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Toute l'actualité du bâtiment

255523 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 57 jours

Manitou se « modélise »

Manitou Group, référence mondiale de la manutention, de l’élévation de  personnes et du terrassement, choisit la plateforme BIM&CO pour la modélisation de ses produits Manitou. Cette solution permet, via un logiciel d’architecture, de digitaliser son catalogue de produits  et de les rendre disponibles gratuitement depuis une bibliothèque accessible sur le site manitou.com. Retrouvez l’interview complète de Manitou sous ce lien. Afin de poursuivre le développement de son offre de services et notamment celui des solutions  digitales, le groupe lance la modélisation de ses produits Manitou dédiés au marché de la construction.  Disponibles dans le monde entier (français et anglais) dans la bibliothèque BIM via le site manitou.com et sur la plateforme BIM&CO, les utilisateurs architectes BIM modeleurs, ou encore projeteurs,  peuvent facilement introduire les machines Manitou dans leurs environnements de travail lors d’un  projet de chantier. Le BIM (Building Information Modeling) désigne les outils de modélisation des  informations de la construction, englobant toutes les phases d’un chantier, de sa conception à sa  déconstruction. Cette modélisation assure à l’utilisateur une expérience totalement immersive, tout  en lui apportant une aide à la prise de décision et à la rationalisation des coûts. Cette base de données  est gratuite et facilement accessible : une simple création de compte est suffisante pour accéder à  l’ensemble des modèles 3D. Arnaud Boyer, VP Marketing & Product Development pour Manitou Group, explique la mise en place  de ce nouveau service : “Notre transformation digitale s’accélère et doit permettre à nos clients d’être  encore plus performants sur leurs chantiers. C’est pourquoi Manitou propose des fichiers dynamiques au format BIM, qui s’inscrivent dans une approche collaborative du développement de projets. »  Découvrez l’intégralité du communiqué de presse sous ce lien.
Il y a 3 ans et 57 jours

Colloque « Patrimoines et architecture : quels risques, quelles expériences en Europe ? »

Face aux menaces qui pèsent sur les patrimoines et l’architecture, des réflexions et des échanges sont nécessaires au niveau européen pour améliorer le niveau de connaissances, anticiper les différents types de risques et échanger sur les solutions à mettre en œuvre. Ces enjeux feront l’objet d’un colloque organisé les 24 et 25 mars à l’Institut national du patrimoine (INP), à Paris. A l’occasion de six tables rondes, qui réuniront des représentants d’institutions patrimoniales, de l’Union européenne, de la société civile, des experts, spécialistes et personnalités, seront ainsi abordées les différentes typologies de risques et menaces qui pèsent aujourd’hui sur le patrimoine, les musées, les archives et l’architecture européenne. Programme
Il y a 3 ans et 57 jours

Début de restauration du grand orgue symphonique de Notre-Dame de Paris

Les 8 000 tuyaux du grand orgue symphonique de Notre-Dame de Paris répartis en 115 jeux en font le plus grand instrument de France en nombre de jeux. Lors de l’incendie, il n’a pas été inquiété par les flammes et a reçu très peu d’eau au cours de l’intervention des pompiers. Néanmoins, il a été recouvert de poussières de plomb et certaines parties ont souffert des variations thermiques subies par la cathédrale depuis l’incendie, notamment lors de la canicule de juillet 2019. Il nécessite donc un nettoyage approfondi et une restauration, qui ne peuvent être effectués sur place. Il a donc été déposé du 3 août au 9 décembre 2020. Un appel d’offres a été publié le 1er avril 2021. Le groupement attributaire des travaux de restauration de l’instrument – l’atelier Quoirin, à Saint-Didier (Vaucluse), l’atelier Cattiaux-Chevron, à Liourdres (Corrèze) et la Manufacture Languedocienne de Grandes Orgues, à Lodève (Hérault) – a été désigné à l’été 2021. Réalisés sous la maîtrise d’ouvrage de l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris et sous la maîtrise d’œuvre de Christian Lutz (mandataire) et Eric Brottier, organologues, techniciens-conseils agréés par le ministère de la Culture pour les orgues protégés au titre des monuments historiques, les travaux de nettoyage et de restauration du grand orgue ont débuté l’automne dernier pour lui permettre de résonner dans la cathédrale lors de sa réouverture au culte et à la visite en 2024. L’ensemble des éléments déposés, stocké dans des entrepôts spécialement aménagés par l’établissement public, a ainsi été peu à peu transféré et réparti entre les trois ateliers : à la Manufacture Languedocienne de Grandes Orgues, les 19 sommiers, préalablement décontaminés cet hiver par l’Atelier Quoirin,sont en train d’être restaurés. à l’atelier Cattiaux-Chevron, les travaux de décontamination et de révision de la console et des 8000 tuyaux, commencent, à l’atelier Quoirin qui, après avoir décontaminé les 19 sommiers, se chargera cet été de la pose des 850 électro-aimants qui permettront d’ouvrir les soupapes des sommiers (par lesquelles l’air alimentera les tuyaux et les fera sonner), ainsi que par la pose des 180 vérins pneumatiques qui actionneront les registres (planches trouées en bois). Concomitamment, dans la cathédrale, la décontamination du buffet du grand orgue, se termine. Il bénéficiera ensuite d’une restauration, qui débutera en avril et durera jusqu’à l’été. L’opération, sous la maîtrise d’œuvre de Philippe Villeneuve, architecte en chef des monuments historiques, sera réalisée par une restauratrice de peintures. La restauration des quatre grands soufflets se tiendra cet été. L’opération consiste à renouveler tous les joints d’étanchéité, confectionnés en peau de mouton et qu’il ne serait pas possible de décontaminer sans altérer leurs propriétés. Destinés à garantir une réserve suffisante d’air sous pression, quelle que soit la consommation qui en est faite suivant les registres tirés par l’organiste, ils devront être rigoureusement étanches. Pour que la colle chaude adhère bien, il faudra que le bois soit à une température supérieure à 20°C, de manière à ce qu’elle pénètre bien dans les pores et ne se fige pas trop vite. C’est pourquoi cette opération se fera durant les mois les plus chauds de l’été 2022. Dernière étape du chantier de restauration du grand orgue, dans la cathédrale, la restauration des tuyaux de façade, restés sur place car trop fragiles pour être transportés, aura ensuite lieu en octobre 2022. En 2023, à l’issue de sa restauration, le grand orgue sera remonté dans la cathédrale. Il sera alors harmonisé et accordé afin de lui permettre de résonner lors de sa réouverture au culte et à la visite, en 2024. L’opération, qui exige le silence le plus complet, sera effectuée de nuit.
Il y a 3 ans et 57 jours

4eme Congrès National de Sites & Cités remarquables de France

Les inscriptions pour le 4eme Congrès National de Sites & Cités remarquables de France sont ouvertes. Il aura lieu le 30 juin et 1er juillet 2022 à Dax et aura pour thème « Centres anciens : enjeux climatiques & écologiques » . Deux grandes plénières sont prévues, une autour de « la Loi Malraux, 60 ans et après ? » et l’autre sur les « Centres anciens, nouveau climat ». Sept ateliers sont programmés. https://congres.dax-tourisme.com/event/registration?eventid=3&langue=FR
Il y a 3 ans et 57 jours

Oise : un futur équipement plus fonctionnel pour les pompiers de Nogent-sur-Oise et de Montataire.

À Nogent-sur-Oise, un nouveau centre d’incendie et de secours remplacera un équipement devenu exigu et obsolète.
Il y a 3 ans et 57 jours

55% des acteurs de la construction de maison ne respectent pas la réglementation

La DGCCRF a révélé les chiffres de son enquête sur les constructeurs de maison individuelle le 10 mars : plus d'un établissement sur deux ne respecte pas la réglementation. Les manquements constatés sont variés.
Cimbat
Il y a 3 ans et 57 jours

Bas-Rhin : la construction de l’école Mentelin à Strasbourg est lancée

La future école Mentelin, en construction à Strasbourg, ouvrira en 2024.
Il y a 3 ans et 57 jours

Cécile Taffin élue Présidente de l'UNGE

Une femme pour la première fois à la tête du syndicat représentatif des géomètres-expertsAprès deux années d’un contexte sanitaire compliqué, les adhérents de toute la France se sont réunis à Paris pour l’élection des membres du Comité Directeur, organe exécutif du syndicat. Cette instance, composée des présidents des chambres régionales de l’UNGE et de membres élus, élit ensuite les candidats aux postes du Bureau National. C’est donc Cécile TAFFIN, jusqu’alors Vice-présidente sous la présidence de Régis LAMBERT, qui a été élue Présidente pour les deux prochaines années. A ses côtés a été réélue Amandine BOUCHON dans ses fonctions de trésorière nationale. Wilfried MADULI et Emmanuel SIMON-BARBOUX, déjà membres du Bureau National, occupent désormais respectivement les postes de Secrétaire National et de Vice-Président.Quelques mots sur Cécile TAFFIN, 42 ans :2002 : diplômée de l’Ecole Supérieure de Géomètres et Topographes Dirige depuis 2009 le cabinet 2CT Géomètre-Expert, implanté dans le Pas-de-Calais.Parcours syndical :2014 : Présidente de l’UNGE Nord-Picardie et pilote du Groupe de travail Communication2016 : Secrétaire de l’UNGE national2018 : Vice-Présidente de l’UNGE nationalLe Comité Directeur renforce sa féminisationLe renouvellement des membres élus au Comité Directeur a également permis l’arrivée de deux nouvelles recrues, Pascale BONNIER et Delphine CASSASOLLES, toutes deux déjà investies dans les instances régionales de l’UNGE. Ces six membres auront donc maintenant à cœur de porter les ambitions du nouveau projet stratégique, Trajectoire 2026.
Il y a 3 ans et 57 jours

Les inscriptions sont ouvertes pour le Trophée béton Pro

Architectes, bureaux d'études, entreprises, industriels qui ont réalisé au cours des 5 dernières années une réalisation exemplaire en béton peuvent soumettre leur candidature en ligne jusqu'au 30 juin.
Il y a 3 ans et 57 jours

Cécile Taffin élue présidente de l'Union nationale des géomètres-experts

Jeudi 10 mars, l'Union nationale des géomètres-experts (UNGE) a organisé ses rencontres nationales 2022 à Paris. A cette occasion, Cécile Taffin a été élue à la tête du syndicat pour les deux prochaines années. 
Il y a 3 ans et 57 jours

Val-de-Marne : rénovation de la rue Massenet à Champigny-sur-Marne

Dans le quartier de Coeuilly à Champigny-sur-Marne, des travaux de voirie sont entrepris sur la rue Massenet.
Il y a 3 ans et 57 jours

Hérault : aménagement des Aresquiers à Vic-la-Gardiole

À Vic-la-Gardiole, les travaux des Aresquiers visent à maîtriser la fréquentation de ce patrimoine naturel pour mieux le préserver.
Il y a 3 ans et 57 jours

Vaucluse : Beaumes-de-Venise se dotera de 43 nouveaux logements au premier trimestre 2023

Un ensemble immobilier, incluant un commerce et plus d’une quarantaine de logements, est en passe de voir le jour à Beaumes-de-Venise. Ce projet permettra de revitaliser le centre-bourg de cette commune du Vaucluse.
Il y a 3 ans et 57 jours

Les sites de production Bouyer Leroux déjà décarbonés à 45% confirment leur transition énergétique

Une nouvelle politique volontariste de transition énergétique a été engagée en 2018 avec comme ambition de décarboner 90% de l’activité production de briques à horizon 2025 - 2027 pour un budget global de 62 millions €.Cette politique d’anticipation commence à porter ses fruits puisque 5 sites de production de briques de mur -La Séguinière (49), Mably (42), Colomiers (31), Gironde sur Dropt (33), Saint-Martin des Fontaines (85)- affichent un taux moyen de décarbonation de 45% à fin février 2022. Par ailleurs, ils font l’objet de plans d’actions spécifiques qui permettront à très court terme de réduire les consommations énergétiques et l’impact carbone des 9 lignes de production de briques de mur.Sur le site de La Séguinière (49), plus grand site de production de briques en France, déjà décarboné à plus de 50% avec du biogaz et de la biomasse, un nouveau projet de foyer biomasse source d’énergie pour le séchage des produits entre dans sa phase de réalisation. La commande principale du foyer à VINCKE est en cours et les travaux préparatoires ont déjà commencé. Cet investissement supérieur à 10 millions € permettra de décarboner plus de 80% de sa consommation d’énergie à horizon 2024.Le site de Mably (42), historiquement alimenté par du biogaz et doté d’une cogénération, poursuit sa transition vers un objectif de décarbonation totale de son process. Un projet d’usine à sciure, également lauréat du programme France Relance, a été lancé en 2021 pour un investissement de 4,7 millions €. La première étape va démarrer en avril 2022 avec la mise en service d’une installation de porosage. Ceci se traduira par un ajout de biomasse dans le mélange d’argile permettant d’augmenter la part d’énergie renouvelable de 20 à 40%.Le site de Gironde sur Dropt (33), déjà décarboné à 70% fait l’objet d’un projet d’investissement de 7 millions €, lauréat du programme France Relance ; ce projet permettra de moderniser l’outil industriel et de réduire la consommation d’énergie thermique de 25%. Ainsi à horizon 2027, l’activité de ce site sera décarbonée à hauteur de 90%.Pour le site de Saint-Martin-des- Fontaines (85) : en collaboration avec la société NAODEN et avec l’aide de l’ADEME, Bouyer Leroux a initié la phase de mise en service du pilote industriel des gazéifieurs dédiés à l’industrie céramique. Cette phase de Recherche & Développement doit permettre à Bouyer Leroux de valider cette solution d’utilisation de la biomasse à grande échelle. Cette unité pilote de gazéification représente un budget d’investissement de 2,3 millions €.Fort de la transition énergétique qu’elle a déjà réalisée et mobilisée sur les actions et projets planifiés, la société Bouyer Leroux met en œuvre la stratégie volontariste qu’elle a décidé de déployer. Elle se montre confiante quant à la pertinence de la solution bio’bric pour répondre aux exigences de la RE 2020 et être à long terme un producteur de solutions constructives pour les maisons individuelles et les logements collectifs éco-performants.
Il y a 3 ans et 57 jours

Seine-et-Marne : point sur les travaux prévus à Champeaux en 2022

Le village de Champeaux entame cette année plusieurs opérations, dont la réhabilitation de la collégiale Saint-Martin.
Il y a 3 ans et 57 jours

Ille-et-Vilaine : les Portes mordelaises, à Rennes, se rénovent

Le chantier de restructuration des Portes mordelaises se poursuivra jusqu’en 2024.
Il y a 3 ans et 57 jours

Val-d’Oise : réouverture de la piscine des Louvrais à Pontoise

La piscine des Louvrais à Pontoise rouverte au public.
Il y a 3 ans et 57 jours

Intégrer les habitats légers dans un plan local d’urbanisme

Il existe différentes façons, qui peuvent être complémentaires, d’inscrire le sujet des habitats légers dans un plan local d’urbanisme – et plus précisément dans les différentes pièces qui le composent. Cette démarche, aussi bien administrative que politique, permet d’apporter un cadre plus clair pour les personnes désireuses d’implanter des habitats légers sur le territoire d’une […]
GDA
Il y a 3 ans et 58 jours

"Contreparties" au RSA : un programme pour revenir vers le monde du travail, selon Borne

"Il y a bien des contreparties, mais ce dont nous parlons, c'est d'un programme composé de différentes activités comme des formations ou des immersions en entreprise qui permettent de reprendre contact avec le monde professionnel, de préciser son projet et de le réaliser. Ce n'est pas du travail d'intérêt général", a précisé Elisabeth Borne dans un entretien paru en ligne mardi 22 mars à l'hebdomadaire L'Obs."Il ne s'agit pas d'imposer aux allocataires du RSA de faire des travaux d'intérêt général sans être payés, comme le propose Madame (Valérie) Pécresse", a-t-elle dit. La candidate du parti Les Républicains à l'élection présidentielle propose que les bénéficiaires donnent "quinze heures d'activité à la société".Dans le projet du candidat Macron, indique Mme Borne, il s'agit "de participer à des ateliers dans lesquels on peut faire un bilan personnalisé. Cela peut permettre d'identifier les freins à l'emploi, comme des problèmes de santé, et de proposer une prestation. Ou bien aider à faire un CV et apprendre à se présenter devant un employeur. Ou encore découvrir des métiers grâce à des immersions en entreprise, puis, financer une formation professionnelle".Alors que le président-candidat Emmanuel Macron avait évoqué jeudi une "obligation" de consacrer 15 à 20 heures par semaine à ce type de mission, Mme Borne a assuré que cela "ne concerne pas les personnes qui font face à de graves problèmes de santé ou d'addiction, à des problèmes psychiques, à des difficultés de garde d'enfants"."La logique que nous avons mise en place dans le contrat d'engagement jeune, c'est celle de sanctions progressives. Si vous signez un contrat, mais que vous ne le respectez pas, alors on peut suspendre votre allocation pendant une semaine pour commencer. (...) Mais cela suppose de tenir compte de la situation de la personne. Ça ne peut pas être la même chose pour un jeune et pour une personne qui a charge de famille", selon Mme Borne.Le revenu de solidarité active (RSA), perçu en 2020 par 2,1 millions d'allocataires, assure aux personnes sans ressources un niveau minimum de revenu qui varie selon la composition du foyer.Dans un rapport en janvier, la Cour des comptes a mis en cause un accompagnement "nettement insuffisant" des allocataires. Sept ans après l'entrée dans le dispositif RSA, seuls 34% des allocataires en moyenne ont un emploi.
Il y a 3 ans et 58 jours

Émoi à Strasbourg après la disparition du "rayon vert" de la cathédrale

L'information était passée inaperçue, mais figure sur le site internet de la cathédrale à la rubrique "Le saviez-vous ?", au paragraphe consacré au rayon vert : "Avertissement : ce qui suit, a pris fin le mercredi 16 mars 2022. Le +verre brut+, laissant entrevoir jusqu'à cette date un +rayon de couleur verte+, a définitivement été obstrué".Sollicitée par l'AFP, la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) du Grand Est, qui doit diffuser dans l'après-midi un communiqué de presse à ce sujet, a indiqué que le verre en question avait effectivement été remplacé lors d'une "restauration", confirmant une information du quotidien régional Les Dernières nouvelles d'Alsace (DNA).Ce "rayon vert", qui attirait des centaines de touristes et de curieux, apparaissait lors des équinoxes de printemps (le 20 ou 21 Mars à 11H38) et d'automne (le 22 ou 23 Septembre à 12H24) et "illuminait le Christ crucifié de la chaire" de la cathédrale, rappelle le site de l'édifice religieux.Le vitrail en question y avait été installé en 1876. Le soleil y traversait le pied gauche de Juda, ancêtre du Christ et fils de Jacob, pour produire le fameux rayon.Mais "la projection du soleil en un rayon de couleur verte était apparue très vraisemblablement à la suite d'une restauration datant de 1972 au cours de laquelle le pied de Juda aurait été remplacé par un verre brut et, de ce fait, très transparent", explique encore le site internet.C'est en effet cette année-là que le phénomène a été découvert par Maurice Rosart, un ingénieur-géomètre.Ce dernier a aussitôt crié au "scandale" lorsqu'il a appris que le rayon n'était pas au rendez-vous ce week-end : il "a été purement et simplement supprimé", s'est-il offusqué dans un courriel transmis à l'AFP."Cet acte est un mauvais coup porté aux Strasbourgeois, à la Culture, à la Laïcité, aux Lumières", a-t-il encore déploré, rappelant qu'un cache avait déjà été brièvement apposé au printemps 1990 sur le vitrail, empêchant le rayon de se former.Ce phénomène a longtemps alimenté les polémiques, entre partisans d'explications ésotériques et autorités ecclésiastiques qui n'ont longtemps vu derrière lui qu'un simple "hasard".
Il y a 3 ans et 58 jours

A Lyon, Ikea va ouvrir un magasin pas comme les autres

NOUVEAU CONCEPT. Alors que le géant du meuble suédois a ouvert des magasins en plein de coeur Paris, il s'attaque désormais à Lyon. A partir du 31 mars, il sera présent au centre commercial Westfield La Part-Dieu avec un concept un peu particulier.
Il y a 3 ans et 58 jours

Crues des Alpes-Maritimes : la concertation a rassemblé 10% des habitants

"Ca montre qu'il y a une envie de la part des gens de rebondir après la crise qu'ils ont vécue", a insisté M. Fesneau samedi dans un entretien à l'AFP. Au total, 1.421 des quelque 15.000 habitants des vallées de la Roya, de la Vésubie et de la Tinée, où les crues d'octobre 2020 ont fait 10 morts et huit disparus, ont participé à cette concertation. Un chiffre "très au-dessus de la moyenne pour des exercices similaires", selon la synthèse consultée par l'AFP.A partir de ces propositions, déjà partagées avec les maires, des discussions vont maintenant s'engager avec les collectivités territoriales, appelées à les financer. "Car l'idée est bien que ce soit l'Etat et les collectivités locales qui décident des projets à financer", a expliqué M. Fesneau.Sur les 572 millions d'euros consacrés à la reconstruction, l'Etat a réservé 50 millions d'euros à ces projets participatifs, financement qui pourra plus que doubler grâce aux collectivités et à l'Union européenne.Les projets retenus seront présentés à l'automne. "L'important c'est d'assumer nos choix et de les assumer publiquement", a plaidé M. Fesneau, selon qui le coût ne sera pas le seul critère : "La panoplie des projets choisis doit correspondre à l'envie du territoire, au-delà de la reconstruction stricte".Quatre axes principaux se sont dégagés, avec le souci de "vallées vivantes", notamment en redonnant vie aux centres historiques des villages par la réhabilitation des logements et l'accueil de nouveaux habitants.Deuxième axe, le besoin de "connexions adaptées" entre vallées. Ainsi faut-il "désenclaver le territoire, numériquement et physiquement", avec le développement d'un réseau haut débit ou la modernisation des lignes ferroviaires.Pour désenclaver Casterino, toujours isolé depuis les crues, à 1.550 m d'altitude dans la Roya, c'est un téléphérique qui a été suggéré, pour rejoindre les hôtels et le site de ski de fond du hameau.Dans le cadre d'un "autre équilibre avec la nature", les habitants appellent à une transition énergétique, notamment en développant les énergies renouvelables et en soutenant de nouveau la filière bois.Enfin, pour encourager une "nouvelle attractivité", une diversification de l'offre d'hébergement touristique semble nécessaire, toute comme la création de zones d'activités commerciales, d'une zone franche, ou la mise en valeur du patrimoine culturel.
Il y a 3 ans et 58 jours

Kingfisher : Castorama et Brico Dépôt confirment leur bonne santé en 2021

RÉSULTATS. Le groupe britannique de bricolage, Kingfisher, annonce des résultats en hausse, dans un contexte conjoncturel et géopolitique compliqué. Après quelques années difficiles, ses marques françaises, Castorama et Brico Dépôt affichent de nouveau des chiffres d'affaires en hausse.
Il y a 3 ans et 58 jours

Paris : restauration au sommet pour la coupole du lycée Henri IV

PATRIMOINE. Voisin du Panthéon, le lycée Henri IV fait l'objet depuis 2018 d'un chantier de réhabilitation de sa coupole, située à la croisée de la bibliothèque des Génovéfains, au coeur de l'ancienne abbaye. C'est à un véritable travail d'orfèvre que se livrent les artisans et spécialistes présents dans les murs de ce monument classé qui accueille néanmoins 2.700 élèves. Visite.
Il y a 3 ans et 58 jours

Pour Sotralentz Construction, la guerre propulse l’acier à son pic

Fabricante de treillis soudés et d’éléments de voussoirs, l’entreprise voit le prix d’achat de son acier tripler, par rapport à son niveau d’il y a un an, du fait du déclenchement du conflit ukrainien.
Il y a 3 ans et 58 jours

Flambée des prix : "Du jamais vu depuis 20 ou 30 ans", Bernard Sala, Président de Routes de France

Le représentant des entreprises de travaux routiers décrypte la hausse brutale et globale des prix du bitume, du gaz et des carburants. Un phénomène brutal lié à la guerre en Ukraine et qui pourrait déstabiliser la filière.
Il y a 3 ans et 58 jours

La renationalisation totale d'EDF n'est "pas un tabou" pour la majorité présidentielle

PRÉSIDENTIELLE 2022. Les représentants d'Emmanuel Macron pour les sujets énergétiques ont détaillé le programme du président-candidat.
Il y a 3 ans et 58 jours

MaPrimeRénov’ pour PAC et biomasse : une mesure en trompe l’œil pour la Capeb

Dans le cadre du plan de Résilience annoncé par le Premier Ministre le 16 mars 2022, plusieurs mesures impactant le remplacement des systèmes de chauffage dans l’habitat ont été annoncées par le Gouvernement afin d’accélérer la politique de réduction de la dépendance aux énergies fossiles. Si l’augmentation de 1000 €, à partir du 15 avril prochain et jusqu’à la fin de l’année 2022, de l’aide MaPrimeRénov’ pour l’installation d’un système de chauffage renouvelable de type pompes à chaleur (y compris hybrides) ou chaudières biomasse est une mesure qui facialement est positive, la CAPEB considère, sauf évolution, que cette aide supplémentaire est en trompe-l’œil vis-à-vis du reste à charge pour les ménages les plus modestes. En effet, cette mesure, intervient dans un contexte où les CEE sont impactés par un effet déflationniste, à ce jour, aucun des grands obligés, à l’exception d’EDF, n’a décidé de porter l’offre Coup de Pouce Chauffage. Si l’aide Coup de Pouce Chauffage n’est pas mobilisable pour l’installation d’une pompe à chaleur à 12 000 €, le reste à charge pour les ménages les plus modestes s’élèvera, à compter du 1er avril prochain, à 7 000 € en intégrant l’augmentation de 1 000 €, et non 4 000 € comme aujourd’hui, ce qui inévitablement conduira les particuliers à se détourner de ce type de travaux. La CAPEB considère que des mesures urgentes doivent être prises pour que les offres Coup de Pouce CEE restent attractives au vu du cours actuel des CEE sur le marché, pour pouvoir être portées par les acteurs du dispositif des CEE. Sans quoi, le secteur sera confronté à un arrêt brutal des travaux d’amélioration de la performance énergétique des logements. Avec à la clef un désintérêt des entreprises artisanales du bâtiment des dispositifs d’incitation. Cet article MaPrimeRénov’ pour PAC et biomasse : une mesure en trompe l’œil pour la Capeb est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 58 jours

Certifications RSE chez EQIOM

Les agences EQIOM Bétons d’Alsace, de Dijon, d’Île-de-France et du Nord Pas de Calais reçoivent la certification « Exemplarité », le niveau le plus élevé du label RSE décerné par l’UNICEM, tandis que les sites de Franche-Comté et de Lorraine conservent le même niveau d’excellence obtenu précédemment. Suite à une série d’audits externes, réalisée sur certains sites et dirigée par le CERIB sur chaque thématique de la charte (gouvernance, environnement, capital humain, ancrage territorial, relations avec les fournisseurs, clients et parties prenantes), EQIOM Bétons se distingue en tant que contributeur majeur de la transition environnementale du secteur. L’engagement RSE de l’agence Normandie vient d’être également salué par le niveau « Maturité ».
Il y a 3 ans et 58 jours

Certifications RSE chez EQIOM

Les agences EQIOM Bétons d’Alsace, de Dijon, d’Île-de-France et du Nord Pas de Calais reçoivent la certification « Exemplarité », le niveau le plus élevé du label RSE décerné par l’UNICEM, tandis que les sites de Franche-Comté et de Lorraine conservent le même niveau d’excellence obtenu précédemment. Suite à une série d’audits externes, réalisée sur certains sites et dirigée par le CERIB sur chaque thématique de la charte (gouvernance, environnement, capital humain, ancrage territorial, relations avec les fournisseurs, clients et parties prenantes), EQIOM Bétons se distingue en tant que contributeur majeur de la transition environnementale du secteur. L’engagement RSE de l’agence Normandie vient d’être également salué par le niveau « Maturité ». Cet article Certifications RSE chez EQIOM est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 58 jours

Configurateur de FDES pour les isolants URSA

URSA lance son configurateur de FDES : BANKIZ. Cette nouvelle plateforme en ligne, disponible sur www.bankiz-fdes.fr, permet d’établir en quelques clics le profil environnemental, personnalisé et adapté, de chacun des produits de l’indusriel. En matière d’isolation, les FDES, disponibles sur la base INIES, sont établies à partir de données collectives ou liées à un produit en particulier. Elles n’apportent donc pas toujours les réponses attendues par le maître d’œuvre, dans le cadre de sa problématique spécifique. Ce nouvel outil permet d’associer la disponibilité des données environnementales des gammes d’isolants de la marque et l’adaptabilité de ces dernières à chaque projet. La plateforme web en accès libre, -permet de calculer et délivrer les profils environnementaux personnalisés des produits isolants en laine de verre ou polystyrène extrudé de toutes les gammes URSA, en 3 étapes : sélection du type de bâtiment et d’ouvrage à isoler, choix des paramètres pour trouver le meilleur produit répondant à sa demande en termes de résistance thermique, épaisseur, conductivité thermique, nature de l’isolant… Et, calcul du profil environnemental. Une fois ce calcul effectué, BANKIZ fournit le profil environnemental du ou des produit(s) utilisé(s), et la FDES et son attestation de vérification. Les profils environnementaux ainsi établis peuvent être directement exportés dans les logiciels ACV via la plateforme EDEC.   Cet article Configurateur de FDES pour les isolants URSA est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 58 jours

Configurateur de FDES pour les isolants

URSA lance son configurateur de FDES : BANKIZ. Cette nouvelle plateforme en ligne, disponible sur www.bankiz-fdes.fr, permet d’établir en quelques clics le profil environnemental, personnalisé et adapté, de chacun des produits de l’indusriel. En matière d’isolation, les FDES, disponibles sur la base INIES, sont établies à partir de données collectives ou liées à un produit en particulier. Elles n’apportent donc pas toujours les réponses attendues par le maître d’œuvre, dans le cadre de sa problématique spécifique. Ce nouvel outil permet d’associer la disponibilité des données environnementales des gammes d’isolants de la marque et l’adaptabilité de ces dernières à chaque projet. La plateforme web en accès libre, -permet de calculer et délivrer les profils environnementaux personnalisés des produits isolants en laine de verre ou polystyrène extrudé de toutes les gammes URSA, en 3 étapes : sélection du type de bâtiment et d’ouvrage à isoler, choix des paramètres pour trouver le meilleur produit répondant à sa demande en termes de résistance thermique, épaisseur, conductivité thermique, nature de l’isolant… Et, calcul du profil environnemental. Une fois ce calcul effectué, BANKIZ fournit le profil environnemental du ou des produit(s) utilisé(s), et la FDES et son attestation de vérification. Les profils environnementaux ainsi établis peuvent être directement exportés dans les logiciels ACV via la plateforme EDEC.  
Il y a 3 ans et 58 jours

Val-de-Marne : réhabilitation de la copropriété Raspail d’Ivry-sur-Seine

Les immeubles d’habitation de la copropriété Raspail à Ivry-sur-Seine font l’objet de travaux de réhabilitation.
Il y a 3 ans et 58 jours

Décret Pinel+ : "C'est gagné", estime l'architecte François Leclercq

LOGEMENT. L'architecte François Leclercq, auteur du référentiel de la qualité du logement, a réagi à la publication du décret fixant les critères de qualité attendus pour les logements bénéficiant du Pinel+.
Il y a 3 ans et 58 jours

Macron radioactif : la carte de ses EPR ou le prix de l’indépendance énergétique

Le président Emmanuel Macron réélu, il sera temps pour lui de résoudre la question de l’indépendance énergétique du pays avec, comme il l’a promis, l’édification de 14 EPR. Ce n’est pas tant la construction elle-même qui pose problème, Bouygues montrant à Flamanville (Manche) un savoir-faire qui fait l’envie de ses concurrents mondiaux. Non, la vraie […] L’article Macron radioactif : la carte de ses EPR ou le prix de l’indépendance énergétique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 58 jours

La filière de l'énergie solaire réclame "un plan d'urgence solaire"

"Nous sommes entrés dans un état d'urgence énergétique qui concerne l'ensemble des énergies décarbonées, dont le solaire en particulier, compte tenu de sa capacité à croître rapidement", souligne le syndicat Enerplan.Pour l'association du solaire (électrique et thermique), "il est désormais nécessaire de prendre des mesures radicales et immédiates, y compris dérogatoires, pour participer à cet effort national et européen de transformation et de restructuration du système énergétique".Mais la France est déjà en retard par rapport à ses objectifs fixés depuis 2020. Une situation dont les raisons "se résument à un cadre beaucoup trop rigide et à un manque de mobilisation des différents acteurs", déplore Enerplan.La filière réclame désormais "une franche accélération", avec un objectif de mise en service en 2025 de 10 gigawatts (GW) de centrales solaires, soit près de 4 fois plus qu'en 2021.Si 25 GW pouvaient être raccordés de 2022 à 2025, cela représenterait près de 30 TWh de production électrique supplémentaire, soit l'équivalent de 30% des importations de gaz russe (100 TWh), fait valoir le secteur. Soit aussi plus que la production annuelle de deux réacteurs EPR.Au total, le solaire générerait alors 10% de la production électrique française fin 2025, au lieu de 2028 comme le pays l'avait jusqu'ici prévu.Parallèlement, la chaleur solaire pourrait atteindre rapidement 1,5GW annuels à partir de 2025.Il faut pour ce faire établir "un plan, le plus vite possible, en concertation avec l'État", plaide Enerplan, qui relève que des pays européens (Allemagne, Italie, Espagne) ont déjà atteint ce niveau de 10 GW sur un an."Dans la conjoncture actuelle, le retard de la France dans son développement de l'énergie solaire coûte cher", souligne le président d'Enerplan, Daniel Bour.Le parc solaire français avait fin 2021 une capacité de 13 GW, loin de la trajectoire qu'imposent les derniers objectifs fixés en 2020 (20 GW à fin 2023 et 35-44 GW en 2028).
Il y a 3 ans et 58 jours

Pour les Ukrainiens, l’incantation solidaire risque de n’être pas suffisante

Depuis le 24 février 2022, la Russie de Poutine prend d’assaut l’Ukraine. Bien que ce ne soit pas le premier conflit depuis la fin de la seconde guerre mondiale en Europe, c’est le premier qui suscite en France un tel élan de solidarité. Et les architectes ? Dans quel ordre ? Dès le début du conflit, l’architecte Martin […] L’article Pour les Ukrainiens, l’incantation solidaire risque de n’être pas suffisante est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 58 jours

CEE : « 2022 sera quasiment une année blanche pour les acteurs du marché secondaire », Florence Lievyn (Sonergia)

Alors même que le prix des certificats d'économies d'énergie atteint un point bas, les énergéticiens n'en achètent pas... Ce qui met en difficulté les entreprises qui gravitent dans le secteur de la rénovation énergétique et de son financement. Le point avec Florence Lievyn, responsable des affaires publiques chez Sonergia.
Il y a 3 ans et 58 jours

Les étrangers investissent de moins en moins dans l'immobilier en France

En France métropolitaine, la part des acquéreurs étrangers non-résidents continue de diminuer pour tomber à son niveau le plus bas depuis ces dix dernières années : 1,3% en 2020 (contre 1,7% en 2010). À titre d’exemple, 3,1% des achats en Provence/Côte-d’Azur/Corse étaient réalisés par des étrangers non-résidents en 2020, contre 3,8% en 2019.Dans les Alpes et en Île-de-France, les baisses annuelles sont équivalentes à celle enregistrée sur l’ensemble de la France, à -0,2 point, avec respectivement 1,6% et 0,7% des achats en 2020. Parmi les étrangers non-résidents acquéreurs de logements en France métropolitaine, les Britanniques restent les plus représentés en 2020 et totalisent 22% des achats. Cependant, une forte baisse a été enregistrée depuis le référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’Union européenne en 2016.En 2020, les Belges n’ont jamais été aussi proches avec 20% des achats. Les Allemands, troisième nationalité la plus représentée, rassemblent quant à eux 9% des transactions intervenues en 2020, soit +1 point par rapport à 2019.La surface médiane des biens achetés par des étrangers non-résidents en province a très fortement augmenté sur dix ans : elle est passée de 77 à 95 m², soit près de 20 m² supplémentaires.Mais cette hausse est à rapprocher de l’évolution de la localisation des biens achetés. En effet, si en province, 48% des achats des étrangers non-résidents étaient effectués dans les « pôles urbains » en 2010, la proportion est descendue à 38% en 2019 et 36% en 2020.Entre 2019 et 2020, les prix médians des logements anciens achetés en France par des Français qui résident sur le territoire métropolitain ont connu des hausses plutôt homogènes : de +3% dans le Sud-Ouest à +7% sur le Littoral-Ouest. À l’inverse, celle des biens achetés par des étrangers non-résidents est très hétérogène : de +2% en Île-de-France et dans le Massif central à +30% dans le Centre-Ouest.Le profil des acquéreurs étrangers non-résidents en France métropolitaine est resté quasiment stable entre 2019 et 2020 : ils sont majoritairement âgés de 50 à 59 ans (32%), « cadres supérieurs » (33%) et conservent leurs biens au moins 15 ans (44%).
Il y a 3 ans et 58 jours

Huit nouvelles start-up intègrent le CSTB'Lab

Le CSTB'Lab annonce l'accueil de huit nouvelles start-up développant des solutions innovantes au service du bâtiment et de la ville, autant de réponses en devenir aux défis que sont notamment la massification de la rénovation et le bas carbone, la transition numérique et le bim ou encore, le recyclage de déchets de chantier.
Il y a 3 ans et 58 jours

La CNATP lance une nouvelle alerte sur la hausse du coût des carburants

EXIGENCE. La Chambre nationale des artisans des travaux publics et du paysage (CNATP) alerte une nouvelle fois les pouvoirs publics au sujet de l'augmentation des coûts du carburant. Et "exige" des mesures de compensation.