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Toute l'actualité du bâtiment

255194 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 67 jours

NOUVEAU SERVICE URMET DE PERSONNALISATION À LA CARTE

Il y a bien des raisons d’offrir à vos résidences des badges et des télécommandes personnalisés ! Bailleur, syndic et promoteur : démarquez-vous en relayant votre logo et votre communication… Installateur : indiquez votre numéro de contact pour faciliter les renouvellements… Résident : ne confondez plus vos différents badges… Commandez dans votre réseau habituel de 1 à 2 500 exemplaires. Un fichier de marquage en .ai ou .pdf (haute définition) vous sera demandé.
Il y a 4 ans et 67 jours

EnerJ-meeting Paris est reporté au 7 septembre 2021

EVENEMENT. Le salon EnerJ-meeting Paris 2021 vient d'être reporté au 7 septembre 2021 au palais Brongniart. Il devait se tenir ce 15 avril. Le thème restera le même, "construire et rénover bas carbone, objectif 2050 !".
Il y a 4 ans et 67 jours

Cupa Pizarras, l’unique entreprise de couverture à atteindre la neutralité carbone vise une nouvelle réduction de ses émissions en 2021

Sa démarche de lutte contre le réchauffement climatique a été reconnue par l’organisation internationale Carbon Trust, un partenaire des acteurs économiques et des gouvernements, qui s’appuie sur une équipe de plus de 200 experts. Le groupe espagnol, implanté à Rennes depuis 30 ans, compense ses émissions à travers des projets de reforestation et vise une nouvelle réduction globale de 5% en 2021. En parallèle, il s’emploie à développer de nouveaux usages de l’ardoise en capitalisant sur la capacité du schiste à capter la chaleur pour la transformer en énergie propre.L’ardoise, le matériau de couverture le plus écologique du marchéFendue à la main dans les carrières espagnoles, l’ardoise naturelle Cupa Pizarras est un matériau totalement inerte : elle ne subit aucune modification chimique durant sa transformation. Elle se distingue également par sa longévité de 100 ans qui en fait le matériau de couverture le plus durable.Par ailleurs, selon des données publiées depuis 2014 et actualisées tous les ans par l’INIES, la base nationale de référence sur les caractéristiques environnementales et sanitaires pour le bâtiment, l’ardoise s’impose comme la solution la plus écologique en comparaison des fibres-ciment, du zinc et de la terre cuite, sur des critères liés aux consommations d’eau, d’énergie et de pollution atmosphérique.Pour maximiser le potentiel de son ardoise, Cupa Pizarras a mis en place une politique qui vise à limiter l’impact de la production sur l’environnement : recyclage de l’eau grâce à des circuits fermés, réhabilitation des carrières en préservant la terre végétale et en introduisant des graines de plantes locales pour réduire l’incidence visuelle, transport maritime pour acheminer 60% des commandes vers les distributeurs...Erwan Galard, Responsable marketing chez Cupa Pizarras explique : “Nous sommes fiers de pouvoir cultiver la dimension traditionnelle de l’ardoise : un matériau naturel, écologique et durable. Toute notre politique environnementale a été pensée comme un écrin pour mettre en valeur notre produit. Ce dernier vient de la terre et si nous voulons préserver notre savoir-faire, nous devons trouver un équilibre entre production et protection des ressources. Si nous avons d’ores et déjà atteint la neutralité carbone, nous souhaitons poursuivre l’effort. C’est pourquoi nous nous sommes engagés sur une nouvelle réduction de 5% de nos émissions en 2021. ”De nouveaux usages de l’ardoise qui permettent d’accompagner l’architecture versl’efficacité énergétiqueChaque année, Cupa Pizarras extrait 190 000 tonnes de schiste de ses 16 carrières implantées en Espagne. Le leader mondial exporte sa production vers 60 pays dont la France, le premier marché international. Au-delà de son utilisation traditionnelle en toiture, l’ardoise Cupa Pizarras est aujourd’hui tournée vers l’efficacité énergétique.A travers ses systèmes de façade ventilée Cupaclad, l’ardoisier s’adapte aux exigences de l’isolation thermique par l’extérieur (ITE). La fixation des ardoises (de manière visible ou non) sur des profilés horizontaux permet de créer une lame d’air entre le mur porteur et le revêtement. L’ « effet cheminée » qui se crée dans cet espace intermédiaire garantit le confort thermique des bâtiments : réfrigération en été et contrôle de la dispersion thermique en hiver.Par ailleurs, depuis 2014, ses ingénieurs développent un panneau solaire thermique en ardoise qui dispose de l’Avis Technique du CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment) et permet d’assurer la production d’eau chaude sanitaire. En France, ce sont plus d’une centaine de toitures qui sont aujourd’hui équipées de ce système également disponible dans une version dédiée à la terrasse.
Il y a 4 ans et 67 jours

Hydrogène et biogaz: la filière gaz fait valoir ses innovations

Secouée par sa mise à l’écart dans la RE 2020, la filière gaz met en avant ses avancées pour rester dans la compétition du bâtiment décarboné : le biogaz et l’hydrogène. Focus sur le biogaz...
Il y a 4 ans et 67 jours

La convention citoyenne juge sévèrement le projet de loi climat et résilience

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Une majorité de membres de la convention citoyenne pour le climat a jugé sévèrement la reprise par le gouvernement des propositions faites en matière de rénovation énergétique.
Cimbat
Il y a 4 ans et 67 jours

Nouveaux kits interphones collectifs Urmet

Sécurisez votre immeuble avec la robustesse et la fiabilité des plaques à boutons 2Voice Sinthesi modulaires : maintenant disponibles en kits audio ou en vidéo de 2 à 10 logements, pour un prix imbattable ! OFFRE SPÉCIALE LANCEMENT DANS TOUS LES KITS : 1 bouton de sonnette offert par logement, simple à connecter avec les postes audio ou vidéos pour avoir une jolie cohérence visuelle à tous les étages ! Inclus dans la boite, dans la limite des stocks disponibles > Postes programmés > Câblage Bus 2 fils non polarisés > Alimentations portier, gâche, éclairage des noms fournies (une seule alimentation pour le portier et la gâche). COMPOSITION DES KITS VIDÉO PLAQUE DE RUE SINTHESI  : 1 MODULE VIDÉO – 1083/65 1 MODULE À TOUCHES – 1158/1X 1 MODULE PERCÉ T25 – 1158/59P 1 CADRE DE FINITION – 1158/6X 1 BOITIER D’ENCASTREMENT – 1158/4X + MONITEUR(S) MIRO – 1750/16 Caméra couleur avec écran 4,3’’ Secret de conversation 5 mélodies d’appel Fonction appel palier et ouverture de porte automatique sur appel Touche ouverture de porte Touche commande auxiliaire Touche d’appel gardien + ALIMENTATION – 1083/20 + DÉRIVATEUR – 1083/55 OPTIONS : Domotique avec ajout d’un micromodule Yokis E2BPP Transfert d’appel 1083/58A vers les smartphones Report de sonnerie vers un carillon radio Boîtier d’encastrement 1750/60 Support de table 1750/52 Entretoise rénovation 93150020 COMPOSITION DES KITS AUDIO PLAQUE DE RUE SINTHESI  : 1 MODULE AUDIO – 1083/74 1 MODULE À TOUCHES – 1148/1X 1 MODULE PERCÉ T25 – 1148/59P 1 CADRE DE FINITION – 1148/6X 1 BOITIER D’ENCASTREMENT – 1145/5X + POSTE(S) – 1183/4 Secret de conversation Réglage et coupure de sonnerie Touche d’ouverture de porte Touche pour commande auxiliaire et d’appel gardien + ALIMENTATION – 1083/20 OPTIONS : Transfert d’appel 1083/58A vers les smartphones Report de sonnerie vers un carillon radio Plaque de propreté 1150/5
Il y a 4 ans et 67 jours

Valréas : des travaux de voirie dans la rue Montplaisir

Dans le département du Vaucluse, la ville de Valréas engage des travaux de réfection de chaussée rue Montplaisir.
Il y a 4 ans et 67 jours

Vincennes : l’ensemble résidentiel « Villa Aubert » verra le jour en 2023

Le projet « Villa Aubert » vise la valorisation de plusieurs bâtiments entre l’avenue Aubert, la rue Victor Basch et la rue Massue. La livraison des travaux est prévue en 2023.
Il y a 4 ans et 67 jours

CANAL ARCHITECTURE - Portrait

Les frères Daniel et Patrick Rubin fondent l'atelier Canal en 1982 et l'installent dans un immeuble industriel qu'ils ont réhabilité rue du faubourg Saint-Antoine à Paris. Ils investissent ensuite une maison du XVIIe siècle rue Elzévir, qui devient un lieu de rencontres entre architectes, graphistes, designers, étudiants autour de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 67 jours

Bas-Rhin : la Communauté de communes de la Basse-Zorn a organisé un sondage en ligne autour de la mobilité

Dans le cadre de la réalisation de son projet de territoire 2030, la Communauté de communes de la Basse-Zorn a invité la population à participer à un sondage en ligne sur le thème de la mobilité.
Il y a 4 ans et 67 jours

Valérie Pécresse lance un "RJA" pour former les 18-25 ans en Ile-de-France

"Le paradoxe de cette crise, c'est qu'il y a à la fois des secteurs économiques qui sont à terre et des secteurs économiques qui recrutent massivement et qui sont en pénurie d'emploi", à savoir "le numérique, la sécurité, l'agroalimentaire, l'industrie, la santé et le social, le bâtiment et la construction", a précisé la présidente (Libres!) de région, dans l'émission le Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI.Ces derniers secteurs proposent "des dizaines de formations aux centaines de métiers" qui amènent la région à financer "45.000 formations vers ces métiers, avec des embauches directes à la clé", a affirmé Valérie Pécresse.La mesure coûtera 270 millions d'euros à la région, a indiqué son entourage à l'AFP."En s'inscrivant à l'une des formations gratuites et qualifiantes du catalogue régional", les stagiaires de la formation professionnelle toucheront "un revenu net de 500 à 670 euros par mois, pour toute formation suivie d'une durée au moins égale à quatre mois", explique la région sur son site internet.La part variable, une prime allant jusqu'à 1.000 euros, sera attribuée si la formation appartient à l'un des secteurs en tension."C'est un revenu de 4.000 euros pour six mois de formation dans des métiers qui recrutent: le jeune qui s'engagera dans ces formations non seulement sera rémunéré mais en plus est sûr à la sortie (...) de trouver un emploi", a résumé Mme Pécresse qui s'oppose ainsi à la mise en place d'un RSA jeunes le temps de la crise, réclamé par plusieurs personnalités de gauche dont la maire PS de Paris Anne Hidalgo."Je suis totalement contre enfermer des jeunes de 18 à 25 ans dans l'assistanat", a affirmé l'ancienne porte-parole du gouvernement de François Fillon sous la présidence de Nicolas Sarkozy.Valérie Pécresse a également annoncé la généralisation d'une aide régionale de 1.300 euros pour financer le permis de conduire, frein potentiel à l'embauche, des jeunes Franciliens en insertion professionnelle. Une mesure qui concerne potentiellement 60.000 personnes, a affirmé Valérie Pécresse.
Il y a 4 ans et 67 jours

Digital Timesheets : le pointage digital pour le BTP par Traxxeo

Efficacité au bureau, facilité sur les chantiersLorsque vous choisissez une solution digitale, il est important de penser utilisateurs. Dans le BTP, il est essentiel que l'application soit à la fois performante, et bien adoptée sur le terrain. L'application mobile Digital Timesheets répond à la fois au besoin des travailleurs dans les bureaux et sur les chantiers.Voici une liste d'éléments clés pour une application de pointage sur chantier :Disponible sur tous les appareils & systèmes d'exploitation (iOS, Android, Windows)Fonctionnement hors-ligne Facile d'utilisation sur le terrainSuivi en temps réel depuis le bureauVues multiples : chef de chantier, compagnon, conducteur de travaux, RH, etc.Précision des données : aide à l'encodage, ergonomie, saisie unique, processus de validation, alertes, etc.Règles et paramétrages personnalisables : codes chantiers, statuts travailleurs, etc.Intégration et communication bidirectionnelle : ERP, logiciel paie, SIRH, etc.Ce qu'ils en disentUne des forces de la solution Digital Timesheets de Traxxeo, c'est sa grande adoption par les travailleurs. « La tablette ? Vous ne me l'enlèverez pas ! » assure Eric Le Naon, conducteur de chantier chez Eiffage Perrard. Dans les bureaux, Enza Da Silva, la responsable RH, témoigne de l'efficacité du nouveau processus de pointage : « Le logiciel nous permet de voir - en temps réel - toutes les anomalies ». Pourquoi une telle adoption ? La solution Digital Timesheets a été développée pour répondre aux nombreuses problématiques vécues sur le terrain et au siège social :Fini les tâches administratives chronophages sur le terrain,Fini les erreurs et les multiples ré-encodages pour les ressources humaines,Accès à une vue d'ensemble de la répartition des coûts par poste et par personne, pour la finance.Sa facilité de mise en œuvre en fait une solution digitale vite adoptée et un investissement rapidement rentabilisé.Vous souhaitez passer au pointage digital ? Contactez Traxxeo au +33 7 87 18 72 59
Il y a 4 ans et 67 jours

Pascale Thery est la nouvelle directrice de l’usine Isover de Chalon-sur-Saône

Elle succède à Christophe Rogier, parti prendre les rênes d’Isonat
Il y a 4 ans et 67 jours

Hilti commercialise son premier exosquelette

Equipement passif et sans batterie, EXO-1 réduit de 47% les pics de contrainte exercés sur les muscles des bras et des épaules, évitant les douleurs musculaires et limitant la fatigue.En septembre 2020, Hilti dévoilait en avant-première son premier exosquelette. Six mois plus tard, il est une réalité et est désormais disponible dans tous les points de vente HILTI.Très attendu, l’exosquelette Hilti crée déjà l’engouement auprès des professionnels avec de nombreuses précommandes enregistrées avant même que le système ne soitcommercialisé !Le saviez-vous ? Plus d'un tiers des électriciens ou plombiers faisant de la pose au plafond se plaint de douleurs à l'épaule.L’exosquelette Hilti est disponible à l’achat (1.489 € HT) ou en gestion de parc (location longue durée avec des services supplémentaires) au tarif de 49,20 € HT sur 48 mois.Préserver la santé des compagnons, l’objectif n° 1 pour HILTILes tâches répétitives et prolongées sont nombreuses dans le secteur du bâtiment et souvent à l’origine de troubles musculosquelettiques (TMS) qui impactent la santé et augmentent la fatigue.Les éviter grâce à des solutions technologiques est crucial pour les entreprises du secteur du BTP, aussi bien pour préserver la santé des collaborateurs et leur sécurité que pour pouvoir attirer des talents dans des secteurs ou les conditions de travail peuvent être difficiles.C’est pour répondre à ce besoin et contribuer à améliorer la santé et la sécurité des compagnons qu’Hilti a mis au point son premier exosquelette en partenariat avec la société Ottobock SE & Co. KGaA, une entreprise de technologie médicale leader dans la conception de ces équipements.L’exosquelette Hilti est un système passif, sans batteries, qui soulage les tensions exercées sur les articulations des épaules lors des travaux nécessitant de lever les bras au-dessus des épaules. Il est idéal pour les compagnons amenés à effectuer des travaux d'installation de conduits d'aération et d'équipements de ventilation, de sprinklers, de tuyauterie, de fixation de câbles et conduits, ou encore de suspension de cloisons sèches au-dessus de la tête.L’exosquelette Hilti pèse 1,9 kg et ne gêne pas les mouvements même quand les bras sont en position basse. Il permet de porter jusqu’à 4 kg sans ressentir le poids dans les bras grâce à un système de transfert de charge qui redirige celle supportée par les bras vers les hanches.Les muscles des bras sont moins sollicités et les forces exercées sur les articulations sont réduites de 47 % d’après des études indépendantes et des analyses d’Ottobock. Simple à manipuler, il se porte comme un sac à dos et peut être utilisé ponctuellement ou tout au long de la journée.Les points forts de l'exosquelette HiltiConfort et libertéIl pèse moins de 2 kg et fournit un soutien dynamique jusqu'à 50N, sans restreindre les mouvements.Il est facile à mettre et à ôter et son faible encombrement offre une véritable liberté de mouvement.Prévention des TMSIl soulage l'utilisateur dans le cadre de travaux devant être exécutés avec les bras au-dessus des épaules.Le compagnon ressent moins de douleur et de fatigue grâce à une charge réduite sur les muscles et les articulations.Autonomie et polyvalenceIl est passif et fonctionne sans source d'énergie.Il est toujours prêt lorsqu’on en a besoin pour réaliser des travaux en hauteur sur chantier.Une stratégie tournée vers l'innovation, au service du QSELe QSE (qualité, sécurité et environnement) est une réalité chez Hilti. Le groupe consacre tous les ans environ 6 % de son résultat net à la R&D. Son objectif : réduire la pénibilité et les maladies professionnelles et améliorer la sécurité sur les chantiers. Véritable pionnier, Hilti révolutionne le secteur du BTP depuis plus de 80 ans.Innovation de rupture, l’exosquelette Hilti marque un tournant chez Hilti qui est le premier fabricant de son secteur à proposer ce type de solutions. Tout comme le casque de chantier il y a 15 ans, l’exosquelette Hilti a été pensé comme un EPI du présent et du futur destiné à devenir incontournable sur les chantiers pour le bénéfice de tous.
Il y a 4 ans et 67 jours

La Société du Grand Paris attribue le dernier marché de génie-civil de la ligne 16

La Société du Grand Paris a attribué le troisième et dernier marché de génie-civil de la ligne 16 pour la réalisation du tronçon entre la gare Clichy-Montfermeil et l’arrière-gare de Noisy-Champs.
Il y a 4 ans et 67 jours

Service gratuit de collecte des déchets de chantiers

Le groupe Cromology a expérimenté depuis un an Rekupo, un service gratuit de collecte de déchets chimiques pour ses clients professionnels et particuliers.  Fort du succès de ses tests, Cromology…Cet article Service gratuit de collecte des déchets de chantiers est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 67 jours

L’électricité renouvelable couvre un quart de la consommation

La puissance totale du parc électrique EnR – hydroélectricité, éolien, solaire photovoltaïque, et bioénergies confondus – s’élève, fin 2020 à 55 906 MW. Cela représente une hausse de 2 039…Cet article L’électricité renouvelable couvre un quart de la consommation est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
GDA
Il y a 4 ans et 67 jours

Lancement de la construction du parc éolien en mer du Calvados

D’une capacité de 448 MW, le projet du parc éolien en mer du Calvados est composé de 64 éoliennes localisées à plus de 10 km au large des côtes du Bessin, sur une surface d’environ 45 km².
Il y a 4 ans et 67 jours

Cromology étend Rekupo, son service de collecte gratuite des déchets de chantier

Le groupe spécialisé dans la peinture déploie une offre ambitieuse pour la récupération des déchets, classés dangereux par la réglementation.
Il y a 4 ans et 67 jours

TAM Groupe, le dernier né du béton français

Les quatres entreprises françaises de béton Technique Béton, Arteon... Cet article TAM Groupe, le dernier né du béton français est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 67 jours

Report de l’édition EnerJ-meeting Paris

Les conditions sanitaires et les restrictions actuelles ne permettent pas de prévoir avec sérénité l’édition du 15 avril. L’ADN d’EnerJ-meeting est basé sur la rencontre – le meeting – autour…Cet article Report de l’édition EnerJ-meeting Paris est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 67 jours

CEE : SYMBIOTE et des députés interpellent la ministre

SYMBIOTE, représentant plus de 13.500 professionnels et plus d’une centaine d’entreprises du secteur (Knauf Insulation, Ursa, Bigmat, Hervé thermique, EBS Isolation, le Groupe ABF, BCI Isolation, Objectif 54, Dekra contrôle…),…Cet article CEE : SYMBIOTE et des députés interpellent la ministre est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 67 jours

L’Ademe préside le Club EnR

Le Club EnR, est un réseau qui rassemble 25 agences nationales de maîtrise de l’énergie, chargées de programmes nationaux de recherche, de développement, de démonstration ou de diffusion dans les…Cet article L’Ademe préside le Club EnR est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 67 jours

La délicatesse de l'hospitalité, 30 habitation de transition à Stains par OBOH

«Studiolo», c’est le nom donné par le pavillon de l’Arsenal, le centre d'urbanisme et d'architecture de la ville de Paris, à son nouveau programme de microexpositions visibles depuis le boulevard Morland (IVe arr.), en attendant que ses portes rouvrent au public. Jusqu’au 14 mars 2021 on y découvre le projet «Ceci n’est […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 68 jours

A Lyon, laboratoires et bureaux pour l’ANSES & ANSM, signés Pargade

Ce projet de 9 700 m² (SDO) et 75 places de parking au sous-sol (estimatif travaux : 24.8M€ HT) concerne le regroupement des agences de l’ANSES Lyon, de l’ANSM Lyon et de l’ANSM St-Denis au sein d’un équipement neuf. L’ouvrage proposé par Jean-Philippe Pargade Architectes (mandataire) et Moon Safari (associé) entend exprimer par son architecture […] L’article A Lyon, laboratoires et bureaux pour l’ANSES & ANSM, signés Pargade est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 68 jours

Rassemblement à Paris contre la gare du Triangle de Gonesse "au milieu des champs"

Sur la place Stalingrad (XIXe arrondissement de Paris), de nombreuses personnalités politiques de gauche et écologistes ont apporté leur soutien au Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG).Aux pancartes "Gare de Gonesse, laisse béton", se mêlaient des drapeaux LFI, EELV ou encore Front de Gauche."Protégeons les terres de Gonesse", a déclaré Clémentine Autain, la députée LFI, lors du rassemblement."On projette dans nos imaginaires des centres commerciaux dont on a plus besoin. On a besoin de terres fertiles en Ile-de-France, car seuls 2% des produits que l'on mange proviennent de cette région", a ajouté la députée de Seine-Saint-Denis.Selon Mme Autain, il s'agit "d'une bataille politique" qui doit s'opposer à celle de la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse (Libres!), qui est "une droite libérale productiviste qui signe les accords de Paris et détruit des terres".Pour la sénatrice EELV Esther Benbassa, "la gare égarée au milieu des champs ne sert pas aux habitants.""L'enjeu est de mettre de l'argent dans les transports du quotidien, qui sont le RER B et D", a expliqué Carlos Bilongo, militant et professeur en économie.Lors du rassemblement, les citoyens qui ont occupé la ZAD de Gonesse pendant 17 jours ont été applaudis. "C'était un moment de partage, le Triangle de Gonesse reste à défendre", a témoigné ému, l'un d'entre eux."Nous craignons que le gouvernement se prononce pour une situation d'entre-deux, qui est de garder des champs et une gare, ce qui n'est pas compatible pour mettre en place le projet Carma" d'une coopérative agricole, s'est inquiété Bernard Loup, le président du CPTG."Une procédure judiciaire est en cours, la lutte n'est pas terminée, le Triangle de Gonesse est toujours-là", a conclu le militant.La ligne 17 doit relier Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) à l'aéroport de Roissy-CDG en 2030, en passant par le Triangle de Gonesse, où elle devait initialement desservir le méga-complexe commercial et de loisirs Europacity.Mais depuis qu'Emmanuel Macron a annoncé en novembre 2019 l'abandon de ce projet phare, le sort de ces 280 hectares de terres agricoles, stratégiquement situées à une quinzaine de kilomètres au nord de Paris, reste incertain.
Il y a 4 ans et 68 jours

A Marseille, la lutte contre l'habitat indigne au ralenti

"On a l'impression d'avoir perdu deux ans", regrette Emmanuel Patris, du Collectif du 5 Novembre, né après la catastrophe survenue dans le quartier de Noailles, en plein coeur populaire de Marseille.L'ampleur de l'habitat insalubre dans la deuxième ville de France avait été révélée en 2015 par le rapport Nicol. Qualifié de "fumisterie" par l'ex-maire LR de Marseille Jean-Claude Gaudin, il recensait 40.000 taudis dans la deuxième ville de France, soit 100.000 personnes concernées sur 860.000 habitants.Et Florent Houdmon, de la Fondation Abbé Pierre à Marseille, de sortir sa calculette. Il y a eu 5.000 évacués et relogés, à la suite de dizaines d'arrêtés de péril pris dans les mois ayant suivi le choc de la rue d'Aubagne: "Donc il y a encore 95.000 personnes dans des logements insalubres...".De fait, rue d'Aubagne, tout semble figé. Du côté des numéros impairs, au-delà du grand vide laissé par les 63 et 65, les immeubles allant jusqu'au 83 sont toujours inaccessibles. L'Etablissement public foncier a commencé à les racheter mais seuls les trois quarts des logements ont été acquis pour l'instant, explique Jean-Philippe D'Issernio, délégué régional de l'Anah (Agence nationale de l'habitat) et de l'Anru (Agence nationale pour la rénovation urbaine)."Ca pourrait prendre des années", craint Mael Camberlein, ex-propriétaire dans la rue d'Aubagne, dont l'appartement a disparu dans le drame.La situation semble la même dans tout Noailles et au-delà même si, en coulisses, les dossiers avancent."L'horreur absolue"Sur les 600 millions d'euros annoncés contre l'habitat indigne par la présidente LR de la métropole Aix-Marseille-Provence, Martine Vassal, le 28 novembre 2018, plus d'un tiers viennent de l'Etat, via notamment l'Anah qui promet 240 millions d'euros sur 10 ans pour des travaux de réhabilitation d'urgence.Deux ans plus tard, les chantiers sont presque finalisés pour 24 copropriétés, soit environ 300 logements, pour 5,9 millions d'euros, explique M. D'Issernio. "Bien sûr, on aimerait aller plus vite mais on ne peut pas faire n'importe quoi avec l'argent public, un certain formalisme est incontournable".Les bâtiments insalubres, "ce n'est pas que Noailles", insiste Patrick Amico, adjoint au logement de la nouvelle municipalité de gauche, élue après 25 ans de règne de Jean-Claude Gaudin: "Le IIIe arrondissement [autour de la gare Saint-Charles ou de la Belle de Mai], c'est l'horreur absolue. Potentiellement, 50% des immeubles anciens du IIIe pourraient être en péril d'ici cinq ans".Après la rue d'Aubagne, Etat et collectivités ont signé en juillet 2019 un grand plan d'action pour ventiler les 600 millions d'euros promis au départ: le PPA (Projet partenarial d'aménagement) Marseille Horizon définit une stratégie à 15 ans pour 1.000 ha du centre-ville, soit 200.000 habitants.Mais la première phase de ce projet, de 217 millions d'euros, reste très ciblée: quatre îlots dégradés, 7 ha seulement, autour de Noailles et de la Belle de Mai, concernant 314 immeubles.Quant à la SPLAI-N (Société publique locale d'aménagement d'intérêt national), l'outil de pilotage de ce PPA, elle a dû attendre juin 2020 pour réunir son premier conseil d'administration. Covid oblige, notamment. Son directeur général, Franck Caro, corédacteur du rapport Nicol, vient seulement d'être nommé."Le temps de l'urbanisme est un temps long", relativise Muriel Joer Le Corre, "coordinatrice" des services de l'Etat et membre du comité de pilotage du PPA. "Mais aujourd'hui les planètes sont alignées".Permis de louer"Avec la SPLAI-N, on va essayer d'accélérer le temps, mais tout ne se résoudra pas en un claquement de doigts", insiste David Ytier, vice-président à la métropole chargé du logement et de l'habitat indigne et président de cette structure où Aix-Marseille-Provence est chef de file (59%), devant l'Etat (35%) et la ville de Marseille (6%).L'outil est donc en place, avec un projet global, et l'argent est sur la table. Au-delà des 600 millions d'euros de départ, "avec l'effet de levier et les investissements privés, c'est même 1 à 1,5 milliard d'euros qui va permettre de renouveler la ville", espère M. Amico.Mais pour quelle rénovation ? Quels types de logements ?Du côté de la municipalité, on veut éviter deux écueils: transformer le coeur populaire de la ville en "boboland", une fois les bâtiments réhabilités, ou répliquer Euroméditerranée, quartier ultra-moderne sorti de terre à la place des anciens docks: "On veut faire de la haute couture, mais ça va prendre plus de temps", concède Patrick Amico.Pas question de tout raser et reconstruire: "Avec ces +3 fenêtres marseillais+ [un type d'immeuble caractéristique de Marseille], nous sommes quand même face à un des ensembles pré-révolutionnaires les plus importants de France", insiste M. D'Issernio. "Marseille sans Noailles, ce ne serait plus tout à fait Marseille".A la métropole, David Ytier vante un autre outil mis en place en octobre 2019, à Noailles: le permis de louer. Car "l'habitat indigne, c'est très souvent de l'habitat privé et ce permis, c'est une clef d'entrée pour aller voir derrière les façades", explique-t-il. Sur 252 dossiers déposés, près d'un quart ont fait l'objet d'un refus, obligeant les propriétaires à engager des travaux.La ville, elle, utilise la procédure de travaux d'office qui lui permet de se substituer aux propriétaires défaillants. Quarante-huit millions d'euros de travaux ont ainsi été lancés, sur une soixantaine d'immeubles. "Ensuite nous transmettons les faits à la justice", insiste M. Amico. "Cela peut aller jusqu'à la spoliation et des poursuites pour mise en danger de la vie d'autrui"."Nous notons avec satisfaction l'augmentation des signalements de la mairie de Marseille", avait témoigné la procureure de la République, Dominique Laurens, mi-janvier, en révélant avoir ouvert 76 enquêtes contre des propriétaires indélicats.
Il y a 4 ans et 68 jours

Evénement : Les Construction Days avancés

CALENDRIER. Le Seimat et Comexposium ont annoncé début février la création d'une nouvelle manifestation : Les Construction Days. Devant avoir lieu du 21 au 23 septembre, le rendez-vous a été avancé.
Il y a 4 ans et 68 jours

Comment s'est porté le marché des portes d'entrée en 2020 ?

ETUDE. La crise a impacté le marché de la porte d'entrée de maisons individuelles en 2020. Qu'en est-il exactement ? Quelles sont les tendances ? TBC a mené une étude auprès de 360 acteurs du secteur.
Il y a 4 ans et 68 jours

Exo-1, premier exosquelette d’Hilti

Hilti a lancé Exo-1, son premier exosquelette destiné à aider les compagnons qui travaillent les mains au-dessus de la tête.[©Hilti] En septembre 2020, Hilti dévoilait en avant-première son premier exosquelette. Destiné à aider les compagnons qui travaillent les mains au-dessus de la tête. Désormais commercialisé, Exo-1 -c’est son petit nom – est un équipement passif et sans batterie. Qui réduit de 47 % les pics de contrainte exercés sur les muscles des bras et des épaules. Evitant ainsi les douleurs musculaires et limitant la fatigue. Il est disponible à l’achat (1 489 € HT) ou en gestion de parc (location longue durée avec des services supplémentaires) au tarif de 49,20 € HT, mais avec contrat sur 4 ans. Cet exosquelette a été développé avec la société allemande Ottobock. Une entreprise de technologie médicale spécialisée dans la conception de ces équipements. Préserver la santé des compagnons Exo-1 est idéal pour les compagnons amenés à effectuer des travaux d’installation de conduits d’aération et d’équipements de ventilation, de sprinklers, de tuyauterie, de fixation de câbles et conduits. Ou encore de suspension de cloisons sèches au-dessus de la tête… Il ne pèse que 1,9 kg et ne gêne pas les mouvements, même quand les bras sont en position basse. Il permet de porter jusqu’à 4 kg sans ressentir le poids dans les bras. Ceci, grâce à un système de transfert de charge, qui redirige celle supportée par les bras vers les hanches.  Tout comme le casque de chantier il y a 15 ans, l’exosquelette d’Hilti a été pensé comme un EPI du présent et du futur, destiné à devenir incontournable sur les chantiers. 
Il y a 4 ans et 68 jours

La Banque des territoires a un nouveau directeur des prêts

CARNET-NOMINATION. Kosta Kastrinidis a succédé, mi-février, à Marianne Laurent, à la tête de la direction des prêts de la filiale de la Caisse des dépôts.
Il y a 4 ans et 68 jours

Thierry Dallard, le président de la Société du Grand Paris, sur la sellette ?

REMANIEMENT. Avancé par plusieurs médias, le départ imminent de Thierry Dallard, actuellement président de la Société du Grand Paris, ne ferait plus grand-doute. Une brouille avec le Premier ministre Jean Castex serait à l'origine de cet évincement.
Il y a 4 ans et 68 jours

Les professionnels de la construction modulaire saluent le rapport Michel-Rivaton

RÉACTION. Les acteurs de la construction industrialisée et modulaire saluent le rapport Michel-Rivaton sur le hors-site, et invitent les pouvoirs publics à en suivre les préconisations.
Il y a 4 ans et 68 jours

Le marché des façades ventilées a résisté en 2020

Il ressort de cette étude que le chiffre d'affaires cumulé des membres du SNBVI, façades et accessoires, est de près de 122 M€ sur l'année 2020.« Malgré la perception que ce chiffre offre, il est intéressant de noter que l'activité de la façade ventilée s'est relativement bien tenue au regard de l'activité générale du bâtiment », reconnaît Stéphane Lambert, Président du SNBVI. « L'intervention par l'extérieur de la construction, qu'elle que soit l'activité qui s'y trouve à l'intérieur, offre une grande souplesse à nos systèmes, permettant en cela une reprise d'activité plus rapide, plus coordonnable, plus sereine. Dans la suite positive de l'année 2019, le premier trimestre 2020 a été porteur avant l'arrivée de la pandémie. L'activité de la fin d'année 2020 s'est avérée plutôt dynamique en général ».S'agissant de l'année en cours, la continuité avec fin 2020 se poursuit. « Pour les prévisions 2021, nous sommes sur une tendance haussière à +6%. La visibilité sur le premier semestre de l'année est satisfaisante. », relève Stéphane Lambert. L'enquête UNICEM table sur un CA cumulé d'environ 129 M€ à la fin 2021.Bien que fraîchement repoussée au 1er Janvier 2022, la RE2020 va mettre en lumière dès cette année la filière sèche, dont les réponses, tant techniques que de mise en valeur des façades, sont pertinentes aux premières approches de ce texte. Toutefois, le SNBVI déplore toujours la pénurie de main d'œuvre qualifiée dans les domaines de la construction, ce que ses membres s'attachent à réduire au quotidien en dispensant formations et assistances techniques. Le Syndicat surveille également avec attention les fortes hausses, mais aussi les risques de ruptures d'approvisionnement de matières premières, impactant les fixations et accessoires notamment.
Il y a 4 ans et 68 jours

Rénovation énergétique : les propositions du rapport Sichel attendues mi-mars

FINANCEMENT. La ministre chargée du logement était auditionnée, lundi 1er mars, par la commission spéciale chargée d'examiner le projet de loi Climat et résilience. Elle a apporté des précisions sur les chapitres relatifs à la rénovation énergétique des bâtiments et à la lutte contre l'artificialisation des sols.
Il y a 4 ans et 68 jours

Chroniques d'une crise immobilière annoncée : les aménageurs alertent sur les dérives de l'impératif ZAN

Si l'UNAM partage les objectifs de sobriété foncière et de préservation de la biodiversité[1] induits par la trajectoire ZAN, elle questionne ses modalités de mise en œuvre qui risquent, faute de pragmatisme, de fragiliser les territoires et de préfigurer une crise immobilière sans précédent. Dans ce contexte, l'UNAM lance une série de chroniques sur la menace que l'objectif ZAN fait peser sur notre économie, déjà fragilisée par la pandémie et le recul de la construction. Une menace matérialisée par la conjonction de différents facteurs qui feront chacun l'objet d'une chronique dédiée : la limitation drastique des capacités de production de logements, la flambée des prix de l'immobilier, le blocage du marché locatif et l'impossibilité de répondre à la demande de logements sociaux.À l'occasion de cette première chronique consacrée aux risques inhérents à la limitation drastique des capacités de production de logements, l'UNAM publie un rapport[2] mettant en perspective l'inadéquation de l'impératif ZAN avec les besoins en matière de logement à l'horizon 2030 et appelle à une territorialisation des objectifs pour répondre de manière efficiente à ces besoins.L'objectif ZAN : une contrainte foncière irréaliste face aux besoins en matière de logementGuidée par une ambition de sobriété foncière, la trajectoire ZAN vise à diviser par deux le rythme d'artificialisation des terres en France d'ici 2030, contre un objectif fixé à 2050 par l'Europe. Pour ce faire, le projet de loi prévoit d'encadrer strictement les projets de construction de logements neufs.Cette contrainte semble s'inscrire à rebours des besoins en matière de logement. Comme le souligne le rapport, la demande potentielle de logement devrait s'élever à +4,1 millions de logements à l'horizon 2030. Un chiffre qui prend en compte une diversité de facteurs :La croissance démographique de la population française avec une perspective consolidée à 70,5 millions[3] d'habitants en 2030 (dont 66,3 millions en métropole), contre 66,9 millions aujourd'hui : +1,3 millions de logements nécessaires.La baisse constante du taux d'occupation des logements en lien avec le « desserrement » des ménages (croissance des ménages monoparentaux et de personnes âgées seules) : +1,7 millions de logements nécessaires.La croissance de la vacance immobilière : +830 000 logements nécessaires pour remplacer les logements exclus du marché (logements vétustes, absence de relocation).Les besoins en matière de renouvellement du parc immobilier en raison des sorties de bâtiments hors du secteur du logement (démolitions, désaffectations) : +290 000 logements nécessaires.Il ressort que ces besoins se concentrent majoritairement dans les couronnes périurbaines élargies des villes moyennes ainsi que dans le Grand Ouest. Pour autant, les zones dites « détendues », c'est-à-dire caractérisées par une baisse de leur population ainsi qu'un accroissement de la vacance de leurs logements sont également concernées par ces besoins de construction du fait de la sortie de logements vétustes du parc habité et des besoins croissants liés à la décohabitation des ménages.En réponse à ces besoins en matière de logement, le projet de loi prévoit de stimuler la rénovation de logements et la récupération de la vacance immobilière. Cependant, même la réaffectation théorique de tout le parc de logements actuellement vacants ne comblerait qu'à peine 20% des besoins urgents en logement sur les dix prochaines années. Les coûts de rénovation, notamment en zone détendue où les prix de l'immobilier sont très faibles, s'avèrent quant à eux encore prohibitifs pour les budgets moyens des ménages : les travaux de rénovation « complète à lourde » (intervention sur réseaux et structure du bâti) correspondent en moyenne, dans ces secteurs, et hors subventions à la rénovation, à un doublement du coût d'acquisition du logement (prix moyen au m² constaté de 1 100 €/m² en octobre 2020, pour des frais de rénovation « complète à lourde » compris dans des fourchettes respectives de 700 à 1 100 €/m² et de 1 125 à 2 000 €/m²), ce qui rend ces logements non-compétitifs sur le marché local.Ainsi, dans un contexte où la crise sanitaire a déjà largement ralenti les objectifs en matière de construction avec 376.700 logements construits en 2020[4] pour un objectif de 500.000 fixé par le gouvernement, la trajectoire ZAN telle que prévue dans le projet de loi ne fera que contraindre davantage les projets de construction et donner lieu à une véritable crise du logement.Pour une approche territorialisée de l'objectif ZANPlutôt que de provoquer un blocage généralisé du foncier à bâtir, l'UNAM préconise dans son rapport une réponse spatiale différenciée mettant en lumière les priorités d'aménagement selon les territoires. Une adaptation de l'effort ZAN en fonction du contexte territorial qui suit un double objectif :1/ Proposer une modulation de la contrainte foncière en fonction des lieux : afin d'accompagner les souhaits de mobilité des populations urbaines vers un habitat avec de la nature et permettre un rééquilibrage territorial face au tout métropolitain. Pour ce faire, l'UNAM établit au sein de ce rapport une liste de réponses territorialisées face à l'objectif ZAN en distinguant[5] :Les zones où l'impératif ZAN semble prioritaire : à l'instar des unités urbaines de plus de 20 000 habitants et des territoires ruraux dense et/ou touristiques.Les zones où l'impératif ZAN n'est pas tenable en valeur absolue, sous peine de provoquer une crise majeure du logement et d'empêcher un rééquilibrage territorial de la population hors des métropoles : à l'instar des territoires « périurbains connectés » et « périurbains intermédiaires ».Les zones où l'impératif ZAN semble tenable à condition d'une balance globale calculée à l'échelle intercommunale : à l'instar des territoires « ruraux polarisés » et « ruraux isolés ».2/ Prioriser certains pôles de services secondaires existants (petites villes et bourgs ruraux), actuellement fragilisés par l'attractivité métropolitaine, tout en favorisant des relocalisations d'emplois et de services au bénéfice des territoires hors-métropoles : pour contrer l'étalement urbain incontrôlé, ainsi que les impacts environnementaux des mobilités alternantes ville/campagne.Dans son rapport, l'UNAM identifie 8 161 communes regroupant 17,6 millions d'habitants pouvant constituer des centres de polarités secondaires et locales hors espaces métropolitains et hors unités urbaines de plus de 20 000 habitants. Ce sont toutes ces centralités qui apparaissent prioritaires dans une volonté de rééquilibrage territorial organisé de l'espace métropolitain.À rebours de l'approche réglementaire et sectorielle contenue dans la doctrine ZAN, l'UNAM motive une réflexion d'aménagement plus fine, capable d'adapter la visée écologique aux enjeux de justice spatiale et sociale. Si le verrou ZAN s'avère plus pertinent en milieu dense et déjà structuré plutôt que dans les territoires ruraux, la quête de nouvelles centralités secondaires devient désormais une priorité forte de l'aménagement du territoire à venir.[1] Projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets.[2] UNAM, 2021, L’utilisation du foncier pour le logement à l’horizon 2030. Besoins et préconisations, Rapport scientifique (26p.).[3] Taux de croissance démographique annuel : donnée INSEE/Eurostat 2020.[4] Source SDES / Sit@del2 (France entière, hors Mayotte) : 410 900 mises en chantier en 2018, 404 900 en 2019, 376 700 en 2020.[5] Liste exhaustive des réponses spatialisées en lien avec l’objectif ZAN pages 17 à 19 du Rapport
Il y a 4 ans et 68 jours

Face à la crise économique, le BTP demande un geste sur le gazole non-routier

CONJONCTURE. Pénalisés par la crise économique du Covid, les professionnels du bâtiment et des travaux publics demandent au ministre de l'Économie Bruno Le Maire de maintenir le gazole non-routier (GNR), dont la suppression est actée au 1er juillet prochain. "Un geste de bon sens" qui redonnerait un peu de souffle au secteur, selon les organisations représentatives.
Il y a 4 ans et 68 jours

Députés et artisans poussent au maintien des offres "coups de pouce"

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Les projets de l'administration concernant la cinquième période des certificats d'économie d'énergie (CEE) ne passent décidément pas auprès de certains acteurs. Dix-neuf députés viennent ainsi de prendre leur plume pour écrire à la ministre, et les artisans du bâtiment montent à leur tour au front pour demander le maintien des offres coups de pouce.
Il y a 4 ans et 68 jours

Faisant fi de l'épidémie, le gouvernement veut accélérer la relance économique

"Mon objectif est d'accélérer le déploiement de ce plan de relance, et quelle que soit la situation sanitaire", a affirmé lundi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire lors d'un point presse, estimant que la situation sanitaire ne devait pas être "un obstacle" à la relance."C'est maintenant que (...) se joue" la reprise, a-t-il insisté.Le défi est de taille, avec tout un pan de l'activité, notamment dans le tourisme, qui subit encore massivement la persistance de l'épidémie et pour qui le soutien d'urgence se poursuit.En parallèle, de nombreux secteurs se sont bien ressaisis, et se projettent déjà vers l'avenir, notamment dans l'industrie, bien moins pénalisée par le couvre-feu.La croissance de l'activité manufacturière a ainsi atteint en février son plus haut niveau depuis trois ans, selon l'enquête mensuelle du cabinet IHS Markit.Le gouvernement compte donc sur la dynamique du plan de relance de 100 milliards d'euros d'ici 2022 pour soutenir la croissance française, qu'il attend toujours à 6% cette année.Ce plan "donne des résultats très tangibles", s'est félicité Bruno Le Maire, citant un chômage des jeunes "contenu", le déploiement des véhicules électriques ou encore l'ouverture de nouvelles liaisons ferroviaires.Sur les 40 milliards d'euros que le gouvernement a l'ambition de dépenser d'ici la fin de l'année, 16 milliards ont été déployés, auquel il faut ajouter la baisse annuelle de 10 milliards d'euros d'impôts de production.Trois voletsLe plan comprend trois volets essentiels: le soutien à l'investissement industriel, à la transition écologique, et des aides à la formation et à l'emploi des jeunes.Plus de 30.000 entreprises, dont 70% de PME, en ont bénéficié à ce stade, et un million de ménages et de jeunes, a précisé le ministre.Pour accélérer sur le volet industriel, un milliard d'euros de crédits seront redéployés, a confirmé M. Le Maire, dans la logique - fixée à l'annonce du plan -de favoriser les projets qui seront les plus rapides à aboutir.La relocalisation des secteurs industriels critiques sera dotée de 250 millions d'euros supplémentaires, soit une enveloppe globale de 850 millions, tandis que le dispositif Territoires d'industrie bénéficiera de 150 millions d'euros en plus des 400 millions prévus.Enfin, la numérisation des petites et moyennes entreprises industrielles voit son enveloppe passer de 280 millions à 880 millions d'euros.Autre avancée: la France a enfin obtenu le feu vert de Bruxelles pour déployer les prêts participatifs, dédiés au renforcement des fonds propres des entreprises mis à mal pendant la crise. Il sera détaillé jeudi.En revanche, pas question de rajouter à ce stade des crédits supplémentaires, comme le réclament par exemple certains économistes ou le Medef. "Notre objectif, c'est de dépenser rapidement et efficacement les crédits" existants, a jugé Bruno le Maire. Pas de taxe sur l'épargneLe président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux avait notamment plaidé début janvier pour la mise en place d'un "deuxième volet" au plan, dédié à la reprise des secteurs les plus en difficulté (hôtellerie, évènementiel, etc.).Il prône aussi des mesures ciblées, comme un chèque vert, pour inciter les ménages à consommer l'épargne qu'ils ont accumulée l'an dernier à la fois par crainte de l'avenir mais aussi du fait d'une consommation empêchée par les restrictions sanitaires.L'épargne des ménages constitue d'ailleurs l'autre "défi" du gouvernement pour réussir la relance, a reconnu Bruno Le Maire.L'an dernier, les ménages ont engrangé une épargne supplémentaire de 100 à 120 milliards d'euros, selon la Banque de France, et elle pourrait atteindre les 200 milliards d'ici la fin 2021.Bercy travaille à "des incitations" mais rejette toute "taxation" de cette épargne, a indiqué le ministre, alors que certains élus de gauche et des économistes proposent d'instaurer une taxe exceptionnelle sur les ménages les plus aisés ou sur les entreprises qui ont tiré partie de la crise, comme les géants de la distribution.
Il y a 4 ans et 68 jours

Réseau de transport d’électricité : réalisation du projet Biodiversité sous les lignes par la valorisation des emprises à Mondragon

Des travaux d’aménagement inscrits dans le projet Biodiversité sous les lignes par la valorisation des emprises (BELIVE) sont effectués par Réseau de transport d’électricité (RTE) à Mondragon.
Il y a 4 ans et 68 jours

Intégration de 345 places de smart parking au projet d’écocité, dans la Cité Descartes, à Champs-sur-Marne

Le promoteur immobilier Linkcity signe un contrat avec Zenpark pour installer deux parkings mutualisés à Champs-sur-Marne.