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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 4 ans et 83 jours

Construire un cinéma en pleins crise sanitaire comme un pied de nez au Covid

La France compte un parc de 2.000 cinémas unique au monde par sa densité, et en 2020, 22 cinémas ont ouvert leurs portes, malgré les mois de rideau baissé.Cette année, en dépit du manque de perspective après plus de 100 jours de fermeture des salles, des projets de rénovation ou de construction se poursuivent un peu partout, du Lavandou (Var) au quartier de l'Opéra à Paris en passant par Givors (Rhône).A Romorantin, c'est l'effervescence sur le chantier du Ciné Sologne: ballet des chariots élévateurs, montage de cloisons... le futur complexe doit être prêt pour la fin mars. Il viendra prendre le relais du Palace, la salle historique du centre-ville.Avec le centre culturel ou l'escape game qui a ouvert en centre-ville, le cinéma, classé art et essai et qui programme blockbusters comme films plus pointus, est l'un des pôles d'animation de cette sous-préfecture de 17.000 habitants, sur les rives paisibles de la Sauldre.A une heure de voiture de Tours, de Bourges ou d'Orléans, la ville a connu "trois tsunamis", depuis les années 2000, retrace le maire Jeanny Lorgeoux: la fermeture de l'usine automobile Matra, qui employait 2.200 personnes, une grande crue avec plus de 500 évacuations, et maintenant le Covid...Dans ce contexte, "le cinéma, c'est un bien culturel fantastique" nécessaire "pour que la ville se perpétue", ajoute l'édile, aux commandes depuis 1985 et qui a tout fait pour favoriser l'installation du nouveau complexe."Dans les petites sous-préfectures, le cinéma c'est le lien intergénérationnel parfait", ajoute l'élu, et c'est aussi là que se croisent ce qu'il reste de la classe ouvrière, dans cette ancienne terre industrielle, et les plus aisés, qui vivent de "l'économie de château" et de la chasse, spécialité de la zone.Pour la ville, c'est aussi "un levier économique et d'attractivité. Si on s'en privait, ce serait catastrophique"."Repartir de zéro"Pourtant, le Palace, qui attirait chaque année 70.000 spectateurs, "n'était plus vraiment aux normes de confort actuelles", reconnaît le patron des lieux, Francis Fourneau.L'ancien cinéma, construit dans les années 1970 et resté dans son jus avec ses murs jaunes pastels, est promis à la fermeture. Le Palace était de toute façon à l'étroit dans son bâtiment historique du centre-ville."Après cette pandémie, il faudra retrouver les spectateurs un par un", anticipe cet exploitant, et "ce ne sera pas plus mal de repartir de zéro", avec un lieu flambant neuf. Tant pis pour le cachet des ruelles médiévales qu'a parcouru jadis François 1er, c'est à côté d'un ancien hypermarché, dans la zone commerciale accessible en voiture, que se construit le nouveau projet.Et pour rivaliser avec les multiplexes des grandes villes ou le streaming, il faut investir dans des fauteuils de plus en plus confortables et des écrans géants, 16 mètres de long pour la plus grande des cinq salles du futur Ciné Sologne.Le chef d'orchestre de ces travaux à 2,8 millions d'euros, c'est Cédric Aubry, qui s'est fait une spécialité de construire des cinémas dans de petites villes, considérées comme pas assez rentables par les gros réseaux.La pandémie ? "Ce n'est pas une raison de renoncer", tranche-t-il sur le chantier de Romorantin, tout en traquant sur le chantier les défauts d'étanchéité de la structure de métal et de béton, avant l'installation des 600 fauteuils."Il faut créer du public, attirer les gens qui se disent +j'irais bien au cinéma+, mais qui voient le petit ciné local et se disent +je laisse tomber+" explique M. Aubry.Une façon, selon lui aussi, de répondre "modestement" au message "sur l'abandon des territoires" formulé pendant la crise des "gilets jaunes". Et à l'en croire la recette a tout pour réussir: le cinéma qu'il a refait à Varennes (Meuse) est passé en quelques années de 80.000 à 200.000 spectateurs, et celui de Sens (Yonne) de 100.000 à 300.000 spectateurs.
Il y a 4 ans et 83 jours

Vinci – Leonard : La marche en avant

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Promotion 2021 programme IA. [©Leonard] Depuis près de quatre ans, l’incubateur Leonard du groupe Vinci explore et contribue à l’émergence de nouveaux marchés et innovations. Que ce soit dans le domaine de la construction, de la mobilité ou encore de l’énergie et de l’immobilier. Il propose quatre programmes ouverts aux start-up, aux entreprises et aux entités et collaborateurs de Vinci. Il fonctionne de manière autonome, tout en stimulant les synergies apportées par ces acteurs avec les activités du groupe. « Le programme Seed est inspiré de Y Combinator1, explique Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Le programme est ouvert aux start-up et entreprises en phase de prototypage. » Seed comprend un accompagnement d’experts Vinci, une certification de l’université de Stanford, un apport en capital à hauteur de 30 000 € et une mise en relation avec des investisseurs. Mais aussi, un hébergement dans les locaux parisiens de Leonard. Soit 1 500 m2 de coworking et 3 000 m2 de bureaux. « Pour Seed, nous avons plusieurs missions qui s’enchevêtrent. Nous souhaitons être la marche manquante dans l’accompagnement de ces start-up. Et même si c’est un risque d’investir dans ce type d’entreprises, nous nous y retrouvons en étendant nos savoir-faire. En 2020, 150 start-up ont postulé au programme. » De son côté, le rôle du programme Catalyst est de repérer des entreprises innovantes en hyper-croissance, mais qui ne sont pas encore déployées à grande échelle. « L’idée est de les accompagner vers le haut et de maximiser les chances de collaboration avec les entités de Vinci. » Des programmes spécifiques Le parcours Intrapreneurs s’intéresse au développement de projets à l’initiative des collaborateurs du groupe. Il permet de faire émerger de nouvelles activités. Enfin, le programme IA se concentre, comme son nom l’indique, sur l’intelligence artificielle. Et a pour ambition d’accélérer l’utilisation de cette technologie dans les métiers de la construction, des opérations des bâtiments et des infrastructures. « Nous contribuons à une multitude d’initiatives pour partager notre voix et faciliter le recrutement à nos programmes. » Par exemple, Leonard co-organise avec Cemex Ventures la plus grosse compétition de start-up au monde. L’incubateur travaille aussi avec les incubateurs des écoles, un réseau de partenaires ou organise des échanges… Cette année, Leonard accueille donc une nouvelle promotion d’acteurs pour chacun de ses programmes. Promo 2021 Pour cette promotion 2021, Leonard a sélectionné 44 nouvelles entreprises. « Les trois grandes thématiques choisies pour cette année, sont l’environnement, la sécurité et la mobilité », détaille Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Parmi les entreprises sélectionnées, la start-up SustainEcho intègre Seed. Elle propose une solution d’automatisation du bilan carbone. Le Canadien Carbon Upcycling Technologies rejoint, quant à lui, Catalyst. L’industriel développe une technologie d’utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2… En résumé, les entreprises participantes aux différents programmes rassemblent des projets autour de : – L’automatisation des opérations de construction et d’exploitation (robotique, cobotique), – Du monitoring à distance des chantiers et des infrastructures (drones, satellites), – La maintenance prédictive, mais aussi d’aide à la conception et au pilotage de projets (design paramétrique, échéancier…), – Des plates-formes collaboratives de gestion de projets et de sourcing de matériaux, – L’optimisation de l’efficacité énergétique et de réduction de l’impact environnemental des projets. 1Entreprise californienne qui apporte un capital de base, du conseil et de la mise en relation aux start-up durant ses premières phases. Les lauréats du programme Seed : PaintUp robotise les tâches pénibles et dangereuses liées au traitement de façade. Les premières applications commercialisées sont le nettoyage et la peinture jusqu'à 30 m de hauteur. Les solutions d’Orok se concentrent sur l’automatisation des opérations sur le tarmac des aéroports. Et ce, grâce à un système complet, composé d’une flotte de véhicules autonomes et d’un serveur de supervision. SustainEcho accompagne les organisations et les projets qui veulent engager ou renforcer leur démarche environnementale, en proposant une solution d’automatisation du bilan carbone. Tellux développe des solutions d'analyse et de détection rapide de la pollution dans les sols et sédiments par imagerie hyper-spectrale. Roomies réalise une plate-forme SaaS de collaboration et de gestion de projets à destination des architectes. Caeli Energie conçoit et fabrique de climatiseurs à forte efficacité énergétique et à très faible empreinte carbone pour les bâtiments résidentiels et le petit tertiaire. Rockease est une plate-forme en ligne, permettant de trouver la meilleure offre, de commander et de gérer la livraison de granulats sur chantier. Lokimo analyse et centralise des millions de données grâce à l'Intelligence artificielle, afin d'aider les professionnels de l'immobilier à identifier rapidement des zones à haut potentiel. Neoratceh développe des équipements de protection individuelle connectés pour les techniciens intervenant sur les réseaux électriques. Les lauréats du programme Catalyst : AI clearing (Pologne) travaille sur une plate-forme de suivi d’avancement de travaux d’infrastructures, basée sur des données géospatiales et alimentée par l’intelligence artificielle. Voyage Control (Royaume-Uni) est une solution logicielle destinée à améliorer la logistique de la construction et la gestion de la chaîne d'approvisionnement. Elle permet de rationaliser les processus, de renforcer la sécurité et de protéger l'environnement. vHive (Israël) est un logiciel qui permet aux entreprises de déployer des essaims de drones autonomes pour numériser leurs actifs et leurs opérations sur le terrain. Notamment pour l’inspection des tours télécoms, des grues, des façades et plus largement de tout type de constructions ou d’ouvrages d’art. Eave (Royaume-Uni) a développé un système complet de protection auditive pour les travailleurs de la construction, composé de protecteurs auditifs intelligents. Ils favorisent la conscience de leur environnement immédiat. Le système est renforcé d’une plate-forme en ligne pour surveiller les niveaux de bruit du chantier et l'exposition individuelle des travailleurs. Carbon Upcycling Technologies (Canada) développe une technologie d'utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2. Viibe (France) est une technologie d'assistance audio/vidéo sans téléchargement, dédiée aux centres de support technique assurant un diagnostic expert à distance. Infogrid (Royaume-Uni) combine les plus petits capteurs IoT du monde et la puissance de l’intelligence artificielle. Le tout dans le but d’optimiser et d’automatiser la gestion des bâtiments. Offrant ainsi un gain de temps, d’argent, de protection de l'environnement, tout en améliorant la sécurité. nPlan (Royaume-Uni) aide les entrepreneurs à identifier, prévenir et anticiper les retards dans les grands projets de construction, en s’appuyant sur l’analyse de plus de 500 000 plannings de construction. La solution permet ainsi d’identifier les risques de retard sur les projets pendant l'appel d'offres et l'exécution, en formulant des recommandations pour les livrer dans les délais. Utilis (Israël) offre des solutions d'évaluation et de surveillance des infrastructures, basées sur l'analyse satellite “L-band Sar.”. Plus spécifiquement dans les secteurs de l’approvisionnement en eau et des infrastructures de transport. Omniflow (Portugal) est un lampadaire IoT intelligent alimenté par l'énergie éolienne et solaire, qui propose des solutions durables pour les villes intelligentes. Ils alimentent des services à forte valeur ajoutée, tels que des cellules 5G, des caméras de sécurité ou des capteurs IoT. Les lauréats du parcours intrapreneurs : Carapace (France) développe des solutions de monitoring des digues. Aval Portal (Allemagne) conçoit une plate-forme Saas qui numérise le processus d'élimination des déchets, en facilitant l'échange de données entre les entreprises industrielles et les sociétés de gestion des déchets. Digital Ummspannwerk (Allemagne) travaille sur des solutions de numérisation des sous-stations pour améliorer la sécurité. Patou Data (France) développe un outil de prévention du risque environnemental, en collectant et en analysant les données en temps réel sur les sites de construction. H2 Free (France) imagine des solutions de construction d'infrastructures pour la production et le stockage d'hydrogène. CO2 Footprint App (Allemagne) est une application de calcul d'empreinte CO2 pour les employés. Greenwatt (France) propose une offre de travaux d'amélioration de la performance énergétique pour l'industrie. Visco (Allemagne) collecte de données sur les rues et l'environnement pour la gestion de la ville, en utilisant des caméras installées dans les véhicules de gestion des déchets. Renov'ON (France) se positionne sur les rénovations thermiques de bâtiments résidentiels. PureNest (France) développe des solutions de captation et de traitement des déchets plastiques dans les fleuves. Recy'Peru (Pérou) est une marketplace pour la gestion des déchets au Pérou et en Amérique latine. On Again (France) est une plate-forme consolidant les différentes sources de matériaux issus du réemploi à destination des grands acteurs de la construction. Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 83 jours

Loi climat: les transporteurs routiers dénoncent "un non-sens"

Les organisations professionnelles du transport routier et de la logistique ont estimé que le projet de loi "Climat et Résilience," présenté en conseil des ministres, était "un non-sens (...)
Il y a 4 ans et 83 jours

Triangle de Gonesse: Pécresse réclame l'évacuation de la ZAD

Valérie Pécresse, présidente (Libres!) de la région Ile-de-France, a réclamé l'évacuation de la Zone à défendre (ZAD) du Triangle de Gonesse, que des militants occupent depuis quelques jours.
Il y a 4 ans et 84 jours

Une résidence de 8 bâtiments modernes à Troyes

A Troyes, une nouvelle résidence, composée de 8 bâtiments modernes, se dévoile. Au premier coup d’œil, son esthétisme, confié au cabinet 5-cinq Architecture, interpelle par un jeu architectural dynamique, rendu possible grâce à des niveaux de hauteur (du R+2 au R+4) et de renforcements qui s’alternent. Livrés en ce mois de février 2021 au profit du bailleur Mon Logis, acteur majeur de l’immobilier dans l’Aube, ils offrent 91 logements collectifs sociaux, du T2 au T5, sur une surface SHON totale de 6 050 m². Une cellule commerciale de 250 m² est implantée en rez-de-chaussée d’un bâtiment (A). En parallèle, Spie batignolles grand-est, entreprise générale mandataire du groupement, en charge de la conception et de la réalisation de ces habitats collectifs, a eu la charge de la viabilisation de 14 parcelles, jouxtant les immeubles, pour la construction future de logements individuels. Cette construction est l’une des premières du groupe Spie batignolles ayant été menée en partenariat avec la société Resolving, plateforme collaborative mobile pour la gestion optimisée des projets du bâtiment. La différence de hauteur et de profondeur entre chaque bâtiment a constitué l’enjeu majeur de cette opération, présentant des contraintes techniques architecturales importantes. Les diverses profondeurs qui ont été adoptées par le parti-pris architectural permet d’abriter des renfoncements pour l’installation de balcons et de terrasses végétalisées entre les différents bâtiments, avec des éléments béton très esthétiques et des porte-à-faux. Les revêtements de façade ont été réalisés en bois et en crépis de couleur. Sur les 8 bâtiments, 7 sont reliés par un sous-sol commun de 152 m de longueur totale, pour mettre à disposition des habitants un parc de stationnement de 95 places. Dans la perspective de maîtriser les coûts et les délais de cette opération de logements sociaux, il a été décidé de recourir à la préfabrication pour certains éléments constructifs, notamment pour la pose de prédalles et de prémurs en lieu et place du coulage en place. Au total, les équipes ont employé 295 tonnes d’acier et 5 500 m3 de béton. Maître d’ouvrage : Mon Logis Architecte : 5-cinq Architecture Entreprise générale et mandataire du groupement de conception/construction : Spie batignolles grand-est Bureau d’études : BET2C Paysagiste : Christophe Gautrand Acousticien : Alhyange acoustique VRD : Roussey    
Il y a 4 ans et 84 jours

Le groupe MAUGIN : 55 ans d’expérience fenêtre en France

Le groupe familial MAUGIN et ses 50 ans de savoir-faire au service de «nouvelles expériences fenêtres » dresse le bilan de l’année 2020 et ambitionne plus que jamais cette année de se positionner comme fabricant origine France de référence du marché des fenêtres, portes d’entrée et volets roulants, pour le neuf et la rénovation. Dirigée depuis 1990 par Hervé et Bertrand Maugin, l’entreprise déployée aujourd’hui sur 32 000m² de surface de production, fabrique jusqu’à 3 000 produits sur-mesure par semaine, grâce au travail d’excellence de 300 collaborateurs. Se destinant à 3 circuits de distribution – 120 magasins Terres de Fenêtre en France, 650 menuisiers-installateurs partenaires et le Négoce – chaque innovation est le fruit d’un long processus de réflexion mené par le département Recherche & Développement du Groupe Maugin.  2020 a été l’aboutissement d’un an et demi de travail avec le lancement en juillet d’une nouvelle gamme en PVC fibré élaborée en partenariat avec le gammiste Deceuninck, dont l’innovation est de renfermer de la fibre de verre ainsi qu’un renfort thermique, en option.  Avec un budget de plus de 1 Million d’euros investis, cette innovation est déterminante dans le renouvellement du plan stratégique industriel 2020/25 du Groupe.  Reconnus comme véritable innovation marché, ces atouts distinctifs offrent des avantages non négligeables : plus d’esthétisme, de luminosité, de légèreté, de performance, de sécurité, de rigidité et avec un meilleur potentiel de recyclage, tout en intégrant le vitrage Eclaz et la quincaillerie sécurité renforcé. 
Cimbat
Il y a 4 ans et 84 jours

Salle festive à Riec-sur-Belon par Guinée Potin

Qui ont été les premières femmes architectes au XXe siècle? Qu’ont-elles construit et quelles voies ont-elles ouvertes aux architectes contemporaines? Alors que la féminisation de la profession se poursuit selon la dernière enquête Archigraphie, passant en près de vingt ans de 16,6 à 30,7% (notamment chez les moins de 35 ans), une […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 84 jours

Stockage énergie : nouvelles batteries pour Nilar et batteries virtuelles pour JPME

Si l’avenir des énergies renouvelables se joue dans le stockage, on n’arrête pas le progrès en la matière ! D’un côté, nous avons le spécialiste suédois du stockage Nilar qui lance deux nouvelles batteries innovantes, de l’autre, Oscaro-Power, champion du Do It Yourself dans la vente des systèmes photovoltaïques en autoconsommation, qui ajoute l’E-Batterie® à son […]
Il y a 4 ans et 84 jours

Orthez : rénovation du gymnase Grandperrin

Le gymnase Grandperrin à Orthez est remis en état. Différents travaux y sont réalisés.
Il y a 4 ans et 84 jours

Micro-Zone d’Activités de Weyersheim : obtention d’une autorisation environnementale en régularisation pour l’aménagement d’une zone de compensation

L’arrêté préfectoral portant autorisation environnementale en régularisation pour l’aménagement d’une zone de compensation près de la Micro-Zone d’Activités de Weyersheim a été publiée le 7 janvier 2021.
Il y a 4 ans et 84 jours

L'encadrement des loyers entraine une baisse moyenne de 3% à Paris au second semestre 2019

Cette mesure avait été réintroduite à Paris en juillet 2019 et a eu "un effet indéniable, mais limité, de resserrement des loyers de relocation des logements non meublés autour de la fourchette légale", selon l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne (Olap).L'encadrement des loyers est en vigueur depuis 2015 dans la capitale mais a été suspendue pendant plus d'un an autour de 2018. Le loyer de relocation est le loyer appliqué au nouveau locataire après le départ du locataire précédent.Au premier semestre 2019, les loyers de relocation supérieurs au plafond avaient progressé de 2,6% avec un dépassement moyen de 12% du loyer hors charges, soit 168 euros par mois, pour plus d'un quart des logements, selon l'Olap.A partir de juillet, le retour de l'encadrement s'est traduit "par une baisse moyenne de 3% des loyers de relocation initialement supérieurs au loyer de l'ancien locataire".La part des dépassements était "de 28% des relocations" soit "un peu plus que pendant la précédente période d'encadrement (26% en 2015, 23% en 2016 et 21% en 2017)", précise l'Observatoire.Ils concernaient en particulier les logements de moins de 20 m², où ils représentaient sept cas sur dix.Les données pour l'année 2020 ne sont pas encore disponibles.
Il y a 4 ans et 84 jours

Le tunnel du Lyon-Turin dans la phase de "travaux définitifs"

La construction du tunnel transfrontalier de la liaison Lyon-Turin est maintenant entrée dans une phase active avec le lancement de 4 milliards d'euros d'appels d'offres.
Il y a 4 ans et 84 jours

Le commerce veut un calendrier de réouverture des centres commerciaux et grands magasins

Dans un communiqué commun, l'Alliance du Commerce, Procos, le Conseil du commerce de France, et le Conseil national des centres commerciaux (CNCC) souhaitent que le gouvernement "indique rapidement aux entreprises" un calendrier de réouverture de tous les commerces", pour "éviter de fragiliser davantage des commerçants de toutes tailles et empêcher le risque d'effet domino qui ne manquerait pas de [survenir] dans tous les territoires, en cas de restructuration de chaines de magasins".Les centres commerciaux et commerces non alimentaires de plus de 20.000m² ont dû fermer à compter du 31 janvier. A l'heure actuelle, "après trois mois de fermetures en 2020 et une période de soldes décevante, les commerces portent un stock de marchandises important qui accroît les difficultés financières des entreprises, tant au niveau de niveau de leur trésorerie que de leurs marges".Face à ces difficultés croissantes, ces fédérations professionnelles veulent aussi connaître "les modalités des aides économiques qui seront mises en place", après l'annonce par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire que "les commerçants impactés seraient tous, sans exception, aidés à la hauteur des conséquences de cette fermeture", rappellent-elles.Car aujourd'hui, 25.000 grands magasins et commerces de centres commerciaux ont baissé le rideau et "de nombreux réseaux d'enseignes ont entre 30 et 75% de leurs magasins actuellement fermés dans les centres commerciaux", ce qui met aussi "en péril l'ensemble des industriels et fournisseurs" de ces derniers.De ce fait, soulignent les organisations patronales de commerçants, "plusieurs milliers de salariés se retrouvent sans activités et sans visibilité pour leur emploi". "La survie de milliers de magasins et de leurs emplois passe inévitablement par leur réouverture rapide", concluent-ils.
Il y a 4 ans et 84 jours

Salle de bains : un nouveau directeur de site pour Setma

CARNET-NOMINATION. Bruno Chiaretta est le nouveau directeur du site de La Ciotat de la société Setma, spécialiste de la production de baignoires et de spas pour la marque Kinedo, et aussi de broyeurs de WC et de pompes de relevage à usage domestique sous l'enseigne Watermatic.
Il y a 4 ans et 84 jours

La France souffre-t-elle d'une politique du logement "malthusienne" ?

LOGEMENT. Dans une note consacrée à la politique du logement en vigueur dans l'Hexagone, le groupe de réflexion des Gracques dénonce le "malthusianisme" pratiqué en la matière, et tire la sonnette d'alarme sur la "sinistralité" des chiffres de la construction. Quelques propositions sont avancées pour tenter de remédier à la situation.
Il y a 4 ans et 84 jours

Une extension de villa sur pilotis

Il y a 4 ans et 84 jours

Action coeur de ville : le préfet Rollon Mouchel-Blaisot livre quelques chiffres clés

BILAN. A une dizaine de jours de la publication d'un "bilan de mi-parcours" du programme Action coeur de ville, son directeur, le préfet Rollon Mouchel-Blaisot, confiant dans la réussite de celui-ci, livre quelques chiffres clés.
Il y a 4 ans et 84 jours

Vicat traverse la crise sanitaire et affiche une croissance en 2020

RESULTATS. Malgré la crise sanitaire, le cimentier Vicat dévoile des résultats en hausse sur l'ensemble de l'année 2020, marquée par des disparités géographiques.
GDA
Il y a 4 ans et 84 jours

Comment réaliser un plancher avec des prédalles ?

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Prédalles mises en œuvre sur un chantier de bâtiment. [©Rector] 1 – En quoi consiste la construction de planchers à partir de prédalles ? Pour commencer, une prédalle n’est autre qu’une plaque de béton d’une épaisseur comprise entre 4,5 cm et 6,5 cm. Elle est préfabriquée en usine et se décline en deux variantes, en fonction de l’outil de production choisi par l’industriel du béton : armée ou précontrainte. Les deux techniques restent comparables dans l’utilisation finale du produit. Une prédalle peut être définie comme un élément coffrant présentant, en plus, des propriétés mécaniques et structurelles. Ainsi, elle participe à la résistance finale Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 84 jours

Cycle Up : Une plate-forme pour le réemploi des matériaux

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. La plate-forme Cycle Up met en relation acheteurs et vendeurs de matériaux de réemploi. [©Cycle Up] Le BTP représente environ 250 Mt de déchets sur une année. Soit 70 % de la “production” française. En même temps,  50 % de ces déchets échappent à toutes valorisations. Pour remédier à cette problématique, la start-up hexagonale Cycle Up propose de mettre en relation, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 84 jours

Le secteur du bâtiment demande des "mesures puissantes" pour relancer le logement neuf

En 2021, les permis pourraient de nouveau reculer à hauteur de 9,1% sur un an, selon un communiqué. "C'est une crise historique du logement neuf qui se profile", prévient la FFB."La brutalité de la crise qui frappe le logement neuf nécessite des mesures puissantes pour relancer les opérations et soutenir la demande", a estimé Grégory Monod, président du Pôle Habitat.Ce secteur "a été le grand oublié" du plan de relance du gouvernement, a-t-il déploré au cours d'une conférence de presse et il y a "urgence à agir" face au nombre de permis de construire qui "dégringole"En 2020, le marché de la maison neuve (en dehors des lotissements) a baissé de 8,5%, sous le poids de la crise sanitaire et "du durcissement des conditions d'octroi des prêts" il y a un an pour limiter le surendettement des ménages, selon la FFB.Le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), qui associe entre autres le ministère de l'Économie et la Banque de France, a finalement décidé en décembre d'assouplir ces règles limitant l'octroi de crédits immobiliers.Pour le logement collectif, la situation a été "catastrophique" avec des mises en vente qui ont baissé de 27,4% à 76.588 unités, selon l'organisation.Ce décrochage en 2020 est dû à la lenteur de l'instruction des autorisations d'urbanisme et de la signature des actes notariés en raison de la crise sanitaire, mais aussi, selon l'organisation, à "l'attentisme des élus locaux à l'approche des municipales et la remise en question, voire le gel, de nombreux projets par les nouvelles équipes".L'organisation voit en outre trois "écueils majeurs" en 2021: l'effet du durcissement des conditions des prêts immobiliers, celui des "surcoûts" engendrés par la nouvelle réglementation environnementale et les conséquences des mesures "en matière de lutte contre l'artificialisation des sols qui accentuent déjà la rareté foncière et donc l'offre de terrains constructibles et de logements abordables".
Il y a 4 ans et 84 jours

Logement neuf : Pôle Habitat-FFB s'attend à une année catastrophique, sur fond de RE2020

CONJONCTURE. La maison individuelle, à l'instar des autres segments de la construction neuve, a dévissé en 2020. L'année qui s'ouvre pourrait être celle d'une "crise historique", alors que les craintes sont vives sur la nouvelle réglementation environnementale. Grégory Monod s'est néanmoins montré optimiste sur certaines évolutions possibles de la RE2020, concernant le chauffage au gaz, notamment.
Il y a 4 ans et 84 jours

A Belfort, une association pour garder l'ingénierie dont GE "se désengage"

L'Association de préfiguration de sociétés d'intégration et ingénierie systèmes (Apsiis) a pour but de développer des activités (création d'entreprises, partenariats avec des groupes...) dans l'ingénierie de projets dans le domaine de l'énergie pour "pérenniser" et "développer" l'emploi local dans cette spécialité, ont expliqué mardi ses fondateurs."Il s'agit d'ancrer ces compétences dont General Electric se désengage localement" au fur et à mesure de ses restructurations au détriment de Belfort, a expliqué Philippe Petitcolin, délégué CFE-CGC du site belfortain du groupe, l'un des initiateurs de l'association avec trois de ses homologues des syndicats CFE-CGC et Sud.L'association espère avoir dans les prochains mois "une trentaine d'adhérents", ingénieurs et cadres de GE, entrepreneurs locaux, consultants, universités, collectivités, dont "une dizaine d'industriels", a précisé M. Petitcolin.Le groupe d'ingénierie Altran figure parmi les cinq sociétés adhérentes citées mardi lors de la présentation de l'association à la presse, "d'autres groupes" ayant également manifesté leur intérêt pour cette initiative, selon M. Petitcolin.Apsiis cible "deux axes prioritaires" : l'hydrogène et le nucléaire, a-t-il ajouté.Agissant "comme un incubateur", l'association entend transformer les idées en "projets prêts à être financés", par exemple créer de nouvelles entreprises ou attirer à Belfort et ses environs des industriels extérieurs au territoire, a exposé Jean Maillard, ingénieur-consultant membre fondateur d'Apsiis.L'initiative reçoit le soutien des pouvoirs publics, ce que traduit la présence parmi ses fondateurs de l'Agence économique régionale de Bourgogne-Franche-Comté.Fin 2020, le maire de Belfort Damien Meslot avait estimé qu'au fur et à mesure des différents plans sociaux, GE aurait supprimé "plus de 1.200 emplois directs" à Belfort sur les 4.300 personnes que comptait le site en 2015.
Il y a 4 ans et 84 jours

Tribune : Respirer à 45°

« Comment est-il possible que le monde animal fasse preuve de plus d’imagination, d’intelligence et de facultés ...En savoir plus Cet article Tribune : Respirer à 45° est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 84 jours

Un nouveau volet de la réforme RGE voit le jour avec 28 fiches de réception des travaux

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Pour faciliter la réception des travaux de rénovation dans un dialogue entre clients et artisans, le programme Profeel a publié 28 fiches pédagogiques disponibles gratuitement sur le site Faire.
Il y a 4 ans et 84 jours

Carbon8 Systems : De déchet à matériau

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Vicat a déjà accueilli un CO2ntainer sur le site de sa cimenterie Montalieu-Vercieu (38). [©ACPresse] La start-up britannique Carbon8 Systems utilise le dioxyde de carbone pour traiter les déchets industriels. Sa technologie CO2ntainer permet ainsi de recréer des produits pour le monde de la construction. Par exemple, au sein d’une cimenterie, l’outil conçu par Carbon8 Systems s’intègre directement dans le processus de fabrication pour capter le C02 présent dans les gaz de combustion. Au lieu de prendre des millénaires, le CO2ntainer accélère le processus de capture de CO2. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 84 jours

Chauffage : le biofioul ne semble pas vraiment avoir les faveurs du Gouvernement

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. Quelques temps après avoir lancé le développement du biofioul, agriculteurs, distributeurs, chaudiéristes et chauffagistes doivent faire face à l'entrée en vigueur, prévue le 1er janvier 2022, de l'interdiction des chaudières au fioul et au gaz dans le neuf comme dans l'existant. Sollicité sur le sujet, le Gouvernement réplique que les objectifs énergétiques de la France seraient plutôt incompatibles avec le combustible biologique.
Il y a 4 ans et 84 jours

Europ’Equipement : Une mini-centrale à béton de laboratoire

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Mini-centrale à béton de laboratoire signée Europ’Equipement. [©ACPresse] Le savoir-faire de l’industriel Europ’Equipement ne s’arrête pas aux centrales à béton et autres systèmes de distribution sur site. Ainsi, il y a Eureqa, l’automatisme orienté centraliers et opérateurs, qui permet de piloter les postes de production. Mais surtout, le spécialiste guérandais a développé une mini-centrale à béton de laboratoire prête à l’emploi. Posée sur un châssis autonome, elle s’articule autour d’un malaxeur à doubles arbres horizontaux de 100 l. Un outil mis au point et produit en interne. Au-dessus prend place une unité de stockage des matières premières. Cette dernière se divise en quatre cases. La première est dédiée au pré-mélange des granulats (sable + graviers). La suivante permet l’accueil du liant (ciment). La troisième est réservée à l’eau de gâchage. Quant à la quatrième et dernière, elle permet l’introduction des adjuvants. Comme toute unité industrielle de production de béton, la mini-centrale Europ’Equipement dispose d’un automatisme pour la piloter et intègre des sondes hygrométriques et de température. De quoi assurer la réalisation d’essais dans les règles de l’art et dans des conditions comparables à ce qui se passe sur une centrale de production de BPE. Compacte, l’unité est simple à manutentionner à l’aide d’un petit chariot élévateur manuel. Aujourd’hui, une mini-centrale à béton de ce type est en fonctionnement au sein du laboratoire de Béton Solutions Mobiles, à Lognes (77). Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 84 jours

Les nouvelles armes de BTP Consultants pour atteindre ses objectifs 2025

STRATÉGIE. Le groupe revoit son organisation et son actionnariat pour mener à bien son nouveau plan stratégique à dérouler d'ici à 2025. Avec des ambitions importantes en termes de croissance organique et externe.
Il y a 4 ans et 84 jours

Métropole Nice Côte d’Azur : le projet de ligne 4 du tramway passera en concertation publique jusqu’à fin mars 2021

La phase de concertation publique du projet de ligne 4 du tramway se déroulera jusqu’au 31 mars 2021 à Cagnes-sur-Mer, Saint-Laurent-du-Var et Nice.
Il y a 4 ans et 84 jours

Avec le télétravail, de plus en plus d'entreprises tentées par le "flex-office"

Avec ce mode d'organisation qui se veut plus collaboratif, le salarié n'a en principe pas de place réservée. Un casier lui permet en général de stocker ses affaires personnelles et des espaces dédiés (salles de réunion, "bulles"...) de s'isoler.Déjà pratiqué - surtout en Île-de-France - depuis des années, le "flex-office" va souvent de pair avec le télétravail et un nombre de places inférieur au nombre de salariés.Avec l'essor du travail à distance pour cause de Covid-19 et sachant que l'immobilier est le deuxième poste de dépense après la masse salariale, certains ont décidé de sauter le pas.Une PME parisienne dans la communication vient ainsi d'annoncer le regroupement de tous ses sites avec le "flex-office", rapporte un représentant du personnel à l'AFP.En contrepartie est négocié un nouvel accord de télétravail prévoyant des indemnités pour ceux qui ne viendraient plus au bureau. La direction met en avant une "modernisation" de l'organisation du travail, mais elle est "la grande gagnante" car "seul un tiers" des économies seront réinjectées dans l'entreprise, dit-il.Suez a signé de son côté après le premier confinement un accord télétravail à hauteur de deux jours par semaine pour les métiers éligibles. "On s'est dit +bien évidemment, on ne peut pas conserver des mètres carrés très chers (...) inoccupés deux jours par semaine+", explique à l'AFP la DRH, Isabelle Calvez.Le groupe a donc décidé de passer les 26 étages du siège à la Défense en "flex-office", pas pratiqué jusque-là. Il a rendu deux bâtiments loués, et la tour va passer de 2.200 à 3.000 personnes, avec 0,7 poste de travail par personne, un ratio "assez large", selon la DRH.L'idée est que les gens viennent au bureau "pour être ensemble", pas se "mettre dans un coin", dit-elle, mettant en avant l'aspect "collaboratif, convivial". Elle assure que les salariés ont réagi positivement car c'est "la contrepartie d'un accord télétravail qu'ils attendaient"."Horrible"D'autres groupes qui pratiquaient déjà le "flex", devraient poursuivre le déploiement avec le renforcement du travail à distance, à l'instar de la Société Générale ou Stellantis (ex-PSA).Sur la base d'une étude menée en octobre, Flore Pradere du cabinet immobilier JLL estime qu'"aujourd'hui, deux tiers des entreprises veulent accélérer leur recours au flex-office ou l'adopter".Avant-crise, "les pics moyens d'occupation dans les bureaux étaient de l'ordre de 60%" et avec un à deux jours de télétravail, "on va arriver à moins de 50%", estime Rémi Calvayrac du même cabinet. Il note que dans les projets flex actuellement, le ratio est en moyenne de 0,6 poste par salarié contre 0,8 avant crise ce qui n'est "pas très agressif", les entreprises étant "prudentes" alors que "les forces vives sont fatiguées".Mais alors que l'engouement pour le télétravail s'est érodé après des mois de crise, certains mettent en garde.Pour la députée LREM Carole Grandjean, le télétravail ne doit pas devenir un moyen de "réduire les coûts de l'immobilier pour des chefs d'entreprise", au risque d'une "perte de sens" pour les salariés.Mais pour Fabrice Angei (CGT), les entreprises ne se priveront pas, ayant "toujours une arrière-pensée de faire des économies" avec le télétravail. Malgré le principe de réversibilité, il anticipe qu'elles feront du "surbooking".Du côté des salariés, le flex-office n'a pas que des adeptes. Sophie (prénom modifié), cadre dans le conseil, trouve "horrible" ce système qu'elle expérimente depuis décembre.Avant, "j'avais ma cafetière, plein de posters, une superbe plante" dans un bureau individuel, rapporte-t-elle. Désormais, elle a un casier où stocker essentiellement "un mug avec notre nom dessus" et à la fin de la journée, c'est le "clean desk", il faut tout enlever.Elle déplore surtout la dépersonnalisation: symboliquement "ça veut dire qu'on est interchangeables", "on est juste un casier". Résultat, elle est "la plupart du temps" en télétravail.
Il y a 4 ans et 84 jours

Logiciels : Donner vie à la centrale

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Les logiciels d’aide à la production des bétons ne se limitent plus à piloter les automatismes des centrales. De la gestion des flottes en direct à la digitalisation des bons de livraison, en passant par l’analyse prédictive, ils sont un puits, encore sans fond, de gain de productivité. Amis : Une solution globale pour la préfabrication Arcade : Nouvelle version Command Alkon : Large choix Delta Automation : Pour toutes les installations d’un site Exxia : Nouveau venu Marcotte Systems : Solution complète RSAI : Nouvelle mouture Amis propose à ses clients Prefamis. Cet automatisme pour centrales à béton de préfabrication associe la robustesse sur les postes de production, à la puissance de l’informatique sur les postes de gestion déportés, à travers le logiciel Datamis. Dans les ateliers, les postes de production sont équipés d’automates programmables avec écrans tactiles industriels de marques réputées et internationalement distribuées. Dans les bureaux, Datamis est installé sur les postes de gestion (PC, serveur…) en réseau avec la production. Cette organisation permet la formulation des bétons, l’analyse complète de la production, mais aussi la traçabilité des alarmes de maintenance. Le logiciel Datamis est conçu pour s’intégrer pleinement avec les systèmes d’information (ERP). De son côté, Prefamis intègre la totalité des composantes de l’usine de production. Comme l’ensilage des granulats, les sécurités remplissages des silos, mais aussi la livraison béton par tout type de bennes-bus. Sans oublier, la maintenance, avec prise en main à distance par tablette. La solution globale Prefamis est aujourd’hui utilisée à la fois par des entreprises indépendantes et par des grands groupes de l’industrie du béton. La solution globale Prefamis permet la gestion de la production des sites de préfabrication.[©Amis] Le successeur du logiciel de laboratoire Wil se nomme Massia-Laboratoire.[©Arcade] Après le succès de Wil, Arcade a présenté son successeur Massia-Laboratoire, au cours de l’année dernière. Pour l’éditeur, 2020 a été remplie de projets. Qui ont enrichi ce logiciel de nouveautés fonctionnelles importantes. En collaboration avec Delta Automation, il propose désormais une solution clefs en main : de la conception des formules bétons jusqu’à la livraison sur chantier. En passant par le suivi production, le contrôle qualité et le suivi livraison. La gamme de logiciels Massia, c’est aussi Massia Labo Mobilité, l’application mobile qui permet de saisir les prélèvements et essais sur smartphone ou tablette. Massia #Portail qui partage les documents avec les clients et partenaires, et peut s’interfacer avec les logiciels et matériels. Le logiciel Wil continue cependant d’être maintenu et commercialisé, tout en gagnant en facilité avec son application “Mobilité”. Les progiciels Command Alkon s’appuient sur plusieurs modules, dont Conactive Process Control (CP) et Conactive Quality Control (CL). La solution d’automatisation Command Alkon CP a été, il y a peu, revue et modernisée. Permettant de gérer l’ensemble d’une centrale BPE, elle offre la possibilité d’améliorer la qualité de production et l’efficacité des opérations. Ceci, grâce à la visibilité constante offerte sur toutes les opérations de production. Le module CL est, lui, l’assistant intelligent du technicien de contrôle qualité. En un seul endroit, ce dernier pourra retrouver tous les outils nécessaires à la gestion des matériaux, les mélanges, les tolérances. Le tout avec les tests et les analyses disponibles sur une seule plate-forme. Et ce, afin d’optimiser les formulations en fonction des besoins de chaque coulée. Quant au Conactive Materials Manager, il permet de gérer l’approvisionnement en matériaux à travers la gestion des automates de transport. De son côté, et comme son nom l’indique, Maintenance Manager planifie les interventions de maintenance pour limiter les arrêts de centrales. Il offre aussi la possibilité de consulter le journal des tâches effectuées et l’ensemble de statistiques sur la centrale. Le BPE monégasque EMT vient d’opter pour la suite de logiciels Command Alkon. [©Command Alkon] Parmi les derniers arrivés sur le marché, Delta Automation cherche à se démarquer. Ceci, à travers son système Delta Mix. Ce sytème permet de suivre la production du béton, de l’édition du devis à l’inscription dans la comptabilité. En passant par la génération des bons de production, la fabrication de produits et la facturation. « Nos solutions évoluent en permanence, explique Pascal Parrain, gérant de Delta Automation. Nous proposons à nos clients un module générique, qui fonctionne pour toutes les entreprises. Si besoin, nous développons des solutions spécifiques à leurs problématiques. Nous nous demandons alors si cette réponse peut leur être utile. Dans ce cas-là, nous l’intégrons directement à notre logiciel général. » Pour se démarquer, Delta Automation embarque de l’intelligence artificielle pour l’analyse prévisionnelle des productions. Tout en intégrant des modules destinés aux silos, aux matériaux et aux bassins de décantation. Permettant de gérer l’ensemble des installations d’un site de production. Enfin, l’industriel travaille main dans la main avec Arcad [Lien]. Le but est d’inclure des solutions Delta dans la suite Arcade. Le logiciel Eazzy d’Exxia utilise l’intelligence artificielle pour réaliser des analyses prédictives. [©Exxia] Exxia est une société créée fin 2019, spécialisée dans la conception de progiciels pour la production et le contrôle du BPE. « Notre plate-forme web se nomme Eazzy et fonctionne pour les professionnels des granulats, du BPE, de la préfabrication ou de la construction routière, explique David Ortolan, président de l’entreprise. Il dispose d’un socle commun à toutes les entreprises, qui englobe le pilotage, l’administration des ventes, la gestion de la production, le contrôle qualité et la gestion de la logistique. En fonction des besoins, nous activons ou désactivons ces options. » Adopté en particulier par Béton Solutions Mobiles, Eazzy dispose de fonctionnalités de navigation spécifiques. « Nous intégrons la reconnaissance vocale, des interfaces tactiles mobiles, une messagerie interne, les plannings dynamiques ou encore le traitement graphique des données internes ou externes en temps réel. » Tout en projetant une grosse mise à jour en cours d’année, « nous travaillons à l’incorporation d’intelligence artificielle pour optimiser les coûts de nos clients. Grâce à l’analyse prédictive, nous pourrons orienter la production en temps réel, en jouant simultanément sur plusieurs variables comme la qualité, les ressources humaines, les ventes prévisionnelles, les disponibilités logistiques, l’anticipation du trafic ou encore la météo ». L’ensemble des solutions Marcotte Systems permet la gestion des centrales à béton, de leur flotte de véhicules et de leurs activités commerciales. Ainsi, le module Marcotte Batch permet d’ajuster la quantité de chaque constituant d’une formulation, même en pleine exécution de ce lot. Le tout, en préservant ses ratios clefs. Ensuite, Marcotte Dispatch comprend un ensemble de caractéristiques, qui allège beaucoup la tâche des agents techniques de production. Le contrôle de charge des centrales et d’occupation des véhicules, en temps réel, permet aux répartiteurs d’agir de suite sur leurs livraisons et d’assurer une qualité de service optimale. Puis vient Marcotte GPS & eTicket, qui donne un relevé des statuts et du positionnement, en temps réel, des camions, grâce à une simple application. Dans le même temps, la plate-forme web permet la digitalisation des bons de livraison. Enfin, avec Marcotte Insights, les utilisateurs ont accès à une plate-forme offrant des données clefs pour l’analyse des performances de livraison et d’exécution de la production. Ceci, pour effectuer d’éventuelles corrections ou prédire les futurs besoins, en lien avec le carnet de commandes. Les logiciels Marcotte Systems permettent la gestion et l’anticipation des besoins des centrales BPE.[©Marcotte Systems] Le logiciel RSA Dispatch vient s’ajouter à la suite de solutions de RSAI. [©RSAI] L’année 2020 a été celle du renouveau du site Internet de RSAI. Et du lancement d’une nouvelle mouture de son logiciel phare. Profitant d’une interface revue, le nouveau site Internet permet de composer rapidement le menu de ses besoins. Quant à la nouvelle version du logiciel, elle améliore la navigation de la suite, qui a déjà convaincu des entreprises dans huit pays francophones, en Europe et en Afrique. « Notre solution s’organise autour de plusieurs modules, dont le principal est RSA Beton, explique Rémi Gueugneau, responsable commercial BTP et carrière. Il s’agit là de la gestion complète des automatismes de la centrale, le tout via une interface épurée. RSA Gestion Commerciale permet d’éditer les devis, offres, factures avec des termes et des pratiques adaptés aux métiers de la construction. RSA Qualité centralise les choix en matière de formulation, de paramétrage et de gestion des droits, pour l’ensemble des centrales d’une même entreprise. RSA Demat permet aux chauffeurs d’envoyer des informations en direct sur leurs actions, aux clients d’obtenir des statistiques sur leurs différentes livraisons. Enfin, RSA Dispatch, complètement repensé avec une interface graphique intuitive, est un module de prise de commande pour le BPE et les granulats. Planifiant au passage les livraisons et la charge de travail des différents sites. » Sur la même base, RSAI propose des solutions pour la préfabrication et les carrières. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92
Il y a 4 ans et 84 jours

Les cœurs de villes moyennes ont la banane

Avec 2,1 milliards d’euros engagés au 31 décembre 2020 sur un programme qui en totalise 5, le directeur d’Action cœur de ville tient bon sa barre. A quelques jours de la publication d’un bilan à mi-parcours, le préfet Rollon Mouchel-Blaisot a exprimé son optimisme le 17 février au cours d’un atelier débat sur la revitalisation durable. « La nouvelle France que vous inventez nous apporte de la joie et de l’espoir », a salué l’ancien ministre de l’environnement Brice Lalonde, président d’Equilibre des énergies, organisateur de l’événement.
Il y a 4 ans et 84 jours

Val-de-Marne : Cibetec habille de blanc Villejuif

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Cibetec va produire 950 éléments préfabriqués pour le bâtiment Nova Aragon. [©Cibetec] L’entrée de ville Sud de Villejuif est en pleine transformation. Notamment avec le déploiement d’un nouveau pôle tertiaire, dont le bâtiment Nova Aragon. Qui sera l’un des éléments remarquables, avec ses 27 200 m2 de bureaux. Promo Gerim et le groupe Legendre, maîtres d’ouvrage, ont conçu les lieux en deux îlots de 12 200 m2 et 15 000 m2. Selon les recommandations HQE/Breeam, avec des plateaux modulables, un restaurant inter-entreprises, une salle de sport et un service de conciergerie. Pour une livraison chantier en 2022 Dans son dessin, l’agence d’architecture Thierry Lanctuit a mêlé surfaces vitrées et éléments préfabriqués en béton. Cibetec se charge de la conception des moules et de la préfabrication depuis novembre 2020, pour un chantier qui sera livré en 2022. Au total, ce sont 950 éléments qui vont être industrialisés. La commande comprend des voiles de façade en béton blanc brut, des bandeaux gris matricé, des bandeaux complexes, des casquettes, des linteaux gris, des modénatures de poteaux tronconiques, des encadrements, des panneaux d’habillage… Eléments les plus compliqués, les 90 poteaux tronconiques de 8 m de haut, une fois mis en place, recevront les corniches. Environ 75 de ces éléments sont des demi-sphères, le restant se répartissant entre un quart et trois quart de sphère. L’ensemble est produit sur le site Cibetec de Saint-Léonard, près de Reims. Dans le détail, du rez-de-chaussée au R+2, le bâtiment est équipé de poteaux, corniches et allèges. Le tout préfabriqué en béton matricé, imitation bambou. Les quatre niveaux suivant sont habillés de panneaux en béton gris matricé et blanc brut. Enfin, les deux derniers sont équipés de panneaux acrotères et de trumeaux double hauteur couvrant les deux étages d’un seul tenant. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 84 jours

BPE en libre-service

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Unité de distribution de BPE en petites quantités France Auto Béton – Fibo Intercon. [©FAB] Le défaut de la plupart des centrales à béton est de ne pouvoir délivrer qu’une quantité assez importante de béton. L’artisan ou le particulier qui n’a besoin que de quelques dizaines de litres n’a souvent d’autre choix que de commander un volume plus grand et de jeter le surplus ! Pas très “citoyenne”, comme démarche… C’est pour répondre à ce type de besoins que se sont développés des services comme Firstbéton, par le groupe Pigeon. Ou encore Drive-Béton. L’autre solution s’appelle le libre-service. Derrière cette appellation se cachent plusieurs concepts qui s’articulent tous autour d’une petite centrale à béton autonome, dont l’accessibilité va des horaires d’ouverture du négoce auquel elle est rattachée, par exemple, à une disponibilité 24 h sur 24 et 7 j sur 7. Comment ça marche ? Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 84 jours

Le béton sur place et en quantité maîtrisée

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Avec son service Cub’Drive, CuBe livre les chantiers nécessitant des quantités de béton limitées. [©CuBe] La livraison du béton doit répondre à deux commandements principaux : être frais et respecter la quantité définie. Pour les plus gros chantiers, la problématique se résume à livrer la plus grande quantité, le plus tôt possible. Pour les plus petites opérations, le casse-tête est tout autre. Une commande de quelques mètres cube coûte “la partie non remplie” de la toupie. La plupart du temps, les petites commandes n’ont pas la priorité des centrales. Et les formulations sont parfois limitées pour les plus petites quantités. Du côté des centraliers, gérer les camions-plateaux qui viennent se servir sous la centrale n’est pas chose aisée. Enfin, les traditionnelles bétonnières ne sont pas toujours simples ou rentables à utiliser. A ces différents problèmes, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 84 jours

Des puces dans le béton

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Une simple puce RFID permet d’échanger une multitude d’informations, à l’aide d’un simple smartphone. [©Edycem] Qui a dit que le béton était un matériau inerte ? Jusque-là, les informations liées à la conception ou aux évolutions d’un béton coulé dormaient dans les boîtes d’archives de chacune des entreprises de la construction. Il fallait presque se muer en archéologue pour retracer l’histoire de certains chantiers. Mais, en plus d’être une simple matière grise, le béton est désormais doté d’un cerveau, ou plutôt d’une conscience, capable de raconter son histoire. C’est la puce RFID. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 84 jours

Rhône : Martel Groupe élargit son offre

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Martel Groupe a fait l’acquisition des entreprises Clivio TP et LMTS. [©Martel Groupe] Martel Groupe poursuit son développement, tant en matière de panel de métiers, que de géographie. En effet, l’entreprise lyonnaise a fait l’acquisition des sociétés Clivio TP et LMTS, appartenant à Fabrice Clivio. Spécialisées dans les travaux spéciaux et les fondations profondes (parois clouées, berlinoises, pieux), ces dernières opèrent respectivement en Bourgogne – Franche Comté et dans la région autour de Monaco. Avec 12 M€ de chiffre d’affaires annuel cumulé, ces deux acquisitions vont permettre à Martel Groupe de poursuivre la stratégie de diversification entamée depuis plusieurs années. Surtout, les nouvelles sociétés sont complémentaires des activités historiques du groupe, permettant d’apporter des synergies de métiers. Croissance externe « Ces acquisitions marquent un tournant dans notre modèle de développement et vient compléter notre position de multi-spécialiste du BTP, commente Lionel Martel, président de Martel Groupe. Clivio TP et LMTS apportent à Martel Groupe de nouveaux savoir-faire, complémentaires de nos métiers actuels. Ce qui va nous permettre d’améliorer encore l’accompagnement et la satisfaction de nos clients. » En 2019, le groupe Martel avait réalisé une levée de fonds auprès de Garibaldi Participations, Rhône – Alpes PME et Carvest. Ceci, dans l’objectif d’avoir les moyens de poursuivre ses projets de développement. Notamment par la croissance externe. « L’ensemble des partenaires investisseurs s’inscrit dans la réalisation de cette opération de croissance externe, indique Yvan Noble, directeur de participation chez Garibaldi Participations. Qui illustre la stratégie du groupe de diversification métier. Ceci, afin de maîtriser l’ensemble de la chaîne de valeur et de gérer pleinement les cycles économiques. » Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 84 jours

Saint-Gobain cède des activités de distribution en Espagne et en Italie

En Espagne, Saint-Gobain a finalisé la vente de Sanigrif (produits de plomberie, sanitaire et chauffage) et Saniplast (matériaux pour le génie civil), a-t-il indiqué dans un communiqué.Ces deux activités représentent ensemble une trentaine de magasins, 220 employés et un chiffre d'affaires cumulé de 90 millions d'euros.Saint-Gobain a d'autre part indiqué avoir cédé courant 2020 son activité de distribution en Italie, qui représentait un chiffre d'affaires de 15 millions d'euros.Au tout début de l'année 2021, le groupe a déjà annoncé être en négociations exclusives pour céder son activité de distribution aux Pays-Bas, qui représentait un chiffre d'affaires de plus de 520 millions d'euros en 2019.Par ailleurs en France, Saint-Gobain a engagé la vente de sa chaîne de magasins Lapeyre (équipement de la maison), qui emploie environ 3.500 salariés, au fonds allemand Mutares.
Il y a 4 ans et 84 jours

Situer et comprendre les coffrages

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. La Sateco Map permet à la marque de fluidifier ses problématiques de logistique. [©Sateco] Comme dans tous les domaines de la vie courante, les datas et les nouvelles technologies de l’information ont envahi le BTP, jusqu’au marché des coffrages. Toutes les marques travaillent à ajouter des solutions digitales à leurs matériels. Peri a fait le choix de la puce RFID, pour le moment limitée au coffrage de dalles Skymax. « Mais au fil du temps, la technologie sera déployée sur les accessoires de levage et sous la forme de QR-Codes pour les étais, explique Thierry Chancibot, directeur technique et marketing de la marque. A l’heure actuelle, les puces facilitent les échanges de documentation avec nos clients. En les scannant, ces derniers ont accès à la référence du produit, à son nom, à son mode d’emploi et au suivi des contrôles. » Mais les possibilités d’accès à l’information sont quasi-infinies et les options devraient se multiplier. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 84 jours

Services innovants autour du béton

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Le béton en libre-service : une tendance qui a le vent en poupe. [©Liebherr] Le béton, c’est de la matière grise, teinte que certains lui reprochent, car il rendrait son environnement triste… Ça se discute. Toutefois, ici, ce n’est pas de couleur, mais d’intelligence, dont il est question. Pas du matériau en tant que tel – quoique -, mais plutôt de son univers. En effet, si le béton a beaucoup évolué ces dernières décennies, il est en même temps resté très figé dans les habitudes des utilisateurs. Souvent faute de nouveaux services. Alors même que les besoins ont évolué, en parallèle de l’apparition de nouvelles technologies. L’impression 3D, appelée aussi “fabrication additive”, en constitue le plus bel exemple. Le n° 91 de Béton[s] le Magazine y était consacré… Ainsi, le numérique permet de faire bouger les lignes, en simplifiant l’accès au matériau. En quelques clics, on passe sa commande, puis on peut la suivre, en temps réel. Fini le coup de fil à la centrale pour demander : « Où est la toupie qui doit me livrer ? » Le numérique entre aussi dans la matière avec les puces RFID, qui permettent aux bétons de “raconter leur histoire”, via des applications ou des systèmes dédiés. Ces mêmes puces peuvent aussi se greffer sur le matériel, à commencer par les coffrages. De quoi simplifier la gestion des parcs, des stocks et le suivi au niveau de la maintenance. Qui peut le plus… Les petits volumes constituent une autre attente forte des professionnels, artisans en tête, comme des particuliers, bricoleurs avertis. Mais commander et venir chercher sous centrales de BPE quelque 250 l de béton, voire moins, est pour ainsi dire mission impossible. Si quelques industriels proposent malgré tout ce service, ils restent rares. D’où le développement de la distribution automatique du béton. Des mini-centrales, équipées de petits malaxeurs, permettent d’acheter du béton en “libre-service” ou presque, dans de très faibles volumes : 500 l en moyenne. Ces unités commencent à fleurir dans le paysage bétonnier français. Enfin, vient la variante “production sur place”. On ne parle pas de bétonnières de chantier, mais de malaxeurs mobiles matériaux, aptes à délivrer des petits volumes à la demande. Quelques BPE ont intégré de tels véhicules à leur parc. Pour toujours plus de services. Dossier réalisé par Yann Butillon, Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki Dans ce dossier, retrouvez : Le béton en deux temps trois clicsSituer et comprendre les coffragesDes puces dans le bétonLe béton sur place et en quantité maîtriséeBPE en libre-service Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92