Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255523 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 57 jours

Nuki, Une porte ouverte vers l’avenir !

Graz (Autriche), le 8 Février 2022 – La porte d’entrée qui s’ouvre automatiquement quand on arrive devant les bras chargés, une ouverture à distance en cas de besoin ou encore une autorisation d’accès ponctuelle pour une location, c’est possible dès aujourd’hui en installant une Smart Lock de Nuki. Avec la Smart Lock de Nuki, plus […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Gamme thermostatique de Resideo : contrôle de la température et augmentation de l’efficacité énergétique des bâtiments – Le cas de la résidence universitaire Moncloa, à Madrid

Le bâtiment était un ancien hôpital, et a ouvert ses portes en septembre 2021. Une révision complète pour devenir une résidence universitaire entièrement équipée fut nécessaire. Le projet de la future résidence universitaire Moncloa débute en 2019, et un grand défi se présente pour offrir aux étudiants tout le confort nécessaire et un contrôle de […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Le cabinet international d’architecture et de design urbain Weston Williamson + Partners rejoint Egis

Le cabinet d’architecture Weston Williamson + Partners, basé au Royaume-Uni, rejoint aujourd’hui notre Groupe. Avec cette acquisition emblématique, Egis renforce son expertise en architecture à l’échelle mondiale.  Egis annonce aujourd’hui l’acquisition d’une participation majoritaire dans Weston Williamson + Partners. Ce partenariat offre à Egis de nouvelles perspectives internationales et élargit ses compétences en design et […]
Il y a 3 ans et 57 jours

MacKenzie Scott, ex-femme de Jeff Bezos, donne 436 millions de dollars à une ONG d'aide aux mal-logés

Habitat for Humanity a précisé que 25 millions de dollars seraient destinés à des programmes qu'elle déploie dans l'ensemble des Etats-Unis pour aider les plus démunis à obtenir un logement décent et que les 411 millions restants iraient à 84 filiales réparties dans différents États. L'argent obtenu servira également à soutenir le travail de l'ONG à travers le monde, notamment l'aide aux réfugiés ukrainiens ayant fui leur pays après l'invasion de la Russie."Grâce à cette donation, Habitat est bien positionné pour défendre efficacement les changements systémiques et sociétaux nécessaires pour améliorer l'accès équitable à un logement à des prix abordables", a déclaré le président de Habitat Jonathan Reckford, cité dans un communiqué.Mme Scott, dont la fortune est évaluée à 49,3 milliards de dollars par le magazine Forbes, s'est engagée à reverser au moins la moitié de sa richesse à des œuvres caritatives.Elle a déjà rendu publics des dons à plusieurs centaines d'associations qui oeuvrent dans des domaines variés (banques alimentaires, services financiers et de crédit pour les communautés défavorisées, groupes juridiques luttant contre les discriminations).Une grande partie de la fortune de Mme Scott, 51 ans, provient des retombées économiques de son divorce avec Jeff Bezos, finalisé en juillet 2019 et qui lui avait permis de toucher à l'époque l'équivalent de 38 milliards de dollars en actions Amazon.Leur valeur a nettement augmenté avec l'envolée du titre du géant du commerce en ligne à Wall Street.En décembre dernier, Mme Scott, qui est également romancière, avait indiqué dans un billet de blog qu'elle allait cesser de communiquer les montants de ses donations, préférant laisser les bénéficiaires le faire s'ils le souhaitent.La semaine dernière, le mouvement de jeunesse Boys and Girls Clubs of America avait ainsi annoncé avoir reçu 281 millions de dollars de la part de Mme Scott.
Il y a 3 ans et 57 jours

Logement : les candidates et candidats à la Présidentielle et leurs représentants auditionnés

L’Union sociale pour l’habitat, la Fondation Abbé Pierre, la Fédération française du Bâtiment, France urbaine et Intercommunalités de France, rassemblés dans le cadre de l’« Alliance pour le logement, grande cause nationale du quinquennat », ont formulé 21 propositions articulées autour de 7 axes. Le 9 mars à Paris, ils auditionnent les candidates et candidats […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Cedral : Bâtir des mondes plus beaux

La 12e édition du salon NORDBAT, le rendez-vous de tous les acteurs de la construction, sera pour Cedral l’occasion de présenter l’actualité de la marque. Plus de solutions, plus de services, le monde Cedral s’élargit avec un seul objectif : Bâtir des mondes plus beaux ! Une démarche qui passe par une écoute attentive des […]
Cimbat
Il y a 3 ans et 57 jours

Crise sanitaire : du temps pour se former, mais inégalement réparti

"Si le temps dégagé par le chômage partiel ne suffit pas pour se former", la crise sanitaire a "ouvert des opportunités à certains salariés", peut-on lire dans le dernier bulletin du Centre d'études et de recherches sur les qualifications (Cereq Bref, numéro 420, mars 2022).Selon cette étude portant sur la période printemps 2020-printemps 2021, le contexte spécifique "a pu, sous certaines conditions, être favorable à la formation, y compris pour une partie des salariés qui en sont habituellement éloignés".Près d'un quart des salariés non formés entre 2014 et 2020 ont suivi au moins une formation, entamé une validation des acquis de l'expérience (VAE) ou un bilan de compétences entre mars 2020 et mai 2021."Face à l'impossibilité de proposer des formations en présentiel durant le premier confinement", le ministère du Travail a décidé "la mise à disposition massive de ressources pédagogiques en ligne par des organismes de formation". Au total, plus de 40% des salariés déclarent avoir suivi ou entamé une formation entre mars 2020 et mai 2021, un taux proche de la moyenne.L'étude relève toutefois de fortes inégalités dans l'accès à la formation. "La moitié des cadres contre un tiers seulement des ouvriers ont déclaré avoir suivi au moins une formation". Les salariés des grandes entreprises et ceux en CDI à temps plein ont été plus nombreux à se former que ceux en CDD ou à temps partiel.Le poids des contraintes familiales a pesé davantage sur les femmes. Seules 14% des femmes ayant suivi une formation sur la période étudiée ont pu le faire pendant le premier confinement, où les enfants étaient à la maison, contre 21% des hommes.L'étude souligne également "le rôle déterminant de l'employeur dans l'accès à la formation" de ses salariés. Priorité a été donnée "plus souvent aux catégories les plus qualifiées": 42% des cadres et 38% des professions intermédiaires ont reçu une proposition de formation de leur employeur sur la période étudiée, contre seulement 25% des employés et 27% des ouvriers.A contrario, les salariés sans diplôme ont été les plus nombreux à déclarer n'avoir reçu aucune proposition de formation de leur employeur (76% contre 67% en moyenne), de même que les salariés en contrat à durée déterminée ou à temps partiel (respectivement 76% et 85%).
Il y a 3 ans et 57 jours

Retrouvez WOLF France au salon Nordbat 2022 les 30, 31 mars et 1er avril !

Les 30-31 mars et 01 avril 2022 se tiendra l’édition 2022 du Salon Nordbat, à Lille Grand Palais. Fédérant l’ensemble des acteurs de la construction des régions nord de la France, Nordbat permet à tous les entrepreneurs du bâtiment, aux prescripteurs et aux maîtres d’ouvrages de retrouver, en un même lieu, leurs fournisseurs et partenaires […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Du 21 mars au 16 Avril 2022, France MATERIAUX récompense la fidélité de ses clients avec

Afin d’augmenter et dynamiser le trafic en magasin et récompenser la fidélité de ses clients professionnels, France MATÉRIAUX, groupement national de négoces indépendants, propose à ses adhérents la mise en place de l’opération commerciale PRIM’O PRO du 21 mars au 16 Avril 2022. Ouverte à tous les professionnels clients des négoces France MATERIAUX participant à […]
Il y a 3 ans et 57 jours

MOSO® enrichit sa gamme de terrasse en bambou

Le retour du printemps donne une irrésistible envie de profiter à nouveau de l’extérieur. Toujours à la pointe de l’innovation, MOSO® développe sa gamme de revêtements de sols en bambou pour l’extérieur qui s’adaptent à chaque utilisation et tendance. En plus de leurs qualités intrinsèques, ces nouvelles terrasses offrent chacune leur spécificité : sécurité, résistance, […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Le plan des aménageurs pour relever le défi du ZAN

L’Union nationale des aménageurs (Unam) propose d'actionner « dès maintenant » trois leviers pour atteindre, selon ses calculs, un taux de renouvellement de 52,4% du bâti et un rythme annuel de 450 566 logements neufs, en ligne avec les besoins des communes ainsi que l'objectif de zéro artificialisation nette (ZAN) des sols.
Il y a 3 ans et 57 jours

Lancement d'un module dédié aux entreprises sur le portail « les entreprises s’engagent » pour l'accueil des déplacés ukrainiens en France

En complément de la plateforme parrainage.refugies.info lancée à destination des citoyens, un portail dédié aux entreprises est mis en place à cette adresse.Il réunit les informations et liens utiles pour les entreprises et leurs collaborateurs, en vue d’actions de plusieurs types :Dons matériels ;Dons financiers, avec la possibilité de contribuer aux fonds de concours dédié mis en place par le ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères ;Propositions de logements aux personnes déplacées.Un module dédié est également développé pour l’accueil des personnes déplacées au sein des entreprises. Ces dernières peuvent ainsi préciser leurs intentions d’embauche et les types de postes sur lesquelles elles s’engagent à accueillir, afin d’être accompagnées par les services de Pôle emploi. Toutes les entités qui le souhaitent pourront, plus largement, bénéficier des services du mouvement « Les entreprises s’engagent », qui compte aujourd’hui près de 30 000 membres et 96 clubs partout sur le territoire. L’ensemble sera enrichi progressivement, dans le cadre d’un dialogue continu avec les partenaires privés.Pour Elisabeth Borne , ministre du Travail : « Dans le contexte de déplacements massifs des personnes fuyant la guerre en Ukraine, la mobilisation des entreprises est essentielle. Il importe ainsi de coordonner notre action dès maintenant pour garantir, s’il s’avère nécessaire, un accès au marché du travail dans les meilleures conditions. Les services de l’Etat accompagneront toutes les entreprises qui s’engagent à accueillir des personnes déplacées. »Pour Thibaut Guilluy, Haut-commissaire à l'emploi et à l'engagement des entreprises : « Les entreprises de la communauté « Les entreprises s’engagent » sont déjà nombreuses à s’engager en faveur de l’accueil des personnes déplacées en France. Notre rôle est d’accompagner toutes les entreprises qui désirent s’engager : pour cela le portail sera nous l’espérons un outil utile, que nous modifierons et enrichirons par étape en fonction des retours de chacun. »
Il y a 3 ans et 57 jours

La fin du questionnaire de santé pour une partie des emprunteurs, une fausse bonne idée ?

Cette évolution fait suite aux annonces surprises du Crédit Mutuel qui évoquait déjà cette possibilité en novembre 2021. La Centrale de Financement s’interroge sur les conséquences de cette décision : la fin du questionnaire de santé entraînera automatiquement un risque supplémentaire pour les assurances, qui paiera ce risque ?Retour sur un changement complet de la logique assurantielle actuelleEn novembre 2021, le Crédit Mutuel créait la surprise en annonçant la fin du questionnaire médical pour la souscription d’une assurance emprunteur dans le cadre d’un crédit immobilier, pour certains clients et sous certaines conditions. Avec ce changement sans précédent dans le domaine de l’assurance emprunteur, le Crédit Mutuel voulait mettre fin aux formalités médicales parfois jugées d’inégalitaires entre les individus qui sont considérés à risque et ceux qui ne le sont pas. La fin de ce questionnaire concernait 91.000 clients de la banque Crédit Mutuel, et pourrait, à terme, toucher un client sur deux. Cette annonce n’est pas restée sans conséquence : le 3 février dernier, les parlementaires réunis en commission mixte paritaire votaient en faveur de la proposition de loi Lemoine, qui comporte notamment la suppression du questionnaire de santé pour une partie des emprunteurs, quelle que soit leur banque. Désormais, pour un emprunt inférieur à 200.000€ et lorsque l’échéance de remboursement du crédit contracté est antérieure au soixantième anniversaire de l'assuré, ce dernier n’aura plus besoin de remplir de questionnaire de santéLa loi Lemoine et la mutualisation des risquesLa suppression du questionnaire de santé témoigne du passage d’une logique assurantielle d’individualisation à une logique de mutualisation du risque.Le principe de mutualisation des risques consiste à répartir le coût de la réalisation d'un sinistre entre les membres d'un groupe soumis potentiellement au même risque.Concrètement, chaque assuré règle une cotisation ou prime d’assurance pour pouvoir se protéger financièrement contre les risques, évènements, dommages qui peuvent toucher ses biens ou ses responsabilités. Les primes versées, ajoutées à celles des autres assurés, servent à régler les sinistres qui surviennent à quelques-uns seulement. S’assurer, c’est donc accepter le principe de payer pour les autres sachant que peut-être un jour, ce sera pour soi-même.Dans le cas de la fin du questionnaire de santé, la mutualisation du risque signifie l’uniformisation des tarifs pour tous les clients n’ayant plus besoin de remplir de questionnaire de santé. Une personne en bonne santé paiera alors la même assurance qu’une personne avec des problèmes de santé.Cette mutualisation n’est donc pas profitable à tous les types de clients : statistiquement, on observe que les emprunteurs de la tranche d’âge la plus basse (25-35 ans) sont moins soumis aux risques de problèmes de santé. Ces mêmes clients, souvent primo-accédants, sont aussi généralement ceux qui bénéficient du niveau de vie le plus faible, et seront donc les plus impactés par une augmentation des prix de l’assurance.Les secundo-accédants, de 35 à 50 ans, paieront, quant à eux, le même prix d’assurance que les primo-accédants, même si leur niveau de vie est généralement plus élevé et leur risque de contracter un problème de santé plus fort.« Une fois de plus, les jeunes, souvent primo-accédants, se voient freinés dans leur accession à la propriété. La mutualisation des risques va se faire au détriment des jeunes, en bonne santé, cherchant à accéder à la propriété. Finalement, c’est la double peine pour eux : déjà souvent moins payé en raison de leur entrée dans la vie active, ils devront payer une assurance plus chère malgré leur bonne santé ! A l’inverse une personne plus âgée, qui gagne mieux sa vie, ayant eu un accident de santé mais avec un niveau de vie qui lui permet de payer une assurance un peu plus élevée, sera doublement avantagée ! “ résume Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de Financement.De plus, l’augmentation des prix du fait de la mutualisation des risques, entraverait l’attractivité des prix des contrats alternatifs face aux contrats des banques, réduisant la compétitivité des assurances.Les solutions envisagées par les assureursCette loi soulève également de nombreuses interrogations pour les assureurs, qui vont devoir prendre des décisions en conséquence. Pour éviter une prise de risque trop imprudente qui pourrait amener les assurances à risquer la faillite, il faut considérer comme probable que certaines choisissent de se retirer du marché pour les crédits de moins de 200.000€.On peut aussi s’attendre à ce qu’elles mettent en place une clause de refus d’antériorité en excluant de l’assurance le passif d’un client, ce qui apparaît difficilement faisable puisque tout sera désormais fondé sur du déclaratif. Beaucoup de questions pratiques restent en suspens sur la mise en œuvre de la loi Lemoine. Il n’est pas possible de savoir comment réagira le marché immobilier à terme, mais il est nécessaire de prendre en compte ces potentiels effets négatifs. La proposition de loi Lemoine oblige d’ailleurs les pouvoirs publics à remettre un rapport sur la suppression du questionnaire de santé, d’ici deux ans.
Il y a 3 ans et 57 jours

"Nous observons une croissance à 3 chiffres sur le marché du pro", R. Labat, Mano Mano pro

INTERVIEW. Depuis 2019, la marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano, est partie à la conquête des professionnels du Bâtiment avec Mano Mano Pro. Cette plateforme, qui affiche une croissance à 3 chiffres depuis sa création, accélère encore son développement. Roxane Labat, directrice marketing de Mano Mano Pro, nous en dit plus.
Il y a 3 ans et 57 jours

Le solaire photovoltaïque a confirmé sa bonne dynamique sur l'ensemble de l'année 2021

RENOUVELABLES. Avec 750 mégawatts de nouveaux raccordements au réseau entre octobre et décembre 2021, la filière solaire a vu son volume de branchements nettement rebondir par rapport à l'été dernier, ce qui lui a permis d'achever un exercice très dynamique avec 2,57 gigawatts raccordés.
Il y a 3 ans et 57 jours

Le Cinov milite pour une "rénovation sensorielle globale" des logements

PRÉSIDENTIELLE. La fédération Cinov vient de communiquer ses propositions pour le futur quinquennat. L'organisation professionnelle représentant les métiers de la prestation intellectuelle propose notamment d'introduire la notion de "rénovation sensorielle globale" des logements.
Il y a 3 ans et 57 jours

Crise des matériaux : l’Untec redoute des reports de chantier

Reports de chantiers, moins de réponses aux appels d’offre, marges sous pression… les conséquences de la crise des matériaux sur les entreprises et les maîtres d’ouvrage sont nombreuses selon l’Union nationale des Économistes de la construction (Untec).
GDA
Il y a 3 ans et 57 jours

L'État invité à mieux planifier et consulter pour faire accepter les parcs éoliens

DÉBATS. Dans un avis, le Conseil économique, social et environnemental préconise de mieux planifier la transition énergétique et de consulter davantage la population afin d'améliorer l'acceptabilité des infrastructures, comme les parcs éoliens. L'instance avait été saisie à l'automne dernier par le Premier ministre Jean Castex pour tenter de calmer les débats houleux autour des projets d'énergies renouvelables.
Il y a 3 ans et 57 jours

Isolation thermique par l'extérieur : Parexlanko lance un produit biosourcé

PRODUITS. La société Parexlanko (groupe Sika) vient d'annoncer le lancement d'un nouveau produit biosourcé destiné à des opérations d'isolation thermique par l'extérieur en neuf et en rénovation.
Il y a 3 ans et 57 jours

Le rapport des Français à leur immeuble d’habitation fortement marqué par la crise sanitaire et des aspirations environnementales

Les résultats révèlent ainsi que les habitants d’immeuble aspirent à un environnement « cocon », plus protecteur, plus serviciel, où les déplacements et les échanges sont fluides. Pour leur futur, les Français se projettent avant tout dans un immeuble plus éco-responsable et voient en la technologie un levier pour rendre leur lieu de vie plus économe en ressources, intelligent et coopératif. A l’aune de ces enseignements, KONE, leader de la mobilité dans les villes, exprime la nécessité d’accélérer les innovations et la coopération entre les acteurs de l’immobilier, au service du bâtiment durable et intelligent.Chiffres-clés de l’étude YouGov / KONE en un coup d’œil :Les trois priorités des Français habitant dans un immeuble 95% des répondants estiment que l’hygiène et la propreté est un élément important (dont 61% très important) : c’est la préoccupation n°1 des Français vivant dans un immeuble94% citent le bon fonctionnement des équipements comme un critère important, à égalité avec la sécurité (accès à l’immeuble et aux parties communes)87% des répondants estiment qu’une bonne information sur la vie de l'immeuble est importanteLes attentes en termes de services et de nouvelles technologies78% estiment que l'accessibilité pour tous (situation de handicap, personnes âgées) est importante : 43% des répondants habitant en immeuble ont un ascenseur et l’utilisent57% des habitants d’immeuble aimeraient disposer d’au moins un service ou espace partagé dans leur résidence, à l’instar de casiers pour les livraisons à domicile (30%), d’un jardin sur le toit (29%), d’une salle de sport (24%), ou encore d’une conciergerie (19%)Plus d’1 répondant sur 2 (55%) souhaite au moins une nouvelle technologie au sein de son immeuble : des matériaux antimicrobiens (31%), un écran d’information connecté (23%), un robot nettoyeur (20%)L’immeuble idéal de demain pour les FrançaisPour leur futur, les Français se projettent dans un immeuble éco-responsable à 41% (maîtrise des consommations d’eau et d’énergie, compost, projets d’agriculture urbaine, etc.)22% des répondants se projettent dans un immeuble proposant des services à la carte, à la fois plus connecté, plus éco-responsable et plus coopératifHygiène, sécurité et convivialité : des priorités qui portent la marque de deux années de crise sanitaireSelon l’étude YouGov / KONE sur les Français et leur immeuble, l'hygiène et la propreté sont les premières préoccupations des personnes vivant en logement collectif. Ménage effectué régulièrement, respect des mesures barrières sont choisis par 95% des répondants – parmi sept options de réponse – comme des critères importants au bien-vivre au sein de la copropriété. Parmi eux, 61% jugent même ce critère comme « très important ». Probablement exacerbée par la crise sanitaire, cette préoccupation existe plus particulièrement pour les plus de 55 ans qui déclarent à 98% prêter attention à l’hygiène et à la propreté.Les répondants placent la sécurité en 2e position de leurs préoccupations, s’agissant de l’accès à l’immeuble et aux parties communes : au total, 94% des répondants la considèrent comme importante, dont 64% très importante. Ce sont surtout chez les femmes et les plus de 55 ans que ce critère fait forte impression : dans ces deux catégories, 69% le qualifient de « très important ». Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France et spécialiste du segment résidentiel : « Confinements successifs, distanciation sociale, consignes sanitaires, semblent avoir marqué les Français dans leur rapport à leur immeuble : ils recherchent avant tout un environnement de vie sécurisé et protecteur. On peut parler d’immeuble « cocon », d’autant que bon nombre de répondants aspirent aussi à plus de convivialité. Au-delà de la conjoncture, ces attentes sont devenues structurelles et doivent être prises en compte dans la manière dont nous, professionnels du bâtiment, concevons et équipons les immeubles de logement. »Pour 79% des habitants d’immeuble, l’organisation d’animations et la bonne entente avec le voisinage au sein de l’immeuble sont importants. Ce besoin de convivialité s’exprime en priorité chez les plus de 55 ans (85%) par rapport aux 18-24 ans (61%).Accessibilité, bon fonctionnement des équipements et information : la fluidité, essentielle pour faciliter le bien-vivre ensemble ?Si l’hygiène et la sécurité constituent le socle des attentes des Français, d’autres critères apparaissent comme nécessaires pour faciliter le quotidien et le bien-vivre ensemble. C’est le cas du bon fonctionnement et de l’entretien des équipements, à l’instar des ascenseurs, du chauffage ou de l’interphonie. 94% des personnes habitant un immeuble considèrent ce critère comme « important » (dont 63% « très important »). Par ailleurs, la bonne information sur la vie de leur immeuble est au cœur des attentes des Français résidant en logement collectif. Ainsi, 87% des répondants estiment qu’être bien informé sur tout ce qui concerne leur immeuble est important : dates des travaux et des réunions, événements particuliers comme une coupure d’eau, etc.Enfin, l’accessibilité pour tous est plébiscitée par 78% des répondants. Cette préoccupation est d’autant plus grande pour les plus de 55 ans, qui la considèrent comme « très importante » à 89%. Sur cette question, l’ascenseur apparaît comme un équipement essentiel et nécessaire pour permettre la mobilité de tous au sein de l’immeuble. Ainsi, selon l’étude, 43% des répondants habitant en immeuble ont et utilisent un ascenseur, chiffre encore plus élevé pour les retraités (52%). A l’inverse, le nombre d’habitants ayant un ascenseur mais qui ne l’utilisent pas est faible en comparaison (10%), et concerne majoritairement les jeunes (17%).Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « L’étude montre que tout ce qui permet des déplacements et des échanges fluides au sein des immeubles est déterminant pour les habitants. Cet enseignement m’intéresse particulièrement, car les flux au sein des bâtiments, c’est notre cœur de métier chez KONE. Ceux-ci s’organisent en effet bien souvent autour de l’ascenseur, qui est la colonne vertébrale de la mobilité au sein de l’immeuble, permettant à toutes et tous de se déplacer. Il est essentiel qu’il fonctionne de manière optimale, c’est le but d’un entretien régulier, si possible prédictif, mais il est aussi un « passage obligé », propice à l’information des habitants. »Nouvelles technologies et nouveaux services dans les immeubles : plus d’1 Français sur 2 s’y intéresse, en particulier les jeunes générationsEn échos à ces priorités, plus d’un répondant sur deux (55%) souhaiterait que son immeuble bénéficie d’une innovation technologique. Parmi celles proposées, l’utilisation de matériaux antimicrobiens est souhaitée par près d’un répondant sur trois (31%), assez logiquement au vu des attentes liées à l’hygiène, tout comme la mise à disposition de robots nettoyeurs pour les parties communes, qui intéresse 20% d’entre eux. Cette innovation technologique a notamment été placée en première position par les 25-34 ans. « Un écran d’information en temps réel dans le hall ou l’ascenseur, avec notification sur mon smartphone » intéresse par ailleurs près d’un quart des habitants d’immeuble (23%) : périodes de travaux, réunions, animations, horaires des transports en commun autour de mon immeuble, etc. C’est l’innovation qui séduit le plus la génération Z : 35% des 18-24 ans la choisissent.Au-delà de l’amélioration du fonctionnel, un Français sur deux se déclare intéressé par le déploiement d’au moins un service ou nouvel espace partagé au sein de son immeuble. Choisis par 30% des répondants, ce sont les casiers pour la livraison des achats en ligne qui se positionnent en tête. Ils sont suivis par un jardin sur le toit (29%), une salle de sport (24%), une conciergerie (19%) ou encore la présence d’un magasin au sein de l’immeuble (16%).Quelques disparités dans les attentes en fonction des profils des répondants sont à noter. En moyenne, les plus de 55 ans se montrent moins intéressés que les autres tranches d’âge par les services et les nouvelles technologies. Autre exemple, si la mise à disposition d’un espace de coworking ne séduit que 7% des répondants, on remarque que ceux-ci sont majoritairement des jeunes (56% de 18-34 ans), urbains (52% d’habitants de grandes villes) et issus des catégories sociales supérieures (51% de CSP+).Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « L’immeuble connecté et serviciel a le vent en poupe, en particulier auprès des nouvelles générations. Avec le développement du télétravail, la plupart des Français ont passé beaucoup plus de temps chez eux depuis deux ans. Qu’ils aient plus d’attentes quant à leur résidence en termes de confort, de services de proximité et pourquoi pas de nouveaux espaces de type jardin partagé ou coworking, est finalement très logique. Et bonne nouvelle, beaucoup de choses sont déjà possibles aujourd’hui grâce à la connectivité des équipements. Le robot capable de se déplacer dans les étages pour livrer ou faire le ménage, ce n’est pas de la science-fiction ! Pour aller plus loin nous devons encore renforcer la coopération entre acteurs du bâtiment et travailler à l’ouverture des systèmes technologiques et des données. »Immeuble de demain : un logement connecté, éco-responsable et coopératifAu-delà des personnes résidant en logement collectif, l’étude YouGov / KONE s’est également penchée sur les attentes de tous les Français concernant l’immeuble du futur. Lorsqu’ils imaginent l’immeuble dans lequel ils aimeraient habiter, les Français privilégient un modèle d’immeuble éco-responsable (41%), devant l’immeuble intelligent et connecté (11%) et l’immeuble coopératif (10%). Cependant, 22% des répondants souhaitent un immeuble combinant les trois dimensions, avec la possibilité de choisir des services à la carte. A noter, les nouvelles générations montrent davantage d’appétence pour les nouvelles technologies : les 18-24 ans sont 18% à préférer ce modèle d’immeuble, soit 7 points de plus que la moyenne des répondants.Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation de KONE France : « Le modèle d’un immeuble éco-responsable est celui dans lequel se projette la majorité des Français, devant l’immeuble connecté et l’immeuble coopératif. L’écoresponsabilité et la coopération correspondent à des valeurs et à des modes de vie très en phase avec les préoccupations des Français et les nouveaux usages. Le numérique et la technologie sont quant à eux davantage des outils à notre disposition. Plus qu’une finalité, l’immeuble connecté est surtout considéré comme un moyen d’atteindre un mode de vie plus responsable et plus coopératif. »Cap sur le smart building résidentielPour KONE, les enseignements de l’étude plaident en faveur d’une accélération du smart building pour le marché du logement. Ceci implique notamment une meilleure coopération entre professionnels de l’immobilier pour parvenir à faire exister cet immeuble auxquels les Français aspirent : plus fonctionnel, plus serviciel, plus durable.Pour Cédric de la Chapelle, directeur modernisation KONE France : « C’est finalement un enjeu de maîtrise au sein des immeubles que souligne les résultats de l’étude YouGov / KONE : maîtrise des besoins, des équipements, des flux, des consommations… Pour y parvenir, les différents systèmes qui font fonctionner l’immeuble doivent être connectés entre eux, et les équipementiers doivent travailler ensemble pour y parvenir. A un autre niveau, c’est aussi par une meilleure coopération que l’on pourra améliorer le bilan carbone des chantiers de rénovation, en mettant en place des filières de réemploi des matériaux. »Depuis un an, la technologie DX de KONE permet de faire de n’importe quel ascenseur un objet connecté, et ainsi, de le faire communiquer avec les autres équipements du bâtiment dès lors que ceux-ci le permettent également. Cette ouverture permet de déployer une véritable plateforme de services, activables en fonction des besoins au sein de la copropriété. Par exemple, l’ascenseur peut être connecté à une intelligence artificielle et bénéficier d’un service de maintenance prédictive, qui permet d’anticiper les incidents et d’éviter jusqu’à une panne sur deux. Autre exemple, il est possible de connecter l’ascenseur à un robot afin qu’il puisse se déplacer dans l’immeuble. Il peut également être connecté à une application de gestion des portes et accès pour renforcer la sécurité, ou d’appel de l’ascenseur à distance, sans contact, pour lever certaines craintes en matière de propreté.
Il y a 3 ans et 57 jours

Convention de mécénat entre IMT Mines Alès et HeidelbergCement France

L’IMT Mines Alès annonce la signature officielle d’une convention de mécénat avec HeidelbergCement France. [©IMT Mines Alès] Courant mars, l’IMT Mines Alès annonçait la signature officielle d’une convention de mécénat avec HeidelbergCement France. L’école d’ingénieurs s’engage ainsi, avec la filiale de l’industriel allemand, pour une durée de 3 ans. Sur l’aspect financier, cette dernière va permettre à l’IMT Mines Alès de mieux déployer ses moyens pédagogiques sur l’ensemble des formations. Notamment dans les filières qui intéressent l’industriel, comme celles du département ingénierie du sous-sol et exploitation des ressources minérales. « Donner à ses élèves les meilleures chances de s’accomplir professionnellement pour être des acteurs responsables du développement de la nation, en préservant les richesses de la planète. » Telle est l’ambition de l’IMT Mines Alès, qui illustre l’intérêt de l’école envers HeidelbergCement France. HeidelbergCement France au service des étudiants Au-delà du soutien financier, le groupe cimentier organisera des échanges entre les étudiants, les chercheurs de l’école et ses représentants. Permettant ainsi de favoriser « un processus d’intelligence collective », souligne Romuald Bony, animateur du mécénat à l’IMT Mines Alès. Des thèmes comme la réduction de l’empreinte carbone et la préservation de la biodiversité dans l’exploitation minérale seront abordés. « L’école est concernée par une approche globale et sociétale de ces sujets majeurs Lire aussi : HeidelbergCement France, mécène des Arts et Métiers pour l’avenir de l’industrie cimentière et pour la formation de nos futurs ingénieurs », ajoute Romuald Bony. Et Bruno Pillon, président d’HeidelbergCement France, de conclure : « L’industrie cimentière est en première ligne face à l’urgence climatique. Et pour relever le défi de la transition écologique, nous avons besoin de forces vives et d’échanger avec de nouveaux talents. C’est le sens de ce mécénat. Nous sommes une industrie de proximité, très présente dans le Sud avec notamment une cimenterie à Beaucaire, dans le Gard, et cela fait sens de se rapprocher d’une école prestigieuse au cœur de ce territoire ».
Il y a 3 ans et 57 jours

Vendée : aménagement de l’esplanade du donjon d’Ardelay aux Herbiers

Aux Herbiers, les travaux de l’esplanade du donjon d’Ardelay vont pouvoir commencer. Ils se dérouleront en trois étapes.
Il y a 3 ans et 57 jours

Bouyer Leroux tente de juguler la hausse des prix de la brique

Face à la flambée des prix de l’énergie et malgré des usines décarbonées à hauteur de 45 %, le groupe coopératif Bouyer Leroux, numéro un français des briques en terre cuite, se voit contraint d’augmenter ses prix au négoce.
Il y a 3 ans et 57 jours

Sylvania Lighting lance, dans le cadre d’une initiative européenne, une action d’aide humanitaire à destination des réfugiés femmes et enfants ukrainiens

« Les images vues ces jours-ci nous remplissent tous de stupeur et d’impuissance. Nous nous sommes tous reconnus dans le quotidien de ces citoyens qui, comme nous, avaient une vie installée auparavant. Vie familiale, travail, éducation sont dramatiquement impactés de jour comme de nuit. Cette initiative a pour but de les aider, en apportant en plus des moyens économiques, notre infrastructure et notre connaissance de la situation sur le terrain, atténuant ainsi les effets les plus inhumains de cette crise. Quiconque veut se joindre à cette initiative, aussi petite que soit cette aide, sera le bienvenu. Il y aura sûrement, de l’autre côté, une famille qui vous remerciera… en silence » – Simon Reed, PDG de Sylvania.   En tant qu’entreprise, Sylvania a pris la décision de venir en aide aux réfugiés ukrainiens. En impliquant tous ses employés et ses partenaires commerciaux, ainsi qu’en utilisant ses capacités logistiques, la société est déterminée à offrir de l’aide à ces personnes qui fuient leur pays et cherchent refuge en Hongrie. Après avoir contacté plusieurs organisations au cours des dernières semaines, Sylvania s’est associée à Hungarian Baptist Aid afin de soutenir les enfants et les femmes dans le besoin de la manière la plus efficace possible.   A propos de Hungarian Baptist Aid L’objectif de HBAid est d’aider les personnes en difficulté aussi bien en Hongrie qu’à l’international. Au cours des dernières décennies, HBAid est devenue l’une des plus grandes organisations d’aide en Hongrie. En tant qu’organisation d’intérêt public, dans laquelle travaillent 3000 employés à temps plein et des centaines de bénévoles, HBAid a apporté une aide de plusieurs millions d’euros.   L’objectif de Sylvania est de collecter les dons dans des boîtes à chaussures (ou cartons bien fermés) au sein de ses principaux bureaux de la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). Ensuite, ils seront acheminés vers le siège de l’entreprise à Budapest, où son équipe locale les traitera et les distribuera aux bons endroits avec l’aide de son partenaire HBAid. Sylvania ne récolte pas de dons en argent mais se concentre plutôt sur la collecte de biens dont les réfugiés ont le plus besoin.   Sur la base de l’expérience et des conseils de HBAid, il est possible d’aider en envoyant en priorité les produits suivants : – des denrées alimentaires non périssables (par exemple, des conserves), – des articles de soins pour bébés (couches, lait, lingettes…), – des produits de soins et d’hygiène (déodorant, savon, désinfectant, dentifrice, produits d’hygiène féminine et infantile), – des couvertures polaires et draps.   Pour venir en aide aux réfugiés ukrainiens, les dons (produits listés ci-dessus) sont à envoyer à dans des boîtes à chaussures ou cartons bien fermés à : Feilo Sylvania France Opération UKRAINE 1 Avenue du Général de Gaulle 92635 Gennevilliers cedex Ils doivent impérativement parvenir au plus tard le 04 Avril 2022. Après cette date limite, Sylvania ne sera plus en mesure de transporter les produits vers la Hongrie.   Pour toute question : fr.info@sylvania-lighting.com Pour soutenir financièrement les réfugiés ukrainiens, consultez le lien de HBAid, partenaire de Sylvania : https://www.hbaid.org/ https://www.sylvania-lighting.com/fr-fr/
Il y a 3 ans et 57 jours

La filière des gaz liquides interpelle les pouvoirs publics français et européens

La filière des gaz liquides est convaincue qu’elle peut aussi contribuer à accélérer les objectifs d’indépendance énergétique et de diversification des sources d’énergie. Présents partout en France, notamment dans les territoires non desservis par le gaz naturel, elle propose à l’exécutif de compter sur ses capacités logistiques et de stockage sous utilisées. France Gaz Liquides considère que l’urgence climatique nécessite simultanément une accélération de la décarbonation des usages énergétiques à laquelle elle peut contribuer par la substitution des gaz liquides d’origine fossile par des biogaz liquides.Les gaz liquides consommés en France ne proviennent pas de RussieAdaptée à l’impératif d’une transition écologique et énergétique efficace et réaliste, l’énergie gaz butane propane alimente au quotidien 27 000 communes non raccordées au réseau de gaz naturel (méthane). Elle permet à 11 millions de consommateurs - soit autant que pour le gaz naturel - de cuisiner, se chauffer ou produire sans aucune dépendance aux importations de gaz russe. Cela inclut également 200.000 automobilistes qui roulent au GPL, carburant alternatif moins sensible aux hausses des prix des carburants conventionnels (0,90 €/l en moyenne le 9 mars). Les gaz liquides constituent donc une énergie utile à l’ensemble des Français, en ville, en zones rurales, montagneuses ou dans les îles, qu’ils soient particuliers ou professionnels.Le marché français des gaz liquides représente 1700 kt (22 TWh) par an de gaz propane, butane et carburant GPL. Dans un marché dont les ventes ont été divisées par deux en 20 ans - notamment grâce aux travaux d’efficacité énergétique réalisés par les clients - l’industrie a conservé la majorité de ses infrastructures et ses capacités de stockage et de distribution, dans la perspective de l’intégration des gaz renouvelables (biopropane).La transition vers ces gaz liquides renouvelables permettra de réduire la dépendance aux importations grâce à une production de biopropane française démarrée en 2019. La réduction des émissions atteindra alors 80% et ce sans changement d’infrastructure, ni pour les distributeurs, ni pour les consommateurs.La sortie de crise peut être facilitée par le rôle accru des gaz liquidesLe plan de résilience élaboré par le Gouvernement, tout comme le plan européen Re-Power doivent prendre en compte cette capacité offerte par les gaz butane propane et GPL en évitant de précipiter les consommateurs vers une seule technologie basée sur l’électricité. A cet égard, France Gaz Liquides soutient la position de Liquid Gas Europe, préoccupée par la recommandation simpliste de l’agence internationale de l’énergie d’accélérer le remplacement des chaudières à gaz par des pompes à chaleur. A contrario d’une neutralité technologique souhaitable et d’un objectif de diversification du mix énergétique, elle omet en outre le fait que ces appareils de chauffage peuvent également être alimentés avec des gaz d’origine renouvelable, sans modification de l’installation de chauffage ni des infrastructures de distribution. Il s’agit ainsi non seulement de ne pas forcer les consommateurs des zones hors réseau de gaz naturel à se priver d’une source d’énergie souveraine et abordable, mais aussi de conserver la possibilité d’une transition vers un combustible plus propre et respectueux de la qualité de l’air que le fioul, le charbon ou même le bois. C’est aussi la perspective d’une transition vers les gaz liquides renouvelables à ne pas entraver. Une recommandation si spécifique peut avoir un impact négatif, tant au niveau de la situation économique des ménages, notamment les plus fragiles, que sur les investissements dans les moyens de production de gaz renouvelables.Face à l’envolée des prix de l’énergie, les pouvoirs publics élaborent des dispositifs de soutien. Notre proposition est de proportionner l’aide aux ménages défavorisés en fonction des zones climatiques et du critère de ruralité de leur domicile.En effet, il ne faudra pas laisser pour compte les ménages résidant dans les zones rurales, plus impactés par le coût de l’énergie, et ce même hors contexte de tension sur les marchés de l’énergie. L’Insee a ainsi mis en exergue la forte augmentation de la vulnérabilité énergétique des ménages à mesure de l’éloignement des centres urbains (cf. Insee, Loin des pôles urbains, chauffage et carburant pèsent fortement dans le budget, 2015). Ils subissent un surcoût tant en matière de chauffage (+20%) que de mobilité (+40%).La filière alerte donc sur la nécessité de prendre en compte ces consommateurs des zones les plus éloignées des réseaux de gaz ou de chaleur dans les aides qui vont découler du plan de résilience. Il s’agit également d’inclure les gaz liquides renouvelables dans le plan de relance « France 2030 » qui permettrait d’accroître leur mise sur le marché. Accélérer la transformation de la filière nécessite d’être appuyé par les pouvoirs publics : pour la reconversion des raffineries, pour augmenter les financements pour la R&D et donner des perspectives plus favorables aux gaz liquides d’origine renouvelable.L’énergie gaz propane – biopropane, butane et GPL, qui ne souffre pas d’intermittence et couvre tout le territoire, qu’il soit continental ou insulaire, souveraine et moins carbonée que le fioul ou le charbon, peut continuer à œuvrer au service du mix énergétique français de demain, et dans le cadre de la Stratégie Française Energie Climat (SFEC) à laquelle elle entend contribuer.Les capacités de distribution de propane, butane et carburant alternatif GPL peuvent être doublées partout sur le territoireLa filière tient à rassurer les 11 millions de consommateurs comme les pouvoirs publics français, tant il est peu probable que la crise actuelle affecte l’approvisionnement sûr et sécurisé en propane butane et GPL des consommateurs, grâce à une multitude de producteurs opérant dans le monde entier, à des chaînes d’approvisionnement mondiales solides et à une distribution fiable aux consommateurs finaux. Le secteur des gaz liquides investit également à l’échelle européenne dans la capacité de production locale de bioGPL, ce qui renforcera aussi la sécurité énergétique de l’UE.Ainsi, devant la nécessité urgente de réduire la dépendance énergétique à la Russie, et alignés avec la poursuite de la décarbonation de l’économie, les gaz butane propane et GPL offrent d’ores et déjà en France la capacité de multiplier par deux leur contribution à la fourniture d’énergie aux Français, tout en permettant immédiatement un gain effectif d’émissions de GES de près de 20%* dans le cadre d’une substitution au fioul.Pour Natacha Cambriels, Présidente de France Gaz Liquides : « La place de l’énergie butane-propane, qui deviendra 100% renouvelable au plus tard en 2050, est à valoriser au sein d’un mix énergétique diversifié, souverain et plus rapidement tourné vers les énergies renouvelables. Déjà acteur de la transition pour le chauffage, la mobilité, les industries et les PME, il est devenu impératif de lui permettre d’évoluer et de continuer à répondre à la sécurité énergétique de plus de onze millions de Français. »
Il y a 3 ans et 57 jours

La FNTP pour un nouveau report de la suppression du GNR

La FNTP est à la manoeuvre pour réduire l'impact de la flambée des prix de l'énergie sur le secteur. Principal levier d'action envisagé : une prolongation de la fiscalité actuelle sur le gazole non routier au-delà du 1er janvier 2023.
Il y a 3 ans et 57 jours

Jean-Baptiste Fayet, Terreal : "Des hausses de prix pour privilégier l'activité"

Le DG France de Terreal Jean-Baptiste Fayet revient sur les décisions récentes du groupe spécialiste de la terre cuite en termes de prix et de lignes de production.
Il y a 3 ans et 57 jours

Rockwool innove en proposant aux particuliers un accompagnement de A à Z pour la rénovation énergétique de leur logement

Pleinement engagé dans cette rénovation vitale pour des logements plus verts, ROCKWOOL, le leader mondial des solutions d’isolation en laine de roche, innove pour améliorer constamment la formation de son réseau d’artisans aux bonnes pratiques, mais aussi pour faciliter l’accès des particuliers aux travaux de rénovation dans leur logement. Devant la complexité des dispositifs d’aides, ROCKWOOL qui offre déjà des solutions qui aident à mieux comprendre la réglementation et les opportunités de financement, propose désormais aux particuliers un service de mise en relation avec son réseau d’artisans, Rénov’By ROCKWOOL.Des solutions d’isolation au service d’un meilleur confort thermique dans les logements et de la réduction des gaz à effet de serre En France, le secteur du bâtiment est le secteur le plus énergivore avec 44 % de l’énergie totale consommée et une production de 24 % des émissions nationales de CO2. En réduire la consommation est aujourd’hui une des actions prioritaires du Gouvernement, mais aussi des particuliers qui voient leurs factures énergétiques grimper au fils des années (+12,6% pour le gaz au 1er octobre 2021 et +4 % au 1er février 2022 pour l'électricité).Pour se faire, l’isolation thermique se présente comme l’investissement le plus rentable, à condition de choisir des matériaux de qualité. Issue d’une ressource naturelle et inépuisable, résistante et recyclable à l’infini, la laine de roche ROCKWOOL est l’une des solutions les plus efficaces et durables en matière d’isolation thermo-acoustique. Elle possède également d’excellentes propriétés en protection incendie et conserve ses performances pendant plus de 55 ans. Grâce à leur recyclabilité, les produits ROCKWOOL sont respectueux de l’environnement.Un accompagnement de A à Z pour rendre encore plus accessibles les travaux de rénovation énergétique et réduire la facture d’énergie Si de nombreuses mesures ont été mises en place par les pouvoirs publics pour tenter d’alléger la facture des particuliers tout en améliorant leur confort au quotidien, valorisant ainsi leur logement, le prix de l’énergie va continuer à augmenter alors que le fléchage des aides, tout comme la recherche de l’artisan qualifié et certifié restent pour nombre de particuliers extrêmement complexes.Pour faciliter la navigation dans le maquis des démarches, ROCKWOOL a ainsi développé des outils tels que le système de visualisation 3D qui aide les particuliers à mieux comprendre la rénovation par l’isolation de façon très visuelle, pièce par pièce et à définir les isolants les plus adaptés au projet. Également à disposition, un outil de calcul pour combles et toitures inclinées pour trouver la solution ROCKWOOL la plus adaptée à ses combles ou toiture inclinée.Afin d’accompagner encore davantage les particuliers sur les dispositifs d’aides et sur le choix des produits, ROCKWOOL innove également en déployant une plateforme interactive de conseils baptisée Rénov’By ROCKWOOL. Cette page comprend notamment un guide la rénovation énergétique à télécharger qui répertorie les aides de l’état actuelles, comme MaPrimeRénov’, associées à des simulations en fonction de chaque projet (situation géographique, typologie de maison et performance énergétique), les solutions adaptées à chaque projet et éligibles aux aides, les avantages de la rénovation, ainsi que les qualités de la laine de roche : résistance au feu et excellentes performances confort thermo-acoustiques permettant de réduire la facture d’énergie tout en limitant la pollution sonore à l’intérieur comme à l’extérieur. Également disponible sur la plateforme, un formulaire à remplir pour être mis directement en relation avec une équipe conseil dédiée et avec les artisans du réseau RGE recommandés par ROCKWOOL.Enfin, pour rassurer les particuliers et les inviter à aller vers des professionnels de confiance, ROCKWOOL déploie pour son réseau un partenariat avec Maxeem un nouveau service digital qui accompagne les artisans dans la gestion de leurs dossiers CEE. Une garantie supplémentaire qui permet de sécuriser le parcours des aides afin d’inciter davantage de Français à franchir le pas de la rénovation énergétique de leur logement. Ce service sera disponible à partir du 30 mars.
Il y a 3 ans et 57 jours

Vaucluse : modernisation des déchetteries du Grand Avignon

À Avignon, les travaux de deux déchetteries du Grand Avignon, Courtine et Velleron, seront achevés au cours du premier semestre 2022.
Il y a 3 ans et 57 jours

Le bus rétrofité, la révolution verte des transports collectifs

Ces métropoles disposent de la compétence transport urbain et doivent dès à présent se préoccuper de la transformation de leur flotte.Un engagement fort mais qui peut s'avérer surtout très coûteux pour le contribuable, d'autant plus si ces véhicules étaient remplacés par des véhicules électriques neufs.C'est pour apporter une solution complémentaire, bien plus économique et vertueuse avec 87% de réduction des GES que l'entreprise à mission REV Mobilities et le groupe industriel allemand pepper motion ont conclu un accord pour transformer la motorisation des bus urbains et inter-urbains du thermique vers l'électrique. Le rétrofit électrique : la solution pour maintenir nos cars et bus en circulation dans nos agglomérations en les rendant non polluants et silencieuxAu sein de chaque agglomération, les mobilités sont devenues en quelques années des enjeux essentiels pour les décideurs publics en raison des pressions exercées par les habitants de plus en plus soucieux de solutions fiables, pratiques, économiques et vertueuses. Elles le sont également devenues en raison de l'urgence des réponses aux exigences des futures ZFE - zones à faibles émissions et aux nouvelles mesures en faveur de l'environnement en proposant aux Français une offre conjuguant disponibilité, accessibilité, confort et sécurité. Le bus est le moyen de transport collectif par excellence qui chaque jour transporte des centaines de milliers de personnes sur le territoire dont plus des 2/3 en dehors de l'Ile de France. Ces bus désengorgent la circulation dans les centres urbains et sont aussi une source non négligeable de mobilité active. La plupart des agglomérations et leurs délégataires disposent d'un parc d'un âge moyen à peine supérieur à 8 ans, bien inférieur au parc automobile qui est de 11 ans, mais avec des motorisations essentiellement thermiques (diesel et gaz). Pour accompagner les acteurs dans la transformation de leur offre de mobilité, Rev-Mobilities et le groupe industriel allemand pepper motion peuvent désormais convertir les flottes de cars et bus en électrique ce qui évite une mise au rebus ou des prix et délais d’acquisition forcément beaucoup plus importants. Une solution technique d'économie circulaire qui va permettre de conserver une grande partie du parc roulant, de le rendre totalement propre et silencieux, d'améliorer la qualité de l'air et surtout de faire des économies sur toute la ligne.Convertir les cars et bus en mode électrique, mais aussi les camions qui livrent dans les agglomérations En décembre 2021, REV Mobilities et pepper motion GmbH pionniers du rétrofit ont signé un accord de partenariat pour convertir des bus avec le même niveau de qualité que les constructeurs d’origine. Avec cette première coopération franco-allemande dans le domaine de la conversion électrique, les deux acteurs s’engagent sur l’un des plus solides marchés de bus et poids lourds d’Europe. Leur offre rétrofit répond aux enjeux environnementaux et économiques et ouvre un nouveau secteur économique à fort potentiel, s’appuyant sur l'utilisation d’une main d’œuvre locale qualifiée pour la transformation (plus de 600 heures par unité).Pour Arnaud Pigounides, fondateur et PDG de REV Mobilities : ''Pionnier et fondateur du secteur de la conversion électrique en France, REV Mobilities est spécialisé dans l’upcycling des mobilités. Face aux défis que représentent les zones de décarbonation/faibles émissions, la réduction des gaz à effet de serre des flottes publiques et privées, la réindustrialisation de la France et les économies budgétaires générales pour les particuliers et les entreprises, la conversion électrique est l’une des meilleures solutions possibles. Nous sommes ravis d’engager un partenariat avec le leader du marché pepper motion GmbH afin de fournir des solutions durables pour l’électrification des véhicules en France.''Pour Andreas Hager, PDG de pepper motion GmbH : ''Dans le cadre de notre stratégie de mondialisation, le marché français représente un potentiel similaire à celui de l’Allemagne pour pepper et constitue donc une priorité. La société pepper est déjà présente dans d’autres pays européens, comme la Pologne, l’Italie, l’Autriche et la Bulgarie. En tant que leader technologique, nous sommes convaincus que nos solutions novatrices, en étroite coopération avec notre nouveau partenaire REV Mobilities, nous permettront d’offrir aux décideurs politiques français, ainsi qu’à toutes les entreprises de transport et aux exploitants de flottes un moyen rapide et économique de respecter l’objectif zéro émission de la transformation de la mobilité."La société pepper motion GmbH, lauréate de plusieurs récompenses internationales pour ses technologies novatrices, propose des solutions d’électrification pour les véhicules commerciaux d’occasion par le biais de systèmes retrofit qui contribuent à leur donner une seconde vie à la pointe de la technologie.
Il y a 3 ans et 57 jours

Var : restauration du clos et du couvert de l’hôtel de ville de Melun

À Melun, une restauration du clos et du couvert de l’hôtel de ville de Melun va être lancée.
Il y a 3 ans et 57 jours

Var : dépôt du permis de construire pour le projet de plateforme de regroupement des institutions sanitaires et médico-sociales enfance à Draguignan en mai 2022

À Draguignan, le futur bâtiment de la plateforme de regroupement des institutions sanitaires et médico-sociales enfance (PRISME) regroupera les prises en charge des actes médicaux et médico-sociaux des enfants en situation de handicap.
Il y a 3 ans et 57 jours

Rhône : à Lyon, de nouveaux équipements publics seront implantés sur l’îlot Kennedy

À Lyon, de nouvelles infrastructures seront érigées sur l’îlot Kennedy. Elles seront livrées en 2026.
Il y a 3 ans et 57 jours

Le papier peint ne fait plus tapisserie

Si la peinture reste le leader des revêtements muraux, le papier peint, avec 24 % de parts de marché, tire son épingle du jeu. L'impression numérique et des produits à faible empreinte carbone portent le secteur.
Il y a 3 ans et 57 jours

Energie, infrastructures, logement : demandez les programmes !

Election présidentielle - Les thèmes chers aux acteurs de la construction ne sont pas les sujets les plus en vue de la campagne. « Le Moniteur » s'est donc plongé dans les promesses des six candidats en tête des sondages pour y trouver les éléments concrets qui intéressent le BTP.
Il y a 3 ans et 57 jours

Dunkerque: un démonstrateur de captage du CO2 prêt à démarrer sur le site d’ArcelorMittal

La plus grosse usine de production d’acier en Europe accueille un pilote de taille industrielle de captage du CO2. La présentation lundi 21 mars 2022 de ce dispositif inédit de 22 mètres de haut visant à baisser de 30 % les coûts de ce captage a été l’occasion pour le géant de l’acier de décrire son ambitieux programme de décarbonation de ses activités, hautement émettrices de gaz à effet de serre. Aperçu des prémices d’une révolution.
Il y a 3 ans et 57 jours

La citerne souple au cœur du cycle de l'eau

Stockage : Collecte et utilisation des eaux pluvialesLa simplicité et la rapidité de son installation est une force. Une fois raccordée à une (ou plusieurs) descente d'eau pluviale de toiture, la citerne souple CITERNEO se remplit jusqu'à sa capacité maximale de stockage. Les eaux collectées sont ainsi disponibles, sans traitement, pour des applications diverses et un public varié : les collectivités, les particuliers, les agriculteurs, les pépiniéristes, les industriels... Ainsi, nul besoin de se soucier du coût de l'eau potable ou des arrêtés préfectoraux qui limitent certains usages de l'eau en période de sécheresse.Tamponnement : Gestion des inondations et des sécheressesSelon l'intensité pluvieuse, la localisation des orages, l'état des sols et la capacité de réseaux de collecte des eaux pluviales, des inondations par ruissellement peuvent survenir. Les impacts sur le milieu naturel et les ouvrages peuvent être nombreux (dégradation, colmatage des équipements, pollution des eaux superficielles, lessivage des surfaces...). La mise en place de citernes souples judicieusement positionnées permet aisément de tamponner les ruissellements abondants et de désengorger les réseaux de collecte des eaux pluviales.L'objectif est de stocker les eaux de ruissellement en périodes de pluies intenses pour les rejeter, avec ou sans traitement spécifique, dans l'environnement lors des périodes moins pluvieuses. L'eau réintègre ensuite les réseaux d'eaux pluviales et les cours d'eau souvent asséchés.Solution éprouvée de stockage en amont ou en aval d'un traitementLa citerne souple peut être positionnée en amont ou en aval d'un traitement. Elle permet de stocker les eaux qui vont être traitées, mais aussi les eaux qui ont été traitées :En amont d'une station d'épuration, la citerne souple limite les surcharges hydrauliques en entrée des ouvrages et permet de réduire les pollutions déversées au milieu naturel.En aval d'un traitement, la citerne souple peut également stocker de l'eau traitée pour ensuite être utilisée et limiter ainsi la consommation d'eau.Les forces de la citerne souple CITERNEOLes citernes souples sont aujourd'hui nombreuses sur le marché et il est parfois difficile de s'y retrouver. Il y a cependant des arguments qui ne trompent pas. Les citernes souples CITERNEO, réunissent de nombreux avantages concurrentiels notamment sa fabrication 100% française. Fidèle à sa région d'origine, le Centre-Val-de-Loire, la société CITERNEO conçoit, développe et fabrique toutes ses citernes souples à Amboise (37), sans aucune exception, de 1 à 2 000 m³.Bien au-delà de cet ancrage territorial, les citernes souples CITERNEO ont de véritables forces :Certification ISO 9001Tissu technique avec la technologie exclusive EXOM+Excellent rapport qualité/prixProduit certifié Origine France GarantieProduit certifié QB (Réserves Incendie)Par son engagement sociétal, sa réactivité et sa force d'innovation, CITERNEO est donc le partenaire incontournable, apte à répondre à tous les besoins.
Il y a 3 ans et 57 jours

Les inscriptions aux Trophées Eiffel 2022 sont ouvertes

Pour décrocher les trophées de la construction acier, architectes et ingénieurs ont jusqu’au 31 mai prochain pour déposer leurs candidatures.
Il y a 3 ans et 57 jours

Le projet du futur Hôpital Grand Paris-Nord déclaré d'utilité publique

Dans cet arrêté pris le 14 mars, le préfet du département Jacques Witkowski déclare d'utilité publique ce vaste projet qui doit se déployer sur 7,2 hectares aux portes de la capitale.D'une capacité de 900 lits, le futur hôpital Grand Paris-Nord remplacera les actuels hôpitaux Bichat et Beaujon et abritera également des activités d'enseignement et de recherche de l'Université de Paris.Porté par l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) et l'Université de Paris pour un coût estimé à 1,3 milliard d'euros, le campus est prévu pour 2028.En novembre dernier, l'AP-HP et Stellantis (ex-PSA), avaient annoncé avoir scellé la vente d'un site historique du constructeur automobile. Le montant n'avait pas été communiqué.Le feu vert de la préfecture intervient après une enquête publique et l'avis de la commission d'enquête. Celle-ci a rendu un avis favorable tout en pointant trois "réserves" : conserver une capacité d'accueil globale équivalente à celle des deux hôpitaux existants, veiller aux conditions d'accès et préserver un service de maternité.Le futur hôpital "ne sera pas équivalent puisque ce sont 305 lits de médecine, chirurgie, obstétrique qui disparaîtront du bassin de vie du Nord parisien" en pleine expansion démographique, avaient dénoncé le collectif "Pas ça, pas là, pas comme ça" et le comité de défense de Bichat et Beaujon en janvier.Des opposants fustigent également la localisation du projet, en plein centre de Saint-Ouen.Une nouvelle mobilisation doit se tenir mardi à Paris contre la fermeture de Bichat et Beaujon pour dénoncer des suppressions de postes et de lits et demander la rénovation de ces établissements publics de santé.