Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

(35709 résultats)
Il y a 7 ans et 363 jours

Centres de tri : grossir ou mourir ?

Pour absorber l'augmentation des volumes de déchets recyclables à traiter et rentabiliser leur activité, les centres de tri n'ont d'autre choix que se moderniser, s'automatiser et s'agrandir. Cette tendance ne va pas sans difficultés : investissements financiers, organisation territoriale, pertes d'emploi...
Il y a 8 ans et 1 jours

L'hôtel de l'Artillerie accueillera le campus de Sciences Po

L'école de la rue Saint-Guillaume vient de désigner quatre équipes de promoteurs-concepteurs pour élaborer le projet architectural de son nouveau campus. Il sera aménagé dans l'hôtel de l'Artillerie, dans le VIIe arrondissement de Paris, acquis auprès du ministère de la Défense.
Il y a 8 ans et 1 jours

Voici à quoi ressemblera la future gare du Grand Paris Villejuif-Louis-Aragon ?

LA GARE DE LA SEMAINE. Batiactu vous propose de découvrir chaque semaine l'une des 68 gares du Grand Paris Express. Découvrez la troisième gare, celle de Villejuif Louis-Aragon (Val-de-Marne), conçue sur la ligne 15 par l'architecte-urbaniste Philippe Gazeau. Sa particularité ? La grande halle vitrée permettra de voir les profondeurs de la gare depuis la rue.
Il y a 8 ans et 1 jours

CEBRA and Glifberg+Lykke : Street Dome

Situé sur le port d'Haderslev (Danemark), le Street Dome, réalisé par l'agence d'architecture danoise CEBRA et des designers Glifberg+Lykke, accueille un immense skatepark, des terrains de baskets, un mur d'escalade et même un club de canoë. Un centre sportif et culturel d'une superficie 6 000 mètres carrés qui attire les skateboarders des quatre coins du monde. Ce gigantesque dôme, qui se définit comme un lieu de sociabilité, regroupe plusieurs sports différents et leurs infrastructures, tout en permettant aux gens de tous âges et tous niveaux d'y cohabiter. Il est l'idée de Morten Hansen " activiste local et président de l'association SkateCity ", qui voulait créer une plateforme culturelle incorporant une vaste zone d'activité mais aussi de détente. L'extérieur se compose essentiellement du skatepark de 4 500 mètres carrées, divisé en deux zones : une partie " street " " qui ne comporte pas de rampes, avec un sol plat et du mobilier ", et une aire de " park " comprenant courbes, quarters " moitiés de rampe ", et des plans inclinés agencés contre le dôme réalisé en béton et bois. Le tout est recouvert de panneaux en polycarbonate et de mousse naturelle. Cet ouvrage basé sur le concept de l'igloo rompt avec le paysage linéaire du port. Sous un même dôme sont donc réunies trois activités très diverses : skateboard, escalade et basketball, avec chacune leurs contraintes et infrastructures respectives. Le tout est abrité par une vaste charpente en lamellé-collé située à 40 mètres de hauteur. Le mur circulaire qui clôt ce large espace circulaire est occupé par des alcôves en contreplaqué qui permettent aux athlètes de se reposer. Grâce à l'ouverture de portails en polycarbonate rouge, l'intérieur peut être relié à l'extérieur et former ainsi un vaste espace continue. Le Street Dome, par sa polyvalence, profite alors à un nombre très large de personnes pratiquant des sports différents, mais aussi à de simples promeneurs, joggeurs ou pêcheurs voulant jouir de l'air marin du port dans un cadre architectural prodigieux qui fait déjà office de référence dans le monde du skateboard. Photographies : Mikkel Frost / CEBRA Pour en savoir plus, visitez le site de The StreetDome
Il y a 8 ans et 1 jours

Bigert & Bergström : Solar Egg

Cette installation, située à mi-chemin entre l'"uf et le vaisseau spatial, abrite un sauna. Localisée à Kiruna, ville la plus au Nord de la Suède, ce projet signé des designers Bigert & Bergström vise à valoriser la commune qui a dû délocaliser des quartiers entiers suite à l'affaissement du sol causé par les exploitations de minerai de fer. Sous la forme d'un "uf, Solar Egg symbolise donc la renaissance de la ville. L'"uvre est couverte de 69 miroirs en acier inoxydable, en échos aux champs de fer locaux d'antan. Les facettes reflètent et brisent le paysage alentours pour créer un nouvel environnement où la neige, les pins, la mine, la ville et le ciel se confondent. Un escalier, semblable à celui d'un astronef, invite quant à lui les visiteurs à venir se réfugier dans ce cocon. Le choix du sauna n'est pas anodin , dans un pays où ce programme fait office de véritable institution. Les concepteurs ont ainsi tenu à réaliser une sculpture permettant aux gens de se retrouver et d'échanger sur la situation de la ville tout en se détendant. " Solar Egg a été créée comme une sculpture sociale où les habitants et les visiteurs de la ville peuvent se rencontrer et, par exemple, discuter de ces défis. Dans le climat arctique de la Laponie, le sauna occupe une position clé, comme pièce de chaleur et de réflexion. " Bigert & Bergström L'intérieur est entièrement revêtu de bois, conférant à l'endroit un aspect chaleureux : le plancher et les panneaux muraux sont réalisés en pin et les bancs sont en bois de tremble, tandis qu'un poêle en forme de c"ur humain réalisé en fer et en pierre trône au centre de cet espace. Au-delà de son esthétique atypique, l'"uvre allie hommage à l'histoire de Kiruna, modernisme et échanges sociaux. Photographies : Jean Baptiste Béranger Pour en savoir plus, visitez le site de Bigert & Bergström
Il y a 8 ans et 1 jours

Thierry Repentin cumule les présidences

Un arrêté du 10 mai déroule la composition de la commission chargée de l'examen du respect des obligations de réalisation de logements sociaux. Pour la présider, le gouvernement a choisi le futur ex-délégué interministériel à la mixité sociale dans l'habitat qui est aussi président de la Commision nationale de l'urbanisme et du foncier et depuis le 10 mai, officiellement président du conseil d'administration de la société Autoroutes et Tunnel du Mont Blanc.
Il y a 8 ans et 1 jours

INSOLITE - SNCF fait son cinéma

Coup de com' original ! Pour annoncer l'ouverture imminente de la ligne Bordeaux-Paris, SNCF joue la carte de l'humour. L'enjeu : insister sur le gain de temps substantiel dont profiterons les usagers de la ligne TGV à partir du 2 juillet prochain. Et pour l'occasion SNCF s'est offert les services de la chanteuse Camille Lou et de l'acteur-réalisateur Kevin Costner. Rien que ça.
Il y a 8 ans et 1 jours

La SNCF fait son cinéma

Coup de com' original ! Pour annoncer l'ouverture imminente de la ligne Bordeaux-Paris, la SNCF joue la carte de l'humour. L'enjeu : insister sur le gain de temps substantiel dont profiterons les usagers de la ligne TGV à partir du 2 juillet prochain. Et pour l'occasion la SNCF s'est offert les services de la chanteuse Camille Lou et de l'acteur-réalisateur Kevin Costner. Rien que ça.
Il y a 8 ans et 1 jours

Brest : le téléphérique remporte un trophée

Dans le cadre des 10 ans de Brest métropole aménagement, la Fédération des entreprises publiques locales a décerné un trophée au premier téléphérique urbain de France.
Il y a 8 ans et 1 jours

Distribution : Sami TP cédé à Komatsu France

Dans la continuité de la cession de ses actifs, le groupe Convenant vient de vendre sa filiale de distribution spécialisée en matériels TP à Komatsu France, une reprise qui permet au constructeur de couvrir en direct plus de 70 % du territoire français.
Il y a 8 ans et 2 jours

Biasol : N° 19

La ville de Melbourne (Australie) accueille un nouveau restaurant, le N° 19, dans un décor d'épicerie fine aux inspirations méditerranéennes des années 1950 : pour le plus grand plaisir des adeptes de cuisine végétarienne et d'architecture d'intérieur. Placée en plein centre-ville de Melbourne, la discrète façade du N° 19 camoufle une brasserie-café de 190 mètres carrés de surface et de 4,50 mètres de hauteur sous plafond au design épuré et aux teintes pastel et béton, ponctué de barres métalliques blanches et dorées. Un lieu tout en longueur qui se répartit en trois zones spacieuses, de l'entrée jusqu'aux cuisines disposées au fond de ce vaste espace. La première partie du restaurant comprend ainsi une trentaine de places assises composée de chaises en bois et d'une longue banquette gris et bleu canard parcourant le mur. Un coloris que l'on retrouve en face de cette dernière, sur le mur et le sol en carrelage peint main, qui habille le bar. La seconde partie du N° 19, plus loin dans la salle, se compose d'un autre ensemble d'une vingtaine de places assises, sans banquette cette fois, donnant sur une cuisine ouverte, créant une certaine intimité entre le chef et ses clients qui peuvent déguster leur plat tout en regardant ceux en cours de confection. Une certaine chaleur s'en dégage, renforcée par les appliques murales dorées aux faux airs de brasseries parisiennes, que l'on retrouve par ailleurs sous forme de lampadaires et de lampes sur le comptoir et qui complètent la grande quantité de lumière naturelle apportée par les fenêtres de toit. Le couple de propriétaire, Domenic et Diana Caruso, a réalisé ce qu'il avait toujours imaginé pour son restaurant : un endroit sophistiqué, mais accueillant. Une dégustation enivrante aussi bien pour les papilles que pour les pupilles donc. Photographies : Ari Hatzis Pour en savoir plus, visitez le site de Biasol
Il y a 8 ans et 2 jours

Biasol : N° 19

La ville de Melbourne (Australie) accueille un nouveau restaurant, le N° 19, dans un décor d'épicerie fine aux inspirations méditerranéennes des années 1950 : pour le plus grand plaisir des adeptes de cuisine végétarienne et d'architecture d'intérieur. Placée en plein centre-ville de Melbourne, la discrète façade du N° 19 camoufle une brasserie-café de 190 mètres carrés de surface et de 4,50 mètres de hauteur sous plafond au design épuré et aux teintes pastel et béton, ponctué de barres métalliques blanches et dorées. Un lieu tout en longueur qui se répartit en trois zones spacieuses, de l'entrée jusqu'aux cuisines disposées au fond de ce vaste espace. La première partie du restaurant comprend ainsi une trentaine de places assises composée de chaises en bois et d'une longue banquette gris et bleu canard parcourant le mur. Un coloris que l'on retrouve en face de cette dernière, sur le mur et le sol en carrelage peint main, qui habille le bar. La seconde partie du N° 19, plus loin dans la salle, se compose d'un autre ensemble d'une vingtaine de places assises, sans banquette cette fois, donnant sur une cuisine ouverte, créant une certaine intimité entre le chef et ses clients qui peuvent déguster leur plat tout en regardant ceux en cours de confection. Une certaine chaleur s'en dégage, renforcée par les appliques murales dorées aux faux airs de brasseries parisiennes, que l'on retrouve par ailleurs sous forme de lampadaires et de lampes sur le comptoir et qui complètent la grande quantité de lumière naturelle apportée par les fenêtres de toit. Le couple de propriétaire, Domenic et Diana Caruso, a réalisé ce qu'il avait toujours imaginé pour son restaurant : un endroit sophistiqué, mais accueillant. Une dégustation enivrante aussi bien pour les papilles que pour les pupilles donc. Photographies : Ari Hatzis Pour en savoir plus, visitez le site de Biasol
Il y a 8 ans et 2 jours

A Évry, un bâtiment moderne évoque l'ère numérique

Dans la continuité des bâtiments modernistes de la ville d’E?vry, l'agence Block a construit pour l'Institut Mines-Te?le?com un bâtiment massif décomposé en deux parties : un socle minéral surmonté d'un billboard géant, évocation de l'ère numérique.
Il y a 8 ans et 2 jours

A E?vry, un bâtiment moderne évoque l'ère numérique

Dans la continuité des bâtiments modernistes de la ville d’E?vry, l'agence Block a construit pour l'Institut Mines-Te?le?com un bâtiment massif décomposé en deux parties : un socle minéral surmonté d'un billboard géant, évocation de l'ère numérique.
Il y a 8 ans et 2 jours

Transparence visuelle pour un hôpital enfants-ados

L'agence Valero Gadan Architectes propose un bâtiment tout en transparence pour le projet de relocalisation du pôle infanto-juvénile de la ville de Montreuil.
Il y a 8 ans et 2 jours

Garcés - De Seta - Bonet Arquitectes : Maison Talbot Wallis

Le hameau de Lombards, à Villard-de-Lans (38) a inspiré l'agence espagnole Gracés - De Seta - Bonet Arquitectes pour ce projet d'habitation. L'idée est de reprendre la typologie de la place de village pour la transposer à l'échelle de l'habitat individuel, le tout placé sur un terrain en pente donnant sur le plateau du Vercors. L'habitation est composée de trois entités rectangulaires disposées en zig-zig. Ces deux premiers sont occupés par les espaces de vie tandis que le dernier, séparé du reste de la demeure par un jardin d'hiver, est entièrement destiné à l'atelier. La forme dynamique de l'habitation s'adapte parfaitement à son milieu vallonné et offre une exposition au soleil idéale. Le choix des matériaux est également en lien avec l'environnement de la demeure. La façade en bois possède une haute performance écologique et confère à ce lieu un aspect naturel, rehaussée par la toiture métallique à deux pans faisant échos aux sommets des montagnes. Les nombreuses ouvertures et la véranda renforcent ce rapport dehors/dedans, apportant, en plus d'une grande luminosité, une impression d'extérieur permanente. L'agencement du foyer est à l'image de son revêtement externe : sobre et naturel. Le blanc et les boiseries dominent et sont agrémentés de touches végétales. Les volumes sont variés, aussi bien dans leur forme que dans leurs dimensions. Avec la conception de cette maison, les architectes catalans réalisent un édifice qui respecte son milieu et qui permet d'apprécier le cadre calme et reposant des massifs du Vercors. Photographies : Adrià Goula Pour en savoir plus, visitez le site de Gracés " De Seta " Bonnet Arquitectes
Il y a 8 ans et 2 jours

Garcés - De Seta - Bonet Arquitectes : Maison Talbot Wallis

Dans le hameau des Lombards, à Villard-de-Lans (38) prend place une maison longiligne imaginée par l'agence espagnole Gracés - De Seta - Bonet Arquitectes, très inspirée par l'urbanisme du lieu. L'idée est de reprendre la typologie de la place de village pour la transposer à l'échelle de l'habitat individuel, le tout placé sur un terrain en pente donnant sur le plateau du Vercors. L'habitation est composée de trois entités rectangulaires disposées en enfilade mais désaxées. Ces deux premières sont occupées par les espaces de vie tandis que cette dernière, séparée du reste de la demeure par un jardin d'hiver, est entièrement destinée à l'atelier. La forme dynamique de l'habitation s'adapte parfaitement à son milieu vallonné et offre une exposition au soleil idéale. Le choix des matériaux est également en lien avec l'environnement forestier de la demeure. La façade en bois possède une haute performance écologique et confère au lieu un aspect naturel, rehaussé par la toiture métallique à deux pans faisant échos aux sommets des montagnes. Les nombreuses ouvertures et la véranda renforcent ce rapport dehors/dedans, apportant, en plus d'une grande luminosité, une impression d'extérieur permanente. L'agencement du foyer est à l'image de son revêtement externe : sobre et naturel. Le blanc et les boiseries dominent et sont agrémentés de touches végétales. Les volumes sont variés, aussi bien dans leur forme que dans leurs dimensions. Avec la conception de cette maison, les architectes catalans réalisent un édifice qui respecte son milieu et qui permet d'apprécier le cadre calme et reposant des massifs du Vercors. Photographies : Adrià Goula Pour en savoir plus, visitez le site de Gracés " De Seta " Bonnet Arquitectes
Il y a 8 ans et 2 jours

Défaillances et emploi salarié : des indicateurs en voie de stabilisation 

Cette édition du baromètre de l'artisanat Maaf-ISM (Institut supérieur des métiers) analyse pour la première fois le poids des entreprises artisanales dans l'économie des territoires. Les défaillances d'entreprises baissent de 11 % et l'emploi salarié se stabilise. 
Il y a 8 ans et 2 jours

Quatre fermes grand-parisiennes dans une recherche pluridisciplinaire

Pour comprendre et communiquer au public les risques de contamination alimentaire liés à l'agriculture urbaine, AgroParisTech parie sur la science participative. Quatre micro-fermes urbaines de Paris et de sa proche banlieue alimentent un programme de recherche engagé depuis 2016.
Il y a 8 ans et 2 jours

Bruel-Delmar et JAM pour le quartier du Moulon à Saclay

L'EPA Paris-Saclay vient d'annoncer les lauréats de la consultation de maîtrise d'"uvre urbaine pour l'un des quartiers majeurs du campus urbain en mutation : la ZAC du Moulon. L'atelier de paysages Bruel-Delmar, mandataire du groupement, associé à JAM architecte-urbaniste, Agathe Argot-Scène publique, concepteur lumière, et Artelia, bureau d'études techniques, a été retenu pour cette mission d'une durée de 6 ans. Depuis 2011, l'aménagement de la ZAC du Moulon à Gif-sur-Yvette...
Il y a 8 ans et 2 jours

Pénibilité : le référentiel des entreprises du paysage homologué

L'Unep se félicite de l'homologation du référentiel pénibilité pour la branche paysage. Le décret le validant a été publié le 5 mai 2017 par les ministères du Travail et des Affaires sociales.
Il y a 8 ans et 3 jours

Le Prix des Femmes Architectes 2017 est lancé

L'Association pour la recherche sur la ville et l'habitat (ARVHA) vient de lancer la cinquième édition du "Prix des Femmes Architectes". Objectif : mettre en valeur les oeuvres et les carrières de femmes architectes et encourager la parité dans une profession à forte dominante masculine.
Il y a 8 ans et 3 jours

Un premier trimestre 2017 décevant pour les travaux publics

En raison de conditions météo difficiles et d'une reprise de l'activité encore trop faible, l'activité des travaux publics a stagné au premier trimestre. La FNTP estime qu'en dehors du Grand Paris, où des projets ont été attribués au début de l'année, la relance se fait encore attendre dans d'autres territoires.
Il y a 8 ans et 3 jours

Des voiles porteurs isolants et courbes en béton préfabriqué foncé

C'est sur un vaste terrain triangulaire coincé entre la voie ferrée et la rue Cugnot à Paris (18ème) que la SNCF a réalisé, en lieu et place des bâtiments techniques vétustes et inutilisés depuis plusieurs années, un ensemble immobilier comprenant 83 logements sociaux et un centre de formation au rez-de-chaussée de la résidence.
Il y a 8 ans et 3 jours

Building blocks : les métiers de Colas en animation

Ce film d'animation présente les différents métiers du groupe Colas à travers trois chantiers-types : construction et entretien d'une autoroute, piste d'aéroport et aménagement urbain.
Il y a 8 ans et 3 jours

Rencontre avec : Patrick Jouin

Il y a 20 ans commençait la carrière " en solo " du designer Patrick Jouin, propulsé sur le devant de la scène par sa participation au Salone de Milan. Retour sur les débuts de cette ancienne jeune pousse du design, dont le talent n'est aujourd'hui plus à prouver et qui, pourtant, se réinvente à chaque collaboration. Muuuz : Il y a vingt ans vous obteniez votre premier stand au Salone del Mobile de Milan. Quel souvenir gardez-vous de vos débuts en tant que designer indépendant ?Patrick Jouin : Avant le Salone, il y a d'abord eu un premier tremplin dans ma carrière qui a été le VIA (Valorisation de l'Innovation dans l'Ameublement) en 1996, qui m'avait attribué sa bourse appelée " appel permanent ". J'avais alors réalisé une petite chaise pour Fermob. La marque est ainsi devenue mon premier éditeur, alors que j'étais encore designer chez Starck à l'époque. Puis le VIA m'a attribué sa Carte blanche, qui n'existe plus maintenant, aux côtés des frères Bourroulec.Par la suite, c'est ma cons"ur Matali Crasset qui m'a parlé du SaloneSatellite [l'une des premières plateformes de lancement de jeunes designers, ndrl] du Salone del Mobile de Milan, auquel elle participait. C'était les tout débuts de l'événement, ce n'était pas du tout ce que c'est maintenant ! À l'époque il avait lieu dans la ville, sur un site qui a depuis été rasé. J'ai alors réservé le dernier stand disponible. " J'ai rassemblé mes travaux dans ma Fiat Punto et dépensé tout mon argent dans la réalisation de prototypes et dans le voyage jusqu'à Milan. Je prenais concrètement mon envol. Je n'ai jamais été aussi fatigué de ma vie mais j'étais empreint d'une excitation phénoménale ! " Je n'avais préparé que 50 cartes de visite et quelques diapositives pour montrer mes réalisations. Elles sont parties en une journée et je ne savais même pas à qui je les avais données. Les éditeurs comme Cappellini ou Flos se sont tous montrés très curieux de ma démarche et j'ai immédiatement été publié. C'est à ce moment que j'ai quitté le studio de Philippe Starck. Que représente pour vous cette plateforme de lancement qu'est le SaloneSatellite ?Il s'agit d'un endroit très excitant, où se réunissent une série de créateurs et leurs " visions ", qui matérialisent un ou deux ans de travail. Il y a là des échecs, des envies, des passions. On y voit de la compétition, des égos... c'est un côté qui peut faire peur. On peut se dire " jamais je ne rencontrerai les éditeurs ".... Mais cela peut se produire, à condition de travailler pour. C'est comme l'amour ou le mariage : on ne peut pas savoir au préalable quand et comment cela va se dérouler ! De fortes histoires se nouent, d'autres se délitent, et il y a aussi parfois des divorces. Quelles sont les nouveautés que vous exposez cette année au Salone ?En tout, je propose sept projets conçus avec cinq éditeurs, utilisant des techniques et matériaux différents. Comme cette année célèbre les 20 ans du SaloneSatellite, l'organisme a demandé aux éditeurs de montrer des pièces spéciales : Fermob a ainsi présenté la chaise Facto réalisée à mes débuts et éditée depuis 20 ans.J'ai également révélé le complément de la gamme Ester, initiée il y a deux ans avec la marque Pedrali, à laquelle nous avons ajouté une barre en aluminium injecté, léger et résistant particulièrement adapté aux fonctions et usages des restaurants. Pour la même marque, nous avons développé le canapé outdoor Reva de 1,5 et 3 places. Son cadre, réalisé dans le même matériau, sur lequel est tendu de la toile Batyline [tissu technique, ndrl], lui permet de sécher rapidement s'il est mouillé. Cela crée une sorte de cage où l'on pose des coussins. À l'attention de Kartell, j'ai réalisé un prototype de lampe/bougeoir en plastique, Candy candle, détournement du bougeoir traditionnel ; et pour Cassina la table Lebeau, allégorie de l'arbre. Concernant la marque Fiam j'ai manipulé le verre cuit. On vient à rebours en recuisant une dalle de verre à laquelle on applique un moule texturé. Quelque part garde la trace du feu. De produit fini à produit artisanal. Avec Porada et la chaise Ella, je me suis penché sur l'utilisation du bois massif en France qui avait en effet quasiment disparue car la matière coûte chère, mais surtout sa mise en "uvre. Certaines grandes maisons le travaillaient toujours, mais la révolution digitale et celle de l'usinage ont vraiment changé la donne, et ont permis de réinvestir le matériau. Ici, chacune des 17 pièces de noyer a ainsi nécessité un réel travail d'ébénisterie. Il s'agit d'un des matériaux qu'on peut utiliser à l'infini. Cela me fascine. Afin de faire la promotion de cette collection, nous avons réalisé une série de photographies de la chaise devant un arbre de la forêt de Fontainebleau, dont les spécimens ont 50 ou 100 ans, parfois 200. Une partie de cette zone est encore utilisée pour la récolte. C'est extraordinaire : afin que les plants ne soient pas tordus par le vent ou mangés par les sangliers ou par les cerfs, ou qu'ils ne souffrent pas de sécheresse, on les protège durant 30 ans. C'est le travail de toute une vie d'un forestier, qui sera récupéré par un autre, puis un autre, qui pourrait être son petit-fils ! Comment choisissez-vous vos collaborations ?Elles sont font naturellement, car je traite avec gens que je connais au sein des grandes maisons d'édition. Je les connaissais déjà un peu à mes débuts grâce à mon travail chez Philippe Starck, qui m'avait mis le pied à l'étrier. Vous avez travaillé plusieurs années pour Philippe Starck, vous semblez pourtant très différents..." En effet, je suis presque l'opposé de Philippe Starck ! On ne peut pas tricher. Par exemple, jouer la star, ce ne serait pas moi. Lui il ne triche pas et le copier serait une catastrophe. " Cela ne sert à rien de regarder avec envie ce qu'on ne peut pas être. Le design est parfois une société de spectacle, certains se déguisent en " super-moi " pour être repérés, alors qu'il y a plein de manières d'y arriver. D'autant plus que tous les éditeurs ne sont pas à l'aise avec ce genre de postures. En définitive, le design est un monde qui reflète plein de manières d'être. C'est une folie de croire qu'on a besoin d'être imbuvable ! Depuis vos premières aventures milanaises, vous revenez souvent dans cette terre du design. Quel est votre attachement à cette zone ?Non loin de Milan, la province de la Brianza, spécialisée dans l'industrie du meuble, est des endroits les plus riches d'Europe. Elle est fondée sur une manière de travailler ensemble dans la compétition mais aussi dans l'entre-aide. Il y a un décalage avec l'Hexagone. Chez nous, on essaie à tout prix de contrôler le savoir-faire à la française, de tout pouvoir faire, du coup nous n'avons pas toujours les meilleures machines. En Italie, c'est différent : chacun est spécialiste d'une technologie. Il y a donc un assemblage des meilleurs savoir-faire pour mener à bien un projet. Finalement, combien de projets traitez-vous simultanément à l'agence ?Environ 45, traités par deux entités distinctes, deux " marques " : il y a Jouin Manku, qui se charge des projets d'architecture et d'architecture d'intérieur ; et Patrick Jouin ID, pour Industrial designer, nom trouvé par l'auteur Pierre Doze. Pourtant aucun de tous vos projets ne se ressemble ! Y a-t-il un " Style Jouin " ?J'essaie d'éviter de faire la même chose. J'ai l'obsession du confort, de la sensualité.On passe longtemps à dessiner les choses, à les utiliser. L'impact visuel ne représente qu'une petite partie. Si au bout 3 heures on est mal sur une chaise : c'est non pour nous !Il s'agit là de mon savoir-faire. Photographies :1) Patrick Jouin, © Benoit Linero2) Reva, Pedrali3) Ella, Porada4) Facto, Fermob5) Reva, Pedrali6) Ester, Pedrali7) Candy Candle, Kartell, © Kartell8) Lebeau Wood, Cassina9) Magma, Fiam10) Ella, Porada11) Louis, Porada Pour en savoir plus, visitez le site de Patrick Jouin
Il y a 8 ans et 3 jours

Rencontre avec : Patrick Jouin

Il y a 20 ans commençait la carrière " en solo " du designer Patrick Jouin, propulsé sur le devant de la scène par sa participation au Salone de Milan. Retour sur les débuts de cette ancienne jeune pousse du design, dont le talent n'est aujourd'hui plus à prouver et qui, pourtant, se réinvente à chaque collaboration. Muuuz : Il y a vingt ans vous obteniez votre premier stand au Salone del Mobile de Milan. Quel souvenir gardez-vous de vos débuts en tant que designer indépendant ?Patrick Jouin : Avant le Salone, il y a d'abord eu un premier tremplin dans ma carrière qui a été le VIA (Valorisation de l'Innovation dans l'Ameublement) en 1996, qui m'avait attribué sa bourse appelée " appel permanent ". J'avais alors réalisé une petite chaise pour Fermob. La marque est ainsi devenue mon premier éditeur, alors que j'étais encore designer chez Starck à l'époque. Puis le VIA m'a attribué sa Carte blanche, qui n'existe plus maintenant, aux côtés des frères Bourroulec.Par la suite, c'est ma cons"ur Matali Crasset qui m'a parlé du SaloneSatellite [l'une des premières plateformes de lancement de jeunes designers, ndrl] du Salone del Mobile de Milan, auquel elle participait. C'était les tout débuts de l'événement, ce n'était pas du tout ce que c'est maintenant ! À l'époque il avait lieu dans la ville, sur un site qui a depuis été rasé. J'ai alors réservé le dernier stand disponible. " J'ai rassemblé mes travaux dans ma Fiat Punto et dépensé tout mon argent dans la réalisation de prototypes et dans le voyage jusqu'à Milan. Je prenais concrètement mon envol. Je n'ai jamais été aussi fatigué de ma vie mais j'étais empreint d'une excitation phénoménale ! " Je n'avais préparé que 50 cartes de visite et quelques diapositives pour montrer mes réalisations. Elles sont parties en une journée et je ne savais même pas à qui je les avais données. Les éditeurs comme Cappellini ou Flos se sont tous montrés très curieux de ma démarche et j'ai immédiatement été publié. C'est à ce moment que j'ai quitté le studio de Philippe Starck. Que représente pour vous cette plateforme de lancement qu'est le SaloneSatellite ?Il s'agit d'un endroit très excitant, où se réunissent une série de créateurs et leurs " visions ", qui matérialisent un ou deux ans de travail. Il y a là des échecs, des envies, des passions. On y voit de la compétition, des égos... c'est un côté qui peut faire peur. On peut se dire " jamais je ne rencontrerai les éditeurs ".... Mais cela peut se produire, à condition de travailler pour. C'est comme l'amour ou le mariage : on ne peut pas savoir au préalable quand et comment cela va se dérouler ! De fortes histoires se nouent, d'autres se délitent, et il y a aussi parfois des divorces. Quelles sont les nouveautés que vous exposez cette année au Salone ?En tout, je propose sept projets conçus avec cinq éditeurs, utilisant des techniques et matériaux différents. Comme cette année célèbre les 20 ans du SaloneSatellite, l'organisme a demandé aux éditeurs de montrer des pièces spéciales : Fermob a ainsi présenté la chaise Facto réalisée à mes débuts et éditée depuis 20 ans.J'ai également révélé le complément de la gamme Ester, initiée il y a deux ans avec la marque Pedrali, à laquelle nous avons ajouté une barre en aluminium injecté, léger et résistant particulièrement adapté aux fonctions et usages des restaurants. Pour la même marque, nous avons développé le canapé outdoor Reva de 1,5 et 3 places. Son cadre, réalisé dans le même matériau, sur lequel est tendu de la toile Batyline [tissu technique, ndrl], lui permet de sécher rapidement s'il est mouillé. Cela crée une sorte de cage où l'on pose des coussins. À l'attention de Kartell, j'ai réalisé un prototype de lampe/bougeoir en plastique, Candy candle, détournement du bougeoir traditionnel ; et pour Cassina la table Lebeau, allégorie de l'arbre. Concernant la marque Fiam j'ai manipulé le verre cuit. On vient à rebours en recuisant une dalle de verre à laquelle on applique un moule texturé. Quelque part garde la trace du feu. De produit fini à produit artisanal. Avec Porada et la chaise Ella, je me suis penché sur l'utilisation du bois massif en France qui avait en effet quasiment disparue car la matière coûte chère, mais surtout sa mise en "uvre. Certaines grandes maisons le travaillaient toujours, mais la révolution digitale et celle de l'usinage ont vraiment changé la donne, et ont permis de réinvestir le matériau. Ici, chacune des 17 pièces de noyer a ainsi nécessité un réel travail d'ébénisterie. Il s'agit d'un des matériaux qu'on peut utiliser à l'infini. Cela me fascine. Afin de faire la promotion de cette collection, nous avons réalisé une série de photographies de la chaise devant un arbre de la forêt de Fontainebleau, dont les spécimens ont 50 ou 100 ans, parfois 200. Une partie de cette zone est encore utilisée pour la récolte. C'est extraordinaire : afin que les plants ne soient pas tordus par le vent ou mangés par les sangliers ou par les cerfs, ou qu'ils ne souffrent pas de sécheresse, on les protège durant 30 ans. C'est le travail de toute une vie d'un forestier, qui sera récupéré par un autre, puis un autre, qui pourrait être son petit-fils ! Comment choisissez-vous vos collaborations ?Elles sont font naturellement, car je traite avec gens que je connais au sein des grandes maisons d'édition. Je les connaissais déjà un peu à mes débuts grâce à mon travail chez Philippe Starck, qui m'avait mis le pied à l'étrier. Vous avez travaillé plusieurs années pour Philippe Starck, vous semblez pourtant très différents..." En effet, je suis presque l'opposé de Philippe Starck ! On ne peut pas tricher. Par exemple, jouer la star, ce ne serait pas moi. Lui il ne triche pas et le copier serait une catastrophe. " Cela ne sert à rien de regarder avec envie ce qu'on ne peut pas être. Le design est parfois une société de spectacle, certains se déguisent en " super-moi " pour être repérés, alors qu'il y a plein de manières d'y arriver. D'autant plus que tous les éditeurs ne sont pas à l'aise avec ce genre de postures. En définitive, le design est un monde qui reflète plein de manières d'être. C'est une folie de croire qu'on a besoin d'être imbuvable ! Depuis vos premières aventures milanaises, vous revenez souvent dans cette terre du design. Quel est votre attachement à cette zone ?Non loin de Milan, la province de la Brianza, spécialisée dans l'industrie du meuble, est des endroits les plus riches d'Europe. Elle est fondée sur une manière de travailler ensemble dans la compétition mais aussi dans l'entre-aide. Il y a un décalage avec l'Hexagone. Chez nous, on essaie à tout prix de contrôler le savoir-faire à la française, de tout pouvoir faire, du coup nous n'avons pas toujours les meilleures machines. En Italie, c'est différent : chacun est spécialiste d'une technologie. Il y a donc un assemblage des meilleurs savoir-faire pour mener à bien un projet. Finalement, combien de projets traitez-vous simultanément à l'agence ?Environ 45, traités par deux entités distinctes, deux " marques " : il y a Jouin Manku, qui se charge des projets d'architecture et d'architecture d'intérieur ; et Patrick Jouin ID, pour Industrial designer, nom trouvé par l'auteur Pierre Doze. Pourtant aucun de tous vos projets ne se ressemble ! Y a-t-il un " Style Jouin " ?J'essaie d'éviter de faire la même chose. J'ai l'obsession du confort, de la sensualité.On passe longtemps à dessiner les choses, à les utiliser. L'impact visuel ne représente qu'une petite partie. Si au bout 3 heures on est mal sur une chaise : c'est non pour nous !Il s'agit là de mon savoir-faire. Photographies :1) Patrick Jouin, © Benoit Linero2) Reva, Pedrali3) Ella, Porada4) Facto, Fermob5) Reva, Pedrali6) Ester, Pedrali7) Candy Candle, Kartell, © Kartell8) Lebeau Wood, Cassina9) Magma, Fiam10) Ella, Porada11) Louis, Porada Pour en savoir plus, visitez le site de Patrick Jouin
Il y a 8 ans et 3 jours

Rénovation à venir à l'opéra de Sydney

L'icône architecturale de la ville, due au Danois Jørn Utzon (1918-2008), a ouvert en 1973?
Il y a 8 ans et 3 jours

Paris-Saclay : la maîtrise d'oeuvre du quartier de Moulon attribuée à...

Suite à une consultation lancée par l'EPA Paris-Saclay, le groupement mené par l'Atelier de paysages Bruel-Delmar et JAM décroche le marché de maîtrise d'oeuvre urbain du quartier de Moulon sur le campus Paris-Saclay.
Il y a 8 ans et 3 jours

" La diversité des pédagogies est une source de richesse ", Yoann Guy Munier, président de l'Union française des étudiants du paysage

Elu le 30 avril à la présidence de l'Union française des étudiants du paysage où il a succédé à Sophie Maille, Yoann Guy Munier met le rayonnement international de l'association en tête de ses priorités. En quatrième année à l'Ecole supérieure du paysage de Blois, l'élève paysagiste de 25 ans répond aux questions de Paysage Actualités et de Lemoniteur.fr depuis l'Australie où il séjourne pour quatre mois.
Il y a 8 ans et 3 jours

68 projets en quête de chef de gare ?

La maison de l'architecture en Ile-de-France à Paris organise un cycle de conférence fort à propos au sujet des gares du Grand Paris Express (GPE). Ces 68 ouvrages, dont neuf sont "emblématiques", font l'objet d'une "approche architecturale spécifique", c'est-à-dire contextuelle. S'il faut rendre grâce ici à un projet de territoire à l'échelle métropolitaine, ne s'agissait-il […]
Il y a 8 ans et 3 jours

Construire réversible, réponse à l'absurdité immobilière ?

Dans un contexte où le trop-plein de bureaux coexiste en ville avec la pénurie de logements, l’avenir de la construction passe-il par la réversibilité des édifices ? C’est en tout cas le propos que développe l’agence Canal Architecture dans l’ouvrage Construire Réversible, paru en avril 2017. "Qu’attendons-nous pour construire réversible ?". Patrick Rubin est allé […]
Il y a 8 ans et 3 jours

A Metz, aux pieds du temple, les marchands

MUSE, "lieu de commerces et de loisirs", est la pièce angulaire du nouveau Quartier de l'Amphithéâtre. Cette opération mixte de 80 000 m² est située face au Centre Pompidou-Metz, à deux pas du futur hôtel Starck et à 10 minutes à pied du centre-ville. A la man"uvre, Jean-Paul Viguier. Ouverture prévue à l'automne 2017. Communiqué […]
Il y a 8 ans et 3 jours

Quels sont les nouveaux enjeux de la construction souterraine ?

Planification des espaces souterrains, nouvelles technologies pour la construction de tunnels, résilience des villes face aux catastrophes ou amélioration de la qualité de vie des urbains. Découvrez les enjeux identifiés par le professeur Tarcisio Celestino, le président de l'Association internationale des tunnels et de l'espace souterrain qui tiendra son congrès à Bergen en Norvège, au mois de juin.
Il y a 8 ans et 4 jours

Renforcement de la loi SRU, ce que disent les nouveaux décrets

Deux nouveaux décrets, parus le 7 mai 2017 au Journal Officiel, viennent renforcer l'application de la loi SRU. Ils redéfinissent les conditions d'application territoriale du dispositif, fixe les seuils de pression de la demande de logement social et renforce les moyens de l'Etat face aux communes récalcitrantes. Précisions.
Il y a 8 ans et 4 jours

Festival D'Days : Let's Play

Le festival des D'Days vient d'inaugurer sa 17e édition restant fidèle à sa raison d'être : promouvoir le design et la création grâce à une dynamique et une effervescence collectives. À découvrir sous la nef du Musée des Arts Décoratifs de Paris (1er), une sélection d'"uvres réparties en une vingtaine de pavillons. Le festival des D'Days, dont le nom provient de la contraction des deux termes Designer's Days, est un événement transversal présent dans de nombreux lieux de la Capitale : du Grand Palais à la Gaité Lyrique, en passant par la galerie Joseph. Son but : mettre en avant la production de designers, souvent peu connus, ici associés à de nombreux partenaires. Cette sélection de projets témoigne de la vivacité et de la variété de la création française. La thématique de cette année, " Let's Play ", se veut volontairement ludique, et souligne la capacité du domaine à réinventer les règles, à rebattre les cartes et à créer de nouveaux usages. Les règles du jeu sont simples : elles sont en perpétuelle évolution. Dans un esprit participatif et collaboratif, les acteurs, du concepteur à l'usager, forment alors une chaîne solidaire et féconde qui a pour but de remodeler à l'infini le visage du l'esthétisme moderne. Par exemple, Kartell et le créateur néo-zélandais George Nuku présentent ici une série de meubles inspirée de l'art Maori. Une réinterprétation d'un savoir-faire typique, visible dans l'utilisation de certains matériaux comme la pierre, le bois, les coquilles et même les os. Sont également visibles des travaux plus traditionnels, comme les tapisseries des ateliers d'Aubusson ; l'installation audiovisuelle des frères Bodart avec leur Pianographe ; ou encore le Plan Symbiotique du studio Mameluca, une structure composée de poutrelles en bois et entièrement modulable, symbolisant un modèle social où les hommes peuvent vivre en harmonie entre eux, et avec la nature. Ainsi queIl'atelier textile de Dedar, intitulée Pachisi tapestry : a colour playground, qui permet de choisir son propre tissu et son coloris à disposer sur une toile, le visiteur devient à son tour designer. On note également Stairway to Infinity (probablement en hommage au célèbre morceau de Led Zeppelin) de l'agence RDAI, conçu en collaboration avec 3A Composites : un escalier de vingt-huit marches en bois de plus en plus étroites, placé dans l'angle d'une pièce. Mais cette pièce est recouverte des murs au plafond de miroirs, donnant une impression d'espace infini où tout objet se démultiplie encore et encore. Un volume hors du temps qui perturbe fortement le sens de l'orientation et la perception de ses visiteurs. " D'Days " jusqu'au 14 mai 2017, Musée des Arts Décoratifs, Paris (1er) Photographies : 1) "Stairway to Infinity" , RDAI 2) Esquisse de "Stairway to Infinity" , RDAI 3) Entrée du fesival sous la nef du Musée des Arts Décoratifs de Paris 4 & 5) "?Papier Machine" , Marion Pinaffo & Raphaël Pluvinage  6) Tissu "Pachisi", Dedar 7) "Divano Uncle Jack Te Aomarama' , Kartell & George Nuku , ©Raffaele Origone 8)  "Phoenix Pop" , Marie Aurore Stiker Metral, Les Ateliers d'Aubusson  9) "Pianographe" , Florent & Romain Bodart 10) "Symbiotic Plan" Mameluca Studio, ©Mameluca Studio Pour en savoir plus, visitez le site de D'Days 
Il y a 8 ans et 4 jours

Festival D'Days : Let's Play

Le festival des D'Days vient d'inaugurer sa 17e édition restant fidèle à sa raison d'être : promouvoir le design et la création grâce à une dynamique et une effervescence collectives. À découvrir sous la nef du Musée des Arts Décoratifs de Paris (1er), une sélection d'"uvres réparties en une vingtaine de pavillons. Le festival des D'Days, dont le nom provient de la contraction des deux termes Designer's Days, est un événement transversal présent dans de nombreux lieux de la Capitale : du Grand Palais à la Gaité Lyrique, en passant par la galerie Joseph. Son but : mettre en avant la production de designers, souvent peu connus, ici associés à de nombreux partenaires. Cette sélection de projets témoigne de la vivacité et de la variété de la création française. La thématique de cette année, " Let's Play ", se veut volontairement ludique, et souligne la capacité du domaine à réinventer les règles, à rebattre les cartes et à créer de nouveaux usages. Les règles du jeu sont simples : elles sont en perpétuelle évolution. Dans un esprit participatif et collaboratif, les acteurs, du concepteur à l'usager, forment alors une chaîne solidaire et féconde qui a pour but de remodeler à l'infini le visage du l'esthétisme moderne. Par exemple, Kartell et le créateur néo-zélandais George Nuku présentent ici une série de meubles inspirée de l'art Maori. Une réinterprétation d'un savoir-faire typique, visible dans l'utilisation de certains matériaux comme la pierre, le bois, les coquilles et même les os. Sont également visibles des travaux plus traditionnels, comme les tapisseries des ateliers d'Aubusson ; l'installation audiovisuelle des frères Bodart avec leur Pianographe ; ou encore le Plan Symbiotique du studio Mameluca, une structure composée de poutrelles en bois et entièrement modulable, symbolisant un modèle social où les hommes peuvent vivre en harmonie entre eux, et avec la nature. Ainsi queIl'atelier textile de Dedar, intitulée Pachisi tapestry : a colour playground, qui permet de choisir son propre tissu et son coloris à disposer sur une toile, le visiteur devient à son tour designer. On note également Stairway to Infinity (probablement en hommage au célèbre morceau de Led Zeppelin) de l'agence RDAI, conçu en collaboration avec 3A Composites : un escalier de vingt-huit marches en bois de plus en plus étroites, placé dans l'angle d'une pièce. Mais cette pièce est recouverte des murs au plafond de miroirs, donnant une impression d'espace infini où tout objet se démultiplie encore et encore. Un volume hors du temps qui perturbe fortement le sens de l'orientation et la perception de ses visiteurs. D'Days, jusqu'au 14 mai 2017, Musée des Arts Décoratifs, Paris (1er) Photographies : 1) Esquisse de Stairway to Infinity, RDAI 2) Papier Machine, Marion Pinaffo & Raphaël Pluvinage  3) Entrée du festival sous la nef du Musée des Arts Décoratifs de Paris 4 ) Papier Machine, Marion Pinaffo & Raphaël Pluvinage  5) Stairway to Infinity, RDAI  6) Tissu Pachisi, Dedar 7) Divano Uncle Jack Te Aomarama, Kartell & George Nuku , © Raffaele Origone 8) Phoenix Pop, Marie Aurore Stiker Metral, Les Ateliers d'Aubusson  9) Pianographe, Florent & Romain Bodart 10) Premier plan : Tissu Pachisi, Dedar Second plan : Symbiotic Plan, Mameluca Studio, © Mameluca Studio Pour en savoir plus, visitez le site de D'Days 
Il y a 8 ans et 4 jours

SRU : deux décrets pour redéfinir le champ d'application

Deux décrets du 5 mai permettent de redéfinir le champ d'application territoriale de l'article 55 de la loi SRU. Conformément aux articles 97 à 99 de la loi Egalité et citoyenneté du 27 janvier 2017, ils précisent les cas où les conditions d'application de la loi SRU sont renforcées et prévoient, dans le même temps, l'exemption de certaines communes.  
Il y a 8 ans et 4 jours

Teramat inaugure une agence à Clermont-Ferrand

Teramat, distributeur Hitachi présent sur le sud-est du territoire, organise une journée portes ouvertes le 19 mai prochain à l'occasion de l'inauguration de sa nouvelle agence à Clermont-Ferrand.
Il y a 8 ans et 4 jours

Ligne 7 Architecture : Pôle Sportif André Clousier

C'est dans la ville du Neubourg (27) que l'agence Ligne 7 Architecture conçoit le pôle sportif André Clousier, remplaçant l'ancien gymnase du collège Pierre Corneille. Les maîtres d'"uvre, Bernard Ritaly et Dominique Lardeau, ont souhaité réaliser une structure en adéquation avec les fonctions sportives du lieu tout en s'inscrivant dans une démarche environnementale. Le complexe sportif été implanté en extrémité ouest du collège Pierre Corneille afin de faciliter l'accès des élèves qui peuvent y pénétrer sans avoir à sortir de l'enceinte scolaire, comme cela était le cas auparavant, tout en conservant un accès principal sur la rue. Le pôle sportif est divisé en trois espaces : la façade d'entrée " salle polyvalente, vestiaires et hall ", une grande salle omnisport et un toit-terrasse végétalisé. La construction utilise des lignes de composition orthonormées, mêlant l'horizontalité des unités et verticalité des matériaux, visible par exemple avec les lames de bardage métallique recouvrant la grande salle. Un travail sur les espaces vides et pleins a également été effectué, avec un soubassement en béton contrastant avec une partie supérieure vitrée plus aérienne qui offre transparence et luminosité naturelle. À l'intérieur, le blanc côtoie le bois clair et confère à ce lieu un aspect apaisant, loin des couleurs criardes que l'on trouve habituellement dans les gymnases. Un grand mur d'escalade jaune vient en outre égailler et dynamiser la pièce. Avec ce centre sportif, ayant obtenu le Label BBC-Effinergie, les concepteurs proposent une construction aux qualités environnementales non négligeables, notamment par un entretien peu contraignant du bâtiment, que dans l'utilisation des sources énergétiques renouvelables " réduction des consommations en énergie et en eau potable. De quoi s'exercer dans les meilleures conditions possibles en alliant sport, confort et conscience écologique. Photographies : Stephane Chalmau Pour en savoir plus, visitez le site de Ligne 7 Architecture
Il y a 8 ans et 4 jours

Ligne 7 Architecture - T. Bresdin : Pôle Sportif André Clousier

C'est dans la ville du Neubourg (27) que les agences Ligne 7 Architecture et T. Bresdin conçoivent le pôle sportif André Clousier, remplaçant l'ancien gymnase du collège Pierre Corneille. Les maîtres d'"uvre ont souhaité réaliser une structure en adéquation avec les fonctions sportives du lieu tout en s'inscrivant dans une démarche environnementale. Le complexe sportif été implanté en extrémité ouest du collège Pierre Corneille afin de faciliter l'accès des élèves qui peuvent y pénétrer sans avoir à sortir de l'enceinte scolaire, comme cela était le cas auparavant, tout en conservant un accès principal sur la rue. Le pôle sportif est divisé en trois espaces : la façade d'entrée " salle polyvalente, vestiaires et hall ", une grande salle omnisport et un toit-terrasse végétalisé. La construction utilise des lignes de composition orthonormées, mêlant l'horizontalité des unités et verticalité des matériaux, visible par exemple avec les lames de bardage métallique recouvrant la grande salle. Un travail sur les espaces vides et pleins a également été effectué, avec un soubassement en béton contrastant avec une partie supérieure vitrée plus aérienne qui offre transparence et luminosité naturelle. À l'intérieur, le blanc côtoie le bois clair et confère à ce lieu un aspect apaisant, loin des couleurs criardes que l'on trouve habituellement dans les gymnases. Un grand mur d'escalade jaune vient en outre égailler et dynamiser la pièce. Avec ce centre sportif, ayant obtenu le Label BBC-Effinergie, les concepteurs proposent une construction aux qualités environnementales non négligeables, notamment par un entretien peu contraignant du bâtiment, que dans l'utilisation des sources énergétiques renouvelables " réduction des consommations en énergie et en eau potable. De quoi s'exercer dans les meilleures conditions possibles en alliant sport, confort et conscience écologique. Photographies : Stephane Chalmeau Pour en savoir plus, visitez le site de Ligne 7 Architecture
Il y a 8 ans et 4 jours

Ligne 7 Architecture - T. Bresdin : Pôle Sportif André Clousier

C'est dans la ville du Neubourg (27) que les agences Ligne 7 Architecture et T. Bresdin conçoivent le pôle sportif André Clousier, remplaçant l'ancien gymnase du collège Pierre Corneille. Les maîtres d'"uvre ont souhaité réaliser une structure en adéquation avec les fonctions sportives du lieu tout en s'inscrivant dans une démarche environnementale. Le complexe sportif été implanté en extrémité ouest du collège Pierre Corneille afin de faciliter l'accès des élèves qui peuvent y pénétrer sans avoir à sortir de l'enceinte scolaire, comme cela était le cas auparavant, tout en conservant un accès principal sur la rue. Le pôle sportif est divisé en trois espaces : la façade d'entrée " salle polyvalente, vestiaires et hall ", une grande salle omnisport et un toit-terrasse végétalisé. La construction utilise des lignes de composition orthonormées, mêlant l'horizontalité des unités et verticalité des matériaux, visible par exemple avec les lames de bardage métallique recouvrant la grande salle. Un travail sur les espaces vides et pleins a également été effectué, avec un soubassement en béton contrastant avec une partie supérieure vitrée plus aérienne qui offre transparence et luminosité naturelle. À l'intérieur, le blanc côtoie le bois clair et confère à ce lieu un aspect apaisant, loin des couleurs criardes que l'on trouve habituellement dans les gymnases. Un grand mur d'escalade jaune vient en outre égailler et dynamiser la pièce. Avec ce centre sportif, ayant obtenu le Label BBC-Effinergie, les concepteurs proposent une construction aux qualités environnementales non négligeables, notamment par un entretien peu contraignant du bâtiment, que dans l'utilisation des sources énergétiques renouvelables " réduction des consommations en énergie et en eau potable. De quoi s'exercer dans les meilleures conditions possibles en alliant sport, confort et conscience écologique. Photographies : Stephane Chalmeau Pour en savoir plus, visitez le site de Ligne 7 Architecture
Il y a 8 ans et 4 jours

Megaman lance Dino Sensor, un luminaire led pour l'éclairage permanent des parkings et zones d'activités

Equipé de la technologie LED Tecoh FLx et d'un capteur détecteur de présence, le luminaire LED intégrée DINO Sensor de MEGAMAN apporte une solution d'éclairage permanent, étanche et économe en énergie pour l'extérieur et les emplacements souterrains.
Il y a 8 ans et 4 jours

Hung Nguyen Architects: The Pavilion of the Origins

Situé à Hanoï (Viêt Nam), le Pavillon des origines est un projet mariant architecture, design et végétation, avec une sélection de plantes spécialement choisies pour leurs propriétés dépolluantes. Un poumon vert qui apporte une bouffée d'air frais dans un contexte urbain parfois suffocant. Positionné sur le toit-terrasse d'une maison de trois étages de la capitale vietnamienne, la structure principale de cette pergola se compose d'un ensemble de cadres blancs modulables de hauteur différente, formant des tables, des chaises et même des hamacs par l'adjonction de filets tendus. Un lieu de repos et de contemplation donc. Le tout, bercé par le vent, est noyé de lumière naturelle. Ces jardinières aériennes cubiques de 20 centimètres de côté subdivisent subtilement cet espace ouvert, mais couvert, de 18 mètres carrés. Les armatures en acier ainsi que le gravier sont blancs pour mieux se fondre dans le ciel et les nuages, tandis que le toit translucide en polycarbonate réduit le rayonnement solaire. La présence des végétaux permet de créer une oasis urbaine dans ce qui est l'une des villes les plus polluées d'Asie, et peut-être alors d'y respirer un peu mieux par l'action purifiante des plantes. Cette jungle suspendue apporte à la fois le calme et la sérénité nécessaires à ses propriétaires, ressource leur esprit et d'oxygéne leurs poumons : un retour aux sources. Photographies : Nguyen Thai Thach Pour en savoir plus, visitez le site de Hung Nguyen Architects