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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 56 jours

Résultat "exceptionnel" pour la Caisse des dépôts en 2021

CHIFFRES. La Caisse des dépôts enregistre une très bonne année 2021, ce qui n'est pas le cas de la Banque des territoires, qui a été très active dans le plan de relance du groupe, à la fois pour la construction et la rénovation de logements sociaux, qu'en direction des territoires Action coeur de ville.
Il y a 3 ans et 56 jours

La filière appelle à booster le gaz renouvelable, source d'indépendance

Le gaz renouvelable pourrait représenter 20% de la consommation de gaz en France dès 2030 sous réserve de mesures "simples mais volontaristes", plaident industriels et gestionnaires de réseaux.
Il y a 3 ans et 56 jours

La souveraineté énergétique, mère des batailles à la Caisse des dépôts

La volonté de contribuer à la souveraineté énergétique de la France vient en tête des préoccupations du groupe Caisse des dépôts. Son directeur général Eric Lombard a insisté sur cette priorité, le 24 mars à l’occasion de la présentation d’un bilan annuel marqué par des résultats exceptionnels.
Il y a 3 ans et 56 jours

Présidentielle 2022 : en matière de logement, les Français plébiscitent le "quoi qu'il en coûte"

Important : les répondants ne connaissent pas le nom du candidat qui était l'auteur de chaque proposition, pour ne pas influencer leur vote. En synthèse : Ce sont les propositions les plus coûteuses pour les finances publiques (subventions, aides financières, baisse de la fiscalité) qui séduisent le plus, quel que soit le profil des répondants (locataires, propriétaires, investisseurs). Les mesures touchant à la ruralité font également l'objet d'un large consensus. Les clivages traditionnels propriétaires-bailleurs/locataires subsistent sur des thématiques comme l'encadrement des loyers, les expulsions locatives et la réquisition des logements.Les locataires n'entendent pas le rester et plébiscitent toutes les mesures favorables à l'acquisition de la résidence principale.Augmenter l'offre de logementTrois propositions visant à augmenter l'offre de logement ont été retenues parmi les mesures recensées dans les programmes de deux candidats à l'élection présidentielle : Philippe Poutou et Yannick Jadot.Proposition de Philippe Poutou : "Interdire les locations de type AirBnb sauf pour les résidences principales" Première proposition soumise aux votes des particuliers : "Interdire les locations de type AirBnB sauf pour les résidences principales" qui figure dans le programme du candidat Philippe Poutou et dont l'idée sous-jacente est de réinjecter des logements sur le marché locatif pour réduire la pénurie structurelle d'offres qui frappent certaines zones du territoire (Paris, Pays basque, etc…). Une proposition qui séduit 52,1 % des locataires et 45,3 % des propriétaires, hors investisseurs. Ces derniers sont les moins favorables à cette mesure qu'ils approuvent à 38,4 %.Proposition de Yannick Jadot : "Favoriser la transformation de bureaux en logements" Cette seconde proposition, dont les modalités pratiques et de financement ne sont pas connues, fait davantage consensus que la première puisqu'elle recueille, tous profils confondus, 88,1 % d'opinions favorables et une adhésion homogène quels que soient les profils : de 89,1 % d'opinions favorables chez les locataires à 86,1 % chez les investisseurs.Proposition de Philippe Poutou : "Réquisitionner tous les logements vides sur le territoire national" Cette autre proposition de Philippe Poutou qui entend lutter contre la pénurie de logements par la réquisition de tous les logements vides suscite des réactions très disparates selon les profils… En effet, si 77,2 % des locataires approuvent la mesure, le taux d'adhésion descend à 45 % chez les propriétaires de leur résidence principale pour dégringoler à 29,2 % chez les investisseurs, soit près de deux fois moins que les locataires. Pour autant, ce résultat étonne puisqu'il signifie que près de 30 % des investisseurs interrogés approuvent cette solution. Protéger les locatairesLes mesures visant à protéger les locataires se trouvent davantage dans les programmes des candidats étiquetés à gauche de l'échiquier politique. Six propositions piochées dans les programmes de Jean-Luc Mélenchon, Anne Hidalgo, Philippe Poutou, Yannick Jadot et Jean Lassalle ainsi que - faute de programme connu le 16 mars, jour du lancement du sondage - celle d'un député LREM qui travaille sur le programme Logement du candidat Emmanuel Macron, selon La Lettre A du 1er mars 2022.Proposition d'Anne Hidalgo : "Généraliser l'encadrement des loyers dans toutes les zones tendues en France"Cette proposition de la Maire de Paris vise à étendre à l'ensemble des zones tendues (territoires où il existe une très forte demande locative) l'expérience mise en œuvre dans la capitale. Une proposition qui recueille l'adhésion de 58,5 % des personnes interrogées (quel que soit leur profil) et davantage encore chez ceux ayant un projet immobilier en cours (64,8 %). Mais ces chiffres cachent de fortes disparités selon le statut du répondant. Les locataires sont 90,3 % à approuver la mesure tandis qu'à l'opposé, seuls 38,7 % des investisseurs sont d'accord.Proposition de Jean-Luc Mélenchon : "Encadrer les loyers partout sur le territoire et baisser les plafonds de loyers dans les grandes villes"Cette proposition de Jean-Luc Mélenchon va plus loin que celle d'Anne Hidalgo puisque le candidat de La France Insoumise propose, tout à la fois, d'appliquer un dispositif d'encadrement des loyers sur l'ensemble du territoire (et non plus dans les seules zones tendues) mais également de revoir à la baisse les plafonds de loyers déjà en vigueur dans certaines grandes villes comme Paris, Lille, Lyon, Grenoble, Bordeaux et Montpellier, par exemple. Au global (tous types de profils confondus) cette mesure emporte le suffrage d'une personne interrogée sur deux : 49,6 % y sont favorables contre 50,4 % défavorables. Mais une nouvelle fois, le statut du répondant révèle des différences d'appréciation très notables. Les locataires approuvent la mesure dans la même proportion que celle d'Anne Hidalgo avec 88,9 % d'opinions favorables. Mais les investisseurs y sont nettement plus défavorables qu'à la mesure de la Maire de Paris : 73,4 % rejettent la mesure contre 61,3 % pour celle d'Anne Hidalgo. Rien d'étonnant à cela puisque dans l'hypothèse de Jean-Luc Mélenchon, plus aucun propriétaire n'échappe à la mesure : où que soit le logement loué, celui-ci sera soumis à encadrement des loyers. Sans compter que les loyers déjà encadrés seront revus à la baisse…Proposition de Philippe Poutou : "Arrêt des expulsions locatives, même en cas d'impayé"Cette proposition est celle qui entraîne le plus de rejet parmi toutes celles soumises aux votes des particuliers. Ce qui ne surprend guère compte tenu de l'émotion qu'avait suscité dans l'opinion publique plusieurs faits divers de squats, largement médiatisés à l'automne 2020, allant même jusqu'à réformer la loi. Dans l'ensemble, 83,3 % des personnes interrogées sont opposées à la mesure et ce taux monte même jusqu'à 94,5 % chez les investisseurs.Proposition de Yannick Jadot (et Marine Le Pen, Emmanuel Macron) : "Supprimer les cautions lors de la location qui seront remplacées par une Garantie Universelle des Loyers (garantie publique), financée conjointement et à parts égales par les propriétaires et l’État à travers une cotisation de 1 à 2 % du montant du loyer"Cette proposition de Yannick Jadot figure également dans le programme de Marine Le Pen mais de manière moins détaillée, puisque le candidat écologiste va jusqu'à en préciser les modalités pratiques. Emmanuel Macron semble également - depuis la divulgation de son programme le 17 mars - avoir une proposition en ce sens, même si elle est très floue : "Étendre la caution publique pour les locataires afin de faciliter l’accès au logement tout en sanctionnant les mauvais payeurs". Et ce sont certainement les modalités pratiques (cotisation de 1 à 2 % à charge des propriétaires, pour moitié avec l'Etat) qui expliquent le rejet de celle-ci par les Investisseurs : près d'un sur deux, 48,9 %, y est totalement opposé et 22,6 % plutôt opposé, soit au total 71,5 % qui n'en veulent pas. Les locataires, pour leur part, portent un regard bienveillant sur cette proposition - dans laquelle ils ne seraient pas mis à contribution financièrement - qu'ils approuvent à 77 %.Proposition de Mickaël Nogal, député LREM de Haute-Garonne en charge du logement pour le candidat Emmanuel Macron : "Pour toute location, rendre obligatoire l’intervention d’un professionnel de l’immobilier qui séquestrera le dépôt de garantie"Cette proposition de Mickaël Nogal, qui est en charge du volet logement du candidat Emmanuel Macron avait été déposée en février 2020 à l'Assemblée nationale avant d'être retirée de l'agenda parlementaire. Quoique mise de côté, elle constitue une des rares mesures phares sur la thématique du logement du quinquennat Macron et pourrait ressortir en cas de second mandat. Cette solution séduirait un peu moins d'un locataire sur deux (46,3 % y sont favorables contre 53,7 % qui y sont défavorables). Les investisseurs qui sont tout autant concernés rejettent largement cette mesure puisqu'ils sont 86 % à y être opposés dont 64,2 %, totalement opposés. NB : Depuis la réalisation de cette étude, Emmanuel Macron a dévoilé, jeudi 17 mars, ses mesures en matière de logement et ne semble pas retenir cette proposition de Mickaël Nogal.Proposition de Jean Lassalle et Jean-Luc Mélenchon : "Revenir sur la réforme 2020 des APL et augmenter l'allocation au logement"Cette mesure, qui se retrouve tout à la fois dans le programme de Jean Lassalle et de Jean-Luc Mélenchon, entend revenir sur la réforme des A.P.L. (la "contemporéanisation" pour reprendre l'expression de Jean-Luc Mélenchon) ainsi que sur leur baisse avec pour objectif, au contraire, de les augmenter. Et force est de constater qu'une telle mesure - dont le financement n'a pas été chiffré - emporte l'adhésion des locataires qui y sont favorables à 80,7 %. Mais cette mesure est accueillie favorablement par les propriétaires à 65,8 %, tandis que les investisseurs y sont également majoritairement favorables à 59,4 %. C'est du reste la proposition de Jean-Luc Mélenchon qui emporte le plus l'adhésion des investisseurs. Favoriser l'accès à la propriété Les mesures favorables à l'accession à la propriété, d'une manière générale, sont l'apanage des candidats situés sur la droite de l'échiquier politique. Trois propositions issues des programmes de Valérie Pécresse et Eric Zemmour ont été soumises au vote des particuliers.Proposition d’Éric Zemmour : "Exonérer de frais de notaires tous les primo-accédants qui achètent un bien immobilier de moins de 250.000 euros" Cette proposition non chiffrée du candidat-polémiste, est une des rares à séduire tous les profils de répondants et dans des proportions significatives : 89,7 % des locataires sont pour, de même que 81,8 % des propriétaires et 76,1 % des investisseurs. Le niveau élevé d'adhésion des locataires prouve, si besoin en était, que la location n'est pas une fin en soi et que l'acquisition d'une résidence principale est une aspiration naturelle.Proposition de Valérie Pécresse : "Créer une garantie immobilière solidaire pour annuler les surprimes d’assurance que subissent les personnes en risque de santé quand elles veulent emprunter et ainsi leur permettre d’accéder au logement" Cette proposition qui touche tout autant la santé que le logement est une de celles qui est la plus plébiscitée, toutes thématiques confondues. Elle emporte un niveau d'adhésion s'échelonnant de 86,8 % chez les Investisseurs à 91,9 % chez les propriétaires pour culminer à 94,1 % chez les locataires. Proposition de Valérie Pécresse : "Généraliser le prêt à taux zéro pour les primo-accédants sur tout le territoire français et pas seulement dans les zones tendues" L'esprit de cette proposition qui s'adresse aux primo-accédants est proche de celle d’Éric Zemmour mais agit sur un levier différent. Quand le candidat de Reconquête ! entend agir sur la fiscalité des frais de notaire (environ 8 % du prix d'achat d'un bien soit jusqu'à 20.000 € pour un bien à 250.000 €), Valérie Pécresse préfère élargir les conditions d'octroi du prêt à taux zéro, qui est actuellement limité aux zones tendues, en l'élargissant à toute la France. Une mesure dont l'intérêt est indexé sur les niveaux de taux de crédits : plus ceux-ci augmenteront plus le prêt à taux zéro se révèlera intéressant. La fiscalité immobilièreL'immobilier est fortement taxé en France et les mesures prises par le Président sortant, lors de son élection, ont creusé l'écart avec les valeurs mobilières (instauration de la Flat Tax, suppression de l'ISF mais création de l'IFI). Deux candidats ont formulé des propositions favorables à une baisse de la fiscalité : Nicolas Dupont-Aignan et Éric Zemmour. Quand un troisième candidat, Jean Luc Mélenchon, entend lui, créer de nouvelles taxes ciblées.Proposition de Nicolas Dupont-Aignan : "Supprimer les droits de succession sur la résidence principale" Si cette proposition non chiffrée relève davantage de celles ayant trait aux successions, elle souligne le caractère particulier de la résidence principale dans le patrimoine des Français. Ce que confirme la forte approbation à la mesure quel que soit le statut du répondant : de l'ordre de 90 % chez les propriétaires de leur résidence principale mais aussi des investisseurs et 78,1 % chez les locataires.Proposition d’Éric Zemmour : "Faire passer de 30 à 15 ans la durée de détention qui permet une exonération totale d’impôts et de prélèvements sociaux sur la plus-value immobilière" Cette proposition non chiffrée touche sa cible : les investisseurs qui seraient les premiers à en bénéficier puisque ceux-ci y sont favorables à 91,7 %. Mais sans que cela ne choque les autres propriétaires qui sont 86,7 % à l'approuver également. De même, les locataires sont 82,3 % à voir cette mesure d'un bon œil.Proposition de Nicolas Dupont-Aignan : "Plafonner les impôts sur les revenus locatifs à 35 %"Cette proposition non chiffrée semble vouloir réaligner la fiscalité des revenus de l'immobilier sur celles des valeurs mobilières (Flat tax à 30 %). Une idée qui semble largement approuvée, au-delà des seuls investisseurs (les premiers concernés par cette mesure).Proposition de Jean-Luc Mélenchon : "Imposer les hautes transactions immobilières par une taxe progressive pour financer la lutte contre le logement indigne"Cette proposition non détaillée de Jean-Luc Mélenchon entend taxer les hautes transactions immobilières (seuil déclencheur non connu) afin de pouvoir financer la lutte contre le logement indigne. Et si le taux d'adhésion à cette mesure décroit selon que l'on est locataire, propriétaire ou investisseur, celle-ci est approuvée par une majorité de français : de 65,3 % chez les investisseurs à 77,4 % chez les propriétaires et 87,5 % chez les locataires.Proposition de Jean-Luc Mélenchon : "Augmenter la taxe sur les logements vacants en zones tendues à 50 % la première année et à 100 % la seconde" Actuellement, la taxe sur les logements vacants est de 12.5 % de la valeur locative la 1ère année, et 25 % à compter de la 2ème année. Jean-Luc Mélenchon propose de passer ces taux respectifs à 50 % et 100 %. Une idée à laquelle les investisseurs sont majoritairement opposés : 52,7 % désapprouvent cette mesure tandis que les locataires y sont, pour leur part, favorables à 74 %. Rénovation énergétiqueLogement et environnement sont deux thématiques en parfaite convergence depuis quelques années. Il faut dire que le bâtiment est l'une des premières sources d'émission de Gaz à Effet de Serre (GES) et logiquement la question de la rénovation des logements est intrinsèquement liée à la lutte contre le réchauffement climatique. Dans ce contexte, nombre de propositions sur la thématique du logement sont directement liées à la question de la rénovation énergétique. Parmi les nombreuses propositions des candidats, parfois redondantes, nous en avons soumises trois au vote des particuliers puisées dans les programmes d'Anne Hidalgo, Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen.Proposition d'Anne Hidalgo : "Mettre en œuvre un grand plan pluriannuel de rénovation énergétique des bâtiments basé sur un nouveau dispositif : aucun frais à avancer au moment des travaux ; le remboursement se fera au moment de la revente ou de la succession" Cette proposition non chiffrée qui vise à accélérer sur le front de la rénovation énergétique des logements, se distingue par son mécanisme original qui repousse le financement des travaux à la charge des propriétaires, à la revente ou à la succession en prélevant sur celles-ci "en fonction des revenus" la part avancée par l'état. Et force est de constater que cette solution est accueillie favorablement par tous les profils y compris ceux qui sont les premiers concernés. Ainsi, 69,7 % des propriétaires de leur résidence principale se déclarent favorables à la mesure tandis que 61,5 % des investisseurs le sont également.Proposition de Jean-Luc Mélenchon : "Rendre la rénovation des logements "passoires thermiques" obligatoire avant toute mise en location via un "permis de louer" partout en France" Cette proposition de Jean-Luc Mélenchon ressemble à s'y méprendre à la loi Climat et Résilience adoptée en 2021. Mais elle semble vouloir faire fi du calendrier existant (2025 pour les logements classés G puis 2028 pour les logements classés F) en rendant le permis de louer obligatoire immédiatement. Toujours est-il que cette mesure est accueillie plutôt favorablement, y compris par les Investisseurs même s'ils ne sont qu'un sur deux (51,9 %) à approuver cette idée.Proposition de Marine Le Pen : "Subventionner le remplacement des chaudières au fuel" Cette proposition non chiffrée de Marine Le Pen que l'on retrouve également dans le programme de Fabien Roussel - qui s'est fait le chantre du "grand remplacement… des chaudières au fuel" emporte une large adhésion parmi tous les profils de répondants. L'habitat en zone ruraleA l'instar des villes moyennes, les zones rurales bénéficient depuis la crise sanitaire d'un véritable regain d'intérêt et constituent désormais un territoire presque fantasmé. Trois propositions issues des programmes de Marine Le Pen, Éric Zemmour et Valérie Pécresse visant à y améliorer les conditions de vie ont été soumises au vote des particuliers.Proposition de Marine Le Pen : "Faciliter l'accueil des néoruraux avec la vente de logements à bas prix en échange d'un engagement d'installation d’au moins 10 ans"Cette proposition non chiffrée de Marine Le Pen entend permettre le repeuplement des zones rurales désertées en proposant à des ménages de s'y installer grâce à l'achat d'un logement en-dessous du prix du marché et en échange d'un engagement de l'occuper à titre de résidence principale pendant au moins 10 ans. Une idée que soutient majoritairement l'ensemble des profils interrogés : 79,7 % des locataires y sont favorables contre 74,9 % des propriétaires et 68,1 % des investisseurs.Proposition d’Éric Zemmour : "Réorienter les fonds affectés aux banlieues au profit des zones rurales"Cette proposition non détaillée d’Éric Zemmour vise à réaffecter les fonds de la politique de la ville à destination des banlieues au profit des zones rurales en y améliorant les infrastructures, les conditions de vie et d'équipement. Une proposition qui se distingue par son équilibre dans les réponses recueillies. Locataires, propriétaires et investisseurs partageant sur ce sujet le même point de vue avec une approbation de l'ordre de 62 à 64 % et un rejet de l'ordre de 36 à 38 %.Proposition de Valérie Pécresse : "Déploiement de l'accès à Internet à Très Haut Débit via fibre optique sur 100 % du territoire début 2024" Cette proposition non détaillée de Valérie Pécresse ne concerne pas directement le logement puisqu'il y est question d'infrastructure. Mais elle est révélatrice de l'intérêt porté aux zones rurales et au premier des équipements que l'on devrait pouvoir y trouver si l'on souhaite s'y installer : la fibre optique ! Et cette mesure est celle qui remporte le plus d'adhésion : pas moins de 92 % d'approbation quel que soit le profil des personnes interrogées… Le logement socialL'essentiel des propositions des candidats à l'élection présidentielle en matière de logement, concerne le logement social. Parmi les nombreuses propositions sur le sujet, nous en avons retenues deux qui ont la particularité d'impacter également les personnes qui ne sont pas éligibles au logement social : une d’Éric Zemmour et une autre, totalement inverse, de Jean-Luc Mélenchon. Proposition d’Éric Zemmour : "Abroger la loi SRU imposant un quota d’au moins 25 % de logements sociaux dans chaque commune de plus de 3.500 habitants (1.500 en Ile-de-France)" Cette proposition d’Éric Zemmour qui entend abroger la loi SRU fixant des seuils de logements sociaux dans les communes de plus de 3.500 habitants reçoit un accueil partagé : 35 % des locataires seulement y sont favorables. Les propriétaires, en revanche, y sont majoritairement favorables : 55% des propriétaires de leur résidence principale et 58,8% des investisseurs sont d'accord avec cette proposition.Proposition de Jean-Luc Mélenchon : "Rehausser le quota de logements sociaux dans les villes à 30 % et aggraver les sanctions contre les communes hors-la-loi" Cette proposition de Jean-Luc Mélenchon est l'exact opposé de celle d’Éric Zemmour. Quand ce dernier entend abroger la loi SRU, Jean-Luc Mélenchon pour sa part souhaite l'étendre, en fixant le minimum de logements sociaux par commune à 30 % et en renforçant le dispositif de sanctions à l'égard des communes contrevenantes. Là encore, un clivage existe entre les locataires, les propriétaires et les investisseurs. Deux tiers des locataires (66,6 %) approuvent cette mesure contre 54,6 % des propriétaires. Les investisseurs y sont pour leur part majoritairement hostiles puisqu'ils ne sont que 31,5 % à l'approuver et 68,5 % à la rejeter. Méthodologie Enquête réalisée via un questionnaire en ligne, entre le 16 et le 18 mars 2022, auprès de 18.712 personnes dont :6.156 investisseurs disposant d'un ou plusieurs biens en location représentant 32,8 % des répondants.6.362 propriétaires de leur résidence principale n'étant pas investisseurs représentant 34 % des répondants.6.194 locataires de leur résidence principale représentant 33,1 % du total des répondants.Les propositions ont volontairement été anonymisées pour ne pas influencer les répondants en fonction de leurs orientations politiques.
Il y a 3 ans et 56 jours

Présidentielle : découvrez le top 3 des candidats de la rénovation énergétique

AMBITIONS. Quels sont les candidats à la présidentielle dont les propositions en matière de rénovation énergétique sont les plus abouties ? L'opérateur en certificats d'économie d'énergie (CEE) Sonergia a analysé les programme, avant de rendre son verdict.
Il y a 3 ans et 56 jours

Découvrez les lauréats du palmarès du Paysage 2022

DIAPORAMA. Pour la deuxième année consécutive, la Fédération française du paysage récompense des professionnels porteurs d'idées inspirantes. Zoom sur quelques projets lauréats...
Cimbat
Il y a 3 ans et 56 jours

Chauffage et refroidissement : la croissance de Panasonic ne faiblit pas

Tous les indicateurs sont au vert pour la division chauffage et refroidissement de Panasonic. Fort d’une hausse du chiffre d’affaires de 22 %, le groupe ambitionne 35 % d’augmentation pour 2022 et mise pour cela sur le marché du tertiaire.
Il y a 3 ans et 56 jours

Notre-Dame : les métiers d'art du chantier de restauration de nouveau à l'honneur

ARTISANAT. À l'image de ce qui avait été organisé pour les Journées européennes du patrimoine en septembre 2021, l'Établissement public chargé du chantier de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris va de nouveau proposer un village des métiers d'art au Collège des Bernardins, dans le Ve arrondissement de la capitale. De nombreuses animations à destination du grand public et des scolaires sont attendues.
Il y a 3 ans et 56 jours

Flambée des prix du gaz et du fioul : quelles solutions pour éviter une explosion de la facture de chauffage ?

Pour les familles chauffées au gaz et au fioul, en première ligne face à l'envolée des prix, Effy fait le point sur les solutions les plus efficaces pour contenir leur budget et leur coût.Pour Audrey Zermati, directrice stratégie Effy : "La guerre devrait malheureusement peser lourdement et pour longtemps sur le prix du gaz et du fioul. A l'instant T, personne ne saurait réellement estimer ni jusqu'où ni jusqu'à quand ces prix vont augmenter. Les familles ont donc tout intérêt à envisager dès aujourd'hui des solutions durables pour faire face à l'augmentation des tarifs. L'objectif est de réaliser des économies d'énergie qui permettront de neutraliser au mieux ces augmentations, en conservant une même qualité de vie à la maison." Cas n°1. Pour une famille qui se chauffe au gaz, neutraliser une augmentation de 50 % des tarifs Une famille de 4 personnes à revenus intermédiaires (≤ 79.041€ en IdF, ≤ 60.336€ hors IdF)Habite un pavillon de 80m² de classe énergétique ESe chauffe au gaz avec une chaudière gaz classiqueSa facture annuelle 2021 était de 1.482€ pour une consommation de 14.000 kWhPour neutraliser une hausse de 50 % des tarifs et réduire au moins de moitié ses consommations énergétiques, la famille doit associer trois actions : l'isolation des combles perdus, l'isolation des sols et l'installation d'une chaudière gaz THPE (Très Haute Performance Energétique).Estimation du coût global des travaux, hors aides : 8.000 €Montant des aides (Primes CEE) : 1.735 €Montant du reste à charge : 6.265 €Retour sur investissement en années : 5,6 ansFacture annuelle 2021 : 1482 €Facture 2022 (tarif gaz + 50 % vs. 2021) sans réalisation des travaux : 2.223 €Facture 2022 (tarif gaz + 50 % vs. 2021) en réalisant les travaux : 1.111 € Cas n°2. Pour une famille modeste qui se chauffe au fioul, faire face à des tarifs qui ont doubléUne famille de 4 personnes à revenus modestes (≤ 52.925€ en IdF, ≤ 40.201€ hors IdF)Occupe une maison de 100m² classée passoire thermiqueElle se chauffe au fioulSa facture annuelle 2021 était de 2.000€ pour une consommation de 2.000L / anPour "neutraliser" une hausse de 100 % des tarifs observés à l'heure actuelle, la famille doit opter pour l'isolation thermique des combles perdus et le remplacement de la chaudière fioul par une pompe à chaleur qui permettent à minima de diviser par deux les consommations énergétiques du logement.Estimation du coût global des travaux, hors aides : 13.540€Montant des aides (MaPrimeRénov', Primes CEE) : 7.450€Montant du reste à charge : 6.090€Retour sur investissement en années : 3 ansFacture annuelle 2021 : 2.000€Facture 2022 (tarif gaz + 50% vs 2021) sans réalisation des travaux : 4.000€Facture 2022 (tarif gaz + 50% vs 2021) en réalisant les travaux : 1.000€Passer au chauffage bois ou à l'autoconsommation : les Français de plus en plus nombreux à vouloir se détourner des énergies fossiles La flambée des prix des énergies incite en toute logique de très nombreuses familles à se questionner sur leur mode de consommation énergétique à la maison. La guerre en Ukraine a encore exacerbé ces questionnements. Effy a ainsi enregistré une hausse de près de 35% du volume de demandes d'informations en une semaine. Les requêtes révèlent une propension de plus en plus nette des Français à envisager de se détourner des énergies fossiles. Les demandes ciblées sur les pompes à chaleur ont augmenté de près de 70% ; + 75% pour les chaudières bois et + 44% sur l'autoconsommation solaire. Pour Audrey Zermati, directrice stratégie Effy : "On comprend très bien que les Français cherchent des solutions pour s'affranchir de ces hausses des prix de l'énergie qui peuvent peser lourd sur le budget de la famille. Avant de penser à changer d'énergie de chauffage ou à opter pour l'autoconsommation photovoltaïque, nous invitons les familles à vérifier en premier lieu la qualité de l'isolation de leur logement. C'est la première étape d'un projet de rénovation énergétique réussi."
Il y a 3 ans et 56 jours

Zoom sur les propositions du plan de résilience

Les propositions du rapport "Simplifier et accélérer les implantations d’activités économiques en France", mandaté par le Gouvernement, ont été révélées le 17 mars 2022.
Il y a 3 ans et 56 jours

Pour faire accepter les éoliennes, le Cese prône de planifier et mieux consulter

L'instance avait été saisie en septembre par le Premier ministre Jean Castex, "en vue d'apaiser le débat pour relancer la dynamique" de la transition imposée par le réchauffement climatique."La nécessité de la transition écologique semble aujourd'hui consensuelle mais la mise en oeuvre des projets est lente et s'accompagne de contestations et d'exigences démocratiques", constate l'avis (adopté par 133 votes, un contre, 26 abstentions).Il s'attache particulièrement au cas des éoliennes terrestres, source de l'essentiel des blocages, mais note que cela vaut pour l'offshore, les parcs solaires ou sites de méthanisation."Car quand on voudra mettre cent parcs photovoltaïques de mille hectares dans les territoires, ou 50 parcs éoliens en mer, dès le 10e, on aura les mêmes problèmes, si on continue à faire comme aujourd'hui," prévient Nicolas Richard, co-rapporteur du texte, citant le cas du parc solaire Horizeo, dans les Landes, qui "a déjà du mal à passer".Le Cese exhorte l'Etat à mieux se coordonner avec les territoires, et à "planifier", de façon "démocratique", en "territorialisant" les objectifs énergétiques nationaux votés au parlement, via "un programme national d'aménagement du territoire".Aujourd'hui, "la gouvernance de la transition énergétique ne prévoit pas de réelle coordination entre État, régions et intercommunalités", et les projets se font "sans vision d'ensemble, au gré d'initiatives des développeurs", observe-t-il.Équité territoriale"Les infrastructures énergétiques, très visibles, modifient l'équilibre d'un territoire et son paysage. Il est logique qu'une partie de la population résidente se sente lésée", note le texte.Et "si le nombre de personnes réellement anti ou pro reste en général, sur le plan local, limité, il existe une inquiétude diffuse chez une partie de la population".Le Cese préconise "un grand débat public national sur la stratégie française énergie climat (SFEC)": "il y a un flou sur la compréhension des enjeux". Et ce "débat de société" devra aussi "présenter les évolutions possibles des modes de vie".Car aujourd'hui "on refait à chaque projet le débat qui n'a pas eu lieu nationalement", notent les rapporteurs: "la majorité des projets achoppe sur des questions nationales : pourquoi de l'éolien plutôt que du solaire ou du nucléaire ? pourquoi chez moi ? Quelle garantie que les autres font leur part?" Etc.En outre, alors que les espaces ruraux vont être très sollicités, il faudra "équilibrer les solidarités entre territoires".Les projets devraient être assortis d'un "contrat de service public" imposant qu'une part des investissements aille à un fonds dédié à la transition énergétique et aux services essentiels aux collectivités, préconise l'avis.Le gouvernement, soumis au devoir de réserve en période électorale, ne pourra répondre dans l'immédiat. Il a promis une concertation après les élections législatives, alors que le président a annoncé la relance du programme nucléaire et qu'EDF a déjà demandé la tenue d'un débat public pour construire deux nouveaux réacteurs EPR.La prochaine loi de programmation énergétique est attendue d'ici mi-2023, et le Cese dans son avis demande la reconnaissance du caractère de "plan/programme" de la SFEC, pour garantir une large concertation."La SFEC n'a pas de nature juridique, donc il n'y aura pas de débat public associé", dit M. Richard. "On est sur un moment charnière. Cela vaut le coup que la population française décide collectivement. Soit on s'en sert comme d'un tremplin pour un pays qui fonctionne mieux ensemble, soit on creuse les différences, et les choix imposés créeront en permanence des discussions, ou des ZAD !"Le timing compte : "la concertation avec le public doit avoir lieu à un moment où la négociation est encore possible et où les choses peuvent encore bouger", insiste la co-rapporteure, Claire Bordenave. "Il y aura des positions divergentes mais au moins tout le monde aura pu s'exprimer. Autant que les décisions prises, c'est la façon de les élaborer qui va gagner l'acceptabilité".
Il y a 3 ans et 56 jours

Pyrénées-Atlantiques : le pont d'Arrauntz à Ustaritz est de nouveau ouvert au public

La circulation sur le pont d'Arrauntz à Ustaritz a été rétablie le 9 mars 2022.
Il y a 3 ans et 56 jours

Le marché du calorifugeage grandit grâce aux CEE

Selon la SFIC, un distributeur spécialisé, le marché du calorifugeage a été dopé par les CEE, puis boosté par le Plan de Relance et suit une progression à deux chiffres depuis plusieurs années.
Il y a 3 ans et 56 jours

Loi 3DS : de nouvelles compétences pour les entreprises publiques locales dans le développement territorial

La nouvelle loi de décentralisation attribue notamment aux entreprises publiques locales le développement et la gestion du patrimoine universitaire et la revitalisation commerciale des centres villes.
Il y a 3 ans et 56 jours

Découvrez le mélangeur à peinture à batterie R-BAT'20

Il dispose de deux réglages de vitesse, ce qui permet d’effectuer un démarrage progressif et éviter ainsi les projections. Sa double poignée ergonomique offre une excellente prise en main.Caractéristiques :Fixation de la tige M14x2Fourni avec une tige Ø 100 mm et 2 clésFonctionne avec une batterie R-BAT’20 compatible avec tous les autres outils de la gamme (brico & jardin).
Il y a 3 ans et 56 jours

Un isolant en laine de verre recyclée et une ligne de production en 2023

Revibat, start up industrielle, lance des isolants acoustiques puis thermiques composés intégralement de déchets de laine de verre. Le premier outil industriel de production automatisé est prévu en 2023 avec un investissement prévu de plusieurs millions d’euros.
Il y a 3 ans et 56 jours

Hommage à l’architecte Michel Holley

Né en 1924, l’architecte Michel Holley est décédé ce vendredi 18 mars. Il est surtout connu ...More about Cet article Hommage à l’architecte Michel Holley est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
GDA
Il y a 3 ans et 56 jours

SimonsVoss ouvre son premier showroom destiné au contrôle d’accès sans fil

Prise en main des solutionsDans son showroom, SimonsVoss met à l’honneur l’ensemble de ses innovations technologiques en matière de sécurité, de gestion et de contrôle d’accès. Cette ouverture répond à la volonté de SimonsVoss d’être au plus près de ses clients, partenaires et prospects. En effet, ces derniers pourront découvrir et tester sur place toutes les solutions proposées par l’entreprise allemande, avant de passer à l’étape suivante : sécuriser leurs propres accès. Pour une expérience client fluide, les équipes SimonsVoss se tiennent à disposition pour toute demande d’accompagnement et de conseil. A chaque besoin, sa solutionVéritable condensé des dernières avancées technologiques en termes de sécurité, le système de contrôle d’accès remplace les clés mécaniques par des identifiants actifs & passifs, claviers pincode ou encore smartphone. La gamme SimonsVoss est composée de trois types de solutions qui répondent chacune à des besoins précis.La gamme MobileKey est une solution de contrôle d’accès cloud et clé en main spécialement conçue pour les petites entreprises, petit tertiaire ou encore résidentiel. Le système est idéal pour toute structure de moins de 20 portes et jusqu’à 100 utilisateurs. Quant à la gamme SmartIntego, elle est conçue pour que les fermetures SimonsVoss puissent être intégrées dans un logiciel globalisé de sécurité et être couplées avec d’autres solutions de sécurité telles que la vidéo-surveillance, l’anti-intrusion, la domotique…Dans ce showroom, il est également possible de tester la solution System 3060 qui est au cœur de la gamme SimonsVoss. Elle reprend tous les produits et tous les modes de fonctionnement. Sur mesure, évolutive et sans fil, elle permet de piloter toutes les serrures à distance et en temps réel.
Il y a 3 ans et 56 jours

La RE2020 favoriserait-elle les bureaux d'études au détriment des architectes ?

DÉCRYPTAGE. La réglementation environnementale 2020 introduit l'obligation de réaliser une analyse du cycle de vie (ACV) pour évaluer le poids carbone des constructions. Le fait que cette ACV soit souvent réalisée par les bureaux d'études va-t-elle donner plus d'importance à cette profession, au sein de la maîtrise d'oeuvre ? Explications.
Il y a 3 ans et 56 jours

«Sur l’acier, nous sommes pris en otage», Jean-Pierre Micholet (Micholet Métallerie)

Pour le patron de la PME basée dans la Loire, la seule guerre en Ukraine ne peut expliquer à elle seule ces hausses sur les prix de l’acier. Il en appelle à la solidarité de la filière.
Il y a 3 ans et 56 jours

Arche rachète Nestenn et agrandit encore son réseau d'agences immobilières

"Nestenn cède une partie majoritaire de son capital à la Holding Arche, maison-mère de Citya Immobilier", écrit le réseau d'agences dans un communiqué.Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé, ni la proportion du capital cédée.Dirigé par l'homme d'affaires et ex-député Philippe Briand, Arche s'est constitué depuis 2017 un impressionnant portefeuille d'agences immobilières, devançant nettement les autres groupes français.Il a racheté Laforêt en 2017, Guy Hoquet en 2019, puis Century 21 en 2021, et revendique un chiffre d'affaires cumulé d'1,2 milliard d'euros.Basé à Tours, il possède également des marques dans de nombreux métiers de l'immobilier : gestion de biens, assurances, courtage, diagnostics...Il s'est montré peu interventionniste dans les compagnies qu'il a rachetées, lesquelles ont largement conservé leur autonomie.Nestenn, qui compte 450 agences en France et a dégagé un chiffre d'affaires de 150 millions d'euros en 2021, promet ainsi qu'il "conservera son entière identité, l'indépendance de la marque et ses singularités"."Le soutien de la holding Arche permettra de mutualiser les recherches et les achats dans le domaine numérique et d'offrir une meilleure qualité de service aux clients de l'enseigne", assure Nestenn.Dirigé par Olivier Alonso, le réseau ambitionne d'avoir 600 agences fin 2023.
Il y a 3 ans et 56 jours

Anne-Flore Guinée et Hervé Potin, architectes: "Ni des matériaux vertueux ni des recettes techniques ne fabriquent à eux seuls une bonne architecture"

En France, l’application dès le 1er janvier 2022 de la RE2020 - d'abord dans le logement neuf, puis dans les bureaux et les équipements d'enseignement - représente, pour les architectes, un changement de paradigme. Si les principes bioclimatiques renvoient des fondamentaux vertueux, ils ne sauraient suffire. Comment penser une production architecturale […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 56 jours

Puy-de-Dôme : travaux sur deux terrains de foot dans le parc du Cerey à Riom

Au sein du parc du Cerey, dans le Puy-de-Dôme, un nouveau terrain synthétique est en passe de voir le jour, tandis qu’un terrain en gazon naturel va bénéficier d’une réhabilitation
Il y a 3 ans et 56 jours

Nouveau siège social pour HeidelbergCement France

« Notre arrivée à la tour Alto est l’aboutissement d’un projet au long cours. Nous emménageons dans un espace résolument moderne qui devrait favoriser le travail collaboratif », s’enthousiasme Bruno Pillon, président des activités France d’HeidelbergCement. [©HeidelbergCement] HeidelbergCement France vient d’inaugurer son nouveau siège social au cœur du quartier d’affaires de Paris La Défense. « Notre arrivée à la tour Alto est l’aboutissement d’un projet au long cours. Nous emménageons dans un espace résolument moderne qui devrait favoriser le travail collaboratif », s’enthousiasme Bruno Pillon, président des activités France d’HeidelbergCement. Ce déménagement s’inscrit dans la continuité de la transformation que l’industriel a engagée et qu’il va poursuivre dans les prochains mois. « Ce changement doit nous aider à relever les nombreuses gageures auxquelles notre filière est confrontée : le défi climatique, la nécessité de préserver les ressources naturelles et de protéger la biodiversité. Et bien sûr, contribuer à l’aménagement des territoires avec les matériaux du futur. » Un nouveau siège social pour HeidelbergCement France Le siège d’HeidelbergCement France était auparavant installé à Guerville dans les Yvelines. S’implanter à Paris La Défense marque aussi une accélération de sa transition écologique. En effet, HeidelbergCement France a annoncé, fin 2020, un investissement massif de plus de 450 M€ pour décarboner quatre de ses cimenteries. Sises à Airvault dans les Deux-Sèvres, à Bussac-Forêt en Charente-Maritime. A Beaucaire dans le Gard et à Couvrot dans la Marne. De plus, ce nouveau siège vise à permettre à l’industriel de se rapprocher de ses parties prenantes institutionnelles et commerciales Le site de Guerville modernisé Par ailleurs, le site historique des Technodes à Guerville sera modernisé. Il continuera à accueillir plus de 200 collaborateurs des directions régionales de Ciments Calcia. Mais aussi, d’Unibeton, de GSM, des fonctions mutualisées et des laboratoires. « L’arrivée à la tour Alto marque une étape majeure de la vie de l’entreprise en France. Nous sommes très heureux de rejoindre La Défense. Et d’intégrer cette tour Alto, qui incarne parfaitement le génie de la construction française. Elément de fierté supplémentaire, cette infrastructure a en partie été construite avec nos matériaux. Nos collaborateurs du siège bénéficieront d’un espace de travail moderne propice au travail collaboratif. Et à la créativité pour mieux servir nos clients », conclut Bruno Pillon.
Il y a 3 ans et 56 jours

Pyrénées-Atlantiques : des nouveaux locaux pour le collège Jean-Bouzet à Pontacq

Anciennement situé en zone inondable, le collège Jean-Bouzet a été réimplanté dans le nord de la commune de Pontacq.
Il y a 3 ans et 56 jours

Les aides MaPrimRénov' supprimées pour les chaudières à gaz

Tandis que les aides pour l'installation de chaudières au gaz vont être arrêtés, les aides aux particuliers pour remplacer ces dernières vont être relevées de 1000 euros à partir du 15 avril.
Il y a 3 ans et 56 jours

Seine-et-Marne : une nouvelle école maternelle à Villenoy

La future école maternelle de Villenoy accueillera au premier étage un institut pour les enfants autistes.
Il y a 3 ans et 56 jours

Puy-de-Dôme : un nouveau siège social pour Enedis Auvergne

Une enveloppe de 25 millions d’euros sera allouée au projet d’aménagement du nouveau siège social d’Enedis Auvergne.
Il y a 3 ans et 56 jours

Oise : le bâtiment I, à la Soie Vauban, entame sa démolition

La destruction partielle des logements du bâtiment I, dans le quartier de la Soie Vauban, s’étalera jusqu’en juillet 2022.
Il y a 3 ans et 56 jours

Yvelines : à Versailles, le nouveau skatepark sera achevé d’ici à mai 2022

Le nouveau skatepark construit à Versailles devrait être inauguré au mois de mai 2022.
Il y a 3 ans et 56 jours

Le Groupe Élysées Monceau livre le nouvel hôtel Mama Shelter à Paris La Défense

Au départ du principal locataire fin 2017, la rénovation et la mise aux normes environnementales de cette tour IGH de 1ère génération, construite en 1969, ont conduit à l’obtention des autorisations administratives, au montage juridique et financier du projet puis à la commercialisation de l’opération en VEFA.Enfin, le Groupe Elysées Monceau, accompagné par la société VALREAM en qualité de MOD, a entrepris les travaux de reconversion de l’actif. Cette opération complexe de transformation d’un immeuble de bureaux IGH en hôtel intégrant plusieurs ERP, réalisée pour la première fois en France, a nécessité 3 ans de travaux de rénovation lourde comprenant le désamiantage et le curage de l’immeuble, la surélévation de 2 niveaux, le changement des façades et de l’ensemble des équipements techniques.L’avis favorable d’ouverture au public de l’hôtel, obtenue le 24 février 2022, permet désormais à MAMA SHELTER d’exploiter cet immeuble emblématique de 10.000m2 doté de 211 chambres, 7 salles de réunions, 1 bar et 2 restaurants dont 1 agrémenté d’un roof-top surplombant tout Paris.
Il y a 3 ans et 56 jours

L'IA booste la préfiguration des projets

En support de la conception, l'intelligence artificielle (IA) propose aux architectes et urbanistes de nouveaux outils, capables d'apprendre à partir de l'expérience acquise sur des projets antérieurs.
Il y a 3 ans et 56 jours

Pour BMI, la performance passe par la diversité

PDG de BMI France, Viola Ferrario fait de la diversité et de l’inclusion un sujet clé de la performance de l’entreprise.
Il y a 3 ans et 56 jours

Vendée : la communauté d'agglomération Terres de Montaigu va aménager 77 km de pistes cyclables d’ici à 2035

La Communauté d'agglomération Terres de Montaigu veut mettre en place un réseau cyclable qui reliera ses communes.
Il y a 3 ans et 56 jours

Oualalou+Choi - Portrait

Linna Choi est diplômée en architecture de Yale et de Harvard University Graduate School of Design ; Tarik Oualalou, de Paris Malaquais et de Rhode Island School of Design. Ils fondent en 2001 l'agence d'architecture et d'urbanisme Oualalou+Choi (O+C), dont le travail se veut prétexte à définir les limites de la pratique. Chez Oualalou+Choi (O+C), la […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 57 jours

ATLANTEM DÉVELOPPE SON ACTIVITÉ PORTAIL ALUMINIUM AVEC L’EXTENSION DE SON SITE DE CARENTOIR (56)

 ATLANTEM, activité menuiserie du Groupe HERIGE, poursuit l’accélération de sa transformation. L’industriel se saisit de la montée en puissance du portail aluminium dans son activité pour créer de la croissance et de l’emploi. Il a ainsi engagé des investissements importants de l’ordre de 2,5 millions d’euros sur son site de Carentoir, dédié historiquement aux portails […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Nouveau Plancher MILLIWATT CHAUFFANT/RAFRAÎCHISSANT : un système préfabriqué 3 en 1 pour une pose rapide et un confort thermique optimal en toute saison

KP1 poursuit le développement de son offre préfabriquée MILLIWATT en lançant son plancher MILLIWATT CHAUFFANT/RAFRAÎCHISSANT*. Cette nouvelle génération du confort thermique en toute saison s’inscrit en adéquation avec les exigences de la future RE2020. Il peut être installé sur tous les niveaux (plancher bas sur vide sanitaire, plancher intermédiaire et plancher haut de garage ou […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Ryobi  poursuit le développement de sa gamme d’outils de mesure avec 4 nouveaux niveaux lasers pratiques et simples d’utilisation pour faciliter tous les travaux de bricolage, rénovation, décoration…

Réaliser des traçages précis et des cloisons bien droites, poser des cadres bien centrés, installer du carrelage ou des moulures d’équerre, fixer des étagères alignées… des tâches qui peuvent rapidement devenir mission impossible sans un bon niveau laser. Pour réussir ces travaux rapidement et sans difficulté, Ryobi® a conçu 4 nouveaux lasers simples et astucieux.  […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Passi’bat les solutions techniques à la consommation d’énergie

Les journées du Bâtiment Passif, positif et durableles 12 et 13 avril au pavillon Baltard – Nogent sur Marne À vos agendas ! Alors que les interrogations quant au prix à venir des énergies s’intensifient, Passi’bat s’affirme définitivement comme un rendez-vous unique en France, à ne pas manquer ! Chaque année, son Congrès, les conférences, les […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Accélérer le développement du biogaz pour réduire la dépendance énergétique de la France

La crise actuelle de l’énergie met en lumière toute l’importance des énergies renouvelables dans le mix-énergétique français. Son impact se traduit pour toutes les énergies, pétrole, gaz et électricité. La filière biogaz, en développement depuis 10 ans, participe déjà à l’indépendance énergétique de la France, avec une capacité installée couvrant 3 % de la consommation […]
Il y a 3 ans et 57 jours

Nouvelle table de découpe au fil vibrant pour isolants OSCILOCUT

Soucieux de proposer une gamme d’outils toujours plus  étendue aux artisans façadiers, pour un gain de temps et  d’efforts dans la réalisation des chantiers d’isolation, EDMA  innove avec une nouvelle table de découpe pour isolants sur batterie et dotée d’un système de coupe au fil vibrant : OSCILOCUT.  Avec sa technologie exclusive de découpe au […]