Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Transport et infrastructure

(29808 résultats)
Il y a 5 ans et 117 jours

Le gouvernement lance la procédure d'appel d'offres pour l'autoroute Toulouse-Castres

Le gouvernement a annoncé avoir lancé la procédure de mise en concession de la liaison autoroutière entre Toulouse et Castres, destinée à désenclaver le sud du Tarn et classée parmi les projets prioritaires en matière de transport.
Il y a 5 ans et 117 jours

Visite ministérielle chez ACO pour la signature du contrat de transition écologique.

Vendredi 7 février, Sébastien Lecornu, Ministre chargé de la Cohésion des Territoires et des Relations avec les Collectivités Territoriales, accompagné d’Emmanuelle Wargon, Secrétaire d’Etat auprès de la Ministre de la Transition Ecologique et Solidaire et Eric Lombard, Directeur Général de la Caisse des Dépôts et Consignations, se sont rendus au siège de l’entreprise ACO France à Notre-Dame-de-L’Isle (27). Les ministres ont profité de cette venue en terre normande pour visiter le site de production de l’entreprise, spécialisée dans les solutions de drainage de surface et de prétraitement des eaux usées et de ruissellement. Un déplacement qui s’inscrivait dans le cadre de la signature du Contrat de Transition Ecologique (CTE) avec la communauté de Seine Normandie Agglomération (SNA). Avec 26 actions concrètes en matière de transition écologique et plus de 26 millions d’euros engagés, ce contrat signé avec la communauté de Seine Normandie Agglomération touchera plus de 85 000 habitants dans la région normande. Si ACO France a été choisie comme lieu officiel pour la signature de ce contrat, c’est en raison de sa démarche conjointement engagée avec Seine Normandie Agglomération pour le lancement de ce plan de transition écologique. En effet, en tant qu’acteur reconnu de la protection de l’environnement, ACO France est particulièrement sensibilisée aux enjeux environnementaux et le prouve chaque jour, depuis plus de 40 ans, en proposant des solutions qui oeuvrent pour une gestion plus écologique et plus durable des eaux pluviales. Une implication qui se traduit également sur le site d’ACO France où plusieurs mesures concrètes ont été mises en oeuvre en faveur de l’environnement : – la formation de 3 référents environnement chargés de mettre en place un plan d’actions favorisant plus d’économies d’énergie au niveau de l’isolation, de l’éclairage et du chauffage, – la réfection du réseau de collecte des eaux usées et pluviales, – des séances de sensibilisation du personnel au développement durable, – la participation de l’école ITII (Institut des Techniques d’Ingénieur de l’Industrie) à ce projet de transition écologique, – le renforcement du tri des déchets et la réduction de l’utilisation des gobelets plastique aux machines à café, – la présence de ruches afin de sauvegarder les abeilles et encourager la biodiversité. D’autres projets sont actuellement en phase de gestation avec notamment, pour objectif à horizon 2023, l’obtention de la certification ISO 14001.
Il y a 5 ans et 117 jours

Nouvelle ligne Provence-Côte d'Azur: feu vert à l'enquête publique pour deux phases

Le gouvernement a donné son feu vert samedi au lancement en 2021 d'une enquête d'utilité publique concernant deux phases du projet de nouvelle ligne ferroviaire entre Vintimille et Marseille, qui doit notamment permettre de désengorger la gare Saint-Charles dans la ville phocéenne.
Il y a 5 ans et 117 jours

Le gouvernement lance la réalisation de l'autoroute Toulouse-Castres

INFRASTRUCTURES. Le 21 février, le gouvernement a annoncé le lancement de la procédure de mise en concession de l'autoroute A69, entre Toulouse et Castres. Objectif de cette infrastructure comprenant 54km de tracé neuf : désenclaver le territoire et accompagner son développement économique "en le reliant plus efficacement à la métropole" toulousaine.
Il y a 5 ans et 117 jours

L'eau du lac d'Annecy va permettre de chauffer et refroidir le futur quartier des Trésums

Le groupe Idex a obtenu l'ensemble des autorisations nécessaires pour créer et exploiter le futur réseau de chaleur et de froid renouvelable, destiné à répondre aux besoins thermiques du quartier en construction des Trésums*, situé au bord du lac d'Annecy.
Il y a 5 ans et 117 jours

Plus de 21 000 embauches, succès de l’initiative « 15 000 bâtisseurs »

En juillet 2018, la FFB, le ministère du Travail et le ministère de la Cohésion des territoires se sont engagés via l’initiative « 15.000 bâtisseurs » à favoriser l’accès aux entreprises du bâtiment de 15 000 jeunes, demandeurs d’emploi et réfugiés issus prioritairement des quartiers. L’objectif initial a été largement dépassé, lees entreprises du bâtiment ont recruté, l’année dernière, 21 244 bâtisseurs : 19 836 demandeurs d’emploi et jeunes issus des Quartiers prioritaires de la ville (QPV) ainsi que 1 408 réfugiés. Pour réussir cette initiative, le ministère du Travail et le ministère de la Cohésion des territoires, en lien avec les services de l’État, les Conseils Régionaux et les Conseils Départementaux ont mobilisé les acteurs du service public de l’emploi ainsi que les réseaux associatifs. Ils ont ainsi identifiés les jeunes et demandeurs d’emplois désireux d’intégrer le secteur du bâtiment, actuellement en forte demande de main d’œuvre. La FFB a quant à elle renforcé ses actions d’information sur les métiers du bâtiment, mobilisé les dispositifs de la profession, notamment en matière de formation et d’insertion. Jacques Chanut (président de la FFB) se réjouit : « Nous sommes fiers d’avoir contribué à faciliter, dans le cadre de cette opération exemplaire, le recrutement de plus de 21.000 bâtisseurs au sein des entreprises adhérentes de la FFB. Cette opération a également permis à notre réseau territorial de fédérations de mobiliser, grâce à l’appui des Préfets, les acteurs de l’emploi autour des métiers du bâtiment, à travers la signature de conventions régionales et départementales. Pour la FFB, lorsque l’activité économique est porteuse, insérer des publics parfois éloignés de l’emploi est une opération 100% gagnante, pour les entreprises, pour l’emploi et donc le bien commun de notre pays ! »
Il y a 5 ans et 120 jours

Colas anticipe l'impact négatif des élections municipales de 2020

STRATÉGIE. Le groupe Colas a dévoilé des résultats 2019 satisfaisants et des perspectives 2020 encourageantes à l'international. En effet, en France, les élections municipales de mars prochain risquent de pénaliser l'activité du spécialiste des infrastructures. Le nouveau directeur général, Frédéric Gardès, a aussi détaillé la stratégie de l'entreprise en termes de RSE, d'innovation et de plan carbone.
Il y a 5 ans et 120 jours

Le gouvernement dévoile son plan "petites lignes"

FERROVIAIRE Attendu depuis plusieurs mois, les conclusions du rapport du préfet Philizot sur les lignes de desserte fine du territoire vient tout juste d'être publié par le gouvernement. Afin de "refonder une politique nationale de long terme", des plans d'actions seront élaborés dans chaque région.
Il y a 5 ans et 121 jours

RE2020, bois, nucléaire, solaire : les précisions d'Elisabeth Borne sur la PPE

FEUILLE DE ROUTE. Auditionnée par la commission des affaires économiques du Sénat ce 18 février 2020, Elisabeth Borne, la ministre de la Transition écologique, a précisé de nombreux points de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), de la Réglementation environnementale 2020 à la construction bois en passant par les filières nucléaire et photovoltaïque. Détails.
Il y a 5 ans et 121 jours

Ressorti des tiroirs de Collomb, le bouclage du périphérique divise à Lyon

Le bouclage du périphérique de Lyon, qui fait débat depuis plus de 30 ans, avive les antagonismes avant les élections métropolitaines entre son principal promoteur, Gérard Collomb, et les farouches détracteurs du "tout voiture".
Il y a 5 ans et 121 jours

COP 2020-2030 : Une feuille de route à 4 ans pour le Cérib

Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, lors de la signature du Contrat d’objectifs et de performance (COP) pour la période 2020-2030. [©A.Salesse] Le 18 février dernier, Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, a signé le Contrat d’objectifs et de performance (COP) pour la période 2020-2030. Un partenariat entre l’Etat, la Fédération de l’industrie du béton (Fib) et le Cérib. Ces dernières organisations étaient représentées par Bertrand Bedel, président de la Fib. Mais aussi, Philippe Gruat, président du Cérib, et Gilles Bernardeau, directeur général du Cérib.  Une feuille de route à quatre ans En effet, le COP 2020-2030 répond aux conclusions de la Mission Cattelot-Grandjean-Tolo et aux engagements exprimés par France Industrie. Dont la Fib est signataire. Ainsi qu’aux enjeux des politiques publiques pour la reconquête industrielle en France. Cinq valeurs ressortent : coopération, expertise, respect, innovation et bien-être au travail, qui animent le Cérib. Le tout complété par une politique RSE active. Ces valeurs « sont aussi un gage de pérennité et de développement pour le Centre, pour les PME et l’ensemble de l’industrie des produits en béton ». Ce Contrat donne ainsi au Cérib une feuille de route à quatre ans, vis-à-vis des bénéficiaires de ses services, de ses partenaires et de ses collaborateurs. La Mission “Organisation, missions et financements des Centres techniques industriels (CTI) et des Comités Développement économique (CPDE)”, diligentée par le Premier ministre, a remis son rapport le 25 juin 2019. Dans lequel il confirmait que« les CTI/CPDE jouent un rôle important de mutualisation et de péréquation au profit des PME industrielles». Et que « les CTI/CPDE remplissent des missions collectives utiles dans leur principe et qui ne sont pas prises en charge par ailleurs ». Le rapport a également conclu à la pertinence du modèle de financement par taxe affectée. Et proposé « en lieu et place du plafonnement, la définition dans les contrats d’objectifs et de performance d’une trajectoire des ressources de taxes affectées et d’une programmation correspondante des actions collectives». Les six grands enjeux du Cérib En accord avec la stratégie “Perspectiv’2025” portée par les politiques industrielles de la filière, le Cérib a retenu six grands enjeux.• Accroître l’impact des actions sur le tissu industriel. Ceci, auprès des PME/TPE par l’accompagnent du plus grand nombre au sein de l’industrie du béton. • Accompagner les PME/TPE vers l’industrie du futur. Et ce, grâce au déploiement de la construction numérique et du BIM. Et aux outils innovants de maîtrise de la production.• Répondre à l’intérêt des parties prenantes pour la transition écologique et énergétique. • Assurer la croissance pour la pérennité d’un service collectif par le développement des activités “ingénierie du feu et de la sécurité incendie”. Ainsi que celles “matériaux et durabilité ”.• Accélérer la transition vers l’économie circulaire dans la construction.• Accroître les coopérations et mutualisations entre les Centres techniques industriels. Ainsi, le Cérib réaffirme dans ce Contrat son engagement de « rendre les services d’intérêt général, de proximité, les plus appropriés à l’industrie du béton de façon efficiente. Ainsi que d’assurer un développement technologique, économique et harmonieux du Centre. En investissant de nouveaux domaines de rupture et d’avenir».
Il y a 5 ans et 122 jours

Les prédictions 2020 pour le secteur de la construction et de l'ingénierie

Oracle Construction and Engineering nous fait part de ses prédictions 2020 pour le secteur de la construction et de l’ingénierie. Parmi les grandes thématiques, on retrouve la transformation digitale des systèmes de gestion de paiement, l’évolution du BIM, le développement durable, l’avènement de l’IoT, IA, Machine Learning, Réalité Virtuelle/Augmentée, jumeaux digitaux, la 5G et l’adoption des tranches de réseau.
Il y a 5 ans et 122 jours

L’ingénieriste Serue enchaîne les contrats depuis Strasbourg

Le bureau d’études indépendant de 60 personnes vient de cumuler plusieurs contrats représentatifs de ses points forts dans les projets de transports collectifs et les sujets pointus en bâtiment.
Il y a 5 ans et 122 jours

Une nouvelle concession en Guinée pour ADP

Le groupe a obtenu une concession de 25 ans pour le développement de l'aéroport international de Gbessia à Conakry. Le contrat comprend également la construction et l'exploitation d'un nouveau terminal.
Il y a 5 ans et 122 jours

Recours contre l'extension de l'aéroport de Roissy

AÉROPORT. En attaquant le Scot (schéma de cohérence territoriale) de Roissy Pays de France, quinze associations entendent s'opposer à la création d'un quatrième terminal à l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle. Elles dénoncent les "effets négatifs" d'un tel projet, entre artificialisation des sols et augmentation des trafics aérien et routier.
Il y a 5 ans et 122 jours

Changement climatique : les prévisions de l’Agence Européenne pour l’Environnement

Inondations plus fréquentes sur les côtes et dans les estuaires, des côtes profondément redessinées en méditerranée, les conséquences seront sévères.
Il y a 5 ans et 122 jours

XELLA – CONSTRUCTION DU QUARTIER RÉSIDENTIEL « DOMAINE GRAND AIR » À WAMBRECHIES (59)

DES LOGEMENTS ÉVOLUTIFS EN BÉTON CELLULAIRE CONFORMES À LA RT 2012 Dans la métropole lilloise, Wambrechies (59) a lancé un vaste programme de logements avec la création d’un nouveau quartier résidentiel, le Domaine Grand Air. La livraison des premiers logements a commencé à la fin de l’année 2018 et les derniers logements seront livrés courant 2020. Afin d’être conformes aux normes RT 2012, 108 logements de ce programme ont été construits en blocs de béton cellulaire. Au coeur d’un parc paysager d’exception de 5 hectares, ce programme immobilier d’envergure de 250 logements collectifs et individuels en R+2 et R+3, avec des appartements (2 à 4 pièces), des maisons de ville (4 et 5 pièces) dotés de jardins privatifs, des lots libres, et un parc public, joue la carte de la mixité sociale. Alliant grand confort et dépenses énergétiques faibles, le programme Domaine Grand Air, conforme à la RT 2012, propose des logements évolutifs, comme le prévoit la loi du Plan Logement. Les appartements ont tous des extérieurs et les combles des maisons de ville peuvent être aménagés. Les maîtres d’ouvrage, le promoteur Nacarat et le groupe SIA Escaut Habitat, sont à l’origine du projet, mis en place en partenariat avec la ville de Wambrechies.   Le béton cellulaire, une solution performante, économique et pérenne Le choix du béton cellulaire pour les murs des façades d’une partie des logements a permis de répondre à l’objectif de performance thermique, la RT 2012 certification THPE, soit Cep -20%, pour les logements locatifs et RT 2012 pour ceux en accession. SIA Escaut Habitat a missionné le cabinet Cochet Dehaene, économiste, maître d’oeuvre et OPC, et l’agence Concept Archi, pour la conception des 108 logements : 77 logements collectifs locatifs, 6 logements individuels locatifs et 25 logements individuels en accession. Le cabinet Cochet Dehaene a prescrit le béton cellulaire M211* pour ses qualités. C’est un matériau qui permet une optimisation de la surface habitable, contribue à réduire la facture énergétique des logements et les coûts de construction. En effet, en utilisant les blocs M211* d’une hauteur de 30 cm, la pose et le collage sont plus efficaces, économiques et rapides à mettre en oeuvre. Par ailleurs, le cabinet a privilégié un industriel local pour fournir le béton cellulaire de l’usine de Saint-Saulve. L’agence Concept Archi de Guillaume Christiaens, Architecte associé, travaille régulièrement avec les promoteurs et les bailleurs sociaux car elle intègre les techniques récentes afin que ses constructions soient durables et respectueuses de l’environnement, et l’utilisation du béton cellulaire correspond pleinement à sa démarche architecturale. Guillaume Christiaens justifie son choix du béton cellulaire : « En tant qu’architecte, j’apprécie particulièrement la flexibilité et la modularité du produit, qui permet une totale liberté de conception ». Au total ce sont près de 30 000 m2 de blocs de béton cellulaire M211*, en épaisseur 20 cm et 25 cm et hauteur 30 cm, qui ont été nécessaires pour ce programme. Une maîtrise des consommations d’énergie Chaque logement bénéficie d’une orientation réfléchie et optimisée en symbiose avec son environnement. La labellisation RT 2012 garantit que les constructions bénéficient d’une parfaite maîtrise des consommations énergétiques. L’énergie des maisons du quartier résidentiel est produite par des panneaux photovoltaïques en toiture. En complément du réseau ERDF, ces panneaux fournissent l’électricité destinée à alimenter les appareils électriques (VMC, électroménager, chaudière,…). Un soin particulier a également été apporté au choix des matériaux pour tous les logements, individuels et collectifs. Pour être conformes aux normes RT 2012 et hautes performances énergétiques, les logements disposent de murs porteurs en béton cellulaire M211* avec une finition extérieure en panneaux de brique Vandersanden.   AVANTAGES DU BÉTON CELLULAIRE : • Isolation thermique optimale et pérenne. • Confort d’été élevé, car tout au long de l’année, la température est constante à l’intérieur, quelles que soient les écarts de température à l’extérieure. • L’étanchéité à l’air optimale. • Suppression des ponts thermiques. Par ailleurs, les blocs de béton cellulaire sont sûrs, puisqu’ils sont incombustibles et coupefeu, et ils favorisent une meilleure qualité de l’air car ils sont 100 % minéral.   LE PROJET Lieu : Wambrechies (59) Nombre de logements : 250 Type de bâtiment : maison individuelle et appartement Maître d’ouvrage : promoteur Nacarat et groupe SIA Escaut Habitat Architecte : Concept Archi Economiste : cabinet Cochet Dehaene Entreprise gros oeuvre : Demathieu et Bard Types de projet : Construction neuve Blocs utilisés : M211 e = 20 et 25 (Mvn 450) Date de livraison : courant 2020  
Il y a 5 ans et 122 jours

Les défis des équipements de la route

Le Syndicat des équipements routiers (SER) se trouve confronté plus ou moins aux mêmes défis que les infrastructures : entretien du parc, adaptation aux nouvelles mobilités, recrutement et formation.
Il y a 5 ans et 122 jours

La cour de l’ENSA de Dijon dévoile des sépultures médiévales

Lors du creusement d’une tranchée préalable à l’installation d’un réseau pour l’aménagement d’un accès PMR dans la cour de l’ENSA de Dijon (École Nationale Supérieure d’Arts), une vingtaine de sépultures, partiellement conservées, ont été dégagées par les archéologues de l’Inrap. Le chantier se situe non loin de la crypte de la cathédrale Saint-Bénigne et d’un ancien monastère médiéval. Les sépultures représentent les vestiges les plus notables : elles sont pratiquées selon différents modes funéraires. La plupart des inhumés sont placés dans des coffrages : ces constructions installées in situ prennent diverses formes. En bois ou en pierre, certaines sont aussi mixtes. Les parois des coffrages de pierre peuvent être constituées de petits murets ou de dalles disposées de chant. Ces bordures soutiennent des couvertures en dalles calcaires. Parmi ces sépultures, la plus ancienne paraît plus exceptionnelle dans le contexte régional : le défunt a été installé dans une tombe anthropomorphe aux parois recouvertes de mortier. Celui-ci a piégé des restes de tissus qu’il reste à étudier. Une première datation radiocarbone attribue cette tombe aux XIe-XIIe siècles ce qui correspond au plein développement du monastère après la réforme de Guillaume de Volpiano, abbé associé à l’ordre clunisien et à l’origine de la reconstruction de l’église de Saint-Bénigne au début du XIe siècle. Aménagement : OPPICContrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Bourgogne-Franche-Comté)Recherche archéologique : Inrap​Responsable scientifique : Carole Fossurier, Inrap Photo : Sépulture 27 en coffrage mixte, une construction in situ faite pierres et de bois. La sépulture a été abîmée sur son bord gauche par la construction d’un bâtiment dans les années 80 : le crâne et une partie du squelette ont été détruits. © Séverine Baudin, Inrap
Il y a 5 ans et 123 jours

Eiffage remporte le plus grand contrat PPP autoroutier d'Allemagne

TRANSPORT. Ce 17 février 2020, Eiffage Concessions et Johann Bunte Bauunternehmung ont remporté un contrat de partenariat public-privé (PPP) historique en Allemagne. D'un montant estimé à 1,5 milliard d'euros, l'élargissement de 76 kilomètres de l'A3 est le plus important projet de PPP autoroutier d'Allemagne.
Il y a 5 ans et 123 jours

Qu’est-ce qu’un monte-charge industriel performant ?

De plus en plus répandu en manutention dans l’industrie, le monte charge industriel sur mesure permet le transport vertical de marchandises sans effort. Élément-clé dans l’optimisation des flux industriels de marchandises ou de stock, il offre un gain indéniable de temps et de sécurité dans le déplacement de matériel. Il permet en effet de déplacer très rapidement des charges de toutes tailles et poids sans risque ni pour la marchandise, ni pour le manutentionnaire. Un gain de performance et de sérénité assuré, à condition de choisir un monte-charge adapté. Un monte-charge sur mesure La clé de la tranquillité et de la productivité de vos tâches de manutention, c’est que tout soit à la bonne place et posé de la bonne façon. Chaque usine ou entrepôt est différent, chacun a ses flux spécifiques de marchandises et de stock et leur mouvement doit être fluide, rapide et efficace. Choisir un monte-charge adapté et performant, c’est avant tout choisir un fournisseur qui reconnaît ces spécificités et qui est en mesure d’y apporter une solution adaptée. Il est nécessaire d’avoir un monte-charge aux dimensions adaptées à la configuration de votre entrepôt. Sa forme et son orientation doivent également en faire un monte-charge adapté au matériel à transporter, ainsi qu’au sens des flux de votre logistique. Et enfin, ce type de dispositif peut supporter une charge plus ou moins lourde selon les besoins. Il est important de pouvoir choisir un monte-charge haute capacité ou au contraire un monte-charge pour petite charge. Présents depuis de nombreuses années au service de nombreuses industries, les monte-charges sur mesure s’adaptent à tous types de besoin. Les différents types de monte-charge Le sur-mesure permet de développer le monte-charge adapté à partir de différentes possibilités. Sa fonction pourra être également définie de façon à mieux répondre aux besoins et il est utile de connaître les différentes options qui existent. Selon le poids de la charge à transporter et son type, le besoin d’accompagner ou non la charge lors de son transport ainsi que la nécessité ou non de pouvoir accéder au chargement lors de la charge, plusieurs solutions de monte-charge existent sont à prendre en compte. Monte charge accompagné ou non-accompagné. Dans certains cas, il est nécessaire que le manutentionnaire accompagne la charge. Cela peut-être pour surveiller ou effectuer une action sur celle-ci depuis l’intérieur du monte-charge, ou encore simplement pour pouvoir la suivre jusqu’à sa destination. Un monte-charge accompagné prévoit la place pour accueillir une ou plusieurs personnes à cet effet. Dans le cas contraire, on parle d’un monte-charge non accompagné où la place peut être économisée pour s’ajuster à la charge à transporter. Monte-charge accessible ou non accessible. Lorsque des opérations de chargement sont nécessaires pour mettre en place la charge, il est nécessaire de prévoir une place supplémentaire et des accès pour en permettre la manipulation. Un monte-charge accessible présente ainsi des dimensions supérieures à celle de la charge pour permettre au personnel d’accéder au chargement. Si ce n’est pas nécessaire, on parle alors d’un monte-charge non-accessible, donc les dimensions sont plus ajustées au chargement. La capacité et la charge utile du monte-charge Selon la marchandise à transporter et le besoin ou non de porter également la charge de la personne accompagnante le cas échéant, un monte-charge peut soulever de 50 kg à 30000 kg dans les versions standard. Une fourchette large qui cache de nombreuses possibilités mécaniques. Choisir la bonne charge utile requiert de prévoir le bon delta de charge potentielle sans être suréquipé afin que le moteur ne prenne pas trop de place. Le choix d’un monte-charge industriel performant revêt une importance toute particulière dans la gestion d’un flux de manutention. Définir un monte-charge sur mesure nécessite une attention à de nombreux détails technologiques ainsi qu’à une compréhension pointue du contexte d’utilisation.  
Il y a 5 ans et 123 jours

Le nombre de pistes cyclables progresse dans plusieurs villes, dont Paris

Les infrastructures à destination des cyclistes ont progressé depuis deux ans dans de nombreuses villes dont Paris, même si elles restent "insuffisantes", selon le deuxième "baromètre des villes cyclables" publié par la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB).
Il y a 5 ans et 124 jours

Groupe ADP annonce un bénéfice net de 588 millions d'euros en 2019, en baisse de 3,5%

Le Groupe ADP a annoncé un bénéfice net de 588 millions d'euros, en baisse de 3,5%, pour 2019, une année marquée par la fermeture anticipée de l'aéroport Atatürk d'Istanbul qu'il avait dans son portefeuille jusqu'à début avril.
Il y a 5 ans et 126 jours

Emploi, formation, accessibilité... le handicap en chiffres

Combien de personnes vivent avec un handicap en France? Combien sont scolarisées et combien travaillent? Où en est-on de l'aménagement des infrastructures et des bâtiments pour les rendre accessibles?
Il y a 5 ans et 126 jours

« Notre stratégie engendre stabilité et résilience », Jean-Claude Fayat, président du groupe Fayat

Jean-Claude Fayat, président du groupe Fayat, a présenté ce jour, à Bordeaux, les chiffres 2019. Il commente les résultats du groupe et ses perspectives pour 2020. Entretien.
Il y a 5 ans et 127 jours

L'Etat s'engage pour l’extension du Léman express jusqu’au Mont-Blanc

En déplacement en Haute-Savoie, le président de la République a assuré les élus locaux de l'engagement de l'Etat à leurs côtés pour l'amélioration de la desserte ferroviaire entre La Roche-sur-Foron et le Fayet. Il a promis de mettre 60 M€ sur les 160 nécessaires aux travaux.
Il y a 5 ans et 127 jours

Contrat ferroviaire de 117 M€ en Allemagne pour Eiffage

Eiffage Infra-Bau, vient de se voir attribuer en groupement par la Deutsche Bahn le dernier lot pour la rénovation de la ligne ferroviaire Oldenbourg-Wilhelmshaven en Basse-Saxe. Le contrat porte sur un tronçon de 10 kilomètres situé entre Oldenbourg et Rastede.
Il y a 5 ans et 127 jours

Bruno Parent, nouveau directeur général d’Agilis

Depuis le 1er février, Bruno Parent est devenu le nouveau directeur général d’Agilis, filiale de NGE. [©Agilis] Depuis le 1erfévrier, Bruno Parent est devenu le nouveau directeur général d’Agilis, filiale de NGE spécialisée dans les équipements de la route, les sols sportifs et l’aménagement des espaces. « Prendre la direction générale d’Agilis est un challenge passionnant, déclare l’intéressé.Notre objectif est de mener encore plus haut l’expertise d’Agilis pour servir aux mieux nos clients, tout en poursuivant le développement de nos nouveaux métiers. Nous allons aussi féminiser nos métiers et cultiver l’esprit d’équipe incomparable d’Agilis ». Et Didier Longeron, président d’Agilis, de préciser :« […] La mission de Bruno Parent sera de valoriser les offres de l’entreprise et de renforcer le décollage des activités de transformation urbaine en 2021 ». Parcours de Bruno Parent Diplômé de l’Ecole Centrale de Paris et de l’université de Paris Dauphine, Bruno Parent commence sa carrière comme directeur du secteur Est/Ile-de-France chez Guintoli, filiale historique du groupe NGE. En 2009, il intègre la direction régionale du Massif Central et dirige plusieurs chantiers importants pour les Grands Travaux. Tels l’élargissement de la RN7 entre Nevers et Moiry ou encore, le lot 43A de la LGV Est – phase 2. En 2013, Bruno Parent rejoint le projet de la ligne Sud Europe Atlantique et participe à la défense des intérêts de NGE auprès du groupement “Infrastructures”. En 2015, il est nommé directeur régional adjoint Normandie, puis directeur régional en 2016. Ces années ont été pour lui l’occasion de développer les activités liées au génie civil et au nucléaire au sein de la région.
Il y a 5 ans et 127 jours

Hauts-de-France : dans son laboratoire, Eiffage trace la route de demain

RECHERCHE & DÉVELOPPEMENT. Ce 12 février 2020, le major Eiffage ouvrait les portes de son centre de recherches sur les innovations routières situé à Ciry-Salsogne, dans l'Aisne. Si le laboratoire est historiquement spécialisé dans les infrastructures, il symbolise également la synergie croissante entre les différentes branches du groupe pour penser la route du futur et les réseaux d'énergie.
Il y a 5 ans et 128 jours

En 2020, SOPROFEN mise sur une combinaison unique de talents, de marques et de produits !

Racheté il y a un an par le groupe Bouyer Leroux, SOPROFEN a rejoint le pôle fermetures de ce numéro un français sur le marché des briques de mur et de cloison. Aujourd’hui, l’entreprise présente une équipe dirigeante renouvelée et affirme son ambition de devenir « leader durablement, rentablement et différemment » grâce à des investissements commerciaux et industriels.  La force d’un outil industriel soutenu par une équipe soudée Créé en 1984 à Mertzwiller, SOPROFEN a débuté comme fabricant de profilés PVC. Devenu concepteur gammiste de volets roulants, l’entreprise a élargi au fur et à mesure ses activités pour s’inscrire comme un acteur majeur sur le marché de la fermeture. Aujourd’hui, SOPROFEN compte 495 collaborateurs répartis sur ses 8 sites de production en France (Mertzwiller, Froideconche, Champagney, Marssac sur Tarn, Lassay, Cholet) et en Belgique (Lokeren, Charleroi), sur une surface totale de plus de 55.000 m2. Cette organisation lui garantit un maillage territorial optimal pour distribuer ses solutions innovantes de volets roulants, portes de garage, protections solaires, vitrages de balcons, ses accessoires de pose et pièces détachées. Implanté au cœur de ses marchés, SOPROFEN se distingue par sa stratégie de distribution multi-canal :  les revendeurs installateurs, fabricants et réseaux avec la marque SOPROFEN FERMETURES, les négoces avec TBS PRO racheté en 2012, qui connaît dernièrement une croissance de plus de 20%, les services assurés par SOPROFEN DISTRIBUTION. Cette personnalisation marché, avec pour chacun une marque propre et une force de vente dédiée, permet à SOPROFEN de bénéficier d’un certain équilibre si l’un des canaux est en retrait. Cette proportion se retrouve aussi dans son activité équitablement répartie entre le marché du neuf et la rénovation. Fidèle à cette qualité des produits et des services qui ont fait son succès, des valeurs partagées avec le Groupe Bouyer Leroux, SOPROFEN souhaite aujourd’hui poursuivre son développement grâce aux compétences de chacun, en commençant par celles de sa nouvelle équipe de direction. Autour d’Emmanuel Lesage, Directeur Général, SOPROFEN peut compter sur l’expertise de collaborateurs historiques (Laurent Darous – Directeur Commercial, Renaud Pflazgraf – Directeur Marketing et Olivier Hess – Directeur Recherche & Développement) qui ont été rejoints par Frank Kessler – Directeur Financier, Emmanuel Lerch – Directeur des Ressources Humaines et Jean-Michel Paucod – Directeur Général Adjoint en charge de l’industrie. Ainsi constitué, le nouveau comité de direction a défini la vision de SOPROFEN pour le futur : « devenir un leader durablement, rentablement et différemment grâce à une équipe soudée où chacun est acteur et entrepreneur du succès commun ». De nouvelles ambitions et des projets stratégiques à 5 ans Avec un chiffre d’affaires consolidé de 113 millions d’euros en 2019 et un prévisionnel de 120 millions en 2020, SOPROFEN vise les 150 millions d’euros, hors croissance externe, dans les 5 ans à venir. Pour atteindre cet objectif ambitieux, le fabricant s’appuie sur un certain nombre de projets stratégiques. D’un point de vue commercial, afin de se développer prioritairement en Belgique, aux Pays Bas et au Luxembourg, les effectifs de la force de vente seront augmentés de 25% sur les trois prochaines années, tous réseaux de distribution confondus. Ce renforcement des équipes s’accompagne : d’une digitalisation soutenue visant à simplifier la prise de commandes grâce à une part de l’EDI qui passera progressivement de 30 à plus de 60% et grâce à la plateforme numérique E-SoPro, de services et d’outils d’aide à la vente spécifiques par canal de distribution (lancement d’une cellule chantier en 2019, hotline technique, ouverture d’un 5ème centre de formation agréé…). Installé en Belgique depuis plusieurs années via son site de production de Charleroi et son magasin Allo Volet, SOPROFEN est bien implanté sur le marché wallon (30% de part de marché). Sa volonté est désormais de pénétrer le marché flamand en dupliquant ce modèle dans les Flandres et à Bruxelles pour atteindre 15 millions d’euros d’ici 3 ans, puis 20 millions. En ce qui concerne l’offre produits, outre la fabrication de plus de 300.000 volets par an parmi lesquels le bloc-baie PSE2 aux performances supérieures en terme d’isolation, d’étanchéité et de perméalibité à l’air, SOPROFEN ambitionne d’augmenter la capacité de production de ses usines d’ici 5 ans notamment en : doublant celle dédiée aux portes de garage (actuellement à 12.000 unités par an), tout en continuant à proposer des solutions toujours plus qualitatives, très faciles à poser pour l’installateur et personnalisables à l’envie (laquage, applique, hublots…) pour le particulier, à l’image de la nouvelle version de sa porte de garage latérale, développant l’unité de production de stores screen lancée récemment à Marssac sur Tarn pour accompagner le vif succès rencontré par cette solution de protection solaire (historiquement plutôt présente au Bénélux, en Suisse et en Allemagne) qui arrive en France notamment chez le particulier via le Screen Zip. En tout, ce sont une vingtaine de millions d’euros qui seront investis dans les outils de production. Autre levier de croissance, la 2ème monte des volets roulants pour lequel, avec plus de 4 millions de volets par an, le parc installé à réparer est estimé à plus de 100 millions. Grâce à son nouveau site internet www.allo-volet-service-store.fr qui compte 5.000 références produits destinées à la pose et modernisation de fenêtres et de volets roulants, SOPROFEN entend bien devenir un des acteurs leader de ce marché et passer de 1,6 à 5 millions d’euros de chiffre d’affaires avec cette seule activité d’ici les quatre prochaines années. Enfin, pour développer son chiffre d’affaires, SOPROFEN va s’appuyer sur la force unique de prescription du groupe Bouyer Leroux qui va pouvoir proposer des solutions éco-performantes comme par exemple, la brique Mono’Mur associée au store screen, et ainsi apporter aux architectes, maîtres d’ouvrage, promoteurs, cmistes… une réponse pour construire (ou rénover) un habitat sain et économe en énergie.
Il y a 5 ans et 128 jours

L'ouvrage Verdun, puits de lancement de quatre tunneliers

De taille équivalente à celui d’une gare, le chantier d’un puits de départ de tunnelier est primordial à la construction du nouveau métro. Il accueille les équipements essentiels au creusement du tunnel. À terme, les puits seront réutilisés pour aménager une gare ou un ouvrage de service.
Il y a 5 ans et 130 jours

Street art à Bonneuil-sur-Marne

Dans le cadre de son programme d'art urbain, la Fondation du Groupe Colas invite des artistes à intervenir sur les sites de production du Groupe. A Bonneuil-sur-Marne, une usine d'enrobés a servi de page blanche à l'artiste marseillais @alfe.fm.
Il y a 5 ans et 131 jours

HS2 : Boris Johnson rendra sa décision le 11 février

Le Premier ministre britannique Boris Johnson devrait rendre mardi sa décision sur le projet controversé de ligne de train à grande vitesse HS2, avec un feu vert partiel attendu malgré un coût faramineux.
Il y a 5 ans et 131 jours

Chez NGE, Bruno Parent prend la direction générale d'Agilis

Depuis le 1er février, la filiale de NGE spécialisée dans les équipements de la route, les sols sportifs et l’aménagement des espaces, Agilis, compte sur un nouveau directeur général, en la personne de Bruno Parent.
Il y a 5 ans et 131 jours

Habiter la ville de demain

A l’occasion des 10 ans du Plan Ville Durable, « Habiter la ville de demain », Julien Denormandie, ministre chargé de la Ville et du Logement a annoncé 10 nouvelles mesures pour préparer la ville et des territoires sobres, résilients et inclusifs. Accélérer les transitions en faveur de l’aménagement urbain durable 100 quartiers fertiles : renforcer l’agriculture urbaine dans les quartiers prioritaires L’Agence Nationale de la Rénovation Urbaine développera un appel à projet spécifique en faveur de l’agriculture urbaine dans les quartiers prioritaires de la ville. Il permettra d’encourager la création de 100 « quartiers fertiles », des fermes urbaines dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville. Les 30 premiers quartiers seront sélectionnés d’ici l’été, avec un financement dédié de 20 millions d’euros. Lancer une expérimentation de quartiers à énergie positive et à faible impact carbone. En 2020 et pendant deux ans l’ADEME accompagnera 22 quartiers volontaires pour développer leur projet à énergie positive et faible impact carbone. Jusqu’ici la mise en œuvre de leurs objectifs énergie et carbone était limitée à l’échelle du bâtiment (réglementation E+C-). En proposant une aide opérationnelle via la mise à disposition d’une assistance à la maîtrise d’ouvrage mutualisée et interdisciplinaire, l’ADEME a pour ambition d’animer un vivier d’expérimentations concrètes sur le moyen terme et une communauté de travail pérenne sur le sujet afin de créer un véritable dynamique d’essaimage et déploiement de la démarche. Cette expérimentation est valorisée par le ministre dans le cadre du projet l’initiative européenne Positive Energy District. Unifier les démarches de ville durable dans le label EcoQuartiers Exemplarité de l’Etat : Fixer des objectifs ambitieux aux opérations d’aménagement conduites par l’État Ces objectifs portent sur : l’économie circulaire : 20% de terres excavées réemployées, valorisation de 30 % de déchets de chantier,la sobriété énergétique et carbone : déploiement de quartiers E+C-,l’éco-conception : 50 % des opérations intégrant des matériaux biosourcés ou géosourcés,la biodiversité : 20% de la surface totale de l’opération favorable à la biodiversité. Accompagner les acteurs et dynamiques locales Rapprocher l’innovation des territoires via une plateforme d’open-innovation Cluster, accélérateurs, incubateurs, acteurs institutionnels, acteurs de la recherche, associations, clubs d’entreprises, collectivités, pôles de compétitivité, grands groupes… à l’échelle locale comme natio- nale, l’écosystème et les outils de l’innovation urbaine évoluent et il convient d’en évaluer la réalité et les impacts. Démultiplier les « ateliers des territoires » pour faire émerger les stratégies locales L’expérience des « ateliers à la carte » est très sollicitée par les collectivités : le dispositif sera donc démultiplié. 50 nouveaux territoires seront accompagnés dès 2020 par les « ateliers des territoires » mettant l’accent sur la transition écologique. Faciliter l’accès aux aides à l’ingénierie et aux aides financières Un référent spécialisé dans ces questions sera progressivement désigné dans les services déconcentrés de l’Etat (chaque Direction Départementale des Territoires et chaque Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement). Son objectif : conseiller les collectivités, accompagner les projets des territoires (instruction, accès aux aides…), mettre en œuvre les programmes nationaux. Le ministère facilitera également l’accès aux aides en déployant l’outil « Aides territoires », un site recensant toutes les aides financières et aides en ingénierie disponibles aux collectivités locales pour financer leurs projets. Conforter le modèle français de la ville Durable et le porter à l’international Fédérer les initiatives de tous les acteurs au sein de France Ville Durable pour mieux les valoriser Dès janvier 2020 sera créé France Ville Durable par la fusion du réseau Vivapolis et de l’Institut de la Ville Durable. Structurer une filière d’excellence de la ville durable la nouvelle université Gustave Eiffel formera les architectes, urbanistes et ingénieurs de demain autour d’un axe central fort : Penser la ville durable comme une ville économe en ressources, sûre et résiliente et intelligente. Elle a été officiellement lancée le 28 janvier à Marne-La-Vallée avec le regroupement de six établissements. Construire la feuille de route internationale de la France Au plan international, l’année 2020 est jalonnée d’évènements de haut niveau pour lesquels la ville durable sera une thématique majeure et sur laquelle la France souhaite porter sa voix, en particulier le forum urbain mondial (février 2020), le sommet Afrique France (juin 2020) et l’exposition universelle (à partir d’octobre 2020). L’enjeu pour la France est de faire partager le plus largement sa vision des territoires durables. Le Partenariat Français pour la Ville et les Territoires a organisé dix groupes de travail en 2019, en partenariat avec le ministère chargé de la Ville et du Logement. Visuel : Pershing (13e), Lauréat : « Mille arbres » du concours réinventer Paris
Il y a 5 ans et 133 jours

Deux majors décrochent un contrat à 68 M€ sur le Grand Paris Express

SUPERMÉTRO. Eiffage et Vinci Energies ont annoncé ce 6 février 2020 avoir remporté en groupement, 50-50, le marché de réalisation des infrastructures électriques des premiers tronçons des lignes 16 et 17 du Grand Paris Express. Le contrat, d'un montant supérieur à 68 millions d'euros, nécessite "l'organisation d'une logistique de chantier complexe en milieu urbain dense", précisent les deux groupes.
Il y a 5 ans et 134 jours

Participation exceptionnelle aux WorldSkills

L’équipe de France des WorldSkills a rapporté 27 médailles en 2019. [©WorldSkills France] Alors que Lyon accueillera les prochaines WorldSkills en 2023, pour se préparer, l’ancienne capitale des Gaules, sera avant cela le théâtre des finales nationales en octobre 2020. Compétition qui désignera l’équipe de France qui se déplacera à Shanghai, en Chine, pour les finales mondiales 2021. Pour cela, les différentes sélections régionales seront organisées au cours du 1er trimestre de cette année.  La première étape de la compétition se déroule dans chacune des régions de France et d’outre-mer. Et pour la première fois cette année, en Guyane. A quelques semaines des premières épreuves de sélection , le taux d’inscription est exceptionnellement fort. En effet, à ce jour, déjà 7 500 jeunes se sont inscrits pour participer aux compétitions. Cette année encore, la filière BTP a suscité un vif intérêt recensant le plus grand nombre d’inscrits avec 2 170 candidats. Ces derniers se répartissent en 19 catégories de métiers. Avec en tête l’aménagement urbain et le réseau de canalisations (12 %), la plomberie chauffagerie (10 %), la menuiserie (9,7 %) et les installations électriques (9,6 %). « Nous nous réjouissons de l’engouement suscité par les inscriptions cette année. Cela est le fruit d’efforts renouvelés de l’équipe WorldSkills France. Qui est allée à la rencontre des jeunes pour leur donner envie de prendre part à cette aventure extraordinaire. La jeune génération est indispensable pour faire perdurer l’excellence de nos savoir-faire à l’échelle nationale et internationale », explique Kader Si-Tayeb, délégué général de WorldSkills France. A noter qu’en 2019, la France a ramené 27 médailles de la compétition, se classant 9e nation.
Il y a 5 ans et 134 jours

THE architectes : Capitainerie

La capitainerie de Piriac-sur-Mer (44) fait peau neuve ! L’agence parisienne THE architectes restructure cet équipement portuaire installé dans une villa balnéaire fin-de-siècle et construit un nouveau volume : « un socle habité », qui se fond harmonieusement dans le paysage urbain. Une rénovation réussie qui valorise à la fois le patrimoine architectural historique et l’environnement urbain. La réhabilitation de la capitainerie de Piriac-sur-Mer consiste en la démolition des agrandissements successifs de la villa, la modernisation d’un complexe architectural daté et l’aménagement d’un nouvel équipement adapté aux besoins actuels du port de plaisance. Pour ce faire, les équipes de THE architectes choisissent de préserver les éléments architecturaux historiques – le bâtiment du XIXème siècle, le mur en pierre et les espaces publics associés – et de réaliser un volume contemporain discret, qui dialogue avec la volumétrie du bâti existant. La nouvelle capitainerie, accessible de plain-pied depuis l’extérieur, est répartie entre le nouveau volume et l’ancienne demeure. Des rampes douces et des escaliers, réalisés avec les toitures du rez-de-port, servent à l’aménagement d’une terrasse haute, positionnée au-dessus du module, qui mène à la nouvelle entrée de la capitainerie. L’accueil, grand hall en double hauteur situé au rez-de-chaussée de la villa, est désormais doté d’un escalier en contreplaqué de pin, qui crée un puit de lumière au centre de l’édifice et dessert les espaces du rez-de-chaussée et du R+1. Le premier étage, simplement aménagé, comprend un open space et un secrétariat. Sous les toits, le dernier étage, accessible par une volée d’escalier, accueille une salle de réunion pouvant également faire office de salle de repos. Les meubles, réalisés sur mesure en contreplaqué de pin, évoquent l’intérieur d’un bateau. Le module neuf et le sous-sol de la maison historique abritent dans ses entrailles des sanitaires, des vestiaires, des douches et une laverie, ainsi qu’un atelier et des espaces de stockage, tous dédiés au personnel de la capitainerie. Outre sa fonction portuaire, la capitainerie assume désormais son statut d’espace public mis au service des citoyens piriacais. A l’extérieur, la toiture du socle a en effet été conçue comme un espace public à part entière. Recouverte d’un dallage minéral blanc, elle résonne avec l’environnement urbain : dalles et pavés de sol en pierre de la région, marches et rampes en béton. Habillées de verre dépoli, toutes les façades métamorphosent le volume en « bâtiment phare » à la nuit tombée. Ce volume urbain atypique, qui se présente aussi comme un « socle habité » pour l’ancienne villa, requalifie ainsi le front de mer de la commune. Pour en savoir plus, visitez le site de THE architectes Photographies : Philippe Piron Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 134 jours

rhb architectes et Bruno Kubler : Requalification du centre-ville de Benfeld

À la fois projet urbain, architectural et paysager, la Requalification du centre-ville de Benfeld (67) par l’agence rhb architectes et le paysagiste Bruno Kubler est un travail subtil de valorisation du patrimoine, dans le but de rendre le centre plus attractif et praticable pour les habitants de la commune. L’ensemble couvre 16 600 mètres carré de terrain, et suit plusieurs étapes. La première ? La mise en place d’une nappe de dalle de granit déployée autour de l’hôtel de ville et englobant les voies alentours, trottoirs et petites places. Un motif géométrique contemporain rythmant les allers et venues des habitants. Le projet est complété par l’ajout de structures. La première, une résille délicate, dissimule les équipements techniques de la commune et contribue à créer l’identité de ce centre ville alsacien. Un passage public a également été mis en place dans l’annexe du presbytères afin de relier cet hyper-centre dynamique à un square aux remparts en bois réalisés par les architectes et rappelant la première structure. Un projet simple mais terriblement efficace ! Pour en savoir plus, visitez le site de rhb architectes Photographies : rhb architectes Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 134 jours

Ameller Dubois & Associés : Bâtiment de formation continue de l’université Paris Nanterre

Face à la croissance des reconversions professionnelles et l’évolution de l’emploi, l’université Paris Nanterre, haut-lieu de la révolution estudiantine de Mai 68, développe activement son offre de formations continue afin de favoriser les synergies entre le monde de l’emploi et les cursus proposés. En 2013, le conseil régional d'Île-de-France a donc missionné l’agence d’architecture Ameller Dubois & Associés pour construire le nouveau bâtiment de formation continue de la faculté. Après six ans de chantier, Philippe Ameller et Jacques Dubois livrent un édifice fonctionnel à l’écriture architecturale atypique. Conscients de l’évolution des manières de travailler et de construire sa carrière professionnelle, les architectes d’Ameller Dubois & Associés ont conçu leur projet en tenant compte des enjeux actuels du monde de l’emploi. Bien qu’il affiche une identité forte en contracte avec le bâti voisin, le bâtiment de formation continue de l’université Paris-Ouest à Nanterre, implanté entre deux édifices très différents, le long des voies ferrées, crée toutefois une unité architecturale certaine au sein du campus. Le bâtiment s’inscrit harmonieusement dans son contexte urbain. En face des voies ferrées, la façade sud, visible depuis le train, s’anime en effet grâce à un dispositif atypique de brise-soleils verticaux colorés disposés en décalage progressif, contrastant avec la façade nord habillé de vitrages et de panneaux métalliques sérigraphiés et les façades en cœur de parcelle réalisées à partir de lames de bois horizontales. Ameller Dubois & Associés réalise ainsi une enveloppe multifacette, qui accompagne les mutations de la faculté. Ce complexe universitaire atypique, qui se présente aussi comme une architecture cinétique attractive, abrite des services pour les étudiants : un grand hall, une médiathèque, un amphithéâtre, des espaces de repos, des salles de travail et des salles informatiques. Outre leur fonction scolaire, ces espaces, construits selon une conception écologique de l’architecture, garantissent des économies d’énergie notables. L’équipe d’Ameller Dubois & Associés réalise un équipement, économe, fonctionnel et séduisant, brillamment adapté aux enjeux économiques, environnementaux et professionnels contemporains. Pour en savoir plus, visitez le site d’Ameller Dubois & Associés Photographies : Sergio Grazia Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 134 jours

Dominique Coulon : Groupe Scolaire René Beauverie

Dans le cadre d’un nouveau programme de renouvellement urbain, la ville de Vaulx-en-Velin (69) a confié la construction du groupe scolaire René Beauverie à l’agence d’architecture Dominique Coulon & associés. Au programme ? Des infrastructures aussi utiles pour les élèves que pour les habitants du quartier : une crèche, une école maternelle, une école élémentaire, une aire de jeux, un centre de loisirs sans hébergement, une salle de danse, une salle de sport, une bibliothèque, une salle polyvalente, un restaurant scolaire et un logement pour le gardien. Depuis la rue, le groupe scolaire se fond dans l’hétérogénéité de son contexte urbain, mais une fois les portes de l’établissement franchies, les élèves et les enseignants sont plongés dans un décor bleu atypique dont les nuances varient à chaque heure du jour en suivant l’ensoleillement. Un équipement éducatif qui ose la couleur du sol au plafond contrastant ainsi avec l’habituelle austérité des établissements scolaires. Ce parti pris chromatique à vocation pédagogique semble participer à l’éveil de l’enfant en le sensibilisant, dès son plus jeune âge, à l’expressivité des couleurs. Horizontal et unitaire, le bâtiment est constitué de plusieurs modules rectangulaires. Les entrées du Groupe scolaire René Beauverie donnent sur un parvis commun, d’où se déploient les différents pôles du complexe. Le rez-de-chaussée, dédié à la crèche, l’école maternelle, la salle de sport, la salle polyvalente, l’aire de jeu et le réfectoire, s’organise autour de deux cours extérieures. En R+1 et R+2, l’école élémentaire, desservie par un grand escalier menant également à la cour du premier étage, comprend plusieurs salles de classe disposées en pont sur une longueur de quarante mètres. A l’intérieur, les murs en béton sont laissés bruts ou peints en jaune, rose ou bleu. Les salles de classe sont simplement aménagées et baignées de lumière. Les couleurs, déclinées en plusieurs nuances dans les cours, les patios ou les salles, confèrent au bâtiment une dimension ludique indéniable tout en créant l’ambiance chaleureuse et l’unité du complexe. Un équipement, haut en couleur, propice à une pédagogie décloisonnée où se mêlent loisirs, activités sportives et enseignement académique. Pour en savoir plus, visitez le site de Dominique Coulon & associés Photographies : Eugénie Pons Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 134 jours

La raffinerie de la SARA en Martinique se dote d'une pile à combustible de forte puissance, une première mondiale

Le projet européen ClearGen©, initié et mené par HDF Energy, permet de produire de l’électricité sur le réseau électrique martiniquais à partir de l’hydrogène coproduit par la raffinerie.
Il y a 5 ans et 134 jours

Boman Architectes : Logis pour archers

Niché au cœur de la coulée verte des Vallons-de-la-Bièvre (92), le logis de la compagnie de tir à l’arc « Arc de Sceaux » est un édifice d’une grande sobriété qui dialogue élégamment avec son environnement. Imaginé par le studio d’architecture Boman, le bâti est conçu dans des matériaux entièrement naturels, rendant hommage à ce poumon vert en plein milieu urbain. Pour ce projet, les équipes de l’agence Boman prennent le parti de construire un logis respectant l’environnement dans lequel il s’inscrit. Un engagement écologique qui se retrouve dans le choix de matériaux minéraux pour réaliser cet ensemble de 49 mètres carrés de surface de plancher. Le logis est construit en briques de terre cuite perforées et porteuse, matériau choisi pour son caractère biosourcé et sa participation à une économie de la matière. Ces briques ont été assemblées une à une sur 3 à 4 rangs par jour et prennent place sur une semelle périphérique, créant ainsi une façade esthétique autoporteuse. La sobriété de ces murs est soulignée par la présence de trois fenêtres rondes qui encerclent le paysage à la manière d’un tableau bucolique. Là encore, le choix de la forme n’est pas anodin et renvoie à l’univers du tir à l’arc et à la silhouette d’une cible. L’uniformité des façades est également rythmée par les cadres des menuiseries et les linteaux de portes en béton préfabriqué et lasuré de teinte rose. Ce rythme et cette géométrie se retrouvent également dans l’ajout d’un grand volet rond coulissant en bois lasuré sur rail aux proportions monumentales. Un logis surprenant au sein duquel on jouerait bien les Robin des Bois ! Pour en savoir plus, visitez le site de Boman Architectes Photographies : Antoine Séguin Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 134 jours

Foyer social à Bordeaux réhabilité par Petitdidierprioux Architectes

Boulevard Albert 1er, à Bordeaux (Gironde), l’agence Petitdidierprioux Architectes (Cédric Petitdidier, Vincent Prioux) a livré en février 2019 la réhabilitation, restructuration et extension d’un foyer de 140 chambres (3 495 m² SDP). Destiné majoritairement au personnel de la SNCF, les […] L’article Foyer social à Bordeaux réhabilité par Petitdidierprioux Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.