Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

256874 actualités disponibles
Il y a 5 ans et 50 jours

Covid-19 : l'office HLM de Bobigny défavorable à l'annulation des loyers d'avril

"Les équilibres financiers précaires (...) de même que le manque de bases légales, ne permettent pas l'exonération des loyers", a alerté Jonathan Berrebi, le président de l'OPH, dans un courrier du 29 avril adressé aux locataires.La ville de Bobigny s'était engagée la semaine dernière à annuler l'ensemble des loyers du mois d'avril pour tous les locataires de cet office public, évoquant une première en France pour "privilégier le pouvoir d'achat des familles".En mettant en péril les finances du bailleur, déjà soumis à un plan de redressement, son impact serait "considérable", insiste M. Berrebi. Il souligne que, "si une telle décision devait être mise en œuvre", elle doit obtenir l'aval du conseil d'administration.Dans un courrier daté du 28 avril, et dont l'AFP a eu copie jeudi, dix membres de ce conseil demandent la tenue rapide d'un conseil d'administration extraordinaire, à distance. "Cette proposition doit faire l'objet d'un débat", écrivent-ils.Parmi les élus signataires se trouvent le maire UDI sortant Stéphane de Paoli et le candidat de la majorité, Christian Bartholmé, arrivé en deuxième position au premier tour des élections municipales de mars.La ville de Bobigny s'est engagée à assumer 50% de cette exonération, pour un coût total de 1,6 million d'euros. Cette décision devra également faire l'objet d'un vote lors du prochain conseil municipal.Mais elle avait expliqué que la charge restante devait être assumée par l'OPH en utilisant "tous les leviers" à sa disposition, comme le report des travaux qui ne peuvent être réalisés en période de confinement."Il est infondé d'affirmer qu'aucun échange entre la municipalité et le président de l'office HLM n'ait eu lieu préalablement" à cette annonce, a déclaré la ville de Bobigny, arguant que des échanges écrits entre les deux parties allaient dans ce sens."Nous maintenons notre engagement", a-t-elle conclu.Face à la crise sanitaire, qui complique la situation économique de nombreux ménages, plusieurs bailleurs sociaux franciliens proposent à certains locataires en difficulté des reports de loyers ou des plans d'étalement. Mais à ce stade aucun n'a opté pour une annulation massive de loyers.
Il y a 5 ans et 50 jours

Un ranch californien construit à partir d’éléments de la maison détruite sur place

Malcolm Davis Architecture a trouvé l’inspiration dans le paysage environnant lors de la conception de cette résidence durable en Californie du Nord aux États-Unis. Incarnant un style de vie californien décontracté, la résidence, qui est située au milieu de séquoias et de chênes, ressemble à un ranch moderne.  Avec son style zen et son plan […]
Il y a 5 ans et 50 jours

Jan Richter, architecte: "L’obligation de rester chez soi permettra peut-être à certains de mesurer la valeur du logis"

Télétravail, chômage partiel, poursuite des études, reprise ou arrêt des chantiers. L'organisation des architectes est mise à rude épreuve par le confinement imposé pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Pourtant, dans les agences -ou plutôt hors les agences-, les échanges entre associés, […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 51 jours

Une annulation des JO de Tokyo enverrait "un mauvais signal à Paris-2024"

Mardi, le président du comité d'organisation des JO-2020 Yoshiro Mori a affirmé que les Jeux, déjà reportés d'un an (23 juillet - 8 août 2021), devraient être annulés si la pandémie n'était pas maîtrisée d'ici à l'année prochaine et le Premier ministre japonais Shinzo Abe a déclaré mercredi qu'ils seraient "difficiles" à organiser dans ce cas.QUESTION: Après le report, quelles seraient les conséquences financières d'une éventuelle annulation des JO Tokyo?REPONSE: "Je suis incapable de donner un chiffre. Le report de 2020 à 2021 a coûté très cher. J'ai vu passer des chiffres, autour de 3 milliards de dollars. Pour le report, il faut financer un an de plus la structure organisatrice des JO, indemniser les promoteurs pour les livraisons retardées des programmes prévus en période post-olympique (bureaux, logements...)... En revanche, il y a aussi un décalage de revenus au moment des Jeux".Q: Et en cas d'annulation pure et simple?R: "Vous devez rembourser tout un tas de parties prenantes: les diffuseurs, les top-partenaires qui ne peuvent pas bénéficier de leurs droits pendant la période des Jeux, les partenaires, tous les billets... C'est aussi un peu tout le modèle économique du Comité international olympique (CIO) qui est remis en cause en cas d'annulation. Ça fait peser des incertitudes sur tous les programmes de solidarité olympique. Le CIO, grâce aux JO, en finance de très nombreux sur l'ensemble de la planète. Beaucoup d'institutions vivent grâce aux subsides du CIO. Sur le cycle 2017-2020, plus de 500 millions de dollars (460 millions d'euros) sont reversés à différents acteurs (fédérations, comités olympiques, athlètes...). C'est moins une catastrophe pour le CIO qui a une réserve grâce aux Jeux précédents et a mis en place un mécanisme d'assurances".Q: Les athlètes en payeront-ils aussi le prix?R: "Ça peut amener des difficultés pour les athlètes, notamment ceux qui bénéficient de bourses pour se préparer et participer aux JO. Le ruissellement de richesses est tellement important normalement que l'interruption brutale peut occasionner des difficultés pour les bénéficiaires. Dans beaucoup de sports, les Jeux, c'est le moment d'une carrière, d'une vie, celui sur lequel l'athlète va construire son modèle économique. Ne pas les disputer, ça revient à ne pas pouvoir s'exposer, à le priver de contrat, de sponsors et donc de pouvoir vivre décemment".Q: Quelles seraient les conséquences pour Paris-2024 d'une éventuelle annulation ?R: "Elle constituerait un très mauvais signal. Elle ferait peser des incertitudes sur ceux de Paris. D'abord en termes de financement. Une partie du financement de Paris provient de la précédente olympiade. J'espère que ça a été relativement sécurisé. Cela peut aussi détourner certains sponsors de l'olympisme".Q: Cette pandémie peut-elle entraîner des surcoûts pour Paris-2024?R: "Je pense que les promoteurs de Paris ont ces éléments en tête, qu'ils sont en train d'analyser le surcoût éventuel que cela va générer. Le contexte a changé sans qu'on ait pu s'y préparer. Il est peut-être urgent de refaire une revue de projets, comme c'est prévu, pour voir quels sont les impacts négatifs ou positifs de cette crise sur l'organisation de Paris 2024. Mais, potentiellement, il pourra y avoir des surcoûts: nouvelles normes, autres organisations... S'il y a des surcoûts, on pourra voir s'ils peuvent être absorbés par la réserve +aléa+ prévue dans le budget. Sinon, il faudra voir comment ajuster et, pourquoi pas, réduire la voilure sur certains programmes et faire en sorte que la promesse que le budget ne dérape pas soit bien tenue".Q: Ciblez-vous un endroit particulier à réduire?R: "Il est difficile de cibler une infrastructure, c'est globalement le projet qui doit être revu, analysé au regard d'un contexte sanitaire, lequel a changé et ne sera pas forcément le même en 2024. C'est très compliqué car on ne connaît pas le contexte de 2024. Il faut pouvoir se dire, si cela arrive: on aura tout fait pour pouvoir disputer les Jeux. En sachant que si c'est le même qu'aujourd'hui, il y aura la même décision: ce sera report ou annulation".Propos recueillis par Rémy ZAKA
Il y a 5 ans et 51 jours

La construction, 3e secteur bénéficiaire du fonds de solidarité coronavirus

Bercy publie deux tableaux de bord concernant les aides aux entreprises (fonds de solidarité et prêts garantis par l'Etat) mises en place pour pallier la crise économique qu'engendre le Covid-19.
Il y a 5 ans et 51 jours

En Loire-Atlantique, un plan pour éviter une seconde vague de crise économique

En plus des budgets déjà votés et des mesures d’urgence pour soutenir les entreprises, le département a lancé un plan de relance de 21 M€ d’investissements sur deux ans pour soutenir l’activité des entreprises de BTP.
Cimbat
Il y a 5 ans et 51 jours

Pour l'Etat, la relance des chantiers n'est pas encore assez rapide

REPRISE. Une deuxième réunion s'est tenue ce 30 avril entre les représentants des principales fédérations du BTP et plusieurs membres du gouvernement. Le but : permettre au secteur d'exposer plus en détails ses propositions et arguments pour accélérer et soutenir la reprise de l'activité, à court et moyen terme.
Il y a 5 ans et 51 jours

Coronavirus : les industriels du béton se dotent d'un guide de bonnes pratiques

SANTÉ. Les industriels du béton annoncent avoir mis au point un guide de bonnes pratiques pour encadrer les mesures sanitaires nécessaires contre la propagation du coronavirus. A l'image du document établi par l'OPPBTP pour la construction, d'autres secteurs se dotent d'un tel guide pour rassurer et inciter leurs entrepreneurs à relancer l'activité.
Il y a 5 ans et 51 jours

Le chiffre d'affaires de LafargeHolcim impacté par la Chine au T1 2020

RÉSULTATS. Le cimentier LafargeHolcim a dévoilé ses résultats pour le 1er trimestre 2020. Le chiffre d'affaires est en recul notamment en raison de la crise du Covid-19 qui a touché la Chine en janvier. Les répercussions pour les autres pays devraient avoir lieu au second trimestre.
Il y a 5 ans et 51 jours

« Les entreprises préfèrent avoir des marchés que des subventions », Robert Herrmann, président de l'Eurométropole de Strasbourg

Président (PS) de l’Eurométropole de Strasbourg (Bas-Rhin), Robert Herrmann évalue à 30 millions d’euros les pertes de recettes induites par l’épidémie de Covid-19. Pour soutenir l’économie en général dont le BTP, il explique pourquoi il donne la priorité aux investissements plutôt qu’aux aides directes.
Il y a 5 ans et 51 jours

Le Mipim en mode digital

Lire l'article]]>
Il y a 5 ans et 51 jours

Un nouveau responsable division chauffage pour Daikin France

Découvrez le parcours de Cyril Boiron qui prend les rênes de la division chauffage de Daikin France.
Il y a 5 ans et 51 jours

Covid-19 : cas concrets de reprise avec des chantiers de rénovation énergétique

Hellio s'engage aux côtés de ses entreprises partenaires en réalisant un tour de France pour les accompagner sur le terrain et leur apporter son soutien logistique avec la fourniture de matériel.Parmi elles, LMD Calorifuge et K&S RENOV HABITAT ont ainsi pu réaliser il y a quelques jours le calorifuge des réseaux hydrauliques, l'isolation des points singuliers en chaufferie, et l'isolation des planchers bas pour l'ensemble d'une copropriété à Boissy-Saint-Léger (94).« Afin d'anticiper la reprise du secteur qui s'annonce très importante, Hellio soutient l'activité sécurisée de nos artisans qui ont le matériel et qui peuvent travailler en toute sécurité », souligne Christophe Février, président et fondateur d'Hellio. « Rappelons que la reprise des chantiers d'économies d'énergie est une priorité pour le ministère de la Transition écologique et solidaire ».Dans le Val d'Oise, LMD Calorifuge, société créée en 2011 spécialisée en travaux de calorifuge et d'isolation de points singuliers, et KS RENOV Habitat, créée en 2014 spécialisée en isolation des planchers bas, ont décidé de poursuivre leur activité en adaptant leurs habitudes de travail. Ces entreprises sont partenaires d'Hellio depuis 5 ans, spécialiste des économies d'énergie de l'habitat qui accompagne les ménages dans leurs projets de rénovation énergétique, du conseil à la réalisation, en passant par leur financement.Continuité des chantiers dans le respect des consignes sécuritairesPour ces deux entreprises qui emploient chacune une dizaine de salariés, la continuité de leur activité était une nécessité :« Le Covid-19 aujourd'hui, cela représente 90% de baisse d'activité pour nos structures. Depuis la mi-mars nous n'avons fait que 3 chantiers, comparé aux 20 chantiers que nous aurions faits habituellement sur cette période », témoigne Mickaël Schmidt, gérant de LMD Calorifuge et KS RENOV HABITAT.Et sur le terrain, lors des interventions, plusieurs précautions sont prises pour assurer la sécurité des collaborateurs et des clients, dans le respect des gestes barrières et des consignes sanitaires transmises par l'OPPBTP.« Nos travaux se déroulant dans les parties communes des bâtiments, nous veillons à désinfecter toutes les poignées de porte qui ont été touchées. Nous demandons à nos collaborateurs de respecter absolument la distance de sécurité d'un mètre cinquante. Nous nous assurons également qu'ils se déplacent de manière individuelle, c'est-à-dire que lorsque deux opérateurs doivent se rendre sur un même chantier, ils doivent venir chacun avec leur camion pour ne pas être confinés dans le même véhicule », précise Mickaël Schmidt.Le principal frein vient du côté des copropriétaires qu'il faut réussir à convaincre afin de pouvoir réaliser les travaux :« Nous menons en amont un grand travail pédagogique afin de leur expliquer qu'il n'y aura pas de coexistence entre eux et nos salariés. Une fois que ces chantiers sont terminés, les membres du conseil syndical et les copropriétaires sont très contents de la réalisation des travaux qui ont pu se dérouler durant ce temps-là. »Soutien et évaluation de la situation des entreprises partenaires par HellioAfin de soutenir l'activité de ses entreprises partenaires et de veiller à leur sécurité, Hellio a entrepris un tour de France des chantiers qui ont repris.L'objectif : évaluer les freins de l'activité, soutenir les professionnels partenaires et les accompagner dans la reprise par une série de mesures de terrain : numéro vert dédié, lettre d'information hebdomadaire sur l'actualité fiscale et comptable du secteur, réorganisation des carnets de commande, fourniture de matériel sanitaire (gel hydro alcoolique, blouses et masques) et de travail (fourniture d'isolant, mise à disposition de véhicules de courtoisie, etc.).« En tant qu'entrepreneur, cela me tient à coeur d'être sur le terrain pour soutenir et évaluer la situation de nos entreprises et artisans partenaires. Hellio accompagne des centaines d'entreprises de travaux qui se lèvent tous les matins pour rénover l'habitat Français. Aujourd'hui, je suis là pour les soutenir dans la reprise des travaux en toute sécurité. Nous sommes prêts pour la reprise des chantiers et de mes équipes », insiste Christophe Février.Ce soutien et cet accompagnement du spécialiste des économies d'énergie sont appréciés par l'entreprise, comme en témoigne Mickaël Schmidt :« Hellio nous soutient durant cette période difficile en travaillant avec nous sur le contact au niveau des syndics pour rassurer les clients sur le fait que les travaux peuvent se réaliser en toute sécurité, pour les occupants et pour nos collaborateurs. Hellio nous simplifie également les dossiers administratifs pour la partie prise en charge des Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) ».La rénovation énergétique, moteur de la continuité et de la reprise économiqueDe par la nature des travaux, la plupart des chantiers de rénovation énergétique se prête plus facilement au redémarrage. L'absence de co-activité, l'inoccupation de certains chantiers (en cours de construction ou autres : résidences secondaires, déménagements, etc.) ou encore la configuration des maisons qui permet d'accéder aux combles sans passer par l'espace habitable ou encore la faible fréquentation des parties communes dans les immeubles sont autant de facteurs favorables à une reprise en toute sécurité.« Nous pouvons continuer jusqu'à présent à travailler sur ce type d'intervention car les travaux se déroulent essentiellement dans les chaufferies, les parkings, les locaux de caves, des endroits finalement peu fréquentés par les habitants. Nous arrivons tôt le matin et partons tard donc la possibilité de croiser d'autres personnes est infime », explique Mickaël Schmidt.Les équipes d'Hellio indiquent que les appels des particuliers pour s'informer sur les programmes d'économie d'énergies sont particulièrement nombreux en ce moment. Preuve que la rénovation énergétique reste au coeur des préoccupations des Français.Et pour cause ! La poursuite des travaux de rénovation énergétique est la clé pour faire baisser les factures d'énergie des ménages en hausse pendant le confinement, mais aussi toute l'année !Les travaux réalisés il y a quelques jours sur cette copropriété concernaient le calorifuge des réseaux hydrauliques, l'isolation des points singuliers en chaufferie, et l'isolation des planchers bas. Ces trois opérations vont permettre aux copropriétaires d'économiser plus de 10 % sur la facture énergétique de la chaufferie.Laurent Michel, directeur général de l'énergie et du climat, l'a d'ailleurs confirmé dans sa lettre mensuelle sur les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE), diffusée le 22 mars 2020 : dès la fin de crise, les CEE « doivent être un moteur de la relance ».
Il y a 5 ans et 51 jours

Reprise progressive du chantier de Notre-Dame de Paris

Le chantier de Notre-Dame, mis en sommeil en mars en raison de l'épidémie de coronavirus, va reprendre progressivement a anoncé l'Établissement public en charge de la restauration de la cathédrale.
Il y a 5 ans et 51 jours

Candidatez aux BIM d'Or 2020 !

]]>
Il y a 5 ans et 51 jours

Le Mobilier national va soutenir l'artisanat d'art et le design

L'illustre institution installée aux Gobelins, qui crée, conserve et restaure tapisseries, tapis et mobilier depuis le XVIIe siècle, et avait été épinglée l'an dernier par la Cour des comptes pour ses méthodes vieillottes et peu rentables, se sent "au cœur d'un écosystème particulièrement fragilisé", explique-t-elle dans un communiqué.Avec près de 500 partenaires -- artisans d'art, fabricants, éditeurs, designers, créateurs, architectes d'intérieur --, le Mobilier national n'est pas uniquement "un gardien du Temple" mais "un acteur de la reconstruction de notre modèle social", note son directeur Hervé Lemoine, qui œuvre à l'aggiornamento du Mobilier national.Le plan, doté de 500.000 euros, doit aider notamment le design, secteur d'avenir, créateur d'emplois durables et "préserver des métiers manuels, porteurs de valeurs souvent recherchées pour de possibles reconversions", selon le communiqué.Une commission acquièrera des œuvres d'artistes et designers de la scène française (cartons de tapisserie, maquettes de design mobilier). Elles serviront à produire des prototypes au sein de l'Atelier de Recherche et de Création, ou à tisser des tapisseries dans les manufactures des Gobelins, de Beauvais ou de la Savonnerie. Les œuvres réalisées dans les ateliers entreront dans les collections du Mobilier.Les "royalties" obtenus en 2020 par l'édition de meubles seront intégralement réinvestis en faveur de la jeune garde du design.Le plan prévoit aussi l'acquisition de mobiliers de designers contemporains auprès d'éditeurs et de galeries françaises.Une campagne de restauration de la collection de mobiliers des années 1930 à 1950, la première de France, sera par ailleurs lancée. Elle sera confiée aux ébénistes, tapissiers en siège, doreurs, bronziers, lustriers, horlogers, restaurateurs textiles qui maillent le territoire. Le Mobilier national doublera ainsi ses commandes à son réseau de sous-traitants.Le plan entend par ailleurs aider les circuits courts, en développant une production de tapisserie et de tapis intègrant progressivement les laines venant des troupeaux français.Enfin, une vente aux enchères de mobiliers "déclassés" -- sortis du domaine public, n'ayant plus de valeur d'usage ni patrimoniale -- sera organisée à l'automne, lors des Journées européennes du patrimoine. Ses bénéfices seront reversés à la Fondation Hôpitaux de Paris - Hôpitaux de France.Texte
Il y a 5 ans et 51 jours

Au Sénégal, NGE livre son premier chantier de travaux ferroviaires neufs

Le groupe de BTP, et ses partenaires, annoncent la livraison de la reconstruction de la voie dédiée au fret à Dakar. Un projet emblématique qui « constitue une vitrine » pour l’expertise de NGE en Afrique de l’ouest.
GDA
Il y a 5 ans et 51 jours

Un CSPS peut-il être référent covid-19 du maître d'ouvrage ?

FLOU. Le référent covid-19 pour le maître d'ouvrage est une mission facultative introduite par le guide de l'Organisme professionnel de prévention du BTP (OPPBTP). Mais le débat ne semble pas tranché sur le fait de savoir si un CSPS peut, ou non, remplir cette fonction. Explications.
Il y a 5 ans et 51 jours

RE 2020 : il y aura un label d’accompagnement

Le Plan Bâtiment Durable appelle à intégrer la santé dans les règlementations construction neuve et rénovation et travaille sur un label d’accompagnement de la RE2020
Il y a 5 ans et 51 jours

Consolidation du sol d'assise d'une habitation fissurée

Un pavillon victime de la sécheresseConstruite dans les années 70's, cette habitation individuelle du sud de la France présentait de multiples fissures sur ses façades et sur les murs de refends. Celles-ci, d'ampleur millimétrique à centimétrique, étaient devenues visibles sur l'extérieur et l'intérieur du bâtiment. Le phénomène s'est empiré en 2018 avec les fortes chaleurs sévissant dans la région. Les fissures se sont généralisées sur l'ensemble des murs porteurs de l'ouvrage. Résoudre ce problème par une intervention rapide, efficace, et pérenne était devenue une urgence pour les propriétaires, et la société URETEK® répondait parfaitement à ces besoins.Des injections de résine adaptées aux sols argileuxAu préalable, une étude du sol a été réalisée par le bureau d'étude d'ingénierie géotechnique OGéo. La typologie du sol, les réseaux sous terrain existants ainsi que le diagnostic sur l'origine des désordres affectant l'ouvrage ont été analysés.Le sol, de nature limono-argileuse avec des blocs calcaires, se caractérisait notamment par sa sensibilité aux phénomènes de dessiccation/réhydratation, cause principale du sinistre. Cela se traduisait alors par des tassements différentiels de fondations sous l'ensemble de l'ouvrage.Les équipes régionales d'URETEK® sont intervenues en consolidant le sol d'assise des fondations de la maison via le procédé d'injection de résine expansive, Deep Injections. Mis en œuvre sous l'ensemble de l'ouvrage, le traitement a été déployé sur 193 ml sous semelle, et jusqu'à une profondeur de 2,50 à 3,80 m par rapport au terrain aménagé. L'ampleur de cette intervention aura seulement nécessité 14 jours de travaux.L'effet des injections a renforcé les zones traitées à faible compacité et entraîné une meilleure répartition des charges pour assurer la stabilité de l'ouvrage.Au-delà d'avoir amélioré la portance moyenne du sol d'assise des fondations traitées, le traitement du sol par injection de la résine expansive URETEK® a eu pour but de limiter le phénomène de retrait/gonflement des formations à dominante argileuse :Grâce au compactage du terrain résultant de la forte expansion de la résine qui entraîne une diminution de l'indice des vides,Avec le remplissage et l'imperméabilisation des macro-vides résiduels sous fondations ainsi qu'au sein des fissures de retrait.Le chantier s'est déroulé avec un contrôle scrupuleux des injections, de 2 manières :Par un contrôle laser permanent pendant les injections, jusqu'à réaction de l'ouvrage en surface indiquant un sol devenu suffisamment porteur, Par des tests pénétrométriques réalisés avant/après les injections, pour confirmer l'amélioration de la résistance du sol traité.Le + URETEK®Dans le cadre de la période d'observation post-traitement, une injection d'appoint (prévue dans le contrat initial) a été réalisée ponctuellement pour reprendre un léger tassement différentiel localisé de fondations apparu après la première intervention.Inventeur de la technique d'amélioration des sols par injection de résine expansive.Première entreprise ayant obtenu un avis technique validé par le CSTB depuis 2015.Les bénéfices pour le sinistréTechnique peu invasive et quasiment non-destructiveAucun déménagementRéutilisation immédiate du bâtimentChantier propre, peu de poussièresSérénité budgétaireEn savoir plus :Deep Injections : cliquez iciDécouvrez les solutions URETEK® : cliquez ici
Il y a 5 ans et 51 jours

L'Inspection du travail renforce ses contrôles sur les chantiers

Le ministère du Travail annonce qu’il demande à ses services d’inspection d’élargir leurs contrôles sur site afin de garantir la santé et la sécurité des salariés et l’information des entreprises
Il y a 5 ans et 51 jours

Covid-19 : les géomètres-experts impactés aussi

Lire l'article]]>
Il y a 5 ans et 51 jours

"Le problème n'est pas d'avoir les capitaux mais de les déployer" (Érigère)

BAILLEURS SOCIAUX. Fabrice Le Saché, président d'Érigère, filiale d'Action Logement gestionnaire d'un parc de 15.500 logements en Île-de-France, explique, dans une interview donnée à Batiactu, comment le bailleur va maintenir son rythme de construction dans les mois et les années qui viennent.
Il y a 5 ans et 51 jours

Covid-19 : ces patrons de la construction qui ont décidé de baisser leur salaire

SALAIRES. Outre la limitation des dividendes, voire leur non distribution, certains grands groupes de la construction ont annoncé que leurs dirigeants allaient participer à l'effort économique en réduisant une partie de leur salaire. Exemples.
Il y a 5 ans et 51 jours

Covid-19 : Le Sénat mise sur la transition énergétique comme levier du plan de relance d'après-crise

Cette audition s'inscrit dans le cadre des travaux de suivi, conduits par Daniel Gremillet, Roland Courteau et Daniel Dubois, de l'impact de cette crise sur le secteur de l'énergie.Après avoir entendu une cinquantaine d'acteurs de terrain depuis le début du mois d'avril (grands énergéticiens, fédérations professionnelles de l'électricité, du gaz et du pétrole, représentants de la rénovation énergétique, des énergies renouvelables – EnR – et des biocarburants, Commission de régulation de l'énergie, Médiateur de l'Énergie, Agence internationale de l'énergie) et relayé leurs difficultés auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, les sénateurs ont jugé indispensable d'engager une réflexion prospective sur le devenir de notre transition énergétique.Aussi ont-ils échangé hier sur le rôle de la transition énergétique dans la stratégie de sortie de crise : pour les sénateurs, l'accompagnement de la rénovation énergétique, le soutien aux projets d'EnR, la lutte contre la précarité énergétique sont autant de leviers mobilisables pour relancer l'activité économique tout en atteignant nos objectifs énergétiques et climatiques.Les sénateurs ont rappelé leur vive inquiétude quant au cap poursuivi dans ces domaines par le Gouvernement, regrettant la difficile application de la loi « Énergie-Climat », pourtant adoptée dans un esprit de consensus par le Sénat en septembre dernier.Pour Daniel Gremillet, « six mois après l'adoption de cette loi, dont j'étais le rapporteur pour notre commission, tout reste à faire : une ordonnance a été adoptée, une dizaine de mesures règlementaires prises, un rapport publié. La programmation pluriannuelle de l'énergie et la stratégie nationale bas-carbone viennent tout juste d'entrer en vigueur. Il faudra attendre l'été pour que le Gouvernement prenne l'ordonnance sur les centrales à charbon … davantage encore pour celle sur l'hydrogène. C'est trop peu et trop lent ».Les sénateurs ont regretté la faiblesse des moyens budgétaires et fiscaux mis par le Gouvernement en regard de nos objectifs énergétiques et climatiques, plaidant pour leur revalorisation significative à l'occasion des prochains textes financiers.Pour Roland Courteau, « il devient urgent de se pencher sur les difficultés rencontrées par nos énergéticiens en termes de trésorerie et d'investissement, de soutenir le secteur de la rénovation énergétique, en corrigeant les effets de bord de la dernière réforme du crédit d'impôt pour la transition énergétique et en améliorant les aides aux particuliers et aux entreprises, d'accompagner les ménages en situation de précarité énergétique, en revalorisant le chèque énergie. Lors du dernier collectif budgétaire, le Sénat a adopté, à notre initiative, plusieurs amendements pour soutenir les filières très sinistrées des biocarburants : il est regrettable que le Gouvernement ne les ait pas conservés in fine ».Enfin, les sénateurs ont relevé que la transition énergétique ne peut réussir sans indépendance énergétique, insistant sur la nécessité de garantir notre sécurité d'approvisionnement mais aussi notre souveraineté industrielle, dans un secteur aussi stratégique que celui de l'énergie.Pour Daniel Dubois, « l'atteinte de la neutralité carbone d'ici à 2050 nécessite un soutien réaffirmé à la filière nucléaire, qui continuera de produire la moitié de notre mix en 2035, et doit donc demeurer compétitive et attractive. À cet égard, la chute des prix de l'électricité, les difficultés de la régulation et les reports d'investissements observés dans cette filière ne constituent pas une bonne nouvelle pour le climat. Une relocalisation des EnR est également nécessaire : nous attendons beaucoup de l'application du critère du bilan carbone dans les futurs appels d'offres – apport sénatorial majeur à la loi “Énergie-Climat” – qui permettra à nos industriels français et européens de lutter contre le dumping environnemental ».Les sénateurs poursuivront leurs travaux de suivi tout au long de la crise et formuleront des préconisations concrètes pour inscrire la transition énergétique au cœur du plan de relance.
Il y a 5 ans et 51 jours

La plateforme de distribution des masques pour les TPE-PME est lancée

SANTÉ. Une plateforme de commercialisation et de distribution de masques dits "grand public" à destination des TPE et PME de métropole et d'Outre-Mer est lancée ce 30 avril par Bercy, La Poste ainsi que les réseaux des Chambres de commerce et d'industrie et des Chambres des métiers et de l'artisanat. Ce sont 10 millions de masques lavables et donc réutilisables qui doivent être acheminés vers les entreprises.
Il y a 5 ans et 51 jours

La nouvelle gamme TZ de Panasonic se connecte avec le futur

Une taille ultra compacte pour des utilisations spécifiques La nouvelle gamme TZ est toujours plus compacte. Avec seulement 779 mm de largeur l'unité intérieure peut facilement être installée au-dessus d'une porte, ce qui en fait la solution idéale pour les espaces limités dans les logements. Cette largeur est disponible pour les systèmes d'une puissance de 2 à 5 kW.Un contrôle intelligent avancé Panasonic a été l'un des premiers fabricants à intégrer le Wi-Fi dans l'ensemble de ses unités murales compatibles en multi-split, et la nouvelle unité TZ ne fait pas exception. Une fois connectée à Internet, elle peut être commandée de n'importe où et à n'importe quel moment au moyen de l'application Comfort Cloud de Panasonic. C'est la solution idéale pour contrôler la climatisation à distance.De plus, grâce à Comfort Cloud de Panasonic, les unités intérieures peuvent être connectées aux principaux assistants vocaux du marché pour une commande simple et pratique. Ainsi, les propriétaires qui ont l'habitude de contrôler leur éclairage et leur audio à la voix peuvent définir des préférences pour leurs climatiseurs muraux TZ afin de créer l'environnement souhaité.Des améliorations concrètes pour l'utilisateur final Le système de chauffage et de climatisation a été pensé pour simplifier la vie de l'installateur, et amélioré pour l'utilisateur final. Panasonic a installé un filtre qui capture les particules fines dangereuses (PM2,5) qui se trouvent en suspension dans l'air – y compris la poussière, les polluants dangereux, les pollens, la saleté, la fumée et les gouttelettes liquides. Le filtre capture et réduit les particules, ce qui permet de maintenir la qualité de l'air de la pièce.Panasonic propose aussi une solution extrêmement silencieuse. Le bruit du fonctionnement de l'unité intérieure du climatiseur Inverter a encore été réduit. L'Inverter fait varier en permanence la puissance de sortie pour permettre un contrôle plus précis de la température en n'émettant pas plus de 20 dB(A)[1] - de quoi passer une nuit paisible dans un confort optimal.L'unité murale TZ est dotée du système Aerowings de Panasonic : deux lames indépendantes concentrent le flux d'air pour rafraichir une pièce le plus rapidement possible et permettent de distribuer l'air frais de manière homogène dans l'ensemble de la pièce pour un confort maximum. Les doubles lames Aerowing permettent de mieux contrôler la direction du flux d'air pour éviter qu'aucune zone ne subisse un courant d'air glacé permanent.NOUVELLE télécommande sans fil Grâce à un accès rapide aux fonctionnalités clés et à un couvercle coulissant révélant d'autres options, la télécommande Sky rétro-éclairée offre un contrôle facile et intuitif. Les utilisateurs apprécieront le design innovant de la télécommande élégante et profilée qui est dotée d'un écran plus large et d'une interface plus conviviale, facilitant l'accès à la plupart des fonctions courantes.Ergonomique, la télécommande apporte de nombreux avantages supplémentaires au système de climatisation. Le nouvel écran rétro-éclairé, permet d'effectuer les réglages même dans l'obscurité.Un produit repensé pour une installation et une maintenance faciles Les nombreuses innovations apportées à la gamme TZ ont permis de réduire considérablement le temps d'installation. Le climatiseur TZ est si léger et compact qu'une seule personne suffit pour l'installer. L'unité est également dotée d'une plaque de fixation renforcée qui offre davantage de stabilité et de solidité pour réaliser une installation simple et soignée. Elle offre enfin une vue et un accès pratiques au tuyau d'évacuation et aux inserts de câblage et 13 mm supplémentaires ont été dégagés pour la tuyauterie afin que les installateurs puissent désormais vérifier que les tubes et isolations sont solidement et soigneusement fixés.Conçue spécifiquement pour les installateurs, l'unité dispose d'une grille frontale facile à enlever pour un accès direct à l'intérieur. Les composants internes ont également été restructurés pour faciliter la maintenance, et l'électronique et les câbles sont désormais implantés sur un seul côté de l'unité.Nouvelle gamme de modèles TZ : Unités intérieures pour single split et multi split : CS-TZ20/25/35/42/50/60/71WKEW Unités intérieures pour multi split uniquement : CU-MTZ16WKE Unités extérieures pour single split : CU-TZ20/25/35/42/50/60/71WKE[1] Modèles 2,5 et 3,5 kW : en mode silencieux alors que l'appareil fonctionne en mode refroidissement avec une faible vitesse de ventilateur.
Il y a 5 ans et 51 jours

L’Unicem se dote de recommandations

Lire l'article]]>
Il y a 5 ans et 51 jours

Spie sur sa lancée au 1er trimestre

Les premiers impacts financiers de la crise liée au Covid-19, survenus dans la deuxième quinzaine de mars, ont été limités au niveau du groupe et ont principalement concerné la France, où un impact plus fort est attendu au deuxième trimestre.
Il y a 5 ans et 51 jours

Relance progressive de l’activité chez Sothoferm

Fermé depuis le 17 mars dernier, le numéro un du volet battant en France a relancé son activité le lundi 27 avril.
Il y a 5 ans et 51 jours

Les solutions de ventilation Ubbink choisies pour la construction d'une maison neuve à Sennecey-lès-Dijon

Les solutions et le savoir-faire Ubbink permettent ainsi d'assurer une parfaite ventilation de la maison, avec un minimum de pertes de charge, et de récupérer l'énergie nécessaire au fonctionnement du chauffe-eau thermodynamique.Une réflexion en amont pour une construction optimaleSitué à Sennecey-lès-Dijon (21), le chantier consiste à construire un pavillon contemporain au sein d'un lotissement. Cette réalisation s'inscrit parfaitement dans la démarche du constructeur ESYOM, précurseur dans la construction de maisons à basse consommation énergétique et dont le mot d'ordre est de trouver les solutions d'innovation pour des maisons plus abordables, plus confortables et plus sécuritaires. Dans ce cadre, ESYOM a proposé l'installation d'un chauffe-eau thermodynamique sur air extrait. Ce type d'installation permet de récupérer les calories issues de la ventilation pour assurer le fonctionnement du chauffe-eau et réaliser ainsi des économies importantes. Par ailleurs, l'installation devait répondre à plusieurs exigences : facilité de mise en œuvre, maîtrise de la qualité de la pose, performance et pérennité.Des systèmes performants alliant qualité d'air optimale et confortAinsi, ESYOM s'est tourné vers Ubbink et les produits des gammes AERFOAM et AIR EXCELLENT. Silencieux et conçus de manière à optimiser la maintenance et le nettoyage du réseau, les systèmes Ubbink apportent une réponse appropriée (conduits semi-rigides ne s'écrasant pas; intérieur des conduits double peau et lisse, limitant les pertes thermiques, les pertes de charge et les nuisances acoustiques ; système démontable pour une facilité d'entretien ; éléments se clipsant entre eux pour une connexion parfaitement étanche...).Ainsi, pour le réseau de ventilation allant du chauffe-eau thermodynamique au mur pour l'extraction de l'air : c'est la gamme de conduits et coudes de ventilation AERFOAM qui a été choisie. En effet, celle-ci est largement plébiscitée par les professionnels pour son installation facile et pratique. Les éléments AERFOAM sont en Polyéthylène Expansé (EPE), matériau léger, aux propriétés techniques performantes et se fixent à l'aide de colliers de fixation robustes et se connectent avec des raccords garantissant l'étanchéité entre les éléments du système. Depuis début 2019, la gamme AERFOAM affiche une empreinte carbone nulle grâce à l'utilisation de ressources organiques dans son processus de fabrication. Elle contribue ainsi à la réduction des émissions de CO².Pour le réseau de distribution d'air du chauffe-eau thermodynamique, c'est le réseau circulaire composé de la gamme AIR EXCELLENT qui a été sélectionné. Celui-ci permet en effet de maîtriser une ventilation performante tout en améliorant la qualité de l'air. Silencieux et conçus de manière à optimiser la maintenance et le nettoyage du réseau, les systèmes disposent de conduits-semi rigides pour contourner le risque d'écrasement, limitent les pertes thermiques et les pertes de charge. Facile à installer, la gamme AIR EXCELLENT est intuitive et se pose sans outil.« Pour toutes nos maisons chauffées au gaz depuis 3 ans, le choix d'un réseau semi-rigide s'est imposé comme une évidence. En effet, celui-ci permet une ventilation performante et, ainsi, une amélioration de la qualité d'air intérieur. En comparaison à un réseau souple, qui aura tendance à s'encrasser et à favoriser la condensation et donc à entraîner des pertes de charge, les produits Ubbink permettent de parer à ces problématiques et donc de répondre à toutes nos attentes », indique Gilles Moyse, promoteur du chantier. La pose du réseau n'a nécessité qu'une journée. La fin du chantier est prévue pour mai 2020.Fiche identité chantierProjet : Résidence Sennecey-lès-Dijon / Maisons ESYOMLivraison travaux : Mai 2020Promoteur : Gilles Moyse - ESYOM
Il y a 5 ans et 51 jours

Matériaux : les propositions de l’Unicem pour une reprise à court terme de l’activité

L’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction a publié une série de propositions de court terme, en vue d’assurer la sauvegarde des entreprises de la fédération, majoritairement des TPE et PME.
Il y a 5 ans et 51 jours

AIMCC : Sept leviers pour la relance économique

L’AIMCC et le Comité stratégique de filière “Industrie pour la construction” (CSF IPC) proposent 7 leviers pour la relance économique du secteur. [©Technologie photo créé par rawpixel.com – fr.freepik.com] L’AIMCC et le Comité stratégique de filière “Industrie pour la construction” (CSF IPC) proposent 7 leviers pour la relance économique du secteur. Pour formuler ce plan, l’AIMCC (animatrice du CSF IPC) s’est appuyée sur une conviction forte. Ainsi, l’écologie et l’économie doivent converger pour sortir au plus vite de la crise. « Nos propositions conjuguent 3 priorités, explique Hervé de Maistre, président du CSF IPC. Soutenir les plus fragiles, redonner rapidement de l’activité aux entreprises françaises et accélérer la transformation environnementale. Pour réussir le plan de relance, il nous faut des décisions audacieuses, un état d’esprit collectif et une gouvernance efficace. Les industriels sont conscients de la gravité de la situation. Prêts à assumer leurs responsabilités aux côtés des pouvoirs publics et de tous les acteurs de la construction. » En dehors des 7 mesures qu’ils proposent, l’accélération de la reprise est une condition importante pour l’AIMCC et le CSF IPC. « Plus la reprise sera lente, plus les capacités d’actions seront exposées à un risque. Ceci, dans un contexte concurrentiel toujours aussi vif malgré la crise. » 1 – Une relance de la construction durable et résiliente par la mobilisation de l’épargne privée. Pour José Mickael Chenu, directeur marketing du groupe Vinci et vice-président d’EGF BTP. « La mobilisation de l’épargne privée est une voie possible de la relance rapide. Notamment dans le logement neuf, mais aussi, par exemple, pour le plan Campus Universités et autres… » 2 – La massification de la rénovation énergétique performante des maisons individuelles et des quartiers pavillonnaires. « Il est indispensable de créer une nouvelle dynamique en matière de rénovation énergétique des maisons individuelles, explique Eric Mestrallet qui anime le pilote industriel en Ile-de-France en lien avec la Métropole du Grand Paris du projet “Parcours rénovation énergétique performante”. Elle est bien souvent assimilée à un angle mort des politiques publiques depuis une dizaine d’années. De plus, c’est un enjeu pour générer de la valeur ajoutée locale, pour valoriser le patrimoine des propriétaires occupants et pour apporter, dans certains cas, une réponse à la dégradation des quartiers. Et ainsi, éviter le sentiment de “relégation” de nos concitoyens. » 3 – La promotion du Made in France. « Il est indispensable de faire de la commande publique un levier pour encourager la production locale et la “mieux-disance”, commentent Nicolas Vuillier, président de l’Unicem, et Didier Petetin, directeur général de Vicat. Et ainsi, promouvoir la création de la valeur ajoutée locale par nos industries et l’ensemble de nos partenaires au sein de la filière, synonyme de résilience et d’indépendance. » 4 – La prise en compte prioritaire des ménages démunis pour une rénovation BBC aidée et financée à 100 %. « Il faut penser aussi et surtout aux ménages les plus démunis, indique Jacques Pestre, administrateur de la FNBM qui pilote les actions relatives à la rénovation de l’habitat. Ils sortiront de la crise, encore plus fragilisés et le projet : “100 % aidé et financé” sera réservé aux ménages des 3 premiers déciles. » 5 – Chèque “rénovation travaux” à destination de tous les ménages. « Il faut relancer la machine rapidement et tenir compte des leçons de la dernière relance post-crise 2008. Explique Hugues Vérité, délégué permanent du CSF IPC et délégué général de l’AIMCC. Et ce, en redémarrant encore plus vite. La création éventuelle d’une “monnaie verte” constituerait une des pistes les plus efficaces. » 6 – L’industrialisation des solutions de rénovation performante pour les universités et les pools de bâtiments publics. « Ainsi, il est possible en moins de 6 mois de lancer un programme ambitieux de rénovation globale à l’échelle de 10 universités inscrites dans leur territoire 1. Déclare Patrice Barbel, enseignant-chercheur et conseiller patrimoine au sein de la Conférence des présidents d’universités. Ce sont elles qui seront les étalons d’un déploiement généralisé – 15 000 000 m2 – sur 3 ans dans le cadre d’une industrialisation des solutions d’efficacité énergétique performantes et volontaristes. Mais aussi, de financements innovants de types “fonds d’amorçage” associés à des fonds de garantie. L’objectif cible sera de stabiliser un modèle économique soutenable et vertueux pour l’ensemble des acteurs des territoires : bilan carbone, mobilité, emplois, innovations, formations, recherche… » 7 – Le respect dans les relations commerciales, un gage de confiance réciproque essentiel pour une reprise accélérée. « Il faut de la loyauté dans les relations commerciales, conclut Philippe Gruat, administrateur de l’AIMCC et référent PME-TPE-ETI au sein du Conseil national de l’industrie pour la filière. Notamment sur le respect des délais de paiement et des créances entre acteurs de la chaîne, soit la pierre angulaire d’une reprise et d’une relance fondées sur la confiance de toute la filière. »
Il y a 5 ans et 51 jours

Rémi Bouchié, nouveau directeur du CSTB’Lab

Etienne Crépon, président du CSTB, a nommé Rémi Bouchié à la direction du CSTB’Lab. [©CSTB] Etienne Crépon, président du CSTB, a nommé Rémi Bouchié à la direction du CSTB’Lab, accélérateur d’entreprises innovantes dans le domaine de la construction et de l’aménagement. Ses missions ? Rémi Bouchié poursuivra le développement stratégique du CSTB’Lab. Il pilotera la sélection de nouvelles entreprises innovantes, travaillant sur les thématiques émergentes de la construction. L’objectif 2020 pour l’accélérateur est d’accueillir une douzaine de nouvelles start-up. De plus, Rémi Bouchié accompagnera les actions engagées pour renforcer les synergies entre les start-up et le CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment). Et leurs échanges avec les acteurs de la construction. Des travaux de recherche pourront, par exemple, être engagés par le CSTB, dans le cadre d’une collaboration avec une start-up de l’éco-système CSTB’Lab. Ceci, dans la mesure où les thématiques seraient cohérentes avec sa programmation scientifique. Le parcours de Rémi Bouchié Ce nouveau modèle de coopération constituera un levier de création de valeur pour le secteur du bâtiment. « L’accompagnement transversal proposé aux start-up par le CSTB’Lab les aide à développer leurs solutions et à rencontrer leur marché. Mais et surtout, leur dynamisme et leurs idées sont de formidables atouts pour le CSTB, souligne Rémi Bouchié. Et ce, pour faire progresser l’innovation et les connaissances. Développer avec ces jeunes pousses des coopérations structurantes contribuera à renforcer les synergies entre la recherche et l’innovation technologique. Et sera bénéfique pour l’ensemble de la filière. Je suis heureux d’accompagner cette évolution, en rejoignant le CSTB’Lab qui apporte des réponses concrètes aux besoins et enjeux du bâtiment et de la ville de demain. »  Diplômé en génie énergétique et environnement (GEN), option génie des systèmes thermiques, Rémi Bouchié, 36 ans, rejoint la direction “Enveloppe, Isolation et Sols” du CSTB en 2006. Depuis 2017, il y dirige une équipe d’experts en transferts hygrothermiques des composants d’enveloppe des ouvrages. 
Il y a 5 ans et 51 jours

36 propositions pour une relance

Lire l'article]]>
Il y a 5 ans et 51 jours

Échangez en ligne avec les équipes Trespa

Trespa propose une solution en ligne pour les professionnels de la construction afin de les accompagner pendant le confinement imposé par le Covid-19... Cet article Échangez en ligne avec les équipes Trespa est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 51 jours

Radiateurs électriques Acova Zenia : un design révolutionnaire pour une nouvelle vision du sèche-serviettes

Dernier né de la collection Signature rassemblant les appareils de la marque aux designs les plus contemporains, originaux et aux fonctionnalités innovantes, le radiateur sèche-serviettes électrique Acova Zenia allie gain de place et discrétion. Conçu sous la forme d’un « meuble sèche-serviettes chauffant » avec 3 configurations d’installation, il sèche les serviettes dissimulées dans leur rangement et offre une chaleur douce et réactive dans la salle de bains par un double système de chauffage. Un concept inédit « trois-en-un » Grâce à sa conception révolutionnaire, Acova Zenia est bien plus qu’un sèche-serviettes. Au design épuré et moderne, Acova Zenia est un meuble chauffant : deux barres porte-serviettes sur la surface intérieure de la porte permettent de dissimuler les serviettes et de les maintenir à bonne température tout en chauffant la salle de bains. Solution trois-en-un élégante, il remplit alors 3 fonctions : rangement, chauffage et porte-serviettes. Un double système de chauffe pour une chaleur douce et réactive Ingénieux, Acova Zenia intègre un double système de chauffage : . un soufflant (1000 Watts) totalement intégré et invisible pour le chauffage de la salle de bains, . et une porte chauffante en verre de sécurité (225 W) à rayonnement infrarouge , qui peut s’ouvrir à droite ou à gauche suivant le modèle choisi. Pour un confort de chauffe absolu, le soufflant peut être allumé selon les besoins et assure une montée en température de plusieurs degrés en quelques minutes. Chaleur douce et réactive sont ainsi obtenues dans la pièce avec Acova Zenia. Trois configurations d’installation Caméléon, le meuble sèche-serviettes électrique Acova Zenia, aux dimensions compactes (H 100 x L 45 cm), offre 3 configurations d’installation : . en applique sur un mur, . encastré dans une cloison sur un châssis pour allier discrétion et gain de place, . intégré dans le meuble de salle de bains de la collection Sana de Burgbad (colonne de 1,76 m ou mi-colonne de 1,02 m de haut). Disponible en blanc et en noir, Acova Zenia se marie harmonieusement avec le meuble Sana de Burgbad, proposé dans plus de 70 finitions. Pratique : le pilotage au doigt et à l’œil Le réglage du chauffage et du séchage s’effectue via une interface de commande tactile intégrée sur la façade avant de la porte ou via l’application mobile Acova Connect (Bluetooth). 4 modes sont disponibles au choix : . confort : chauffage de la surface frontale, . Boost : chauffage en marche forcée grâce au soufflant, . préchauffage : seul le soufflant fonctionne pour bénéficier de serviettes agréablement préchauffées en quelques minutes à la sortie du bain ou de la douche, . séchage rapide et hygiénique des serviettes à l’aide du soufflant. http://www.acova.fr
Il y a 5 ans et 51 jours

Rémi Bouchié, nouveau Directeur du CSTB'Lab

Âgé de 36 ans, diplômé de l'Institut National des Sciences Appliquées (INSA) de Lyon, Rémi Bouchié accompagnera le développement stratégique du CSTB'Lab. Il poursuivra et pilotera notamment les réflexions et actions engagées pour renforcer les coopérations entre les jeunes pousses et le CSTB, dans un objectif de création de valeur pour le secteur du bâtiment.Une vision large de la construction, associant recherche, innovation et techniqueDiplômé en Génie Énergétique et Environnement (GEN), option Génie des Systèmes Thermiques, Rémi Bouchié rejoint la direction Enveloppe, Isolation et Sols du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) en 2006.Ingénieur Recherche et Expertise, il participe notamment à la recherche de solutions d'évaluation innovantes pour la performance énergétique des bâtiments, à l'élaboration des règles de calcul supports pour l'application de la RT 2012 (Règles Th-Bât), ainsi qu'à la réalisation de normes européennes au sein du groupe CEN TC 89.Depuis 2017, il dirige au CSTB une équipe d'experts en transferts hygrothermiques des composants d'enveloppe des ouvrages. Chargée notamment d'accompagner les entreprises dans leur parcours d'innovation, l'équipe aide ces-dernières à évaluer l'intégrabilité de leurs solutions et limiter les risques de pathologies.Ces différentes missions ont permis à Rémi Bouchié de développer une forte expertise et une vision transversale des enjeux de la construction, associant recherche, innovation et technologie. C'est en s'appuyant sur ce parcours pluridisciplinaire que Rémi Bouchié prend aujourd'hui la Direction du CSTB'Lab.Les missions de Rémi Bouchié au sein du CSTB'LabRémi Bouchié poursuivra le développement stratégique du CSTB'Lab. Il pilotera ainsi la sélection de nouvelles entreprises innovantes, travaillant sur les thématiques émergentes de la construction (économie circulaire, transition numérique, industrialisation de la rénovation thermique, etc.). L'objectif 2020 pour l'accélérateur est d'accueillir une douzaine de nouvelles start-up.Il accompagnera également les actions engagées pour renforcer les synergies entre les start-up et le CSTB, et leurs échanges avec les acteurs de la construction. En effet, au-delà de l'accompagnement transversal proposé par le CSTB'Lab', l'objectif est aujourd'hui d'évoluer vers davantage de co-développements avec les innovateurs, dans une logique de partenariats « gagnant-gagnant ». Des travaux de recherche pourront par exemple être engagés par le CSTB, dans le cadre d'une collaboration avec une start-up de l'écosystème CSTB'Lab, dans la mesure où les thématiques seraient cohérentes avec sa programmation scientifique.Ce nouveau modèle de coopération, complémentaire à l'accompagnement scientifique et technique fondamental du CSTB'Lab, constituera un nouveau levier de création de valeur pour le secteur du bâtiment, comme le souligne Rémi Bouchié :« Si l'accompagnement transversal proposé aux start-up par le CSTB'Lab les aide à développer leurs solutions et rencontrer leur marché, leur dynamisme et leurs idées sont aussi de formidables atouts pour le CSTB, pour faire progresser l'innovation et les connaissances. Développer avec ces jeunes pousses des coopérations structurantes contribuera à renforcer les synergies entre la recherche et l'innovation technologique et sera bénéfique pour l'ensemble de la filière. Je suis heureux d'accompagner cette évolution en rejoignant le CSTB'Lab qui apporte des réponses concrètes aux besoins et enjeux du bâtiment et de la ville de demain. »
Il y a 5 ans et 51 jours

Vracs de l’Estuaire ouvre une nouvelle page sur la toile pour renforcer la proximité avec ses clients

Depuis son implantation en France en 2016, Vracs de l’Estuaire, cimentier appartenant au groupe familial marocain Cimat-Cimaf, place au cœur de sa stratégie de développement, l’écoute, l’agilité et la réactivité pour offrir des solutions constructives, fiables et compétitives à ses clients. Après avoir adapté son organisation pour continuer à livrer ses clients en cette période de crise sanitaire et de confinement, Vracs de l’Estuaire renforce son écosystème digital pour rester au plus proche d’eux. La refonte du site internet et l’ouverture d’une page LinkedIn illustrent l’engagement du cimentier agile auprès de ses partenaires. Un site internet aux couleurs de la nouvelle identité visuelle Aux couleurs de sa nouvelle identité visuelle et de sa signature de marque, le site internet vracsdelestuaire.fr incarne le positionnement singulier de Vracs de l’Estuaire : « le nouveau cimentier agile », une alternative pour les acteurs du BTP en quête de souplesse. Véritable vitrine de l’entreprise, il démontre, au travers de ses différentes rubriques et du blog intitulé « notre magazine », les engagements, l’offre et l’expertise de Vracs de l’Estuaire. Les réalisations témoignent de la confiance accordée par les plus grands acteurs du BTP à ce nouveau cimentier. Une présence sur les réseaux sociaux Pour compléter la refonte de son site internet, développer sa visibilité comme marque employeur et créer une véritable communauté autour de son activité, Vracs de l’Estuaire vient d’ouvrir une page LinkedIn qui compte déjà près de 400 abonnés. Le contenu est porté par des collaborateurs de l’entreprise. Un compte Twitter complètera ce dispositif dans les prochains mois. Vracs de l’Estuaire en bref Implantée dans la zone industrialo-portuaire du Havre, l’usine de broyage de clinker de Vracs de l’Estuaire produit une gamme de ciments labélisés CE et NF destinés aux centrales à béton, aux usines de préfabrication et aux négoces de matériaux. En 24 heures, les ciments sont livrés en vrac dans un rayon de 350 km depuis le site. Pour le conditionnement en sacs de 35 kg ou 25 kg, le délai de livraison est de 5 jours au maximum. Avec ce nouvel écosystème digital et son engagement quotidien auprès des professionnels du BTP, Vracs de l’Estuaire démontre son agilité et établit une relation de proximité et de confiance avec ses actuels et futurs clients. http://www.vracsdelestuaire.fr
Il y a 5 ans et 51 jours

« Simplifions la mise en œuvre des nouveaux services urbains », exhorte François Rieussec, président de l’Union nationale des aménageurs

Dans des projets mixtes, denses et au contact de la nature, l’aménagement urbain répond à une demande sociétale, écologique et économique, plaide l’Union nationale des aménageurs (Unam). Son président François Rieussec propose de contribuer à sortir de la crise actuelle par une accélération des projets.