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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 4 ans et 18 jours

L'économie française résiste bien au troisième confinement, selon la Banque de France

Conséquence, la banque centrale ne prévoit pas pour l'instant de revoir sa prévision de croissance 2021, actuellement de 5,5%.Le recul du produit intérieur brut (PIB) par rapport à avant la crise sanitaire a été de 4% en mars et sera limité à environ 7% en avril, selon la note de conjoncture mensuelle de la banque centrale.La perte d'activité avait atteint son maximum en avril 2020, avec 31%, après 18% en mars, par rapport aux mois de référence de janvier et de février 2020."Ceci témoigne d'une résilience accrue de l'économie aux contraintes sanitaires", selon la note qui se base sur les résultats d'une enquête menée auprès de 8.500 chefs d'entreprise, qui toutefois n'inclut pas le commerce de détail.Cette résistance accrue s'explique par l'apprentissage des mesures de distanciation et la mise en place d'équipements pour le télétravail par les entreprises, mais aussi par une économie mondiale qui n'est plus à l'arrêt avec "un commerce international qui est en forte reprise" tout comme l'Asie et les États-Unis, a expliqué lors d'une présentation à la presse le directeur général de la Banque de France, Olivier Garnier.Face à ces "bonnes surprises", "nous n'anticipons pas de révision significative de notre projection de croissance que nous avions publiée au mois de mars pour l'année 2021", a déclaré M. Garnier, rappelant que cette prévision de croissance était "de l'ordre de 5,5%".Pour le premier trimestre, le PIB devrait être "en légère croissance par rapport au trimestre précédent", précise la note, M. Garnier indiquant qu'elle serait inférieure à 1%.La banque centrale a précisé que son enquête avait été réalisée du 29 mars au 6 avril, mais que 80% des réponses avaient été collectées après l'annonce présidentielle de l'extension des mesures de restriction sanitaires à l'ensemble du territoire métropolitain le 31 mars.Pour le mois de mars, la perte d'activité est améliorée d'un point de pourcentage par rapport à ce que la Banque de France prévoyait il y a un mois, car "on observe une activité en plus forte amélioration que ce qui était escompté par les entreprises", d'après M. Garnier.En avril, la perte d'activité prévue "est du même ordre de grandeur qu'en novembre et ceci en dépit du fait que les crèches, les établissements scolaires sont fermés alors qu'ils ne l'étaient pas en novembre", a aussi relevé le directeur général.
Il y a 4 ans et 18 jours

Le marché de la fenêtre a-t-il été impacté par la crise sanitaire en 2020 ?

ETUDE. TBC, société de conseil et d'études spécialisée dans l'innovation pour le bâtiment, revient sur le marché de la fenêtre en France en 2020. Comment s'est portée l'activité ? Quelles sont les tendances ? Quid des perspectives 2021 ? Eléments de réponses.
Il y a 4 ans et 18 jours

Le CCCA-BTP s'allie à Agyre pour développer l'économie circulaire par la formation

FORMATION. L'économie circulaire fait partie des nouveaux enjeux clés du secteur de la construction. C'est ce qu'en ont conclu le CCCA-BTP et Agyre, qui s'unissent pour permettre le développement de ce sujet à travers plusieurs programmes.
Il y a 4 ans et 18 jours

TEC7 propose son catalogue de produits pour les professionnels

Reconnue à l’international pour la qualité de ses produits de collage et d’étanchéité dans la construction, TEC7 propose désormais ses produits de haute qualité en France. Lancée il y a une trentaine d’années par l’entreprise familiale belge Novatech International, la marque TEC7 a développé des produits uniques permettant de remplacer par un seul polymère toute une série de mastics et de colles. TEC7 est un acteur majeur sur le plan international grâce à son procédé basé sur la technologie MS polymère Hybride permettant une adhérence renforcée et une résistance à la traction élevée. TEC7 propose aujourd’hui une gamme complète pour tous les travaux de collage, d’étanchéité, de lubrification, de nettoyage et de dégraissage. La mission de TEC7 est de simplifier le quotidien des professionnels du BTP sur le terrain. Les produits TEC7 sont conçus pour minimiser leurs impacts sur l’environnement, avec toujours autant de performance. Tous les produits TEC7 sont certifiés A+ et les composés à partir de MS polymère Hybride ne contiennent aucun solvant et aucun isocyanate, aucune substance nocive pour l’homme comme pour l’environnement. Les polymères MS Hybrides répondent aux exigences de qualité et de sécurité les plus élevées du secteur. Grâce à la qualité et au large domaine d’application des produits, TEC7 propose une gamme restreinte avec l’essentiel des solutions : les 3  produits phares TEC7, X-SEAL et X-TACK répondent à 90 % des applications de collage, d’étanchéité et de montages puissants. Les polymères MS Hybrides assurent une résistance unique pour assembler le bois, le polyester, le polystyrène, la brique, le béton, et même le béton cellulaire. Sans trace, les colles TEC7 conviennent également pour les pierres naturelles, les miroirs…. Pour les montages qui nécessitent une excellente adhérence initiale, TEC7 possède dans sa gamme la colle de montage la plus puissante du marché : X-TACK ! Déjà puissante avant durcissement (600kg/m²), elle assure une résistance à la traction incomparable de 26 kg/cm². Sa résistance chimique est également excellente contre l’eau, même salée, les solvants aliphatiques, les huiles, les acides anorganiques dilués et les alkalis.
Il y a 4 ans et 18 jours

Pour faciliter la reprise, Bercy met en place de nouvelles mesures de simplification

ADMINISTRATION. Afin de mettre toutes les chances du côté de la reprise économique, le Gouvernement annonce de nouvelles mesures censées simplifier davantage les démarches administratives des entreprises. L'aide à la numérisation des TPE est également prolongée et élargie à l'ensemble des entreprises de moins de 11 salariés, tous secteurs d'activité confondus.
Il y a 4 ans et 18 jours

Le nouveau Concrex® Carbon Fibre

Cimbat
Il y a 4 ans et 18 jours

Pyramide du Louvre, une découverte australienne

L’inventeur de la pyramide du Louvre ne serait-il pas celui que l’on croit ? Des documents exclusifs montrent en effet que, presque dix ans avant l’inauguration en 1989 de l’ouvrage de I.M. Pei, Alan Holbrook, architecte à Perth, Australie, avait déjà tout compris (ou presque). Exploration d’une source mystérieuse. Evidemment, tout le monde a oublié que […] L’article Pyramide du Louvre, une découverte australienne est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 18 jours

Les pyramides de Méroé, dernières reines de Nubie

En février 2021, l’architecte français Jean-Pierre Heim a pu visiter le site antique de Méroé, la ville antique aux 200 pyramides et ancienne capitale du Soudan, un site aujourd’hui dépourvu de touristes. De la grandeur du royaume de Nubie à la bassesse des explorateurs occidentaux, visite privée en vidéo (en anglais). Lire l’article Les pyramides […] L’article Les pyramides de Méroé, dernières reines de Nubie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 18 jours

58.000 demandeurs d'emploi ont été recrutés dans le bâtiment, ces trois derniers mois

RECRUTEMENT. La Fédération française du bâtiment a passé un accord avec Pôle emploi visant à accompagner les entreprises du secteur dans leurs besoins de recrutement.
Il y a 4 ans et 18 jours

Les pyramides de Méroé, Soudan, croquées avant d’être croquées

« J’ai visité le site antique de Méroé lors d’un voyage exploratoire à la recherche de nouveaux lieux pouvant être développés pour le tourisme tout en conservant intacts le paysage et l’environnement d’origine ». Carnet de dessins signé de l’architecte Jean-Pierre Heim.* Avec quelques hôtels, un hôtel sous tente et un hôtel nomade nouvellement construit, le site, […] L’article Les pyramides de Méroé, Soudan, croquées avant d’être croquées est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 18 jours

Qui est le nouveau directeur général de Soprema France ?

CARNET-NOMINATION. A 53 ans, Thierry Braunecker prend la direction générale de Soprema France, un spécialiste de l'isolation et de l'étanchéité. Il affiche une expérience importante à des postes de direction dans différents groupes du Bâtiment.
Il y a 4 ans et 18 jours

Novalux s’implante en France

Forte de 70 ans d’expertise sur le marché italien du luminaire, Novalux se développe désormais en... Cet article Novalux s’implante en France est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 18 jours

Après la police de proximité, l’architecte de proximité ?

Un service public de l’architecture est-il possible ? Les CAUE nés de la loi 1977 sur l’architecture avaient cette ambition. Leur connaissance par les particuliers reste cependant assez confidentielle. Pourtant, au vu des enjeux, notamment en termes de rénovation et d’usage, la question d’un service public incluant architectes et porteurs locaux qui dépasserait la simple question […] L’article Après la police de proximité, l’architecte de proximité ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 18 jours

Loi climat et logement : l'Assemblée s'attaque à l'enjeu majeur des passoires thermiques

Il sera d'abord interdit, lors du renouvellement d'un bail ou de la remise en location, d'augmenter le loyer de ces logements classés F et G en performance énergétique, un an après la promulgation de la loi, examinée en première lecture.En 2025 pour la classe G et en 2028 pour la F, ils ne feront plus partie des "logements décents". Selon le gouvernement, 1,8 million de logements seront ainsi interdits à la location.Comme prévu, les députés ont élargi la mesure aux logements classés E en 2034, via un amendement du rapporteur Mickaël Nogal (LREM). Cette décision aura un impact "très important en nombre de logements et l'objectif ne sera pas atteint au rythme actuel et prévisible de la capacité de rénovation de la filière", a commenté mardi le président de la Fédération nationale de l'immobilier (FNAIM), Jean-Marc Torrollion."Interdire la location de logements F et G est une ambition nécessaire. Interdire la location de logements E, représentant à eux seuls un quart du parc de logements actuellement loués, dans un horizon irréaliste, revient à mettre en péril les conditions de logement à moyen terme de près de 5 millions de Français", ont mis en garde dans un communiqué trois organisations de professionnels de l'immobilier, la FNAIM, l'UNIS et l'UNPI.A l'Assemblée, des oppositions de tous bords se sont abstenues en critiquant une "interdiction en trompe-l'oeil" (Vincent Descoeur, LR), car devant passer par un éventuel recours devant la justice."Pensez-vous que quelqu'un qui croupit dans un logement insalubre va avoir pour réflexe d'aller saisir le juge?", a lancé le socialiste Guillaume Garot.Un "faux débat", aux yeux de la ministre du Logement Emmanuelle Wargon mettant en avant l'"obligation légale" de mettre en location un "logement décent" avec la possibilité pour le locataire d'"en appeler à la responsabilité du bailleur"."Marchands de sommeil"Dans la majorité, François Pupponi (MoDem) a reconnu "une avancée", mais "les marchands de sommeil peuvent dormir tranquille. Une personne en situation irrégulière qui loue une chambre avec sa famille ne va pas porter plainte, c'est là où le bât blesse".De l'aveu de tous, la rénovation énergétique de logements est décisive dans la lutte contre le réchauffement climatique. Le bâtiment (logement et bureaux) représente un quart des émissions de gaz à effet de serre en France.Et "aujourd'hui c'est un logement sur six qu'on peut qualifier de passoire thermique, ça veut dire 4,8 millions de logements dans lesquels des ménages ont trop chaud l'été et trop froid l'hiver", a souligné la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili en début d'après-midi.La "cible" du gouvernement est d'atteindre un "parc bas carbone en 2050", pour "l'ancien" comme le "neuf", avec une moyenne de "B", en matière de performance énergétique, rappelle Emmanuelle Wargon.La proposition du gouvernement est jugée insuffisante par la gauche et les écologistes, qui ont plaidé, comme la Convention citoyenne pour le climat, pour des "rénovations obligatoires" d'ici à 2040 et d'importants soutiens financiers pour les ménages.Le gouvernement défend lui l'ensemble des aides disponibles (MaPrimeRenov' notamment) et a ajouté dans la loi un dispositif de soutien bancaire pour les ménages modestes, avec une "garantie partielle" de l'Etat pour les "prêts avance mutations", gagés sur la revente de biens ou lors de la succession.Les députés ont en outre adopté un amendement gouvernemental de "programmation" pour deux périodes de cinq ans, précisant que les aides publiques à la rénovation devront être "stables" , "modulées en fonction des ressources des ménages", avec "un reste à charge financièrement soutenable".Dans la foulée d'un récent rapport, l'Assemblée a aussi voté un "accompagnement individualisé", pour guider les ménages à toutes les étapes de la rénovation.Outre l'interdiction des locations, un amendement MoDem fixe un calendrier d'obligation d'audit énergétique pour les logements mis en vente: en 2022 pour les classes F et G et en 2025 pour les logements E.Comme le font déjà les professionnels de l'immobilier, les propriétaires qui louent ou vendent eux-mêmes leurs biens devront afficher le diagnostic de performance énergétique sous peine de sanction, selon un amendement de Mickaël Nogal (LREM).La définition d'une "rénovation performante" a été précisée: un gain d'au moins deux classes pour atteindre A, B ou C, ainsi que "l'étude" et le "traitement" de "six postes de travaux ": "isolation des murs, des planchers bas, de la toiture, menuiseries extérieures, ventilation, et production de chauffage et d'eau chaude".Un objectif "inatteignable", selon les professionnels de l'immobilierLes professionnels de l'immobilier ont jugé mardi "inatteignable" l'objectif de rénovation en 2034 des logements classés E sur l'échelle de Diagnostic de performance énergétique (DPE), soit un quart du parc immobilier actuel, après l'adoption par le Parlement d'une loi sur l'interdiction à la location des "passoires thermiques"."L'impact est très important en nombre de logements et l'objectif ne sera pas atteint au rythme actuel et prévisible de la capacité de rénovation de la filière", a commenté auprès de l'AFP le président de la Fédération nationale de l'immobilier (FNAIM), Jean-Marc Torrollion.L'Assemblée nationale a voté à l'unanimité lundi soir l'interdiction de la mise en location des logements classés F à partir de 2028 et de ceux classés G à partir de 2025.Les députés ont élargi la mesure aux logements classés E en 2034."Interdire la location de logements F et G est une ambition nécessaire. Interdire la location de logements E, représentant à eux seul un quart du parc de logements actuellement loués, dans un horizon irréaliste, revient à mettre en péril les conditions de logement à moyen terme de près de 5 millions de Français", ont mis en garde dans un communiqué trois associations de professionnels de l'immobilier, la FNAIM, l'UNIM et l'UNPI."En pratique, avec cette nouvelle contrainte, E, F, G, nous allons avoir 12 ans, pour rénover près de la moitié du parc locatif privé en France", ajoutent-ils estimant que la "rénovation des logements E" est "un objectif inatteignable en 2034".M. Torrollion fait état par ailleurs d'"un risque de désinvestissement massif dans le parc privé locatif si les aides ne suivent pas"."Nous pensons que ce qui serait raisonnable c'est qu'après 2028 on tire les enseignements de ce qu'on a réussi à faire et qu'on puisse retarder la mise aux normes des E à 2040", a-t-il ajouté.L'obligation de rénovation reposera sur une nouvelle méthode de calcul du DPE. Elle sera en vigueur à partir du 1er juillet et éliminera la référence à la consommation énergétique sur la base des factures passées pour s'appuyer sur les caractéristiques physiques du logement comme le bâti, la qualité de l'isolation, le type de fenêtres ou le système de chauffage pour attribuer un classement sur une échelle de A à G.Coénove dénonce un nouveau passe-droit pour l'électricitéCoénove dénonce les seuils retenus donnant un avantage indu à l'électricité et visant de manière détournée à massifier l'électrification des usages du bâtiment, sans prendre en compte la question de la sécurité d'approvisionnement ni même le porte-monnaie du consommateur.Conscient des faiblesses du DPE et voulant en faire le « 1er outil de la rénovation énergétique », le Gouvernement a mis en place depuis 2 ans un vaste chantier de fiabilisation en vue de son opposabilité au 1er juillet 2021.Pour atteindre l'objectif de neutralité carbone d'ici 2050, un critère de poids vient compléter l'échelle du DPE : le carbone. Le DPE se définit donc désormais par une double échelle, une pour l'énergie et une pour le carbone, la moins bonne performance des deux venant définir la classe énergétique du logement. Un système en apparence équilibré mais dont les barreaux sont en fait mal calibrés.Imbroglio sur les seuilsPour limiter les sauts de classes entrainés par le simple changement de méthode, la focale a été mise sur les plus mauvaises classes, les F & G dites passoires thermiques. Pourtant au final, 600.000 logements électriques sortiront tout de même de ces classes, sans que leurs propriétaires n'aient réalisé le moindre geste de rénovation... les factures seront donc toujours aussi élevées, le confort toujours autant dégradé.Par ailleurs, le desserrement des exigences énergie notamment sur les classes A et B, les amenant respectivement à 70 et 110 kWhEp/m2.an, soit un relâchement de 40% par rapport à l'exigence actuelle, est totalement incompréhensible au regard de l'enjeu d'efficacité énergétique pour toutes les énergies, sauf à considérer que l'une d'entre elles en est dispensée.Rien en effet ne justifie de relâcher la pression sur les exigences énergétiques, et surtout pas les 2 usages complémentaires du DPE dont le poids est tout relatif. « Sous couvert de fiabilisation, le gouvernement choisit une fois encore de favoriser l'électricité dans le bâtiment, faisant fi des alertes à la prudence sur la pointe hivernale pourtant répétées par RTE » déplore le Président de Coénove Bernard Aulagne.
Il y a 4 ans et 18 jours

Malgré l'appétence des banques à distribuer du crédit, les volumes pourraient baisser

CRÉDIT IMMOBILIER. Le courtier Cafpi, qui observe une remontée des demandes de crédit au premier trimestre, s'inquiète des effets de la relance sur les prix, et donc la solvabilité des ménages. Il appelle à des mesures fiscales de soutien à la demande.
Il y a 4 ans et 18 jours

Olivier Véran annonce le financement de la rénovation du CHU de Bordeaux

Le ministre de la Santé a annoncé un engagement de l'Etat de 240 millions d'euros pour la restructuration du CHU de Bordeaux, un projet de 800 millions d'euros sur les 10 prochaines années.
Il y a 4 ans et 18 jours

Bonjour bonjour les architectes, y a d’la joie (post-Covid)

Nous sommes tellement attachés à notre téléphone qu’il est devenu le compagnon le plus personnel que nous ayons eu depuis que les chiens ont été domestiqués. Quel message pour l’architecture post-Covid ? Chronique d’Outre-Manche. Vous n’en avez pas marre des architectes qui parlent de design dans le monde post-covid ? Moi si ! Il y a un […] L’article Bonjour bonjour les architectes, y a d’la joie (post-Covid) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 18 jours

La CAPEB développe le 1er Contrat de Construction d’une Maison Individuelle 100% digital et intelligent

Cet outil inédit développé en collaboration avec la société ImmoSign est une étape supplémentaire pour accompagner les petites entreprises artisanales du bâtiment vers une transition numérique adaptée aux besoins du métier. A noter que les 300 premiers contrats seront offerts par la CAPEB à ses adhérents concernés.Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Dans le contexte sanitaire que nous connaissons, il n’a jamais été aussi urgent d’accélérer la digitalisation du secteur de l’artisanat du bâtiment. C’est pourquoi, dans le cadre de la mise à jour du Contrat de Construction d’une Maison individuelle (CCMI), la CAPEB a souhaité innover en développant un outil inédit 100% digital et intelligent, le premier et le seul sur le marché ! Cet outil va faire gagner du temps aux entreprises et permettra de les engager durablement dans la transition numérique. C’est également un pas de plus vers la RSE puisque le contrat ainsi rédigé sera plus intelligible et transparent pour le client. En outre, les entreprises qui le souhaitent pourront également choisir d’intégrer une clause précisant qu’elles s’efforceront de participer à l’économie locale en recourant à une main-d’œuvre proche des chantiers et des matériaux régionaux. »Un contrat intelligent avec assistance en ligne pour faciliter les démarches des artisansCe dispositif permet aux utilisateurs de renseigner le contrat de construction d’une maison individuelle, rendu obligatoire par la loi de 1990, en ligne de façon totalement personnalisée et adaptée à l’ouvrage à construire. La digitalisation de ce dispositif permet à l’artisan d’être guidé tout au long de sa démarche grâce à une assistance en ligne qui aide l’artisan à renseigner les clauses. Concrètement, des éléments d’information sont fournis à chaque étape du formulaire par l’artisan afin de permettre la rédaction automatique et intelligente de son contrat au plus près des réalités du terrain (ex : L’étude géotechnique est-elle obligatoire selon la zone géographique ? Si oui, quelles démarches et comment s’y prendre ?), ce qui représente un gain de temps significatif pour les entrepreneurs du bâtiment. De plus, le contrat tel que rédigé par la CAPEB et ImmoSign, est compréhensible pour tous non-juristes, artisans ou clients.Les artisans seront informés du fonctionnement de ce nouvel outil début mai 2021 grâce à des webinaires dédiés organisés avec les CAPEB départementales en partenariat avec les collaborateurs d’ImmoSign présents sur le territoire. Celles-ci pourront gérer les ouvertures et les fermetures de compte au profit de leurs adhérents (ou des entreprises non adhérentes si elles le souhaitent, selon les conditions qu’elles définiront) et expliquer aux entreprises comment utiliser facilement cet outil. Une hotline, basée à Caen, est également prévue pour accompagner les utilisateurs en cas de besoin. Une fois le compte de l’utilisateur ouvert, le chef d’entreprise pourra se servir de cet outil sans limitation de temps ni du nombre d’utilisations.Irwin Baron, Directeur juridique d’ImmoSign : « Depuis longtemps, le juridique est considéré comme « quelque chose qui empêche », qui contraint les affaires. C’est ainsi que nous rencontrons ces pages noircies de clauses dont personne ne connaît ni ne lit plus le contenu. Les choses changent grâce au numérique ! Aujourd’hui, les LegalTech contribuent à rendre intuitive la rédaction juridique et l’application du droit au quotidien. D’une contrainte chronophage, le juridique devient un élément moteur pour l’entreprise. Il contribue à sa bonne administration, à une relation apaisée avec le client, et même à ouvrir à de nouveaux marchés. Encore convient-il que ces outils se démocratisent et soient à accessibles à toutes les entreprises. C’est notre raison d’exister, à ImmoSign : proposer des outils performants quelle que soit la taille de l’entreprise comme nous le faisons aujourd’hui pour les artisans et petites entreprises de la CAPEB. Ce CCMI intelligent permettra l’ouverture du marché règlementé de la construction de maisons, de rassurer quant à la bonne gestion juridique des chantiers et de sécuriser les entrepreneurs comme leurs clients. De quoi, nous l’espérons, renverser la tendance et offrir au juridique l’opportunité de devenir une chance pour tous. »
GDA
Il y a 4 ans et 18 jours

Avec le Covid, le bricolage n'a pas connu la crise

CONJONCTURE. Confinements sanitaires obligent, les Français ont passé énormément de temps dans leurs logements depuis mars 2020. Une situation qui a déclenché chez eux une envie, voire un appétit de bricoler leur intérieur afin de s'y sentir mieux au quotidien. Les enseignes de bricolage ont du coup vu leur ventes bondir, notamment sur Internet.
Il y a 4 ans et 18 jours

Détroit aux USA et villes moyennes en France : même destin, même déclin ?

Déclarée en faillite en 2013, Détroit constitue un avertissement pour les agglomérations françaises : la captation des classes moyennes et des entreprises par la périphérie et l’affaiblissement de la ville centre qui en résulte sont, à terme, un pari perdant pour l’ensemble du territoire. On voudrait tellement croire en une renaissance… Pourtant les rares bonnes […] L’article Détroit aux USA et villes moyennes en France : même destin, même déclin ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 18 jours

Groupe Cheval : « La RSE est inscrite dans nos gènes »

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Jean-Pierre Cheval est le président du groupe de BTP régional qui porte son nom. [©Groupe Cheval] Le groupe régional Cheval vient de devenir une “entreprise à mission” ? De quoi s’agit-il ? Pourquoi cette démarche ? Jean-Pierre Cheval : Le cadre juridique d’entreprise à mission a été introduit par la loi Pacte. Il permet d’inscrire dans nos statuts notre politique RSE globale. Nous en avons toujours fait l’élément central de notre développement, autour de trois axes principaux. Tout d’abord, le pôle humain. Le monde de l’entreprise est un lieu de vie, d’échange. Nous nous devons d’être bienveillants vis-à-vis de nos collaborateurs. Cela va d’une rémunération juste et motivante, à la mise en place d’une politique de renouvellement récurrent des matériels. Chacun doit pouvoir travailler avec un équipement moderne et ergonomique. La formation est aussi omniprésente, y compris en alternance, pour 10 % des effectifs. Il est important de pouvoir transmettre les savoir-faire. La protection de l’environnement constitue le deuxième axe. Depuis plus de 30 ans, nous organisons nos méthodes de travail pour en limiter les impacts, tout en favorisant le recyclage. Il faut toujours pouvoir donner une seconde vie aux choses. Quand nous intervenons sur site, nous limitons nos emprises de chantier. En interne, nous avons même une structure dédiée à l’environnement. Ainsi, Valorsol Environnement travaille à la collecte, au recyclage et à la valorisation de matériaux issus du BTP et de l’industrie. Enfin, le groupe Cheval a un rôle sociétal. Nos activités restent très liées à la commande publique. Aussi, nous cherchons toujours à “rendre” aux territoires ce qu’ils nous ont donné. Par des actions de mécénat, de sponsoring. Nous accompagnons une équipe de rugby, qui est une “école de la vie”. Nous essayons de travailler en circuit court. Toutefois, il ne faut pas occulter qu’une entreprise intègre un aspect économique important. L’entreprise est le premier contributeur de la collectivité. Et se doit de gagner de l’argent pour assurer ce rôle. Des acteurs du secteur financier viennent d’entrer au capital du groupe. Quel en est le but ? Nous sommes en phase de croissance. Jusqu’à présent, nous avons auto-financé notre essor. Cette entrée au capital, à un pourcentage qui reste faible, va aider et sans doute accélérer nos développements futurs… Ceci, en conformité avec notre stratégie et nos priorités. Courant 2019, vous avez acquis l’entreprise Migma. Pourquoi cette intégration ? Migma est une entreprise spécialiste des aménagements extérieurs et des bétons décoratifs. Nous travaillions déjà avec elle. Aujourd’hui, son intégration permet d’élargir tant l’offre globale proposée à nos clients que notre implantation géographique. Ainsi, nous sommes maintenant présents sur une zone allant de Lyon à Aix-en-Provence, d’un côté, et à Montpellier, de l’autre. Cheval est aussi actionnaire de l’entreprise de BPE Drôme Béton ? A vrai dire, nous sommes à l’origine de la création de Drôme Béton, avec quelques autres partenaires. L’idée était de disposer d’un débouché naturel pour les granulats normalisés issus de nos carrières. Aujourd’hui, nous avons signé sa réintégration à 100 % au sein du groupe. Ce qui lui permettra de mieux profiter de la R&D du groupe, pour faire ainsi progresser son offre béton. D’une manière générale, que représente le groupe Cheval ? Quels sont ses domaines de compétences ? Le groupe Cheval réalise une moyenne de 100 M€ par an. Il compte quelque 650 collaborateurs et 16 filiales. Historiquement, nous sommes des intervenants du domaine des travaux publics. Nous sommes des spécialistes du terrassement, de la route, du VRD. Mais, au fil des ans, nous avons élargi nos compétences aux métiers de la déconstruction, du recyclage ou encore de l’aménagement paysager. Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 93 
Il y a 4 ans et 18 jours

Cemex se renforce dans les Hauts-de-France avec trois acquisitions

Le cimentier a conclu un accord pour l'acquisition de plusieurs actifs d'Eqiom Granulats dans la région : les carrières de Soupir et de Presles-et-Boves (Aisne), ainsi que la plateforme ferroviaire du Plessis-Belleville (Oise). Soit une capacité de production annuelle de 400 000 tonnes de granulats et des réserves autorisées de 4,7 millions de tonnes.
Il y a 4 ans et 18 jours

Scania : “Caps” sur la préparation des camions

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le Caps assure l’adaptation des véhicules aux carrosseries qu’ils doivent recevoir. [©ACPresse] Qu’est-ce que le Centre d’adaptation et de préparation Scania, dit “Caps”, ouvert au sein de l’usine d’Angers ?« Nous construisons des centaines de poids lourds sur nos lignes d’assemblage. Pour certains, des configurations particulières sont nécessaires. C’est de cet aspect que se charge le Caps », résume Philippe Rousseau, chef de produit camions chez Scania. A vrai dire, ce service existait déjà, mais était réalisé dans des locaux loués à proximité.  L’innovation est donc l’intégration du Caps au cœur d’un bâtiment partagé, d’une surface totale de 5 100 m2, dont 3 400 m2d’ateliers. Un investissement de 6 M€.Le Caps a pour mission d’assurer la préparation des camions avant leur livraison. Cela va de l’inspection à l’activation du chronotachygraphe, en passant par le déplacement de certains composants ou la pose d’accessoires. L’installation d’éléments de carrosserie fait aussi partie des interventions. L’atelier vient d’être certifié ISO 9001:2005. 3 j ou 3 semaines d’intervention en moins Les porteurs “béton” sont particulièrement intéressés pour un passage au sein du Caps, car nécessitant de nombreuses adaptations. « Pour permettre le montage d’une cuve de malaxage, 3 j de travail sont nécessaires », souligne Patrice Roger, responsable du Caps. Et de poursuivre : « Pour accueillir un équipement de pompage, nous passons à 3 semaines d’intervention… »En d’autres termes, Scania fait gagner 3 j ou 3 semaines au carrossier. Un délai loin d’être négligeable, quand un client souhaite voir la livraison de son véhicule “pour hier”. Depuis la création du Caps, quelque 883 camions ont été préparés, dont 73 porte-toupies et quelques porte-pompes. Grâce à son nouveau bâtiment, Scania a déjà battu ce record avec 850 véhicules traités entre janvier et août 2020… Ce qui montre que les nouvelles installations assurent l’essor de cette structure. Ainsi, le Caps est en mesure de traiter un volume de plus de 6 000 véhicules par an. Aujourd’hui, le rythme annuel est d’environ 4 400 véhicules, soit 20 par j. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

Travailler à l’étranger : l’expérience d’Architecturestudio

Alexander Arjona Jacobi, architecte partenaire d’Architecturestudio, raconte son expérience dans le développement des nombreux projets de l’agence à l’étranger. De l’Afrique à l’Asie, en passant par l’Europe de l’Est et le Moyen-Orient, il livre au travers d’anecdotes une réalité bien éloignée des clichés. Un grand nombre de projets d’Architecturestudio se trouve dorénavant hors de nos […] L’article Travailler à l’étranger : l’expérience d’Architecturestudio est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 18 jours

In béton veritas

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. La cuve sphérique de vinification, imaginée par la start-up française Galileo, est fabriquée en béton allégé, naturel et sans adjuvant. [©Préfa Périgord] Il n’est pas rare de retrouver la mention “élevé en fûts” sur les étiquettes des bouteilles de vin. On pense naturellement à des fûts en chêne. Pourtant, le béton tend à se développer dans ce secteur. Ainsi, la cuve sphérique de vinification imaginée par la start-up française Galileo fait tourner toutes les têtes. Rotative de 15 ou 30 hl, elle est fabriquée en béton allégé, naturel et sans adjuvant. Et “Made in Préfa Périgord”, filiale de Seguin Moreau. Les formes de la nature « Sa rondeur vient de la forme du raisin, de la terre, du soleil, au plus près de la nature. Cela permet une vinification meilleure, indique Julien Béral, technicien étude/qualité chez Préfa Périgord. Cette forme sphérique minimise le ratio entre la surface externe et le volume contenu. Elle permet de préserver les variations de températures, les mouvements de convection. Et enfin, elle favorise les extractions douces. La composition naturelle innovante du matériau renforce les propriétés thermiques du béton. Et ce, sans aucun additif chimique. » C’est une formulation interne, mais avec la collaboration de LafargeHolcim. Ce béton est deux fois plus isolant qu’un béton classique. Le poids de la cuve est réduit de moitié vis-à-vis des contenants usuels en béton. Cette cuve peut donc être plus déplacée sans difficulté dans la cave. Ce qui permet de changer son organisation entre la période de vinification et celle d’élevage. Les équipements complémentaires (tuyaux, vannes et trappes) sont en inox et garantissent l’aptitude au contact du vin. Cette cuve sphérique de vinification est “Made in Préfa Périgord”, filiale de Seguin Moreau. [©Préfa Périgord]« Sa rondeur vient de la forme du raisin, de la terre, du soleil, au plus près de la nature. Cela permet une vinification meilleure, indique Julien Béral, technicien étude/qualité chez Préfa Périgord. [©Préfa Périgord] « La sphère elle-même, forme parfaite, limite la surface d’échange des jus en fermentation avec l’extérieur. Elle a été conçue sur le principe de l’igloo et elle dispose d’un circuit de thermo-régulation directement intégré dans la masse du béton », conclut Benoit Verdier, directeur technique chez Galileo et co-inventeur de la sphère. Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 18 jours

Master Builders Solutions France : Et le nouveau MasterSuna devient plastifiant

Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le MasterSuma SBS 4131 est le premier plastifiant réducteur d’eau pour bétons formulés avec des sables argileux. [©Master Builders Solutions] Dès lors qu’ils contiennent certains types d’argiles (dont l’argile gonflante), les sables deviennent inaptes à la production de bétons. De fait, les carriers peuvent se retrouver avec des stocks importants de matières premières inutilisables, alors même que le pays manque de ressources… C’est pour permettre de valoriser ces matériaux que Master Builders Solutions France (MBS) a lancé, il y a déjà quelques années, le MasterSuna SBS 3890. « Il s’agissait d’un ajout destiné à fonctionner en synergie avec un plastifiant ou un superplastifiant », rappelle Christophe Landry, directeur technique adjuvants de MBS France. Et de poursuivre :« Les argiles gonflantes présentent dans le sable captent de manière préférentielle les polymères du MasterSuna SBS 3890, permettant au plastifiant ou au superplastifiant de faire son travail sans être neutralisé ».  En d’autres termes, le MasterSuna SBS 3890 fait office de produit sacrificiel. Toutefois, cette approche a montré quelques limites d’utilisation, car l’ajout est sensible à la concentration d’argile. Il faut donc veiller à bien ajuster son dosage.  Si le MasterSuna SBS 3890 poursuit son existence dans l’offre de MBS France, l’industriel vient demettre sur le marché une toute nouvelle génération MasterSuna SBS 4131.« Plus qu’une simple évolution, il est question en réalité d’un produit totalement inédit », reprend Christophe Landry.  Peu sensible à l’action électro-statique des argiles Changement majeur : le nouveau MasterSuna SBS 4131 entrant dans le concept MasterSuna Sand Blocker Solutions n’est pas un ajout, mais un adjuvant, mono-composant, qui plus est. « Il entre dans la famille des plastifiants réducteurs d’eau. ». Son secret ne peut être vu que sous le microscope. « Le “4131” intègre un nouveau polymère dont les terminaisons sont très peu sensibles à l’action électro-statique des argiles,explique Christophe Landry. Ainsi, l’adjuvant n’est plus adsorbé par ces argiles, mais par le ciment, comme il se doit». Ainsi, en présence de sables argileux – dans les limites autorisées par les normes NF EN 12-620 et NF P 18-545 -, le MasterSuna SBS 4131 s’acquitteseul de la mission de plastifiant qui lui a été attribuée. « Produit mono-composant, il peut aussi être utilisé en synergie avec d’autres adjuvants, tels des superplastifiants traditionnels, des retardateurs de prise ou encore des entraîneurs d’air ». Au quotidien, son utilisation ne se distingue pas de ses congénères. On reste sur des plages de dosages classiques comprises entre 0,3 et 1,2 % de la masse de ciment. « Le nouveau MasterSuna SBS 4131 permet de garantir des formulations robustes pour des bétons réalisés avec des sables argileux », conclut Christophe Landry.  Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

A tout lieu sa formule et ses modalités d’action

Il est possible de formuler les modalités d’évolution du vivant (végétal et animal), des actions-réactions, des matières en relation avec l’architecture. La formule démultiplie les niveaux de lecture de l’architecture dont la richesse doit interpeller autant le profane que l’initié. A tout lieu sa formule ? Troisième volet.* Typologie d’énoncé n° 4 : organisation et […] L’article A tout lieu sa formule et ses modalités d’action est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 18 jours

De nombreuses solutions françaises innovantes labellisées par la Fondation Solar Impulse

La Fondation Solar Impulse a décidé de labelliser 1000 solutions techniques, capables de protéger l’environnement de manière économiquement profitable. De nombreuses solutions françaises sont retenues
Il y a 4 ans et 18 jours

Un nouveau directeur général pour Soprema France

Thierry Braunecker-Becker prend les rênes de l'activité française du groupe industriel.
Il y a 4 ans et 18 jours

Wayzz : La numérisation de l’industrie du BPE se densifie

Cet article est à retrouvé dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine 4- Les capteurs Wayzz permettent notamment de géolocaliser les toupies et d’identifier les ajouts d’eau. [©Wayzz] Wayzz évolue sur le marché des services numériques aux entreprises, à commencer par la supervision des flottes de toupies. Pouvez-vous nous en retracer la genèse ? Sandrine Issartel :Spécialisé dans les métiers du béton, Wayzz a été lancé en 2015. L’entité est rattachée à MWSC, sa maison-mère née en 2013. Nous intervenons sur toutes les problématiques liées à la remontée d’information du terrain, spécifiquement dans le domaine du transport. Avec Wayzz Béton Sync, nous proposons une solution IoT ou Internet des objets, destinée au domaine du béton. C’est là notre force : proposer une solution répondant aux besoins spécifiques de ce métier. La dématérialisation des bons de livraison et la supervision des flottes ont aujourd’hui un marché établi. Comment densifiez-vous votre offre de service ?  AlanEtrillard :Aujourd’hui, nous sommes capables de proposer aux industriels du BPE d’avoir une remontée d’information en temps réel, grâce à ces capteurs placés sur les toupies. Et suivies depuis leur sortie de la centrale, jusqu’à leur retour. Temps de trajet, d’attente, de vidange – et depuis peu, les ajouts d’eau -, tout est recueilli en direct. Ces informations sont ensuite “digérées” et dispatchées dans des modules que nous avons définis. Ce qui permet à chaque acteur du BPE de disposer de données essentielles pour la bonne supervision de ses livraisons. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"11":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"11":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 4 ans et 18 jours

Telle une pierre sculptée par l’eau et la lumière

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Situé à Toulouse, Côté Garonne est constitué de deux bâtiments en R+5 et R+6. [©Letellier Architectes] A Toulouse (31), le programme Côté Garonne évoque bien la dualité entre le besoin de nature et l’attractivité de la ville. Dessiné par l’agence Letellier Architectes, le projet immobilier Côté Garonne se compose de deux bâtiments (en R+5 et R+6), épousant de part et d’autre une maison traditionnelle en briques. Le tout formant ainsi un seul bloc monolithique. Installé avenue Muret, proche d’une station de tramway, cet ensemble s’élève comme une pierre sculptée. En face de la Garonne, les bâtiments Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 18 jours

Plus d'un million de formations financées depuis 2018 grâce au plan investissement compétences

"Par rapport à notre objectif global qui était de former deux millions de personnes supplémentaires sur l'ensemble du quinquennat -de 2018 à 2022-, on est à fin 2020 à un peu plus de la moitié de l'objectif", a indiqué Carine Seiler, haut-commissaire aux Compétences, lors d'une visio-conférence avec le ministère du Travail, sur ce bilan "à mi-parcours".Depuis 2018, 1,079 million de personnes supplémentaires ont été formées grâce au "PIC" pour lequel 7,2 milliards d'euros ont été "déjà engagés". C'est dans la trajectoire "de ce qui était prévu" par ce plan de 15 milliards d'euros sur cinq ans pour les jeunes éloignés du marché du travail et les demandeurs d'emploi peu ou pas qualifiés, a-t-elle poursuivi.Et "on atteindra les objectifs de deux millions de parcours supplémentaires sur la totalité du quinquennat avec les projections que nous faisons sur 2021 et 2022", avec respectivement 530.000 et 510.000 entrées en formation prévues grâce au PIC, et 150.000 autres via le plan de relance.Plus d'un million d'entrées en formationAu total, depuis 2019, plus d'un million d'entrées en formation sont enregistrées chaque année, dont environ 40% financées par le PIC, alors qu'avant 2015 le nombre d'entrées en formation des personnes éloignées de l'emploi était en moyenne de "650.000" personnes chaque année, a-t-elle détaillé.En conséquence, le taux d'accès à la formation progresse: alors qu'en 2015, un chômeur sur dix se formait, en 2020 "près d'un chômeur sur 6" est concerné, selon Mme Seiler.Le taux d'accès à l'emploi six mois après la formation, qui avait progressé de 1,5 point avant la crise sanitaire, à 57,6%, a en revanche souffert de la crise du Covid-19, retombant à 50,8%.Cette baisse de 7 points ne sera "sans doute" pas complètement rattrapée, car la crise "mettra quelques mois et quelques années à se résorber", mais l'objectif est de la rattraper en partie, ce qui dépendra "de la reprise, de la réouverture d'un certain nombre de secteurs fermés", a indiqué la Haut-commissaire.Le ministère du Travail fait valoir que le "PIC" n'est pas un dispositif à "effet immédiat", et estime que ses "pleins effets" devraient être "encore plus" visibles dans un an.La rémunération des stagiaires de la formation professionnelle, qui "n'avait pas été revalorisée depuis 1988", a souligné Mme Seiler, sera par ailleurs revue au 1er mai. Pour les 16-18 ans, elle passera notamment de 130 à 200 euros par mois, pour ceux de 18-25 ans, elle passera à 500 euros, et au-delà de 25 ans à 685 euros.
Il y a 4 ans et 18 jours

GCP habille une salle polyvalente

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine La salle de L’Escale à Cras-sur-Reyssouze affiche des produits GCP Applied Technologies sur ses murs et son entrée. [©GCP Applied Technologies] AIN. La commune de Cras-sur-Reyssouze voulait se doter d’une salle polyvalente. Permettant à la fois d’y pratiquer divers sports d’intérieur et de la louer pour des occasions festives. Construite sur un ancien ensemble de champs, le complexe, nommé L’Escale, a été dessiné par le cabinet d’architectes grenoblois Archipel. Composée de deux espaces, l’un à la toiture basse, l’autre à la toiture haute, la salle se déploie sur 1040 m2. Pour sa structure le maitre d’oeuvre a fait le choix d’un béton apparent. Livré par Cemex, il laissait à nu les traces de décoffrage et de mise en œuvre. Par la suite, l’entreprise Duguet Frères est venue y appliquer les produits de GCP Applied Technologies. « C’est un chantier intéressant pour nous. Puisque nous y avons livré nos solutions de façades et de traitement de sol, explique Florian Doras, responsable commercial de la marque. Les murs en béton apparent ont été lasurés avec le Pieri Prelor Vario. Dans des teintes Onyx 25% et 200%, selon les éléments. Le tout pour une surface de 1000 m2.» S’intégrant dans un complexe plus étendu, incluant le stade municipal, les alentours de la salle ont été traités eux aussi avec une solution GCP Applied Technologies. « Pour les sols constituant l’entrée de L’Escale, le Pieri VBA 2012 a été mis en oeuvre. Il s’agit d’un désactivant de voiierie, qui a été utilisé sur 500 m2.» Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

France Color Diffusion : Fenêtre sur le monde

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine France Color conçoit et produit la gamme Drain Color. [©Drain Color] ALLIER. Le calendrier affiche “juillet 2019”, lorsque la société France Color Diffusion, propriétaire des marques DrainColor et Béton Drainant, passe de Toulouse  à Vichy, en Auvergne. « Nous distribuons notre concept de béton drainant en sac à travers tout le territoire français, pour les magasins de négoce comme pour les GSB. Il nous fallait trouver une plate-forme plus centrale que ce que nous avions à Toulouse », indique Catherine Oliveira, gérante de la société de FranceColor.  L’entreprise a donc déménage l’ensemble de ses activités : de la plate-forme logistique aux laboratoires, en passant par les bureaux administratifs. Tout en travaillant son implantation locale. « Très vite, nous avons noué des contacts avec les acteurs locaux. Nous avons aussi beaucoup été aidés par le département de l’Allier qui nous a accompagnés dans ce changement d’horizon ». L’entreprise a même trouvé, dans le centre pénitentiaire de Moulins-Yzeure, un partenaire.  Une nouvelle base locale qui permet aujourd’hui à FranceColor de se tourner vers l’international, après un premier essai d’export (même si français) concluant à La Réunion. « Nous développons de nouveaux marchés à l’international, mais nous ne voulons pas presser les choses. Je veux bien comprendre le marché local, ses attentes et ses besoins, et pourquoi pas développer une gamme spécifique pour les pays cibles. » Dans le même temps, c’est une société-sœur Alcaligne qui va voir le jour. Ceci, afin de produire produire made in France des joints de dilatation, des cornières et des nez-de-marche Moonlight. Qui viendront compléter les produits de la gamme DrainColor. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

Axe Seine Béton dévoile ses ambitions normandes

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Axe Seine Béton prend peu à peu pied en Normandie. [©BSM] SEINE-MARITIME. Les toupies fuchsia de Béton Solutions Mobiles (BSM), bien connues sur les chantiers d’Ile-de-France, circulent dorénavant en Normandie et bientôt sur tout l’axe Seine, reliant Le Havre à Paris. Mais c’est une nouvelle entité qui les exploite : Axe Seine Béton (ASB), filiale de BSM. Une première centrale à béton est déjà opérationnelle depuis septembre, implantée à Gonfreville-l’Orcher (76). Et ce n’est qu’un début. « L’objectif est d’ouvrir à court terme 7 à 8 unités de production fixes le long de la Seine », explique Philippe Tibère, président de BSM. Et de développer : « Le Grand port maritime de l’axe Seine, qui naîtra de la fusion des ports du Havre, de Rouen et de Gennevilliers, en 2021, présente un fort potentiel de développement économique. Il nous semblait stratégique de nous y positionner ».  Pour ce projet d’envergure d’ouverture de centrales à béton, ASB prévoit un investissement de 10 M€. Et la création d’une cinquantaine d’emplois directs, dans les deux ans à venir. A ceci s’ajoutera la mise en circulation de 40 toupies pour acheminer le béton sur les chantiers de la région normande. Ainsi, d’ici la fin du premier semestre 2021, deux unités de production fixes doivent être mises en service, toujours dans la périphérie du Havre et de Rouen. Aussi, des postes de commerciaux et d’agents techniques sont à pourvoir. A bon entendeur… Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

CN Tower : L’élégante en béton

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. En août 1974, commence la construction de la sphère de sept étages qui abritera les galeries d’observations et le restaurant tournant. [©ACPresse] La tour CN, fierté des Canadiens ? Sans aucun doute. Elle impressionne d’autant plus les nombreux touristes étrangers, qui la visitent. Chaque année, ils sont près de 1,5 M à contempler le panorama et à profiter des multiples activités offertes. Bien que gigantesque avec ces quelques 550 m de haut, l’origine de la tour a un caractère très pratique. En effet, dans les années 1960-1970, des gratte-ciel sont construits dans le centre-ville de Toronto, la plus grande ville du Canada, en raison de l’augmentation de la population. Gênant ainsi la propagation des ondes radio. Pour remédier à ce problème, une antenne de diffusion plus haute que ces immeubles doit être érigée. C’est ainsi que la tour CN est née, émergeant au-dessus de tous les autres immeubles. Dotée de récepteurs à micro-ondes à une altitude de 338 m et d’une antenne culminant à 553,33 m, la tour CN résout les problèmes de communications. Ainsi, si le Canadien National (CN) ou Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada édifie cette tour, c’est pour démontrer le talent de l’industrie canadienne. Pour mener cet ambitieux projet à son terme, 1 537 personnes y travaillent 24 h/24, 5j/semaine, pendant 40 mois. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 4 ans et 18 jours

Vicat : Le bas carbone s’installe dans le paysage lyonnais

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Coulage du radier de la Tour To-Lyon par des toupies “Oxygène”. [@Vicat] RHONE. Au beau milieu du quartier de la Part-Dieu, dans la capitale des Gaules, s’élève la tour To-Lyon. Un projet emblématique de la métropole qui intègre une part de béton bas carbone Deca de Vicat. Lancée par le bétonnier en fin d’année dernière, cette solution a aussi été utilisée dans la construction de la résidence ABC de Grenoble (38) et également dans celle du lycée Sainte-Marie, à Meyzieu (69), réalisé par l’entreprise Rivière. Ceci, avec 100 % de ce bétons Deca. Deca recouvre une gamme de bétons bas carbone, fabriqués et formulés avec des matériaux locaux. « Pour la métropole lyonnaise, nous utilisons un Cem IV, formulé à base de pouzzolane, explique Paul Laurent, directeur Rhône-Saône chez Béton Vicat. Par rapport à un béton classique qui génère 200 à 250 kgCO2/m3, nous arrivons à 120-160 kgCO2/m3. Sur Lyon, ce béton est en plus distribué par nos toupies éco-responsables “« Oxygène” »  au (bBiogaz et à l’électricitéé). L’économie CO2 d’un béton Deca est de 30 % par rapport à un béton classique. »  La gamme Deca de Vicat lancée en 2020 Avec un lancement en 2020, la gamme Deca a bénéficié d’une très forte demande liée aux nouvelles aspirations sociétales. Il faut maintenant mieux faire connaître cette gamme auprès des entreprises. « Il nous faut montrer que ces matériaux ne changent pas leurs méthodologies de construction des entreprises. Travailler avec un béton Deca formulé en CEM IV, c’est l’assurance de pouvoir garantir les rotations de banches, même en période hivernale. C’est pourquoi, nous signons des partenariats avec des entrepreneurs locaux comme le groupe Fontanel. »  Dans la région lyonnaise, Vicat développe aussi son offre de ciments bas carbone. « Les collectivités locales y sont très sensibles, d’autant que les granulats utilisés  peuvent être issus du recyclage des bétons de déconstruction. » Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

Juridique : La gestion environnementale des chantiers

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine. Les produits destinés au réemploi ne prennent pas le statut de déchet… [©ACPresse] La Loi Agec a réformé les diagnostics “déchets des bâtiments”, en créant le diagnostic Produits Matériaux Déchets (PMD). Selon cette loi,“les produits et équipements destinés au réemploi ne prennent pas le statut de déchet1”. A cette fin, le diagnostic PMD doit être établi avant tout chantier de destruction ou de réhabilitation significative. Et ce, afin de maximiser le taux de réemploi. Il doit fournir la nature, la quantité et la localisation des matériaux, produits de construction et équipements. Ainsi qu’une estimation de leur état et les possibilités de réemploi sur le site de l’opération ou sur un autre site. Déjà applicable, le diagnostic PMD ne sera obligatoire qu’à compter du 1er juillet 2021. Evacuation et élimination des déchets Si le maître d’ouvrage est responsable à titre principal des déchets générés, une obligation de nettoyage et de remise en état des lieux pèse sur le maître d’œuvre. Ceci, en raison de son obligation de livraison en parfait état. Ce qui suppose l’évacuation des déchets générés. Mais les déchets, même non dangereux, ne s’abandonnent pas simplement dans la nature. Leur transport et leur élimination, voire leur valorisation et leur gestion, sont très encadrés. Le producteur des déchets est tenu d’en faire assurer leur élimination dans des conditions sans effets néfastes pour l’homme ou la nature2. Et leur collecte comme leur transport ne peuvent être assurés que par une entreprise y ayant été autorisée par l’administration3. Bien entendu, ceci n’est le cas qu’à défaut de réemploi. En tout état de cause, des registres doivent être tenus, comme le bordereau de suivi des déchets. Enfin, le déboisement ou l’exploitation de carrières peut être soumis à des autorisations environnementales de la direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (Dreal). Celles-ci font en général partie de l’obtention de permis de travaux. Et sont parfois couplées à des obligations de compensation (reforestation, capture et déplacement des animaux concernés, réintroduction d’espèces protégées…). Performances du bien livré Les intervenants à l’acte de construire ont une obligation de résultat qui englobe la mise en conformité aux exigences réglementaires environnementales. [©ACPresse] Il est exigé du maître de l’ouvrage qu’il justifie, lors de la réalisation d’un bâtiment neuf, de la satisfaction aux performances énergétiques et environnementales déterminées par la réglementation thermique. L’application de la RE 2020, qui a vocation à remplacer la RT 2012, a été reportée au 1er janvier 2022. Cette nouvelle réglementation ne contrôle plus seulement la consommation énergétique des bâtiments neufs, mais aussi leur bilan carbone. Tout en incluant l’analyse du cycle de vie des matériaux et des équipements employés. La RT Existant4, globale ou par élément en fonction de l’ampleur des travaux, est son équivalent pour les opérations de rénovation.Une performance énergétique supérieure aux prescriptions est, quant à elle, récompensée par l’octroi d’un bonus de Coefficient d’occupation des sols (COS)5.Enfin, il existe toute une gamme de labels réglementaires (HQE…) et d’engagements environnementaux volontaires, qui sont intégrés dans les documents contractuels et lient ainsi leurs parties. Le fondement des actions en responsabilité avant réception pour non-respect des exigences réglementaires, tout comme des engagements contractuels environnementaux, est la responsabilité contractuelle de droit commun. En effet, les intervenants matériels comme intellectuels à l’acte de construire sont tenus, avant réception, d’une obligation de résultat qui englobe la mise en conformité du projet constructif aux exigences réglementaires environnementales. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats 1L. 541-4-4 Code de la construction et de l’habitation. 2L. 541-2 Code de l’environnement.3L. 541-8 Code de l’environnement.4R. 131-25 et s. Code de la construction et de l’habitation.5R. 111-21 Code de la construction et de l’habitation. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 18 jours

Plattard au gaz et au bio-carburant

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Plattard a fait subir une semaine de test à une toupie roulant au gaz. [©Plattard] Rhône. Pour son activité de BPE, Plattard s’appuie à la fois sur des partenaires transporteurs et un parc interne de toupies. Pour ces dernières, l’industriel a réalisé un test grandeur nature de porteurs gaz de la marque Scania. « Nous souhaitions depuis longtemps diversifier notre source d’approvisionnement pour nos toupies. Scania nous a fait cette proposition de test. Nous avons tout de suite accepté, indique Charles Plattard, vice-président du directoire du groupe éponyme. La toupie a été testée pendant une semaine, fin 2020, dans des conditions d’utilisation classique chez nous. » Si l’essai n’a pas été transformé, l’industriel n’en est pas moins convaincu par ce carburant alternatif. « Nous anticipons la nécessité d’avoir ce type de solutions à Villefranche-sur-Saône, là où nous avons notre plus grosse centrale. D’autant qu’une importante station de gaz vient de se construire à côté de chez nous. » A la place, Plattard a fait le choix du bio-carburant pour une partie de son parc. « Ce n’est absolument pas du greenwashing. Nous sommes à l’écoute de toutes les sources d’énergie alternatives. Il en va de notre responsabilité sociétale. D’ailleurs, le choix du bio-carburant n’exclut pas le gaz, qui pourrait arriver chez nous à court ou à moyen terme. » Dans le même temps, Plattard a fait l’acquisition d’une pompe à béton de 36 m signée Sermac. « L’idée est de proposer la prestation de pompage du béton en toute indépendance, avec un véhicule adapté. » Qui roulera, lui aussi, au bio-carburant. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

Capremib modernise le port de Calais

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine Le nouveau quai d’amarrage des ferries du Port de Calais a été préfabriqué par Capremib. [@BouyguesConstruction] PAS-DE-CALAIS. Premier port français en termes de passagers et deuxième port européen pour le trafic maritime transmanche, le port de Calais se heurtait à une capacité insuffisante face à la croissance de la demande. La région Nord – Pas-de-Calais a  donc confié à un groupement d’entreprises, avec Bouygues TP à leur tête, la mission de mener à bien un chantier d’agrandissement des infrastructures. Pour un montant de 863 M€. Les travaux comprennent la réalisation d’une nouvelle digue en mer, de trois nouveaux postes ferries. Mais aussi d’un poste roulier,  et de 4 Mm3 de dragages maritimes pour les nouveaux terre-pleins. Et enfin, l’aménagement de nouvelles capacités d’accueil du trafic transmanche.  27 poutres signées Capremib Capremib s’occupe de la réalisation des poutres précontraintes (Prad), de l’habillage des corniches, ainsi que de la préfabrication  des voiles de protection du nouveau quai d’amarrage des futurs ferries et paquebots. Les 27 poutres Prad nécessaires ont été fabriquées dans les ateliers Capremib de Cormicy (51). D’une longueur de 28,50 m, chacune d’elles pèse de entre 35  et 38 t. Plus de 750 ml de poutres Prad ont été réalisés en moins de 15 j. Pour répondre aux contraintes environnementales (eau salée), Capremib a utilisé un béton C60/75 auto-plaçant, caractérisé “prise mer”.  Lorsque l’installation des éléments du tablier a été achevée, l’habillage du pont a pu commencer, avec pas moins de 78 corniches de 2m de long en béton armé sur 1,07 m de haut, utilisant le même béton qualifié pour l’opération. L’ensemble des éléments produits représente pour Capremib un total de 850 m3 de béton préfabriqué, ainsi que 200 t d’aciers et torons de précontrainte mis en place pour cet ouvrage. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 18 jours

L’ex-usine Bonna Sabla rouvre et devient Sitinao

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine L’ex usine de Bonna Sabla fermé en novembre dernier rouvre ses portes sous le nom de Sitinao. [©Sitinao] Haute-Loire. La vie d’une usine arrive parfois à son terme. Les lignes de production s’arrêtent, les lumières s’éteignent et chacun rentre chez soi, face à un avenir incertain… Mais parfois, cette usine reprend vie. Fin novembre 2020, huit mois après sa fermeture, l’unité de Bas-en-Basset a recommencé à produire des éléments d’aménagement urbains préfabriqués, sous l’impulsion de Christophe Marcoux, repreneur de l’ancien site Bonna Sabla, devenu Sitinao. « Nous avons pu relancer facilement le site, car les machines avaient été soigneusement arrêtées. Et sur les 22 employés qui ont repris, seuls deux n’étaient pas de la précédente équipe, dont moi-même, explique Arnaud Chamar, nouveau directeur de l’usine. Nous sommes les seuls en France à produire des pièces, grâce à la technique du pressage et de l’essorage. Celles-ci sont destinées à l’aménagement urbain, sur le modèle de l’ancienne marque de Bonna Sabla. » Entrepreneur de travaux publics en Haute-Loire, Christophe Marcoux n’a pas pu se résoudre à laisser l’outil industriel et les compétences associées à l’abandon. Il compte s’appuyer sur son réseau bien établi dans la région pour relancer les ventes. « Nous allons d’abord nous reposer sur le bassin local, en prenant le temps de faire de la prescription auprès des bureaux d’études, de renouer des contacts qui étaient rompus, précise Arnaud Chamar. Nous commencerons ensuite à concevoir de nouvelles solutions, notamment autour du bas carbone. Enfin, nous élargirons notre zone de vente». Pour le moment, l’usine devrait tourner à plein régime à la fin du premier semestre.  Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine