Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255466 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 76 jours

1.200 bâtiments publics ont bénéficié d'une rénovation thermique

Ces bâtiments appartenant à l'Etat ont bénéficié d'une rénovation thermique dans le cadre des financements prévus dans le plan de relance.
Il y a 3 ans et 76 jours

Comment Veka affronte la hausse de 100% du prix du PVC

INDUSTRIEL. Le groupe industriel spécialisé dans les menuiseries PVC s'organise pour encaisser le doublement des prix de sa matière première, à hauteur de 100%. Et annonce de nouveaux investissements en France.
Il y a 3 ans et 76 jours

Le Quadrilatère Beauvais : DENFC, opacité et acoustique

Pour l’anecdote, c’est d’ailleurs ce dernier qui édicte, au sein d’un service à la création artistique, une commission appelée, entre autres, à soutenir les artistes vivants. Projet ponctué pour l’exemple d’une commande du plafond de l’Opéra de Paris à Marc Chagall en 1962 et de lois permettant l’affiliation à la sécurité sociale des artistes du spectacle en 1967, puis des peintres, sculpteurs et graveurs… Ces innovations ont permis des avancées dans le monde des musées et autres architectures dédiées au patrimoine vivant. Données qui alimentent encore aujourd’hui de très beaux projets de réhabilitations.C’est dans ce contexte politique et sociétal que la réalisation d’une galerie nationale de la tapisserie est confiée en 1969 à l’architecte André Hermant, assisté de Jean-Pierre Jouve. La proximité directe de la cathédrale Saint-Pierre et du rempart antique oriente le projet vers une architecture horizontale très contemporaine. La galerie nationale de la tapisserie est inaugurée en 1976. Propriété de l’État, la Galerie est reprise par la Ville de Beauvais en 2013. C’est en 2016 qu’elle devient « Le Quadrilatère ». Aujourd’hui, le projet culturel et artistique s’articule autour d’une identité « Patrimoine et Création ».Le quadrilatère : comme un carré en toiture « LE QUADRILATERE, ce polygone à quatre côtés, fait écho aux premiers plans tracés par André Hermant. » Cf. culture.beauvais.fr Par une vision oblique, on se rapproche aussi des lanterneaux de désenfumage carrés qui couvrent la toiture actuelle. Quasi invisibles au public, ils sont néanmoins des témoins réglementaires et horizontaux en adéquation, dans les faits, avec l’architecture des lieux. Voici pour la parenthèse historique au sujet d’un site chargé de mémoire, qui ne pouvait qu’engendrer une petite synthèse dans un communiqué qui n’en est pas moins professionnel.Année 2020 : feedback de travauxEn 2020, des travaux sont réalisés. Il s’agit, entre autres, de rénover une partie de la toiture de ce bâtiment ayant aujourd’hui plus de 40 ans. Intervenir dans le cadre d’un musée impose certains critères comme :Un désenfumage réglementaire,Une performance acoustique,Une maîtrise de la lumière naturelle (afin de privilégier une lumière artificielle propre à l’éclairage des expositions).Lanterneaux avec remplissage Pearl Inside : l'efficience d'un choixVia le CCTP, le choix de la maîtrise d’œuvre se porte entre autres sur des lanterneaux permettant de concilier lumière artificielle et expositions. Ils sont donc prévus en version opaque. L’entreprise Ramery Enveloppe agence Oise, chargée du projet, rajoute néanmoins une option avec un Pearl Inside intégré dans un PCA de 20 mm. Cette technologie Bluetek de remplissage polycarbonate intégrant des microbilles de verre permet une performance acoustique intéressante de l’ordre Rw = 28 (0 ;-2) Db et valeur Lia = 65 dB (impact du bruit de la pluie – réduction de l’effet peau de tambour).Le choix se porte aussi sur des lanterneaux de la gamme Therm, soit avec amélioration thermique, d’une valeur Urc de 2 à 2,1 W/m².K.Dans leur ensemble, les 23 lanterneaux Bluetek qui couvrent actuellement la tranche 1 du Quadrilatère sont composés comme suit :Bluesteel Therm Pneu 100/100,Remplissage Pearl Inside 20 mm opaque,Version standard (sans spoilers),Ouverture-fermeture par thermo-déclencheur calibré à 93° C,Costière biaise isolée 25 mm compris tôle d’accroche colaminée PVC ht. 350 mm (intérieur laqué blanc pur RAL 9010),Grille 1200 joules fixe (laquée blanc pur RAL 9010). Costière et grille 1200 joules sont laquées blanc, et complétées aussi d’un équipement supplémentaire. Il s’agit d’un barreaudage disposé dans la trémie existante. Les travaux du groupe Ramery Enveloppe – Agence Oise Forte d’environ 40 personnes, l’agence Ramery, située à Beauvais, est une inconditionnelle des travaux dédiés au bâtiment sur le secteur. En effet, le groupe Ramery, créé en 1972, s’articule autour de cinq métiers : les travaux publics, le bâtiment, l’environnement, les énergies & second œuvre et l’immobilier. Le Groupe représente actuellement près de 3 000 collaborateurs. Trois mois de travaux ont été dédiés à la rénovation du Quadrilatère par les équipes du Groupe Ramery. La rénovation de la toiture a tenu en la dépose totale du complexe d’étanchéité, et la repose d’une membrane soudée hybride EVALON® 3T France. La mission s’est déroulée entre mai et août 2020, incluant la pose des lanterneaux de toiture. « Un beau chantier. Tout s’est bien passé, y compris avec la Ville de Beauvais et le Responsable Régional Bluetek, Franck Bourdon, avec qui nous travaillons régulièrement » confirme Guillaume Tournant, Conducteur de Travaux du Groupe Ramery Enveloppe – agence Oise.MOA : Ville de Beauvais / Le Quadrilatère / Amiens (FR-80) / Contacts : Nathalie Peltier – Directrice du Service Patrimoine Bâti, Lucy Hofbauer – Directrice Le Quadrilatère et Anthony Monnier – Pilote TravauxCouverture : Ramery Enveloppe agence Oise / Amiens (FR-80) / Contacts : Guillaume Tournant et Romain Corrège – Conducteurs de Travaux et Mickaël Suys – Technicien ÉtudesFournitures : Bluetek / Luynes (FR-37) / Contacts : Franck Bourdon - Responsable Commercial et Olivier Grongnet – Responsable Prescription
Il y a 3 ans et 76 jours

Le guide pratique développement durable "Isolation thermique extérieure par enduit sur isolant PSE" du CSTB est disponible

Une explication détaillée et illustrée d’une des techniques d’ITE les plus répandues en FranceCe guide illustre la conception et la mise en œuvre des systèmes d’ITE :Quels sont les critères de choix et les supports admissibles ?Comment mettre en œuvre les composants (isolant, sous-enduit, finitions, etc.) Comment traiter les points singuliers ?Comment gérer l’entretien, la rénovation et la réfection des dégradations ?L’isolation thermique par l’extérieur (ITE) est réalisable sur les bâtiments neufs comme sur les bâtiments existants. Elle permet de traiter une grande partie des ponts thermiques linéiques, notamment ceux localisés aux jonctions façade-plancher intermédiaire et façade-refends. Elle contribue également à l’amélioration de l’inertie thermique du bâtiment.Cette nouvelle édition met en avant les évolutions dans le domaine des composants et met l’accent sur les critères de choix.Les modifications les plus importantes par rapport à la 1re édition sont les suivantes :prise en compte des nouveaux textes qui régissent les ETICSévolution du contexte réglementaire, notamment la sécurité incendie (arrêtés d'août 2019) et la RE2020 (qui remplacera à terme la RT 2012).Ce guide a été rédigé et mis à jour par Bertrand RUOT, ingénieur spécialiste de l’ITE.
Il y a 3 ans et 76 jours

La solution CERAMIQUE Villeroy & Boch qui répond à l'arrêté du 11 septembre 2020

Cette nouvelle réglementation s’appliquera également aux logements situés dans les étages lorsqu’ils sont desservis par un ascenseur depuis le 1er juillet 2021.Pour répondre à la norme zéro ressaut, Villeroy&Boch lance le tout nouveau receveur de douche en céramique naturelle : Le Valence. Le Valence est le receveur de douche parfait. Il s'intègre de manière universelle dans votre espace douche et/ou salle de bains car il est parfaitement zéro ressaut. Grâce à son design extraplat, toute la famille peut profiter d’une douche reposante en toute sécurité, et ce pendant des années. Fabriqué à Valence d’Agen (France), Le Valence est conçu à partir de céramique naturelle, matériau durable et recyclable.Retrouvez le receveur Le Valence en 5 dimensions allant de 90 x 90 cm à 140 x 90 cm dans un coloris épuré blanc, norme NF et avec la classe anti-glissance B (PN 18).Découvrez Le ValenceN’hésitez pas à jeter un coup d’œil du côté des autres collections Villeroy & Boch qui répondent également à la norme zéro ressaut. En effet, la plupart des receveurs de douche Villeroy&Boch sont extraplats. Par conséquent, vous avez le choix entre des receveurs de douches en céramique avec Le Valence et Subway Infinity, receveurs en Quaryl ® avec Squaro Infinity ou encore, des receveurs en acrylique avec Planeo et Architectura MetalRim.Véritable outil professionnel, le Club V&B est une plateforme en ligne, entièrement gratuite, qui vous permettra, en tant qu’adhérent, de bénéficier de nombreux avantages.Partenaire de vos projets, le Club V&B vous permet d’avoir un accès simple à toutes les actualités de la marque Villeroy&Boch et de pouvoir profiter de nombreuses informations produits et d’offres privilèges.Rejoignez le Club V&B en vous connectant sur clubvb.fr.
Il y a 3 ans et 76 jours

Guerre en Ukraine : le BTP s’organise pour être solidaire

Le soutien au peuple Ukrainien s'organise alors même que les combats s’intensifient.
Cimbat
Il y a 3 ans et 76 jours

Icade en croissance en 2021, porté par sa filiale santé

Le groupe, dont l'activité se divise en trois branches (foncière tertiaire, foncière de santé et promoteur), a dégagé un chiffre d'affaires de 1,56 milliard d'euros, 19,9% de plus qu'en 2020 et 10,4% qu'en 2019.Le "cash-flow net courant", son indicateur de référence, s'est établi à 390 millions d'euros, équivalent à son niveau d'avant-crise sanitaire, amenant Icade à proposer un dividende de 4,20 euros par action, en augmentation (+4,7%) et un peu plus que l'objectif fixé (+3%).Pour 2022, la foncière espère augmenter à nouveau son dividende de 3 à 4%.Elle souhaite également réussir l'introduction en Bourse d'Icade Santé après avoir dû y renoncer en 2021 faute d'avoir levé suffisamment de fonds."Je ne sais pas si ça sera en 2022, je le pense néanmoins et je l'espère. Mais on ne peut pas avoir une certitude absolue", a déclaré à l'AFP le directeur général, Olivier Wigniolle.Cette filiale, qui est censée investir 3 milliards d'euros entre 2021 et 2025, est nettement en avance sur ce plan avec 910 millions investis pour la seule année 2021, du fait d'opportunités inattendues à l'étranger (Allemagne, Espagne, Italie, Portugal).Pour affiner sa stratégie, le groupe attend notamment de voir comment va évoluer la régulation des Ehpad (établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) en France, après le scandale autour des maltraitances supposées dans certaines de ces structures révélées dans les médias."A court terme, ça n'impacte pas nos résultats et ça n'impacte pas notre stratégie", a affirmé Olivier Wigniolle, l'activité d'Icade se focalisant davantage sur les cliniques ou hôpitaux que sur les Ehpad.
Il y a 3 ans et 76 jours

Les jeux de toiture de Daniel Buren à Dijon

Le traditionnel cycle de conférences Bellastock a débuté mardi 1er mars 2022. Intitulé « S’outiller sans souiller », il aborde cette année les notions d’outils, de savoir-faire, de lieux et de ressources. Rendez-vous le mardi 8 mars à l’ENSA Paris Belleville pour son deuxième épisode […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 76 jours

Guerre en Ukraine : le sidérurgiste russe Severstal arrête ses livraisons en Europe

Le groupe sidérurgiste russe Severstal, qui exporte environ 2,5 millions de tonnes d'acier chaque année en Europe, annonce mettre fin aux livraisons sur le vieux continent.
Il y a 3 ans et 76 jours

Guerre en Ukraine : Bercy à l’écoute des entreprises affectées

Alors que l'armée russe poursuit son offensive et que l'aide internationale se structure, Bercy ouvre des points de contacts à destination des entreprises en relation avec l'Ukraine.
Il y a 3 ans et 76 jours

Vendée : trois nouvelles maisons pour loger des personnes en situation de handicap à Aizenay

À Aizenay, trois logements destinés à des personnes en situation de handicap seront disponibles à partir de cette année 2022.
Il y a 3 ans et 76 jours

Elcia s’engage auprès de l’école 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes et se mobilise face à la pénurie de développeurs

L’objectif : tisser un lien fort avec les étudiants pour répondre à ses enjeux de recrutement, tout en soutenant l’une des rares formations françaises.Interview croiséeEdouard CATRICE, Directeur Général du Groupe ELCIABenjamin TARRIER, Directeur Produit du Groupe ELCIAPour commencer, pouvez-vous nous en dire plus sur la naissance de ce partenariat ?Edouard CATRICE : « Tout commence par un constat clair : le secteur de l’édition logicielle est passionnant et extrêmement porteur mais il manque des milliers de développeurs. 6000 rien que sur la région lyonnaise ! Les éditeurs de logiciels doivent faire face à uneconcurrence extrême sur la place lyonnaise mais pas que. Avec la généralisation du télétravail, les éditeurs parisiens embauchent désormais sur toute la France en full-remote avec des salaires 20% supérieurs. Pire, de plus en plus de candidats se voient même proposer des salaires délirants pour travailler à distance pour des sociétés de la Silicon Valley.Autre difficulté : il n’existe que trop peu d’initiatives de l’Etat et de l’Education Nationale pour renforcer la filière avec des formations diplômantes. Ce qui est assez sidérant quand on sait qu’il y a des milliers de demandeurs d’emploi ! C’est très frustrant : nous sommes portés par notre croissance boostée par les besoins de nos clients mais freinés par nos difficultés à trouver des ressources. Nos RH sont constamment en alerte pour trouver de nouvelles solutions.Pour toutes ces raisons, quand Jean-Paul GENOUX, Président de 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes, m’a proposé de devenir mécène de l’école, cela a sonné comme une évidence ! »Justement, pourquoi l’école 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes ? Qu’est-ce qui vous a séduit ?Edouard CATRICE : « 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes est une merveilleuse initiative qui vient répondre aux problématiques que j’ai évoquées. Sa formation est diplômante et rassure les employeurs quant à la validation des compétences techniques. Un gage de qualité dont tout le marché du logiciel a cruellement besoin.C’est un devoir pour nous, éditeur de logiciels, de soutenir cette initiative !J’ai toujours trouvé le projet remarquable, notamment l’idée que le développement était ouvert à tous. C’est le principe de 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes : l’école est gratuite, sans contrainte d’âge, de diplôme ou de parcours. En 2021, 30% des élèves ne savaient même pas coder à leur entrée !Mais ce qui m’a le plus séduit dans l’approche de l’école, c’est la sélection des élèves avec les fameuses piscines. Pendant un mois de compétition extrême, les candidats doivent travailler ensemble pour remplir des objectifs. C’est exactement ce que l’on retrouve en entreprise. Pour réussir, il faut de la détermination, de l’engagement, et avoir le sens de l’entraide et du partage : c’est l’aptitude qui compte, le reste s’apprend. Des valeurs qui me parlent et qui me rappellent l’esprit de mon école d’Ingénieurs. Nous sommes très enthousiasmés par ce partenariat et nous souhaitons nous impliquer pleinement ! »De quelle manière ce partenariat va-t-il vivre ?Benjamin TARRIER : « Nous souhaitons être proches des étudiants et les accompagner dans leur apprentissage. 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes s’appuie sur une logique de peer-to-peer qui s’étend aussi entre les étudiants et l’entreprise. Notre volonté est de compléter la formation de l’école en leur faisant vivre concrètement la réalité de l’entreprise. Le 17 février, nous avons par exemple passé un moment dans les locaux de l’école, durant lequel nous avons fait gagner des sessions de coaching avec nos développeurs. Bien plus que l’aspect technique, un bon développeur doit être ouvert d’esprit, savoir se remettre en question, avoir la capacité d’aider. La méthode de 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes favorise l’intelligence collective, et c’est justement sur cette valeur clé que nous nous appuyons chez ELCIA pour résoudre nos problématiques de développement complexes. »Pour terminer, quels sont les recrutements ouverts chez ELCIA ?Benjamin TARRIER : « Le Groupe recrute plus de 30 nouveaux talents en 2022. Du côté de notre Service Produit, nous recherchons une dizaine de développeurs, aussi bien des profils séniors que novices. Nous partageons la même vision que l’école 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes : l’entraide et le partage. Nous regardons les soft skills et le comportement avant les compétences techniques qui peuvent s’apprendre. Nous sommes donc prêts à accueillir des profils novices avec les bonnes valeurs pour les faire grandir et contribuer à leur montée en compétence. Il est donc indispensable de travailler avec les écoles comme 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes pour être visibles et proposer aux étudiants des stages, de l’alternance et des embauches en CDI. »
Il y a 3 ans et 76 jours

Le marché de la maison neuve dévisse

Le marché de la maison neuve en secteur diffus, qui soutient l’activité en logement neuf, dévisse fortement depuis trois mois du fait des surcoûts issus tant de la hausse des prix des matériaux et de l’énergie que de la mise en œuvre de la RE2020, du durcissement des conditions d’octroi des crédits, ainsi que de la mise en œuvre du « Zéro Artificialisation Nette » (ZAN). Pour Grégory Monod, Président du Pôle Habitat FFB, « il est urgent de prendre conscience de la crise du logement dans laquelle nous nous enfonçons et de ce que cela signifie pour nos concitoyens, notamment les jeunes et les plus modestes. Les digues cèdent les unes après les autres : après l’individuel groupé, après le collectif en zones tendues, c’est au tour de la maison individuelle, si chère aux Français, d’entrer dans la tourmente en raison des contraintes qui frappent le secteur du neuf. Construire pour loger est un vecteur de progrès sociétal et écologique, un outil incontournable de lutte contre les inégalités sociales, générationnelles et territoriales. La situation exige des mesures fortes, puissantes et rapides. Elles doivent à la fois encourager les projets et accompagner le pouvoir d’achat des ménages. » Le Pôle Habitat FFB appelle à rétablir le prêt à taux zéro à 40% sans discrimination territoriale, à instaurer un crédit d’impôt de 15% sur les annuités d’emprunt, et à reconsidérer, dans la perspective de la réforme portée par la FFB de créer un statut universel du bailleur privé, le durcissement des conditions du dispositif Pinel pour 2023 et 2024. Pour relancer vraiment la construction neuve, il invite également à mettre en œuvre concrètement plusieurs propositions phares portées par la FFB dans la Commission Rebsamen, à définir un cadre soutenable de la lutte contre l’artificialisation des sols et à établir un véritable « permis de densifier ». L’analyse des chiffres mensuels et trimestriels montre que la solide performance de l’exercice 2021 s’appuie sur un premier semestre exceptionnel (+38,6% au premier trimestre et +63,2% au deuxième, en glissement annuel). Cette forte reprise des ventes ne s’est pas poursuivie au second semestre : +1,2% au troisième trimestre, -3,1% au quatrième et même -13,9% en décembre 2021.  
Il y a 3 ans et 76 jours

Vaucluse : à Cavaillon, les travaux de rénovation de la rue de la République ont commencé

Le chantier de réhabilitation de la rue de la République, à Cavaillon, va durer jusqu’en avril 2022. Il se déroulera en trois phases.
Il y a 3 ans et 76 jours

Val-de-Marne : un nouveau commissariat de police à Villeneuve-Saint-Georges

L’État français est prêt à financer 50 % de la la construction d’un nouveau commissariat de police aux côtés des collectivités locales à Villeneuve-Saint-Georges.
Il y a 3 ans et 76 jours

Seine-et-Marne : un futur établissement pour personnes âgées dépendantes en construction à Bussy-Saint-Georges

Baptisé « La Marquise », l’établissement sera implanté allée Madame-de-Montespan, dans l’écoquartier du Sycomore. Il sera livré au début 2023.
Il y a 3 ans et 76 jours

Rhône : début des travaux de l’Archipel à Villeurbanne

L’Archipel sera un tiers-lieu dédié à la lutte contre la précarité alimentaire et à la solidarité. Sa construction s’achèvera en décembre 2022.
Il y a 3 ans et 76 jours

La coopérative d’artisans, une alternative pour coordonner votre chantier

Ça y est, c’est décidé, vous lancez votre éco-construction. Le rêve sur internet, les livres aux photos inspirantes, ça va un temps. Action ! A vous la réalité, celle de la recherche du terrain ou de la ruine à retaper, des croquis et des discussions jusque tard dans la nuit, celle où l’on passe ses […]
GDA
Il y a 3 ans et 76 jours

Transformer le bâti pour "ne pas faire de ghettos de vieux"

Francis Rambert est le commissaire de ce focus sur des projets pensés pour maintenir les anciens au cœur de la ville ou du village.Question : En 2060, plus de 17% de la population en France aura plus de 75 ans, contre 9,5% actuellement selon l'Ined. Comment répondre au défi du vieillissement de la population et de la gérontocroissance ?Réponse : Chez les plus de 80 ans, 83% sont autonomes, et dans les 17% restants, seuls la moitié sont dans des Ehpad. Avec cette exposition, nous défendons la thèse qu'il est possible de rester chez soi le plus tard possible dans un bon logement, quelle que soit sa taille.La question du bien vieillir ensemble pose celle de l'insertion des anciens dans la ville. Comment ne pas faire de ghettos de vieux ? Il s'agit de réfléchir autrement la question du logement.Les architectes savent justement élaborer des projets de vie avec un espace qui soit le plus vivable possible et soit autre chose qu'un couloir qui distribue des chambres.A Barcelone, à 300 mètres de la cathédrale gothique, il existe une résidence pour personnes âgées conçue dans le cadre de la transformation d'un marché, un projet qui illustre la détermination d'une ville à dire : nos personnes âgées méritent encore plus d'attention".Q- L'urbanisme des grands ensembles en France permet-il cette adaptation au 4e âge ?R- Dans les Trente Glorieuses, il fallait rééquiper la France, il y avait une demande de logements énorme et donc on a construit très vite. L'entretien de ces grands ensemble peut poser question, de même l'espace public parfois un peu oublié ou mal traité. Mais certains ensembles marchent très bien, comme le prouve la réhabilitation du quartier du Grand Parc à Bordeaux. Une structure a été bâtie en plus devant le bâtiment existant, ce qui a agrandi les logements. Il y reste des personnes âgées déjà présentes au moment de la construction dans les années 60. Il n'est pas besoin de mettre ces personnes dehors au motif que leurs logements sont soit-disant devenus obsolètes. Le fait de ne pas démolir fait que vous pouvez hériter d'une situation que vous améliorez. On peut reconquérir dans un paysage bâti un espace pour créer des conditions sociales du vivre ensemble. Le patrimoine existant est transformable, ce qui a également été le cas par exemple de la Grande poste à Strasbourg (réhabilitée notamment en bureaux et résidence pour seniors).Q- Le logement collectif est-il la solution ?R- Certains ne veulent pas vivre seuls ou n'ont plus envie de vivre dans des grands appartements. L'architecture doit s'adapter à cela. A Maisons-Alfort, la ville a décidé d'implanter un équipement pour les anciens au cœur de la ville, au milieu d'un parc lui-même entouré d'un urbanisme des années 60, fait de tours et de barres. Dans le bâtiment, les parties communes sont dilatées pour que les couloirs deviennent des lieux où vous avez envie de vous asseoir et discuter avec les voisins.Il est possible aussi d'adapter des sites parfois très urbanisés. Ainsi dans le XVe arrondissement, à Paris, dans une ancienne friche industrielle avec des tas de logements autour, trois programmes différents s'articulent : une résidence sociale pour des femmes battues, un équipement pour la petite enfance et un Ehpad. Chacun vit dans des temporalités différentes mais ils peuvent se rencontrer. Cela fait aussi vivre le quartier. La mixité est de mélanger les générations à toutes les échelles, comme à Nancy où, dans un petit bourg, un bâtiment existant et délaissé a été transformé en trois appartements pour des personnes âgées et deux pour des familles plus jeunes. La mixité générationnelle et le dialogue sont donc tout à fait possibles.
Il y a 3 ans et 76 jours

Le protocole de financement pour la nouvelle ligne Provence-Côte d'Azur est signé

Conformément à un accord conclu en avril 2020, le document signé par le ministre délégué aux Transports Jean-Baptiste Djebbari porte sur un montant total de 3,5 milliards d'euros, qui doit être pris en charge à 40% par l'Etat et 40% par les collectivités de Provence-Alpes-Côte-d'Azur, les 20% restants devant être demandés à l'Europe.La première phase comprend pour 900 millions d'euros la construction d'une gare près de l'aéroport de Nice, l'ouverture d'un RER toulonnais et des aménagements à Marseille, qui doivent être mis en service d'ici 2030.La deuxième phase concerne essentiellement, pour 2,6 milliards d'euros, des aménagements entre Cannes et Nice et le percement d'un tunnel sous Marseille, dont l'ouverture est envisagée vers 2035."Les premiers travaux sont programmés dès 2024", a noté le ministère dans un communiqué, alors que l'enquête publique concernant ces deux premières phases s'achève lundi.Une phase 3 ultérieure prévoit la construction d'une ligne nouvelle entre Nice et Cannes, tandis qu'une phase 4 envisage des sections entre Aubagne (Bouches-du-Rhône) et Toulon et entre Cannes et Le Muy (Var). Aucune échéance n'est encore avancée pour leur réalisation.Les collectivités concernées sont la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, les départements des Bouches-du-Rhône, des Alpes-Maritimes et du Var, les métropoles d'Aix-Marseille, Nice et Toulon, et les agglomérations de Cannes, Draguignan et Grasse.
Il y a 3 ans et 76 jours

L’AfterBIM#4 : Les métiers du BIM, ce joyeux bazar!

Retour d’expérience – Les métiers du BIM, ce joyeux bazar! Au programme de ce quatrième AfterBIM, Tristan Mayeur vous propose un échange sur les métiers du BIM et ce que veulent dire ou ne pas dire les BIM « Quelque chose ».BIM Manager, Référent BIM, BIM coordinateur, BIM Modeleur… Nombreux sont les intitulés des chargés du BIM, mais la définition du métier varie souvent! Tristan vous fera un retour d’expérience sur le sujet, tout en vous partageant son point de vue en tant qu’enseignant. Il vous en dira ensuite plus sur son métier, notamment avec la présentation d’un projet de lycée géré en BIM management par EPIGRAM. On vous donne rendez-vous le jeudi 31 Mars à 17h30 ! Inscrivez-vous à l’événement ici. Rejoignez le groupe Linkedin de L’AfterBIM ici. 
Il y a 3 ans et 76 jours

Thierry Scotton, nouveau directeur général France de Lakal

CARNET-NOMINATION. Le fabricant allemand de volets roulants, portes de garage, brise-soleil orientables, Lakal, dispose d'un nouveau directeur général France en la personne de Thierry Scotton.
Il y a 3 ans et 76 jours

8 Français sur 10 pensent que l'artisanat n'est pas assez considéré par les politiques

ÉCONOMIE. Une étude d'opinion réalisée par Opinion Way pour le compte de l'Union des entreprises de proximité (U2P) montre que 2 Français sur 3 accordent leur confiance aux artisans. Ils sont même plus de 80% à considérer que l'artisanat devrait davantage être pris en compte dans les politiques publiques.
Il y a 3 ans et 76 jours

Légère augmentation des constructions de logements par rapport à la pré-crise sanitaire

CONSTRUCTION. Les chiffres mensuels de la construction de logements et de locaux viennent d'être publiés par le ministère de la Transition écologique. Zoom sur le mois de janvier 2022.
Il y a 3 ans et 76 jours

Les ouvriers du secteur du Bâtiment du Grand Paris voient leurs salaires revalorisés

TRAVAIL. Les partenaires sociaux du Bâtiment de Paris et sa petite couronne ont signé des accords pour revaloriser les salaires minimaux cette année. La Fédération française du bâtiment (FFB) espère ainsi attirer des jeunes vers les métiers du secteur.
Il y a 3 ans et 76 jours

Les villes, en première ligne face au changement climatique

Les villes dans le monde font face à une myriade de risques liés au changement climatique, selon le dernier rapport des experts climat de l'ONU (Giec).
Il y a 3 ans et 76 jours

Adjuvantation : “Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille”

Guillaume Francqueville, président de Master Builders Solutions France, alerte sur la pénurie des matières premières et l’importante hausse de leurs prix. [©MBCC Group] Pénurie, quand tu nous tiens… Comme bien des secteurs, le monde de la chimie est impacté d’une manière très importante par un manque de disponibilité des matières premières. Ceci, lié à un contexte mondial particulier consécutif à la crise du Covid et au ralentissement économique généralisé qui l’a accompagnée.  En effet, après deux années de pandémie, la reprise a été fulgurante, avec un redémarrage massif des marchés asiatiques et nord-américains. A elles seules, ces deux zones ont commencé à absorber une partie importante des ressources de matières premières, saturant au passage le transport maritime mondial. Ainsi, on a pu voir les prix des conteneurs de 40’’ multipliés par cinq, par huit. Et comme une plaie n’arrive jamais seule, le coût des énergies ne cesse de grimper. Entre avril 2020 et janvier 2022, le prix du baril de pétrole a presque quintuplé, passant de 18,50 $ à 86,50 $ (16,50 € à 77,10 €). Une situation qui ne va pas s’améliorer avec le contexte géopolitique actuel, dont l’évolution est des plus incertaine… Une reprise non anticipée et sous-estimée De longue dates, les adjuvantiers ont axé leur développement sur les chimies nouvelles. « Pour une grande partie de nos productions, nous utilisons des polymères, issus de monomères souches », rappelle Guillaume Francqueville, président de Master Builders Solutions France (MBCC Group). Souci, le secteur des plastiques fait appel aux mêmes matières premières (monomères) que les adjuvantiers.  Quant aux sources d’approvisionnement, elles sont limitées à une petite poignée de producteurs fournisseurs mondiaux, dont les outils industriels sont à saturation. « Avec le Covid, ils ont mis un gros coup de frein sur les développements, investissements et capacités de production. » A vrai dire, ces industriels, comme bien d’autres, n’ont pas anticipé un niveau de reprise aussi fort et rapide. En même temps, la crise du Covid était “seulement” sanitaire et non économique et certains l’ont peut-être oublié.  Les chimies “anciennes” touchées à leur tour Aujourd’hui, la situation est telle qu’elle est : il n’y a pas assez de matières premières pour contenter tout le monde. De fait, ceux qui acceptent de payer le prix fort sont servis en premier. « A ce niveau, la filière construction n’est pas toujours la mieux placée », analyse Guillaume Francqueville.  Cette pénurie de monomères/polymères existait déjà dans le passé (avant la crise du Covid), mais restait limitée, même si elle gênait les adjuvantiers. Aujourd’hui, la “nouveauté” vient d’une brusque évolution tarifaire à la hausse des chimies que l’on pourrait qualifier “d’anciennes”. « Il s’agit de dérivés du sucre, de l’azote, d’acides de base. Toutes ces chimies qui ont permis l’essor de l’adjuvantation pour bétons avant l’arrivée des polymères. » Les huiles végétales et autres matières biosourcées sont impactées de la même manière. « Les hausses oscillent entre + 15 % et + 150 %, confirme Guillaume Francqueville. Elles sont arrivées très tard, en fin d’année dernière, sans signes annonciateurs… » Ces chimies sont aussi captées par l’Asie. Et par de nouveaux entrants, qui ont identifié des débouchés inédits pour ces produits. Des utilisations à plus forte valeur ajoutée que celles de la construction ! Une hausse qui n’épargne aucun adjuvantier Même s’ils représentent une part minoritaire du chiffre d’affaires des adjuvantiers, les produits basés sur ces “anciennes” chimies n’en restent pas moins demandés et utilisés par les acteurs du béton. « On parle là de solutions éprouvées, qui répondent parfaitement à certains besoins pour lesquels les nouvelles réponses d’adjuvantation restent surdimensionnées. » Mais cette hausse substantielle, qui n’épargne aucun adjuvantier, pourrait rapidement rendre ces chimies beaucoup moins attractives dans les semaines ou mois qui viennent. Car – il ne faut pas se voiler la face -, il y aura une répercussion sur les prix finaux. « En 2021, nous avons déjà absorbé une bonne partie des hausses, mais cette nouvelle salve affiche des niveaux jamais atteints, auxquels nous ne pouvons plus faire face », insiste Guillaume Francqueville. En effet, comme toutes entreprises, celles du secteur de l’adjuvantation n’échappent pas aux règles de rentabilité dictées par l’économie de marché.  L’élégante formule de Jacques Chirac Dans ce contexte, les adjuvantiers ne vont pas rester les bras ballants. Ils travaillent déjà à plusieurs scénarii. Le premier consiste à revoir les formulations de leurs adjuvants de base, en continuant à utiliser les chimies “anciennes”. Le second – plus plausible – est de procéder à une montée en gamme, en remplaçant les gluconates et autres lignosulfonates par les polymères de dernière génération. Mais à des concentrations bien moindres que celles nécessaires pour les adjuvants les plus récents et performants. Autrement dit, de faire profiter des progrès les plus récents de la chimie à des adjuvants éprouvés. Une substitution rendue possible par un delta de prix de moins en moins important entre “anciennes” et “nouvelles” chimies.  Aujourd’hui, l’industrie de l’adjuvantation pour bétons semble être à la croisée des chemins, entre hausses de prix permanentes, pénuries de matières premières et difficultés pour identifier de nouveaux sourcings. De quoi lui permettre de reprendre à son compte l’élégante formule de Jacques Chirac : « Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille ».  Frédéric Gluzicki
Il y a 3 ans et 76 jours

Guerre en Ukraine : comment réagissent les industriels de la construction ?

INTERNATIONAL. Alors que le conflit en Ukraine s'intensifie et que les mesures économiques contre la Russie se font de plus en plus drastiques, comment les industriels de la construction présents sur le territoire russe se positionnent ? Eléments de réponse.
Il y a 3 ans et 76 jours

Bienvenue à Kharkiv, Ukraine : son école d’architecture, son centre équestre

Un jour ou l’autre il faudra qu’il y ait la guerre / On le sait bien / On n’aime pas ça mais on ne sait pas quoi faire / On dit c’est le destin. Chantait Nino Ferrer dans On dirait le Sud. Nous y sommes. Lundi 28 février 2022 au matin, d’Oleg Drozdov, architecte fondateur […] L’article Bienvenue à Kharkiv, Ukraine : son école d’architecture, son centre équestre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 76 jours

De l’architecture, du chez-soi, du rôle social de l’architecte

Passage du Monténégro, la maison construite par l’architecte Georges Maurios au détour des années 2000 ne vieillit pas, tout juste si elle se patine. De la rue, la façade semble avoir été installée hier, elle a pourtant vu grandir et partir des enfants. L’occasion s’est présentée au détour d’une conversation. À la rédaction de Chroniques, […] L’article De l’architecture, du chez-soi, du rôle social de l’architecte est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 76 jours

Changement climatique : bâtiments et infrastructures seraient en première ligne

ADAPTATION. Les bâtiments et infrastructures, et plus largement le milieu urbain, seraient frappés de plein fouet par les vagues de chaleur amenées à se multiplier avec le réchauffement planétaire, selon le dernier rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat. C'est notamment sur l'isolation et la régulation de la température des bâtiments que devront se concentrer les efforts en la matière.
Il y a 3 ans et 76 jours

Une maison passage du Monténégro dans l’objectif d’Olivier Wogensky

Dans le cadre d’un projet rédactionnel*, le photographe Olivier Wogenscky a accepté au pied levé d’aller photographier une maison construite par l’architecte Georges Maurios il y a plus de vingt ans, quand Internet n’existait pas encore. Séquence émotion passage du Monténégro, dans le XXe arrondissement de Paris. Chronique-photos. J’étais prévenu, avec son aspect métallique, avec […] L’article Une maison passage du Monténégro dans l’objectif d’Olivier Wogensky est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 76 jours

Flexitravailleuses, flexitravailleurs, un peu d’agilité que diable !

La pandémie a mis à mal le bureau, le télétravail étant à l’honneur surtout pour les cadres, les professions intellectuelles et artistiques. Oui, installer son bureau chez soi n’est plus signe de glandouille. Les chef(fe)s ont peut-être appris à faire confiance à leurs salariés, ils ont aussi appris à réorganiser les bureaux, le flex office […] L’article Flexitravailleuses, flexitravailleurs, un peu d’agilité que diable ! est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 76 jours

Bouygues "envisage sereinement l'avenir"

RÉSULTATS. L'activité du groupe Bouygues s'est bien redressée en 2021, retrouvant des niveaux de performances similaires à ce qu'ils étaient en 2019, sans toutefois les dépasser. Ses dirigeants se disent "confiants pour l'avenir, alors que la major s'apprête à "changer de dimension" grâce à ses acquisitions en cours, parmi lesquelles celle d'Equans.
Il y a 3 ans et 76 jours

Amiante à Jussieu : les juges d'instruction ordonnent un non-lieu

JUSTICE. Les juges d'instruction du pôle de santé publique ont rendu une ordonnance de non-lieu sur le dossier de l'amiante à Jussieu. Une association représentant les victimes annonce qu'elle va faire appel.
Il y a 3 ans et 76 jours

Eco-matériaux : comment passer de l'exceptionnel à la norme ?

DÉBATS. Pour faire face à la "révolution" qui attend le secteur du Bâtiment en termes de matériaux et de techniques constructives, il faut développer et structurer les filières, estime l'Ordre des architectes, interrogé lors d'une table-ronde, en février. La Ville de Paris, elle, exige systématiquement l'utilisation de matériaux biosourcés pour ses rénovations de logements sociaux. Enfin, l'USH rappelle que la crise écologique ne doit pas faire oublier les crises sociales.
Il y a 3 ans et 76 jours

Wireframe

Filipe Magalhães, co-fondateur de Fala atelier, nous livre l'histoire derrière le dessin sélectionné pour orner la ...More about Cet article Wireframe est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 76 jours

La commission des affaires économiques du Sénat propose 5 mesures d'urgence pour sortir de la dépendance française et européenne au gaz russe

Le gaz russe représente, en effet, 20 % de la consommation de gaz française, 50 % de celle allemande et 40 % de celle européenne. Or, entre le printemps 2020 et fin février, le prix de marché du gaz a déjà été multiplié par 3 ; il devrait croître encore, compte tenu des légitimes sanctions prises par les États européens à l’encontre de la Russie, mais aussi des éventuelles mesures de rétorsion que pourrait envisager cette dernière.Dans ce contexte, très perturbé pour notre sécurité d’approvisionnement énergétique, la commission des affaires économiques du Sénat plaide résolument pour 5 mesures d’urgence :Le principe du « coût marginal » régissant le marché européen de l’électricité, qui lie dans les faits le prix de l’électricité à celui du gaz, doit être révisé sans délai, faute de quoi la flambée du gaz fossile russe se répercutera inévitablement sur celle de notre électricité nucléaire décarbonée. Or, l’énergie nucléaire, qui constitue le pilier de notre sécurité d’approvisionnement, doit être protégée comme telle, comme l’ont récemment rappelé les rapporteurs de la mission d’information sur l’énergie et l’hydrogène nucléaires de la commission Daniel Gremillet, Jean-Pierre Moga et Jean-Jacques Michau.L’approvisionnement en gaz doit être diversifié. Pour pallier la suspension du gazoduc Nord Stream 2, il faut accélérer la mise en service de terminaux méthaniers, pouvant permettre des importations de gaz naturel liquéfié (GNL), et reconstituer des stocks stratégiques pour les prochains hivers, les obligations de stockage devant être confortées, appliquées et contrôlées en France comme en Europe.La décarbonation du gaz doit être poursuivie, en substituant une production nationale de biogaz aux importations de gaz fossile russes. La France peut et doit agir en ce sens, car le biogaz ne représente que 0,44 % de sa consommation de gaz. Pire, la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), publiée par le Gouvernement en 2020, ne respecte pas la loi « Énergie-Climat », adoptée par le Parlement en 2019 : la première vise un objectif entre 7 et 10 % de biogaz d’ici 2030, contre au moins 10 % pour la seconde ! Or, on dénombrait 1 164 projets d’injection de biogaz en attente, à l’automne dernier ! Il faut donc réviser la PPE et conforter les dispositifs de soutien pour débloquer ces projets salutaires. Nos agriculteurs ont un rôle clé à jouer pour favoriser cette production de biogaz, à travers leurs projets de méthanisation, qui doivent être facilités règlementairement et financièrement.Le « bouclier tarifaire » doit être consolidé. D’une part, les tarifs réglementés de vente de gaz (TRVG) ne sont bloqués que jusqu’au 30 juin 2022 et disparaîtront le 1er juillet 2023. Ils ne couvrent, d’ailleurs, que 7,5 % de la consommation de gaz française ! D’autre part, la baisse de taxe intérieure sur la consommation de gaz naturel (TICGN) ne vise que les particuliers, et non les professionnels. Enfin, les pertes de recettes dues au blocage des TRVG seront compensées aux fournisseurs, par le biais des charges de service public de l’énergie (CSPE), ce qui augure de fortes hausses de prix pour les consommateurs. Il faut donc recalibrer le « bouclier tarifaire » à l’aune de la crise gazière, en offrant une solution globale et pérenne à tous les consommateurs (ménages, entreprises et collectivités territoriales).Les textes européens en cours doivent être ajustés. Tout d’abord, si le gaz bas-carbone a été intégré à la « taxonomie verte », il faut conditionner cette intégration, non seulement à un seuil d’émission, déjà prévu, mais aussi à un critère de provenance. De plus, le paquet « Ajustement à l’objectif 55 » doit pleinement favoriser le biogaz – dans la directive relative aux énergies renouvelables – et le GNL – dans le règlement afférent aux infrastructures de recharge –, comme l’ont récemment proposé les rapporteurs du volet « Énergie » de ce paquet pour la commission Daniel Gremillet et Dominique Estrosi Sassone. Enfin, le paquet « Gazier » doit être mobilisé à plein, pour mieux réguler le marché européen du gaz, en veillant à promouvoir sa décarbonation (par le biogaz et l’hydrogène), consolider son stockage et garantir sa provenance. Pour Sophie Primas : « La guerre en Ukraine a rappelé avec gravité le risque de dépendance énergétique de la France et de l’Europe. Pour conjurer ce risque, il nous faut tout mettre en œuvre afin de réduire la part des importations de gaz issus de pays producteurs, tels que la Russie, manifestement hostiles aux économies et aux valeurs des démocraties libérales européennes : c’est une nécessité économique et une exigence morale ! »Pour Daniel Gremillet : « Tous les leviers doivent être actionnés pour réduire la dépendance énergétique de la France et de l’Europe. La réforme du principe du “coût marginal”, pour laquelle nous avons plaidé dans notre récent rapport sur la sécurité d’approvisionnement électrique, doit mettre notre électricité nucléaire décarbonée à l’abri de la grave crise gazière. Au-delà, il faut substituer une production locale de biogaz aux importations de gaz fossile, comme nous l’avons demandé dans nos récents travaux sur le volet “Énergie” du paquet “Ajustement à l’objectif 55”. Enfin, nous devons consolider le “bouclier tarifaire”, permettre le recours au GNL et reconstituer les stockages stratégiques. Il y a urgence à agir ! »
Il y a 3 ans et 76 jours

Accord décarboné entre Demathieu Bard et Hoffmann Green Cement

De droite à gauche : Jonathan Chemouil, directeur de l’innovation technique chez Demathieu Bard, Franck Becherel, directeur général en charge de la construction chez Demathieu Bard, Julien Blanchard, président du directoire d’Hoffmann Green Cement, et François Simon, prescripteur région Ile-de-France chez Hoffmann Green Cement. [©Yann Bresson] Demathieu Bard et Hoffmann Green Cement ont signé un contrat de partenariat de 3 ans pour la fourniture de ciments décarbonés. Ainsi, le groupe de construction mosellan va utiliser des ciments décarbonés sans clinker issu des technologies H-UKR et H-Iona fournis par l’industriel vendéen. « Parce que le développement d’une activité pérenne passe par le respect des hommes et de leur environnement, ce partenariat avec engagements de volume matérialise la volonté de la part des deux entreprises de promouvoir la construction de bâtiments éco-responsables performants », commente le groupe. Et Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement, de déclarer : « Nous sommes ravis de signer ce contrat de fourniture avec Demathieu Bard, acteur à la fois historique dans l’environnement de la construction et de l’immobilier et innovant par ses actions en faveur d’une construction responsable et durable. Ce nouveau partenariat avec l’un des principaux acteurs du secteur démontre, une nouvelle fois, l’attractivité de nos technologies, dont notamment celle de la dernière en date, H-Iona. Et constitue aussi une formidable opportunité de participer à des chantiers d’envergure dès 2022 ».
Il y a 3 ans et 76 jours

Wargon lance deux nouveaux programmes CEE de soutien à la formation et à l'innovation dans le secteur du bâtiment

Pour faire face à l’urgence climatique, le Gouvernement s’est fixé des objectifs ambitieux pour faire baisser la consommation d’énergie de la France, notamment dans le secteur du bâtiment qui représente aujourd’hui 43 % de la consommation énergétique annuelle française et 23 % des émissions de gaz à effet de serre. Une des conditions d’atteinte de ces objectifs est la mobilisation de l’ensemble des professionnels de la rénovation énergétique, la formation et l’innovation.Le programme « OSCAR » porté par l’Association Technique Energie Environnement (ATEE) et dont la Ministre a signé ce jour la convention de mise en œuvre, répond à la demande de formation des artisans et des entreprises du bâtiment sur les aides à la rénovation énergétique. Le programme formera environ 6 000 référents sur les aides à la rénovation, interlocuteurs directs des artisans et entreprises. Il créera plusieurs outils afin de faciliter l’intégration des aides dans l’ensemble de la gestion de leurs chantiers (du devis à la clôture du chantier). Ce programme bénéficie d’un financement de 16 M€.La Ministre a également signé la convention du programme PROFEEL 2, porté par l’Agence Qualité Construction (AQC) et le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) qui bénéficie d’un financement de 35 M€. Le programme s’appuie sur des outils déjà produits dans PROFEEL, bénéficiant d’un financement de 24,5 M€, de 2019 à 2021, et apporte des réponses innovantes adaptées aux besoins des professionnels de terrain par l’intermédiaire de 8 projets permettant de répondre à deux enjeux majeurs :Favoriser des décisions de rénovation performante et ainsi augmenter le volume de travaux de rénovation,Sécuriser l’atteinte des performances recherchées et améliorer la qualité des travaux de rénovation engagés.
Il y a 3 ans et 76 jours

Excel creuse vos dettes, découvrez 6 points clés pour choisir la bonne solution de gestion commerciale

Pourquoi ces PME du BTP choisissent encore Excel ?La facilité d’accès : Excel est une solution connue de tous. Pas besoin de recherche ni de formation chronophage pour commencer à gérer son entreprise dans un tableur. La flexibilité : Excel est vu comme un outil puissant et modulable. “J’ai créé mon propre logiciel, avec des macros. Ces modèles fonctionnent et cela me permet de voir les indicateurs nécessaires au suivi financier de mon activité”. Le prix : Excel est souvent perçu comme un logiciel gratuit, acheté avec le Pack Microsoft Office. Et pourtant… Le coût caché d’Excel : 3 dettes creusées chez les PME du BTP Utiliser Excel pour gérer l’activité de sa PME a des limites. L’impact de son usage au sein d’une entreprise en pleine croissance viendra creuser 3 dettes majeures, rendant périlleuse la continuité d’activité. La dette administrative Opposer l’opérationnel et la gestion est une erreur courante pour une PME. La priorité légitime est de trouver des affaires, des chantiers à réaliser pour se développer. Le premier réflexe est donc de structurer l’équipe “terrain” pour accompagner le développement du carnet de commandes tout en repoussant la remise à plat de l’organisation administrative. L’impact est un temps de saisie et de ressaisie dans les différents tableurs Excel qui gonflent et qui alimentent la charge mentale des équipes. Elles ont le sentiment d’être “sous l’eau”. Il est donc clé d’introduire une solution adaptée et robuste rapidement, et dont la prise en main est peu coûteuse, telle que Graneet. La dette financière Il est intéressant de commencer cette partie par un constat : en 3 ans d’activité chez Graneet, nous n’avons pas encore vu une entreprise avec au moins un chantier facturé à l’avancement dans Excel, ne comprenant pas une erreur. L’impact de ces erreurs, pour vous PME du BTP, va de l’allongement de la période d’encaissement à une perte sèche de cash. Dans les 2 cas, cela crée des tensions sur la trésorerie qui peuvent devenir fatales. La dette stratégique Piloter l’activité de son entreprise dans Excel est généralement synonyme de macros et de tableurs complexes à alimenter et à maintenir à jour. Ce manque de visibilité “en temps réel” de l’activité courante de l’entreprise ne facilite pas la projection à long terme. Savoir cibler la bonne typologie de clients ainsi que les chantiers les plus rentables est le résultat de la fine analyse de projets en cours et de ceux déjà clôturés. En d’autres termes, naviguer à vue avec Excel aujourd’hui aura un impact négatif sur la rentabilité de l’entreprise demain.Comment briser ce cercle vicieux ? Chaque dette qui se creuse alimente la suivante. Un processus administratif défaillant donne une mauvaise image. Elle est la preuve d’un manque de professionnalisme et entraîne une faible reconnaissance de l’expertise de l’entreprise. Dans un contexte concurrentiel fort, ce manque d’expertise perçu ne pourra être compensé que par un prix plus bas et donc une marge plus faible, brouillant ainsi la vision long terme de l’entreprise.Déployer un logiciel de gestion commerciale pour soutenir l’activité d’une entreprise en pleine croissance apparaît donc comme un des piliers indispensables à sa réussite. Se pose alors la question de choisir la solution la plus adaptée à son besoin. 6 points clés pour bien choisir son logiciel de gestion L’ergonomie La convivialité et la simplicité d’utilisation d’une solution de gestion est un point déterminant. Une prise en main rapide est synonyme de coût de formation réduit et de gain de temps au quotidien, ainsi que l’assurance d’une bonne adhésion des équipes au nouveau logiciel. Les fonctionnalités L’adage “qui peut le plus, peut le moins” s’adapte mal à l’univers du logiciel. Privilégiez un logiciel comprenant les fonctionnalités dont vous avez vraiment besoin plutôt qu’un millefeuille complexe de fonctionnalités que vous n’utiliserez pas, qui encombrera votre quotidien et freinera la prise en main par vos équipes. L’itinérance Un logiciel de type cloud* est un atout. Il permet d’utiliser l’application depuis n’importe quel ordinateur ou tablette, peu importe l’endroit où l’on se trouve. Il déplace également les coûts annexes: serveur et maintenance vers l’éditeur de la solution. Vous payez pour votre logiciel et rien de plus ! *un logiciel cloud est une solution accessible via un navigateur web et ne nécessitant qu’une simple connexion internet. Le service support Pouvoir bénéficier d’un service client dédié doit être un élément rassurant. Soyez vigilant sur les horaires de permanence du service ainsi que le délai moyen de réponse. Si vous avez un doute, n’hésitez pas à demander les coordonnées de clients utilisant déjà la solution. Leurs retours sont toujours enrichissants. Le prix Privilégiez l’abonnement mensuel à la formule achat de licence. Ainsi après une période de test, vous pourrez vous désengager à moindre frais si le logiciel ne correspond pas à vos attentes. Le collaboratif L’enjeu d’un logiciel est de faciliter les échanges d’information entre l’opérationnel et la gestion. Faire collaborer les différents profils de collaborateurs au sein d’une même plateforme est un gage de succès. Choisissez donc les solutions de gestion illimitées en nombre d’utilisateurs.Nous avons créé Graneet dans le but de démocratiser l’utilisation des logiciels de gestion par les PME du BTP, les aider à mieux appréhender le suivi financier de leur activité et à booster leurs marges en leur fournissant une visibilité sur leurs affaires, en temps réel. Graneet, c’est plus d’une centaine de PME de tous les corps d’état qui travaillent 3x plus vite sur toutes les tâches liées au suivi financier et administratif de leurs chantiers comme en témoignent nos clients.Pour Rémi Chassagne, Dirigeant de H2O BTP : Pour le démarrage, ça allait de travailler sur Excel, tant que c'était seulement pour comptabiliser les factures. Mais aujourd'hui, pour monter en puissance on avait besoin d'un logiciel support autre qu'Excel.