Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

257239 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 261 jours

Une enquête vise la concession où doit être bâtie la Tour Triangle à Paris

Cette enquête a été ouverte au Parquet national financier (PNF) pour "favoritisme" et "recel de favoritisme", a indiqué à l'AFP une source judiciaire, confirmant une information du Parisien.La maire LR du VIIe arrondissement de Paris Rachida Dati avait fait en juillet 2020 un signalement à la justice sur ce projet tandis que l'association Anticor avait déposé une plainte avec constitution de partie civile en février 2021.Aussi bien Mme Dati qu'Anticor s'appuyaient sur un rapport de la chambre régionale des comptes d'Ile-de-France de juillet 2020 concernant le Parc des expositions de la Porte de Versailles, situé dans le sud de la capitale.Ce rapport estimait que le projet de la Tour triangle, un édifice prévu pour faire 180 mètres de haut et 42 étages, avait été "inséré de façon critiquable dans l'enceinte du Parc des expositions de la porte de Versailles".En outre, pour réaliser ce projet, la ville de Paris a accepté d'indemniser le concessionnaire du parc des expositions, Viparis (filiale d'Unibail-Rodamco), à hauteur de 263 millions d'euros "pour un préjudice non démontré", a-t-elle également pointé.La ville a certes résilié sa concession de manière anticipée, mais lui a attribué un nouveau contrat lui permettant de continuer à exploiter les installations. Ce contrat a été attribué "dans des conditions en partie contestables", souligne également le rapport.Outre des délais de dépôt d'offre courts, compte tenu de la complexité du projet, la ville de Paris a demandé aux candidats un droit d'entrée de 263 millions d'euros. Elle a accepté que Viparis s'acquitte de cette somme en "renonçant à l'indemnité de résiliation anticipée de la concession", alors que l'autre candidat devait "autofinancer" ce droit d'entrée, selon cette source."Prête à être lancée" ?La Ville de Paris "s'est ainsi privée d'une ressource nette tout en provoquant une distorsion de concurrence pour l'attribution du nouveau contrat", observait la chambre régionale des comptes.Contactée par l'AFP, la mairie de Paris a dit "prendre connaissance ce jour" de l'existence de l'enquête, soulignant qu'une "précédente plainte déposée en 2018 par deux associations d'opposants au projet" n'avait "donné lieu à aucune poursuite".La Ville dit avoir "scrupuleusement respecté les règles de droit applicables dans ce dossier".De son côté, Unibail-Rodamco Westfield et sa filiale Viparis ont indiqué "contester formellement les allégations sans fondement portées à son encontre", dans deux réactions transmises à l'AFP."(On) regrette la divulgation d'informations, relatives à une enquête en cours, portant atteinte à son image et sa réputation, et la confusion opérée avec la tour Triangle", a ajouté la maison-mère.Elise van Beneden, présidente d'Anticor, a dénoncé l'"énormité du montage" et affirmé que la mairie de Paris s'était lancée dans ce projet contre l'avis de son propre service juridique.L'idée de ce projet est née en 2008 sous la mandature du maire socialiste Bertrand Delanoë, dont Anne Hidalgo, qui lui a succédé en 2014, était alors l'adjointe à l'urbanisme. Il avait été une première fois rejeté en novembre 2014 puis approuvé avec quelques modifications par le Conseil de Paris le 30 juin 2015, à une courte majorité.Signé de l'agence d'architecture suisse Herzog et de Meuron, cette tour doit notamment héberger un hôtel quatre étoiles de 120 chambres, 2.200 mètres carrés d'espace de travail partagé ("coworking") et un équipement culturel de 540 m2.Selon une source proche du dossier, une enquête sur le permis de construire de la tour a été classée en 2018.En mai 2019, saisi de plusieurs recours, le tribunal administratif avait validé ce permis. Mais alors que la première pierre de la tour devait être posée avant 2020, en vue d'une ouverture avant les Jeux Olympiques de 2024, le projet a été retardé.Peut-il désormais être enterré?Outre les suites judiciaires, se pose la question de la rentabilité économique d'un tel projet dans l'ère post-Covid, quelques semaines après l'abandon d'un autre grand chantier parisien contesté, celui de la Gare du Nord.Dans un entretien à l'AFP fin septembre, Emmanuel Grégoire, adjoint à l'urbanisme à la mairie de Paris, avait estimé que la tour était "prête à être lancée", y voyant un "très bon signal pour l'attractivité de Paris".
Il y a 3 ans et 261 jours

Eco-organisme du bâtiment : un comité de direction pour Valobat

Une équipe de consultants expérimentés avait structuré l’éco-organisme, ses processus et ses outils, pour être prêt, dans les délais fixés par le calendrier, au 1er janvier 2022. La future équipe de permanents va maintenant prendre le relais : aujourd’hui, cinq membres ont été recrutés pour composer son comité de direction aux côtés d’Hervé de Maistre.
Il y a 3 ans et 261 jours

Les éoliennes, bien aimées ou mal aimées des Français ?

ETUDE. Les parcs éoliens sont régulièrement la cible de détracteurs politiques, mais aussi de collectifs d'habitants. L'Ademe et le ministère de Transition Ecologique ont souhaité prendre plus globalement le pouls sur le sujet auprès des Français. Découvrez les résultats de l'étude et téléchargez la dans son intégralité.
Il y a 3 ans et 261 jours

Paris-Saclay veut tendre vers "la ville normale"

GRANDS PROJETS. L'installation des grands établissements d'enseignement supérieur désormais quasiment terminée, le "campus urbain" de Paris-Saclay va maintenant se concentrer sur les logements, notamment. Sur les deux principales Zac de l'Opération d'intérêt national, ce sont 5.000 logements qui sont prévus d'ici 2035.
Il y a 3 ans et 261 jours

L'intérêt des Français pour l'immobilier ne faiblit pas, porté par l'envie de plus d'espace et de confort

Avec la généralisation du télétravail, les projets immobiliers s'organisent autour de nouvelles attentes : gagner de l'espace et se rapprocher de la nature pour gagner en confort de vie. Le critère de la luminosité monte lui aussi en puissance : les confinements de 2020 ont clairement laissé des traces ! Alors que beaucoup d'actifs naviguent désormais la semaine entre leur bureau et leur domicile, l'intérêt pour les résidences semi-principales se renforce. Une dynamique qui profite largement aux villes moyennes et aux environnements ruraux, mais annonce surtout un nouveau volume record de transactions dans l'immobilier ancien, qui pourrait même battre celui de 2019, meilleure année de tous les temps !Une demande boostée en région et des maisons faisant l'objet de convoitisesSur les 9 premiers mois de l'année 2021, la demande progresse de 18% au national. Si cette augmentation est à relativiser au regard d'une année 2020 chaotique, elle confirme pourtant l'appétence bien réelle des Français pour la pierre. Les investisseurs, qu'ils soient aguerris ou néophytes, profitent pleinement de taux d'intérêt autour de 1% sur 20 ans. Les Français restent très actifs et recherchent cette valeur refuge qui semble hermétique à la crise. La demande pour les maisons progresse fortement (+18% au national) par rapport aux appartements (+10%), traduisant l'envie des Français de gagner en surface et de disposer d'un extérieur.Paris renoue avec la croissance après une année 2020 plutôt calme, avec une demande en hausse de 12%. L'Île-de-France confirme quant à elle son dynamisme (+13%), notamment la seconde couronne où l'offre de maisons est encore abondante. Dans les régions, on observe un phénomène similaire : les acquéreurs s'éloignent des grandes métropoles pour rejoindre la périphérie, où ils vont chercher de l'espace, de la verdure et du calme. Au sein des agences Laforêt, beaucoup de candidats à l'achat expriment leur envie de cultiver leur potager pour gagner en autonomie et en qualité alimentaires, reflétant de nouvelles aspirations. Après la qualité énergétique il y a quelques années, c'est donc désormais un gain de confort qui est recherché.Une offre qui régresse encore sur un marché déjà très tenduAu national, l'offre de biens disponibles à la vente régresse de 18%. Une tendance qui s'explique par deux phénomènes concomitants : d'un côté, des primo-accédants qui n'ont pas de logement à mettre sur le marché ; de l'autre côté, des propriétaires de maison ou d'appartement avec terrasse ou jardin, qui finalement hésitent à quitter une situation déjà confortable.Sur Paris, toutefois, l'offre semble se reconstituer progressivement (+24%), mais cette hausse ne représente en réalité que quelques biens supplémentaires par agence. Cette évolution est notamment due à la remise sur le marché de meublés touristiques dans les grandes métropoles, où les touristes peinent encore à revenir.En Île-de-France, l'offre est atone (0%). Les maisons marquent un léger recul de 6 % tandis que les appartements progressent (7%), rééquilibrant le marché. Enfin, les régions illustrent là encore leur dynamisme, avec une offre qui régresse de 26% sur les 9 premiers mois de l'année. Les agences immobilières n'ont jamais eu aussi peu de biens à proposer et le marché est en flux tendu, notamment sur les maisons individuelles.Vers une nouvelle année record des transactionsSi le nombre de transactions augmente de 23% sur les 9 premiers mois de l'année vs 2020, ce qui semble logique après une année compliquée, il est intéressant de constater qu'elle progresse également de 12% par rapport à 2019, année de tous les records dans l'immobilier ancien. Les ventes s'accélèrent tant sur les maisons que sur les appartements. L'investissement locatif stimule l'achat de petites surfaces, avec des primo-accédants qui veulent aussi profiter des conditions de financement exceptionnelles.Paris retrouve des couleurs, avec une activité positive par rapport à l'an dernier (+27%), notamment sur les 3 derniers mois. La progression du volume de ventes en Île-de-France est en ligne avec la dynamique nationale (+23%), tandis que les régions sont elles aussi très actives (+22%). Partout, les rotations sont néanmoins freinées par un stock de biens appauvri.Une augmentation des prix régulière, sauf à ParisD'une manière globale, les prix au m2 enregistrent une légère accalmie, mais continuent toutefois de progresser avec +4,9% au national, à 3 345 €/m2. Si l'euphorie du premier semestre s'est un peu estompée durant l'été, l'effet de rareté soutient la hausse avec des maisons qui en portent l'essentiel (+7,1% vs +4,3% pour les appartements).En région, les prix s'emballent : la hausse globale est de 7,3% (à 2 398 €/m2), voire de 8,3 % pour les maisons ! Cette évolution est liée à l'arrivée de citadins au pouvoir d'achat élevé qui n'hésitent pas à acheter au prix fort le bien auquel ils aspirent.À Paris, la baisse constatée l'an dernier s'amortit (-0,8% à 10 430 €/m2). Une situation qui s'explique notamment par un marché parisien toujours privé de sa clientèle internationale. En Île-de-France, on constate l'exact inverse de ce qui se passe en région. Si les prix progressent de 4,3% en moyenne (à 4 543 €/m2), cette hausse concerne davantage les appartements (+4,6%) que les maisons (+3,8%). Il semble que nous ayons atteint un palier, avec des acquéreurs qui ne peuvent plus s'aligner ou qui n'ont plus la volonté d'acheter à n'importe quel prix.Délais de vente : un recul jamais vu !Les délais de vente, c'est-à-dire le temps entre la mise en vente et la vente effective du bien, régressent de 2 semaines au national (14 jours), passant sous la barre des 80 jours, à 78 jours. Les acheteurs sont conscients que le secteur immobilier échappe à la crise et se décident vite. Et c'est encore une fois en région que la tendance est la plus marquée, avec une chute de 18 jours par rapport aux 9 premiers mois de 2020, et même de 22 jours par rapport à la même période en 2019, passant à 81 jours : une situation jamais vue ! Les projets, quels qu'ils soient (investissement locatif, résidence semi-principale ou principale, etc.), sont au rendez-vous !Le délai de vente accélère également en Île-de-France, perdant 13 jours en 12 mois, pour s'établir à 63 jours. Paris préserve sa réputation de marché fluide, mais marque néanmoins le pas avec un délai de 75 jours (-2 jours) qui varie peu par rapport à l'an dernier alors qu'il était de 59 jours en 2019 !Des négociations qui se montrent relativement stablesLa négociation sur le prix à la vente évolue peu par rapport à 2020. Elle est en moyenne de 4,5% (-0,10 point) au national. La pression reste néanmoins forte sur les acquéreurs, qui ont peu de temps pour se positionner et donc pour négocier. À Paris, l'écart entre les prix de vente et d'achat stagne à 2,90% (0 point vs 2020). Il en va de même pour l'Île-de-France (2,80%, soit -0,7 point), qui a toutefois perdu 1 point de capacité de négociation par rapport à 2019 (3,80%). En région, là aussi, la discussion reste équivalente à ce qu'elle était à la même période l'an dernier, soit un écart de 4,70% (-0,40 point).ConclusionIl est fort probable que l'on se dirige vers une nouvelle année record, après celles de 2018, 2019 et 2020. Le marché de l'immobilier ancien est définitivement le grand gagnant de l'après-Covid-19. La volonté d'une partie de la population d'exercer son activité en télétravail plusieurs jours par semaine se traduit concrètement par des acquisitions de surfaces plus grandes à l'extérieur des grands centres urbains.L'inflation qui se dessine, et qui pourrait s'accompagner d'une remontée progressive des taux d'intérêt, reste néanmoins à surveiller. Tout comme l'augmentation des coûts des travaux de rénovation énergétique liée à un prix des matières qui s'envole et sera peut-être un frein à l'accession ou à la location dans les mois à venir.Le secteur de la construction neuve, à la peine du fait d'une indisponibilité de matériaux, mais aussi de certaines décisions locales qui limitent le nombre de chantiers, conduit les investisseurs à s'orienter vers l'ancien, créant une pression plus forte sur les prix. Reste enfin à savoir si l'engouement actuel des Français pour les résidences semi-principales et rurales sera durable. Les néoruraux trouveront-ils ce qu'ils sont venus chercher à la campagne ou regretteront-ils, après un premier hiver, leur vie citadine ? Rendez-vous dans quelques mois pour le savoir…
Il y a 3 ans et 261 jours

Nucléaire : les petits réacteurs modulaires au coeur du plan "France 2030" ?

ÉNERGIE. Emmanuel Macron envisagerait de réorienter l'industrie nucléaire en direction des petits réacteurs modulaires, ou SMR. Une décision qui s'inscrirait dans le cadre du plan d'investissements "France 2030", et qui ferait suite au fonds de soutien au secteur atomique mis en place par France Relance, dont les premiers lauréats ont d'ailleurs été annoncés.
Cimbat
Il y a 3 ans et 261 jours

La transition énergétique progresse trop lentement pour limiter le réchauffement climatique à 2°C

Des progrèsBoom des renouvelablesLes énergies renouvelables sont désormais la 2e source d'électricité dans le monde, à 26% du total en 2019, après le charbon mais avant le gaz ou le nucléaire.Éolien et photovoltaïque ont vu leurs prix dégringoler, et ont crû depuis 1990 à des taux annuels moyens de 22% et 36%. Même en 2020, année Covid, 260 gigawatts (GW) de capacités ont été ajoutés, dont la moitié en Chine, dépassant le précédent record annuel de 30%, selon l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (Irena).Mais cela ne suffit pas. La part des combustibles fossiles dans la consommation d'énergie finale (électricité, carburants, gaz et charbon utilisés directement dans les usines...) est aussi élevée qu'il y a dix ans: charbon, pétrole et gaz représentaient 80,2% en 2019 (80,3% en 2009).Virage dans l'autoPoussés par les normes ou encore le déclin du diesel, les constructeurs sont dans l'après-moteur thermique.Volvo, Jaguar, Lancia seront bientôt 100% électriques, Stellantis (Peugeot, Fiat etc) ne développe plus de moteur à essence.Mais les électriques composent moins de 5% des ventes de neuf (7,5% en Europe). La star reste le SUV: 42% du marché en 2020, un record qui lui a fait émettre plus de CO2 qu'en 2019, tandis que les autres secteurs voyaient leurs émissions fondre, note l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Ambitions dans l'hydrogeneChine, Japon, UE, Australie... des dizaines de pays et nombre d'entreprises sont lancés dans la course à l'hydrogène décarboné, c'est-à-dire produit sans recourir aux hydrocarbures et donc à même de vraiment verdir industrie et transports lourds.Mais la demande et la baisse des coûts doivent être mieux soutenues, appelle l'AIE, et les investissements quadrupler d'ici 2030.Un prix au carboneA mi-2021, 47 juridictions (pays, province ou groupement de pays/province), soit 60% du PIB mondial, disposaient d'un prix du carbone (taxe ou marché de quotas), selon I4CE, l'Institut de l'économie pour le climat.Cependant, ce prix oscille entre 1 et 123 dollars par tonne de CO2 et reste inférieur à 10 dollars pour plus de 75% des émissions couvertes. Or les prix devraient être entre 40 et 80 dollars pour suffisamment dissuader du recours aux fossiles.Engagements a foisonLes entreprises multiplient les promesses et comme des États, s'engagent à la neutralité carbone d'ici 2050. Mais leur impact reste difficile à évaluer.Des inquiétudesRelance grisePour le réseau d'experts Ren21, "2020 aurait pu changer la donne", mais les plans de relance des États accordent six fois plus d'investissements aux fossiles qu'aux renouvelables.Les émissions de CO2, après un recul de 7%, devraient atteindre un niveau record d'ici 2023 et continuer à croître, si les investissements ne sont pas réorientés.Émergents a la peineL'investissement dans les énergies vertes recule depuis quelques années dans les pays émergents et en développement (hors Chine), et le Covid n'a rien arrangé.Ces régions affichent à peine 20% des investissements nécessaires à leur décarbonation, selon l'AIE: elles "abritent deux tiers de la population mondiale, génèrent 90% de la croissance des émissions mais reçoivent 20% des financements consacrés aux énergies propres".Indétrônable charbonAvec la reprise, la demande de charbon, 1er vecteur du réchauffement, devrait dépasser son niveau de 2019, du fait des besoins électriques de l'Asie.Aujourd'hui, 82% des projets de centrales sont concentrés en Chine (55%), Inde, Vietnam, Indonésie, Turquie, Bangladesh. Depuis 2015, le nombre de projets a cependant baissé de 76%, selon le think tank E3G et 44 pays ont promis de ne plus ouvrir de sites. Pékin, premier bailleur public, a annoncé en septembre qu'il ne construirait plus de centrales charbon à l'étranger."Il est temps que le secteur privé - qui finance 87% du charbon à l'étranger - suive", pointe Kevin Gallagher, de la Boston University.Foret peau de chagrinLes forêts primaires tropicales ont perdu en 2020 une surface équivalente à la Hollande, selon Global Forest Watch. En cause, l'agriculture, la coupe de bois, l'activité minière, les incendies.En Amazonie brésilienne, la déforestation en 2020 a transformé ce puits de carbone fondamental en émetteur net de CO2.
Il y a 3 ans et 261 jours

Une histoire de béton entre ETPO et Le Voyage à Nantes

Le Pied, Le Pull-Over et Le Système digestif de Daniel Dewar et Grégory Gicquel, œuvres monumentales du port de Saint-Nazaire. Campées dans le sable et les rochers, ces gigantesques figures, constituées de blocs de béton sculpté, s’élèvent jusqu’à près de 7 m de haut. [©Franck Tomps _ LVAN] Chaque année, Le Voyage à Nantes invite des artistes du monde entier à venir sur les deux rives de la Loire réaliser leurs œuvres. Le Voyage à Nantes est avant tout une société publique locale, qui développe le tourisme à Nantes. Ceci, via l’évènement du même nom et ses créations artistiques, et ce, depuis 2012. Il propose une soixantaine d’étapes artistiques le long d’une ligne verte dessinée au sol de 22 km. On y découvre les installations permanentes qui ponctuent la ville et ses alentours, ou celles, éphémères, qui restent le temps d’un été. Cette année, le groupe ETPO a accompagné ces artistes, afin de réaliser leurs œuvres. En s’adaptant à chacune de leurs idées. Le groupe nantais est spécialisé dans les travaux maritimes, fluviaux et sous-marins, les ouvrages d’art et le génie civil, le bâtiment. Il est présent en France métropolitaine et dans les départements d’Outre-mer. Et se développe à l’international en Afrique de l’Ouest et au Canada. Deux projets pour ETPO Pour Versus, il fallait répondre à l’architecture fin XVIIIe siècle de la place Graslin. Ceci, avec des lignes tendues et élégantes. Le béton a permis cela. [©Julien Lanoo _ LVAN]  « Nous avons participé à deux projets. Déjà, Le Pied, Le Pull-Over et Le Système digestif de Daniel Dewar et Grégory Gicquel, œuvres monumentales du port de Saint-Nazaire, explique Didier Moretti, chargé d’affaires chez ETPO. En effet, à proximité de la capitainerie, sur la plage jalonnée de pins parasols qui plonge dans le bassin de l’avant-port de Saint-Nazaire, l’œuvre se compose de trois sculptures. Campées dans le sable et les rochers, ces gigantesques figures, constituées de blocs de béton sculpté, s’élèvent jusqu’à près de 7 m de haut. « Tels des fragments de corps, d’architecture ou de monuments portuaires, elles dressent à l’échelle du paysage le portrait d’une civilisation moderne soumise à l’érosion et à la colonisation des éléments », indiquent les artistes Daniel Dewar et Grégory Gicquel, qui pratiquent la sculpture à quatre mains depuis 1998. Didier Moretti est chargé d’affaires chez ETPO. [©ETPO] Et Didier Moretti, de poursuivre : « Nous sommes intervenus aussi dans la piste de roller, Versus, place Graslin, à Nantes. Nous avons conçu une partie des études d’exécution. En clair, nous avons traduit les œuvres, en termes de faisabilité. Nous avons fourni le mode opératoire, structurel et réglementaire. Il a fallu concilier impératifs de construction et attentes artistiques. Nous avons utilisé des bétons résistants les agressions maritimes. Les granulats ont été choisis par les artistes avec des couleurs et des granulométries différentes. Pour la piste de roller, le béton a été livré par la centrale Lafarge de Saint-Herblain ». Un écho à l’architecture de la fin XVIIIesiècle Quelque 28 éléments préfabriqués ont été nécessaires pour les bordures. Le piste en béton auto-portant blanc a été coulé en place. Elle a été conçue très simple épurée, de 38 m de diamètre en écho, à l’architecture très efficace du théâtre. [©Martin Argyroglo _ LVAN] Romain Decroix, responsable technique du Voyage à Nantes. [©Le Voyage à Nantes] « Pour Versus, la piste devait être réversible, montable et démontable. Elle a ainsi été démontée en l’espace de 5 j. Elle sera remontée en 2023 dans un nouvel espace urbain de la ville, sur l’île de Nantes à la pointe Ouest, dans le quartier de la création », complète Romain Decroix, responsable technique du Voyage à Nantes. De plus, il fallait répondre à l’architecture fin XVIIIesiècle de la place Graslin.  « Ceci, avec des lignes tendues et élégantes. Le béton a permis cela. La piste est en forme de cercle qui épouse la place. Quelque 28 éléments préfabriqués ont été nécessaires pour les bordures. Le piste en béton auto-portant blanc a été coulé en place. On l’a conçu simple de 38 m de diamètre en écho, à l’architecture très efficace du théâtre. La glisse, c’est quelque chose de positif et de frais. Le ballet des rollers, des vélos, des piétons sur la place a ainsi créé un mouvement perpétuel et une perspective troublante », conclut Romain Pradeau, de l’agence d’architectes Titan.  Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 261 jours

Le Rustol dans tous ses états

Même si son aspect peut paraître déco, la rouille n’en reste pas moins un fléau qui détruit tout ce qu’elle attaque si on ne la maîtrise pas rapidement. Elle fait son travail de sape, lentement mais sûrement et sans action le support peut même disparaître.Professionnels, industriels, particuliers sont tous concernés. Il suffit d’agir pour prévenir ou corriger une fois l’attaque constatée et surtout ne jamais laisser la rouille s’installer ! Structures métalliques, meubles et objets en métal ferreux et même l’ossature d’une structure bois ou béton comportant des clous, sont la cible de la rouille. En cas d’attaque, ils risquent de se détériorer rapidement ou de voir des coulures disgracieuses altérer le support. Il faut agir en prévention et en protection.Pourquoi la rouille apparaît à coup sûr sur le métal ferreux non protégé ?La rouille est une réaction d’oxydation qui apparaît sur du métal ferreux lorsque celui-ci est en contact avec de l’air ou de l’humidité : le fer s’oxyde et devient de la rouille. Le processus s’accélère en présence d’eau ou d’humidité. Une fois la formation de rouille démarrée, elle n’arrête pas de se propager. Pour arrêter le phénomène, il faut l’éliminer et protéger l’ensemble de la structure concernée. En amont, il est possible de prévenir son apparition en protégeant les parties métalliques du support.Agir - prévenir, protéger ou rénover les ouvrages en métal ferreux : Quelles options avec quelle action ?Détruire, transformer, neutraliser, explications pour chaque action :Les destructeurs de rouille détruisent la rouille en mettant le métal à nu pour le débarrasser entièrement de la rouille formée. Il faut ensuite appliquer une protection sur l’ouvrage afin que le métal ne soit pas de nouveau attaqué.À savoir : l’étape nettoyage des particules du destructeur, avant l’application d’une protection, amène de fait de l’humidité risquant ainsi de renouer avec le cycle de formation de rouille.Les transformateurs de rouille transforment l’oxyde de fer en un autre oxyde de fer plus stable qui va mieux résister à l’oxydation. Néanmoins, cette transformation ne garantit pas l’exclusion d’un nouveau repiquage car des points de rouille restent toujours dans le support et pourront permettre à la rouille de redémarrer. Par ailleurs, le film laissé par le transformateur peut se décoller facilement obligeant à une nouvelle application.Neutraliser : le principe consiste à stopper la rouille à l’intérieur du support en l’imprégnant pour bloquer le process et stabiliser l’ensemble. Dans ce cas l’ouvrage est protégé dans la durée contre toute reprise.Chez Durieu, l’antirouille légendaire RUSTOL travaille en neutralisateur : il imprègne le support, se diffuse et neutralise toutes les particules de rouille.Il était une fois le Rustol…Le RUSTOL naît en France en 1956 d’une collaboration entre Durieu et une société américaine. À l’origine le RUSTOL est formulé pour l’automobile et notamment les garages où il apporte enfin la solution pour protéger les bas de caisse et toutes les parties délicates des automobiles et des cycles. Il entre ensuite dans l’industrie (bâtiment, marine, automobile…) et les magasins de bricolage.Aujourd’hui, toujours à la pointe de la technologie et fruit d’une expertise jamais égalée, le RUSTOL affiche les qualités essentielles attendues d’un antirouille : une protection longue durée, un produit tout en un qui stabilise et une utilisation à la portée de tous…RUSTOL le secret : aucune action chimique, à base d’huiles végétales naturelles et sans aucun pigment toxique, son arme tient en son pouvoir d’imprégnation. Ni destructeur ni transformateur, il travaille de l’intérieur pour aller neutraliser la rouille partout où elle se trouve et l’empêcher de repartir.Rustol en 3 mots : imprégner, neutraliser, durerIMPRÉGNER : grâce à son formidable pouvoir d’imprégnation et d’auto étalement, le RUSTOL s’infiltre partout dans le support et traque les particules de rouille.NEUTRALISER : dès qu’il est en présence de particules de rouille, RUSTOL les enrobe et fait corps avec elles pour former en séchant un film protecteur ultra-souple et isolant. La rouille est neutralisée et stoppée de l’intérieur. Le support devient imperméable à l’air et l’humidité.DURER : la protection est totale et durable : une fois dans le support, le RUSTOL continue à se propager après l’application grâce à son pouvoir d’imprégnation et reste actif jusqu’à ce que toutes les particules de rouille soient encapsulées.À savoir : sur des structures bois contenant des clous oxydables, il suffit d’une passe de RUSTOL pour prévenir d’une attaque de rouille sur les clous.Malin : additionné aux peintures, le RUSTOL les rend antirouilles, leur donne une meilleure adhérence tout en permettant aussi de retarder le temps de prise.Et pour décorer : le Rustol-DécoÀ base de RUSTOL, le RUSTOL-DÉCO bénéficie de ses qualités exceptionnelles d’imprégnation et s’applique directement sur la rouille ou sur toute surface oxydée (une fois cette dernière nettoyée et débarrassée de tous résidus de rouille instables). De même il vient protéger les supports neufs pour prévenir la rouille en garantissant un maximum d’adhérence et une protection à toute épreuve contre la corrosion.Comme avec le RUSTOL qui neutralise toutes les particules de rouille de l’intérieur, le RUSTOL-DÉCO imprègne le support à coeur pour isoler les particules de rouille du reste du support qui est ainsi protégé durablement contre toute attaque ou reprise de rouille, en même temps qu’il le décore avec ses 10 teintes essentielles.Pour plus d'info, consultez la page Rustol sur Batinfo ou le site Rustol.
Il y a 3 ans et 261 jours

"Construire le NGE de demain avec Montefiore et cultiver notre différence" Antoine Metzger

ENTRETIEN. Le groupe de BTP NGE vient de faire évoluer la composition de son capital. Alors que deux partenaires se retirent, un fonds français prend la relève tandis que la participation des salariés progresse. Le président du groupe, Antoine Metzger, revient pour Batiactu sur ces changements au sein de l'actionnariat.
Il y a 3 ans et 261 jours

Une large majorité de Français favorables à l'éolien

Dans cette enquête, 73% des sondés disent avoir une bonne image de l'éolien (très bonne pour 51%, assez bonne pour 22%), 27% une mauvaise image. Dans les Hauts-de-France et le Grand Est, régions concentrant une bonne part des éoliennes terrestres, ils ont une bonne image à 77% et 75% respectivement.Globalement, l'adhésion l'emporte chez 80% des personnes possédant une résidence principale ou secondaire à moins de 10 km d'un champ éolien, et chez 88% de moins de 35 ans.Les Français se montrent ainsi à 71% favorables au développement de l'énergie éolienne, et même à 76% dans les Hauts-de-France et 74% dans le Grand Est.En revanche, ils sont partagés sur le plan esthétique, un sur deux (52%) considérant que les éoliennes sont "quelque chose de beau"."Depuis plusieurs mois, les énergies renouvelables, en particulier les éoliennes, font l'objet de vifs débats, voire sont les cibles de virulentes controverses. Ce sondage nous montre que la relation entre les Français et l'énergie éolienne n'est pas aussi polarisée qu'il n'y paraît", commente Arnaud Leroy, le PDG de l'Agence pour la transition écologique (Ademe), relevant au contraire "une adhésion pour faire face au dérèglement climatique".Eolien mais aussi solaire ou encore gaz vert... près de 9 personnes sur 10 (88%) considèrent que le développement des énergies renouvelables en France est nécessaire face au dérèglement climatique.Enquête réalisée en ligne du 28 juillet au 5 août sur un échantillon de 2.708 personnes représentatif des Français de plus de 18 ans, dont 530 des Hauts-de-France et 503 de la région Grand Est, avec une marge d'erreur inférieure à 2,3 points, selon Harris.
Il y a 3 ans et 261 jours

Une large majorité de Français favorable à l'éolien

Dans cette enquête, 73% des sondés disent avoir une bonne image de l'éolien (très bonne pour 51%, assez bonne pour 22%), 27% une mauvaise image. Dans les Hauts-de-France et le Grand Est, régions concentrant une bonne part des éoliennes terrestres, ils ont une bonne image à 77% et 75% respectivement.Globalement, l'adhésion l'emporte chez 80% des personnes possédant une résidence principale ou secondaire à moins de 10 km d'un champ éolien, et chez 88% de moins de 35 ans.Les Français se montrent ainsi à 71% favorables au développement de l'énergie éolienne, et même à 76% dans les Hauts-de-France et 74% dans le Grand Est.En revanche, ils sont partagés sur le plan esthétique, un sur deux (52%) considérant que les éoliennes sont "quelque chose de beau"."Depuis plusieurs mois, les énergies renouvelables, en particulier les éoliennes, font l'objet de vifs débats, voire sont les cibles de virulentes controverses. Ce sondage nous montre que la relation entre les Français et l'énergie éolienne n'est pas aussi polarisée qu'il n'y paraît", commente Arnaud Leroy, le PDG de l'Agence pour la transition écologique (Ademe), relevant au contraire "une adhésion pour faire face au dérèglement climatique".Eolien mais aussi solaire ou encore gaz vert... près de 9 personnes sur 10 (88%) considèrent que le développement des énergies renouvelables en France est nécessaire face au dérèglement climatique.Enquête réalisée en ligne du 28 juillet au 5 août sur un échantillon de 2.708 personnes représentatif des Français de plus de 18 ans, dont 530 des Hauts-de-France et 503 de la région Grand Est, avec une marge d'erreur inférieure à 2,3 points, selon Harris.
Il y a 3 ans et 261 jours

Recyclage : Isover sait au calcin se vouer

Le spécialiste de l’isolation à base de laine de verre s’est fixé pour objectif d’augmenter considérablement la quantité de débris de verre recyclé dans ses produits .
Il y a 3 ans et 261 jours

Eolien: le norvégien Statkraft achète des parcs en Allemagne et en France

Le plus gros producteur européen d'énergies renouvelables, le groupe public norvégien Statkraft, a annoncé le rachat des actifs éoliens de l'allemand Breeze Three Energy en Allemagne et en France.
Il y a 3 ans et 261 jours

Nouvelle ligne de douches Hansgrohe Pulsify pour un confort maximal et un espace optimisé

Avec un design intemporel et fonctionnel, Pulsify se dote de la dernière technologie de jet PowderRain : un jet qui se démultiplie milliers de micro-gouttes ultra légères, plongeant le corps dans un véritable un cocon d'eau. Par son toucher soyeux, son extrême silence, et son rinçage efficace du shampoing, il offre une parenthèse de relaxation inédite au sein d'une journée souvent minutée.Un confort poussé à l'extrême avec son système de commande équipé du bouton Select pour piloter les jets, et sa technologie thermostatique pour une température constante maîtrisée au degré près.Une ligne de douche qui se fond dans l'espace. Sa tablette intégrée de 35cm de long offre un espace de rangement y déposer ses produits de douche. Enfin, la barre extra plate de la colonne de douche véhicule une impression de légèreté.Pour une salle de bains à son image, la solution Pulsify se décline en 3 finitions, chrome, blanc mat et noir mat. Le tout dans un style toujours moderne et élégant, style « Loft New Yorkais ».Les + PulsifyRelaxation : une douche effet cocon d'eau au toucher soyeux procuré par le jet PowderRainOptimisation de l'espace : design et look minimaliste avec tablette de rangement intégréePersonnalisation : 3 finitions au choix : Chrome, Noir Mat et Blanc Mat, version apparente ou encastrée
Il y a 3 ans et 261 jours

Le dirigeant d'une entreprise d'énergie renouvelable condamné à de la prison ferme

JUSTICE. Le dirigeant d'une société spécialisée dans les énergies renouvelables vient d'être condamné, par le tribunal judiciaire de Lyon, à une peine d'un an de prison ferme et à plus de 300.000 euros de dommages et intérêts. Il a été reconnu coupable de pratiques commerciales trompeuses.
Il y a 3 ans et 261 jours

L’Arc de Triomphe, emballé et anticolonialiste

Durant son installation du 18 septembre au dimanche 3 octobre, il fut de tous les écrans, ...More about Cet article L’Arc de Triomphe, emballé et anticolonialiste est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
GDA
Il y a 3 ans et 261 jours

Sto présent au salon Artibat pour parler éléments décoratifs de façade et formation des artisans

La 17ème édition du Salon ARTIBAT, Salon de la Construction et des Travaux Publics approche à grands pas ! Elle se tiendra Parc des Expositions de Rennes du 13 au 15 octobre 2021.Sto est heureux d'annoncer sa présence les 13, 14 et 15 octobre 2021 au salon ARTIBAT au sein du pôle Gros Œuvre Hall 10B - Stand G21. L'occasion de découvrir sa gamme « les essentiels StoDeco », des éléments décoratifs et modénatures pour créer du rythme et du relief en façade disponibles rapidement dans les agences Sto : encadrements et appuis de fenêtre, bandeaux filants, corniches, chaînages, bossages et colombages.La formation des artisans sera également mise à l'honneur au travers du centre Sto à Bezons (95), récemment certifié Qualiopi pour la qualité de ses formations dans le domaine de la façade (ITE, ravalement, bardage).Informations pratiquesParc Expo Rennes Aéroport - La Haie Gautrais -35170 BRUZMercredi 13 Octobre : 9:00 - 19:00Jeudi 14 Octobre : 9:00 - 21:00 NocturneVendredi 15 Octobre : 9:00 - 18:00Le pass sanitaire sera obligatoire pour accéder au salon ARTIBAT.
Il y a 3 ans et 261 jours

Nantes : une voie pour les transports en commun va être réalisée sur l’autoroute A83

Une voie réservée aux bus sera aménagée sur l’autoroute A83. Les travaux ont commencé fin septembre 2021.
Il y a 3 ans et 261 jours

Strasbourg : un espace de coworking et des locaux d’entreprises financés par le Fonds Européen de Développement Régional

À Strasbourg, le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) a permis de construire de nouveaux locaux d’entreprises. Il s’agit d’un espace de coworking et de 2 800 m2 de locaux pour Sistra.
Il y a 3 ans et 261 jours

Saint-Gobain rachète le distributeur de matériaux Raboni Normandie

Le groupe de matériaux Saint-Gobain a annoncé l'acquisition du distributeur Raboni Normandie, étendant ainsi un peu plus son réseau de points de vente en France.
Il y a 3 ans et 261 jours

Le festival des cabanes, entre architecture et paysage aux Sources du Lac d’Annecy

  Chaque année, le Festival des cabanes sensibilise l’ensemble des acteurs de la vallée de Faverges, en Haute-Savoie, à la question du grand territoire, du rapport à la nature et comment y trouver sa juste place. Pour sa sixième édition, sur 16 sites naturels des Sources du Lac d’Annecy (74) et de Saint-Germain-Laval (42), des cabanes de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 261 jours

Le calcul des diagnostics énergétiques de logements anciens va être corrigé

Les diagnostics de performance énergétique des logements construits avant 1975 pourront reprendre le 1er novembre après correction des "anomalies" dans la méthode de calcul.
Il y a 3 ans et 261 jours

Atelier du Pont restructure le siège de l’ESA à Paris

Situé en plein cœur du XVe arrondissement de Paris, le siège de l’Agence spatiale européenne (ESA), est en pleine transformation, une restructuration menée par Atelier du Pont (Anne-Cécile Comar & Philippe Croisier) avec Bouygues Construction rénovation privée.  Livraison prévue de l’ouvrage de 11 592 m² : fin 2022. Communiqué. Un nouveau décollage pour l’Agence spatiale européenne […] L’article Atelier du Pont restructure le siège de l’ESA à Paris est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 261 jours

L'État nomme un préfet dédié au grand plan Macron pour Marseille

"Sur proposition du ministre de l'Intérieur, Laurent Carrié, administrateur territorial hors classe, est nommé préfet délégué pour l'égalité des chances auprès du préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur (...) chargé du plan +Marseille en grand+", indique le compte-rendu du Conseil des ministres.Lors d'une visite exceptionnelle de trois jours à Marseille, le président de la République Emmanuel Macron avait présenté un grand plan pour Marseille de 1,5 milliard d'euros pour la sécurité, les écoles, la lutte contre l'habitat indigne, les transports et les hôpitaux. Il doit revenir mi-octobre dans la cité phocéenne pour un premier point d'étape.Laurent Carrié était depuis février 2019 au cabinet du Premier ministre Jean Castex, dans le pôle des affaires intérieures en charge des politiques contractuelles territoriales.Le nouveau préfet délégué sera l'interlocuteur privilégié des élus locaux, notamment pour faire avancer certains sujets polémiques comme l'amélioration de la gouvernance de la métropole Aix-Marseille-Provence voulue par le chef de l'Etat. Une gouvernance qui vient de faire l'objet de vives critiques au sujet de la gestion de la grève des éboueurs, poussant le maire de Marseille Benoît Payan à revendiquer le retour de la compétence "propreté, voirie et déchets" à la ville.Lors d'une réunion du conseil de la Métropole jeudi, la présidente LR Martine Vassal a défendu l'action de ses services durant cette crise des éboueurs alors que certains salariés de la CGT sont toujours en grève à Martigues, Istres, Aix-en-Provence et dans certains quartiers de Marseille."Nous avons trouvé au bout de cinq jours une solution qui respecte la loi", s'est défendue Martine Vassal, expliquant qu'elle n'avait pas "de baguette magique" pour ramasser en quelques jours l'ensemble des ordures qui s'étaient accumulées dans les rues: la durée de récupération est équivalente à la durée de la grève, a-t-elle expliqué.Quand au fonctionnement de la métropole, "personne n'en est content, ni les élus, ni les habitants, ni l'Etat et moi non plus je n'en suis pas contente", a-t-elle lancé: "Moi, ma position n'a jamais changé. J'ai toujours été pour une métropole stratégique, de projets structurants et que la proximité aille au plus près des habitants", a-t-elle ajouté, ouvrant la voie à un retour des "compétences de proximité" vers les 92 communes du territoire.
Il y a 3 ans et 261 jours

Ouverture du procès d'un important réseau de marchands de sommeil à Lyon

Quatorze personnes soupçonnées d'avoir participé à un vaste réseau de location de logements insalubres, à Lyon et sa périphérie seront jugées devant le tribunal judiciaire de Lyon.
Il y a 3 ans et 261 jours

Simplicité et matériaux locaux pour cette maison bois polonaise

House in Nowa Gorka est une maison inspirante de plain-pied conçue en Pologne, en 2016 par Studio Gab. [De l’architecte] La maison est située dans un endroit extraordinaire. Le grand terrain est entouré de bois dans une zone protégée Natura 2000. La réalisation est une tentative de traiter la forme archétypique de la maison à toit en pente avec un contexte […]
Il y a 3 ans et 261 jours

La baisse des permis de construire pèse sur l'offre de Kaufman & Broad

Le promoteur français Kaufman & Broad a publié un résultat net multiplié par trois sur les neuf premiers mois de 2021, et confirmé ses perspectives pour l'année en cours.
Il y a 3 ans et 261 jours

Collectivités territoriales, crédit immobilier... Vos textes officiels du lundi 11 octobre 2021

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Le concept : du lundi au vendredi, un article d'alerte par jour, avec les textes BTP-centrés, résumés en quelques lignes. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 3 ans et 261 jours

Valérie Pécresse dénonce un surcoût de 1,7 milliard d'euros sur le chantier du RER E

Ce chantier, pour lequel le plus grand engin tunnelier de France creuse en ce moment à 35 mètres sous les rues de Paris, doit prolonger la ligne E à l'ouest de Paris jusqu'à Nanterre puis Mantes-la-Jolie. Il était estimé à 3,8 milliards mais devrait finalement coûter 5,4 milliards d'euros, a dit Valérie Pécresse au Parisien."SNCF Réseau fait ce qu'il veut et méprise ses financeurs", a lancé la présidente d'Ile-de-France Mobilités et candidate à la candidature pour présidentielle. "Nous sommes en proie à un chantage permanent de sa part, d'interruptions de travaux si on n'avance pas la trésorerie. (...) C'est inacceptable. Cette fois, nous ne pouvons plus payer!"Interrogée jeudi par l'AFP, SNCF Réseau répond que "des échanges sont en cours avec les financeurs sur le chiffrage", sans donner sa propre estimation."Des modifications de programmes externes au projet et des contraintes supplémentaires, dont des aléas et imprévus, sont intervenues depuis le début des travaux, auxquels s'ajoute la Covid 19", a indiqué SNCF Réseau. Ces aléas "demeurent aujourd'hui dans une enveloppe de 30% du chiffrage initial".La SNCF a notamment cité "deux crues significatives de la Seine ainsi que des manifestations particulièrement nombreuses, notamment lors du mouvement des Gilets jaunes, qui nous ont imposé des démontages d'installations de chantier et des arrêts de production".Objectif 2023Selon une source proche du dossier, la SNCF a annoncé ce dépassement mercredi lors d'une réunion technique avec la Ville de Paris, demandant 800 millions d'euros supplémentaires pour le premier tronçon (un tunnel reliant Paris Haussmann et Nanterre), dont 500 millions avant le 31 décembre 2021.D'importants surcoûts avaient déjà été annoncés début 2021, de l'ordre de 640 millions d'euros. SNCF Réseau s'attendait à de nouveaux surcoûts liés à la crise sanitaire.Souvent appelé Eole, le RER E relie actuellement Chelles et Tournan (Seine-et-Marne), dans la banlieue est, à la gare Saint-Lazare à Paris. Il s'agit de le prolonger jusqu'à Nanterre mi-2023, puis jusqu'à Mantes-la-Jolie (Yvelines) dans un second temps. Il doit notamment être financé par la Société du Grand Paris (1,5 milliard) et la région (1,1 milliard).La SNCF souligne que le projet est "l'un des projets d'infrastructure ferroviaire les plus complexes du monde, se situant en zone hyper dense et relevant des défis techniques hors normes", avec notamment le percement d'un tunnel de 8 km sous La Défense.Le tunnelier "Virginie", avec ses 11 mètres de diamètre, devrait arriver à Haussmann-St Lazare le 15 janvier de l'année prochaine.La présidente de la région, ainsi que les présidents des conseils départementaux des Yvelines et des Hauts-de-Seine, que dessert la ligne E, ont condamné dans un communiqué commun ce nouveau dépassement.Selon eux, SNCF Réseau est "juridiquement responsable du coût et du financement de cette opération" et c'est l'Etat qui doit "directement ou indirectement" le garantir.
Il y a 3 ans et 261 jours

Ambiance électrique dans la territorialisation de la sobriété foncière

Des retards à l’allumage entravent la territorialisation de la lutte contre l’artificialisation des sols. Ce constat ressort de la journée d’échanges impulsée par Régions de France le 7 octobre dernier, avec la participation des services de l’Etat et de la fédération nationale des Schémas de cohérence territoriale.
Il y a 3 ans et 261 jours

Territoires d'industrie : 209 relocalisations sur 1416 projets subventionnés

Lancé en novembre 2018, le programme Territoires d’industrie a permis de soutenir 1416 projets dans 146 bassins industriels. La Nouvelle-Aquitaine et l'Ile-de-France ne sont pas à plaindre.
Il y a 3 ans et 262 jours

Le gouvernement espagnol dévoile des mesures pour encadrer une partie des loyers

Les prix de l'immobilier résidentiel ont fortement grimpé durant la crise sanitaire en Espagne, en raison d'un déséquilibre entre la demande et l'offre de logement. Cette situation avait poussé les habitants de plusieurs villes à manifester au printemps pour réclamer un encadrement des loyers.Les mesures annoncées mardi ont été entérinées au terme de négociations tendues entre le Parti socialiste du Premier ministre Pedro Sanchez et son allié de gauche radicale Podemos. Elles doivent être adoptées officiellement jeudi en conseil des ministres.Elles vont permettre une "avancée sans précédent" dans l'accès au logement de tous les habitants, et notamment des personnes "les plus vulnérables", dont "les jeunes", a assuré Pedro Sanchez lors d'un forum économique.Selon la ministre de l'Egalité Irene Montero, membre de Podemos, le texte va notamment "obliger les grands propriétaires à baisser le prix des loyers" en cas de niveau "abusif". Cela va permettre de "lutter contre les spéculateurs", a-t-elle jugé sur Twitter.Le gouvernement n'a pas précisé à ce stade la nature du mécanisme qu'il entendait mettre en oeuvre pour encadrer ces loyers, ni le type de propriétaires qui seront concernés.Mais selon le quotidien El Pais, cette mesure se traduira par un encadrement des loyers pour les propriétaires de plus de 10 logements, sur la base des indices de référence des loyers, mis en place en 2020.Outre cette mesure, une "loi sur le logement" devrait entériner la construction de près de 20.000 logements sociaux - avec la réhabilitation de "quartiers entiers", selon l'exécutif - pour un montant d'un milliard d'euros.Elle prévoit également des subventions pour les propriétaires acceptant de réhabiliter leurs logements, et des aides de 250 euros par mois pendant deux ans pour les jeunes disposant de ressources limitées."Pour les familles les plus vulnérables", ce dispositif pourra "être complété par des aides plus directes pouvant aller jusqu'à 40%" du loyer, a précisé le gouvernement dans un communiqué.L'encadrement des loyers est réclamé de longue date par Podemos, qui avait conditionné son soutien au projet de budget 2022 à un accord de son partenaire socialiste sur cette mesure-clé.Le gouvernement minoritaire de M. Sanchez va désormais devoir négocier avec plusieurs petites formations dont les indépendantistes catalans d'ERC afin de s'assurer que son budget puisse être voté au Parlement.
Il y a 3 ans et 262 jours

Au Palais idéal, Architextures et Perspectives, Agnès Varda

Après le succès en 2020 de Correspondances, premier volet de la trilogie Agnès Varda vu par 148 000 visiteurs, le Palais idéal présente Architextures et perspectives, deuxième volet dévoilant un nouveau lien entre le facteur Cheval et la célèbre réalisatrice : l’architecture. Jusqu’au 3 avril 2022. Agnès Varda se rend au Palais idéal pour la […] L’article Au Palais idéal, Architextures et Perspectives, Agnès Varda est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 262 jours

A Reims, Centre de Recherche Agro-Numérique par Jean-Michel Jacquet

L’extension et restructuration du Centre de Recherche Agro-Numérique – Faculté de Sciences de Reims (Marne), conçue par Jean-Michel Jacquet, est destinée à regrouper sur 5 000 m² des laboratoires de recherche (dont environ 2 000 m² restructurés) sur un pôle thématique performant tout en augmentant de 10% les surfaces de recherche (environ 2 000 m² […] L’article A Reims, Centre de Recherche Agro-Numérique par Jean-Michel Jacquet est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 262 jours

L’importance de faire des travaux de rénovation d’une maison

Même si parfois, le coût pour les travaux de rénovation peut être assez onéreux, il est important de faire quelques changements dans sa maison. Étant donné que cela peut être bénéfique sur le long terme tant pour le bien immobilier que pour ses occupants. Voyons dans cet article les avantages que vous pouvez obtenir en réalisant des travaux de rénovation de sa propriété. Vous pouvez également y découvrir  une idée du budget que vous devez préparer en amont pour la concrétisation de votre projet de remise à neuf ou de modernisation de votre maison. Pourquoi doit-on entamer des travaux de rénovation à l’intérieur et à l’extérieur de sa maison ? Faire appel à un professionnel est préconisé pour concrétiser votre projet de rénovation maison. En effet, seule une entreprise spécialisée dans ce domaine peut vous offrir des prestations de qualité selon vos exigences dans la mesure du possible. D’ailleurs, que vous venez d’acquérir une nouvelle maison ou que vous habitez dans une ancienne maison, rénover votre bien est un investissement rentable sur le long terme. Mais dans ce cas, il faut que les travaux soient bien accomplis et réglementés. Aussi, lorsque vous rénovez votre maison, vous pouvez bénéficier de plusieurs avantages comme : L’amélioration de l’aspect esthétique de votre bien immobilier : les travaux de rénovation peuvent donner un coup de jeune à un logement et rendre la rendre plus désirant. L’augmentation de la valeur marchande de votre bâtiment : Si, vous envisagez de vendre ou de louer la maison plus tard, dépenser quelques budgets dans les travaux de rénovation seront certainement rentabilisés dans un court délai. L’optimisation de votre confort et la réduction de la consommation énergétique : quand vous renouvelez les matériels isolants de votre maison par des matériaux plus performants, sachez que vous gagner plus de confort au quotidien. En plus de cela, vous  pouvez en même temps réaliser d’importantes économies sur vos factures d’énergie. La préservation du bon état de la maison : au cas où vous négligez certains travaux de restauration, les dégâts peuvent empirer et leur réparation peut être très coûteuse. Donc, il est nécessaire de procéder à quelques rénovations périodiques. Quel budget doit-on prévoir pour réaliser des travaux de rénovation de sa maison ? Certes, estimer un budget précis sur les travaux de rénovation n’est pas facile, vu que le coût de ces travaux peut varier non seulement en fonction des types de chantiers. Toutefois pour déterminer approximativement le montant à prévoir pour la rénovation de votre maison, vous devez définir les opérations à réaliser et adresser une demande de devis à une entreprise de renovation de maison. Il peut s’agir d’une intervention lourde, partielle ou légère. Concernant les travaux de rénovation lourde qui requièrent des gros œuvres, le tarif est plus dispendieux. Pour une rénovation complète, vous devez prévoir un budget de plus 1000 € TTC par m² . Tandis que pour une rénovation partielle comme la réfection de la salle de bains ou d’une cuisine, vous devez compter pas moins de  500 € TTC par m².  Et pour une rénovation légère comme le changement des revêtements de sol ou muraux, le coût peut varier entre 150 et 500 € TTC par m². Cependant, le plus judicieux est toujours de faire une comparaison de devis et de prestations, quel que soit le type de travaux de rénovation que vous projetez.
Il y a 3 ans et 263 jours

Le norvégien Statkraft achète des parcs éoliens en Allemagne et en France

La transaction, dont le montant est confidentiel, porte sur 39 fermes éoliennes en Allemagne d'une capacité installée totale de 311 MW et quatre autres en France de 35 MW, 16 turbines au total, dans les régions de Normandie, Pays de la Loire et Nouvelle Aquitaine.Ce seront ses premiers actifs éoliens du groupe détenu à 100% par l'Etat norvégien dans ces deux pays.Présent essentiellement dans l'hydroélectrique mais aussi dans le photovoltaïque, l'éolien ou encore le gaz, Statkraft revendique à ce jour une capacité de production de 65 térawattheures, dont 92% dans les énergies renouvelables.L'entreprise emploie 4.600 personnes dans 18 pays.
Il y a 3 ans et 263 jours

A la Cité (Paris) – Albums des jeunes architectes et paysagistes 2020

La Cité de l’architecture & du patrimoine présente le palmarès 2020 des Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP). Jusqu’au 14 novembre 2021. L’exposition dévoile les projets de quinze architectes et quatre paysagistes européens de moins de 35 ans, ayant réalisé un projet ou participé à un concours en France. Le concours récompense les jeunes […] L’article A la Cité (Paris) – Albums des jeunes architectes et paysagistes 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 263 jours

A Clermont, CRR porte en bois et isole en paille l’équipement sportif Saint-Jean

Bouygues Bâtiment Sud-Est et l’agence CRR Architecture sont mandatés pour construire le nouvel équipement associatif et sportif Saint-Jean à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Un ouvrage de 4 904 m² SHON ; coût de l’opération : 17,1 M€ TTC. Livraison prévue : fin mai 2023. Communiqué de la Ville de Clermont-Ferrand, maître d’ouvrage. Dans le cadre de la grande […] L’article A Clermont, CRR porte en bois et isole en paille l’équipement sportif Saint-Jean est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 263 jours

[Livre] Les clés du confort thermique écologique – interview Claude Lefrançois et extraits #BGT 014

Après son premier ouvrage sur la construction ou rénovation écologique, Claude Lefrançois publie chez Terre Vivante, un nouveau livre qui traite d’un sujet essentiel, mais souvent trop mal connu, auquel aspirent pourtant les maîtres d’ouvrages lors des travaux de construction ou d’amélioration énergétique de leur maison. Destiné aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels, ce livre […]
Il y a 3 ans et 264 jours

Le plafond d'un appartement à Marseille s'effondre sur une locataire, la propriétaire condamnée

Maria Perez-Morelli, 76 ans, propriétaire de deux appartements dans les quartiers Nord de Marseille, avait loué en avril 2011 un T2, alors qu'un arrêté de péril frappait l'immeuble depuis deux mois.Des travaux, confiés à une entreprise de peinture, avaient été entrepris par la copropriété de l'immeuble sur la toiture qui prenait l'eau et risquait de provoquer un effondrement des planchers, mais ils n'avaient qu'imparfaitement remédié au problème.L'arrêté de péril avait été levé le 17 juin 2011 mais dès l'automne, les marins-pompiers étaient intervenus à plusieurs reprises pour des inondations dans les appartements supérieurs, en raison de nouvelles fuites.Le 4 janvier 2012, l'immeuble était à nouveau frappé d'un arrêté de péril grave et l'évacuation des deux locataires de Mme Perez-Morelli avait été ordonnée."Je faisais à manger quand c'est tombé sur le frigo et un autre bout sur le salon", avait indiqué à l'audience Hikmata, la locataire de la personne condamnée."On lui fait porter la responsabilité de travaux mal faits dans des parties communes, ce qui relève de l'ensemble des copropriétaires", avait plaidé l'avocat de Mme Perez-Morelli, Me Eric Mery.Réfutant le terme de "logements indignes", l'avocat avait souligné que les appartements avaient été "refaits à neuf"."Ce dossier est assez révélateur du fonctionnement d'un certain nombre d'investisseurs fonciers à Marseille", avait souligné dans son ordonnance de renvoi le juge d'instruction Matthieu Grand, chargé de l'enquête sur les effondrements d'immeubles en 2018, dans le centre-ville, rue d'Aubagne, qui ont fait huit morts."Se rendant acquéreurs de biens immobiliers de petites surfaces dans des arrondissements peu chers, ces propriétaires les rénovent à moindre frais puis les louent à des personnes ou des familles aux revenus modestes voire quasi inexistants, souvent par le bouche à oreille", avait expliqué le magistrat."Les immeubles sont souvent vétustes, peu entretenus. A cela s'ajoute le choix d'entreprises peu soucieuses de mener des travaux dans les règles de l'art, sur la base de devis peu élevés validés par des propriétaires soucieux de dépenser le moins possible d'argent tout en rentabilisant leur investissement locatif", avait-il souligné.Condamnée à verser 3.000 euros de dommages et intérêts pour préjudice moral à sa locataire, Mme Perez-Morelli a par ailleurs été relaxée pour le second locataire après avoir pris des mesures pour qu'il puisse quitter les lieux.