Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255465 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 108 jours

L’Oise Picarde affiche de grandes ambitions pour dessiner l’avenir

Les vice-présidents de la communauté de communes de l’Oise Picarde (CCOP) dévoilent leur mission.
Il y a 4 ans et 108 jours

Rockwool dévoile Rockfeu Wood FdC pour l'isolation des sous-sols et parkings

Rockfeu Wood FdC est la solution idéale pour l'isolation des plafonds en fond de coffrage. C'est une solution qui offre l'esthétisme du bois allié aux 7 forces de la laine de roche. Rockfeu Wood FdC s'installe dans les parkings, les sous-sols, les caves, les garages, les vides sanitaires et les locaux techniques.Rockfeu Wood FdC est installé avant le coulage de la dalle en béton et est optimisé pour le fond de coffrage, permettant de gagner du temps sur les chantiers. En vente dès Janvier 2021 dans les négoces.Signes particuliers : Rockfeu Wood FdC dispose d'une excellente performance thermique et d'une excellente protection contre le feu. Grâce aux fixations intégrées, les panneaux sont très faciles à poser, ce qui permet de gagner en temps de pose.À savoir : La technique du fond de coffrage est particulièrement appropriée pour l'isolation thermique des locaux non chauffés ou en extérieur. Elle représente aussi la technique de sécurité incendie la plus performante à destination des commerces et des logements ou pour les établissements recevant du public en alliant les performances acoustiques et thermiques intrinsèques à la laine de roche.
Il y a 4 ans et 108 jours

Compiègne : le quartier du Camp-des-Sablons poursuit sa mutation

Le nouveau visage du nouveau quartier du Camp-des-Sablons à Compiègne se dévoile progressivement.
Il y a 4 ans et 108 jours

Le prêt d'un logement doit être tout à fait gratuit

Donner un droit d'occupation sur un immeuble en échange de travaux et du paiement d'une partie des charges n'est pas un prêt,  mais un bail qui ne peut pas être rompu selon le bon vouloir du propriétaire.
Il y a 4 ans et 108 jours

L'activité de Pierre et Vacances très impactée par la crise du Covid-19

Pierre et Vacances, numéro un européen des résidences de loisirs, a vu son activité divisée par deux au premier trimestre de son exercice décalé 2020/2021, très pénalisée par la deuxième vague de Covid-19.
Il y a 4 ans et 108 jours

Escalquens : les projets à surveiller pour cette année

La ville d’Escalquens sera le théâtre de nombreux projets au cours de cette année.
Cimbat
Il y a 4 ans et 108 jours

Eurométropole de Strasbourg : la modification n°3 du plan d’urbanisme passe à l’enquête publique

Le projet de l’Eurométropole de Strasbourg concernant la troisième modification du Plan Local d’Urbanisme (PLU) passe actuellement au stade de l’enquête publique.
Il y a 4 ans et 108 jours

Durabilité : quatre certifications internationales pour la Tour Saint-Gobain

La Tour Saint-Gobain qui accueille le nouveau siège social mondial de Saint-Gobain à La Défense, a obtenu les quatre principales certifications environnementales internationales, au plus haut niveau.
Il y a 4 ans et 108 jours

Attaqué par les embruns, le Mont-Saint-Michel en travaux pour trois ans

"Le Mont-Saint-Michel, dans toute son histoire, ça a toujours été une lutte incessante contre les effets météorologiques. Il y a toujours eu des infiltrations. On va essayer à nouveau de les limiter et puis dans 50 ans, dans 100 ans, il faudra recommencer parce que c'est un éternel recommencement pour conserver et transmettre ce magnifique édifice à nos générations futures", explique François Jeanneau, architecte en chef des Monuments historiques, interrogé par l'AFP sur l'échafaudage 46 mètres de haut.L'abbaye française classée au patrimoine mondial de l'Unesco ne perd rien de sa superbe quand on l'approche depuis la côte, l'essentiel des travaux ayant lieu au nord, côté mer, sur un échafaudage qui va se déplacer au fil du temps.Il s'agit avant tout de "nettoyer les façades très encrassées par les lichens, les mousses, les algues qui attaquent la pierre" et de "remplacer des blocs de pierre qui sont en mauvaise état et pourraient chuter", précise M. Jeanneau.Il était donc "urgent d'intervenir", résume le haut fonctionnaire, qui date les derniers travaux de restauration de la deuxième moitié du XIXe, entre 1862 et 1885.Leur lancement a été presque aussi pharaonique que dût l'être l'édification de l'abbaye sur un rocher qui redevient une île lors des grandes marées. Il a fallu déjà 600 allers-retours en hélicoptère entre la côte et le Mont pour acheminer, de début novembre à fin décembre, les 90 tonnes d'échafaudage."Gigantisme"Ces travaux "sont exceptionnels par leur gigantisme. On est sur un rocher. Sur ce rocher a été construite une abbaye et contre cette abbaye, on a un échafaudage de la hauteur de l'Arc de Triomphe", souligne Thomas Velter, administrateur du monument le plus visité de France, hors région parisienne.Au total près de 100 m3 de pierres seront remplacés et 8.500 m2 de façade nettoyés.Depuis deux semaines, les maçons-tailleurs de pierre ont en toute discrétion commencé à redonner au granit sa couleur sable d'origine. Mais dans les rues quasi désertes d'un Mont-Saint-Michel aux devantures closes en raison du Covid-19, le silence continue à dominer.Il faut prendre l'ascenseur monté dans l'échafaudage et s'élever jusqu'au quasi sommet de la Merveille pour commencer à percevoir le son des travaux."On passe l'Algimousse, un produit à la fois curatif et préventif. On laisse agir normalement 12h et après on amène de l'eau avec les brosses et on arrive à décaper. Après on rejointe", explique Philippe Besnard, chef du chantier de nettoyage mené par Degaine, filiale de Vinci.Les pierres les plus attaquées sont marquées d'une tache rouge avant d'être changées. "C'est au nettoyage qu'on voit si c'est vraiment sableux, s'il y a beaucoup de grain qui s'en va. Et quand on tape si ça sonne un peu creux", précise M. Besnard alors qu'une dizaine d'ouvriers s'affairent autour des hauteurs du monument. 25 pierres ont déjà été enlevées, dit-il."Ce n'est pas un granit très dur. Ce n'est pas un granit des profondeurs c'est un granit de surface, de décomposition, qui pour beaucoup venait des îles Chausey qui ne sont pas loin", précise François Jeanneau.Outre le nettoyage des pierres, des travaux de charpente sont également prévus. Des ardoises de l'une des dernières carrières d'ardoises françaises, à Travassac, seront acheminées de Corrèze. Et quelques vitraux seront aussi restaurés.Fermée depuis octobre en raison du Covid-19, l'abbaye sera ouverte au public pendant les travaux, dès que les mesures sanitaires liées à l'épidémie le permettront.
Il y a 4 ans et 108 jours

Près de 7% de logements en moins lancés en 2020

CONJONCTURE. Les chiffres officiels de la construction de logements font état d'un trou de 65.000 autorisations et de 28.000 mises en chantier en 2020. Si le quatrième trimestre est positif en termes d'autorisations, le mois de décembre a vu une baisse marquée des autorisations comme des mises en chantier.
Il y a 4 ans et 108 jours

Le Département des Hauts-de-Seine et le CSTB ont conçu un guide pour limiter la propagation du COVID 19 dans les collèges

Le Département des Hauts-de-Seine et le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment s'associent pour limiter la propagation du Covid-19 dans les collèges du département, en mettant à disposition un guide de bonnes pratiques. Le Département des Hauts-de-Seine et le CSTB ont récemment engagé des travaux de recherche conjoints, dédiés à la gestion du risque Covid dans les établissements scolaires. Organisés autour des principes de ventilation mécanique ou naturelle, flux d'élèves, configurations et temps d'occupation des salles de cours, les premiers travaux menés ont permis de définir une série de préconisations pratiques, à destination des collèges. Ces recommandations sont aujourd'hui mises à disposition des chefs d'établissements des Hauts-de-Seine, dans un guide méthodologique facilitateur, disponible ici. En savoir plus : Lire le communiqué de presse Télécharger le guide
Il y a 4 ans et 108 jours

Astucieusement restructuré, ce 130 m2 retrouve la lumière

REPENSE. Un espace de vie très cloisonné, des pièces aveugles, des axes de circulation entravés... Cet appartement familial avait besoin d'un nouveau plan pour révéler tout son potentiel. Habilement réorganisé, l'intérieur a gagné en fluidité et laisse à nouveau circuler la lumière.
Il y a 4 ans et 108 jours

Après l'échec d'Europacity, Auchan promet de poursuivre ses grands projets

"On a beaucoup appris et on est heureux d'avoir eu cette expérience-là", a déclaré, à propos d'Europacity, Antoine Grolin, président de Ceetrus, la filiale immobilière du groupe Auchan.Le groupe, principal actionnaire de ce projet gigantesque de complexe commercial à une quinzaine de kilomètres de Paris, a pourtant été contraint fin 2019 par l'État à un abandon pur et simple après des années de contestation par des mouvements écologistes et certains responsables politiques.Tout en confirmant être en cours de procédure pour se faire indemniser par l'État, la filiale d'Auchan a manifesté sa volonté de poursuivre des projets ambitieux, à l'occasion de la création d'une nouvelle structure.Celle-ci, baptisée Nhood, vise à se concentrer sur la réalisation de projets immobiliers, tandis que Ceetrus gardera la propriété des principaux actifs d'Auchan. La nouvelle entité prévoit un milliard d'euros d'investissements lors des trois ans à venir."Il était important de créer une entreprise avec des racines nouvelles", a expliqué M. Grolin, même si la famille Mulliez restera seule actionnaire de l'entité à l'exception d'une ouverture possible aux salariés.Son ambition est de "s'enrichir du local pour écouter les habitants", a-t-il poursuivi, alors que Ceetrus a aussi rencontré des difficultés autour d'un autre projet emblématique, la rénovation de la Gare du Nord.Face à l'opposition de la mairie de Paris, pourtant initialement favorable au projet, celui-ci a dû voir fin 2020 son ambition réduite et ne pourra être achevé pleinement pour les Jeux olympiques de 2024, comme prévu à l'origine.
Il y a 4 ans et 108 jours

Collet : Etre au service des industriels

Grégoire Collet représente la 4e génération de la famille à la tête de l’entreprise éponyme. [©Collet] L’année 2020 a été compliquée pour le BTP. Est-ce aussi le cas pour vous ? Nous avons un mode de fonctionnement un peu particulier. Nous sommes sous-traitants dans des domaines très diversifiés, que sont la route, le bâtiment, les lubrifiants, l’automobile, la cosmétologie, les engrais… Ce large panel nous a permis de passer entre les gouttes. D’autant que certains évènements industriels survenus au cours des 15 derniers mois ont été plutôt favorables aux sous-traitants que nous sommes… A ce jour, l’activité “bâtiment/produits bitumineux” chez Collet se porte bien. Pour le bâtiment, quelles sont les solutions bitumineuses que vous proposez ? Notre entreprise bénéficie de 75 ans d’expérience dans ce domaine. Je représente la 4e génération de la famille à sa tête. Nous avons toujours fait du bitume. Depuis le début, ce produit est utilisé pour l’imperméabilisation et la protection des bétons et fondations. Ou encore pour des applications dérivées, tels le collage d’éléments sur béton comme les panneaux d’isolants, voire le roofing avec les primaires d’adhérence pour étanchéité bitumineuse. Cependant, vous ne trouverez pas de produits portant le nom de Collet sur le marché. Nous les produisons pour le compte de grandes marques du bâtiment, en sous-traitance. Leur popularité ne s’est jamais démentie. Ils sont appelés “Noir de fondation” sur les chantiers. Vous produisez aussi des granualts en PSE destinés à la composition de bétons spéciaux. Nous produisons des billes de polystyrène expansé utilisées comme granulats dans les bétons dits “allégés”. Nous avons trois références dans ce domaine. Le plus connu est le Styrobéton, qui a déjà une trentaine d’années d’existence. Il bénéficie d’un Avis technique, ainsi que d’une accréditation Socotec relative aux formes de pente. Ce sont des billes expansées, calibrées et enrobées d’un additif, permettant leur meilleure dispersion. Le produit est installé sur le marché avec un volume conséquent, et est utilisé par les majors du secteur. Les billes bénéficient de deux autres références plus récentes… Le Styro Light Form est construit sur le même concept que le Styrobéton, mais avec des billes d’un diamètre supérieur. Il est employé en remplissage de fissures ou de désordres, ou en tant que ravoirage. Depuis 2016, nous avons aussi lancé le Styro Light Fluide. Comme son nom l’indique, il permet d’obtenir une matrice de béton allégé très fluidifiée, d’une consistance moins plastique, ce qui est en facilite la mise en œuvre. C’est un marché nouveau qui se développe. Selon l’évolution des ventes de ce produit en 2021, nous envisageons d’engager une démarche de certification visant à un Avis technique. C’est sans doute notre solution du futur. Il était évident qu’il nous fallait une gamme répondant à l’explosion du concept des chapes fluides sur le territoire français. Quels sont les leviers pour faire progresser le Styro Light Fluide ? A l’heure actuelle, l’ensemble de la gamme Styrobéton est commercialisé par notre distributeur. Cette gamme est d’ailleurs proposée sous notre propre marque : Collet-Cobil. Je pense qu’à travers la communication, mais surtout les références chantiers, le Styro Light Fluide va vite se faire connaître et convaincre ses futurs utilisateurs.
Il y a 4 ans et 108 jours

CDG Express : le Gouvernement toujours "déterminé" à mener à bien le projet

TRANSPORTS. Alors que les travaux interrompus après une décision de justice reprennent progressivement, le ministre délégué aux Transports Jean-Baptiste Djebbari a tenu à rappeler le soutien de l'Etat au projet du CDG Express et les avantages qu'il présentait selon l'exécutif.
Il y a 4 ans et 109 jours

Groupe-6 et GD Architectes, histoire d’un projet franco-suisse

En janvier 2021, L'Architecture d'Aujourd'hui répond à l'invitation de la revue suisse Tracés pour la publication ...En savoir plus Cet article Groupe-6 et GD Architectes, histoire d’un projet franco-suisse est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 109 jours

"Nous nous préparons déjà à gérer la décroissance de l'activité fibre" E.Dugas (Infranum)

INTERVIEW. Malgré la crise sanitaire, la filière des infrastructures numériques a de nouveau signé une année record en 2020. Le déploiement du très haut débit se poursuit à un rythme soutenu, mais ses acteurs commencent à réfléchir à l'après-fibre, en se dotant de perspectives nouvelles. Le détail avec Etienne Dugas, président d'Infranum.
Il y a 4 ans et 109 jours

Décès d'Helmut Wagner, fondateur de l'entreprise familiale Rehau

« Nous sommes très touchés par toutes les marques de sympathie reçues en provenance du monde entier », déclare Jobst Wagner, président du conseil de surveillance. Cela montre à quel point Helmut Wagner a laissé l'héritage « en tant que l'un des pionniers de l'industrie moderne, en tant que créateur courageux et visionnaire sans faille », ajoute-t-il.« Nous honorerons la mémoire d'Helmut Wagner en poursuivant résolument son impressionnant travail. Son esprit d'entreprise continuera de nous guider à l'avenir. » Helmut Wagner façonne et stimule le monde de l'industrie plastique depuis 1948. La création de l'entreprise dans la ville de Rehau en Allemagne a marqué le début de la fabrication de produits à base de polymères et la réussite d'une entreprise familiale encore fortement caractérisée par l'esprit pionnier de son fondateur.En 2000, après cinq décennies de développement réussi de la société, Helmut Wagner a cédé la direction de REHAU à ses fils : Jobst Wagner est devenu président du conseil de surveillance et Dr. Veit Wagner a été nommé vice-président. La troisième génération est déjà active au sein de l'entreprise familiale. En 2015, le conseil municipal de Rehau a rendu un hommage particulier à Helmut Wagner, en le faisant le premier citoyen d'honneur depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.Aujourd'hui, REHAU est une entreprise familiale internationale comptant 20.000 collaborateurs répartis sur plus de 170 sites dans le monde.« Nous devons cela en particulier à la vision et au courage d'Helmut Wagner. Dans un profond deuil et une sincère gratitude pour les réalisations du fondateur de la société, la famille REHAU est particulièrement unie en ces jours. » conclut William Christensen, PDG du Groupe REHAU.
GDA
Il y a 4 ans et 109 jours

La mairie de Paris annonce des contrôles renforcés sur l'encadrement des loyers

"Encore trop d'abus" : les contrôles sur le respect de l'encadrement des loyers à Paris vont être renforcés à partir de février, a annoncé l'adjoint en charge du Logement à la mairie de Paris.
Il y a 4 ans et 109 jours

Décret tertiaire : l'arrêté "Seuils" est publié et permet d'y voir clair

Un arrêté paru au Journal officiel du 17 janvier indique les objectifs à atteindre en termes de rénovation énergétique pour les bureaux, les locaux d’enseignement et les sites logistiques.
Il y a 4 ans et 109 jours

Agriculture et panneaux solaires: une charte pour encadrer les installations

Installer des panneaux solaires sur des terres agricoles? "Oui", mais pas n'importe comment, disent le syndicat FNSEA, les chambres d'agriculture et l'opérateur EDF Renouvelables dans une charte.
Il y a 4 ans et 109 jours

Atelier du Pont : trois boutiques, trois matériaux

Atelier du Pont signe l’architecture intérieure de trois boutiques de la marque de cosmétiques... Cet article Atelier du Pont : trois boutiques, trois matériaux est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 109 jours

L’activité de l’Inrap a progressé en 2020 malgré la crise sanitaire

Grâce à un protocole sanitaire rigoureux, l’Inrap a pu reprendre, dès la fin du premier confinement, l’ensemble de ses opérations interrompues le 16 mars 2020, en étroite concertation avec les services de l’État (Drac) et les aménageurs. Ce sont finalement plus de 2 300 opérations de diagnostics et de fouilles archéologiques qui ont été conduites en 2020 en phase terrain par l’Inrap, en France métropolitaine et en outre-mer, en progression par rapport à 2019. Un nombre équivalent de rapports d’opérations a été remis aux services de l’État, la période de confinement du 16 mars au 11 mai 2020 ayant été consacrée à la finalisation de plus de 300 études. Dans la même période, plusieurs dizaines de spécialistes sont venus renforcer les équipes scientifiques de l’établissement. Près de 90 conventions ont été signées ou renouvelées entre l’Inrap et ses partenaires (universités, UMR, collectivités territoriales, fondations, associations culturelles et scientifiques…). Les activités de recherche à l’Inrap ont également été maintenues avec 21 000 jours consacrés à ces missions, soit l’équivalent de 104 agents à temps complet, confirmant l’Inrap comme principal établissement de recherche en archéologie préventive en Europe. Les actions de développement culturel ont été fortement impactées par la situation sanitaire. Pour autant, d’autres formes de diffusion et de partage de la connaissance, s’appuyant sur le numérique, ont été développées par l’Inrap. Les Journées européennes de l’archéologie, organisées par l’établissement public pour le compte de l’État, ont ainsi évolué vers un format numérique #Archeorama avec 150 000 visiteurs sur le site journees-archeologie.fr. L’Inrap a également participé à l’opération du ministère de la Culture #culturecheznous en partageant 500 reportages, multimédias, jeux, dessins animés… Grâce au soutien exceptionnel de l’État pour le financement de ses missions non concurrentielles (diagnostics, recherche et valorisation) et grâce à la dynamique de ses activités concurrentielles (fouilles), l’Inrap équilibrera ses comptes en 2020 pour la 3e année consécutive.   Photo : Fouille d’un puits romains à Saintes, descente de Sarah Laurent de la Cellule d’intervention sur les structures archéologiques profondes de l’Inrap (Cisap) © Ch. Tardy (Cisap), Inrap  
Il y a 4 ans et 109 jours

La Citadelle Miollis hébergera des animations durant sa transformation

Située en plein cœur d’Ajaccio, la Citadelle Miollis, dont la première pierre a été posée en 1492 et qui n’a cessé de se transformer jusqu’à nos jours, fait aujourd’hui l’objet d’un projet inédit d’aménagement et d’ouverture. Une démarche novatrice a été mise en place, consistant à « activer » le lieu dès 2021 : l’ouvrir avant et pendant sa transformation pour raconter le projet aux Ajacciens, tester des usages et lancer une dynamique artistique et créative autour du projet. Cette méthodologie, qui existe déjà sur la réhabilitation de friches à Paris, Rennes ou Marseille, est totalement adaptée au site de la Citadelle et au projet. Elle permet de restituer la Citadelle aux Ajacciens, de l’ouvrir au public et de l’animer tout au long de la durée du chantier et de sa transformation. Dès le premier été de son ouverture, la Citadelle sera animée régulièrement, de juin à septembre 2021. Dans ce cadre, la Citadelle accueillera des événements, de nature variée : concerts, performances, installations… Les différents événements et les acteurs partie prenante (artistes lauréats des appels à création, porteurs de projets événementiels, partenaires…) auront vocation à cohabiter les uns avec les autres et à fonctionner en synergie pendant toute la durée de l’été. Une maison du projet, baptisée « Maison de la Citadelle » et que la Ville d’Ajaccio souhaite permanente, sera par ailleurs implantée dans le site. Cette activation culturelle se poursuivra pendant toute la durée du chantier : chantiers de découvertes de la Citadelle au travers des fouilles archéologiques, de dépollution et d’accessibilité. Pour mener à bien ce projet, la Ville d’Ajaccio s’appuie sur son partenaire la SPL Ametarra, qui a en charge l’aménagement de ce site patrimonial. Elles sont également accompagnées par Manifesto dans la conception et la mise en œuvre de la stratégie culturelle et artistique de la transformation de la Citadelle et le cabinet d’architectes Mutatis qui accompagne le projet au niveau de la méthodologie et de sa mise en oeuvre. Elles proposent trois appels à création en janvier 2021 pour un lancement des premières actions dès le printemps 2021. www.ametarra.fr  
Il y a 4 ans et 109 jours

Retour en images sur les livraisons qui ont marqué 2020 #2

Entre octobre 1902 et mai 1965, Le Corbusier produit plusieurs milliers de dessins, souvent d'une grande beauté. Quelque 5 000 d'entre eux sont conservés à la fondation Le Corbusier et les autres dans des collections privées et publiques. Cet ouvrage est le premier volume du catalogue raisonné en quatre tomes des dessins du maître.  Il couvre […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 109 jours

Pourquoi le secteur immobilier est-il le (plus) mauvais élève de la transition écologique ?

Dans de nombreux secteurs d’activités une révolution est en marche, dans un but très louable de réduire son impact écologique sur la planète. Les acteurs de l’alimentation, de l’habillement, du transport et de nombreux pans de l’industrie, de la distribution sont entrés dans une démarche RSE avec des objectifs ambitieux. Même la finance et l’assurance […]
Il y a 4 ans et 109 jours

Rassemblement devant le siège de Total à l'appel des raffineurs de Grandpuits

Les raffineurs de Grandpuits sont en grève depuis le 4 janvier contre le projet de reconversion du site, où Total prévoit de cesser le raffinage "fin 2023" pour laisser la place à la production de biocarburants et de bioplastiques, et à l'exploitation de deux centrales solaires photovoltaïques.Cette reconversion va entraîner selon la CGT (majoritaire) "des suppressions d'emplois, notamment chez les sous-traitants", tandis que le groupe affirme "s'engager à accompagner chaque entreprise concernée par l'évolution du site".Le CSEC qui se tient mardi doit étudier un rapport d'expertise sur ce plan de reconversion, selon Adrien Cornet, délégué CGT de la raffinerie. Ce rapport "appuie toutes nos inquiétudes, en termes d'emploi, en termes de sécurité industrielle, en termes de maintenance", a-t-il assuré à l'AFP."C'est pour ça que c'était très important pour nous d'être là aujourd'hui, pour démontrer que ce n'est pas seulement une réunion de 8 heures", a ajouté l'élu CGT, pour qui les tenants de ce projet vont "décider de l'avenir de 80, 90 personnes".Des soutiens des grévistes ont aspergé l'une des entrées du siège de Total de peinture verte "pour repeindre physiquement la tour Total en vert", a expliqué Adrien Cornet.Les raffineurs présents, majoritairement membres de la CGT mais aussi de la CFDT et de SUD, ont déployé au sol une banderole sur laquelle était écrit "Derrière le PSE de Total, 700 familles menacées", autour de photos d'une cinquantaine de raffineurs."Il faut se manifester à un moment ou à un autre, parce que dans le projet de Total, l'emploi n'est pas pris en compte du tout", a souligné Daniel, l'un des raffineurs présents, qui n'a pas souhaité donner son nom de famille. "On ira jusqu'au bout quoi qu'il arrive, seul le résultat compte", a-t-il ajouté.Une nouvelle assemblée générale sera organisée mercredi pour décider de la suite du mouvement de grève.
Il y a 4 ans et 109 jours

Un nouveau giratoire à Crécy-la-Chapelle

Le carrefour en direction du parc Parrot World sera réaménagé en giratoire.
Il y a 4 ans et 109 jours

Orgeval : restauration du mur de l’ancienne abbaye d’Abbecourt

Le mur de l’abbaye royale de Notre-Dame d’Abbecourt fera bientôt peau neuve.
Il y a 4 ans et 109 jours

Un reconfinement causerait une perte d'activité entre 10% et 18%, selon Bercy

"Le confinement ne peut être que la toute dernière mesure quand toutes les autres ont été essayées", a estimé mercredi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur France Culture, en évoquant l'impact d'un troisième confinement.Selon l'évaluation de Bercy, dévoilée par Le Parisien et confirmée à l'AFP par le ministère, un confinement a minima, incluant une fermeture des collèges et lycées et des restaurants d'entreprises, entraînerait une perte d'activité de 10% par rapport au niveau d'avant-crise.Un confinement strict, avec fermetures de tous les établissements scolaires et des commerces non essentiels, causerait une perte d'activité de 18%, toujours selon le ministère. C'est moins qu'au printemps, où la perte avait atteint plus de 30%, car le gouvernement estime que certains secteurs comme l'industrie et le bâtiment continueraient de fonctionner.Enfin, un scénario intermédiaire, dans lequel les écoles et crèches resteraient ouvertes, mais avec une fermeture des collèges et lycées et des commerces non-essentiels, entraînerait une perte d'activité de 13%, soit à peine plus qu'en novembre dernier (-12%).Le ministère a précisé à l'AFP qu'actuellement, les fermetures administratives imposées aux cafés et restaurants, ainsi qu'aux activités culturelles et touristiques entraînent une chute d'activité de 7%, à laquelle vient s'ajouter 1% de perte supplémentaire due au couvre-feu à 18 heures.
Il y a 4 ans et 109 jours

Soprema réorganise son activité piscine

LISIBILITE. Dans un souci d'amélioration de ses services, Soprema réorganise son activité piscine en fusionnant notamment 3 de ses marques.
Il y a 4 ans et 109 jours

Tadao Ando : « J’ai voulu concevoir une architecture comme personne n’en avait réalisée»

Retrouvez cet article dans le hors-série n° 23 Tadao Ando, en compagnie de François Pinault, devant le bâtiment de la Bourse du Commerce, à Paris. [©Fred Marigaux, 2016. Courtesy Collection Pinault – Paris] Pouvez-vous nous présentez votre travail ? Tadao Ando : Ma recherche architecturale s’articule autour de formes simples : cercle, carré ou rectangle, avec une prédilection pour le béton brut, que je travaille, afin d’obtenir des aspects lisses, brossés ou vernis. J’aime le voir changer avec le temps et capter la lumière. Ce matériau symbolise l’époque moderne. Tout le monde peut s’en procurer. Il est accessible à tous. C’est pour cela que j’ai voulu concevoir une architecture comme personne n’en avait réalisée. Et ce, avec le béton. La lumière et le béton, un vaste programme. Ce sont deux matériaux que tout oppose et qui pourtant, une fois mis en scène par vous, viennent créer une poétique de l’espace, mettent en valeur des lieux ou au contraire dissimulent une partie des volumes ? Comment faites-vous pour les accorder ? Le béton vient cerner les espaces que j’imagine à l’aide de parois. Quant à la lumière, elle est changeante et revêt différentes apparences, en fonction de l’espace et du temps. J’utilise beaucoup les puits de lumière. L’un est donc le symbole de la permanence et de la stabilité, l’autre est plus dans le registre de l’impermanence et de la mobilité. Pourtant, le béton et la lumière s’accordent naturellement. La Bourse du Commerce, à Paris : esquisse de Tadao Ando. [©Tadao Ando. Courtesy Collection Pinault – Paris] Quelle est votre définition d’une belle réalisation en architecture ? Je pense que l’architecture est l’une des professions les plus bénéfiques pour la société. L’architecture consiste à créer des lieux pour la communauté. Je réalise mes structures, en me demandant comment je pourrais concevoir des choses, qui restent gravées dans l’âme des hommes pour l’éternité. En plus, mes réalisations s’insèrent le plus possible avec harmonie dans le paysage. Au fil des ans, j’ai réalisé que la coordination et la collaboration avec de nombreux professionnels peuvent mener à la création de grandes choses. Il est toujours essentiel de collaborer avec le client, les ingénieurs, les sous-traitants, les consultants et d’autres personnes du secteur de l’architecture. Peu de professions comptent sur une seule personne pour coordonner ces types de projets importants pour la société. Les compétences de l’architecte sont bénéfiques à bien des égards, ce qui peut amener à réfléchir à la manière dont nos compétences en matière de créativité, de gestion et de coordination peuvent être appliquées à d’autres domaines. Qu’est-ce que le mot “béton” évoque pour vous ? Quel rôle joue-t-il concrètement dans votre travail ? Je suis connu pour utiliser du béton architectural dans mes conceptions, mais je suis plus intéressé par les espaces que le béton peut créer que par le béton lui-même. La collaboration et l’esprit de nombreuses personnes dévouées sont nécessaires à sa réalisation. J’ai beaucoup de respect pour la culture régionale où mes conceptions ont été construites. Le béton dépend des cultures, des histoires et des matériaux locaux disponibles. Dans toutes les régions du monde, il y a du béton. J’espère créer à la fois une architecture, qui peut être construite n’importe où, mais qui est unique à cet endroit. Image de synthèse de la Bourse du Commerce : le promenoir et l’oculus, au sommet du cylindre. [©Artefactory Lab – Tadao Ando Architect & Associates – NeM / Niney & Marca Architectes – Agence Pierre-Antoine Gatier. Courtesy Collection Pinault – Paris] Minéralité du béton et japonisme sont-ils liés dans vos réalisations ? Quels que soient les matériaux, je n’ai jamais pensé à incorporer des éléments japonais dans ma conception. Cependant, quand j’étais jeune, je me suis consacré à créer un béton lisse et délicat, afin d’obtenir une texture similaire à celle du bois utilisé dans l’architecture japonaise traditionnelle. Les éléments japonais que l’on trouve dans mon architecture sont involontaires et on peut dire que cette vision japonaise est le fruit de mon inconscient. Que pensez-vous des architectes du béton tels que Wright, Le Corbusier, Niemeyer, Ricciotti, Bofill, Meier ? Comment considérez-vous leurs œuvres ? La première fois que je suis entré en contact avec l’œuvre de Le  Corbusier, j’étais dans une ancienne librairie d’Osaka. A cette époque, je croquais la vie à pleine dent, mon destin n’était pas encore tracé. J’avais 20 ans et je travaillais à temps partiel dans un bureau d’architecture. J’ai d’abord posé mes yeux sur un portfolio de Le Corbusier dans la section Arts de la librairie. Immédiatement, j’ai senti dans ma chair :“Ça y est, c’est cela que je veux”.L’ouvrage étant trop cher pour moi, j’ai alors économisé et j’ai acheté le livre environ un mois plus tard. Ensuite, je l’ai lu, page par page, tous les soirs. Même si mes connaissances n’étaient pas assez approfondies pour comprendre les subtilités du Modernisme, le contenu du livre était absolument fascinant. Chaque page était joliment illustrée avec des photographies architecturales en gros plan et en grand angle, ainsi que des plans et des croquis. Je me suis dit : “Je veux être capable de concevoir comme ça”. J’ai appris et j’apprends encore des architectes historiques, tels que Frank Lloyd Wright, Oscar Niemeyer et bien d’autres. Située au Nord du Japon, la colline de Bouddha est un temple souterrain, à l’exception d’une immense statue de Bouddha, dont seule la tête dépasse du sol. [©Shigeo-Ogawa/Tadao Ando] Quelles sont vos réalisations préférées dans votre travail ? Je pense que l’architecture que j’aime le mieux est le projet sur lequel je travaille. Par exemple, je suis actuellement sur la préservation et la rénovation du projet de la Bourse de commerce, à Paris. Je préfère toujours regarder vers le présent et le futur. Ce n’est pas dans ma nature de m’attarder sur le passé. Propos recueillis par Muriel Carbonnet Retrouvez cet article dans le hors-série n° 23
Il y a 4 ans et 109 jours

Chiffre d'affaires en baisse pour Geberit en 2020, malgré un bon second semestre

RESULTATS. Le spécialiste suisse des sanitaires, Geberit, a enregistré un chiffre d'affaires en léger recul pour l'année 2020. Néanmoins, le second semestre a permis de limiter la baisse.
Il y a 4 ans et 109 jours

Décès du fondateur de Rehau

DISPARITION. Helmut Wagner, fondateur et président d'honneur de Rehau, spécialiste de la transformation des polymères dans le BTP, est décédé le 24 janvier en Suisse.
Il y a 4 ans et 109 jours

MaPrimeRénov : l'Anah présente son bilan 2020 et fixe un objectif ambitieux pour 2021

BILAN CHIFFRE. L'Agence nationale de l'habitat (Anah) vient de rendre publics ses chiffres pour l'année 2020, qui a notamment été marquée par l'entrée en vigueur de MaPrimeRénov. L'objectif pour 2021 est de rénover 600.000 logements.
Il y a 4 ans et 109 jours

Angleterre : nouveaux retard et surcoût pour le projet Hinkley Point mené par EDF

CHANTIER. Encore un revers pour EDF dans le dossier Hinkley Point : les futurs réacteurs nucléaires EPR qui doivent être construits en Angleterre accusent un nouveau retard, lequel engendre par ricochet des coûts supplémentaires. La facture finale est dorénavant estimée à pas moins de 25 milliards d'euros.
Il y a 4 ans et 109 jours

L’Annuaire par Béton[s] le Magazine

Couverture de l’Annuaire des fournisseurs de la filière béton. [©ACPress] Qui est qui dans le béton ? Qui fait quoi dans le béton ? C’est un peu à ces questions que tend à répondre la toute nouvelle édition de l’Annuaire des fournisseurs de la filière béton. Plus de 100 pages composent cet ouvrage de référence, qui se veut le plus complet possible, sans jouer le délicat exercice de l’exhaustivité… Ainsi, seulement 1 400 entreprises et organismes sont référencés, pour aller à l’essentiel. D’où le choix de ne retenir que les coordonnées des sièges sociaux. Côté pratique, chaque fiche comprend l’adresse postale complète, le téléphone et, point primordial, les principaux secteurs d’activité dans lesquels œuvrent la société concernée. Et afin de garantir une mise à jour permanente, l’Annuaire des fournisseurs de la filière béton est prolongé sur notre site d’informations acpresse.fr par notre Annuaire en ligne. Pour une consultation simple et rapide.  Pour se procurer la version papier, rendez-vous sur notre boutique.
Il y a 4 ans et 109 jours

La France pourrait techniquement remplacer le nucléaire par les énergies renouvelables en 2050

Le sujet, complexe, pose notamment la question d'aménagements à éprouver à grande échelle. Et il est particulièrement sensible dans l'Hexagone, où l'avenir de l'atome - aujourd'hui à l'origine de 70% de la production électrique - reste à trancher.Commandé fin 2019 par le gouvernement à l'Agence internationale de l'énergie (AIE) et au gestionnaire du réseau électrique RTE, ce rapport, basé sur l'état des connaissances au niveau mondial, s'intéresse à la seule faisabilité technique.Sa publication mercredi survient avant la sortie à l'automne d'un bilan complet de RTE incluant les coûts, impacts sociaux et environnementaux de huit scénarios avec et sans nucléaire."Bien qu'il n'y ait aucune barrière technique infranchissable a priori, il faut regarder les faits scientifiques, techniques et industriels", relève Xavier Piechaczyk, président de RTE. "Il reste beaucoup de sujets à résoudre. Le rapport suggère une méthode et des feuilles de route pour traiter ces enjeux".La ministre de la Transition écologique Barbara Pompili l'a reçu lundi et l'a salué. "Ce rapport constitue un moment copernicien pour le monde de l'énergie. Nous avons désormais la confirmation que tendre vers 100% d'électricité renouvelable est techniquement possible", a-t-elle commenté, évoquant "une évolution conceptuelle majeure et une révolution pour nos représentations collectives concernant notre +mix+ (bouquet, NDLR) électrique".Défis techniquesFace au réchauffement climatique, la France s'est engagée à la neutralité carbone d'ici 2050, ce qui implique un recours accru à l'électricité décarbonée pour de nombreux usages (transports notamment). L'option alternative sur la table: une montée des énergies renouvelables accompagnée d'un nouveau programme nucléaire pour succéder au parc actuel, ou s'appuyer sur les renouvelables seules.A ce stade la France, qui veut diversifier ses sources, prévoit de réduire le nucléaire à 50% du bouquet électrique en 2035."Aujourd'hui la part du solaire et de l'éolien en France est à moins de 10%, il y a une forte marge d'amélioration", a dit mercredi à l'AFP Fatih Birol, le directeur de l'AIE. "Cette part peut croître si nous prenons les bonnes mesures. Mais plus elle croît, plus nous devons prendre des mesures pour assurer la stabilité et la sécurité du système".L'AIE et RTE listent ainsi quatre "exigences".Le "principal défi": pouvoir gérer la variabilité de la production éolienne et photovoltaïque, ce qui signifie d'importantes "sources de flexibilité" grâce au stockage à grande échelle, au pilotage de la demande ou encore une forte interconnexion transfrontalière.La deuxième condition porte sur la stabilité de la fréquence. Des solutions sont appliquées au Danemark ou en Australie, mais leur "déploiement généralisé reste à évaluer".Troisième condition, le gestionnaire du réseau devra disposer de réserves opérationnelles afin de pouvoir intervenir pour équilibrer le système.Enfin, les réseaux devront être adaptés, à moyen terme.Tout cela suppose "une feuille de route très volontariste", y compris dans les secteurs de l'hydrogène, de l'automobile ou du bâtiment.Aujourd'hui, le numéro un en matière d'énergies renouvelables est le Danemark (60% en part annuelle), grâce à un schéma qui repose sur de fortes connexions avec les voisins."Nous avons des exemples (de 100% renouvelables) à petite échelle. A plus grande échelle, il faut plus de recherche-développement", souligne M. Birol, alors que l'AIE sortira en mai une feuille de route pour la neutralité carbone au niveau mondial.Pour cet économiste, qui prône le maintien du nucléaire, la France doit garder cette source d'énergie, "atout national depuis des décennies", à côté de deux autres piliers pour sa transition, les renouvelables et l'hydrogène.Le rapport RTE-AIE, après celui de l'Ademe qui en 2015 allait dans le même sens, promet de nourrir la bataille entre pro et anti-nucléaire."Oui, en France, les énergies renouvelables sont des alternatives solides aux énergies fossiles et au nucléaire", a réagi Greenpeace, jugeant que "depuis près de deux ans, le gouvernement pave, avec EDF, la voie d'une relance du nucléaire".L'exécutif a remis la décision au prochain quinquennat, ne souhaitant pas s'engager avant le démarrage de l'EPR de Flamanville (Manche), objet de multiples retards et surcoûts. Avant, il aura reçu à la mi-2021 une nouvelle offre d'EDF en matière d'EPR.
Il y a 4 ans et 109 jours

Les panneaux composites aluminium, une solution durable ?

Les panneaux composites aluminium ne sont pas seulement une aubaine pour les architectes et les façadiers. Cette solution, respectueuse de l’environnement, est également très convoitée pour la conception ou la rénovation de bâtiments durables. De multiples avantages Les panneaux composites aluminium sont des matériaux de plus en plus utilisés dans les projets de construction ou de rénovation de façades. Leurs nombreuses qualités séduisent aussi bien les architectes que les poseurs. Jusqu’à 66% plus léger que l’acier, l’aluminium composite est une solution idéale pour revêtir de grandes surfaces, telles que des façades. La légèreté des panneaux composites est également un atout en termes de coût financier. En effet, puisque les panneaux sont légers et faciles à transporter, le coût de mise en œuvre est relativement économique par rapport à d’autres matériaux, tels que le bardage aluminium. Le composite aluminium est aussi apprécié pour sa facilité d’entretien. Il suffit de le nettoyer une fois par an avec de l’eau claire à pression modérée. Les panneaux composites aluminium bénéficient d’une haute résistance à la corrosion et aux variations météorologiques (pluie, vent, neige…) grâce à leur couche protectrice. Leur durée de vie est supérieure à 30 ans. En cas d’incendie, ce matériau ne propage pas les flammes et ne libère pas de gaz toxiques. Enfin, l’aluminium composite offre une grande liberté architecturale. Disponibles en plusieurs coloris et avec différentes finitions, il est possible de créer des façades originales et modernes. Flexibles, les panneaux aluminium composites peuvent être pliés pour créer des formes ou pour être installés dans des endroits techniques (courbés…). Un pas en avant vers l’architecture durable Les panneaux en composite aluminium sont souvent utilisés pour les façades de bâtiments durables pour de nombreuses raisons. Un matériau recyclable Les panneaux composites en aluminium sont composés de matériaux recyclés tels que l’aluminium, le polymère et quelques minéraux. 100% recyclables, ces panneaux sont une solution durable qui conserve toutes ses qualités au fil des années. Des économies d’énergie possibles Les coûts énergétiques des bâtiments qui utilisent des panneaux composites aluminium sont également considérablement réduits. Le composite aluminium améliore l’isolation thermique des bâtiments en protégeant leur enveloppe. Cette solution est d’ailleurs très prisée par les architectes, pour des projets de construction ou de rénovation. Elle permet de diminuer la consommation énergétique des bâtiments en supprimant les ponts thermiques et en garantissant une meilleure qualité de l’air.
Il y a 4 ans et 109 jours

RE2020 : vigilance des fabricants de systèmes intégrés de chauffage, rafraîchissement et sanitaires

« Il faut aller au bout des choses, sans arbitrer trop rapidement, pour apporter les bonnes réponses et agir pour le climat. Les surfaces chauffantes rafraîchissantes basses températures sont des solutions non polluantes, qui s'inscrivent d'ores et déjà dans des projets de bâtiment à neutralité carbone. Les adhérents de Cochebat s'inquiètent plus des effets d'annonce qui accompagnent la publication des textes et des modes de calculs de la RE 2020, qui mettent en exergue de faux arguments pour favoriser telle ou telle technologie… ainsi la possible disparition de la boucle à eau chaude, alors même que c'est l'une des solutions les plus vertueuses, qui répond aux enjeux du grenelle de l'environnement » indique Florent KIEFFER, Directeur Général de Thermacome et Président de Cochebat, le syndicat national des fabricants de composants et de systèmes intégrés de chauffage, rafraîchissement et sanitaire.Le Plancher Chauffant Rafraîchissant basse température : un atout pour la RE 2020La RE2020 prend en compte des émissions de gaz à effet de serre sur toute la durée de vie des bâtiments. Or, les solutions de plancher chauffant rafraîchissant basse température offrent un atout de poids : ce mode de chauffage par rayonnement permet d'obtenir le même confort thermique avec 1°C de moins en consigne. D'après l'Adème, un degré de moins au générateur équivaut à 7% d'économies d'énergie. « Cela s'explique par le fait que contrairement à d'autres systèmes chauffants ou rafraîchissants, la chaleur est diffusée par rayonnement. Elle est donc homogène dans toute la pièce, sans zone froide » poursuit-il.De plus, ces systèmes sont compatibles avec la régulation thermique pièce par pièce, et sur le plan sanitaire : sans mouvement d'air lié à la convection, il n'y a pas de déplacement de poussières et autres allergènes. Ainsi, ils ne dégradent pas la qualité de l'air.La marque Certitherm garantit l'adéquation des solutions avec la RE 2020« Les certificats Certitherm permettent de se prévaloir de la performance technique et environnementale du Plancher Chauffant Rafraîchissant Basse Température. C'est la garantie d'un bon résultat dans le temps. » explique Elisabeth CHARRIER, Déléguée Générale de Cochebat.En 2020, ce sont 85 systèmes de surfaces chauffantes rafraîchissantes qui sont admis à la marque CERTITHERM, majoritairement des systèmes de planchers chauffants rafraîchissants basse température (96,5%), mais aussi des systèmes de murs et plafonds chauffants-rafraîchissants.Une année 2020 en demi-teinte pour les professionnels de Cochebat et un regard confiant pour 2021L'année s'annonçait positive et a brutalement connu un frein avec le premier confinement en mars 2020. « D'après notre baromètre, les entreprises ont été quasi à l'arrêt, avec une faible activité logistique et très peu d'approvisionnements de chantiers. Les entreprises ont fait preuve de beaucoup d'agilité à la reprise et lors du second confinement, notamment pour organiser le maintien de l'activité avec des règles sanitaires strictes et des difficultés liées aux personnels touchés ou cas contacts. » note Elisabeth CHARRIER. « Il subsiste une incertitude pour 2021, avec un ralentissement des permis de construire que l'on ne sait pas encore mesurer. Cependant, nous restons confiants, car les entreprises ont continué à innover avec des solutions de moins en moins énergivores et de plus en plus régulées pour continuer à améliorer leurs offres » conclut Florent KIEFFER.
Il y a 4 ans et 109 jours

L'association BBCA dévoile son top 10 des maîtres d'ouvrage bas carbone

CLASSEMENT. L'association bâtiment bas carbone (BBCA) vient de publier son classement annuel des dix maîtres d'ouvrage bas carbone pour l'année 2020.