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Il y a 5 ans et 46 jours

Le gouvernement élargit la prise en charge des loyers aux TPE sans salarié

Le gouvernement, les régions et les assureurs contribuent actuellement à un fonds de solidarité pour les très petites entreprises. Il doit notamment prendre en charge leurs loyers, mais cette disposition était jusqu'à maintenant réservées aux entreprises avec salariés."Nous avons décidé que tous les indépendants, tous les entrepreneurs qui n'ont pas de salarié, qui se sont vu refuser un prêt garanti par l'État et qui ne peuvent pas payer leur loyer pourront avoir accès au deuxième étage de ce fonds de solidarité", a déclaré M. Le Maire au micro de France Inter.Il a ajouté que les très petites entreprises pourront donc bénéficier de "jusqu'à 5.000 euros pour payer leur loyer". Bercy a précisé à l'AFP que cette mesure était réservée aux entreprises fermées sur décision administrative.Le "premier étage" du fonds est constitué d'une aide pouvant aller jusqu'à 1.500 euros par mois pour les entreprises dont le chiffre d'affaires a chuté d'au moins 50% durant le confinement, le "deuxième étage" étant réservé aux entreprises menacées de faillite.Bruno Le Maire a rappelé que "les grandes foncières se sont engagées à annuler les loyers sur trois mois pour toutes les très petites entreprises de moins de dix salariés".Le ministère de l'Économie a par ailleurs indiqué que le fonds de solidarité serait désormais ouvert aux entrepreneurs qui cumulent une petite retraite avec leur activité, jusqu'à concurrence de 1.500 euros mensuels pour l'ensemble de leurs revenus.Bruno Le Maire a confirmé que le fonds ne s'arrêterait pas au 11 mai, mais au 31 mai, et qu'il serait prolongé en juin pour les entreprises dont les activités seraient encore à l'arrêt comme les cafés, les restaurants ou l'évènementiel."Le 11 mai, tous les commerces doivent reprendre leur activité et ils continueront à bénéficier d'un soutien financier de l'État", a assuré M. Le Maire, qui a reconnu qu'il "y aura des faillites" dans les commerces et les très petites entreprises malgré les aides publiques.
Il y a 5 ans et 46 jours

Covid-19 : Le gouvernement élargit la prise en charge des loyers aux TPE sans salarié

Le gouvernement, les régions et les assureurs contribuent actuellement à un fonds de solidarité pour les très petites entreprises. Il doit notamment prendre en charge leurs loyers, mais cette disposition était jusqu'à maintenant réservées aux entreprises avec salariés."Nous avons décidé que tous les indépendants, tous les entrepreneurs qui n'ont pas de salarié, qui se sont vu refuser un prêt garanti par l'État et qui ne peuvent pas payer leur loyer pourront avoir accès au deuxième étage de ce fonds de solidarité", a déclaré M. Le Maire au micro de France Inter.Il a ajouté que les très petites entreprises pourront donc bénéficier de "jusqu'à 5.000 euros pour payer leur loyer". Bercy a précisé à l'AFP que cette mesure était réservée aux entreprises fermées sur décision administrative.Le "premier étage" du fonds est constitué d'une aide pouvant aller jusqu'à 1.500 euros par mois pour les entreprises dont le chiffre d'affaires a chuté d'au moins 50% durant le confinement, le "deuxième étage" étant réservé aux entreprises menacées de faillite.Bruno Le Maire a rappelé que "les grandes foncières se sont engagées à annuler les loyers sur trois mois pour toutes les très petites entreprises de moins de dix salariés".Le ministère de l'Économie a par ailleurs indiqué que le fonds de solidarité serait désormais ouvert aux entrepreneurs qui cumulent une petite retraite avec leur activité, jusqu'à concurrence de 1.500 euros mensuels pour l'ensemble de leurs revenus.Bruno Le Maire a confirmé que le fonds ne s'arrêterait pas au 11 mai, mais au 31 mai, et qu'il serait prolongé en juin pour les entreprises dont les activités seraient encore à l'arrêt comme les cafés, les restaurants ou l'évènementiel."Le 11 mai, tous les commerces doivent reprendre leur activité et ils continueront à bénéficier d'un soutien financier de l'État", a assuré M. Le Maire, qui a reconnu qu'il "y aura des faillites" dans les commerces et les très petites entreprises malgré les aides publiques.
Il y a 5 ans et 46 jours

Le contournement de Strasbourg doit reprendre son cours le 11 mai

Vinci a programmé lundi 11 mai la relance du chantier autoroutier de plus de 500 millions d’euros, au stade où il s’était arrêté il y a près de deux mois. Il consacre les prochains jours à la finalisation des mesures de protection.
Il y a 5 ans et 46 jours

Covid-19 : la stratégie payante de Fabemi

Après avoir connu un début d’année très dynamique, Fabemi a subi la crise sanitaire et économique comme beaucoup d’autres entreprises. Le groupe a toutefois maintenu son activité, une stratégie payante…
Il y a 5 ans et 46 jours

Architecture et jeux vidéos

Depuis plus de 20 ans, Renaud Person imagine et dessine des univers pour les jeux vidéos ...En savoir plus Cet article Architecture et jeux vidéos est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Cimbat
Il y a 5 ans et 46 jours

Covid-19, suivi des chantiers semaine 5

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Il y a 5 ans et 46 jours

SPIE réalise l'infrastructure électrotechnique de la nouvelle usine d'Harmonic Drive SE

L'acteur européen indépendant des services multi-techniques dans les domaines de l'énergie et des communications a ainsi réalisé en 18 mois l'installation complète de l'ensemble des systèmes énergétiques et électriques, des dispositifs de protection incendie et des systèmes d'éclairage. SPIE a équipé l'usine sans interrompre l'activité grâce à des solutions provisoires, permettant d'assurer la continuité de la production.Des services complets dans le domaine du génie électriqueFace à la situation du marché et à l'augmentation des ventes, l'extension de ce site de production était devenue une nécessité pour Harmonic Drive SE. Pour des raisons de temps, l'entreprise a décidé de rénover un bâtiment existant. Thorsten Schunk, responsable de l'équipe génie électrique chez SPIE Pulte, l'unité chargée de la mise en œuvre et de l'exécution du projet, explique : « Les exigences techniques pour cet environnement de production étaient donc très strictes et devaient garantir la fabrication de précision des réducteurs et servomoteurs de notre client. »Sur les 6.000 m² environ de l'usine, SPIE a installé un nouveau système haute tension, un système d'alarme anti-intrusion et incendie, un système complet de rails d'alimentation électrique, un poste basse tension, de nouveaux transformateurs et un poste moyenne tension. Par ailleurs, l'installation de brise-soleil orientables était particulièrement importante pour éviter la pénétration de chaleur dans l'usine. Thorsten Schunk précise : « Lors de la fabrication de réducteurs et de servomoteurs, il faut éviter les variations de température pour prévenir les écarts de qualité. Les systèmes à lames et les brise-soleils automatiques que nous avons installés permettent de limiter le rayonnement solaire et viennent ainsi compléter le système de climatisation des locaux pour garantir une température optimale et constante dans l'atelier de production. »Une plus grande efficacité énergétiqueLe fournisseur de services multi-techniques a également installé un système d'éclairage LED économe en énergie dans l'atelier de production. « Aujourd'hui, la basse consommation fait partie des critères de qualité d'un système d'éclairage. L'utilisation de lampes LED a considérablement amélioré l'efficacité de l'éclairage. De fait, les lampes LED consomment cinq fois moins d'électricité que les systèmes d'éclairage classiques, pour une durée de vie nettement plus longue », souligne Thorsten Schunk. Des concepts d'éclairage complets comprenant différents groupes de commutateurs réglables et contrôlables indépendamment les uns des autres, et un usage intelligent de la lumière naturelle favorise une consommation d'énergie responsable.Hautes performances et collaboration fluideAutre défi pour le fournisseur de services multi-techniques : réaliser les travaux d'installation sans interrompre l'activité de production. Une planification et une gestion de projet rigoureuses ont été des facteurs décisifs dans la réussite des opérations. Pour permettre à Harmonic Drive SE de poursuivre sa production sans perturbation, SPIE a conçu des solutions provisoires complètes qui ont permis d'alimenter les différentes zones d'installation. « Grâce à une étroite collaboration avec les planificateurs et Harmonic Drive SE, SPIE a respecté le calendrier. La production a ainsi pu investir les nouveaux locaux à la date prévue », explique Björn Kempf, chef de projet chez Harmonic Drive SE. « La fluidité de notre collaboration avec SPIE, avec qui nous avions déjà travaillé sur un projet de modernisation des installations électriques de notre première usine, et son expertise technique ont contribué au succès de cette nouvelle collaboration. Nous sommes heureux de pouvoir compter sur SPIE comme un partenaire de confiance. »
Il y a 5 ans et 46 jours

"La crise actuelle peut être une opportunité pour rénover le parc public"

ENTRETIEN. Philippe Pelletier, président du Plan bâtiment durable, explique à Batiactu de quelle manière la crise que traverse le secteur peut constituer une opportunité pour la rénovation énergétique du parc public.
Il y a 5 ans et 46 jours

"80 à 84 % des chantiers réactivés d’ici fin mai", Jean-Charles Robin, président de Spie batignolles

Alors que le reprise d'activité dans le BTP se précise en ce mois de mai, le président de Spie batignolles, Jean-Charles Robin, explore les freins qui restent encore à lever et appelle de ses voeux un plan de relance ambitieux.
Il y a 5 ans et 46 jours

Blocs isolants bas carbone : une réponse au label E+C- et à la RE 2020

Sachant que le grand changement, par rapport à la Réglementation Thermique (RT) 2012, porte sur la prise en compte des émissions carbone du bâtiment durant tout son cycle de vie.Pour la filière béton, comme pour les autres matériaux, l’enjeu est donc d’intégrer une nouvelle exigence réglementaire liée à l’empreinte carbone des bâtiments, tout en veillant à l’application des autres réglementations auxquelles un projet doit répondre. Les blocs isolants FABTHERM® du Groupe Fabemi, acteur majeur du marché des produits béton, sont 100% naturels et recyclables. Ils contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments (de 4 à 8 % par rapport aux autres solutions constructives), permettant ainsi de réaliser des ouvrages E+C-, et anticipent les exigences de la prochaine RE 2020.L'objectif étant également de combiner béton bas carbone et économie circulaire, les 450 mises en chantiers effectuées depuis le lancement des blocs isolants FABTHERM® (résidentiel, ERP et bâtiments industriels), soit environ 250 000 m² de blocs, ont été réalisées dans le Grand Sud-Est, à proximité des usines de production du Groupe Fabemi.Construire E+C- avec du béton bas carboneLes trois principaux axes de recherche Fabemi – réduire l’impact environnemental de ses blocs, apporter une réponse à une réglementation thermique de plus en plus exigeante et assurer une meilleure isolation des parois – ont débouché sur le développement des blocs béton FABTHERM®. Traditionnellement fabriqués sans cuisson et produits localement, ce qui permet de réduire leur impact environnemental, les blocs FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8 et FABTHERM® ÉCO sont 100 % naturels et recyclables. Ils revendiquent de hautes performances thermiques, tout en affichant un impact environnemental des plus faibles dans leur catégorie. En lançant ces produits, Fabemi démontre sa capacité d’innovation et son engagement dans une démarche d’éco-conception et d’écologie industrielle.De la fabrication à la fin de vie, l’empreinte carbone des blocs Fabemi est réduite grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabricationsans cuisson. Les blocs sont produits avec des agrégats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement, et utilisés sur des chantiers proches des unités de production.De plus, les blocs isolants FABTHERM® Fabemi, 100% recyclables, n’ont pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent ainsi des déchets « inertes ».Enfin, les blocs isolants FABTHERM® disposent de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES, qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental du bâtiment à construire.Blocs isolants bas carbone FABTHERM® AIR FabemiDeux à huit fois plus isolants que des blocs traditionnels, les blocs de 20 cm de large FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8, à base d’agrégats légers ou courants, intègrent une âme en mousse 100% minérale AIRiumTM qui renforce leurs capacités isolantes. Ils affichent ainsi des résistances thermiques exceptionnelles pour cette largeur de bloc qui permettent de répondre à tous les besoins (logements collectifs, maisons individuelles et bâtiments tertiaires) et au cahier des charges des murs isolants hautement performants. Cette mousse minérale isolante permet de construire et d’isoler en même temps sans impacter le poids carbone de la façade, ce qui procure un gain de temps sur le chantier et un gain de surface habitable. Les blocs FABTHERM® AIR Fabemi profitent de nombreuses qualités (performances acoustiques, essais feu et sismique), de fiches FDES vérifiées (base INIES) et d’un Avis technique (FABTHERM® AIR 1.1 et 1.8) pour répondre à toutes les exigeances techniques des opérations de construction.• Sous Avis Technique (N° 16/19-773_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.1 Fabemi affiche une résistance thermique de R = 1,12 m².K/W. Cinq fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.1 conjugue résistance mécanique, au feu, et performances acoustiques et environnementales. Il est idéal pour les logements collectifs jusqu’à R+4.Les +FDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 120 min avec un doublage collé traditionnelJusqu’à R+4Fabrication française• Sous Avis technique (N° 16/19-772_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.8 Fabemi présente une résistance thermique de R = 1,77 m².K/W. Huit fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.8 permet de réduire l’épaisseur des doublages intérieurs et de maîtriser l’impact environnemental de la façade. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+3.Les + FDES vérifiée (base INIES) : 23,6 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 90 min avec un doublage collé traditionnelJusqu’à R+3Fabrication française• Innovation brevetée Fabemi, le bloc isolant à maçonner FABTHERM® AIR 0.6 présente une résistance thermique de R = 0,58 m².K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 0.6 est le seul bloc isolant 100 % minéral à poser maçonné. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+2.Les + Mode de pose mortier / maçonnerFDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 120 minJusqu’à R+2 Fabrication françaiseBloc isolant bas carbone FABTHERM® ÉCO FabemiLe bloc creux isolant à coller FABTHERM® ÉCO Fabemi présente une résistance thermique de R = 0,51 m².K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel grâce à sa géométrie, le FABTHERM® ÉCO répond aux besoins architecturaux, thermiques et économiques du marché de la construction. Idéal pour les maisons individuelles groupées ou le petit collectif jusqu’à R+2, ses performances thermiques permettent de conserver un mode constructif traditionnel béton.Les + FDES vérifiée (base INIES) : 11,7 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 120 minJusqu’à R+2Fabrication françaisePour en savoir plus :https://www.fabemi-structures.com/
Il y a 5 ans et 46 jours

LCA-FFB se renforce sur l'aménagement foncier en recrutant Yann Le Corfec

Âgé de 45 ans, Yann Le Corfec était depuis 2016 Directeur Juridique de l'Union Nationale des Aménageurs (UNAM, ex-SNAL dont il était le responsable juridique depuis 2004), qu'il représentait auprès des pouvoirs publics et de nombreuses instances du secteur, en particulier le Réseau National des Aménageurs.Diplômé de deux masters juridiques (urbanisme et construction, droit public économique) et du certificat d'aptitude à la profession d'avocat, le nouveau Délégué à l'Aménagement et au Foncier de LCA-FFB a débuté sa carrière en cabinet d'avocats. Depuis plus de 10 ans, il enseigne le droit de l'urbanisme et l'aménagement opérationnel à l'École Supérieure des Professions Immobilières.« Nous sommes très heureux d'accueillir Yann Le Corfec, une personnalité reconnue dans notre secteur. Son haut niveau d'expertise constituera un atout indéniable pour notre Union et nos adhérents, qui sont nombreux à développer une activité d'aménagement foncier, en propre ou en complément de leurs activités immobilières. Constructeurs, promoteurs, aménageurs, tous nos adhérents sont concernés par les problématiques transversales liées au foncier, à l'aménagement et à l'urbanisme. Ce recrutement confirme notre ambition de peser encore davantage sur ces sujets stratégiques et renforce notre vocation à rassembler, accompagner et représenter l'ensemble des acteurs de la maîtrise d'ouvrage privée du logement et de l'habitat », se réjouit Grégory Monod, Président de LCA-FFB.
Il y a 5 ans et 46 jours

Carmen Mariscal : Chez Nous

Le 12 mars, l’artiste mexicaine Carmen Marisca installait son œuvre « Chez Nous » place du Palais-Royal à Paris (1er arrondissement). Comment pouvait-elle prédire que, cinq jours après, la France entière serait, elle aussi, condamnée à rester « chez elle » ? Retour sur une œuvre prémonitoire dont le sens a évolué avec son temps. Dressée dans l’espace public, une maison de trois mètres de haut offre une seconde vie aux grilles du pont de l’Archevêché, connu pour accueillir les cadenas gravés des touristes amoureux. Une œuvre poétique qui invitait au départ à la réflexion sur les liens entre amour et foyer. Aujourd’hui campant dans le paysage désert de la capitale, l’installation monumentale prend un tout nouveau sens et devient, malgré elle, le symbole d’un confinement national inédit.Pensée il y a six ans pour prendre place en plein coeur de Paris et être admirée par la foule de gens qui s’y pressent, « Chez Nous » vit dans les faits à un tout autre rythme. Celui d’une capitale plus lente, mais aussi plus contemplative. Point de touristes croisant rapidement la maison sur le chemin du Louvre, mais des Parisiens heureux de leur marche quotidienne et ravis de pouvoir réfléchir un instant sur le travail de la plasticienne mexicaine. Mais si la demeure fictive est devenue un des symboles du confinement, son message premier reste malheureusement d’actualité. « Quand ils ont annoncé le confinement, je me suis dit que ça allait être encore plus catastrophique pour toutes ces femmes et ces enfants qui sont enfermés avec leurs bourreaux » confie l’artiste. Car si le fait de rester chez soi apparaît comme une pause bienvenue pour un grand nombre d’entre nous, ne pas pouvoir s’échapper d’un environnement violent reste une réalité à ne pas négliger. Un combat cher à l’artiste qui a d’ailleurs lancé une campagne d’appel au dons pour soutenir deux associations, Aurore – une organisation française –, et Espacio Mujeres – une structure mexicaine.Une œuvre plus complexe qu’il n’y paraît.Pour en savoir plus, visitez le site de Carmen MarsicaPhotographies : DR Zoé Térouinard
Il y a 5 ans et 46 jours

Covid-19, ventilation et climatisation, quels sont les risques ?

Avant la reprise du travail le 11 Mai, voici une approche rationnelle des installations de ventilation et de climatisations tertiaires face au risque de propagation du virus du Covid-19.
Il y a 5 ans et 46 jours

Testo partage son expertise dans son nouveau webinar : « contrôle d’accès aux sites industriels et aux ERP, quels sont les bons outils de mesure de température pour garantir la sécurité de vos employés ? »

La crise du Covid-19 a métamorphosé l’organisation de toutes les entreprises françaises. Elles doivent dès aujourd’hui anticiper la sortie de confinement et préparer leur Plan de Reprise d’Activité tout en garantissant la sécurité de leurs salariés. Avec son nouveau webinar gratuit consacré à la présentation des outils de mesure de température des personnes, Testo, spécialiste des appareils de mesure, met son expertise technique au service de toutes les entreprises. L’objectif : les informer et les aider à mettre en place les solutions de mesure infrarouge les plus pertinentes pour contrôler les accès aux sites industriels et aux ERP et détecter les personnes fiévreuses. Webinar testo : 30 minutes d’informations et d’échanges en ligne Animé deux fois par semaine par Philippe Guérin, expert de la thermographie infrarouge Testo, le webinar gratuit dédié aux outils de mesure de température des personnes s’adresse aux responsables sécurité des entreprises de tous secteurs (industrie, agro-alimentaire, restauration, BTP, gestionnaires, …). S’appuyant sur une présentation extrêmement didactique, il aborde en 30 minutes : • Le principe du rayonnement infrarouge : tous les corps émettent un rayonnement, les outils de mesure tels que les thermomètres infrarouge et les caméras thermiques analysent ces rayonnements. • Les différences de fonctionnement entre les thermomètres infrarouge et les caméras thermiques : Le thermomètre infrarouge réceptionne le rayonnement du corps qu’il a en face de lui. Il focalise les ondes infrarouge qu’il perçoit et les oriente vers un capteur qui transforme cette énergie en signal électrique. Celui-ci est ensuite converti en valeur de température. La qualité d’un thermomètre infrarouge est liée à l’optique qui permet d’obtenir des indications de rapport de cible exprimant une moyenne de température sur une surface. Plus le rapport est élevé, plus la cible de mesure est petite. Plus on s’éloigne de la cible, plus la surface de mesure est grande et moins elle est précise. La mesure de température doit donc être effectuée au niveau du front de la personne, sans lunette, à une distance de 50 cm par un agent de sécurité muni d’équipements de protection. La caméra thermique est munie de capteurs qui réceptionnent les rayonnements du corps et les convertissent en valeur électrique et ensuite en valeur de température. Chaque pixel correspond à une moyenne de température mesurée. La résolution de l’image et donc la précision de la caméra dépendent du nombre de pixels. La mesure de la température s’effectue au creux de l’œil, surface où l’échange thermique est le plus intéressant à prendre en compte. Grâce à ces caractéristiques, la caméra thermique permet de faire des mesures plus précises, de contrôler simultanément un plus grand nombre de personnes, et à une plus grande distance que le thermomètre infrarouge. La détection d’une personne fiévreuse est donc plus facile à constater. Selon les modèles de caméras thermiques, comme par exemple la testo 890, une alarme est déclenchée automatiquement si la valeur de température détectée est supérieure à la consigne enregistrée. L’image peut être déportée sur un écran d’ordinateur ou une tablette afin de sécuriser encore plus l’agent de contrôle. • La présentation de ses différentes gammes de thermomètres infrarouge comme testo 830 et les caméras thermiques telles que testo 872 et testo 890 ayant la particularité de signaler les personnes fiévreuses par bip sonore. Le webinar se conclut par un tchat de questions/ réponses. Un module de formation en ligne pour en savoir plus En complément de ce webinar, Testo propose une formation en ligne pour tous les opérateurs et utilisateurs qui souhaitent approfondir leurs connaissances techniques sur ce sujet. D’une durée de 2 heures, il fait le point sur les techniques utilisées, détaille les consignes d’utilisation afin de ne pas commettre d’erreurs d’interprétation et met en avant les préconisations d’utilisation d’un thermomètre infrarouge et d’une caméra thermique destinés à la mesure de la température corporelle. A l’issue de la formation, un guide de bonne pratique est adressé à chaque participant. L’inscription à ce module se fait sur le site internet de testo : www.testo.fr Webinar et module de formation en ligne, testo reste au plus proche des entreprises pour les aider à assurer la sécurité de leurs salariés et réussir la reprise de leur activité avec des outils de mesure fiables et de qualité. http://www.testo.fr
Il y a 5 ans et 46 jours

Covid : Nexity perd son directeur général et modifie sa gouvernance

Le Directeur général de Nexity, Jean-Philippe Ruggieri (photo), est décédé du Covid-19, a annoncé le groupe immobilier. Alain Dinin occupera les postes de président et de directeur général de la société.
Il y a 5 ans et 46 jours

Thermador finalise une acquisition malgré la crise sanitaire

Le montant de la transaction s'élève à 7 millions d'euros, payés "cash" et financés par emprunt bancaire "à un taux fixe très compétitif", selon un communiqué publié jeudi.Basé à Saint-James (Manche), Thermacome emploie 32 salariés et a réalisé l'an dernier 19,4 millions d'euros de ventes.Son activité est complémentaire de PBtub, une des filiales de Thermador, avec lequel des synergies commerciales et opérationnelles vont être mises en place "dans un délai raisonnable".C'était jusqu'alors une filiale du producteur coopératif de câbles Acome, avec lequel un partenariat industriel va être maintenu.
Il y a 5 ans et 46 jours

Relance : de nouveaux bailleurs s'engagent à construire

LOGEMENT SOCIAL. Après CDC Habitat et In'li, plusieurs bailleurs ont annoncé, fin avril, vouloir "participer à la relance" de l'économie, en lançant la construiction de logements supplémentaires. Il s'agit de l'office public Hauts-de-Seine Habitat et du groupement d'ESH Habitat en Régions.
GDA
Il y a 5 ans et 46 jours

Le risque de burn-out guette les artisans du BTP

D’après la sixième édition du baromètre Arti santé BTP, 6 % des artisans du secteur étaient concernés par le burn-out en 2019, contre 5 % en 2018. Dans un contexte de crise sanitaire, et compte tenu du lien entre la santé du dirigeant et celle de son entreprise, la Capeb propose un partenariat de soutien avec le réseau du Centre d’information sur la prévention des difficultés des entreprises (CIP).
Il y a 5 ans et 46 jours

Saint-Gobain Plafonds France : un plan d’action pour accompagner la reprise d'activité

Ecophon, Eurocoustic et Plafometal se mobilisent pour accompagner les professionnels dans la reprise de leurs projets.
Il y a 5 ans et 46 jours

La faune sauvage de retour en ville, interview d'Henri Bony et Léa Mosconi

Le confinement imposé pour lutter contre l'épidémie de coronavirus a eu une vertu inattendue: faire sortir la faune sauvage dans la rue. Habituellement invisibles, voire rejetés par les activités humaines, les animaux ont repris place dans l'espace urbain. Ce jaillissement de la nature dans un milieu hautement anthropisé n'a […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 46 jours

Covid-19 : les syndicats vont travailler sur des consignes pour encadrer le télétravail

Lors de cet échange de près de deux heures et demie entre Édouard Philippe et les partenaires sociaux, "on a été nombreux à demander qu'il y ait une discussion et quelques clarifications sur le télétravail"."Le Premier ministre l'a reconnu aussi, parce que dans les endroits où il y a eu des accords de télétravail ça se passe bien, dans toutes les autres boîtes, ça pose beaucoup de questions. L'application et la mise en place du télétravail interroge beaucoup", a-t-il ajouté."L'idée qui a été retenue aujourd'hui - on va voir la réponse de la ministre du Travail mardi (lors d'une visioconférence, NDLR) - c'est dans un premier temps, dans un délai de 15 jours, sortir des clarifications, ou des grandes lignes, ou des consignes fortes, pour parer aux problématiques urgentes", a-t-il détaillé."Dans un deuxième temps, les partenaires sociaux vont peut-être continuer sur des négociations pour arriver à un accord interprofessionnel", a-t-il ajouté.Comme on lui demandait si tous les partenaires sociaux étaient sur la même ligne, il a répondu: "Il n'y a pas eu de réactions négatives".De son côté, Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, a estimé nécessaire ce travail sur "les bonnes pratiques sur le télétravail".Interrogé par l'AFP sur les modalités de la réflexion, il a répondu : "on n'a pas défini encore".En outre, il a assuré avoir eu une réponse positive de la part de Muriel Pénicaud lors de cette réunion sur la mise en place d'un "comité d'experts en sciences sociales", qui plancherait notamment sur les problématiques psychologiques liées au confinement. La composition de ce comité pourrait être annoncée "la semaine prochaine", "ce serait une bonne chose", a-t-il ajouté.Cette semaine, les numéros un de FO et de la CFE-CGC avaient également appelé à des règles plus claires entourant le télétravail."Ce que l'on a fait depuis six semaines, ce n'est pas du télétravail, c'est la continuation de l'activité à domicile, une organisation volontairement dégradée face à la crise", a expliqué lundi dans l'Humanité François Hommeril, le président de la CFE-CGC."Le télétravail est codifié, ses conditions de mise en place sont précises. Se retrouver avec son ordinateur dans la cuisine, avec les enfants qui couinent, ce n'est pas du télétravail", a-t-il ajouté.Yves Veyrier, le secrétaire général de FO, avait dit mercredi sur l'émission en ligne Ecorama que "le télétravail tel qu'il a été mis en place n'a pas été du tout préparé, négocié". "On avait de longue date demandé une négociation au niveau interprofessionnel sur le télétravail, y compris en y intégrant le droit à la déconnexion", a-t-il ajouté.Jeudi sur BFMTV, Philippe Martinez est allé dans le même sens."On n'est pas dans une situation véritable de télétravail", a-t-il estimé. "Le télétravail c'est travailler à la maison sans avoir des enfants à s'occuper", a relevé le leader de la CGT."Cela nécessite des réponses, sur le droit à la déconnexion, sur qui prend en charge les surcoûts quand il n'y a pas d'accord d'entreprise", a ajouté Philippe Martinez.
Il y a 5 ans et 46 jours

Covid-19 : La chute du PIB "alerte" sur la "violence du choc économique" selon Bruno Le Maire

"Le plus dur est devant nous", a prévenu le ministre lors d'une audition par les commissions des affaires économiques et du développement durable de l'Assemblée nationale, avertissant qu'à partir du déconfinement le 11 mai, une période s'ouvrait "où nous verrions des faillites et des destructions d'emplois"."Nous avons eu un premier temps de cette crise où nous avons amorti le choc (...). Il y a un deuxième temps de la crise: celui dans lequel nous allons rentrer à partir du 11 mai est un temps de transition", a-t-il ajouté.Durant ce temps, "nous allons voir des entreprises (...) confrontées à des problèmes de solvabilité. C'est une période où nous verrons des faillites et des destructions d'emplois et je préfère le dire avec beaucoup de clarté", a encore estimé le ministre.Selon l'Institut national de la statistique, l'économie française s'est contractée de 5,8% au premier trimestre, pénalisée par le début du confinement le 17 mars pour endiguer l'épidémie de Covid-19.Le gouvernement table sur un recul du PIB de 8% sur l'ensemble de l'année.Mercredi, Bruno Le Maire avait déjà appelé un "maximum de Français" à reprendre le travail, "dans les meilleures conditions possibles" de sécurité pour les salariés à partir du 11 mai afin de faire repartir l'économie.Un "troisième temps" viendra ensuite, dans lequel la France devra définir un nouveau modèle économique, a indiqué M. Le Maire devant les députés, défendant notamment une "accélération" de la transition écologique pour que la France soit "la première économie décarbonée en Europe".
Il y a 5 ans et 46 jours

Covid-19 : 5ème météo de la reprise des chantiers par territoire et par secteur

Pour réaliser ces infographies hebdomadaires, BTP Consultants se base sur plus de 5.000 chantiers répartis dans tout l'hexagone. Découvrez l'analyse de la situation au 1er mai 2020 et au regard de l'étude sortie samedi dernier : +23% de chantiers ouverts en métropole. Forte augmentation en IDF avec +37% de chantiers ouverts. L'Est maintient la tendance avec les plus forts taux d'ouverture de chantiers. Maintien de l'écart entre les marchés privés et publics. 38% des chantiers ouverts mobilisent un référent COVID-19 désigné par la Maîtrise d'Ouvrage.
Il y a 5 ans et 46 jours

Dans l'incertitude, Geberit se refuse à des prévisions 2020

RESULTATS. Le groupe suisse spécialisé dans les sanitaires, Geberit, a annoncé qu'il ne se risquerait pas à des prévisions pour l'année 2020 en raison de la crise sanitaire du covid-19. Concernant le premier trimestre 2020, il a livré ses résultats. Détails.
Il y a 5 ans et 46 jours

Arcade lance la suite logicielle Massia

Logiciel Arcade Massia-Laboratoire et application Massia Labo Mobilité sur Android. [©Arcade] S’il est un secteur qui évolue à vitesse grand V, c’est bien celui de l’informatique. La loi de Moore – du nom du fondateur de la société Intel – dit d’ailleurs que la capacité des microprocesseurs voit leur capacité doubler tous les 18 mois environ… Alice Ladet est responsable commerciale international d’Arcade. [©Arcade] Basée à Saint-Thibéry, dans l’Hérault, la société Arcade est éditrice de progiciels, depuis sa création par Guillaume Cordel. Wil et Icare constituent les deux solutions historiques de la marque et qui ont fait son succès. Il n’en demeure pas moins que les progrès de l’informatique sont passés par là. Et l’éditeur se devait de changer de modèle en refondant l’existant. De ce cahier des charges est né Massia, une solution web modulable et évolutive destinée aux professionnels de la production, de la mise en œuvre et du traitement des matériaux de construction. En même temps, la notion de suite logicielle a fait son entrée. « Massia est beaucoup plus intuitive et ergonomique que nos solutions historiques. Et très simple à prendre en main, explique Alice Ladet, responsable commerciale international d’Arcade. Surtout, son paramétrage peut être poussé beaucoup plus loin. Son évolutivité est aussi garantie dans le temps. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 46 jours

Une lente réouverture des chantiers

INFOGRAPHIE. BTP consultants a publié le 2 mai la 5e édition de sa météo hebdomadaire des chantiers, qui permet de mesurer l'évolution de la relance dans le BTP. La relance se poursuit, toujours à petits pas.
Il y a 5 ans et 46 jours

Le Gouvernement prolonge le report des charges sociales et fiscales pour mai

ÉCONOMIE. Les ministres de Bercy ont indiqué que le report du paiement des charges sociales sera prolongé en mai. En outre, le fonds de solidarité devrait prochainement prendre en charge les loyers des indépendants n'ayant pas de salariés et n'étant pas éligibles aux Prêts garantis par l'Etat.
Il y a 5 ans et 46 jours

Les règles du déconfinement se précisent pour les entreprises

Selon un "protocole national de déconfinement", basé sur des critères "universels" et diffusé dimanche par le ministère du Travail, confirmant une information du JDD, les mesures imposées "nécessitent un travail de réflexion préalable, conduit dans un cadre concerté afin de garantir leur faisabilité".Si les entreprises, commerces et établissements accueillant du public veulent faire revenir leurs salariés à partir du 11 mai, ils doivent en premier lieu prévoir l'instauration d'un espace minimum de 4 m2 par salarié, avec une gestion des flux et des sens de circulation pour éviter les croisements.Cette règle s'applique également aux espaces communs, dont les ascenseurs, où ne pourront donc pas monter plus d'un ou deux salariés à la fois."Lorsque, et seulement lorsque, certaines situations (en principe réduites au maximum par application des mesures collectives) comportent un risque non maitrisable de rupture accidentelle de cette distanciation (...), des mesures complémentaires comme le port du masque +grand public+ sont à mettre en place", précise le ministère.Les locaux et poignées de portes devront être désinfectés quotidiennement, voire plusieurs fois par jour. Les portillons de sécurité seront condamnés ou du gel hydroalcoolique proposé à proximité, les marquages au sol pour organiser la circulation sont recommandés.Les locaux fermés doivent être aérés 15 minutes trois fois par jour.La prise de température, jugée trop intrusive, ne pourra en revanche pas être imposée aux salariés. Même chose pour les campagnes de dépistage du coronavirus, qui ne pourront pas être obligatoires, selon le ministère.En cas de non respect de ces mesures, communes à toutes les entreprises et associations, quels que soient leur taille, leur lieu d'implantation et leur secteur d'activité, les employeurs engageront leur responsabilité civile et pénale."Nous devons accompagner toutes les entreprises pour que l'activité reprenne dans des conditions garantissant la santé et la sécurité des salariés", a déclaré la ministre du Travail, Muriel Pénicaud dimanche dans un communiqué.Ces règles viennent "en complément" des guides déjà disponibles sur le site du ministère, qui détaillent les mesures d'hygiène et de distanciation sociale "métier par métier", a rappelé le ministère."Clarifications"L'annonce de ces mesures intervient alors que les organisations patronales ont multiplié ces derniers jours les appels à la "clarification" sur les conditions du redémarrage, mettant en garde contre "l'insécurité juridique" qui pèse sur les entreprises.Dans un courrier commun adressé ce week-end à Mme Pénicaud, le Medef, la CPME, l'U2P et la FNSEA se sont ainsi dits prêts "à assumer l'obligation de moyens qui est la leur" tout en mettant en garde contre d'"éventuelles dérives"."Il est impératif de limiter et clarifier le périmètre de cette obligation pour éviter d'éventuelles mises en cause de la responsabilité civile et pénale de l'employeur qui a fait diligence", ont insisté les syndicats patronaux.Reconnaissant que l'entreprise devait "faire tout son possible pour limiter la contagion", ils se sont inquiété que "le cadre ordinaire de l'obligation de sécurité" soit "manifestement inadapté".En présentant mardi son plan de déconfinement, le Premier ministre Édouard Philippe a appelé "avec insistance" toutes les entreprises à maintenir autant que possible le télétravail pour leurs salariés, "au moins dans les trois prochaines semaines".Il doit "être la règle chaque fois qu'il peut être mis en œuvre", insiste le ministère dimanche dans son protocole.Le chef du gouvernement avait appelé pour les autres au dialogue social, "une condition impérative" pour "permettre le retour au travail dans un cadre qui garantit la sécurité"."La reprise, tout le monde y aspire: les salariés, les chefs d'entreprise. La question, c'est de le faire dans des conditions de sécurité optimales", a jugé dimanche sur BFMTV le vice-président du Medef Fabrice Le Saché, plaidant pour une approche au "cas par cas".Les syndicats ont déjà prévenu qu'ils seraient particulièrement attentifs aux mesures sanitaires mises en place par les employeurs, évoquant le cas échéant de possibles droits de retrait individuels de salariés, voire des appels à la grève.
Il y a 5 ans et 46 jours

Comment les négoces vont rouvrir leur surface de vente ?

PRECONISATIONS. Alors que les négoces ont repris leur activité depuis plusieurs semaines en mode drive et livraison, la Fédération des négoces de bois et matériaux de construction (FNBM) a actualisé son guide afin de les accompagner dans l'ouverture de leur magasin. Détails.
Il y a 5 ans et 46 jours

"Achitecte élu local" appelle à la création d'une commission sur le logement

PENSER L'APRÈS-COVID 19. L'association "Architecte élu local" appelle dans un communiqué à la création d'une commission nationale représentative de tous les acteurs du logement pour penser l'après-crise, alors que le confinement a fait éclater au grand jour les inégalités et besoins du secteur.
Il y a 5 ans et 46 jours

Les chiffres de la filière PAC

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Il y a 5 ans et 46 jours

QAI : Indalo sera bientôt disponible sur Pleiades

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Il y a 5 ans et 46 jours

« Un recul de 30 à 40% de l’activité »

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Il y a 5 ans et 46 jours

La reprise des chantiers est-elle vraiment plus lente en France qu'ailleurs ?

ANALYSE. Le gouvernement français souhaite que la reprise des chantiers de BTP accélère, expliquant qu'ailleurs en Europe, la relance est beaucoup plus rapide. Dans les faits, la situation est très hétérogène à travers le continent, comme le souligne une enquête de la FNTP, mise à jour le 30 avril.
Il y a 5 ans et 46 jours

Etat d'urgence prolongé : les délais d'urbanisme ne seront pas impactés

ÉTAT D'URGENCE SANITAIRE. Les délais pour les demandes de permis et le droit de recours ont été allongés le temps de l'état d'urgence sanitaire. La prolongation de ce dernier jusqu'au 24 juillet pouvait faire planer un doute sur ces mêmes délais. Ils ne seront pas allongés, affirme le ministre chargé du Logement, Julien Denormandie.
Il y a 5 ans et 46 jours

Au pays de Galles, un centre des congrès avec façades aux tons pierre

Le nouveau Centre International de Conventions du Pays de Galles, conçu par le cabinet Boyes Reed Architects, a été construit à Newport, à une vingtaine de kilomètres du centre-ville de Cardiff. Si l’ouvrage reprend des caractéristiques des bâtiments locaux, c’est pour les revisiter avec une vision contemporaine rendue possible par la collection Patina Stone d’Adapta […] L’article Au pays de Galles, un centre des congrès avec façades aux tons pierre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 46 jours

Comment le chantier du Campus Sud des métiers reprend du service

A Nice, l’activité reprend progressivement dans la Plaine du Var où, depuis le 20 avril, quarante-cinq ouvriers ont réinvesti le chantier du Campus Sud des métiers selon des procédures et mesures sanitaires mises en place par Fayat Bâtiment.
Il y a 5 ans et 46 jours

Les journées IHF annulées

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Il y a 5 ans et 46 jours

LCA-FFB recrute un Délégué National à l'Aménagement et au Foncier

CARNET-NOMINATION. LCA-FFB a annoncé ce lundi 4 mai renforcer son expertise et ses services sur l'aménagement foncier, avec le recrutement d'une personnalité de premier plan dans le secteur, au poste de Délégué National à l'Aménagement et au Foncier.
Il y a 5 ans et 46 jours

Covid-19 : réussir et conforter la reprise d'activité dans Le Bâtiment et les Travaux Publics

Dans toute la France, les chantiers reprennent progressivement. Avec l'ensemble de la filière, il est désormais essentiel de lever les derniers freins logistiques et de rechercher ensemble les solutions économiques favorables à une reprise plus durable. Depuis plusieurs semaines, la reprise s'organise. Le guide de l'OPPBTP a permis de mettre au point les protocoles sanitaires nécessaires à la réouverture en sécurité des chantiers et la concertation entre la maitrise d'ouvrage, la maitrise d'œuvre et les entreprises pour permettre de relancer progressivement l'activité. Cependant, des freins à une reprise plus large subsistent.Lever les derniers freins logistiques sur l'amont et l'aval de la filièreD'un point de vue logistique, l'approvisionnement en masques demeure encore problématique même si la situation s'améliore grâce à la mobilisation de l'outil de production local et à des initiatives comme celle du Conseil Régional avec une dotation de 100.000 masques destinée aux entreprises du BTP de moins de 20 salariés. Les lieux de distribution seront les Fédérations Départementales du BTP, les CAPEB départementales et la Fédération Régionale des Travaux Publics. L'approvisionnement, les raccordements provisoires de chantiers, l'ouverture des déchetteries restent également des points sur lesquels la filière se mobilise. Renforcer la concertation et la solidarité économiqueLes Organisations Professionnelles du Bâtiment et des Travaux Publics appellent également à la solidarité de la maitrise d'ouvrage pour faire face aux surcoûts de chantiers liés aux nouvelles contraintes imposées par la crise sanitaire. Devant être chiffrées au cas par cas, ces augmentations correspondant au respect des nouvelles préconisations sanitaires et à la réorganisation des chantiers (distanciation sociale, nettoyage des bases vie, achat de masques, de gants, rotations des camionnettes et VUL, mobilisation supplémentaire de personnels, prolongation des frais financiers, baisse de la productivité, etc.). Les entreprises ne pourront pas les absorber seules. Il est indispensable de renforcer cette solidarité, dont font preuve nombre de maitres d'ouvrage depuis la période de confinement, à l'image notamment de la Région Auvergne-Rhône-Alpes qui a annoncé une enveloppe de 15 millions d'euros dédiée aux surcoûts sanitaires de ses chantiers en cours.Soutenir la commande publique localeEnfin, concernant les freins administratifs, deux modifications de l'ordonnance qui prévoyait un gel des autorisations d'urbanisme à l'issue de la période de confinement ont été obtenues ; mais cette évolution demeurerait insuffisante si aucune consigne n'était donnée aux services instructeurs en vue d'accélérer les délais d'instruction. La situation appelle également à la levée des arrêtés municipaux interdisant les travaux pendant la période de confinement, comme il en est apparu dans notre région. Les Organisations Professionnelles appellent au soutien des EPCI et des collectivités et à la bienveillance des citoyens afin d'éviter un retard qui pénaliserait la reprise d'activité et l'emploi local.La crainte d'un essoufflement de la commande publique locale est en effet bien réelle et pourrait se produire au plus mauvais moment. Il est nécessaire de lancer de nouveaux projets pour éviter un « trou d'air », dès la fin de l'été, qui pourrait avoir de lourdes conséquences sur la santé économique de la filière.De ce fait, les Organisations Professionnelles souhaitent que dans les communes qui ont pu élire l'ensemble de leurs conseillers municipaux, l'installation et le fonctionnement des nouveaux Conseils (élection du Maire, désignation des commissions d'appels d'offre et travaux notamment, élection des délégués communautaires) puissent très rapidement être engagés afin de permettre les décisions de travaux nécessaires aux équipements publics. Dans le même objectif, une réflexion doit rapidement s'ouvrir sur le soutien de l'Etat à l'investissement des collectivités locales.Réactiver la commande privéeLa sécurité est une priorité pour les Organisations professionnelles et les entreprises du Bâtiment et des Travaux Publics. Celles qui le pouvaient ont pris les mesures urgentes et spécifiques pour assurer les conditions sanitaires nécessaires à la reprise des travaux. Les Organisations Professionnelles demandent donc aux particuliers qui ne sont pas à risques et aux entreprises d'ouvrir leur porte aux artisans et entreprises du BTP afin qu'ils terminent les travaux initiés ou qu'ils en engagent d'autres... Il en va de la santé économique du BTP et de ses emplois.
Il y a 5 ans et 46 jours

Deuxième appel à projets d'in'li Lab, l'incubateur du logement

INNOVATIONS. Lancé en mars 2018, l'incubateur in'li Lab lance son deuxième appel à projets auprès des start-up travaillant sur des solutions innovantes pour le logement, ce lundi 4 mai. Dépôt des candidatures jusqu'au 5 juin. Détails.