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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 264 jours

Quatre pieds, 10.000 tonnes, 1001 films : la tour Eiffel, superstar de cinéma

Entre biopic de l'ingénieur Gustave Eiffel, interprété par Romain Duris, et drame sentimental autour de son histoire d'amour impossible avec une jeune fille de bonne famille (Emma McKay, révélation franco-britannique de "Sex Education"), le film suit la construction de l'icône de la Ville Lumière, à l'occasion de l'Exposition Universelle de 1889."J'avais envie d'offrir un grand spectacle épique au public", explique à l'AFP le réalisateur Martin Bourboulon, qui espère qu'après le film, les spectateurs "ne verront plus jamais la tour du même oeil". Une gageure, tant le monument a été filmé depuis sa construction.De Woody Allen aux films d'animation ("Ratatouille", "Les Aristochats"), en passant par une scène-clé d'"Inception" de Christopher Nolan, tournée sur le Pont de Bir-Hakeim, ou l'affiche de "Taxi 2", elle est partout au cinéma. Et séduit toujours, comme le prouve le clip de PNL, "Au DD", en équilibre sur les plateformes du dernier étage (plus de 190 millions de vues)."S'il y avait un droit à l'image pour la tour Eiffel, la mairie de Paris serait milliardaire", s'amuse Michel Gomez, qui dirige la mission cinéma de la capitale - en réalité, filmer la tour est gratuit, seuls les éclairages nocturnes sont protégés, précise-t-il.Sur son bureau, le flot de demandes de tournages incluant des plans de la tour, depuis le Pont Alexandre-III jusqu'au Champ de Mars, ne tarit jamais. Dernièrement encore, une équipe indonésienne, témoignant de l'intérêt des pays émergents.Cette passion remonte aux origines du cinéma, à la même époque que la construction du monument, retrace Stéphanie Salmon, de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, qui a collecté des objets d'antan, dont des lanternes magiques, objet qui a précédé le cinéma, représentant la tour Eiffel.Symbole d'une "ville moderne", le monument a eu ensuite "de nombreuses vies au cinéma", explique-t-elle à l'AFP: arrière-plan des comédies musicales romantiques américaines, mais aussi lieu de tournage de scènes-culte, comme l'escalade au-dessus du vide par le petit garçon de "Un Indien dans la Ville"..."Un peu de paresse"Au risque d'un trop-plein ? Cette profusion reflète "un peu de paresse" des réalisateurs, convient Philippe Lombard, qui a consacré plusieurs ouvrages au rapport entre le 7e art et la capitale, dont "Paris, 100 films de légende".Parmi les curiosités qu'il a recensées, la tour Eiffel des "Aristochats" qui change régulièrement d'emplacement au cours du dessin animé, celle de "La grande course autour du monde" de Blake Edwards (1965) qui s'écroule à la fin du film, ou encore le tournage acrobatique du premier film de René Clair, "Paris qui dort" (1924): l'équipe gravissait la tour à pied, faute de budget pour prendre l'ascenseur !"Spectaculaire", parfaite "pour des cascades ou des courses", de James Bond ("Dangereusement Vôtre" avec Roger Moore assistant à une évasion en parachute depuis le sommet) à "Rush Hour 3" avec Jackie Chan se battant sur les poutrelles, romantique et idéale pour des dialogues chantés ("Funny Face - Drôle de Frimousse" avec Fred Astaire et Audrey Hepburn dans l'ascenseur de la tour), le monument charme les réalisateurs étrangers...Elle a fasciné aussi les Français, comme François Truffaut, dont elle était "le monument préféré", souligne-t-il. L'icône de la Nouvelle Vague "a mis la tour Eiffel partout", du générique des "400 coups" jusqu'au bureau de Catherine Deneuve dans le "Dernier Métro".D'autres se plaisent au contraire à s'en détourner: elle trône sur l'affiche de "On connaît la chanson", d'Alain Resnais, mais sans apparaître dans le film, quand l'amoureux de Paris Cédric Klapisch préfère lui se concentrer sur d'autres quartiers.Un penchant que partage Jacques Audiard: "Les Olympiades", qui sort le 3 novembre, veut magnifier un quartier quasiment jamais filmé, celui des grands ensembles du XIIIe arrondissement. Même si la tour n'est jamais loin: fendant la brume, sa silhouette se devine au loin.
Il y a 3 ans et 264 jours

Et si la fenêtre était bien plus qu'une fenêtre

RÉFLEXION ARCHITECTURALE. Pendant le premier confinement, suite aux applaudissements à 20 heures, aux apéros balcons, aux soirées musicales, un trio d'architectes a eu l'idée et l'envie de réinventer la fenêtre et ses usages. Ils ont créé 60 projets originaux, ludiques et poétiques. Découverte et focus sur 5 d'entre eux.
Il y a 3 ans et 264 jours

Un débat sur les éoliennes tourne au vinaigre à l'Assemblée nationale

POLITIQUE. L'opposition en France autour des éoliennes ne cesse de croître. A l'Assemblée, un projet de loi a provoqué un débat houleux.
Il y a 3 ans et 264 jours

Le fonds friches tient ses promesses

599 friches ont bénéficié de 337 millions d’euros de subventions, à l’issue de la première édition du fonds d’Etat piloté par deux chefs d’orchestres : l’Agence de la transition écologique (Ademe) pour les anciens sites industriels, et les préfets de région pour les autres emprises éligibles. Mi-novembre, l’Etat dévoilera les lauréats de la seconde vague d’appels à projets, clôturée ce 8 octobre.
Il y a 3 ans et 264 jours

Agences d'architecture : l'accord sur l'égalité femmes-hommes est entré en vigueur

PROFESSION. Un arrêté a fait entrer en vigueur le 1er octobre 2021 l'accord relatif à l'égalité femmes-hommes, qui vise à atteindre l'égalité salariale et une représentation équilibrée dans les postes à responsabilités de toutes les entreprises d'architecture et de leurs instances représentatives. Cet accord constitue "une avancée pour les architectes", estime l'Ordre des architectes sur son site internet.
Il y a 3 ans et 264 jours

Travaux publics : un été bien morose

CONJONCTURE. La saison estivale 2021 n'aura pas été bonne pour le secteur des travaux publics, dont l'activité est restée bien en-dessous des niveaux de 2019 et de 2020.
Cimbat
Il y a 3 ans et 264 jours

La Motte-Servolex : édition 2021 du chantier international de jeunes bénévoles

L’aménagement d’un jardin intergénérationnel et des travaux de peinture ont été programmés.
Il y a 3 ans et 264 jours

Aix-les-Bains : renouvellement urbain du quartier Marlioz

Cette grande opération prend forme. Une maquette est visible à la maison du projet du quartier.
Il y a 3 ans et 264 jours

Béarn : mise en service d’une nouvelle centrale photovoltaïque

Dans le Béarn, l’inauguration de la nouvelle centrale solaire a eu lieu le 14 septembre 2021.
Il y a 3 ans et 264 jours

Grand Paris Express : recours rejeté des opposants à la ligne 17

JUSTICE. La cour administrative d'appel de Paris a rejeté, le 7 octobre 2021, le recours d'une dizaine d'associations de défense de l'environnement, demandant l'annulation de l'autorisation environnementale de la ligne 17, qui traversera notamment le Triangle de Gonesse.
Il y a 3 ans et 264 jours

Précy-sur-Oise : un nouveau terrain de foot pour les malvoyants

La ville de Précy-sur-Oise dispose désormais d’un terrain de cécifoot.
Il y a 3 ans et 264 jours

Hygiène : poignées de porte et de fenêtre antimicrobiennes SecuSan®

SecuSan® est la solution, éprouvée, testée et certifiée, permettant de soutenir des mesures d'hygiène dans les bâtiments publics ou privés.SecuSan® est un revêtement antimicrobien et antibactérien offrant une protection active contre la propagation de germes et bactéries sur la poignée :Réduit la croissance des germes jusqu'à 99%Contribue à mettre en place des normes d'hygiène élevéesConserve son efficacité sur le long termeRésiste durablement à l'usureNe nécessite aucun entretien particulierDisponible sur un large choix de poignées HOPPEComment ça fonctionne ?Le revêtement SecuSan® contient des ions d'argent qui sont incorporés dans une structure en vitrocéramique. Ils constituent le principe actif du revêtement et suppriment, de manière permanente, la croissance bactérienne et microbienne sur la poignée (tests indépendants réalisés en laboratoire ou in situ).Un large choixAvec une gamme qui s'est élargi en 2021, HOPPE propose désormais son revêtement SecuSan® sur 6 designs de poignées en aluminium et inox pour porte intérieure (rosaces et plaques), fenêtre mais également sur des poignées battantes et des sets pour portes coulissantes. À découvrir dans notre nouvelle brochure !Un savoir-faire reconnuLes poignées de porte SecuSan® répondent aux exigences de la norme EN 1906, catégorie d'utilisation grade 3, gage d'une résistance durable pour les bâtiments publics.Leur montage est simple et permet d'équiper les portes rapidement même en seconde pose (carré à montage rapide de HOPPE).Toutes les poignées SecuSan® bénéficient de 10 ans de garantie sur leur fonctionnement mécanique et sont fabriquées en Europe.Pour télécharger la brochure : cliquez ici
Il y a 3 ans et 264 jours

Photovoltaïque : l'arrêté exonérant d'appels d'offres certaines centrales est paru

DÉVELOPPEMENT. Attendu depuis longtemps par la filière, l'arrêté exonérant d'appels d'offres les centrales solaires de moins de 500 kilowatts a été signé par la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili. Une décision qui devrait dynamiser le photovoltaïque, alors que la puissance totale du parc électrique renouvelable a encore progressé, fin juin, de 6% sur un an.
Il y a 3 ans et 264 jours

Le marché des matériaux de construction revient à des niveaux d'activité d'avant crise

Cette “normalisation” des tendances, en partie liée à l'atténuation des effets de base, est commune à bon nombre de matériaux et s'accompagne d'un contexte conjoncturel qui demeure porteur. Côté Bâtiment, les carnets de commandes dans le gros œuvre affichent toujours des niveaux très élevés (9,5 mois) même si les contraintes d'approvisionnement pèsent sur le bon déroulement des chantiers. La confiance des professionnels du secteur reste de mise en ce début d'automne, y compris dans TP, bien que le niveau des prises de commandes soit encore poussif. Mais les carnets actuels devraient encore alimenter l'activité de la fin 2021 et d'une partie de 2022.Atterrissage des tendancesD'après les premiers résultats des enquêtes mensuelles, la production de granulats se serait redressée entre juillet et août (+3,3%) mais serait en repli par rapport à août 2020 et août 2019 (-4,3% et -1% respectivement, données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus, la tendance se contracte de -4,2% par rapport au trimestre précédent, une baisse plus modérée si on ramène la comparaison à la même période de 2020 (-2,7%) et de 2019 (-2%). Le jeu des effets de base se régule peu à peu et la progression du cumul sur les huit premiers mois de l'année revient à +15,5%, au regard de 2020 (+9,4% en cumul sur les douze derniers mois). Ces évolutions sont en fait le reflet d'un retour des volumes d'activité aux niveaux d'avant crise (-0,2% et -0,5% en progressions respectives par rapport à 2019). Côté BPE, les constats diffèrent peu. En recul de -3,4% sur juillet, les livraisons de BPE ont cédé -13,1% par rapport à août 2020 et -3,2% sur août 2019 (données CVS-CJO). Sur les trois mois allant de juin à août, les cubages ont perdu -6,3% au regard des trois mois précédents et -7,7% comparé à ceux de l'an passé. Pour autant, ils n'affichent qu'un repli de -2% sur la même période de 2019. Au total, pour les huit premiers mois de 2021, l'activité BPE affiche une hausse de +16,6% et de +11,9% en cumul sur douze mois. Ces progressions masquent toutefois un très léger repli des niveaux d'activité en référence à 2019 (-1,2% sur huit mois et -1,4% sur douze mois). Notre indicateur matériaux décrit les mêmes freinages : après un rebond de +25,1% sur un an au premier semestre 2021 (CJO), le rythme d'activité reviendrait à +14,8% sur huit mois soit un niveau encore un peu supérieur à celui constaté sur la même période de 2019 (+1,2%).Bâtiment : une offre contrainteInterrogés en septembre par l'INSEE, les professionnels du bâtiment gardent confiance dans leur activité future et leurs carnets de commandes, les soldes d'opinion correspondants continuant de grimper, surplombant leur moyenne de long terme. Dans le même temps, leur opinion sur l'activité passé s'effrite un peu, et ce, bien que les capacités de production frôlent leur taux d'utilisation maximal (93,2% contre 87,9% en moyenne). Le maintient de tensions élevées dans le recrutement et l'approvisionnement peuvent expliquer cette érosion, plus de la moitié des entreprises du gros oeuvre (55,9%) ne pouvant produire plus, faute de personnel (pour 68% d'entre eux) ou faute de disponibilité de certains matériaux (pour 14,5% des entrepreneurs du bâtiment). Côté construction neuve, s'il est vrai que le segment du non-résidentiel peine à se relever du choc sanitaire (avec des mises en chantier qui, en cumul à fin août, sont encore -12,3% sous leur niveau des huit premiers mois de 2019, et des autorisations à -14,2%), l'activité côté résidentiel s'est quant à elle nettement raffermie. En effet, à fin août et en cumul depuis janvier, les mises en chantier dépassaient de 3,4% leur niveau de 2019 (+16,8% au regard de 2020), un constat valable dans le collectif (+4,9% comparé à 2019 et +17% comparé à 2020) comme dans l'individuel (+1,5% et +16,5% respectivement). Cette dynamique pourrait perdurer dans les mois à venir, notamment dans l'individuel si l'on en croit les dernières données sur les permis. Ainsi, sur les huit mois de 2021, les autorisations de logements grimpaient de +26,9% sur un an (+4,5% comparé à 2019), dont +36,1% dans l'individuel (+17,3%). Dans le collectif, les difficultés structurelles qui pèsent sur l'offre (pénurie de foncier, freins locaux, procédures d'urbanisme, acceptabilité sociale en zone tendue…) freinent le rebond des projets. Ainsi, les permis, en hausse de +19,9% sur un an au cours des huit premiers mois de 2020 restent en dessous des niveaux de 2019 (-4,5%), et ce, en dépit d'un besoin pérenne en logements neufs et de conditions financières qui sont historiquement attractives. Ce constat, qui rejoint les premières conclusions du Rapport Rebsamen (1er tome remis le 22 septembre) a conduit le Premier ministre à s'engager sur des pistes de relance de la construction neuve en zone tendue. L'annonce de la prise en charge par l'Etat de l'exonération de la taxe foncière des bailleurs sociaux pourrait inciter les maires (jusqu'ici privés de ces ressources fiscales) à délivrer plus de permis.De même le recentrage du Plan de relance sur des « contrats locaux » entre Etat et collectivités (175 millions d'euros) pourrait favoriser la construction de logements collectifs en zone tendue tandis que la mobilisation du foncier public (via le fonds friche du Plan de relance dont l'affectation sera priorisée sur la création de logements) devrait permettre la construction de 21 000 logements dès 2022 et 50 000 autres dans les années à venir selon Matignon.Prochainement inscrites dans le PLF2022, ces mesures devraient soutenir le secteur locatif social et lever certains freins à la construction de logements dans les grandes agglomérations. Enfin, côté travaux publics, la concrétisation du Plan de relance en investissements est toujours attendue. Après le rebond du premier semestre lié à l'achèvement de chantiers en cours et/ou stockés pendant la pandémie, les carnets peinent encore à se regarnir. Pour autant, les entrepreneurs demeurent plutôt optimistes sur leur activité future.Perspectives 2021-2022Les tensions d'approvisionnement devraient encore peser sur l'activité en cette fin d'année, la demande restant solide dans le bâtiment et plus modérée dans les TP. En dépit d'un second semestre en repli, la production de granulats de 2021 serait 9% supérieure à celle de 2020 mais proche de celle de 2019 (-0,5%, données brutes). Côté BPE, les livraisons gagneraient elles aussi +7,5% par rapport à 2020, mais seraient inférieures de -1,5% à celles de 2019. Le niveau actuel des carnets dans le gros oeuvre, freiné dans leur réalisation par les difficultés d'offre, permettrait au moins de stabiliser l'activité BPE en 2022 tandis que le réveil graduel de la demande publique et privée, côté TP, ainsi que la mise en place des projets du Plan de relance, pourraient soutenir un peu plus l'activité granulats.
Il y a 3 ans et 264 jours

Construction modulaire : Cyme vers un premier sommet

Née au sortir du confinement en 2020, la jeune entreprise se lance dans la construction industrialisée à ossature bois avec un projet pilote de résidence étudiante à Bourges, qui sera livré en mai prochain.
Il y a 3 ans et 264 jours

Appel à manifestation d’intérêt : le renouveau d’une gare, à Massy

PariSudam offre une nouvelle vie à une ancienne gare art déco de Massy (Essonne) bâtie en 1930. Appel à manifestation d’intérêt. Jusqu’au 29 novembre 2021. Dans les années 90, la gastronomie semblait avoir tout dit et cherchait un nouveau modèle, plus joyeux, vivant, retrouvant le bon et le simple : l’ère de la bistronomie était […] L’article Appel à manifestation d’intérêt : le renouveau d’une gare, à Massy est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 264 jours

Les notaires lancent un service d'information juridique téléphonique

AIDE. Pour mieux accompagner les particuliers, le Conseil supérieur du notariat déploie un nouveau service à l'échelle nationale.
Il y a 3 ans et 264 jours

Amélie Quidor, DRH de Bouygues Construction

Amélie Quidor est nommée directrice des ressources humaines de Bouygues Construction fin 2021. Elle intègre, à ce titre, le comité exécutif de l'entreprise.
GDA
Il y a 3 ans et 264 jours

Les égouts du centre ancien de Chambéry seront réhabilités d’ici novembre 2022

Les travaux de réhabilitation des collecteurs d’assainissement dans le centre ancien de Chambéry devraient s’étaler jusqu’en novembre 2022.
Il y a 3 ans et 264 jours

La Roche-sur-Yon : le tribunal judiciaire s’offre une nouvelle jeunesse

Les locaux du tribunal judiciaire de La Roche-sur-Yon ont été rénovés et réagencés.
Il y a 3 ans et 264 jours

Chantilly : restauration de l’église Notre-Dame-de-l’Assomption

Réhabilitée après trois ans de travaux, l’église Notre-Dame-de-l’Assomption restaurée a été présentée lors des Journées européennes du patrimoine, du 17 au 19 septembre 2021.
Il y a 3 ans et 264 jours

Val-d’Oise : une enveloppe de 7,9 M€ pour la suppression du passage à niveau de Deuil-Montmagny

Le Département du Val-d’Oise a investi une somme de 7,9 M€ dans le projet de suppression du PN4.
Il y a 3 ans et 264 jours

Cannes : la chapelle Saint-Cassien sera rénovée en avril 2022

La Ville de Cannes va lancer la rénovation de la chapelle Saint-Cassien. L’opération s’étalera jusqu’en avril 2022.
Il y a 3 ans et 264 jours

Avignon : circulation améliorée sur le giratoire de Réalpanier ainsi qu’au carrefour de l’avenue de l’Amandier et de la rue Claude-Chabrol

À Avignon, des aménagements ont été réalisés au niveau du carrefour de Réalpanier et à l’intersection de l’avenue de l’Amandier et de la rue Claude-Chabrol.
Il y a 3 ans et 264 jours

Cergy : rénovation énergétique de l’École Nationale Supérieure de l’Électronique et des Applications

Les bâtiments de l’École Nationale Supérieure de l’Électronique et des Applications (ENSEA) font l’objet de travaux de rénovation thermique pour réduire leur facture énergétique.
Il y a 3 ans et 264 jours

Ustaritz : le pont d’Arrauntz a été détruit pour être reconstruit

À Ustaritz, les travaux sur le pont d’Arrauntz ont commencé le 1er octobre 2021. Un passage à 2 x 2 voies est envisagé en 2023.
Il y a 3 ans et 264 jours

La plaque de plâtre à horizon 2030 : légère, recyclée, démontable et décarbonnée

Les plaques de plâtre, toutes à base de matière recyclée, s’allègeront pour répondre aux exigences bas carbone selon Placo-Saint-Gobain qui dévoile sa feuille de route 2030.
Il y a 3 ans et 264 jours

Bornes de recharge aux Antilles : feu vert à la création d'une entreprise commune

L'Autorité de la concurrence a donné son feu vert à la création d'une entreprise commune de bornes de recharge publiques aux Antilles et en Guyane.
Il y a 3 ans et 264 jours

Prolongement du RER E : le coût du projet Eole grimpe encore

GRAND PARIS. Le chantier de prolongement du RER E vers l'ouest, dont les travaux sont en cours au coeur de Paris, pourrait coûter entre 30 et 50% de plus que son budget initial. Les pouvoirs publics locaux s'étranglent, tandis que SNCF Réseau, maître d'ouvrage, tente d'expliquer les raisons externes et techniques engendrant la hausse significative du coût du projet.
Il y a 3 ans et 264 jours

L'Insee anticipe une nette baisse du taux de chômage dès l'automne

Dans une note de conjoncture, l'Institut national de la statistique souligne que "le fort rebond de l'emploi en milieu d'année se traduirait par une baisse du chômage, qui passerait de 8% en moyenne au deuxième trimestre à 7,6% aux troisième et quatrième trimestres".Le taux de chômage se retrouverait ainsi à "quasiment un point de moins que deux ans plus tôt", avant la crise du Covid-19 (8,5% au 3e trimestre 2019), note l'Insee. Ces prévisions doivent encore se confirmer, les résultats pour le 3e trimestre étant attendus le 19 novembre.Dans sa précédente note de conjoncture en juillet, l'Institut prévoyait une quasi-stabilité du taux de chômage, à 8,2% fin 2021, après 8,1% en début d'année."On s'attend sur le marché du travail à une nette baisse du taux de chômage dès l'automne, dès le troisième trimestre, car il y a un fort rebond de l'emploi salarié", a souligné Julien Pouget, chef du département de la conjoncture à l'Insee lors d'une conférence de presse. Le taux de chômage, "au fond, retrouverait son rythme tendanciel de baisse observé avant la crise", a-t-il ajouté.Dans sa note, l'Institut souligne que "l'onde de choc" liée à la crise sanitaire du Covid-19 a été "très amortie s'agissant du marché du travail", l'emploi salarié ayant dépassé son niveau d'avant-crise dès le deuxième trimestre 2021."Le rythme des créations ralentirait quelque peu d'ici la fin de l'année, mais au total, environ 500.000 créations nettes d'emplois salariés succéderaient aux quelque 300.000 destructions nettes enregistrées en 2020", souligne l'Insee.L'inflation toujours élevéeOlivier Simon, chef de la division Synthèse conjoncturelle a relevé lors de la conférence de presse que la progression de l'emploi a été "surtout portée par le secteur tertiaire marchand (restauration, commerces, loisirs, etc)", fortement touché par les restrictions sanitaires."Au second semestre, le rythme de progression sera beaucoup plus modéré", a-t-il ajouté, avec quelque 76.000 emplois salariés créés entre fin juin et fin décembre (+56.000 au 3e trimestre et +20.000 au 4e).Dans le même temps, l'activité économique "retrouverait globalement - mais sans le dépasser contrairement à l'emploi - son niveau d'avant crise d'ici la fin de l'année, poursuit l'Insee, qui maintient sa prévision de croissance pour 2021 inchangée à 6,25% (après -8% en 2020).Quant à l'inflation, qui inquiète de plus en plus les ménages et le gouvernement à six mois de l'élection présidentielle, elle devrait rester "un peu supérieure à 2% jusqu'en décembre", en raison principalement de la hausse des prix de l'énergie, selon l'Insee.La hausse des prix "atteindrait 2,3% en octobre puis refluerait légèrement (2,1% prévu en décembre), sous l'hypothèse conventionnelle d'un prix du pétrole fixé à 75 dollars le baril de Brent et d'une stabilité des autres cours de matières premières", ajoute l'Institut."La principale raison, ce sont les prix de l'énergie qui reflètent la hausse du prix du pétrole, qui se transmet de façon quasi immédiate sur les prix à la consommation", a résumé Olivier Simon.Moins optimiste, le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux a estimé sur LCI mercredi que l'inflation pourrait être "plus forte" que 2%, évoquant une inflation supérieure à 4% aux Etats-Unis et en Allemagne."Aujourd'hui, les augmentations de prix (...) ne sont pas encore passées dans les prix finaux", prévient-il.Concernant la consommation des ménages, l'Insee estime qu'elle devrait retrouver "tout juste, en fin d'année, son niveau de deux ans auparavant", avec +4% au troisième trimestre puis +1,5% au quatrième, soit une évolution annelle de 4,1% en 2021, après une chute de 7,2% en 2020.L'Insee précise que les prévisions présentées dans sa note de conjoncture sont réalisées en faisant l'hypothèse d'absence de nouvelles restrictions sanitaires, "mais aussi de nouvelle aggravation des tensions sur l'offre".
Il y a 3 ans et 264 jours

Chantier du RER E : Valérie Pécresse dénonce un surcoût de 1,7 milliard d'euros

Selon une source proche du dossier, la SNCF a annoncé ce dépassement mercredi 6 octobre lors d’une réunion technique avec la Ville de Paris, demandant 800 millions d’euros supplémentaires pour le premier tronçon (un tunnel reliant Paris Haussmann et Nanterre), dont 500 millions avant le 31 décembre 2021.
Il y a 3 ans et 264 jours

Sophie Doré : Les pieds dans le béton

Sophie Doré sillonne le Grand-Est avec son nouveau Arocs 3240 8×4 d’une puissance de 290 kW/396 ch [©Mercedes-Benz Trucks France] Sophie Doré travaille sur toute la région du Grand-Est, ainsi que sur une partie de la Bourgogne. Son rôle ? Ravitailler les chantiers avec l’aide de ses camions, tous carrossés en toupie à béton, dont le Arocs 3240 8×4 d’une puissance de 290 kW/396 ch. Passionnée par son métier, elle y a été bercée dès son enfance. « Les camions ? Je suis née dedans ! J’ai commencé comme assistante de mon père qui avait une entreprise de terrassement. » Tel père, telle fille : quand il a pris sa retraite, elle n’a pas hésité à reprendre le flambeau. A la tête des Terrassements de Champagne, maintenant spécialisé dans le béton, Sophie Doré exerce sa fonction depuis 10 ans, pour le plus grand bonheur des compagnons sur les chantiers. « Sur les chantiers, les gens sont contents de me voir : je suis pour eux un rayon de soleil ! ».  A la conquête du Grand-Est Le quotidien de la jeune femme n’est pourtant pas de tout repos. En effet, son métier se divise en 2 parties. D’un côté, elle ravitaille les chantiers avec ses camions, avec 4 chauffeurs sous sa direction. Qu’elle sait remplacer lorsqu’ils ne sont pas disponibles. D’un autre, Sophie Doré gère les contrats de ses clients. Clients qui ont d’ailleurs augmenté avec la campagne de communication de Mercedes-Benz Trucks France. Lire aussi : Haute-Saône : Une année de développement durable pour LD Contrôles « Mettre en avant Sophie Doré lui a fait gagner en visibilité, explique Olivier Amélineau, responsable presse et relations publiques de Mercedes-Benz France. Nos publications sur les réseaux sociaux lui ont permis de récupérer une belle liste de contacts. » La marque a voulu mettre en lumière les femmes dans un milieu où les hommes sont plus nombreux. Elle propose des formations gratuites pour montrer les spécificités de ses véhicules. Ainsi, Sophie Doré sillonne les routes de France, à la conquête du Grand-Est.
Il y a 3 ans et 264 jours

Ouverture du Pavillon des Pays-Bas à l'Expo de Dubaï, alimenté en énergie grâce aux puits de lumière Asca

Un biotope autonome en énergie surmonté d’une couverture solaire design et sur-mesureVéritable biotope doté de son propre système climatique, le Pavillon des Pays-Bas produit de l’eau, de l’énergie et de la nourriture à l’aide d’innovations durables comprenant notamment une ferme verticale. Ce monde miniature est alimenté en énergie propre grâce à une couverture solaire conçue par le studio de design Marjan van Aubel. Au coeur de cette verrière aux motifs et aux couleurs uniques : le film OPV (photovoltaïque organique) ASCA®, qui grâce à sa semi-transparence laisse la lumière se refléter pleinement à l’intérieur du Pavillon afin d’offrir aux visiteurs une expérience immersive.« La liberté de design et de couleurs qu’offrent les solutions OPV ASCA® nous a permis de donner réellement vie à la structure en créant des puits de lumière au puissant effet moiré. Au-delà de fournir de l’énergie, cette installation prouve que ces modules solaires sont de formidables mediums artistiques » commente Marjan van Aubel.Un concept récompenséÀ l’occasion des Big 5 Construction Impact Awards qui se sont déroulés en septembre, le Pavillon des Pays-Bas (en collaboration avec Expomobilia, V8 Architects, Dutch Dubaï et bien d’autres) remporte le trophée du « Projet de Construction Durable » de l’année 2021. The Big 5 Impact Awards est une plateforme émiratie qui récompense chaque année les réalisations les plus innovantes en matière de développement durable et de technologie du secteur de la construction. Ce trophée vient récompenser l’approche durable placée au coeur du projet de construction du Pavillon, conçu à partir de matériaux loués localement, réutilisables, recyclables ou biodégradables afin de réduire au maximum l’empreinte environnementale du bâtiment. Ainsi, et compte tenu de la grande légèreté des solutions solaires ASCA®, celles-ci pourront être facilement démontées, transportées et réutilisées après l’Expo.
Il y a 3 ans et 264 jours

A Saint-Maixent-l’Ecole, UNIK : Vincent Lavergne fera-t-il école?

Construction industrialisée : la première opération d’hébergement Unik de Bouygues Bâtiment France Europe pour le ministère des Armées va voir le jour à Saint-Maixent-l’Ecole (Deux-Sèvres). Livraison prévu 2023. Vincent Lavergne Architecture Urbanisme (VLAU) est l’architecte d’un projet national de 46 opérations pour 120 000 m². Communiqué du constructeur. Bouygues Bâtiment France Europe et le Service d’infrastructure […] L’article A Saint-Maixent-l’Ecole, UNIK : Vincent Lavergne fera-t-il école? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 264 jours

Béziers ouest : une nouvelle phase dans le projet d’aménagement d’une aire de covoiturage

Une convention de financement pour la nouvelle aire de covoiturage de Béziers vient d’être signée.
Il y a 3 ans et 264 jours

Robinetterie sanitaire : un classement ECAU plus lisible

Photo : AdobeStockLa nouvelle étiquette de classement ECAU de la robinetterie sanitaire permet de choisir en un coup d'œil le produit adapté à chaque usage. C'est une aide tant pour les prescripteurs des produits que pour le grand public qui souhaite choisir un produit aux performances réellement adaptées à ses besoins. L'offre de robinetterie sanitaire est très large et variée. Les produits sont de plus en plus techniques et présentent des performances différentes en fonction de l'usage qui en sera fait, sur un évier, un lavabo, un bidet, une douche ou une baignoire. Il est difficile de faire son choix. Laurent Rousseau, Responsable de la certification pour la robinetterie sanitaire au CSTB Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 264 jours

Clamart : une enveloppe de 100 M€ pour la modernisation de l’hôpital Percy

L’hôpital Percy fait l’objet d’un vaste chantier de modernisation. La Ville de Clamart a décidé de s’investir dans ce projet.
Il y a 3 ans et 264 jours

La Roche-sur-Yon : le collège public Renoir va être complètement reconstruit

La réhabilitation du collège public Renoir de La Roche-sur-Yon a été annoncée. Il sera entièrement reconstruit.
Il y a 3 ans et 264 jours

Immobilier : feu vert pour le PTZ, feu orange pour le "Pinel+"

RÉACTIONS. Plusieurs acteurs du secteur de l'immobilier ont réagi, à la suite de l'annonce, par la ministre déléguée au Logement Emmanuelle Wargon, de la prolongation du PTZ et du Pinel.
Il y a 3 ans et 264 jours

Dossier détails : toitures praticables

    Toitures-terrasses et toitures à pente recouvrent, protègent et caractérisent les édifices, voire comme à Chambord, subliment l'architecture. Quand l'espace urbain se fait rare et coûteux, les toitures, outrepassant leurs fonctions techniques, peuvent aussi devenir un sol, un espace de vie et d'expression où la ville […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 264 jours

Alain Griset, ministre délégué chargé des PME : « J’espère l’unanimité au Parlement sur le plan pour les indépendants »

Le ministre délégué auprès du ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance, chargé des Petites et Moyennes Entreprises Alain Griset détaille la philosophie du plan pour les indépendants annoncé par le président mi-septembre.