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Il y a 4 ans et 18 jours

Prévenir les émissions de poussières sur chantier

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine. Les risques poussières les plus importants sont liés à la présence de silice cristalline, que l’on retrouve dans plusieurs composants des travaux de gros œuvre. [©Hilti] Le risque lié aux poussières, présent pour l’ensemble des métiers du BTP, est parfois ignoré. Car il n’est pas toujours visible. Et n’impacte pas de façon immédiate la santé du personnel de chantier ou d’atelier. Au niveau des chantiers de gros œuvre, les sources principales de danger sont identifiées de longue date. C’est en priorité la silice cristalline sous toutes ses déclinaisons. Etant présente à l’état naturel dans le sable et les carrières, on la retrouve en toute logique dans la plupart des composants des travaux de gros œuvre. A commencer par le béton, le ciment, les mortiers, les enduits, les plâtres. Ainsi que de nombreux matériaux complémentaires, comme les carrelages et les faïences. Lutter contre les poussières Lorsqu’elles sont inhalées, les poussières de silice pénètrent facilement dans les poumons. Elles peuvent provoquer des insuffisances respiratoires et des maladies graves, comme la trop connue silicose des mineurs et des carriers. Du fait de l’étendue des matériaux contenant de la silice, de nombreuses professions sont exposées au risque : du tailleur de pierre au maçon, en passant par toutes les actions nécessitant de buriner, de percer, de tronçonner, de rainurer…Les risques liés à l’inhalation de poussières d’amiante, de plomb, de bois… concernent assez peu les entreprises de gros œuvre. Mais peuvent être un problème dans les opérations de rénovation, et plus encore dans des phases de déconstruction.Plus les poussières sont fines, mieux elles pénètrent dans l’organisme et en particulier dans le système pulmonaire. Lorsque leur taille est comprise entre 10 et 100 µm, on estime que les poussières circulent jusqu’aux fosses nasales. De 5 à 10 µm, elles atteignent les bronchioles. Et en-dessous de 5 µm, elles suivent les voies respiratoires jusqu’aux alvéoles pulmonaires. Une réglementation précise La silice sous ses différentes formes (quartz, cristobalite et tridymite) est classée dans la catégorie des agents chimiques dangereux (ACD) définis à l’article R. 4412-3 du Code du travail. De ce fait, les entreprises doivent appliquer les dispositions spécifiques relatives à la prévention des risques chimiques, définies dans les articles R. 4412-1 à R. 4412-57 du Code du travail. Par ailleurs, les articles R. 4412-154 et R. 4412-155 indiquent les valeurs limites d’exposition aux poussières (VLEP), en cas de présence simultanée de poussières alvéolaires contenant de la silice cristalline et d’autres poussières alvéolaires non silicogènes. La concentration moyenne en silice cristalline inhalée par un travailleur pendant une journée de travail de 8 h ne doit pas dépasser 0,1 mg/m3 pour le quartz, et 0,05 mg/m3 pour la cristobalite et la tridymite. Autant ces valeurs limites d’exposition peuvent être mesurées et contrôlées dans des lieux fermés, comme une unité de préfabrication, autant l’approche est complexifiée sur un chantier, par définition ouvert et en évolution permanente. Comme pour l’ensemble des risques professionnels, l’entreprise doit pouvoir évaluer de manière concrète le risque poussières, pour ensuite le traduire dans son Document unique (DU). Les questions qui doivent être posées se situent à plusieurs niveaux : l’activité de l’entreprise expose-t-elle les salariés aux poussières ? Si oui, quelles sont les situations de travail qui exposent les salariés à ces dernières ? A quelle fréquence, quelle durée, quelle intensité les salariés sont-ils exposés ? Les réponses à ces questions doivent permettre de déboucher sur des actions de prévention les plus adaptées, les solutions étant nombreuses. Zoom sur la structure de la silice cristalline. [©INRS] Matériaux, modes constructifs et procédures au cœur du problème La brumisation, une solution efficace en extérieur pour limiter la propagation des poussières. [©DR] Il existe nombre de solutions permettant de limiter l’empoussièrement des chantiers, sachant que les risques doivent aussi être évalués en fonction des ciments utilisés. Les ciments purs (CEM I), mais aussi la grande majorité des ciments au calcaire (CEM II/LL), ainsi que les ciments au laitier produits en France (CEM II/A-S et CEM III) ne contiennent pas de silice cristalline. Seuls, les ciments au laitier et cendres (CEM V) ou les ciments à la pouzzolane (CEM II/A-P ou CEM II/A-M P-LL) peuvent contenir une fraction infime de silice cristalline. Ce sont surtout les opérations de ponçage, de perçage et de rainurage qui sont des sources d’émissions de poussières en quantité variable. Et dont il faut se protéger. Les poussières émises par ces traitements peuvent contenir des éléments de silice cristalline, mais aussi une faible proportion de nanoparticules. Ces dernières années, la commercialisation de ciments, de mortiers, de mortiers-colles et d’enduits à faible émission de poussières contribue aussi à limiter l’empoussièrement des postes de travail. Lorsque ces actions ne sont pas possibles ou difficiles à mettre en œuvre, il faut réfléchir à l’optimisation de l’organisation, visant à limiter l’exposition aux poussières. Notamment, en s’organisant pour réduire le nombre de salariés exposés, pour diminuer leur temps de présence grâce aux rotations de postes. Ou encore en limitant la co-activité entre les différents corps d’état sur le chantier. D’autres pistes peuvent compléter les moyens de prévention, comme la limitation de l’accès aux zones concernées, l’aspiration à la source, la brumisation des zones de travail à risques... Matériels, outillages et protections Le choix des matériels et des outillages entre aussi en ligne de compte. Depuis plusieurs années, les industriels de l’outillage électroportatif font évoluer leurs productions pour intégrer la prévention du risque poussières. Pour les outils électroportatifs, il faut privilégier le matériel à vitesse lente qui produit moins de poussières. Ce dernier doit être équipé d’un système intégré de captage des poussières. Et relié à un aspirateur équipé de filtres adaptés. Des matériels comme les tronçonneuses ou les carotteuses à eau vont dans le même sens. Les perceuses et perforateurs peuvent être équipés de dispositifs d’aspiration et de mèches creuses pour orienter et aspirer les poussières. Pour les meuleuses, des carters d’aspiration sont disponibles. Des ponceuses compactes sont aussi conçues avec un collecteur de poussières, afin d’en absorber un maximum. Les opérations de rénovation lourde impliquent parfois des démolitions et déconstructions partielles. Ces interventions sont sources de risques à plusieurs niveaux : empoussièrement, risques d’écrasement, manutentions importantes… Aussi, elles sont de plus en plus souvent effectuées par des robots commandés à distance, parfois en complément des opérations de sciage. Lorsque toutes les actions de protection collective ne peuvent pas être mises en place, il faut prévoir des équipements de protection individuelle (EPI). Notamment de ceux de protection respiratoire, qui doivent être équipés au minimum de filtres de classe P2. Et obligatoirement de classe P3 pour les activités génératrices de poussières de silice ou de bois durs. Selon les travaux, il faut utiliser un masque jetable anti-poussières ou un masque réutilisable avec filtre de type P, pour des tâches de faible empoussièrement et de courte durée. De nombreux matériels électroportatifs sont équipés d’un système intégré de captage des poussières et reliés à un aspirateur équipé de filtres adaptés. [©Fischer] Sensibiliser l’encadrement et le personnel Lorsque des protections collectives sont inadaptées à la situation, le port d’EPI est indispensable. [©OPPBTP] Comme pour l’ensemble des risques professionnels, l’encadrement se doit d’informer et de sensibiliser le personnel aux travaux sources de poussières et aux mesures de prévention à adopter. Pour ce faire, il est nécessaire d’établir une notice de poste pour chaque situation de travail exposant les travailleurs à des agents dangereux, tels que les poussières. Cette notice est destinée à informer les salariés des risques auxquels leur travail peut les exposer et des dispositions prises pour les éviter. La notice rappelle les règles d’hygiène, ainsi que les consignes relatives à l’emploi des équipements de protection collective ou individuelle. La sensibilisation passe aussi par des actions d’information et par l’édition de messages réguliers, afin que les mesures de prévention deviennent des automatismes, au niveau de l’encadrement, du personnel de chantier et d’atelier. Pour les entreprises de moins de 50 salariés, il existe aussi des dispositifs d’aides financières spécifiques. L’assurance maladie propose l’aide “Bâtir +” pour améliorer la sécurité et l’hygiène sur les chantiers du BTP. Les Caisses d’assurance retraite et de santé au travail (Carsat) peuvent aussi intervenir au niveau financier auprès des petites entreprises grâce aux “Subventions prévention TPE/PME”. Enfin, comme le démontre une enquête réalisée il y a quelques années par l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP), l’investissement dans des mesures efficaces de prévention protège le personnel, améliore les conditions de travail… Et par suite, la productivité de l’entreprise. Il aura fallu du temps pour que ce lien évident soit reconnu, car on peine toujours à admettre que des “dépenses” de prévention représentent en fait un investissement pour l’entreprise.   Gérard Guérit Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 18 jours

Soriba : « Nous investissons pour le futur »

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. De gauche à droite, Stéphane Garnier, président de Soriba, Valentin Garnier, en charge du projet industriel “escaliers et du bas carbone”, et Simon Garnier, responsable du site de production de Challans. [©Soriba] L’actualité du moment chez Soriba concerne la construction d’une nouvelle usine à Fontenay-le-Comte, en Vendée. Vous pouvez nous en dire plus sur ce projet ? L’idée est de créer un outil capable de répondre à nos besoins immédiats et à venir. Le béton est une industrie lourde et pérenne. Il ne faut donc pas se tromper dans ces choix. Notre nouvelle installation prend place sur un site existant de 9 ha. Elle complète et étend l’usine qui y est déjà présente. Pour cette réalisation, nous nous sommes basés sur le retour d’expérience de notre dernière extension, qui date de 2011. Celle-ci était déjà une rupture en matière d’outils industriels de préfabrication. Une nouvelle fois, nous investissons pour le futur. L’unité de production de Fontenay-le-Comte Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 18 jours

Les innovations matériels fleurissent au printemps

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine [©ACPresse] Le Covid aura empoisonné la vie de bien des secteurs d’activité. Celui de l’évènementiel aura payé un lourd tribut à la pandémie. Côté construction, la victime s’appelle Intermat – World of Concrete Europe, qui a jeté l’éponge dans les derniers jours de l’année 2020. Rendez-vous est déjà pris pour avril 2024, un peu avant les Jeux olympiques de Paris. Mais à la demande de nombreux industriels, un rendez-vous plus modeste a été annoncé. Baptisé “Construction Days”, il se tiendra du 14 au 16 septembre prochain, en plein air, au parc Eurexpo Lyon. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 18 jours

Les trois axes du futur label RE2020

CONCERTATION. Le label qui doit suivre la réglementation environnementale 2020 et permettre à ceux qui le souhaitent "d'aller plus loin" est entré dans sa première phase de concertation. Philippe Pelletier, président du Plan bâtiment durable, en a dévoilé l'architecture pressentie, même si "tout est à construire avec les acteurs".
Il y a 4 ans et 18 jours

Cem’In’Eu joue la fille de l’eau

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Les barges de clinker permettent de desservir la nouvelle usine de Cem’In’Eu de Portes-lès-Valence. [©Cem’In’Eu] Drôme. Connecté aux réseaux ferré et fluvial, le nouveau site industriel de la start-up cimentière Cem’In’Eu de Portes-lès-Valence (26) lance l’approvisionnement par le Rhône. La première barge de clinker en provenance de Sète (34) a accosté, le 8 février dernier, au port fluvial de commerce de la Drôme, à Valence. A l’heure actuelle en phase de démarrage industriel, le nouveau site baptisé Rhône Ciments est la 2e usine française de Cem’In’Eu (après celle d’Aliénor Ciments, à Tonneins, dans le Lot-et-Garonne). Rhône Ciments sera approvisionnée en matières premières à la fois par voie ferrée et par le Rhône en provenance du port de Sète. A terme, l’usine recevra environ 4 000 t de clinker par semaine par ces deux moyens de transport. Le transport fluvial est affrété par l’entreprise sétoise Cem’In’Log et opéré par Agora Fluvial (groupe Sogestran). Placée au cœur des territoires, Rhône Ciments est idéalement située pour desservir les marchés d’Auvergne – Rhône-Alpes Sud,  et de Provence – Alpes – Côte d’Azur et d’Occitanie. « Si nous avons sélectionné le site de Portes-lès-Valence pour implanter Rhône Ciments, c’est pour sa connexion aux réseaux fluvial et ferré, déclare Magali Laurenço, directrice de Rhône Ciments. Un atout unique pour atteindre nos objectifs ambitieux en matière d’impact carbone. La collaboration avec la Compagnie nationale du Rhône et la Chambre de commerce et de l’industrie de la Drôme nous permet aujourd’hui d’accueillir la première barge de clinker dans de bonnes conditions. Et d’envisager de manière sereine notre développement, dans le respect de l’environnement. » Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

Les arrêtés DPE sont parus, sur fond d'amendements au projet de loi climat et résilience

AMENDEMENTS. Trois arrêtés définissant les contours du futur DPE, en vigueur le 1er juillet prochain, sont parus au Journal officiel du 13 avril 2021. Un outil qui sera de plus en plus incontournable au vu des amendements pris dans le cadre du projet de loi climat et résilience.
Cimbat
Il y a 4 ans et 18 jours

MRO reprend l’importation des solutions Reimer

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Les solutions Reimer sont désormais importées par MRO. [©MRO] Charente-Maritime. Déjà présente à travers le réseau d’Abo Distribution, le Canadien Reimer est désormais distribué en France par Matériels Routiers de l’Ouest (MRO). Depuis renommé ProAll Reimer Mixers, l’industriel propose toujours des malaxeurs mobiles capables de produire du béton à la norme BCPN (Béton à composition prescrite dans une norme) sur place, à la qualité et à la quantité souhaitées. « Nous avons repris cette carte en juillet 2020, explique Sylvain Augeraud, gérant de MRO. Nous sommes les distributeurs uniques de ProAll Reimer Mixers pour la France. Nous avons aussi un stock d’environ 38 000 € de pièces détachées, qui nous permet de répondre aux besoins les plus urgents de nos clients. Nous avons mis en place un SAV, qui n’existait plus. » Ce service s’appuie sur un responsable technique qui réalise le suivi des machines, le dépannage à distance et les mises en route des machines. Un second technicien est en cours de recrutement. Il aura en charge les déplacements pour réparation.  « A l’origine, MRO distribue des centrales à enrobé pour les entreprises de travaux publics. A travers cette activité, j’ai été amené à croiser les solutions Reimer. Et j’ai tout de suite été convaincu par ce véritable service offert aux entreprises, ce gain en indépendance et cette liberté de planning. Quand on m’a proposé de reprendre l’importation et la distribution, je n’ai pas hésité. » MRO reprend aussi le carnet de clients déjà établi de Reimer en France, tout en le développant, vers les entreprises de travaux publics.  Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

Groupe JPS Granulats : Le bas carbone comme leitmotiv

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Olivier Stocker, président du groupe JPS Granulats : « Dans le béton, c’est le clinker qui est émetteur de CO2, pas l’eau, ni les granulats ». [©ACPresse] Président du groupe JPS Granulats, Olivier Stocker est quelqu’un qui aime faire bouger les lignes. Déjà en 2017, il a fait modifier le référentiel de certification NF Liants hydrauliques1(NF 002). Ceci, pour le mettre en phase avec les Modalités d’application du marquage CE Ciments (CE 002). Une initiative qui a ouvert la porte à la fabrication de ciments en usines de mélange en France.  Par voie de conséquence, Ciments 2170, filiale de JPS Granulats, a pu lancer une production de CEM II/B-LL 42,5 N CE NF et 32,5 R CE NF. Le premier intègre 25 % de fillers calcaire micronisés Adca, fabriqués par JPS Granulats, et 75 % de clinker, fourni par Vicat. Quant au 32,5 R, le taux de substitution grimpe à 30 %. « Notre objectif pour 2022 est de passer 100 % de notre production en CEM II/B-LL 32,5 R », explique Olivier Stocker. Et de poursuivre : « Dans le cadre de notre R&D, nous avons même formulé un ciment avec 40 % de fillers calcaire et réalisé des bétons affichant tous les critères de durabilité et de résistance qu’on doit attendre d’eux ».  L’étape suivante dans le développement de l’offre ciments s’appelle CEM II/C 42,5 et CEM VI. Des solutions bas carbone, toujours réalisées par mélange, mais ternaires. Outre le clinker et le filler micronisé, ils intègrent du laitier. Toutefois, pas de haut fourneau. « En local, nous avons identifié un industriel intervenant dans le recyclage de l’acier,reprend Olivier Stocker. Ce dernier est en mesure de nous fournir un laitier dit de recyclage, apte à la production de ciment». Mais là se pose une nouvelle fois un problème de normalisation, qui n’a pas prévu la possibilité d’utiliser du laitier de recyclage. Il faudra donc faire bouger les lignes, puisque la ressource est là… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 18 jours

3Béton s’implante sur l’arc alpin

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine La nouvelle centrale 3Béton est construite à l’intérieur d’un bâtiment fermé. [©3Béton] Isère. Une nouvelle entreprise de production de béton prêt à l’emploi est en train de voir le jour dans la région grenobloise. C’est à Domène, en périphérie Est de la préfecture iséroise, que 3Béton achève la construction de sa toute première centrale. « 3Béton souhaite se positionner sur les solutions bas carbone et valorisant les matières premières issues du recyclage », indique Emmanuel Garcia, directeur technique et co-fondateur de 3Béton. Ceci, avec Patrick Sallemand et Laurent Morniroli. Le nouvel entrant s’inscrit donc dans l’air du temps. « Le contexte de la construction est en pleine mutation. Les attentes des utilisateurs évoluent aussi. L’expérimentation est acceptée plus facilement. » Laitier de hauts fourneaux, granulats recyclés, formulations adaptées constituent ainsi les fondamentaux de l’entreprise, qui reste ouverte à toutes les opportunités.  De fait, son outil industriel est dimensionné pour les bétons bas carbone. Sa première caractéristique est d’être construit à l’abri d’un bâtiment fermé. Une approche qui simplifie la gestion des éventuelles émissions de poussières et du bruit. De conception italienne, la centrale signée MCF Systems s’articule autour d’un malaxeur vertical de 2 m3 de même marque, « adapté à nos spécifications », reprend Emmanuel Garcia. Pour accueillir les granulats, pas moins de huit cases, de capacités variables ont été prévues. Et cinq silos à liants de 80 t unitaire complètent le dispositif de stockage. Enfin, l’adjuvantation n’est pas en reste, avec la présence de dix cuves dédiées.   3Béton a prévu de produire ses premières formulations début d’avril. Et ambitionne de créer une dizaine de centrales, à terme, sur le secteur Annecy – Chambéry – Grenoble. En attendant, l’industriel vient de signer un contrat de fourniture de BPE pour le projet du Club Med à Tignes, via une centrale mobile qui sera installée sur site. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

Le Musée de la Chaussure retrouve son charme d’antan grâce aux tuiles Edilians

En juin 2019, un violent orage de grêle traverse le département de la Drôme provoquant d’importants dégâts dans de nombreuses communes parmi lesquelles Romans-sur-Isère. La ville voit un grand nombre de ses monuments historiques endommagés, les toits abîmés. Classée en état de catastrophe naturelle, elle entreprend alors d’importants travaux de réparation de ses bâtiments emblématiques dont la rénovation globale des toitures du Musée de la chaussure avec les tuiles Delta 10 Ste Foy et Canal 50 Restauration Poudenx d’Edilians.   Un patrimoine à préserver Située entre Grenoble et Valence, Romans est chargée d’histoire. Le cœur de la vieille ville abrite des ruelles étroites et nombre de patrimoines tels que la collégiale Saint-Barnard, élevée à l’emplacement d’une abbaye fondée en 838 sur les bords de l’Isère, ou encore son Musée international de la chaussure, installé dans l’écrin prestigieux de l’ancien couvent de la Visitation. Après la tempête de grêle de juin 2019, le Musée de la chaussure, qui expose une exceptionnelle collection de 16.500 souliers en tout genre, se retrouve contraint de fermer ses portes au public. Deux mois plus tard, la mairie lance un appel d’offres pour réparer non seulement les dommages subis par le musée mais également par l’ensemble des édifices sinistrés, classés à l’inventaire des monuments historiques, en commençant par la collégiale. Les Architectes des Bâtiments de France sollicitent alors Eric Sirvent, responsable commercial d’Edilians en charge de ce secteur, pour leur présenter différents modèles de tuiles Canal destinées à la couverture de l’église. Séduits par l’esthétique de la Canal 50 Restauration Poudenx, ils décident finalement de l’utiliser plutôt pour restaurer une partie des toitures du Musée de la chaussure. Rappelant les véritables tuiles d’autrefois, elle leur permet, en plus, de respecter l’une des clauses du cahier des charges de la ville : une reconstruction à l’identique afin de pouvoir bénéficier des indemnités prévues par les assurances dans le cadre d’une catastrophe naturelle.   Restaurer tout en respectant l’histoire Spécialisée dans la rénovation et partenaire d’Edilians depuis plus de 30 ans, l’entreprise Chovin remporte l’appel d’offres de la ville de Romans-sur-Isère et se voit confier la rénovation de la totalité de la charpente du Musée de la chaussure avec pour mission de respecter l’esthétique d’origine de ce patrimoine ancien. Pour ce faire, les architectes des Bâtiments de France ainsi que ceux de la commune valident deux types de tuiles terre cuite d’Edilians. Avec son grand moule faiblement galbé à relief, la tuile à emboîtement Delta 10 Ste Foy, en coloris rouge, remplace fidèlement les tuiles plates Saint-Vallier de la structure centrale du Musée. Une fois enlevées les plaques de fibrociment revêtues d’amiante découvertes en sous-toiture, la tuile Canal 50 Restauration Poudenx recouvre les deux autres ailes à 4 pans du site, dotées d’une pente de toiture de 36% environ. Issue de la Sélection Patrimoine, cette tuile canal à tenons a été posée dessus/dessous afin d’épouser parfaitement la forme des nouvelles plaques ondulées et ainsi renforcer l‘étanchéité. « Choisie en coloris Antique, elle se marie à la perfection avec les bâtiments environnants » souligne Nicolas Robin, gérant de l’entreprise Chovin. Au total, 2.865 m2 de tuiles terre cuite Edilians dont 1.910 m2 de Canal 50 Restauration Poudenx et 955 m2 de Delta 10 Ste Foy ont été mises en œuvre par trois charpentiers couvreurs de l’entreprise Chovin, à raison de 50 m2 par jour. Frontons, rives, faîtières et closoirs d’étanchéité complètent cet ensemble composé de plus de 30.000 tuiles.   Après plus de 6 mois de travaux, le Musée de la chaussure qui a pu ouvrir ses portes en temps et en heure en juillet 2020, attend désormais la fin de la crise sanitaire pour accueillir à nouveau des visiteurs. Nul doute qu’ils seront charmés par la qualité de la restauration à l’identique des toitures, à l’image de la ville de Romans-sur-Isère qui envisage de rénover la chapelle du musée ainsi qu’un monastère situé à proximité avec les mêmes prescriptions. http://www.edilians.com
Il y a 4 ans et 18 jours

MCB décroche l’île de La Réunion

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine MCB doit construire 30 moules permettant la préfabrication de xblocPlus en béton non armé [©MCB] Loire. L’usine Moules Concept Béton (MCB) est implantée sur la commune du Chambon Feugerolles, au cœur des territoires. Cet industriel est spécialisé dans la réalisation “d’ouvrages chaudronnés destinés à la mise en forme du béton”, comme le précise son site Internet. En d’autres termes, des moules et coffrages métalliques sur mesure. C’est dans le cadre de son expertise unique que MCB vient de décrocher une commande pour la construction de moules pour blocs brise-lame. « Ces blocs sont conçus par le Néerlandais Delta Marine Consultants. Il s’agit de leur nouvelle offre baptisée xblocPlus, car ils présentent une forme inédite », explique Rémy Mallet, dirigeant de MCB.   Réalisés en métal, les moules sont au nombre de 30 et bénéficient de quelques améliorations par rapport au concept d’origine. L’ensemble est destiné au chantier de l’aéroport Roland-Garros de Saint-Denis de La Réunion. Assurés par le groupe Vinci, les travaux visent au “prolongement de la protection littorale existante le long de la concession aéroportuaire ». Et doivent voir la pose de quelque 11 500 xblocPlus non armés, d’un poids unitaire de 4,4 t environ (volume de 2 m3). C’est la Société bourdonnaise industrielle de préfabrication et de béton (SBIPB) qui assurera la production des xblocPlus sur la plate-forme aéroportuaire. Pour ce faire, cette filiale Vinci vient de réceptionner une première livraison de moules pour effectuer des essais. Pas de centrale sur site pour cette préfabrication foraine : les bétons doivent être fournis par un BPE voisin de l’aéroport. Le chantier est prévu pour une durée de trois ans.  Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

Orea sauve le tunnel de Ponserand

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Travaux d’hydro-fraisage à l’intérieur du tunnel de Ponserand réalisés par l’entreprise Orea. [©Orea] Savoie. Depuis plus de 25 ans, à Aigueblanche, le tunnel de Ponserand est confronté à un problème récurrent : il devient impraticable en cas de fortes pluies. La raison ? Une canalisation d’eau pluviale obturée à plus de 90 % par un mélange de calcite et de béton. Ceci, depuis l’origine du projet. Et aucune solution ne semblait pouvoir résoudre le problème… Il est vrai que l’ouvrage long de 55 m est enfoui à plus de 7 m de profondeur sous la chaussée du tunnel.  Gérant le tunnel et toutes les installations inhérentes, la Direction interdépartementale des routes Centre-Est se désespérait de trouver une solution, sans ouverture de la chaussée et sans terrassement. Opération qui aurait entraîné une longue fermeture du tunnel et généré de coûts exorbitants pour la communauté.  La réponse est venue de l’entreprise lyonnaise Orea. Ce spécialiste de la gestion des canalisations a apporté la solution attendue avec son robot d’hydro-fraisage. Equipé d’un jet d’eau très haute pression à 3 000 bar, ce dernier disposait d’une puissance suffisante pour désintégrer la calcite et le béton, qui créaient ce bouchon dans la canalisation. « Nous avancions par petits pas, car il fallait évacuer les déblais au fur et à mesure de la destruction du bouchon », explique Vincent Ducamp, président d’Orea. C’est un hydro-cureur classique qui prenait le relais pour cette opération de récupération et d’évacuation des débris. Malgré les 3 000 bar de pression, la canalisation en béton n’a pas souffert. Le jet d’eau travaillant face au bouchon et touchant l’intrados de la canalisation que de manière tangentielle. Toutefois, à l’issue du curage, Orea a procédé au chemisage de la canalisation, pour lui redonner sa pleine capacité de transport des eaux.  Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

Parc des Courtillières de Pantin : Vague culturelle

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Les courbes imaginées par Emile Aillaud pour le parc des Courtillières se sont réinterprétées au niveau de la couverture du hall d’accueil du nouvel espace culturel de Pantin. [©ACPresse] C’est à partir de 1954 que sont lancés, à Pantin (93), les travaux du parc des Courtillières, un des tout premiers grands ensembles d’habitation érigés en Ile-de-France. Conçue par l’architecte Emile Aillaud (1902 – 1988), la construction se caractérise par sa forme générale : un vaste serpentin en béton préfabriqué de plus de 1 km de long, comptant quelque 655 logements. Et entourant un parc de 4 ha planté de 1 500 arbres. Le projet est la conséquence directe de l’appel de l’Abbé Pierre, le 1er février 1954, et de la mobilisation de l’opinion publique autour du mal-logement qui s’en est suivi… Près de 70 ans plus tard, et après un vaste programme de réhabilitation, c’est un tout nouveau lieu culturel qui est en train de voir le jour, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 18 jours

Alphi : La TopTable au balcon

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine La TopDalle d’Alphi est particulièrement adaptée pour la réalisation de balcons coulés en place. [©Alphi/Eric Perret] Haute-Savoie. Animées par les mêmes valeurs et la même volonté d’améliorer les conditions de travail des compagnons sur les chantiers. Alphi et Bovagne Frères collaborent depuis plus de 10 ans en Haute-Savoie.  Ainsi, l’entreprise de gros œuvre a fait le choix du système de coffrage TopDalle, dès sa conception par Alphi. Les atouts de cet outil en termes de sécurité, d’ergonomie et de productivité ont conquis l’entreprise, qui dispose aujourd’hui de plus de 10 000 m² de TopDalle pour gérer la réalisation de ses planchers coulés en place.  Bovagne Frères a aussi sollicité Alphi sur la problématique récurrente du coffrage de balcons. Un point sensible sur les chantiers, sachant qu’aucune solution traditionnelle ne permet de coffrer ces éléments en toute sécurité. La TopTable répond désormais à ce besoin. Cette nouvelle table-balcon a été testée et perfectionnée en collaboration avec l’entreprise, pour aboutir à un produit optimal, en termes de modularité, de poids et de conditionnement. Une dizaine de chantiers gérés par Bovagne Frères ont ainsi été réalisés avec cette table de coffrage sur le bassin d’Annemasse et dans le Pays de Gex. La TopTable est actuellement utilisée sur les chantiers du Clos de La Bergerie,  à Cessy (01), de Cédrus, à Annemasse (74), des Prémices, à la Roche-sur-Foron (74) ou encore de l’Arborescence, à Veigy-Foncenex (74). « Nous sommes très satisfaits de la table de coffrage Alphi,  qui nous assure un gain de temps considérable pour la réalisation des chantiers. Et permet surtout à nos coffreurs de travailler en sécurité », concluent Nicolas Bovagne, directeur général, et François Marelli, directeur de travaux, au sein de l’entreprise Bovagne Frères. Cet article est à retrouve dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

Castorama dépasse le million de commandes drive en 2020

Un service rapide et efficace, disponible en 2HRapide, efficace et professionnel, le succès est au rendez-vous : un million de commandes ont été réalisées en drive en 2020. Retour sur l’ascension fulgurante d’un dispositif qui s’inscrit dans les nouvelles habitudes de consommation des Français.Castorama a démocratisé le drive dans le secteur du bricolageInspiré par le secteur alimentaire, Castorama a été le premier acteur du secteur du bricolage à mettre en place le service du drive : un service de retrait facile et rapide en 2h pour répondre aux besoins de tous. Lancé en 2014, le dispositif a explosé dès la fermeture des magasins en mars 2020 et Castorama a professionnalisé et déployé le drive en quelques semaines sur tout le territoire, permettant aux Français de continuer à réaliser leurs projets d’amélioration de la maison, en toute sécurité. Le succès du dispositif repose également sur les collaborateurs de l’enseigne qui ont fait preuve d’imagination et d’agilité pour accompagner les clients dans ce dispositif fraichement réorganisé : signalétique pour indiquer les zones de retrait, géolocalisation et mise en place de auvents, tout le personnel s’est mobilisé à vitesse grand V pour trouver le bon mode opératoire et lancer cette nouvelle aventure. Preuve d’un vrai succès professionnel et humain, un million de commandes drive ont été passées en 2020, soit une multiplication par 3.5 de l’usage du dispositif en un an. Rapidité, efficacité et continuité de service, en cohérence avec les contraintes sanitaires du moment.Un mode d’emploi simple :Passez votre commande sur le siteChoisissez le retrait en 2h ou un créneau de rendez-vousEn arrivant sur le parking, des auvents indiquent la zone de retraitSignalez votre arrivée en scannant le QR Code sur les bornes totemsNos collaborateurs viennent charger directement votre véhicule5 minutes plus tard, repartez avec vos achats !« Nous sommes très fiers d’avoir contribué à l’explosion du drive. Nous avons dépassé le million de commande en drive sur l’année 2020, preuve que nos clients saluent ce dispositif rapide et pratique » déclare Franck Moreno, directeur d’enseigne Castorama.Un dispositif plébiscité pour toutes les gammes de produitsJardinage, petit bricolage, projets d’amélioration de grande ampleur, le drive séduit les clients pour tous les achats et les 60 000 références de l’enseigne y sont disponibles. Avec l’arrivée des beaux jours, l’enseigne prévoit un boom des produits d’extérieur : mobilier, barbecues, plantes et piscines...autant de produits pour lesquels le drive s’affiche comme une solution simple et adaptée pour les Français qui se lancent dans des travaux d’amélioration de la maison afin de profiter de la période estivale.« Au début de la crise sanitaire, le drive était un dispositif pour récupérer ses commandes alors que les magasins étaient fermés, puis c’est devenu un moyen plus sécurisé de faire ses achats dans un contexte de pandémie. Pendant plusieurs semaines, nous avons écouté nos clients, fait évoluer le dispositif selon les nouvelles attentes et aujourd’hui, on constate que le drive est devenu une alternative complémentaire au magasin : une solution simple et rapide pour accéder à l’ensemble de l’offre » déclare Franck Moreno.Aujourd’hui, le drive s’est inscrit durablement dans les habitudes de consommation des Français et son déploiement est un exemple supplémentaire de l’accompagne-ment omnicanal proposé par Castorama : que ce soit en physique, en ligne, en magasin ou en drive, Castorama répond à tous les besoins et continue de conseiller et d’inspirer les clients sur 18h39.fr, Pinterest, Instagram ou Facebook.
Il y a 4 ans et 18 jours

Wacker Neuson : Des “Y” bien vibrés

Cet article est à retrouver dans Béton[s] le Magazine n° 93 Les poteaux en “Y” de l’OL Vallée ont nécessité le savoir-faire de tous les intervenants. [©Wacker] Rhône. A l’ombre du stade de l’Olympique Lyonnais pousse l’OL Vallée, un ensemble de bureaux, salle multi-fonctionnelle de 16 000 personnes et espace tertiaire. Pour le R+7 de bureaux, l’architecte a dessiné le parking parsemé de seize poteaux en “Y”, venant soutenir l’étage supérieur. « Non seulement, ce sont des poteaux en “Y”, mais chaque branche a une surface en négatif, rappelant la forme d’un IPN », détaille Irvann Demartino, responsable du projet pour Atout Coffrage. Cet industriel a donc conçu un coffrage bois, permettant de reproduire la forme voulue. Tout en évitant les effets de succion et en étant réutilisable seize fois. « Le système d’Atout Coffrage nous a permis de couler rapidement et en toute sérénité, précise Guillaume Brun, chef de chantier chez Bosgiraud, entreprise en charge du gros œuvre. Pour nous, le défi était de réussir à avoir un béton assez fluide. Ceci, pour remplir les formes. » Bosgiraud s’est appuyée sur le béton Chronolia de LafargeHolcim, permettant de décoffrer dès le lendemain. « Nous avons aussi coulé en été, ce qui nous a aidés. Et ce, chaque poteau, mètre cube, par mètre cube, en alternant patte gauche et patte droite, pour équilibrer l’ensemble. » Anthony Gonin, commercial chez Aurama, a, lui, apporté la solution de vibration externe, aidant à s’assurer du bon remplissage du coffrage. « Je leur ai conseillé d’utiliser un vibrateur externe AR 52 9 000 tr/mn, complété par un convertisseur de fréquences électroniques FUE M/S 75A. Le tout fabriqué par Wacker Neuson. » Une solution adoptée par toutes les équipes. « Nous avions mis en place un process. Le vibrateur était déplacé à intervalles réguliers, afin d’assurer une bonne homogénéité du béton. Au final, nous avons coulé au rythme d’un poteau par jour. Toute cette préparation a été optimale », conclut Guillaume Brun.  Cet article est à retrouver dans Béton[s] le Magazine n° 93
Il y a 4 ans et 18 jours

La protection des bétons

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine L’îlot Saint-Urbain à Strasbourg. Chaque bâtiment bénéficie de sa propre teinte. Des lasures signées Keim. [©Keim] Depuis maintenant un an, les masques sont entrés dans notre quotidien. Se protéger des virus, protéger les autres… Tel est son rôle. Le béton, lui, est habitué depuis bien longtemps à accueillir une protection contre les diverses agressions de son environnement. Appliqués à jeune âge, lors de la construction ou en rénovation, ces produits existent sous différentes formes et répondent à une multitude de problématiques. Mais aussi, à la folie architecturale en fonction de ses attributs. Tour d’horizon des protections pour béton. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

SBM recherche un partenaire français

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Alexander Kraus est le responsable commercial centrales à béton de SBM. [©SBM] SBM est un industriel autrichien intervenant dans plusieurs domaines. Pouvez-vous nous indiquer vos spécialités ? Pour commencer, SBM est une entreprise avec 70 ans d’expérience, qui se développe autour de deux axes : la production de béton et celle de matériaux de carrière. Nous comptons 165 collaborateurs. Nos marchés principaux sont bien entendu l’Autriche, où est installée notre usine, à Oberweis. Mais aussi l’Allemagne et la Suisse. Sur ces marchés, l’ensemble de notre catalogue est plébiscité, aussi bien nos centrales fixes classiques, mobiles, super mobiles ou conteneurisées. Au total, nous sommes présents dans une trentaine de pays, en particulier avec notre unité super mobile Euromix. Surtout sur les chantiers où il est nécessaire de s’appuyer sur une centrale mobile de forte capacité. Nos solutions conteneurisées sont aussi très bien perçues sur les marchés scandinaves, où les besoins sont très spécifiques. Les centrales mobiles représentent 50 % de notre activité. Les autres 50 % se réalisent autour des projets d’infrastructure majeurs comme les lignes de chemin de fer, les autoroutes ou les ports. Nous concevons et installons des équipements sur mesure qui s’adaptent à ces projets. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } ); Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 93 Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
GDA
Il y a 4 ans et 18 jours

La Ville de Paris offre ses premiers logements en accession sous bail réel solidaire

La Ville de Paris offre ses premiers logements en accession à 5.000 euros du m2, soit moitié moins cher que les prix du marché, grâce au dispositif du bail réel solidaire (BRS).
Il y a 4 ans et 18 jours

Mobilité rurale décarbonée 2/5 : La France coupée en deux

Cinq régions boudent les autorités organisatrices de la mobilité dans les territoires ruraux. Si aucune statistique officielle ne recense encore les communautés de communes qui ont pu choisir cette compétence optionnelle jusqu’au 31 mars, les observateurs s’attendent à un net déficit du sud de la France, en particulier de l’Occitanie, de la Nouvelle-Aquitaine, de Centre Val-de-Loire et d’Auvergne Rhône-Alpes. La césure traverse le clivage entre droite gauche.
Il y a 4 ans et 18 jours

Deux ans après l'incendie, le sprint final pour terminer la sécurisation de Notre-Dame

Vingt-quatre mois après le sinistre toujours inexpliqué qui avait ému le monde, les dernières sécurisations sont menées tambour battant dans l'édifice gothique de 850 ans, et autour du trou béant qu'a laissé la flèche en s'écroulant.Les appels d'offres ont été engagés et les architectes multiplient les diagnostics permettant d'établir un calendrier précis des travaux à partir de l'hiver prochain, indique l'Etablissement public chargé de la conservation et de la restauration, créé après l'incendie.Mille chênes débités sont en train de sécher pour reconstruire la flèche et la croisée du transept. Et deux chapelles-test ont été nettoyées, révélant les couleurs laissées par l'architecte Eugène Viollet-Le-Duc au XIXe siècle. Choisi par Emmanuel Macron pour conduire le chantier en cinq ans, Jean-Louis Georgelin, un général, a indiqué lors d'un déplacement début mars en forêt de Bercé (Sarthe) pour la sélection des premiers arbres: "Nous sommes dans les temps pour rendre la cathédrale au culte en 2024. Même s'il restera encore beaucoup de travail".Le président lui a confié l'Etablissement public, pour reconstruire la cathédrale "plus belle qu'avant". L'hypothèse d'un geste architectural contemporain pour remplacer la flèche détruite a été écartée.Entrelacs d'échafaudagesL'architecte en chef Philippe Villeneuve, grand connaisseur de la cathédrale, avait mis sa démission dans la balance si l'édifice n'était pas reconstruit à l'identique. Identique ne veut pas dire "fac-similé". Pour la charpente par exemple, il s'agira de choisir "un dessin proche" de la "forêt" disparue, précise-t-on à l'Etablissement public.Sur le chantier règne un entrelacs d'échafaudages, de filets et de bâches, où s'activent charpentiers, cordistes, échafaudeurs etc.L'heure est à la pose à 27 mètres de hauteur d'une soixantaine de cintres en bois sous les voûtes pour les consolider provisoirement. Un parapluie géant à la croisée du transept permettra d'assurer la mise hors d'eau.Depuis le démantèlement en décembre de l'échafaudage calciné qui entourait la flèche --40.000 tubes sciés un à un en six mois--, le danger d'un écroulement est écarté.La sécurisation a coûté 165 millions d'euros. Intempéries, travaux non prévus, interruptions (limitées) dues à la pandémie et surtout les nombreuses mesures et aménagements liés à la lutte contre les émanations de plomb ont provoqué quelques retards et surcoûts."L'école des bâtisseurs"Les équipes doivent passer par la douche et revêtir des combinaisons en raison des réglementations sur le plomb. Chaque jour.Le chantier, ou plutôt les chantiers (dont celui, très délicat, du nettoyage du grand orgue), ont mobilisé 15 métiers, 68 ateliers, 215 entreprises... Reste beaucoup à faire: sélection de pierres dans des carrières et leur pose pour remplacer celles endommagées, nettoyage de 24 chapelles, restauration des vitraux encrassés, reconstruction de la flèche, de la toiture, d'une partie de la voûte etc.Un partenariat avec une société de haute technologie, Autodesk France, permettra une modélisation numérique qui accompagnera toute la restauration et préparera les équipements indispensables (sécurité, ventilation, éclairage) dont aura besoin la cathédrale.Les quelque 833 millions d'euros de la collecte nationale et internationale (350.000 donateurs) sont encaissés ou font l'objet d'engagements fermes à 98%. Seront-ils suffisants pour les finitions au delà de 2024? Certains en doutent. Et il faudra anticiper un budget important pour l'entretien annuel.L'esprit d'équipe insufflé par le trio d'architectes, Philippe Villeneuve et ses deux acolytes, Rémi Fromont et Pascal Prunet, est salué unanimement et a eu raison de bien des obstacles. "Si le général est le chef d'orchestre, ils sont les premiers violons, à l'école des bâtisseurs du Moyen-Age", déclare Mgr Patrick Chauvet, archiprêtre de la cathédrale.
Il y a 4 ans et 18 jours

Polémique autour de l'implantation d'une usine de laine de roche Rockwool dans l'Aisne

La préfecture de l'Aisne a donné son feu vert à l'implantation d'une usine Rockwool de production de laine de roche près de Soissons, malgré l'avis négatif de l'enquête publique.
Il y a 4 ans et 18 jours

Hausse des matières premières : une crise à facteurs multiples

La hausse des coûts de matières premières impacte directement la production des matériaux de construction. [©ACPresse] Depuis plusieurs mois, le secteur des matériaux de construction est touché par une hausse des coûts de matières premières, voire de pénurie… Les différents syndicats et regroupements de professionnels alertent sur ces phénomènes qui impactent toute la chaîne de valeur. En cause ? Un amoncellement de facteurs. Pour Frédéric Boisse, secrétaire général du SNMI1 et du Mur Manteau : « Il y a eu plusieurs points de chauffe. Au Texas, l’hiver a été très rude et les productions de pétrole en ont subi les conséquences. Le pétrole est devenu plus rare et cela a généré une augmentation des prix du baril et donc des matières chimiques. » De son côté, le Syndicat national des industries de peinture, enduit et vernis (Sipev) fait le même constat. « Nous traînons plusieurs “boulets” et des difficultés d’approvisionnement, détaille Pascal Hoareau, président du Sipev. C’est une accumulation d’évènements qui a engendré l’augmentation des prix et la raréfaction des produits. Par exemple, une importante industrie a brûlé en Allemagne. Le Brexit impacte le transit du titane. Et certaines résines passent par le Texas qui a vécu une vague de froid. De nombreux matériaux sont concernés. Nous n’avons jamais connu ça auparavant. Toutes les entreprises sont touchées, que ce soit des PME ou des grands groupes. Pour la première fois, nous sommes obligés de refuser des commandes. Nous n’arrivons plus à fournir. Alors que nous sentons une reprise avec une augmentation de la demande dans le bâtiment. Mais nous ne fabriquons pas suffisamment en Europe. Car il n’y a pas que la France qui est concernée. » Une multitude de facteurs ont impacté le marché des matières premières Et Amaury Omnès, président de Afipeb2, de poursuivre : « Nous sommes dans un environnement mouvant. Cette hausse des prix est un record historique absolu et le styrène est très concerné ». Selon l’Association, le prix des billes de styrène aurait ainsi augmenté de 100 % depuis le premier déconfinement, c’est-à-dire, il y a moins d’un an. « De plus, les coûts des flux intercontinentaux ont explosé. C’est un phénomène unique. » La question de l’indépendance et de la réindustrialisation en France est essentielle. [©ACPresse] En effet, la crise sanitaire a engendré une déstructuration des marchés. D’autant plus que l’Asie a repris de plus belle depuis plusieurs mois. La Chine a mis un coup d’accélérateur dans son développement. « Le pays est en pleine expansion et investit dans ses structures et infrastructures, observe Frédéric Boisse (SNMI). Il absorbe naturellement les matières premières. La France ne détient pas des tonnes de matières de base et transformés ou des métaux rares… » Et Amaury Omnès (Afipeb) de compléter, « La Chine a repris très fortement et compte entre six mois et un an d’avance… » Tous les matériaux impactés Avec cette crise majeure pour les acteurs du BTP, la question de l’indépendance et de la réindustrialisation française est essentielle. « Il y a une réflexion à avoir sur la production européenne, reprend Amaury Omnès. Nous avons besoin de l’industrie en France. Nous avons pu le remarquer pendant cette pandémie. » Pascal Hoareau (Sipev) appuie cette réflexion. « Il faut se réveiller au niveau de l’Europe et reprendre notre indépendance. Il y a encore des freins à la relocalisation. Nous désintéressons les investisseurs avec trop de contraintes et un peu trop de rigueur. En France, le Plan de relance ne met pas suffisamment les moyens pour attirer les industries dans nos régions. Au Sipev, nous sommes engagés dans la chimie du végétal et le biosourcé. Ce sont des sources stratégiques d’autonomie. » Aujourd’hui, il est difficile de savoir quand la course folle des prix va s’arrêter. Selon le Synad : « La situation est complexe et mondiale, ce qui rend difficile de savoir jusqu’où iront les pénuries de matières premières et leurs conséquences. Ne disposant pas de visibilité à court terme, nos adhérents restent mobilisés. » Et Frédéric Boisse, de conclure : « Il faut travailler avec bon sens et solidarité, et éviter de tomber dans la spirale de la surconsommation, comme on a pu l’observé avec l’achat massif de papier toilettes lors du premier confinement… » 1Syndicat national des mortiers industriels.2Association française de l’isolation en polystyrène expansé dans le bâtiment.
Il y a 4 ans et 18 jours

Premier CCMI 100 % digital et intelligent

La Capeb vient de développer le tout premier Contrat de Construction d’une Maison Individuelle 100 % digital. Cet outil développé en collaboration avec la société ImmoSign est une étape supplémentaire pour accompagner les petites entreprises artisanales du bâtiment vers une transition numérique adaptée aux besoins du métier. Ce dispositif permet aux utilisateurs de renseigner le CCMI, rendu obligatoire par la loi de 1990, en ligne de façon totalement personnalisée et adaptée à l’ouvrage à construire. La digitalisation de ce dispositif permet à l’artisan d’être guidé tout au long de sa démarche grâce à une assistance en ligne qui aide l’artisan à renseigner les clauses. Concrètement, des éléments d’information sont fournis à chaque étape du formulaire par l’artisan afin de permettre la rédaction automatique et intelligente de son contrat au plus près des réalités du terrain. A noter que les 300 premiers contrats seront offerts par la CAPEB à ses adhérents concernés. 
Il y a 4 ans et 18 jours

Premier CCMI 100 % digital et intelligent

La Capeb vient de développer le tout premier Contrat de Construction d’une Maison Individuelle 100 % digital. Cet outil développé en collaboration avec la société ImmoSign est une étape supplémentaire…Cet article Premier CCMI 100 % digital et intelligent est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 18 jours

La Smart Buildings Alliance for Smart Cities se dote d’un conseil d’orientation stratégique

11 personnalités reconnues dans leur environnement professionnel ont été choisies pour faire partie du nouveau conseil d’orientation stratégique de la Smart Buildings Alliance for Smart Cities (SBA). Un important travail de réflexion a été conduit par Emmanuel François, Président de la Smart Buildings Alliance et Marc Daumas, Directeur général d’Aire Nouvelle chez ENGIE, pour choisir le groupe le plus diversifié et représentatif possible. L’idée étant d’élargir le champ d’actions de la SBA à toutes les sphères de l’immobilier et de la ville. Elles se sont réunies pour la première fois le 27 janvier dernier, afin de se rencontrer et partager les leviers et les freins à cette ambition. Les 11 membres : Dominique Alba, Directrice générale de l’Atelier Parisien d’Urbanisme APUR William Bouygues, Directeur du Développement chez Linkcity Emmanuelle Cosse, Présidente de l’Union Sociale pour l’Habitat Etienne Crepon, Président du CSTB Laurent Girometti, Directeur général d’EpaMarne – EpaFrance Christel Heydemann, Présidente de Schneider Electric France Soo-Jin Kim, Chef de l’Unité des politiques et des études urbaines de l’OCDE Béatrice Lièvre-Théry, Directrice des Activités immobilières de la Société Générale Yann Rolland, Directeur général d’ENGIE SOLUTIONS Villes & Collectivités Denis Thuriot, Maire de la ville de Nevers et Président de l’Agglomération, Olivier Wigniolle, Directeur général d’ICADE
Il y a 4 ans et 18 jours

La Smart Buildings Alliance for Smart Cities se dote d’un conseil d’orientation stratégique

11 personnalités reconnues dans leur environnement professionnel ont été choisies pour faire partie du nouveau conseil d’orientation stratégique de la Smart Buildings Alliance for Smart Cities (SBA). Un important travail…Cet article La Smart Buildings Alliance for Smart Cities se dote d’un conseil d’orientation stratégique est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 18 jours

Le BIM pour la restauration de Notre-Dame de Paris

L’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris et Autodesk France ont signé une convention de mécénat technologique et de compétences mettant à la disposition des acteurs du chantier de restauration de la cathédrale la technologie BIM et les logiciels associés. Cette méthode de travail collaborative et intelligente permet aux acteurs du chantier de bénéficier en temps réel d’une base de données 3D partagée et évolutive qui regroupe des informations riches et nécessaires au bon déroulement de ces opérations. Le BIM s’appuie sur un modèle pré-incendie numérique 3D de la cathédrale dont le développement avait été initié dès juin 2019 par Autodesk grâce à l’utilisation d’un processus de scan de l’édifice d’une précision millimétrique. Cette maquette BIM a été enrichie grâce à des relevés 3D réalisés après l’incendie. Visuel : Modèle BIM de la cathédrale Notre-Dame de Paris © Autodesk France  
Il y a 4 ans et 18 jours

Le BIM pour la restauration de Notre-Dame de Paris

L’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris et Autodesk France ont signé une convention de mécénat technologique et de compétences mettant…Cet article Le BIM pour la restauration de Notre-Dame de Paris est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 18 jours

Treetek : immeuble mixte bois et béton à Lille

Tereneo, filiale de Nexity, a livré à INEA l’immeuble Treetek, en structure mixte bois et béton aux performances environnementales exceptionnelles, au sein du pôle d’excellence dédié au numérique EuraTechnologies à Lille. L’immeuble TREETEK développe 6 000 m² de surface en deux bâtiments de 4 000 et 2 000 m², et a été conçu par l’agence d’architecture MATADOR et DE ALZUA+. Réalisée en structure mixte bois et béton, l’opération vise le niveau E2C1 de la certification E+C- (niveau E1C1 atteint). Il revêt un rythme de façade en briques respectueux du dessin régulier et très ordonnancé des bâtiments industriels historiques, dont l’ancienne usine Le Blan Lafont est une trace. L’utilisation de la brique moulée main aux arêtes irrégulières, sablée, de couleur rouge foncé présente de plus une excellente résistance au feu (classement A1) et limite sa propagation. Treetek, avec son patio intérieur planté d’arbres et de vivaces sur 600 m² confirme le choix d’une palette végétale à forte variation et ambiance estivale et hivernale contrastée – vert en été, couleurs en hiver ; il s’agit d’un tiers-lieu essentiel créant un vrai lien entre les futurs occupants, conjugaison de travail et bien-être, espace de convivialité, de rencontres : la recherche du bien vivre. L’accent a été mis sur le volet digital : contrôle d’accès, contrôle de l’éclairage et contrôle des températures sont désormais accessibles au bout des doigts de chaque utilisateur depuis leur smartphone.
Il y a 4 ans et 18 jours

Treetek : immeuble mixte bois et béton à Lille

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Il y a 4 ans et 18 jours

Refaire place : esplanade publique et petit commerce en centre bourg par Bauchet & de La Bouvrie

Au sommaire du numéro d'AMC qui vient de paraître (n°295-avril 2021) et disponible en format numérique: un événement sur l'enseignement de l'architecture et les débats qui agitent les enseignants des Ensa, un dossier sur l'habitat pour séniors, des détails "cloisons mobiles" et une […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 18 jours

A Beyrouth, la Tour Aya, signée SOA

Après 36 mois de travaux, l’agence parisienne SOA architectes (Augustin Rosenstiehl) a livré en janvier 2021 à Beyrouth (Liban) la Tour Aya, un immeuble de 7 254 m² SDP. L’ouvrage, édifié pour HAR Properties maître d’ouvrage pour 25 M€ HT compte 45 logements, bureaux et commerces. Dans le quartier historique de Mar Mikhael, une tour […] L’article A Beyrouth, la Tour Aya, signée SOA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 18 jours

Deux cycles de conférences à l'EPFL

La galerie d’architecture Archizoom, affiliée à l’EPFL, organise son cycle de conférences semestrielles Superonda Talks sur le thème d’architecture et environnement. Ce semestre, le cycle est organisé par le philosophe Sébastien Marot, professeur invité à l’EPFL et fondateur de la revue de critique d’architecture Le Visiteur et l’architecte Raphaël Bach.   Depuis 2019, chaque semestre, la galerie Archizoom propose de développer l’un des thèmes de recherches de...
Il y a 4 ans et 19 jours

"Les 2 à 4 prochaines années seront impactées par cette crise", J-L. Vidon (Aorif)

CHUTE. Les agréments délivrés de logements sociaux ont fortement baissé en 2020 dans la région. Dans le même temps, les besoins des Franciliens ne font qu'augmenter. Explications avec Jean-Luc Vidon, président de l'Union sociale pour l'habitat d'Île-de-France (Aorif).
Il y a 4 ans et 19 jours

Propreté à Paris : "le premier geste écologique, c'est une ville propre", selon Valérie Pécresse

"Le premier geste écologique, c'est d'avoir une ville propre, c'est la propreté, c'est de nettoyer sa ville", a déclaré la présidente divers droite de la région, favorite pour conserver son poste aux prochaines régionales selon un sondage Ipsos diffusé samedi.Alors que l'exécutif municipal accuse la droite et l'extrême-droite d'être derrière une "campagne de dénigrement", Mme Pécresse répond qu'"à l'origine du mouvement #saccageParis, les journalistes de TF1 ont trouvé des citoyens, des citoyens qui ont posté un hashtag sur Internet. Alors bien évidemment, l'opposition parisienne s'en est saisie".Jeudi sur RTL, Anne Hidalgo a accusé Pierre Liscia, candidat divers droite aux dernières municipales dans le XVIIIe arrondissement et porte-parole dans la capitale de Libres!, le mouvement de Valérie Pécresse, d'être "derrière beaucoup" des comptes Twitter à l'origine de cette "campagne très orchestrée".Pierre Liscia "défend les Parisiens, il défend ces citoyens qui aimeraient tellement que leur ville soit propre", lui objecte Mme Pécresse qui affirme que Paris est "la seule ville qui n'a pas demandé à bénéficier du fonds propreté de la région Île-de-France", doté de 4 millions d'euros. "Et bien, elle devrait le faire."Anne Hidalgo a promis d'engager "avant l'été" la décentralisation de certaines compétences, dont la propreté, de la mairie centrale vers les 17 mairies d'arrondissement. Elle a aussi maintenu vouloir doubler, au cours de son second mandat, de 500 millions à 1 milliard d'euros le budget dédié à l'entretien et à la rénovation des rues de la capitale."Il ne saurait y avoir un transfert de compétences sans un transfert des moyens et des effectifs!", rétorque dans un communiqué publié lundi le groupe d'opposition LR. Pour ce faire, le groupe Changer Paris réclame "une réorganisation de la direction de la propreté" et "une modernisation des outils".
Il y a 4 ans et 19 jours

Chiffre d'affaires en repli pour Kiloutou en 2020

RESULTATS. Dans un contexte de pandémie, le loueur de matériel, Kiloutou, a enregistré un recul de son chiffre d'affaires en 2020 avec des disparités selon les spécialités.
Il y a 4 ans et 19 jours

En croissance, le gaz renouvelable s'interroge néanmoins sur son avenir

RENOUVELABLES. Biométhane, hydrogène... les sujets ne manquent pas pour la filière du gaz renouvelable, qui enregistre une nouvelle fois d'excellents chiffres pour l'année 2020. Les acteurs regrettent cependant un manque d'ambition des pouvoirs publics en faveur de leur énergie.
Il y a 4 ans et 19 jours

À Dijon, la Caisse d'Épargne lance la plus grande opération immobilière mixte en bois

DIAPORAMA. La Caisse d'Épargne construit le futur siège social de Bourgogne-Franche-Comté. Batiactu a pu se rendre à la visite de ce chantier mettant en avant la mixité des matériaux.
Il y a 4 ans et 19 jours

"L'opposabilité du DPE implique d'abord le vendeur", J-M. Torrollion (Fnaim)

ENTRETIEN. En pleine réforme du diagnostic de performance énergétique (DPE), le président de la Fnaim revient sur les principales évolutions à venir, et réagit à l'une des propositions du Haut conseil pour le climat concernant les annonces immobilières.
Il y a 4 ans et 19 jours

Plaine Commune a obtenu l'encadrement des loyers sur son territoire

LOGEMENT. Le Territoire situé au nord de Paris s'est inscrit dans l'expérimentation sur la base du volontariat qui lui permet d'appliquer le plafonnement des loyers. La CLCV demande sa généralisation à toute l'agglomération parisienne.
Il y a 4 ans et 19 jours

Le gouvernement veut accélérer l'installation de bornes de recharge pour voitures électriques dans les copropriétés

L'idée est de proposer un mécanisme de financement alternatif selon lequel seuls "les utilisateurs des infrastructures prendront en charge le remboursement des bornes", également cofinancées par le gestionnaire du réseau de distribution d'électricité.L'objectif est d'offrir une alternative à la législation actuelle pour lever les "freins" à l'installation de bornes, a indiqué la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili lors de l'examen en première lecture du projet de loi climat.L'installation de bornes dans des parkings d'immeubles est souvent contestée par des copropriétaires qui n'ont pas l'intention d'acquérir de véhicules électriques et ne souhaitent pas participer au reste à charge pour les travaux.Le gouvernement veut aussi "faciliter la prise de décision dans les copropriétés", pour l'installation de ces bornes, "en passant à la majorité simple" en assemblée générale de copropriétaires.Dans l'opposition, Martial Saddier (LR), "pas contre le principe", a toutefois souligné que cet amendement "bouleverse complètement et totalement l'installation, les modalités de financement et le dimensionnement technique des raccordements électriques des copropriétés, des immeubles de France". "C'est une révolution dans les copropriétés", selon lui.