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Il y a 4 ans et 83 jours

Eqiom met de “R” dans le carbone

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Roberto Huet, président d’Eqiom : « Il faut être accompagné dans notre stratégie environnementale par des écologistes, à la condition qu’ils ne prônent pas une écologie dogmatique ! ». [©ACPresse] On peut le dire : Eqiom ne manque pas de “R”. Il n’hésite même pas à le crier haut et fort. Il aurait même pu le chanter, comme le fit en son temps le groupe de rock Mickey 3D : « …Il faut que tu respires, et ça c’est rien de le rire… ». Avec la démarche “Eqiom R – Construisons durable”, l’industriel a décidé de rendre plus visibles toutes ses initiatives, visant à soutenir la transformation environnementale dans le secteur de la construction. En France, le bâtiment génère 25 % des émissions de gaz à effet de serre, dont 80 % sont liés à la vie en œuvre. La phase construction, quant à elle, n’est responsable que de 20 % de ces émissions. Une autre donnée est tout aussi intéressante à mettre en avant : chaque Français “émet” 11 t de CO2 par an. Dans le détail, le transport est l’origine de 3,17 t, le logement compte pour Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 83 jours

Liebherr : La première pompe 42 M5 XXT sillonne l’Alsace

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Michel est la première entreprise en France à avoir fait l’acquisition de la nouvelle pompe 42 M5 XXT signé Liebherr. [©ACPresse] Le soleil se lève à peine sur Mulhouse, lorsque se détache du paysage urbain la longue flèche de la pompe 42 M5 XXT de Liebherr, estampillée Michel. La société alsacienne est la première en France à avoir fait l’acquisition de ce nouveau modèle de la marque allemande, présentée sur le salon Bauma en 2019. L’heure est au coulage du radier de l’extension de la future extension du collège John Fitzgerald Kennedy, qui s’étendra sur 2 100 m2. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 83 jours

LafargeHolcim : « Galaxim Planet regroupe notre offre de ciments bas carbone »

Cet article à retrouver dans le n° 92 dans le Béton[s] le Magazine. Florent Dubois, responsable Construction durable de LafargeHolcim France, et Michèle Duval, directrice marketing. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim a mis en place Lafarge 360. Pouvez-vous nous rappeler ce qu’est cette démarche et ce qu’elle englobe ? Est-elle aussi amenée à évoluer ? Florent Dubois : Par essence, Lafarge 360 est une démarche de progrès écologique. Elle s’inscrit dans une dynamique mise en place avec nos clients, qui permet de nous améliorer ensemble. Il y a plus d’un an que cette démarche a été lancée. Peu à peu, elle s’élargit à toutes nos gammes de produits et à toutes les typologies de construction. Tout en dépassant la simple prise en compte du carbone. Un point fort et tangible de la démarche réside dans le 360score. Il s’agit d’un indicateur de transparence et de pédagogie, qui permet à chacun de connaître l’empreinte carbone de nos produits. Et de les situer vis-à-vis de la prochaine RE 2020 par exemple ! Ce score est établi avec des données publiques, présentes dans les Fdes, mais pas toujours très faciles à décrypter. Pour nous, il est aussi un outil de pilotage pour permettre l’évolution de nos produits en cohérence avec nos objectifs de réduction du facteur d’émission de CO2 de nos ciments. A l’image du développement de l’offre de bétons EcoPact. De son côté, 360design Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 83 jours

La fumée de silice, entre apport de durabilité et moindre impact carbone

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Selon les sources, la production du clinker génère entre 5 et 7 % des émissions mondiales de CO2. En France, celles-ci se situent aux alentours des 3 %. [©ACPresse] Le béton a bien des vertus, mais étant le matériau de construction le plus utilisé sur terre, il représente un élément non négligeable pour son impact environnemental. Dans le cadre de la transition énergétique, en Europe et concernant la baisse des émissions de gaz à effet de serre (Ges), le ciment est pointé du doigt. Composant majeur de tous les bétons, il représente entre 5 et 7 % des émissions mondiales de CO2, selon les sources. Ainsi, en poids, les rejets sont estimés entre 650 et 950 kg de CO2 par tonne de clinker. Pour produire du béton, il faut encore rajouter des matériaux naturels non renouvelables, ainsi que de l’eau potable. La recherche permanente d’améliorations de performance et de durabilité sous la contrainte de proposer des bétons dits “verts” demeure d’actualité. A titre d’exemple, la formule d’un béton d’une résistance à la compression de 30 MPa contient 300 kg/m3 de Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 83 jours

Ecotech Ceram : De l’énergie en conteneur

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Ecotech Ceram stocke et transforme la chaleur en énergie renouvelable à travers un conteneur. [©Ecotech Ceram] La revalorisation de la chaleur émise par la production industrielle est un enjeu économique et écologique. La start-up française Ecotech Ceram a mis au point une solution permettant de stocker la chaleur ou le froid produit par l’industrie lourde. « Nous avons mis au point une solution de stockage de chaleur éco-efficace, qui permet de capter et de valoriser de la chaleur issue de l’industrie lourde ou de sources renouvelables, explique Antoine Meffre, son président, lors d’une présentation au CementLab. Le but étant ensuite de la réinjecter dans des procédés industriels et ainsi de réduire la consommation d’énergie. Nous avons conçu une solution robuste, modulaire et transportable. Il s’agit d’un conteneur isolé de l’intérieur, avec des céramiques réfractaires issues de l’économie circulaire. » En temps réel L’air chaud des cheminées est aspiré et envoyé dans le module nommé Eco-Stock. En plug & play, la chaleur peut ensuite être réutilisée sur place ou dirigée vers un autre site. Le concept permet de stocker jusqu’à 2 MWh à 600 °C. Ecotech Ceram propose à ses clients de qualifier leur gisement de chaleur, puis de dessiner et de monter l’installation technique, tout en apportant des solutions de financement. Lors de l’utilisation, une plate-forme web permet de suivre en temps réel les performances du dispositif. La distribution électrique pouvant s’adapter en fonction des besoins en puissance ou dans le temps de la destination finale. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. [/abonnes]
Il y a 4 ans et 83 jours

Peri : structuration et perspectives

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. En février 2020, Peri a ouvert un point de vente à Bordeaux (33). [©Peri] SEINE-ET-MARNE. Pour le coffreur Peri, installé à Meaux, l’année 2020 a été celle de la concrétisation de grands chantiers. Les tours Duo, dans le XIIIe arrondissement de Paris notamment. Des chantiers majeurs qui ont permis à l’entreprise de traverser sans trop d’encombres cette année de crise sanitaire. « Les perspectives pour 2021 restent dans la continuité du deuxième semestre 2020, avec une légère croissance de l’activité, explique Jean-Michel Gueguen, directeur général de Peri France. L’année 2021 sera sans doute l’année du Grand Paris, avec la mise en route de nouveaux ouvrages. » Peri participe en particulier au génie civil intérieur de la gare Villejuif – Louis Aragon et au tunnel Eole de La Défense. « En termes de produits, Peri France va continuer à proposer sur le marché ses produits phares comme le coffrage de dalles Gridflex et le coffrage manuportable universel Duo. Et va accélérer le lancement du nouveau coffrage de dalles Skymax. Nous avons pu le voir sur quelques chantiers cette année et les clients en sont très satisfaits. » Ce fut par exemple le cas sur le chantier des Groues, à Nanterre et de l’école de Design, à Nantes. Peri a aussi ouvert deux nouveaux points de vente à Lyon, chez Ecotra Logistics, et à Nantes, chez Leroy Logistique. Les deux sites proposent du contreplaqué et des poutrelles bois, le coffrage Duo. Et des accessoires de chantiers sont aussi disponibles à Nantes. Après l’ouverture en février 2020 d’un autre point de vente à Bordeaux, cela porte les infrastructures de la marque à deux parcs matériels vente et location, trois dépôts de vente et trois agences. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Cimbat
Il y a 4 ans et 83 jours

Le premier giratoire en béton isérois

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Aspect fini du giratoire sur la D 1015. [©MCA] ISERE. Situé sur la route principale d’accès à une cimenterie (celle de Vicat), le rond-point entre Montalieu-Vercieu et Porcieu-Amblagnieu, sur la D 1015, était arrivé en fin de vie. Ainsi, pour remplacer ce giratoire en enrobé, le département de l’Isère a fait un choix intéressant, un traitement de béton. Une première pour l’Isère. Géré par Sylvain Boyon, Mineral Concept Amenagement (MCA) en a effectué la mise en œuvre. « Pour répondre à la forte sollicitation due au trafic de la cimenterie, nous avons fait le choix d’un béton BC5G goujonné avec une finition balayée. Il s’agissait de couler 350 m3 d’un béton formulé sur la base d’un ciment CEM I 52-5 PEM ES et produit par la centrale Vicat de Pérouges. Les joints de retrait/flexion, dilatation ont été traités par la mise en place de paniers-porte-goujon et goujon. » Une première en Isère Mais c’est l’entreprise Favier TP qui avait, au préaable, effectuée la préparation du support, le rabotage, le reprofilage en grave bitume et la pose des bordures. « L’ensemble de l’opération a été réalisé en un mois, entre octobre et novembre 2020. Nous sommes une entreprise qui œuvre quotidiennement dans l’application de béton de sol, mais plutôt en béton décoratif ou aménagement urbain. Pour nous, ce chantier était l’occasion de montrer l’intérêt de construire des routes en béton. Là où un giratoire classique tient entre 10 et 20 ans, ce type de rond-points a une durabilité de 30 à 40 ans ! C’était une première pour l’Isère. Nous espérons qu’ils renouvelleront l’expérience et que d’autres départements comprendront leur intérêt », conclut Sylvain Boyon. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 83 jours

Un sol aux couleurs Pantone 2021

Après mûre réflexion, le Pantone Color Institute a identifié les deux couleurs de l'année 2021. La première, PANTONE 13-0647 Illuminating, est un jaune vif et joyeux, nuance chaleureuse empreinte de vitalité et d'une puissance solaire. La seconde, PANTONE 17-5104 Ultimate Gray, évoque la teinte des galets sur la plage dont l'apparence patinée souligne leur résistance à l'épreuve du temps. Ce gris rassure, apaise, et encourage des sentiments de sérénité, de stabilité et de résilience. Le mariage des deux est particulièrement adapté à l'incertitude qui entoure le monde actuel, en étant porteur d'espoir et de la promesse d'un avenir ensoleillé, apaisé et bienveillant.Par le biais de prévisions des tendances saisonnières, d'analyses de la psychologie des couleurs et de conseils en matière de teintes, le Pantone Color Institute s'emploie à tirer efficacement profit du pouvoir des couleurs. La marque de revêtements de sol Milliken est conscience de cette force : ses collections utilisent toujours des teintes soigneusement étudiées. L'impact des couleurs sur un lieu et les implications physiques et psychologiques qui en résultent sont effectivement des enjeux clés aux yeux de la marque.C'est pourquoi certaines des collections Milliken se déclinent désormais dans les deux teintes Pantone de l'année 2021. Utilisées indépendamment, elles diffusent leur puissance pure au gré des motifs uniques des dalles de sol. Associées, elles soulignent la façon dont deux éléments différents peuvent se soutenir mutuellement dans une union équilibrée et harmonieuse. Les nuances des collections Change Agent ou encore Major Frequency illustrent idéalement la sérénité dont est vecteur ce gris. Dans Naturally Drawn, gris et jaune se mêlent et s'entremêlent pour dégager une joyeuse sérénité, tandis que Clerkenwell se fait vive et solaire. Par sa teinte claire et ses jeux de texture, la collection Arctic Survey est, quant à elle, vectrice d'une sérénité ouatée.Celles-ci ne sont que quelques exemples des associations imaginées par Milliken utilisant les deux couleurs Pantone de l'année 2021. Chacune d'entre elles est une interprétation unique de leur personnalité, indépendante ou associée, tout en restant dans ce message d'espoir et ces vibrations de positivité dont sont porteuses ces deux nuances.
Il y a 4 ans et 83 jours

Une nouvelle présidente pour la Cité de l’Architecture et du Patrimoine

La conservatrice du patrimoine Catherine Chevillot sera la prochaine présidente de la Cité de... Cet article Une nouvelle présidente pour la Cité de l’Architecture et du Patrimoine est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 83 jours

Patrimoine fluvial : L’écluse de Kembs-Niffer, dite “Le Corbusier”, en péril

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. La tour de commande de l’écluse “Le Corbusier” est une curiosité. [©Alexandra Lebon] L’écluse de Kembs-Niffer, dite “Le Corbusier”, est située entre Bâle et Mulhouse au point de raccordement du canal du Rhône sur le canal du Rhin. Elle permet aux bateaux du Rhin de passer sur le Rhône en direction de Marseille. Il s’agit là de l’une des rares commandes publiques françaises faite à l’architecte Le Corbusier. Et sa seule réalisation en Alsace. Une réalisation signée Le Corbusier Réalisé un peu plus tard, le bâtiment administratif est surmonté d’une toiture paraboloïde hyperbolique. [©Alexandra Lebon] En plus d’être un lieu de passage pour les bateaux, c’est un site agréable, apprécié par les promeneurs et les cyclistes de la région. En effet, de nombreux itinéraires cyclistes passent par l’écluse de Kembs-Niffer, inaugurée en avril 1961. La tour de commande de l’écluse “Le Corbusier” est une curiosité. Constituée de béton et de verre, elle est supportée par des murs porteurs. Sur lesquels s’articule un jeu de pleins et de vides. Selon les niveaux et de changements d’axe au niveau supérieur. Réalisé un peu plus tard, le bâtiment administratif est surmonté d’une toiture paraboloïde hyperbolique. Son architecture s’allie aux mathématiques pour symboliser la collaboration entre architectes et ingénieurs. Un partenariat souvent mis en valeur par Le Corbusier. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 83 jours

Mineral Service investit la Haute-Corse

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. La promenade de l’Aldilonda en contrebas de la citadelle de Bastia a été réalisée par Mineral Service. [©Mineral Service] Parfois, certains chantiers obligent à de longues réflexions pour chacun des gestes de l’opération. Lorsque Mineral Service, habitué au climat normand, s’engage pour un chantier à Bastia, en Corse, c’est dans ce type d’aventures que les équipes de Jérémy Jamelin, directeur d’entreprise, s’engagent. Sur le papier, il s’agit simplement de réaliser la promenade de l’Aldilonda, en contrebas de la citadelle de Bastia. Mais non seulement le coulage de béton devait soutenir l’ensemble du système de garde-corps. Mais surtout, la promenade est logée à flanc de rocher, au-dessus de la mer. Pour ne rien faciliter, le chantier a eu lieu entre août et septembre 2020, une période où les Corses ne coulent pas de béton, la chaleur étant trop importante… « La formulation du béton nous a obligés à une très grosse réflexion, explique Jérémy Jamelin. D’une part, il y avait la question de la chaleur, qui montait facilement à 38 °C. Nous avons donc mis en place des brumisateurs à l’eau claire, qui refroidissaient les aciers avant le coulage. Nous avons aussi travaillé à partir de 17 h 00, pour chercher la fraîcheur. » D’autre part, la mer qui vient se fracasser contre la paroi rocheuse inonde en permanence la promenade. « Pour répondre à cette problématique, nous avons utilisé un CEM I 52,5 à prise mer, qui intègre des extraits rocheux de la paroi. » Au total, ce sont 150 m3 qui ont été coulés, grâce à une pompe et 150 m de tuyaux. Ceci, à un rythme de 20 à 25 m3/j. En finition, le béton a été squamé. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 83 jours

Vicat a résisté à la crise, ventes et résultats en hausse en 2020

A périmètre et changes constants, la croissance des ventes ressort à 5,5% sur l'année, avec une deuxième partie d'année en hausse de près de 14% après un recul de 3,2% au premier semestre, a indiqué le groupe dans un communiqué.La croissance organique sur l'année est positive dans toutes les zones géographiques, à l'exception de la France, précise Vicat.Le PDG Guy Sidos, cité dans le communiqué, a salué "malgré l'adversité (...) une solide progression des résultats", en mettant l'accent sur "l'efficacité industrielle" des usines pour servir les différents marchés ainsi que sur "la résilience et l'agilité du groupe".La bonne performance opérationnelle ressort dans l'excédent brut d'exploitation (Ebitda) en hausse de plus de 10% à périmètre et changes constants, conséquence selon le groupe, de la croissance de l'activité ainsi que de l'effet des mesures de réduction de coûts et de la baisse des prix de l'énergie.Le groupe relève aussi une "tendance générale des prix de vente bien orientée, à l'exception de la zone Méditerranée".Ces éléments positifs ont permis de compenser la contraction d'activité en France (-2,4%), qui est la premier marché du groupe avec un tiers des ventes, et l'arrêt total d'activité de 30 jours en Italie et 33 jours en Inde.Dans ses perspectives pour 2021, Vicat table sur une nouvelle progression de l'Ebitda à périmètre et changes constants, tout en notant que l'environnement économique des pays où opère le groupe "devrait être toujours affecté par la pandémie" et que "la volatilité de l'activité reste forte".Le groupe entend cependant maintenir ses efforts d'investissements, attendus en hausse par rapport à 2020 autour de 365 millions d'euros.Compte tenu des résultats, le conseil d'administration proposera à la prochaine assemblée générale le maintien du dividende à 1,50 euro par action.
Il y a 4 ans et 83 jours

Calvados : Une vitrine pour le béton décoratif

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Le nouvel accès plage de Merville-Franceville-Plage arbore des bétons décoratifs Cemex. [©Cemex] La ville de Merville-Franceville a fait le choix de transformer son accès à la mer, afin de le rendre plus harmonieux et plus accueillant, pour les habitants comme pour les touristes. Sur ce chantier de 4 500 m2, les équipes de Cemex ont déployé plusieurs formulations et types de finitions de bétons décoratifs, mis en œuvre par l’entreprise Vallois. Le chantier s’est déroulé en deux phases, entre 2019 et 2020. En fait, la réalisation du haut de la plage a précédé l’aménagement autour de la nouvelle halle polyvalente. Plus de 600 m3 de bétons ont été coulés à la pompe, par volumes allant de 8 à 50 m3. L’esthétique désirée par l’agence Bassinet Turquin Paysage – un effet de vague – a nécessité la mise au point de trois formules de bétons. Les volumes importants, parfois simultanés, pour les différentes formules utilisées ont mobilisé l’unité de production de Giberville et nécessité des cadences soutenues. Le cœur du projet reste les bétons décoratifs et leurs différentes compositions et finitions (lissée, poncée et désactivée). Un béton Nuantis Minéral alliait de deux à trois couleurs de granulats : bleu, blanc, rouge. Des bétons rouges teintés dans la masse (Nuantis Color) ont aussi été appliqués. De plus, la formulation de béton intégrant une finition poncée et désactivée a  été réalisée. Enfin, Cemex a fourni le béton des 27 places de parking végétalisées, réalisées suivant le procédé Via Verde de Via Sols. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 83 jours

Chelles : Ouverture du collège Simone-Veil en 2022

Le nouveau collège de Chelles, de 36 classes, ouvrira ses portes à la rentrée 2022.
Il y a 4 ans et 83 jours

La FNBM devient Fédération des distributeurs de matériaux de construction

La FNBM devient Fédération des distributeurs de matériaux de construction. [©ACPresse] Depuis 1erjanvier 2021, la Fédération des distributeurs de matériaux de construction (FDMC) a succédé à la Fédération du négoce de bois et des matériaux de construction (FNBM).  « Trop souvent, nous avons souffert d’un manque de visibilité et d’identification par les acteurs gouvernementaux, explique Franck Bernigaud, président de la FDMC. La crise que nous traversons encore démontre que nous ne pouvons pas nous permettre de ne pas être reconnus.  Faire connaître les métiers du négoce auprès des jeunes Mise en place d’un nouveau logo. [©FDMC] Ainsi, la mutation se déroulera tout au long de l’année. Ceci, avec la mise en place d’un nouveau logo, d’une charte graphique et d’un site Internet. Cela a commencé par une nouvelle identité visuelle. Aujourd’hui, la FDMC regroupe des spécialistes et des généralistes ou multi-généralistes qui diffusent des matériaux. Ceci, à destination de chantiers de gros œuvre, de bois, de couverture, de travaux publics, ou encore de carrelage et de sanitaire. « Avec cette appellation nouvelle, nous pourrons mieux défendre les intérêts des négociants que nous sommes. Et de nous faire connaître plus aisément par les jeunes, qui ne perçoivent pas assez les atouts qu’offre notre métier. »  C’est dans cette perspective que la FDMC s’investit dans un partenariat entre son opérateur de compétences Constructys et les ministres de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur. A savoir, Jean-Michel Blanquer et Frédérique Vidal. Avec cette convention de coopération, la Fédération pourra communiquer auprès des jeunes, sur le monde de la distribution et du négoce et préparer l’avenir. « C’est dès à présent que nous devons anticiper les évolutions d’une relance économique que le gouvernement a favorisée », conclut Franck Bernigaud.
Il y a 4 ans et 83 jours

Bilan 2020 et perspectives 2021 du Groupe Mercure, spécialiste de l'immobilier de prestige

« Passion et expertise constituent l'ADN du Groupe Mercure, un ADN enrichi par l'alliance avec Forbes Global Properties permettant à toujours plus de clients de s'offrir l'exception et de réaliser leurs rêves » déclare Olivier de Chabot-Tramecourt, Directeur général du Groupe Mercure.Le Groupe Mercure a entamé 2020 dans la dynamique amorcée fin 2019, enregistrant un volume de transactions représentant 30% du volume total de 2019. Le premier confinement a interrompu cet excellent démarrage même si la digitalisation des conseils et des services a permis de maintenir la relation avec la clientèle. Le déconfinement s'est accompagné d'un rebond spectaculaire avec des biens vendus sans négociation et avec très peu de conditions suspensives. Le 2ème confinement intervenu au mois de novembre a entrainé un nouveau repli, avec des acquéreurs en moins grand nombre mais aux projets plus aboutis contribuant ainsi au rééquilibrage entre l'offre et la demande.Au total le Groupe Mercure a réalisé plus de 250 000 000 euros de transactions en 2020. Le Groupe détient toujours 80% de l'offre de châteaux en France avec 474 biens en portefeuille (+10% par rapport à 2019) et vend 1 château sur 3 dans l'hexagone, ce qui représente pas moins de 4755 châteaux vendus en 2020.Le Groupe Mercure touche essentiellement une clientèle CSP+ dont les 2/3 sont assujettis à l'IFI. Le fait marquant de 2020, c'est le décrochage de la clientèle étrangère. Dans le Groupe, les investisseurs étrangers ont représenté 22% du chiffre d'affaires contre 31% en 2019 et 17% des ventes contre 22% en 2019. A l'inverse,les restrictions de circulation imposées par le Covid, ont poussé la clientèle française qui faisait auparavant le choix de l'étranger pour l'achat d'une résidence secondaire,à se reporter sur le marché français. 2020 ou le rééquilibrage vers le rural sous toutes ses formesCrise sanitaire, développement du télétravail et quête d'authenticité ont fait repartir le marché rural après 12 années délicates. Conséquence du premier confinement, les centre villes ont perdu de leur superbe au profit de la périphérie, moyen de gagner de la surface et un extérieur (terrasse ou jardin).Alors que les transactions pour un usage touristique ont subi un coup d'arrêt, le marché de la résidence secondaire connait un regain d'activité avec une augmentation d'acquisitions de 6% pour le Groupe Mercure en 2020. Cet attrait pour les résidences secondaires s'accompagne d'une évolution des usages du strictement secondaire (vacances et week-end) au semi principal. Facilitée par le développement du télétravail, cette nouvelle manière d'investir le secondaire reste néanmoins conditionnée à la localisation (moins de 2h du lieu de travail) et à l'accès aux services (commerces, moyens de transport etc...).Sur le marché des biens de prestige et de caractère, les zones situées dans un cercle de 200km autour de Paris et de 100km autour de Lyon ont vu leur cote augmenter. Normandie et Centre Val de Loire ont ainsi bénéficié de l'effet Covid et de leur relative proximité avec la capitale. La Nouvelle Aquitaine attire aussi bien les bénéficiaires du télétravail que les nouveaux retraités tandis que l'Occitanie attire pour sa douceur de vivre à des prix inférieurs à ceux de la Côte d'Azur. Enfin les zones situées à proximité des axes TGV, Bordeaux, Nantes, Rennes et Vannes sont très recherchées.Et un marché urbain plus contrastéLes centres-villes des grandes villes (Lyon, Toulouse, Bordeaux) souffrent toujours d'une pénurie de biens à vendre. Néanmoins,en provoquant une forme d'attentisme chez les acquéreurs la crise sanitaire a rendu les vendeurs plus réticents et davantage enclins à revoir à la baisse leurs prétentions.A Paris, le marché reste dynamique et l'écart se réduit entre l'offre et la demande (6% contre 10 à 15% auparavant).Le marché des châteaux reprend des couleurs tout en restant qualitatifFort de sa qualité de leader sur ce marché de niche, le Groupe Mercure a constaté l'attrait créé parle confinement et l'appel du large sur ce type de biens.Sur un marché qui avait été très impacté en 2008, les prix se sont tenus. Le rapport de force s'est même parfois inversé du côté des vendeurs et la cote des châteaux à proximité des métropoles a augmenté. (15km des grandes villes, 100km de Paris).En 2021, les perspectives s'annoncent encourageantes mais fragiles compte tenu du contexte sanitaireEn 2020, la pierre a plus que jamais montré qu'elle conservait sa valeur refuge et la tendance ne devrait pas s'inverser cette année, soutenue par des taux toujours bas et un regain d'intérêt pour les investissements en France.Le marché devrait se maintenir au premier trimestre dans le prolongement de la fin d'année 2020. Cependant les doutes sur la situation économique et la perte de confiance dans l'avenir pourraient à terme ralentir le marché tout comme la pression fiscale sur le foncier liée aux réformes de la fiscalité locale mais aussi au « quoi qu'il en coûte » qu'il faudra bien financer. En outre les incertitudes sur la clientèle étrangère si elles devaient perdurer, auront des conséquences sur les prix de certains biens. Enfin la frilosité des vendeurs en diminuant l'offre de biens pourrait bien contribuer à gripper le marché.
Il y a 4 ans et 83 jours

Hendaye : ouverture des Halles de Gaztelu au printemps 2021

Les Halles de Gaztelu constitueront un équipement dédié à la culture populaire. La réalisation de ce projet de restructuration entre dans le cadre de la requalification du cœur de ville d’Hendaye.
Il y a 4 ans et 83 jours

NC Préfa : L’industrie du béton au service du bâtiment et du génie civil

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Arnaud Calmettes, actuel directeur général de NC Préfa : « La Nouvelle-Calédonie aura été le dernier territoire d’Outre-mer, qui ne bénéficiait pas d’une industrialisation du bâtiment ». [©NC Prefa] En 2010, Joël Auclair, dirigeant d’une grosse société de bâtiment, à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, prend sa retraite. Il s’aperçoit alors de la nécessité d’industrialiser les métiers du BTP, afin d’améliorer la compétitivité des entreprises, la qualité et les conditions de travail. Et enfin, de produire “local”. C’est sur ces bases que naît NC Préfa, qui fête ses dix ans en 2021 ! « La Nouvelle-Calédonie, ce sont 270 000 habitants, dont les deux tiers sur Nouméa et sa banlieue, détaille Arnaud Calmettes, actuel directeur général de NC Préfa. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
GDA
Il y a 4 ans et 83 jours

Les campus donnent de la chair à la relance

Bâtiments publics - L'enseignement supérieur prépare une rénovation massive de son parc immobilier. L'Etat lui a alloué 1,3 Md € qui permettront de livrer plus de 1 000 projets.
Il y a 4 ans et 83 jours

Manuel : 101 épopées de la construction française

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. [©Eyrolles] Depuis la nuit des temps, les hommes bâtissent des maisons, des routes, des édifices, des usines… L’histoire s’écrit par les traces que ces bâtisseurs laissent dans le paysage. Comme le disait Mark Twain : « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait »… Il s’avère que la France a tenu et continue de jouer un rôle majeur dans l’histoire de la construction. Dans “101 épopées de la construction française”, cette histoire, encore méconnue, est racontée par des professionnels du secteur. Ces pages très illustrées nous montrent qu’un génie particulier a animé ces constructeurs. On apprend que c’est dans l’Hexagone que le système ogival a vu le jour, permettant d’élever les cathédrales. C’est encore en France qu’en 1817, Louis Vicat a inventé la composition définitive du ciment. Et qu’en 1848, François Coignet a été l’auteur de la première construction en béton armé. Au début du XXe siècle, le non moins génial Eugène Freyssinet mettait au point le principe de la précontrainte. Permettant, partout dans le monde, de construire des ouvrages publics de grandes dimensions… La liste est longue. Les auteurs n’ont volontairement  retenu qu’une centaine d’épopées parmi les plus marquantes, sans omettre celles proches de nous. Résultats de prouesses collectives, elles nous révèlent aussi des trajectoires individuelles. Montrant à quel point l’acte de construire est enthousiasmant. Un bon début pour creuser plus davantage ces épopées. Editeur : Editions EyrollesAuteurs : Xavier Besançon, Daniel Devillebichot, Laurence Francqueville et Max RochePrix : 20 €TTC www.edtions-eyrolles.com Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 83 jours

Déchets du BTP : la solution digitale Ecodrop veut étendre ses services pour les pros

Ecodrop, collecteur de déchets chantier des professionnels via une solution digitale, a fait une levée de fonds de 5 millions d’euros pour accélérer son développement.
Il y a 4 ans et 83 jours

Abandon du projet d'extension de l'aéroport parisien de Roissy

Le gouvernement a décidé d'abandonner le projet controversé d'extension de l'aéroport parisien de Roissy-Charles de Gaulle, "obsolète", a annoncé Barbara Pompili au journal Le Monde. 
Il y a 4 ans et 83 jours

Construire un cinéma en pleins crise sanitaire comme un pied de nez au Covid

La France compte un parc de 2.000 cinémas unique au monde par sa densité, et en 2020, 22 cinémas ont ouvert leurs portes, malgré les mois de rideau baissé.Cette année, en dépit du manque de perspective après plus de 100 jours de fermeture des salles, des projets de rénovation ou de construction se poursuivent un peu partout, du Lavandou (Var) au quartier de l'Opéra à Paris en passant par Givors (Rhône).A Romorantin, c'est l'effervescence sur le chantier du Ciné Sologne: ballet des chariots élévateurs, montage de cloisons... le futur complexe doit être prêt pour la fin mars. Il viendra prendre le relais du Palace, la salle historique du centre-ville.Avec le centre culturel ou l'escape game qui a ouvert en centre-ville, le cinéma, classé art et essai et qui programme blockbusters comme films plus pointus, est l'un des pôles d'animation de cette sous-préfecture de 17.000 habitants, sur les rives paisibles de la Sauldre.A une heure de voiture de Tours, de Bourges ou d'Orléans, la ville a connu "trois tsunamis", depuis les années 2000, retrace le maire Jeanny Lorgeoux: la fermeture de l'usine automobile Matra, qui employait 2.200 personnes, une grande crue avec plus de 500 évacuations, et maintenant le Covid...Dans ce contexte, "le cinéma, c'est un bien culturel fantastique" nécessaire "pour que la ville se perpétue", ajoute l'édile, aux commandes depuis 1985 et qui a tout fait pour favoriser l'installation du nouveau complexe."Dans les petites sous-préfectures, le cinéma c'est le lien intergénérationnel parfait", ajoute l'élu, et c'est aussi là que se croisent ce qu'il reste de la classe ouvrière, dans cette ancienne terre industrielle, et les plus aisés, qui vivent de "l'économie de château" et de la chasse, spécialité de la zone.Pour la ville, c'est aussi "un levier économique et d'attractivité. Si on s'en privait, ce serait catastrophique"."Repartir de zéro"Pourtant, le Palace, qui attirait chaque année 70.000 spectateurs, "n'était plus vraiment aux normes de confort actuelles", reconnaît le patron des lieux, Francis Fourneau.L'ancien cinéma, construit dans les années 1970 et resté dans son jus avec ses murs jaunes pastels, est promis à la fermeture. Le Palace était de toute façon à l'étroit dans son bâtiment historique du centre-ville."Après cette pandémie, il faudra retrouver les spectateurs un par un", anticipe cet exploitant, et "ce ne sera pas plus mal de repartir de zéro", avec un lieu flambant neuf. Tant pis pour le cachet des ruelles médiévales qu'a parcouru jadis François 1er, c'est à côté d'un ancien hypermarché, dans la zone commerciale accessible en voiture, que se construit le nouveau projet.Et pour rivaliser avec les multiplexes des grandes villes ou le streaming, il faut investir dans des fauteuils de plus en plus confortables et des écrans géants, 16 mètres de long pour la plus grande des cinq salles du futur Ciné Sologne.Le chef d'orchestre de ces travaux à 2,8 millions d'euros, c'est Cédric Aubry, qui s'est fait une spécialité de construire des cinémas dans de petites villes, considérées comme pas assez rentables par les gros réseaux.La pandémie ? "Ce n'est pas une raison de renoncer", tranche-t-il sur le chantier de Romorantin, tout en traquant sur le chantier les défauts d'étanchéité de la structure de métal et de béton, avant l'installation des 600 fauteuils."Il faut créer du public, attirer les gens qui se disent +j'irais bien au cinéma+, mais qui voient le petit ciné local et se disent +je laisse tomber+" explique M. Aubry.Une façon, selon lui aussi, de répondre "modestement" au message "sur l'abandon des territoires" formulé pendant la crise des "gilets jaunes". Et à l'en croire la recette a tout pour réussir: le cinéma qu'il a refait à Varennes (Meuse) est passé en quelques années de 80.000 à 200.000 spectateurs, et celui de Sens (Yonne) de 100.000 à 300.000 spectateurs.
Il y a 4 ans et 83 jours

Vinci – Leonard : La marche en avant

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Promotion 2021 programme IA. [©Leonard] Depuis près de quatre ans, l’incubateur Leonard du groupe Vinci explore et contribue à l’émergence de nouveaux marchés et innovations. Que ce soit dans le domaine de la construction, de la mobilité ou encore de l’énergie et de l’immobilier. Il propose quatre programmes ouverts aux start-up, aux entreprises et aux entités et collaborateurs de Vinci. Il fonctionne de manière autonome, tout en stimulant les synergies apportées par ces acteurs avec les activités du groupe. « Le programme Seed est inspiré de Y Combinator1, explique Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Le programme est ouvert aux start-up et entreprises en phase de prototypage. » Seed comprend un accompagnement d’experts Vinci, une certification de l’université de Stanford, un apport en capital à hauteur de 30 000 € et une mise en relation avec des investisseurs. Mais aussi, un hébergement dans les locaux parisiens de Leonard. Soit 1 500 m2 de coworking et 3 000 m2 de bureaux. « Pour Seed, nous avons plusieurs missions qui s’enchevêtrent. Nous souhaitons être la marche manquante dans l’accompagnement de ces start-up. Et même si c’est un risque d’investir dans ce type d’entreprises, nous nous y retrouvons en étendant nos savoir-faire. En 2020, 150 start-up ont postulé au programme. » De son côté, le rôle du programme Catalyst est de repérer des entreprises innovantes en hyper-croissance, mais qui ne sont pas encore déployées à grande échelle. « L’idée est de les accompagner vers le haut et de maximiser les chances de collaboration avec les entités de Vinci. » Des programmes spécifiques Le parcours Intrapreneurs s’intéresse au développement de projets à l’initiative des collaborateurs du groupe. Il permet de faire émerger de nouvelles activités. Enfin, le programme IA se concentre, comme son nom l’indique, sur l’intelligence artificielle. Et a pour ambition d’accélérer l’utilisation de cette technologie dans les métiers de la construction, des opérations des bâtiments et des infrastructures. « Nous contribuons à une multitude d’initiatives pour partager notre voix et faciliter le recrutement à nos programmes. » Par exemple, Leonard co-organise avec Cemex Ventures la plus grosse compétition de start-up au monde. L’incubateur travaille aussi avec les incubateurs des écoles, un réseau de partenaires ou organise des échanges… Cette année, Leonard accueille donc une nouvelle promotion d’acteurs pour chacun de ses programmes. Promo 2021 Pour cette promotion 2021, Leonard a sélectionné 44 nouvelles entreprises. « Les trois grandes thématiques choisies pour cette année, sont l’environnement, la sécurité et la mobilité », détaille Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Parmi les entreprises sélectionnées, la start-up SustainEcho intègre Seed. Elle propose une solution d’automatisation du bilan carbone. Le Canadien Carbon Upcycling Technologies rejoint, quant à lui, Catalyst. L’industriel développe une technologie d’utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2… En résumé, les entreprises participantes aux différents programmes rassemblent des projets autour de : – L’automatisation des opérations de construction et d’exploitation (robotique, cobotique), – Du monitoring à distance des chantiers et des infrastructures (drones, satellites), – La maintenance prédictive, mais aussi d’aide à la conception et au pilotage de projets (design paramétrique, échéancier…), – Des plates-formes collaboratives de gestion de projets et de sourcing de matériaux, – L’optimisation de l’efficacité énergétique et de réduction de l’impact environnemental des projets. 1Entreprise californienne qui apporte un capital de base, du conseil et de la mise en relation aux start-up durant ses premières phases. Les lauréats du programme Seed : PaintUp robotise les tâches pénibles et dangereuses liées au traitement de façade. Les premières applications commercialisées sont le nettoyage et la peinture jusqu'à 30 m de hauteur. Les solutions d’Orok se concentrent sur l’automatisation des opérations sur le tarmac des aéroports. Et ce, grâce à un système complet, composé d’une flotte de véhicules autonomes et d’un serveur de supervision. SustainEcho accompagne les organisations et les projets qui veulent engager ou renforcer leur démarche environnementale, en proposant une solution d’automatisation du bilan carbone. Tellux développe des solutions d'analyse et de détection rapide de la pollution dans les sols et sédiments par imagerie hyper-spectrale. Roomies réalise une plate-forme SaaS de collaboration et de gestion de projets à destination des architectes. Caeli Energie conçoit et fabrique de climatiseurs à forte efficacité énergétique et à très faible empreinte carbone pour les bâtiments résidentiels et le petit tertiaire. Rockease est une plate-forme en ligne, permettant de trouver la meilleure offre, de commander et de gérer la livraison de granulats sur chantier. Lokimo analyse et centralise des millions de données grâce à l'Intelligence artificielle, afin d'aider les professionnels de l'immobilier à identifier rapidement des zones à haut potentiel. Neoratceh développe des équipements de protection individuelle connectés pour les techniciens intervenant sur les réseaux électriques. Les lauréats du programme Catalyst : AI clearing (Pologne) travaille sur une plate-forme de suivi d’avancement de travaux d’infrastructures, basée sur des données géospatiales et alimentée par l’intelligence artificielle. Voyage Control (Royaume-Uni) est une solution logicielle destinée à améliorer la logistique de la construction et la gestion de la chaîne d'approvisionnement. Elle permet de rationaliser les processus, de renforcer la sécurité et de protéger l'environnement. vHive (Israël) est un logiciel qui permet aux entreprises de déployer des essaims de drones autonomes pour numériser leurs actifs et leurs opérations sur le terrain. Notamment pour l’inspection des tours télécoms, des grues, des façades et plus largement de tout type de constructions ou d’ouvrages d’art. Eave (Royaume-Uni) a développé un système complet de protection auditive pour les travailleurs de la construction, composé de protecteurs auditifs intelligents. Ils favorisent la conscience de leur environnement immédiat. Le système est renforcé d’une plate-forme en ligne pour surveiller les niveaux de bruit du chantier et l'exposition individuelle des travailleurs. Carbon Upcycling Technologies (Canada) développe une technologie d'utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2. Viibe (France) est une technologie d'assistance audio/vidéo sans téléchargement, dédiée aux centres de support technique assurant un diagnostic expert à distance. Infogrid (Royaume-Uni) combine les plus petits capteurs IoT du monde et la puissance de l’intelligence artificielle. Le tout dans le but d’optimiser et d’automatiser la gestion des bâtiments. Offrant ainsi un gain de temps, d’argent, de protection de l'environnement, tout en améliorant la sécurité. nPlan (Royaume-Uni) aide les entrepreneurs à identifier, prévenir et anticiper les retards dans les grands projets de construction, en s’appuyant sur l’analyse de plus de 500 000 plannings de construction. La solution permet ainsi d’identifier les risques de retard sur les projets pendant l'appel d'offres et l'exécution, en formulant des recommandations pour les livrer dans les délais. Utilis (Israël) offre des solutions d'évaluation et de surveillance des infrastructures, basées sur l'analyse satellite “L-band Sar.”. Plus spécifiquement dans les secteurs de l’approvisionnement en eau et des infrastructures de transport. Omniflow (Portugal) est un lampadaire IoT intelligent alimenté par l'énergie éolienne et solaire, qui propose des solutions durables pour les villes intelligentes. Ils alimentent des services à forte valeur ajoutée, tels que des cellules 5G, des caméras de sécurité ou des capteurs IoT. Les lauréats du parcours intrapreneurs : Carapace (France) développe des solutions de monitoring des digues. Aval Portal (Allemagne) conçoit une plate-forme Saas qui numérise le processus d'élimination des déchets, en facilitant l'échange de données entre les entreprises industrielles et les sociétés de gestion des déchets. Digital Ummspannwerk (Allemagne) travaille sur des solutions de numérisation des sous-stations pour améliorer la sécurité. Patou Data (France) développe un outil de prévention du risque environnemental, en collectant et en analysant les données en temps réel sur les sites de construction. H2 Free (France) imagine des solutions de construction d'infrastructures pour la production et le stockage d'hydrogène. CO2 Footprint App (Allemagne) est une application de calcul d'empreinte CO2 pour les employés. Greenwatt (France) propose une offre de travaux d'amélioration de la performance énergétique pour l'industrie. Visco (Allemagne) collecte de données sur les rues et l'environnement pour la gestion de la ville, en utilisant des caméras installées dans les véhicules de gestion des déchets. Renov'ON (France) se positionne sur les rénovations thermiques de bâtiments résidentiels. PureNest (France) développe des solutions de captation et de traitement des déchets plastiques dans les fleuves. Recy'Peru (Pérou) est une marketplace pour la gestion des déchets au Pérou et en Amérique latine. On Again (France) est une plate-forme consolidant les différentes sources de matériaux issus du réemploi à destination des grands acteurs de la construction. Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 83 jours

Loi climat: les transporteurs routiers dénoncent "un non-sens"

Les organisations professionnelles du transport routier et de la logistique ont estimé que le projet de loi "Climat et Résilience," présenté en conseil des ministres, était "un non-sens (...)
Il y a 4 ans et 84 jours

Triangle de Gonesse: Pécresse réclame l'évacuation de la ZAD

Valérie Pécresse, présidente (Libres!) de la région Ile-de-France, a réclamé l'évacuation de la Zone à défendre (ZAD) du Triangle de Gonesse, que des militants occupent depuis quelques jours.
Il y a 4 ans et 84 jours

Une résidence de 8 bâtiments modernes à Troyes

A Troyes, une nouvelle résidence, composée de 8 bâtiments modernes, se dévoile. Au premier coup d’œil, son esthétisme, confié au cabinet 5-cinq Architecture, interpelle par un jeu architectural dynamique, rendu possible grâce à des niveaux de hauteur (du R+2 au R+4) et de renforcements qui s’alternent. Livrés en ce mois de février 2021 au profit du bailleur Mon Logis, acteur majeur de l’immobilier dans l’Aube, ils offrent 91 logements collectifs sociaux, du T2 au T5, sur une surface SHON totale de 6 050 m². Une cellule commerciale de 250 m² est implantée en rez-de-chaussée d’un bâtiment (A). En parallèle, Spie batignolles grand-est, entreprise générale mandataire du groupement, en charge de la conception et de la réalisation de ces habitats collectifs, a eu la charge de la viabilisation de 14 parcelles, jouxtant les immeubles, pour la construction future de logements individuels. Cette construction est l’une des premières du groupe Spie batignolles ayant été menée en partenariat avec la société Resolving, plateforme collaborative mobile pour la gestion optimisée des projets du bâtiment. La différence de hauteur et de profondeur entre chaque bâtiment a constitué l’enjeu majeur de cette opération, présentant des contraintes techniques architecturales importantes. Les diverses profondeurs qui ont été adoptées par le parti-pris architectural permet d’abriter des renfoncements pour l’installation de balcons et de terrasses végétalisées entre les différents bâtiments, avec des éléments béton très esthétiques et des porte-à-faux. Les revêtements de façade ont été réalisés en bois et en crépis de couleur. Sur les 8 bâtiments, 7 sont reliés par un sous-sol commun de 152 m de longueur totale, pour mettre à disposition des habitants un parc de stationnement de 95 places. Dans la perspective de maîtriser les coûts et les délais de cette opération de logements sociaux, il a été décidé de recourir à la préfabrication pour certains éléments constructifs, notamment pour la pose de prédalles et de prémurs en lieu et place du coulage en place. Au total, les équipes ont employé 295 tonnes d’acier et 5 500 m3 de béton. Maître d’ouvrage : Mon Logis Architecte : 5-cinq Architecture Entreprise générale et mandataire du groupement de conception/construction : Spie batignolles grand-est Bureau d’études : BET2C Paysagiste : Christophe Gautrand Acousticien : Alhyange acoustique VRD : Roussey    
Il y a 4 ans et 84 jours

Le groupe MAUGIN : 55 ans d’expérience fenêtre en France

Le groupe familial MAUGIN et ses 50 ans de savoir-faire au service de «nouvelles expériences fenêtres » dresse le bilan de l’année 2020 et ambitionne plus que jamais cette année de se positionner comme fabricant origine France de référence du marché des fenêtres, portes d’entrée et volets roulants, pour le neuf et la rénovation. Dirigée depuis 1990 par Hervé et Bertrand Maugin, l’entreprise déployée aujourd’hui sur 32 000m² de surface de production, fabrique jusqu’à 3 000 produits sur-mesure par semaine, grâce au travail d’excellence de 300 collaborateurs. Se destinant à 3 circuits de distribution – 120 magasins Terres de Fenêtre en France, 650 menuisiers-installateurs partenaires et le Négoce – chaque innovation est le fruit d’un long processus de réflexion mené par le département Recherche & Développement du Groupe Maugin.  2020 a été l’aboutissement d’un an et demi de travail avec le lancement en juillet d’une nouvelle gamme en PVC fibré élaborée en partenariat avec le gammiste Deceuninck, dont l’innovation est de renfermer de la fibre de verre ainsi qu’un renfort thermique, en option.  Avec un budget de plus de 1 Million d’euros investis, cette innovation est déterminante dans le renouvellement du plan stratégique industriel 2020/25 du Groupe.  Reconnus comme véritable innovation marché, ces atouts distinctifs offrent des avantages non négligeables : plus d’esthétisme, de luminosité, de légèreté, de performance, de sécurité, de rigidité et avec un meilleur potentiel de recyclage, tout en intégrant le vitrage Eclaz et la quincaillerie sécurité renforcé. 
Il y a 4 ans et 84 jours

Nouvelle gamme de bardage bio-sourcé

Neolife lance une nouvelle gamme de bardage bio-sourcé : « COVER Architectural ». Enrichie de nouvelles combinaisons et modénatures, la nouvelle gamme propose des solutions créatives : des rythmes cadencés ou aléatoires, de multiples combinaisons pour des calepinages singuliers, offrant ainsi de nouvelles alternatives pour les architectes souhaitant allier design et éco-responsabilité. C’est grâce à sa technologie brevetée VESTA® que Neolife a acquis sa renommée.  C’est une solution de bardage bio-sourcée unique en son genre : 100% recyclable, elle est composée à plus de 85% de fibres naturelles de bois issues de rebuts de raboterie revalorisés.  Les lames de bardage VESTA ne proviennent donc pas d’arbres abattus, au contraire, elles sont issues de rebuts de bois provenant de forêts européennes gérées durablement (PEFC). Par ailleurs, le process VESTA® garantit un traitement sain du bois puisqu’il n’utilise aucun vernis ni solvant. Une technologie innovante offrant une haute qualité de matériau et un très faible impact environnemental. VESTA a obtenu, depuis 2012, 9 brevets.
Il y a 4 ans et 84 jours

Salle festive à Riec-sur-Belon par Guinée Potin

Qui ont été les premières femmes architectes au XXe siècle? Qu’ont-elles construit et quelles voies ont-elles ouvertes aux architectes contemporaines? Alors que la féminisation de la profession se poursuit selon la dernière enquête Archigraphie, passant en près de vingt ans de 16,6 à 30,7% (notamment chez les moins de 35 ans), une […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 84 jours

Stockage énergie : nouvelles batteries pour Nilar et batteries virtuelles pour JPME

Si l’avenir des énergies renouvelables se joue dans le stockage, on n’arrête pas le progrès en la matière ! D’un côté, nous avons le spécialiste suédois du stockage Nilar qui lance deux nouvelles batteries innovantes, de l’autre, Oscaro-Power, champion du Do It Yourself dans la vente des systèmes photovoltaïques en autoconsommation, qui ajoute l’E-Batterie® à son […]
Il y a 4 ans et 84 jours

Orthez : rénovation du gymnase Grandperrin

Le gymnase Grandperrin à Orthez est remis en état. Différents travaux y sont réalisés.
Il y a 4 ans et 84 jours

Micro-Zone d’Activités de Weyersheim : obtention d’une autorisation environnementale en régularisation pour l’aménagement d’une zone de compensation

L’arrêté préfectoral portant autorisation environnementale en régularisation pour l’aménagement d’une zone de compensation près de la Micro-Zone d’Activités de Weyersheim a été publiée le 7 janvier 2021.
Il y a 4 ans et 84 jours

L'encadrement des loyers entraine une baisse moyenne de 3% à Paris au second semestre 2019

Cette mesure avait été réintroduite à Paris en juillet 2019 et a eu "un effet indéniable, mais limité, de resserrement des loyers de relocation des logements non meublés autour de la fourchette légale", selon l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne (Olap).L'encadrement des loyers est en vigueur depuis 2015 dans la capitale mais a été suspendue pendant plus d'un an autour de 2018. Le loyer de relocation est le loyer appliqué au nouveau locataire après le départ du locataire précédent.Au premier semestre 2019, les loyers de relocation supérieurs au plafond avaient progressé de 2,6% avec un dépassement moyen de 12% du loyer hors charges, soit 168 euros par mois, pour plus d'un quart des logements, selon l'Olap.A partir de juillet, le retour de l'encadrement s'est traduit "par une baisse moyenne de 3% des loyers de relocation initialement supérieurs au loyer de l'ancien locataire".La part des dépassements était "de 28% des relocations" soit "un peu plus que pendant la précédente période d'encadrement (26% en 2015, 23% en 2016 et 21% en 2017)", précise l'Observatoire.Ils concernaient en particulier les logements de moins de 20 m², où ils représentaient sept cas sur dix.Les données pour l'année 2020 ne sont pas encore disponibles.
Il y a 4 ans et 84 jours

Le tunnel du Lyon-Turin dans la phase de "travaux définitifs"

La construction du tunnel transfrontalier de la liaison Lyon-Turin est maintenant entrée dans une phase active avec le lancement de 4 milliards d'euros d'appels d'offres.
Il y a 4 ans et 84 jours

Le commerce veut un calendrier de réouverture des centres commerciaux et grands magasins

Dans un communiqué commun, l'Alliance du Commerce, Procos, le Conseil du commerce de France, et le Conseil national des centres commerciaux (CNCC) souhaitent que le gouvernement "indique rapidement aux entreprises" un calendrier de réouverture de tous les commerces", pour "éviter de fragiliser davantage des commerçants de toutes tailles et empêcher le risque d'effet domino qui ne manquerait pas de [survenir] dans tous les territoires, en cas de restructuration de chaines de magasins".Les centres commerciaux et commerces non alimentaires de plus de 20.000m² ont dû fermer à compter du 31 janvier. A l'heure actuelle, "après trois mois de fermetures en 2020 et une période de soldes décevante, les commerces portent un stock de marchandises important qui accroît les difficultés financières des entreprises, tant au niveau de niveau de leur trésorerie que de leurs marges".Face à ces difficultés croissantes, ces fédérations professionnelles veulent aussi connaître "les modalités des aides économiques qui seront mises en place", après l'annonce par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire que "les commerçants impactés seraient tous, sans exception, aidés à la hauteur des conséquences de cette fermeture", rappellent-elles.Car aujourd'hui, 25.000 grands magasins et commerces de centres commerciaux ont baissé le rideau et "de nombreux réseaux d'enseignes ont entre 30 et 75% de leurs magasins actuellement fermés dans les centres commerciaux", ce qui met aussi "en péril l'ensemble des industriels et fournisseurs" de ces derniers.De ce fait, soulignent les organisations patronales de commerçants, "plusieurs milliers de salariés se retrouvent sans activités et sans visibilité pour leur emploi". "La survie de milliers de magasins et de leurs emplois passe inévitablement par leur réouverture rapide", concluent-ils.
Il y a 4 ans et 84 jours

Salle de bains : un nouveau directeur de site pour Setma

CARNET-NOMINATION. Bruno Chiaretta est le nouveau directeur du site de La Ciotat de la société Setma, spécialiste de la production de baignoires et de spas pour la marque Kinedo, et aussi de broyeurs de WC et de pompes de relevage à usage domestique sous l'enseigne Watermatic.
Il y a 4 ans et 84 jours

La France souffre-t-elle d'une politique du logement "malthusienne" ?

LOGEMENT. Dans une note consacrée à la politique du logement en vigueur dans l'Hexagone, le groupe de réflexion des Gracques dénonce le "malthusianisme" pratiqué en la matière, et tire la sonnette d'alarme sur la "sinistralité" des chiffres de la construction. Quelques propositions sont avancées pour tenter de remédier à la situation.
Il y a 4 ans et 84 jours

Une extension de villa sur pilotis

Il y a 4 ans et 84 jours

Action coeur de ville : le préfet Rollon Mouchel-Blaisot livre quelques chiffres clés

BILAN. A une dizaine de jours de la publication d'un "bilan de mi-parcours" du programme Action coeur de ville, son directeur, le préfet Rollon Mouchel-Blaisot, confiant dans la réussite de celui-ci, livre quelques chiffres clés.
Il y a 4 ans et 84 jours

Vicat traverse la crise sanitaire et affiche une croissance en 2020

RESULTATS. Malgré la crise sanitaire, le cimentier Vicat dévoile des résultats en hausse sur l'ensemble de l'année 2020, marquée par des disparités géographiques.
Il y a 4 ans et 84 jours

RE2020 : le Serce invite à ne pas oublier la ventilation

QUALITÉ DE L'AIR. Le Serce insiste pour que les problématiques de la ventilation et de la qualité de l'air intérieur ne soient pas oubliées dans la réglementation environnementale 2020 (RE2020).