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Toute l'actualité du bâtiment

255449 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 109 jours

Bouygues s'engage à diminuer fortement son empreinte carbone dans la construction

"La stratégie climat de Bouygues Construction doit contribuer activement à la réduction de l'impact carbone de la construction", indique le PDG Philippe Bonnave, dans un communiqué. "Les nombreuses réalisations durables déjà livrées nous montrent que cela est possible et nous devons aller plus loin. C'est une véritable culture bas carbone que le groupe est en train d'adopter".Bouygues indique ainsi qu'il entend réduire à horizon 2030 de 40% ses émissions liées au fonctionnement de son siège et à l'activité sur les chantiers, qui représentent 11% des 2,9 millions de tonnes de CO2 produites en 2019, et de 30% celles générées par ses achats de produits, les déchets et son parc informatique, qui pèsent 89% du bilan carbone.Pour atteindre ses objectifs, Bouygues Construction indique notamment qu'il va se doter d'un parc de 90% de véhicules verts d'ici 2030, réduire de 50% les déplacements aériens internationaux et de 80% les vols nationaux de ses collaborateurs, travailler sur des circuits courts pour réduire le fret ou encore réduire de 15% d'ici 2025 son empreinte numérique."La construction bois est également un axe clé puisque Bouygues Construction s'engage à réaliser 30% de ses projets +bâtimentaires+ en bois à l'horizon 2030 en Europe", ajoute le groupe.Présent dans plus de 60 pays au travers de ses 56.980 collaborateurs, Bouygues Construction a réalisé en 2019 un chiffre d'affaires de 13,4 milliards d'euros.
Il y a 4 ans et 109 jours

RE 2020 : la nouvelle réglementation environnementale est prête à 99% !

Après l'adoption de l'avis favorable du Conseil supérieur de la construction (CSCEE) sur la future réglementation environnementale et avec quelques derniers réglages, le secteur de la construction va intégrer le critère carbone ces jours-ci. Et elle ne part pas de zéro : 70% des bâtiments de l'expérimentation E+C- sont déjà « RE2020 compatibles », relève Laurent Morel, président de l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment (Ifpeb).
Il y a 4 ans et 109 jours

Nouveau catalogue GAP référencement, le monde de la menuiserie va vibrer en 2021

212 pages pour tout savoir de la menuiserieCe qui frappe en premier sur ce catalogue, c'est bien sûr son volume mais surtout sa transversalité de la menuiserie « Comme on le dit dans le Rugby, c'est un joli bébé ! » en sourit Eric Beyne, le directeur commercial du réseau. « Il concentre toutes les familles de la menuiserie, de la fenêtre aux portails, de la porte d'entrée aux pergolas mais aussi des portes de placards aux dressings. En 25 ans d'expérience, je ne me souviens pas avoir vu un tel ouvrage, c'est un travail titanesque. » renchérit Eric Beyne.Une approche rédactionnelle pour le client finalDeuxième impression, le contenu rédactionnel associé à la qualité graphique de l'ouvrage. On sent vraiment la volonté de se rapprocher du consommateur final. « C'est un choix prioritaire de conseiller et séduire les clients de nos adhérents. Nous les accompagnons et les aidons à développer leur notoriété sur leur territoire en mettant en avant leur société » explique Florent Ardouin, Maître d'œuvre en communication en charge du réseau GAP Référencement.Dans chacune des 8 familles de la menuiserie, vous trouverez un chapitre « comment bien choisir » avec les différents points techniques mais également des conseils sur le style ou la décoration. Les produits des fournisseurs sont mis en valeur avec de beaux visuels et des « astuces du pro » ou « zoom sur… » qui mettent en évidence des éléments de différenciations. Enfin, le papier est qualitatif et surprenant. L'effet mat s'explique par un choix assumé de partir sur un papier de développement durable...« Je suis fier et heureux de la réaction de nos adhérents » complète Florent Ardouin. « Beaucoup d'entre eux m'ont souligné le fait de n'avoir jamais vu un tel ouvrage dans la menuiserie. C'est une nouvelle preuve de différenciation du réseau GAP même si cela reste un catalogue, je suis certain qu'il restera longtemps chez le client, voire qu'il sera partagé » conclut Florent Ardouin.Un document qui sublime et garde l'identité de son adhérentSi les pages intérieures sont identiques, la page de couverture, la seconde, troisième et dernière de couverture sont entièrement personnalisées à l'effigie de l'adhérent.« C'est l'ADN de notre réseau, notre adhérent garde son identité et tous nos supports sont personnalisés à 100% pour valoriser son point de vente et sublimer son image. Le logo GAP Référencement n'apparaît même pas sur la couverture. » explique Eric Beyne.« Le catalogue est un outil qui doit les aider à développer leur business en local. Nous avons donc intégré leurs propres services mais également leurs réalisations chantiers. Ainsi, nous respectons leurs spécificités régionales et leurs clients se sentent beaucoup plus concernés par l'offre proposée » conclut Eric Beyne.Pour découvrir le catalogue, cliquez ici.
Il y a 4 ans et 109 jours

L’architecte suisse Luigi Snozzi est décédé

Luigi Snozzi est décédé de la Covid le 29 décembre 2020. L’architecte suisse, réputé pour ses constructions Cet article L’architecte suisse Luigi Snozzi est décédé est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 109 jours

(Re)connaître le bois

Dans cet ouvrage paru à l’automne dernier aux Éditions du patrimoine, 3 auteurs, experts du matériau bois livrent leurs secrets d’identification des diverses essences utilisées dans le mobilier français. La méthode d’observation développée dans ce livre est moins intrusive qu’un prélèvement. Elle présente des critères objectifs de reconnaissance macroscopique et associe un historique d’utilisation et du commerce de chaque bois, permettant de contextualiser la production du mobilier. 75 essences différentes sont ainsi décrites, puis examinées « en situation » à travers plus de 60 meubles emblématiques conservés dans de grandes collections publiques (musée du Louvre, des Arts décoratifs, École de Nancy, etc.). Un livre pour identifier, connaître et préserver le matériau bois. L’Essence du bois – Manuel d’identification macroscopique des bois du mobilier français, XVIe-XXe siècle Patrick George, Emmanuel Maurin, Marie-Christine Trouy-Jacquemet – Photographies de Dominique Bouchardon
Il y a 4 ans et 109 jours

Les aides pour la rénovation énergétique en détail

L’Ademe publie un guide très complet sur les aides pour la rénovation énergétique y compris celles à l’initiative des collectivités. Il existe plusieurs dispositifs pour aider à financer les travaux. Les travaux soutenus peuvent varier d’une aide à l’autre mais les exigences techniques et le recours obligatoire aux professionnels RGE sont identiques pour tous les dispositifs à quelques exceptions près. Lorsqu’une qualification RGE est requise, le professionnel réalisant les travaux doit visiter le logement préalablement afin de valider l’adéquation des matériaux et équipements au logement concerné. La date de la visite doit figurer sur la facture. Lorsqu’une qualification RGE est requise, le professionnel peut faire appel à un sous- traitant (dans les limites indiquées par les critères de qualification), ce sous-traitant doit nécessairement détenir la qualification RGE appropriée. https://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/guide-pratique-aides-financieres-renovation-habitat-2021.pdf  
Cimbat
Il y a 4 ans et 110 jours

Chômage partiel : les aides gouvernementales continueront "tant qu'il le faudra", assure Borne

"Il n'y a aucun doute: le +quoi qu'il en coûte+ durera aussi longtemps que la crise le nécessitera", a-t-elle continué.Elle réagissait ainsi aux propos du ministre des Comptes publics, Olivier Dussopt, qui avait dit la semaine dernière dans un entretien aux Échos que "si 2021 marquera la fin de la crise et de la pandémie comme tout le monde l'espère, il faut aussi que 2021 marque la sortie du +quoi qu'il en coûte+"."Je pense qu'il est optimiste sur la sortie de la crise", a-t-elle estimé.Elle a en outre appelé les secteurs ayant recours aux contrats saisonniers à embaucher, même si leur activité est à l'arrêt comme c'est le cas des remontées mécaniques. "L'État prend en charge 100% de la rémunération du saisonnier", a rappelé Mme Borne."Au printemps, il y a eu près de neuf millions de salariés dont la rémunération a été prise en charge par l'État, ça a permis de sauver les emplois. En novembre, trois millions", a-t-elle précisé.La ministre du Travail a en outre réaffirmé sa volonté de mener à terme la réforme de l'assurance chômage, au lendemain de rencontres avec les partenaires sociaux au cours desquelles il a été acté que son entrée en vigueur serait liée à l'amélioration du marché de l'emploi."J'ai proposé aux partenaires sociaux que les règles du futur système soient adaptées à la situation du marché de l'emploi", a-t-elle reconnu, concédant qu'il "faut tenir compte de la crise sanitaire, de la crise économique qu'on est en train de traverser".Mais "la crise qu'on traverse n'efface pas la nécessité de réformer", a-t-elle nuancé, estimant que "le système actuel n'est pas satisfaisant".En revanche, la réforme des retraites, vivement contestée par les syndicats et suspendue en raison de la crise sanitaire, "n'est pas la priorité", a-t-elle dit.
Il y a 4 ans et 110 jours

L’État "sera au rendez-vous" pour aider l'économie de montagne, assure le gouvernement

"Nous serons au rendez-vous" pour "garantir aux communes concernées" et aux exploitations de remontées mécaniques "des ressources minimales", a dit le ministre délégué chargé des Comptes publics, Olivier Dussopt, en déplacement à Saint-Étienne-en-Dévoluy, près de Gap, avec le secrétaire d'État chargé de la Ruralité, Joël Giraud.Les communes ayant des revenus liés au tourisme d'hiver "sont assurées de percevoir au minimum ce qu'elle percevaient en 2019 en taxes de séjour et taxes de remontées mécaniques", a expliqué M. Dussopt, précisant que les décrets de reconduction de cette disposition déjà prise en 2020 "sont en cours de signature" pour 2021."C'est extrêmement onéreux mais cela suffira pour maintenir tout le monde hors de l'eau", a complété Joël Giraud, ex-élu de la région.Le gouvernement a annoncé le 20 janvier qu'en raison des restrictions sanitaires liées à l'épidémie de Covid-19, les remontées mécaniques ne pourraient pas rouvrir début février, ni probablement les semaines suivantes, au grand regret d'une filière qui emploie des centaines de milliers de personnes dans les vallées de montagne."Ça ne veut pas dire que tout ira bien", a concédé M. Dussopt, "ça ne veut pas dire qu'il n'y aura pas de dégâts" car "il reste toujours ce qu'on appelle des trous dans la raquette".Marie-Paule Rogou, maire de Saint-Étienne-en-Devoluy, commune qui accueille la station de ski de SuperDévoluy, s'est inquiétée face au ministre d'une économie de montagne "aujourd'hui à l'agonie", particulièrement les commerces locaux. "Soyez assurée que nous faisons en sorte d'apporter un maximum de réponses", a répondu M. Dussopt.Une casse sociale d'ampleur est redoutée parmi les travailleurs saisonniers dont certains, non embauchés, ne bénéficient pas du chômage partiel. "Pour ceux qui n'ont aucune embauche, il y a le chômage classique mais (ce n'est) malheureusement pas assez", a reconnu M. Giraud.
Il y a 4 ans et 110 jours

A Paris, la densité urbaine fait de la résistance malgré le Covid

La semaine dernière, écologistes et élus de la droite, dans une alliance inédite, ont eu raison d'un projet de construction de 80 logements sociaux (dont 60 pour des familles, et 20 pour des personnes sans domicile) prévus dans le très chic XVIe arrondissement parisien, pourtant très peu doté en la matière."A Paris, les écologistes sont favorables à la production de logements sociaux", a assuré le groupe écologiste dans un communiqué. Mais, "qui dit production ne dit pas forcément construction de logements", plaide-t-il, préférant "la transformation du parc immobilier existant grâce, notamment, au recours au droit de préemption".Le tribunal administratif, pour invalider le permis, a argué de sa "non conformité à l'actuel PLU", et d'une "insertion urbaine insuffisante" dans le quartier, rapporte la mairie."C'est un jugement assez politique", s'agace auprès de l'AFP l'adjoint chargé du Logement, le communiste Ian Brossat."La densité est sur le banc des accusés. Encensée il y a encore cinq ans, et présentée alors comme une réponse à l'étalement urbain et à la fragmentation sociale, la densité serait désormais responsable de tous les maux contemporains", écrivait l'élu PCF dans une tribune publiée mi-décembre dans Le Monde. "Avec la crise sanitaire, elle serait même devenue l'ennemie public numéro un."La densité d'habitants au mètre carré favoriserait ainsi la propagation du virus, dans une ville où l'insuffisance d'espaces verts s'est fait sentir au cours des derniers mois.Mais, "c'est moins la densité urbaine que le mal-logement qui serait en cause", rappelle l'élu, avec à l'appui, une étude de l'Institut pour la recherche en santé publique (IRESP) publiée en octobre. Reste que la mairie a "un objectif à atteindre: 25% de logements sociaux d'ici 2025", rappelle Ian Brossat. Or, "nous n'atteindrons jamais cet objectif si nous ne construisons plus rien."Transformer bureaux en logementsAlors que le télétravail a quasi vidé les quartiers d'affaires, des chercheurs plaident pour que les collectivités partent de l'existant pour réinventer la ville de demain.Par exemple, "les immeubles de bureaux, qui sont fermés le week-end, pourraient accueillir les associations ? Au rez-de-chaussée des immeubles de logements, on pourrait mutualiser des imprimantes, mettre des machines à laver ... des choses pas nécessairement utiles dans les logements", suggère Charlotte Girerd, responsable propective et expérimentation SNCF Immobilier, dans le journal "Nouvelles urbanités" publié en octobre.En région parisienne, la quantité de bureaux loués a ainsi reculé de près de moitié (-45%) par rapport à un an plus tôt, selon des données récentes de professionnels du secteur.Mardi, le capital investisseur Novaxia et quatre assureurs-vie se sont même engagés à lever un milliard d'euros d'investissements sur trois ans pour transformer des bureaux vides, espérant ainsi créer 4.000 logements d'ici trois ans, affirmait Joachim Azan, le président fondateur de Novaxia.La Ville réfléchit ainsi au "principe de réversibilité" des locaux: "Construire dans des normes de construction qui permettent de changer un bureau en logement, un bureau en commerce, ou un commerce en logement", avance Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la maire PS Anne Hidalgo.En parallèle, la mairie poursuit ses projets de végétalisation et compte planter dès cette année 17.000 arbres, en utilisant notamment "les talus du périphérique", explique l'ancien élu EELV, adjoint en charge de la Végétalisation, Christophe Najdovski.Quant à la première forêt urbaine, elle pourrait voir le jour d'ici 2023-2024, dans le XIVe arrondissement, au sud de la gare Montparnasse, avance l'élu, convaincu qu'"il ne faut pas opposer les priorités: le logement comme la végétalisation sont importants".
Il y a 4 ans et 110 jours

Comment les experts travaillent-ils sur des travaux en hauteur ?

Le travail en hauteur n’est pas une activité à prendre à la légère. Comportant plus de risques d’accidents sur les chantiers, chaque opération en rapport avec cette activité doit être étudiée pour anticiper les risques de chute et fournir un travail de qualité. Il n’est pas étonnant que cette tâche soit fréquemment confiée à des professionnels. Dans ce cas, comment les experts travaillent-ils sur des travaux en hauteur ? Ils se munissent d’un équipement de protection individuelle (EPI) D’après le code du travail, l’employeur doit mettre en place diverses mesures et protections pour assurer la sécurité de ses salariés. Il devra en ce sens proposer des outils nécessaires pour protéger les ouvriers des éventuels dangers en l’occurrence, les chutes. Dans le jargon de la construction, on appelle ces instruments des EPI. Dans ce contexte, les ouvriers doivent bénéficier d’outils assurant : Le maintien lors de l’opération C’est un matériel relié à l’ouvrier et permettant à ce dernier de circuler librement et en toute sécurité sur l’espace de travail. Ces outils sont en outre dotés d’un mécanisme servant à maintenir en suspend en cas de chute réel. Pour plus de sécurité, ces instruments doivent toutefois être combinés avec du matériel antichute. Ces outils ne sont ni plus ni moins que le harnais avec ceinture, la longe du maintien au travail et l’ancrage. Le harnais avec ceinture est un outil doté d’un mécanisme permettant de fixer les objets au travailleur et d’avoir ainsi plus d’aisance et de rapidité lorsque l’instrument doit être utilisé. La longe est un cordon solide permettant de relier le travailleur à un support d’appui se trouvant sur le lieu de travail (remparts, terrasse,…). Pour se procurer une longe de qualité, il faudrait que cette dernière soit conforme à la norme NF EN 354. Pour ce qui est de l’ancrage, c’est support fusionné avec la longe et rattaché solidement à l’espace de travail. N’importe quel expert de l’équipement pour les travaux en hauteur possèdera ce matériel. L’antichute C’est une méthode de travail ayant pour but de retenir le travailleur au moment d’une chute et de le maintenir suspendu dans les meilleures conditions en attendant l’arrivée des secours. Ces outils sont dotés de système d’arrêt permettant de réduire la hauteur de chute, d’absorber le plus possible d’énergie pour diminuer les efforts transmis et de maintenir la personne en suspension en réduisant les effets dus à la position inerte d’une personne dans son harnais. Les principaux outils utilisés dans ce processus sont le harnais anti-chute, le dispositif anti-chute et le point d’ancrage. Ils anticipent les situations à risques Dans le domaine de la construction, il est indispensable de connaître toutes les zones à risques  et les facteurs des incidents : Les intempéries La pluie, la neige et les rafales de vent sont à l’origine de nombreux dégâts sur un chantier. Ils peuvent compromettre la réalisation d’une tâche et même la vie ou l’état de santé des travailleurs. En l’occurrence, ceux qui travaillent en hauteur. Sous l’effet de l’humidité provoquée par les orages ou bien la neige, les surfaces de travail peuvent devenir glissantes. Ainsi, les professionnels des travaux en hauteur ne manquent jamais d’effectuer des études météorologiques avant de se lancer sur le chantier. Un lieu de travail non sécurisé Un expert digne de ce nom se rend vite compte que les risques d’accidents résultent du manque de moyen de protection autour d’un chantier. Mis à part les EPI, une zone de travail doit être équipée de plateformes individuelles roulantes légères, d’escabeaux et d’échelles. A titre de rappel, les plateformes individuelles roulantes légères sont des outils servant à grimper pour atteindre l’endroit en hauteur. Ce matériel est muni d’une main-courante pour permettre aux travailleurs de bien s’agripper en cas d’une perte d’équilibre. Ils sont en outre dotés d’un « garde-corps » qui est un élément de sécurité. Ils assimilent les étapes à suivre pour fournir un travail de qualité Ils calculent la distance de chute réelle Un expert digne de ce nom comprend que la distance de chute réelle inclut non seulement la longueur de votre longe lorsqu’elle est déployée, mais aussi la longueur de votre corps sous l’anneau en D et tout fléchissement dans votre harnais et votre système d’ancrage. Les professionnels ajoutent ainsi 1 à 2 mètres de distance pour s’assurer du déploiement de l’ absorbeur d’énergie rattaché à la longe. Par la même occasion, ils comprennent que la longueur de la longe elle-même est de 3 à 4 mètres. De là, ils comptent au minimum 6 à 8 mètres de hauteur avant de pouvoir utiliser par la suite cette longe. Ils choisissent le meilleur point d’ancrage Pour choisir le meilleur point d’ancrage, un professionnel des travaux en hauteur ne choisit pas un quelconque support pour fixer ses longes et harnais. Au contraire, il opte pour des points d’ancrage en mesure de supporter le poids en cas de chute. Dans ce contexte, il mise sur un point d’ancrage en mesure de résister à une force de 10 Kn durant 3min. Ainsi, il est plus judicieux d’utiliser un corps fait d’acier de construction relié à une pince appropriée ou une nacelle. En outre, un bon ouvrier utilise les moyens de protections comme les échelles ou les escabeaux avec parcimonie. Pour ce faire, il évalue avec acuité la situation avant de déterminer lequel des équipements est le plus adapté  à la tâche à accomplir et à l’espace de travail.
Il y a 4 ans et 110 jours

Grand témoin : Marianne Laurent, Directrice des prêts de la Banque des Territoires

INTERVIEW. Marianne Laurent est Directrice des prêts de la Banque des Territoires, du groupe Caisse des Dépôts. Découvrez ses réflexions, sa vision, son actualité, son message aux professionnels et son portrait en 5 traits.
Il y a 4 ans et 110 jours

La bataille du plafonnement des loyers est relancée avec une action en justice contre Century 21

"Il faut faire une action symbolique contre un agent immobilier", a expliqué à l'AFP David Rodrigues, juriste auprès de l'association de consommateurs CLCV.Celle-ci a annoncé mardi le dépôt d'une plainte contre Century 21, l'un des principaux réseaux d'agences en France. Elle l'accuse de diffuser à Paris des annonces ne respectant pas le plafonnement des loyers.Cette mesure est en vigueur depuis 2015 dans la capitale, seule ville française avec Lille à l'appliquer. Même si Paris, contraint par la justice, a dû s'interrompre plus d'un an autour de 2018, la mairie a pu relancer ensuite le plafonnement.Celui-ci interdit aux propriétaires de demander aux locataires un montant supérieur à une somme donnée, celle-ci variant selon les quartiers en fonction de l'état du marché.CLCV accuse Century 21 de relayer des annonces qui demandent un loyer trop élevé et, donc, de "pratique commerciale trompeuse" envers les potentiels locataires.C'est la première action en justice sur le sujet contre un groupe immobilier. Des contentieux individuels opposent déjà des locataires à leurs propriétaires, mais ils restent très rares."On a toujours constaté une grande réticence, une autocensure des locataires dans ce domaine", a rapporté M. Rodrigues.L'association, qui estime à l'occasion d'un bilan annuel que près de la moitié des annonces parisiennes sont dans l'illégalité, a donc fait le choix de frapper plus fort en s'attaquant à un grand groupe même si celui-ci ne sert que d'intermédiaire.Century 21 "est l'un des plus grands acteurs sur la place du marché (avec) de mauvais résultats par rapport à leurs confrères en ce domaine", a rapporté M. Rodrigues, jugeant par exemple le groupe Foncia bien plus sérieux.Filiale du géant immobilier Nexity, Century 21 a répondu en jugeant que CLCV n'avait apporté aucune preuve que ses annonces enfreignaient la loi.Le réseau rappelle que celle-ci prévoit des exceptions au coup par coup, si le logement dispose d'avantages comme une localisation exceptionnelle, et assure que c'était le cas des annonces concernées.Le réseau "est confiant sur le fait que la procédure en cours démontrera la parfaite conformité des annonces à la législation", dit-il dans un communiqué.Effets incertainsCe contentieux, qui n'a pas encore de date d'audience prévue, témoigne d'un contexte où les débats s'animent à nouveau sur le plafonnement des loyers.Le dispositif, qui s'ajoute à des règles d'encadrement déjà en place dans toutes les grandes villes françaises pour limiter la hausse des loyers, suscite depuis des années d'importants clivages politiques.Le plafonnement a toujours été contesté par les associations de propriétaires et nombre d'agents immobiliers. Il est vivement défendu par les associations de locataires, comme CLCV, et des mairies, généralement de gauche, comme celle de Paris.A ce titre, celle-ci vient d'annoncer qu'elle allait renforcer les contrôles, le nombre d'amendes restant de fait très faible."L'encadrement des loyers commence globalement à produire ses effets mais il y a encore trop d'abus notamment sur les petites surfaces", affirmait mi-janvier à l'AFP Ian Brossat, adjoint communiste au logement à Paris.Parallèlement, la capitale et Lille vont être rejointes par d'autres grandes villes françaises, pour l'essentiel gagnées ou conservées par la gauche lors des dernières municipales.Bordeaux, Lyon, Grenoble et Montpellier se sont manifestées auprès de l'Etat qui a donné pour plusieurs années cette possibilité aux grandes agglomérations françaises, avant d'en évaluer les résultats à la fin de cette période.Cependant, le plafonnement n'agit pas seulement sur les prix eux-mêmes, il peut théoriquement limiter l'offre de logements en décourageant les propriétaires de louer.A Paris, ce sont les bilans de l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne (Olap) qui font référence.Pour l'heure, ils estiment que le plafonnement a contribué à ralentir la hausse persistante des loyers mais n'excluent pas qu'il ait aussi joué un rôle dans le manque de logements disponibles.
Il y a 4 ans et 110 jours

Val-d’Oise : rénovation de la gare de Cergy-Préfecture

La gare de Cergy-Préfecture aura une nouvelle apparence d’ici quelques années.
Il y a 4 ans et 110 jours

Sites se renforce dans la surveillance et l'inspection des éoliennes

ACQUISITION. Expert de la surveillance des structures des installations nucléaires et hydrauliques, Sites, annonce l'intégration de Cornis, spécialiste du suivi du vieillissement des pales d'éoliennes.
Il y a 4 ans et 110 jours

"Bouygues Construction ne gagnera pas la bataille du carbone seul", C.Boilley-Forestier

INTERVIEW. Quelques semaines après la présentation de la stratégie climat globale du groupe Bouygues, Bouygues Construction dévoile plus en détail sa propre feuille de route, ambitieuse, et qui nécessite une large mobilisation. Explications avec sa directrice RSE, Claire Boilley-Forestier.
Il y a 4 ans et 110 jours

Mecaroanne s’attaque au marché belge

Unité de broyage ciblage signée Mecaroanne. [©Mecaroanne] Spécialiste français dans la fabrication de broyeurs industriels, Mecaroanne commence très bien l’année 2021. En effet, l’industriel vient de signer un contrat de représentation commerciale en Belgique. C’est l’activité “broyeurs, émotteurs et concasseurs” qui sera ainsi beaucoup plus accessible de l’autre côté de l’Escaut… « La Belgique est en partie francophone, ce qui facilite les échanges, explique Fabien Burnichon, responsable technique et commercial de Mecaroanne. Mais ce pays est avant tout notre voisin, il est donc très facile et rapide de s’y déplacer pour accompagner techniquement notre représentant. » Cette implantation fait suite aux sollicitations régulières pour des projets en Belgique. Le fait d’y prendre un “pied-à-terre” devrait permettre de fluidifier et de simplifier les prises de commandes.  La Belgique constitue le second amarrage en dehors des frontières nationales pour l’industriel originaire du département de la Loire. En effet, début 2018, Mecaroanne avait signé un contrat de représentation commerciale au Maghreb. 
Il y a 4 ans et 110 jours

Confiant pour 2021, Saint-Gobain mise sur la rénovation

BILAN. A l'occasion de ses voeux, le PDG de Saint-Gobain a dressé le bilan de l'année écoulée dans un contexte de crise sanitaire. Pour 2021, malgré des incertitudes, il se montre confiant. Détails.
GDA
Il y a 4 ans et 110 jours

Réforme de MaPrimeRénov : les décrets sont parus

RÉGLEMENTATION. Avec la parution, le 26 janvier, de deux décrets et deux arrêtés, la nouvelle mouture de MaPrimeRénov est désormais inscrite dans l'ordre réglementaire. Les nouvelles dépenses éligibles, prestation d'assistance à maîtrise d'ouvrage et rénovation globale, ainsi que les bonifications, sont notamment précisées.
Il y a 4 ans et 110 jours

RE2020 : avis favorable du CSCEE

Le Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique (CSCEE) a voté un avis favorable à la RE2020. Les représentants de la maîtrise d’ouvrage et des entreprises ont demandé à ajouter une mention.
Il y a 4 ans et 110 jours

Le logement social au rapport : caillou ou pavé dans la mare ?

Le 15 janvier 2021, le haut fonctionnaire Pierre-René Lemas a remis à Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, et Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, un rapport pour une fois non volumineux intitulé Rapport sur la qualité des logements sociaux. Quel constat pour le logement social ? Quelles « idées force » ? Pourquoi Roselyne Bachelot est-elle si enthousiaste ? Réponses […] L’article Le logement social au rapport : caillou ou pavé dans la mare ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 110 jours

Cotisations sociales : les indépendants peuvent bénéficier d'un aménagement pour février

TRÉSORERIE. Avec la crise économique qui dure, les Urssaf annoncent reconduire les reports de cotisations sociales pour les échéances du mois de février 2021. Dans le BTP, les travailleurs indépendants et les auto-entrepreneurs pourront continuer à bénéficier de dispositifs d'aménagement.
Il y a 4 ans et 110 jours

Les prêts immobiliers ont chuté en 2020, malgré des conditions toujours favorables

Le nombre de prêts immobiliers a chuté en France en 2020 malgré des taux d'intérêt toujours très bas, montre l'étude de référence, l'activité étant plombée par les conséquences de la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 110 jours

Alphi contribue au développement industriel savoyard

Plate-forme logistique de Saint-Genix-Les-Villages d’Alphi. [©Alphi] Spécialiste français du coffrage et de l’étaiement, Alphi est l’une des trois entreprises savoyardes. Lauréates du fonds d’accélération aux investissements industriels dans les territoires. Qui fait partie du Plan de relance – Territoires d’industrie. Alphi a donc proposé un projet concernant sa plate-forme logistique de Saint-Genix-Les-Villages (73). Programme retenu et financé. « Notre projet consiste en la création d’un atelier de production et de réparation, intégrant des technologies innovantes. Seize nouveaux collaborateurs devraient ainsi nous rejoindre d’ici fin 2022 », annonce Alexandre Souvignet, président d’Alphi. Cette réalisation revêt quatre objectifs : • relocalisation, intégration et développement de la production de l’entreprise. Via la création d’un atelier de fabrication au sein d’un nouveau bâtiment de 4 000 m2 ; • robotisation qui favorisera la montée en compétences des équipes. Ceci, par le biais d’une technologie innovante : Cobot, un robot collaboratif ; • création d’un atelier bois pour les coffrages sur mesure. Favorisant l’essor de l’entreprise en Suisse. Ainsi que le renforcement de sa position nationale ; • réaménagement des postes de travail. Afin de gagner en ergonomie et en sécurité. L’investissement global est évalué à 2,6 M€ d’ici fin 2022. En attendant, l’année 2021 marque l’anniversaire d’Alphi, qui fête ses 25 ans. Et verra l’achèvement de la construction de son nouveau siège social de 1 400 m2, à Chambéry, sur la zone d’activités de Savoie Hexapole.
Il y a 4 ans et 110 jours

RE2020 : le Conseil de la construction émet un avis favorable, l'opposition reste forte

CRITIQUES. La réunion plénière du Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE) a débouché, ce 26 janvier 2021, sur un vote favorable au projet qui avait été soumis par le président de l'organisme, Christophe Caresche, contacté par Batiactu. Malgré tout, l'opposition de plusieurs acteurs majeurs reste forte.
Il y a 4 ans et 110 jours

Le bâtiment appelle à une RE2020 véritablement ambitieuse, humaine, abordable et durable

Faute de concertation suffisamment aboutie, de nombreuses analyses contradictoires circulent et de sérieuses zones d'ombre demeurent. Une véritable concertation technique doit s'ouvrir, afin de parvenir à une RE2020 qui concilie lutte plus intense contre l'effet de serre, innovation, emplois et lieux de vie performants, agréables, sobres et économiquement accessibles.L'urgence climatique doit être traitée avec responsabilité, en évitant dogmatismes et expédients satisfaisants à court terme, mais inefficaces à long terme, alors que la règlementation française (la RT 2012) s'avère déjà la plus ambitieuse d'Europe et, sans doute, du monde.Avec le projet proposé, il est certain que l'usager continuera à subir un inconfort d'été ; il est certain que de nombreuses opérations se trouveront condamnées par le poids carbone des infrastructures imposées par les PLU et qu'il en ira de même pour les opérations prévues sur des terrains présentant des contraintes de sol ou d'orientation ; il est aussi certain qu'il en sera fini du recours au gaz ou aux radiateurs électriques performants, fut-ce en appoint.Au surplus, le modèle et les seuils retenus risquent d'exclure à court terme des filières entières de production, qu'il s'agisse de la construction en maçonnerie ou acier.Enfin, un surcoût important est certain, à telle enseigne que l'étude d'impact présentée par l'administration confirme l'absence de retour sur investissement sur cinquante ans. Comment les ménages et autres donneurs d'ordres pourront-ils supporter un tel choc ? Peut-on véritablement croire que la Puissance publique mettra en place un système d'accompagnement financier à la hauteur ?Alors que le rythme de construction actuel ne suffit pas à satisfaire les besoins en logements, les huit organisations ne peuvent souscrire à l'idée que tomber durablement à 300.000 logements mis en chantier annuellement sous l'effet de ces contraintes constitue une réponse envisageable à l'urgence climatique.Les huit organisations appellent à une RE2020 véritablement ambitieuse, humaine, abordable et durable. Une RE2020 qui place l'occupant au cœur des enjeux et qui rencontre l'adhésion des acteurs parce qu'elle ne les contraint pas dans des modèles fermés. Une RE2020 qui ne freine pas la production neuve, n'exclut pas les ménages modestes, ne détruit pas les emplois, ne sacrifie pas les filières et ne décourage pas l'innovation du secteur de la construction.
Il y a 4 ans et 110 jours

Malgré leur résilience, les artisans craignent les effets d'un troisième confinement

CONJONCTURE. Deux sondages réalisés par l'Union des entreprises de proximité et la Confédération des petites et moyennes entreprises montrent que les artisans et petites structures ont réussi à encaisser le coup - déjà très dur - des deux premiers confinements. Mais un troisième épisode mettrait en péril un grand nombre d'entre eux.
Il y a 4 ans et 110 jours

Avec l'immobilier, NGE ajoute encore une corde à son arc

STRATÉGIE. Le groupe de BTP "continue d'entreprendre" et s'est récemment lancé dans une nouvelle activité, l'immobilier. Présentée officiellement le 26 janvier 2021, la nouvelle filiale NGE Immobilier a déjà remporté 3 projets, répondant à cette volonté du groupe d'apporter des offres globales et intégrées. Mais aussi avec le souci du sur-mesure.
Il y a 4 ans et 110 jours

De la légitimité du discours en architecture…

Pour son premier Podcast, Chroniques d’architecture a passé un coup de fil impromptu à Slim, architecte, dont la récente chronique (12/01/21) interrogeait l’information diffusée dans un grand quotidien national. La légitimité du discours architectural ne vaut-elle, comme pour les promesses, que pour ceux qui y croient ? Parole d’archi ? Un numéro zéro pour essuyer […] L’article De la légitimité du discours en architecture… est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 110 jours

Bilan 2020 et perspectives 2021 du marché français des produits de construction

L'étude établit également une photographie des perspectives du marché français de l'ensemble des produits entrant dans la construction (gros œuvre, second œuvre et équipements) pour 2021. L'AIMCC a également fait part de ses propositions pour permettre une relance fluide du secteur tout en évoquant les grands enjeux de l'année 2021.2020 : le secteur du BTP subit de plein fouet la criseGlobalement, l'année 2020 a été marquée par une chute d'activité importante et imprévisible pour le secteur de la construction. Son ampleur est quasi similaire pour le bâtiment ou les travaux publics, avec une baisse d'environ -15% en volume d'activité. Cette diminution a été fortement impactée par le premier confinement et elle s'est atténuée au cours du second semestre, permettant un rattrapage limité.Un net fléchissement de l'activité pour les industriels de L'AIMCC en 2020L'enquête d'opinion menée auprès des fédérations adhérentes confirme ces tendances : 2020 est une année en retrait. 90% des répondants ont connu une baisse d'activité et, pour 55% des répondants, la baisse est égale et supérieure à 7%. Pour un tiers des répondants seulement, la diminution a été circonscrite entre 0 et 3%. Près de 10% des répondants connaissent une stabilité du volume d'activité en 2020.En 2020, le volume d'activité concernant les produits entrant dans la construction aura été le suivant :On observe toutefois des différences sur les 3 principaux segments des adhérents de l'AIMCC :Perspectives incertaines pour l'année 2021Dans un contexte d'incertitudes, les taux d'investissement sont des indicateurs pertinents pour juger de la situation de l'année 2020 et envisager les perspectives 2021. Entre mise en place de la réforme de la fiscalité locale, attente d'un retour à la normale sur le front de la crise sanitaire et gestion de la crise sociale, les perspectives sont pour le moins incertaines.Après un retrait de -7,3% des dépenses de consommation des ménages en 2020, celles-ci devraient connaitre une progression de +5,7% en 2021. Le taux de chômage devrait approcher les 11% en moyenne annuelle et la confiance des ménages ne sera retrouvée que si l'arrivée du vaccin permet d'endiguer la pandémie. Les taux d'intérêt devraient rester, aux environs de -0,2%. Il conviendra toutefois d'être vigilant sur le degré de prudence des établissements de crédit, car les conditions d'octroi de crédit devraient rester plus tendues qu'avant 2020. Alors que 2020, année électorale, s'annonçait moins catastrophique pour l'investissement local que celle des deux mandats précédents, la crise de la Covid-19 rebat les cartes. Les recettes des collectivités ont subi un revers important en 2020 qui se poursuivra très probablement en 2021. Un soutien des finances locales pour une reprise puis une relance ainsi qu'une mobilisation de l'ensemble des acteurs publics sont indispensables.La filière construction anticipe une croissance d'activité en 2021Pour 2021, les industriels de la construction demeurent prudents quant à l'évolution de leur activité. Les chiffres relevés par l'enquête AIMCC auprès de ses adhérents montrent que plus d'un tiers des répondants table sur une quasi-stagnation, et plus de 50% prévoient un retrait, dont plus de 25% estiment cette baisse comprise entre -4% et -9%. Le secteur des matériaux de construction et équipements a été impacté à la baisse au regard des prévisions initiales, comme bien d'autres secteurs d'activité.En 2021, les prévisions en volume d'activité concernant les produits entrant dans la construction sont les suivantes :Perspectives des professionnels : second œuvre, gros œuvre, équipementiersPour 60% des professionnels du Gros Œuvre, l'année 2021 sera stable. A noter que 30% des organisations estiment que l'année 2021 sera en légère hausse. Pour le Second Œuvre, l'année 2021 se partage en quasi part égale entre baisse (32%), stabilité (31%) et hausse (38%). Pour les Équipementiers, la tendance est nettement orientée vers la hausse (80%). Seuls 20% d'entre eux envisagent une faible baisse d'activité.2021 : les attentes de la filière construction pour une relance ciblée vers l'investissement durable et responsableLa contribution du CSF (Comité Stratégique de Filière) Industries pour la Construction, animée par l'AIMCC, est centrée sur l'accélération de la reprise car elle est une condition sine qua non du succès de la relance.L'AIMCC s'est mobilisée durant le premier confinement pour construire les éléments structurants de la relance, afin de maintenir l'activité, essentielle aux secteurs. Trois priorités ont été identifiées à cette occasion pour une reprise/relance « résiliente » : le soutien aux secteurs les plus fragiles, la relance de l'activité des entreprises françaises et l'accélération de la transformation environnementale.
Il y a 4 ans et 110 jours

L’architecte français victime d’emphytéose exogène

A l’heure où la France va s’engager dans un vaste plan de relance de son économie, il paraît pertinent d’interroger la façon dont celui-ci va être injecté dans le secteur du bâtiment, notamment au niveau de la maîtrise d’œuvre. La France est une terre d’accueil* très hospitalière pour les maîtres d’œuvre étrangers : entre attrait de […] L’article L’architecte français victime d’emphytéose exogène est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 110 jours

L’architecture est un instrument d’environnements

S’ennuyer dans un lieu invite à apprendre à mieux le connaître, à repartir à sa découverte, aiguiser son regard, lire, pister l’inconnu. Si l’ar(t)chitecture (1) est là, subtile, des nuances toujours se dévoilent et le lieu résonne en nous et nous avec. Lire une ar(t)chitecture à la fois en tant qu’environnement construit et en tant […] L’article L’architecture est un instrument d’environnements est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 110 jours

A Gentilly, les anciens bains-douches sont devenus le Lavoir numérique

EN IMAGES. L'ancien Lavoir bains-douches de Gentilly, en banlieue parisienne, fermé depuis les années 50, connaît une deuxième vie, profondément transformé par Arteo architectures pour un nouvel usage dédié au numérique.
Il y a 4 ans et 110 jours

La crise impacte toujours l'activité des bureaux d'études techniques et des ingénieurs conseils

Selon l'édition de décembre 2020 du baromètre de la fédération Cinov, enquête réalisée auprès des TPE PME des métiers de la prestation de services intellectuels du conseil, de l'ingénierie et du numérique, les conséquences des 10 mois de crise impactent encore durement les entreprises. Et près de la moitié d’entre elles déclarent un chiffre d’affaires en baisse. Mais face aux difficultés, les TPE PME de la branche BETIC font preuve d’une grande capacité d’adaptation pour limiter l’impact sur l’emploi et le recours au chômage partiel.
Il y a 4 ans et 110 jours

MIAW 2020 : Les lauréats

Les Muuuz International Awards (MIAW) récompensent chaque année les fabricants les plus créatifs et assurent la promotion des produits innovants sélectionnées. Dans le cadre de l'édition 2020, plus de 350 produits ont été étudiés et classés dans les quatre univers suivants : Équipement intérieur, Agencement, matériaux, revêtements, Éclairage et Outdoor. Découvrez le Palmarès 2020 et ses 30 produits lauréats, représentant des fabricants et designers reconnus à l’international. Équipement intérieurBette GmbH & Co. KG – BetteSelect DuoBleu Provence – True Colors KitchenDELABIE – TEMPOMATIC BicommandeDELABIE – Black Binoptic EeStairs – NextGen™eggersmann – VancouverLa Manufacture du Design – AssemblageSanijura – Colombine Sanijura – TinyTiptoe – Chaise SSDr .Agencement, matériaux, revêtements Balsan – Les Best Design 2Ateliers Bernard Pictet – Superposition Dickson Constant – Dickson Woven FlooringDiffusion Céramique – Pierre Décorée RioMarazzi – CaràcterMosa – Core Collection Interface – CQuest™BioRIOU GLASS – Rglass Crea TARKETT – iQ Natural VMZINC® / VM Building Solutions – La Collection Noire .ÉclairageAtelier Luxus – NoorHisle – Insitu Marzais Créations – Polo Meljac – Collection Solaris Rispal – 15.020 Opulus.OutdoorFermob – BellevieHouse Plus – Module cuisine d’étéNovara Outdoor – NovaraSepalumic – Carport PhotovoltaïqueVlaemynck – Fauteuil Repas Gordes . La rédaction
Il y a 4 ans et 110 jours

Les Hauts-de-Seine et le CSTB s'associent pour limiter la propagation du Covid-19 dans les collèges du département avec un guide de bonnes pratiques

Ces recommandations sont aujourd'hui mises à disposition des chefs d'établissements des Hauts-de-Seine, dans un guide méthodologique facilitateur, disponible ici. Recherche partenariale Hauts-de-Seine - CSTB : analyser et limiter la propagation du virus Covid-19 dans les établissements scolairesDans le contexte épidémique actuel, limiter la propagation du virus Covid-19 dans les Établissements Recevant du Public - ERP, est un enjeu majeur. Pour ce faire, au-delà des gestes barrières individuels, la prise en compte de différents paramètres est essentielle : ventilation et ouvertures, flux des usagers, configuration et temps d'occupation des espaces.C'est sur cette base que reposent les travaux engagés par le Département des Hauts-de-Seine et le CSTB en juillet dernier, dans le cadre d'un partenariat de recherche transversal initié quelques mois plus tôt.Menés par les équipes pluridisciplinaires du CSTB (experts en qualité de l'air intérieur, ventilation, flux de personnes et technologies de l'information), ces travaux ont permis de développer une méthodologie scientifique visant à comparer les solutions de contrôle de la circulation du virus, en particulier dans les collèges, en se basant sur des critères objectifs (concentration de particules virales dans l'air, densité d'élèves dans les zones de congestion, etc.).Un outil d'analyse des maquettes BIM (Building Information Model) permettant de combiner les paramètres de configuration et d'occupation des lieux, aux différents scenarios de ventilation et de circulation, a pour cela été spécialement conçu.Les solutions les plus efficientes ont ainsi pu être déterminées. Elles sont synthétisées dans un guide remis dès aujourd'hui à chaque chef d'établissement, présentant les préconisations pratiques définies par le Département des Hauts-de-Seine et le CSTB pour limiter la propagation du virus Covid-19 dans les collèges. Elles sont par ailleurs présentées dans un rapport scientifique complet, disponible sur demande auprès du CSTB.Guide méthodologique collèges : accompagner les chefs d'établissements pour une gestion facilitée du risque CovidAprès un rappel des principales recommandations (vérification des systèmes de ventilation, aération, occupation équilibrée des espaces, organisation des entrées et des sorties avec un délai d'au moins 3 minutes entre les classes), 3 tableaux synthétiques sont proposés, listant l'ensemble des préconisations, organisées autour de 3 axes : gestion du bionettoyage, de la ventilation, et gestion des flux de personnes.Au global, près d'une trentaine d'actions sont présentées, chacune mise en perspective avec son niveau d'efficacité et de contraintes et, le cas échéant, associée à une précision complémentaire spécifique. Il s'agit, par exemple, de faire fonctionner le système de ventilation 1h avant et 1h après l'occupation des locaux, de favoriser la fermeture des portes intérieures pendant les cours, d'ouvrir les fenêtres au moins 5 minutes toutes les heures, d'imposer des sens uniques dans les escaliers, de privilégier le déplacement des professeurs d'une salle à l'autre plutôt que celui des élèves, de diviser le bâtiment en zones pour éviter le croisement des élèves des différentes zones, d'éviter le nettoyage à sec et l'utilisation de l'aspirateur (susceptibles de remettre en suspension des particules...).Ainsi conçu, ce guide facilite et éclaire, pour les chefs d'établissements, la mise en œuvre de mesures efficientes dans la gestion du risque Covid. « Nous devons mettre en œuvre tout ce qu'il est possible de faire, à tous les niveaux, pour mettre fin à cette épidémie qui engendre une crise sanitaire, mais aussi sociale et économique. Cette expérimentation a permis d'identifier des bons comportements à adopter dans les établissements scolaires, comportements qui peuvent s'adapter au sein de tous les bâtiments. Le guide méthodologique, très facile d'accès, aura, je l'espère, le succès attendu pour que chacun puisse appliquer ces conseils pratiques le plus largement possible. »Georges Siffredi - Président du Département des Hauts-de-Seine« Faire progresser les connaissances utiles pour la Collectivité est essentiel, et c'est une priorité en situation de crise sanitaire. Cet enjeu est au cœur du partenariat de recherche engagé par le CSTB avec le Département des Hauts-de-Seine, visant notamment à développer des méthodes et outils innovants pour gérer efficacement le risque de propagation du virus Covid-19 dans les ERP. La reproductibilité de ces outils, leur facilité d'accès et d'appropriation par l'ensemble des parties prenantes, à l'image du guide méthodologique aujourd'hui mis à disposition des collèges alto-séquanais, sont en ce sens, fondamentales. »Étienne Crépon - Président du CSTB
Il y a 4 ans et 110 jours

MIAW 2020 : Outdoor

Le palmarès de l'édition 2020 des Muuuz International Awards a été dévoilé cette semaine. Découvrez les lauréats de la catégorie « Outdoor » ! Novara Outdoor – NovaraSpécialisée dans la création de cuisines extérieures, l’entreprise Novara Outdoor Kitchens lance, cette année, une gamme résolument contemporaine. . Sepalumic – Carport PhotovoltaïqueImaginé par l’entreprise Sepalumic en collaboration avec le bureau d’études du concepteur installateur de panneaux photovoltaïques Terre Solaire, le carport photovoltaïque « SOLCAR SYSTEM » répond aux nouveaux besoins des bâtiments à énergie positive de la Réglementation Environnementale 2020.Retrouvez ici l'ensemble des lauréats de l'édition 2020 des Muuuz International Awards.La rédaction
Il y a 4 ans et 110 jours

MIAW 2020 : Éclairage

Le palmarès de l'édition 2020 des Muuuz International Awards a été dévoilé cette semaine. Découvrez les lauréats de la catégorie « Éclairage » ! Atelier Luxus – NoorAvec sa nouvelle collection « Noor », Atelier Luxus allie la discrétion à la grâce, et apporte ainsi le meilleur de la technique à des beaux intérieurs. . Marzais Créations – Polo Pour sa nouvelle collection « Polo », Jean-Paul Marzais a imaginé des luminaires inspirés par des lignes épurées et graphiques, avec toujours la même volonté de répondre aux différentes demandes d’éclairage. . Meljac – Collection Solaris Conçue par Meljac en collaboration avec le designer australien Marc Newson, la collection « Solaris » résulte de l’alliance de technologies de pointe et de savoir-faire artisanaux.Retrouvez ici l'ensemble des lauréats de l'édition 2020 des Muuuz International Awards.La rédaction
Il y a 4 ans et 110 jours

MIAW 2020 : Aménagement, matériaux, revêtements

Le palmarès de l'édition 2020 des Muuuz International Awards a été dévoilé cette semaine. Découvrez les lauréats de la catégorie « Agencement, matériaux, revêtements » ! Dickson Constant – Dickson Woven FlooringLa nouvelle collection de sol en vinyle tissé DICKSON® est née du savoir-faire et de la vision résolument novatrice de la marque. . Mosa – Core CollectionCore Collection réunit les trois séries Solids, Terra et Quartz, en les complétant de nouvelles teintes, ce qui permet de mêler des carreaux de différentes collections. . Interface – CQuest™BioForte de sa longue expérience, Interface® vient de lancer sa toute dernière collection de dalles de moquette : NY+LON Streets™. Celle-ci s’associe à CQuest™Bio, une nouvelle sous-couche à base de matériaux à empreinte carbone négative. . RIOU GLASS – Rglass CreaRIOU GLASS lance une toute nouvelle gamme de vitrages décoratifs pour la porte d’entrée : Rglass CREA. . TARKETT – iQ NaturalLe nouvel iQ Natural est le premier revêtement de sol en vinyle bio-attribué : ses matières premières, traditionnellement d’origine fossile, sont remplacées par de la biomasse selon le principe du mass balance. . VMZINC® / VM Building Solutions – La Collection NoireVMZINC®, marque historique du zinc laminé, confirme son rôle précurseur dans le traitement des aspects de surface en dévoilant « La Collection Noire exclusive VMZINC® », toute nouvelle déclinaison de nuances de caractère pour tous types de bâtiments, en couverture et en façade, en neuf et en rénovation.Retrouvez ici l'ensemble des lauréats de l'édition 2020 des Muuuz International Awards.La rédaction
Il y a 4 ans et 110 jours

MIAW 2020 : Équipement intérieur

Le palmarès de l'édition 2020 des Muuuz International Awards a été dévoilé cette semaine. Découvrez les lauréats de la catégorie « Équipement intérieur » !   Bette GmbH & Co. KG – BetteSelect DuoLa nouvelle baignoire à encastrer BetteSelect Duo a spécialement été conçue pour profiter d’un bainà deux. . Bleu Provence – True Colors KitchenL’entreprise italienne Bleu Provence revisite la cuisine et lui confère un côté rétro avec sa nouvelle collection « True Color Kitchen ». . Delabie – TEMPOMATIC BicommandeAvec la nouvelle finition chrome noir de sa gamme de robinetteries électroniques BINOPTIC, DELABIE crée une gamme sophistiquée. . Delabie – Black BinopticLe TEMPOMATIC bicommande est un robinet électronique de chasse directe WC doté d’un boîtier d’encastrement innovant, breveté par DELABIE. . EeStairs – NextGen™Le système d’escalier innovant breveté NextGen™ se démarque par ses lignes élégantes et son design épuré, ainsi que par sa conception durable et sa facilité d’entretien. . eggersmann – VancouverCréée par eggersmann, la cuisine Vancouver sort du lot grâce à sa sobriété sophistiquée, ses matériaux nobles combinés, son agencement réussi, ses multiples rangements et ses deux grands plans de travail fins et articulés. . Sanijura – ColombineAvec l’ensemble Colombine, Sanijura confirme sa belle réputation. . Sanijura – TinySanijura s’est associée au studio de design Thomas Merlin, soutenu par l’Incubateur French Design by VIA, pour créer un meuble de salle de bain idéal pour les petits espaces.Retrouvez ici l'ensemble des lauréats de l'édition 2020 des Muuuz International Awards.La rédaction
Il y a 4 ans et 110 jours

VMZINC® : La Collection Noire

Aux côtés de prescripteurs depuis plus de 180 ans, la marque historique du zinc laminé VMZINC® confirme son rôle précurseur dans le traitement des aspects de surface en dévoilant « La Collection Noire » exclusive VMZINC®. Zoom sur une collection raffinée. Avec « La Collection Noire », VMZINC® lance une nouvelle déclinaison de nuances de caractère adaptées à tous types de bâtiments, en couverture et en façade, en neuf et en rénovation. Les nuances se déclinent en cinq couleurs de nuit, sobres et élégantes, qui confèrent sobriété et prestige aux enveloppes des bâtiments. Elles mettent ainsi en valeur les autres matériaux ou coloris.La Collection Noire s’appuie sur le savoir-faire de l’entreprise et fait écho à l’ANTHRA-ZINC – zinc anthracite – premier aspect développé par VMZINC® en 1978. Cet univers coloriel original et sophistiqué se compose de cinq nuances : « Nuit d’orage », un noir aux subtils reflets rouges, « Nuit d’encre », un noir opaque, « Nuit de Chine », un noir aux reflets bleutés, « Nuit d’été », un noir gris, et « Nuit noire », un noir profond.Ces couleurs contemporaines s'intègrent harmonieusement aux environnements et sollicitent l’imagination des architectes et maîtres d’ouvrage.À propos de VM Building SolutionsSpécialisée dans les matériaux haut de gamme, la société VM Building Solutions propose des solutions de construction aux professionnels. L’entreprise fabrique en France des solutions innovantes en zinc laminé pour l’enveloppe des bâtiments et les commercialise dans le monde entier sous la marque historique VMZINC®. Elle est également le principal fournisseur européen de membranes d’étanchéité́ EPDM, et assure la promotion d’une gamme complète de produits pour la toiture.Le choix de la rédactionSes coloris raffinés et sa grande technicité font de « La Collection Noire » la lauréate du Muuuz International Award 2020 dans la catégorie « Agencement, matériaux, revêtements / Zinc laminé ».Pour en savoir plus, visitez le site de VMZINC®.Visuels : © VM Building SolutionsLa rédaction
Il y a 4 ans et 110 jours

Tarkett : iQ Natural

Engagé depuis de nombreuses année en faveur d'une économie circulaire, Tarkett crée en 2020 le premier revêtement de sol en vinyle bio-attribué selon le principe du mass balance : le nouvel iQ Natural. Zoom sur un revêtement de sol design, fonctionnel et éco-responsable. Un leader mondial des revêtements de sol, Tarkett prend au sérieux sa responsabilité sur son impact environnemental, et lance le nouvel iQ Natural. Ce produit est le premier revêtement de sol en vinyle bio-attribué : ses matières premières, traditionnellement d’origine fossile, sont remplacées par de la biomasse selon le principe du mass balance.Éco-conçu par Tarkett, sans phtalate et recyclable en fin d’usage, ce nouveau produit offre aux architectes, designers et maîtres d’ouvrage une solution de revêtement de sol respectueuse de l’environnement. Attestée par RSB*, cette collection innovante est une solution de revêtement de sol qui réduit de 50 % les émissions de gaz à effet de serre par rapport à la moyenne des revêtements de sol en vinyle homogène du marché.En plus de son impact environnemental faible, le nouvel iQ Natural se décline en 35 coloris proposant de subtiles combinaisons ton sur ton avec des teintes neutres pour créer des intérieurs tendance inspirés par la nature.Une collection aussi esthétique que durable.À propos de TarkettRiche de 140 années d’histoire, la société Tarkett est un leader mondial des solutions de revêtements de sol et de surfaces sportives. Elle promeut aujourd’hui un mode de production durable et écoresponsable, et offre une large gamme de solutions qui comprend des sols vinyles, linoléum, moquettes, parquets, gazons synthétiques et pistes d’athlétisme. Avec 12 500 collaborateurs et 33 sites industriels autour du globe, Tarkett met en place une stratégie d’écoinnovation et crée des revêtements techniques et design pour des hôpitaux, des écoles, des hôtels, des bureaux, des commerces, des terrains de sport ou encore des résidences privées.Le choix de la rédactioniQ Natural est un produit aussi design que responsable. C’est pourquoi il remporte un Muuuz International Award 2020 dans la catégorie « Agencement, matériaux, revêtements / Revêtement de sol en vinyle bio-attribué ».*RSB, Roundtable on Sustainable Biomaterials, est un organisme environnemental indépendant qui valide le statut bio-attribué.Pour en savoir plus, visitez le site de Tarkett.Visuels : © TarkettLa rédaction