Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255274 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 350 jours

L'Etat vole au secours de l'éolien et fait réaliser une cartographie des sites adaptés

RENOUVELABLES. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, vient d'intervenir pour défendre l'éolien terrestre, et a annoncé le lancement d'un travail de cartographie des territoires adaptés à son implantation.
Il y a 3 ans et 350 jours

La Charlotte confie à Portakabin la construction de sa boutique-usine éphémère

Le standing des installations ALTA® au service du commerce haut-de-gammeLa société La Charlotte, reconnue sur le marché des pâtisseries et glaces haut-de-gamme, produit des gâteaux artisanaux au sein de son usine de 9000 m² située à Hesdin-Labbé dans le Nord de la France. C'est dans l'optique de commercialiser ses produits via une boutique-usine éphémère que La Charlotte a souhaité faire appel à Portakabin pour ces travaux.Il aura fallu moins de trois heures aux équipes Portakabin pour monter de toutes pièces le magasin de 50 m² juxtaposant les centres industriels de la société de desserts. 4 bâtiments ALTA® en rez-de-chaussée avec une hauteur de plafond de 2 mètres 75 accueilleront pendant les 6 prochains mois les clients de la société pour leurs achats. Les spécificités techniques des bâtiments Portakabin ALTA® ont rendu possible l'intégration d'un système de climatisation indispensable à la bonne conservation des produits.Les grandes fenêtres et ouvertures ainsi que l'éclairage LED ont été un critère de choix déterminants car ils offrent la possibilité de créer un environnement de vente agréable et esthétique. Les normes de sécurité inhérentes aux bâtiments ALTA® ont quant à elles constitué l'avantage concurrentiel majeur pour La Charlotte dans le cadre de cette collaboration :« Lorsque nous avons imaginé notre boutique-usine éphémère, nous avons souhaité pouvoir l'intégrer complètement à notre site de production d'Hesdin-Labbé. Construire une installation aussi proche d'une usine implique un haut niveau de sécurité et c'est grâce à la résistance au feu de 60 minutes de la gamme de bâtiments ALTA® que les assureurs ont accepté une telle proximité. » - Gilles Ponchel, Directeur Industriel de La Charlotte« Nous sommes ravis que l'aboutissement technique de notre nouvelle gamme de bâtiments ALTA® permette de répondre aux enjeux et besoins d'entreprises telle que La Charlotte, dont l'activité nécessite des infrastructures haut-de-gamme. C'est une nouvelle preuve de la capacité d'innovation et d'adaptabilité de nos équipes et de nos produits. » - Cyril Petit-Masquelier, Président de Portakabin France
Il y a 3 ans et 350 jours

Nailloux : le centre d’exploitation routier du conseil départemental de la Haute-Garonne changera bientôt d’adresse

Le conseil départemental de la Haute-Garonne mettra en service son futur centre d’exploitation routier en octobre 2022.
Il y a 3 ans et 350 jours

Brignoles : le nouveau quartier du Pôle Liberté se construit

La Ville de Brignoles vient de donner le coup d’envoi de la construction des îlots 1 et 2 du Pôle Liberté.
Il y a 3 ans et 350 jours

Montjoire : aménagement d’un carrefour giratoire sur les RD 61 et RD 30

Un carrefour giratoire verra prochainement le jour à l’intersection des routes départementales no 30 et no 61, sur la commune de Montjoire.
Il y a 3 ans et 350 jours

A Venise, BIT.BIO.BOT : biotechnologie, par ecoLogicStudio

Invités à la 17ème Biennale d’architecture de Venise, Claudia Pasquero et Marco Poletto, fondateurs d’ecoLogicStudio, avec le Synthetic Landscape Lab de l’Université d’Innsbruck et l’Urban Morphogenesis Lab de la Bartlett UCL, proposent BIT.BIO.BOT : une habitation prototype et expérience collective dans l’architecture biotechnologique. Communiqué. A la Corderie de l’Arsenal, le studio présente BIT.BIO.BOT, une installation […] L’article A Venise, BIT.BIO.BOT : biotechnologie, par ecoLogicStudio est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Cimbat
Il y a 3 ans et 350 jours

Herblay-sur-Seine : la Ville lance un appel aux dons pour restaurer l’église Saint-Martin

La Ville d’Herblay-sur-Seine envisage des restaurations dans l’église Saint-Martin. Elle a lancé un appel aux dons pour financer le futur chantier.
Il y a 3 ans et 350 jours

Projet d’équipement socioculturel du Douze à Cergy : les travaux continuent

Les travaux du futur équipement socioculturel, Le Douze, dans le quartier de l’Axe Majeur-Horloge, à Cergy, se poursuivent. Ils entrent actuellement dans leur deuxième phase.
Il y a 3 ans et 350 jours

Pau : le parc accolé à la salle des Anglais transformé en petit jardin public

Un square est en cours d’aménagement dans le parc attenant à la salle des Anglais, à Pau.
Il y a 3 ans et 350 jours

Pas besoin de préjudice pour interdire l'accès à sa propriété

La Cour de cassation a rappelé ce principe à l'occasion d'un procès lié à l'usage d'un chemin en soulignant que le droit du propriétaire d'en interdire l'accès n'est pas subordonné à l'existence d'un préjudice.A la suite de l'urbanisation d'une zone avec des pavillons dispersés, plusieurs habitants se jugeaient enclavés et, pour remédier à cette situation, avaient conclu un accord avec un propriétaire voisin afin de traverser son terrain et de rejoindre ainsi un chemin qui donnait accès à une rue.Mais ce chemin était un "chemin d'exploitation", c'est-à-dire d'un chemin privé, créé pour desservir diverses parcelles et appartenant à tous les propriétaires qui en étaient riverains. L'un d'eux contestait donc qu'un autre propriétaire ait pu autoriser des non-riverains à l'utiliser.L'usage du chemin ne crée aucun dommage, la preuve en est que l'un de ses propriétaires a autorisé plusieurs habitants à l'utiliser et que le contestataire ne fournit aucune preuve d'un préjudice, plaidaient les utilisateurs du chemin. De plus, disaient-ils, les autres riverains propriétaires du chemin, n'ont pas émis de contestation.Il n'en demeure pas moins, a tranché la Cour de cassation, que le propriétaire d'un chemin privé comme un chemin d'exploitation a le droit d'en interdire l'usage sans avoir à prouver que cela lui provoquerait un préjudice.(Cass. CIv 3, 8.4.2021, B 20-15.192).
Il y a 3 ans et 350 jours

Balcon effondré à Angers: pas d'enquête complémentaire sur un défaut d'entretien

La cour d'appel d'Angers a rejeté une demande d'enquête complémentaire sur un défaut d'entretien du balcon effondré le 15 octobre 2016 à Angers, occasionnant la mort de quatre jeunes.
Il y a 3 ans et 350 jours

E+N - Portrait

Fondée dès 1958 par Inger et Johannes Exner, l'agence danoise E+N est reconnue pour son aptitude à intervenir en site sensible : patrimonial ou environnemental. Au tournant des années 2000, elle était également réputée pour ses conceptions d'églises. L'acronyme E+N, inspiré par Existing+New, révèle les […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 350 jours

Un blanc brillant signé Parexlanko

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le programme Felix Eboué s’est habillé d’une solution à base de chaux aérienne développée pour l’occasion par Parexlanko. [©Parexlanko] PARIS. Le programme Félix Eboué, sur la place du même nom, à Paris, accueillera 104 logements, dont 47 sociaux. Avec en plus, des commerces, une terrasse partagée sur le toit et un amphithéâtre dans le jardin. Imaginé par le cabinet Baumschlager Eberle Architekten, l’ensemble propose une signature architecturale en harmonie avec la dynamique du quartier. A savoir, une façade aux courbes douces, élégantes, blanches et brillantes. Pour répondre au cahier des charges, Parexlanko a proposé un badigeon stuqué à base de chaux aérienne. Et ce, pour une meilleure durabilité dans le temps. Celle-ci ayant la particularité de carbonater et de durcir comme la pierre, au contact de l’air.  Lire aussi :Retrouvez toute l’actualité En Région « Le badigeon devient de plus en plus résistant avec le temps et la finesse de son grain offre une belle surface soignée, explique Anne Speicher, architecte associée du cabinet Baumschlager Eberle Architekten. Son aspect présente un aplat lumineux quelque peu vibrant, voire poétique». Pour offrir une brillance parfaite, cette solution nécessite un réel savoir-faire. Une qualité que la maîtrise d’ouvrage du projet a su trouver auprès d’Antunes, entreprise de mise en œuvre. Une première couche de 5 mm d’enduit d’interposition (Parinter Renovation) a été appliquée pour gommer les aspérités du béton banché. Puis, deux premières couches de Calcilane Fond ont été réalisées à la spatule. Et pour terminer l’opération par deux autres couches de finition Calcilane Badigeon. Afin d’obtenir le résultat escompté, les applicateurs ont dû respecter les consignes de Parexlanko à la lettre. En observant le temps de séchage en deux couches. Au total, ce système se compose de 5 couches : 1 couche d’enduit d’interposition et 4 couches de badigeon. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Pigmentation des bétons : L’émotion de la couleur

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine La teinte rouge des bétons de ce stade de tennis, à Paris, renvoie à la couleur des briques utilisées pour la construction des immeubles bordant les boulevards des Maréchaux. [©ACPresse] Certaines villes ont un charme fou. Soit grâce à leur unité architecturale, comme Paris, Venise ou New York. Soit grâce à leur unité “matériale“, celle apportée par les matériaux de construction utilisés. Telle la brique pour Ferrare (Italie) et Patan (Népal). Tels les colombages pour Dinan ou Ochsenfurt (Allemagne). Tel le grès des Vosges pour Strasbourg…  Si l’unité architecturale d’une ville est le plus souvent difficile à réaliser ou même à reconstruire, compte tenu des aléas de l’Histoire, ceci n’est pas vrai de l’unité “matériale”. Cette dernière est accessible partout, et au moindre coût, grâce au béton. Ce matériau est si facile à teinter… Aujourd’hui, il existe des “chartes locales de pigmentation” des bétons. Les ouvrages significatifs doivent les respecter. La coloration est opérée avec des pigments qui correspondent aux sources géologiques locales des granulats. Celles-là même dans lesquelles les Anciens ont puisé pour construire les premiers ouvrages de la ville et qui lui ont donné sa “couleur” originelle. Et dont les monuments – ceux qui sont en pierre de taille – portent l’empreinte et la teinte. Issue de la même origine, de la même roche En même temps, ces pigments complètent la performance des constructions en termes de durabilité, puisqu’un béton ainsi teinté n’a pas besoin d’être ravalé (tout au plus nettoyé). Il faut aussi avoir à l’esprit que le principal secret des bétons modernes se situe dans la continuité de la distribution granulaire. Autrement dit, ces bétons doivent contenir une petite partie de particules fines. Particules qui donnent sa couleur au béton. Du coup, les matériaux retrouvent une logique locale, qui associe à la fois la dimension culturelle – l’histoire – et écologique. Pour ce second cas, ils cumulent la réduction du coût du transport et de l’empreinte carbone qui y est liée. De quoi calmer certains opposants, puisqu’une telle utilisation permet aussi bien de relancer l’emploi dans une région, que de justifier la réouverture de certaines carrières locales pour la bonne cause. En effet, pour encore mieux marier les nouvelles constructions avec les ouvrages en pierre qui existent dans la ville, la meilleure solution est d’utiliser une poudre fine issue de la même origine, de la même roche, de la même carrière. De quoi permettre l’utilisation de produits fins, souvent délaissés.  En reprenant la coloration des pierres locales, le béton “disparaît” pour s’intégrer en totalité dans son environnement immédiat. [©ACPresse] Savoir jouer sur les textures pour nuancer les teintes Comme le rappelle le designer coloriste Jean-Philippe Lenclos, dans une interview accordée au site bybeton.fr : « Le rendu de la peau du bâtiment est plus valorisant, lorsqu’on teint le béton dans sa masse ». L’homme travaille sur la couleur depuis 1959 et a enseigné l’école des Arts décoratifs de Paris. La Corée du Sud lui a demandé de définir une charte couleur d’une ville nouvelle proche de Séoul. La Chine a utilisé son concept de “Géographie de la couleur” pour de nombreuses villes, dont Canton, Hanghzou et Pékin…  Un autre moyen de marier le béton et la pierre de taille est d’utiliser les diverses techniques de traitement de surface disponibles. On peut parler de sablage, de bouchardage, de désactivation, solutions très populaires pour les sols des espaces piétonniers, des places de village. Ces traitements permettent aussi de jouer sur la perception des teintes, donc de multiplier les nuances des bétons, d’en sortir du champ chromatique choisi ou imposé. La beauté vient de l’émotion. Et l’ancrage dans le local est un émoi profond, pour les autochtones comme pour les visiteurs occasionnels que sont les touristes. Après tout, ne viennent-ils pas découvrir une ville, un village pour ressentir cette émotion ?   1https://bybeton.fr/jean-philippe-lenclos-donner-des-couleurs-au-beton-des-villes Retrouvez l’ensemble du dossier : Que seront les bétons de demain ? Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 94
Il y a 3 ans et 350 jours

Cerc : Occitanie et Paca subissent la crise

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Les régions Occitanie et Paca sont le reflet de ce qui se passe au plan national, d’un point de vue économique… [©ACPresse] OCCITANIE – PACA. D’une manière générale, l’économie des régions Occitanie et Provence – Alpes -Côte d’Azur suit le même mouvement que l’économie nationale. Notamment en matière de perspectives du bâtiment. Ainsi sur une évolution de douze mois, les permis de construire des logements sont en recul en avril de – 17,4 % sur le plan national, selon le Cerc. L’Occitanie est à -16,4 %, alors que la région Paca est dans une situation quasi-critique, avec un recul de – 27,4 % ! L’évolution est encore plus compliquée sur le marché des locaux, puisque si la baisse des autorisations est de – 20,6 % en France, elle atteint le seuil record de – 35,3 % en Paca. Mais de – 17,6 % en Occitanie.  Dans un contexte de pandémie mondiale L’impression est la même pour la production de matériaux. Ainsi, côté BPE, pour des chiffres arrêtés en novembre 2020, lorsque la France était en recul de – 9,4 %, l’Occitanie affichait – 11,3 % et Paca, – 10,6 %. Pour les granulats, la moyenne nationale s’établissait à – 6,4 %, la région Paca était en recul de – 14,9 %, alors que l’Occitanie affichait – 8,4 %. Bien entendu, ces chiffres sont à interpréter dans un contexte de pandémie mondiale. Et alors que, sur douze mois, les chiffres sont mauvais, les indicateurs du début d’année semblent plus positifs. Lire aussi les autres actualités en région L’un des leviers attendus de relance reste la commande publique. Ainsi depuis le début de l’année, en comparaison avec le premier trimestre 2020, les appels d’offres en matière de bâtiment ont augmenté de + 29 % en Occitanie. Les appels d’offres des structures territoriales progressent même de 60 %. La région Paca ne publie pas, en revanche ce type de données… Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Délamination des dallages en béton #2 : Une méthode pour choisir les bons matériaux

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Les dallages bi-couches sont constitués d’une superposition de matériaux : une couche structurelle en béton de 15 à 50 cm et une couche superficielle d’usure de quelques millimètres d’épaisseur. [©ACPresse] Les dallages bi-couches sont constitués d’une superposition de matériaux. La première couche est un béton coulé en place, de 15 à 50 cm d’épaisseur selon l’importance des charges de service, qui assure la rigidité de l’ensemble. De quelques millimètres d’épaisseur, la seconde couche permet de résister à l’usure et à l’abrasion. Cette couche de surface,que l’on appelle aussi “couche d’usure“ou “durcisseur”, est en un coulis de ciment ou un mortier fin, appliqué en “frais sur frais”. Cette dernière expression signifie que le durcisseur a été mis en œuvre juste avant la fin de la prise de la première couche. Ceci, afin d’assurer la continuité de la phase cimentaire, une solide liaison mécanique entre les deux couches et son monolithisme. I –Compositions et retraits très différents Ayant des fonctions distinctes, les deux matériaux qui composent le dallage ont des compositions propres et donc des retraits très différents[1]. 1 – Pour le béton de la première couche, c’est surtout la rhéologie qui va faciliter sa mise en œuvre, qui est recherchée. En effet, la solidité d’un dallage s’obtient d’abord par son épaisseur et par son armature. Chercher à augmenter la résistance du matériau est même contre-productif, puisque cela va augmenter son retrait plus que sa résistance en traction ! Pour obtenir un béton fluide et sans ségrégation, il faut que sa granulométrie soit continue* et que le rapport E/C soit supérieur à 0,45. Un tel béton aura un retrait de dessiccation supérieur à son retrait endogène. L’évolution de ce retrait dans le temps et dans l’épaisseur de la couche va donc suivre de près l’évolution de sa perte en poids. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 350 jours

Delta Automation s’installe dans le paysage hexagonal

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Delta Automation s’est allié à Arcade pour créer une synergie de logiciels entre les deux entreprises. [©Delta Automation] AUDE. Avec plus de 25 ans d’existence, Delta Automation a marqué un tournant dans son orientation d’entreprise en 2016. Agrandissant son champ d’action et devenant aussi éditeur d’automatismes. Ce changement de périmètre a permis à la marque d’afficher depuis une croissance soutenue de +30 % chaque année. Aujourd’hui, le spécialiste est présent et représenté sur l’ensemble du territoire français. Et a l’ambition de s’inscrire comme une référence de l’ingénierie logicielle pour centrales à bétons. Pour continuer sa progression, il a fait évoluer son offre. Et propose des solutions sans cesse adaptées à ses clients. Depuis peu, il a noué un partenariat avec l’éditeur Arcade. Permettant une synergie entre les différentes suites logicielles des deux entreprises. Grâce à cela, leurs clients respectifs disposent d’un outil logiciel complet et homogène, de la conception en laboratoire jusqu’à la facturation. Lire aussi les autres actualités en région En complément, pour apporter plus de souplesse, de traçabilité et de contrôle, Delta Automation vient de développer une nouvelle gamme d’écrans tactiles. En lien avec les automatismes, ils sont intuitifs, efficients et répondent à tous les impératifs de traçabilité souhaités par les clients. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Liebherr : Deux toupies électriques ETM 1204 DA pour la Bretagne

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Deux toupies Liebherr ETM 1204 DA viennent d’être livrées chez BHR en Bretagne. [©Liebherr] Elles sont deux, identiques, mais surtout électriques. Leur nom : ETM 1204 DA. Ces équipements ne sont autres que deux toupies sur semi-remorques à trois essieux, issues de la nouvelle ligne “électrique” signée Liebherr. Des machines présentées en avant-première lors de la Bauma 2019. Aujourd’hui, elles investissent le marché français. Plusieurs d’entre elles sillonnent déjà les routes de France, à l’image de celle affrétée par MBT, aux couleurs d’Edycem et desservant les chantiers de la ville de Bordeaux. A présent, c’est le Breton BHR qui a franchi le pas de l’électrique. « La première toupie est rattachée à notre centrale rennaise et dessert l’ensemble du centre-ville, explique Philippe Hamard, président de BHR. Quant à la seconde, elle assure déjà ses tournées sur Nantes. » Mais pourquoi faire circuler des toupies sur semi-remorques de 12 m3en ville ? De prime abord, il semblerait plus logique d’y faire rouler des machines plus compactes… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
GDA
Il y a 3 ans et 350 jours

Politique environnementale : Savoir dépasser la réglementation

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Louis Natter est le directeur du développement durable de Cemex. [©Cemex] Depuis 2008, Cemex mène une politique de développement durable très globale, édifiée sur le socle de la norme ISO 26000. Et articulée autour de 6 axes : gouvernance, capital, environnement, loyauté sur les marchés. Ainsi qu’attention aux intérêts des clients et des consommateurs… Enfin, intégration dans les territoires. Basé sur des consignes, des procédures et des systèmes d’audit, le système de managements environnementaux garantit la réalisation des objectifs. L’organisation est maintenant mature. Le groupe reste néanmoins dans un processus d’amélioration continue. En effet, des audits réguliers sont assurés par Bureau Véritas. « Au niveau des carrières et de l’extraction des granulats, nous prenons des engagements spécifiques à ces activités situées pour l’essentiel en milieu rural. Nous nous engageons pour la nature, avec des plans d’action à 3 ans. Par exemple, avec la Ligue de protection des oiseaux et l’association Orée », précise Louis Natter, directeur du développement durable de Cemex. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 350 jours

Fabrication additive : Une technologie en cours de démocratisation

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine L’’impression 3D béton s’inscrit dans la stratégie bas carbone en France. [©Vicat] Dans la trilogie “Retour vers le futur”, sortie dès 1985, le réalisateur Robert Zemeckis nous fait voyager dans le temps. A bord d’une DeLorean DMC-12 quelque peu modifiée, Marty McFly et le docteur Emmett Brown explorent le passé, mais aussi le futur. Dans le deuxième opus, les protagonistes se retrouvent en 2015. Ici, les voitures volent et les pizzas sont prêtes en 2 s ! Tous les codes de la science-fiction dépeignant le futur sont réunis. Si la domotique et la notion de “maison connectée” y sont perçues, les bâtiments et leur architecture ne semblent pas trop avoir bougé. Pourtant, dans la vraie vie, si nos déplacements ne se font pas encore par lévitation, le monde de la construction a bien évolué. Parmi les innovations, la fabrication additive ou impression 3D béton fait de plus en plus parler d’elle. Notre n° 91 lui était consacré. En effet, la discipline ouvre une multitude de problématiques que les industriels, selon leurs expertises, tentent d’élucider. D’un point de vue matériau et matériel, la technologie demande un savoir-faire particulier : l’encre minérale, l’imprimante et les logiciels sont trois composantes d’un tout.  Un trio gagnant La majorité des technologies actuelles utilisent le principe de la dépose d’un cordon de béton en couche par couche. Le matériau mis en œuvre doit donc tenir en place pour supporter son propre poids et être assez fluide pour que les couches adhèrent entre elles. La matière doit aussi répondre aux besoins classiques de durabilité, de performances… De plus en plus d’industriels proposent des gammes dédiées à la fabrication additive, à l’image de Cemex, Ciments Calcia ou encore Vicat. Du côté de l’imprimante, plusieurs “camps” s’affrontent. Il y a ceux qui s’ancrent dans la lignée de la construction hors site. Ainsi, l’outil est installé en usine où elle imprime des éléments à emporter. C’est le cas d’industriels comme Soliquid et XtreeE. D’autres ont misé sur des imprimantes nomades qui se déploient sur chantier. La start-up Valenciennes Construction 3D ou Cobod s’inscrivent dans cette mouvance. Quelle que soit la technique adoptée, la buse et le dispositif d’extrusion sont des points sensibles. Enfin, les différents logiciels de pilotage et de modélisation, qui peuvent être imaginés par le fabricant de l’imprimante ou par un éditeur indépendant, permettent de faire la traduction numérique de la volonté architecturale. Une transition environnementale et numérique Plusieurs enjeux entourent la fabrication additive. La dimension environnementale intervient naturellement. Au cœur de la future RE 2020, la transition écologique de la construction fait partie de la stratégie bas carbone de la France. Les acteurs de l’impression 3D béton mettent en avant les avantages de leur discipline dans ce domaine. A savoir, l’optimisation des matières premières, la construction hors site et l’utilisation du bon matériau au bon endroit. L’impression 3D est aussi une résultante de la transition numérique de la construction. Cemex l’englobe ainsi dans ce qu’il appelle la « fabrication digitale ». Cette dernière peut répondre aux problématiques de pénibilité sur chantier avec moins de compagnons nécessaires in situ. Et en même temps, à la résolution de défis techniques dans la construction, que ce soit dans les formes architecturales ou dans la rapidité de conception. Reste à résoudre quelques freins : le coût, la réglementation ou encore la formulation vue sous le prisme de l’économie circulaire. Il reste encore de grandes avancées à accomplir avant d’atteindre une démocratisation de la fabrication additive. Korodur : « Une nouvelle liberté d’écriture » Créé en 1936, le groupe familial allemand Korodur fabrique et commercialise des solutions minérales pour sols industriels. A l’entrée de son siège, le nom Korodur s’inscrit en lettres géantes, imprimées en 3D ! En effet, depuis plus de 10 ans, l’industriel s’est lancé dans l’aventure de la fabrication additive. « En 2012, un de nos partenaires néerlandais nous a présenté Berry Hendriks, raconte Nikola Heckmann, présidente de Korodur. A ce moment-là, il lançait sa start-up Cybe et avait pour ambition de révolutionner la construction avec l’impression 3D. A l’époque, c’était fou, mais nous avons décidé de travailler ensemble en nous occupant de la partie matériau. » Avec son expertise dans la conception de mortiers, Korodur a pris le temps de trouver la bonne formulation. Le tout en utilisant un ciment à impact carbone réduit. « Le mortier à imprimer doit être à prise rapide, ne pas se déformer sous son poids et chaque couche doit adhérer sur la précédente. De plus, le matériau doit s’adapter à l’imprimante et au logiciel. Les trois fonctionnent ensemble. Après plusieurs mois de recherche, nous avons réalisé avec Cybe notre premier objet : un banc. » Korodur s’est associé à Cybe pour développer la fabrication additive. [©Korodur] Depuis, Korodur et son partenaire se sont lancés dans des projets à l’international. A Dubaï, ils ont réalisé un bâtiment dédié aux drones qui surveillent les pipelines. Au Japon, ce sont des toilettes publiques… Il y a aussi l’Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande et la France, avec une maison en Normandie. « L’impression 3D est intéressante et doit avoir sa place dans l’évolution de la construction. Elle donne une nouvelle liberté d’écriture pour les architectes et les designers. Mais répond aussi à des défis techniques pour la préfabrication, par exemple. »  Lycée Louis Loucheur : L’impression 3D dès le plus jeune âge Dans le cadre du programme “Espace d’innovation partagée”, le lycée professionnel Louis Loucheur, à Roubaix (59), a reçu une dotation de la Région Hauts-de-France. Une manne qui a permis à l’établissement de mettre en place une nouvelle matière à son cursus “gros œuvre” : l’impression 3D. « Nous avons acquis une Mini Printer de Construction 3D, explique Régis Schefller, enseignant au sein du lycée. Nous avons bénéficié d’une formation pour pouvoir être autonomes. » Aujourd’hui, le lycée travaille avec des mortiers de Parexlanko dédiés à l’impression. « Les élèves sont très curieux de ce que l’on peut faire avec. Nous espérons que cela représentera un atout pour promouvoir les formations dans le bâtiment et de montrer une autre facette de nos métiers. » A Roubaix, le lycée Louis Loucheur vient d’intégrer l’impression 3D béton dans son cursus de formation. [©Lycée Louis Loucheur] Saint-Gobain : Voici les clefs Fin avril 2020, Saint-Gobain a remis les clefs à d’heureux résidents d’une maison un peu particulière. A Eindhoven, aux Pays-Bas, ce bâtiment de 94 m2a été entièrement réalisé en impression 3D. Pour rappel, Saint-Gobain Weber Beamix conçoit des mortiers spéciaux pour cette application. Ici, 24 éléments en béton ont été préfabriqués, avant d’être acheminés in situ. Cette maison est la première du programme Milestone, qui en comptera 5 au total. Chaque nouvel habitat sera optimisé grâce aux enseignements tirés des précédentes mises en œuvre.  Aux Pays-Bas, Saint-Gobain a livré sa première maison imprimée en 3D béton. [©Saint-Gobain] Sivagami Casimir Retrouvez l’ensemble du dossier : Que seront les bétons de demain ? Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 94
Il y a 3 ans et 350 jours

Jusqu’où les propriétés du béton pourront-elles s’étendre ?

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le béton sait prendre de multiples formes, parfois les plus inattendues… [©ACPresse] Depuis plus de 20 ans, les nouveaux bétons – BHP, Bap et autres Bfup – n’ont cessé de s’étendre et de s’améliorer. Et cela ne s’arrête pas. De nouvelles propriétés physiques apparaissent. Le béton drainant avale l’eau des crues. Un autre réduit les îlots de chaleur, en devenant réfrigérant. Quant au 3e, il se cicatrise tout seul…   Par définition, le béton est un matériau hétérogène, mélange d’un certain nombre de constituants de base. Mais il est toujours possible d’en remplacer un ou deux, ou d’en rajouter un de plus… C’est ce que s’évertuent à faire les chercheurs sur leurs paillasses. Et le succès peut être, parfois, au rendez-vous. En lisant la presse, en furetant sur Internet, en assistant à des congrès ou au détour d’une allée sur un salon, on découvre parfois des bétons étonnants. En voici un petit florilège… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 350 jours

Sylvestre : Nouvelle centrale pour une nouvelle vie

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le groupe Sylvestre a investi dans une nouvelle centrale pour son unité de Maubec. [©Groupe Sylvestre] VAUCLUSE. A Maubec, le groupe Sylvestre possédait un site de production avec deux centrales à béton. « Nous avions une petite unité et une plus imposante, qui datait des années 1970, explique Marion Daffos, directrice d’exploitation carrière et responsable béton. Il nous fallait une modernisation de la production et une meilleure protection contre les pollutions, notamment sonores. » Le choix a donc été fait de raser la plus grosse et la plus ancienne des deux unités, et de la remplacer par une Liebherr Betomix, équipée d’un turbo-malaxeur RIM de 2,5 m3. Une nouvelle centrale et de nouvelles ambitions « En plus de ce malaxeur, nous disposons de cinq trémies à granulats de 35 m3, d’un skip d’alimentation et de cinq silos à ciment de 64 m3. Nous avons aussi opté pour une trémie sauterelle, pour avoir une alimentation directe en matières premières. L’objectif était d’obtenir une norme NF et d’avoir un gain en polyvalence. Par exemple, nous avons récemment travaillé avec des ciments PMES, pour répondre à des environnements sous attaques chimiques». Quant à la seconde centrale du site, plus modeste, elle sera affectée à la production de bétons spéciaux, dont les désactivés et de chapes fluides. Lire aussi les autres actualités en région Mise en service en novembre 2020, la centrale Liebherr a battu le record de production du groupe Sylvestre au mois de mars dernier avec 4 500 m3. « Dix-neuf toupies sont rattachées autour à ce site et à une autre, en parallèle. Cinq pompes à béton complètent le dispositif », précise Marion Daffos. Et de conclure : « Pour nous, cette nouvelle centrale est aussi le symbole de notre nouvel élan d’entreprise. Nous avons refaçonné notre image, notre communication. Nous avons modernisé notre matériel, pour plus de confort et un aspect visuel plus en phase avec nos aspirations. » Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Tendance : Bas carbone et plus, si affinités

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Pour atteindre la neutralité carbone en 2050, il faudra trouver des innovations en rupture pour la capture du CO2. [©ACPresse] Pour parler du futur, il est toujours intéressant de regarder le passé. En mai 2007, nous avions publié un article de prospective, intitulé “Les bétons de demain”… Il est amusant de constater que certaines annonces faites à l’époque sont plus que jamais d’actualité aujourd’hui et continuent de prédire l’avenir. « Le béton de demain sera labellisé “Développement durable” », indiquait Cemex France. Et Lafarge, de compléter : « Il est nécessaire que le béton ait une empreinte écologique moindre ». Ce que le LCPC (aujourd’hui Ifsttar – Université Gustave Eiffel) confirmait : « Les années qui viennent verront la mise en œuvre de plus en plus systématique de matériaux intégrant le moins possible de constituants polluants ou ayant une dépense d’énergie faible. A commencer par un remplacement de CEM I par des CEM III. Il peut aussi être question de substituer une partie du ciment par d’autres éléments ». Enfin, Holcim France (devenu Eqiom entre-temps) concluait : « Le béton intégrera pleinement la notion de recyclabilité ».  Toutes ces phrases n’ont été prononcées qu’hier, mais il y a quatorze ans ! Et n’ont jamais été à ce point d’actualité. Les esprits chagrins en sont donc pour leurs frais : la filière béton n’a pas attendu les bras ballants avant de s’intéresser au sujet du développement durable et de la réduction de son empreinte carbone. De longue date, des travaux ont été lancés ou sont en cours. Rome ne s’est pas faite en un jour, la mutation de l’industrie du ciment et, par extension, celle du béton, nécessitera aussi du temps. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 350 jours

Cemex : Bas carbone pour un collège

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le futur collège Voltaire alimenté en bétons par Cemex. [©Cemex] GARD. Accueillir 720 collégiens, en 2022, dans un nouveau bâtiment moderne et durable, telle est la volonté du conseil départemental du Gard pour le collège Voltaire de Remoulins. Le futur établissement remplacera l’ancien collège construit dans les années 1960. En partie situé en zone inondable, le nouveau bâtiment pensé par NM2A Architecture est bâti sur pilotis. Il met en scène les matériaux bois et béton. Projet issu d’une démarche environnementale ambitieuse, le futur collège de Remoulins vise à répondre à plusieurs exigences allant dans ce sens : labels Bepos et E3C1, Démarche Bâtiments durables Occitanie (niveau Or) et Bâtiments NoWatt. Pour cela, Eiffage Construction a fait appel à Cemex et à sa gamme de bétons bas carbone. Des bétons architectoniques Depuis son unité de production de Montfrin, le bétonnier a fourni près de 5 000 m3de bétons à faible teneur en carbone. Dont près de 3 000 m3de Vertua classic et 2 000 m3de Vertua plus. Affichant respectivement une diminution de l’empreinte carbone de 20 à 35 % et de 35 à 60 %. De plus, Cemex a livré des bétons architectoniques gris et blanc. Ceci, pour la réalisation des murs des couloirs du bâtiment, conçus comme de grandes avenues. Enfin, c’est l’unité de production nîmoise qui a produit les 200 m3de chape anhydrite destinés aux 4 800 m2de planchers. Et dont les caractéristiques évitent la multiplication de joints de fractionnement. Afin de préserver la sécurité des usagers du collège et de leurs accompagnants, Cemex a adapté son planning de production et de livraison aux horaires scolaires, l’ancien établissement toujours en fonctionnement étant situé à proximité immédiate du chantier.  Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

GCP Applied Technologies : Des teintes lumineuses pour un conservatoire

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le nouveau conservatoire d’Antibes Juan les Pins s’est paré d’une teinte blanche GCP Applied Technologies. [©GCP Applied Technologies] ALPES-MARITIMES. Le conservatoire d’Antibes – Juan-les-Pins a été conçu par le cabinet d’architecture Jacques Ripault. Comme « un lieu de résonance, un espace d’apprentissage et de diffusion. Conçue comme un instrument, son intériorité vibre au rythme de la diffusion musicale ».  Construit sur 3 000 m2 par Demathieu & Bard Provence, le nouveau lieu s’organise sur trois étages. Autour d’une vingtaine de salles principales. « Le corps du bâtiment central se développe derrière une fine dentelle en Ductal. Il rassemble les pratiques musicales et laissant percevoir la vie sonore intérieure. Y sont regroupées la salle d’audition et la salle d’art dramatique, aux façades opaques. Et les deux grandes salles d’ensembles instrumentaux et vocaux, lumineuses. » Lire aussi les autres actualités en région Les salles de musiques acoustiques et amplifiées sont spatialement mélangées sur les niveaux deux et trois, pour favoriser l’échange. Sur sa partie Sud, le projet se rétracte sur seulement deux niveaux, afin de préserver la vue mer, avec un jardin ouvert. Sur ce chantier, GCP Applied Technologies a fourni à Sofaper, applicateur local, pour 1 200 m2de Protec HDL Grace Pieri, une teinte spéciale pour béton blanc. L’ensemble du traitement est recouvert par une couche supplémentaire de protection anti-graffitis permanente Graffistop 2002 Grace Pieri, pour un total de 1 380 m2. Enfin, la lasure teintée Prelor Vario Obsidienne 100 % pour béton matricé a aussi été appliquée sur les surfaces concernées. L’applicateur a terminé ce chantier en novembre 2020.  Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Capremib équipe un pont de Vitry-sur-Seine

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le futur pont du quartier des Ardoines de Vitry-sur-Seine. [©Capremib] VAL – DE – MARNE. Situé dans la Zac Gare des Ardoines à Vitry-sur-Seine, le chantier des Ardoines est parmi les plus importants en cours de réalisation en France. Dans le cadre de ce vaste projet urbain couvrant un territoire de 300 ha en bord de Seine. Un nouveau pont ferroviaire de 160 m de long et 30 m de large jouera un rôle clef dans le développement du quartier. Il en desservira le futur pôle multimodal. Et facilitera l’accès à la gare. Il accueillera une voie de circulation automobile à double sens. Un couloir réservé au futur bus en site propre. Ainsi qu’une piste cyclable et deux cheminements piétons végétalisés. Sept types de dalles produites par Capremib La maîtrise d’œuvre a fait appel à Capremib pour la réalisation sur mesure des 4 800 m² du tablier en béton préfabriqué. L’usine de Cormicy, près de Reims, a conçu et fourni 474 dalles pleines. D’une épaisseur de 27 cm, représentant un volume de béton de 938 m3et 300 t d’acier. Le ciment utilisé est un Ciments Calcia CEM III.  Lire aussi les autres actualités en région Sept types de formats de dalles différents ont été réalisés pour ce chantier, dont les plus grands font 4,70 m x 1,30 m et 3,20 m x 2,50 m. Parmi les particularités, ces dalles ont été réalisées avec une sous-dalle en casquette. Dont la fonction est de supprimer la nécessité de coffrer les sous-faces du tablier. Cette technique, qui est issue de celles de fabrication des éléments pour les grands ouvrages d’art, fournit un important gain de temps sur le chantier. Capremib a aussi créé un peigne de positionnement des aciers, qui fait office d’arrêt de coulage, afin d’obtenir une longueur et un cintrage des aciers rigoureusement identique. La production a été achevée fin 2020, la livraison se fera à l’avancée du chantier. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Xella habille le projet majeur de Saint-Etienne

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Les blocs Ytong limiteront l’éventuelle propagation des feux dans le centre commercial Steel. [©Xella] LOIRE. Le projet du centre commercial Steel a été imaginé par Sud Architectes, Atelier Rivat et Studio Briand & Berthereau. Il a ouvert ses portes à l’entrée de Saint-Etienne, en septembre. Il associe 52 000 m2 de surfaces commerciales, avec plus de 70 enseignes, restaurants et loisirs. Et 37 000 m2 d’espaces verts. Sur ce type d’établissements recevant du public (ERP), la réglementation relative à la protection incendie est très exigeante. Elle prévoit des dispositions constructives particulières, pour limiter la propagation des flammes et des fumées. Parmi les techniques choisies, les solutions coupe-feu Xella ont été retenue. Ceci, pour le cloisonnement des cellules commerciales et des locaux techniques.  Les produits Xella à l’honneur Les entreprises Civez, Sopraco et Chenaud Bâtiments sont en charge du chantier. Elles sont habituées aux produits Xella et ont privilégié le bloc Ytong Compact 20. Ce ne sont pas moins de 550 m3. Soit près de 2 800 m2 de murs séparatifs coupe-feu Ytong. Qui ont été posés dans les différentes zones commerciales.  Classé A1, soit dans la catégorie “Matériaux non combustibles”, le bloc Ytong n’alimentera pas le feu et limitera la propagation des flammes. De plus, il ne dégage ni fumée toxique, ni gaz. Et ne se déforme pas sous l’effet de la chaleur. En détail, le bloc limite l’élévation de température à 30 °C au bout de 1 h 30. Et à 70 °C au bout de 4 h 00.  Lire aussi les autres actualités en région Autre atout : la légèreté. « Nous sommes intervenus sur l’une des enseignes du centre commercial Steel, explique Eric Chenaud gérant de Chenaud Bâtiments. Nous y avons posé 250 m2 d’Ytong Compact 20. Le faible poids du bloc, limité à 93,5 kg/m2, a permis de répondre à la contrainte de surcharge linéique des murs séparatifs sur les dalles. » Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

LRMH : Au service de sa Majesté Patrimoine

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Aline Magnien, directrice du LRMH : « La création du pôle Béton s’est faite progressivement, suite à des retours du terrain. » [©ACPresse] On ne choisit pas l’année de son jubilé. Un jour, il est là… La chose se complique quand l’évènement arrive en 2020. “Une année particulière”. Pourtant, le Laboratoire de recherche des monuments historiques (LRMH) a fêté le 50eanniversaire de sa naissance à cet instant précis.  Jean Taralon en est à l’origine. « Le Musée du Louvre possédait depuis longtemps un laboratoire capable d’améliorer la connaissance et la conservation des objets,explique Aline Magnien, directrice du LRMH. Toutefois, on ne préserve pas de la même manière une œuvre d’art dans un musée et à l’intérieur d’une église, par exemple. » D’autre part, la loi Malraux de 1962 a imposé le nettoyage des façades, révélant souvent que le matériau qui les constituait pouvait être malade. Des connaissances nouvelles étaient nécessaires. « Il était devenu indispensable d’avoir l’équivalent du laboratoire du Louvre pour la conservation des œuvres non muséales et aussi des bâtiments qui les abritent. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Le béton doit faire sa révolution

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine [©Actualités Habitat] Matériau phare de la construction depuis le début du XXesiècle, le béton doit aujourd’hui évoluer pour s’adapter à la RE 2020, alors que la future réglementation met en avant le bois et les matériaux biosourcés. En effet, les industriels se sont engagés dans la voie de l’innovation, en créant de nouveaux bétons. C’est toute cette démarche qui est présentée dans “Le béton à l’aube d’une révolution”, article paru dans “Actualités Habitat” n°1140.  Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Le Groupe Bouyer Leroux a finalisé l’acquisition du Groupe Maine

Acteur majeur dans le domaine de l’extrusion thermoplastique et doté d’un outil industriel performant, le Groupe MAINE est spécialisé dans la conception et la fabrication de profilés thermoplastiques pour de multiples applications dont celles des marchés de la clôture, de la fermeture et de la rupture de pont thermique destinée aux industriels de la menuiserie.Il s'est diversifié et dispose d’une large gamme de portails, clôtures, volets (battants, coulissants), persiennes, portes de garage... en aluminium et PVC pour les professionnels du bâtiment et le grand public.Cette acquisition permet aussi aux Sociétés SOPROFEN, SPPF, FLO, spécialisées dans la fabrication de coffres de volets roulants, de screens et de portes de garage, d’enrichir leurs offres en termes de produits et services. Les synergies entre ces dernières et le Groupe MAINE sont nombreuses : gammes complémentaires, innovantes et différenciées, destinées à la construction de logements neufs et à la rénovation, clientèles diversifiées, dispositifs industriels et logistiques performants et complémentaires, potentiel renforcé en matière de recherche et de développement et d’extrusion.Le Groupe MAINE dont le siège est à Ambrières les Vallées dispose de 3 sites industriels (Ambrières les Vallées - 53, Le Mans - 72, Perrignier - 74), emploie plus de 220 salariés et a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 32 millions d’euros en 2019. L’intégration du Groupe MAINE, doté d’une forte culture de satisfaction du client et de qualité des produits, renforce le potentiel de croissance, d’innovation et la compétitivité du Métier des Fermetures pour l’Habitat du Groupe BOUYER LEROUX.
Il y a 3 ans et 350 jours

Groupe Daniel : Le béton recyclé disponible à Pau

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le groupe Daniel lance son béton recyclé. [©Groupe Daniel] PYRENEES – ATLANTIQUES. Déjà acteur dans l’économie circulaire avec les granulats recyclés, le groupe Daniel poursuit sa logique de développement durable et de valorisation. Ceci, en proposant du béton formulé avec des granulats recyclés issus de la déconstruction. Mais aussi de la démolition ou encore des retours de chantiers. Le béton est récupéré sur les trois plates-formes de valorisation du groupe pour être réincorporées dans de nouvelles formules. La procédure de tri sélectif des déchets béton et des autres matériaux de démolition (plastique, bois, ferraille, plâtre) doit répondre à un haut niveau d’exigence, qui déterminent la régularité de la résistance du futur béton. Les bétons issus de la démolition sont ensuite concassés, avant de passer au déferraillage et au criblage.  Du béton recyclé dans des blocs décoratifs La production du béton recyclé répond ainsi à des procédures strictes de contrôles et de traçabilités. La technique d’élaboration du béton reste une étape clef. Pour cela, le laboratoire interne du groupe Daniel a mené de nombreux essais pour la création de nouvelles coupures aptes à atteindre les niveaux de régularité et de durabilité nécessaires à la formulation des bétons.  Lire aussi les autres actualités en région Des solutions d’aménagements comme les blocs décoratifs matricés effet bois ont été produits à partir de béton 100 % recyclé dans les usines de préfabrication à Abos et Tarnos. La réalisation de chantiers pour des fondations et des dallages a aussi été effectuée et sont conformes aux attentes règlementaires. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Que seront les bétons de demain ?

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine A quoi ressembleront les bétons, demain ? Le premier réflexe pour avoir une réponse à cette question est d’aller consulter un oracle. Problème : l’art divinatoire manque de précision… L’autre option est d’interroger les sachants et d’observer les tendances. A ce niveau, le bas carbone sort du lot. D’ailleurs, les cimentiers annoncent une neutralité à ce niveau à l’horizon 2050. La fabrication additive ou impression 3D béton dessine aussi une nouvelle approche de la construction. L’intégration dans l’environnement s’inscrit de plus dans cette logique. L’idée est d’utiliser au mieux les ressources locales pour donner aux bétons les teintes du cru. Les dix pages du présent dossier tendent de dresser le portrait de ce que pourrait être les bétons, demain. Et focalisent sur quelques recherches singulières. Dossier préparé par Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki  Sommaire du dossier : Bas carbone et plus, si affinitésJusqu’où les propriétés du béton pourront-elles s’étendre ?Fabrication additive : Une technologie en cours de démocratisation Pigmentation des bétons : l’émotion de la couleur Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 94
Il y a 3 ans et 350 jours

Routes de France et l’ESTP s’allient pour le futur des travaux publics

Le 7 mai 2021, Routes de France et l'ESTP ont signé une convention portant sur la création... Cet article Routes de France et l’ESTP s’allient pour le futur des travaux publics est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 350 jours

Quoi de neuf dans l’adjuvantation ?

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Avec les changements sociétaux, la réglementation environnementale et autre loi climatà venir, le monde de la construction se remet un peu plus en question. Comment construire de façon plus responsable ? Comme les autres industries, celle du béton s’engage dans cette transition environnementale. Les bétons bas carbone fleurissent avec de nouveaux liants et une plus forte recherche autour du recyclage des matériaux. Pour accompagner ces changements, les spécialistes des adjuvants accordent aussi leur violon. Accélérateurs de prise, superplastifiants ou encore boosters de résistance, tous les sujets sont balayés pour faire du béton un élément plus vertueux. Nouvelles chimies, nouvelles réflexions… Plongée dans les adjuvants d’aujourd’hui et de demain. Dossier préparé par Sivagami Casimir Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 350 jours

La villa Savoye : Tout un poème

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine [©Juliette Genisson] De l’église d’Auvers-sur-Oise (95) à l’Hôtel des Invalides, à Paris (VIIe), de la tour Eiffel (VIIe) au château de Fontainebleau (77), en passant par les œuvres de Rodin ou de Sisley, le patrimoine et l’art, omniprésents en Ile-de-France, ont inspiré de jeunes poètes ! C’est ainsi que la Région et la Direction régionale des affaires culturelles leur ont donné l’occasion de montrer leur talent. Ceci, à l’occasion de la 5e édition des “Patrimoines en poésie”. Les jeunes Franciliens de 8 à 12 ans ont été invités à participer à ce concours, en racontant de façon poétique et avec un maximum de créativité le patrimoine qu’ils préfèrent en Ile-de-France.  Lire aussi : L’écluse de Kembs-Niffer, dite “Le Corbusier”, en périlChandigarh : “The City Beautiful” de Le CorbusierTout l’œuvre de Le Corbusier Le 3e prix revient à la petite Juliette Genisson, 9 ans, pour son poème sur la villa Savoye, à Poissy (78), réalisée par Le Corbusier dans les années 1930.Juliette a choisi cette réalisation, « Car c’est un beau monument que j’aime bien. Quand je l’ai visité, je l’ai trouvé joli. J’aime bien parce que la villa est ancienne, mais, en même temps, elle fait moderne. Elle est très originale et stylée ». Le poème de Juliette revient sur les nombreux visiteurs qui viennent la découvrir chaque année : « … Polonais, Chinois, Anglais, Italiens. Ils aiment tous le toit-jardin… » Retrouvez les poèmes des enfants –> ICI  Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Eiffage a fait le choix de Sdec

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine La sonde Sono M1 de Sdec, déployée sur les sites d’Eiffage Route. [©Sdec] INDRE- ET- LOIRE. Il y a trois ans, Eiffage Route cherchait une solution pour la gestion de l’humidité des sables. « Jusque-là, nous passions par le classique test en laboratoire, explique Alassane Balde, ingénieur matériel pour le groupe. Il s’agissait de réaliser des prélèvements, de les chauffer et de comparer les poids des échantillons secs et humides. Cette solution souffrait du peu de flexibilité qu’elle offrait. Le processus était trop long pour être vraiment adapté à nos besoins. » Denis Bourdelier, responsable matériel pour la région Grand-Sud d’Eiffage Route, teste alors la sonde Sono M1, accompagnée du boîtier HD2 de Sdec. Et Alassane Balde, de préciser : « Avec cette solution, la mesure se fait directement sur les tas de matières. En 10 s, la valeur est connue. Nos équipes peuvent donc faire des mesures dès qu’il y a un changement de météo ou un doute sur les valeurs. La formulation des bétons est donc sans cesse adaptée. Cela professionnalise une action qui dépendait jusque-là de l’expérience des compagnons. » Lire aussi les autres actualités en région Convaincu, Denis Bourdelier lance un déploiement national de la solution. « Nous avons aujourd’hui une trentaine de sondes en fonctionnement. Mais cela devrait encore progresser, jusqu’à une cinquantaine. D’autant que nous nous sommes aperçus que les sites qui disposent de cette solution, associée à notre application de suivi énergétique, voient leur consommation se rationaliser. Cela nous procure ainsi un gain d’efficacité et une économie d’énergie », conclut Alassane Balde. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Les toupies tiennent toujours la route

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Depuis quelques mois, le marché des toupies subit un enchaînement de vents contraires. Les différents épisodes de confinement européens, dus à la crise sanitaire, ont provoqué une difficulté d’approvisionnement en châssis des différents producteurs. Voire une absence, pour certaines périodes, de châssis à assembler. Mais alors que cette pénurie tendait à se résorber, ce sont les matières premières qui ont fait défaut. Les industriels luttent toujours avec un prix de l’acier qui augmente à mesure que le matériau se raréfie. Une augmentation des prix des matières premières qui se retranscrit sur le prix final des toupies.  En parallèle, début janvier, la norme NF EN 12609 a été modifiée, obligeant les constructeurs à ajouter à leurs équipements nombre d’adaptations de sécurité et d’ergonomie… Le marché est néanmoins resté actif et, de manière générale, les carnets de commandes sont plutôt bien garnis. Des commandes qui tournent en majorité autour des solutions allégées. Les énergies renouvelables sont aussi de plus en plus demandées, sans que cela se transforme vraiment en vente…  Dossier réalisé par Yann Butillon Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 350 jours

France Color Diffusion : « DrainColor, ce sont des solutions clefs en main de bétons drainants »

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Alain et Catherine Oliveira, fondateurs et dirigeants de France Color Diffusion. [©France Color Diffusion] Comment s’organise la présence sur le marché de France Color Diffusion ? Catherine Oliveira : Nous sommes concepteurs et fabricants de solutions pour l’aménagement des sols extérieurs. Nous distribuons nos produits sous la marque DrainColor. Notre concept consiste à apporter une solution autonome de fabrication de béton drainant coloré.  Nous travaillons en partenariat avec des usines qui produisent pour notre compte les liants hydrauliques et les sacs de granulats. Ceci, tout en respectant les brevets que nous avons déposés. Nous proposons un kit “prêt à fabriquer”. Il comprend un liant hydraulique, c’est-à-dire la base cimentaire, cinq sacs de granulats, des adjuvants et des pigments. Le tout est pré-dosé pour réaliser 1 m2de béton drainant coloré sur 8 cm d’épaisseur. Pour faciliter la mise en œuvre, nous avons aussi créé des kits outils complets. Et nous proposons des formations sur site ou au sein de nos locaux.  Pour l’essentiel, notre marché est composé de professionnels, mais nous sommes désormais référencés dans des enseignes nationales et touchons donc une clientèle de particuliers. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 350 jours

Formuler des bétons avec des argiles calcinées

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Echantillons de métakaolins commerciaux. [©Bouygues] I – Quel est le contexte actuel ? L’ajout de composés minéraux en substitution pour partie au clinker est étudié depuis plus de 30 ans. L’objectif est d’améliorer la performance des bétons. Cette démarche a été redynamisée depuis une dizaine d’années dans un contexte de développement durable, pour réduire l’empreinte carbone des ciments. Parmi toutes les additions minérales, les fillers calcaire, les laitiers de hauts-fourneaux et les cendres volantes restent les plus utilisés. Mais ces additions offrent des gisements limités. De nouvelles sources d’approvisionnementchangeraient cette situation. Parmi celles-ci, la valorisation des argiles est abordée, car représentant un potentiel important à l’échelle mondiale.  Afin de leur conférer une réactivité minérale, diverses méthodes ont été développées, dont la calcination. Ainsi, le métakaolin, obtenu par cuisson lente de kaolinite, a fait l’objet de nombreuses études. Son utilisation en substitution d’une partie du ciment permet de concevoir des bétons à performances optimisées. Ou bien de réduire les quantités de ciment, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

Jean-Michel Boulaire : Brutale minutie

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le goût du plasticien Jean-Michel Boulaire pour l’architecture se manifeste dans son œuvre sculptée. L’artiste parisien introduit une certaine abstraction, afin de parvenir à une forme épurée, empreinte d’une mystérieuse poésie brute. C’est la texture même du matériau, ici le béton, qui commande la forme, qui doit sortir de la matière. Jean-Michel Boulaire est breton d’origine. De son enfance sur le littoral, il a gardé un souvenir, à la fois rassurant et anxiogène, pour les bunkers. Qui jalonnaient la côte. « Ces châteaux forts en péril, c’était des lieux de théâtre pour mon imaginaire. Où j’inventais du drame et des tensions. Qui habitent toujours mes volumes aujourd’hui », se souvient Jean-Michel Boulaire. L’œuvre de Jean-Michel Boulaire est en dialogue constant avec l’architecture. [©Lucie Nicolas] Paul Virilio, auteur de l’ouvrage “Bunker Archéologie”, décrit très bien ces tensions, « l‘épaisseur de ses parois signale la puissance probable de l’impact ». Le littoral breton jonché de bunkers Paul Virilio compare les ouvertures réduites au « plissement d’une paupière », cherchant à protéger ses yeux. Monuments du péril d’une époque lointaine où l’Europe s’enfermait de toutes parts. Les blockhaus sont toujours là, impressionnants, carapaces de béton aux allures fantomatiques. Les escapades de Jean-Michel Boulaire sur le littoral breton ont été marquées par la présence. D’abord mystérieuse de ces masses de béton ouvragé, plus tout à fait menaçantes, mais toujours pas vraiment rassurantes. Objets à explorer et redouter, peut-être, à la fois. Tout un programme… C’est ainsi que Jean-Michel Boulaire, à l’aide coffrages réalisés en bois recyclés et d’une recette de béton maison (il y ajoute même du laiton, de l’aluminium, du fer…), fait naître des sculptures miniatures aux formes architecturales épurées. Des formes géométriques habitées Certains diront que ce sont des formes géométriques habitées, d’autres se demanderont à quoi elles correspondent. « La série “Points de vue” est une proposition, mettant en valeur les qualités plastiques du modèle de bunkers M272 de la marine allemande. Je l’ai choisi parmi des dizaines que j’ai observées. Il est conçu selon un axe de symétrie. J’ai conservé la moitié droite pour en extraire l’essentiel. L’ouverture du bâtiment est ici obturée pour le déposséder de sa fonction originale et pour en faire un vrai sujet de sculpture. L’alternance de surfaces saillantes très affirmées et de surfaces lisses en font un objet sculptural fort. Et les quatre exemplaires en béton permettent une multitude de combinaisons de mise en exposition et de points de vue sur ces composants formels. C’est un objet différent à chaque regard »,explique Jean-Michel Boulaire. Ici, l’oxymore “Brutale minutie” prend tout son sens. [©Jean-Michel Boulaire]Ici s’exprime toute la minutie de l’artiste. [©Jean-Michel Boulaire]Les escapades de Jean-Michel Boulaire sur le littoral breton ont été marquées par la présence, d’abord mystérieuse de ces masses de béton ouvragé, plus tout à fait menaçantes, mais toujours pas vraiment rassurantes. Objets à explorer et redouter, peut-être, à la fois. Ici, les Points de vue reprennent l’imagerie des bunkers. [©Jean-Michel Boulaire]Le plasticien Jean-Michel Boulaire essaie de plus en plus de se libérer de la tentation de la précision pour faire des pièces plus spontanées, où l’imprévu et l’accident apportent plus d’expressivité. [©Jean-Michel Boulaire] Une recette béton maison De taille réduite, ses œuvres aux formes géométriques invitent le spectateur à questionner son point de vue. Ainsi que son rapport à l’espace. « Les formes de la série des monotypes ont été conçues pour être vues verticalement dans les deux sens. On peut donc les retourner à souhait pour renouveler notre regard. Elles ne sont donc pas statiques. Ce sont de lourds monolithes massifs et denses, mais comme ils flottent au milieu de la feuille, ils deviennent aériens et légers. Ils contiennent ainsi. Comme c’est le cas dans certaines de mes pièces, leurs contraires et surtout la possibilité, même minime, de ne pas être figée par un seul regard, un seul point de vue. Et je n’aime pas que les choses ne soient pas possibles. C’est pourquoi les “pierres” en béton (elles ne sont pas en béton) peuvent s’ouvrir et leurs parties s’articuler. » Ce monolithe architectural a une fonction défensive. Il protège celui qui s’y dissimule, mais il l’enferme aussi. ET en même temps, il concentre l’attention sur l’intérieur, un intérieur protégé et un extérieur “répulsif” pour reprendre le mot de Claude Parent. [©Jean-Michel Boulaire]Dans la série des dessins “Dissections”, sont projetées sur la pierre des lignes bleues à l’aide d’un cordeau à tracer de maçon. [©Jean-Michel Boulaire]Moulage en béton du bras de Cyrille Borgnet, artiste peintre, ayant reçu 3 balles dans les mains et bras, lors des attentats du Bataclan, à Paris, en 2015. [©Jean-Michel Boulaire]Jean-Michel Boulaire met en avant les noms de ces œuvres qui visent à rapprocher deux termes avec une figure de style. [©Jean-Michel Boulaire]Les formes de la série des monotypes ont été conçues pour être regardé de tous les sens. [©Jean-Michel Boulaire] Jean-Michel Boulaire accorde beaucoup d’importance au titre de ses œuvres. Il met en exergue l’oxymore, cette figure de style qui vise à rapprocher deux termes (un nom et un adjectif) que leurs sens devraient éloigner, dans une formule en apparence contradictoire. Muriel Carbonnet Plus d’information sur l’artiste ici Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

360SmartConnect : Connaître l’évolution de l’empreinte carbone

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine 360SmartConnect propose une solution afin d’identifié le taux de carbone d’une pièce de préfabrication. [© 360SmartConnect] VAR. Parfois, l’actualité du moment colle avec les inspirations des équipes d’une entreprise. Ainsi, alors que 360SmartConnect et ses collaborateurs cherchaient à avoir un impact écologique, la RE 2020 venait imposer le concept de cycle de vie à la construction. « En début d’année 2021, nous avons décidé d’adjoindre à notre savoir-faire la capacité de mesurer la consommation en carbone d’une construction, explique Rolland Melet, fondateur et gérant de 360SmartConnect. Nous sommes capables, en direct, de comparer ce qui a été estimé et ce qui est effectivement émis lors du chantier. » Lire aussi les autres actualités en région Ainsi, dans le cas d’une pièce de préfabrication, elle est identifiée à son départ de l’usine avec le dispositif 360SmartConnect. En y intégrant les données carbone déclarées par le préfabricant. Installée sur chantier, la pièce est à nouveau notifiée sur la plate-forme 360SmartConnect, intégrant ses données sur le BIM. Calculant au passage les évolutions du chantier en matière d’empreinte carbone.  « Nous travaillons aussi sur une solution pour identifier les coulages de BPE. Dans l’espace et dans le temps, afin d’afficher à nouveau son empreinte. Nous avons le savoir-faire. Mais nous cherchons à minimiser notre impact dans le travail du fabricant, qui doit forcément communiquer ses données». Ainsi la transmission des données est automatisée. Retirant aux conducteurs de travaux de longues tâches administratives. « Nous avons déjà des contacts avec des clients et nous serons présents à l’accélérateur pour le climat du TedX de Cannes. Notre solution sera prête pour l’été. » Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 350 jours

EMT : Une centrale mobile en front de mer

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine EMT vient de mettre en service une nouvelle centrale à béton sur le site du chantier Mareterra, à Monaco. [©EMT] MONACO. Mareterra est le vaste projet d’extension de la Principauté de Monaco : 6 ha gagnés sur la mer grâce à la création d’une digue. Une opération sous la maîtrise d’ouvrage de la SAM l’Anse du Portier. Trois architectes – Valode et Pistre, Renzo Piano et le Monégasque Alexandre Girardi – en sont les maîtres d’œuvre.  Aujourd’hui remblayée, la nouvelle plate-forme est prête pour accueillir les nouvelles constructions. Quelque 120 000 m3de béton y doivent être mis en œuvre, d’ici à 2023 ! EMT est l’unique producteur de BPE monégasque. Tout naturellement, il s’est positionné pour être le fournisseur du chantier et a décroché ce marché. Toutefois, livrer une telle quantité de béton depuis ses centrales du centre-ville, distantes de 2,5 km, n’était pas envisageable. Car générant un flux de poids lourds trop important. « Pour répondre à cette contrainte, nous avons fait le choix d’installer une centrale à béton sur site,explique Eric Humilier, directeur d’EMT. De quoi réduire de 60 % la circulation de nos poids lourds en ville. » Un malaxeur à double arbre pour EMT L’unité s’inscrit sur une parcelle de 1 000 m2. « Nous avons choisi la centrale Amazone développée par EMCI. Cette unité intègre un malaxeur à doubles arbres horizontaux BHS Sonthofen DKXS 3.00». Elle est complétée par quatre trémies à granulats de 30 m3unitaire, alimentées par un déchargeur à plat. De quoi entreposer les deux sables 0/4 et les granulats 6/16 et 16/22, issus de la carrière Somat La Turbie (groupe Audemard). Côté ciments, quatre silos de 120 t stockent un CEM I 52,5 N (Vicat), un CEM I 425 R (Unicem Buzzi), un laitier de hauts fourneaux (Ecocem) et une cendre volante (Surschiste). Quant à l’adjuvantation, elle est assurée par Master Builders Solutions, partenaire historique d’EMT.  Lire aussi les autres actualités en région « Cette centrale est bardée dans sa totalité, avec un double capotage autour du malaxeur, conclut Eric Humilier. Elle est sans génie civil, uniquement posée sur des plaques de répartition de charge en acier. Six toupies de notre parc lui sont rattachées, car le chantier est assez étendu. » Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine