Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255446 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 75 jours

Pourquoi Bouygues croit en sa capacité à améliorer la marge d'Equans

FOCUS. En négociations avec Engie pour le rachat d'Equans, le groupe Bouygues s'est fixé pour objectif d'atteindre une marge de 5% pour ces activités. Lors de la présentation des résultats 2021 de la major, son directeur général, Olivier Roussat, a expliqué les raisons qui le poussaient à avoir confiance.
Il y a 3 ans et 75 jours

La guerre en Ukraine peut-elle impacter la production des matériels de TP ?

Les sanctions prises par l’Union européenne à l’encontre de la Russie ont déjà commencé à impacter l’importation de certaines matières premières vers l’Europe, notamment l’acier. Utilisé dans la fabrication des engins, ce dernier pourrait-il venir à manquer aux constructeurs ?
Il y a 3 ans et 75 jours

Un accord contre l’exportation de chênes vers la Chine

La forêt privée, les experts forestiers et les coopératives s’engagent à proposer systématiquement le recours au Label UE pour les ventes publiques de lots de chêne.
Il y a 3 ans et 75 jours

Eiffage enregistre des résultats "de bien meilleure qualité" que prévus

RÉSULTATS. Le groupe Eiffage a connu une bonne dynamique en 2021, l'activité se hissant même à un niveau historique, portée par l'international. Malgré une consommation du carnet de commandes des grands projets, les nouveaux contrats ont été nombreux, laissant anticiper une année 2022 au beau fixe.
Il y a 3 ans et 75 jours

Eolien Offshore : EnBW quitte le marché américain en cédant ses activités à TotalEnergies

RENOUVELABLES. Le fournisseur d'énergie allemand, EnBW, a décidé de se retirer du marché américain de l'éolien en mer. Il prévoit de céder ses activités EnBW North America et ses actifs à son partenaire TotalEnergie.
Il y a 3 ans et 75 jours

L'IEIF livre une analyse des premiers impacts de la guerre en Ukraine sur l'économie et l'immobilier

Aujourd’hui, l’invasion de l’Ukraine par la Russie, première guerre d’agression transfrontalière en Europe depuis 1945, a toutes les chances de les influencer durablement. Les risques extrêmes sur les marchés seraient exacerbés. Béatrice Guedj et Pierre Schoeffler, seniors advisors IEIF livrent leur analyse.Croissance économique, inflation et taux d’intérêtL’incertitude actuelle risque de provoquer un désir d’accumulation d’épargne de précaution de la part des ménages et un attentisme sur les investissements de la part des entreprises, ralentissant la vitesse de circulation de la monnaie. Entre goulot d’étranglement sur l’offre en biens manufacturiers, baisse du pouvoir d’achat et comportement de précaution, les revenus des ménages et les profits des entreprises pourraient être amputés, ce qui pèserait sur les emplois de bureaux, la demande placée et la solvabilité immobilière des agents privés Avant l’invasion de l’Ukraine, la hausse des prix en Europe était essentiellement liée à la hausse du prix de l’énergie et aux tensions post-Covid sur les chaînes d’approvisionnement. La hausse du prix de l’énergie va s’intensifier et l’inflation pourrait connaître une nouvelle dynamique qui, si les pressions perdurent, pourraient véritablement déclencher des demandes de compensation salariale. La nouvelle fragmentation du commerce mondial avec l’isolement économique de la Russie ne peut aussi déboucher que sur un régime d’inflation plus intense. Les taux d’intérêt réels devraient rester en territoire négatifs, voire baisser encore, ce qui est une configuration favorable à l’immobilier. À moyen terme, tout dépendra de l’ancrage de l’inflation dans les circuits économiques. Si cet ancrage est fort, la réponse de la BCE sera plus appuyée et la normalisation plus rapide qu’escomptée jusqu’ici.Conséquences sur l’immobilier Le scénario d’un ralentissement économique en Europe couplé à une forte inflation, soit un épisode de stagflation, voit donc sa probabilité augmenter si une issue diplomatique n’est pas rapidement trouvée. Durant ces périodes de stagflation, les loyers sont tirés à la hausse par le mécanisme d’indexation mais face à des revenus amoindris, il est difficile de faire passer ces hausses aux locataires, sauf aux entreprises qui sont capables de répercuter la pression de leurs coûts de revient sur leurs prix de vente.En France, durant la longue période de stagflation provoquée par les chocs pétroliers de 1973 et 1979, l’immobilier s’est bien comporté avec une performance globale réelle positive portée par les rendements en capital alors que les rendements locatifs réels étaient négatifs. Durant cette période de très forte inflation, les taux réels de long terme sont restés très négatifs en tout début de période avant de devenir très positifs en fin de période. La stagflation du début des années 1990 n’a pas été favorable à l’immobilier mais il s’agissait alors de l’éclatement d’une bulle immobilière. Les deux autres périodes de stagflation en France ont été de courte durée. La crise financière globale, également d’origine immobilière, a été très négative à l’immobilier. La crise Covid, très violente et très courte, n’a eu qu’un effet passager.Les marchés de l’immobilier coté en Europe n’envoient pas de signaux particuliers. L’ensemble des segments à l’exclusion du commerce s’effrite depuis le début de l’année. La logistique et la santé sont ceux qui reculent le plus. (cf graphique) De façon plus fondamentale, la fragmentation du marché immobilier à l’œuvre durant la crise Covid se corrige lentement par une convergence des performances des différents segments.
Cimbat
Il y a 3 ans et 75 jours

Comment réussir la transition énergétique dans le bâtiment ? Quelles priorités ? Les propositions de Coénove pour le prochain quinquennat.

Le quinquennat qui s’achève a vu s’amplifier les ambitions de la France en matière d’énergie et de climat avec notamment la révision de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (2019), la loi Énergie et Climat (2019) et la loi Climat Résilience (2021) qui sont venues renforcer l’arsenal législatif et règlementaire existants. La France, malheureusement, a choisi […]
Il y a 3 ans et 75 jours

5 points clés pour le secteur du bâtiment en 2022

Une seconde vie pour les anciens bâtimentsAvec la pandémie, les mesures de santé publique ont transformé des maisons en bureaux et laissé des immeubles de bureaux vides. Si certains de ces changements se sont atténués, l’utilisation des bâtiments a véritablement changé : la fréquentation des bureaux ne sera plus la même, le télétravail et travail hybride vont perdurer et le commerce physique ne récupérera jamais complètement le terrain perdu.En parallèle, l’immobilier résidentiel fait face à une pénurie de logements que les nouvelles constructions ne peuvent combler en raison d’un manque de matériaux, de main-d'œuvre et de terrains. Dans un secteur où certains types de biens sont surabondants, alors que d’autres sont insuffisants, les entreprises devront faire de réels efforts pour relever les défis de la réaffectation des bâtiments, qui constituent des opportunités importantes afin de répondre à l'évolution des besoins immobiliers.L'énergie au cœur de la refonte de l'utilisation des bâtimentsLes évolutions observées dans l'utilisation des bâtiments au cours des deux dernières années, sont survenues alors que des changements avaient déjà été opérés afin de répondre à la pression réglementaire et sociétale pour une plus grande efficacité énergétique. Cela implique de meilleures approches de l’efficacité des bâtiments, en termes de conception, modernisation et système de gestion de l’énergie des bâtiments.Par exemple, l'adoption croissante des véhicules électriques, entraînera une demande accrue d'énergie électrique. Dans le même temps, les arguments économiques en faveur des énergies renouvelables à petite échelle entraineront les déploiements de panneaux solaires. Ces développements conduiront les bâtiments à devenir à la fois consommateurs et producteurs d'électricité. On parlera alors de "prosumers" pour décrire la manière dont les propriétaires gèrent cette nouvelle relation avec l'électricité. La façon dont les bâtiments interagissent avec l'infrastructure énergétique est depuis longtemps essentielle. Néanmoins, l’impact de l’évolution des besoins des consommateurs sur le réaménagement des bâtiments conduira à renforcer cette interaction. Les appels d'offres devraient donc être naturellement de plus en plus axés sur les questions de gestion énergétique.La digitalisation comme catalyseurLes technologies et les approches traditionnelles ne suffisent plus aujourd’hui pour que les changements majeurs dans la façon dont les bâtiments interagissent avec l'infrastructure électrique soient viables. Les technologies intelligentes, y compris les compteurs intelligents, deviendront essentielles pour permettre aux bâtiments de réinjecter de l'énergie dans le réseau et pour fournir aux opérateurs de réseau des informations sur la consommation d’énergie de chaque bâtiment.Le réseau d'un bâtiment individuel peut être rendu plus polyvalent et plus flexible grâce à la technologie numérique. Les systèmes électriques intelligents des bâtiments sont capables de réagir aux conditions du réseau, par exemple en chargeant les véhicules électriques aux heures de faible demande. Alors que le système électrique global continue de se transformer, les systèmes numériques offriront la flexibilité et l'adaptabilité nécessaires à chaque étape de la production et de l'utilisation de l'énergie. Ces changements amènent à une relation plus intelligente, plus réactive entre les bâtiments et l'infrastructure. Des projets démontrant la valeur de ce type d'approche sont déjà en cours, la gestion intelligente de l'énergie va devenir un élément essentiel de réponse à la crise climatique.La sécurité des bâtiments redéfinieAvec la pandémie, les autorités de santé publique tentent de comprendre la dynamique de la transmission virale et l'impact des interventions telles que l'augmentation de la ventilation sur le fonctionnement des systèmes de gestion des bâtiments. Il est important de trouver un équilibre entre la sécurité des personnes et le maintien des activités quotidiennes.Parallèlement, il sera indispensable d'identifier le profil de risque de cybersécurité des bâtiments, car les systèmes intelligents peuvent constituer des failles dans leur structure, au niveau des tableaux de distribution électrique et des équipements de chauffage, ventilation et climatisation. Ces éléments doivent être considérés comme faisant partie d'un système global complexe et cohérent, et non comme des questions distinctes pouvant être traitées de manière isolée. Il est donc probable que de nouvelles normes de sécurité des bâtiments se développent au cours des prochaines années.Des liens plus étroits entre les bâtiments et les autres secteurs d’activitéDe nombreux facteurs tels que les préoccupations sur le climat ou bien la pression du public pour répondre à des besoins changeants vont impacter les évolutions de ce secteur. Il est ainsi nécessaire d’impliquer un ensemble large de parties prenantes confrontées à leurs propres défis de transformation.La connexion entre les différentes industries peut être facilitée par le processus connu sous le nom de « couplage sectoriel », c’est-à-dire l’électrification des transports et des bâtiments tertiaires et industriels.Un bon couplage sectoriel dans le secteur du bâtiment permettra de soutenir et d'accélérer la décarbonation grâce à un réseau plus résilient, à une production décentralisée et à une utilisation intelligente de l'énergie qui s'adapte à l'offre. Il s'agit là d'un élément essentiel de la transformation énergétique. L’évolution de l’utilisation des bâtiments offre à ce même secteur une occasion unique de contribuer au processus.Tribune par Laëtitia Tran-Rodeghiero, Commercial Buildings Segment Manager chez Eaton Electrical France (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 75 jours

La chapelle du château royal d'Amboise rajeunie grâce à une rénovation d'ampleur

DIAPORAMA. La chapelle Saint-Hubert du château royal d'Amboise bénéficie d'une restauration exceptionnelle. Charpente, sculptures, vitraux, plomberie, presque tout est à refaire. Visite de ce chantier grandiose...
Il y a 3 ans et 75 jours

SILENCE, S’IL VOUS PLAÎT ! Nouvelle gamme de PAC Aquarea ultrasilencieuses

• Ultrasilencieux pour une utilisation dans des environnements sensibles au bruit • Réduction du bruit pouvant atteindre 7 dB(A) • Capacité de chauffage constante jusqu’à -20 C sans appoint électrique • Rendement énergétique maximal • Température de sortie d’eau jusqu’à 60  Gennevilliers le 17 février 2022 – Panasonic solutions chauffage & refroidissement lance un nouveau modèle […]
Il y a 3 ans et 75 jours

La collection « pense-bête « de l’AQC pour le terrain

L’Agence qualité construction (AQC) publie une collection entièrement réactualisée de 22 MÉMO CHANTIER®. Destinés aux opérateurs de chantier, ces documents illustrent en 7 à 9 points clés les dispositions essentielles issues des Règles de l’art (NF DTU).  La collection des MÉMO CHANTIER® s’adresse à tous les opérateurs sur le chantier. En 7 à 9 illustrations, […]
Il y a 3 ans et 75 jours

"La transition énergétique doit être compétitive et flexible", Jean-Marc Leroy (AFG)

INDUSTRIE. Forts de leurs propositions aux candidats à l'élection présidentielle, les gaziers entendent peser sur les débats autour de la transition écologique en insistant encore et toujours sur la nécessaire complémentarité des énergies. À la tête de l'Association française du gaz, Jean-Marc Leroy analyse pour Batiactu le fonctionnement du marché énergétique, et revient également sur la question de l'approvisionnement en gaz dans un contexte géopolitique très sensible.
Il y a 3 ans et 75 jours

L’Energie la moins chère est celle qu’on ne consomme pas ! Bâtiment Passif : le vrai bouclier tarifaire

Image d’une thermographie : avant rénovation ( à gauche) et après rénovation passive (à droite). Les couleurs chaudes représentent les déperditions d’énergie. Elles ont été largement supprimées après rénovation. Les prix de l’énergie grimpent, conséquence de la reprise économique mondiale et de notre dépendance énergétique. Contre 44,5 % d’augmentation prévue pour l’électricité au 1er février […]
Il y a 3 ans et 75 jours

Nouveau président , nouvelles perspectives : le carrefour international du bois fêtera ses 30 ans du 1er au 3 juin 2022

Après une édition 2020 annulée et 4 ans d’absence dues à l’inédite pandémie de COVID-19, le Carrefour International du Bois, organisé par l’interprofession Fibois Pays de la Loire, revient du 1er au 3 juin 2022 au Parc des Expositions de Nantes.  En 2022, ce RDV unique en Europe fêtera également ses 30 ans d’existence ; […]
Il y a 3 ans et 75 jours

ECOPHON ET PLAFOMETAL équipent l’aéroport de Marseille

L’aéroport de Marseille-Provence a entamé en 2019 une série de grands travaux destinés à améliorer l’accueil des voyageurs. Dans le cadre de cette réhabilitation, les marques Saint-Gobain Ecophon et Plafometal ont été choisies pour équiper les zones de débarquement et de récupération des bagages du Terminal 1.  L’aéroport de Marseille-Provence a franchi en 2019 la […]
Il y a 3 ans et 75 jours

Tout sur la cinquième période des CEE

La 5ème période 2022-25 des CEE a commencé le 1er janvier 2022. Les obligés doivent économiser 1770 TWh cumac, plus 730 TWh cumac au titre de la précarité énergétique. De nouveaux programmes apparaissent.
Il y a 3 ans et 75 jours

La Fédération nationale des Communes forestières impliquée pour des solutions concrètes face à la crise du chêne

Pour le développement du label UE et de la contractualisationAujourd’hui, Il est indispensable d’être vigilant sur la prise en compte de cette ressource et plus que tout nécessaire de renforcer le maillage territorial avec la mise en place de circuits plus courts en maintenant une transformation des produits forestiers en France et dans l’Union Européenne. Le label chêne Union Européenne et la contractualisation sont des solutions pour parvenir à ces dynamiques dans lesquelles la Fédération nationale des Communes forestières (FNCOFOR) s’est toujours pleinement investie avec tous ses élus, ces dernières années.En effet, depuis 2015 en appui de l’Etat et de la Fédération Nationale du Bois (FNB), la FNCOFOR a contribué à la création du label chêne Union Européenne. Ce label apporte une réponse opérationnelle pour faire face aux difficultés d’approvisionnement important des scieries. Il vise à ce que les grumes de chênes de qualité sciage soient transformées une première fois dans l’Union européenne.La FNCOFOR souhaite également accélérer le développement de la contractualisation sur toutes les essences et particulièrement sur le chêne. La contractualisation permet la vente des bois par qualité sous contrat avec des entreprises françaises.A cet effet, la FNCOFOR a co-signé l’accord-chêne mis en place le 17 février 2022 avec le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation et l’ensemble des propriétaires, producteurs, gestionnaires et premiers transformateurs dans une démarche concertée et globale de filière.La FNCOFOR en action auprès de la filière La FNCOFOR a mis sur pied un plan d’actions précis qui rassemble les conditions de la réussite pour développer la contractualisation en concertation avec l’Office national des forêts (ONF), présenté lors des Assises de la forêt et du bois. Cette dynamique actuelle ne pourra se faire que dans un dialogue construit et serein avec le gestionnaire unique de la FNCOFOR, l’ONF. L’ONF doit mettre les moyens et les compétences pour réaliser ce plan d’actions et l’Etat doit aussi soutenir la FNCOFOR sur plusieurs pistes d’amélioration tels que la dotation globale de fonctionnement des collectivités, les circuits de TVA, le fond d’amorçage.... La FNCOFOR est en ordre de marche depuis plusieurs années. Son comité national des ventes, rassemblant les élus du bureau des Communes forestières et la direction commerciale de l’ONF, travaille sur ces questions prioritaires d’actualités et de commercialisation des bois.C’est grâce à cet élan collectif avec la publication récente du manifeste de la filière forêt-bois, la signature de cet accord-chêne, l'implication de FNCOFOR aux Assises de la forêt et du bois qu'elle pourra trouver les meilleures solutions pour le développement de la filière sur le territoire national et pour lutter in fine contre le réchauffement climatique.
Il y a 3 ans et 75 jours

Le bruit cruel de la guerre

Il y a quelques mois, Manuel Herz livrait à l’ouest de Kiev, en Ukraine, une synagogue ...More about Cet article Le bruit cruel de la guerre est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
GDA
Il y a 3 ans et 75 jours

L’impact de la guerre en Ukraine sur l’acier et l’énergie évalué par l’IEIF

Dans une note envoyée ce mercredi 2 mars, l’Institut de l'épargne immobilière et foncière (IEIF) estime que la guerre en Ukraine mettra la pression sur les prix de l’énergie, l’acier et les métaux rares et aura tendance à réduire les investissements des entreprises, si aucune issue diplomatique n'est rapidement trouvée.
Il y a 3 ans et 75 jours

Hauts-de-Seine : un hôtel de 184 chambres pour Okko Hotels dans le quartier de La Défense

Le nouvel hôtel de la marque Okko proposera trois salles de réunion et un restaurant italien au rez-de-chaussée.
Il y a 3 ans et 76 jours

Essonne : pose de la première pierre du projet d’extension du centre commercial Évry 2

La livraison de l’extension du centre commercial Évry 2 est prévue pour le printemps 2023, avec une inauguration attendue pour l’été de la même année.
Il y a 3 ans et 76 jours

1.200 bâtiments publics ont bénéficié d'une rénovation thermique

Ces bâtiments appartenant à l'Etat ont bénéficié d'une rénovation thermique dans le cadre des financements prévus dans le plan de relance.
Il y a 3 ans et 76 jours

Comment Veka affronte la hausse de 100% du prix du PVC

INDUSTRIEL. Le groupe industriel spécialisé dans les menuiseries PVC s'organise pour encaisser le doublement des prix de sa matière première, à hauteur de 100%. Et annonce de nouveaux investissements en France.
Il y a 3 ans et 76 jours

Le Quadrilatère Beauvais : DENFC, opacité et acoustique

Pour l’anecdote, c’est d’ailleurs ce dernier qui édicte, au sein d’un service à la création artistique, une commission appelée, entre autres, à soutenir les artistes vivants. Projet ponctué pour l’exemple d’une commande du plafond de l’Opéra de Paris à Marc Chagall en 1962 et de lois permettant l’affiliation à la sécurité sociale des artistes du spectacle en 1967, puis des peintres, sculpteurs et graveurs… Ces innovations ont permis des avancées dans le monde des musées et autres architectures dédiées au patrimoine vivant. Données qui alimentent encore aujourd’hui de très beaux projets de réhabilitations.C’est dans ce contexte politique et sociétal que la réalisation d’une galerie nationale de la tapisserie est confiée en 1969 à l’architecte André Hermant, assisté de Jean-Pierre Jouve. La proximité directe de la cathédrale Saint-Pierre et du rempart antique oriente le projet vers une architecture horizontale très contemporaine. La galerie nationale de la tapisserie est inaugurée en 1976. Propriété de l’État, la Galerie est reprise par la Ville de Beauvais en 2013. C’est en 2016 qu’elle devient « Le Quadrilatère ». Aujourd’hui, le projet culturel et artistique s’articule autour d’une identité « Patrimoine et Création ».Le quadrilatère : comme un carré en toiture « LE QUADRILATERE, ce polygone à quatre côtés, fait écho aux premiers plans tracés par André Hermant. » Cf. culture.beauvais.fr Par une vision oblique, on se rapproche aussi des lanterneaux de désenfumage carrés qui couvrent la toiture actuelle. Quasi invisibles au public, ils sont néanmoins des témoins réglementaires et horizontaux en adéquation, dans les faits, avec l’architecture des lieux. Voici pour la parenthèse historique au sujet d’un site chargé de mémoire, qui ne pouvait qu’engendrer une petite synthèse dans un communiqué qui n’en est pas moins professionnel.Année 2020 : feedback de travauxEn 2020, des travaux sont réalisés. Il s’agit, entre autres, de rénover une partie de la toiture de ce bâtiment ayant aujourd’hui plus de 40 ans. Intervenir dans le cadre d’un musée impose certains critères comme :Un désenfumage réglementaire,Une performance acoustique,Une maîtrise de la lumière naturelle (afin de privilégier une lumière artificielle propre à l’éclairage des expositions).Lanterneaux avec remplissage Pearl Inside : l'efficience d'un choixVia le CCTP, le choix de la maîtrise d’œuvre se porte entre autres sur des lanterneaux permettant de concilier lumière artificielle et expositions. Ils sont donc prévus en version opaque. L’entreprise Ramery Enveloppe agence Oise, chargée du projet, rajoute néanmoins une option avec un Pearl Inside intégré dans un PCA de 20 mm. Cette technologie Bluetek de remplissage polycarbonate intégrant des microbilles de verre permet une performance acoustique intéressante de l’ordre Rw = 28 (0 ;-2) Db et valeur Lia = 65 dB (impact du bruit de la pluie – réduction de l’effet peau de tambour).Le choix se porte aussi sur des lanterneaux de la gamme Therm, soit avec amélioration thermique, d’une valeur Urc de 2 à 2,1 W/m².K.Dans leur ensemble, les 23 lanterneaux Bluetek qui couvrent actuellement la tranche 1 du Quadrilatère sont composés comme suit :Bluesteel Therm Pneu 100/100,Remplissage Pearl Inside 20 mm opaque,Version standard (sans spoilers),Ouverture-fermeture par thermo-déclencheur calibré à 93° C,Costière biaise isolée 25 mm compris tôle d’accroche colaminée PVC ht. 350 mm (intérieur laqué blanc pur RAL 9010),Grille 1200 joules fixe (laquée blanc pur RAL 9010). Costière et grille 1200 joules sont laquées blanc, et complétées aussi d’un équipement supplémentaire. Il s’agit d’un barreaudage disposé dans la trémie existante. Les travaux du groupe Ramery Enveloppe – Agence Oise Forte d’environ 40 personnes, l’agence Ramery, située à Beauvais, est une inconditionnelle des travaux dédiés au bâtiment sur le secteur. En effet, le groupe Ramery, créé en 1972, s’articule autour de cinq métiers : les travaux publics, le bâtiment, l’environnement, les énergies & second œuvre et l’immobilier. Le Groupe représente actuellement près de 3 000 collaborateurs. Trois mois de travaux ont été dédiés à la rénovation du Quadrilatère par les équipes du Groupe Ramery. La rénovation de la toiture a tenu en la dépose totale du complexe d’étanchéité, et la repose d’une membrane soudée hybride EVALON® 3T France. La mission s’est déroulée entre mai et août 2020, incluant la pose des lanterneaux de toiture. « Un beau chantier. Tout s’est bien passé, y compris avec la Ville de Beauvais et le Responsable Régional Bluetek, Franck Bourdon, avec qui nous travaillons régulièrement » confirme Guillaume Tournant, Conducteur de Travaux du Groupe Ramery Enveloppe – agence Oise.MOA : Ville de Beauvais / Le Quadrilatère / Amiens (FR-80) / Contacts : Nathalie Peltier – Directrice du Service Patrimoine Bâti, Lucy Hofbauer – Directrice Le Quadrilatère et Anthony Monnier – Pilote TravauxCouverture : Ramery Enveloppe agence Oise / Amiens (FR-80) / Contacts : Guillaume Tournant et Romain Corrège – Conducteurs de Travaux et Mickaël Suys – Technicien ÉtudesFournitures : Bluetek / Luynes (FR-37) / Contacts : Franck Bourdon - Responsable Commercial et Olivier Grongnet – Responsable Prescription
Il y a 3 ans et 76 jours

Le guide pratique développement durable "Isolation thermique extérieure par enduit sur isolant PSE" du CSTB est disponible

Une explication détaillée et illustrée d’une des techniques d’ITE les plus répandues en FranceCe guide illustre la conception et la mise en œuvre des systèmes d’ITE :Quels sont les critères de choix et les supports admissibles ?Comment mettre en œuvre les composants (isolant, sous-enduit, finitions, etc.) Comment traiter les points singuliers ?Comment gérer l’entretien, la rénovation et la réfection des dégradations ?L’isolation thermique par l’extérieur (ITE) est réalisable sur les bâtiments neufs comme sur les bâtiments existants. Elle permet de traiter une grande partie des ponts thermiques linéiques, notamment ceux localisés aux jonctions façade-plancher intermédiaire et façade-refends. Elle contribue également à l’amélioration de l’inertie thermique du bâtiment.Cette nouvelle édition met en avant les évolutions dans le domaine des composants et met l’accent sur les critères de choix.Les modifications les plus importantes par rapport à la 1re édition sont les suivantes :prise en compte des nouveaux textes qui régissent les ETICSévolution du contexte réglementaire, notamment la sécurité incendie (arrêtés d'août 2019) et la RE2020 (qui remplacera à terme la RT 2012).Ce guide a été rédigé et mis à jour par Bertrand RUOT, ingénieur spécialiste de l’ITE.
Il y a 3 ans et 76 jours

La solution CERAMIQUE Villeroy & Boch qui répond à l'arrêté du 11 septembre 2020

Cette nouvelle réglementation s’appliquera également aux logements situés dans les étages lorsqu’ils sont desservis par un ascenseur depuis le 1er juillet 2021.Pour répondre à la norme zéro ressaut, Villeroy&Boch lance le tout nouveau receveur de douche en céramique naturelle : Le Valence. Le Valence est le receveur de douche parfait. Il s'intègre de manière universelle dans votre espace douche et/ou salle de bains car il est parfaitement zéro ressaut. Grâce à son design extraplat, toute la famille peut profiter d’une douche reposante en toute sécurité, et ce pendant des années. Fabriqué à Valence d’Agen (France), Le Valence est conçu à partir de céramique naturelle, matériau durable et recyclable.Retrouvez le receveur Le Valence en 5 dimensions allant de 90 x 90 cm à 140 x 90 cm dans un coloris épuré blanc, norme NF et avec la classe anti-glissance B (PN 18).Découvrez Le ValenceN’hésitez pas à jeter un coup d’œil du côté des autres collections Villeroy & Boch qui répondent également à la norme zéro ressaut. En effet, la plupart des receveurs de douche Villeroy&Boch sont extraplats. Par conséquent, vous avez le choix entre des receveurs de douches en céramique avec Le Valence et Subway Infinity, receveurs en Quaryl ® avec Squaro Infinity ou encore, des receveurs en acrylique avec Planeo et Architectura MetalRim.Véritable outil professionnel, le Club V&B est une plateforme en ligne, entièrement gratuite, qui vous permettra, en tant qu’adhérent, de bénéficier de nombreux avantages.Partenaire de vos projets, le Club V&B vous permet d’avoir un accès simple à toutes les actualités de la marque Villeroy&Boch et de pouvoir profiter de nombreuses informations produits et d’offres privilèges.Rejoignez le Club V&B en vous connectant sur clubvb.fr.
Il y a 3 ans et 76 jours

Guerre en Ukraine : le BTP s’organise pour être solidaire

Le soutien au peuple Ukrainien s'organise alors même que les combats s’intensifient.
Il y a 3 ans et 76 jours

Vendée : une nouvelle pelouse synthétique au pôle sportif Maxime-Bossis de Montaigu

L’avant-projet pour l’implantation d’un terrain synthétique au pôle sportif Maxime-Bossis a été validé par le conseil municipal de Montaigu.
Il y a 3 ans et 76 jours

Icade en croissance en 2021, porté par sa filiale santé

Le groupe, dont l'activité se divise en trois branches (foncière tertiaire, foncière de santé et promoteur), a dégagé un chiffre d'affaires de 1,56 milliard d'euros, 19,9% de plus qu'en 2020 et 10,4% qu'en 2019.Le "cash-flow net courant", son indicateur de référence, s'est établi à 390 millions d'euros, équivalent à son niveau d'avant-crise sanitaire, amenant Icade à proposer un dividende de 4,20 euros par action, en augmentation (+4,7%) et un peu plus que l'objectif fixé (+3%).Pour 2022, la foncière espère augmenter à nouveau son dividende de 3 à 4%.Elle souhaite également réussir l'introduction en Bourse d'Icade Santé après avoir dû y renoncer en 2021 faute d'avoir levé suffisamment de fonds."Je ne sais pas si ça sera en 2022, je le pense néanmoins et je l'espère. Mais on ne peut pas avoir une certitude absolue", a déclaré à l'AFP le directeur général, Olivier Wigniolle.Cette filiale, qui est censée investir 3 milliards d'euros entre 2021 et 2025, est nettement en avance sur ce plan avec 910 millions investis pour la seule année 2021, du fait d'opportunités inattendues à l'étranger (Allemagne, Espagne, Italie, Portugal).Pour affiner sa stratégie, le groupe attend notamment de voir comment va évoluer la régulation des Ehpad (établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) en France, après le scandale autour des maltraitances supposées dans certaines de ces structures révélées dans les médias."A court terme, ça n'impacte pas nos résultats et ça n'impacte pas notre stratégie", a affirmé Olivier Wigniolle, l'activité d'Icade se focalisant davantage sur les cliniques ou hôpitaux que sur les Ehpad.
Il y a 3 ans et 76 jours

Les jeux de toiture de Daniel Buren à Dijon

Le traditionnel cycle de conférences Bellastock a débuté mardi 1er mars 2022. Intitulé « S’outiller sans souiller », il aborde cette année les notions d’outils, de savoir-faire, de lieux et de ressources. Rendez-vous le mardi 8 mars à l’ENSA Paris Belleville pour son deuxième épisode […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 76 jours

Guerre en Ukraine : le sidérurgiste russe Severstal arrête ses livraisons en Europe

Le groupe sidérurgiste russe Severstal, qui exporte environ 2,5 millions de tonnes d'acier chaque année en Europe, annonce mettre fin aux livraisons sur le vieux continent.
Il y a 3 ans et 76 jours

Guerre en Ukraine : Bercy à l’écoute des entreprises affectées

Alors que l'armée russe poursuit son offensive et que l'aide internationale se structure, Bercy ouvre des points de contacts à destination des entreprises en relation avec l'Ukraine.
Il y a 3 ans et 76 jours

Vendée : trois nouvelles maisons pour loger des personnes en situation de handicap à Aizenay

À Aizenay, trois logements destinés à des personnes en situation de handicap seront disponibles à partir de cette année 2022.
Il y a 3 ans et 76 jours

Elcia s’engage auprès de l’école 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes et se mobilise face à la pénurie de développeurs

L’objectif : tisser un lien fort avec les étudiants pour répondre à ses enjeux de recrutement, tout en soutenant l’une des rares formations françaises.Interview croiséeEdouard CATRICE, Directeur Général du Groupe ELCIABenjamin TARRIER, Directeur Produit du Groupe ELCIAPour commencer, pouvez-vous nous en dire plus sur la naissance de ce partenariat ?Edouard CATRICE : « Tout commence par un constat clair : le secteur de l’édition logicielle est passionnant et extrêmement porteur mais il manque des milliers de développeurs. 6000 rien que sur la région lyonnaise ! Les éditeurs de logiciels doivent faire face à uneconcurrence extrême sur la place lyonnaise mais pas que. Avec la généralisation du télétravail, les éditeurs parisiens embauchent désormais sur toute la France en full-remote avec des salaires 20% supérieurs. Pire, de plus en plus de candidats se voient même proposer des salaires délirants pour travailler à distance pour des sociétés de la Silicon Valley.Autre difficulté : il n’existe que trop peu d’initiatives de l’Etat et de l’Education Nationale pour renforcer la filière avec des formations diplômantes. Ce qui est assez sidérant quand on sait qu’il y a des milliers de demandeurs d’emploi ! C’est très frustrant : nous sommes portés par notre croissance boostée par les besoins de nos clients mais freinés par nos difficultés à trouver des ressources. Nos RH sont constamment en alerte pour trouver de nouvelles solutions.Pour toutes ces raisons, quand Jean-Paul GENOUX, Président de 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes, m’a proposé de devenir mécène de l’école, cela a sonné comme une évidence ! »Justement, pourquoi l’école 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes ? Qu’est-ce qui vous a séduit ?Edouard CATRICE : « 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes est une merveilleuse initiative qui vient répondre aux problématiques que j’ai évoquées. Sa formation est diplômante et rassure les employeurs quant à la validation des compétences techniques. Un gage de qualité dont tout le marché du logiciel a cruellement besoin.C’est un devoir pour nous, éditeur de logiciels, de soutenir cette initiative !J’ai toujours trouvé le projet remarquable, notamment l’idée que le développement était ouvert à tous. C’est le principe de 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes : l’école est gratuite, sans contrainte d’âge, de diplôme ou de parcours. En 2021, 30% des élèves ne savaient même pas coder à leur entrée !Mais ce qui m’a le plus séduit dans l’approche de l’école, c’est la sélection des élèves avec les fameuses piscines. Pendant un mois de compétition extrême, les candidats doivent travailler ensemble pour remplir des objectifs. C’est exactement ce que l’on retrouve en entreprise. Pour réussir, il faut de la détermination, de l’engagement, et avoir le sens de l’entraide et du partage : c’est l’aptitude qui compte, le reste s’apprend. Des valeurs qui me parlent et qui me rappellent l’esprit de mon école d’Ingénieurs. Nous sommes très enthousiasmés par ce partenariat et nous souhaitons nous impliquer pleinement ! »De quelle manière ce partenariat va-t-il vivre ?Benjamin TARRIER : « Nous souhaitons être proches des étudiants et les accompagner dans leur apprentissage. 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes s’appuie sur une logique de peer-to-peer qui s’étend aussi entre les étudiants et l’entreprise. Notre volonté est de compléter la formation de l’école en leur faisant vivre concrètement la réalité de l’entreprise. Le 17 février, nous avons par exemple passé un moment dans les locaux de l’école, durant lequel nous avons fait gagner des sessions de coaching avec nos développeurs. Bien plus que l’aspect technique, un bon développeur doit être ouvert d’esprit, savoir se remettre en question, avoir la capacité d’aider. La méthode de 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes favorise l’intelligence collective, et c’est justement sur cette valeur clé que nous nous appuyons chez ELCIA pour résoudre nos problématiques de développement complexes. »Pour terminer, quels sont les recrutements ouverts chez ELCIA ?Benjamin TARRIER : « Le Groupe recrute plus de 30 nouveaux talents en 2022. Du côté de notre Service Produit, nous recherchons une dizaine de développeurs, aussi bien des profils séniors que novices. Nous partageons la même vision que l’école 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes : l’entraide et le partage. Nous regardons les soft skills et le comportement avant les compétences techniques qui peuvent s’apprendre. Nous sommes donc prêts à accueillir des profils novices avec les bonnes valeurs pour les faire grandir et contribuer à leur montée en compétence. Il est donc indispensable de travailler avec les écoles comme 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes pour être visibles et proposer aux étudiants des stages, de l’alternance et des embauches en CDI. »
Il y a 3 ans et 76 jours

Le marché de la maison neuve dévisse

Le marché de la maison neuve en secteur diffus, qui soutient l’activité en logement neuf, dévisse fortement depuis trois mois du fait des surcoûts issus tant de la hausse des prix des matériaux et de l’énergie que de la mise en œuvre de la RE2020, du durcissement des conditions d’octroi des crédits, ainsi que de la mise en œuvre du « Zéro Artificialisation Nette » (ZAN). Pour Grégory Monod, Président du Pôle Habitat FFB, « il est urgent de prendre conscience de la crise du logement dans laquelle nous nous enfonçons et de ce que cela signifie pour nos concitoyens, notamment les jeunes et les plus modestes. Les digues cèdent les unes après les autres : après l’individuel groupé, après le collectif en zones tendues, c’est au tour de la maison individuelle, si chère aux Français, d’entrer dans la tourmente en raison des contraintes qui frappent le secteur du neuf. Construire pour loger est un vecteur de progrès sociétal et écologique, un outil incontournable de lutte contre les inégalités sociales, générationnelles et territoriales. La situation exige des mesures fortes, puissantes et rapides. Elles doivent à la fois encourager les projets et accompagner le pouvoir d’achat des ménages. » Le Pôle Habitat FFB appelle à rétablir le prêt à taux zéro à 40% sans discrimination territoriale, à instaurer un crédit d’impôt de 15% sur les annuités d’emprunt, et à reconsidérer, dans la perspective de la réforme portée par la FFB de créer un statut universel du bailleur privé, le durcissement des conditions du dispositif Pinel pour 2023 et 2024. Pour relancer vraiment la construction neuve, il invite également à mettre en œuvre concrètement plusieurs propositions phares portées par la FFB dans la Commission Rebsamen, à définir un cadre soutenable de la lutte contre l’artificialisation des sols et à établir un véritable « permis de densifier ». L’analyse des chiffres mensuels et trimestriels montre que la solide performance de l’exercice 2021 s’appuie sur un premier semestre exceptionnel (+38,6% au premier trimestre et +63,2% au deuxième, en glissement annuel). Cette forte reprise des ventes ne s’est pas poursuivie au second semestre : +1,2% au troisième trimestre, -3,1% au quatrième et même -13,9% en décembre 2021.  
Il y a 3 ans et 76 jours

Vaucluse : à Cavaillon, les travaux de rénovation de la rue de la République ont commencé

Le chantier de réhabilitation de la rue de la République, à Cavaillon, va durer jusqu’en avril 2022. Il se déroulera en trois phases.
Il y a 3 ans et 76 jours

Val-de-Marne : un nouveau commissariat de police à Villeneuve-Saint-Georges

L’État français est prêt à financer 50 % de la la construction d’un nouveau commissariat de police aux côtés des collectivités locales à Villeneuve-Saint-Georges.
Il y a 3 ans et 76 jours

Seine-et-Marne : un futur établissement pour personnes âgées dépendantes en construction à Bussy-Saint-Georges

Baptisé « La Marquise », l’établissement sera implanté allée Madame-de-Montespan, dans l’écoquartier du Sycomore. Il sera livré au début 2023.
Il y a 3 ans et 76 jours

Rhône : début des travaux de l’Archipel à Villeurbanne

L’Archipel sera un tiers-lieu dédié à la lutte contre la précarité alimentaire et à la solidarité. Sa construction s’achèvera en décembre 2022.
Il y a 3 ans et 76 jours

La coopérative d’artisans, une alternative pour coordonner votre chantier

Ça y est, c’est décidé, vous lancez votre éco-construction. Le rêve sur internet, les livres aux photos inspirantes, ça va un temps. Action ! A vous la réalité, celle de la recherche du terrain ou de la ruine à retaper, des croquis et des discussions jusque tard dans la nuit, celle où l’on passe ses […]
Il y a 3 ans et 76 jours

Un nouveau campus pour Sciences-Po Paris

Le traditionnel cycle de conférences Bellastock a débuté mardi 1er mars 2022. Intitulé « S’outiller sans souiller », il aborde cette année les notions d’outils, de savoir-faire, de lieux et de ressources. Rendez-vous le mardi 8 mars à l’ENSA Paris Belleville pour son deuxième épisode […] Lire l'article