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Toute l'actualité du bâtiment

255296 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 85 jours

Vicat traverse la crise sanitaire et affiche une croissance en 2020

RESULTATS. Malgré la crise sanitaire, le cimentier Vicat dévoile des résultats en hausse sur l'ensemble de l'année 2020, marquée par des disparités géographiques.
Il y a 4 ans et 85 jours

RE2020 : le Serce invite à ne pas oublier la ventilation

QUALITÉ DE L'AIR. Le Serce insiste pour que les problématiques de la ventilation et de la qualité de l'air intérieur ne soient pas oubliées dans la réglementation environnementale 2020 (RE2020).
Il y a 4 ans et 85 jours

Comment réaliser un plancher avec des prédalles ?

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Prédalles mises en œuvre sur un chantier de bâtiment. [©Rector] 1 – En quoi consiste la construction de planchers à partir de prédalles ? Pour commencer, une prédalle n’est autre qu’une plaque de béton d’une épaisseur comprise entre 4,5 cm et 6,5 cm. Elle est préfabriquée en usine et se décline en deux variantes, en fonction de l’outil de production choisi par l’industriel du béton : armée ou précontrainte. Les deux techniques restent comparables dans l’utilisation finale du produit. Une prédalle peut être définie comme un élément coffrant présentant, en plus, des propriétés mécaniques et structurelles. Ainsi, elle participe à la résistance finale Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 85 jours

Cycle Up : Une plate-forme pour le réemploi des matériaux

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. La plate-forme Cycle Up met en relation acheteurs et vendeurs de matériaux de réemploi. [©Cycle Up] Le BTP représente environ 250 Mt de déchets sur une année. Soit 70 % de la “production” française. En même temps,  50 % de ces déchets échappent à toutes valorisations. Pour remédier à cette problématique, la start-up hexagonale Cycle Up propose de mettre en relation, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 85 jours

Le secteur du bâtiment demande des "mesures puissantes" pour relancer le logement neuf

En 2021, les permis pourraient de nouveau reculer à hauteur de 9,1% sur un an, selon un communiqué. "C'est une crise historique du logement neuf qui se profile", prévient la FFB."La brutalité de la crise qui frappe le logement neuf nécessite des mesures puissantes pour relancer les opérations et soutenir la demande", a estimé Grégory Monod, président du Pôle Habitat.Ce secteur "a été le grand oublié" du plan de relance du gouvernement, a-t-il déploré au cours d'une conférence de presse et il y a "urgence à agir" face au nombre de permis de construire qui "dégringole"En 2020, le marché de la maison neuve (en dehors des lotissements) a baissé de 8,5%, sous le poids de la crise sanitaire et "du durcissement des conditions d'octroi des prêts" il y a un an pour limiter le surendettement des ménages, selon la FFB.Le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), qui associe entre autres le ministère de l'Économie et la Banque de France, a finalement décidé en décembre d'assouplir ces règles limitant l'octroi de crédits immobiliers.Pour le logement collectif, la situation a été "catastrophique" avec des mises en vente qui ont baissé de 27,4% à 76.588 unités, selon l'organisation.Ce décrochage en 2020 est dû à la lenteur de l'instruction des autorisations d'urbanisme et de la signature des actes notariés en raison de la crise sanitaire, mais aussi, selon l'organisation, à "l'attentisme des élus locaux à l'approche des municipales et la remise en question, voire le gel, de nombreux projets par les nouvelles équipes".L'organisation voit en outre trois "écueils majeurs" en 2021: l'effet du durcissement des conditions des prêts immobiliers, celui des "surcoûts" engendrés par la nouvelle réglementation environnementale et les conséquences des mesures "en matière de lutte contre l'artificialisation des sols qui accentuent déjà la rareté foncière et donc l'offre de terrains constructibles et de logements abordables".
Il y a 4 ans et 85 jours

Logement neuf : Pôle Habitat-FFB s'attend à une année catastrophique, sur fond de RE2020

CONJONCTURE. La maison individuelle, à l'instar des autres segments de la construction neuve, a dévissé en 2020. L'année qui s'ouvre pourrait être celle d'une "crise historique", alors que les craintes sont vives sur la nouvelle réglementation environnementale. Grégory Monod s'est néanmoins montré optimiste sur certaines évolutions possibles de la RE2020, concernant le chauffage au gaz, notamment.
Cimbat
Il y a 4 ans et 85 jours

Tribune : Respirer à 45°

« Comment est-il possible que le monde animal fasse preuve de plus d’imagination, d’intelligence et de facultés ...En savoir plus Cet article Tribune : Respirer à 45° est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 85 jours

Un nouveau volet de la réforme RGE voit le jour avec 28 fiches de réception des travaux

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Pour faciliter la réception des travaux de rénovation dans un dialogue entre clients et artisans, le programme Profeel a publié 28 fiches pédagogiques disponibles gratuitement sur le site Faire.
Il y a 4 ans et 85 jours

Carbon8 Systems : De déchet à matériau

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Vicat a déjà accueilli un CO2ntainer sur le site de sa cimenterie Montalieu-Vercieu (38). [©ACPresse] La start-up britannique Carbon8 Systems utilise le dioxyde de carbone pour traiter les déchets industriels. Sa technologie CO2ntainer permet ainsi de recréer des produits pour le monde de la construction. Par exemple, au sein d’une cimenterie, l’outil conçu par Carbon8 Systems s’intègre directement dans le processus de fabrication pour capter le C02 présent dans les gaz de combustion. Au lieu de prendre des millénaires, le CO2ntainer accélère le processus de capture de CO2. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 86 jours

Chauffage : le biofioul ne semble pas vraiment avoir les faveurs du Gouvernement

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. Quelques temps après avoir lancé le développement du biofioul, agriculteurs, distributeurs, chaudiéristes et chauffagistes doivent faire face à l'entrée en vigueur, prévue le 1er janvier 2022, de l'interdiction des chaudières au fioul et au gaz dans le neuf comme dans l'existant. Sollicité sur le sujet, le Gouvernement réplique que les objectifs énergétiques de la France seraient plutôt incompatibles avec le combustible biologique.
Il y a 4 ans et 86 jours

Europ’Equipement : Une mini-centrale à béton de laboratoire

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Mini-centrale à béton de laboratoire signée Europ’Equipement. [©ACPresse] Le savoir-faire de l’industriel Europ’Equipement ne s’arrête pas aux centrales à béton et autres systèmes de distribution sur site. Ainsi, il y a Eureqa, l’automatisme orienté centraliers et opérateurs, qui permet de piloter les postes de production. Mais surtout, le spécialiste guérandais a développé une mini-centrale à béton de laboratoire prête à l’emploi. Posée sur un châssis autonome, elle s’articule autour d’un malaxeur à doubles arbres horizontaux de 100 l. Un outil mis au point et produit en interne. Au-dessus prend place une unité de stockage des matières premières. Cette dernière se divise en quatre cases. La première est dédiée au pré-mélange des granulats (sable + graviers). La suivante permet l’accueil du liant (ciment). La troisième est réservée à l’eau de gâchage. Quant à la quatrième et dernière, elle permet l’introduction des adjuvants. Comme toute unité industrielle de production de béton, la mini-centrale Europ’Equipement dispose d’un automatisme pour la piloter et intègre des sondes hygrométriques et de température. De quoi assurer la réalisation d’essais dans les règles de l’art et dans des conditions comparables à ce qui se passe sur une centrale de production de BPE. Compacte, l’unité est simple à manutentionner à l’aide d’un petit chariot élévateur manuel. Aujourd’hui, une mini-centrale à béton de ce type est en fonctionnement au sein du laboratoire de Béton Solutions Mobiles, à Lognes (77). Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 86 jours

Les nouvelles armes de BTP Consultants pour atteindre ses objectifs 2025

STRATÉGIE. Le groupe revoit son organisation et son actionnariat pour mener à bien son nouveau plan stratégique à dérouler d'ici à 2025. Avec des ambitions importantes en termes de croissance organique et externe.
Il y a 4 ans et 86 jours

Métropole Nice Côte d’Azur : le projet de ligne 4 du tramway passera en concertation publique jusqu’à fin mars 2021

La phase de concertation publique du projet de ligne 4 du tramway se déroulera jusqu’au 31 mars 2021 à Cagnes-sur-Mer, Saint-Laurent-du-Var et Nice.
Il y a 4 ans et 86 jours

Avec le télétravail, de plus en plus d'entreprises tentées par le "flex-office"

Avec ce mode d'organisation qui se veut plus collaboratif, le salarié n'a en principe pas de place réservée. Un casier lui permet en général de stocker ses affaires personnelles et des espaces dédiés (salles de réunion, "bulles"...) de s'isoler.Déjà pratiqué - surtout en Île-de-France - depuis des années, le "flex-office" va souvent de pair avec le télétravail et un nombre de places inférieur au nombre de salariés.Avec l'essor du travail à distance pour cause de Covid-19 et sachant que l'immobilier est le deuxième poste de dépense après la masse salariale, certains ont décidé de sauter le pas.Une PME parisienne dans la communication vient ainsi d'annoncer le regroupement de tous ses sites avec le "flex-office", rapporte un représentant du personnel à l'AFP.En contrepartie est négocié un nouvel accord de télétravail prévoyant des indemnités pour ceux qui ne viendraient plus au bureau. La direction met en avant une "modernisation" de l'organisation du travail, mais elle est "la grande gagnante" car "seul un tiers" des économies seront réinjectées dans l'entreprise, dit-il.Suez a signé de son côté après le premier confinement un accord télétravail à hauteur de deux jours par semaine pour les métiers éligibles. "On s'est dit +bien évidemment, on ne peut pas conserver des mètres carrés très chers (...) inoccupés deux jours par semaine+", explique à l'AFP la DRH, Isabelle Calvez.Le groupe a donc décidé de passer les 26 étages du siège à la Défense en "flex-office", pas pratiqué jusque-là. Il a rendu deux bâtiments loués, et la tour va passer de 2.200 à 3.000 personnes, avec 0,7 poste de travail par personne, un ratio "assez large", selon la DRH.L'idée est que les gens viennent au bureau "pour être ensemble", pas se "mettre dans un coin", dit-elle, mettant en avant l'aspect "collaboratif, convivial". Elle assure que les salariés ont réagi positivement car c'est "la contrepartie d'un accord télétravail qu'ils attendaient"."Horrible"D'autres groupes qui pratiquaient déjà le "flex", devraient poursuivre le déploiement avec le renforcement du travail à distance, à l'instar de la Société Générale ou Stellantis (ex-PSA).Sur la base d'une étude menée en octobre, Flore Pradere du cabinet immobilier JLL estime qu'"aujourd'hui, deux tiers des entreprises veulent accélérer leur recours au flex-office ou l'adopter".Avant-crise, "les pics moyens d'occupation dans les bureaux étaient de l'ordre de 60%" et avec un à deux jours de télétravail, "on va arriver à moins de 50%", estime Rémi Calvayrac du même cabinet. Il note que dans les projets flex actuellement, le ratio est en moyenne de 0,6 poste par salarié contre 0,8 avant crise ce qui n'est "pas très agressif", les entreprises étant "prudentes" alors que "les forces vives sont fatiguées".Mais alors que l'engouement pour le télétravail s'est érodé après des mois de crise, certains mettent en garde.Pour la députée LREM Carole Grandjean, le télétravail ne doit pas devenir un moyen de "réduire les coûts de l'immobilier pour des chefs d'entreprise", au risque d'une "perte de sens" pour les salariés.Mais pour Fabrice Angei (CGT), les entreprises ne se priveront pas, ayant "toujours une arrière-pensée de faire des économies" avec le télétravail. Malgré le principe de réversibilité, il anticipe qu'elles feront du "surbooking".Du côté des salariés, le flex-office n'a pas que des adeptes. Sophie (prénom modifié), cadre dans le conseil, trouve "horrible" ce système qu'elle expérimente depuis décembre.Avant, "j'avais ma cafetière, plein de posters, une superbe plante" dans un bureau individuel, rapporte-t-elle. Désormais, elle a un casier où stocker essentiellement "un mug avec notre nom dessus" et à la fin de la journée, c'est le "clean desk", il faut tout enlever.Elle déplore surtout la dépersonnalisation: symboliquement "ça veut dire qu'on est interchangeables", "on est juste un casier". Résultat, elle est "la plupart du temps" en télétravail.
Il y a 4 ans et 86 jours

Logiciels : Donner vie à la centrale

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Les logiciels d’aide à la production des bétons ne se limitent plus à piloter les automatismes des centrales. De la gestion des flottes en direct à la digitalisation des bons de livraison, en passant par l’analyse prédictive, ils sont un puits, encore sans fond, de gain de productivité. Amis : Une solution globale pour la préfabrication Arcade : Nouvelle version Command Alkon : Large choix Delta Automation : Pour toutes les installations d’un site Exxia : Nouveau venu Marcotte Systems : Solution complète RSAI : Nouvelle mouture Amis propose à ses clients Prefamis. Cet automatisme pour centrales à béton de préfabrication associe la robustesse sur les postes de production, à la puissance de l’informatique sur les postes de gestion déportés, à travers le logiciel Datamis. Dans les ateliers, les postes de production sont équipés d’automates programmables avec écrans tactiles industriels de marques réputées et internationalement distribuées. Dans les bureaux, Datamis est installé sur les postes de gestion (PC, serveur…) en réseau avec la production. Cette organisation permet la formulation des bétons, l’analyse complète de la production, mais aussi la traçabilité des alarmes de maintenance. Le logiciel Datamis est conçu pour s’intégrer pleinement avec les systèmes d’information (ERP). De son côté, Prefamis intègre la totalité des composantes de l’usine de production. Comme l’ensilage des granulats, les sécurités remplissages des silos, mais aussi la livraison béton par tout type de bennes-bus. Sans oublier, la maintenance, avec prise en main à distance par tablette. La solution globale Prefamis est aujourd’hui utilisée à la fois par des entreprises indépendantes et par des grands groupes de l’industrie du béton. La solution globale Prefamis permet la gestion de la production des sites de préfabrication.[©Amis] Le successeur du logiciel de laboratoire Wil se nomme Massia-Laboratoire.[©Arcade] Après le succès de Wil, Arcade a présenté son successeur Massia-Laboratoire, au cours de l’année dernière. Pour l’éditeur, 2020 a été remplie de projets. Qui ont enrichi ce logiciel de nouveautés fonctionnelles importantes. En collaboration avec Delta Automation, il propose désormais une solution clefs en main : de la conception des formules bétons jusqu’à la livraison sur chantier. En passant par le suivi production, le contrôle qualité et le suivi livraison. La gamme de logiciels Massia, c’est aussi Massia Labo Mobilité, l’application mobile qui permet de saisir les prélèvements et essais sur smartphone ou tablette. Massia #Portail qui partage les documents avec les clients et partenaires, et peut s’interfacer avec les logiciels et matériels. Le logiciel Wil continue cependant d’être maintenu et commercialisé, tout en gagnant en facilité avec son application “Mobilité”. Les progiciels Command Alkon s’appuient sur plusieurs modules, dont Conactive Process Control (CP) et Conactive Quality Control (CL). La solution d’automatisation Command Alkon CP a été, il y a peu, revue et modernisée. Permettant de gérer l’ensemble d’une centrale BPE, elle offre la possibilité d’améliorer la qualité de production et l’efficacité des opérations. Ceci, grâce à la visibilité constante offerte sur toutes les opérations de production. Le module CL est, lui, l’assistant intelligent du technicien de contrôle qualité. En un seul endroit, ce dernier pourra retrouver tous les outils nécessaires à la gestion des matériaux, les mélanges, les tolérances. Le tout avec les tests et les analyses disponibles sur une seule plate-forme. Et ce, afin d’optimiser les formulations en fonction des besoins de chaque coulée. Quant au Conactive Materials Manager, il permet de gérer l’approvisionnement en matériaux à travers la gestion des automates de transport. De son côté, et comme son nom l’indique, Maintenance Manager planifie les interventions de maintenance pour limiter les arrêts de centrales. Il offre aussi la possibilité de consulter le journal des tâches effectuées et l’ensemble de statistiques sur la centrale. Le BPE monégasque EMT vient d’opter pour la suite de logiciels Command Alkon. [©Command Alkon] Parmi les derniers arrivés sur le marché, Delta Automation cherche à se démarquer. Ceci, à travers son système Delta Mix. Ce sytème permet de suivre la production du béton, de l’édition du devis à l’inscription dans la comptabilité. En passant par la génération des bons de production, la fabrication de produits et la facturation. « Nos solutions évoluent en permanence, explique Pascal Parrain, gérant de Delta Automation. Nous proposons à nos clients un module générique, qui fonctionne pour toutes les entreprises. Si besoin, nous développons des solutions spécifiques à leurs problématiques. Nous nous demandons alors si cette réponse peut leur être utile. Dans ce cas-là, nous l’intégrons directement à notre logiciel général. » Pour se démarquer, Delta Automation embarque de l’intelligence artificielle pour l’analyse prévisionnelle des productions. Tout en intégrant des modules destinés aux silos, aux matériaux et aux bassins de décantation. Permettant de gérer l’ensemble des installations d’un site de production. Enfin, l’industriel travaille main dans la main avec Arcad [Lien]. Le but est d’inclure des solutions Delta dans la suite Arcade. Le logiciel Eazzy d’Exxia utilise l’intelligence artificielle pour réaliser des analyses prédictives. [©Exxia] Exxia est une société créée fin 2019, spécialisée dans la conception de progiciels pour la production et le contrôle du BPE. « Notre plate-forme web se nomme Eazzy et fonctionne pour les professionnels des granulats, du BPE, de la préfabrication ou de la construction routière, explique David Ortolan, président de l’entreprise. Il dispose d’un socle commun à toutes les entreprises, qui englobe le pilotage, l’administration des ventes, la gestion de la production, le contrôle qualité et la gestion de la logistique. En fonction des besoins, nous activons ou désactivons ces options. » Adopté en particulier par Béton Solutions Mobiles, Eazzy dispose de fonctionnalités de navigation spécifiques. « Nous intégrons la reconnaissance vocale, des interfaces tactiles mobiles, une messagerie interne, les plannings dynamiques ou encore le traitement graphique des données internes ou externes en temps réel. » Tout en projetant une grosse mise à jour en cours d’année, « nous travaillons à l’incorporation d’intelligence artificielle pour optimiser les coûts de nos clients. Grâce à l’analyse prédictive, nous pourrons orienter la production en temps réel, en jouant simultanément sur plusieurs variables comme la qualité, les ressources humaines, les ventes prévisionnelles, les disponibilités logistiques, l’anticipation du trafic ou encore la météo ». L’ensemble des solutions Marcotte Systems permet la gestion des centrales à béton, de leur flotte de véhicules et de leurs activités commerciales. Ainsi, le module Marcotte Batch permet d’ajuster la quantité de chaque constituant d’une formulation, même en pleine exécution de ce lot. Le tout, en préservant ses ratios clefs. Ensuite, Marcotte Dispatch comprend un ensemble de caractéristiques, qui allège beaucoup la tâche des agents techniques de production. Le contrôle de charge des centrales et d’occupation des véhicules, en temps réel, permet aux répartiteurs d’agir de suite sur leurs livraisons et d’assurer une qualité de service optimale. Puis vient Marcotte GPS & eTicket, qui donne un relevé des statuts et du positionnement, en temps réel, des camions, grâce à une simple application. Dans le même temps, la plate-forme web permet la digitalisation des bons de livraison. Enfin, avec Marcotte Insights, les utilisateurs ont accès à une plate-forme offrant des données clefs pour l’analyse des performances de livraison et d’exécution de la production. Ceci, pour effectuer d’éventuelles corrections ou prédire les futurs besoins, en lien avec le carnet de commandes. Les logiciels Marcotte Systems permettent la gestion et l’anticipation des besoins des centrales BPE.[©Marcotte Systems] Le logiciel RSA Dispatch vient s’ajouter à la suite de solutions de RSAI. [©RSAI] L’année 2020 a été celle du renouveau du site Internet de RSAI. Et du lancement d’une nouvelle mouture de son logiciel phare. Profitant d’une interface revue, le nouveau site Internet permet de composer rapidement le menu de ses besoins. Quant à la nouvelle version du logiciel, elle améliore la navigation de la suite, qui a déjà convaincu des entreprises dans huit pays francophones, en Europe et en Afrique. « Notre solution s’organise autour de plusieurs modules, dont le principal est RSA Beton, explique Rémi Gueugneau, responsable commercial BTP et carrière. Il s’agit là de la gestion complète des automatismes de la centrale, le tout via une interface épurée. RSA Gestion Commerciale permet d’éditer les devis, offres, factures avec des termes et des pratiques adaptés aux métiers de la construction. RSA Qualité centralise les choix en matière de formulation, de paramétrage et de gestion des droits, pour l’ensemble des centrales d’une même entreprise. RSA Demat permet aux chauffeurs d’envoyer des informations en direct sur leurs actions, aux clients d’obtenir des statistiques sur leurs différentes livraisons. Enfin, RSA Dispatch, complètement repensé avec une interface graphique intuitive, est un module de prise de commande pour le BPE et les granulats. Planifiant au passage les livraisons et la charge de travail des différents sites. » Sur la même base, RSAI propose des solutions pour la préfabrication et les carrières. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92
Il y a 4 ans et 86 jours

Les cœurs de villes moyennes ont la banane

Avec 2,1 milliards d’euros engagés au 31 décembre 2020 sur un programme qui en totalise 5, le directeur d’Action cœur de ville tient bon sa barre. A quelques jours de la publication d’un bilan à mi-parcours, le préfet Rollon Mouchel-Blaisot a exprimé son optimisme le 17 février au cours d’un atelier débat sur la revitalisation durable. « La nouvelle France que vous inventez nous apporte de la joie et de l’espoir », a salué l’ancien ministre de l’environnement Brice Lalonde, président d’Equilibre des énergies, organisateur de l’événement.
Il y a 4 ans et 86 jours

Val-de-Marne : Cibetec habille de blanc Villejuif

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Cibetec va produire 950 éléments préfabriqués pour le bâtiment Nova Aragon. [©Cibetec] L’entrée de ville Sud de Villejuif est en pleine transformation. Notamment avec le déploiement d’un nouveau pôle tertiaire, dont le bâtiment Nova Aragon. Qui sera l’un des éléments remarquables, avec ses 27 200 m2 de bureaux. Promo Gerim et le groupe Legendre, maîtres d’ouvrage, ont conçu les lieux en deux îlots de 12 200 m2 et 15 000 m2. Selon les recommandations HQE/Breeam, avec des plateaux modulables, un restaurant inter-entreprises, une salle de sport et un service de conciergerie. Pour une livraison chantier en 2022 Dans son dessin, l’agence d’architecture Thierry Lanctuit a mêlé surfaces vitrées et éléments préfabriqués en béton. Cibetec se charge de la conception des moules et de la préfabrication depuis novembre 2020, pour un chantier qui sera livré en 2022. Au total, ce sont 950 éléments qui vont être industrialisés. La commande comprend des voiles de façade en béton blanc brut, des bandeaux gris matricé, des bandeaux complexes, des casquettes, des linteaux gris, des modénatures de poteaux tronconiques, des encadrements, des panneaux d’habillage… Eléments les plus compliqués, les 90 poteaux tronconiques de 8 m de haut, une fois mis en place, recevront les corniches. Environ 75 de ces éléments sont des demi-sphères, le restant se répartissant entre un quart et trois quart de sphère. L’ensemble est produit sur le site Cibetec de Saint-Léonard, près de Reims. Dans le détail, du rez-de-chaussée au R+2, le bâtiment est équipé de poteaux, corniches et allèges. Le tout préfabriqué en béton matricé, imitation bambou. Les quatre niveaux suivant sont habillés de panneaux en béton gris matricé et blanc brut. Enfin, les deux derniers sont équipés de panneaux acrotères et de trumeaux double hauteur couvrant les deux étages d’un seul tenant. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
GDA
Il y a 4 ans et 86 jours

Le béton sur place et en quantité maîtrisée

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Avec son service Cub’Drive, CuBe livre les chantiers nécessitant des quantités de béton limitées. [©CuBe] La livraison du béton doit répondre à deux commandements principaux : être frais et respecter la quantité définie. Pour les plus gros chantiers, la problématique se résume à livrer la plus grande quantité, le plus tôt possible. Pour les plus petites opérations, le casse-tête est tout autre. Une commande de quelques mètres cube coûte “la partie non remplie” de la toupie. La plupart du temps, les petites commandes n’ont pas la priorité des centrales. Et les formulations sont parfois limitées pour les plus petites quantités. Du côté des centraliers, gérer les camions-plateaux qui viennent se servir sous la centrale n’est pas chose aisée. Enfin, les traditionnelles bétonnières ne sont pas toujours simples ou rentables à utiliser. A ces différents problèmes, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 86 jours

Des puces dans le béton

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Une simple puce RFID permet d’échanger une multitude d’informations, à l’aide d’un simple smartphone. [©Edycem] Qui a dit que le béton était un matériau inerte ? Jusque-là, les informations liées à la conception ou aux évolutions d’un béton coulé dormaient dans les boîtes d’archives de chacune des entreprises de la construction. Il fallait presque se muer en archéologue pour retracer l’histoire de certains chantiers. Mais, en plus d’être une simple matière grise, le béton est désormais doté d’un cerveau, ou plutôt d’une conscience, capable de raconter son histoire. C’est la puce RFID. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 86 jours

Rhône : Martel Groupe élargit son offre

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Martel Groupe a fait l’acquisition des entreprises Clivio TP et LMTS. [©Martel Groupe] Martel Groupe poursuit son développement, tant en matière de panel de métiers, que de géographie. En effet, l’entreprise lyonnaise a fait l’acquisition des sociétés Clivio TP et LMTS, appartenant à Fabrice Clivio. Spécialisées dans les travaux spéciaux et les fondations profondes (parois clouées, berlinoises, pieux), ces dernières opèrent respectivement en Bourgogne – Franche Comté et dans la région autour de Monaco. Avec 12 M€ de chiffre d’affaires annuel cumulé, ces deux acquisitions vont permettre à Martel Groupe de poursuivre la stratégie de diversification entamée depuis plusieurs années. Surtout, les nouvelles sociétés sont complémentaires des activités historiques du groupe, permettant d’apporter des synergies de métiers. Croissance externe « Ces acquisitions marquent un tournant dans notre modèle de développement et vient compléter notre position de multi-spécialiste du BTP, commente Lionel Martel, président de Martel Groupe. Clivio TP et LMTS apportent à Martel Groupe de nouveaux savoir-faire, complémentaires de nos métiers actuels. Ce qui va nous permettre d’améliorer encore l’accompagnement et la satisfaction de nos clients. » En 2019, le groupe Martel avait réalisé une levée de fonds auprès de Garibaldi Participations, Rhône – Alpes PME et Carvest. Ceci, dans l’objectif d’avoir les moyens de poursuivre ses projets de développement. Notamment par la croissance externe. « L’ensemble des partenaires investisseurs s’inscrit dans la réalisation de cette opération de croissance externe, indique Yvan Noble, directeur de participation chez Garibaldi Participations. Qui illustre la stratégie du groupe de diversification métier. Ceci, afin de maîtriser l’ensemble de la chaîne de valeur et de gérer pleinement les cycles économiques. » Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 86 jours

Saint-Gobain cède des activités de distribution en Espagne et en Italie

En Espagne, Saint-Gobain a finalisé la vente de Sanigrif (produits de plomberie, sanitaire et chauffage) et Saniplast (matériaux pour le génie civil), a-t-il indiqué dans un communiqué.Ces deux activités représentent ensemble une trentaine de magasins, 220 employés et un chiffre d'affaires cumulé de 90 millions d'euros.Saint-Gobain a d'autre part indiqué avoir cédé courant 2020 son activité de distribution en Italie, qui représentait un chiffre d'affaires de 15 millions d'euros.Au tout début de l'année 2021, le groupe a déjà annoncé être en négociations exclusives pour céder son activité de distribution aux Pays-Bas, qui représentait un chiffre d'affaires de plus de 520 millions d'euros en 2019.Par ailleurs en France, Saint-Gobain a engagé la vente de sa chaîne de magasins Lapeyre (équipement de la maison), qui emploie environ 3.500 salariés, au fonds allemand Mutares.
Il y a 4 ans et 86 jours

Situer et comprendre les coffrages

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. La Sateco Map permet à la marque de fluidifier ses problématiques de logistique. [©Sateco] Comme dans tous les domaines de la vie courante, les datas et les nouvelles technologies de l’information ont envahi le BTP, jusqu’au marché des coffrages. Toutes les marques travaillent à ajouter des solutions digitales à leurs matériels. Peri a fait le choix de la puce RFID, pour le moment limitée au coffrage de dalles Skymax. « Mais au fil du temps, la technologie sera déployée sur les accessoires de levage et sous la forme de QR-Codes pour les étais, explique Thierry Chancibot, directeur technique et marketing de la marque. A l’heure actuelle, les puces facilitent les échanges de documentation avec nos clients. En les scannant, ces derniers ont accès à la référence du produit, à son nom, à son mode d’emploi et au suivi des contrôles. » Mais les possibilités d’accès à l’information sont quasi-infinies et les options devraient se multiplier. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 86 jours

Services innovants autour du béton

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Le béton en libre-service : une tendance qui a le vent en poupe. [©Liebherr] Le béton, c’est de la matière grise, teinte que certains lui reprochent, car il rendrait son environnement triste… Ça se discute. Toutefois, ici, ce n’est pas de couleur, mais d’intelligence, dont il est question. Pas du matériau en tant que tel – quoique -, mais plutôt de son univers. En effet, si le béton a beaucoup évolué ces dernières décennies, il est en même temps resté très figé dans les habitudes des utilisateurs. Souvent faute de nouveaux services. Alors même que les besoins ont évolué, en parallèle de l’apparition de nouvelles technologies. L’impression 3D, appelée aussi “fabrication additive”, en constitue le plus bel exemple. Le n° 91 de Béton[s] le Magazine y était consacré… Ainsi, le numérique permet de faire bouger les lignes, en simplifiant l’accès au matériau. En quelques clics, on passe sa commande, puis on peut la suivre, en temps réel. Fini le coup de fil à la centrale pour demander : « Où est la toupie qui doit me livrer ? » Le numérique entre aussi dans la matière avec les puces RFID, qui permettent aux bétons de “raconter leur histoire”, via des applications ou des systèmes dédiés. Ces mêmes puces peuvent aussi se greffer sur le matériel, à commencer par les coffrages. De quoi simplifier la gestion des parcs, des stocks et le suivi au niveau de la maintenance. Qui peut le plus… Les petits volumes constituent une autre attente forte des professionnels, artisans en tête, comme des particuliers, bricoleurs avertis. Mais commander et venir chercher sous centrales de BPE quelque 250 l de béton, voire moins, est pour ainsi dire mission impossible. Si quelques industriels proposent malgré tout ce service, ils restent rares. D’où le développement de la distribution automatique du béton. Des mini-centrales, équipées de petits malaxeurs, permettent d’acheter du béton en “libre-service” ou presque, dans de très faibles volumes : 500 l en moyenne. Ces unités commencent à fleurir dans le paysage bétonnier français. Enfin, vient la variante “production sur place”. On ne parle pas de bétonnières de chantier, mais de malaxeurs mobiles matériaux, aptes à délivrer des petits volumes à la demande. Quelques BPE ont intégré de tels véhicules à leur parc. Pour toujours plus de services. Dossier réalisé par Yann Butillon, Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki Dans ce dossier, retrouvez : Le béton en deux temps trois clicsSituer et comprendre les coffragesDes puces dans le bétonLe béton sur place et en quantité maîtriséeBPE en libre-service Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92
Il y a 4 ans et 86 jours

Bas-Rhin : Kronimus au Conseil de l’Europe

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Kronimus a fourni près de 5 000 m2 de pavés City Truck pour le parvis du Conseil de l’Europe. [©Kronimus] Depuis 1977, le Palais de l’Europe trône au cœur du campus européen de Strasbourg. Il est aussi le siège du Conseil de l’Europe. Datant des années 1990, son parvis nécessitait une rénovation complète. Un projet confié à l’agence Denu & Paradon et suivi par David Wetterwald, chef de projet bâtiments au Conseil de l’Europe. Mais avant tout, un défi logistique. « Il fallait in extenso tenir les délais, malgré le trafic, explique Mario Arseto, architecte chez Denu & Paradon. Or, le Conseil de l’Europe est non seulement fréquenté par les agents qui y travaillent, mais aussi par le personnel et les diplomates des représentations permanentes, ainsi que par des groupes de visiteurs. » Il fallait donc rénover 5 000 m2 en moins d’un an. Le City Truck type E En neuf mois de travaux, quelque 5 000 m2 de pavés City Truck type E de Kronimus, de trois formats différents, ont été posés par Colas Est. D’une teinte granite gris moyen, rompant avec le précédent coloris porphyre lavé, iconique des années 1990, le City Truck type E est composé en partie de véritables pierres naturelles. « Bien qu’étant anti-dérapant, celui-ci révèle un aspect lisse, agréable à l’œil », indique David Wetterwald. Un aspect obtenu au moyen d’un traitement spécifique qui rend la surface à la fois grenaillée, poncée et brillante. La combinaison des différents formats (24 cm x 36 cm x 8 cm ; 24 cm x 42 cm x 8 cm et 24 cm x 48 cm x 8 cm) termine de composer une esthétique spécifique à ce lieu. Enfin, Kronimus a fourni 550 ml de marches-blocs gris granit rainurés avec pierres naturelles dans la masse. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 86 jours

Loire-Atlantique : Des panneaux sur mesure pré-équipés de réseaux fluides

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Smart Cast produit des panneaux coffrants sur lesquels sont imprimés les tracés des réseaux fluides et électriques, à noyer dans la dalle. [©Smart Cast] Pour pouvoir augmenter sa capacité de production, Smart Cast a fait l’acquisition de nouveaux locaux de 1 000 m2 à Thouaré-sur-Loire. Des locaux qui accueillent aussi une nouvelle fileuse automatique, conçue et fabriquée par LF Technologies de Saint-Hilaire-de-Riez. Ainsi, l’industriel a doublé ses capacités de production, pouvant désormais équiper dix logements par jour « Nous produisons des panneaux coffrants sur lesquels sont imprimés les tracés des réseaux d’électricité et de plomberie, explique Augustin Masurel, gérant de Smart Cast. Ainsi, sur le chantier, il devient simple de repérer les réseaux et d’assembler les panneaux en conséquence. » Cette solution exclusive, Smart Cast la commercialise sur tout le territoire français, ainsi qu’en Suisse. « Pour nous, l’export est une source de développement. Ceci, à travers les opportunités que nous offrent nos partenaires. » Un essor qui passe aussi par le recrutement. « Le recrutement de plusieurs collaborateurs a complété l’investissement dans nos lignes de production et dans de nouveaux locaux. Nous sommes désormais dix. Ce qui nous permet de concevoir des panneaux sur mesure, en fonction des besoins de nos clients. » Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 86 jours

Concours AMITER : agir pour la résilience des territoires

Le concours AMITER a pour ambition de concevoir un renouvellement urbain des sites exposés aux risques... Cet article Concours AMITER : agir pour la résilience des territoires est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 86 jours

100.000 œuvres transférées du Louvre au nouveau centre de conservation de Liévin de 18.500 m²

Le transfert d'un total de 250.000 œuvres et objets de toutes tailles devrait être achevé en 2024.Ce bâtiment de 18.500 mètres carrés traversé d'une grande nef avait été inauguré début octobre 2019. Il avoisine le Louvre-Lens, inauguré sept ans plus tôt, formant avec lui le deuxième pôle du premier musée français."Liévin est un outil au service du Louvre-Lens. Il y a une volonté que les collections nationales ne soient pas toutes à Paris", a expliqué le président-directeur du Louvre Jean-Luc Martinez lors d'une visite de presse dans le centre.Eclairés par des baies vitrées, 1.300 mètres carrés sont réservés aux chercheurs pour la consultation des œuvres. Fin mars, les collections auront été mises en ligne à plus de 80%, soit 480.000 notices d'œuvres sur un total de 550.000.Après avoir remarqué une œuvre sur le site, avec la documentation qui s'y rattache, "un chercheur d'Oxford ou un étudiant en thèse pourra demander à venir l'étudier". Cet outil est "un pas de géant dans la connaissance des collections", a souligné le patron du Louvre.9.600 mètres carrés sont dédiés à la conservation, dans des espaces adaptés aux différents formats, tapis, lapidaires, peintures, cadres, etc... Certains tableaux ou tapisseries de par leur taille n'ont jamais été déroulés depuis des décennies.La peur des inondations des réserves après les grandes crues de la Seine comme en 1910, et, dans une moindre mesure en 2016, avait conduit à cette décision d'externalisation.Une réserve dite "tampon" de 1.700 œuvres reste dans le sous-sol du Louvre, répondant aux besoins des conservateurs pour renouveler les accrochages.35.000 œuvres sont exposées à Paris et 35.000 autres en province.Le Musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg a procédé de la même façon à une externalisation de ses collections, et plusieurs musées des Pays-Bas sont en train de le faire.
Il y a 4 ans et 86 jours

Les rupteurs de ponts thermiques

Le rupteur de ponts thermiques Isotec RT+ répond aux besoins croissants de réduire la consommation d’énergie des logements. [©Plaka] Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Placés au bon endroit, les rupteurs de ponts thermiques sont les amis des occupants d’un bâtiment. Ce sont eux qui permettent d’optimiser les performances techniques, en “comblant” les espaces où le froid et la chaleur peuvent s’immiscer. Structurels, non structurels, maçonnés ou encore parasismiques… Il existe une large offre selon le projet et la problématique du chantier. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 86 jours

Reprise des déchets du BTP : « Il ne faut pas casser le modèle », Bernard Sala, président de Routes de France

Le président de Routes de France revient sur l'étude de préfiguration de l’Ademe portant sur l’organisation des filières de responsabilité élargie des producteurs (REP) et qui prévoit la gratuité du dépôt des déchets inertes dans les centres de recyclage.
Il y a 4 ans et 86 jours

Bondoufle : construction de 171 logements dans la zone d’aménagement concerté « Le Grand Parc »

Plusieurs actes de vente ont été signés dans le cadre du projet de construction de 171 logements au sein du quartier « Le Grand Parc ».
Il y a 4 ans et 86 jours

Le béton en deux temps trois clics

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. De plus en plus d’industriels du béton proposent des services digitaux pour la commande, le suivi et la livraison de matériaux. Ici, Digibéton d’Eqiom. [©Eqiom] Aujourd’hui, en deux temps trois clics, vous avez la possibilité de vous faire livrer ou de commander en “Click & Collect” toutes sortes d’objets et de produits. Avec la transition digitale, le e-commerce a fait une ascension fulgurante. Et les différents confinements ont accéléré la cadence de certaines enseignes, qui ont décidé de fermer des boutiques en faveur de la vente numérique. Le monde du bâtiment ne déroge pas à la règle. Les sites de e-commerce dédiés aux professionnels du secteur ont le vent en poupe, même si les négoces restent toujours très fréquentés1. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 86 jours

L’UMGO-FFB et WorldSkills France s’unissent

De gauche à droite : Christophe Possémé, président de l’UMGO-FFB, et Armel Le Compagnon, président de WorldSkills France. [©UMGO-FFB] WorldSkills France et l’UMGO-FFB s’unissentpour promouvoir les métiers du gros œuvre et de la maçonnerie. Ainsi, Christophe Possémé, président de l’UMGO-FFB, et Armel Le Compagnon, président de WorldSkills France, ont signé une convention dans ce sens, encadrant un appel à financement participatif. Cette convention a pour objectif de financer les actions de promotion des métiers du gros œuvre et de la maçonnerie dans le cadre des compétitions WorldSkills en France. Ainsi, l’Union veut mobiliser son réseau en faveur d’une jeunesse qualifiée. Dont les compétences sont des ressources précieuses des entreprises. Les compétitions WorldSkills, véritable vitrine des métiers Ces dernières pourront ainsi faire un don défiscalisé à hauteur de 60 %, afin d’assurer la promotion de leurs métiers et le recrutement pérenne de jeunes maçons français. « Les compétitions WorldSkills sont une véritable vitrine de nos métiers. Nos champions maçons, constructeurs en béton armé et tailleurs de pierre sont nos porte-paroles pour donner envie à des milliers de jeunes. Ceci, à l’image des sportifs, de rejoindre la grande famille de la maçonnerie et du gros œuvre. Mettons-les en avant pour promouvoir nos métiers et assurer la relève ! », souligne Christophe Possémé. Et Armel Le Compagnon, de conclure : « La mise en valeur des métiers fait partie de notre ADN, de nos missions. Pour hisser la France dans le Top 5 des nations à l’horizon 2024, il nous faut mobiliser tous les moyens nécessaires pour permettre l’accompagnement de ces jeunes et leur montée en compétences. Il nous faut dans cette lignée continuer à impliquer l’éco-système autour des jeunes et des métiers. Et notamment être au plus près des entreprises pour préparer ensemble les compétiteurs de demain ».
Il y a 4 ans et 86 jours

Coup d’envoi de la création de l’écoquartier de la ZAC de la Remise à Voisins-le-Bretonneux

Voisins-le-Bretonneux : la construction de l’écoquartier de la ZAC de la Remise est lancée.
Il y a 4 ans et 86 jours

Villeneuve-le-Roi : le nouveau collège Georges-Brassens sera terminé d’ici 2023

Le collège Georges-Brassens, à Villeneuve-le-Roi, sera totalement réhabilité d’ici 2023.
Il y a 4 ans et 86 jours

Hendaye : de nombreux chantiers en cours

Dans les Pyrénées-Atlantiques, la commune d’Hendaye démarre l’année par la réalisation de plusieurs chantiers.
Il y a 4 ans et 86 jours

Apax Partners et Bpifrance en négociations exclusives pour entrer au capital du Groupe BTP Consultants

L'équipe de management emmenée par Roland Le Roux, nommé Président du groupe et Jean-François Baron, Président de l'entité BTP Consultants, investit significativement dans cette opération. La finalisation de l'opération reste soumise à l'approbation des autorités de la concurrence.Fort du soutien d'Apax Partners et de Bpifrance, le Groupe BTP Consultants ambitionne de poursuivre sa croissance organique et de déployer une stratégie d'acquisitions ciblées. Pour ce faire, l'entreprise entend appuyer son développement en régions et sur des segments à fort potentiel de croissance tels que le BIM (« Building Information Modeling »), l'industrialisation de la construction, la rénovation énergétique, le diagnostic immobilier ainsi que d'autres activités complémentaires. Apax Partners, l'un des leaders du private equity en Europe, accompagne actuellement 22 entreprises et dispose de 4 milliards d'actifs sous gestion, pour un savoir-faire reconnu d'excellence qui sera mis au profit de l'expansion du Groupe BTP Consultants, dès son entrée au capital de la société.Spécialiste du secteur des TIC (« Testing, Inspection et Certification »), le Groupe BTP Consultants s'est imposé comme référent technique des acteurs du bâtiment et de la conception des projets de rénovation. Créé en 1996, le Groupe BTP Consultants propose une offre complète de services de contrôle technique pour la construction, la coordination SPS (« Sécurité et Protection de la Santé »), les diagnostics immobiliers et l'assistance à maîtrise d'ouvrage, ainsi que des prestations liées au BIM.Le Groupe BTP Consultants emploie plus de 500 collaborateurs à travers un réseau de 24 agences en France. Avec près de 60 millions d'euros de chiffre d'affaires et plus de 6000 clients au sein de son portefeuille, le groupe est un acteur national majeur et détient une position de leader en Île-deFrance sur ses cœurs de métier. « Nous franchissons une étape importante dans la transmission progressive du Groupe à son management. Je suis fier du travail accompli par l'ensemble des collaborateurs du Groupe BTP Consultants et certain que le savoir-faire des investisseurs et de la nouvelle équipe dirigeante lui permettra de poursuivre sa croissance basée sur la culture client et l'innovation. » souligne Patrick Vrignon, fondateur et Président du conseil de surveillance du Groupe BTP Consultants.Roland Le Roux, nouveau Président du Groupe BTP Consultants, Jean-François Baron et Rony Chebib, respectivement Président et Directeur Général de BTP Consultants, se félicitent de cette opération: « Avec l'entrée au capital de nouveaux actionnaires, nous nous donnons les moyens de renforcer la stratégie de développement du Groupe. Apax Partners et Bpifrance partagent avec nous une véritable ambition de leader sur nos marchés ainsi qu'un socle de valeurs communes qui confère au Groupe BTP Consultants toute sa singularité. »Isabelle Hermetet et Raphaël Bazin, Associée et Directeur chez Apax Partners, précisent : « Dans un secteur que nous connaissons bien, le Groupe BTP Consultants a bâti une position d'acteur majeur en s'appuyant sur la compétence de ses collaborateurs et la qualité de ses prestations. Nous sommes ravis d'accompagner Roland Le Roux et ses équipes dans cette transmission qui s'inscrit dans une continuité très entrepreneuriale et sommes impatients d'apporter notre expertise pour contribuer à la poursuite du développement du groupe. »Francis Estellat, Directeur d'investissement sénior chez Bpifrance, ajoute : « Nous sommes impressionnés par la trajectoire de croissance du Groupe BTP Consultants, son équipe de management et sa forte culture entrepreneuriale et d'innovation. Fort d'une solide réputation, le groupe bénéficie d'un excellent savoir-faire construit au fil des années par ses équipes. Nous sommes très heureux de pouvoir accompagner le management dans sa stratégie ambitieuse de croissance et de consolidation. »Intervenants de l'opération :Apax Partners Development : Isabelle Hermetet, Raphaël Bazin, Paul CarrincazeauxBpifrance Investissement : Francis Estellat, Quentin AudibertConseils Acquéreur :Avocat Corporate : Hogan Lovells (Stéphane Huten, Arnaud Deparday, Alexandre Giacobbi, Pierre Faure)Avocat Financement : Hogan Lovells (Alexander Premont, Luc Bontoux)Avocat Fiscaliste : Hogan Lovells (Ludovic Geneston, Thomas Claudel)Avocat Social : Chassany Watrelot & Associés (Julien Boucaud-Maitre)M&A: Capitalmind (Michel Degryck, Christopher Martin)Due diligence financière : Odéris (Aurélien Vion, Eddy Chagué, César Mullet, Matthieu Cocciantelli)Due diligence commerciale : EY-Parthénon (Gianluigi Indino, Adrian Bocher, Elhoussein El Beghdadi)Due diligence assurance : Marsh (Margaux Rocher, Audrey Levy-Corcos, Charline Bretagne)Conseils Cédants :M&A : Sodica Corporate Finance (Thomas Lafont, Bastien Robert, Guillaume Queyrat)Conseil juridique : Coblence Avocats (Alexandre Brugière et Barbara Chapron)Conseil juridique managers : Jeausserand Audouard (Elodie Cavazza et Maxime Aps)Conseil financier managers : Natixis Wealth Management (Benjamin Lobel)Dette :Idinvest Partners (Nicolas Nedelec, Olivier Sesbouë, Audrey Silber)
Il y a 4 ans et 86 jours

« Chacun son métier, il n'y aura pas de fusion de compétences» Pierre Anjolras, président du nouveau pôle Vinci Construction

Un nouveau pôle regroupant Eurovia et Vinci Construction doit permettre de renforcer les synergies sur des projets de toute taille.
Il y a 4 ans et 86 jours

Autoroute A9 : Le viaduc de Roquemaure rénove ses fondations

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Les travaux de rénovation des fondations du viaduc de Roquemaure sont opérés à partir de barges et de pontons. [©ACPresse] A hauteur de Roquemaure, dans le Gard, l’autoroute A9 franchit le Rhône. Le chemin départemental 976 suit la même trajectoire, en aval, tout comme le viaduc de la ligne LGV Sud-Est, positionné en amont. Soit une concentration de trois ouvrages d’art sur la même zone. Et pour ne rien gâter, le secteur est classé “Natura 2000”… Ainsi, de nombreux reptiles, dont le lézard des murailles, protégé, vivent sur les berges du fleuve. Afin d’empêcher toute intrusion de la faune sur les zones de travail, la base-vie a été clôturée dans sa totalité, avec mise en place d’un géotextile dans la partie basse du grillage. Son emprise a aussi été millimétrée pour tenir compte de la présence de pieds d’Aristoloche, la plante-hôte de la Diane, un papillon lui aussi protégé. De son côté, le fleuve n’a pas échappé, non plus, à des mesures Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 86 jours

Carbon8 Systems : De déchets à matériaux

Vicat a déjà accueilli un CO2ntainer sur le site de sa cimenterie Montalieu-Vercieu (38). [©ACPresse] La start-up britannique Carbon8 Systems utilise le dioxyde de carbone pour traiter les déchets industriels. Sa technologie CO2ntainer permet ainsi de recréer des produits pour le monde de la construction. Par exemple, au sein d’une cimenterie, l’outil conçu par Carbon8 Systems s’intègre directement dans le processus de fabrication pour capter le C02 présent dans les gaz de combustion. Au lieu de prendre des millénaires, le CO2ntainer accélère le processus de capture de CO2. Quant aux poussières, elles sont récupérées en sortie de four, puis mises en stock avant d’être acheminées jusqu’au petit silo rattaché au CO2ntainer. En effet, les déchets industriels se composent de sel de calcium et de magnésium. Ces derniers réagissent de façon naturelle au CO2. Les conteneurs de la start-up traitent en même temps les diverses contaminations présentes dans les déchets. Ainsi, les résidus restant peuvent ensuite être compactés pour former des granulats. Donc un nouveau matériau, issu des déchets industriels. Depuis le mois de septembre 2020, Vicat accueille un CO2ntainer sur le site de sa cimenterie Montalieu-Vercieu (38). Un site test, qui pourrait se dupliquer dans d’autres usines…
Il y a 4 ans et 86 jours

Des jouets pour les grands

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. [©ACPresse] Il y a toujours deux écoles : OM ou PSG, Rolling Stones ou Beatles, Serpentard ou Gryffondor, Playmobil ou Lego. L’idée n’est pas de débattre pour savoir qui a raison ou qui a tort car, à vrai dire, il n’y a pas de bonne réponse. Dans ce contexte, ne reste qu’une chose à faire : s’intéresser aux Lego ! Mais pas à n’importe lesquels, ceux “réservés” aux grands. En effet, le fabricant danois, inventeur de ces petites briques colorées, a su capter l’air du temps, en ramenant à lui, les adultes nostalgiques. Une bonne excuse pour certains de se remettre à jouer. Et si, en plus, c’est avec un camion, le bonheur peut être total. Au début de l’automne 2020, Lego a ainsi sorti ce qu’il appelle “le camion bétonnière”. Autrement dit, une toupie. La maquette n’est pas anodine, puisque la boîte contient quelque 1 163 pièces. De quoi s’occuper pendant plusieurs soirées… Une fois achevée, le véhicule tient un peu de place : 40 cm de long pour 20 cm. Il est pleinement fonctionnel : la cuve tourne, entraînée par le mouvement des roues et via une petite manivelle. On peut ainsi vidanger son contenu. Saisissant de réalisme, même si cette maquette n’est pas en mesure de transporter 8 m3 de béton ! Côté BTP, Lego ne s’est pas arrêté à la toupie, proposant aussi un dumper articulé 6 x 6 Volvo A60H. Ou la très imposante pelle minière Liebherr R 9800 (et ses 4 108 pièces). Enfin, il y a aussi la magnifique ligne “Architecture”, qui passe en revue les réalisations emblématiques à travers le monde. Tels l’Empire State Building, la Burj Khalifa. Ou enfin, les reproductions de villes comme Paris, Londres, Tokyo, San Francisco. A chacun de faire son choix. Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 86 jours

L’UFL met à jour son guide d’achat des grues mobiles

L’UFL met régulièrement à jour son guide d’achat des grues mobiles. [©UFL] L’Union française du levage (UFL) est un organisme engagé depuis ses débuts dans la promotion des solutions conformes à la réglementation routière. Pour cela, l’UFL met en œuvre régulièrement une analyse comparative des grues mobiles disponibles sur le marché. Les équipes de l’UFL se servent de la documentation fournie par les concepteurs. Le premier guide d’achat est sorti en 2019. Son actualisation permet aux professionnels du secteur du levage d’être au courant des dernières nouveautés ou innovations. Le nouveau guide propose une liste des grues selon plusieurs critères : la longueur de la flèche, le poids total, la configuration pneumatique, ainsi que les équipements possibles à embarquer. Un guide des grues mobiles pour les professionnels du levage « Ce guide d’achat, ainsi que le précédent, démontrent que les constructeurs fabriquent des matériels permettant de rouler conformément à la règlementions routière. Les professionnels du levage n’ont plus d’excuses et pas le choix. Ils doivent circuler en conformité avec la réglementation. Il n’y a ainsi que des avantages pour nos prestations et pour garantir toute atteinte à la responsabilité de nos chefs d’entreprise »,déclare Michel Licausi, président de l’UFL. Le travail des équipes pour réaliser ce guide n’est pas exhaustif. En effet, les options proposées par les constructeurs sont nombreuses. Le guide d’achat recense les matériels les plus courants et les plus utilisés sur le marché. Ce document a aussi un deuxième rôle, qui est de sensibiliser les professionnels aux réglementations en vigueur. Les équipes de l’UFL souhaitent rétablir une concurrence loyale pour le secteur du levage.   Charline David