulement de la future intervention des équipes ISOcomble, tous les chantiers initialement prévus ont pu aboutir, soit un par jour par franchisé, et ce, dans de bonnes conditions sans que la qualité du travail effectué ne soit altérée. Par ces différentes actions, l'enseigne met en lumière ses atouts essentiels : la qualité des relations humaines via un accompagnement quotidien, l'ancrage local des agences de proximité ISOcomble et la qualité des travaux réalisés par des experts qualifiés pour rendre les habitats plus sains.Cela fait déjà plusieurs semaines que l'enseigne prépare sa reprise d'activité totale pour revenir au plus vite à des niveaux d'activité important. Dans ce sens, le réseau a axé ses réflexions autour d'actions de communication spécifiques permettant de valoriser le concept écologique, en plus de rappeler que l'opération « Coup de Pouce Isolation » se poursuit pour une isolation à partir de 1 euro.Un accent mis sur la communication digitaleEn vue d'optimiser la reprise d'activité totale des agences de proximité dès le 11 mai, le réseau a choisi d'accompagner ses franchisés sur tous les fronts. Notamment sur le volet digital avec un lancement prochain de campagnes SMS géolocalisées ainsi que des envois d'emailings ciblés, venant soutenir l'ancrage local des 20 agences existantes. Ces actions seront réalisées dans le but de gagner davantage en contacts qualifiés et d'accompagner au mieux l'ensemble du réseau en cette période transitoire. C'est pourquoi ISOcomble entend davantage occuper le terrain digital, plus que jamais dans l'air du temps, en accentuant sa présence sur les réseaux sociaux.Ces opérations ont pour but de se rapprocher des consommateurs vivant à proximité des agences et également de les rassurer sur les bonnes pratiques en cette période de reprise.Des atouts essentiels assurant la réussite du réseauTout en s'adaptant aux exigences actuelles face au contexte sanitaire, les équipes continuent d'assurer une isolation de qualité avec l'isolant le plus performant et durable existant sur le marché, ISOtextil, fabriqué à partir de chutes de vêtements neufs recyclés. Par ailleurs,il bénéficie d'un atout supplémentaire et non négligeable, une garantie de 15 ans, unique sur le marché.De plus, afin de répondre aux besoins des particuliers et s'adapter à tous les budgets, l'opération « Coup de Pouce Isolation » via les mécanismes de Certificats d'Économie d'Énergie (CEE) se poursuit. Celle-ci participe amplement à la progression des agences ISOcomble tant en franchise qu'en succursale, témoin de l'engouement des consommateurs souhaitant bénéficier d'une isolation de qualité effectuée par des experts qualifiés et de proximité, à un prix minime.
Il y a 5 ans et 2 jours

Les solutions créatives de sols textiles Balsan à la portée de tous avec BIMobject

Audrey Chanvril, Responsable Prescription chez Balsan, fabricant de sols textiles, livre sa vision sur l’engagement BIM du groupe. Le groupe Balsan en quelques mots Balsan est un fabricant français de sols textiles en lés et dalles avec des usines au cœur du Berry dans l’Indre, près de Châteauroux. Balsan, fondé en 1751, est le spécialiste français des revêtements de sol textiles et fabrique des moquettes en dalles et en rouleaux pour différents marchés tels que les espaces tertiaires et commerciaux, les hôtels et restaurants, les cinémas, sans oublier l’activité résidentielle. En tant que prescriptrice, j’apporte des solutions créatives et décoratives à nos promoteurs, architectes, aménageurs et bureaux d’études parisiens, grâce à une large gamme de produits et de coloris. Balsan compte 220 employés dont la majorité se situe en France – entre les personnels de production, administratifs et les équipes commerciales. Je n’oublie pas mes collègues à l’étranger générant près de 45% du Chiffre d’affaires. Les produits Balsan ont des domaines d’application divers à la fois sur des réalisations en neuf ou en rénovation pour des logements collectifs et tertiaires. Nos clients sont la maîtrise d’ouvrage publique, privée, la maîtrise d’œuvre, les entreprises générales, les entreprises de pose et le réseau de distributeurs professionnels. Produits BIM Balsan sur BIMobject Pourquoi Balsan s’est-il lancé dans une démarche BIM ? Balsan est activement engagé dans la démarche BIM depuis 2019. Nos motivations sont nombreuses. Tout d’abord, le BIM est un outil de travail d’avenir dans lequel Balsan croit très fortement. Nous souhaitons offrir à nos clients prescripteurs la possibilité de travailler leurs projets en amont avec nos produits, facilitant ainsi leur intégration dans leurs projets. Le BIM est la parfaite expression de l’évolution des métiers de la conception et de la construction et nous voulons y être associés. En plus d’apporter des solutions techniques et décoratives, nos produits sont désignés et fabriqués en France, et nous savons combien nos clients y sont sensibles. L’organisation Balsan par sa force de vente, son service clients et ses usines, est taillée pour répondre aussi bien aux prescripteurs qu’aux entreprises et assurer le bon suivi des projets conséquents. Quels sont les défis liés au BIM auxquels vous devez faire face ? La création et la mise à jour des objets BIM sont très consommatrices de temps et il a fallu mettre en place les ressources nécessaires pour y parvenir. Heureusement, nous avions déjà beaucoup d’éléments suite à la refonte récente de notre site internet pour lequel beaucoup d’éléments avaient été regroupés. Notre service Marketing s’est montré très réactif. En externe, notre défi est de faire connaître à nos clients cette nouvelle possibilité d’intégrer nos produits dans leurs projets et nous devons redoubler nos efforts de communication pour les informer et les accompagner. Quelles sont vos motivations de disposer d’objets BIM ? Balsan a de tout temps été précurseur dans son domaine et nous pensons qu’il est important de bien suivre les évolutions des marchés et des méthodes de travail. La révolution numérique ne s’arrête pas en marche et le monde du bâtiment prend un nouveau virage avec l’arrivée du BIM. Donner les bons produits et outils à nos clients et prescripteurs pour travailler est une de nos priorités. Les objets BIM permettent d’intégrer tous les aspects de nos références, à la fois déco, techniques qu’environnementaux. Nous cherchons à faciliter la vie de nos clients en leur apportant les bonnes réponses. De plus, les objets BIM permettent des mises à jour rapides. Il est clair que rapidité et optimisation des process permettront de générer des économies pour tous. Après avoir étudié les différentes possibilités s’offrant à nous, BIMobject nous est paru comme étant le portail le plus utilisé et adapté à nos clients et à notre couverture géographique. Prduits de revêtements de sols Balsan sur BIMobject La collaboration entre Balsan et BIMobject nous donne satisfaction. Les échanges sont fluides et les collaborateurs de BIMobject disponibles. La notoriété du portail est appréciable ainsi que les délais de développement et la qualité des objets. Votre entreprise a-t-elle retiré des bénéfices avec le BIM ? Même s’il est un peu tôt pour répondre à cette question, je pense que cela nous permettra de mieux faire connaître nos produits et de nous intégrer sur un plus large panel de projets. Pourquoi participez-vous au salon BIM World avec BIMobject cette année ? Encore tout récent sur la plateforme BIMobject, participer au salon BIM World cette année nous offrira l’occasion de communiquer sur notre présence. Il sera également intéressant d’avoir un retour direct de nos prescripteurs afin d’apporter les compléments ou améliorations nécessaires. Showroom parisien Visitez le site Balsan pour connaitre tout l’univers et les collections de ce fabricant de sols textiles. Parcourez les 36 familles de produits Balsan disponibles sur la plateforme BIMobject.
Il y a 5 ans et 2 jours

Malgré le report, contre-la-montre à Dubaï pour finir le chantier de l'Expo universelle

Dubaï a investi 8,2 milliards de dollars pour assurer le succès, durant six mois, de l'exposition universelle présentée comme le plus grand événement jamais organisé dans un pays arabe. Voulue comme un moyen de stimuler l'attractivité de la ville, l'exposition affiche déjà son logo partout dans l'émirat.Aussi, malgré le report à octobre 2021, Dubaï semble vouloir mettre un point d'honneur à livrer dans les délais les principales infrastructures dédiée à l'événement.Pourtant, les organisateurs font eux-mêmes face à des vents contraires, comme l'apparition de cas d'infections au nouveau coronavirus sur des chantiers."Le Covid-19 a affecté bien sûr la logistique et les processus de livraison de certains travaux", reconnaît auprès de l'AFP Ahmed al-Khatib, responsable du développement et des livraisons.Mais ceux-ci "se poursuivent et certains pavillons ont atteint un stade final. 2020 est l'année de livraison", insiste-t-il.25 millions de visiteurs ?Sur le site de 4,5 km2, les pavillons ont commencé à prendre forme. Celui des Emirats arabes unis, en forme de faucon volant, est en voie d'achèvement. Le pavillon adjacent de l'Arabie saoudite ressemble maintenant à une immense fenêtre à ciel ouvert.Sous le thème "connecter les esprits, créer le futur", l'Expo, qui visait les 25 millions de visiteurs, verra la participation de 192 pays, dont Israël, qui n'a pourtant pas de relations avec les Émirats arabes unis.Servi par une importante campagne de promotion avec des vedettes comme le footballeur Lionel Messi, l'événement avait vocation à servir de planche d'appel pour les secteurs de l'immobilier, du tourisme et du commerce, atones ces dernières années.Mais la situation a au contraire été aggravée par le ralentissement de l'économie mondiale provoqué par le Covid-19.Manal AlBayat, chargée de mission à l'Expo 2020 Dubai, veut rester optimiste: le report n'a pas eu d'impact sur "l'engagement à réaliser une exposition qui inspire le monde", assure-t-elle."Fort malheureusement, un certain nombre d'employés vont nous quitter. La décision a été très difficile à prendre", ajoute la responsable, en allusion à une vague de licenciements parmi le personnel de l'Expo 2020 Dubai car les budgets ne seront pas augmentés à la suite du report, approuvé en mai par le Bureau international des Expositions (BIE) basé à Paris.InfectionsSur les chantiers, dans le sud de Dubaï, le Covid-19 n'a pas épargné un certain nombre d'employés et les Emirats arabes unis annoncent encore des centaines de nouvelles infections chaque jour.Mais des tunnels ont été creusés, des routes pavées, un système de sonorisation et des antennes 5G installés. Et les manguiers et oliviers plantés continuent eux aussi de pousser sous un soleil brûlant.Parmi les mesures de précaution prises dans le cadre de la lutte contre la pandémie figure la création de centres de tests sur le site et le lancement d'une campagne de sensibilisation, selon Mme AlBayat.Là encore, si elle reconnaît "quelques cas positifs" au sein des ouvriers et parmi le personnel de l'Expo, aucun chiffre ne filtre. Toute personne infectée n'est acceptée sur le site qu'une fois totalement rétablie, enchaîne-t-elle.Plus de la moitié des cas de coronavirus enregistrés dans les six pays arabes du Golfe, qui dépassent aujourd'hui les 355.000, concernent des travailleurs étrangers, lesquels vivent souvent dans des conditions d'exiguïté.Pour contenir la pandémie, Dubaï s'est fermée en mars mais veut rouvrir ses portes avant le début de la saison touristique en septembre. L'an dernier, l'émirat avait accueilli 16,7 millions de visiteurs et visait les 20 millions en 2020.Dans le "monde d'après", Dubaï devra-t-il revoir à la baisse ses objectifs de fréquentation pour son exposition universelle?"Nous travaillerons pour atteindre la meilleure fréquentation possible. (...) Un an de report signifie plus de marge de manoeuvre pour améliorer les choses", veut croire Ahmed al-Khatib.
Il y a 5 ans et 3 jours

Routes de France prévoit un recul de 18% du chiffre d'affaires des travaux routiers en 2020

Le syndicat qui fédère les industriels et entrepreneurs du secteur des infrastructures de mobilité et de l’aménagement urbain a profité de son assemblée générale le 17 juin pour alerter les pouvoirs publics et proposer des pistes de relance .
Il y a 5 ans et 3 jours

Du 15 juin au 31 juillet, sécurisez vos locaux professionnels grâce à l’offre exceptionnelle du réseau d’expert en sécurité Proxeo !

Cabinet, étude, commerce… votre local professionnel représente beaucoup à vos yeux et mérite d’être sécurisé contre toute forme d’intrusion. Pour envisager des absences en toute sérénité pendant l’été, le réseau d’experts en sécurité Proxeo lance sa « Promotion jamais vue », avec du 15 juin au 31 juillet 2020 inclus, deux caméras offertes pour un système d’alarme Daitem acheté, d’une valeur supérieure ou égale à 3000 € HT[1]. Couplées à l’application e-Daitem, les caméras apportent un réel complément au système d’alarme, permettant d’enregistrer les séquences vidéo et de les recevoir automatiquement en cas d’incident. En cas d’intrusion avérée, la levée de doute vidéo permet aux opérateurs de notre service de télésurveillance actif 7j/7 et 24h/24, de gagner en efficacité et de demander, le cas échéant, aux forces de l’ordre d’intervenir. Pour plus de sécurité, les séquences vidéo sont enregistrées sur les propres serveurs sécurisée de Daitem. Un système d’alarme Daitem, c’est le choix d’un matériel certifié, conçu, fabriqué et assemblé en France, en Isère. Les produits de la gamme e-Sens ont obtenu le label Origine France Garantie délivré par le bureau Veritas Certification. Les systèmes d’alarmes Daitem sont conformes aux dispositions des directives européennes et certifiés NF&A2P 2 boucliers, certification délivrée conjointement par l’AFNOR et le CNPP, garantissant un niveau de fiabilité maximale. Enfin, les produits Daitem sont garantis 5 ans, respectant les normes industrielles les plus rigoureuses, avec un contrôle de chacun de ses composants à 100%. Pour sécuriser votre local professionnel, faites appel à un expert de la sécurité Proxeo ! Proxeo, c’est le premier réseau français de distribution et d’installation de systèmes d’alarmes, avec plus de 200 agences à votre service sur tout le territoire. Expert en sécurité depuis 40 ans, le réseau a été réalisé plus d’un million d’installations de systèmes de sécurité à travers l’Europe. Votre agent Proxeo est à votre écoute pour vous proposer une prestation de qualité et des produits certifiés. Il réalise un diagnostic précis de vos besoins spécifiques et vous transmet un devis détaillé, gratuit et sans engagement. Proxeo, c’est aussi la garantie d’un service après-vente rapide, et le service d’un expert pour l’entretien et l’évolution de votre système de sécurité. Détails de la promotion  Un système d’alarme Daitem acheté, deux caméras offertes. Pour tout achat d’un système d’alarme DAITEM supérieur ou égal à 3000 € HT ou 1 caméra et/ou détecteur de mouvement images offerts pour tout achat d’un système d’alarme DAITEM supérieur ou égal à 2000 € HT, voir conditions auprès de votre expert sécurité Proxeo. Les montants s’entendent hors pose. [1] Pour l’achat d’un système d’alarme Daitem supérieur ou égale à 3000 euros HT (matériel hors pose), voir conditions auprès de votre expert sécurité Proxeo.
Il y a 5 ans et 3 jours

Bétontherm : Un béton isolant et structurel, en sac

Le béton thermique Bétontherm et désormais disponible en version sac. [©Granulex] Entité de Granulats Expansés de la Mayenne (Gem), la marque Granulex est spécialisée dans la fabrication de granulats d’ardoise expansée. Associés au béton, ces derniers permettent de réaliser des matériaux légers et isolants. En plus de cela, Granulex a mis au point Bétontherm, une gamme de bétons thermiques, désormais proposé en sac. « Ce produit a été développé en partenariat avec l’industriel Route Service Industrie, spécialiste des bétons spéciaux et haute performance en sac », explique Vincent Gallizia, directeur commercial de Granulex. La marque s’occupe de fournir la partie “granulats légers”. De son côté, RSI réalise le prémix “liant”. « Tous les ciments peuvent être retenus. Le prémix fonctionne en CEM III, mais les producteurs de BPE retiennent plutôt des formules en CEM I. Et ce, pour tout ce qui est tests au feu, performances thermiques et pour les autres paramètres techniques. Dans tous les cas, les deux formules ont été testées. » Les deux composants sont ensuite mélangés par RSI et ne nécessitent que le rajout d’eau chez le client. « Nous sommes à la disposition de chaque BPE pour mettre en place le Bétontherm chez eux, en les assistant au niveau de la formulation, du commercial. Et même jusqu’au calcul thermique pour développer des solutions avec leurs clients. » Une façon de mettre à disposition une formule standard avec une densité de granulats d’ardoise expansée associée. Et d’envisager toutes les options de développement possibles, selon la demande. Bétontherm est disponible sur l’ensemble du territoire et les pays limitrophes à la France.
Il y a 5 ans et 3 jours

Martel Groupe : Le choix pertinent du BPE

La centrale à béton SEBM de Genas (69) est la première à avoir été mise en place, dès 2013. [©Martel Groupe] Retrouvez l’article dans Béton[s] le Magazine n° 89. « La carrière, c’était un peu un rêve de gosse… » Ce rêve, Fabrice Martel, directeur général du groupe lyonnais éponyme, l’a réalisé en 2013, un peu par hasard. « Pour répondre à des besoins internes, nous avions commencé à monter une centrale à béton. Au même moment, nous avons eu l’opportunité d’acquérir une carrière, à proximité. » En fait de carrière, il s’agissait d’une autorisation d’exploitation en bonne et due forme, sur la commune de Saint-Bonnet-de-Mure, à deux pas de l’aéroport de Lyon – Saint-Exupéry !  Fabrice Martel, directeur général du groupe éponyme : « Nous sommes là pour résoudre les problèmes de nos clients ». [©Martel Groupe] Ce changement de périmètre a imposé de revoir la stratégie “BPE” du groupe. « Avoir des granulats à disposition pour alimenter notre centrale changeait la donne », confirme Fabrice Martel. Aussi, de centrale pour l’interne, l’unité de production en construction a été transformée en centrale de réseau. Elle devenait apte à répondre aux besoins du groupe en bétons spéciaux, comme aux attentes d’entreprises de BTP locales. « Nous avions confié à l’industriel Stimm la réalisation de cette centrale à béton. » Une unité bâtie autour d’un malaxeur Teka. Pour Stimm, ce chantier s’est vite avéré d’importance, puisque l’industriel a décroché, en parallèle, celui de l’équipement de la carrière. Sans compter l’augmentation de capacité de la centrale à béton.  « Les chauffeurs sont nos premiers commerciaux. »  SEBM possède aujourd’hui 22 toupies, Putzmeister sur porteurs Mercedes Benz pour l’essentiel. [©Martel Groupe] Sept ans plus tard, le BPE génère 24 % du chiffre d’affaires de Martel Groupe, qui a atteint Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 3 jours

EDF adapte la production d'énergie locale aux collectivités

Le producteur et fournisseur d’électricité français, EDF, accompagne les collectivités dans leurs transitions énergétiques en proposant des solutions d’énergies locales.Produire à l’échelle du territoire Le développement des énergies renouvelable a pour objectif de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre. Selon l’Ademe, en 2015, 80% des Français attendaient déjà un essor significatif des énergies vertes. Ils défendent les enjeux climatiques notamment grâce à la consommation des énergies locales.Le premier producteur d’énergie en France, EDF, propose directement aux collectivités de s’équiper en infrastructures adaptées à la production d’énergies locales. L’entreprise s'entoure de professionnels pour aménager les espaces en panneaux solaires et en éoliennes. Les bâtiments peuvent également fonctionner en circuit court grâce à la biomasse. En plus de soutenir les engagements écologiques des territoires, la production d’énergie locale offre une meilleure gestion économique des consommations énergétiques. L’ajustement des consommations en fonction des besoins d’un bâtiment réduit effectivement les frais extérieurs. Par ailleurs, les installations d’infrastructures spécifiques contribue à valoriser le territoire. Les collectivités ont intérêt à travailler avec des spécialistes locaux ce qui permet de redistribuer les richesses localement. Valoriser les ressources territorialesLes ressources locales génèrent des retombées locales directes notamment grâce au développement des professionnels locaux. Les collectivités cherchent de nouvelles compétences pour accompagner les nouvelles initiatives de consommation d’énergies décarbonées. Les bailleurs, les architectes, les urbanistes promoteurs ou encore les entreprises sont accompagnées par des coordinateurs pour réunissent les actions pour conserver une cohérence dans les projets. EDF propose le service de ses experts pour développer la stratégie énergétique des bâtiments. Leur expérience garantit le bon déroulement opérationnel des des circuits courts ou des réseaux de chaleur et de froid. Les spécialistes locaux aident également à identifier les solutions durables le plus adaptées aux besoins du bâtiment en fonction des ressources locales. Les productions d’énergies locales contribuent à lutter contre le réchauffement climatique tout en mettant en avant les ressources des territoires. Les collectivités doivent s’appuyer sur des spécialistes dont les compétences leur permet de mieux gérer leurs consommations énergétiques.
Il y a 5 ans et 3 jours

Putzmeister présente son nouveau Mixokret M 740

Le transporteur à chape Mixokret M 740 Stage V. Putzmeister devait présenter sa dernière génération de transporteurs de chape sur le salon EPF. Celui-ci ayant été annulé suite à l’épidémie de Covid-19. La marque allemande dévoile, dès à présent, le nouveau Mixokret M 740 Stage V. Ce dernier semble être assez similaire à son prédécesseur de par son aspect extérieur. Les plus grands changements ont été effectués sous le capot. Qui continue de s’ouvrir de manière centrale comme sur l’ancienne version. Le moteur turbo 3 cylindres de Deutz fonctionne désormais avec une puissance de 36,4 kW, soit environ 10 % de puissance de plus que son prédécesseur. Le compresseur de Rotocomp délivre une capacité d’air allant jusqu’à 4,35 m3/mn. Grâce au post-traitement sophistiqué des gaz d’échappement, avec un filtre à particules diesel, la machine répond à toutes les exigences de la norme d’émission “Stage V” sans utiliser d’AdBlue. 15 % d’économie de carburant Afin de pouvoir s’adapter de la manière la plus flexible possible aux conditions respectives de chaque chantier, la nouvelle gestion des performances permet de sélectionner cinq vitesses de transport différentes. Ceci permet de faire des économies de carburant allant jusqu’à 15 %, en pompant en mode “Eco”. Pour des distances de transport plus longues, l’augmentation de la vitesse en mode “Power” garantit une performance maximale. Sur ce nouveau modèle, le malaxeur est désormais à entraînement hydraulique, permettant à l’utilisateur de faire fonctionner l’arbre de malaxage en sens inverse pour “décoincer” le mélange si besoin. Enfin, plus jamais une batterie ne sera déchargée le lendemain matin, grâce à la fonction d’extinction automatique. En standard sur la machine, elle déconnecte automatiquement tous les consommateurs électriques, même si l’interrupteur principal n’est pas éteint en fin de journée. Il est en donc fini des temps d’arrêt inutiles dus aux batteries déchargées.
Il y a 5 ans et 4 jours

Travaux ferroviaires : des opportunités à saisir dans les pays nordiques

Le Danemark, la Norvège et la Suède ont adopté des plans de soutien ambitieux pour le secteur et les projets d’infrastructures se multiplient.
Il y a 5 ans et 4 jours

Les artisans du bâtiment déçus par le projet de loi de finances, font 6 propositions au gouvernement pour relever le défi de la reprise

Ce plan n'est cependant pas à la hauteur de la situation d'urgence dans laquelle se trouvent les entreprises artisanales du bâtiment. Le Gouvernement occulte la question de la prise en charges des surcoûts liés aux précautions sanitaires et exclut les entreprises du BTP des mesures d'exonération de cotisations et contributions sociales. La CAPEB souhaite donc alerter les parlementaires et propose des mesures fortes, parfois déjà formulées lors du précédent projet de loi de finances pour 2020, qui permettront au secteur de se maintenir et de relever le défi de la reprise de l'activité économique. La CAPEB formule en outre six propositions au plus proche du terrain afin de déverrouiller certains obstacles à la reprise totale de l'activité.Patrick Liébus, Président de la CAPEB : « La crise qui frappe nos entreprises est un choc d'une ampleur inédite. La situation est grave : nous faisons face à de très fortes contraintes de trésorerie et nous devons nous organiser pour accroitre progressivement notre niveau d'activité, notamment en ce qui concerne les chantiers les plus complexes. N'oublions pas que notre secteur représente 6,4% de l'emploi et 5% de la valeur ajoutée en France et qu'il offre, au redémarrage de l'économie nationale, de puissants effets d'entraînement ! nous avons donc formulé des demandes concrètes et adaptées à la réalité du terrain, que les pouvoirs publics doivent prendre en compte pour relever le défi de la reprise de l'activité de l'artisanat du bâtiment. A situation exceptionnelle, nous voulons des mesures exceptionnelles. C'est le moment de prendre en considération certaines de nos propositions rejetées l'an passé, mais également d'en retenir de nouvelles. Nous demandons à nos CAPEB départementales de les porter à la connaissance de leurs parlementaires. »Des mesures gouvernementales à renforcerA l'occasion de l'examen du projet de loi de finances rectificatives qui sera examiné à l'Assemblé Nationale, la CAPEB souhaite interpeller les députés pour qu'ils alertent le Gouvernement sur la question de la prise en charge des surcoûts engendrés par la mise en place des précautions sanitaires. Pour la rénovation des logements, la CAPEB estime le surcoût des travaux sur site de l'ordre de 10 à 20%.Les postes les plus lourds concernent notamment la réorganisation des chantiers notamment en cas de co-activité entre plusieurs entreprises ou plusieurs équipes, le transport des salariés, la désinfection des surfaces, la gestion des déchets. Cela concerne également l'obligation de réaménagement des bases de vie, des vestiaires, des sanitaires sur site et bien évidemment de fournir aux travailleurs tous les équipements de protection nécessaires (gants, masque, etc.).La solution proposée par le Gouvernement réside dans la négociation ou la renégociation, et tout particulièrement en marché public. Or de quelle marge de manœuvre dispose une entreprise artisanale face à son client particulier ou encore face à son maitre d'ouvrage public. Cette mesure est, dans tous les cas, inopérante pour une petite structure.La CAPEB rappelle que ces coûts contribuent à augmenter les montants des devis et souhaite que l'État puisse prendre des dispositions compensatoires pour alléger les coûts des entreprises qui supporteront pour partie ces surcoûts.Le troisième projet de loi de finances rectificative prévoit par ailleurs d'accorder aux entreprises les plus touchées par la crise économique et sanitaire actuelle des mesures exceptionnelles d'exonération de cotisations et contributions sociales ainsi que des remises de dettes et des plans d'apurement. Ces mesures sont proposées aux secteurs d'activité les plus touchées notamment les secteurs du tourisme, de l'hôtellerie, de la restauration de la culture de l'événementiel du sport et du commerce de détail non alimentaire ainsi que les secteurs dont l'activité dépend de celles de ces secteurs. Elles ne concernent pas le secteur du Bâtiment pourtant lourdement touché par la crise économique actuelle, notamment en raison du temps nécessaires qu'il a fallu pour établir le guide officiel de recommandations sanitaires sur les chantiers et en raison des refus de la clientèle privée et des particuliers (87% de l'activité du secteur) de procéder aux chantiers.Compte tenu de son poids dans l'économie et de son importance pour l'activité dans les territoires, la CAPEB demande l'extension de ces mesures exceptionnelles d'exonération des cotisations et contributions ainsi que les remises de dettes, aux employeurs et travailleurs indépendants relevant du secteur du Bâtiment et des Travaux Publics.Projet de loi de finances rectificatives : l'occasion de revenir sur des erreurs du projet de loi de finances initialLe projet de loi de finances pour 2020 prévoyait d'exclure du CITE les 9° et 10° déciles qui représentent les ménages les plus « aisés ». Si l'on peut comprendre que le Gouvernement, au travers d'une mesure sociale, soutienne légitimement les ménages modestes et très modestes, pour autant en termes de massification des travaux et sur un plan environnemental, exclure les 9° et 10° déciles, qui réalisent actuellement près de 50% des travaux relevant du CITE, marque une incohérence et conduira inévitablement à une baisse du nombre de rénovations énergétiques des logements. Le projet de loi de finances rectificatives constitue une occasion de revenir sur cette mesure, en lien avec les objectifs fixés par le Président de la République qui souhaite mettre l'accent sur la rénovation énergétique.Le projet de loi de Finances 2020 supprimait en outre le CITE pour les ménages intermédiaires, concernant les chaudières gaz à très haute performance énergétique (THPE). Or, il est objectivement démontré que ces équipements ont vocation à remplacer le parc des chaudières fioul et gaz existant, en contribuant à la diminution des consommations énergétiques et des émissions de gaz à effet de serre. Une suppression brutale du CITE sur les chaudières gaz à très haute performance énergétique n'est donc pas concevable aujourd'hui.Enfin, la CAPEB plaide pour un retour de la TVA à un taux réduit de 5,5% pour l'ensemble des travaux de rénovation. Cette mesure représenterait une réponse concrète aux enjeux économiques et climatiques actuels.Six propositions simples et au plus proche du terrain pour soutenir l'activité du secteurLa CAPEB adresse par ailleurs aux pouvoirs publics des demandes adaptées au quotidien des entreprises artisanales. Tous les obstacles de terrain que peuvent rencontrer les entreprises artisanales et toutes les incohérences administratives qui minent le quotidien des entreprises artisanales doivent être levés afin que leur survie économique soit assurée.Afin de renforcer leur trésorerie pour éviter au maximum les défaillances d'entreprise, la CAPEB demande :Le paiement direct à l'entreprise de l'avance et du solde des aides aux travaux (MaPrimeRénov, Anah, Action Logement…)Anticiper le versement des primes CEE aux clients, notamment pour les chantiers engagés, afin d'accélérer les règlements envers les entreprisesPermettre aux collectivités territoriales de supprimer les « droits de trottoir » afin que ces entreprises puissent reprendre leur activité sur tout le territoire et le plus rapidement possibleLe droit au stationnement pour les véhicules professionnelsAutoriser durant les mois de l'été la mise en place d'échafaudages et/ou de bennesAccroître les rénovations par la possibilité de déroger au PLU, en favorisant un plus grand niveau de constructibilitéPatrick Liébus, Président de la CAPEB : « Pour conclure, et pour le moment, j'ai bien peur que ce que nous appelons « reprise » ne corresponde en fait qu'à l'exécution des devis et commandes d'avant Covid. Par conséquent, ce qui est très inquiétant pour les semaines et mois à venir, c'est l'éventuelle insuffisance des nouvelles commandes, qui constitueraient la « vraie » reprise. Mes deux craintes : un trou d'air en automne et encore trop peu de chantiers en activité totale et normale. Je rappelle que le dernière enquête des CERC fait apparaître que seulement 63% des chantiers repris fonctionnent à 100%. Malheureusement, un bon nombre d'entreprises artisanales sont amenées à supporter les surcoûts, notamment quand elles réalisent des travaux pour les particuliers, ce qui risque de les conduire à des situations de trésorerie très dégradées, voire de les conduire à la faillite. Enfin, sous peu, nous présenterons l'intégralité du plan de relance que la CAPEB propose pour le secteur, plan qui intégrera bien sûr ces quelques propositions »
Il y a 5 ans et 4 jours

Edycem BPE présente son nouveau réseau So’Lumiliss®

Edycem BPE présente son nouveau réseau So’Lumiliss® destiné à réunir les applicateurs spécialisés dans la réalisation... Cet article Edycem BPE présente son nouveau réseau So’Lumiliss® est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 4 jours

Exposition du mobilier iconique de la Villa Malaparte à Londres

L’exposition Casa Malaparte Furniture, qui se tiendra à Londres du 15 juin au 19 septembre 2020, présente des rééditions des meubles qui ornent la villa de l’écrivain toscan Curzio Malaparte, construite entre 1938 et 1943 à Capri par une des figures emblématiques de l’architecture rationaliste italienne : l’architecte Adalberto Liberia. La Villa Malaparte, posée sur un rocher au bord de la mer Méditerranée à l’est de Capri, est une œuvre architecturale moderne qui se présente...
Il y a 5 ans et 5 jours

Xavier Striebig, nouveau secrétaire général du SNPU

Assurant la promotion en France du panneau d'isolation en mousse rigide de polyuréthane, Xavier Striebig accompagne les membres du Syndicat dans la promotion de la solution, dans l'évolution des normes techniques et des exigences environnementales, et participe à l'animation du réseau. Il aura également pour mission de renforcer la présence du SNPU auprès des acteurs de son écosystème, tel que l'AIMCC. Diplômé de l'École Spéciale des Travaux Publics et de l'École Royale Polytechnique de Stockholm, cet ingénieur ETP 90 puise ses connaissances du secteur et son expertise dans deux expériences enrichissantes qui auront marqué sa carrière, au CSTB puis chez UNILIN INSULATION.« Cette prise de nouvelle fonction s'inscrit comme le prolongement naturel de mon parcours professionnel. Déjà historiquement attaché au SNPU, il me tient à cœur de faire perdurer cette institution et de renforcer son rayonnement dans les débats d'actualité. De l'évolution des réglementations techniques à l'application de la Loi Économie Circulaire, notre Syndicat entend être présent pour soutenir ses membres et être pro-actif face aux enjeux de demain. Fédérer et valoriser les démarches et les travaux de nos Commissions seront des clés de notre réussite. », explique Xavier Striebig, Secrétaire Général SNPU.Des normes au terrainEn 1994, Xavier Striebig occupe les fonctions d'Ingénieur Chargé d'Affaires au CSTB. Il devient alors Responsable du domaine de 2 la couverture à partir de 1997, puis Rapporteur du Groupe Spécialisé n° 5.1 « Couvertures ». Une période durant laquelle il instruit les Avis Techniques, rédige les DTU en partenariat avec la FFB et les divers organismes ou syndicats professionnels, ou encore accompagne les industriels dans le cadre de leur développement technique. En septembre 2008, il prend la Direction Technique et Développement d'UNILIN INSULATION, poste qu'il occupera jusqu'à sa nomination au SNPU et où il aura largement contribué à la mise en place du panneau PU (ACERMI, Avis Technique, essais, FDES, formation de la force de vente, etc.). En 2010, il intègre les Commissions Technique et Environnement du SNPU.
Il y a 5 ans et 5 jours

La Société du canal Seine-Nord installe son nouveau conseil de surveillance

INFRASTRUCTURE. Régionalisée depuis le 1er avril, la Société du canal Seine-Nord Europe à installer son nouveau conseil de surveillance le 11 juin.
Il y a 5 ans et 5 jours

Relance : la Fnaim réclame la fin des zonages

IMMOBILIER. La Fnaim avance huit propositions pour "relancer la filière du logement", comprenant notamment l'extension d'avantages fiscaux à tout le territoire et la massification des rénovations énergétiques. Jean-Marc Torrollion, le président du réseau de professionnels immobiliers, les décrypte pour Batiactu.
Il y a 5 ans et 5 jours

Bientôt une promenade piétonne de 7 km dans le centre d'Athènes

"La grande promenade est un important ouvrage visant à changer radicalement le centre historique d'Athènes" pour relier entre eux les monuments et les sites archéologiques de la capitale grecque sur 6,8 km de parcours réservé aux piétons, a indiqué la municipalité d'Athènes."La crise du coronavirus a accéléré la nécessité de ce projet", a ajouté la mairie, selon laquelle le projet devrait être achevé en 2022.Mais certains commerçants du centre-ville s'inquiètent de l'impact de ces travaux alors qu'ils viennent de traverser un confinement qui a déjà lourdement affecté leurs activités.Les travaux ont commencé près de la place Syntagma, siège du parlement, où des pistes cyclables doivent être aménagés et des trottoirs élargis, mais ils devraient s'étendre à tout le centre historique cet été.La circulation automobile y sera interdite pendant les travaux et la police municipale pourra mettre des amendes de 150 euros en cas de violation de la réglementation.L'utilisation de véhicules électriques sera encouragée par le déploiement de stations pour les recharger et la ville devrait se doter de davantage d'espaces verts."Le centre s'ouvre à tout le monde et pas seulement aux voitures comme c'est encore le cas aujourd'hui", a déclaré le maire Kostas Bakoyannis en inaugurant les travaux."Cette Grande promenade va changer Athènes, mettre fin aux mobylettes sur les trottoirs, créer des espaces publics, et permettre d'augmenter la vitesse des trajets en bus", a-t-il ajouté.Athènes est une capitale dense, dotée de peu d'espaces verts et où la circulation automobile est soutenue. Une promenade arborée, longue de 5 kilomètres, a toutefois été aménagée autour du rocher de l'Acropole à l'occasion des Jeux olympiques de 2004.Selon la mairie, les deux voies piétonnes seront reliées "en phase finale" du chantier.
Il y a 5 ans et 5 jours

Cheminées Poujoulat lance 3CE Thermo-D pour le raccordement des chauffe-eau

Le chauffe-eau thermodynamique est un équipement électrique destiné à produire de l'eau chaude sanitaire grâce à une pompe à chaleur complétée par une résistance électrique d'appoint. Il a ainsi recours à une énergie renouvelable, l'air.Il permet de réduire jusqu'à 3 fois la consommation électrique en comparaison d'un chauffe-eau électrique classique. En neuf, il permet d'anticiper la RE 2020, participe à l'obtention du label E+ C- et donne accès au bonus de constructibilité jusqu'à 30%, pour des projets de « construction exemplaire ».Un système certifié et développé en partenariat avec deux acteurs majeurs du chauffe-eau thermodynamiqueFort de ce constat et grâce à son expérience dans le domaine des équipements de chauffage depuis 70 ans, Cheminées Poujoulat a conçu 3CE Thermo-D, en collaboration avec deux acteurs majeurs dans le domaine du chauffe-eau thermodynamique : Saunier Duval et Auer.Garanti et sous Appréciation Technique d'Expérimentation (ATEx), ce système concentrique étanche pour l'amenée et l'évacuation d'air est parfaitement adapté à l'habitat collectif neuf ou existant.Disponible en 3 diamètres (125/200, 160/250 et 200/300), le conduit 3CE Thermo-D permet le raccordement de 1 à 6 appareils individuellement sur une même colonne.La solution proposée par Cheminées Poujoulat se distingue par le choix des matériaux :« Pour le conduit central, nous avons fait le choix du polypropylène car il permet de conserver les performances des chauffe-eau thermodynamiques en évitant de refroidir l'air extérieur circulant dans l'espace annulaire. La paroi extérieure est en inox 304 afin de respecter la réglementation incendie, avec une paroi incombustible, et d'éviter la corrosion liée à la présence d'eau, la condensation, dans l'espace annulaire pour une plus grande longévité », détaille Vianney Bucher, chef produits chez Cheminées Poujoulat.Le système est sécurisé par une étanchéité maîtrisée et des colliers de jonction à chaque emboîtement.Les percements en façade sont évités avec un seul terminal en toiture sans contrainte de position. Marque de fabrique de Cheminées Poujoulat, le terminal peut être personnalisé avec une finition inox ou noir mais également dans d'autres couleurs RAL sur demande.Un montage facile et un temps de pose réduitLe système 3CE Thermo-D s'adapte à chaque configuration de bâtiments, avec toit terrasse ou toiture en pente. Un dévoiement peut être installé dans la partie supérieure du conduit, ce qui permet de s'adapter à la construction en évitant des éléments de la charpente par exemple.La conception est simplifiée avec une seule colonne verticale qui évite les soffites et les faux-plafonds dans les logements.Le montage et la pose sont réduits grâce à un conduit modulaire et un nombre de pièces limité à 4 par niveau avec un élément Té de 950 mm de hauteur utile. Afin de faciliter la mise en œuvre, l'étanchéité du tube extérieur se réalise par un emboîtement cône sur cône, sans joint. L'adaptation à chaque hauteur d'étage se fait par l'utilisation d'éléments réglables.Les condensats et l'eau de pluie, éventuellement présents, dans les deux conduits sont évacués par un seul siphon en pied de conduit, ne nécessitant donc qu'un seul raccordement au réseau des eaux usées.Prévue dans l'ATEx, la mise en œuvre du 3CE Thermo-D est également possible en maison individuelle.Les + du 3CE Thermo-D de Cheminées PoujoulatUn système certifié par une ATEx du CSTBUn développement en partenariat avec deux acteurs majeurs dans le domaine du chauffe-eau thermodynamiqueEn habitat collectif neuf ou existantRaccordement de 1 à 6 chauffe-eau thermodynamiquesUn conduit central en polypropylèneUne paroi extérieure en inox 304Un terminal personnalisable : finition inox ou noir, autres couleurs RAL sur demande
Il y a 5 ans et 5 jours

Grand Paris: le belge Besix aménagera l'une des principales gares

Le groupe belge de BTP Besix aménagera pour plus de 100 millions d'euros l'une des principales gares du futur métro du Grand Paris Express, celle de Saint-Denis Pleyel. © Société du Grand Paris / Devisubox
Il y a 5 ans et 5 jours

Myral, premier industriel de la façade à obtenir la certification Origine France Garantie

La certification OFG a pour objectif d'assurer la traçabilité d'un produit en donnant une indication de provenance claire et objective aux clients. Cette certification permet aussi de valoriser le made in France à un moment symbolique, où en pleine crise du Coronavirus, la relance de l'économie passera notamment par le soutien aux entreprises nationales.Valoriser le savoir-faire et la fabrication française des solutions MyralPour Myral, dont le siège et l'usine sont installés à Is-sur-Tille dans le département de la Côte d'Or, cette initiative est logique car cela fait plus de 30 ans que l'entreprise fait le choix du made in France dans son développement et dans l'innovation centrée sur sa solution d'isolation par l'extérieur des façades. Elle est d'ailleurs le premier fabricant spécialisé dans l'enveloppe du bâtiment à obtenir cette certification présente dans tous secteurs confondus et à désormais pouvoir apposer le fameux logo bleu-blanc-rouge. « Il nous permet de mettre en lumière notre démarche qualité, en valorisant notre savoir-faire et en assurant à nos clients l'origine française de nos produits », poursuit Sylvain Bonnot.Un engagement quotidien pour la « lutte contre les passoires thermiques »En plein développement, le groupe bourguignon a passé en 2019 le cap des 100 salariés. Il produit chaque année, dans son usine, plus de 250000 m² de parements isolants. Ils sont distribués sous la marque Uniso dans tout l'hexagone aux particuliers par des partenaires, et son réseau de franchises Les Appliqués, ainsi que sur les marchés du collectif et du tertiaire… Avec l'objectif avoué de participer au mouvement national contre le gaspillage d'énergie dans l'habitat, aussi nommé « lutte contre les passoires thermiques » par les pouvoirs publics. Un engagement fort, qui résonne encore davantage dans le contexte de crise sanitaire et économique actuel, et que la certification Origine France Garantie va participer à souligner.« En tant qu'industriel français qui investit en France et qui est actuellement engagé dans l'effort national de relance de l'économie nous sommes fiers d'obtenir cette certification Origine France garantie. C'est un symbole auquel sont sensibles nos clients : de la maîtrise d'ouvrage publique ou privée, aux particuliers qui souhaitent gagner en confort dans leur maison. » - Sylvain Bonnot, président de Myral, à l'annonce de la certification OFG
Il y a 5 ans et 6 jours

Pour Stéphane Plaza, de retour sur M6, "l'immobilier est une priorité" pour les Français

Le présentateur et agent immobilier va retrouver sa case quotidienne à 18H50, occupée depuis mars par "Tous en cuisine" de Cyril Lignac. Si les leçons de cuisine du chef ont cartonné auprès des téléspectateurs, pas de jalousie entre les deux hommes, à en croire Stéphane Plaza, qui a fait une visite surprise et en direct jeudi dans l'émission culinaire."Pendant le confinement, voir des appartements qu'on ne pouvait pas visiter n'était pas forcément le plus judicieux, et mettre un programme neuf de Cyril Lignac, qui a excellemment bien marché, était une bonne nouvelle pour la chaîne et ne m'a pas du tout dérangé. Ca a permis de faire un petit peu reposer la marque Chasseurs d'appart', et de revenir avec des inédits, pour défendre des associations", dit-il à l'AFP.Des émissions inédites tournées à Toulouse, avant la crise du Covid-19, et qui ne montrent donc pas encore les nouvelles pratiques dans l'immobilier."On ne travaille plus de la même façon", explique M. Plaza. Outre les masques, par exemple, "on fait en sorte que toutes les portes et placards soient ouverts avant le début de la visite, par une seule personne qui porte des gants, pour protéger tout le monde".Les tournages de l'émission devraient reprendre ce mois-ci, a priori avec des équipes réduites et en respectant ces consignes. Avec des portes ouvertes, "il y aura peut être moins de surprises, mais je ne vais pas jouer là-dessus, on fera très attention", promet-il.Selon lui, l'immobilier n'a pas été terrassé par le coronavirus. "On peut dire qu'il y a une crise sanitaire pour l'instant, mais il n'y a pas une crise immobilière", note l'agent immobilier le plus célèbre du petit écran, à la tête de son propre réseau d'agences.Si les transactions ont été paralysées pendant deux mois, "à l'heure actuelle, l'immobilier, en tout cas, est une priorité du fait du télétravail et du confinement, selon qu'il s'est bien passé ou non, mais c'est surtout le marché de la location qui redémarre".En outre, "on sait que la pierre est une valeur sûre, avec laquelle on ne va pas doubler son investissement mais qui fait rarement perdre de l'argent", quand d'autres placements ont montré leur coté risqué, observe-t-il."Mais il faut retrouver confiance, il y a beaucoup de questionnements", dit-il, soulignant que la crise sanitaire "fait changer les mentalités". Avec beaucoup d'éléments positifs : "Il y a plus de sourires, plus d'humain, on est contents après cette privation de liberté de pouvoir faire des choses", salue-t-il.
Il y a 5 ans et 6 jours

Fibre optique : 1 million de prises ne seront pas produites en 2020

NUMERIQUE. Infranum a réalisé une étude, menée par EY et Tactis, sur l'impact à court terme de la crise sanitaire sur la filière des infrastructures numériques. Impacts économiques, surcoûts, retards... le point sur la situation d'une filière frappée en plein boom d'activité.
Il y a 5 ans et 6 jours

Picard Serrures franchit une nouvelle étape dans la dynamisation de son réseau d’Installateurs Agréés

Marque de référence de la serrurerie qui fête ses 300 ans en 2020, Picard Serrures s’appuie depuis 1998 sur un réseau fidèle d’installateurs agréés pour la mise en œuvre de ses systèmes de haute sécurité (portes blindées, serrures multipoints, portes de hall et portes techniques). Après le déploiement de sa charte enseigne, concept proposant l’habillage extérieur du point de vente et showroom intérieur, Picard Serrures poursuit la dynamisation de son réseau avec la création de niveaux d’agrément, soutenue par l’organisation d’animations commerciales. De quoi rythmer cette année anniversaire malgré un contexte sanitaire pas vraiment à la fête.   Le service au cœur du réseau Désireux de continuer à renforcer le lien qui l’unit à ses Installateurs Agréés depuis de nombreuses années tout en renforçant leur sentiment d’appartenance à la marque, Picard Serrures crée trois statuts d’IAP. En fonction de leurs chiffres d’affaires, les membres du réseau deviennent ainsi Partenaire Officiel, Premium ou Elite. Selon son niveau, l’installateur s’engage alors à : • respecter la charte d’agrément et verser une cotisation annuelle, • créer un espace Haute Sécurité dans sa boutique en exposant 3 portes / 3 serrures • afficher son appartenance au réseau en disposant d’une enseigne drapeau ainsi que d’une vitrine 100% Picard Serrures, • à réaliser un certain chiffre d’affaires pour franchir les niveaux d’agréments.   En contrepartie, Picard Serrures leur fournit des services destinés à augmenter leur visibilité et à dynamiser leurs ventes tels que : • des actions de webmarketing (landing page sur le site internet Picard Serrures, génération de leads, création de pages Facebook et Google My Business incluant la mise à jour pour les niveaux Premium et Elite), • un package de goodies annuel, • la mise à disposition de tous les supports de communication, • une formation technique et commerciale à l’usine dans le centre #AcadémiePicard, • une relation commerciale privilégiée et réactive, • des remises complémentaires. Grâce à ce partenariat gagnant-gagnant, les IAP peuvent bénéficier, tout au long de l’année, de véritables dynamiques commerciales exclusives.   Une vague d’opérations spéciales pour une année anniversaire Afin de remercier ses Installateurs Agréés pour leur fidélité, Picard Serrures a naturellement souhaité les associer à la célébration de son tricentenaire grâce à la mise en place d’actions commerciales visant à dynamiser le réseau toute l’année.   Prolongée jusqu’à fin juin compte tenu de la crise sanitaire, une première opération intitulée « 300 ans = 300 € » permet aux IAP de faire profiter leurs clients particuliers d’une remise de 300 € pour toute commande de porte blindée (hors Diamant® 1). D’octobre à décembre, une nouvelle animation prend le relais : sur chaque porte (hors Diamant® 1) et chaque serrure (hors Ermetis® et Ermetis® Tapkey) achetée, une clé supplémentaire est offerte.   Pour mettre en avant cette dynamique commerciale, Picard Serrures met à la disposition des membres du réseau des kits de communication spécifiques à installer dans les points de vente. En parallèle, le fabricant relaie l’information via une campagne digitale (réseaux sociaux, newsletter, google adwords).   Avec d’ores et déjà 143 IAP officiellement titulaires de leur carte de membre, Picard Serrures a pour objectif de continuer à développer son réseau notamment à Nantes, Montpellier et Nîmes, afin que les particuliers puissent trouver un installateur référent dans leur département. http://www.picard-serrures.com
Il y a 5 ans et 6 jours

Les acteurs de la filière bois font des propositions pour la décarbonisation des bâtiments neufs

Les acteurs du secteur plaident également pour une politique pérenne de soutien à l'offre associée au soutien à la demande pour renforcer l'outil industriel national.La future réglementation environnementale 2020 ambitionne de diminuer l'impact sur le climat des bâtiments neufs en prenant en compte les émissions des bâtiments sur leur cycle de vie dès la construction.Autrement dit, le calcul des émissions de CO2 reposera à la fois sur les émissions produites par le système constructif ET sur les émissions liées aux principaux usages (en particulier le chauffage et l'eau chaude sanitaire).Quels avantages à l'utilisation du bois matériau et du bois énergie ?Du point de vue environnemental, le bois est le matériau de construction qui consomme le moins d'énergie grise. Il est, de plus, jusqu'à 12 fois plus isolant que le béton et permet ainsi de réduire les consommations énergétiques liées au chauffage l'hiver et d'améliorer substantiellement le confort d'été. Ce dernier point constitue, d'ailleurs, un des objectifs que le Gouvernement a assigné au futur texte. Enfin, le bois matériau constitue un stock de carbone sur le long terme qui possède, en fin de vie, diverses voies de valorisation.Concernant le bois énergie, son caractère renouvelable lui confère un avantage carbone essentiel. Souple, économique et local, il contribue au respect de nos objectifs climatiques et à la réduction du déficit de la balance commerciale énergie fortement grevée par les importations d'énergies fossiles.Avec 378 000 emplois équivalent temps plein, la filière forêt - bois génère 25 milliards d'euros de valeur ajoutée. Elle représente, par ailleurs, 12,4% des emplois industriels nationaux1. De son côté, la filière du bois énergie regroupe plus de 50 000 emplois équivalent temps plein2.Vers une réglementation environnementale ambitieuse ?Dans leur communiqué de presse du 14 janvier, les ministres en charge de la règlementation environnementale 2020 ont rappelé leur volonté de dynamiser le recours aux matériaux biosourcés pour les systèmes constructifs et d'encourager la consommation d'énergies décarbonées, notamment la chaleur renouvelable.Les acteurs industriels que nous représentons saluent cette volonté de recourir plus massivement à une ressource, le bois, dont le bilan économique, social et environnemental lui confère une place de premier ordre.Mais, pour accélérer cette dynamique, la profession attire l'attention du Gouvernement sur plusieurs points :Il est essentiel que le contenu carbone des différents matériaux de construction soit scientifiquement objectivé afin d'éviter toute déclaration fantaisiste et que le stockage carbone soit bien pris en compte dans le cadre de la RE2020 ;Un ratio de chaleur renouvelable contraignant et ambitieux doit être mis en place afin de permettre le déploiement des solutions bois énergie à hauteur de nos engagements (38% de chaleur renouvelable en 2030).Quelles propositions pour massifier l'offre nationale ?A côté du soutien stratégique à la demande que constitue la mise en œuvre d'une réglementation environnementale 2020 ambitieuse en termes d'obligations de moyens, la politique de soutien à l'offre reste absolument nécessaire.Avec 95% du bois énergie provenant des forêts françaises et 63% du bois construction, promus comme "Bois de France", l'indépendance nationale est importante. Néanmoins, il est possible d'aller au-delà dans la mesure où le potentiel est loin d'être totalement exploité. C'est pourquoi, dans le cadre du Pacte productif et de son verdissement, il paraît essentiel de porter des mesures de compétitivité pour l'industrie du bois en :Allégeant la fiscalité de production aujourd'hui trois fois plus élevée en France que la moyenne européenne et huit fois supérieure à celle de nos voisins allemands ;Soutenant les investissements productifs tels que le séchage via le Fonds chaleur de l'ADEME ou en réintroduisant une enveloppe budgétaire fléchée vers des installations de cogénération biomasse bien ciblée ;Réintroduisant un dispositif de suramortissement pour moderniser l'outil productif ;Accompagnant les mesures et dispositifs de replantation pour disposer d'un capital de long terme et d'un puits de carbone encore plus efficace ;Promouvant la marque bois de France auprès des donneurs d'ordre publics et privés.Après un épisode sanitaire sans précédent qui a souligné la dépendance de notre pays à des biens importés, il est indispensable de garantir un haut niveau de sécurité d'approvisionnement sur les volets stratégiques des matériaux de construction et des combustibles. Le bois de France est le garant de cette autonomie vitale et constitue un levier de la relance économique.Michel DRUILHE, Président de France Bois Forêt, déclare : « Avec la filière forêt bois, nous disposons d'une ressource nationale dont les usages matériaux et énergie sont particulièrement complémentaires. La réglementation environnementale 2020 et une politique de soutien à l'offre associée peuvent permettre d'accroître le recours à une ressource durable, décarbonée et locale. Si nous réalisons cette ambition, nous disposerons d'un gisement très important, à portée de main, de création de valeur et d'emplois pour notre pays. Nous sommes à même de créer près de 100 000 emplois d'ici 2030 dans les territoires. »1 Source : comité stratégique de filière bois - 20202 Source : étude emplois énergies renouvelables réalisée par EY pour le SER - 2020
Il y a 5 ans et 8 jours

L'aéroport de Bâle-Mulhouse prévoit un effondrement de 80% de son trafic en 2020

Le nombre de passagers transportés devrait chuter à 1,8 million en 2020, contre 9,1 millions l'an dernier, a estimé le directeur de l'EuroAirport, Matthias Suhr.La plate-forme binationale, 5e aéroport régional français et le troisième par la taille de Suisse, avait enregistré l'année passée son neuvième record de fréquentation de suite.Depuis 2011, où il accueillait 5 millions de passagers, son trafic avait presque doublé, porté notamment par l'implantation de la compagnie à bas coûts Easyjet, qui a représenté à elle seule 60% du total de 2019.Le retour aux performances d'avant Covid-19 n'est pas planifié avant trois ans, selon M. Suhr: "Il est certain que ce ne sera pas le cas dès 2021, l'attente porte sur 2023", a-t-il déclaré lors d'un point de presse.En janvier et février 2020, le trafic était resté très proche des niveaux des mêmes mois en 2019, puis il a diminué de près des deux tiers en mars avant de devenir quasi inexistant, selon les statistiques communiquées mercredi.Selon M. Suhr, l'activité va amorcer une "reprise" le 1er juillet, 80 destinations étant mises au programme à cette date, "soit environ 80% du réseau antérieur à la crise", mais avec des fréquences de vols réduites.
Il y a 5 ans et 8 jours

L'effondrement d'un balcon à Angers en 2016 serait bien dû à des malfaçons dans la construction

Ces trois expertises qui viennent d'être remises au juge d'instruction qui les avaient diligentées, confirment l'existence de malfaçons dans la construction de l'immeuble et de ses balcons, selon cette source.Des éléments que confirme le procureur de la République d'Angers: "Les expertises sont formelles, il n'y a pas de défaut d'entretien, mais de construction."Dans la soirée du 15 octobre 2016, 18 jeunes avaient basculé dans le vide lors de l'effondrement du balcon d'un immeuble de la rue Maillé, dans le centre-ville d'Angers.Quatre d'entre eux, trois hommes de 21, 23 et 25 ans, ainsi qu'une jeune fille de 18 ans, avaient été tués.Avec ces nouveaux éléments le juge d'instruction devrait clore l'information judiciaire et communiquer le dossier au procureur afin qu'il prenne ses réquisitions, puis rendre son ordonnance de renvoi pour un procès devant le tribunal correctionnel.Sauf nouvelles demandes d'actes des avocats, le dossier est terminé. "Il est en train de se finir et doit m'être communiqué au plus tard cet été", a confirmé Eric Bouillard, procureur de la République d'Angers.Retardé à cause du confinement, ce dossier est considéré comme "prioritaire" par M. Bouillard. "Il y a une vraie nécessité de répondre aux familles. Il faut aller vite. C'est mon objectif depuis que je suis arrivé", a-t-il expliqué.Le procureur espère toujours la tenue d'un procès début 2021, évoquée en novembre lors d'une réunion destinée aux parties civiles. "On va tout faire pour tenir cet engagement", a ajouté M. Bouillard.Dans ce dossier, cinq personnes sont mises en examen depuis octobre 2018 pour homicides et blessures involontaires: le responsable du cabinet d'architecture Rolland, le dirigeant et deux salariés de l'entreprise de gros œuvre Bonnel, ainsi qu'un chargé d'affaires de l'Apave, l'organisme de contrôle technique de construction.Mercredi, le juge d'instruction a par ailleurs rejeté l'idée de relancer des investigations concernant une éventuelle défaillance dans l'entretien de l'immeuble.Cette demande avait été effectuée quinze jours plus tôt par Me Thierry Fillion et Me Pascal Rouiller, conseils de l'entreprise de gros œuvre. Les avocats estiment qu'un défaut d'entretien est "certain" et qu'écarter cette piste "n'est pas de nature à permettre la totale manifestation de la vérité".
Il y a 5 ans et 9 jours

TRACE SOFTWARE PRÉSENTE UNE NOUVELLE OFFRE POUR LA CONCEPTION PHOTOVOLTAÏQUE

Trace Software International a le plaisir d’annoncer la sortie officielle de la nouvelle version du logiciel de dimensionnement photovoltaïque archelios PRO. archelios PRO, permet de dimensionner tout type de projet solaire, de quelques kWc à plusieurs dizaines de MWc, sur toiture, en ombrière ou au sol. archelios PRO Free, Silver, Gold et Platinum : une nouvelle gamme de logiciels PV adaptée à chaque activité Qu’ils soient artisans, installateurs de petits projets, développeurs de centrales solaires ou concepteurs occasionnel, tous les utilisateurs n’ont pas besoin des mêmes fonctionnalités. Avec la nouvelle gamme archelios PRO, Trace Software dote les professionnels d’un outil ergonomique et performant, adapté à la taille de leurs projets avec des fonctionnalités dimensionnées pour leur activité. Une nouvelle offre archelios PRO élargie : archelios PRO Free: conception de projets jusqu’à 36 kWc sans 3D archelios PRO Silver : conception d’installations jusqu’à 100 kWc archelios PRO Gold : dimensionnement de projets d’une puissance maximale d’1 MWc archelios PRO Platinum : dimensionnement de projets complexes illimités L’une des grandes nouveautés de cette gamme est l’accès gratuit à la version archelios Pro Free. archelios PRO Free : un logiciel gratuit pour démarrer avec des petits projets PV Que l’on soit artisan, étudiant, ou encore jeune entreprise, et que les projets ne dépassent pas une puissance de 36 kWc, le logiciel archelios PRO Free est idéal. Le logiciel permet de concevoir des projets d’installations solaires raccordées au réseau ou en autoconsommation, mais également de fournir très précisément le calcul de productible et les indicateurs économiques associés. L’utilisateur bénéficie d’une base de données et de fonctionnalités qui l’assistent pour le dimensionnement des onduleurs et des modules en fonction du projet. Grâce à sa prise en main simple et ergonomique, archelios PRO Free est un excellent outil pédagogique pour les utilisateurs qui débutent dans la conception photovoltaïque. archelios PRO Silver, Gold et Platinum : des gammes premium pour les bureaux d’études et installateurs photovoltaïques Les versions Silver, Gold et Platinum s’adressent aux bureaux d’études et aux installateurs photovoltaïques qui conçoivent des installations PV raccordées au réseau ou en sites isolés, en autoconsommation, avec ou non stockage d’énergie. Les versions Silver, Gold et Platinum s’adressent aux bureaux d’études et aux installateurs photovoltaïques qui conçoivent des installations PV raccordées au réseau ou en sites isolés, en autoconsommation, avec ou non stockage d’énergie. La version archelios PRO Silver permet une conception rapide, notamment grâce à la modélisation 3D et détaillée des projets. Elle  permet également de fournir très précisément le calcul de productible et les indicateurs économiques associés (LCOE, CGA, rentabilité, …). Les concepteurs disposent d’une large base de données de références multi-fabricants qui leur permet de réaliser le meilleur choix de matériel pour un rendement optimal de l’installation. Ils ont la possibilité d’exporter directement leur projet vers les logiciels de la suite archelios : archelios CALC et archelios O&M. Avec archelios PRO Gold les utilisateurs gagnent en temps de conception grâce à des fonctionnalités de saisie rapide et des outils de conception 3D automatiques, notamment pour le câblage des boîtes de jonction et des onduleurs. Accès aux bases de données météo et Google Maps comme pour la version Silver,  gestion optimisée de l’autoconsommation, comparaison de projets, exports du projet en format Autocad et CSV et vers les autres outils de la suite, sont autant d’atouts qui permettent aux concepteurs de gagner en temps de conception et de livrer des projets ultra précis au plus proche, voire au-delà, des attentes de leurs clients. Bénéficiant des fonctions Silver et Gold, archelios PRO Platinum est de loin le logiciel le plus complet du marché des logiciels PV. Il dote les concepteurs de fonctionnalités uniques telles que l’optimisation de l’écrêtage, l’outil de terrassement en 3D et la gestion de grandes centrales multi-MWc. Pour les installations de grande envergure, c’est la garantie d’un projet rigoureux donc moins coûteux, maîtrisé et au plus proche des conditions de production, même pour les installations les plus complexes. Intégrez l’environnement 3D de votre projet en un clic avec 3D Map archelios PRO est le seul logiciel du marché à proposer la fonctionnalité 3D Map qui permet d’intégrer automatiquement l’environnement 3D de votre projet en un clic, avec prise en compte automatique de la végétation et des bâtiments environnants pour une évaluation précise et rapide des pertes dues aux masques proches, sans besoin de visite de site. Un gain de temps impressionnant ! 3D Map est disponible sur Silver, Gold et Platinum. A propos de Trace Software International Trace Software International est éditeur de logiciel depuis plus de 30 ans. La société dispose d’une expertise unique dans la conception d’installations électriques et photovoltaïques avec notamment ses gammes de logiciels elec calc et archelios. Trace Software appartient au Groupe Trace, groupe basé en Normandie, expert dans les solutions pour la conception électrique, le bâtiment, le BIM et l’énergie. Contact Service communication Trace Software International : kpinson@trace-software.com  
Il y a 5 ans et 9 jours

Les français veulent s'éloigner des grandes villes

La crise du coranavirus a touché et confiné 67 millions de français, obligés de rester chez eux du 13 Mars au 11 Mai 2020 puis en déconfinement progressif jusqu'à ce jour. Les familles avec enfants, les célibataires et les personnes âgées ont dû s'habituer à rester au sein de leur logement pendant plus de 2 mois et n'ont plus du tout les mêmes envies après cette crise sanitaire sans précédent. Pendant la crise, PAP.fr, l'acteur qui réalise le plus de transactions sur le marché de l'ancien en France avec plus de 9 millions de visites par mois sur son site (Chiffres Médiamétrie) et des centaines de milliers d'annonces publiées chaque année, avait constaté une explosion du nombre de recherches de biens en Grande Couronne et en province sur certains départements mais ne savait pas si ces tendances allaient se poursuivre après le confinement. C'est pourquoi, PAP.fr a mené une étude sur les recherches réalisées sur son site du 11 au 25 Mai 2020 par rapport à la même période en 2019 et les résultats surprenants, renforcent ces nouvelles aspirations.Est-ce l'avènement du télétravail qui permet aux français d'envisager une autre manière de vivre ? Est-ce les frustrations du confinement qui leur donnent envie d'espaces plus grands mais plus loin ? Ils veulent vivre mieux, quitte à être plus éloignés de leur lieu de travail.1/ Un volume d'acheteurs en nette progression : +38%Les français sont plus nombreux qu'en mai 2019 à vouloir acheter un bien !Sur les 2 premières semaines de déconfinement, PAP.fr a constaté +38% d'acheteurs potentiels par rapport aux mêmes semaines de l'année dernière.PAP.fr a même connu un record historique de trafic le lundi 25 Mai 2020 avec 410.000 visites (c'est la 1ère fois que PAP.fr dépasse le seuil des 400.000 visites en une journée), en plus de 40 ans !* Résultat d'une étude menée par PAP.fr sur les recherches réalisées sur son site du 11 au 25 mai 2020 par rapport au 11 au 25 mai 20192/ La recherche de biens en Ile-de-France explose... sauf à Paris !Tous les départements d'Ile-de-France connaissent une forte hausse de recherches : de +15% pour les Hauts-de-Seine à +112% pour la Seine-et-Marne.La tendance d'envie de Grande Couronne se confirme nettement, et Paris reste le dernier département en baisse avec -12% par rapport à la même période en 2019.Les franciliens rêvent d'espace, de jardin et cherchent des biens avec ce potentiel, quitte à être plus éloignés de leur lieu de travail. L'avènement et la poursuite du télétravail leur permettra peut-être de se rendre à leur bureau que 2 ou 3 jours par semaine et de pouvoir profiter ainsi d'un cadre de vie plus agréable.3/ Une très forte progression des recherches sur les départements limitrophes des plus grandes métropoles françaises !Les départements autour de l'Ile-de-France, comme l'Eure et le Loiret, font une nette percée, ce sont certainement des franciliens qui envisagent de vivre dans un département autour de l'Ile-de-France.Les départements propices aux résidences secondaires sont toujours présents, mais ils ne sont désormais plus les seuls en haut du classement.Mais surtout, d'autres départements français sont désormais extrêmement recherchés, 2 fois plus que l'année dernière !Comme par exemple, l'Ain, avec +117%, pour les lyonnais en manque de verdure ou de biens plus grands ; le Pas-de-Calais et le Nord pour les Lillois ou certains franciliens, tentés de venir travailler à Paris 1 ou 2 jours par semaine en train ou à la recherche d'une maison de campagne ; l'Yonne pour les franciliens travaillant dans le sud de l'Ile-de-France ou comme résidences secondaires mais aussi les Alpes de Haute Provence, la Drôme, les Landes, la Savoie, le Loiret, les Pyrénées-Atlantiques, la Haute-Savoie, l'Isère, le Calvados, la Dordogne....la ruée vers des maisons ou biens spacieux, aérés et à la campagne est bel est bien là !
Il y a 5 ans et 9 jours

"Nous demandons une annulation des charges jusqu'à fin 2020", O.Salleron (FFB)

ENTRETIEN. Le nouveau président de la Fédération française du bâtiment, Olivier Salleron, prend ses fonctions ce 12 juin 2020. Élu en plein confinement, le 20 mars dernier, il dresse le bilan de cette période et propose des voies de sortie rapide de crise.
Il y a 5 ans et 9 jours

Relance : "Il n'y a pas que la rénovation énergétique", P. Gruat (Filière Béton)

INDUSTRIE. Si la rénovation thermique des bâtiments doit être accélérée pour garantir la transition écologique de la France, les industriels du béton estiment toutefois qu'elle ne doit pas constituer le seul axe du plan de relance post-Covid. Incitations fiscales, développement de la déconstruction et des infrastructures... Philippe Gruat, président de la Filière Béton, expose à Batiactu les principales propositions du secteur.
Il y a 5 ans et 10 jours

"L’ANCT doit être et sera aux avant-postes de la relance", selon sa présidente Caroline Cayeux

Auditionnés par la délégation aux collectivités territoriales de l’Assemblée nationale jeudi 11 juin 2020, Caroline Cayeux, présidente de l’Agence nationale de la cohésion des territoires, et Yves Le Breton, son directeur général, ont présenté leur feuille de route et la contribution de l’ANCT au plan de relance gouvernemental. Celui-ci pourra s’appuyer sur les dispositifs portés par l’agence, comme les contrats de plan État-région, Action cœur de ville, Territoires d’industrie ou encore Petites Villes de demain qui doit être lancé dans les prochaines semaines, a indiqué Caroline Cayeux.