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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Transport et infrastructure

(29806 résultats)
Il y a 5 ans et 246 jours

Façade ventilée sur bâtiment industriel centenaire

Sur l’ancien site des usines automobiles Delage, en pleine mutation urbaine, il reste une empreinte de l’histoire industrielle : un bâtiment en charpente métallique et briques de trois étages, long de 119 m. Sa toiture shed en dents de scie est typique de l’architecture industrielle du début du XXe siècle. En 2015, la quinzaine de copropriétaires s’est adressée à l’Atelier d’Architecture Alter Ego, spécialisé dans la rénovation et l’entretien des bâtiments, pour réaliser un diagnostic de la bâtisse. S’en est suivi un projet de rénovation de l’enveloppe pour restituer l’aspect des façades en briques et métal. Pour Natacha Buffa et Vincent Cabre, les architectes en charge du projet, la solution qui s’impose est une façade ventilée afin d’assurer l’isolation thermique du bâtiment. La société Béchet a proposé la solution la plus satisfaisante : le bardage StoVentec SCM avec finition en briquettes de terre cuite. Selon l’Avis Technique du procédé, l’ossature du bardage est solidarisée à la structure porteuse, généralement en béton en maçonnerie, par des pattes-équerres. Mais, ici, la difficulté est de fixer le bardage sur la façade existante qui n’est pas en béton. Impossible de l’accrocher sur les briques qui n’ont pas une résistance suffisante. Reste la structure métallique en fer puddlé, le même matériau que celui de la tour Eiffel. Les profilés verticaux et horizontaux de l’ossature sont constitués de lames de fer assemblées en cinq ou six couches par des rivets. L’idée du président de l’entreprise, Hugues Béchet, et de ses équipes est de réaliser une structure intermédiaire fixée sur les montants verticaux en fer et qui supporte le complexe de bardage. Des poutres epsilon en acier de 9 m de longueur sont boulonnées sur des consoles en T préalablement soudées sur les montants verticaux en fer puddlé de la façade. Neuf rangs de rails sont ainsi répartis sur la hauteur de la façade. Puis des tubes carrés de 50 x 50 mm sont vissés horizontalement sur ces profilés tous les mètres pour constituer un système de poutre treillis sur toute la façade. La structure est prête pour recevoir les rails en aluminium du système de façade ventilée StoVentec SCM. Cette dérogation à l’Avis Technique est soumise au bureau d’études structure du projet, au service technique de Sto ainsi qu’au bureau de contrôle Veritas qui valident la solution proposée après avoir vérifié que cette sous-structure ne subirait pas de déformations au-delà de ce que peut accepter ce parement. Après des tests in situ, le chantier peut enfin commencer. L’isolant en laine de verre de 140 mm d’épaisseur fixé sur le mur de façade est recouvert de la structure primaire. Un réseau de rails horizontaux en aluminium supporte des plaques à revêtir en billes de verre expansé recyclé fixé directement à la sous-construction en aluminium. Un primaire (StoPrim) est appliqué sur les plaques de bardage, puis recouvert d’un enduit de marouflage (StoLevell Uni) et d’un treillis d’armature en fibre de verre. Les briquettes de terre cuite sont ensuite collées une à une à l’aide du mortier de collage StoColl KM FR avant d’être jointoyées avec un produit adapté. Pour absorber les dilatations du métal, le nombre de fractionnements des plaques de bardage est revu à la hausse. Les panneaux habituels de 6 x 10 m sur des constructions en béton sont ici réduits à 6 x 6 m. Une autre innovation du chantier concerne le recoupement feu imposé aux façades ventilées par l’instruction technique IT 249. Il est ici réalisé avec un dispositif invisible de l’extérieur en remplacement de la bavette acier débordante. En cas d’incendie, cette bande collée et fixée mécaniquement sur un bandeau de laine de roche haute densité s’expanse pour compartimenter la lame d’air. Au rez-de-chaussée côté rue, la façade ventilée est remplacée par le système d’ITE StoTherm Vario associant un isolant en polystyrène graphité avec une finition en briquettes. Quant à la façade sur cour, elle est doublée sur toute sa longueur d’une verrière qui empêche la pose au sol de tout échafaudage. Il est également impossible de fixer un échafaudage en encorbellement sur la façade peu résistante. L’entreprise Béchet a donc dû faire preuve d’ingéniosité en soudant des consoles métalliques sur les fers verticaux, ces consoles reprenant un seul pied d’échafaudage tous les 9 m, puis en renforçant l’échafaudage de diagonales pour assurer sa tenue. Les consoles, dont la fixation soudée se trouvait, après travaux, derrière l’isolant, servent de support à des plateformes définitives recevant les appareils de climatisation du bâtiment. En juin 2019, après un an de travaux, le bâtiment a retrouvé son allure d’antan.
Il y a 5 ans et 247 jours

Plomb à la gare d'Austerlitz: la SNCF veut résilier le contrat

La SNCF a l'intention de mettre fin au contrat à la PME qui a dénoncé une pollution au plomb "extrêmement préoccupante" à la gare d'Austerlitz, à Paris, et de la poursuivre en justice.
Il y a 5 ans et 247 jours

Flowell, pour rendre le monde plus lumineux

À l’occasion du festival Fimbacte, le film "Flowell" de Colas a été récompensé d’un Trophée Or dans la catégorie "Innovation et Révolution technologique". Une belle récompense pour la solution de signalisation dynamique du Groupe, à (re)découvrir en vidéo...
Il y a 5 ans et 247 jours

Le système Microflex® de Watts choisi pour rénover le réseau de chaleur du 27ème BCA de Cran-Gevrier

Basé à Cran-Gevrier dans la banlieue d’Annecy (Haute Savoie), le 27ème bataillon de chasseurs alpins (BCA) figure parmi les meilleures unités d’élite de l’armée de terre française. Sur ce site de 34.000 m2, le 27ème BCA compte de nombreuses infrastructures. Afin d’apporter le même niveau de confort thermique aux 26 bâtiments qui composent la caserne, le régiment est en train de rénover l’ensemble de son réseau de chaleur avec le système Microflex® de Watts.   Une rénovation en deux temps Spécialiste des conditions climatiques extrêmes, le 27ème bataillon de chasseurs alpins est présent à Cran-Gevrier depuis 1967. Organisé en 8 compagnies, le régiment accueille entre 1300 et 1400 personnes dans « cette mini-ville dans la ville où se trouvent les services administratifs, les dortoirs, le restaurant militaire, le centre de commandement ou encore des installations sportives ».   Construits entre les années 1970 et 2017, les 26 bâtiments de la caserne ne disposent pas tous du même niveau de confort thermique. Conçu en acier il y a environ 40 ans, le réseau de chauffage est vieillissant. Plusieurs fuites liées à la corrosion empêchent une production d’eau satisfaisante et sont sources d’importantes pertes thermiques.   En 2018, le SID – Service Infrastructure de la Défense décide de rénover l’ensemble du système de distribution de chaleur du quartier Tom Morel et d’opter pour une solution uniquement en PE dans tous les bâtiments afin de faciliter la maintenance.   Suite à un appel d’offres publiques, la société ACOFROID remporte le chantier en proposant, sur les conseils de son distributeur SOROFI, le système Microflex® de Watts. Un test est effectué sur une première ramification de 400 mètres qui alimente un bâtiment impossible à chauffer depuis 6-7 ans. L’objectif : s’assurer que le système Microflex® répond techniquement aux besoins du quartier.   Concluant, le résultat donne entière satisfaction au SID – Service Infrastructure de la Défense. L’ensemble du réseau de canalisations enterrées qui relie la chaufferie principale du 27ème BCA aux 26 bâtiments à chauffer est alors rénové avec les tubes flexibles pré-isolés du système Microflex® de Watts.   Un chantier Microflex® d’exception Comme l’explique le SID – Service Infrastructure de la Défense, « la rénovation du réseau primaire du 27ème BCA se distingue par sa structure particulière qui repose sur une seule chaudière centrale pour alimenter l’intégralité des 26 sous-stations et chauffer correctement chaque bâtiment, le tout en limitant les déperditions énergétiques ». D’une grande flexibilité pour s’adapter à toutes les configurations et grâce à la conception en multicouches de ses tubes pré-isolés qui limitent les pertes thermiques lors du transport des fluides, le système Microflex® répondait à cette problématique.   Autre avantage du Microflex®, le réseau sanitaire primaire de la caserne étant en dessous de 6 bars, « l’Attestation de Conformité Sanitaire du système rendait possible à la fois la rénovation du réseau de chauffage et celle du réseau primaire d’eau chaude avec le même tube », précise Fabien Garcia de la société ACOFROID.   « Après avoir identifié les débits à véhiculer, les tronçons concernés et quelles étaient les conditions optimales pour disposer de la puissance nécessaire à l’alimentation des sous-stations », les solutions retenues sont : • au départ de la chaufferie, le tube simple Microflex® Uno en diamètre 125 dans lequel circule 900 kW. Au fur et à mesure, la section du tuyau est réduite pour passer en diamètre 110, 90 et 75. • le double tube Microflex® Duo du diamètre 63 à 25, notamment pour l’installation dans les caniveaux existants où diminuer les diamètres étaient parfois nécessaires afin de limiter l’encombrement extérieur. Avec barrière anti-oxygène, les deux sont adaptés à des fluides ayant une température comprise entre -10°C et +95°C et des pressions jusqu’à 6 bars.   Au niveau du dimensionnement, « la priorité était de toujours prendre le diamètre extérieur le plus important afin d’obtenir la meilleure classe d’isolation et d’avoir un minimum de déperditions thermiques dans les caniveaux. Grâce à ses deux diamètres extérieurs disponibles (200 ou 160), ce qui signifie plus ou moins d’isolation, le système Microflex® de Watts nous permet d’atteindre notre but : réaliser un réseau en classe 3 d’isolation », indique Fabien Garcia de la société ACOFROID.   Une mise en œuvre simple et rapide Habituée à poser le système Microflex®, l’entreprise ACOFROID apprécie sa rapidité et sa simplicité de mise en oeuvre. Comme l’explique Fabien Garcia, « tout est déjà intégré dans le tuyau : le tube, l’isolation et la gaine extérieure de protection. Contrairement à d’autres produits comme l’acier qui est plus lourd et pour lequel il faut souder les tronçons dans les caniveaux, avec le Microflex® nous faisons la manipulation une fois et c’est réglé, le tout avec un minimum de raccordement ».   La rénovation du réseau de chaleur du 27ème BCA nécessite 40 couronnes de Microflex® livrées enroulées d’un seul tenant. Chacune pèse entre 200 et 300 kg pour une longueur maximum de 100 mètres. Pour gagner encore plus de temps et faciliter le travail des 3 personnes mobilisées sur le chantier, ACOFROID a fait preuve d’une grande ingéniosité. Grâce à un astucieux système composé d’un ratelier de suspension, soudé à un godet de pelle mécanique, et d’un treuil électrique, « 2 ouvriers suffisent pour tirer même les plus grosses couronnes en 30 minutes seulement, contre 4 personnes et plusieurs heures nécessaires habituellement », annonce fièrement Fabien Garcia.   Conception, livraison, réalisation : un accompagnement de tous les instants Afin de « traduire le réseau acier existant en réseau Microflex®, le dimensionner correctement et l’optimiser d’un point de vue calorifique, fourniture et pose », l’installateur a pu compter sur le soutien technique et logistique de Watts et de SOROFI, son partenaire distributeur depuis plus de 10 ans.   Dès la conception du réseau, « le spécialiste technique de Watts a calculé les pertes de charge, les pertes calorifiques mais a aussi défini tous les produits et accessoires nécessaires ». Le travail réalisé sur plan a ensuite été vérifié sur le terrain « afin de s’assurer de la parfaite compatibilité de tous les éléments du réseau (tubes Microflex®, vannes d’isolement, brides inox pour les gros diamètres, raccords laiton et dérivations) et valider la faisabilité technique et financière du projet », expliquent conjointement Fabien Garcia d’ACOFROID et Pascal Rebatel de SOROFI.   Tout au long de la phase d’exécution, l’installateur bénéficie également de l’accompagnement de Watts et de son distributeur pour assurer le bon déroulement de ce chantier d’envergure : • chaque couronne de Microflex® est préalablement identifiée par Watts à l’usine. Une fois livrée, ACOFROID sait ainsi exactement où elle doit être posée, • le planning des livraisons, piloté par SOROFI, assure un approvisionnement en fonction de l’avancement sans aucune rupture de stock.   Parfaitement rodée, cette organisation est appréciée par Fabien Garcia d’ACOFROID qui conclut : « tant au niveau logistique qu’au niveau technique, tout s’est très bien passé. Pour preuve, les délais ont été respectés et les mises en eaux effectuées sur la 1ère tranche de travaux réalisée en avril 2019 ont été une réussite ».   Avec près de 3 km de tubes pré-isolés Microflex® installés à l’issue de la 2ème tranche qui devrait s’achever à l’automne 2019, la rénovation du réseau de chaleur du 27ème BCA constitue l’un des plus grands chantiers jamais réalisés tant pour Watts que pour l’installateur et le distributeur ! http://www.wattswater.fr
Il y a 5 ans et 247 jours

Cem’In’Eu récompensé d’un Award par l’International Cement Review 2019

La conception d’unité de broyage de Cem’In’Eu a été récompensée par l’International Cement Review. [©Cem’In’Eu] Cem’In’Eu a été récompensée aux Awards de l’International Cement Review 2019. Et ce, dans la catégorie “Station de broyage de l’année”. Ces prix récompensent, chaque année, les réalisations remarquables de personnes, d’équipes et d’organisations. Ainsi que leurs performances exceptionnelles dans diverses activités du secteur du ciment. Cem’In’Eu est ainsi distinguée pour la conception d’une station de broyage, notamment par rapport à l’efficacité énergétique, à l’utilisation de combustibles de substitution, aux taux de substitution du clinker, à la santé et à la sécurité. L’usine primée est celle d’Aliénor Ciments, située à Tonneins, entre Bordeaux et Toulouse.  « Etre récompensé pour notre première usine et nos ciments normalisés est un honneur et une grande reconnaissance, explique Vincent Lefebvre, Pdgde Cem’In’Eu. Nos pairs saluent ainsi l’originalité de notre démarche et notre capacité à proposer un modèle économique totalement repensé, afin de réduire au maximum l’impact de notre activité.» Pour la start-up française, cette récompense devrait accélérer son développement, elle, qui s’appuie sur des propositions de « petites unités de production compactes et standardisées. Implantées au plus proche des bassins économiques régionaux, avec un rayon d’actions d’environ 200 km ». Cem’In’Eu projette l’ouverture de quatre autres usines en France, chacune embranchée au réseau ferré ou accessible par voie d’eau. 
Il y a 5 ans et 248 jours

Mobilités : quel modèle économique pour les transports ?

INFRASTRUCTURES. Organisées ce 15 octobre 2019 à Paris, les Rencontres Transports & Mobilités sont revenues sur les enjeux des infrastructures et des modes de déplacement, ainsi que sur les leviers que les acteurs publics et privés peuvent actionner pour faciliter la transition écologique. Mais comme souvent, ces derniers se reposent sur l'Etat pour impulser le mouvement, tout en attendant des innovations technologiques majeures.
Il y a 5 ans et 248 jours

La Réunion : le chantier de la nouvelle route du littoral à l'arrêt

Débuté en 2014, le chantier devait se terminer en 2022. Mais la livraison de la nouvelle route, longue de 12,5 km, est désormais projetée vers 2025, dans le meilleur des cas.
Il y a 5 ans et 248 jours

Abbeville, ville sans feu rouge : un modèle plébiscité mais pas forcément duplicable

La ville d'Abbeville dans la Somme, vient de supprimer le dernier feu tricolore de son territoire, au profit d'un giratoire, une politique applaudie par piétons et automobilistes, mais pas forcément duplicable ailleurs quand s'étoffe le réseau de transports en commun.
Il y a 5 ans et 248 jours

Portée par son dynamisme, l’Anah est prête pour la réforme du CITE

L’Anah connaît un fort dynamisme de l’ensemble de ses programmes et présente des résultats positifs au plan national et dans tous les territoires avec près de 95 000 logements subventionnés…Cet article Portée par son dynamisme, l’Anah est prête pour la réforme du CITE est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 249 jours

La France n'a pas "frôlé le black-out" début octobre 2019, selon RTE

ÉNERGIE. Suite à des affirmations parues dans la presse selon lesquelles la France aurait frôlé la coupure généralisée le 7 octobre 2019, RTE a répondu : au-delà des explications de fonctionnement, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité a indiqué les différents leviers dont il dispose pour réguler la puissance à l'échelle nationale.
Il y a 5 ans et 249 jours

Suez remporte un contrat de 98,3 M€ en Inde

Ce contrat de gestion de l’ensemble du réseau d’assainissement et des usines de traitement des eaux usées de Lucknow, la capitale du plus grand État de l’Inde (Uttar Pradesh) et de ses 2,8 millions d’habitants a été signé pour 10 ans et comprend l’exploitation et l’entretien de 1 600 kilomètres de réseaux d’assainissement, de trois usines de traitement des eaux usées et de huit stations de pompage.
Il y a 5 ans et 249 jours

L'Etat et les collectivités vont financer le canal Seine-Nord

L'Etat et les collectivités vont verser 2,2 milliards d'euros pour financer le projet du canal Seine-Nord, une liaison à grand gabarit devant relier la Seine au réseau fluvial de l'Europe du Nord.
Il y a 5 ans et 249 jours

[Guide] La construction en paille, la performance au naturel

La crise du pétrole, le dérèglement climatique, les habitudes de construction qui épuisent les ressources incitent à revoir les matériaux du bâti. Construire une maison en paille est une solution viable et écologique, qui respecte toutes les normes de sécurité à bas coût. Précisément, le Réseau français de la construction paille (RFCP) répond aux  nombreuses […]
Il y a 5 ans et 252 jours

Bouygues Travaux Publics et MND s’associent pour développer le système de transport urbain Cabline 2.0

Un nombre croissant de villes à travers le monde font aujourd’hui face à des enjeux de mobilité majeurs. Le développement d’une solution de mobilité durable grâce au transport urbain par câble est au cœur de l’accord de coopération qu’ont signé Bouygues Travaux Publics et le groupe MND.
Il y a 5 ans et 252 jours

« En confirmant sa participation au Canal Seine Nord, la France a répondu « oui » à l’Europe »

C’est confirmé, l’Etat français apportera une participation financière de 1,1 md d’euros au projet du Canal Seine Nord. L’annonce a été faite le 4 octobre 2019 par le gouvernement et la région des Hauts-de-France. Jérôme Dezobry, président du Directoire de la société du Canal Seine Nord Europe, fait le point avec le Moniteur sur les implications de cette décision pour la poursuite de ce chantier colossal, qui vise à construire un nouveau canal entre Compiègne et Aubencheul-au-bac (Hauts-de-France) à l’horizon 2028.
Il y a 5 ans et 252 jours

Sage renforce sa stratégie Bâtiment et fait évoluer sa solution Sage Batigest

Sage fait le point avec son réseau de partenaires pour présenter son plan stratégique de développement sur le marché du bâtiment. A l’appui, des investissements de long terme et une évolution de son offre technologique Batigest qui répond aux enjeux de mise en conformité, de connexion à Chorus Pro et plus largement de modernisation des processus, notamment avec l’administration : dématérialisation, facturation/ventes, usages du numérique etc.
Il y a 5 ans et 252 jours

GRDF met l'accent sur le biométhane

ÉNERGIE. Gestionnaire du réseau de distribution de gaz en France, GRDF a décidé de se mettre au vert. Symbole de cette transition, le biométhane, gaz 100 % renouvelable, dont la croissance ne cesse de s'accélérer. Focus.
Il y a 5 ans et 252 jours

Jean-Baptiste Djebbari, secrétaire d'Etat chargé des Transports

Ancien pilote de ligne, Jean-Baptiste Djebbari est le rapporteur de la réforme ferroviaire de 2018. Il est nommé secrétaire d'Etat chargé des Transports en septembre 2019.
Il y a 5 ans et 253 jours

L’Anah présente de bons résultats et confirme qu'elle sera prête pour piloter la réforme du CITE en 2020

A l’occasion de son 3ème Conseil d’administration de l’année, l’Agence nationale de l’habitat (Anah) a fait part des très bons résultats de l’ensemble de ses programmes. L’agence a par ailleurs confirmé disposer des moyens financiers, humains et opérationnels nécessaires pour que la réforme du CITE qu’elle conduit soit mise en œuvre en 2020, conformément à la feuille de route que lui a fixé le gouvernement.
Il y a 5 ans et 253 jours

Au Japon, Vinci Airports équipe ses manutentionnaires avec des exosquelettes

Le groupe français a donné aux manutentionnaires de fret de l'aéroport international de Kansai, au Japon, des exosquelettes motorisés pour soulager leur dos lors du levage de charges lourdes.
Il y a 5 ans et 253 jours

Plomb à la gare d'Austerlitz : une "situation extraordinairement grave"

La PME chargée du traitement du plomb de la gare d'Austerlitz a répliqué aux accusations de la SNCF, rejetant toute responsabilité dans la "situation sanitaire extraordinairement grave".
Il y a 5 ans et 253 jours

Vinci Energies acquiert le groupe allemand OFM

Le groupe Vinci a annoncé lundi l'acquisition par sa branche énergies du groupe allemand OFM, qui opère dans les infrastructures de télécommunication, une opération lui permettant notamment de se renforcer dans les réseaux à fibre optique.
Il y a 5 ans et 253 jours

Plus on habite dans une petite commune, plus on est satisfait de la qualité de son logement

L’Association QUALITEL vient de publier la troisième édition de son Baromètre annuel consacré à la Qualité du logement, en partenariat avec Ipsos. L’étude, d’une ampleur inédite, avec 80 questions et 4 850 personnes interrogées, explore les perceptions des Français sur le logement, selon le type de territoire habité : communes rurales, villes moyennes, métropoles et agglomération parisienne. Le Baromètre QUALITEL 2019 confirme bien le déficit d’infrastructures ou d’accès aux services perçu par les Français résidant dans les communes moyennes ou rurales. En revanche, l’étude met aussi en lumière une autre réalité, peu connue ou pour le moins peu commentée : en matière de qualité du logement, la fracture territoriale doit se lire « à l’envers » : plus on habite dans une petite commune, plus on est satisfait de la qualité de son logement. Le Qualiscore, indice synthétique de 17 critères de satisfaction autour de la qualité du logement, décroît à mesure que la taille de la commune grandit. Le Qualiscore s’élève ainsi à 7 dans les communes rurales, 6,9 dans les villes moyennes, 6,7 dans les métropoles de plus de cent mille habitants et 6,4 dans l’agglomération parisienne. Ces chiffres résultent de la conjugaison de plusieurs facteurs, parmi lesquels : – La surface du logement : dans les communes rurales, la surface jugée idéale pour un logement est de 134 m2, soit quasiment identique à la surface réelle, 135 m2. Dans une ville moyenne, elle est de 114 m2, là encore assez proche de la superficie réelle, 107 m2. A contrario, les habitants des grandes villes sont frustrés de vivre dans un espace moins important que celui rêvé : 94 m2 réels contre 109 m2 souhaités dans les métropoles, et 82 m2 réels contre 105 m2 en agglomération parisienne. – Les nuisances acoustiques, liées à la densité urbaine : les habitants de l’agglomération parisienne sont par exemple trois fois plus susceptibles d’être dérangés par des bruits venant des logements voisins ou de la rue : 33 % sont « gênés, de jour comme de nuit », par des bruits venant du voisinage contre 11 % des habitants des communes rurales. – La qualité intrinsèque du logement : les logements des communes rurales et moyennes devancent systématiquement ceux des grandes villes (jusqu’à 25 points d’écart observés) sur les 5 critères qui contribuent le plus à la perception globale de la qualité : confort thermique, installations sanitaires, qualité des matériaux, isolation acoustique, aération.
Il y a 5 ans et 254 jours

Joseph Ford x Nina Dodd : Invisible Jumpers

En voilà une collaboration étonnante ! Nina Dodd tricote quand Joseph Ford photographie. Leur série « Invisible Jumpers » conjugue leurs deux talents et capture des scènes insolites où les vêtements imaginés par la créatrice se fondent avec le paysage. Leur collaboration commence en 2014 à travers la série « Knitted Camouflage » qui se muera petit à petit en « Invisible Jumpers ». Le concept est simple : un modèle pose devant un paysage choisit au préalable vêtu d'un habit confectionné par Nina Dodd reprenant le motif du cadre. Tout y passe : murs de briques, carreaux de métro, sièges de transport et même œuvre street-art de l'artiste urbain Mr. Chat, spécialement réalisé pour le photographe. Un travail non sans rappeler celui de Liu Bolin qui, plutôt que de mettre le modèle en valeur, tente au contraire de le camoufler le plus possible. Si les plus septiques crieront au Photoshop, les deux amis nous l'assurent : aucune post-production n'est nécessaire, seul le point de vue de Joseph Ford et les talents de styliste de Nina Dodd sont à l'origine de cette série poétique et ludique.Côté visuel, le photographe mise sur une esthétique très colorée, un brin kitsch, et n'hésite pas à mettre en scène des mannequins certes, mais également des animaux ou même des fruits, dans des compositions pop. Ce projet atteint aujourd'hui un nouveau point puisqu'il fait désormais l'objet d'une publication rassemblant les meilleurs trompe-l'œil réalisés par le duo. Une photographie d'illusion qui met en valeur l'architecture avec humour ! Pour en savoir plus, visite le site de Joseph Ford Photographies : Joseph Ford
Il y a 5 ans et 254 jours

Charente : les enrobés recyclés partent à l'assaut des routes

Sur l'autoroute A10, au nord de Bordeaux, le TRX 100 %, usine mobile de recyclage d'agrégats d'enrobés d'Eurovia s'est installé à proximité du chantier de mise à 2x2 voies de la RN 141 pour rénover et créer des portions de route avec des enrobés bitumineux contenant 70 % d'agrégats recyclés.
Il y a 5 ans et 254 jours

Sites patrimoniaux remarquables : un dispositif qui ne fonctionne pas

Un rapport d’information sur la mise en oeuvre de la loi du 7 juillet 2016 dite LCAP de la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale pointe le manque de lisibilité du dispositif des sites patrimoniaux remarquables (SPR). L’article 75 de la loi a instauré le régime juridique unique des SPR. Les 844 SPR recensés à la fin de l’année 2017 se sont substitués aux secteurs sauvegardés, aux zones de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager (ZPPAUP) et aux aires de mise en valeur de l’architecture et du patrimoine (AVAP). Mais cet outil juridique a encore rarement été créé ex nihil. La ville d’Angers a été la première à entamer les études préalables après la publication de la loi et seuls une quarantaine de SPR seraient aujourd’hui à l’étude, en révision ou en création, et une vingtaine de PVAP ou de PSMV seulement. Outre la relative nouveauté du dispositif, le manque de lisibilité de sa procédure comme l’absence de critères clairs de classement au niveau national peuvent expliquer qu’il y soit, jusqu’alors, peu fait recours. La procédure de classement en SPR ne répondrait pas de manière satisfaisante aux exigences d’efficacité notamment en termes de délai, de clarté et de compréhension, aussi bien pour les ABF que pour les élus. Par exemple, en l’absence d’un porter-à-connaissance formel aux autorités de l’État, les délibérations de certaines communes resteraient lettre morte et ne seraient pas transmises à la CNPA. L’absence de délais contraignants encadrant la procédure ferait également obstacle à ce que les élus locaux se saisissent pleinement du dispositif, peu compatible avec leur propre calendrier et leur projet de territoire. L’absence de critères clairs de classement en SPR limiterait l’utilisation du dispositif par les collectivités. Au total, seuls six dossiers auraient été instruits à ce jour par la CNPA. La faiblesse des moyens des ABF constitue assurément une difficulté supplémentaire. Ces derniers ne sont pas en mesure d’être présents sur le terrain pour accomplir l’ensemble de leurs missions – situation qui nécessite un renforcement rapide de leurs effectifs –, ni de faire le poids face à certains élus puissants.
Il y a 5 ans et 255 jours

Avec Terre d’estuaire, Bruno Mader prend la marée

A Cordemais (Loire-Atlantique), l’architecte Bruno Mader a livré en janvier 2019 le Centre de Découverte Terre d’Estuaire. Pour un montant des travaux de 7 M€ HT, dont scénographie 1.8 M€ HT (surface 2300 m² / 1800 m² SU), entre Loire, […] L’article Avec Terre d’estuaire, Bruno Mader prend la marée est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 255 jours

L’État et les collectivités vont verser 2,2 milliards d'euros pour financer le canal Seine-Nord

L’État et les collectivités vont verser 2,2 milliards d'euros pour financer le projet du canal Seine-Nord, une liaison à grand gabarit devant relier la Seine au réseau fluvial de l'Europe du Nord, ont annoncé vendredi le ministre des Comptes publics et le secrétaire d’État aux Transports.
Il y a 5 ans et 255 jours

Deux études analysent les dépenses de l’Etat favorables et défavorables au climat

L’Institut de l’économie pour le climat (I4CE – Institute for climate economics) a publie deux études, avec le soutien de l’ADEME. L’édition 2019 du Panorama des financements climat analyse les investissements bas carbone révèle que les investissements en faveur du climat ont dépassé 45 milliards d’euros en 2018. Ces investissements ont été réalisés par les ménages, les pouvoirs publics et les entreprises, dans des secteurs tels que le bâtiment, les énergies renouvelables ou la mobilité durable. La transition énergétique concentre désormais un douzième des investissements du pays. Pour Maxime Ledez, chargé de recherche chez I4CE : « D’ici la fin du quinquennat il faudra investir entre 15 et 18 milliards d’euros supplémentaires chaque année pour engager le pays sur la trajectoire de la neutralité carbone. Et il ne suffira pas de mettre à disposition de nouvelles sources de financement : pour déclencher ces investissements, leur rentabilité et la réglementation sont déterminantes ». Les investissements vont surtout devoir augmenter dans la rénovation des logements, les véhicules bas-carbone, les énergies renouvelables, les transports en commun et les aménagements cyclables. Dans le réseau ferroviaire et la construction de logements performants, l’enjeu sera de maintenir les niveaux d’investissements actuels. I4CE publie également pour la première fois son évaluation climat du budget. « Nous avons identifié plus de 250 mesures dans le budget de l’Etat qui influencent, à la hausse ou à la baisse, les émissions de la France. 250 bonnes raisons de s’intéresser au budget » selon Quentin Perrier, chef de projet chez I4CE. Par ailleurs, la France va devoir progressivement réduire ses dépenses défavorables au climat et en particulier ses dépenses dites fiscales. I4CE a identifié 16 milliards d’euros de niches fiscales sur la taxation des énergies fossiles, qui bénéficient à l’aérien, aux poids lourds, au BTP ou encore aux agriculteurs. Pour Marion Fetet, chargée de recherche chez I4CE, « ces niches nourrissent un sentiment d’injustice et entretiennent la dépendance aux énergies fossiles. Le gouvernement devrait fixer un cap clair : leur réforme complète d’ici quelques années. Certains secteurs sont vulnérables économiquement, et l’idée n’est pas d’arrêter d’aider ceux-là mais de les aider autrement ». https://www.i4ce.org/wp-core/wp-content/uploads/2019/09/I4CE-Etude-EvalClimat360°BudgetEtat.pdf  
Il y a 5 ans et 255 jours

L’énergie d’un parking permet de chauffer un bâtiment l’hiver

Le Département de l’Hérault a réalisé un nouveau bâtiment à énergie positive exemplaire et innovant, qui multiplie les dispositifs techniques d’économie et de production d’énergie. Accueillant les services des routes et des forestiers sapeurs, cette construction associe panneaux photovoltaïques, sondes géothermiques et bénéficie pour l’enrobé de son parking du système de « route à énergie positive » Power Road d’Eurovia, utilisé pour la première fois en France dans un bâtiment tertiaire. En été, une chaussée peut atteindre 60°C en surface et 40°C sur ses 10 premiers centimètres : l’essence même du procédé expérimenté à Olonzac consiste donc à récupérer cette énergie générée par le rayonnement solaire sur des enrobés, au plus près des besoins, pour contribuer au chauffage des nouveaux bâtiments. La couche supérieure de la chaussée dans la cour des bâtiments devient alors un échangeur thermique constitué de tubes dans lequel circule un fluide caloporteur. Dans la logique de « circuit court d’énergie », l’énergie solaire thermique captée par les enrobés est emmagasinée sous forme de calories dans le sous-sol par le biais de sondes géothermiques profondes. Dès que le soleil brille, via un système de pompe à chaleur, cette énergie issue du rayonnement solaire sur les enrobés est soit réutilisée directement vers le bâtiment, soit emmagasinée sous forme de calories dans le sous-sol par le biais de puits géothermiques profonds. L’hiver, elle est ensuite récupérée et distribuée pour les besoins de chauffage ou de production d’eau chaude. Ce système utilisant Power Road permet de booster la production de chauffage et d’améliorer le rafraichissement du bâtiment technique. Ce procédé innovant va faire l’objet d’une évaluation pendant 2 ans, à travers une convention tripartite de suivi passée entre Eurovia, le CEREMA (Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) et le Conseil départemental de l’Hérault.
Il y a 5 ans et 256 jours

Les investissements en immobilier de bureaux vers un record alors que le repli des locations continue

L'attrait pour l'investissement immobilier en Ile-de-France, en route vers un possible record en 2019, reste fort au 3e trimestre, alors qu'une offre de bureaux désormais très limitée dans Paris pourrait affaiblir l'activité annuelle du secteur locatif, révèle lundi l'étude trimestrielle de référence.
Il y a 5 ans et 256 jours

SEINE DESIGN : Fluctuart

Premier lieu d'exposition flottant, le Fluctuart est conçu par SEINE DESIGN, agence d'architecture fluviale notamment à l'origine du Rosa Bonheur sur Seine ou du bateau-restaurant d'Alain Ducasse. Inscrit dans le programme « Réinventer la Seine » lancé par la Mairie de Paris, le projet propose une programmation d'expositions de street-artistes internationaux dans un cadre inédit. Du street-art sur près de 1000 mètres carrés... flottant sur la Seine ! C'est en effet ce que propose l'agence d'architecture fluviale SEINE DESIGN chargé de la conception du nouveau lieu culturel parisien Fluctuart. Un clin d'œil à la devise de Paris accentué par le positionnement atypique de l'espace d'exposition. « Riche de son patrimoine architectural, artistique et culturel, la capitale se transforme et évolue avec son temps à travers des projets innovants. » Jean Louis Missika, adjoint au maire de Paris chargé de l'urbanisme, de l'architecture et des projets du Grand Paris Face au Grand Palais et au pied du Pont des Invalides, cette galerie d'un nouveau genre se déploie sur trois niveaux, les deux premiers accueillant une collection permanente, des expositions temporaires et une galerie tremplin ouverte aux jeunes créateurs. Sur le pont supérieur, un espace de restauration avec terrasse est mis à la disposition des passionnés d'art urbain. Pour cette réalisation, les architectes ont joué la carte de l'univers portuaire, recréant ainsi un dock en acier brut portant des boîtes vitrées sur un rythme régulier. Cette trame est à l'origine de la totalité de l'agencement intérieur, allant de la valorisation des matériaux industriels et de l'éclairage aux cadres des œuvres. Grâce à l'omniprésence des ouvertures, les visiteurs peuvent profiter de vues d'exception sur les quais d'une part et sur le fleuve de l'autre. Côté programmation, place à l'Urban Films Festival jusqu'au 27 octobre, le temps que la nouvelle exposition du lieu, « Veni, Vidi, Vinci, L'art urbain face au génie » ne vienne enchanter les parois de Fluctuart. L'ensemble s'accompagne d'événements ponctuels, comme l'intervention mensuelle d'un artiste sur le container situé face à la péniche, investit par l'artiste française Madame jusqu'à la fin du mois. Larguez les amarres, direction le Fluctuart ! Pour en savoir plus, visite le site de SEINE DESIGN Photographies : Sergio Grazia
Il y a 5 ans et 256 jours

Battre les records de vitesse en stabilisateur

Découvrez l’un des meilleurs souvenirs d’Olivier, conducteur d’engins au sein de la filiale Colas Rail, qui a participé à la préparation de la voie pour le record de vitesse du TGV !
Il y a 5 ans et 256 jours

Sites Seveso : Halte aux assouplissements !

Plus d’une semaine après l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen, nombre de questions persistent. Si les causes de l’accident restent à déterminer, France Nature Environnement interpelle le Premier Ministre sur les risques d’accidents similaires en raison de la régression des exigences environnementales et de la baisse des moyens de contrôle observés ces dernières années. La réglementation qui encadre les sites « Seveso » fait depuis plusieurs années l’objet d’assouplissements conduisant à réduire le seuil des exigences relatives à la sécurité et à la protection de l’environnement. Pour Lubrizol, le préfet de Seine Maritime aurait ainsi autorisé l’augmentation de la capacité de stockage de substances toxiques, sans que l’exploitant n’ait besoin de fournir de nouvelle évaluation environnementale ni d’étude de dangers. Ces assouplissements, conjugués à la baisse du nombre d’inspecteurs chargés du contrôle des sites industriels (plus de 500 000 sites industriels dont environ 1300 sites Seveso, et des inspections qui ont diminué de 40% en 12 ans), conduisent à accroître les risques d’accidents. Et au vu de la baisse de moyens prévue pour le Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire dans le budget 2020, la tendance semble loin de s’inverser. « Il est urgent de mettre un coup d’arrêt à la course à la simplification du droit de l’environnement et à la suppression de postes. Les règles environnementales accusées à tort de freiner l’activité économique permettent en réalité de protéger la santé des travailleurs, des populations voisines des sites industriels et de limiter les risques de pollution de l’environnement. Elles permettent également de protéger les industriels ! » estime Ginette Vastel, pilote du réseau Risques et Impacts Industriels de France Nature Environnement. La fédération demande la création d’une mission d’inspection générale, interministérielle, afin de faire la lumière sur la cause de l’accident et identifier les différents échelons de responsabilités. Ainsi que la mise en place d’un groupe d’expertise pluridisciplinaire et incluant les acteurs concernés dont les associations de protection de l’environnement, pour déterminer les suites à donner à court et long terme sur les problèmes environnementaux et de santé publique générés par cet accident.
Il y a 5 ans et 259 jours

Canal Seine-Nord : un accord sur le financement a été trouvé

INFRASTRUCTURES. C'est officiel : un accord financier vient d'être trouvé entre les collectivités des Hauts-de-France et le Gouvernement pour le canal Seine-Nord Europe.
Il y a 5 ans et 259 jours

Les nouveaux défis des transports publics

Débat sur la gratuité, ressources limitées, transition énergétique, dessertes des zones peu denses… les 27e Rencontres nationales du transport public, qui se sont tenues à Nantes du 1er au 3 octobre ont permis de dresser un état des lieux des nombreux défis qui attendent les professionnels des transports publics.
Il y a 5 ans et 259 jours

“Nuit Blanche” : Eqiom, partenaire de Pierre Larauza

Retrouvez au parc de la Villette, la sculpture-documentaire de Pierre Larauza. Avec la participation d’Eqiom.[©Eqiom] Ce samedi 5 octobre, le programme de la “Nuit blanche” s’étalera de 19 h 00 à 7 h 00 du matin à Paris et en banlieue. Une nuit pour découvrir des musées, des expositions, des installations éphémères… Côté béton, nous avons retenu la sculpture-documentaire intitulée “30 août 1991, Tokyo” du plasticien Pierre Larauza. Elle sera visible en plein cœur du parc de la Villette (XIXe arrondissement). Pour faire court, cette installation propose une reconstitution historique grandeur nature du saut en longueur de l’athlète Mike Powell, à Tokyo, en 1991. Tout en invitant le public à s’y mesurer, en sautant dans un vrai bac à sable… Un projet ludique au croisement de l’art, du sport et du documentaire. Parmi les partenaires de Pierre Larauza, on peut citer Eqiom. Le cimentier a fourni le béton coulé en place et le sable pour réaliser l’œuvre in situ. « Nous sommes fiers d’accompagner Pierre Larauza dans cette démarche artistique innovante et permettre ainsi aux Parisiens de vivre une expérience artistique unique », déclare Mathieu Morel, responsable produits spéciaux chez Eqiom Bétons région Ile-de-France – Normandie. Et Sahar Seifi, animatrice produits spéciaux, d’expliquer : « Nous avons proposé à Pierre Larauza un ciment CEM III très écologique. Puis, la formulation s’est effectuée dans notre centrale de Pantin. Nous avons fourni 4,5 m3de notre Béton Plancher Renforcé, qui a été coulé ensuite en place ». A cette occasion, Béton[s]le Magazine a interviewé Pierre Larauza, en plein montage, sur son œuvre présentée à la “Nuit Blanche”. Le plasticien Pierre Lazaura, lors du montage de la sculpture-documentaire, qui sera présentée à La Nuit Blanche du 5 octobre. [©V. Manuel Ramos, entreprise de nettoyage WORLD NET] Pouvez-vous nous parler de votre installation, qui sera présentée toute la nuit du 5 octobre, dans le cadre de la Nuit Blanche, à Paris ? Pierre Larauza : Au sens propre, c’est une installation, mais je préfère parler de sculpture-documentaire. Thèse que je défends dans mon doctorat. Dont c’est la dernière année. Dans mes œuvres, je reconstitue au plus proche possible. un événement historique. J’ai choisi de mettre en scène le saut en longueur de Mike Powell. En effet, le 30 août 1991, à Tokyo, l’athlète réalise, avec 8,95 m, le saut en longueur le plus long de l’histoire. Toujours imbattu à ce jour. J’ai recrée toute l’installation sportive datant de 1991 : la piste d’élan, le bac à sable, 8 paires de chaussures en plâtre synthétique reprennent les différents moments du saut…  Le public ne verra que l’installation, il n’y a pas d’images d’époque. Par contre, il y aura des archives sonores de l’évènement présenté par Patrick Montel, commentateur de l’époque, spécialiste de l’athlétisme. Les visiteurs seront ainsi immerger à Tokyo, au moment même où le sportif effectue son célèbre saut en longueur, battant le mythique record de Bob Beamon, de Mexico, en 1968. Ce qui fait sens, c’est que j’ai rencontré Mike à Los Angeles, au printemps denier, pour échanger avec lui de ce moment.  Pourquoi avoir choisi le béton dans votre sculpture-documentaire ? P. L. : Le béton est le matériau de prédilection de l’architecture. Avant d’être artiste, j’étais architecte. De plus, j’aime les connotations de ce matériau : la résistance, la puissance, la force… Tout comme le saut de Mike. Et le fait que cette nuit ait lieu à l’automne et en plein air, nécessitait un matériau pérenne. Parmi vos partenariats, on peut citer le cimentier Eqiom. Comment s’est passée votre rencontre ? P. L. : Lors de mes recherches d’un partenaire cimentier, j’ai été attiré par l’ouverture d’esprit d’Eqiom sur son site Internet. J’ai envoyé un email. Et Elisabeth Latapie, la directrice de la communication, m’a recontacté rapidement. Après plusieurs échanges téléphoniques et une visite du leur show-room à Montreuil-sous-Bois, j’ai été conseillé sur le choix des matériaux. Et leurs équipes se sont vraiment mises à mon service. Malgré le fait que ma sculpture-documentaire soit éphémère et ne dure que la nuit du 5 octobre. Petite anecdote, en plus du ciment, Eqiom m’a fourni le sable. Elles ont commencé par me proposer un sable ordinaire 0/4, mais il n’était pas assez sécure pour les sauts du public. Le cimentier a donc été cherché loin dans un de ses entrepôts un autre sable 0/2. J’ai pu compter sur le cimentier jusqu’au bout.  Propos recueillis par Muriel Carbonnet Informations pratiques :Le samedi 5 octobre 2019, de 19h à 3hParc de la Villette, entrée au 211 avenue Jean Jaurès, puis rejoindre le parvis du restaurant “My Boat”, à côté des Folies du parc de la Villette (Folie L5), près du canal.
Il y a 5 ans et 259 jours

Plomb à la gare de Paris Austerlitz : SNCF s'inscrit en faux, analyses à l'appui

POLÉMIQUE. Suite aux révélations de taux de plomb considérablement supérieurs à la normale sur le chantier de la gare de Paris Austerlitz, SNCF a répondu ce 03 octobre 2019 en assurant "qu'il n'y a pas de pollution" sur le site. Une passe d'armes qui intervient au moment où la nomination du futur président du groupe ferroviaire, Jean-Pierre Farandou, a été validée par le Parlement.
Il y a 5 ans et 259 jours

Invisible, nouvelle solution Zehnder de chauffage et rafraîchissement avec plafond plâtre pour les bâtiments du tertiaire

Avec sa nouvelle solution « plafonds plâtre », Zehnder élargit sa gamme de plafonds chauffants et rafraîchissants pour les bâtiments tertiaires (bureaux, hôpitaux, EHPAD, hôtels, …). Totalement invisible, le système d’activation thermique intégré au sein du plafond plâtre offre une solution associant esthétique épurée, à haute performance thermique, traitement acoustique et montage facilité. Une solution architecturale totalement intégrée de chauffage et rafraîchissement Esthétique, la nouvelle solution d’activation de plafond plâtre chauffant et rafraîchissant de Zehnder est composée d’un panneau d’activation thermique (plaque aluminium et serpentins en tube de cuivre). Il se monte par simple fixation sur la fourrure porteuse (entraxe 50 ou 33.3 cm) des plaques de plafond plâtre de dimensions standards (largeur de 120 cm x longueur à partir de 240 cm à plus de 300 cm), sans besoin d’augmenter la hauteur du plenum. Le système d’activation fait des plafonds chauffants et rafraîchissants plâtre Zehnder une solution architecturale totalement invisible dont la puissance thermique est adaptée aux besoins croissants des bâtiments performants du tertiaire. Les plaques de plâtre peuvent être découpées en fonction des exigences architecturales, ce qui offre une totale liberté de forme pour s’intégrer à la géométrie de la pièce. Facilité de montage Les modules d’activation se raccordent entre eux et sur le réseau de distribution à l’aide de flexibles avec raccords rapides de type « pushfitting » permettant une facilité et une rapidité de raccordements hydrauliques. Une solution thermique performante au service du confort Les profilés conducteurs constitués d’une plaque en aluminium créent une surface de transfert importante, ce qui garantit une excellente homogénéité du transfert thermique et une répartition rapide et uniforme de l’échange calorifique ou frigorifique. De plus, la conductivité élevée des serpentins en tube de cuivre contribue à un transfert thermique efficace. Le chauffage ou le rafraîchissement est doux et naturel, sans air pulsé, sans courant d’air froid, pour garantir un confort thermique optimal des bâtiments tertiaires. L’absence de brassage d’air garantit une parfaite hygiène pour les occupants. Une solution acoustique Proposée avec des plaques de plâtre lisses, la nouvelle solution de plafonds chauffants et rafraîchissants de Zehnder est également disponible avec des plaques de plâtres perforées (perforations rondes ou carrées au choix) garantissant une absorption acoustique élevée (coefficient d’absorption acoustique pondéré conformément à la DIN EN ISO 11654 jusqu’à αw = 0,5 selon le type de perforation). Facilité d’entretien Les plafonds chauffants et rafraîchissants plâtre Zehnder n’exigent aucun nettoyage ni maintenance. Une solution économe en énergie Ces systèmes réversibles qui assurent le chauffage en hiver et le rafraîchissement des locaux en été s’associent indifféremment à un groupe de production de froid, à une chaudière ou à une pompe à chaleur réversible. Les solutions de plafond chauffant rafraîchissant plâtre Zehnder, qui permettent de réaliser une économie de plus de 30% par rapport aux systèmes à air soufflé, offrent aux prescripteurs une réponse conformes aux exigences réglementaires thermiques. Pour répondre aux besoins des bâtiments tertiaires, Zehnder propose son offre de plafonds chauffants rafraîchissants plâtre fournie posée mais peut également livrer uniquement les panneaux d’activation thermique qui seront intégrés sur le chantier sur les plaques de plâtre. www.zehnder.fr
Il y a 5 ans et 259 jours

Simon Porte Jacquemus : Restaurant Oursin

En passe de prendre la capitale d'assaut, Simon Porte Jacquemus récidive après le succès de son premier établissement le Café Citron et ouvre une nouvelle adresse, toujours en association avec Caviar Kaspia : le Restaurant Oursin. Tout comme sa première enseigne, déjà auréolée de succès, Oursin prend place au sein des très chics Galeries Lafayettes Champs Elysée et invite les gourmets du 8ème arrondissement à voyager sous le soleil. Si le Café Citron constituait déjà une ode au sud natal de Jacquemus, c'est une toute autre version de la Provence que le restaurant Oursin nous propose. Fini la terracotta en guise de couleur maîtresse, le cadre du nouveau restaurant des Galeries Lafayette Champs Elysée est immaculé. Murs blanchis à la chaux et niches irrégulières rappelant les maisons méditerranéennes, coussins et banquettes d'un écru lumineux et assises en cannage conviviales, il ne manque plus que le chant des cigales pour nous faire oublier que nous sommes en plein cœur de Paris ! L'ensemble est organisé autour d'une vigne escaladant le plafond, rapprochant plus la salle d'une ambiance de terrasse balnéaire que de restaurant branché parisien. Et pourtant, rien n'est laissé au hasard afin de séduire la fine fleur de la capitale. Associant assiettes-trompes l'œil réalisées par une céramiste athénienne et curieux objets chinés par le créateur lui même, la décoration intrigue et subjugue. La carte, concentrée sur les produits de la mer, continue de nous faire voyager. Elaborée par Erica Archambault, ancienne cheffe exécutive du groupe Septime, elle rend hommage à la Méditerranée tout en prenant évidemment en compte la saisonnalité des produits. De quoi prolonger l'été... Pour en savoir plus, visite le site de Simon Porte Jacquemus Photographies : Yoann et Marco
Il y a 5 ans et 259 jours

STUN Camp, les militants du temporaire

Le collectif d’occupation temporaire Bruxellois, Communa, organise du 10 au 20 octobre à Nanterre la première édition du STUN Camp (STUN pour “Social Temporary Urbanism Network” soit Réseau de l’Urbanisme Transitoire à vocation Sociale). Les belges s’associent à cette occasion, avec leurs confrères français de Yes We Camp. Ils souhaitent promouvoir l’occupation temporaire en montrant les possibilités d’habiter autrement. L’aventure prendra place sur les 9000m² d’une...
Il y a 5 ans et 260 jours

Grand Paris Express : la population des quartiers de gares augmente depuis 2010

GRAND PARIS. Les 68 quartiers des futures gares du Grand Paris Express accueillent de nombreux projets urbains, ce qui a contribué à augmenter de 3% leur population entre 2010 et 2015, contre seulement 1% dans la Métropole du Grand Paris. En revanche, les disparités de revenus s'avèrent conséquentes.
Il y a 5 ans et 260 jours

Porcher : Nouvelle gamme de robinetterie temporisée Olyos Tempo pour les collectivités

En France, un habitant consomme entre 150 et 200 litres d’eau par jour. La consommation d’eau en collectivité est elle aussi conséquente. Par exemple, un centre de vacances consomme environ 100 litres d’eau par jour et par personne. Economiser l’eau dans les collectivités représente donc un enjeu majeur pour la préservation des ressources. Pour limiter la consommation d’eau tout en facilitant l’utilisation des équipements sanitaires, Porcher complète son offre de robinetterie dédiée aux collectivités avec la nouvelle gamme temporisée OLYOS TEMPO. Une large gamme adaptée à toutes les configurations OLYOS TEMPO est une gamme de robinets temporisés spécialement conçue pour répondre aux contraintes d’ergonomie, de durabilité et d’économies d’eau des collectivités (écoles, centres sportifs, gares, aéroports, campings…). Fabriquée en laiton massif chromé M1/2”, elle se compose de 10 modèles répondant à toutes les configurations : • deux robinets pour installation sur plage de lavabo, à eau froide et eau chaude, • deux robinets pour installation murale, à eau froide et eau chaude, • un robinet pour lavabo à commande fémorale, • deux robinets pour douche, apparent droit G1/2” et encastré, • trois robinets pour urinoir, apparent droit G1/2”, équerre et encastré. Un grand confort d’utilisation Ergonomique et durable, la gamme OLYOS TEMPO a été pensée pour être facile d’utilisation. Grâce à son bouton poussoir, le fonctionnement de la robinetterie est automatique : l’eau s’écoule dès l’actionnement du bouton et s’arrête à la fin de la temporisation. Par ailleurs, le modèle à commande fémorale permet d’actionner le mitigeur à l’aide du genou, idéal pour les utilisations sans contact manuel avec le robinet, comme dans les cuisines collectives par exemple. Pour plus de simplicité et afin d’éviter tout risque de brûlure, l’eau s’écoule à la température prédéfinie sur le réseau. Les robinets pour lavabos se déclinent à eau chaude et eau froide, les robinets pour douche sont proposés à eau mitigée, tandis que les robinets pour urinoirs sont disponibles à eau froide. Jusqu’à 60 % d’économies d’eau Grâce à leur système de temporisation régulant l’écoulement de l’eau de 3 à 20 secondes selon les modèles (urinoir : 3 secondes ; lavabo : 6 secondes ; douche : 20 secondes), conformément à la norme UNI EN 816, les robinets OLYOS TEMPO permettent de réaliser jusqu’à 60 % d’économies d’eau par rapport à des mitigeurs classiques. Equipés d’un régulateur de débit, les robinets OLYOS TEMPO offrent un débit d’eau réduit (3 l/min pour les lavabos, 6 l/min pour les douches et 0,15 l/sec pour les urinoirs). Ils répondent ainsi aux exigences d’économies de la certification environnementale BREEAM. Un niveau d’hygiène adapté aux collectivités Fabriquée en laiton massif anticorrosif, la gamme de robinets temporisés OLYOS TEMPO est facile à nettoyer. Pour limiter les éclaboussures et la formation de calcaire, les robinets pour lavabos sur plage et muraux sont dotés d’un brise-jet. Une gamme durable et facile à installer Garantis 10 ans, les robinets OLYOS TEMPO se distinguent par leur durabilité et leur résistance aux utilisations très fréquentes des collectivités. Faciles à installer, ils se fixent à l’aide d’un simple contre-écrou pour les modèles lavabos. Avec les nouveaux robinets temporisés OLYOS TEMPO, Porcher offre le meilleur compromis entre ergonomie, durabilité et économies d’énergie pour équiper les collectivités. www.porcher.com
Il y a 5 ans et 260 jours

L'Ordre des architectes conteste la lourde sanction infligée par l'Autorité de la concurrence

Le Conseil national conteste la décision totalement à charge et les arguments qui la fondent et étudie toutes les voies de recours possible. Ni le Conseil national ni les Conseils régionaux n'ont jamais imposé de barème. Ils ont, vis-à-vis des collectivités territoriales et des architectes, agi dans le cadre des missions de service public qui leur sont dévolues par la loi sur l'architecture.