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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Transport et infrastructure

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Il y a 4 ans et 355 jours

Réglementation environnementale

Photo : Adobe StockC'est la performance globale de l'ouvrage qui sera considérée dans la future réglementation environnementale RE 2020. Deux données seront prises en compte pour le calcul : la résistance thermique et l'impact carbone des menuiseries extérieures. Comme pour la RT 2012, la performance énergétique s'appréciera sur la globalité de l'ouvrage. Pour les menuiseries extérieures, les orientations consistent à renforcer les seuils, aussi bien en thermique d'hiver, qu'en confort d'été, et ces produits devront participer à ces objectifs. Cela induira des performances améliorées sur la déperdition et sur le facteur solaire. Pour le critère carbone, ce sont les quantités de gaz à effet de serre émises sur l'ensemble du cycle de vie des menuiseries extérieures, qui entreront dans le calcul de l'impact environnemental global du bâtiment, lequel devra être inférieur à un seuil, exprimé en kg équivalent CO2 généré dans l'atmosphère. C'est le concepteur qui devra faire des choix éclairés en fonction des contraintes du projet. Pour cela, il pourra se référer aux déclarations environnementales des industriels, les FDES pour les produits de construction, répertoriées sur le site INIES.fr. Une trentaine de fiches « Fenêtres », soit près de 10 000 références commerciales, sont recensées sur les 3 905 fiches « Produits de construction » disponibles dans la base. Si le produit ne dispose pas de FDES, son impact environnemental sera pris en compte par une donnée environnementale par défaut. Impact environnemental des fenêtres Issu des données de référence Fiches de déclaration environnementales du site INIES.fr, représentatives du marché de la construction en France. Impact carbone : 150 kg de CO2 en moyenne sur une période de cinquante ans Une fenêtre déclarée dans la base INIES émet en moyenne 150 kg de CO2/m² sur une période de cinquante ans. Les fenêtres les plus vertueuses ont un impact carbone inférieur à 100 kg CO2 équivalent. Tous les types de matériaux sont représentés et peuvent atteindre de bonnes ou très bonnes performances. Tout le cycle de vie de la fenêtre est pris en compte dans le calcul de l'impact carbone : production, emballage, transport, mise en œuvre, vie en œuvre, démontage et démantèlement en fin de vie. Circularité : 26 % en moyenne Les fenêtres déclarées dans la base INIES ont en moyenne un taux de circularité de 26 %. Les fenêtres les plus vertueuses ont un taux supérieur à 30 %, à la fois sur les matières entrantes et les matières sortantes. Taux de circularité : c'est le rapport entre la masse des matériaux que l'on considère comme circulaire (a été recyclée, va être recyclée, est biosourcée, réemployée) et la masse du produit (emballage inclus). Ce taux se mesure sur les matières entrantes d'une part, et les matières sortantes d'autre part ; on peut calculer un taux de circularité global en faisant la moyenne des deux précédents. Solutions & Performances - Numéro 1 : « Menuiseries extérieures » PDF 4.08 Mo
Il y a 4 ans et 355 jours

Nouveaux Avis Techniques

Panel de profilés PVC recouverts par laquage. Photo : Florence JoubertLa rénovation est un des moteurs de l'innovation dans le domaine des fenêtres. De nouvelles tendances de mise en œuvre en isolation thermique par l'extérieur, en applique extérieure ou en tunnel au nu extérieur, émergent. Pour la construction neuve, une innovation importante est la mise en œuvre sur ossature bois. Les fenêtres mixtes (bois-aluminium, bois-PVC, aluminium-PVC) sont en fort développement. Ces produits extrêmement techniques et innovants ont des performances de haut niveau. Par exemple les fenêtres en aluminium à rupture de pont thermique intègrent une part de plus en plus importante de PVC, ABS ou polyamide pour optimiser leur efficacité énergétique. Les fenêtres PVC connaissent toujours une forte demande pour les systèmes incorporant de la couleur, avec trois types de technologies principales : le plaxage – collage d'un film décoratif multicouches PVC et acrylique ; le laquage – application d'une peinture liquide sur profilés ou sur cadres ; et le capotage aluminium – appliqué sur le côté extérieur. Pour les vitrages, les espaceurs entre les différents vitrages sont de plus en plus souvent en matériaux de synthèse (warm edge). Concernant la paroi vitrée, des vitrages organiques multiparois et un premier vitrage à propriété dynamique électrochrome devraient prochainement être mis sur le marché. Les innovations des procédés de construction sont évaluées par le Groupe Spécialisé « Composants de baies et vitrages », placé sous la responsabilité de la CCFAT. Elles donnent lieu à des Avis Techniques (ATec) ou des Documents Techniques d'Application (DTA). En savoir plus : Les Avis Techniques et DTA Fenêtres Solutions & Performances - Numéro 1 : « Menuiseries extérieures » PDF 4.08 Mo
Il y a 4 ans et 356 jours

La FFB verdit ses propositions pour enrayer la chute d’activité

Aujourd’hui, alors que la crise sanitaire s’estompe, 17 % des chantier du bâtiment se trouvent encore en activité réduite et 5 % toujours à l’arrêt. Pour la FFB, qui vient de publier sa dernière note de conjoncture, la cicatrice restera profonde puisque nos prévisions révisées pour 2020 tablent sur une chute d’activité bâtiment de 18 % hors effet prix et la perte d’environ 120 000 emplois. Le décrochage pourrait atteindre jusqu’à 200 000 postes en 2021 si rien n’est fait. Pour Olivier Salleron, le nouveau président de la fédération, il faut un plan à « prise rapide », pour limiter le trou d’air de septembre et les pertes d’emplois associées, qui en interdiraient la réalisation. Il convient de mobiliser le plus possible les dispositifs qui existent déjà, bien connus et maitrisés. La préoccupation écologique ressort primordiale. En matière de rénovation énergétique, la FFB propose de renforcer le couple CITE-MaPrimeRénov’, au moins pour une période couvrant la fin 2020 et l’année 2021. Elle propose : – de ramener à quelques centaines d’euros le reste à charge pour les ménages très modestes et modestes. Aujourd’hui, les aides nationales couvrent au mieux 90 % des travaux énergétiques, ce qui laisse souvent un montant bien trop important à la charge des ménages visés pour déclencher des opérations. – de restaurer l’éligibilité complète des ménages des déciles 9 et 10 de revenu, soit à partir de 50 000 euros avant impôt par an pour un couple sans enfant, avec les mêmes barèmes que les ménages intermédiaires. Ce sont eux qui ont accumulé le plus d’épargne « forcée » pendant le confinement ; l’orienter vers des travaux de performance énergétique constitue un bon moyen d’alimenter une croissance durable dans notre pays. – de relever de 150 à 400 euros/m² le forfait pour les rénovations globales, dont le coût s’approche souvent des 500 euros/m² dès lors qu’il s’agit de tendre ou d’atteindre le niveau BBC rénovation. Il s’agit d’une des mesures phares du plan FFB. Cette forte majoration doit permettre de prendre en charge une partie des gros travaux non énergétiques qui accompagnent une telle rénovation. C’est aussi un moyen efficace pour que les phases de gros travaux embarquent plus systématiquement la performance énergétique. En première analyse, nous estimons que 50 000 ménages pourraient s’inscrire dans une telle démarche à l’horizon de la fin 2021. La FFB propose même d’aller un pas plus loin, avec une prime poussée à 500 euros/m² en cas de prise en charge complémentaire de l’accessibilité. – de rendre éligibles au CITE, puis à MaPrimeRénov’ les résidences secondaires en zone de revitalisation rurale, parc dont l’importance a été soulignée par la crise sanitaire et qui permet de générer de l’activité, donc de l’emploi, sur ces territoires. – à ce que tous les travaux d’amélioration-entretien bénéficient d’une TVA réduite à 5,5 %. En ce qui concerne le neuf, la FFB propose deux améliorations au PTZ. La première se résume au retour à un prêt de 40 % du montant de l’opération sur tout le territoire. De fait, contrairement aux attentes, le rabotage à 20 % en zones B2 et C depuis 2018 n’a pas conduit les candidats à l’accession vers des zones plus urbaines ou vers l’ancien, mais plus loin des villes et villages pour y trouver un terrain à bâtir moins cher. La baisse de l’aide a donc été vecteur d’étalement urbain. Il convient de revenir en arrière. La seconde proposition correspond à une majoration temporaire à 60 % de la quotité pour les opérations affichant une performance meilleure que la règlementions en vigueur dans le neuf, avec un label « RE 2020 » à définir, ou pour des opérations associées à des travaux permettant un saut de deux classes du diagnostic de performance énergétique (DPE) dans l’ancien. Graphique : Réseau des CERC/FFB/CAPEB
Il y a 4 ans et 356 jours

Il faut sauver le soldat Bâtiment

Retrouvez l’article dans Béton[s] le Magazine n° 89. Olivier Salleron est le nouveau président dans la Fédération française du bâtiment. [©ACPresse] C’est dans des circonstances bien particulières qu’Olivier Salleron a entamé ses fonctions de président de la Fédération française du bâtiment (FFB). Successeur de Jacques Chanut depuis le 12 juin dernier, sa première tâche a été de gérer la sortie du confinement. Et d’analyser les dégâts subis par les entreprises du secteur. « Aujourd’hui, 95 % des chantiers sont en activité normale ou ralentie, mais ouverts », constate Olivier Salleron. Et le surcoût lié aux mesures sanitaires s’inscrit sous la barre des 10 % en moyenne. Quand on sait que la rentabilité des entreprises de bâtiment en France est de l’ordre de 2 à 2,5 %, nous estimons qu’elles travaillent à perte… » Certes, l’Etat s’est engagé à prendre sa part, mais au 1er juillet, personne n’a encore rien vu venir.  « Il faut donc agir maintenant pour éviter le pire », reprend Olivier Salleron. Sans quoi, dès l’automne, entre 30 000 et 40 000 entreprises seront, soit en redressement, soit en faillite. Et près de 180 000 personnes en plus risquent de devoir pointer au chômage. « Alors même que les prévisions de la FFB, réalisées à fin décembre 2019, prévoyaient la création de 10 000 emplois en 2020, dans une activité à + 0,8 %. » Aujourd’hui, la réalité est toute autre, avec un secteur qui est à – 17,6 %. « En quelques mois, nous avons annulé tout ce qui a été récupéré depuis la crise des subprimes de 2008 », analyse Olivier Salleron.  Un million de logements par an  Dans ces circonstances, la FFB a décidé de prendre le taureau par les cornes, sans attendre que les choses viennent du gouvernement. “Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays”, déclarait John Fitzgerald Kennedy, dans son discours d’investiture du 20 janvier 1961… Une citation de circonstance ! C’est donc un plan de relance ambitieux, environnemental qui plus est, qui est proposé. Pour tout de suite et pour plus tard, « pour un coût budgétaire annuel de 5 Md€, afin de sauver une filière ».  L’immédiateté est de limiter le trou d’air dans l’activité qui risque de se produire à l’automne. « Nous avons constaté une chute des devis de 70 % durant le confinement. Les entreprises sont en train de consommer leur stock de travaux déjà signés. Ce réservoir sera épuisé rapidement. » Il y a eu aussi un arrêt brutal des appels d’offres publics, alors même que l’administration était censée poursuivre son activité durant le confinement ! Ainsi, la FFB demande de remobiliser le plus possible les dispositifs qui existent déjà. Ensuite, elle propose qu’un programme d’un million de logements par an soit instauré, « objectif qu’on n’arrive jamais à atteindre, faute de moyen ». On parle ici de 500 000 logements neufs et autant à rénover. Les travaux qui en découleront permettront de pérenniser le secteur. Repasser la TVA à 5,5 % Plus en détail, la mesure phare de la FFB est de dynamiser les travaux de performance énergétique globale. Ceci, en portant à 400 €/m2 le Cite/MaPrimeRenov’, pour tous les ménages. « Cette mesure devrait décider nombre de particuliers à franchir le pas et à s’engager dans des opérations de rénovation énergétique », estime Oliver Sailleron. Surtout si on y intègre les foyers, dont les revenus s’inscrivent dans les tranches les plus élevées (déciles 9 et 10). « Toucher 50 000 €/an pour une famille assure un certain confort, mais on n’est pas encore dans les “milieux aisés”. » Ces foyers constituent pourtant 50 % des clients des entreprises adhérentes de la FFB. Mais ils ne sont éligibles à rien. En parallèle, il faudrait repasser la TVA à 5,5 % pour tous les travaux, en plus d’un coup de pouce pour la rénovation globale des maisons individuelles (relever l’aide de 50 à 200 €/m2).  Rétablir un Prêt à Taux Zéro à 40 % du montant d’une opération d’acquisition et remplacer les dispositifs dérogatoires constituent d’autres pistes de relance. « Un système de droit commun général, simple et lisible, comme cela se pratique en Allemagne serait un vrai plus. » Ce dernier devrait même faire faire des économies de l’ordre de 600 M€/an.  Un contrat à durée limitée Le non résidentiel n’est pas oublié dans la démarche de la FFB. On y parle de suramortissement pour la construction de bâtiments privés. Mais aussi du lancement d’un grand plan “Ehpad”. Ou encore de la majoration de 1 Md€ de la Dotation d’équipements des territoires ruraux (DETR). Dont le but est d’accompagner le déploiement de certaines infrastructures dans des zones éloignées des agglomérations.  Enfin, la FFB propose d’assouplir deux des recommandations du Haut Conseil de stabilité financière (taux d’effet inférieur à 33 % et prêts immobiliers inférieurs à 25 ans). « Il serait intéressant de profiter de l’instant pour définir de manière claire ce qui est visé dans la lutte contre l’artificialisation des sols. » Le choc de simplification administration semble, lui-aussi, très attendue. « Par exemple, diviser par deux les délais d’instruction des permis de construire bloqués et accélérer leur dématérialisation, détaille Olivier Salleron. De même, on devrait relever à 100 000 €, contre 40 000 € à l’heure actuelle, le seuil des appels d’offres simplifiés. » La FFB n’attend pas que le gouvernement grave l’ensemble de ces propositions dans le marbre. Mais juste qu’il les mette en œuvre pour une durée déterminée. Une sorte de CCD financier qui prendrait fin dans 2 ans, « Le temps de faire repartir l’activité et lui faire reprendre une vitesse de croisière », conclut Olivier Salleron.  Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 356 jours

Le bâtiment prévoit une chute de 18% de son activité cette année et réclame un plan de relance immédiat

En 2020, "le bâtiment devrait chuter de 18% (et) ça serait 120.000 emplois en danger", a résumé Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), lors d'une conférence de presse.C'est la première fois que la fédération évalue aussi précisément les conséquences de la crise du coronavirus et du strict confinement décrété en France entre mars et mai pour éviter la propagation de la maladie.Contrairement à d'autres secteurs, comme la restauration, les chantiers n'ont pas été officiellement contraints de fermer. Mais ils y ont, dans les faits, été largement obligés pendant des semaines, le temps d'instaurer des mesures sanitaires.Ces mesures restent au cœur des inquiétudes du secteur, malgré la reprise quasi complète des chantiers, car elles coûtent cher.Elles "sont aujourd'hui (...) très largement supportées simplement par les entreprises" plutôt que leurs clients privés ou publics, a prévenu M. Salleron. "Aujourd'hui, les entreprises travaillent à perte, elles perdent du pognon", a-t-il insisté.Le gouvernement a pourtant pris des mesures présentées comme des aides au secteur, à l'occasion du nouveau budget de crise examiné cette semaine à l'Assemblée. Il a annulé plusieurs mois de charges pour les petites entreprises ayant subi une chute de leurs revenus - une mesure qui va d'ailleurs au-delà du seul bâtiment - mais le secteur en veut plus et exige une suppression générale cette année.Plus largement, le secteur et le gouvernement sont en désaccord sur le calendrier de mesures dédiées au bâtiment. Celui-ci les veut dès maintenant, mais l'exécutif les réserve pour un grand plan de relance à l'automne.A ce titre, la fédération a présenté mardi son propre plan, évalué à cinq milliards d'euros par an. Il prévoit surtout d'élargir les aides destinées aux particuliers en matière de rénovation et de construction.Il s'agit en premier lieu de MaPrimeRénov', qui concerne les travaux d'isolation et que la fédération veut rouvrir aux ménages les plus aisés, actuellement exclus, ainsi qu'élargir aux résidences secondaires.En matière de construction de logements, l'organisation veut notamment relever les montants du prêt à taux zéro (PTZ), une aide à l'achat dont l'État a réduit l'ampleur ces dernières années.Téléchargez la note conjoncturelle de la FFB en cliquant ici.Le plan de relance proposé par la FFBRénovation énergétiqueLa mesure phare : dynamiser très fortement les travaux de performance énergétique globale en portant CITE/MaPrimeRénov’ à 400 €/ m² pour tous les ménages.En complément dans CITE/MaPrimeRénov’ : diminution du reste à charge pour les ménages modestes (400 €) et très modestes (200 €) ;réintégration des déciles 9 et 10 ;réintégration des chaudières au gaz THPE ;ouverture aux résidences secondaires en Zone de revitalisation rurale (ZRR).Surcoût budgétaire : 1,9 Md€ par an.Rénovation énergétiqueCEE : « coup de pouce » pour la rénovation globale des maisons individuelles ⇒ aide relevée d'environ 50 €/m² à 200 €/m² ;financement d'un nouveau Contrat d'accompagnement énergétique (CAE), permettant de suivre et conseiller un client après rénovation énergétique.TVA à 5,5% pour tous les travaux (1,4 Md€ par an).Accession à la propriétéRétablir un PTZ à 40 % du montant d'opération : pour les zones B2 et C dans le neuf ;pour les zones A et B1 dans l'ancien avec travaux.Porter la quotité à 60 % toutes zones si atteinte d'une performance énergétique « supérieure » : pour les constructions : « label RE 2020 » à définir ;pour les rénovations : saut de 2 classes du Diagnostic de performance énergétique (DPE) après travaux.Surcoût budgétaire : 0,6 Md€ par an.Investissement locatif privéRemplacer fiscalité confiscatoire + dispositifs fiscaux dérogatoires par un système de droit commun général, durable, simple et lisible : amortissement du prix d'acquisition du bâti sur 50 ans (2% l'an) dans le neuf et l'existant, pour le stock et le flux + amortissement accéléré sur 20 ans (5% l'an) si atteinte du « label RE 2020 » en neuf ;amortissement des travaux sur 15 ans + amortissement accéléré sur 10 ans si saut de deux classes DPE ;déductibilité du revenu locatif brut des intérêts d'emprunt (sans limite), des petits travaux et des charges locatives ;déficit foncier imputable sans limite sur le revenu global positif.Économie budgétaire : 0,5 Md€ par an.Non résidentielSuramortissement pour la construction de bâtiments non résidentiels privés.Majoration de 1 milliard d'euros de la Dotation d'équipement des territoires ruraux (DETR), notamment pour accompagner le déploiement de centres de collecte des déchets professionnels.Lancement d'un grand plan EHPAD.Mesures d'accompagnementObtenir l'assouplissement des deux recommandations du Haut Conseil de stabilité financière (taux d'effort < 33% et prêts immobiliers < 25 ans).Définir clairement ce qui est visé dans la lutte contre l'artificialisation.Choc de simplification administrative : division par deux des délais d'instruction des permis bloqués;accélération de la dématérialisation des permis ;création d'un permis déclaratif dans un périmètre sous permis d'aménager ou en zone d'aménagement concerté ;relèvement à 100.000 euros du seuil des appels d'offre.
Il y a 4 ans et 356 jours

Wayzz : A l’assaut des bétonniers

Jérôme Braga, co-fondateur de MWSC. [©Wayzz] Issue de la société My Wireless System Company (MWSC), créée en 2013, Wayzz propose des solutions digitales pour le marché du béton. Et notamment Béton Sync’, un outil pour suivre les livraisons de bétons ou de granulats, et pour en dématérialiser son cycle. Embarqué dans le véhicule, le système permet, par l’intermédiaire d’une application web, de géolocaliser toute la flotte de toupies et de connaître leur statut (en chargement, sur le trajet, en attente sur le chantier, en début et en fin de livraison, sur le chemin du retour). Il peut aussi être intégré à l’automatisme de la centrale. Ainsi, le système adresse un SMS au client, lui précisant, par exemple, que la toupie est en cours de chargement sous la centrale. Béton Sync’ confère au bétonnier la possibilité de sécuriser, de gérer et de détecter les points de dévissage. L’outil peut générer des bons de livraison, relier ces derniers aux factures et accepte la signature électronique. En option, les utilisateurs bénéficient d’un service de guidage, et d’un smartphone ou d’une tablette pour gérer l’application embarquée. « Nos clients disposent d’un espace dédié pour suivre, en temps réel, toutes ces opérations, explique Jérôme Braga, co-fondateur de MWCS. Cela permet de sécuriser l’activité et de mieux gérer les litiges, car ils ont accès à tout leur historique. » Une forte croissance en 2019 L’entreprise travaille aussi sur une intelligence artificielle, qui permettrait de détecter et d’alerter sur les comportements anormaux.&nbsp;«&nbsp;En cas de surfacturation, de mauvaise adresse de livraison, de camions bloqués ou de vols&#8230;&nbsp;»&nbsp;Depuis son lancement, Wayzz a équipé 1 200 véhicules. Des matériels issus des flottes de Bronzo Perasso ou encore Béton Solutions Mobiles.&nbsp;«&nbsp;Suite à notre présence au salon Intermat en avril 2018, nous avons signé avec un grand cimentier près de 850 équipements. Ce n’est pas un marché très extensible, mais nous voulons toucher tous les bétonniers. Nous prévoyons ainsi 1 500 véhicules en plus équipés de notre solution en 2019. D’ailleurs depuis décembre 2018, nous sommes de plus en plus en relation avec les fabricants de toupies. Avec des Schwing Stetter ou bien des Liebherr, nous sommes en discussion pour installer Béton Sync’ directement en usine.&nbsp;» Fort de son succès, Wayzz regarde au-delà des frontières hexagonales.&nbsp;«&nbsp;Nous voudrions nous développer en Europe, au Canada et aux Etats-Unis. Soit en gérant depuis la France, soit en trouvant des partenaires&nbsp;», conclut Jérôme Braga.&nbsp; Sivagami Casimir Attrape-moi si tu peux ! Le capteur et le boîtier de géolocalisation sont disposés par les équipes de Wayzz, qui bénéficient d’un réseau d’installateurs couvrant l’ensemble du territoire.[©Wayzz] Au niveau de son fonctionnement, Béton Sync’ dispose d’un boîtier de géolocalisation et d’un capteur installé sur le véhicule,  du réservoir à eau. Ce dernier sert à savoir avec précision, quand la toupie est en train de décharger et détecte le sens de rotation du malaxeur de la toupie. Le système de géolocalisation donne aux différents acteurs la position des toupies en temps réel. Il communique avec le serveur de Wayzz en GPS ou GPRS. Ainsi, la localisation est mise à jour toutes les 7 s. L’application embarquée de gestion fonctionne sur smartphone ou tablette. « Pour des raisons de qualité de service, nous recommandons l’utilisation d’outils dédiés et proposons une tablette Android 7”. » Une plate-forme permet au client de suivre sa flotte sur une carte et de voir les états de chaque véhicule à l’aide d’un code couleur. Elle recense aussi les bons de livraison et l’historique des opérations. Avec ce système, des messages peuvent être reçus ou envoyés à la centrale.
Il y a 4 ans et 356 jours

Le gouvernement souhaite boucler les dossiers liés à l'emploi rapidement pour limiter la casse à l'automne

"Nous avons encore beaucoup de travail dans les deux ou trois semaines", a résumé Muriel Pénicaud cette semaine.Alors que les annonces de suppressions d'emplois se multiplient, comme à Sanofi et Daher vendredi, la ministre du Travail doit déjà convaincre les entreprises de s'emparer dès le 1er juillet de la nouvelle "activité partielle de longue durée", "une alternative aux PSE" (plan de sauvegarde de l'empoi) pour les secteurs durablement touchés par la crise.Sur la base d'une "prévision d'activité partagée", le but est de négocier un accord d'entreprise (ou de branche) d'une durée de six à 24 mois qui définira un maximum de 40% d'heures chômées, compensées par l'Etat plus fortement que le chômage partiel de base, avec des engagements sur l'emploi."On va pousser les entreprises, notamment les petites et celles qui ne sont pas dans l'industrie", a assuré Geoffroy Roux de Bézieux (Medef). "Cela réclame du dialogue social, la CFDT est prête à s'engager", a affirmé Laurent Berger. Syndicats et patronat veulent rapidement "un accord type" rédigé pour les PME.Autre dossier urgent, le plan pour l'emploi des jeunes doit être finalisé d'ici à la fin de semaine prochaine après de premières aides déjà annoncées pour l'embauche d'apprentis et de contrats de professionnalisation.Alors que 700.000 jeunes sont attendus sur le marché du travail à la rentrée, "l'idée est d'aider tout le monde, du diplômé au sans diplôme" car "celui qui rate son entrée sur le marché du travail en paye le prix longtemps", explique-t-on à l'Elysée.Aide à l'embaucheLa mesure phare sera une aide à l'embauche, sous la forme soit d'une prime, soit d'un allégement de cotisations sociales.L'hypothèse d'une prime pour une embauche en CDI ou CDD de plus de six mois, avancée par le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, a la préférence du Medef, au motif que "l'effet de levier est plus fort pour les non diplômés que les allégements de cotisations patronales", déjà faibles pour les bas salaires.Mais une autre option, révélée par Les Echos, est sur la table: une exonération pendant trois ans, et jusqu'à 2,5 Smic, des cotisations non pas patronales mais salariales qui resteraient ainsi dans les caisses des entreprises. "On travaille sur plusieurs pistes qui feront l'objet d'une concertation avec les partenaires sociaux", indique-t-on au ministère du Travail. La CGT est contre cet allègement "car cela reviendrait à déshabiller une nouvelle fois la Sécu avec 10 milliards de pertes supplémentaires". Si la CFDT préfère une prime, elle met en garde "contre les effets d'aubaine ou de substitution".D'autres mesures sont en discussion, comme l'extension de la Garantie jeunes - un dispositif d'insertion avec un accompagnement renforcé - pour les jeunes peu qualifiés.Mais le dossier le plus épineux à trancher "d'ici fin juillet" reste celui de la réforme de l'assurance chômage, qui "fait partie des sujets sur lesquels nous ne sommes pas d'accord" entre exécutif et syndicats, a reconnu Mme Pénicaud.Les syndicats demandent l'abandon complet de la réforme de 2019, qu'ils ont toujours contestée, alors que la ministre parle de "bouger des curseurs".Si l'exécutif a fait comprendre qu'il reviendrait sur le durcissement de l'ouverture de droits (six mois de travail sur les 24 derniers depuis le 1er novembre contre quatre sur 28 avant), il reste flou sur deux mesures prévues au 1er septembre: le nouveau calcul de l'allocation pour ceux, souvent précaires, qui alternent contrats courts et chômage d'une part et la dégressivité après six mois pour les haut salaires d'autre part. Les dispositions pour lutter contre les abus de contrats courts (bonus-malus dans certains secteurs et taxe de 10 euros sur certains CDD) ont du plomb dans l'aile, Mme Pénicaud ayant fait remarquer que cela concernait surtout l'hôtellerie-restauration qui "essaye déjà de ressortir la tête de l'eau".Enfin, d'autres discussions sont aussi prévues sur la régulation du travail détaché et les sujets de formation et de compétences en prévision du plan de relance.
Il y a 4 ans et 356 jours

"Prendre conscience de la nécessité d'un bon débit effectif", B.Coquart (Ignes)

INTERVIEW. Le confinement a mis en avant la nécessité d'avoir accès à des infrastructures numériques. Si le plan France très haut débit prévoit le déploiement de la fibre optique sur le territoire, il n'intègre pas la question de l'accès à un réseau de qualité à l'intérieur des logements. Benoît Coquart, président du syndicat professionnel Ignes, demande que des actions soient mises en oeuvre en ce sens.
Il y a 4 ans et 356 jours

Élisabeth Charrier, nouvelle déléguée générale de Cochebat

« Pour Cochebat, je souhaite développer des services autour de l'enjeu majeur que constitue l'économie circulaire. Et aussi, m'appuyer sur ma connaissance des organisations professionnelles pour créer des synergies avec d'autres organisations françaises et européennes en élargissant notre réseau ». - Élisabeth Charrier, nouvelle déléguée générale de CochebatÉlisabeth Charrier a débuté sa carrière en agence de communication, aux études marketing, avant de rejoindre un incubateur de start-ups, puis une start-up. Elle évolue ensuite dans des organisations professionnelles, comme la Fédération nationale du transport routier (FNTR), et c'est en 2020 qu'elle rejoint le regroupement des syndicats de la plasturgie SYPLAST auquel appartient Cochebat. Elle succède ainsi à Éric Châtelain.
Il y a 4 ans et 356 jours

Paris Construction Week 2021 : 4-en-1 !

La Paris Construction Week se tiendra du 19 au 24 avril 2021, Paris &#8211; Nord Villepinte et Paris – Porte de Versailles. [©DR] L’organisateur de salons Comexposium&nbsp;annonce un évènement jamais vu dans le monde de la construction. En avril 2021, se tiendra la semaine mondiale de la construction, Paris Construction Week. Celle-ci verra l’ensemble des filières de la construction, du bâtiment et des infrastructures, de l’aménagement urbain et des territoires durables réuni. Près de 190 000 visiteurs sont attendus pour 1 800 exposants. Et ce, par le biais de 4 évènements professionnels. A savoir&nbsp;:&nbsp;Intermat, le World of Concrete Europe, BIM World et Solutions Bas Carbone. Ces manifestations auront lieu sur deux sites. Intermat et World of Concrete Europe Intermat Paris&nbsp;accueillera ses visiteurs du 19 au 21 avril 2021 à&nbsp;Paris &#8211; Nord Villepinte. Conférences, ateliers, tables rondes ou encore visites de délégations étrangères seront organisés autour de 5 pôles d’expertise. Soit “Terrassement, Démolition et Transports”, “Route, Industries des matériaux et Fondations”, “Bâtiment et Filière du béton”, “Levage et Manutention” et un nouveau pôle spécifique aux nouvelles technologies.Paris &#8211; Nord Villepinte sera aussi l’hôte du&nbsp;World Of Concrete Europe&nbsp;du 19 au 24 avril 2021. Celui-ci sera intégré au pôle “Bâtiment et filière du béton” d’Intermat. Il alliera espaces d’exposition et espaces de congrès. Avec des conférences sur les thématiques d’avenir du béton et un espace de démonstrations.&nbsp; BIM World et Solutions Bas carbone Quant au&nbsp;BIM World, il prendra place à&nbsp;Paris – Porte de Versailles&nbsp;du 21 au 22 avril 2021. Le salon dédié aux différents usages et bénéfices du numérique s’articulera autour de 3 pôles. “Construction 4.0” pour concevoir des ouvrages plus performants avec le numérique. “Building as a service” pour développer de nouveaux usages et valoriser les ouvrages. Ainsi que “Smart Data” pour des infrastructures digitales et des plates-formes de services pour les métiers, entreprises et collectivités.Enfin,&nbsp;Solutions Bas Carbone&nbsp;se tiendra lui aussi à&nbsp;Paris – Porte de Versailles les 21 et 22 avrils prochains. L’ambition de l’évènement est de fédérer les acteurs publics et privés engagés dans les grands défis de la transition environnementale. Afin de répondre à cette volonté, 3 univers de solutions et de réalisations seront organisés. A savoir, “Matériaux et Performance environnementale”, “Energie et Performance d’exploitation”, ainsi que “Smart Territoires et Performance d’usages”.
Il y a 4 ans et 356 jours

Comment installer soi-même son aspirateur centralisé ?

Après quelques semaines de réflexion et de recherches, vous êtes décidé à acheter un aspirateur centralisé. Que ce projet soit destiné à une maison en construction ou que vous résidiez déjà dans votre logement, nous vous expliquons comment réaliser vous-même l’installation de votre aspirateur central.   Installer un aspirateur central dans une nouvelle construction  Si vous construisez votre nouvelle maison ou y réalisez des rénovations en gros œuvre, vous tenez l’opportunité idéale pour installer votre système d’aspiration centralisée.   Les étapes suivantes détaillent la méthode à suivre pour faire courir les tuyaux d’aspiration sous le sol de votre demeure.   Poser une prise d’aspiration murale  Utilisez un support de montage mural pour déterminer la hauteur à laquelle sera fixée la prise d’aspiration murale pour le tuyau ascendant. Utilisez ensuite une perceuse munie d’une scie-cloche, pour percer un trou à la base du plafond, dans le sol.   Fixez la prise et le coude du tuyau   Collez un tuyau d’aspiration de bonne longueur au coude qui rejoint la prise d’aspiration afin de servir de niveau pour la fixation de la prise. A l’autre bout, le tube doit être suffisamment long pour atteindre les tuyaux du système d’aspiration centralisée qui courent sous le sol. Une fois le tube collé, vous pouvez fixer la prise murale à l’aide d’une perceuse.  Poser un couvercle de protection sur la prise  Une fois l’ensemble fixé au mur, il est primordial de fixer un couvercle de protection à l’embouchure de la prise d’aspiration. De cette manière, vous évitez tout risque d’infiltration de débris ou autres impuretés lors du montage des cloisons, qui viendraient encrasser votre système d’aspiration flambant neuf.  Installer un système d’aspiration centralisée en logement existant  Installer un aspirateur centralisé dans un logement existant s’avère plus compliqué, en particulier concernant la pose des prises d’aspiration et tubes PVC dans les murs.  Avant de procéder à vos travaux, sachez qu’il vous faudra avoir accès au à l’espace inter-plancher dans lequel courront les tubes de votre aspiration centralisée.  Marquer la position des prises d’aspiration  Prenez soin de marquer la position de vos prises d’aspiration murales à la même hauteur que les prises électriques existantes dans votre maison. Utilisez une valve d’entrée pour dessiner la position de la bouche d’aspiration sur le mur et pouvoir percer celui-ci proprement.  Couper le mur  Afin de scier proprement la partie du mur qui va accueillir les prises d’aspiration de votre système d’aspiration centralisé, utilisez une scie à guichet ou une scie à panneaux.   Percer un trou à la base de la prise  A l’aide d’une perceuse, réalisez un trou dans le sol, à la jonction avec le mur, juste en dessous des emplacements de chacune de vos prises d’aspiration.   Faites passer un câble dans ce trou afin d’en marquer l’emplacement et le retrouver une fois que vous serez dans votre sous-sol.  Déterminer l’emplacement du tuyau  Depuis le sous-sol, utilisez le câble comme point de référence pour mesurer l’emplacement du tube d’aspiration qui ira jusque dans le centre du mur.   A l’aide d’une scie-cloche, percez un trou un peu plus large que le diamètre de vos tubes à travers le sol et la base du montant du mur. Vous définissez ainsi l’espace du mur dans lequel courra votre tuyau avant de rejoindre le réseau qui parcourra le sous-sol de votre logement.  Protégez vos yeux durant toute l’opération, pour éviter les projections de poussières, bois ou plâtre.   Installer le tube d’aspiration  Faites passer un tube d’aspiration à travers la cavité murale, afin que celui-ci rejoigne la prise murale située au-dessus. Demander à une personne de vous tenir le tube pendant que vous remontez dans la pièce proprement dite.   De là, fixez le tuyau à un coude à 90 degrés, lui-même rattaché à la prise d’aspiration que vous n’avez plus qu’à fixer au mur. Répétez cette opération pour chaque prise que vous souhaitez installer. 
Il y a 4 ans et 356 jours

La Caisse des Dépôts récompense 12 projets « pour la recherche en architecture et paysage »

Ouvert aux doctorants, aux enseignants-chercheurs et aux professionnels, cet appel à candidatures vise à distinguer pour la cinquième année consécutive des projets de recherche qui s’inscrivent dans l’une des thématiques suivantes : Agir pour préserver les équilibres climatiques et écologiques ; Accompagner la transformation territoriale ; Renforcer la cohésion sociale. Les chercheurs lauréats poursuivront leurs travaux grâce à une dotation annuelle de 15 000 € accordée par la Caisse des Dépôts. Par cet accompagnement, la Caisse des Dépôts entend valoriser les pratiques de recherche et d'innovation portées par les diplômés au sein des écoles, par les enseignants et par les agences, collectifs ou autres structures professionnelles. Les résultats de ces recherches constitueront un foyer de réflexion pour mieux anticiper les évolutions futures en matière d'architecture et de paysage. Les 12 projets lauréats ont été distingués par un jury composé d’universitaires, de professionnels et de représentants des pouvoirs publics. Les 12 lauréats poursuivront leurs travaux de recherche à partir de septembre 2020. Ceux-ci peuvent prendre la forme d’une thèse académique, d’un rapport d’étude sur des projets expérimentaux ou de livrables à destination du grand public. Les lauréats s’engagent à présenter chaque année un état d’avancement de leur projet de recherche qui conditionne le renouvellement de ce soutien. Les 12 lauréats de l’appel à candidatures 2020Nom(s) du/des lauréat(s)Titre du projet de rechercheÉtablissement de rattachementType de candidatureBARRAULT ThibautMELONI GiaimePRESSACCO CyrilL'épaisseur de l’architecture, Études sur les formes contemporaines de l’isolation.ENSA Paris-EstProfessionnelsBENABDELJELIL MeryamLa « Smart City », une transition du concept à la pratique. Quel(s) avenir(s) pour la mobilité ?ENSA Paris La VilletteThèse de doctoratCAMPEDEL SimonLe patrimoine des maisons de ville en midi toulousain face à la transition écologique. Manuel rétroactif de construction durable.ENSA ToulouseThèse de doctoratEMERY MarionLa contestation des projets d’autoroutes urbaines - 1956-1973. Paris en regard des grandes villes étasuniennes et européennes, San Francisco et Londres.ENSA Paris MalaquaisThèse de doctoratFONTAINE AmélieAgriculture en territoires habités : matrice et conflits – Construire des outils de cohabitationENSAP LilleThèse de doctoratKERAVEL SoniaLes enjeux de la représentation photographique dans la pratique des paysagistes concepteursENSP Versailles MarseilleHDRLENOIR AstridConstructions de l'urgence, architectures du provisoire face au temps longENSA Paris Val-de-SeineThèse de doctoratMIHAYLOVA Katerina FIORI SandraFermes U+ : faire architecture pour l’agriculture paysanneENSA LyonProfessionnelsPERRON AntoineLa machine contre le métier. Les architectes et la critique de l'industrialisation du bâtiment (France, 1940-1980).ENSA Paris BellevilleThèse de doctoratPETKOVA NataliaForm follows material. Le cas de l'architecture contemporaine en pierre massive.ENSA Paris MalaquaisThèse de doctoratSERRE MarionSALVIA GabrieleLe tiers foncier, une ressource pour les centres anciensENSA MarseilleProfessionnelsRUE Mathilde L’agroforesterie comme processus d’élaboration paysagère. Des agriculteurs-habitants engagés dans la transition écologique ?ENSP Versailles MarseilleThèse de doctorat
Il y a 4 ans et 356 jours

USM, la marque de mobilier 100% modulable disponible sur BIMobject

M. Pascal Buisson, Directeur du Développement International chez USM Modular Furniture revient sur le succès et l’adoption de la marque USM auprès des architectes et architectes d’intérieur et pourquoi le BIM devient indispensable pour la marque USM. Une marque mondiale qui s’adapte à chaque environnement USM, entreprise suisse, conçoit et fabrique du mobilier modulable haut de gamme. La renommée d’USM vient principalement de sa gamme signature de mobilier modulable, le système USM Haller, qui dispose de possibilités de configuration infinies. La marque est présente dans plus de 50 pays et est implantée en Allemagne, en France, aux Etats-Unis, au Royaume Uni, au Japon et depuis peu en Italie via des filiales. Crée en 1885, la société USM, alors spécialisée dans la fabrication d’objets en métal, s’est développée au fil des décennies et a eu la nécessité de construire un nouveau siège social basé sur un concept d’architecture modulable. Afin de meubler ces nouveaux bâtiments, Paul Schärer, alors à la tête d’USM (et père du dirigeant actuel Alexander Schärer), ensemble avec l’architecte Fritz Haller, a conçu un nouveau concept de mobilier modulable émanant de ses idées architecturales et destiné à l’origine à l’aménagement de ses propres bureaux. L’excellent bouche à oreille aidant, la société a commencé à le commercialiser en 1969, a stoppé son activité d’origine en 1992 pour se concentrer finalement uniquement à la fabrication de mobilier et connaitre une notoriété internationale. L’objectif d’USM à travers son mobilier 100% modulable est de concevoir des solutions personnalisables qui répondent et s’adaptent aux besoins des utilisateurs (meubles de rangement ou de séparation d’espaces, consoles pour salles de réunion, banques d’accueil…) ainsi qu’aux nouveaux usages de bureaux (individuels cloisonnés, open space, espaces partagés, espaces de détente, cafétérias…). Il permet ainsi d’aménager tous types d’environnements (bureaux, bibliothèques, musées, hôtels restaurants, musées, établissements de santé, écoles, …) Les meubles USM disponibles sur BIMobject.comLes meubles USM sont vendus dans le monde entier via des réseaux de distributeurs qualifiés (magasins de meubles contemporains). USM présente aussi ses produits dans ses showrooms (Paris, Londres, Hambourg, Munich, Tokyo, New York et Berne. Ces lieux permettent aux architectes et architectes d’intérieur de découvrir certaines des solutions réalisées grâce à la modularité de ce concept, de s’en inspirer, et de les reproduire ou de les adapter pour leurs clients. Le système USM Haller, ainsi que les autres gammes de tables et accessoires, démontrent l’engagement pour une innovation inégalée, une qualité authentique et un style véritable. Une combinaison du mobilier à l’infini qui incite à la créativité L’extrême modularité des meubles USM ainsi que leur longévité, sont un plus pour les utilisateurs et les prescripteurs. USM propose un nombre infini de combinaisons dans 14 coloris à mixer selon les besoins qui sont ensuite produites à la demande en Suisse. Un des avantages du mobilier est sa possibilité de reconfiguration illimitée. En effet, les utilisateurs peuvent ajouter des éléments ou les agencer différemment au fil des années. Une réutilisation du mobilier existant permet ainsi de l’adapter à de nouveaux espaces ou à d’autres usages&#8230; Cet atout en fait un investissement à long terme avec une empreinte écologique très appréciée. Le mobilier USM combine à la fois la diversité, la fonctionnalité, ainsi que l’esthétisme. « Quand un architecte ou un architecte d’intérieur travaille sur un projet, un champ des possibles s’ouvre à lui. » L’architecte explique ses besoins aux équipes USM et ces derniers lui proposent en retour des solutions personnalisées et adaptées lui permettant d’apporter des solutions à ses clients et d’optimiser leur utilisation de l’espace. Les meubles USM disponibles sur BIMobject.com Pascal Buisson, en tant qu’International Business Development Director, supervise 6 pays : la France, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, le Japon, la Nouvelle Zélande et l’Australie. Il a ainsi une vision mondiale de son produit. « Nos produits sont vendus à l’international et USM doit s’adapter aux spécificités de chaque région, comprendre les marchés, la culture et les codes de chaque pays afin de différencier le positionnement du mobilier selon l’endroit. » Un lancement BIM poussé par le marché Pascal Buisson s’est rendu compte qu’une des conditions préalables à la prescription des produits USM est de disposer des formats BIM de ses produits, notamment le format Revit, plus particulièrement pour les marchés anglo-saxons. Des retours d’architectes ont incité USM à développer ses produits en Revit pour leur faciliter la tâche et leur permettre d’inclure facilement les produits dans leurs plans et maquettes digitales 3D. « Ces derniers n’ont pas le temps de concevoir eux-mêmes les objets BIM USM, ils préfèrent les avoir à disposition directement ou pouvoir les télécharger sur une plateforme. » Forte de ce constat, USM a souhaité développer les répliques numériques d’une sélection limitée de ses solutions et choisir une plateforme pour les publier. USM a choisi la plateforme BIMobject, de par sa renommée à l’international et sa large communauté d’architectes et architectes d’intérieur dans le monde entier. Si on n’utilise pas le bon outil pour promouvoir nos produits, on peut passer à côté d’un marché. Il en est de même avec le BIM : si on n’offre pas le bon format de fichier ni le bon canal de diffusion aux prescripteurs, on court le risque de ne pas être prescrit dans les nouveaux projets, déclare Pascal Buisson. Il est également important de former et informer nos équipes en interne pour expliquer l’intérêt du BIM et partager les informations avec les prescripteurs. Le mobilier USM sur la plateforme BIMobject Sur BIMobject, USM a publié une sélection de meubles types représentatif de sa gamme. USM a adapté ses produits pour faciliter le travail de l’architecte : il visualise directement les possibilités de configuration offertes par le mobilier USM et le concept. L’architecte comprend que les solutions ne sont pas figées et accède aux caractéristiques techniques, design et dimensionnelles des produits. Meubles modulables USM au format BIM à télécharger sur BIMobject.com La recherche par les utilisateurs est facilitée sur BIMobject grâce à l’utilisation pertinente et significative de mots-clés, images, descriptions, liens, appellations produits… qui oriente l’architecte vers le bon produit. USM Modular Furniture est présent sur la plateforme BIMobject depuis le 22 avril 2020. Dès le premier mois, il y a eu une adoption des produits USM avec 6 000 téléchargements dans le monde. Visitez le site internet et découvrez l’univers USM Parcourez les 52 familles de produits USM sur la plateforme BIMobject
Il y a 4 ans et 356 jours

L’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse accélère l’investissement

Le conseil d’administration de l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse a voté, le 25 juin, un nouvel appel à projets « Plan de rebond eau, biodiversité, climat ». Il débloque 180 millions d’euros pour aider à hauteur de 70 % les projets d’amélioration en eau et assainissement des collectivités et industriels. Les candidats doivent déposer leur dossier avant fin 2021.
Il y a 4 ans et 356 jours

Le store latéral Ely de Bat adapté pour toute solution d'intimité

L'offre BAT reflète cette double âme avec des produits qui d'une part vous permettent de créer des environnements dédiés à la détente, d'autre part ils offrent de nouveaux espaces à utiliser pour étendre leur potentiel commercial.ELY est un nouveau store latéral capable de répondre aux besoins contemporains des restaurants, hôtels, hôtels de charme et autres environnements contractuels pour augmenter les espaces pouvant être utilisés par les clients en toute sécurité ou pour moderniser l'espace extérieur de leurs locaux.Il s'agit en fait d'un store à ouverture latéral qui peut être combiné en couleur et en tissu, qui est utilisé comme "séparateur" pour créer des zones distinctes. Parfait à la fois lorsque vous voulez plus d'intimité et pour les grands espaces extérieurs publics où vous souhaitez délimiter des zones spécifiques.Grâce à sa structure linéaire, sa facilité de montage et sa conception minimale, ELY est la solution idéale qui combine les besoins de protection solaire avec ceux de mobilier d'extérieur. Extrêmement simple à installer, ELY est un système d'obscurcissement modulaire caractérisé par une conception linéaire et compacte, également grâce au nouveau coffre symétrique et au nouveau profil de support.La poignée est très pratique et peut être installée frontalement ou latéralement, tandis que la roue de guidage rend la manipulation simple et sûre. Jusqu'à quatre rideaux peuvent être connectés au poteau central pour diviser l'espace en autant de secteurs.De cette façon, les espaces extérieurs peuvent être optimisés et redistribués : en s'appuyant sur la fiabilité de BAT, les restaurateurs et les hôteliers peuvent être assurés et les clients vivent une expérience d'accueil de haut niveau, en toute sécurité.Une fois de plus, le Groupe BAT est confirmé comme le partenaire idéal pour ceux qui privilégient le design et le bien-être des clients. De cette façon, les opérateurs du secteur CHR sont garantis de pouvoir travailler avec plus de continuité et un double avantage : en termes de prestige de l'emplacement et avec plus de places disponibles.Caractéristiques techniques :Facilité d'installationPoignée frontal ou latérale, simple ou doubleRoue de guidage sous le terminal pour un meilleur glissementCoffre symétrique
Il y a 4 ans et 357 jours

Dépenses accrues, recettes en berne et prévisions révisées : les chiffres du nouveau budget

Chute de 11% du PIBCe nouveau projet de loi de finances rectificative table sur un recul de 11% du PIB en 2020, au lieu de 8% auparavant, soit la plus forte récession de la France depuis 1945.Cette prévision tient compte d'un redémarrage de l'économie seulement "progressif", explique-t-on à Bercy.Il s'agit d'une estimation "prudente", selon le Haut Conseil des finances publiques (HCFP).Dette au plus hautAvec les dépenses supplémentaires pour soutenir l'économie et la récession record, le déficit public va se creuser à 11,4% du PIB, contre 3% l'an dernier, anticipe le gouvernement.La dette publique devrait s'envoler à 120,9% du PIB, alors qu'elle avait atteint 98,1% l'an dernier. La France figure ainsi parmi les pays européens les plus endettés.460 milliards de soutienLe gouvernement a désormais prévu près de 136 milliards d'euros de mesures de soutien à l'économie, contre 110 milliards prévus à la fin avril. Cela fait 57 milliards d'euros de dépenses budgétaires exceptionnelles depuis le début de la crise, le reste étant notamment des reports de charges.À cela s'ajoutent près de 327 milliards de garanties (crédits, export, etc.) accordées par l'État.Au total, le gouvernement a mobilisé 460 milliards d'euros, soit "21% de la richesse nationale", selon le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.45 milliards pour les secteurs sinistrésDans le détail, le gouvernement va débloquer 45 milliards d'euros pour soutenir les secteurs les plus touchés par la crise, a indiqué M. Le Maire. Ce montant recouvre des mesures budgétaires et un soutien à la trésorerie des entreprises.Le tourisme bénéficiera de 18 milliards d'euros. Cette somme englobe lesmesures de chômage partiel, les prêts garantis par l'État, près de 3 milliards d'euros d'exonérations sociales ou encore les reports d'impôts.L'industrie automobile profitera de 8 milliards. Outre l'aide au chômage partiel et les emprunts garantis, ce montant inclut un milliard d'euros pour soutenir la demande de véhicules et un milliard pour encourager les investissements pour produire les voitures hybrides et électriques en France.L'État consacrera 15 milliards d'euros à l'industrie aéronautique et au transport aérien, dont 7 milliards de prêts accordés à Air France-KLM.Le gouvernement va aussi dédier 600 millions d'euros supplémentaires aux start-up technologiques, en créant notamment un fonds d'investissement. Des mesures sont aussi prévues pour les secteurs de la culture et du BTP. Chômage partiel: 5 milliards supplémentairesAu total, ce projet de budget comprendra environ 13 milliards d'euros de crédits budgétaires supplémentaires.Le dispositif de chômage partiel, dont une partie est prise en charge par l'Unédic, sera doté de 5 milliards d'euros de plus par rapport aux 25 milliards déjà prévus. Ce sou t rectifié.L'impôt sur les sociétés devrait notamment rapporter 13 milliards de moins que ce qui était prévu dans le précédent budget rectifié, et désormais plus de 32 milliards de moins que ce qui était anticipé dans le budget initial adopté fin 2019. Les recettes de TVA devraient encore plonger de 8,5 milliards par rapport au précédent budget rectifié, soit un manque à gagner d'un peu moins de 20 milliards par rapport à ce qui était anticipé dans le budget initial. En revanche, le gouvernement n'anticipe aucun impact à ce stade sur l'impôt sur le revenu.La dépense publique va s'élever à 63,6% du PIB à la fin de l'année du fait des mesures de soutien.Tendance baissière de l'inflationDans ses prévisions, le gouvernement a également pris en compte une "tendance à la baisse des perspectives d'inflation", avec une estimation "de l'ordre de 0,4%" pour l'année 2020 en France.
Il y a 4 ans et 357 jours

Hôpital de campagne modulaire à structure bois

La pandémie a révélé des besoins importants d’équipements d’urgence et flexibles pour compléter les capacités d’accueil des établissements de santé existants. Pour faire face à des situations sanitaires d’urgence, AIA Life Designers, groupe pluridisciplinaire d’architectes et d’ingénieurs, a créé HOSPI-CAMP, une solution française d’hôpital de campagne, en partenariat avec LECO Construction, société de construction modulaire en ossature bois. HOSPI-CAMP apporte des surfaces complémentaires pour toutes les activités en lien avec la santé, y compris les plus techniques comme les unités de réanimation, d’urgence, des blocs opératoires ou des laboratoires. Pour atteindre le niveau ISO requis par une chambre de réanimation, AIA Life Designers et LECO Construction ont aussi conçu le PLUG-TECH-AIA qui permet de transformer un module classique en chambre de réanimation avec un minimum de travaux, et ainsi de répondre aux normes sanitaires élevées. La conception des modules est novatrice par le recours à la production hors site qui permet une préfabrication en amont du chantier et un assemblage plus rapide sur place. La simplicité de construction, la disponibilité des matières et la légèreté apportent la souplesse requise par l’urgence. Cette solution est démontable et remontable grâce à la transportabilité de ses modules (par voies aérienne, routière, maritime, fluviale et ferroviaire). Elle peut aussi évoluer au gré des besoins, par ajout ou suppression de modules. Le projet a aussi recours au BIM qui permet un partage d’informations entre les intervenants du projet, tout au long du cycle de vie du bâtiment. Elle permet de maîtriser notamment la gestion des fluides médicaux, fonctionnalité essentielle pour répondre aux futurs usages du bâtiment.
Il y a 4 ans et 357 jours

Convention climat : Macron retient 146 propositions et annonce 15 milliards d'euros pour la conversion écologique

Pour Emmanuel Macron, "le temps est venu d'agir", sur les 149 propositions formulées, 146 sont retenues et seront transmises soit au Gouvernement, soit au Parlement, soit au peuple français. Il annonce également débloquer 15 milliards d'euros sur deux ans et promet une mise en œuvre rapide.15 milliards pour la conversion écologiqueDevant les citoyens de la Convention pour le climat, Emmanuel Macron a déclaré que « L'État prendra toute sa part: 15 milliards d'euros supplémentaires sur deux ans seront injectés pour la conversion écologique de notre économie », promettant la mise en place d'un « fonds de transformation écologique de notre économie dans le plan de relance » pour notamment « investir dans les transports propres, rénover nos bâtiments » et « inventer les industries de demain ».Une mise en œuvre rapideLes premières mesures qui relèvent du champ réglementaire, seront étudiées lors d'un prochain conseil des ministres restreint, baptisé pour l'occasion conseil de défense écologique.D'autres mesures seront intégrées au plan de relance économique écologique et sociale, soumis au parlement dès la fin de l'été.Pour finir un projet de loi spécifique sera présenté à la fin de l'été, il intégrera l'ensemble des mesures qui relèvent du champs législatif.Pour arriver à une mise en œuvre rapide, des groupes de travail seront formés pour une collaboration étroite avec le gouvernement et le parlement.Le gouvernement réunira également les associations d'élus pour discuter de l'ensemble des propositions qui concernent les collectivités locales.Les 3 propositions rejetéesEmmanuel Macron a retenu presque toutes les propositions formulées par la Convention climat à l’exception de trois :Non à une taxe de 4% sur les dividendes, qui découragerait l'investissement selon le PrésidentRefus de la limitation de la vitesse à 110 km/h sur les autoroutes, car pour Emmanuel Macron « La transition écologique ne doit pas se faire au détriment des communes, des régions les plus enclavées »La proposition de récrire le préambule de la Constitution en plaçant l'environnement au-dessus des autres valeurs fondamentales a également été rejetée par le chef de l’État
Il y a 4 ans et 357 jours

Dans deux ans, il sera obligatoire de rénover les passoires thermiques !

Le président Emmanuel Macron a annoncé qu’il retenait les 146 propositions des membres de la convention citoyenne sur 149. Un projet de loi sera étudié à la fin de l&rsquo;été pour intégrer les mesures. 15 milliards d’euros supplémentaires seront injectés sur deux ans pour la transformation écologique. Rappelons que la convention citoyenne souhaitait rendre obligatoire la rénovation énergétique globale des bâtiments d&rsquo;ici 2040. Pour cela, une les propriétaires occupants et les bailleurs seront contraints de rénover de manière globale, de changer les chaudières au fioul et à charbon d&rsquo;ici à 2030 dans les bâtiments neufs et rénovés. Un réseau harmonisé de guichets uniques et un système progressif d&rsquo;aides à la rénovation, avec prêts et subventions pour les plus démunis devrait être développé. Les professionnels du bâtiment seront formés pour répondre à la demande de rénovation globale et assurer une transition de tous les corps de métier du BTP vers des pratiques écoresponsables.
Il y a 4 ans et 357 jours

Covid-19 : Cemex accompagne au mieux les acteurs du BTP grâce à son offre « Construire autrement »

Cette offre s'articule autour de trois volets : la protection des hommes, la relation clients et l'apport de solutions concrètes pour faire face aux nouvelles contraintes rencontrées par les entreprises de construction sur les chantiers, comme par exemple, limiter les manipulations, faciliter la distanciation physique ou encore rattraper les retards accumulés durant la période de confinement. « Maintenir l'activité de l'industrie de la construction est crucial, aussi bien pour l'économie française que pour la lutte sanitaire », indique Jean-Marie Modica, directeur matériaux France Sud. « Le secteur crée des infrastructures et des aménagements essentiels comme des établissements de santé ; CEMEX souhaite contribuer à cet effort en proposant des solutions facilitatrices à ses clients », ajoute-t-il.Protéger les hommesGrâce à l'élaboration de protocoles stricts de santé et sécurité spécifiques et à la sensibilisation de ses collaborateurs, CEMEX garantit la fourniture de matériaux de construction en toute sécurité, que ce soit lors de l'enlèvement des matériaux sur les sites CEMEX ou lors de la livraison et mise en œuvre des matériaux sur chantier. Par ailleurs, fort de son savoir-faire et de son dispositif industriel dédié à la fabrication d'adjuvants, CEMEX Admixtures a, dès le début de la crise sanitaire, adapté ses chaînes de production pour produire une solution hydroalcoolique que CEMEX commercialise à prix coûtant auprès de ses clients.Maintenir le lien à distance« Les équipes CEMEX se sont mobilisées pour analyser quelles solutions digitales pouvaient être mises en œuvre afin de faciliter les activités de nos clients en télétravail ou sur les chantiers sur lesquels la distanciation doit être assurée », indique Stéphanie Godicheau, responsable commerce digital. La plateforme digitale CEMEX Go est un outil pratique, rapide et sûr. Grâce à cette plateforme, les clients commandent leurs matériaux, suivent les livraisons, accèdent aux bons de livraison et factures depuis leur ordinateur ou téléphone, le tout à distance. Le contact physique est ainsi réduit au maximum.Améliorer la productivité des chantiersAvec son offre produits, CEMEX apporte un soutien précieux quant à la gestion des chantiers. La gamme evolution® des bétons autoplaçants diminue le nombre d'interventions humaines lors du coulage, les chapes fluides optimisent le temps de travail et les bétons fibrés suppriment la manipulation d'armatures. Hydratium® remplace les opérations habituelles de cure du béton tandis que les granulats en big bags limitent les manipulations et optimisent l'espace sur les chantiers. Les bétons Promptis®, CXB® Rapide et CXB® Accéléré permettent quant à eux de gagner en temps et en efficacité.Par ailleurs, la flotte des matériels de livraison CEMEX est adaptée aux contraintes inhérentes aux chantiers : accessibilité en hauteur, éloignement du point de coulage... En plus de la productivité, les pompes, malaxeurs-pompes et malaxeurs-tapis améliorent également la sécurité des équipes sur site et facilitent la mise en œuvre du béton.
Il y a 4 ans et 359 jours

Une mère et ses deux enfants tués dans l'effondrement d'un bâtiment en Italie

La corniche, longue de près de 70 mètres, d'un ancien bâtiment industriel s'est effondrée soudainement sur la chaussée, ont indiqué ces agences.Une mère âgée de 38 ans se trouvait là avec deux de ses enfants de 15 mois et 5 ans, tous les trois ont été écrasés. La femme, d'origine marocaine, et son garçon de cinq ans sont morts sur le coup, tandis que le bébé, une petite fille, est morte peu après son évacuation à l'hôpital, a précisé l'agence Ansa.La scène s'est déroulée sous les yeux du frère aîné, âgé de neuf ans, qui se trouvait de l'autre côté de la route et a échappé à la chute de l'amas de briques et de pierres. Une passante de 42 ans a également été blessée.L'extraction des corps des victimes a pris plusieurs heures.L'incident a eu lieu dans la petite localité d'Albizzate, en périphérie nord-ouest de Milan en Lombardie. Le ministère public a ouvert une enquête pour meurtre et homicide involontaire.L'édifice concerné, sans étage, abritait autrefois une entreprise textile et accueille actuellement plusieurs commerces. Toute la zone a été bouclée et un bâtiment "jumeau", où se trouve un supermarché, a été fermé.
Il y a 4 ans et 360 jours

Le secteur de la rénovation énergétique s'engage

Les partenaires s'engagent ainsi à :Poursuivre le développement de la plateforme Pass'Réno HabitatCréée en 2015 par l'ALEC-MVE elle met en relation les particuliers et le réseau de professionnels RGE locaux pour la réalisation de travaux énergétiques.Promouvoir et défendre le marché métropolitain de la rénovation énergétiqueUne coopération qui s'exprimera par des actions de communication communes (interventions conjointes lors d'événements, collaborations techniques ou partages d'expériences).« Le marché de la rénovation énergétique est une opportunité exceptionnelle de développement qui offre de véritables perspectives pour les nombreux métiers de la construction » souligne Jean-Luc Tuffier, Président de la FFB Grand Paris.« Le partenariat avec l'ALEC-MVE est une opportunité pour massifier les opérations de rénovation énergétique sur le territoire métropolitain. » ajoute Bertrand Demenois, Président de Rénovactif.« S'appuyer sur le partenariat de la FFB Grand Paris, permettra à Pass'Réno Habitat de mobiliser davantage de professionnels du bâtiment autour de la rénovation énergétique et favoriser ainsi une réelle dynamique locale entre les propriétaires prêts à s'engager et les entreprises » indique Mireille Alphonse, Présidente de l'ALEC-MVE.
Il y a 4 ans et 360 jours

Artisans : conseillez à vos clients d’installer une caméra de surveillance !

En tant qu&rsquo;artisan, donner de bons conseils à ses clients dans des domaines qu&rsquo;ils ne maîtrisent pas permet de renforcer leur confiance en vous. Pour vos clients qui envisagent de faire des travaux de construction ou de rénovation, il est important de leur conseiller de penser à la sécurisation de leur maison, et cela dès le début de travaux. Vous pouvez les guider sur les systèmes de sécurité à opter pour avoir une protection optimale de leur maison. Dans cet article, nous allons notamment nous pencher sur la caméra de surveillance, mais aussi le détecteur de mouvements. L&rsquo;installation d&rsquo;une caméra de surveillance pour une sécurité optimale En tant qu&rsquo;artisan professionnel, vous êtes l&rsquo;un des mieux placés pour informer vos clients sur la nécessité de sécuriser leur maison, mais aussi de les conseiller sur les meilleurs dispositifs de sécurité. Une caméra de surveillance leur permettra de surveiller en temps réel la maison et de se protéger contre les insécurités. Elle permet de détecter les éventuels intrus et toute personne qui entre et sort du logement. Il y a de grandes chances qu&rsquo;ils vous sollicitent aussi pour le choix de la caméra à installer. Vous pouvez alors leur conseiller d&rsquo;opter pour les caméras Verisure reconnues pour leur fiabilité. Qu&rsquo;il s&rsquo;agisse d&rsquo;une caméra connectée, d&rsquo;un détecteur de mouvements, d&rsquo;une sirène indépendante ou encore d&rsquo;un détecteur d&rsquo;ouverture, vous trouverez forcément la solution la plus adaptée selon les besoins de vos clients. On peut choisir entre une caméra filaire ou sans fil, transmettant des images en direct, que ce soit à l&rsquo;aide d&rsquo;un câble réseau ou via le Wi-Fi. Elle peut aussi être utilisée à l&rsquo;intérieur ou à l&rsquo;extérieur de la maison. La caméra de surveillance est l&rsquo;outil indispensable dont vos clients ont besoin. Elle dispose en général d&rsquo;une application pour smartphones permettant de la piloter à distance et de garder un œil sur son domicile. Elle peut suffire à dissuader les cambrioleurs et aide à alerter rapidement les autorités le cas échéant. Avec une caméra de surveillance connectée, on peut même se connecter à internet en 3G ou 4G. Il est aussi important de prendre une caméra de surveillance qui résiste parfaitement aux intempéries. L&rsquo;installation d&rsquo;un détecteur de mouvements Pour une protection optimale de leurs maisons ou entreprises, un détecteur de mouvements figure aussi parmi les outils incontournables. Avec la technologie qui ne cesse d&rsquo;évoluer, on peut aujourd&rsquo;hui trouver des modèles dotés d&rsquo;un détecteur à haute sensibilité. Ils signalent automatiquement chaque présence douteuse dans la pièce à l&rsquo;aide d&rsquo;un infrarouge. Grâce à un capteur photo, le dispositif prend aussi tout de suite des photos et les envoie directement au centre de télésurveillance, même sans connexion filaire, cela grâce à un flash intégré dans le système. À noter qu&rsquo;il reste actif le jour comme la nuit. Le détecteur de présence a également l&rsquo;option de surveillance à distance. Il permet de garder un œil sur l&rsquo;intérieur du domicile avec une application sur smartphone. Ce système de sécurité est aussi très économique et écologique. Il s&rsquo;allume et s&rsquo;éteint automatiquement quelques secondes après le passage d&rsquo;une personne suspecte dans la pièce.
Il y a 4 ans et 360 jours

Capremib à l’assaut des tours Duo

Capremib préfabrique les éléments en béton des Tours Duo de Jean Nouvel, construites à Paris. [©Caprémib] En construction dans le XIIIe arrondissement de Paris, les tours Duo ont été dessinées par l’architecte Jean Nouvel. Elles vont marquer le périphérique de la capitale, qu’elles surplombent. D’une hauteur respective de 180 m (39 étages) et 122 m (27 étages), elles sont toutes les deux désaxées, et semblent en équilibre. Tout comme pour la tour Alto à La Défense, c’est l’industriel Capremib, qui a été choisi pour la préfabrication des éléments en béton.  Pour le chantier des tours Duo, Capremib fournit un total de 1 110 poutres en béton armé C60/75. Dont 256 pour les sous-sols des deux tours. Et 854 poutres à béquet, d’une longueur unitaire de 9 m, pour la superstructure de la tour 1. Chacun des 38 niveaux de cette tour est ceinturé par ces poutres. Dont le retour extérieur (béquet) varie de 30 à 50 cm de largeur. La longueur des poutres d’infrastructure s’échelonne de 3 à 11 m, avec une largeur allant de 20 à 120 cm.  Les coffrages métal/bois des poutres ont été conçus et réalisés dans les ateliers de Capremib. Démarrée en septembre 2018, la fabrication des poutres se poursuivra jusqu’à l’été 2020, à raison de 6 à 7 unités/j. Le volume total de béton utilisé représente 2 800 m3, complété par 450 t d’acier.  Afin d’assurer une fluidité́ optimale, Capremib anticipe l’avancée du chantier, en produisant les éléments nécessaires pour 2 à 3 étages. Qui sont ensuite stockés dans l’enceinte de son usine et livrés à la demande. Début 2021, les tours Duo accueilleront 6 000 salariés de la banque Natixis. Ceci, sur près de 90 000 m2 de bureaux. Ainsi qu’un hôtel, un bar avec une vue panoramique et des commerces.
Il y a 4 ans et 360 jours

Le vélo progresse fortement en centre-ville mais baisse presque partout ailleurs

Ces derniers mois, les contraintes liées au coronavirus ont amené beaucoup de citadins à enfourcher une bicyclette pour aller au boulot.Et nombre de candidats aux municipales ont vanté les vertus environnementales de ce mode de transport. Sans "plan vélo", mâtiné d'"urbanisme tactique" depuis le déconfinement, impossible de faire campagne dans les grandes villes...Rejoindre son lieu de travail à coups de pédale reste un phénomène "très urbain": en 2015, à l'échelle nationale, il ne concernait que 1,9% des actifs ayant un emploi, selon l'Insee. Contre 6% à Lyon et de 12% à 16% à Bordeaux, Grenoble ou Strasbourg - agglomération la plus cyclable de France.La forte progression de la pratique en centre-ville est "un trompe-l'œil qui cache une baisse presque partout ailleurs ces dix dernières années", nuance une vaste étude sur les usages du vélo en France, publiée en avril sous l'égide de l'Ademe et de la Direction générale des entreprises.Cette "fracture territoriale majeure" en recoupe une autre, d'ordre social: "ceux qui refont du vélo, ce sont surtout les cadres et professions intermédiaires, alors qu'avant c'étaient les ouvriers et les employés", souligne Francis Papon, chercheur à l'Institut français des sciences et technologies des transports (Ifsttar).Des années 30 à l'après-guerre, on pouvait voir en effet des flots de cyclistes sortir chaque jour des usines, en région parisienne comme dans les grandes cités de province. Puis vint l'ère de la "bagnole".En 1958, le constructeur de camions Berliet, qui employait 12.000 personnes à Vénissieux, aux portes de Lyon, avait déjà réduit "des trois-quarts" ses abris à bicyclettes et son patron anticipait "une extension rapide et considérable des quatre roues". Il ne croyait pas si bien dire."Essaimer"Soixante ans plus tard, à quelques hectomètres de là, la Société d'équipement et d'aménagement du Rhône et de Lyon (SERL) réindustrialise une friche de 11 hectares, voisine de gros axes routiers mais très bien reliée aux transports en commun. L'occasion rêvée d'un site sans parking ?L'idée a séduit... tant que les entreprises accueillies fonctionnaient en mode start-up: leurs dirigeants venaient à vélo ou en trottinette électrique. "Mais il a fallu se rendre à l'évidence: en phase de production, leurs opérateurs viendraient de plus loin en voiture", raconte Audrey Delaloy, qui pilote le projet.Au-delà des périphériques, les aménagements cyclables font souvent défaut, surtout de banlieue à banlieue. Le nombre des adeptes s'en ressent: plus de 5.500 Lyonnais (soit 1,1% de la population) ont participé en 2019 au "Baromètre des villes cyclables", contre seulement une soixantaine de personnes à Vaulx-en-Velin (0,1%) par exemple.Dans cette commune, "des axes importants restent dépourvus de tout aménagement", constate Pierre Crepel, un militant du vélo qui y habite depuis 30 ans. "Des gens disent qu'ils s'y mettraient bien mais que c'est trop dangereux et qu'il y a trop de vols. Et que la voiture reste plus commode."Joseph d'Halluin, secrétaire général de la Fédération française des usagers de la bicyclette (FUB), veut croire que "ce n'est pas une fatalité: en faisant du vélo un sujet des municipales, on espère que ça va essaimer au-delà des coeurs de ville".L'assistance électrique permettant d'allonger les distances, "les marges de progression sont fabuleuses en première et deuxième couronnes", abonde Nicolas Frasie, administrateur de "La Ville à Vélo".Pour augmenter la part modale du cycle dans l'agglomération à 20% en 2030 - contre 3% en 2015 - cette association lyonnaise réclame notamment un "réseau express" reliant 30 communes de la Métropole et ses points névralgiques.Des structures proposent des séances de vélo-école en périphérie pour inciter à s'y mettre en selle. Comme Janus France, dont le local d'Oullins est installé dans un quartier enclavé par une voie rapide et le Rhône.De là, seul un pont surchargé de voitures, doté récemment d'un couloir malaisé pour les cyclistes, permet de rejoindre le centre de Lyon. "Alors qu'une passerelle dédiée donnerait beaucoup plus envie d'y aller à vélo", estime le fondateur de l'association, Rodrigue Yao Ogoubi.
Il y a 4 ans et 360 jours

Des techniques de pointe mises en œuvre pour la nouvelle centrale électrique de Landivisiau

En l'absence d'implantation de centrales nucléaires, la Bretagne est fortement dépendante des régions voisines pour couvrir sa consommation en électricité. Ainsi, la Bretagne importe plus de 80% de l'électricité qu'elle consomme.Rendre la Bretagne énergétiquement plus indépendanteUne centrale à cycle combiné au gaz naturel est une installation thermique produisant de l'électricité par la combinaison d'une turbine alimentée en gaz naturel et d'une turbine à vapeur. Cette technologie permet de répondre aux besoins de soutien du réseau électrique et correspond en matière de puissance nécessaire (422 MW) et de critères de disponibilité tels qu'identifiés par le Pacte électrique breton et la PPI (Programmation Pluriannuelle des Investissements de production d'électricité).Sous le contrôle de la Compagnie Electrique de Bretagne, propriétaire de la centrale, Siemens a la responsabilité de l'ingénierie, la fourniture et la construction de cette centrale électrique à cycle combiné ainsi que de son exploitation pendant 20 ans à compter de sa mise en service prévue pendant l'hiver 2021-2022.3 entités engagées avec des savoir-faire pluriels3 entités du groupe Spie batignolles réalisent cette opération divisée en deux projets distincts baptisés « Main Civil Work package » et « Design & Construct buildings package ».« Main Civil Work package », réalisé par Spie batignolles génie civil et Spie batignolles valérian, concerne tous les travaux de génie civil, de fondations, de terrassement, de VRD, de voiries, ainsi que la création d'un radier particulièrement technique.Spie batignolles valérian a notamment réalisé les terrassements pour les fondations d'ouvrages, les substitutions sous-fondations, les tranchées pour l'enfouissement des réseaux techniques, les assainissements et les chaussées.Les équipes de Spie batignolles disposent d'un délai court de 21 mois pour la réalisation de ce marché « Main Civil Work Package » portant sur un montant de 25 millions d'euros TTC.« Design & construct buildings package », confié aux équipes de Spie batignolles grand-ouest, correspond à un marché de conception/construction d'un bâtiment constitué de 3 parties.La livraison de ce bâtiment est prévue pour mars 2021 mais les équipes devront mettre à disposition de Siemens d'ici là des premiers espaces dans le cadre de livraisons intermédiaires.1.000 m3 de radier réalisés en moins de 24h avec des tests préalables sur le béton employéQuelques jours avant le début du confinement, les équipes de Spie batignolles génie civil et de Spie batignolles valérian ont réalisé un radier de près de 1.000 m3, correspondant au bétonnage de la partie inférieure du massif turbine.Le cahier des charges de Siemens imposait que le cœur de cet ouvrage ne dépasse pas la température de 65°C et conserve une température homogène dans son ensemble, avec un écart maximum de 20°C entre le cœur de l'ouvrage et sa surface. La température du béton frais devait être comprise entre 5 et 30°C.En effet, à sa mise en œuvre, un radier va naturellement réagir en se réchauffant. Les équipes avaient donc pour consigne de limiter cette prise de chauffe le plus possible, étant exempt de toute reprise de bétonnage.Spie batignolles génie civil a fait le choix d'un béton standard constitué de ciment de haut-fourneau (CEM III) affichant de lentes réactions. Avant d'être appliqué, les équipes ont procédé à un test sur un autre massif situé à proximité, pour s'assurer de la maîtrise d'élévation de la température du béton.Pour ce faire, le béton, provenant de la centrale à béton, a été coulé en une fois sur une seule journée dans un délai conforme aux mesures de rhéologie du béton. Les équipes disposaient d'un délai de 90 minutes pour la mise en place du béton et son compactage, incluant le temps de trajet. Il a été appliqué à l'aide de deux pompes à béton d'une capacité minimale de 60m3/h avec un coulage par couches de 40 cm d'épaisseur.La technique de coffrage de ce radier a également fait l'objet d'un essai préalable. Il s'agit de la solution FRAMAX de Doka. Tous les coffrages ont été habillés avec deux types d'isolants : avec des panneaux de 10 cm de polystyrène en périphérie et avec, simplement de la paille pour la partie supérieure. L'isolation permet d'éviter la déperdition de chaleur, la fuite de laitance et le maintien des températures lors des phases de réaction du béton.Cette technique, régulièrement usitée par Siemens sur d'autres centrales, était imposée dans le cahier des charges ; Spie batignolles restant décisionnaire du choix d'isolants à privilégier.La pose des coffrages a été réalisée avec une grue à tour encore jamais utilisée en France.Composée de câble en fibre, en lieu et place de l'acier, elle offre de vrais atouts comme celui de maximiser la sécurité des équipes sur place, de permettre une plus grande productivité, d'être peu énergivore et de nécessiter peu d'entretien.3 sondes de température ont été mises en place à différents niveaux de l'ouvrage, comportant respectivement 3 capteurs placés à 30 cm du haut, 30 cm du bas et au milieu.Un relevé de température a été effectué juste avant le confinement, dès que le radier a été coulé, puis jusqu'à 3 semaines après le coulage, signifiant une température maximale de 50 à 52°C.Les coffrages ont été laissés en place tout au long du confinement, avec un massif complètement isolé. Une surveillance a été nécessaire pendant toute la période du confinement pour s'assurer que la partie supérieure soit toujours humidifiée. Pour ce faire, les équipes ont installé 1 couche de géotextile entre chaque isolant puis ont réalisé une cure à l'eau de façon régulière pour y déposer une fine pellicule d'eau.Ces travaux ont nécessité l'intervention d'un chef de chantier, d'un géomètre, de conducteurs d'engins qualifiés, de coffreurs et manœuvres qualifiés.La géologie du site et les délais de réalisation mentionnés au cahier des charges du client ont constitué les autres enjeux de cette opération.Le terrain étant constitué de granits, les équipes ont employé des engins particuliers pour les travaux de terrassement.Réalisation du triptyque« Le triptyque » est le nom qui a été attribué par Siemens au bâtiment à réaliser dans le cadre du marché de conception/construction confié à Spie batignolles grand-ouest, pour un montant de près de 9 millions d'euros TTC. Spie batignolles, intervient sur les travaux de gros œuvre et de corps d'état.Le bâtiment accueille 3 espaces distincts : le bureau usine intégrant une salle de contrôle, un atelier ainsi qu'une zone technique avec notamment un laboratoire et une salle de traitement des eaux.Spie batignolles grand-ouest a dépêché une organisation spécifique sur ce projet, avec un responsable design et un responsable production, intégrés au sein d'une équipe dédiée de Siemens. Le principal enjeu de cette réalisation concerne la bonne intégration de la règlementation en vigueur en France dans la conception et la réalisation des bâtiments, ceux-ci ayant été initialement conçus selon des standards anglo-saxons internationaux.
Il y a 4 ans et 361 jours

Quel est le profil idéal d’un couvreur professionnel ?

Si vous êtes à la recherche de couvreur confirmé, sachez que parmi les parcours de spécialisation existants, celui des Compagnies du Devoir fait partie des meilleurs. Les professionnels issus de leur cursus sont reconnus comme étant les plus réputés dans le métier. A la base, ils tiennent à transmettre auprès de leurs apprentis l’ensemble de leurs expériences ainsi que l’intégralité de leurs savoir-faire. Pour ce faire, ils leur proposent un accompagnement spécifique, notamment pour les catégories de moins de 25 ans, selon les moments clés de leur vie. Afin de vous aider dans votre choix, un aperçu des avantages particuliers de leur formation peut vous fournir quelques éclairages en plus. Un couvreur ayant reçu des formations spécifiques Pour avoir la certitude de réaliser vos travaux de toiture dans les respects de la norme, il est important en effet de travailler avec un couvreur bien formé comme : https://www.artisan-couvreur-eure.fr/ . Certains centres de formation proposent différents cursus en fonction de leurs besoins respectifs, à l’exemple des Compagnies du Devoir. Ils dispensent des parcours dédiés au moins de 25 ans en leur offrant 3 options, selon leur aptitude et leur situation personnelle, afin de garantir des formations spécifiques à leurs apprentis. La première catégorie permet également aux collégiens ou aux lycéens, après leur passage dans la classe de 3e, d’intégrer une spécialisation en vue de l’obtention d’un premier diplôme. A savoir, un CAP ou un Bac Pro au terme de 2 à 3 ans d’apprentissage. Autrement,ces jeunes peuvent également rejoindre ce circuit après avoir décroché leur bac technologique ou général, avec la perspective de pouvoir poursuivre leurs études jusqu’en Licence professionnelle. Dans le cas où ils ont déjà en poche des certifications justifiant leur première initiation dans le métier, ils ont encore la possibilité de rejoindre le système. Ainsi, ils auront l’opportunité d’approfondir leurs compétences et obtenir un diplôme supérieur. Un couvreur riche en expériences du métier Ce sont les compétences empiriques acquises au terme de nombreuses années d’exercice qui permettent en effet au couvreur de garantir d’excellente qualité de finition. Aussi, il est important de veiller à ces détails lorsque vous procédez à la vérification de son profil. Vous pouvez avoir l’assurance qu’ils ont à leur actif suffisamment d’expériences sur terrain, si vous sélectionnez entre autres des spécialistes issus des Compagnies du Devoir. A la base, le cursus proposé a la particularité d’intégrer une tour de France dans leur parcours d’initiation. De plus, cette optique leur offre la possibilité de changer de ville 1 à 2 fois au cours d’une année. C’est un voyage qui leur permet de partir à la découverte de différentes pratiques, un projet parfaitement initiatique tout en étant à la fois enrichissant. Une excellente manière d’apprendre de nouvelles techniques afin d’étoffer leurs savoir-faire. Cette démarche leur donne notamment l’opportunité d’enrichir leur réseau personnel et professionnel. Il est à noter qu’il a à l’occasion l’avantage de partir à l’étranger sur une période d’un an. En somme, c’est une façon parmi tant d’autres alternatives de perfectionner leur apprentissage. Bref, le meilleur moyen de garantir des travaux de toiture, exempts de vice et réalisés selon les règlementations en vigueur, est de vous appuyer sur les connaissances d’un expert. Alors, autant travailler avec ceux qui disposent de solide bagage et d’une grande expérience pour assurer la réussite de votre projet.
Il y a 4 ans et 361 jours

Covid-19 : environ 2 milliards d'euros de manque à gagner pour les sociétés autoroutières

"L'impact pour le groupe Sanef, c'est environ 400 millions d'euros", à comparer à un chiffre d'affaires de 1,8 milliard l'an dernier, a indiqué M. Quemard devant la commission d'enquête du Sénat sur les concessions autoroutières."Si on fait (un calcul) homothétique vis-à-vis du secteur, c'est de l'ordre de 2 milliards de chiffre d'affaires qui ne se réalisera pas au niveau du secteur sur l'année 2020", a-t-il ajouté.Les 18 sociétés d'autoroutes avaient réalisé en 2018 un chiffre d'affaires de 10,4 milliards d'euros, selon les derniers chiffres de l'Autorité de régulation des transports (ART).S'ajoute pour la crise actuelle "le risque de surcoût des travaux, qu'on ne sait encore chiffrer", a noté M. Quemard."Ca fait partie aussi du risque du concessionnaire", a noté le responsable, rappelant que le trafic poids lourds avait mis dix ans à se remettre de la crise financière de 2008.A la fin mai, le trafic des véhicules légers sur les autoroutes Sanef (de Paris vers le Nord, l'Est et la Normandie) était en recul de 36,5% sur les cinq premiers mois de l'année, a-t-il observé."Je suis extrêmement surpris par la lenteur de la reprise du trafic", a remarqué M. Quemard, avec par exemple un trafic de 16% inférieur à la normale le week-end dernier, alors qu'on aurait pu penser que les Français profiteraient du déconfinement."Le télétravail s'installe et a l'air de s'installer durablement", le trafic domicile-travail restant à 60% de la moyenne. "Nos prévisions c'est peut-être qu'on arrivera à 90% en fin d'année", a-t-il dit, tenant toutefois à rester prudent."Les étrangers ne vont probablement pas revenir massivement en France cet été pour les vacances", mais on devrait voir "un peu plus de Français sur les routes", a-t-il dit."On prévoit encore -5% l'an prochain de trafic par rapport à 2019", a ajouté M. Quemard, rappelant que le trafic poids lourds suivait de son côté les courbes de l'économie."Est-ce qu'en 2022 on retrouvera les trafics de 2019? Peut-être", a-t-il conclu.
Il y a 4 ans et 361 jours

Vent de fraîcheur pour architecture industrialisée

En périphérie de Lille, sur le site du Centre Régional de Transport 1 de Lesquin/Fretin, l’aménageur et promoteur AVENTIM s’est lancé pour défi d’apporter « un vent de fraîcheur » à cette zone d’activité à l’architecture industrialisée. L’agence O Architecture a été mandatée pour concevoir ce programme baptisé Parc de la Haie. Il est composé de bureaux, showrooms et commerces, où l’usage et le confort sont au cœur des enjeux. La maitrise d’œuvre a travaillé en étroite collaboration avec SOPREMA Entreprises Lille pour la réalisation de l’étanchéité, de l’isolation et du bardage, et sa filiale GH pour la partie charpente métallique. Ces deux sociétés ont uni leur savoir-faire à chaque étape, des études aux plans d’exécution 3D et 2D, en passant par la mise en œuvre et le suivi précis du chantier pour répondre à l’importante coactivité. Leur implantation, sur le même site à Lesquin, a facilité d’autant plus leurs échanges. La toiture et les façades de ces types de bâtis en ossature métallique étant indépendantes, elles ont également nécessité un traitement spécifique de l’étanchéité à l’air. Le projet s’est exécuté en deux phases, entre mars 2019 et mai 2020 : « La Promenade » et « Les Loggias ». Une troisième phase, « L’Atelier », débute également en juin. Ce bâtiment de 5 000 m2 sera réhabilité sur le même modèle architectural que les deux précédents pour une cohérence d’ensemble. La « Promenade » L’ancien siège social de l’enseigne Boulanger a été entièrement réhabilité et redessiné pour laisser entrer la lumière grâce à la création d’une faille paysagère « La Promenade » traversant le bâtiment. Seule la structure métallique a été conservée. Elle a été stabilisée par le charpentier GH pour accueillir, en toute sécurité, des espaces modulables avec de nouveaux usages (5 cellules d’activités sur 5 245 m2, bureaux en rez-de-chaussée et R+1 inclus, et 6 cellules de showrooms et bureaux (R+1) sur 1 998 m2). Au total, 100 tonnes de métal ont été nécessaires pour renforcer l’ossature. Deux extensions (12 x 12 m et 10 x 20 m) en structure métallique classique ont également été ajoutées. De leur côté, les équipes lilloises de SOPREMA Entreprises ont installé 6 400 m2 de couverture sur bac acier (panneaux isolants PIR Efigreen 80 mm et membranes d&rsquo;étanchéité PVC FLAG SR/FR M2). 3 300 m2 de bardage double peau avec tôles en acier galvanisé et 400 m2 de bois brulé habillent les façades. Les « Loggias » Une nouvelle construction repose également sur une charpente métallique mais avec un noyau central en béton. Elle offre 1 515 m2 de bureaux divisibles du R+1 au R+3 et 460 m2 de showrooms en rez-de-chaussée répartis en deux cellules. Elle est surplombée d’une toiture en double pente de 16 tonnes, comme pour faire écho, de manière contemporaine, au style industriel des bâtiments voisins. Afin de garantir une étanchéité fiable et durable sur cette architecture originale en « pointe de diamant », GH a fabriqué une sur-toiture de 14 tonnes. Ce challenge pour le charpentier a nécessité environ 600 heures d’études entre les calculs et les dessins. 700 m2 de couverture en bac acier, un pare-vapeur (Sopravap Stick), une laine de roche de 180 mm et deux couches d’étanchéité élastomère (Soprafix HP et Sopralene Flam 180 AR FE) ont été posés. Pour parfaire l’enveloppe, des tôles en acier galvanisé et ondulé habillent les 1 000 m2 de bardage double peau et la sur-toiture avec une version perforée. Une partie du toit se pare également d’un rose éclatant. Une touche de couleur, conjuguée à la forme originale du toit, qui signe l’identité du bâtiment. Photo : AVENTIM &#8211; GH &#8211; SOPREMA Entreprises
Il y a 4 ans et 361 jours

Chômage partiel : les changements en cours et à venir

Avant le Covid-19En cas de réduction d'activité, une entreprise pouvait actionner un dispositif d'activité partielle, validé par l'administration. L'entreprise demandait un volume d'heures pour six mois. Ce régime, unifié depuis 2013 (avant coexistait un régime classique et un de longue durée), était compensé à hauteur de 7,74 euros par heure (7,23 euros pour les entreprises d'au moins 250 salariés) auprès de l'entreprise.Le salarié touchait 70% de son salaire brut (ou 84% du net). Rien n'interdisait à l'entreprise de compenser le reste.Pendant le confinementPour pallier l'arrêt brutal de l'activité et "éviter des licenciements", le gouvernement, se calquant sur ce qu'avait fait l'Allemagne pendant la crise de 2008, a incité les entreprises à y recourir largement et a porté à un an la durée autorisée.Le salarié touchait toujours 84% de son salaire net, mais l'entreprise était compensée à 100% de l'indemnité versée au salarié, jusque 4,5 fois le Smic (au lieu du niveau du Smic auparavant).Plusieurs catégories de salariés (salariés à temps partiel, intérimaires, salariés au forfait jour, VRP, employés à domicile, apprentis, saisonniers, etc), ont intégré le dispositif, des élargissements salués tant par le patronat que par les syndicats.A aussi été instituée la possibilité d'individualiser le chômage partiel au sein d'une même équipe, interdite auparavant.Parallèlement, le dispositif a été utilisé à compter du 1er mai pour indemniser les salariés dans l'impossibilité de travailler parce qu'ils gardaient des enfants et qui, depuis le début du confinement, avaient pu se mettre en arrêt maladie.En revanche, CDD et intérimaires de courte durée ne pouvaient bénéficier de ce filet de sécurité, ni les indépendants qui ont, eux, bénéficié d'un fonds.Selon une estimation du ministère du Travail, 7,2 millions de Français ont été en chômage partiel un ou plusieurs jours par semaine en mars, 8,7 millions en avril et 7,8 millions en mai.L'État a budgété 31 milliards sur l'année pour payer la facture.Après le confinementPour "accompagner la reprise", le gouvernement a réduit la voilure depuis le 1er juin: les entreprises sont désormais compensées non plus à 100% mais à 85% par l'État et l'Unédic, toujours dans la limite de 4,5 Smic.Hôtellerie, restauration, tourisme, événementiel, culture, transport aérien... tous les secteurs très touchés ne sont pas concernés par la baisse et continuent d'être pris en charge à 100%.Un nouveau régime pour la rentréeA compter du 1er octobre, le chômage partiel sera pris en charge par l'État à hauteur de 72% du salaire net (60% du brut) pour le salarié, avec une compensation à hauteur de 60% pour les entreprises. Il sera valable pour trois mois renouvelables trois mois, soit six mois maximum.Les syndicats étaient ces derniers jours vent debout à l'idée d'une baisse de l'indemnisation des salariés.Un dispositif alternatif: activité réduite de maintien dans l'emploiParallèlement est instaurée "l'activité réduite de maintien dans l'emploi", qui entrera en vigueur dès le 1er juillet.Ce chômage partiel de longue durée a été acté dans son principe par le projet de loi urgence sanitaire. En jeu: aider les entreprises "confrontées à une réduction d'activité durable qui n'est pas de nature à compromettre leur pérennité", en contrepartie d'engagements sur l'emploi.Il autorise une réduction du temps de travail maximale de 40%.Inspiré d'un texte signé dans la métallurgie, il pourrait être utilisé dans l'aéronautique par exemple.Condition: il doit obligatoirement faire l'objet d'un accord majoritaire collectif dans l'entreprise ou dans la branche et inclure "les engagements spécifiquement souscrits en contrepartie, notamment pour le maintien de l'emploi". deux ans.Le salarié touchera 84% de son salaire net. L'entreprise sera compensée à 85% de l'indemnité versée au salarié, (soit 15% de reste à charge) pour un accord conclu avant le 1er octobre, et 80% pour un accord conclu après.Les frais de formation pourront être pris en charge à hauteur de 80%.Dans un petite entreprise (moins de 11 salariés), en l'absence de délégué syndical, l'accord peut passer par référendum, comme le prévoit les ordonnances travail de septembre 2017.
Il y a 4 ans et 361 jours

CDVI enrichit sa gamme complète de solutions d’accès sans contact pour un risque sanitaire maîtrisé

Acteur incontournable de systèmes de contrôle d’accès et de verrouillages depuis 35 ans, CDVI conçoit des solutions performantes adaptées à tous les environnements et répond à chaque besoin de mise en sécurité. En cette période inédite qui bouleverse le quotidien de chacun, CDVI met son expertise au service de la sécurité de tous grâce au Thermoscanner FTC-1000. Ce système de détection de température corporelle à reconnaissance faciale garantit la sécurité sanitaire des collaborateurs, clients et visiteurs pour tous types d’établissements. Ce dispositif vient enrichir la gamme complète de solutions d’accès sans contact de CDVI, pour un risque sanitaire entièrement maîtrisé. &nbsp; FTC-1000, sécurité sanitaire et contrôle d’accès sans contact Ce dispositif sans contact de gestion des entrées de CDVI est capable de contrôler le port du masque de protection et la température corporelle de quiconque se présente devant lui. Ces détections garantissent automatiquement l’autorisation d’accès. En cas d’absence de masque et/ou de température élevée, une alarme vocale et visuelle se déclenche. Adapté à tous les types d’établissements (lieux de travail, ERP, gares, magasins, salles de sport…), ce système assure la sécurité et préserve la santé de toute personne qui pénètre dans un lieu. Dans le cadre de mesures visant à contenir la propagation de virus, il permet de mettre en œuvre un protocole réglementaire pour redonner confiance et tranquillité d’esprit à chacun. La détection de la température est rapide et fiable. En effet la réponse est communiquée en 200 ms avec une précision de +/- 0,3 °C. Le FTC &#8211; 1000 est livré avec un logiciel de gestion permettant de contrôler plusieurs appareils. &nbsp; Une gamme complète de solutions d’ouverture sans contact et sans limite CDVI, partenaire multi-solutions des acteurs du bâtiment, propose une large gamme d’ouverture sans contact pour tous les secteurs. Les solutions disposent d’une des garanties les plus étendues du marché. Qu’il s’agisse de gérer les flux dans une entreprise ou de limiter le nombre de clients dans un magasin, CDVI apporte une réponse adaptée. &nbsp; • Pour la gestion des entrées libres Le radar de détection infrarouge longue portée DWHR50 permet l’ouverture de porte sans contact en détectant tout mouvement d’approche. &nbsp; • Pour la gestion des entrées autorisées avec un contrôle d’accès Outre le nouveau thermoscanner FTC – 1000, CDVI offre d’autres solutions pour gérer les entrées autorisées. Les lecteurs Mifare® ou encore la Box Code fonctionnant avec l’application Digicode® autorisent une ouverture via un smartphone. L’accès est donc garanti pour toute personne qui dispose des droits d’accès. &nbsp; • Pour la gestion de la distanciation physique avec comptage/décomptage Pour toutes les problématiques de gestion des flux et de respect du principe de distanciation physique, CDVI propose là encore la solution. En effet grâce au système de contrôle d’accès Atrium et sa fonction comptage/décomptage, il est possible de réguler le nombre de personnes se trouvant dans une pièce donnée pour en contrôler la jauge pré-définie, et ainsi ne jamais la dépasser. L’autorisation d’entrée, comme de sortie, s’effectue en présentant un badge devant le lecteur Mifare®, DESFire®&#8230;. Lorsque l’usager ressort de la pièce, il libère ainsi un accès disponible. &nbsp; • Pour la gestion des sorties Enfin pour sortir d’un bâtiment, CDVI propose 2 types de commande de sortie infrarouge qui déclenchent automatiquement l’ouverture de la porte : VHESF et BPIR avec lesquelles il suffit de passer la main devant la commande pour actionner l’ouverture (jusqu’à 15 cm). &nbsp; • Pour l’ouverture/fermeture automatique des battants Pour chacun de ces dispositifs et une fois l’accès autorisé, l’opérateur de portes battantes Digiway assure l’ouverture/fermeture automatique. Pour répondre à chaque besoin en fonction de sa localisation, deux solutions sont disponibles : Digiway-SR pour les portes lourdes (jusqu’à 200 kg) et Digiway-Plus pour les portes légères (jusqu’à 120 kg). &nbsp; Depuis 1985, CDVI œuvre donc pour la protection des personnes et des biens. Aujourd’hui comme hier, les solutions CDVI permettent à chaque acteur de répondre aux critères de sécurité sanitaire en organisant et en facilitant l’accès et la circulation des salariés et des visiteurs au sein de tous les bâtiments. http://www.cdvi.com
Il y a 4 ans et 361 jours

Deltamod a livré 5.000 m² de bâtiments modulaires reconditionnés à Clichy (92)

C'est le long de la Seine, aux portes de Paris, Quai de Clichy (92) que se situe une réalisation unique en France : 5.000 m² de logements à 100% en bâtiment modulaire reconditionné dédiés à l'hébergement d'urgence.Cet ouvrage charté « économie circulaire » est l'œuvre de la société Deltamod, spécialiste du modulaire de réemploi depuis 2013. Ce projet public, porté par son maitre d'ouvrage ALTERALIA - Association dédiée à l'accompagnement et l'insertion par le logement – avait pour objectif de mettre en place une structure d'accueil d'urgence respectant des contraintes économiques et de temps de mise en œuvre.Habitué à des structures traditionnelles pour ce type d'ouvrage, la proposition du bâtiment modulaire et encore plus celle du bâtiment modulaire reconditionné apparaissait comme un défi de taille pour les 2 parties et leurs commanditaires. 6 mois après son démarrage, le résultat parle de lui-même : Fonctionnel, opérant et réussi.Une réalisation unique en France12.000 m² de surface, 5.000 m² de bâtiment modulaire, 160 chambres, 400 personnes hébergées, un projet unique en France réalisé en 6 mois seulement.Ce centre d'hébergement d'urgence est destiné à l'hébergement de demandeurs d'asile et de personnes sans domicile fixe. Il offre un espace de vie collectif fonctionnel et agréable où chaque construction modulaire est dédiée à une fonction précise.Au-delà des 160 chambres, plusieurs espaces modulaires ont été aménagés pour garantir un accueil et une qualité de vie à chaque personne hébergée. Poste de sécurité, bureaux réfectoires, sanitaires et vestiaires, salles de détente, ce projet regroupe différentes typologies de bâtiments modulaires dont certains à étage en R+1.2 mois et ½ ont été nécessaires pour définir et préparer le projet. Après 1 mois d'étude pour la phase de conception, c'est 1 mois et ½ qui ont été consacré au terrassement et réseaux des 12.000 m² de terrain.Au niveau des bâtiments, ce sont plus de 300 modules préfabriqués qui ont été nécessaires pour réaliser les 5.000 m² de logements. Une action rendue possible par le stock de plus de 10.000 m² disponible en permanence au siège de la société Deltamod (44) et son partenariat avec un des leaders de la construction modulaire en France, l'entreprise Cougnaud (85), fournisseur des infrastructures complémentaires.Une fois la matière première disponible, les bâtiments préfabriqués ont été reconditionnés en usine avant d'être transférés directement sur site. Une rénovation totale des anciennes structures pour les remettre à neuf. Isolation, sols, plafonds, électricité, plomberie, sanitaires, décoration intérieure, équipements extérieurs, tout a été repensé pour redonner vie à ces bâtiments. Un travail de 3 mois et ½ de reconditionnement et d'installation qui au-delà de leur nouvelle vocation dédiée à l'hébergement, aura évité la destruction de ces bâtiments et par conséquent la génération de nouveaux déchets.Le bâtiment modulaire de réemploi au service de l'économie circulaireC'est aussi le cœur de ce projet de centre d'hébergement. Contrairement à des structures traditionnelles, le fait d'opter pour une solution de réemploi permet de générer des avantages tels que :EnvironnementalRedonner vie à d'anciens bâtiments permet d'éviter la destruction et la génération de plusieurs tonnes de déchets.SocialDémonter, transférer, installer, reconditionner permet de maintenir l'emploi et créer du lien social.RéglementaireContribuer au prolongement de la durée de vie des modules participe à limiter la consommation et les gaspillages de ressources (matières premières, eau, énergie) conformément au projet de loi anti-gaspillage des Régions.ÉconomiqueConstruire en bâtiment modulaire offre la possibilité de déplacer les structures sur un autre site et de les reconditionner en fonction du futur usage (écoles, bureaux, stockage, vestiaires, …).Un GRAND projet qui fera des petitsSi cet ouvrage est une première pour les acteurs, une première en France, il doit ouvrir de nouvelles perspectives à la société Deltamod et toutes les sociétés et associations en charge de créer des solutions rapides de logement ou d'hébergement.Rapidité, souplesse, économie, environnement, tous les facteurs sont réunis pour donner naissance à d'autres réalisations de ce type.L'association Alteralia, par la voix de son président Olivier DUBAUT, réfléchit déjà à d'autres projets en tirant l'expérience de celui de Clichy. Ensuite, c'est le savoir-faire de la société Deltamod qui fera le reste en accompagnant ses futurs clients au niveau du reconditionnement mais surtout au niveau des services de transfert et recyclage du bâtiment modulaire, une prestation professionnelle et complète pour répondre aux enjeux de nouvelles réponses en termes de logement et d'hébergement du XXIème siècle.3 questions à : Olivier DUBAUT Président ALTERALIAQuel est la mission d'Alteralia ?Alteralia est une association visant à aider et accompagner l'État et les collectivités locales dans les projets d'hébergement d'urgence et de logement à destination des personnes en difficulté. Nous sommes issus de l'association ALJ93 située à Aubervilliers qui a modifié ses statuts il y a 3 ans maintenant pour répondre à des projets régionaux et nationaux. Nous travaillons notamment avec les préfectures d'Ile de France pour organiser les espaces qui vont accueillir les jeunes travailleurs, demandeurs d'asile ou encore de mineurs isolés avec les départements.Pouvez-vous nous décrire les contours et enjeux de ce projet modulaire ?Tout d'abord, ce projet de construction modulaire est double. Une première partie, mandatée par l'État, porte sur un centre d'hébergement d'urgence accueillant des demandeurs d'asile pour une capacité de 250 places. La seconde, d'une capacité de 120 places, est destinée au logement de personnes sans-domicile fixe à la demande du Conseil Régional d'Ile de France et de la Croix-Rouge Française.L'enjeu principal pour ce type de logement d'accueil est le délai de mise en fonction. Le temps passe vite et l'hiver n'attend pas pour sévir. Il est important de trouver des solutions rapides à mettre en œuvre malgré les contraintes météorologiques liées à la construction. Le choix du bâtiment modulaire s'est imposé tout naturellement.Nous avons donc travaillé en étroite collaboration pendant 4 à 5 mois avec la préfecture des Hauts de Seine et notre fournisseur Deltamod pour réaliser et réussir cette réalisation d'envergure de 5 000 m² dans les délais impartis.Pourquoi avoir choisi la société Deltamod ?Déjà, construire en bâtiment modulaire était pour nous une première. Il nous fallait trouver une entreprise réactive, agile et je suis sincèrement admiratif du travail de cette PME.Ensuite, c'est l'approche unique de Deltamod qui nous a séduits en nous proposant des bâtiments modulaires de réemploi. Les bâtiments sont des préfabriqués d'occasion qui sont complètement reconditionnés sur site ou en usine pour leur donner une nouvelle vie. De plus, ces structures sont démontables et réutilisables dans le futur pour nos nouveaux projets.C'est pour nous une solution innovante, moins chère et plus rapide qui ouvre la voie à de nouveaux dossiers d'hébergement d'urgence.3 questions à : Pierre VISONNEAU Co-dirigeant société DELTAMODPourquoi avoir accepté ce projet d'envergure ?Je ne sais pas si je peux qualifier ce projet d'envergure mais plutôt de défi. 12.000 m² de terrassement, 5.000 m² de bâtiment modulaire à transférer, reconditionner et installer en 6 mois, l'enjeu était de taille pour tous les salariés de l'entreprise. Maintenant, une bataille ne se mène pas seul. Nous avons pu compter sur le soutien d'Alteralia par l'intermédiaire de Mr Olivier DUBAUT, Président, de Mr Christophe AUGER, Directeur général, pour toute la gestion de projet, sans oublier la société Cougnaud pour le complément des bâtiments modulaires. C'est un travail d'équipe et une collaboration permanente qui nous ont permis de proposer des logements de qualité dans les délais impartis.C'est aussi ce type de projet qui fait grandir les équipes et une entreprise car nous devons tous nous mobiliser en même temps et avec la même énergie pour répondre à l'exigence de ces chantiers. C'est pour cela que j'adresse toutes mes félicitations à toutes les personnes (collaborateurs, sous-traitants, partenaires, …) qui ont œuvré pour donner vie à cette infrastructure de logement social d'urgence.Comment avez-vous convaincu la société Alteralia d'opter pour le modulaire reconditionné ?Il est vrai que notre proposition était loin d'être gagnante sachant qu'Alteralia n'avait jamais réalisé d'ouvrage en bâtiment modulaire.Le choix de notre entreprise repose sur notre approche unique et innovante en lien avec l'économie circulaire. Si la construction modulaire permet une mise en œuvre rapide et économique demandées sur ce type de projet, notre offre de bâtiment modulaire de réemploi apporte cette différenciation environnementale. Nous militons depuis notre création sur la réduction des déchets en prônant la réutilisation des anciens préfabriqués. Ainsi, nous redonnons vie à d'anciens bâtiments en les reconditionnant directement sur site en fonction de la demande de notre client. Enfin, nous associons un service de transfert et de recyclage du modulaire qui permettra à notre client de déplacer et reconditionner ses bâtiments préfabriqués pour un autre usage dans un autre lieu.Les dirigeants d'Alteralia ont été particulièrement sensible à notre approche environnementale mais également à nos équipes et nos partenaires lors de leur visite de nos locaux avec les représentants de l'État.Avez-vous d'autres projets de ce type pour Deltamod ?Cette réalisation est unique en France. C'est une première pour tous les acteurs et nous devons prendre un peu de recul pour analyser tous les facteurs.Cependant, le maître d'ouvrage Alteralia est très satisfait du résultat et envisage de renouveler l'expérience sur d'autres projets similaires. Ensuite, mes prestataires et mes équipes ont eux aussi été à la hauteur du défi qui nous attendait. Je serais donc tenté de vous répondre « OUI » sans hésitation même si la durée et la taille de ce projet se doivent d'être réfléchies et mesurées dans une organisation.Enfin, il faut convaincre les autres organisations de changer leurs habitudes en matière de construction et je pense sincèrement que le centre d'hébergement de Clichy (92) sera une référence dans la construction modulaire et notamment dans celui du bâtiment modulaire de réemploi en France.Deltamod en quelques lignesCrée en 2013, la société Deltamod développe son business model autour d'une démarche écoresponsable volontariste. Acteur de l'économie circulaire, elle décide de reconditionner les anciens bâtiments modulaires pour leur donner une seconde vie. Basée à Nort-sur-Erdre (Pays de Loire), l'entreprise compte aujourd'hui 28 salariés experts pour devenir le spécialiste du modulaire de réemploi autour de 3 métiers principaux :La vente de constructions modulaires reconditionnées et d'occasionLa prestation de services tels que le transfert modulaire et la mise en serviceLe rachat, reconditionnement et recyclage de bâtiments modulaires.A ce jour, cette nouvelle approche a sauvé plus de 25.000 m² de bâtiment modulaire de la destruction. Un petit geste qui s'ajoute à toutes les actions en faveur de l'économie circulaire et de notre environnement.
Il y a 4 ans et 361 jours

La maintenance prédictive, "source de performance majeure" pour SNCF Réseau

FOCUS. La deuxième édition de l'Open club innovation de SNCF Réseau avait pour thème la maintenance prédictive. Le gestionnaire d'infrastructure est revenu sur les enjeux que représentait cette (r)évolution, ainsi que sur les solutions déjà en cours de déploiement ou en test.
Il y a 4 ans et 361 jours

Arcade : Massia Laboratoire Bétons

Depuis plus de 25 ans, Arcade s’est fait connaître en partie grâce à son logiciel de suivi et contrôle de la qualité des produits, wil. Ce dernier équipe encore aujourd’hui de nombreux postes et s’est imposé au fil des années et échanges avec les clients comme étant LA référence sur le marché.&nbsp; Massia-Laboratoire issu de la gamme Massia est prêt à reprendre le flambeau de wil afin de toujours mieux vous servir.&nbsp; Tout comme pour wil, Massia-Laboratoire se décline en plusieurs modules axés chacun vers un métier différent&nbsp;: bétons, granulats, enrobés… Vous pouvez l’adapter au plus proche de votre activité en choisissant de n’en prendre qu’un ou d’en concilier plusieurs. Une des puissances de la gamme Massia est cet environnement entièrement paramétrable et modulable à votre activité. Massia-Laboratoire conserve les fonctionnalités de Wil qui ont fait son succès tout en ajoutant de nouvelles fonctionnalités. Retrouvez tous les outils pour une gestion laboratoire quotidienne optimale&nbsp;: Paramétrez vos données de baseRentrez vos prélèvements et essais Editez les documents nécessaires Générez vos bilans réglementairesPilotez votre activité et contrôlez vos résultats vis-à-vis des normes en vigueur. Des fonctionnalités communes à toute gestion laboratoire Le module bétons propose des fonctionnalités spécifiques pour ce métier telles que&nbsp;: Les essais itératifs pour définir le nombre de casses à la volée ; Les feuilles d’essais (essais de casses par exemple)&nbsp;; Le contrôle RSI conforme au dernier guide technique&nbsp;;Les cartes de contrôles (consistance, résistance par béton ou famille béton…)&nbsp;;Le contrôle acquéreur en lien avec les FTP archivées&nbsp;;Le contrôle des formules selon les normes française et européenne&nbsp;;Le traitement des formulesLa formulation selon les méthodes de Dreux-Gorisse, Faury, ou encore les courbes d’équation (Füller par exemple) ou d’autres courbes que vous définissez. Le petit plus qui fait la différence&nbsp;? Massia-Labo mobilité&nbsp;! Une application mobile pour saisir depuis votre smartphone ou tablette vos prélèvements granulats, vos casses béton… et les retrouver automatiquement dans Massia. Même en zone blanche – et nous avons encore tant dans nos belles campagnes – saisissez sans soucis, la synchronisation se fera dès que vous retrouverez du réseau. C’est ça aussi la force du web. Massia-Laboratoire fait partie de la gamme Massia, elle comprend quatre autres logiciels axés chacun sur une spécialité&nbsp;: Massia-Gestion pour la gestion commerciale de l’administration des ventes. Gérez l’activité quotidienne de vos sites, les flux avec vos fournisseurs, prospects et clients. Maîtrisez à tout moment les éléments clés de votre activité, stocks, tarifs, offres, commandes, livraison, transports, facturation… Massia-Performance pour le suivi de la performance des industries extractives. Maîtrisez et améliorez la performances sur trois axes&nbsp;: personnel, engins et installations. Suivez au quotidien les affectations d’activités, les heures de marche, arrêts et pannes, les consommations comme les carburants, l’électricité, les explosifs, …Massia-QSE & Foncier pour la maîtrise du suivi environnemental, de la sécurité et du foncier. Gérez facilement vos thèmes et campagnes de mesures environnementales, préparez vos audits, suivez les actions menées, consignez et mettez en œuvre les instructions des arrêtés préfectoraux.Massia-Maintenance pour la gestion de la maintenance des installations et parc matériel.&nbsp; Optimisez la maintenance du matériel et des équipements, maîtrisez vos coûts et la sécurité des personnes. Une gamme de logiciels tout-en-un Désormais, vous pouvez regrouper plusieurs activités dans un seul logiciel , Créez un nouveau produit dans Massia-Performance, retrouvez-le dans Massia-Laboratoire&nbsp;; créez une FTP dans Massia-Laboratoire, consultez-la dans la pesée de Massia-Gestion&nbsp;; gérez les stocks dans Massia-Gestion, utilisez-les dans Massia-Performance&nbsp;! En plus de la personnalisation et modularité à souhait de cette gamme, Massia vous permet également de travailler sur une interface fluide, ergonomique et accessible partout. Vous bénéficiez ainsi d’une seule base de données et d’une gestion centralisée&nbsp;! Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter Arcade. Pour cela plusieurs canaux possibles&nbsp;: En visitant le site Web d’Arcade où vous retrouverez des informations sur les logiciels ainsi qu’un formulaire de contact&nbsp;: https://www.arcade.fr/. En contactant directement le service commercial&nbsp;: par e-mail a.ladet@arcade ou par téléphone 04 67 77 52 50. Pensez à suivre la page LinkedIn d’Arcade afin d’être tenu au courant des actualités d’Arcade.
Il y a 4 ans et 361 jours

Aménagement d'un hôpital de campagne dédié au coronavirus sur le parc d'exposition d'Hanovre

Cet hôpital de campagne est conçu pour accueillir 500 patientes et patients ne nécessitant pas de soins médicaux intensifs. Plus de 80 médecins et une centaine de membres du personnel médical seront en mesure de soigner ces patients. L'exploitation de ce centre de soins sera prise en charge par l'École Supérieure de Médecine de Hanovre. Il devra être mis en service dès lors que tous les hôpitaux régionaux auront atteint leur capacité maximale. La transformation de halls d'un parc d'exposition en un hôpital de campagne nécessite de nombreuses installations techniques.Un équipement à la pointe C'est une équipe SPIE de Hanovre qui réalise l'installation des infrastructures de cet hôpital de campagne. Une telle opération présente un niveau d'exigences élevé, particulièrement en ce qui concerne l'équipement technique et la logistique qui l'entourent. « Le plus grand défi dans cette opération, c'est de transformer un hall de parc d'exposition vide en un centre médical de pointe - à commencer par l'installation et la mise en réseau du système de télécommunication », déclare Wolfram Ermlich, chef de projet au sein de la division Information & Communication Services de SPIE. À côté du hall destiné au traitement des patientes et des patients, il a fallu transformer d'autres halls - par exemple, pour la gestion des lits, pour les vestiaires du personnel, pour la cafétéria, pour la zone logistique et de stockage et pour le stationnement des véhicules.« En coopération avec Deutsche Telekom, nous avons installé dans la zone de soins aux patients environ 250 téléphones et 16 antennes DECT, et posé 15 kilomètres de câblages en cuivre ainsi qu'un kilomètre de câbles pour la fibre optique. De plus, ce sont cinq réseaux WLAN individuels qui sont à la disposition de cet hôpital de campagne », indique le chef de projet. De cette façon, une communication rapide, sûre et sans interruption peut être garantie à l'intérieur du centre de soins.En ce qui concerne l'installation électrique, d'innombrables prises et connexions ont été prévues pour alimenter les espaces individuels et collectifs, ainsi que les services administratifs situés dans les salles annexes et les halls adjacents.Un excellent partenariat Une bonne collaboration entre les différents responsables de l'opération - l'École Supérieure de Médecine de Hanovre en sa qualité d'exploitant, la Deutsche Messe AG en tant que maître d'ouvrage des halls ainsi que le Technische Hilfswerk en tant que directeur technique général du projet - a contribué à sa réussite.« Le client se félicite de la bonne coopération entre toutes les parties prenantes et se montre très satisfait de la façon dont une opération aussi exigeante a été jusqu'à présent menée à bien. », commente Wolfram Ermlich.
Il y a 4 ans et 361 jours

L’acide citrique sur les chantiers, à quoi cela sert ?

Certains acides peuvent réagir s’ils sont en contact avec des métaux et les oxyder. On peut citer l’acide chlorhydrique, l’acide phosphorique et l’acide nitrique. Ce dernier attaque presque tous les métaux. C’est un oxydant puissant qu’on appelle aussi acide azotique ou eau-forte. Il est à ne pas confondre avec l’eau-régale qui est une solution d’acide nitrique et d’acide chlorhydrique. Les caractéristiques de l’acide nitrique et sa réaction sur les métaux C’est une solution aqueuse incolore et inodore. Elle peut avoir une couleur jaunâtre si elle comporte des impuretés. Chauffé à température ambiante, cet acide dégage des fumées jaunes ou rouges car il se décompose partiellement en dioxyde d’azote. La manipulation de ce produit toxique est très délicate car il peut avoir des réactions explosives avec certains composés comme les poudres métalliques, les carbures et les cyanures. La réaction de l’acide nitrique sur les métaux est différente des autres acides. En effet, à cause de ses propriétés oxydantes, il ne dégage pas d’hydrogène H2. Parmi les métaux qui se dissolvent complètement dans l’acide nitrique, on peut citer les suivants : Le nickel Le mercure Le cuivre Le cobalt Le sélénium Le zinc Le plomb L’argent Le cadmium Il existe toutefois d’autres métaux qui passivent dans l’acide comme : L’aluminium L’indium Le niobium Le bore Le chrome Le titane Le zirconium Voilà pourquoi on se sert de l’acide nitrique dans la fabrication d’explosifs, mais il intervient aussi dans d’autres procédés industriels comme la fabrication du vernis, d’engrais phosphatés et du papier. Acide nitrique achat : où se procurer cette solution ? Les solutions aqueuses d’acide nitrique concentré ne sont vendues qu’à des professionnels car l’action de l’acide sur la peau peut être dangereuse. D’ailleurs, la plupart des acides ne sont également vendus que par des professionnels et pour des professionnels (acide acétique, acide sulfurique, acide muriatique…). En savoir plus sur l’acide nitrique à achat. En effet, l’utilisation d’acide nitrique doit être réservée à des procédés chimiques dans des lieux adaptés car le dégagement gazeux et le caractère corrosif de cette solution peuvent avoir des effets désastreux sur la santé de l’alchimiste. Pour neutraliser les acides, il faut respecter les quantités des composés chimiques. Dans le cas contraire, la transformation chimique peut faire des dégâts. Quelles sont les mesures de sécurité à prendre La toxicité de l’acide nitrique est assez importante. Étant assez fort, il peut causer de graves brûlures sur la peau. Si cette dernière est en contact avec de l’acide concentré, elle peut virer au jaune. En cas d’inhalation, ce composé chimique attaque directement les voies respiratoires et peut causer un œdème pulmonaire. Il est donc conseillé de se munir d’une protection respiratoire avant de s’en servir. En revanche, le port de gants en nitrile ou en latex est à proscrire car ce sont des matériaux très inflammables. Voici quelques gestes de premiers secours si vous êtes en contact avec cet acide : En cas d’ingestion : évitez de faire vomir le sujet. S’il est conscient, faites-lui boire de l’eau ou du lait et emmenez-le directement aux urgences. En cas d’inhalation : retirez la personne du lieu de contamination pour qu’elle respire de l’air frais. La protection artificielle peut être nécessaire. Surtout, évitez le bouche-à-bouche. En cas de contact oculaire : se rincer les yeux abondamment avec de l’eau tout en évitant de les frotter. Consultez un ophtalmologue, même s’il n’y a pas de symptômes. En cas de contact cutané : couvrez la blessure avec une gaze stérile et retirez les vêtements touchés par l’acide. En cas de blessure, consultez un médecin rapidement. En cas de contact oculaire : se rincer les yeux abondamment avec de l’eau tout en évitant de les frotter. Consultez un ophtalmologue, même s’il n’y a pas de symptômes. En cas de contact cutané : couvrez la blessure avec une gaze stérile et retirez les vêtements touchés par l’acide. En cas de blessure, consultez un médecin rapidement.
Il y a 4 ans et 362 jours

La métropole de Saint-Étienne annonce un plan de relance de 150 millions d'euros

À l'intérieur de cette enveloppe budgétaire, 70 millions d'euros serviront à "subventionner des projets communaux gelés ou suspendus, pour accélérer leur réalisation afin d'atténuer les conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire", a déclaré lors d'une conférence de presse Gaël Perdriau, également candidat pour un nouveau mandat de maire de Saint-Étienne.80 millions d'euros seront aussi affectés à des projets relevant de la transition énergétique, de la rénovation urbaine, du développement de l'enseignement supérieur, et de l'accompagnement de jeunes entreprises en matière de recherche et d'innovation.L'élu a aussi annoncé "un doublement des moyens de la métropole en matière de lutte contre la précarité" et confirmé son engagement en faveur d'une stabilité de la fiscalité de cette collectivité au cours du prochain mandat.Saint-Étienne Métropole "négociera, au bénéfice des 53 communes qui la composent, un fonds d'emprunt de 150 millions d'euros auprès de grands opérateurs tels que la Caisse des dépôts et la Banque des territoires pour financer des projets à fort enjeux économique et social", a-t-il indiqué.Interrogé sur ce qui devait être un projet phare du prochain mandat, remis en cause par Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, Gaël Perdriau a répondu être "toujours dans l'attente d'une réponse officielle du gouvernement concernant l'abandon de l'A45".Ce projet d'autoroute entre Saint-Étienne et Lyon représente un investissement de 1,2 milliard d'euros, pour lequel l'offre de Vinci avait été retenue et dont la Déclaration d'utilité publique prise voici 12 ans deviendra caduque le 16 juillet prochain.
Il y a 4 ans et 362 jours

Orly sortira vendredi de trois mois de sommeil forcé

A partir de vendredi, quelque 25 destinations seront desservies au départ d'Orly avec environ 70 décollages et atterrissages par jour -contre 600 en moyenne en temps normal- vers les Antilles, La Réunion, l'Italie, l'Espagne, le Portugal, l'Islande, la Croatie, la Guyane ou encore la Corse ou Rodez, des lignes d'obligations de service public (OSP).Environ 8.000 passagers y sont attendus vendredi -soit moins de 10% du trafic habituel de 90.000 passagers en moyenne par jour- sur l'aéroport centenaire, fermé aux vols commerciaux le 1er avril en raison de l'effondrement du trafic aérien sous l'effet des fermetures de frontières pour limiter la propagation du virus.Le trafic évoluera à partir du début juillet en fonction notamment de l'ouverture ou non des frontières par le Maroc, la Tunisie et l'Algérie.En mai, il s'est écroulé de 97,8% à Paris-Charles -de-Gaulle (CDG), au nord de Paris, où a été concentré tout le trafic pendant le pic de la crise, avec seulement 200.000 passagers accueillis.Pour s'adapter à un ciel encore très incertain -en raison de l'attentisme des voyageurs pour leur réservation, la levée des restrictions de voyages en ordre dispersé et de possibles recrudescences épidémiques-, la réouverture sera partielle avec d'abord le redémarrage d'Orly 3, puis progressivement d'Orly 4, 1 et 2."On a une crise qui est extrêmement brutale et qui est longue et surtout on se prépare à un redémarrage qui va être un peu lent, pour ne pas dire extrêmement lent", a prévenu mardi Alain Battisti, le président de la Fédération nationale de l'aviation marchande (Fnam).Un "uppercut" pour les compagniesSur le plan de la sécurité sanitaire, plus de 7.000 affiches et autocollants pour marquer la distanciation physique ont été apposés dans l'aéroport par son gestionnaire ADP ainsi que 150 distributeurs de gel et 137 plexiglas installés sur tous les comptoirs d'accueil, banques d'enregistrement et d'embarquement.Une caméra thermique a été installée à l'arrivée pour prendre la température des voyageurs et détecter d'éventuels cas de contamination par le coronavirus.En 2019, Orly a accueilli 31,9 millions de passagers essentiellement sur des vols dits de "point à point", de Paris vers la province, la Corse, l'Outre-mer ou encore l'Europe du Sud et le bassin méditerranéen.Les principales compagnies présentes à l'aéroport étaient Air France (29,6% du trafic), Transavia (17,5%), easyJet (9,2 %), Vueling (8,8%) et Air Caraïbes (4,1%) et 40% de son trafic était porté par des compagnies low-cost. L'Association internationale du transport aérien (Iata) table sur un retour du trafic au niveau de 2019 pas avant 2023. De nombreuses incertitudes pèsent en fonction de la situation sanitaire, mais aussi du comportement des voyageurs, en particulier ceux à haute valeur ajoutée des classes affaires qui ont pu prendre goût à la visioconférence pendant le confinement.Comme partout dans le monde, à Paris le trafic reprendra d'abord pour les vols intérieurs puis le moyen-courrier et enfin en dernier lieu le long-courrier et les liaisons intercontinentales.Si la période de quasi-arrêt du trafic a représenté un "uppercut" pour les compagnies aériennes, la période "de redécollage" restera "difficile", a commenté mardi Marc Rochet, président d'Air Caraïbes Atlantique."Le redécollage, il peut tuer. Parce que personne ne sait dire sa longueur, quand les clients vont revenir, comment ils vont remplir les avions..."
Il y a 4 ans et 362 jours

Joël Fourny élu président des Chambres des métiers et de l'artisanat

M. Fourny, dirigeant d'une entreprise de modelage mécanique, était opposé à deux autres candidats, Yvon Setze et Christian Vabret, au cours de l'assemblée générale de CMA France, précise l'organisation dans un communiqué.Joël Fourny était vice-président de CMA France depuis 2016 et auparavant à la tête du CMA régional des Pays-De-La-Loire.Le nouveau président a manifesté "sa volonté de poursuivre les combats de Bernard Stalter pour refonder complètement le réseau des chambres de métiers", selon le communiqué."Dans un contexte de crise sanitaire et économique liée au Covid-19, il axera ses actions pour une relance durable de l'économie de proximité et l'avenir de l'apprentissage", poursuit le texte alors que la montée en puissance de l'apprentissage en France risque d'être freinée à la rentrée par la crise économique consécutive à la pandémie.
Il y a 4 ans et 362 jours

Trois nouveaux projets à l'international démarrent pour NGE

CONTRATS. Le groupe de BTP renforce ses positions en Egypte et en Amérique latine, où il entre en phase opérationnelle pour la construction de trois nouveaux projets, l'un portant sur une ligne ferroviaire, les deux autres sur des extensions de métro.
Il y a 4 ans et 363 jours

Les professionnels de l'ingénierie et du numérique proposent de créer une « task force » pour sauver le BTP

Outre des mesures pour l'emploi, la trésorerie des entreprises et le redémarrage du secteur, CINOV appelle à la création immédiate d'une « task force » représentative de la filière. Cette dernière permettra d'accompagner les métiers du BTP dans leur transformation numérique, environnementale et sociétale.Alors que l'arrêt brutal et imprévu de tous les chantiers – puis leur reprise aménagée pour répondre aux règles sanitaires – ont provoqué d'importants surcoûts pour le secteur du BTP, CINOV alerte sur le risque de disparition de nombreux bureaux d'études qu'elle représente (maîtrise d'œuvre, AMO). Ces dernières, qui sont principalement des TPE-PME, se retrouvent en effet particulièrement exposées et la Fédération CINOV appelle le gouvernement à prendre les mesures qui s'imposent pour sauver ces entreprises, acteurs clés de la vie économique dans les territoires. Pour cela, elle propose de créer un fonds afin d'aider les entreprises et les collectivités territoriales à faire appel à des prestations de services intellectuels pour les accompagner dans leurs transformations. CINOV insiste néanmoins sur le fait que la création de ce fonds ne suffira pas : il faudra aussi – et surtout – accompagner ces investissements pour qu'ils puissent être rentables.Le secteur du BTP est en effet au cœur des transitions environnementale, énergétique, sociétale et numérique qui rendent inconcevable un retour à la situation antérieure à la crise sanitaire. CINOV appelle donc à la mise en place dès que possible d'une « task force » représentative dont l'objectif serait de faire adhérer et de mobiliser tous les acteurs de la filière autour d'un projet commun et, in fine, de faciliter la prise de décision puis d'accompagner la mise en œuvre des différentes mesures.« Avec cette task force représentative de la filière, nous pourrons mettre en œuvre plusieurs grandes idées ambitieuses autour des impacts sociaux et environnementaux du bâtiment et des infrastructures », affirme Frédéric LAFAGE, président de la Fédération CINOV. « Nous souhaitons notamment définir et mettre en place un agenda de la transition écologique du secteur, recourir massivement à la finance responsable, investir dans les infrastructures durables et concevoir un aménagement urbain durable et désirable pour penser le logement autrement et réussir, enfin, sa rénovation. »Les principales propositions de la Fédération CINOV pour une relance économique et durable du secteur :Créer immédiatement une « task force » représentative de la filièreRéussir la transition écologique du secteur :En appliquant progressivement et avec pédagogie les nouvelles réglementations, dont la future RE2020 ;En complétant la réglementation et les référentiels existants pour mettre en place une approche multicritères et des obligations de résultats pour tous les bâtiments ;En accompagnant la maîtrise d'ouvrage publique par un vaste plan de sensibilisation et de formation aux enjeux environnementaux ;En recourant massivement à la finance responsable (développer les labels Greenfin ou ISR, moduler les financements en fonction de leur impact sociétal et environnemental).Investir dans les infrastructures durables :En lançant un vaste programme quinquennal de renouvellement des réseaux d'eau et d'assainissement, de maintenance et d'entretien des infrastructures routières ;En priorisant les investissements dans les infrastructures vers des projets à forte performance environnementale avec une évaluation régulière de cette performance.Penser le logement autrement et réussir, enfin, sa rénovationEn conditionnant 100% des aides (primes et baisse de taxes foncières sur la durée de l'amortissement) à la réalisation de rénovation globale et performante, en une fois, des copropriétés ;En définissant un dispositif « Ma Prime Rénov' Copro » visant à rendre attractive la rénovation globale et copropriété.Concevoir un aménagement urbain durable et désirableEn créant un plan de mobilité douce, à intégrer au PLU, en mettant l'accent sur les accès aux lieux de vie (espaces publics, loisirs, lieux culturels, écoles, commerces…) ;En faisant du bruit, de la qualité de l'air et de la biodiversité des priorités nationales, à intégrer à travers des objectifs ambitieux, concrets et mesurables dans tous les projets urbains ;En développant des référentiels, des méthodes et des outils adaptés à des aménagements urbains durables et désirables, facilement utilisables par les différents acteurs (collectivités, aménageurs, promoteurs, AMO/MOE, entreprises…).
Il y a 4 ans et 363 jours

TSO frappe fort à l’international : près de 143 M$ de contrats

La filiale ferroviaire de NGE a décroché un nouveau contrat en Egypte et deux en Amérique centrale.
Il y a 4 ans et 363 jours

Le confinement, accélérateur de la transformation numérique du secteur immobilier

La crise sanitaire a poussé de nombreux agents immobiliers à s'intéresser à de nouveaux outils pour poursuivre leur activité et maintenir le lien avec leur clientèle jusqu'au déconfinement. Pour autant, la « démocratisation » engagée du numérique - loin d'être absolue - traduit des réalités différentes correspondant à des niveaux de maturité variés selon la taille des agences ou leur statut (indépendant ou appartenance à un réseau).Du B.a.-ba du numérique...A l'heure du tout-numérique, rares sont les agences immobilières à ne pas faire rimer leur stratégie commerciale avec optimisation de leur visibilité sur internet : avec 98% d'agence équipées d'un site web ou en passe de l'être et 96% d'un compte sur les réseaux sociaux, assurer une vitrine performante et attractive en ligne est devenu un prérequis incontournable pour les professionnels.D'autres évolutions technologiques ont progressivement convaincu les professionnels, tels que :La dématérialisation des documents liés à la gestion des biens, considérée aujourd'hui par plus de 8 agences sur 10 (83%) comme indispensable.Le développement de la signature électronique est une avancée majeure pour 87% des agents immobiliers, leur permettant de réaliser plus d'actes à distance, et donc de gagner en rapidité et en efficacité. Un point sur lequel l'État a montré une certaine réactivité, en autorisant par décret début avril la réalisation d'actes notariés à distance, dérogeant ainsi temporairement à la règle exigeant la présence physique des parties.La visioconférence a démontré son intérêt pour près de 7 agences sur 10 (69%) pour maintenir le lien avec les collaborateurs, les clients actifs ou potentiels. Durant le confinement, le numérique a représenté une alternative essentielle, pour poursuivre un certain niveau d'activité.... à l'hétérogénéité de l'adoption des outils numériquesUne partie des agents immobiliers se sont aussi adaptés aux attentes et aux nouveaux usages des particuliers.Les visites virtuelles ont démontré leur pertinence pour 58% des agents immobiliers, en permettant à des potentiels acheteurs de découvrir des biens en toute sécurité depuis leur domicile.D'autres outils ont également fait une percée en raison des contraintes de distances, de façon plus mesurée, comme la réalisation d'état des lieux à distance, intéressante pour près d'1 agence sur 2 (47%).Si ces nouvelles solutions devraient s'imposer dans le secteur pour devenir la norme dans les prochaines années, du fait de leurs nombreux avantages (gain de temps, d'économies, etc.), pour autant, ce phénomène de numérisation recouvre des réalités différentes. L'écart entre les plus petites agences (moins de 5 collaborateurs) et celles de plus de 10 collaborateurs est particulièrement important concernant l'adhésion à l'état des lieux numérique (36% des petites contre 74% des grosses). Dans une moindre mesure, la différence est sensible entre les agences indépendantes et celles membres de réseaux (42% vs 51%). Même constat sur l'estimation gratuite à distance, pratiquée par 45% des petites agences contre 78% pour les plus de 10 collaborateurs (50% des indépendants contre 60% des réseaux).« Le marché de l'immobilier a été très touché avec la fermeture brutale des agences dès l'annonce du confinement, l'impossibilité d'organiser des visites ou de signer des actes courant mars » observe Jean-David Lépineux, fondateur d'Opinion System. « Pour autant, la plupart des agents immobiliers ont su réagir et s'adapter dans un contexte compliqué, notamment en adoptant des outils numériques qui correspondaient déjà à des attentes fortes chez les particuliers. Cette crise sanitaire aura été un accélérateur de cette tendance numérique que l'on observe depuis peu au sein de la profession. Les petites agences ont également besoin de suivre ce mouvement, elles sont les plus impactées aujourd'hui et auront besoin de ces outils pour se renforcer. »*Note méthodologique : enquête réalisée entre avril et mai 2020 auprès de 223 agences immobilières partenaires d'Opinion System.
Il y a 4 ans et 363 jours

Sur le chantier de Saint-Maur/Créteil, les travaux avancent et s'adaptent

INFRASTRUCTURE. Le 18 juin 2020, la Société du Grand Paris organisait une visite de la gare de Saint-Maur/Créteil, la plus profonde du futur réseau du Grand Paris Express. L'occasion de voir l'avancée des travaux et de constater les mesures sanitaires mises en place depuis la reprise du chantier. A découvrir en images.