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Toute l'actualité du bâtiment

257239 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 264 jours

Immobilier : feu vert pour le PTZ, feu orange pour le "Pinel+"

RÉACTIONS. Plusieurs acteurs du secteur de l'immobilier ont réagi, à la suite de l'annonce, par la ministre déléguée au Logement Emmanuelle Wargon, de la prolongation du PTZ et du Pinel.
Il y a 3 ans et 264 jours

Dossier détails : toitures praticables

    Toitures-terrasses et toitures à pente recouvrent, protègent et caractérisent les édifices, voire comme à Chambord, subliment l'architecture. Quand l'espace urbain se fait rare et coûteux, les toitures, outrepassant leurs fonctions techniques, peuvent aussi devenir un sol, un espace de vie et d'expression où la ville […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 264 jours

Alain Griset, ministre délégué chargé des PME : « J’espère l’unanimité au Parlement sur le plan pour les indépendants »

Le ministre délégué auprès du ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance, chargé des Petites et Moyennes Entreprises Alain Griset détaille la philosophie du plan pour les indépendants annoncé par le président mi-septembre.
Il y a 3 ans et 264 jours

Financement de l'ONF : les communes forestières expriment leur exaspération

C'en est trop pour les Communes forestières regroupées au sein de la Fédération nationale des Communes forestières. Malgré un service public forestier de plus en plus en tension, l'État envisage de réduire encore les effectifs de l'Office National des Forêts tout en demandant aux Communes forestières d'abonder le budget de l'ONF à hauteur de 30 millions d'euros.Une situation inacceptable pour la FNCOFOR qui se bat depuis plusieurs années pour préserver un espace forestier toujours plus menacé. La Fédération demande donc à l'État de prendre ses responsabilités et d'assumer pleinement son rôle de garant de la préservation de nos forêts avec un investissement sur le long terme et un véritable projet d'avenir.Une proposition de financement irrationnelle« Cette décision est d'autant plus inadmissible que cette nouvelle taxation de 30 millions d'euros (7,5 M€ en 2023 puis de 10 M€ par an en 2024-2025) ne garantit en aucun cas le redressement de la situation financière de l'ONF, en déficit annuel et fortement endetté depuis déjà plusieurs années puisque le COP ne nous donne aucune visibilité sur les mesures qui seront prises par l'État », déclare M. Jarlier, Président de la FNCOFOR. « Et elle ne tient pas compte du travail acharné des Communes forestières pour préserver les forêts et la filière confirmant une méconnaissance des réalités des communes au plus haut niveau de l'État. »Ces annonces gouvernementales interviennent, après la création en 2012, d'une taxe supplémentaire de 2 euros par hectare de terres considérées comme forestières et une baisse de la dotation globale de fonctionnement imposée aux communes entre 2014 et 2017, grevant leur budget de plus de 4 milliards d'euros et touchant particulièrement les communes productrices de bois.Une stratégie d'avenir pour les forêts françaisesLe rôle de l'ONF est plus que jamais essentiel et la Fédération salue l'organisme pour son travail dans un contexte compliqué.« Le financement de l'ONF doit évoluer pour sortir de ces impasses budgétaires et structurelles », souligne M. Jarlier. « La solution ne peut être de continuer à se contenter de se tourner vers les collectivités pour les faire payer toujours plus. »La Fédération réclame donc une réelle ambition politique pour les forêts françaises et une révision complète du COP 2021-2025 avec des objectifs clairs et affirmés qui tiennent compte de l'implication, au quotidien, des Communes forestières qui font face à de nombreuses difficultés pour la préservation des forêts. Attaques de parasites, dépérissement de certaines essences, sécheresses répétées, risques d'incendies accrus ne sont que quelques exemples des défis auxquels ces communes font face.« L'annonce des Assises de la forêt faite le 24 juillet par le Premier ministre, accompagnée de moyens supplémentaires pour la filière, est une bonne nouvelle », tient à souligner M. Jarlier. « Mais, nous attendons une véritable refonte de la politique forestière et la prise en compte du travail déjà exemplaire des Communes forestières pour la préservation du poumon vert de la France. »
Il y a 3 ans et 264 jours

"L'assurance construction a toujours attiré des intervenants exotiques" J-D. Benatar (Aon)

ENTRETIEN. Alors que des remous, au sein du secteur de l'assurance-construction, ont de nouveau fait l'actualité, Jean-David Benatar, directeur du département construction chez Aon France, revient sur les tenants et les aboutissants de la crise auprès de Batiactu.
Il y a 3 ans et 264 jours

L’OPPBTP va renforcer son offre digitale

L’OPPBTP se donne pour ambition, dans le cadre de son plan stratégique Horizon 2025, d’offrir une assistance technique et des parcours de prévention à toutes les entreprises grâce au digital. L’organisme de prévention vise un accompagnement massif des entreprises et des salariés du BTP, en particulier des TPE.
Cimbat
Il y a 3 ans et 264 jours

Edilteco® France sera présent au salon Artibat, dans le Pôle Gros Œuvre

Cette nouvelle version Politerm® R est conçue avec du polystyrène recyclé et s'inscrit dans une démarche d'économie circulaire et responsable.EDILTECO® récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication afin de réintégrer le PSE dans les processus de production.Les chutes sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves.Politerm® R permet d'isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.Autre solution de sol exposée sur le stand : LA CHAPE XXs®, chape légère et fibrée qui se destine à l'amélioration de l'affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol.LA CHAPE XXs® est conçue à base de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l'adjuvant EIA (Diamètre 2 - 3 mm).La densité du mélange - 1200 kg/m3 - est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures.Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d'une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques.Sa simplicité de mise en oeuvre va permettre de l'utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu'à 15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1).Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d'une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur béton, 2 cm en pose désolidarisée sur bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l'applicateur c'est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l'assurance d'une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d'usages multiples.Pour la façade, les gammes « best-seller » ECAP® et EDIL-Therm® PSE dans une version sans fixatif seront exposées.Pour finir la nouvelle gamme planchers présentera : Delti-Poutrelles, une gamme complète de poutrelles précontraintes. Conçues en T inversé avec un crantage bi-alterné sur le dessus et des armatures dépassantes de chaque extrémité de la poutrelle, une attention particulière est portée sur la finition des poutrelles.Cette parfaite maîtrise des finitions leur assure une épaisseur de talon sans accumulation de béton et des abouts de poutrelle parfaitement droits, notamment par l'utilisation de séparateurs en PSE lors du moulage.Conçue dans les règles de l'art, la gamme Delti-Poutrelles respecte l'ensemble des exigences du référentiel DTU 23.5. Certifiée conforme au référentiel de certification NF 395 Poutrelles en béton pour systèmes de planchers à poutrelles et entrevous, cette gamme assure d'excellentes performances à la flexion et garantit la réalisation de planchers robustes, stables et durables dans le temps.Il existe 3 gammes de poutrelles et chacune rassemble plusieurs types de poutrelles. Chaque gamme commence par « DP » suivi de la hauteur de la poutrelle (de 110 à 130) et du type de précontrainte. La gamme RE est dotée d'un renfort en acier passif permettant de gagner en portée sans étai.Elles permettent d'atteindre de grandes portées 5,10 m de long sans étais et 8,30 m avec étais, qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Du fait de l'attention portée à la qualité de fabrication, la gamme Delti-Poutrelles est en mesure de supporter des charges importantes.DELTIVOUTAIN + CI – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre son correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main.Brevetée, cette solution bénéficie aujourd'hui d'un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d'isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1 «Planchers et accessoires de plancher» qui ont examiné respectivement ce procédé.Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d'assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l'isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en oeuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation.Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d'une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l'économie d'éléments structurels devenus inutiles.Artibat est depuis 31 ans le salon de référence pour les professionnels du bâtiment. Partenaire des artisans et des majors du BTP, EDILTECO® suit une politique d'innovation basée sur des objectifs apportant gain de performances aux produits, tout en augmentant la simplicité et la rapidité d'application.Ces trois journées de rencontres et d'échanges seront donc l'opportunité pour EDILTECO® de révéler le potentiel et les compétences de ses solutions et innovations.
Il y a 3 ans et 264 jours

Quand l’isolation paille s’industrialise

La maison paille, désormais on connaît. Rares sont ceux qui en ont vue “en vrai” et moins nombreux encore ceux qui y vivent ou y travaillent, mais de plus en plus en ont au moins “entendu parler”. C’est que, avec la prise de conscience de la disparition progressive des énergies fossiles et de la nécessité [&#8230;]
Il y a 3 ans et 264 jours

Le chantier perpétuel de Yona Friedman - Exposition

&nbsp; &nbsp; Toitures-terrasses et toitures &agrave; pente recouvrent, prot&egrave;gent et caract&eacute;risent les &eacute;difices, voire comme &agrave; Chambord, subliment l&#39;architecture. Quand l&#39;espace urbain se fait rare et co&ucirc;teux, les toitures, outrepassant leurs fonctions techniques, peuvent aussi devenir un sol, un espace de vie et d&#39;expression o&ugrave; la ville&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 3 ans et 264 jours

Quel est le type de marbre idéal pour rénover la salle de bain?

Parmi les endroits où on passe le plus de temps, figure la salle de bain. Celle-ci doit rester en tout temps opérationnelle et confortable. Or que ce soit la baignoire, le lavabo ou les toilettes, ces installations vieillissent assez vite. Ils nécessitent un entretien régulier et quelques fois les renouvellements. Mais parfois pour il est indispensable de procéder à une rénovation totale pour rendre cette salle plus ergonomie et plus esthétique. Quitte à le faire, il vaut mieux opter pour un matériau solide, élégant et durable, le marbre. Il en existe plusieurs sortes. Voici un guide pour mieux choisir. Le marbre gris pour ceux qui misent sur l’élégance Le marbre gris reste une référence dès que l’on parle de revêtement de salle de bain. Il est assez polyvalent. Mais son atout principal reste son esthétisme hors du commun. Il apporte une touche de modernité à la salle. Mais aussi, il installe une ambiance cosy. On compte par ailleurs plusieurs déclinaisons de marbre gris. Puisqu’il s’agit d’un matériau assez cher et difficile à transporter, mieux vaut faire appel à un professionnel en rénovation de salle de bain pour sa pose. On trouve auprès des entreprises spécialisées différentes sortes de marbres gris. Le plus connu reste celui avec sa surface ornée de veines blanches. Ces dernières forment des motifs qui sont pourtant naturels. On l’utilise pour la couverture du sol de salle de bain et les murs. Il existe des variantes de marbre grises avec un petit ton de bleu. Ceux-ci sont très prisés à cause de cette couleur unique. Ceux-ci possèdent aussi des veines de couleur bleu-gris très élégant. On appelle aussi cette variété, le marbre de bateig. Le marbre noir et le marbre blanc pour une déco minimaliste Le marbre noir n’est pas prisé, car il donne à la salle de bain une ambiance sombre. Si on opte pour cette solution, il est indispensable d’assurer un bon éclairage à l’intérieur de cette pièce. Toutefois cette couleur reste très élégante et ne vieillit pas avec le temps. Le noir se marie avec toutes les nuances. En réalité on opte pour cette variante pour l’effet de brillaence qu’il produit une fois poli. Il ne se détériore pas non plus au contact d’un objet tranchant. Il offre ainsi durabilité et esthétisme. Il existe par ailleurs plusieurs types de marbre noir. On a ceux avec des veines blanches et ceux qui en sont dépourvus. Le choix entre les deux est juste une question de préférence. Sinon il existe aussi une version avec des veines dorées pour une décoration de salle de bain plus originale. Pour ceux qui veulent opter pour une salle de bain plus classique, ils se tourneront vers le marbre blanc. Celui-ci est parfait pour une petite salle de bain. Il donne l’illusion que cette dernière est spacieuse. Enfin, le marbre blanc avec des motifs gris mérite aussi qu’on s’y intéresse. Mais il n’est pas trop populaire à cause de sa couleur trop banale.
Il y a 3 ans et 265 jours

Terreal déjà dans le futur

Industrie - Lancé depuis 2017 dans un vaste plan de numérisation de son activité, le spécialiste des tuiles tire un premier bilan positif de la modernisation de son outil de production.
Il y a 3 ans et 265 jours

Cinq personnes renvoyées en correctionnelle après l'effondrement d'un balcon à Angers en 2016

L'ordonnance de renvoi en correctionnelle a été rendue le 29 septembre, a indiqué le parquet à l'AFP, confirmant une information de la presse locale.Le procès est prévu à partir du 9 février 2022 pour une période de trois semaines. "On estime qu'on pourrait avoir une soixantaine de personnes qui se constitueraient parties civiles", a indiqué à l'AFP le procureur d'Angers Éric Bouillard.Parmi les personnes appelées à comparaître, figurent le chef de l'entreprise de construction (72 ans), le conducteur de travaux (52 ans), le chef de chantier (63 ans), l'architecte (65 ans) et le représentant du bureau de vérification Apave (83 ans). Tous ont un casier judiciaire vierge.Dans la soirée du 15 octobre 2016, 18 jeunes avaient basculé dans le vide lors de l'effondrement d'un balcon au 4e étage de la résidence "Le Surcourf" dans le centre-ville d'Angers. Le balcon avait entraîné dans sa chute les deux balcons des étages inférieurs.Quatre des victimes, trois hommes de 21, 23 et 25 ans, ainsi qu'une jeune fille de 18 ans, avaient été tués. Quatorze avaient été blessés. Le drame s'était produit lors d'une crémaillère organisée par deux jeunes filles, rassemblant une trentaine d'amis, en majorité des étudiants en droit.En mai 2021, la cour d'appel d'Angers a rejeté une demande d'enquête complémentaire sur un défaut d'entretien du balcon formulée auprès de la chambre de l'instruction par les avocats de deux des cinq mis en examen et par ceux de victimes et de leurs familles.
Il y a 3 ans et 265 jours

Label R2S-4GRIDS : une meilleure maîtrise des consommations énergétiques grâce au numérique

Dans un contexte d'évolution permanente des outils de mesure et de pilotage du bâtiment, il est indispensable de veiller à l'adaptabilité du socle numérique pour pouvoir y connecter des capteurs, des dispositifs ainsi que les services nécessaires. C'est tout l'objectif de R2S-4GRIDS, délivré par Certivéa, filiale du CSTB, qui labellise les bâtiments connectés conciliant transitions numérique et énergétique. En allant au-delà des réglementations, cette certification valorise les acteurs engagés dans un numérique responsable, c'est-à-dire sobre et adapté aux besoins, au service des performances environnementales. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 265 jours

L'inflation devrait rester "un peu supérieure" à 2% jusqu'en décembre, selon l'Insee

Dans son dernier point de conjoncture, l'Institut national de la statistique maintient en revanche inchangée sa prévision de croissance pour 2021, soit de l'ordre de +6,25%, après -8% en 2020.Alors que les prix à la consommation ont augmenté de 2,1% (estimation provisoire sur un an) au mois de septembre, après 1,9% en août, l'Insee estime que l'inflation "resterait un peu supérieure à 2% jusqu'en décembre".Cette hausse des prix "atteindrait 2,3% en octobre puis refluerait légèrement (2,1% prévu en décembre), sous l'hypothèse conventionnelle d'un prix du pétrole fixé à 75 dollars le baril de Brent et d'une stabilité des autres cours de matières premières", est-il indiqué."La principale raison ce sont les prix de l'énergie qui reflètent la hausse du prix du pétrole, qui se transmet de façon quasi immédiate sur les prix à la consommation", a résumé Olivier Simon, chef de la division synthèse conjoncturelle, lors d'une conférence de presse.D'ici la fin de l'année, l'Insee confirme que l'activité économique va retrouver "globalement - mais sans le dépasser, contrairement à l'emploi - son niveau d'avant-crise".L'Insee prévient toutefois que des contrastes sectoriels vont persister au second semestre, notamment pour certaines branches comme l'automobile, qui vont "rester pénalisées par des difficultés aiguës d'approvisionnement". Dans les services, l'activité devrait également rester en-deçà du niveau d'avant-crise dans l'hébergement, la restauration, les loisirs ou les transports.Concernant la consommation des ménages, l'Insee estime qu'elle devrait retrouver "tout juste, en fin d'année, son niveau de deux ans auparavant", avec +4% au troisième trimestre puis +1,5% au quatrième, soit un rebond annuel de 4,1% en 2021, après une chute de 7,2% en 2020.Quant aux exportations, elles devraient fin 2021 atteindre 93% de leur niveau du quatrième trimestre 2019, tandis que les importations devraient retrouver "un niveau quasi identique à celui d'avant crise".
Il y a 3 ans et 265 jours

Le marché locatif des bureaux peine à retrouver son activité pré-Covid

IMMOBILIER. L'indicateur Immostat a scanné le marché de l'immobilier d'entreprise en Ile-de-France. Les chiffres du troisième trimestre 2021 sont encourageants mais restent en deçà de 2019.
Il y a 3 ans et 265 jours

Après six mois florissants, le solaire photovoltaïque a calé durant l'été

RENOUVELABLES. Si les trois premiers mois de 2021 ont été marqués par un volume record des raccordements de centrales photovoltaïques, le 2e trimestre de l'année accuse en revanche une stagnation, voire une baisse des branchements. Seul le segment des grandes installations est en progression.
Il y a 3 ans et 265 jours

Le nouveau plan quinquennal de Saint-Gobain

Benoit Bazin a dévoilé le 7 octobre 2021 sa nouvelle feuille de route baptisée « Grow & Impact » dont «l'ambition» est «d'accélérer significativement » la croissance du groupe et de faire de Saint-Gobain le leader mondial de la construction durable. Retour et détails.
Il y a 3 ans et 265 jours

« Innovation, fiabilisation de l'acte de construire et rénovation » Romain Mège - Directeur de Domaine d'Action Stratégique Recherche

Romain Mège - Photo&nbsp;: Raphaël DautignyIl est assez rare de voir rénovation, fiabilisation et innovation cohabiter au sein d'une même thématique de recherche. C'est pourtant le parti pris du CSTB pour les dix prochaines années, qui se positionne ainsi sur le renforcement des innovations dans le domaine de la rénovation, alors que la majorité des dépenses R&D du secteur privé alimente la construction neuve. Le CSTB s'inscrit dans une logique forte de partenariat afin d'être au plus proche des besoins du terrain et de diffuser le plus largement les connaissances développées. Il se doit d'être fédérateur en jouant le rôle du maillon manquant entre les développements universitaires en amont et les besoins de l'acte de construire, associés à la fiabilisation. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
GDA
Il y a 3 ans et 265 jours

Une "catastrophe" du Mal-logement en Paca dénonce la Fondation Abbé Pierre

Des logements aux prix inaccessibles face &agrave; une population pr&eacute;caire: en r&eacute;gion Provence-Alpes-C&ocirc;te d&#39;Azur, la Fondation Abb&eacute; Pierre s&#39;alarme d&#39;une "tendance absolument catastrophique".
Il y a 3 ans et 265 jours

Nouvelle mobilisation contre l'artificialisation de terres agricoles en Ile-de-France

MANIFESTATION. Les 9 et 10 octobre 2021, des collectifs de défense de l'environnement organisent des "Marches des terres", pour protester contre les projets franciliens qui consomment des terres agricoles. En ligne de mire notamment : le Grand Paris Express, alors même que celui-ci se voit conforter au nord par une nouvelle décision de justice.
Il y a 3 ans et 265 jours

Aménagement durable, loi Climat et Plan de relance : quel calendrier ?

CALENDRIER. Jean-Baptiste Butlen, sous-directeur de l'Aménagement durable à la DHUP (DGALN, ministères de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires) a dressé le tableau de l'actualité législative et réglementaire actuelle dans ses grandes lignes, lors des Entretiens Cadre de ville, ce 5 octobre. Détails.
Il y a 3 ans et 265 jours

Avec sa nouvelle stratégie digitale, l'OPPBTP veut être au plus près des professionnels

NUMÉRIQUE. Fiches pratiques, e-formations, actualités spécifiques à certains métiers... L'organisme professionnel de prévention du BTP déploie un vaste programme pour s'adapter aux nouveaux modes d'usages en ligne. Cela passe par la mise en relation de conseillers disponibles à distance.
Il y a 3 ans et 265 jours

Le Bâtiment salue le prolongement du Prêt à taux zéro jusqu'à fin 2023, mais s’inquiète du futur durcissement annoncé

Le "PTZ", qui aide les ménages à accéder à la propriété, "devait s'arrêter fin 2022, on le prolongera bien jusqu'à fin 2023", a déclaré la ministre sur BFM Business.Les conditions de ressources, que le gouvernement envisageait de modifier, ne changeront finalement pas, a-t-elle également indiqué."Nous avions envisagé une réforme dans laquelle on changeait le mode de prise en compte des ressources (...), c'est très complexe à mener et donc on ne le fera pas au 1er janvier 2022, donc il est maintenu tel quel jusqu'à fin 2023", a précisé Mme Wargon.Le "PTZ" s'adresse aux particuliers qui achètent leur propre logement, et permet de solliciter des prêts en partie sans intérêt auprès des banques.Le dispositif Loi Pinel, destiné aux futurs propriétaires qui comptent louer leur bien (ils ont droit à une aide à l'achat s'ils s'engagent à demander un loyer inférieur au marché), est quant à lui maintenu "jusqu'à fin 2024", a encore ajouté la ministre, qui présentera la semaine prochaine le "Pinel+".Selon la ministre, ce décret comportera "à la fois des critères environnementaux et des critères de qualité, mètres carré minimum par taille d'appartements par exemple".« Oui, mais » pour la FFBLa FFB salue la prorogation du PTZ, qui donne de la visibilité aux acteurs et permettra d'éviter les à-coups habituels en phase de discussion budgétaire.La FFB s'inquiète en revanche du durcissement annoncé du Pinel. De fait, on ne connait que très rarement dès l'origine d'un projet l'usage qui sera fait des logements qu'il comprend. Les mesures prévues complexifieront donc les règles de construction pour l'ensemble du collectif dans les métropoles. Or, aucun coup de pouce n'est prévu pour compenser ces nouvelles exigences. Pour Olivier Salleron, le président de la FFB : « la prorogation durable du PTZ est une bonne nouvelle, mais il convient surtout d'éviter de déstabiliser plus encore la construction de logements collectifs dans les zones tendues, alors que le très récent rapport Rebsamen a bien révélé la crise qui frappe ce segment. Les nouvelles exigences annoncées pour le successeur du Pinel constituent bien un risque à cet égard. Par ailleurs, à quelques semaines de l'entrée en vigueur de la RE2020, qui se traduira par un surcoût moyen de construction d'environ 5 % en 2022, la FFB rappelle qu'un accompagnement des ménages s'avère indispensable pour passer cette marche vertueuse. Elle a d'ailleurs proposé la mise en place d'un crédit d'impôt sur les annuités d'emprunt immobilier. »
Il y a 3 ans et 265 jours

LafargeHolcim débouté face à Cem’In’Eu

Usine Aliénor Ciments à Tonneins (47). [©ACPresse] LafargeHolcim a été débouté par le tribunal de commerce de Saint-Nazaire suite à un litige avec la société Cem’In’Eu. En juillet 2019, l’industriel suisse assignait la start-up spécialisée dans la fabrication et la distribution de ciment pour concurrence déloyale. LafargeHolcim s’est ainsi basé sur le motif d’une communication trompeuse et dénigrante. «&nbsp;Si le but apparent était pour LafargeHolcim de mettre fin à une concurrence déloyale, le but réel était de freiner notre développement&nbsp;», déclare Cem’In’Eu dans un communiqué de presse. Lire aussi : Cem’In’Eu : Conteneur, train ou barge : Le clinker voyage propre Finalement, le 28 avril 2021, le tribunal a débouté LafargeHolcim Ciments et LafargeHolcim Distribution de toutes ses demandes. Le groupe est même condamné à verser une indemnisation à hauteur de 54&nbsp;500 € pour dommages et intérêts et frais “article 700”1 à Aliénor Ciments, filiale de Cem’In’Eu. Par la suite, LafargeHolcim n’a pas fait appel au jugement dans les délais de recours autorisés. Une concurrence déloyale&nbsp;? «&nbsp;Le tribunal de commerce de Saint-Nazaire juge que la présentation positive par Cem’In’Eu de ses concepts comme étant innovants n’est pas de la concurrence déloyale. Tel que la communication sur la proximité du lieu d’ensachage du ciment, sur des petits sites proches des chantiers de ses clients. Mais aussi, la communication sur les avantages environnementaux du transport maritime, ferroviaire ou fluvial. Ou encore, le fait de vanter son procédé d’ensachage et son procédé de broyage de clinker qui sont localement moins émetteurs.&nbsp;» En effet, Cem’In’Eu met en avant l’aspect bas carbone de ses ciments. Un calcul possible par l’optimisation du processus de fabrication, en substituant une partie du clinker ou en travaillant sur la sobriété énergétique, par exemple, et de la logistique. Mais aussi, parce que le clinker qu’utilise la start-up, matériau de base du ciment très émissif en CO2, n’est pas produit en France. Ainsi, son poids carbone ne rentre pas dans l’impact environnemental des produits commercialisés par l’industriel. 1Remboursement des frais irrépétibles
Il y a 3 ans et 265 jours

A Obernai, Hager monte en puissance

Sur son site alsacien, le groupe de matériel électrique construit un nouveau laboratoire de puissance électrique à hauteur de 15 millions d'euros.
Il y a 3 ans et 265 jours

Concertation sur les règles de bonnes pratiques entre entreprises dans un contexte de pénuries de matières premières

Dans le sillage du comité de crise créé au printemps pour régler les différends entre entreprises, "l'ensemble de la filière s'est dit que si la crise dure, il serait bien d'établir des règles du jeu, de bonnes pratiques, pour toute la profession", a expliqué Pierre Pélouzet.Le secteur du BTP, comme d'autres, souffre des difficultés d'approvisionnement en matières premières (bois, acier, etc.) liées à la vigueur de la reprise économique, qui ont fait gonfler les prix, créant des tensions entre fournisseurs et clients.Créé mi-juin dernier, le comité de crise a été chargé de régler dans l'urgence les différends entre entreprises plutôt que de recourir à la voie juridique."Au niveau de l'amont, il y a des entreprises qui répercutent directement ces hausses de prix et d'autres qui se montrent plus compréhensives. Et dans l'aval, certains clients veulent s'en tenir aux contrats signés, voire même imposent des pénalités de retard", détaille Pierre Pélouzet.L'objectif de ces règles de bonne pratiques serait "qu'en amont et en aval, chacun prenne une partie de la charge" née des difficultés d'approvisionnement, "pour ne pas mettre en difficulté les petites entreprises et les artisans, souvent plus fragiles", défend le médiateur."Il faut trouver un équilibre, qui ne fragilise pas un maillon de la chaîne en particulier, que chacun fasse un effort", estime-t-il."Les carnets de commandes sont pleins et il ne faudrait pas que cette bonne nouvelle se transforme en mauvaise nouvelle" à cause de ces difficultés, ajoute-t-il.A ce stade, le comité de crise a permis de régler de nombreux différends, en interpellant les entreprises mises en causes. Mais Pierre Pélouzet veut encore "lancer un appel" à toute la filière pour que les entreprises fassent davantage remonter leurs difficultés, tout comme les bonnes pratiques déjà à l'oeuvre.
Il y a 3 ans et 265 jours

« Tous nos métiers sont en progression », René Simon, président du directoire de Demathieu Bard

Construction - Le président de Demathieu Bard se félicite des diversifications, toujours en cours, du groupe lorrain fondé il y a 160 ans.
Il y a 3 ans et 265 jours

Le BIM d'OR fait son tour de piste

La décision du Groupe ADP de mettre en œuvre le BIM sur le projet « Liaison BD et réhabilitation du Terminal 2B » est inscrite dans la continuité de transformation numérique lancée depuis plusieurs années. Une démarche multi-métiers très complexe, avec des objets BIM spécifiques à l’aéroportuaire.
Il y a 3 ans et 265 jours

La Roche-sur-Yon : le pont Solférino remis à neuf

Quatre mois de travaux ont été nécessaires pour redonner vie au pont Solférino, traversant l’Yon.
Il y a 3 ans et 265 jours

“Devenir Carreleur”: plusieurs milliers d’emplois à pourvoir en France

Les entreprises fran&ccedil;aises de carreleurs ont un besoin urgent de main-d&rsquo;&oelig;uvre. Elles lancent donc une campagne nationale "Devenir Carreleur" pour regarnir leurs rangs, aujourd&rsquo;hui et demain.
Il y a 3 ans et 265 jours

Ogeu-les-Bains : amélioration et sécurisation de la voirie dans le quartier des Fontaines

À Ogeu-les-Bains, des travaux de sécurisation de la voirie ont été réalisés dans le quartier des Fontaines.
Il y a 3 ans et 265 jours

Le nouveau centre aqualudique de Thiers prend forme

L’ouverture du futur centre aqualudique communautaire de Thiers Dore et Montagne est attendue pour l’été 2022.
Il y a 3 ans et 265 jours

Aulnat : extension des filières de traitement des eaux et des boues de la station d’épuration des Trois Rivières

L’objectif du projet est de protéger la qualité de l’eau tout en développant les énergies renouvelables.
Il y a 3 ans et 265 jours

Les BIM d'or en vidéo

Découvrez en vidéo les meilleurs moments de la huitième édition des BIM d'OR qui s'est déroulée le 21 septembre à la Station F. Organisés par Les Cahiers techniques du bâtiment et Le Moniteur, ces trophées récompensent les meilleurs projets menés à l'aide la maquette numérique.
Il y a 3 ans et 265 jours

La filière gaz dans le bâtiment attaque la RE2020 devant le Conseil d'État

Ce texte, qui rentrera en application le 1er janvier 2022, concernera de façon progressive les logements individuels, les logements collectifs et les bâtiments du secteur tertiaire.Devant le constat que les dispositions de la RE2020 conduisent à exclure progressivement le recours au gaz des constructions nouvelles à compter du 1er janvier 2022 sans distinction entre gaz naturel et gaz renouvelable, Coénove a déposé une requête devant le Conseil d'État le 29 septembre 2021 visant l'annulation du silence de la RE2020 sur le biométhane et demande un complément pour intégrer le gaz renouvelable dans le texte. Pour Bernard Aulagne, Président de Coénove, « l'exclusion du biométhane des constructions nouvelles résultant de la RE2020 est contestable sur plusieurs aspects » :Elle méconnaît les dispositions légales et de droit européen qui imposent de favoriser le recours à toutes les énergies renouvelables dans les constructions nouvelles, sans discriminer entre les sources d'énergies renouvelables. Or, le biométhane constitue la seule énergie renouvelable qui est exclue des constructions nouvelles par la RE2020 ;Elle entre en contradiction avec les objectifs poursuivis par la RE2020 de lutte contre le changement climatique et de recours aux énergies renouvelables, le biométhane contribuant significativement à ces deux objectifs. A l'inverse, l'exclusion du biométhane des constructions nouvelles est de nature à augmenter le recours au gaz naturel pour produire l'électricité nécessaire pour répondre au besoin de chauffage en hiver Elle freine considérablement le développement d'une filière de production d'une énergie renouvelable à part entière, au même titre que les énergies renouvelables électriques, avec les mêmes avantages et bénéfices pour l'environnement et lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et qui présente de plus l'intérêt de ne pas être intermittente ;Elle prive la France d'une énergie souveraine produite localement : circuits courts et production locale, disponible sur l'ensemble du territoire, participe à l'indépendance énergétique et favorise l'accès de produits d'origine asiatique sur le marché français ;Enfin, elle porte atteinte à la liberté d'entreprendre des acteurs de la filière en leur fermant de manière définitive et irréversible, pour leur activité gaz, le secteur de la construction nouvelle, alors même qu'ils ont investi et sont en mesure de proposer des solutions énergétiquement performantes recourant au biométhane.L'objectif poursuivi par l'association à travers ce recours est en cohérence avec les convictions qu'elle a défendues tout au long du processus de concertation, à savoir promouvoir la performance énergétique et environnementale des bâtiments grâce à un mix énergétique équilibré favorisant le recours aux énergies renouvelables. Et Bernard Aulagne de souligner : « Nous sommes particulièrement attachés à l'atteinte des objectifs ambitieux que la France s'est fixée pour la réussite de la transition énergétique. Notre démarche n'a rien de conflictuel et vise simplement à réparer une injustice à l'égard d'une énergie renouvelable, le biométhane, qui a toute sa place dans le mix énergétique. »
Il y a 3 ans et 265 jours

Coénove saisit le Conseil d'État sur la RE2020 pour redonner au gaz vert sa place dans la construction neuve

Ce texte, qui rentrera en application le 1er janvier 2022, concernera de façon progressive les logements individuels, les logements collectifs et les bâtiments du secteur tertiaire.Devant le constat que les dispositions de la RE2020 conduisent à exclure progressivement le recours au gaz des constructions nouvelles à compter du 1er janvier 2022 sans distinction entre gaz naturel et gaz renouvelable, Coénove a déposé une requête devant le Conseil d'État le 29 septembre 2021 visant l'annulation du silence de la RE2020 sur le biométhane et demande un complément pour intégrer le gaz renouvelable dans le texte. Pour Bernard Aulagne, Président de Coénove, « l'exclusion du biométhane des constructions nouvelles résultant de la RE2020 est contestable sur plusieurs aspects » :Elle méconnaît les dispositions légales et de droit européen qui imposent de favoriser le recours à toutes les énergies renouvelables dans les constructions nouvelles, sans discriminer entre les sources d'énergies renouvelables. Or, le biométhane constitue la seule énergie renouvelable qui est exclue des constructions nouvelles par la RE2020 ;Elle entre en contradiction avec les objectifs poursuivis par la RE2020 de lutte contre le changement climatique et de recours aux énergies renouvelables, le biométhane contribuant significativement à ces deux objectifs. A l'inverse, l'exclusion du biométhane des constructions nouvelles est de nature à augmenter le recours au gaz naturel pour produire l'électricité nécessaire pour répondre au besoin de chauffage en hiver Elle freine considérablement le développement d'une filière de production d'une énergie renouvelable à part entière, au même titre que les énergies renouvelables électriques, avec les mêmes avantages et bénéfices pour l'environnement et lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et qui présente de plus l'intérêt de ne pas être intermittente ;Elle prive la France d'une énergie souveraine produite localement : circuits courts et production locale, disponible sur l'ensemble du territoire, participe à l'indépendance énergétique et favorise l'accès de produits d'origine asiatique sur le marché français ;Enfin, elle porte atteinte à la liberté d'entreprendre des acteurs de la filière en leur fermant de manière définitive et irréversible, pour leur activité gaz, le secteur de la construction nouvelle, alors même qu'ils ont investi et sont en mesure de proposer des solutions énergétiquement performantes recourant au biométhane.L'objectif poursuivi par l'association à travers ce recours est en cohérence avec les convictions qu'elle a défendues tout au long du processus de concertation, à savoir promouvoir la performance énergétique et environnementale des bâtiments grâce à un mix énergétique équilibré favorisant le recours aux énergies renouvelables. Et Bernard Aulagne de souligner : « Nous sommes particulièrement attachés à l'atteinte des objectifs ambitieux que la France s'est fixée pour la réussite de la transition énergétique. Notre démarche n'a rien de conflictuel et vise simplement à réparer une injustice à l'égard d'une énergie renouvelable, le biométhane, qui a toute sa place dans le mix énergétique. »
Il y a 3 ans et 265 jours

Cébazat : un chantier d’assainissement impasse de la Chute et allée des Peupliers

L’opération s’inscrit dans un programme de travaux portant sur la modernisation et la mise en conformité du réseau d’assainissement du secteur nord de la ville.
Il y a 3 ans et 265 jours

Compiègne : restructuration de l’espace du Puy du Roy

L’état technique du bâtiment et le programme de reconfiguration de l’édifice du Puy du Roy feront l’objet d’études en 2022. Le début des travaux est prévu en 2024.
Il y a 3 ans et 265 jours

La Crau : de nouveaux locaux pour la gendarmerie en 2023

Dans le département du Var, la gendarmerie de La Crau bénéficiera de nouveaux locaux en 2023. Les travaux débuteront en 2022.
Il y a 3 ans et 265 jours

Hérault : le chantier de la route de Cazilhac suit son cours

Les travaux sur la route de Cazilhac se poursuivent. Ils ont débuté le 13 septembre dernier.
Il y a 3 ans et 265 jours

Travaux d’extension des accueils périscolaires d’Obermodern et d’Ingwiller jusqu’en 2023

Des travaux d’extension sont en cours dans les accueils périscolaires d’Obermodern et d’Ingwiller. Ils devraient durer jusqu’en 2023.
Il y a 3 ans et 265 jours

Présentation du projet QSE