Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Urbanisme - Aménagement

Depuis plus de 10 ans, la ville de Fosses (95) s'emploie à se transformer à l'aide d'aménagements simples et efficaces afin de créer un nouveau coeur de ville.

L'atelier Zündel et Cristea a réalisé la démolition puis la reconstruction de deux amphithéâtres et salles de cours en site occupé pour l'université Paris Descartes. Le projet met en "uvre une géométrie et un principe constructif simples, tout en offrant une peau délicate composée de lamelles de mélèze posée à claire-voie. Le projet de construction de deux amphithéâtres de 200 places pour l'Université Paris Descartes a été fortement contraint par la nécessité de construire dans un c"ur d'îlot entièrement occupé par un étage de parking. Cette situation particulière a confronté les architectes à un exercice complexe de conception et de programmation de l'opération. La définition claire et compacte du projet répond à un problème initial de lisibilité du site. Par la disposition des volumes pleins en partie haute et des baies vitrées en partie basse au niveau du regard, les architectes ont recherché des transparences et des vues dégagées le long de la cour. Afin de permettre une mise en "uvre légère, rapide et peu nuisible, les architectes ont opté pour une mise en "uvre à sec par montage des panneaux réalisés en atelier. L'édifice est conçu en ossature et panneaux métalliques isolés, habillés ensuite par des lamelles en bois de mélèze posées à claire-voie. Le choix du métal a été déterminé par deux contraintes : la nécessité de construire avec une ossature légère et enfin d'assurer de grandes portées dues au programme. Ce mode constructif a également permis de réduire le temps de chantier et de surmonter les problèmes d'accessibilité au site situé en plein c"ur d'îlot parisien. Localisation : 143 avenue de Versailles 75 016 Paris Equipe AZC : Cyril Berthelet, Fabien Bargue, Bertrand Suvelier Partenaires : Batiserf, Louis Choulet, Bureau Michel Forgue, VS-A, Batiss, Altia Budget : 3.25 M¤ HT Surface : 906 m2 Entreprises : Lesueur, Ziliani, Salmon, Alma, Broyez, Décor Isolation, UTB, Blanchard, Ligne et couleur     Photographies : Sergio Grazia Pour en savoir plus, visitez le site de AZC    

Pich Tripasai présente la collection Living Boutique éditée par Deesawat. Lignes épurées et simplifiées conduisent une collection qui met en "uvre matériaux et savoir-faire thaïlandais. La collection a été dessinée par le designer Pich Tripasai, elle a été conçue pour s'adapter autant à un espace résidentiel qu'à une boutique de mode. La collection Living Boutique est composée d'un tabouret, d'une table, d'un vase, d'une étagère, d'un miroir et d'un portant. En utilisant le bois en teck et la céramique de Chiang Mai, Pich Tripasai met en avant des matériaux thaïlandais. Il les associe à des matériaux industriels comme l'acier et le miroir, et redéfinit les formes pour offrir une esthétique contemporaine à ses créations. Né à Bangkok, Pich Tripasai obtient son diplôme d'Architecture à l'Université Polytechnique de Milan en Italie. Pendant 10 ans, il travaille en Italie pour de nombreux studios de design, notamment Duccio Grassi Architects. En 2012, il fonde le studio de design multidisciplinaire, TRIPASAI ARCHITECT, dans sa ville natale, Bangkok. Ce studio est dédié à l'architecture intérieure et le design de produit. La collection Living Boutique a été remarquée à Paris cet automne, elle a remporté le prix du public du Rado Star Prize lors de la dernière Paris Design Week. Pour en savoir plus, visitez le site de TRIPASAI ARCHITECT

André Santini, président du Syndicat des Eaux d'Ile-de-France (Sedif), et la ville de Villejuif (94) inaugureront le 15 octobre prochain le nouveau réservoir R7.

Le projet alternatif à la tour Phare, dévoilé le 11 septembre dernier par Unibail-Rodamco, a désormais un nom et un architecte. Il s'agira de la tour Sisters, composé deux bâtiments reliés par une passerelle, dont le dessin a été confié à l'architecte française Christian de Portzamparc. Détails.

L'agence Axel Schoenert architectes a été mandatée pour la restructuration de l'ancien siège de Goldman and Sachs : l'immeuble de bureaux situé au 2 rue de Thann dans le 17ème arrondissement de Paris. Axel Schoenert, amoureux et spécialiste de ces questions entre patrimoine et intervention contemporaine, introduit une nouvelle page d'histoire au c"ur de ces anciens murs haussmanniens. Au travers d'une recherche d'écriture architecturale de transition, entre l'ancien et l'intervention contemporaine, l'architecte joue avec deux motifs. L'un repris et inspiré des ferronneries extérieures, l'autre prenant la forme de pixels diffus et élégants. Ce dernier se déclinant à l'intérieur sur différentes surfaces. Pour l'architecte, rien n'est figé, et tous les bâtiments évoluent en fonction de leur temps. Il a alors essayé d'installer un dialogue respectueux entre l'histoire du lieu, à laquelle il faut prêter attention, et une nouvelle naissance architecturale permettant au bâtiment d'évoluer en fonction de nouvelles attentes et de nouvelles habitudes. Le projet offre désormais une surface de plancher modulable de 4.130 m². L'aménagement et la densification des espaces, la démarche HQE Exceptionnel, BREEAM Excellent et BBC, la mise en conformité PMR ainsi que l'ensemble de l'architecture intérieure inscrivent ce bâtiment parmi les immeubles de bureaux de haut standing du Quartier Central des Affaires QCA de Paris, idéalement situé face au Parc Monceau. La rédaction de Muuuz a rencontré Axel Schoenert. Il nous présente le projet conçu et conduit par son agence. Pour en savoir plus, visitez le site de Axel Schoenert    

A Sainte-Maxime, sur la Côte d'Azur, Laure Girodroux a réalisé la rénovation de l'hôtel Les Jardins de Sainte-Maxime. Inspirée par la Méditerranée, l'architecte d'intérieur a offert au lieu de nouvelles atmosphères généreusement éclairées de lumière naturelle et mises en scène autour de compositions colorées. "Le programme de rénovation, élaboré conjointement avec la direction de l'hôtel et mon agence, était de donner à cet hôtel une nouvelle identité visuelle sans dénaturer sa forte personnalité de lieu de villégiature, où la clientèle recherche avant tout du confort, du service et de la sérénité..." rappelle Laure Girodroux. Inondé de lumière par un atrium de 3 étages, c'est dès l'entrée que l'on mesure l'importance de l'éclairage naturel dans l'approche architecturale du projet. Une douceur méditerranéenne que l'architecte a mise en scène à la manière d'un fil conducteur accompagnant l'hôte dès la réception. Les espaces de vie ont été traités en camaïeu de bleus, gris et beiges dont les nuances colorées évoluent à chaque heure de la journée. L'ambiance générale, claire, chaleureuse et relaxante voulait être en adéquation parfaite avec le paysage extérieur de pins et souhaitait obtenir une impression de continuité entre les deux. Des claustras d'inspiration asiatique, constitués de lames en chêne massif assemblées par des entretoises de laiton brossé, viennent segmenter l'espace pour créer des filtres entre zones publiques et privées dans le lobby. Dans le bar, ces mêmes éléments décoratifs dont la verticalité dessine des jeux d'ombre et de lumière, forment des alcôves plus intimes où l'on est invité à prendre son temps dans des assises enveloppantes très scandinaves de l'éditeur Hay. Une banquette multicolore, ludique et stylisée dans la zone bar; une immense frise en papier peint aux teintes vives dont le graphisme a été spécialement imaginé pour l'occasion, dans les zones de restauration; nous plonge dans la belle époque Californienne des années 50. La présence de la courbe dans le traitement des faux-plafonds en forme de grands nuages aléatoires rétroéclairés, contraste avec des agencements dessinés pour l'hôtel, en bois et Corian. Leurs lignes plus strictes redonnent de la tension pour créer un ensemble architectural dynamique et cohérent. Photographies : Marie-Line Denis et David-Emmanuel Cohen Pour en savoir plus, visitez le site de Laure Girodroux & Associés    

La Halle de Pantin vient d’ouvrir ses portes dans la banlieue nord-est de Paris, en Seine Saint Denis (93). Un lieu stratégique pour Saint Gobain Distribution Bâtiment France

Le projet se compose d'un programme de six logements qui se développe sur une parcelle fine. Parcelle, issue du découpage en lanière à l'époque où de nombreux jardins potagers occupaient ce quartier de Toulouse. Taillandier Architectes Associés offre un plan intelligent qui a su contourner ces contraintes d'espaces. Le terrain du projet est long et étroit. Le site a aussi offert aux architectes une contrainte majeure, celle d'une hauteur de submersion de près de 4 mètres. Le rez-de-chaussée n'est donc utilisé que pour le parking des voitures. Deux blocs constituent et formalisent le projet, situés de part et d'autre de la parcelle, ils sont reliés par la circulation verticale complétée par quelques coursives. Ces dernières sont privatisées et deviennent de véritables espaces extérieurs attenants à chacun des logements. Seuls les pignons ont pu recevoir des ouvertures, du à la construction en limite de parcelle. Le plan des logements s'organise en fonction. L'espace étroit est divisé en deux tout au long de la longueur de l'appartement, et propose une partie dédiée au séjour et à la cuisine, puis une autre aux deux chambres et aux salles d'eau. Les architectes ont mis en "uvre un plan simple mais efficace, adapté à la parcelle et qui permet également une bonne densité de logement. La peau extérieure a été composée en acier corten qui a été décliné jusque sur les persiennes et brise-soleil qui occultent les ouvertures. L'utilisation d'une même matérialité pour l'ensemble du projet a été recherchée afin de souligner une lisibilité claire au bâtiment dans un contexte hétérogène. La teinte a également été reprise sur les murs mitoyens. Maitrise d'ouvrage : M. Vidjanagni Maitrise d'oeuvre : Taillandier architectes associés Schon : 560 m2 Coût : 1.7 M¤ Livraison : 2015 Photographies : Thomas Cecconi Pour en savoir plus, visitez le site de Taillandier Architectes Associés  

La ville de Bezannes a imaginé avec le concours de Plurial Novilia un projet de pôle intergénérationnel dont la construction démarre début 2016.

Sylvia Pinel a présenté hier en Conseil des ministres une ordonnance prévue par la loi Alur visant à clarifier le code de l’urbanisme.

Le Syndicat national du béton prêt-à-l'emploi (SNBPE) recevait pour son habituel déjeuner-débat, axé cette année sur le management durable des territoires, Alain Juppé, actuel maire de Bordeaux et futur candidat à l'élection présidentielle de 2017. En léger décrochage face aux inquiétudes des organisations industrielles présentes à l'événement, l'ancien Premier ministre a clairement montré que pour lui, la campagne a déjà commencé.

SNCF Réseau a annoncé le 15 septembre 2015 la nomination de Gilles Cheval comme directeur territorial en Auvergne Rhône-Alpes. Il succède à ce poste à Anne Lambusson.

La ville de Bagneux (92), la Société du Grand Paris, et la Semaba, aménageur de l'écoquartier Victor Hugo, ont choisi le groupement Nexity/Sodéarif/Imestia pour la réalisation du projet immobilier jouxtant la future gare de Bagneux dans le Grand Paris Express.

Le spécialiste italien de l'éclairage public AEC Illuminazione a fourni plus de 16 000 solutions d'éclairage Italo dans le cadre du renouvellement de l'éclairage urbain de la ville de Brescia en Italie.

Dans le cadre du chantier Seven, un programme de 12 500 m& de bureaux sur 7 niveaux à Gerland, dans le 7è arrondissement de Lyon, Cemex s'est efforcé de fournir des bétons à faible consommation d'énergie.

Le chantier du conservatoire de Romainville (93) accuse plusieurs mois de retard alors qu'il aurait dû être achevé pour la rentrée 2015 et inauguré dans le courant du mois de septembre.

34 projets de construction ont été récompensés par  la ministre du Logement, de l'Egalité des territoires et de la Ruralité pour leurs bonnes pratiques et innovations numériques, à l'occasion du colloque BIM Maquette numérique.