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Toute l'actualité du bâtiment

255369 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 93 jours

Fin 2021 : début du chantier du nouveau quartier « Le Baillet » à Drancy

Les premiers coups de pelle pour l’aménagement du quartier « Le Baillet » à Drancy sont attendus à la fin de l’année.
Il y a 4 ans et 93 jours

Génie climatique : les tendances pour les équipements en 2021

La filière du génie climatique et du froid présente ses résultats et ses perspectives pour 2021. La crise sanitaire a rélévé l'importance de la qualité de l'air intérieur et donc de la ventilation et filtration.
Il y a 4 ans et 93 jours

Le Gouvernement abandonne le projet d'extension de l'aéroport de Roissy

INFRASTRUCTURE. Jugé obsolète, le projet de construction d'un nouveau terminal pour Roissy-Charles-de-Gaulle ne verra pas le jour, comme l'a indiqué la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili au journal Le Monde.
Il y a 4 ans et 93 jours

Comment faire pour entretenir sa piscine de manière naturelle?

L’eau de piscine a besoin d’un traitement spécial pour rester propre et saine pendant la baignade. Il existe plusieurs traitements, mais certains sont nocifs pour la santé et l’environnement. L’utilisation de produits chimiques tels que le chlore ou le peroxyde d’hydrogène peut être néfaste pour la peau et les yeux sensibles. Ce sont les causes de diverses allergies. Le moyen le plus efficace est d’utiliser des produits bios et naturels pour respecter l’environnement et protéger votre santé. L’électrolyse au sel C’est un moyen d’entretenir naturellement l’eau de piscine. Le sel permet de faire une désinfection sans risque, tout en restant écologique. Une fois l’électrolyse en œuvre, il n’est plus nécessaire d’acheter des produits neutralisants. Le procédé permet de transformer le sel en chlore naturel et en soude caustique. Ce système de traitement est plus simple, mais aussi compatible à tous types de revêtements avec un cout très faible. L’usage de l’oxygène actif Se présentant sous forme de galets, granulés, liquides ou poudre, l’oxygène actif reste un oxydant algicide efficace pour entretenir une eau de piscine. Conservé à l’état minéral, il permet de débarrasser les corps organiques contenus dans le bassin. Il agit alors en tant que désinfectant. Pour plus d’informations sur l’utilisation de celui-ci, il est conseillé de voir piscine.be. Le traitement par électrolyse cuivre ou argent Tout aussi intéressant que celui au sel, cette alternative naturelle est efficace pour nettoyer son bassin. Avec un ionisateur, les ions argent et les ions cuivre produisent une sorte de réaction pour que l’eau de piscine soit dépourvue des bactéries, des particules polluantes ainsi que de tous les corps nocifs. L’utilisation d’un ozonateur C’est une autre méthode de traitement naturel pour l’eau de piscine. Ce matériel forme un gaz naturel : l’ozone. Ce dernier agit comme neutralisateur pour ne garder que les éléments inoffensifs dans son bassin. Il est important de souligner qu’aucun produit chimique n’est généré dans cette alternative. La biofiltration Il s’agit d’une autre méthode pour traiter naturellement l’eau de piscine. En installant un filtre biologique, l’emploi des produits chimiques et des désinfectants n’est plus utile. À l’aide de ce dernier, l’eau régénère tout au long de la baignade. Cette solution s’avère plus efficace et reste la plus écologique. Toutefois, son coût est élevé. Combien coûte un entretien naturel d’eau de piscine ? Par rapport au traitement au chlore ou à d’autres produits chimiques, celui à base de produits bios s’avère plus onéreux. Toutefois, son cout varie selon le type de traitement. Mais ce coût élevé est dû aux investissements liés à l’installation du nouvel équipement. Pour le traitement à l’ozone, le coût d’un ozonateur et de son installation varie entre 1 200 € et 4 000 € Pour le traitement par électrolyse en cuivre ou argent, le coût d’un ionisateur et de son installation varie entre 1 200 € et 2 000 € Pour l’électrolyse au sel, le prix d’un électrolyseur varie entre 800 € et 1500 € selon la marque et la qualité Pour le traitement de piscine à l’oxygène actif, il est recommandé d’opter pour une pompe doseuse ou un régulateur automatique. Elle est de 60 € tous les 5 kg.
Il y a 4 ans et 93 jours

Valérie Pécresse réclame l'évacuation de la ZAD du Triangle de Gonesse

"Le sujet est simple: c'est une occupation illégale du domaine public qui bloque la réalisation d'un métro qui est attendu par 1,5 million d'habitants dans le Val-d'Oise", a-t-elle fait valoir sur Cnews.Elle a réclamé "qu'on fasse respecter la loi, qu'on évacue cette ZAD et surtout qu'on fasse cette ligne 17, la seule ligne du Grand Paris Express du Val-d'Oise".L'occupation par, "à ce stade, une centaine" de militants, "bloque l'intégralité de la construction" de cette ligne car elle empêche un tunnelier de descendre dans un puits pour creuser, a-t-elle expliqué. Elle a souligné que les habitants de ce territoire pauvre "attendent ces transports en commun pour aller travailler".Ce chiffre est très éloigné du comptage effectué par le Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG), qui a indiqué à l'AFP ne pas être à l'origine de l'occupation mais "soutenir" cette action.Une "dizaine" de militants se relaient sur le site, a indiqué le CPTG à l'AFP mardi soir. "Nous, on demande l'abandon de la gare : si la gare est abandonnée, tout le monde partira", a affirmé Bernard Loup, le président du collectif.Cette zone de 280 hectares de terres agricoles, voisines de l'aéroport de Roissy-CDG, avait échappé à l'artificialisation par une décision Emmanuel Macron. Le président avait en effet abandonné le projet de méga-complexe commercial et de loisirs Europacity, en novembre 2019.Les militants, installés depuis le 7 février sur une partie d'un terrain, propriété de l'établissement public foncier d'Île-de-France (EPFIF), défendent un projet agricole alternatif, au lieu de la future gare."Ces militants extrémistes ont une conception très limitée du débat démocratique et du respect de l'autorité dans notre pays", a dénoncé Marie-Christine Cavecchi, la présidente (LR) du département du Val-d'Oise. Elle aussi demande "à l'État de faire évacuer immédiatement ces terrains".La Fnaut (usagers) ne veut pas de la ligne 17La Fédération nationale des usagers de transports (Fnaut) a demandé le gel des travaux de la ligne 17 du futur métro du Grand Paris, qu'elle juge prématurés tant que l'État n'aura pas décidé ce qu'il veut construire sur le Triangle de Gonesse.Notant que "les perspectives d'urbanisation du triangle de Gonesse restent totalement incertaines" après l'abandon du projet de complexe immobilier Europacity, "rien ne permettant à l'heure actuelle d'affirmer que des constructions justifiant une gare seront réalisées dans ce secteur", a écrit la Fnaut au Premier ministre.Une gare qui resterait isolée "au milieu des champs", "constituerait un gâchis d'agent public sans précédent", ajoute-t-elle dans sa lettre à Jean Castex."Nous demandons donc le gel de tous les travaux de la ligne 17 au nord de l'aéroport du Bourget et notamment ceux de la gare du Triangle de Gonesse, tant que l'avenir de cette zone n'a pas été totalement défini, d'autant que cette urbanisation est de plus en plus contestée", ajoute la Fnaut.Plus généralement, la Fnaut demande un débat public sur les besoins d'aménagement et de transports dans ce secteur.Plus de 40% de la fréquentation de la ligne 17, qui doit relier en 2030 Saint-Denis à l'aéroport de Roissy via le parc des expositions de Villepinte, devaient en effet venir d'Europacity, relève-t-elle."Cumulée avec l'incertitude sur le terminal 4 de Roissy, la rentabilité socio-économique de la ligne 17 n'est plus du tout établie", d'autant que la zone n'est pas très peuplée, assure-t-elle.Les 3 milliards d'euros que doit coûter la ligne devraient être réaffectés à d'autres projets de transports publics de la banlieue nord de Paris en manque de financement, plaide la Fnaut."Qu'on fasse ou qu'on ne fasse pas Europacity, la ligne 17 garde son utilité" car elle est "un vrai itinéraire des transports du quotidien", a récemment affirmé Thierry Dallard, le président de la Société du Grand Paris (SGP) chargée de construire le supermétro autour de la capitale.Il attend néanmoins de savoir ce que l'État compte construire, ou non, sur le site pour reconfigurer la gare prévue au Triangle de Gonesse, désormais annoncée pour 2028.
Il y a 4 ans et 93 jours

Port du Havre : NGE chargé des travaux d’ouvrages maritimes pour l'éolien offshore

Ces travaux d'un montant de 12 M€ s’inscrivent dans les travaux d’ouvrages maritimes nécessaires à l’implantation de l’usine d’éoliennes Siemens Gamesa et comprennent notamment le renforcement du quai devant servir pour certaines opérations de manutention de charges particulièrement lourdes de composants d’éoliennes d’un poids de l’ordre de 500 tonnes.
Cimbat
Il y a 4 ans et 93 jours

Ariston lance une offre chauffage

En lançant aujourd’hui une gamme de chaudières gaz à condensation, Ariston souhaite se positionner comme une marque globale, chauffage et ECS, pour adresser le marché français de la rénovation.
Il y a 4 ans et 93 jours

Le projet de nouveau terminal de Roissy-Charles-de-Gaulle abandonné

Le gouvernement a décidé d'abandonner le projet d'extension de l'aéroport parisien jugé "obsolète" à l'heure de la lutte contre le réchauffement climatique, a annoncé jeudi 11 février la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili au journal Le Monde.
Il y a 4 ans et 93 jours

Le tunnel du Lyon-Turin entre dans sa phase de travaux définitifs

Après une longue phase d'études et des atermoiements côté italien sur l'utilité du projet, "on est rentré dans ce qu'on appelle les travaux définitifs, c'est-à-dire dans le creusement du tunnel principal" de 57 km, a-t-il expliqué."On est en train de préparer les appels d'offres pour attribuer les marchés de réalisation du tunnel", lesquels "représentent un engagement de l'ordre de 4 milliards d'euros", a-t-il relevé devant la commission de l'Aménagement du territoire du Sénat."Nous restons sur 2030" pour la mise en service du tunnel, quand bien même "le calendrier est tendu" en raison "des difficultés" créées par la crise sanitaire, a-t-il estimé, alors que la ministre italienne des Transports Paola De Micheli a évoqué une échéance pour 2032.Le calendrier pourrait être renégocié à la fin de l'année quand sera discuté le nouveau contrat de financement avec la Commission européenne, a ajouté Hubert du Mesnil, notant qu'il y aura alors "un arbitrage à faire" entre la tenue des délais et les coûts.Quant au prix du tunnel, il est toujours, selon le patron de la société Tunnel Euralpin Lyon Turin (TELT), de 8,3 milliards d'euros (valeur 2015)."Il n'est pas juste de dire que le (coût du) projet a flambé, nous en sommes toujours au même niveau d'estimations", a-t-il assuré, démentant l'augmentation de 85% pointée en juin par la Cour des comptes européenne.Le coût doit être pris en charge à 40% par l'Europe, 35% par l'Italie et 25% par la France, mais Bruxelles pourrait monter à 50 ou 55%M. du Mesnil a, à cet égard, regretté que les financements ne soient pas assurés sur le long terme tant du côté français que du côté européen.Il a par ailleurs rappelé que le projet était "à dominante fret", destiné à encourager le report modal des camions sur les trains pour traverser les Alpes, et que l'axe promu par l'Europe allait d'Espagne en Italie, et non de Paris vers l'Italie.Il faut donc régler les accès au futur tunnel et particulièrement "prendre à bras-le-corps" le contournement ferroviaire de Lyon, a-t-il insisté."Si ce projet (de Lyon-Turin) est réservé aux voyageurs, il n'a pas d'intérêt, il faut l'arrêter", a relevé M. du Mesnil.
Il y a 4 ans et 93 jours

Les écologistes rejoignent la manifestation des raffineurs de Grandpuits devant le siège de Total

"Patrick Pouyanné (le patron de Total, ndlr) a dit que ce projet était bon parce qu'ils allaient transformer cette raffinerie en raffinerie d'agrocarburants. Mais les agrocarburants, on le sait, sont parfois pire que les énergies fossiles. C'est une mascarade de transition écologique", a déclaré Jean-François Julliard, directeur de Greenpeace.D'autres associations écologistes et ONG, comme Les Amis de la Terre, s'étaient jointes au rassemblement lors duquel des fumigènes rouges et verts ont été allumés pour célébrer au son des tambours l'alliance inhabituelle des raffineurs et des écologistes.Une tentative pour repeindre en vert la façade du siège de Total a toutefois été rendue impossible par la présence d'un cordon de CRS. Les manifestants ont cependant réussi à coller des affiches sur lesquelles était écrit: "Grandpuits, 700 emplois menacés, 7 milliards de dividendes" et "Grandpuits, greenwashing, casse sociale"."On se bat auprès des écolos parce qu'on dénonce le fait que Total ne prend pas un virage écologique. Au contraire, (...) il veut délocaliser les capacités de raffinage à Grandpuits dans des pays où les normes sociales et environnementales sont moindres", a déclaré Adrien Cornet, délégué CGT à la raffinerie de Grandpuits, "conscient" qu'il faudra dépasser les énergies fossiles.Les raffineurs de Grandpuits sont en grève depuis le 4 janvier contre le projet de reconversion du site, où Total prévoit de cesser le raffinage "fin 2023" pour laisser la place à la production de biocarburants et de bioplastiques, et à l'exploitation de deux centrales solaires photovoltaïques.Pouyanné "verdit le plan social", a réagi le député (LFI) François Ruffin. "Avec un deuxième objectif, qui est de discréditer l'écologie. En se disant +si jamais l'écologie devient responsable des licenciements, je vais la rendre impopulaire+. A la place de tomber dans le piège, Greenpeace et la CGT se tendent la main pour dire +on va travailler ensemble+".Dans la matinée, Total a annoncé une perte nette de 7,2 milliards de dollars en 2020, contre un bénéfice de 11,2 milliards en 2019, notamment en raison de la crise économique.
Il y a 4 ans et 93 jours

Quand les petits ruisseaux font les grandes... responsabilités

Une réponse ministérielle indique dans quelles conditions une commune peut voir sa responsabilité engagée pour mauvais entretien d'un ruisseau qu'elle a transformé en ouvrage d'évacuation des eaux pluviales de lotissements situés sur son territoire.
Il y a 4 ans et 93 jours

Chris Van Duijn - Portrait

Titulaire d'un master en architecture de l'université de Delft, Chris van Duijn est architecte partenaire d'OMA depuis 2014. Il y dirige les projets asiatiques tels que la galerie commerciale Hanwha de Séoul (2020) ou le Columbia Circle masterplan de Shanghaï, un projet de préservation patrimoniale de grande échelle. Ayant intégré OMA en […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 93 jours

Vivre à la campagne : peut-on se passer de la ville ?

Certains des lecteurs assidus de Build Green le savent, je vis à la campagne depuis presque toujours (plus de 40 ans) et ces dernières années, il m’arrive assez peu souvent de me rendre en agglomération. Or, suite à quelques échanges ici ou sur les réseaux sociaux, j’ai constaté qu’il y avait beaucoup d’a priori sur […]
Il y a 4 ans et 93 jours

Mesures de prévention sanitaire de l'OPPBTP : la règle des 2 m en vigueur

La circulation de variants britannique, brésilien et sud-africain impose de nouvelles mesures de prévention sanitaires, dont le respect d’une distance physique de 2 m, pour les activités dans le BTP.
Il y a 4 ans et 93 jours

Les « Construction Days », nouveau salon des TP outdoor à Lyon en septembre

Impatients de se retrouver avant la Bauma à Munich en avril 2022, industriels et entreprises des travaux publics lance un court événement pour faire le point sur les évolutions.
Il y a 4 ans et 93 jours

Ile d'Yeu: polémique sur un permis de construire accordé au roi des Belges

L'octroi d'un permis de construire au roi des Belges pour un local crée la polémique: un "privilège scandaleux" selon l'opposition, "jalousie malsaine" rétorque le maire.
Il y a 4 ans et 93 jours

La plateforme KROQI évolue avec de nouveaux services et fonctionnalités pour les acteurs de la construction

Un écosystème de fonctionnalités pratiques et complémentaires est ainsi mis à disposition des quelques 100.000 acteurs qui utilisent la plateforme deux ans après son lancement. De nouvelles fonctionnalités leur sont aujourd'hui proposées, certaines soumises à tarification. Un accès gratuit est néanmoins maintenu pour un large périmètre d'utilisateurs et d'usages de KROQI.KROQI aujourd'huiFacilitant le travail collaboratif, KROQI s'est imposée depuis 2018, comme un outil-clé pour un grand nombre d'acteurs, en particulier les TPE-PME de la construction. La plateforme compte ainsi :Près de 100.000 utilisateurs uniques ;20.000 espaces de travail créés, soit Plus de 42 TO de données stockées.Dans un contexte d'accélération de la transition numérique de la filière et des nouveaux besoins dans ce domaine, de nouvelles fonctionnalités sont aujourd'hui proposées aux utilisateurs.Nouveaux services & fonctionnalitésIntégrés ou en cours d'intégration, les nouveaux services proposés sont multiples :Création d'applications mobiles pour iOS et Android ;Possibilité d'annoter la maquette via un serveur au standard BCF ;Accès à plusieurs visionneuses BIM / IFC (dont deux visionneuses en ligne) ;Services BIM métiers (conventions de nommage, vérificateurs ...) ;Coédition en ligne de documents ;Etc.Ces nouveautés attendues par les acteurs complètent l'écosystème de services et fonctionnalités complémentaires, fiables et interconnectés, proposés par la plateforme KROQI.Modalités d'accès et gratuité pour les projets d'initiationEn cohérence avec le positionnement et objectif initial de la plateforme, un accès gratuit est maintenu pour un large périmètre d'utilisateurs, dans le respect de valeurs limites pour chaque entreprise / organisation :Au-delà de ce périmètre, l'accès à la plateforme est soumis à une tarification adaptée aux attentes des professionnels de la construction. Ainsi par exemple :La notion « d'invité gratuit » (hors organisation ou entreprise), est introduite pour soutenir le travail en mode projet.Des offres sur mesure sont proposées en fonction des différents besoins.D'autres nouveautés à venirPour apporter des réponses toujours plus fines et adaptées aux besoins et enjeux du secteur, de nouveaux services sont en cours de réflexion et développement, à l'image d'une offre « sur mesure » dédiée aux architectes. D'autres offres sectorielles suivront en fonction des besoins des différents types d'acteurs.
Il y a 4 ans et 93 jours

Sika acquiert un fabricant russe de mortier

RACHAT. Le spécialiste suisse de la chimie, Sika, poursuit sa croissance externe en mettant la main sur le fabricant russe de mortier Kreps.
GDA
Il y a 4 ans et 93 jours

Baromètre du Grand Paris des entreprises : Une action coordonnée est nécessaire à la relance du secteur de la construction

En effet, en excluant les grands projets et les glissements de chantiers, le manque de perspectives est criant, surtout pour les TPE et PME. Autour de la CCI Paris Ile-de-France, les professionnels du secteur expriment trois vœux pour rebondir et construire la ville de demain.Relancer la commande publiqueTout est réuni pour que la construction puisse redémarrer. Les professionnels du secteur ont su s'adapter et s'organiser pour reprendre au plus vite les travaux malgré les contraintes imposées. Les projets du Grand Paris ne sont pas une finalité, ils révèlent des opportunités d'aménagement. La nouvelle offre de transports approche et enclenche une nouvelle réflexion sur la stratégie urbaine.Pourtant, en 2020, les mises en chantier de logements ont baissé de 17%. Pour les bâtiments non résidentiels, le recul atteint 30%. Concernant les Travaux Publics du quotidien, hors grands projets, le repli est de 20%.Aujourd'hui, les professionnels s'accordent à dire qu'il est temps de lancer les marchés, de libérer les projets et de garantir l'approvisionnement des chantiers en accélérant les autorisations d'exploitation de carrières et d'acceptation de déblais. Les programmes de construction et de rénovation sont nécessaires au développement du territoire et doivent être engagés dès à présent pour contribuer durablement à la croissance des entreprises locales.Répondre à la forte demande de logementLa production de logements est au ralenti : ces derniers mois, les autorisations sont inférieures aux mises en chantier en Ile-de-France. Même le segment du logement social ne joue pas son rôle habituel d'amortisseur : seuls 21 300 agréments financiers ont été délivrés en 2020 (-30%). Côté promoteurs, les mises en vente de logements neufs ont chuté de 45% (15 300 contre 34 000 en 2018). Pour y remédier, l'effort du plan France Relance en matière de rénovation thermique et de recyclage du foncier est louable mais il ne suffit pas. Et pourtant la crise a renforcé les aspirations des franciliens vers le mieux-habiter. Il faut donc rapidement répondre à ces attentes de construction neuve et durable.D'ailleurs plusieurs leviers existent : accélérer réellement l'instruction des autorisations d'urbanisme (-25% en 2020, un trimestre de délivrance en moins), mobiliser le foncier public (près de 150 ha fléchés en Île-de-France), développer le segment intermédiaire (près de 7 000 logements locatifs intermédiaires ont été agréés en 2019 et l'objectif est de 100 000 à l'horizon 2030) et transformer des bureaux vacants en logements (en relevant le bonus de constructibilité). Les investisseurs institutionnels reviennent s'engager sur le résidentiel, il ne reste donc plus qu'à agir.Choisir le bon tempo pour avancerMalgré l'absence de visibilité à moyen-terme et la stagnation, voire la baisse, des prix des marchés de travaux, les entreprises maintiennent leurs effectifs et remplissent leurs objectifs élevés en matière d'apprentissage. A ce titre, la FFB reconduit son opération « 15 000 bâtisseurs » et la FRTP IDF œuvre en faveur de l'attractivité des métiers avec son opération #DirectionTravauxPublics qui promeut les métiers et formations de la filière.Pour tenir le cap, le remboursement du PGE qui pourra être différé d'une année supplémentaire, voire plus, est une bonne nouvelle. Mais en cette période d'incertitudes, ce n'est pas le bon moment pour ajouter du flottement. La règlementation environnementale (RE 2020) va perturber la filière construction dans le choix des matériaux et équipements. Les professionnels du secteur demandent à jouer la carte de la complémentarité des différents modes constructifs. De plus, il faut miser sur le recyclage et la valorisation des déchets de chantier en circuits-courts et des ouvrages démonstrateurs.Crise, période électorale à rallonge, instabilité, depuis plus d'un an l'activité est bridée. Pourtant les besoins des habitants et des salariés se font pressants. Il faut accélérer la commande publique et les autorisations de logements et d'équipements publics. Les professionnels appellent à relever ensemble, et de manière coordonnée, le défi de la transition écologique urbaine, pour construire une ville plus résiliente. « Développement économique et transition écologique sont compatibles, choisissons le bon tempo » insiste Didier Kling, président de la CCI Paris Ile-de-France.
Il y a 4 ans et 93 jours

Avril 2021 : début des travaux de la nouvelle école élémentaire d’Achères

La commune d’Achères se dotera d’une nouvelle école élémentaire en septembre 2022.
Il y a 4 ans et 93 jours

Le palais de justice de Bayonne s’apprête à se refaire une beauté

Les travaux de réfection du palais de justice de Bayonne démarreront en 2022.
Il y a 4 ans et 93 jours

Face à la vague de froid, les autorités rappellent les gestes de prévention

SANTÉ. Avec cette vague de froid qui s'installe pendant quelques jours sur la France, le ministère du Travail appelle les employeurs à la vigilance. Pour des secteurs d'activité où le travail en extérieur est extrêmement fréquent, comme le BTP, des moyens de prévention simples permettent d'éviter des risques parfois sérieux.
Il y a 4 ans et 93 jours

RE2020 : Uniclima veut "éviter la brutalité du projet ministériel actuel"

RÉACTION. L'organisation professionnelle Uniclima fait le point sur les mois écoulés, concernant la définition progressive de la réglementation environnementale 2020 (RE2020). Et demande des ajustements pour atténuer la "brutalité" des annonces initiales.
Il y a 4 ans et 93 jours

Quelles sont les ambitions de Total en devenant TotalEnergies ?

STRATEGIE. Alors qu'il annonce une perte pour 2020, le groupe Total confirme son virage dans l'énergie, en proposant à ses actionnaires de changer de nom pour devenir Total Energies.
Il y a 4 ans et 93 jours

Paris-Saclay : trois lots attribués dans la Zac de Moulon

CONCOURS. Trois équipes d'architectes ont été choisies pour réaliser, pour Seqens, un programme de 181 logements sociaux, et une maison médicale, sur le quartier de Moulon, au sein du Campus urbain de Paris-Saclay.
Il y a 4 ans et 93 jours

Le projet de loi "Climat et résilience" présenté en Conseil des ministres

POLITIQUE. C'est un texte "quasiment identique" à l'avant-projet de loi qui a été présenté, le 10 février, en Conseil des ministres. Le projet de loi, qui reprend une partie des propositions de la Convention citoyenne, porte des modifications importantes du droit concernant les logements énergivores, et l'artificialisation des sols. Tour d'horizon des mesures qui concernent le BTP.
Il y a 4 ans et 93 jours

Paulo Merlini Architects : Casa Rio

L’agence portugaise Paulo Merlini Architects a rénové trois maisons, et créé une grande bâtisse familiale : la Casa Rio. Visite. Lors de la rénovation d’une ancienne ferme, les architectes ont découvert que celle-ci se composait de trois petites maisons. Intrigués par l’histoire du lieu, ils ont choisi de révéler cet agencement atypique, et en ont fait le fil conducteur du projet. Pour rénover l’ancienne ferme et la transformer en une maison familiale contemporaine, les architectes ont fait le choix de conserver les volumes originaux en assumant leur originalité. Afin d’unifier les trois maisons, ils les ont organisées autour d’un patio central. Situées au rez-de-chaussée, et ainsi baignées de lumière, les pièces à vivre sont chaleureuses, confortables et ouvertes sur l’extérieur, tandis que les espaces privés sont installés au premier étage, au niveau du jardin suspendu, pour plus d’intimité. Côté intérieur, l’idée était de créer des jeux de contrastes entre les deux niveaux de la Casa Rio en travaillant la matière. Au rez-de-chaussée, une matérialité brute donne l’impression de vivre à l’extérieur. À rebours de cette esthétique, l’étage supérieur se caractérise par des grands volumes blancs épurés qui dévoilent la structure originelle de la ferme, et donc son histoire. À cet étage, les hauts pieds-droits, les volets et les planchers en bois sont des éléments issus du vocabulaire architectural portugais traditionnel.Pour en savoir plus, visitez le site de Paulo Merlini Architects.Visuels : © Ivo Tavares StudioLa rédaction
Il y a 4 ans et 93 jours

A Nice, la justice suspend l'arrêté municipal interdisant les locations saisonnières

"L'arrêté attaqué portait une atteinte immédiate au droit pour les citoyens d'user, de jouir et de disposer de l'intégralité de leurs biens et à la liberté du commerce et de l'industrie des professionnels dont l'activité porte sur la location saisonnière", a indiqué le tribunal dans un communiqué.Les requérants, représentant les propriétaires d'appartements loués sur des plateformes type Airbnb, parfois multi-propriétaires, estimaient l'arrêté "infondé et discriminatoire" notamment vis-à-vis des quelques hôtels encore ouverts.Les hôtels sont "soumis, à la différence des locations saisonnières, à des règles strictes qui dépassent assez largement la seule question de la rédaction d'un protocole informatif à destination des voyageurs", soutenait au contraire la municipalité.Le maire Christian Estrosi (LR) a annoncé dans la soirée sur RTL son intention de saisir "le Conseil d'Etat". "J'ai toute confiance", a-t-il ajouté.Pour prononcer la suspension, le juge des référés a souligné que la situation sanitaire préoccupante dans les Alpes-Maritimes n'avait pas conduit à des mesures supplémentaires d'interdiction par la préfecture ou par les mairies voisines. Ce qui était interdit à Nice ne l'a jamais été sur le reste du littoral."Il n'a pas été démontré en quoi les mesures contestées, qui comportent des exceptions jugées difficilement compréhensibles par les acteurs économiques locaux et qui ont des incidences dans de nombreux domaines autres que sanitaires, seraient actuellement indispensables à Nice alors que la responsabilisation civique de citoyens suivant librement les recommandations sanitaires qui leur paraissent justifiées et légitimes est prônée actuellement au niveau national", ajoute-t-il.En outre, l'afflux massif de touristes invoqué sur la Côte d'Azur en période hivernale n'est pas démontré alors que le carnaval de Nice 2021 a été reporté à 2022 et que tous les voyages non essentiels ont été fortement déconseillés.Nice a été en 2014 parmi les premières villes à tenter de réguler l'essor des meublés touristiques et ses dérives au détriment du logement des actifs, des hôteliers et des riverains subissant des nuisances. La réglementation a été encore musclée en 2019, sans être aussi sévère que celle de Paris ou Bordeaux.Il y avait 12.500 annonces au plus fort de la saison rien que sur Airbnb, indiquait la mairie juste avant le premier confinement.
Il y a 4 ans et 93 jours

Lyon-Turin : les marchés de creusement du tunnel côté français attribués au printemps

INFRASTRUCTURE. Le président de Telt, Hubert du Mesnil, était auditionné par la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat ce 10 février 2021. L'occasion de faire le point sur la construction du tunnel transfrontalier de la liaison Lyon-Turin, alors que les marchés les plus importants de ce grand projet doivent bientôt être notifiés, comme se l'est fait confirmer Batiactu.
Il y a 4 ans et 93 jours

Le Bâtiment dénonce la fin des coups de pouce CEE et demande au gouvernement de les maintenir

Ces derniers prévoient notamment de réduire drastiquement les systèmes de bonifications des CEE, pourtant essentielles au soutien de l'activité et à la réduction du reste à charge pour les ménages.Pire encore, ces projets de textes actent, par anticipation, la disparition dès le 1er juillet 2021 des « coups de pouce » pour les travaux d'isolation ou ceux visant la chaudière gaz THPE (Très haute performance énergétique) et les émetteurs électriques performants.Cet arrêt brutal et imprévu aura des conséquences délétères pour de nombreux entrepreneurs et artisans du bâtiment qui se sont structurés pour répondre au marché, avec des emplois à la clé. C'est aussi un frein considérable à la popularisation des travaux de rénovation énergétique.C'est pourquoi la FFB demande la pérennisation des dispositifs « coup de pouce » actuels qui ont l'avantage d'être lisibles, tant pour les particuliers que pour les professionnels.Le président de la FFB, Olivier Salleron, alerte : « Dans le contexte actuel de crise sanitaire, sociale et environnementale, et alors que la rénovation énergétique constitue un enjeu majeur, il est incompréhensible de prévoir des mesures couperet aussi pénalisantes pour les ménages modestes, l'activité et la massification des projets. Ces décisions introduisent à nouveau de l'instabilité dans les aides à la rénovation énergétique. Il est plus que jamais essentiel de pérenniser sur le long terme les dispositifs qui marchent ! »
Il y a 4 ans et 93 jours

La commission des affaires économiques du Sénat demande une concertation entre Veolia et Suez

Plutôt que de créer de la valeur et de renforcer leurs positions, elle risque de déstabiliser les deux entreprises dans une période cruciale aussi bien pour les contrats de services dans les territoires que pour le développement des filières environnementales mondiales.La commission des affaires économiques du Sénat, qui travaille avec celle de l'aménagement du territoire et du développement durable sur ce dossier depuis le mois de septembre, a acquis la conviction qu'il n'y aura de sortie de cette crise que de façon concertée.Une opération d'acquisition à caractère hostile, qui créerait nécessairement un « gagnant » et un « perdant », serait en réalité une perte pour tous deux et pour le pays. Elle conduirait inévitablement à une destruction de valeur plutôt qu'à un renforcement des positions du pays sur des marchés essentiels pour les collectivités territoriales comme pour la préservation de la planète.Les évènements intervenus ce dimanche et ce lundi, avec d'une part l'annonce par Veolia du lancement d'une OPA hostile sur la totalité du capital de Suez, et d'autre part la décision de justice en référé suspendant cette OPA, ne concourent pas à un retour au calme salvateur.La commission estime qu'il appartient au Gouvernement, dans son rôle de garant des intérêts économiques de la Nation, de faire cesser les hostilités entre les deux entreprises et de réunir les parties prenantes pour s'accorder sur un scénario concerté. La décision de justice intervenue ce lundi 8 février ne représente qu'une suspension temporaire et ne saurait dispenser le Gouvernement de travailler à une sortie de crise.Pour Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques : « Le ministre Bruno Le Maire estimait il y a une semaine au Sénat qu'" une solution amiable est à portée de main " : il lui appartient désormais de s'assurer que le dialogue soit restauré et de faire aboutir un tel compromis. Le Gouvernement, dont les représentants ont soutenu la cession des parts d'Engie dans Suez à l'été, ne doit aujourd'hui pas s'en laver les mains mais engager les deux parties dans un scénario de sortie de crise ».Le comité de suivi commun à la commission des affaires économiques et à celle de l'aménagement du territoire et du développement durable, dont les rapporteurs sont Florence Blatrix Contat, Alain Cadec, Gilbert Favreau, Catherine Fournier, Hervé Gillé et Évelyne Perrot, poursuit ses auditions et entendra ce mardi 9 février l'Autorité de la concurrence ainsi que l'Autorité des marchés financiers (AMF).Le mardi 17 février prochain, les commissions des affaires économiques et de l'aménagement du territoire et du développement durable entendront les fonds Meridiam et Ardian, dans une audition commune qui fera l'objet d'une retransmission.
Il y a 4 ans et 93 jours

Lyon-Turin : 4 milliards d'euros de travaux à venir

La construction du tunnel transfrontalier est maintenant entrée dans une phase active avec le lancement de 4 milliards d'euros d'appels d'offres, a indiqué, mercredi 10 février, Hubert du Mesnil, président de la société publique TELT chargée de le construire.
Il y a 4 ans et 93 jours

Le magasin Tati de Barbès à Paris transformé en logements sociaux

La première vague de l'appel à projets, lancé dans le cadre de l'opération "Réinventer Paris" et dont l'objectif est de transformer des bureaux vacants en logements, concerne six sites, dont deux appartiennent à la Ville.Le plus emblématique est assurément l'immeuble haussmannien situé à l'angle des boulevards Barbès et de Rochechouart, coiffé de l'enseigne vichy rose Tati depuis 1948. Un magasin populaire dont le groupe GPG, qui l'avait repris en 2017, avait annoncé en juillet 2020 la fermeture, sa fréquentation ayant été fortement affectée par la crise liée à l'épidémie de Covid-19.Ses 6.500 m² de surface vont être partiellement transformés en logements, "notamment" sociaux, mais la mairie reste ouverte aux possibilités d'utilisation commerciale du rez-de-chaussée, afin de "garder une ouverture sur le quartier", a souligné Emmanuel Grégoire, le premier adjoint de la maire PS Anne Hidalgo, lors d'une conférence de presse.La municipalité veut associer pleinement le propriétaire, le groupe GPG, et les héritiers de la famille Ouaki à l'appel à projets.Le siège historique de l'Assistance-Publique - Hôpitaux de Paris, situé avenue Victoria, en face de l'Hôtel de Ville, verra la moitié de ses 25.000 m² maximum affectée à des surfaces de bureaux, et 30% à des logements sociaux. L'AP-HP transfère son siège au sein de l'hôpital Saint-Antoine (XIIe), a indiqué M. Grégoire, adjoint chargé de l'urbanisme.Parmi les quatre autres sites inscrits dans cette première vague de réhabilitation figurent deux garages automobiles, l'un appartenant à Renault dans le XVe, l'autre à PSA dans le XIe. Le premier, édifié en 1954 et qui comprend neuf niveaux pour 10.000 m², offre une vue directe sur la Tour Eiffel et la Seine.Les six sites totalisent 60.000 m² de surface à réhabiliter, mais "beaucoup plus avec le potentiel à construire", a souligné Emmanuel Grégoire selon lequel la crise sanitaire et économique pourrait engendrer "une baisse de demandes de bureaux entre 15 et 25%".L'objectif de Ian Brossat, l'adjoint PCF au logement, est "d'aller beaucoup plus loin et faire davantage dans la mandature qui s'ouvre" que les 350.000 m² de bureaux transformés en logements pendant le premier mandat d'Anne Hidalgo (2014-2020). Un rythme qui avait déjà doublé par rapport aux deux mandatures de son prédécesseur Bertrand Delanoë (2001-2014).
Il y a 4 ans et 93 jours

Studio Nendo : N02 Recycle

Pour l’éditeur danois Fritz Hansen, le studio japonais Nendo a imaginé une collection de chaises modulables, durables et solides à partir de matériaux recyclés. Celle-ci vient de recevoir le label écologique européen, EUECOLABEL, attribué par la Commission européenne, pour leur écoconception et leurs matériaux recyclés. Aperçu. Conçue par l’entreprise Fritz Hansen en collaboration avec le studio de design Nendo, la chaise N02 Recycle a été fabriquée à partir de déchets plastiques ménagers, traités et recyclés en Europe, pour répondre aux nouvelles exigences environnementales. Du choix des matières premières à la production de la chaise, le respect de l’environnement prime. La chaise N02 Recycle est à la fois écoresponsable et design. L’architecte et designer japonais Oki Sato, fondateur du studio Nendo, l’a voulue ainsi, écoconçue, durable et contemporaine, au piétement en acier laqué. Aujourd’hui, elle se décline en plusieurs modèles : les chaises N02-10, sans accoudoirs, et les chaises N02-11, avec accoudoirs. Aujourd’hui reconnues pour leur durabilité et leur design, ces chaises, créatives et fonctionnelles, s’adaptent à tout type d’intérieur contemporain. Des chaises écoresponsables très contemporaines ! Pour en savoir plus, visitez les sites du studio Nendo et de l’entreprise Fritz Hansen. Visuels : DRLa rédaction
Il y a 4 ans et 93 jours

La métamorphose du Musée des tissus de Lyon a commencé

Le Musée des Tissus de Lyon va être complètement métamorphosé sous la direction de l’architecte Rudy Ricciotti, dont le projet a été retenu en janvier 2021. Un nouveau bâtiment censée rappeler un tissu flottant au vent permettra de créer un nouvel espace d’exposition de 2000 m², dont 1000 m² d’expositions temporaires.  Le patrimoine existant, axé autour des deux hôtels particuliers Villeroy et Lacroix-Laval sera préservé et embelli. Perle architecturale du XVIIIe siècle, l’hôtel de Lacroix-Laval va être entièrement restauré et mis en valeur : rénovation des façades et toiture, renforcement des planchers, mise aux normes du bâtiment dont l’accessibilité, pour ensuite travailler dans le cadre du projet global sur le parcours scénographique. L’hôtel de Villeroy, bâtiment non protégé au titre des monuments historiques, qui a déjà connu plusieurs modifications au cours des siècles, va également être restauré. Une construction reliera les deux hôtels XVIIIe et servira d’accueil et de distribution de l’ensemble du nouveau musée. Les travaux dits de de clos et couvert ont démarré pour assurer l’étanchéité à l’eau et à l’air de l’hôtel de Lacroix-Laval. Façade et la toiture seront concernées par ces interventions. Les derniers aménagements remontent aux années 1960. L’ensemble de ces actions vise à préparer l’édifice aux futurs aménagements du projet global. La deuxième phase du projet, avec la construction de nouveaux espaces reliant l’hôtel de Villeroy à celui de Lacroix-Laval, devrait débuter en 2023. Visuel : Agence Rudy Ricciotti  
Il y a 4 ans et 93 jours

Des dizaines de milliers d’altérations sur la Tapisserie de Bayeux

Classée Monument Historique depuis 1840 et inscrite depuis 2007 au registre « Mémoire du Monde » de l’UNESCO, la Tapisserie de Bayeux est considérée aujourd’hui comme le plus important monument des arts textiles de la période romane, mais aussi comme un témoignage capital sur la conquête de l’Angleterre par le duc Guillaume de Normandie en 1066 qu’elle relate. Un constat d’état a été réalisé par une équipe de huit restauratrices spécialisées dans les textiles anciens durant le mois de janvier 2020. L’examen direct de l’œuvre a nécessité sa manipulation afin que l’équipe des restauratrices puisse faire ses observations sans l’interface de la vitrine. L’objectif de l’étude préalable était de dresser un constat d’état précis des dégradations ou interventions survenues au cours des siècles pour améliorer la connaissance matérielle de l’œuvre et optimiser ses conditions de conservation. Chaque altération repérée a été reportée directement sur le Système d’Information Documentaire Spatialisé (SIDS), développé sur-mesure pour la l’ouvrage. Les 68,38 mètres de longueur de la Tapisserie ont fait l’objet d’un examen attentif. Chaque jour, chaque restauratrice étudiait environ 1 mètre de la broderie et de son support en toile de lin pour en analyser les dégradations. À l’issue de son étude, l’équipe des restauratrices a notamment relevé 24204 taches, 16445 plis, 9646 manques dans la toile ou les broderies, 30 déchirures non stabilisées, une fragilisation plus importantes des premiers mètres de l’œuvre. Certaines altérations sont les témoins de l’Histoire de l’œuvre, elles seront donc conservées à moins qu’elles ne constituent un risque d’aggravation de son état. À titre d’exemple, la présence de trous de clous inhérents à d’anciens accrochages, des réparations de la toile réalisées dans le passé, ou encore des tâches de cire provoquées par l’éclairage à la bougie dans la cathédrale, ont pu être répertoriées. Dans le cadre du projet de rénovation du musée, le comité scientifique en charge du suivi des opérations de conservation-restauration a estimé qu’une restauration de l’œuvre était nécessaire. Elle devrait être programmée à l’horizon 2024 quand l’établissement muséal actuel devra fermer ses portes au public pour entrer en phase de travaux. Le but de cette opération sera de stabiliser les altérations structurelles telles les déchirures, de procéder à un dépoussiérage précis de l’œuvre et surtout de limiter les tensions pesant aujourd’hui sur la toile de lin médiévale, causées notamment lors de restaurations anciennes. Dans le cadre de la rénovation du musée, la DRAC de Normandie est aujourd’hui engagée dans la commande d’une étude afin de déterminer les modalités d’extraction de l’œuvre de son lieu actuel et les conditions de sa restauration ; les caractéristiques d’une nouvelle vitrine de présentation pour l’œuvre. Cette nouvelle vitrine devra permettre d’optimiser les conditions de conservation et d’exposition de ce chef d’œuvre du Moyen Age.   Photo : ville de Bayeux
Il y a 4 ans et 93 jours

Vaste restauration de l’orgue de la cathédrale de Reims

La DRAC Grand Est va lancer la restauration de l’orgue de tribune de la cathédrale de Reims. Il s’agira de conserver l’esthétique musicale de l’instrument, tout en améliorant les performances sonores et en préservant l’intégrité de la tribune et des buffets anciens classés au titre des Monuments historiques. L’orgue étant destiné à être joué lors de manifestations importantes, cette restauration s’accompagne de la réalisation d’une console mobile. La partie instrumentale, de facture néoclassique, a été conçue par Victor Gonzalez en 1937, pour s’adapter aux buffets anciens, dont les dispositions sont héritées de remaniements successifs, les plus importants étant datés des XVe, XVIe et XVIIe siècles. Malgré un entretien régulier durant le XXe siècle, l’instrument devient difficilement jouable dès les années 1990, sa mécanique révélant ses faiblesses. Si une campagne mineure a été réalisée en 2010-2011 pour que l’orgue puisse être entendu lors des célébrations du 800e anniversaire de la cathédrale, l’instrument a beaucoup souffert de la sécheresse de 2018 et n’est aujourd’hui presque plus utilisé. 6 000 tuyaux sont à restaurer en 30 000 heures de travail et 42 mois de chantier. Les premiers mois du chantier seront consacrés aux études complémentaires destinées à préciser l’implantation de l’échafaudage et les descentes de charge. L’installation de ce dernier devrait débuter courant avril, s’en suivront des tests acoustiques, puis la dépose de la partie instrumentale, qui sera restaurée pendant plus d’un an et demi dans l’atelier du facteur d’orgues Pascal Quoirin, situé dans le Vaucluse. Sur place, le chantier ne sera pas pour autant inactif : les voûtes et les maçonneries environnantes feront l’objet d’un nettoyage, puis les buffets et la tribune d’un traitement sur place. Maîtrise d’ouvrage : Direction régionale des affaires culturelles Grand Est Maîtrise d’œuvre : Eric Brottier Restauration de la partie instrumentale : SARL Orgues Quoirin Restauration du buffet : Groupement EURL Atelier Gabriel Quoirin ; EI Alice Quoirin Photo : Michel Feck – Direction régionale des affaires culturelles Grand Est  
Il y a 4 ans et 93 jours

Le jardin de Monet à Giverny : Histoire d’une renaissance

La maison et les jardins de Claude Monet à Giverny rouvriront leurs portes au public le 1er avril 2021.  Une nouvelle saison fidèle à l’esprit du maître des lieux et marquée par la publication du livre du récit de la restauration des jardins par Gilbert Vahé, chef jardinier du domaine de 1976 jusqu’en 2018. Si les livres consacrés à Claude Monet foisonnent, celui de Gilbert Vahé fera référence. « Cet ouvrage était indispensable, confie Hugues R. Gall, directeur de la Fondation Monet. « Il conte, avec force détails, cette renaissance que nous devons au travail incroyable et complet de Gérald Van der Kemp et Gilbert Vahé. Ensemble, ils ont redonné à cet endroit l’esprit de Monet et en ont fait un lieu de mémoire incontournable».  Coédition Fondation Claude Monet – Gourcuff/Gradenigo  
Il y a 4 ans et 93 jours

Projet de loi Climat et Résilience : tout ce qui concerne la construction

Examiné mercredi 10 février en Conseil des ministres, le très attendu projet de loi "portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets pour le climat" comporte 69 articles répartis en 6 titres : consommer, produire et travailler, se déplacer, se loger, se nourrir et renforcer la protection judiciaire de l'environnement.
Il y a 4 ans et 93 jours

Schenker Stores présente le TD2, un toit de terrasse élégant et modulaire

L’année 2020 et la crise sanitaire auront mis en évidence le désir des propriétaires d’envisager leur domicile de manière plus confortable. Ainsi les aspirations évoluent vers des solutions d’aménagement pour accroître l’espace de vie sur l’extérieur.Quoi de mieux qu’un toit de terrasse modulable pour profiter de son jardin ou de son balcon en toute saison ? Le toit de terrasse TD2 s’inscrit totalement dans cette démarche et, en plus de protéger des rayons du soleil et des regards indiscrets grâce à l’installation d’occultations latérales, il permet de créer un cocon de bien- être sur sa terrasse ou son balcon.Un toit de terrasse modulaire et personnalisableLe design et la conception neutre et sans fioriture du TD2 lui permettent de se fondre dans toutes les architectures de terrasse et de jardins. Pensé pour les maisons individuelles, les habitations multifamiliales, voire les restaurants, le TD2 s’adapte parfaitement à la largeur ainsi qu’à la profondeur des terrasses. L’extrémité du toit projetée protège idéalement du soleil, du vent et des intempéries. Ses dimensions flexibles en font le toit terrasse sur-mesure par excellence, s’adaptant aussi bien aux petites qu’aux grandes surfaces, pouvant aller jusqu’à 6 mètres de large et 6 mètres de projection, selon les configurations. Il trouvera aisément sa place sur les terrasses mais aussi sur les balcons.Une protection efficiente par tous les tempsPour un jeu d’ombre et de lumière, en toiture, des toiles résistantes, issues de la collection(presque illimitée) de couleurs et de motifs de Schenker Stores, assurent une protection efficace contre le soleil et le vent. Le guidage de la toile, caché dans les profils latéraux, assure qu’elle soit bien dirigée latéralement. Pour une esthétique parfaite, le store de toiture FMc est disponible en option. Ce store n’est pas rapporté (posé) sur l’armature mais est intégré à la structure. Cette protection en toiture peut être complétée par des stores latéraux permettant de s’abriter du soleil et des regards indiscrets. Ces stores bénéficient du système breveté Schenker Stores EBA ou ZIP qui veille à ce que la toile soit bien guidée latéralement quelle que soit la position. Ainsi ils sont extrêmement stables et résistants au vent, jusqu’à 92 km/h. Tous les stores sont motorisés et font du toit de terrasse un élément à part entière dans la maison connectée. Des capteurs vents et soleil sont disponibles pour une gestion entièrement automatisée de l’installation.Une conception robusteDe construction autoporteuse, à poutres et colonnes, tous les profilés sont en aluminium extrudé, pour une garantie sans corrosion et les coloris thermo-poudrés. Le TD2 est doté d’un profil de raccordement mural sur toute la largeur pour la fixation des chevrons latéraux.La toiture conçue avec une pente inclinée d’environ 5° est équipée d’une gouttière avec chéneau pour l’évacuation des eaux de pluie et d’une descente d’eau latérale incluse dans les poteaux. Ces derniers sont fixés par chevilles sur une fondation en béton.Les toiles haut de gamme offrent une excellente résistance à l’encrassement et aux moisissures pour des couleurs brillantes et durables. Translucides ou opaques, elles laissent pénétrer la luminosité et offrent une haute résistance aux UV, ou vous coupent de la lumière extérieure.Dans une perspective d’agrément, une vaste gamme d’accessoires a été développée pour assurer à l’utilisateur un confort maximal. Ainsi des spots ou un système de LED avec éclairage chaud ou froid, sans câblage visible, sont intégrables dans le cadre, dans les poutres longitudinales, dans les lamelles et dans les profils porteurs transversaux. Ils offrent un confort d’utilisation maximal et durable ; d’une simple pression sur un bouton il est possible de créer diverses ambiances lumineuses.On le voit, Schenker Stores assure une qualité constante à ses produits afin qu’ils soient dotés des plus hautes performances. L’amour du détail et la passion de la qualité s’appliquent de façon systématique dans la conception de leurs produits et le nouveau toit de terrasse TD2en est un nouvel exemple. Des garanties sont associées et portent sur la structure : 2 ans, les stores (FMc / ZIP / EBA) : 2 ans et la motorisation : 5 ans.Un même regard qualitatif est porté sur la relation technique et commerciale qu’entretient la marque avec ses partenaires professionnels installateurs, chez qui leurs solutions sont distribuées exclusivement.Ce souci de bien faire, de placer la qualité et la confiance dans les produits et dans les partenariats qui se nouent, Schenker Stores en a fait un service de premier ordre, du montage à la réparation en passant par l’entretien.