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Toute l'actualité du bâtiment

255445 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 108 jours

Roca se renforce dans le domaine des meubles de salle de bains

ACQUISITION. Le fabricant de produits pour la salle de bains, du carrelage et de la faïence murale, Roca, annonce avoir acquis 75% de parts dans Royo, un groupe dédié aux meubles de salle de bains.
Il y a 4 ans et 108 jours

La ligne 14 est arrivée Porte de Clichy

TRANSPORTS. Quelques semaines après l'ouverture des autres stations du prolongement de la ligne 14 du métro parisien vers Mairie de Saint-Ouen, la station Porte de Clichy, qui dessert notamment le tribunal de Paris, a été inaugurée le 28 janvier 2021.
Il y a 4 ans et 108 jours

Le bois, "porte d'entrée" des architectes vers le BIM

CONCEPTION. La maquette numérique est un outil indispensable pour la conception d'opérations complexes, en particulier lorsque les exigences thermiques ou carbone sont élevées. En particulier lorsque le matériau bois est utilisé. Revue de projets avec quelques architectes initiés au BIM.
Il y a 4 ans et 108 jours

«A la fin de l’année, nous devrions être en capacité de payer les entreprises jusqu’en 2027», Thierry Dallard, président du directoire de la Société du Grand Paris

Après un bref retour sur 2020, Thierry Dallard précise sa feuille de route pour l’année qui débute : sécurisation du financement du Grand Paris Express, lancement des derniers appels d’offres de génie civil, achèvement du creusement des tunnels sur les lignes 15 sud et 14 sud… En 2021, le « chantier du siècle » franchira de nouvelles étapes.
Il y a 4 ans et 108 jours

L'entreprise de la construction la plus durable au monde est française, il s'agit de...

CHAMPION. Corporate Knights, média et centre de recherche spécialisé en RSE, a dévoilé le classement 2021 des sociétés les plus performantes au monde en matière de développement durable. Cocorico, le champion en la matière est français et fait partie du secteur de la construction. Découvrez quelle est cette société.
Cimbat
Il y a 4 ans et 108 jours

Après une baisse des constructions de 6,9% en 2020, l'avenir s'annonce difficile pour le logement en France

"On voit bien qu'il y a une insuffisance de l'offre dans le logement neuf, qui existait déjà avec la crise et s'accroît actuellement", résume à l'AFP l'économiste Olivier Eluère, spécialiste de l'immobilier au Crédit Agricole.Publiés jeudi, les chiffres officiels du gouvernement confirment ce constat. L'an dernier, 376.700 logements ont été mis en chantier, soit un recul de 6,9%.Cette baisse est relativement limitée, mais elle ne témoigne que des effets immédiats de la crise sanitaire du Covid-19 et des confinements mis en place contre la propagation du virus, en particulier au printemps 2020.Marqué par des restrictions très sévères et des incertitudes sur les activités autorisées, le premier confinement a bloqué de nombreux chantiers, le temps de mettre en place des mesures de sécurité sanitaire. Mais le secteur a ensuite rattrapé une partie de son retard.Finalement, "la baisse est un peu moins forte que ce que l'on pouvait craindre", note M. Eluère, soulignant que le secteur souffre nettement moins que d'autres pans de l'économie plombés par la crise.C'est à plus long terme que l'avenir s'annonce difficile pour le logement. Indicateur de l'évolution à venir, le nombre de permis de construire a chuté de 14,7% à 381.600 logements autorisés.Cela signifie que le recul de la création de logements risque encore de s'accentuer cette année alors même que la crise économique renforce l'urgence d'une offre suffisante en matière d'habitations.Un déclin durable du logement neuf serait préoccupant au-delà de ce seul secteur économique. Une offre suffisante de logements favorise un marché où les prix ne s'envolent pas, ce qui est à son tour un enjeu crucial pour une économie en sortie de crise.Pourquoi ce déclin persistant des permis ? Au-delà des blocages liés à la crise, le secteur du logement évoque régulièrement la timidité de nombre d'élus locaux à autoriser des logements.Des maires "dogmatiques"Le gouvernement, déjà confronté depuis le début du quinquennat d'Emmanuel Macron à une situation mitigée en matière de logement neuf, ne manque donc pas d'en renvoyer la responsabilité à certains maires face auxquels il a durci ses propos ces dernières semaines."Certains maires sont très dogmatiques et disent +J'arrête tout+ comme à Bordeaux, Lyon ou Marseille", déclarait mi-janvier la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon, sur Radio Immo."Il faut (...) les mettre face à leurs contradictions", a-t-elle poursuivi. "Arrêter tout, ce n'est pas au bénéfice de leurs habitants."Les grandes villes citées par Mme Wargon ont un point commun: elles ont élu l'an dernier de nouveaux maires écologistes ou, comme à Marseille, ayant le soutien des écologistes.Les professionnels du logement s'inquiètent des conséquences d'un discours écologiste défavorable à la "bétonnisation" d'autant que celui-ci est largement repris par des élus d'autres bords politiques, y compris à droite.Mais le secteur cible aussi l'attitude du gouvernement: s'il a mis en place une incitation financière pour que les maires autorisent plus de logements, il a aussi annoncé récemment de nouvelles règles pour limiter les effets de la construction sur l'environnement.Cette "réglementation environnementale 2020" (RE 2020) prévoit par exemple l'interdiction du chauffage au gaz.Elle est jugée trop stricte par le secteur qui assure qu'elle va encore plus plomber la création de logements en rendant ceux-ci plus chers.Un vaste panel d'organisations, qui va du monde HLM aux fédérations du bâtiment en passant par les promoteurs, a encore réclamé cette semaine le report de son entrée en vigueur, prévue cet été."Le rythme de construction actuel ne suffit pas à satisfaire les besoins en logement", ont insisté dans un communiqué commun ces organisations qui estiment que l'on pourrait "tomber durablement à 300.000 logements mis en chantier annuellement sous l'effet de ces contraintes".
Il y a 4 ans et 108 jours

Après une baisse de 6,9% des constructions en 2020, l'avenir s'annonce difficile pour le logement en France

"On voit bien qu'il y a une insuffisance de l'offre dans le logement neuf, qui existait déjà avec la crise et s'accroît actuellement", résume à l'AFP l'économiste Olivier Eluère, spécialiste de l'immobilier au Crédit Agricole.Publiés jeudi, les chiffres officiels du gouvernement confirment ce constat. L'an dernier, 376.700 logements ont été mis en chantier, soit un recul de 6,9%.Cette baisse est relativement limitée, mais elle ne témoigne que des effets immédiats de la crise sanitaire du Covid-19 et des confinements mis en place contre la propagation du virus, en particulier au printemps 2020.Marqué par des restrictions très sévères et des incertitudes sur les activités autorisées, le premier confinement a bloqué de nombreux chantiers, le temps de mettre en place des mesures de sécurité sanitaire. Mais le secteur a ensuite rattrapé une partie de son retard.Finalement, "la baisse est un peu moins forte que ce que l'on pouvait craindre", note M. Eluère, soulignant que le secteur souffre nettement moins que d'autres pans de l'économie plombés par la crise.C'est à plus long terme que l'avenir s'annonce difficile pour le logement. Indicateur de l'évolution à venir, le nombre de permis de construire a chuté de 14,7% à 381.600 logements autorisés.Cela signifie que le recul de la création de logements risque encore de s'accentuer cette année alors même que la crise économique renforce l'urgence d'une offre suffisante en matière d'habitations.Un déclin durable du logement neuf serait préoccupant au-delà de ce seul secteur économique. Une offre suffisante de logements favorise un marché où les prix ne s'envolent pas, ce qui est à son tour un enjeu crucial pour une économie en sortie de crise.Pourquoi ce déclin persistant des permis ? Au-delà des blocages liés à la crise, le secteur du logement évoque régulièrement la timidité de nombre d'élus locaux à autoriser des logements.Des maires "dogmatiques"Le gouvernement, déjà confronté depuis le début du quinquennat d'Emmanuel Macron à une situation mitigée en matière de logement neuf, ne manque donc pas d'en renvoyer la responsabilité à certains maires face auxquels il a durci ses propos ces dernières semaines."Certains maires sont très dogmatiques et disent +J'arrête tout+ comme à Bordeaux, Lyon ou Marseille", déclarait mi-janvier la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon, sur Radio Immo."Il faut (...) les mettre face à leurs contradictions", a-t-elle poursuivi. "Arrêter tout, ce n'est pas au bénéfice de leurs habitants."Les grandes villes citées par Mme Wargon ont un point commun: elles ont élu l'an dernier de nouveaux maires écologistes ou, comme à Marseille, ayant le soutien des écologistes.Les professionnels du logement s'inquiètent des conséquences d'un discours écologiste défavorable à la "bétonnisation" d'autant que celui-ci est largement repris par des élus d'autres bords politiques, y compris à droite.Mais le secteur cible aussi l'attitude du gouvernement: s'il a mis en place une incitation financière pour que les maires autorisent plus de logements, il a aussi annoncé récemment de nouvelles règles pour limiter les effets de la construction sur l'environnement.Cette "réglementation environnementale 2020" (RE 2020) prévoit par exemple l'interdiction du chauffage au gaz.Elle est jugée trop stricte par le secteur qui assure qu'elle va encore plus plomber la création de logements en rendant ceux-ci plus chers.Un vaste panel d'organisations, qui va du monde HLM aux fédérations du bâtiment en passant par les promoteurs, a encore réclamé cette semaine le report de son entrée en vigueur, prévue cet été."Le rythme de construction actuel ne suffit pas à satisfaire les besoins en logement", ont insisté dans un communiqué commun ces organisations qui estiment que l'on pourrait "tomber durablement à 300.000 logements mis en chantier annuellement sous l'effet de ces contraintes".
Il y a 4 ans et 108 jours

L'Anah se fixe l'objectif très ambitieux de financer la rénovation de 600.000 logements en 2021

L'agence compte, selon un communiqué, financer en 2021 la rénovation de 600.000 logements, contre un peu moins de 250.000 l'an dernier. Mais ce chiffre marquait déjà un bond de plus de moitié par rapport à 2019.La demande d'aides à la rénovation n'a donc pas pâti de la crise sanitaire malgré deux épisodes de confinement, dont le premier particulièrement strict au printemps dernier.En coinçant les Français chez eux, ces périodes les ont-ils poussé à des travaux ? "Ça a pu jouer (et) favoriser des prises des décision", a jugé auprès de l'AFP Grégoire Frèrejacques, le directeur adjoint de l'Anah qui reste néanmoins prudent.Il évoque surtout, d'un point de vue politique, une mission de l'agence "en résonance avec les préoccupations du moment", parmi lesquelles la lutte contre l'artificialisation des sols et la relance des centres des villes petites et moyennes.La rénovation de logements existants est, de fait, considérée comme une alternative à la construction de nouveaux immeubles et maisons.Surtout, le gouvernement a aussi de grosses ambitions en matière de rénovation énergétique, l'un des grands axes du plan de relance économique annoncé voici quelques mois.Elle représente le gros de l'activité de l'Anah qui a instruit l'an dernier un peu plus de 140.000 dossiers autour de MaPrimeRénov', principale aide à la rénovation énergétique. En 2021, elle compte passer à au moins 400.000.Le gouvernement a réservé deux milliards d'euros de plus qu'initialement prévu pour cette seule prime d'ici à fin 2022. Alors qu'elle ne concerne que les propriétaires occupant leur logement, elle va être ouverte en cours d'année à ceux qui le louent à quelqu'un d'autre.Autre ouverture, elle va aussi concerner les travaux communs dans un immeuble, via une attribution à la copropriété.Ces élargissements sont cruciaux, selon l'Anah, car ils permettent de décider des travaux qui n'auraient pas eu lieu autrement."Cette aide au financement est évidemment un élément déclencheur", a jugé M. Frèrejacques.
Il y a 4 ans et 108 jours

Construction hors site : le Breton e-Loft racheté par le groupe Etex

L'entreprise bretonne passée de 50 collaborateurs en 2018 à 180 fin 2020 pour un chiffre d’affaires de 20M€ cette même année compte sur ce partenariat pour développer son activité de préfabrication sur la France entière.
Il y a 4 ans et 108 jours

Le Mondial du Bâtiment se réinvente pour 2022

De retour à Paris intra-muros pour sa prochaine édition, le Mondial du Bâtiment se transforme pour répondre aux attentes des professionnels et redonner des perspectives de croissance aux trois salons Batimat, Idéobain et Interclima.
Il y a 4 ans et 108 jours

Mageo : Développer de nouvelles techniques de diagnostic

Cédric Theuleau, responsable administratif et commercial chez Mageo. [©Mageo] Mageo intervient en tant que laboratoire indépendant depuis une douzaine d’années. « Plus de la moitié de notre activité est consacrée au diagnostic structure sur bâtiment existant et l’autre, à la géotechnique, au contrôle de béton frais/durci et au suivi de chantier », explique Cédric Theuleau, responsable administratif et commercial. En termes de diagnostic, le laboratoire intervient principalement sur des projets de réhabilitation. « Le reste se concentre sur l’expertise et des interventions sur chantier en cours de construction. » Mageo se compose de 9 collaborateurs, dont 3 ingénieurs et 4 techniciens qui se déplacent sur site. L’entreprise dispose de matériels de pointe, lui permettant de réaliser différentes typologies d’essais, des suivis de prise de béton par thermo-couples, ou des imageries et détections par radar… Investigations non destructives et méthodes prédictives Mageo développe de nouvelles techniques, afin de faire évoluer le diagnostic. « Lors d’une investigation, la phase d’auscultation peut être destructive, c’est le cas du carottage par exemple. C’est un problème. Nous travaillons en partenariat avec le Cérib sur des diagnostics non destructifs : Resipod1, utilisation du Pund-It2 et du scléromètre avec une méthodologie adaptée, matériels vibratoires… Nous les avons surtout expérimentés dans le cadre de réhabilitations de balcons. » Sur cet axe, le laboratoire est de plus en plus sollicité. « Non seulement il y a plus de rénovation, mais il a une hausse des demandes autour de l’investigation des balcons. » D’ailleurs, Mageo cherche à étoffer son équipe pour faire face à la demande. Toujours avec le centre d’études dédié au béton, Mageo teste des méthodes prédictives. Et ce, pour estimer l’évolution des phénomènes, qui peuvent conduire à la corrosion des armatures. Et donc à la dégradation des balcons. Parmi ses derniers projets en date, le laboratoire est intervenu sur des diagnostics pour le chantier d’une brasserie, à Lille, un ancien bâtiment de la Banque de France à Bourges. Ou encore pour un Ephad, à Luysnes. « Nous avons aussi participé au projet de réhabilitation des ateliers municipaux de la ville de Saint-Pierre-des-Corps, à côté de Tours. Nous ne faisons pas de calculs, qui sont réalisés par un bureau d’études. Mais nous déterminons dans quel état se trouvent les armatures, comment ont été construits les planchers, poteaux ou poutres… », conclut Cédric Theuleau. 1Le Resipod permet de mesurer la résistivité du béton et donne des indications sur le potentiel de corrosion des aciers et l’évolution possible. 2Le Pund-It mesure la vitesse d’impulsion ultrasonique, permettant d’examiner la qualité du béton.
Il y a 4 ans et 108 jours

Le Medef redoute "20 à 25.000 dépôts de bilan" supplémentaires en 2021

"Il y aura probablement 20 à 25.000 dépôts de bilan de plus que l'année dernière, a-t-il indiqué sur RFI. Le gouvernement renforce les mesures financières. Le pire n'est pas certain sous réserve que l'on n'ait pas un nouveau confinement".En année classique, un peu plus de 50.000 entreprises mettent la clé sous la porte mais, grâce aux mesures prises pour soutenir le tissu économique en 2020, les défaillances devraient avoir baissé de 39,5% par rapport à 2019, pour s'établir à 30.969, a indiqué la Banque de France en juillet.La remontée brutale prévisible en 2021 pourrait ramener la France dans les eaux du niveau de 2019 (51.496 défaillances d'entreprises selon la Banque de France)."Depuis très longtemps, il n'y a jamais eu aussi peu de procédures collectives de dépôts de bilan. C'est -38% pour l'année dernière. En janvier, ça n'augmente pas, contrairement à ce que l'on craignait", a ajouté M. Martin, plus optimiste.Selon une étude réalisée en janvier par l'Union des entreprises de proximité, 3% des 6.200 artisans, petits commerçants et professionnels libéraux interrogés "anticipent une fermeture au cours des prochains mois". Si c'était le cas, 90.000 entreprises mettraient la clé sous la porte en 2021.Selon M. Martin ce sont "plutôt des petites et des toutes petites entreprises" qui seront victimes en 2021 des conséquences économiques de la crise sanitaire."Ca correspondrait nécessairement à des dizaines de milliers de suppressions d'emplois. Ce sont des non créations d'emploi qui ont abouti à l'augmentation du chômage. On est très affecté parce que très dépendant du tourisme et de l'aéronautique. L'Asie a redémarré très fort mais sinon ce n'est pas mieux dans les pays les plus proches", a-t-il ajouté."Beaucoup d'entreprises sont à bout de souffle même si les dispositifs du gouvernement ont été puissants et efficaces. On est à un point de bascule. Si on referme de nombreux secteurs d'activités, l'économie va partir en vrille. Il y a d'autres options" que le confinement, a-t-il assuré.
Il y a 4 ans et 108 jours

La RE 2020 entre avis favorable et critiques structurelles

L’année 2021 sera celle de grands bouleversements, normatifs et réglementaires. La construction devra s’y adapter… [©ACPresse] Après une première concertation sans issue le 12 janvier dernier, le CSCEE1, réuni en plénière, a rendu un avis favorable au projet portant sur la RE 2020, ce mardi 26 janvier 2021. Entre l’envie de faire avancer la construction vers une transition environnementale plus ambitieuse et les oppositions de la profession, l’incertitude planait sur le résultat de cette rencontre. En cause, plusieurs sujets de discorde. Différents syndicats et fédérations contestent la date d’entrée en vigueur de la RE 2020, l’utilisation de l’ACV dynamique simplifiée ou encore les seuils du Bbio. Si l’avis comporte 13 amendements qui reprennent certaines de ces demandes, l’opposition reste forte. Le vote a ainsi recueilli 13 voix favorables, 11 défavorables et 2 abstentions. Sachant que l’avis du conseil reste consultatif, la balle est désormais dans le camp du gouvernement, qui devra tabler sur les recommandations et inquiétudes des professionnels du secteur de la construction. Cette mission reste toutefois délicate à opérer. En effet, plusieurs revendications font grand bruit. En simultané avec le vote, huit organisations ont diffusé une communication à charge. Ainsi l’USH, le FPI, le Pôle Habitat FFB, la FFB, la Fédération Scop BTP, la Capeb, l’Unsfa et l’Untec appellent à « une RE 2020 véritablement ambitieuse, humaine, abordable et durable ». Les “huit” vent debout En effet, pour ces “huit”, « le projet présenté par le gouvernement mi-décembre ne réunit pas les conditions d’une adhésion massive de la filière construction ». En cause : le manque de concertation « suffisamment aboutie », des analyses « contradictoires » et « de sérieuses zones d’ombre ». De plus, les organisations estiment que « le modèle et les seuils retenus risquent d’exclure à court terme des filières entières de production, qu’il s’agisse de la construction en maçonnerie ou de celle de l’acier. Avec le projet proposé, il est certain que l’usager continuera à subir un inconfort d’été. Il est certain que de nombreuses opérations se trouveront condamnées par le poids carbone des infrastructures imposées par les PLU. Et qu’il en ira de même pour les opérations prévues sur des terrains présentant des contraintes de sol ou d’orientation. Il est aussi certain qu’il en sera fini du recours au gaz ou aux radiateurs électriques performants, fût-ce en appoint ». De son côté, l’AIMCC considère l’avis comme globalement équilibré. Tout en rappelant « qu’il ne s’agit pas d’un vote positif au texte actuel de la RE 2020 et qu’elle sera particulièrement vigilante sur la demande partagée par tous, d’un retour à l’ACV normalisée, telle que pratiquée dans l’expérimentation E+C-. L’AIMCC restera aussi attentive à ce que le texte ne favorise pas une filière ou une technologie face à une autre et au maintien de l’ambition sur le Bbio. Sachant que les industriels de la construction sont toujours dans une démarche de progrès et d’ambition pour le secteur. » Une unanimité sur l’ACV dynamique A l’instar de l’AIMCC, la Filière Béton salue le vote du CSCEE. Le collectif demande le respect des observations formulées par le Conseil et met l’accent sur le retrait de l’ACV dynamique. « Parmi la quinzaine d’amendements listés dans l’avis […], celui qui consiste à revenir à l’ACV normée a fait l’objet, lors des discussions, d’un consensus de toutes les parties. Une unanimité logique, car l’ACV dynamique simplifiée telle qu’elle est proposée, exposerait à un risque environnemental inconsidéré. Tout en rendant inutile toute réflexion sur la manière de construire “intelligemment” les bâtiments de demain. » La Filière Béton exprime aussi son soutien aux engagements de décarbonation de la réglementation. Elle confirme ainsi qu’elle s’inscrira dans cette trajectoire avec comme objectifs – 35 % et – 40 % de réduction de l’empreinte carbone des bâtiments pour 2030. « La Filière réclame enfin une véritable cohérence, aussi bien avec la Stratégie nationale bas carbone qu’avec le plan de relance et les actions de décarbonation des filières industrielles. » Les différents arbitrages ministériels autour de la RE 2020 devront aboutir à un nouveau texte en février. Reste à savoir si le gouvernement cédera aux multiples revendications. 1Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique.
Il y a 4 ans et 108 jours

Artisanat du Bâtiment : une année chaotique en 2020 et des incertitudes en 2021

Malgré le phénomène de rattrapage et un rebond en fin d’année, les artisans du bâtiment enregistrent une année de - 9 % en tendance annuelle sur l’année 2020.
Il y a 4 ans et 108 jours

Après l'impact fulgurant de 2020, les industriels restent dans l'incertitude pour 2021

MATÉRIAUX. Difficile de dresser des perspectives bien arrêtées pour 2021, après un exercice 2020 marqué par une crise économique d'une ampleur peu commune. Frappés comme les autres secteurs, les industriels des matériaux de construction misent beaucoup sur une relance durable, qui se traduirait notamment par la RE2020 et serait soutenue par le Comité stratégique de filière.
Il y a 4 ans et 108 jours

La bourse d’affrètement de Conflans-Sainte-Honorine retenue par la Mission Patrimoine

La Mission Patrimoine portée par Stéphane Bern consacrera une enveloppe de 292 000 € pour la restauration de la bourse d’affrètement de Conflans-Sainte-Honorine.
GDA
Il y a 4 ans et 108 jours

Avignon : l’Espace Pluriel de la Rocade en rénovation jusqu’au printemps 2021

Le centre social et culturel Espace Pluriel de la Rocade à Avignon se refait une beauté.
Il y a 4 ans et 108 jours

Cachan : le vieux restaurant universitaire sélectionné dans le cadre du plan de relance

Quelques millions d’euros seront consacrés à la réhabilitation thermique du restaurant universitaire de Cachan.
Il y a 4 ans et 108 jours

Réhabilitation du gymnase de la cavée à Eragny-sur-Oise : une première livraison effectuée

Les travaux de réhabilitation du gymnase de la cavée à Eragny-sur-Oise continuent. Une partie du bâtiment a été achevée.
Il y a 4 ans et 108 jours

Arancou : l’église Notre-Dame de l’Assomption restaurée

Arancou : l’église Notre-Dame de l’Assomption restaurée L’église Notre-Dame de l’Assomption à Arancou retrouve son aspect d’antan après plusieurs mois de travaux de rénovation.
Il y a 4 ans et 108 jours

L’Oise Picarde affiche de grandes ambitions pour dessiner l’avenir

Les vice-présidents de la communauté de communes de l’Oise Picarde (CCOP) dévoilent leur mission.
Il y a 4 ans et 108 jours

Rockwool dévoile Rockfeu Wood FdC pour l'isolation des sous-sols et parkings

Rockfeu Wood FdC est la solution idéale pour l'isolation des plafonds en fond de coffrage. C'est une solution qui offre l'esthétisme du bois allié aux 7 forces de la laine de roche. Rockfeu Wood FdC s'installe dans les parkings, les sous-sols, les caves, les garages, les vides sanitaires et les locaux techniques.Rockfeu Wood FdC est installé avant le coulage de la dalle en béton et est optimisé pour le fond de coffrage, permettant de gagner du temps sur les chantiers. En vente dès Janvier 2021 dans les négoces.Signes particuliers : Rockfeu Wood FdC dispose d'une excellente performance thermique et d'une excellente protection contre le feu. Grâce aux fixations intégrées, les panneaux sont très faciles à poser, ce qui permet de gagner en temps de pose.À savoir : La technique du fond de coffrage est particulièrement appropriée pour l'isolation thermique des locaux non chauffés ou en extérieur. Elle représente aussi la technique de sécurité incendie la plus performante à destination des commerces et des logements ou pour les établissements recevant du public en alliant les performances acoustiques et thermiques intrinsèques à la laine de roche.
Il y a 4 ans et 108 jours

Compiègne : le quartier du Camp-des-Sablons poursuit sa mutation

Le nouveau visage du nouveau quartier du Camp-des-Sablons à Compiègne se dévoile progressivement.
Il y a 4 ans et 108 jours

Le prêt d'un logement doit être tout à fait gratuit

Donner un droit d'occupation sur un immeuble en échange de travaux et du paiement d'une partie des charges n'est pas un prêt,  mais un bail qui ne peut pas être rompu selon le bon vouloir du propriétaire.
Il y a 4 ans et 108 jours

L'activité de Pierre et Vacances très impactée par la crise du Covid-19

Pierre et Vacances, numéro un européen des résidences de loisirs, a vu son activité divisée par deux au premier trimestre de son exercice décalé 2020/2021, très pénalisée par la deuxième vague de Covid-19.
Il y a 4 ans et 108 jours

Escalquens : les projets à surveiller pour cette année

La ville d’Escalquens sera le théâtre de nombreux projets au cours de cette année.
Il y a 4 ans et 108 jours

AEW Ciloger acquiert en vente en l’état futur d’achèvement 47 logements situés respectivement à Massy, Rueil-Malmaison et Saint-Ouen

AEW Ciloger a annoncé l’acquisition en vente en l’état futur d’achèvement (VEFA) des logements en copropriété auprès d’Emerige, pour le compte de la société civile de placement immobilier (SCPI) AEW HABITAT 6 (ACH6).
Il y a 4 ans et 108 jours

Eurométropole de Strasbourg : la modification n°3 du plan d’urbanisme passe à l’enquête publique

Le projet de l’Eurométropole de Strasbourg concernant la troisième modification du Plan Local d’Urbanisme (PLU) passe actuellement au stade de l’enquête publique.
Il y a 4 ans et 108 jours

Durabilité : quatre certifications internationales pour la Tour Saint-Gobain

La Tour Saint-Gobain qui accueille le nouveau siège social mondial de Saint-Gobain à La Défense, a obtenu les quatre principales certifications environnementales internationales, au plus haut niveau.
Il y a 4 ans et 108 jours

Attaqué par les embruns, le Mont-Saint-Michel en travaux pour trois ans

"Le Mont-Saint-Michel, dans toute son histoire, ça a toujours été une lutte incessante contre les effets météorologiques. Il y a toujours eu des infiltrations. On va essayer à nouveau de les limiter et puis dans 50 ans, dans 100 ans, il faudra recommencer parce que c'est un éternel recommencement pour conserver et transmettre ce magnifique édifice à nos générations futures", explique François Jeanneau, architecte en chef des Monuments historiques, interrogé par l'AFP sur l'échafaudage 46 mètres de haut.L'abbaye française classée au patrimoine mondial de l'Unesco ne perd rien de sa superbe quand on l'approche depuis la côte, l'essentiel des travaux ayant lieu au nord, côté mer, sur un échafaudage qui va se déplacer au fil du temps.Il s'agit avant tout de "nettoyer les façades très encrassées par les lichens, les mousses, les algues qui attaquent la pierre" et de "remplacer des blocs de pierre qui sont en mauvaise état et pourraient chuter", précise M. Jeanneau.Il était donc "urgent d'intervenir", résume le haut fonctionnaire, qui date les derniers travaux de restauration de la deuxième moitié du XIXe, entre 1862 et 1885.Leur lancement a été presque aussi pharaonique que dût l'être l'édification de l'abbaye sur un rocher qui redevient une île lors des grandes marées. Il a fallu déjà 600 allers-retours en hélicoptère entre la côte et le Mont pour acheminer, de début novembre à fin décembre, les 90 tonnes d'échafaudage."Gigantisme"Ces travaux "sont exceptionnels par leur gigantisme. On est sur un rocher. Sur ce rocher a été construite une abbaye et contre cette abbaye, on a un échafaudage de la hauteur de l'Arc de Triomphe", souligne Thomas Velter, administrateur du monument le plus visité de France, hors région parisienne.Au total près de 100 m3 de pierres seront remplacés et 8.500 m2 de façade nettoyés.Depuis deux semaines, les maçons-tailleurs de pierre ont en toute discrétion commencé à redonner au granit sa couleur sable d'origine. Mais dans les rues quasi désertes d'un Mont-Saint-Michel aux devantures closes en raison du Covid-19, le silence continue à dominer.Il faut prendre l'ascenseur monté dans l'échafaudage et s'élever jusqu'au quasi sommet de la Merveille pour commencer à percevoir le son des travaux."On passe l'Algimousse, un produit à la fois curatif et préventif. On laisse agir normalement 12h et après on amène de l'eau avec les brosses et on arrive à décaper. Après on rejointe", explique Philippe Besnard, chef du chantier de nettoyage mené par Degaine, filiale de Vinci.Les pierres les plus attaquées sont marquées d'une tache rouge avant d'être changées. "C'est au nettoyage qu'on voit si c'est vraiment sableux, s'il y a beaucoup de grain qui s'en va. Et quand on tape si ça sonne un peu creux", précise M. Besnard alors qu'une dizaine d'ouvriers s'affairent autour des hauteurs du monument. 25 pierres ont déjà été enlevées, dit-il."Ce n'est pas un granit très dur. Ce n'est pas un granit des profondeurs c'est un granit de surface, de décomposition, qui pour beaucoup venait des îles Chausey qui ne sont pas loin", précise François Jeanneau.Outre le nettoyage des pierres, des travaux de charpente sont également prévus. Des ardoises de l'une des dernières carrières d'ardoises françaises, à Travassac, seront acheminées de Corrèze. Et quelques vitraux seront aussi restaurés.Fermée depuis octobre en raison du Covid-19, l'abbaye sera ouverte au public pendant les travaux, dès que les mesures sanitaires liées à l'épidémie le permettront.
Il y a 4 ans et 108 jours

Près de 7% de logements en moins lancés en 2020

CONJONCTURE. Les chiffres officiels de la construction de logements font état d'un trou de 65.000 autorisations et de 28.000 mises en chantier en 2020. Si le quatrième trimestre est positif en termes d'autorisations, le mois de décembre a vu une baisse marquée des autorisations comme des mises en chantier.
Il y a 4 ans et 108 jours

Le Département des Hauts-de-Seine et le CSTB ont conçu un guide pour limiter la propagation du COVID 19 dans les collèges

Le Département des Hauts-de-Seine et le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment s'associent pour limiter la propagation du Covid-19 dans les collèges du département, en mettant à disposition un guide de bonnes pratiques. Le Département des Hauts-de-Seine et le CSTB ont récemment engagé des travaux de recherche conjoints, dédiés à la gestion du risque Covid dans les établissements scolaires. Organisés autour des principes de ventilation mécanique ou naturelle, flux d'élèves, configurations et temps d'occupation des salles de cours, les premiers travaux menés ont permis de définir une série de préconisations pratiques, à destination des collèges. Ces recommandations sont aujourd'hui mises à disposition des chefs d'établissements des Hauts-de-Seine, dans un guide méthodologique facilitateur, disponible ici. En savoir plus : Lire le communiqué de presse Télécharger le guide
Il y a 4 ans et 108 jours

Astucieusement restructuré, ce 130 m2 retrouve la lumière

REPENSE. Un espace de vie très cloisonné, des pièces aveugles, des axes de circulation entravés... Cet appartement familial avait besoin d'un nouveau plan pour révéler tout son potentiel. Habilement réorganisé, l'intérieur a gagné en fluidité et laisse à nouveau circuler la lumière.
Il y a 4 ans et 108 jours

Après l'échec d'Europacity, Auchan promet de poursuivre ses grands projets

"On a beaucoup appris et on est heureux d'avoir eu cette expérience-là", a déclaré, à propos d'Europacity, Antoine Grolin, président de Ceetrus, la filiale immobilière du groupe Auchan.Le groupe, principal actionnaire de ce projet gigantesque de complexe commercial à une quinzaine de kilomètres de Paris, a pourtant été contraint fin 2019 par l'État à un abandon pur et simple après des années de contestation par des mouvements écologistes et certains responsables politiques.Tout en confirmant être en cours de procédure pour se faire indemniser par l'État, la filiale d'Auchan a manifesté sa volonté de poursuivre des projets ambitieux, à l'occasion de la création d'une nouvelle structure.Celle-ci, baptisée Nhood, vise à se concentrer sur la réalisation de projets immobiliers, tandis que Ceetrus gardera la propriété des principaux actifs d'Auchan. La nouvelle entité prévoit un milliard d'euros d'investissements lors des trois ans à venir."Il était important de créer une entreprise avec des racines nouvelles", a expliqué M. Grolin, même si la famille Mulliez restera seule actionnaire de l'entité à l'exception d'une ouverture possible aux salariés.Son ambition est de "s'enrichir du local pour écouter les habitants", a-t-il poursuivi, alors que Ceetrus a aussi rencontré des difficultés autour d'un autre projet emblématique, la rénovation de la Gare du Nord.Face à l'opposition de la mairie de Paris, pourtant initialement favorable au projet, celui-ci a dû voir fin 2020 son ambition réduite et ne pourra être achevé pleinement pour les Jeux olympiques de 2024, comme prévu à l'origine.
Il y a 4 ans et 108 jours

Collet : Etre au service des industriels

Grégoire Collet représente la 4e génération de la famille à la tête de l’entreprise éponyme. [©Collet] L’année 2020 a été compliquée pour le BTP. Est-ce aussi le cas pour vous ? Nous avons un mode de fonctionnement un peu particulier. Nous sommes sous-traitants dans des domaines très diversifiés, que sont la route, le bâtiment, les lubrifiants, l’automobile, la cosmétologie, les engrais… Ce large panel nous a permis de passer entre les gouttes. D’autant que certains évènements industriels survenus au cours des 15 derniers mois ont été plutôt favorables aux sous-traitants que nous sommes… A ce jour, l’activité “bâtiment/produits bitumineux” chez Collet se porte bien. Pour le bâtiment, quelles sont les solutions bitumineuses que vous proposez ? Notre entreprise bénéficie de 75 ans d’expérience dans ce domaine. Je représente la 4e génération de la famille à sa tête. Nous avons toujours fait du bitume. Depuis le début, ce produit est utilisé pour l’imperméabilisation et la protection des bétons et fondations. Ou encore pour des applications dérivées, tels le collage d’éléments sur béton comme les panneaux d’isolants, voire le roofing avec les primaires d’adhérence pour étanchéité bitumineuse. Cependant, vous ne trouverez pas de produits portant le nom de Collet sur le marché. Nous les produisons pour le compte de grandes marques du bâtiment, en sous-traitance. Leur popularité ne s’est jamais démentie. Ils sont appelés “Noir de fondation” sur les chantiers. Vous produisez aussi des granualts en PSE destinés à la composition de bétons spéciaux. Nous produisons des billes de polystyrène expansé utilisées comme granulats dans les bétons dits “allégés”. Nous avons trois références dans ce domaine. Le plus connu est le Styrobéton, qui a déjà une trentaine d’années d’existence. Il bénéficie d’un Avis technique, ainsi que d’une accréditation Socotec relative aux formes de pente. Ce sont des billes expansées, calibrées et enrobées d’un additif, permettant leur meilleure dispersion. Le produit est installé sur le marché avec un volume conséquent, et est utilisé par les majors du secteur. Les billes bénéficient de deux autres références plus récentes… Le Styro Light Form est construit sur le même concept que le Styrobéton, mais avec des billes d’un diamètre supérieur. Il est employé en remplissage de fissures ou de désordres, ou en tant que ravoirage. Depuis 2016, nous avons aussi lancé le Styro Light Fluide. Comme son nom l’indique, il permet d’obtenir une matrice de béton allégé très fluidifiée, d’une consistance moins plastique, ce qui est en facilite la mise en œuvre. C’est un marché nouveau qui se développe. Selon l’évolution des ventes de ce produit en 2021, nous envisageons d’engager une démarche de certification visant à un Avis technique. C’est sans doute notre solution du futur. Il était évident qu’il nous fallait une gamme répondant à l’explosion du concept des chapes fluides sur le territoire français. Quels sont les leviers pour faire progresser le Styro Light Fluide ? A l’heure actuelle, l’ensemble de la gamme Styrobéton est commercialisé par notre distributeur. Cette gamme est d’ailleurs proposée sous notre propre marque : Collet-Cobil. Je pense qu’à travers la communication, mais surtout les références chantiers, le Styro Light Fluide va vite se faire connaître et convaincre ses futurs utilisateurs.
Il y a 4 ans et 108 jours

CDG Express : le Gouvernement toujours "déterminé" à mener à bien le projet

TRANSPORTS. Alors que les travaux interrompus après une décision de justice reprennent progressivement, le ministre délégué aux Transports Jean-Baptiste Djebbari a tenu à rappeler le soutien de l'Etat au projet du CDG Express et les avantages qu'il présentait selon l'exécutif.
Il y a 4 ans et 109 jours

Groupe-6 et GD Architectes, histoire d’un projet franco-suisse

En janvier 2021, L'Architecture d'Aujourd'hui répond à l'invitation de la revue suisse Tracés pour la publication ...En savoir plus Cet article Groupe-6 et GD Architectes, histoire d’un projet franco-suisse est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 109 jours

"Nous nous préparons déjà à gérer la décroissance de l'activité fibre" E.Dugas (Infranum)

INTERVIEW. Malgré la crise sanitaire, la filière des infrastructures numériques a de nouveau signé une année record en 2020. Le déploiement du très haut débit se poursuit à un rythme soutenu, mais ses acteurs commencent à réfléchir à l'après-fibre, en se dotant de perspectives nouvelles. Le détail avec Etienne Dugas, président d'Infranum.
Il y a 4 ans et 109 jours

Décès d'Helmut Wagner, fondateur de l'entreprise familiale Rehau

« Nous sommes très touchés par toutes les marques de sympathie reçues en provenance du monde entier », déclare Jobst Wagner, président du conseil de surveillance. Cela montre à quel point Helmut Wagner a laissé l'héritage « en tant que l'un des pionniers de l'industrie moderne, en tant que créateur courageux et visionnaire sans faille », ajoute-t-il.« Nous honorerons la mémoire d'Helmut Wagner en poursuivant résolument son impressionnant travail. Son esprit d'entreprise continuera de nous guider à l'avenir. » Helmut Wagner façonne et stimule le monde de l'industrie plastique depuis 1948. La création de l'entreprise dans la ville de Rehau en Allemagne a marqué le début de la fabrication de produits à base de polymères et la réussite d'une entreprise familiale encore fortement caractérisée par l'esprit pionnier de son fondateur.En 2000, après cinq décennies de développement réussi de la société, Helmut Wagner a cédé la direction de REHAU à ses fils : Jobst Wagner est devenu président du conseil de surveillance et Dr. Veit Wagner a été nommé vice-président. La troisième génération est déjà active au sein de l'entreprise familiale. En 2015, le conseil municipal de Rehau a rendu un hommage particulier à Helmut Wagner, en le faisant le premier citoyen d'honneur depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.Aujourd'hui, REHAU est une entreprise familiale internationale comptant 20.000 collaborateurs répartis sur plus de 170 sites dans le monde.« Nous devons cela en particulier à la vision et au courage d'Helmut Wagner. Dans un profond deuil et une sincère gratitude pour les réalisations du fondateur de la société, la famille REHAU est particulièrement unie en ces jours. » conclut William Christensen, PDG du Groupe REHAU.
Il y a 4 ans et 109 jours

Le Livret A a attiré deux fois plus d'épargne en 2020

Le Livret A, placement très répandu en France, a attiré en 2020 deux fois plus d'épargne qu'en 2019, engrangeant un montant net de 26,4 milliards d'euros, a annoncé la Caisse des dépôts.