Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255022 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 47 jours

Sorgues : des travaux sur la route de Châteauneuf-du-Pape pour plus de sécurité

Le réaménagement de la route de Châteauneuf-du-Pape, à Sorgues, entrera dans sa phase opérationnelle dès la mi-mars.
Il y a 4 ans et 47 jours

Bayonne : la résidence Balichon et ses 218 logements réhabilités d’ici fin mars 2021

Les travaux de réhabilitation de la résidence Balichon, à Bayonne, sont en passe d’être achevés. L’échéance est fixée à fin mars.
Il y a 4 ans et 47 jours

Geosophy lève 750.000 euros pour développer l'énergie souterraine au profit naturel de l'immobilier

A l'heure du renforcement des réglementations environnementales s'illustrant par la parution du décret tertiaire imposant des diminutions de consommation énergétique, l'innovation technologique proposée par Geosophy constitue une aubaine pour les propriétaires immobiliers. Le marché visé par Geosophy est de 50 millions d'euros par an en France.Les récents financements qu'a recueilli Geosophy lui permettent déployer son offre commerciale en s'appuyant sur son expertise et ses modélisations des énergies souterraines pour proposer des opérations de valorisation immobilière, opportunité inédite pour les industriels du bâtiment français, parfaitement alignée avec l'objectif d'une relance économique durable. En effet, en concevant un modèle innovant de valorisation tertiaire, Geosophy incite à repenser les espaces et les besoins. Exploitant la valeur méconnue des sous-sols, la start-up revalorise les biens immobiliers et met à profit sa fine expertise en faveur d'une transition énergétique fiable et sans écueil.Premier tour de tableGeosophy fait partie des 1000 solutions capables de protéger l'environnement qui bénéficient du Label “efficient solution” 2020 de la Fondation Solar Impulse. La start-up poursuit son ambitieuse trajectoire en bouclant avec succès son augmentation de capital de 550 000 euros en recueillant les participations de quatre associations dont Business Angels des Grandes écoles (BADGE). Ce premier tour de table révèle la noble stratégie que désire adopter le comité stratégique paritaire de Geosophy en s'associant à des acteurs reconnus de premier plan.« Nous avons souhaité faire appel à des investisseurs individuels pour nous accompagner dans cette phase de notre développement pour bénéficier non seulement de leurs capitaux, mais aussi de leurs conseils stratégiques et opérationnels, exigeants mais bienveillants, ainsi que de leur expérience et de leurs réseaux pour accroître notre notoriété et accélérer la dynamique de nos relations avec nos clients et nos fournisseurs » a déclaré Alice Chougnet, Présidente de Geosophy.Forts d'une expérience éprouvée dans la R&D et la gestion de projets appliquée aux services pétroliers, les fondateurs Alice Chougnet et Quentin Barral ont développé, grâce à leur savoir-faire et avec l'aide de laboratoires de recherche et d'industriels du domaine, une solution logicielle brevetée d'aide au choix d'une solution optimale de chauffage en hiver, climatisation en été, des bâtiments à base de géo-énergie.Un financement permettant une R&D de pointe au profit d'une transition énergétique fiable et sans écueil : au cœur de la deeptech et de la dataCette levée de fonds dédie les travaux de Geosophy en Recherche et Développement et permet de rendre sa solution opérable sur le plan commercial. La start-up concentre donc ses travaux de recherche et de développement selon 3 axes : la modélisation des sous-sols alliée aux besoins des bâtiments ainsi que la valorisation des biens immobiliers.En étroite collaboration avec l'Institut Français du pétrole et des énergies renouvelables, Geosophy tire profit de l'inertie thermique des sous-sols peu profonds caractérisés par une température constante de 12 à 15 degrés, source de chaleur l'hiver, et de fraîcheur l'été. En considérant les besoins des bâtiments couplés avec le potentiel énergétique de leurs sous-sols, Geosophy s'appuie sur ses travaux de recherche pointus pour appliquer ses modélisations à la géo-energie. La géo-énergie jouit des bénéfices de constituer une énergie locale, durable, gratuite, renouvelable et neutre pour le paysage. Forte d'autant d'atouts, elle entend être en mesure de satisfaire les nouveaux objectifs réglementaires.
Il y a 4 ans et 47 jours

Saint-Gobain investit dans la construction modulaire en bois en Allemagne

Le géant des matériaux a pris une participation majoritaire dans la société Brüggemann, fabricant et installateur reconnu de solutions de construction modulaire en bois clés en main destinées à la construction neuve et à la rénovation.
Il y a 4 ans et 47 jours

Découvrez la boutique en ligne Doka France !

Doka, spécialiste du coffrage et d’étaiement, propose à ses clients une boutique en ligne. Commandez dès à présent des systèmes et composants de coffrages Doka à toute heure et à tout moment et bénéficiez des meilleurs prix sur shop.doka.com. Créez votre compte pour suivre et gérer vos commandes grâce aux notifications et à l’historique d’achats. Une équipe spéciale et une ligne d’assistance sont disponibles pour vous accompagner et apporter leurs conseils.Inscrivez-vous dès maintenant et profitez des frais de livraison offerts lors de votre première commande !* * dans la limite d’un seul camion 13m complet avec le code BIENVENUE Doka – spécialiste du coffrage Doka est leader international pour la conception, la fabrication et la commercialisation des systèmes de coffrage (dont coffrage-cadre) et d’étaiement pour tous les secteurs du BTP. Avec plus de 160 sites commerciaux et logistiques dans plus de 70 pays, le groupe Doka dispose d’un réseau extrêmement performant pour fournir aux entreprises de construction des équipements et supports techniques avec réactivité et professionnalisme. La haute qualité d’un produit et la bonne résistance à l’usure d’un matériel sont synonymes de longévité et de sécurité. Grâce aux normes ISO 9001 et ISO 14001, tous les produits Doka répondent aux exigences les plus élevées en matière de qualité et de protection environnementale. En outre, chaque nouvelle génération de produit est compatible avec la précédente. 
Il y a 4 ans et 47 jours

Pour ses 70 ans, Cheminées Poujoulat fait évoluer son logo

Conservant toujours ses codes graphiques - couleurs jaune, rouge et gris ainsi que l’emblème du chat - le logo de la société familiale française basée à Niort (79) a connu plusieurs évolutions, dont celle d’aujourd’hui à l’occasion de ses 70 ans.Lifting du logo pour le fabricant français depuis 1950Le logo est la « marque de fabrique » d’une entreprise. Chaque changement fait référence à un moment fort, une évolution, un changement. Aujourd’hui, pour marquer les 70 ans de son histoire, Cheminées Poujoulat s’affirme encore plus en faisant évoluer son logo pour l’ancrer dans un esthétisme plus moderne et design.Tout en gardant ses couleurs initiales, le rouge, le jaune et le gris, le logo est épuré pour optimiser sa visibilité.Symbole de la marque depuis 2003, le chat garde son allure, mais avec des lignes plus dynamiques, et est mis en lumière sur un fond jaune.Initialement mentionnée pour faire référence à son activité, la baseline « Un conduit pour la vie » disparaît puisque l’activité de l’entreprise est maintenant parfaitement reconnue.Une évolution en lien avec des événements marquantsTout au long de son histoire, le logo de la marque a connu plusieurs évolutions successives, plus ou moins marquées.En 1988, lorsque Cheminées Poujoulat entre en bourse, le nom « Poujoulat », identifié à la couleur jaune, est mentionné sur un fond gris en référence au métal.En 1990, Cheminées Poujoulat souhaite se donner une nouvelle identité de marque, non seulement pour une meilleure visibilité dans le commerce, mais aussi pour affirmer sa position de 1er fabricant de sorties de toit et conduits de cheminées métalliques.À cette période, Cheminées Poujoulat sort le « Grand Livre », qui va vite devenir l’ouvrage de référence du conduit de fuméeC’est en 2003 que l’entreprise niortaise décide d’effectuer une transition et d’apporter un profond changement à son logo pour une meilleure identification de la marque auprès des consommateurs, notamment au travers de son sponsoring voile. Poujoulat devient« Cheminées Poujoulat » pour une meilleure perception du secteur d’activité. Un nouveau logo est créé, avec une forme globale arrondie pour faire référence au conduit. Arrive aussi à cette occasion le chat, devenu un véritable emblème de la marque. Le félin fait le lien entre le toit sur lequel il se promène volontiers, et l’appareil de chauffage auprès duquel il aime se prélasser.La dernière évolution date de 2007 : le bloc marque est plus compact et dynamique, le chat s’affirme en en occupant davantage d’espace. Ce sera également l’année de sortie du 2e « Grand Livre ».
Cimbat
Il y a 4 ans et 47 jours

Partenariat entre la Régie immobilière de la Ville de Paris et le CSTB

Dans la continuité d’une première collaboration engagée en 2018, la Régie immobilière de la Ville de Paris et le CSTB renouvellent leur partenariat de recherche pour 3 ans. Cette nouvelle…Cet article Partenariat entre la Régie immobilière de la Ville de Paris et le CSTB est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 47 jours

Volets battants automatisés

EHRET fait évoluer la fonctionnalité de ses volets battants avec l’intégration d’une nouvelle motorisation, VOLETRONIC io en partenariat avec Somfy. Cette innovation permet d’insérer les volets battants du fabricant dans…Cet article Volets battants automatisés est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 47 jours

L'architecte et historien Pierre Pinon est décédé

“Un grand passeur de l’histoire de l’architecture française vient de nous quitter”. L’école d'architecture de Paris-Belleville, à travers un texte de son directeur François Brouat, a annoncé le décès de l’architecte, historien et professeur Pierre Pinon, le 7 mars à l’âge de 84 ans. Pierre […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 48 jours

Avec Greenwich West, Françoise Raynaud fait la tour de New York

Greenwich West, la toute première tour de New York conçue par une architecte française, Françoise Raynaud, a été livrée en 2021. Elle compte 30 étages et 170 logements de type loft aménagés par l’architecte d’intérieur parisien Sébastien Segers. Communiqué du (fier) maître d’ouvrage. Situé au 110 Charlton Street dans le quartier en plein essor d’Hudson […] L’article Avec Greenwich West, Françoise Raynaud fait la tour de New York est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 48 jours

Nouveau détecteur d'ouverture NF&A2P DAITEM : le plus petit du marché !

Ce dispositif permet d'assurer une protection optimale pour le résidentiel, en sécurisant les issues telles que les portes d'entrée, les fenêtres ou encore les baies vitrées. Son design ultra-plat et sa taille réduite le rendent presque invisible.
Il y a 4 ans et 48 jours

Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal lauréats du Prix Pritzker 2021

Le célèbre duo français, à l’engagement constant pour une architecture sociale, démocratique et économe, vient d’être nommé pour recevoir le Prix Pritzker 2021. Ce sont les troisièmes architectes français à recevoir ce prix. Ils succèdent au duo irlandais composé d’Yvonne Farrel et Shelly McNamara de Grafton Architects. Alors que le prix récompensait l’année dernière les travaux d’une agence dirigée par deux femmes – fait assez rare pour être spécifié – le jury prime...
Il y a 4 ans et 48 jours

Comment procéder à l’isolation des murs intérieurs ?

Le sentiment de confort à l’intérieur de l’habitat est majoritairement dû à sa température ambiante. En effet, une température adaptée à la saison, chaud en hiver et frais en été, permet à ses locataires de s’y sentir à l’aise. Afin d’éviter des écarts voire des baisses de températures, il est primordial de choisir une bonne isolation. De plus, une isolation de qualité réduira votre facture d’énergie et par conséquent engendrera peu de coûts supplémentaires. Alors, quoi de mieux que l’isolation thermo-acoustique ? Ce procédé d’isolation possède de nombreuses qualités qui lui permettent de s’imposer de plus en plus au sein des foyers de manière durable. Choisir le bon isolant Le plus dur dans les travaux d’isolation est de choisir le parfait isolant. Vous avez l’embarras du choix en la matière, mais tout dépend des caractéristiques de votre maison. Dans bien des cas, utiliser un isolant thermo-acoustique peut être une bonne idée. Comme son nom l’indique, ce type d’isolation permet à la fois de bien vous chauffer (isolation thermique) et d’atténuer le bruit de l’extérieur et de l’intérieur (isolation phonique) pour vous garantir un confort maximum. Si vous avez une maison en bordure de route que vous souhaitez chauffer, n’hésitez plus ! À installer dans les murs, et disponible pour quelques centaines d’euros le m2, c’est le must des isolants proposés par les grandes marques. Cette isolation vous permettra d’améliorer votre confort de vie, de réduire votre impact environnemental mais aussi d’effectuer des économies sur vos factures d’énergie. Pour les petits budget, la laine de verre ou bien la ouate de celluloses peuvent également être de bonnes alternatives. Cependant, ces techniques possèdent quelques points négatifs, le principal étant l’apparition de ponts thermiques. Au fil des années, la laine ou la ouate va s’affaisser, ce qui créera un espace dans vos murs qui laissera passer le froid. A contrario, le procédé de l’isolation projetée permet de répandre la matière de manière uniforme et ainsi éviter les ponts thermiques. Pour ceux qui ont un petit budget, un isolant en laine de verre, en chanvre ou en celluloses, voire en fibre de bois peut également être une bonne idée. Ce sont les classiques de l’isolation. Il s’adapte à toutes les pièces et est facile à installer. Depuis plusieurs années, ils ont prouvé leur valeur. Pour l’isolation des murs, la mousse polyuréthane est également une alternative très en vogue. C’est une technique efficace et rapide qui consiste à verser de la mousse isolante dans les murs. L’isolant coûte assez cher, mais est très efficace pour couvrir chaque cm2 de vos murs. Cette isolation peut s’adapter à des combles aménagés. Mais si vous avez des combles perdus à isoler, on vous recommande le soufflage. C’est non seulement moins cher, efficace, mais c’est aussi plus rapide. Un Professionnel RGE pour vous aider Pour profiter des avantages du pacte d’isolation solidaire et garantir la réussite de votre projet d’aménagement, on vous conseille de faire appel à un professionnel RGE. Mais qu’est-ce que le label RGE ? Il s’agit d’un label que seuls les prestataires reconnus par l’État peuvent porter. Il est synonyme de compétence et de fiabilité. Il est important de vérifier que l’artisan engagé possède ce label avant les travaux, afin de s’assurer qu’ils soient éligibles aux aides. Il vous faut maintenant chercher votre artisan. Il existe plusieurs moyens de le trouver. Tout d’abord, sur Internet, mais veillez à choisir le prestataire qui aura la meilleure réputation. Vous pouvez également vous faire accompagner par l’agence nationale de l’habitat (Anah) ou encore avoir recours au bouche-à-oreille. L’isolation thermo-acoustique : des travaux qui prennent du temps mais qui sont bénéfiques. Cette isolation à base de polyuréthane projeté est un processus qui requiert du temps. Il faudra en effet démonter les murs avant de procéder à la mise en place des isolants. Vous devez donc prendre des dispositions pour votre hébergement. Tout le temps des travaux, votre maison sera inhabitable. Après la mise en place des isolants, ce qui peut prendre quelques jours en fonction de l’importance des travaux à faire, l’artisan procédera à la remise en état des lieux, à savoir la fixation des murs et aux colmatages des éventuels trous. Néanmoins, le jeu en vaut la chandelle ! Cette technique possède de nombreux avantages. Elle jouit d’une résistance optimale aux moisissures et d’une résistance thermique élevée. Cette technique est également capable de s’adapter aux imperfections de toutes les surfaces, ce qui n’est pas le cas de tous les isolants. En outre, il s’agit d’un procédé à la certification QB, gage de qualité et de sécurité. L’isolation polyuréthane est une solution durable avec un faible impact carbone. Quand rénover l’isolation de votre maison ? Contrairement à certaines informations, il n’est pas nécessaire de rénover votre isolation tous les ans. Il vous suffit de bien choisir votre isolant et votre prestataire. Mais alors, comment savoir si vous devez procéder à cette rénovation ou non ? Quand la performance énergétique de votre résidence commence à défaillir, il est temps de faire quelques changements. Si vous avez poussé votre appareil de chauffage dans ses retranchements, mais que vous sentez tout de même un courant d’air, c’est également le moment pour d’engager un professionnel de l’isolation pour vous accompagner dans la rénovation de votre habitation. Vous devez contacter un professionnel qui procèdera à un bilan thermique. Il s’agit d’un diagnostic d’isolation sur votre logement. Cela vous permettra de savoir s’il faut rénover ou non. En ce qui concerne la laine de verre, elle est assez économique et fait partie de l’un des isolant les plus performants. Pour ce qui est de l’isolation de polyuréthane, son atout majeur est sa longévité. En effet, contrairement aux isolation à la laine de verre ou ouate de celluloses, celle-ci a une plus grande durabilité dans le temps. Son installation par projection empêche l’apparition de ponts thermiques, et par conséquent perdure dans le temps. De plus, tout comme la liane de verre, elle est l’une des isolation les plus performante. De quelles aides pouvez-vous bénéficier ? Dans le cadre de la réduction de la consommation d’énergie, l’État français va l’inciter grâce à différentes stratégies. L’une d’elles consistant à financer les travaux d’économies d’énergie des habitations. La rénovation de l’isolation d’un habitat peut être une action onéreuse. Cependant, l’isolation projetée est moins coûteuse que dans l’imaginaire collectif. Il existe plusieurs aides, auxquelles elle est éligible, qui faciliteront le financement de ces travaux de rénovation. Depuis le 1er janvier 2020, l’État a mis en place une nouvelle aide : Ma Prime Rénov’. Il s’agit d’une aide financière reversée à la fin des travaux de rénovation énergétique. Cette prime varie, de 2000 à 20 000 euros, en fonction des revenus du propriétaire du futur logement rénové et des travaux engagés. Ces travaux doivent être réalisés par un professionnel RGE afin de pouvoir avoir recours à la prime. En 2021, quatre catégories de revenus seront créées afin de déterminer le montant de la prime. C’est une prime cumulable avec d’autres, sous certaines conditions. On peut également avoir recours à la prime CEE si les travaux sont réalisés par un artisan RGE. Il s’agit d’un dispositif mis en place en 2006 qui oblige les fournisseurs d’énergie à financer partiellement les travaux de rénovation énergétique faits par les particuliers. Il est intéressant de noter que cette prime est cumulable avec « Ma Prime Rénov’ » tout comme avec le crédit d’impôt. Le montant de cette prime dépend de la zone géographique mais aussi des caractéristiques de l’installation. Elle peut également donner lieu à une prime bonifiée si les revenus sont modestes. Certains artisans, comme Syneris par exemple, propose aux particuliers de leur monter le dossier de demande de CEE ou d’autres démarches administratives liées aux travaux d’isolation , afin de faciliter leur changement énergétique.
Il y a 4 ans et 48 jours

Cybersécurité : les attaques en forte hausse, la FNTP appelle à la prudence

SÛRETÉ. Dans un document publié récemment par la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), l'organisation constate ces derniers mois l'augmentation de cyberattaques, à l'encontre des entreprises et institutions. Elle émet des recommandations pour se protéger de ces attaques numériques.
Il y a 4 ans et 48 jours

Castex réunit syndicats et patronat sur "la sortie de crise" et une prime aux salarié

Lors de cette conférence de dialogue social, Jean Castex échangera à partir de 15H30 avec les organisations syndicales et patronales en visioconférence. Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire sera avec lui, tandis que la ministre du Travail Elisabeth Borne, testée positive au Covid-19, restera à distance.Le gouvernement souhaite élaborer avec les partenaires sociaux une "méthode pour à la fois travailler sur les scénarios de levée de restrictions sanitaires" et "trouver le bon calendrier, le bon dosage" pour "travailler au débranchement progressif des aides".Le moment peut sembler paradoxal, alors que la situation sanitaire extrêmement tendue en Île-de-France fait la Une.Mais pour Laurent Berger (CFDT), il est important d'"anticiper" alors "qu'on est tous aujourd'hui encore le nez dans le guidon". Dans Les Echos, il suggère de demander à des personnalités "de dresser un panorama de la situation afin de construire des scénarios de sortie de crise"."Attention à ce qu'on ne ferme pas trop rapidement les robinets d'aide publique", prévient cependant Yves Veyrier (FO). Philippe Martinez (CGT), qui n'attend "pas grand chose" de la conférence, va insister sur "la conditionnalité des aides". "On ne peut pas supprimer d'emplois quand on touche des aides", a-t-il plaidé sur RMC.Elisabeth Borne a déjà annoncé la tenue de "concertations sectorielles".Concrètement, le gouvernement devrait faire connaître lundi son arbitrage sur la durée et les conditions de la prolongation au-delà de fin mars des aides exceptionnelles à l'embauche des jeunes et au recrutement d'alternants qui ont permis d'éviter un effondrement de l'emploi des jeunes.Selon le ministère, près de 1,3 million de moins de 26 ans ont été embauchés en CDI ou CDD de plus de trois mois entre août et janvier, avec 340.000 demandes de prime (1.000 euros par trimestre de contrat pendant au maximum un an). Côté alternance, il y a eu 495.000 demandes d'aide (5.000 euros pour un mineur, 8.000 pour un majeur).Prime Macron bis ?Autre point à l'ordre du jour: les travailleurs de la "deuxième ligne", particulièrement exposés à la pandémie, notamment dans le commerce de détail, la propreté, le bâtiment, le transport routier, essentiels pour la continuité économique et dont les salaires et conditions de travail sont pour la plupart peu enviables.La ministre du Travail a lancé une mission passant par la rédaction d'un rapport détaillé censé guider les discussions dans les 15 branches les plus concernées.Mais elle ne devrait pas aboutir avant plusieurs mois et le gouvernement réfléchit à un geste de plus court terme, comme une prime exonérée de cotisations sociales que les entreprises auraient la possibilité de verser, sur le modèle de la prime Macron après la crise des gilets jaunes.Selon Geoffroy Roux de Bézieux, le gouvernement va annoncer un dispositif à deux étages: la possibilité de verser une prime défiscalisée de 1.000 euros maximum, portée à 2.000 euros pour ceux identifiés comme "deuxième ligne". Il n'a pas précisé jusqu'à quel niveau de salaire pourrait être versée cette prime."Ça va être difficile", a prévenu cependant le patron du Medef sur Franceinfo "alors que la plupart des entreprises - il y a des exceptions - seront dans une situation difficile"."S'il n'y a pas d'accord de branche, l'Etat doit imposer un montant et conditionner les aides sectorielles à son octroi", tranche Laurent Berger. Philippe Martinez insiste lui sur la nécessité d'une "augmentation immédiate des salaires". "Le risque d'une prime, c'est un effet de substitution à des augmentations pérennes de salaires", alerte Yves Veyrier.Pour cette conférence, le gouvernement a mis de côté les sujets qui fâchent: la réforme de l'assurance chômage a été décidée en amont même si les syndicats comptent à nouveau demander son report. Et ni la réforme des retraites, "morte et enterrée" selon M. Roux de Bézieux, ni les déficits sociaux ne sont à l'ordre du jour.
Il y a 4 ans et 48 jours

Saint-Gobain cible la construction modulaire bois

PARTICPATION MAJORITAIRE. Saint-Gobain a pris une participation majoritaire dans la société Brüggemann, spécialiste allemand de la fabrication et l'installation de solutions de construction modulaire en bois.
Il y a 4 ans et 48 jours

Sika acquiert un fabricant de mortier brésilien

ACQUISITION. Le spécialiste suisse de la chimie, Sika, a mis la main sur Supermassa do Brasil, un fabricant de mortiers brésilien. Le montant de l'opération n'a pas été communiqué.
Il y a 4 ans et 48 jours

Toulouse : McPhy et Hyport s’allient pour développer des stations d’hydrogène à l’aéroport

Hyport s’associe à McPhy pour équiper l’aéroport de Toulouse-Blagnac d’une chaîne d’hydrogène vert.
GDA
Il y a 4 ans et 48 jours

Fonds de solidarité : face au coût et aux fraudes, Bercy resserre les contrôles

AIDES. La politique du "quoi qu'il en coûte" commençant à coûter cher, et les fraudes ayant tendance à se multiplier, l'Administration resserre les contrôles sur les demandes d'indemnisation au titre du Fonds de solidarité.
Il y a 4 ans et 48 jours

Soprema va construire deux usines à Nîmes

INVESTISSEMENT. Spécialiste de l'isolation et de l'étanchéité, Soprema, a annoncé la construction de deux usines à Nîmes. Ce projet vise à optimiser la démarche d'économie circulaire et étendre la présence du groupe.
Il y a 4 ans et 48 jours

Un arrêté réduit, dès avril, le champ des CEE "précarité énergétique"

DÉCISION. Un arrêté vient de paraître au Journal officiel du 13 mars 2021, renforçant les exigences sur le coup de pouce "rénovation globale", et réduisant le champ des CEE "précarité énergétique". Réactions et analyses de trois acteurs du secteur.
Il y a 4 ans et 48 jours

"Il faut instaurer des minimums de densité dans les PLU" (D.Hereng, maisons individuelles)

INTERVIEW. La Fédération française des constructeurs de maisons individuelles a exposé aux députés ses propositions pour construire à l'intérieur des villes, sur des terrains plus petits. Ce que ne permettent pas toujours les PLU. Entretien avec le président de la FFC, Damien Hereng.
Il y a 4 ans et 48 jours

L'Unis et l'Unsfa veulent harmoniser outils et process pour la rénovation des copropriétés

RÉNOVATIONS ÉNERGETIQUES. Les architectes et les professionnels de l'immobilier proposent aux autres acteurs de la filière, de l'amont à l'aval, une feuille de route pour permettre enfin de massifier les travaux de rénovation énergétique des copropriétés.
Il y a 4 ans et 48 jours

La loi SRU qui impose un minimum de logements sociaux sera pérennisée au-delà de 2025

"L'obligation d'avoir 25% de logements sociaux ne s'arrêtera pas en 2025, elle deviendra permanente. Certaines communes se disaient qu'il suffirait d'attendre quelques années pour diminuer l'ambition... Désormais, elles ne pourront plus jouer la montre, elles devront poursuivre leurs efforts jusqu'à atteindre l'objectif", a déclaré Mme Wargon.La ministre a ajouté que cette mesure serait "inscrite dans le projet de loi 4D (sur la décentralisation, NDLR) qui sera présenté en mai en conseil des ministres".Depuis 2000, la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU) impose aux communes de plus de 3.500 habitants (1.500 en Ile-de-France) de disposer d'ici à 2025 de 20% de logements sociaux, un taux relevé à 25% en 2014, sauf pour des communes qui justifient d'une situation locale particulière.Selon Mme Wargon, à l'avenir, "il sera possible de moduler légèrement, à la hausse ou à la baisse, le rythme de constructions", mais en cas de non respect des engagements "les sanctions seront plus automatiques et plus dissuasives" avec "des sanctions-planchers" qui seront "rehaussées en cas de récidive".Quant au manque de mixité sociale, dénoncé récemment dans un rapport de la Cour des Comptes, Mme Wargon indique que "demain (...) les préfets pourront reprendre la main sur les attributions si les quotas ne sont pas respectés".Interrogée sur la volonté de l'écologiste Yannick Jadot de relever l'objectif à 30% de logements sociaux, elle a estimé qu'il s'agissait de "politique politicienne", pointant un problème de "cohérence au sein d'EELV: pendant que Yannick Jadot propose ça, la majorité des maires écologistes élus l'an dernier, à Bordeaux par exemple, sont en train de refuser tous les permis de construire, y compris de logements sociaux".Quant à la construction de logements sociaux, elle a indiqué qu'un accord serait signé la semaine prochaine pour faire 250.000 logement en deux ans, après une année 2020 avec un nombre de projets de logements sociaux "très inférieur aux besoins, avec moins de 90.000 logements agréés", du fait de la crise du Covid-19.Concernant par ailleurs la baisse des aides personnelles au logement (APL), Mme Wargon reconnaît que "la réforme a pu entraîner une baisse pour les 130.000 jeunes en contrat de professionnalisation". Cette situation sera, selon elle, corrigée avec "un abattement sur leur revenu, équivalent au smic" qui "permettra de les traiter comme les apprentis".Le Sénat lance une consultation des maires sur son site internetL’article 55 de la loi Solidarité et renouvellement urbains (SRU) du 13 décembre 2000 impose l’obligation pour certaines communes de disposer d’un taux minimum de 20 ou 25 % de logements sociaux, selon des critères définis par le Code de la construction et de l’habitation (CCH). Cette loi, adoptée il y a 20 ans, va arriver à échéance en 2025. Le Gouvernement souhaite à la fois la prolonger et la réformer, ce serait l’un des objets du projet de loi 4D, actuellement soumis au Conseil d’État et qui pourrait être examiné à l’été prochain.Pour Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques, « Si les principes qui fondent la loi SRU sont désormais largement partagés : développer le logement abordable sur tout le territoire et promouvoir la mixité sociale, son application trop rigide crispe et décourage. Il faut écouter les maires pour trouver des solutions concrètes et si possible consensuelles ».Afin de préparer l’examen de ce futur texte et de formuler des propositions s’appuyant sur l’expérience du terrain, la commission des affaires économiques du Sénat a confié une mission d’évaluation de l’article 55 de la loi SRU à Dominique Estrosi Sassone, vice‑présidente de la commission, sénateur des Alpes‑Maritimes et membre du groupe Les Républicains, et Valérie Létard, vice‑présidente du Sénat, sénatrice du Nord et membre du groupe Union Centriste.Dans ce cadre, elles ont décidé d’interroger les maires des communes entrant dans le champ de l’article 55 de la loi SRU pour recueillir leur vécu, mieux comprendre leur situation et relayer leurs besoins et propositions. « Des chercheurs, la Commission nationale SRU et la Cour des comptes ont publié des rapports techniques. Mais qui a recueilli les propositions issues de l’expérience des maires ? C’est tout l’objet de notre démarche. L’héritage du passé, les contraintes d’urbanisme ou les réticences face au logement social doivent être pris en compte. Souvent les décisions parisiennes suscitent l’incompréhension », souligne Dominique Estrosi Sassone.Ainsi que l’explique Valérie Létard, « le logement des salariés et la rénovation de l’habitat sont des enjeux essentiels pour notre pays. C’est nécessaire mais très exigeant pour les communes. Il convient de bien mesurer leurs contraintes pour atteindre les objectifs fixés. C’est la condition de la réussite ».La consultation en ligne est ouverte du 15 mars 2021 au 15 avril 2021. Les maires peuvent répondre au questionnaire en suivant ce lien
Il y a 4 ans et 48 jours

Gérez vos chantiers depuis votre Smartphone avec Sage e-chantier Alobees

Synchronisée avec le logiciel Sage Batigest Connect, cette application vous offre des fonctionnalités innovantes pour optimiser toutes les facettes de la gestion chantier : planning, alertes, stockage de documents… Explications.Un outil de gestion de chantier tout-en-unCompatible avec Sage Batigest Connect, l'application Sage e-chantier Alobees vous permet de gérer toutes les facettes de votre activité depuis votre téléphone mobile et en temps réel.Suivez vos chantiers en direct : les renseignements intégrés dans Batigest Connect et e-chantier Alobees sont automatiquement synchronisés, sans ressaisie. Les utilisateurs peuvent consulter et modifier les informations à tout moment, mais également y ajouter des documents (photo, vidéo, commentaire, etc.). Tous les acteurs peuvent ainsi participer à la vie du chantier en temps réel ;Centralisez toutes les informations : grâce à un stockage illimité en volume et en durée, vous pouvez centraliser toutes les informations relatives à vos chantiers sur une interface unique. En tant qu'administrateur, vous définissez les droits d'accès pour chaque utilisateur. Ceux qui sont rattachés à un projet peuvent ainsi consulter les documents relatifs et recevoir une notification lorsqu'un nouvel élément est publié ;Planifiez vos chantiers : depuis e-chantier Alobees ou Batigest Connect, les administrateurs et conducteurs de travaux peuvent définir et modifier les plannings des équipes. Vos compagnons peuvent ainsi consulter leurs horaires depuis leur Smartphone en temps réel et sont directement informés en cas de modification ;Gérez les horaires de vos collaborateurs : les collaborateurs désignés (conducteur de travaux, chef de chantier, etc.) peuvent déclarer les heures travaillées par les équipes depuis leur Smartphone. Vous disposez ainsi d'une feuille d'heures déclarative, remplaçant les feuilles de présence, que vous pouvez transférer automatiquement vers Batigest Connect. Le suivi des horaires et la gestion de la paie s'en voient ainsi facilités.Un suivi des chantiers innovant et optimiséSimple d’utilisation et polyvalente, l’application Sage e-chantier Alobees a été pensée pour tous les professionnels du BTP et vous offre des fonctionnalités innovantes pour mieux gérer vos chantiers.Pour tous les professionnels : à la fois simple et performante, l’application Sage e-chantier Alobees peut être utilisée par un artisan indépendant, une PME ou même une grande entreprise. Elle s’adresse également à tous les professionnels du bâtiment, à l’image des conducteurs de travaux, des chefs de chantier ou encore des ouvriers ;Une interface web et mobile : accessible sous Android et iOS, cette application peut être utilisée facilement depuis votre Smartphone. Mais vous pouvez également vous en servir sur votre ordinateur, au moyen de votre navigateur web. L’idéal pour gérer votre activité sur le terrain, mais également depuis vos bureaux ;Des fonctionnalités performantes : communication en temps réel avec les équipes, suivi en direct de l’avancement du chantier, localisation des collaborateurs… autant de fonctionnalités qui simplifient votre gestion de chantier.Des mises à jour automatiques : l’application mobile et web Sage e-chantier Alobees s’actualise automatiquement dès qu’une mise à jour est disponible. Tous les utilisateurs disposent ainsi de la même version au même moment, évitant ainsi les éventuels problèmes de compatibilité.En savoir plus sur Sage e-chantier Alobees
Il y a 4 ans et 48 jours

Avec Zehnder ComfoGrid Linea, les diffuseurs d’air deviennent design !

Très attaché à la qualité de ses systèmes, Zehnder, spécialiste de la ventilation double flux, se distingue avec sa nouvelle gamme de diffuseurs d’air Zehnder ComfoGrid Linea, au design soigné pour une parfaite intégration esthétique à l’intérieur de l’habitat. Un design unique Seuls éléments visibles d’un système de ventilation à l’intérieur de l’habitat, les nouveaux diffuseurs d’air Zehnder ComfoGrid Linea bénéficient d’un design épuré et moderne avec leurs façades rectangulaires opaques, proposées dans 3 finitions haut de gamme (aspect verre blanc ou verre noir et métal brossé). Ultra-plats (6 mm max), ils s’intègrent élégamment et en toute discrétion dans tous les intérieurs, en neuf comme en rénovation. Une grande polyvalence d’utilisation Disponibles en deux longueurs (436 et 636 mm), les diffuseurs d’air Zehnder ComfoGrid Linea 400 et 600 peuvent être utilisés pour l’insufflation d’air neuf dans les pièces à vivre mais aussi pour l’extraction d’air vicié dans les pièces humides. Conçus pour le montage au mur et au plafond, ils s’installent avec des caissons encastrés Zehnder CSB-P (400 et 600 mm de large), qui assurent la transition entre le système de distribution d’air et la diffusion ou l’extraction de l’air. Grâce à leur débit volumétrique élevé de 40 m3/h et de 60 m3/h, les diffuseurs d’air Zehnder ComfoGrid Linea 400 et 600 couvrent un large domaine d’application. Une installation sûre Pour éviter toute chute de la grille diffuseurs d’air Zehnder ComfoGrid Linea, notamment en cas de changement de filtre, celle-ci est équipée d’un système d’attache. Un système pérenne En extraction de l’air vicié, des filtres, en option, empêchent la pénétration de poussières dans le système de distribution d’air et garantissent ainsi la pérennité de l’installation de VMC double flux. http://www.zehnder.fr
Il y a 4 ans et 48 jours

Sika rachète un fabricant de mortiers brésilien

Le groupe suisse spécialisé dans les matériaux de construction signe sa deuxième acquisition cette année avec le rachat, annoncé lundi 15 mars, de Supermassa do Brasil, pour un montant non divulgué.
Il y a 4 ans et 48 jours

La France devrait renouer avec la croissance début 2021, mais l'emploi va se dégrader

Le produit intérieur brut (PIB) devrait croître d'environ 1% au premier trimestre, après sa chute historique de 8,2% en 2020, selon une prévision de l'Insee publiées jeudi, révisant ainsi un peu à la baisse sa précédente prévision de 1,5%.Puis la croissance pourrait atteindre encore 1% au deuxième trimestre, dans l'hypothèse d'une amélioration de la situation sanitaire à partir de la mi-avril, avec la diffusion de la vaccination et la levée de certaines restrictions.La semaine dernière, la Banque de France avait aussi indiqué s'attendre à une "légère hausse" du PIB au premier trimestre, même si l'activité resterait encore inférieure à son niveau d'avant-crise.Selon l'Insee, au premier trimestre, le PIB sera 4% inférieur à son niveau de fin 2019, et l'écart sera encore de 3% au deuxième trimestre.A mi-année, l'acquis de croissance, c'est-à-dire l'augmentation du PIB qui serait enregistrée en 2021 si la croissance était nulle sur la deuxième moitié de l'année, serait d'environ 5,5%, souligne l'Insee.Une évaluation qui donne des raisons d'espérer au gouvernement, qui table sur une croissance de 6% en 2021, contre 5% pour la Banque de France et 5,9% pour l'OCDE. L'Insee n'a pas encore donné de prévision pour l'ensemble de l'année."Les chiffres qui viennent de tomber montrent que l'économie française retrouve des couleurs", s'est réjoui le ministre de l'Economie Bruno Le Maire sur Radio Notre-Dame."Le premier trimestre se caractérise un peu comme un entre-deux ou comme une ligne de crête", sanitaire et économique, "avec tout à la fois des signes de lassitude, mais aussi des signes de résistance", a souligné Julien Pouget, chef du département conjoncture de l'Insee, lors d'une visioconférence de presse.Parmi les signes de résistance, figure notamment l'adaptation de la consommation aux contraintes sanitaires, grâce à la préservation des revenus des ménages. Elle devrait progresser de 1% au premier trimestre.Par ailleurs, la production industrielle est nettement repartie en début d'année et l'investissement a mieux résisté qu'attendu.Enfin, l'environnement international s'annonce plus favorable, avec la reprise qui se dessine au niveau mondial ou encore le massif plan de relance américain.Emploi en baisseA l'inverse, plusieurs facteurs montrent que la partie n'est pas gagnée.D'abord, les perspectives d'emploi sont plutôt défavorables au premier trimestre, en particulier dans les services.L'Insee anticipe une baisse de 91.000 emplois au premier trimestre (dont 77.000 emplois salariés), notamment dans l'hébergement-restauration et les services aux ménages."Ces chiffres de destructions d'emplois dans les secteurs de l'hôtellerie, de la restauration et du tourisme montrent qu'il est indispensable de conserver un soutien fort pour ces secteurs", a réagi Bruno Le Maire.Car à mesure que le temps passe, les entreprises devraient progressivement "renoncer à retenir de la main d'oeuvre dans leurs effectifs, en abaissant notamment l'ampleur de leur recours au chômage partiel", explique l'institut.Il table aussi sur une progression du taux de chômage à 8,5%, après 8% fin 2020, du fait du retour sur le marché du travail de personnes sans emploi et qui avaient cessé d'en chercher.Ces tendances illustrent "les deux économies" qui cohabitent actuellement en France, selon les mots du ministre de l'Economie.D'un côté l'industrie, dont une partie est revenue à son niveau d'avant-crise, et qui pourra bénéficier du plan de relance, et de l'autre les services, ces derniers ayant vu leur situation se dégrader.Ce déséquilibre devrait se poursuivre au deuxième trimestre, avec une poursuite de la reprise dans la quasi totalité de l'industrie, un redressement dans les services aux ménages et les transports, quand l'hébergement-restauration ne comblerait que "la moitié de l'écart le séparant de son niveau d'activité d'octobre" 2020, selon l'Insee.Pour ces secteurs toujours touchés par la crise, le gouvernement a assuré que les mesures de soutien seraient prolongées autant que nécessaire.
Il y a 4 ans et 48 jours

Les travaux de raccordement du parc éolien marin du Calvados débutent

Les travaux de raccordement électrique ont débuté pour le futur parc éolien en mer au large du Calvados, prévu pour entrer en service en 2024, a annoncé RTE, chargé de les mener à bien.
Il y a 4 ans et 48 jours

La loi SRU sera pérennisée au-delà de 2025, assure Emmanuelle Wargon

LOGEMENT SOCIAL. Dans un entretien au Journal du dimanche, la ministre du Logement Emmanuelle Wargon s'est engagée à ce que la loi SRU, qui impose aux communes un taux de 20% ou 25% de logements sociaux, soit pérennisée au-delà de 2025. Elle a également annoncé des "sanctions-planchers" en cas de non-respect des engagements des communes.
Il y a 4 ans et 48 jours

Signé FABG Quai 5160 – Maison de la culture de Verdun, au Canada

Le programme de Quai 5160 – Maison de la Culture Verdun, un ouvrage livré à Montréal en 2018 et réalisé par FABG (André Brodeur, Eric Gauthier, André Lavoie), consistait en la conversion de l’aréna Guy-Gagnon en Maison de la Culture pour l’Arrondissement de Verdun. Communiqué. L’ancien centre sportif, devenu Quai 5160, compte aujourd’hui une salle […] L’article Signé FABG Quai 5160 – Maison de la culture de Verdun, au Canada est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 48 jours

Une peinture saine pour les chambres d'enfants

La plupart des peintures sont remplies de composants volatiles toxiques et de solvants qui, une fois libérés, altèrent la qualité de l’air. Choisir une peinture saine et respectueuse de l’environnement s’impose comme la solution évidente pour protéger l’espace dans lequel les enfants passent la plupart de leur temps, pour dormir mais aussi jouer.Nous passons près de 80% de notre temps dans des espaces clos. Alors pour limiter les sources de pollution intérieure et préserver l’environnement des enfants, ALGO PAINT®, fabricant de peinture écologique, développe une solution innovante : une peinture biosourcée formulée à base d’algues. Grâce à cette approche plus respectueuse de la nature, ALGO PAINT® s’affranchit totalement de la pétrochimie au profit du végétal et permet de préserver la qualité de l’air des intérieurs.Une peinture naturelle Fabriquée avec une résine végétale à base d’algues bretonnes, de pigments naturels et d’eau, la peinture d’Algo réduit considérablement le taux de C.O.V dans les intérieurs tout en étant peu odorante et non allergène.Les peintures Algo préservent la santé et l’environnement, en effet elles rejettent moins de 0,5 gramme de composé organique volatil par litre de peinture appliqué, elles ont ainsi été certifiées A+. Elles répondent également aux normes environnementales les plus exigeantes et bénéficient de certifications strictes comme l’Ecolabel Européen.Un vrai jeu d’enfantSans odeur ni émissions nocives par rapport aux peintures classiques, les peintures Algo sont idéales pour les chambres d’enfants. Le fort pouvoir couvrant de l’algue permet un meilleur rendement au mètre carré. Facile à appliquer, la peinture Algo offre un produit de qualité, lessivable et durable dans le temps.
Il y a 4 ans et 48 jours

Les députés approuvent l'interdiction à la location des passoires thermiques

PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE. Les parlementaires se sont dits favorables à l'interdiction à la location des logements énergivores classés F et G lors de l'examen du projet de loi Climat et résilience en commission. Dans un premier temps, les propriétaires de ces "passoires thermiques" ne pourront plus augmenter leurs loyers, puis l'interdiction entrera en vigueur à partir de 2028.
Il y a 4 ans et 48 jours

Analyse du cycle de vie du bâtiment industriel : Elcimaï enclenche la dynamique

Alors que la RE 2020 prévoit l’adoption d’une ACV dite « dynamique » pour calculer le poids carbone des futurs bâtiments de logement, Frédéric Hérin, responsable développement chez Elcimaï Environnement et Hervé Marcastel, responsable de la conception industrielle et de la direction de l’innovation d’Elcimaï, anticipent l’application de ce mode de calcul pour les bâtiments industriels et logistiques.
Il y a 4 ans et 48 jours

Serge Ferrari, tout juste bénéficiaire, se fixe des objectifs ambitieux de croissance

Au cours de l'exercice écoulé, marqué par la crise sanitaire et l'impact de l'incendie d'une usine, le groupe basé à Saint-Jean-de-Soudain (Isère) a enregistré un bénéfice de 0,5 million d'euros, pratiquement divisé par dix par rapport aux 4,8 millions de l'année précédente, selon un communiqué publié jeudi.Cette chute s'explique surtout par le gonflement des frais financiers après deux importantes acquisitions qui devraient permettre au groupe d'accroître son activité de 40%.Le résultat opérationnel courant s'est en effet bien tenu, à 6,8 millions d'euros (-11,3%), sur des ventes de 195,3 millions d'euros (+3,3%).Alors qu'il était totalement désendetté, SergeFerrari doit désormais supporter une dette nette de 66,5 millions d'euros, après les acquisitions de l'allemande Verseidag-Indutex et de la taïwanaise FIT.L'année en cours sera celle de "l'intégration industrielle" avec les nouveaux sites du groupe. Et les premiers effets "significatifs" des synergies attendues devraient apparaître en 2022.A "moyen terme", le groupe vise un chiffre d'affaires consolidé de 300 millions d'euros, avec une progression de ses résultats "supérieure à celle de l'activité".
Il y a 4 ans et 48 jours

Anne Billat, conductrice de travaux sur les chantiers du Grand Paris Express

Depuis 4 ans, Anne Billat, 29 ans, conductrice de travaux chez Spie Batignolles dirige les chantiers des sous-sols de la capitale qui accueilleront les gares du Grand Paris Express.
Il y a 4 ans et 48 jours

Histoire de marque : Work4cad

Bati-Journal vous présente « Histoire de marque » : Work4CAD Yoann QUELLIEN, PDG de Work4CAD nous ouvre les portes de ses nouveaux locaux. Il revient sur l’histoire et le développement du groupe et nous présente les différentes entités et leurs synergies : CadWork, éditeur de logiciel 3D/CFAO CadCom, agence globale de communication CadDev, développement web/logiciel/mobile Capture4Cad, captation de données et modélisation 3D Toutes les informations sur w4c.group
Il y a 4 ans et 48 jours

Maeva Parent, 35 ans, patronne d’une entreprise de couverture en Bretagne

Maéva Parent, 35 ans, gère une entreprise de couverture depuis 2017 en Bretagne. Un parcours atypique lui a permis de découvrir la passion de ce beau métier et de se faire reconnaître en tant que Pro du Bâtiment.
Il y a 4 ans et 48 jours

Spie annonce un bénéfice 2020 divisé par trois sous l'effet de la crise sanitaire

Son chiffre d'affaires a reculé de 4,7% à 6,6 milliards d'euros, pour un bénéfice net de 53 millions (-64,7%).Il avait fait un plongeon de 17,1% au deuxième trimestre lié aux mesures de confinement en particulier en France, Belgique et Royaume-Uni, tandis que l'Allemagne et l'Europe du nord-ouest (Pays-Bas) résistaient mieux. L'activité a repris ensuite, malgré un durcissement des restrictions en fin de période dans la plupart des pays d'implantation du groupe (Europe).Le bénéfice opérationnel (Ebita) est à 339 millions d'euros, en repli de 18,9%. La marge est in fine maintenue à 5,1% de l'activité (6% en 2019), grâce à des mesures de réduction des coûts et la progressive répercussion sur les clients des dépenses engendrées par la situation sanitaire, indique Spie.Le PDG Gauthier Louette met en avant "la remarquable résilience" des résultats, grâce aux "atouts du modèle": "le caractère essentiel de nos services, l'équilibre de notre répartition géographique, notre gestion rigoureuse en matière de santé et sécurité, et l'engagement sans faille de nos équipes"."Spie ressort de 2020 avec des fondamentaux intacts, une situation financière renforcée, des relations encore plus solides avec ses clients, et est bien positionnée pour accompagner la transition énergétique et la transformation numérique. Nous abordons 2021 avec confiance", a ajouté le patron lors d'une conférence de presse.Après cette "année très chahutée", Spie prévoit en 2021 un "fort rebond" du chiffre d'affaires et de la marge d'Ebita, attendus "très proches des niveaux de 2019".Le groupe va aussi "renouer avec les acquisitions", en particulier en Allemagne où il se développe depuis 2013 et où il occupe désormais la 2e place dans son secteur, selon le PDG: il fallait "avoir une présence forte dans la première économie d'Europe. L'industrie allemande c'est trois fois l'industrie française, donc le champ des possibles y est considérable. On a encore la place pour y doubler notre activité"Selon M. Louette, globalement, "les acquisitions, petites et moyennes, ont contribué chaque année depuis 2006 à environ 3,5% de croissance du chiffre d'affaires".Ce groupe de 45.000 salariés fournit des services de génie électrique et mécanique, notamment dans l'efficacité énergétique, la mobilité verte, les technologies de la communication: raccordement de parcs éoliens ou photovoltaïques, équipement de centres de données, éclairage public...Spie s'estime notamment "bien positionné pour bénéficier des futurs investissements de relance" verts.Du côté des collectivités, le groupe constate une forte demande notamment pour l'installation de la fibre optique, de bornes de recharge des véhicules électriques (Spie a remporté un contrat auprès du Grand Paris, pour rééquiper l'ancien réseau Autolib), ou encore d'équipement informatique de collèges-lycées.Selon la taxonomie européenne des activités durables, la part verte de son activité est de 41%.
Il y a 4 ans et 48 jours

Inflation des matières premières : les industriels de la peinture demandent des adaptations réglementaires

Comme bien des filières industrielles, les adhérents de la Fipec subissent des hausses brutales des coûts des matières premières. Des solutions pourraient être trouvées, mais elles nécessitent une évolution de la réglementation en matière d'étiquetage.
Il y a 4 ans et 48 jours

Savanah, une aide-soignante devient apprentie peintre

Savanah, aide-soignante durant un an et demi, a opéré une reconversion professionnelle il y a quelques mois. A 22 ans, elle prépare un CAP peintre en un an.