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Toute l'actualité du bâtiment

256874 actualités disponibles
Il y a 5 ans et 47 jours

Covid-19 : réussir et conforter la reprise d'activité dans Le Bâtiment et les Travaux Publics

Dans toute la France, les chantiers reprennent progressivement. Avec l'ensemble de la filière, il est désormais essentiel de lever les derniers freins logistiques et de rechercher ensemble les solutions économiques favorables à une reprise plus durable. Depuis plusieurs semaines, la reprise s'organise. Le guide de l'OPPBTP a permis de mettre au point les protocoles sanitaires nécessaires à la réouverture en sécurité des chantiers et la concertation entre la maitrise d'ouvrage, la maitrise d'œuvre et les entreprises pour permettre de relancer progressivement l'activité. Cependant, des freins à une reprise plus large subsistent.Lever les derniers freins logistiques sur l'amont et l'aval de la filièreD'un point de vue logistique, l'approvisionnement en masques demeure encore problématique même si la situation s'améliore grâce à la mobilisation de l'outil de production local et à des initiatives comme celle du Conseil Régional avec une dotation de 100.000 masques destinée aux entreprises du BTP de moins de 20 salariés. Les lieux de distribution seront les Fédérations Départementales du BTP, les CAPEB départementales et la Fédération Régionale des Travaux Publics. L'approvisionnement, les raccordements provisoires de chantiers, l'ouverture des déchetteries restent également des points sur lesquels la filière se mobilise. Renforcer la concertation et la solidarité économiqueLes Organisations Professionnelles du Bâtiment et des Travaux Publics appellent également à la solidarité de la maitrise d'ouvrage pour faire face aux surcoûts de chantiers liés aux nouvelles contraintes imposées par la crise sanitaire. Devant être chiffrées au cas par cas, ces augmentations correspondant au respect des nouvelles préconisations sanitaires et à la réorganisation des chantiers (distanciation sociale, nettoyage des bases vie, achat de masques, de gants, rotations des camionnettes et VUL, mobilisation supplémentaire de personnels, prolongation des frais financiers, baisse de la productivité, etc.). Les entreprises ne pourront pas les absorber seules. Il est indispensable de renforcer cette solidarité, dont font preuve nombre de maitres d'ouvrage depuis la période de confinement, à l'image notamment de la Région Auvergne-Rhône-Alpes qui a annoncé une enveloppe de 15 millions d'euros dédiée aux surcoûts sanitaires de ses chantiers en cours.Soutenir la commande publique localeEnfin, concernant les freins administratifs, deux modifications de l'ordonnance qui prévoyait un gel des autorisations d'urbanisme à l'issue de la période de confinement ont été obtenues ; mais cette évolution demeurerait insuffisante si aucune consigne n'était donnée aux services instructeurs en vue d'accélérer les délais d'instruction. La situation appelle également à la levée des arrêtés municipaux interdisant les travaux pendant la période de confinement, comme il en est apparu dans notre région. Les Organisations Professionnelles appellent au soutien des EPCI et des collectivités et à la bienveillance des citoyens afin d'éviter un retard qui pénaliserait la reprise d'activité et l'emploi local.La crainte d'un essoufflement de la commande publique locale est en effet bien réelle et pourrait se produire au plus mauvais moment. Il est nécessaire de lancer de nouveaux projets pour éviter un « trou d'air », dès la fin de l'été, qui pourrait avoir de lourdes conséquences sur la santé économique de la filière.De ce fait, les Organisations Professionnelles souhaitent que dans les communes qui ont pu élire l'ensemble de leurs conseillers municipaux, l'installation et le fonctionnement des nouveaux Conseils (élection du Maire, désignation des commissions d'appels d'offre et travaux notamment, élection des délégués communautaires) puissent très rapidement être engagés afin de permettre les décisions de travaux nécessaires aux équipements publics. Dans le même objectif, une réflexion doit rapidement s'ouvrir sur le soutien de l'Etat à l'investissement des collectivités locales.Réactiver la commande privéeLa sécurité est une priorité pour les Organisations professionnelles et les entreprises du Bâtiment et des Travaux Publics. Celles qui le pouvaient ont pris les mesures urgentes et spécifiques pour assurer les conditions sanitaires nécessaires à la reprise des travaux. Les Organisations Professionnelles demandent donc aux particuliers qui ne sont pas à risques et aux entreprises d'ouvrir leur porte aux artisans et entreprises du BTP afin qu'ils terminent les travaux initiés ou qu'ils en engagent d'autres... Il en va de la santé économique du BTP et de ses emplois.
Il y a 5 ans et 47 jours

Deuxième appel à projets d'in'li Lab, l'incubateur du logement

INNOVATIONS. Lancé en mars 2018, l'incubateur in'li Lab lance son deuxième appel à projets auprès des start-up travaillant sur des solutions innovantes pour le logement, ce lundi 4 mai. Dépôt des candidatures jusqu'au 5 juin. Détails.
Il y a 5 ans et 47 jours

La beauté du marbre chez Fiandre Architectural Surfaces

La collection Marmi Maximum de Fiandre Architectural Surfaces est une solution décorative aux performances techniques importantes. Les variations ...En savoir plus Cet article La beauté du marbre chez Fiandre Architectural Surfaces est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 5 ans et 47 jours

La pierre de Bourgogne chez Fiandre Architectural Surfaces

Pour développer ses collections, Fiandre Architectural Surfaces s’inspire souvent de la tradition architecturale et des matériaux ...En savoir plus Cet article La pierre de Bourgogne chez Fiandre Architectural Surfaces est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 5 ans et 47 jours

Toutes les solutions d'Owatrol® pour nettoyer et protéger vos bois d'extérieur

Avec sa gamme de nettoyants bois, Owatrol maitrise tous les stades. Il suffit de bien identifier l'étape nécessaire.Rappel : comprendre l'état du boisLes bois ne vieillissent pas tous de la même façon suivant leur exposition, leur finition, leur usage. Ils subissent les UV, les intempéries, l'usure des passages répétés…Certains ont des protections, d'autres pas. Suivant leur état et leur aspect, le diagnostic est différent… L'analyse est une étape cruciale !Tips pour analyser :En présence d'un bois gris et terne ayant simplement vieilli aux intempéries : il faut dégriserEn présence d'un bois noirci, encrassé : il faut déshuilerEn présence d'un bois recouvert d'une ancienne finition très filmogène, type peinture ou lasure : il faut décaper.Actions : nettoyer ou dégriser / déshuiler / décaper : explications, les solutions d'Owatrol®Nettoyer / dégriser :Le bois présente un aspect gris sale, il a en général été laissé aux intempéries sans protection ou bien avec une finition non filmogène. Il a uniquement subi le cycle de vieillissement « eau + UV + pollution », il faut dégriser, c'est l'action du NET-TROL® qui va le faire revivre en quasi instantané !Comment : Il agit sur tous les bois, sa formule en gel facilite son application et son pouvoir ultra mouillant lui permet d'agir en 15 minutes.Le plus :NET-TROL® élimine également les coulures et les traces de tanin sur certains bois (ex : red cedar).Application / 15 minutes d'action / Rinçage à l'eau / Support impeccable comme à l'origine.Déshuiler :Le bois est noirci, encrassé car il a reçu une finition huilée en amont, souvent mal adaptée (huile de lin, voire huile de vidange… !). Les huiles appliquées cuisent sous l'action des UV et avec l'eau s'incrustent pour de bon dans le bois qui noircit en profondeur. Il faut donc désencrasser pour enlever les anciennes huiles : c'est l'action du déshuileur AQUANETT® .Comment : Il rend solubles les huiles incrustées dans le support et laisse, après rinçage et neutralisation, un bois impeccable.Application / 5 minutes d'action / Rinçage à l'eau / Neutralisation / Le support est neuf.Décaper :Dans ce cas, le bois est lasuré ou peint et doit d'abord être débarrassé de ses multiples couches pour que l'on puisse à nouveau travailler dessus. Il faut donc décaper et l'action du DILUNETT® va permettre d'éliminer toutes les anciennes couches de peinture, lasure ou vernis et d'enlever les taches récalcitrantes.Comment : La composition ultra technique du DILUNETT® lui permet d'éliminer jusqu'à 8 couches de peinture. Sans solvant, sans C.O.V, non volatil et ne desséchant pas, il reste actif longtemps garantissant l'élimination totale des différents revêtements.Le plus : DILUNETT® ne se dessèche pas et reste actif longtemps ce qui garantit l'élimination totale des différents revêtements.Il est impératif de neutraliser les supports déshuilés à l'AQUANETT® et au DILUNETT® avec du NET-TROL®.Application / Action jusqu'à 45 minutes si nécessaire / Rinçage / Neutralisation.Le plus Owatrol® : Validation du test de biodégradabilité OCDE 301F : En 2017 Durieu a choisi de valider de façon officielle que ses nettoyants pour les bois extérieurs, rinçables à l'eau, ont un impact négligeable sur l'environnement. Ainsi, NET-TROL® / AQUANETT® et DILUNETT® ont chacun validé la conformité avec le test de biodégradabilité OCDE 301F (NB : ce test, une fois validé, garantit que le rejet de ces produits au moment du rinçage est sans impact négatif pour la nature).Réussir la préparation d'un bois magnifié : choisir de dégriser, déshuiler ou décaper la solution avec les indispensables d'Owatrol® : NET-TROL®, AQUANETT® et DILUNETT®Pour en savoir plus :https://www.owatrol.com/
Il y a 5 ans et 47 jours

Thermador finalise le rachat de Thermacome

Le fabricant de matériel de plomberie vient d’acquérir pour 7 M€ la société Thermacom. Par ailleurs, il a annoncé à ses actionnaires une baisse de son activité au premier trimestre en raison de la crise sanitaire.
Cimbat
Il y a 5 ans et 47 jours

Les propositions du BTP pour relancer l'activité

Dans un document commun, la FNTP et la FFB dressent une liste de propositions destinées à assurer une reprise pérenne de l'activité. Au menu : rétablissement de la chaîne d’approvisionnement et de production, soutien à l’offre et à la demande et prise en compte des surcoûts sur les contrats.
Il y a 5 ans et 47 jours

Le SERCE propose trois mesures pour réussir la transition énergétique du parc tertiaire

Parmi les recommandations et mesures concrètes déclinées dans cette étude, le SERCE considère que trois leviers sont particulièrement pertinents pour atteindre les objectifs de transition énergétique et climatique portés par la PPE et la SNBC, notamment en lien avec l'amélioration de la performance énergétique des bâtiments tertiaires.Ces leviers d'actions issus des retours d'expérience collectés auprès de ses adhérents depuis plusieurs années visent à permettre une déclinaison opérationnelle de la politique française à la hauteur de ses enjeux.1. Mesurer pour comprendre et maîtriser sa consommation énergétiqueL'étude recommande d'intégrer une obligation minimale d'équipement de suivi des consommations énergétiques qui offrira aux décideurs des outils fiables et pérennes de monitoring énergétique.Le SERCE estime que le sous-comptage des consommations énergétiques offre la possibilité d'auditer en continu les différents postes de consommation afin d'adopter une démarche d'efficacité énergétique personnalisée, agile et tangible.En associant un service d'Energy Management au matériel déployé, de nouveaux projets énergétiques verront le jour en lien avec le niveau de maturité du maître d'ouvrage sur le sujet : cartographie énergétique, qualification des actions de performance énergétique, plan d'actions…2. Proposer des démarches de rénovation énergétique assorties de garanties de performanceLa promotion du Contrat de Performance Énergétique (CPE) est plébiscitée par l'ensemble des acteurs de la filière électrique pour favoriser son recours, en particulier dans la mise en oeuvre du décret sur la rénovation des bâtiments tertiaires.En s'appuyant sur les solutions de comptage, les opérations d'amélioration de la performance énergétique des bâtiments peuvent intégrer un engagement réel et mesurable dans la durée, sous la forme d'un CPE qui peut favoriser la limitation de l'investissement initial.D'après le retour d'expérience de l'OCPE, les CPE “Travaux sur les systèmes” permettent d'atteindre en moyenne 20% d'économie d'énergie (jusqu'à 45% selon les cas) pour des montants d'investissements inférieurs à 200 € HT/m².Le SERCE appelle à la généralisation de ce type d'approche qui peut allier des garanties de performance environnementales portant notamment sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre.3. Accélérer la décentralisation du système électrique afin de pouvoir intégrer massivement les énergies renouvelables et gagner en efficacité.Si l'étude estime qu'il faut “Faciliter l'installation de solutions d'autoconsommation et de pilotage/stockage de l'énergie en levant les freins administratifs et réglementaires”, en annexe, la fiche thématique intitulée “Combiner production locale d'énergie et nouvelles mobilités” va plus loin en affirmant qu'il faut “réévaluer le seuil entre guichet et appel d'offres en cohérence avec les objectifs de la PPE afin de faciliter le déploiement de l'autoconsommation individuelle”.Très concrètement le SERCE demande l'augmentation du seuil de participation au guichet ouvert pour les installations photovoltaïques en autoconsommation en le passant de 100 à 500 kW, ce qui leur permettrait notamment de bénéficier d'un tarif d'achat pérenne sans passer par la procédure complexe des appels d'offres.En effet, les appels d'offres sont des procédures incertaines qui nécessitent d'avoir une année minimum de délai entre la phase de conception et celle de réalisation, ce qui est peu compatible avec les projets de rénovation énergétique réalisés par les entreprises du SERCE.
Il y a 5 ans et 47 jours

Décret tertiaire : l'arrêté "méthode" est paru

REGLEMENTATION. Un arrêté d'application complétant le décret sur les obligations d'économies d'énergie des bâtiments tertiaires vient de paraître au Journal officiel du 23 mai 2020. Il contient notamment des informations sur la manière de déterminer les niveaux des objectifs d'énergie finale à atteindre.
Il y a 5 ans et 47 jours

Décès d'Olivier Cantrel, DGA de Spie batignolles immobilier

DISPARITION. Le directeur général adjoint en charge du résidentiel de Spie batignolles immobilier, Olivier Cantrel, est décédé, annonce le groupe ce lundi.
Il y a 5 ans et 47 jours

Ironhand, le gant bionique de Bioservo pour assister les opérateurs

L’innovation booste la prévention en apportant des solutions pour améliorer la santé et sécurité au travail. Ce gant robotisé augmente l'endurance des compagnons et prévient les troubles musculo-squelettiques.
Il y a 5 ans et 47 jours

Le groupe Marc appelle à un «pacte de non-agression» dans les TP

D’ordinaire très discret, le groupe breton de travaux public Marc prend la parole par la voix de son directeur général Romain Lehoux pour interpeller la filière sur un nécessaire « pacte de non-agression » entre les différents acteurs.
Il y a 5 ans et 47 jours

Les géants des centres commerciaux en plein dans la crise

Les deux géants français du secteur, Unibail-Rodamco-Westfield (URW), propriétaire du Forum des Halles à Paris ou de la Part-Dieu à Lyon, et Klépierre, détenteur de Créteil Soleil, ont chacun publié mercredi leurs chiffres trimestriels.Ils détiennent chacun une centaine de grands centres commerciaux à travers plusieurs pays, avec une présence marquée en France. Klépierre est essentiellement actif en Europe alors qu'URW, seule foncière du CAC 40, a aussi un pied aux États-Unis.Pour l'heure, leurs comptes sont peu affectés par la crise du Covid-19, face à laquelle de nombreux pays, comme la France, ont imposé la fermeture de l'essentiel des magasins.Au premier trimestre, les revenus d'URW et Klépierre ont respectivement enregistré une hausse de 1,7% à 790,3 millions d'euros et une baisse de 4,7% à 252,8 millions d'euros.Mais ces évolutions sont trompeuses car le confinement a commencé mi-mars, alors que le trimestre était presque fini."Le Covid-19 n'a eu qu'un effet limité sur les revenus du groupe au premier trimestre car les loyers sont facturés et payés en avance d'un trimestre dans la plupart de l'Europe, et d'un mois aux États-Unis", a souligné URW."L'effet de la pandémie se traduira au deuxième trimestre", a prévenu le groupe, qui devait déjà gérer depuis 2018 la lourde acquisition, pour une vingtaine de milliard d'euros, du groupe Westfield.Dans ce contexte, les deux géants, dont les dirigeants renoncent par ailleurs à une partie de leurs salaires, s'abstiennent de toute prévision chiffrée sur leurs comptes.Ils veillent cependant à prendre un ton rassurant, détaillant par exemple déjà les mesures sanitaires prévues pour rouvrir leurs centres."Bien qu'il soit trop tôt pour estimer l'impact réel de la situation sur nos résultats annuels, nous restons confiants", a assuré dans un communiqué Jean-Marc Jestin, président du directoire de Klépierre, mettant en avant le faible endettement de son groupe ainsi que la "grande qualité" de ses centres.Cas par cas sur les loyers Pourtant, les perspectives des deux géants se sont encore assombries cette semaine en France, avec le discours prononcé mardi par le Premier ministre, Édouard Philippe, pour détailler la sortie du confinement à partir du 11 mai.M. Philippe a confirmé que l'ensemble des commerces devraient rouvrir, à part les bars et les restaurants, mais il a prononcé une exception de taille. Les grands centres commerciaux, soit plus de 40.000 mètres carrés, pourront rester fermés par les préfets, car ils peuvent encourager des clients à venir de loin.Or, c'est justement la stratégie des géants du secteur: se concentrer sur quelques grands centres, avec de riches animations à la clé, pour en faire des lieux de "destination" sur un large rayon.Dans l'immédiat, les grands propriétaires de centres commerciaux préfèrent retenir que la fermeture des gros sites ne sera pas systématique.La fédération du secteur, le CNCC, a ainsi promis jeudi de "comprendre les raisonnements et modes de calcul retenus puis d'apporter les réponses attendues par les préfets".Mais un autre écueil continue à menacer les comptes du secteur. Les fédérations de commerçants insistent pour annuler en masse leurs loyers, y voyant une question de survie.Le gouvernement a obtenu des grands propriétaires qu'ils annulent trois mois de loyers pour les plus petites enseignes, celles de moins de dix salariés, mais c'est loin de satisfaire le secteur du commerce.De leur côté, les propriétaires de centres commerciaux soulignent qu'une annulation massive mettrait en danger leur propre modèle.Le secteur se trouve ainsi face à un paradoxe. S'il rassure sur sa solidité économique, il affaiblit aussi son principal argument pour refuser d'annuler plus de loyers, au moment où l'exécutif a nommé une médiatrice pour calmer la polémique."Klépierre a toujours attaché une importance particulière aux relations d'affaires durables, équilibrées et de long terme qu'il entretient avec les enseignes", promet le groupe français.Il explique étudier au cas par cas les situations de ses locataires, de même qu'URW qui fait plus explicitement état "d'allègement de loyers" pour certaines enseignes, en particulier dans la restauration.
Il y a 5 ans et 47 jours

Wilo-Yonos Maxo puissance éprouvée, régulation et rendement élevé

Puissance et régulationLe circulateur à rotor noyé Wilo-Yonos MAXO est déjà disponible en tant que version simple et double avec un moteur d'une puissance P2=1300 watts. « Grâce à la technologie haut rendement intégrée, les systèmes de chauffage dans les immeubles et les bâtiments fonctionnels de grande taille fonctionnent en économisant jusqu'à 80% de courant de plus qu'avec une pompe non régulée » déclare à ce sujet le responsable de produits Wilo Michael Dieckmann.Wilo étoffe cette gamme circulateurs Wilo-Yonos MAXO avec deux nouvelles références en DN 32 : Wilo-Yonos MAXO 32/0,5-10 PN6/10 (code 2210113) et Wilo-Yonos MAXO 32/0,5-11 PN6/10 (code 2210114). Ces deux nouvelles références sont présentes dans le Wilo-Select 4 et le catalogue en ligne Wilo.« Wilo propose bien plus que des pompes »Wilo va encore plus loin : en plus de produits de haute performance et de haute qualité, le fournisseur de pompes et de systèmes de pompage propose également des services adaptés aux utilisateurs. « Notre assistance s'étend bien au-delà des conseils personnalisés par nos professionnels avant, pendant la planification et après l'installation », affirme Laurent Mennetrier, directeur de la Sesem Division Services Wilo France. « Dans plus de 60 pays, plus de 2.500 techniciens et partenaires Wilo se déplacent sur site et encadrent le service personnalisé à la clientèle. » Wilo accompagne ses clients lors de la mise en service des pompes, notamment par un contrôle de l'installation, une optimisation des réglages et un test de fonctionnement obligatoire. Les forfaits de maintenance personnalisés font également partie du service Wilo, tout comme la réparation sur site ou l'assistance mondiale avec plus de 90 % des pièces de rechange d'origine dans un délai de 24 heures. Wilo franchit également un cap supplémentaire en partageant son savoir-faire technique : « Nos formations sont assurées par des collaborateurs qualifiés et expérimentés et s'adaptent au plus près des besoins de nos clients », souligne Laurent. « Les formations peuvent être effectuées sur site et permettent ainsi non seulement l'échange avec nos partenaires mais aussi entre les participants eux-mêmes. »Performances maximales avec une technologie de pompe fiable« La Wilo-Yonos MAXO garantit également des économies significatives au niveau de la facture d'électricité annuelle, grâce à sa technique à haut rendement », déclare Dieckmann. Cela est rendu possible grâce à une régulation automatique qui adapte en permanence la puissance de la pompe à la demande de chaleur actuelle. « La Yonos MAXO peut ainsi être utilisée de manière extrêmement rentable. » Simultanément, elle est également en mesure de fournir des puissances maximales à tout moment et de manière fiable grâce à sa technique éprouvée et aux puissances du moteur spécifiques à l'application : « Dans ce segment, la Wilo-Yonos MAXO est ainsi également une pompe qui convient parfaitement pour le remplacement de pompes moins efficaces, techniquement dépassées, et moins performantes avec un réglage facile sur trois vitesses» selon Dieckmann.Installation facile grâce à une construction compacteParallèlement, en interaction avec les installations de chauffage, la Wilo-Yonos MAXO apporte de nombreux avantages : « Dès son installation, cette pompe standard se démarque par sa construction particulièrement compacte permettant un montage peu encombrant », explique Dieckmann. « Nous avons également adapté ce modèle au plus près aux besoins et exigences de nos clients. » Nous avons ainsi abouti à des caractéristiques qui rendent l'installation et le fonctionnement de la Yonos MAXO particulièrement confortables : La fiche Wilo amovible permet un branchement électrique rapide et confortable tandis que la commande de la pompe est facilitée grâce à la « technologie du bouton rouge » éprouvée. Le réglage de la hauteur manométrique de consigne à l'aide d'un bouton rotatif s'avère des plus conviviales pour un artisan spécialisé. « De cette manière, les consommateurs finals peuvent se fier à une adaptation individuelle et particulièrement efficace à leur propre installation de chauffage » explique Dieckmann. Pour ce qui est des types de régulation, les pompes Wilo proposent une pression différentielle constante pour les chauffages par le sol ainsi qu'une pression différentielle variable pour les chauffages à radiateurs. Equipement fonctionnel avec écran à LED« La lisibilité et l'efficacité ont été les maîtres mots, et ce également lors de la conception de l'écran à LED. La hauteur manométrique de consigne, les vitesses et les codes de défaut sont affichés à l'utilisateur, des caractéristiques de sécurité améliorent la fiabilité et la longévité de l'installation : le disjoncteur moteur intégré en série protège la pompe, de façon fiable, contre la surchauffe, la surintensité et le blocage » selon Dieckmann. « La disponibilité de l'installation est ainsi également garantie par une fonction de report de défauts centralisé. » Les coquilles d'isolation thermique disponibles en option (sur les pompes simples) minimisent les pertes de chaleur par le corps de la pompe et améliorent ainsi considérablement le rendement. « Nous nous sommes donné comme objectif de « proposer plus que des pompes » explique Dieckmann. « L'orientation sur les exigences de nos clients dans le cadre du développement et de la mise en œuvre est ainsi un élément central. »
Il y a 5 ans et 47 jours

Voici le protocole national de déconfinement pour toutes les entreprises

Le ministère du Travail a publié un protocole national de déconfinement pour aider et accompagner les entreprises et les associations, quelles que soient leur taille, leur activité et leur situation géographique, à reprendre leur activité tout en assurant la protection de la santé de leurs salariés grâce à des règles universelles. Ce protocole vient en complément des 48 guides métiers déjà disponibles sur le site du ministère du Travail et élaborés en partenariat avec les fédérations professionnelles et les partenaires sociaux. De nouveaux guides sont par à venir, à la demande des partenaires sociaux, dans les jours qui viennent.Le protocole est divisé en 7 parties distinctes et apportent des précisions relatives :• aux recommandations en termes de jauge par espace ouvert ;• à la gestion des flux ;• aux équipements de protection individuelle ;• aux tests de dépistage ;• au protocole de prise en charge d’une personne symptomatique et de ses contacts rapprochés ;• à la prise de température ;• au nettoyage et à désinfection des locaux. Muriel Pénicaud, ministre du Travail « Nous devons accompagner toutes les entreprises pour que l’activité reprenne dans des conditions garantissant la santé et la sécurité des salariés. C’est une condition nécessaire au retour au travail à partir du 11 mai même si le télétravail doit rester la norme pour toutes les activités qui le permettent pour les prochaines semaines ». https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/protocole-national-de-deconfinement.pdf
Il y a 5 ans et 47 jours

Les centres de formation continue vont de nouveau accueillir des stagiaires

À compter du 11 mai 2020, les centres de formation sont susceptibles d’accueillir à nouveau dans leurs centres des stagiaires en formation continue (salariés, indépendants, demandeurs d’emploi). Ils devront nécessairement respecter le protocole national de déconfinement. Un guide ad hoc à destination des organismes de formation, travaillé avec la profession et validé par le ministère du travail, complétera le protocole national et sera publié demain mardi 5 mai. Pour Muriel Pénicaud « le développement des compétences est plus que jamais un élément déterminant pour le développement économique des entreprises et l’emploi des salariés. Il est essentiel que les organismes de formation reprennent leur activité, en respectant les mesures sanitaires, à partir du 11 mai 2020 ». La ministre du Travail salue, par ailleurs, la réactivité des organismes de formation qui ont su développer des formations à distance pendant toute la période de confinement. Il est essentiel qu’elles continuent à le faire.
Il y a 5 ans et 47 jours

Réussir la reprise en Auvergne-Rhône-Alpes

En Auvergne-Rhône-Alpes, les chantiers reprennent progressivement. Avec l’ensemble de la filière, il est désormais essentiel de lever les derniers freins logistiques et de rechercher ensemble les solutions économiques favorables à une reprise plus durable. Lever les derniers freins logistiques sur l’amont et l’aval de la filièreD’un point de vue logistique, l’approvisionnement en masques demeure encore problématique même si la situation s’améliore grâce à la mobilisation de l’outil de production local et à des initiatives comme celle du Conseil Régional avec une dotation de 100 000 masques destinée aux entreprises du BTP de moins de 20 salariés. Les lieux de distribution seront les Fédérations Départementales du BTP, les CAPEB départementales et la Fédération Régionale des Travaux Publics. L’approvisionnement, les raccordements provisoires de chantiers, l’ouverture des déchetteries restent également des points sur lesquels la filière se mobilise. Renforcer la concertation et la solidarité économiqueLes Organisations Professionnelles du Bâtiment et des Travaux Publics appellent également à la solidarité de la maitrise d’ouvrage pour faire face aux surcoûts de chantiers liés aux nouvelles contraintes imposées par la crise sanitaire. Devant être chiffrées au cas par cas, ces augmentations correspondant au respect des nouvelles préconisations sanitaires et à la réorganisation des chantiers (distanciation sociale, nettoyage des bases vie, achat de masques, de gants, rotations des camionnettes et VUL, mobilisation supplémentaire de personnels, prolongation des frais financiers, baisse de la productivité, etc.). Les entreprises ne pourront pas les absorber seules. Il est indispensable de renforcer cette solidarité, dont font preuve nombre de maitres d’ouvrage depuis la période de confinement, à l’image notamment de la Région Auvergne-Rhône-Alpes qui a annoncé une enveloppe de 15 millions d’euros dédiée aux surcoûts sanitaires de ses chantiers en cours. Soutenir la commande publique localeEnfin, concernant les freins administratifs, deux modifications de l’ordonnance qui prévoyait un gel des autorisations d’urbanisme à l’issue de la période de confinement ont été obtenues ; mais cette évolution demeurerait insuffisante si aucune consigne n’était donnée aux services instructeurs en vue d’accélérer les délais d’instruction. La situation appelle également à la levée des arrêtés municipaux interdisant les travaux pendant la période de confinement, comme il en est apparu dans notre région. Les Organisations Professionnelles appellent au soutien des EPCI et des collectivités et à la bienveillance des citoyens afin d’éviter un retard qui pénaliserait la reprise d’activité et l’emploi local.La crainte d’un essoufflement de la commande publique locale est en effet bien réelle et pourrait se produire au plus mauvais moment. Il est nécessaire de lancer de nouveaux projets pour éviter un « trou d’air », dès la fin de l’été, qui pourrait avoir de lourdes conséquences sur la santé économique de la filière.De ce fait, les Organisations Professionnelles souhaitent que dans les communes qui ont pu élire l’ensemble de leurs conseillers municipaux, l’installation et le fonctionnement des nouveaux Conseils (élection du Maire, désignation des commissions d’appels d’offre et travaux notamment, élection des délégués communautaires) puissent très rapidement être engagés afin de permettre les décisions de travaux nécessaires aux équipements publics. Dans le même objectif, une réflexion doit rapidement s’ouvrir sur le soutien de l’Etat à l’investissement des collectivités locales. Réactiver la commande privéeLes Organisations Professionnelles demandent aux particuliers qui ne sont pas à risques et aux entreprises d’ouvrir leur porte aux artisans et entreprises du BTP afin qu’ils terminent les travaux initiés ou qu’ils en engagent d’autres… Il en va de la santé économique du BTP et de ses emplois.
GDA
Il y a 5 ans et 47 jours

36 propositions de l’UNSFA pour relancer l’activité

L’UNSFA dévoilait, le 30 avril 2020, 36 propositions pour la reprise d’activité de la filière architecture. Un plan de relance ambitieux articulé autour de.. Cet article 36 propositions de l’UNSFA pour relancer l’activité est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 47 jours

Le géant français des bureaux s'abstient de donner toute prévision

Le groupe immobilier Gecina, géant français des bureaux, a signé une hausse de ses revenus au premier trimestre, s'abstenant de donner toute prévision face aux incertitudes liées à la crise du coronavirus.
Il y a 5 ans et 47 jours

Les Offices Publics de l’Habitat préparent la relance

Pour la Fédération nationale des Offices Publics de l’Habitat , la crise sanitaire actuelle est inédite et met davantage en avant les inégalités sociales. Elle rend visible et palpable, dans l’espace public et dans l’opinion, les difficultés quotidiennes que rencontrent plusieurs millions de concitoyens, la fragilité des services publics mais aussi la mobilisation massive de ceux qui les animent, ainsi que les faiblesses d’un modèle socio-économique. La crise sanitaire a le mérite de mettre en lumière les progrès qu’il reste à accomplir (personnes sans logement, logements insalubres ou surpeuplés…) pour que le droit au logement digne soit effectif pour tous. Deux axes principaux sont à explorer : aboutir à une relance socialement juste, et faire que cette relance irrigue tous les territoires en favorisant la transition écologique et la qualité des logements. Cette dynamique positive devra être accompagnée par l’État, garant de la solidarité nationale en lien avec les collectivités, garantes de la mise en œuvre concrète des politiques de l’habitat. Une relance socialement justePour répondre à cet axe, la FOPH propose différentes actions : la revalorisation de l’APL au-delà de l’inflation ;l’abondement par le budget de l’État des FSL départementaux ou métropolitains les plus sollicités ;la suspension des expulsions pour dette de loyers jusqu’au printemps 2021 ;l’accompagnement individualisé de chaque locataire en difficulté économique et sociale ;la reconnaissance du logement social comme un bien de première nécessité en lui appliquant la TVA à 5,5% sur tous les investissements, soit un gain de 4.000 à 7.000 euros par logement construit. Ce sont ces fonds propres supplémentaires qui dans un premier temps couvriront les surcoûts liés à la crise sanitaire et qui favoriseront une reprise rapide des chantiers, pour ensuite permettre d’accroître les investissements. Le coût estimé pour les finances publiques s’élève à 250 millions par an pour les PLUS, 150 millions pour les PLS. Une relance qui passe par la reprise des chantiersDepuis quelques jours, les chantiers ont repris progressivement. Pour réussir la relance, il est nécessaire de préserver les agents économiques privés et publics. Construire et réhabiliter permettra de contribuer à préserver les PME du bâtiment, présentent sur de nombreux territoires : 94% des communes comptent au moins une de ces entreprises ou artisans. Il sera également nécessaire de le faire plus massivement pour répondre aux besoins quantitatifs de logements et en proposant des logements aux normes environnementales élevées. De nombreux offices devront aussi rénover des logements pour en accroître les qualités de confort et de performances énergétiques. Pour la FOPH, la suppression de la baisse des APL payée par les loyers des locataires serait une mesure simple pour permettre aux HLM de récupérer immédiatement 6% d’autofinancement, soit pour les offices environ 600 millions d’euros, et pour conforter l’État dans son rôle de garant de la solidarité nationale.Cependant, d’autres mesures sont proposées qui évitent le recours à l’endettement, un endettement qui a beaucoup crû avec les mesures « dites » d’accompagnement de la RLS. Parmi les nouvelles mesures, sont attendues: un soutien financier renforcé sous forme de subvention aux projets portés dans le cadre de l’ANRU pour accroître le nombre de reconstructions, de réhabilitations lourdes et les restructurations du patrimoine,une augmentation du nombre de logements réhabilités pour accélérer leur amélioration thermique et leur qualité d’usage. Pour les offices, une première étude issue des mémentos prévisionnels (outils de recensement des PSP des offices) montre que les offices pourraient accroître de 50% le nombre de logements réhabilités chaque année (50 000 en moyenne par an pour un montant moyen au logement de 23 000 euros entre 2014 et 2018) et donc atteindre 75 000 logements par an à partir de 2021/2022, si entre 150 millions et 200 millions de subventions supplémentaires peuvent être injectées chaque année,plus spécifiquement pour les offices, autoriser les collectivités locales à souscrire des titres participatifs de leur office pour accroître leurs investissements au bénéfice des habitants de ces mêmes collectivités. Une relance qui passe par des investissementsChaque année, les Offices Publics de l’Habitat lancent en moyenne 50 000 ordres de service pour des interventions de plus de 5 000 euros par logement. Le coût moyen de ces interventions est de 22,6K€ par logement, soit un engagement d’investissement moyen de 1,1 milliard par an. Plus de 220 000 ordres de services sont également lancés pour des interventions plus légères (moins de 1 200 euros par logement en moyenne), pour un engagement d’investissement moyen de 260millions d’euros. L’investissement total engagé atteint ainsi en moyenne 1,4 milliard par an.
Il y a 5 ans et 47 jours

Un nouveau Directeur Général pour les Menuiseries Bieber

Homme de talent, ce jeune passionné d'œnologie est reconnu pour sa gestion de sites de production. Il est apprécié pour sa connaissance du métier du bois et du paysage industriel.Très pragmatique, Gaetano Casa possède des capacités managériales indéniables. Esprit d'équipe, fierté, confiance et action sont ses leitmotiv pour fédérer ses collaborateurs autour du projet d'entreprise.
Il y a 5 ans et 47 jours

Confiné.e.s : KAAN Architecten

Face au confinement imposé à tous pour contrer la propagation du virus Covid-19, nombre d’architectes ont ...En savoir plus Cet article Confiné.e.s : KAAN Architecten est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 5 ans et 47 jours

Icade annonce une baisse de 10% de son C.A. au 1er trimestre, déjà affecté par le Covid-19

"Les secteurs de l'immobilier et du bâtiment connaissent des perturbations dont certaines ont impacté notre activité de promotion dès le premier trimestre", a indiqué le groupe dans un communiqué.L'activité de promotion est en recul de 31,9%, à 101,1 millions d'euros."Après un début d'année marqué par une dynamique commerciale positive, Icade Promotion a constaté depuis mi-mars, un arrêt de la quasi-totalité de ses chantiers et une baisse très significative de la commercialisation et des ventes", a ajouté le groupe.Icade, à la fois actif comme foncière et promoteur, avait suspendu le 23 mars ses objectifs 2020.Les revenus locatifs de ses foncières ont progressé de 7,8%, à 169 millions d'euros.Concernant le renoncement à un trimestre de loyers des petites entreprises à l'arrêt à cause du coronavirus, sur injonction du gouvernement, Icade a indiqué que ces TPE "représentent moins de 2% des revenus locatifs de la Foncière Tertiaire" et s'attend à une perte correspondante "de l'ordre de 2,2 millions d'euros".
Il y a 5 ans et 47 jours

Zoom sur : Bleu Gris

Créée en 2014 par France Bittel et Olivier Chanard, l’agence d’architecture d’intérieur Bleu Gris séduit professionnels et particuliers avec ses intérieurs créatifs. Zoom sur un duo de choc. Après des études de design d’espace et de génie civil, France Bittel a fait ses armes au sein de plusieurs agences d’architecture avant de lancer sa propre société, Atelier Bittel France, en 2008. Olivier Chanard a suivi des études de commerce, puis a dirigé un cabinet de courtage. En 2014, très peu de temps après leur rencontre dans le sud de la France, France Bittel et Olivier Chanard décident de mettre à profit leur complémentarité et fondent l’agence d’architecture d’intérieur Bleu Gris.Des chantiers résidentiels aux projets commerciaux, le duo pense toujours les intérieurs dans leur globalité et répond avec des décors sur-mesure à leurs clients. France Bittel est en charge de la conception des intérieurs, quand Oliver Chanard s’occupe du suivi des projets. L’agence livre des chantiers dans le sud de la France, principalement à Nice. Parmi les projets niçois les plus emblématiques de Bleu Gris figurent les restaurants Da Giulia et Z, et le salon de coiffure One Love Labo. Pour la trattoria italienne Da Giulia, le duo multiplie les références à l’Italie et sa riviera en associant des matériaux organiques et minéraux – le plafond végétalisé, le sol en terrazzo – avec des objets intemporels – des paniers tressés à la main, une vaisselle en céramique, les chaises en chêne Slab signées Tom Dixon. À l’instar du Da Giulia, le restaurant Z est un voyage en Méditerranée. Le tandem marie ici des éléments d’architecture traditionnels réinterprétés dans un style contemporain avec des objets chinés disposés dans des niches irrégulières. L’intérieur du salon de coiffure One Love Labo, quant à lui, convoque le kitsch des sixties et les codes de l’architecture industrielle. Du mobilier en inox brossé aux teintes roses poudré et neo mint, rien n’est laissé au hasard. S’il s’illustre aujourd’hui par ses projets commerciaux, le duo Bittel-Chanard a aussi relevé le défi d’ouvrir une boutique de décoration. Pour sa toute première adresse niçoise, Bleu Gris met à la vente des pièces de mobilier et des objets design sélectionnés avec passion. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Bleu Gris. Photographies : © Bleu Gris Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 47 jours

Martin Bouygues renonce à un quart de sa rémunération

Martin Bouygues, le PDG du géant français du BTP et des télécoms, a renoncé à un quart de son salaire de 2020 face à la crise économique du coronavirus.
Il y a 5 ans et 47 jours

Contrat de 100 millions d'euros pour Bouygues en Allemagne

Le groupe de BTP français Bouygues a obtenu un contrat de 100 millions d'euros pour la modernisation de la centrale de production d'énergie d'InfraLeuna sur le complexe chimique de Leuna en Allemagne.
Il y a 5 ans et 47 jours

Covid-19 et chantiers français, au 2 mai

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Il y a 5 ans et 47 jours

Vinci sauve son trimestre face au virus, grâce à l'international

Vinci a réalisé un chiffre d'affaires stable au premier trimestre, ses activités internationales lui évitant pour l'heure une baisse de ses revenus qu'il juge néanmoins inévitable cette année .
Il y a 5 ans et 47 jours

Covid-19 : La profession publie un Guide de bonnes pratiques

La Fib et l’UNPG publient chacune leur” Guide de bonnes pratiques pour assurer la santé et la sécurité des salariés”. [©Fib] [©UNPG] Laissant envisager une reprise de l’activité dans le BTP, toute la profession se moblise. Et publie le Guide de bonnes pratiques pour assurer la santé et la sécurité des salariés. Dès le début du confinement, l’OPPBTP proposait le Guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction en période d’épidémie de Covid-19. C’est au tour de la Fédération de l’industrie du béton (Fib) et de l’Union nationale des producteurs de granulats (UNPG) de lancer leur Guide de bonnes pratiques pour assurer la santé et la sécurité des salariés. Avec chacun des spécificités liées à leur secteur de prédilection. Le guide de la Fib La Fib, tout comme l’UNPG, sont très mobilisées depuis le début de l’épidémie du Covid-19. Ceci,pour être à l’écoute des entreprises de leur secteur. Ainsi que pour les accompagner au plus près dans la gestion de cette crise sans précédent. Afin d’adapter la mise en œuvre des mesures de précaution aux spécificités des activités de l’industrie du béton, la Fib a participé à l’élaboration de cet ouvrage. Ceci, dans le cadre de la branche “Industries et carrières et matériaux de la construction”. Le Guide de bonnes pratiques pour assurer la santé et la sécurité des salariés présente un “tronc commun” des recommandations sanitaires à appliquer pendant la période de l’épidémie. Il est complété ensuite par d’autres plus spécifiques au secteur de l’industrie du béton. Ces recommandations ont pour vocation de présenter les informations sanitaires diffusées par les autorités publiques. L’objectif est d’aider les entreprises de la préfabrication bétonà mettre en place les mesures d’hygiène et de distanciation sociale, dites “barrières”.  Le guide de l’UNPG Le Guide de bonnes pratiques pour assurer la santé et la sécurité des salariés de l’UNPG s’inscrit dans la même logique. Il compile les recommandations concernant les exploitations de carrières, les ateliers de transformation de la pierre de taille. Ainsi que les plates-formes de recyclage et lors du chargement des camions. L’UNPG aide ainsi l’ensemble de ses adhérents à redémarrer leur activité, avec un soutien tant au niveau national, que régional. Ce guide part du général comme celui de la Fib avec un rappel des mesures et dispositions générales. Et énonce ensuite des recommandations particulières aux activités des producteurs de granulats (UNPG), aux entreprises de valorisation (Unev) et aux industries de roches ornementales et de construction (SNROC). 
Il y a 5 ans et 47 jours

Maison ultra-contemporaine avec des lignes épurées, de larges ouvertures et une prouesse technique

On découvre, derrière des murs de clôture en pierres dorées, une maison aux lignes élancées, aux volumes cubiques avec 2 étages superposés en porte-à-faux, et aux façades totalement vitrées. A l'intérieur, une décoration élégante et chaleureuse, une lumière éclatante, des volumes généreux où l'intérieur et l'extérieur se confondent grâce aux baies vitrées toute hauteur.Caractéristiques techniquesMaison ultra-contemporaine Surface habitable : environ 290 m² de surface habitable. 5 chambres, salle d'eau dans chaque chambre, dont une suite parentale au rez-de-chaussée avec salle de bain et dressing.Conception bioclimatique : forme compacte de la maison ; orientation plein sud, peu d'ouvertures et espaces tampons au nord ; pièces à vivre au sud ; baies vitrées toute hauteur sur toute la façade sud afin de capter au maximum la chaleur et la lumière naturelle (chaleur passive), débord de toiture calculé pour éviter la surchauffe en été et laisser pénétrer le soleil en hiver pour une chaleur passive.Structure : Béton + isolation intérieureToiture : Toiture terrasse entièrement végétaliséeMenuiseries : Aluminium, double vitrage 8 / 16 / 4 mm remplissage Argon, faible émissivité, rupteurs de ponts thermiquesChauffage : aérothermie (PAC) air/eau Daikin, chauffage au sol, production d'eau chaude sanitaire intégré système de chauffage principal de la maison.Ventilation : double flux
Il y a 5 ans et 47 jours

"Intermat est un rendez-vous tourné vers l'avenir", Isabelle Alfano

INTERVIEW. La prochaine édition d'Intermat doit se tenir dans un an, du 19 au 24 avril 2021. Malgré la crise actuelle liée à l'épidémie de covid19, la directrice du salon, Isabelle Alfano, n'est pas inquiète : la préparation de l'événement se déroule sans accroc, et la mise en place de plusieurs nouveautés s'organise.
Il y a 5 ans et 47 jours

Dossier : 6 films d'architecture à voir d'urgence !

Ouvrages iconiques, égos gonflés à bloc, critiques et émotions, les angles et sujets des films d’architecture ne manquent pas. Et alors que nous sommes tous coincés à la maison, pourquoi ne pas en profiter pour accroître sa culture en la matière ? Un temps propice à la diffusion de grands reportages d’architecture dont la rédaction de Muuuz ne cesse de se délecter. Du touchant Esquisses de Frank Gehry à la très instructive série « Architectures » d’ARTE en passant par l’OVNI The Competition, retrouvez des maintenant notre sélection de six films à voir et revoir. Sydney Pollack, Esquisses de Frank Gehry, 2006 Connu pour avoir réalisé le film Out of Africa en 1985, l’acteur et cinéaste américain Sydney Pollack réalise son premier documentaire et son dernier film en 2006 avec Esquisses de Frank Gehry [Sketches of Frank Gehry]. Alors que Sydney Pollack n’est pas spécialisé en documentaire ni en architecture, le très célèbre architecte Frank Gehry confie à son ami la réalisation d’un documentaire sur son travail. Ce documentaire rend bien compte du processus de création et de l’approche architecturale de Frank Gehry, mais les entretiens entre les deux amis, qui ponctuent le film, témoignent de la partialité du réalisateur. . Kaspar Astrup Schröder, Big Time, dans la tête de Bjarke Ingels, 2017Le documentaire Big Time, dans la tête de Bjarke Ingels réalisé par le Danois Kaspar Astrup Schröder dresse le portrait intime de l’architecte danois Bjarke Ingels, surnommé Big. Résultat de sept années d’enquête, le film retrace les péripéties professionnelles et les états d’âme de ce génie de l’architecture contemporaine. Bien que le documentaire aux allures de biopic ait suscité des réactions controversées à sa sortie, il a au moins le mérite de nous plonger véritablement « dans la tête de Bjarke Ingels ». . Gilles Coudert, L'Esprit Le Corbusier, 2018Réalisé par le cinéaste Gilles Coudert et raconté par l’acteur Charles Berling, L’Esprit Le Corbusier réunit des témoignages de plusieurs acteurs du monde de l’art et le récit de l’adolescence du réalisateur à Firminy. Ce documentaire singulier vaut pour son approche sensible, car il invite à découvrir Le Corbusier à travers des points de vue critiques divers. Il propose ainsi d’appréhender ce qui se joue dans les édifices mêmes de l’architecte suisse. . Angel Borrego Cubero, The Competition, 2008Le documentaire réalisé par l’architecte madrilène Angel Borrego Cubero a tout du drame contemporain. Mettant en scène les plus grandes vedettes de la profession dans un combat acharné, le reportage suit de près le concours de l’élaboration du Musée national d’Andorre. Charrettes, bataille d’égo et projets tous plus fous les uns que les autres, tel est le beau programme proposé par Cubero. Un film introuvable que la rédaction de Muuuz se fait un plaisir de vous résumer. .ARTE, La collection « Architectures »Proposée par le duo Richard Copans et Stan Neumann, la collection « Architectures » retrace l’Histoire de l’Architecture à travers des films de 26 minutes, tous consacrés à un bâtiment iconique allant de l’Antiquité jusqu’aux créations contemporaines. Diffusés sur Arte, ces mini-reportages décortiquent et vulgarisent la conception d’un ouvrage phare architectural, des « fondations jusqu’aux couvertures ». Une série incontournable de la discipline à retrouver en 9 volumes qui promet de nous faire voyager en ces temps de confinement. . Jean-Luc Godard, Opération Béton, 1955Axé sur la phase béton de la construction du Barrage de la Grande-Dixence, le documentaire signé Jean-Luc Godard décline tous les codes qui ont fait la renommé du grand cinéaste : modernité brute, poésie, musicalité et plans inédits. De quoi accroître sa culture architecturale et cinématographique d’une seule traite ! . La Rédaction
Il y a 5 ans et 47 jours

Relance mondiale : la Francophonie plaide pour la biodiversité

Du Québec à la Côte-d’Ivoire en passant par la France, « tous les accents de la Francophonie » s’accordent pour défendre la place de la biodiversité dans la relance mondiale, relève Sébastien Treyer, directeur général de l’institut pour le développement durable et des relations internationales. 800 webinaristes ont réfléchi aux moyens de maintenir le cap d’une reconstruction du monde qui passe par la restauration des écosystèmes, le 30 avril à l’initiative de cette organisation.
Il y a 5 ans et 47 jours

[Ebook] Maison Organique ou comment construire un éco-refuge par Elodie LE GOFF

Construire une maison en respectant la nature et en limitant au minimum l’utilisation des ressources semble de nos jours une gageure. Pourtant, Elodie Le Goff dans son livre « Maison Organique » montre les possibilités offertes par ce type de construction qui respecte les principes de ce qui peut être considéré comme une éco-construction. Une habitation qui […]
Il y a 5 ans et 47 jours

Bast: "Nous craignons un gros rush avant l'été, quand tout le monde voudra finir son chantier"

Télétravail, chômage partiel, poursuite des études, reprise ou arrêt des chantiers. L'organisation des architectes est mise à rude épreuve par le confinement imposé pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Pourtant, dans les agences -ou plutôt hors les agences-, les échanges entre associés, […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 50 jours

Après le déconfinement, tous à vélo ?

Avec le confinement, le trafic automobile s'est réduit comme peau de chagrin. Bogota, Berlin, Oakland, New York et d'autres en ont profité pour aménager des pistes cyclables provisoires, fermer des axes au trafic motorisé non résidentiel ou encourager leurs habitants à se déplacer en petite reine pour respecter la distanciation sociale.Plusieurs agglomérations françaises veulent suivre leur exemple pour l'après-déconfinement."Les gens vont avoir psychologiquement du mal à s'agglutiner dans les trams, bus ou métros" par crainte de transmission du virus, relève Pierre Serne, président du Club des villes cyclables, une association de collectivités locales qui promeut l'usage du vélo.Le recours à la voiture individuelle serait une mauvaise solution, créant une congestion des villes et relançant la pollution atmosphérique.La pollution aux particules fines, issue notamment du trafic routier, augmente la mortalité liée au coronavirus, selon des chercheurs de l'université Harvard (États-Unis). D'autres se demandent si ces particules peuvent transporter le virus.Espaces piétons et pistes cyclablesEn région parisienne, où l'usage du vélo a bondi depuis la grève qui a paralysé les transports publics fin 2019, il serait possible "de passer de 400.000 à 800.000" personnes à vélo par jour, estime la présidente de la région Valérie Pécresse.Pour y parvenir, elle travaille "avec le RER-vélo", un collectif d'associations qui a imaginé neuf lignes cyclables, jusqu'à Mantes-la-Jolie ou Melun, des villes situées à 50 km de la capitale. L'idée est d'"expertiser tout ce qu'on peut faire, très rapidement", explique Mme Pécresse.Paris, qui a déjà multiplié les pistes cyclables, compte "favoriser les déplacements domicile-travail" à vélo après le déconfinement, indique l'adjoint à la mairie en charge des transports, Christophe Najdovski.Cela passera par "des aménagements légers, peu coûteux, rapides à mettre en oeuvre, sécurisés et réversibles" sur la chaussée d'habitude réservée aux voitures et aux deux-roues motorisés, poursuit-il.La métropole de Lyon (est) veut aménager "de nouveaux espaces piétons et de nouvelles pistes cyclables" avec des "modulations possibles en fonction des horaires", dit David Kimelfeld, président de la métropole.Grenoble (est), Montpellier (sud) ou Rennes (ouest) prévoient aussi d'accélérer leurs plans vélo.Concrètement, le centre d'études Cerema suggère de "réduire le nombre de voies motorisées", de quatre à deux par exemple, d'"élargir les aménagements cyclables existants" et de "modifier le plan de circulation".L'enjeu ne concerne pas que les centres-villes mais aussi "des voiries plus interurbaines ou périurbaines", souligne Pierre Serne, qui prend l'exemple d'hôpitaux excentrés où des soignants vont travailler à vélo.Pour la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB), il est primordial d'installer ces pistes cyclables provisoires sur des axes entiers, pas seulement des tronçons isolés, de les accompagner de parkings à vélo provisoires et d'en installer qui suivent le tracé de lignes de métro."Il faut vraiment sécuriser les infrastructures" pour que les cyclistes se sentent en sécurité, insiste Olivier Schneider, président de la FUB, et pas seulement avec un simple marquage au sol.Réparer les vieux vélosUn autre enjeu est d'équiper les gens en vélos. En plus des primes existantes pour acheter des vélos électriques et des vélos cargo, la FUB défend l'idée d'un chèque de 100 euros pour "financer la remise en état de vélos" qui sommeillent aujourd'hui dans des caves ou de bourses à vélos d'occasion, dans le respect des gestes barrière.Pourquoi ne pas rendre gratuits les systèmes de vélo en libre-service "et les étendre encore plus", suggère Joël Hazan, expert au Boston Consulting Group (BCG), pour qui le maintien du télétravail fait également partie de la solution.En attendant, les déplacements à vélo sont autorisés pendant le confinement, sauf pour du sport, rappelle le président de la FUB. Il demande aux préfets qui ont fermé des pistes cyclables pendant le confinement de les rouvrir.
Il y a 5 ans et 50 jours

Tribune. « La taille et la qualité des logements, c’est le vaste chantier auquel nous devrons tous nous atteler »

Il est impératif de mettre un terme à la course à l’habitat minimum, estiment les architectes François Leclercq, Jacques Lucan et Odile Seyler dans.. Cet article Tribune. « La taille et la qualité des logements, c’est le vaste chantier auquel nous devrons tous nous atteler » est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 50 jours

Covid-19 : guide de recommandations sanitaires de l'UNICEM pour les entreprises de la filière matériaux

L'UNICEM comprend et soutient la volonté gouvernementale de maintenir une activité industrielle. Dans cet objectif, elle publie pour les entreprises de la filière « matériaux » un guide de recommandations sanitaires.Toujours au plus près de ses adhérents depuis le début de la crise, l'UNICEM maintient un dispositif opérationnel de soutien tant au niveau national que régional. Elle est associée aux équipes du gouvernement qui œuvrent pour soutenir les entreprises restées fonctionnelles et permettre un redémarrage rapide et coordonné de l'activité dans le secteur du BTP. L'UNICEM relaie auprès du gouvernement les difficultés concrètes rencontrées par ses entreprises adhérentes, région par région, afin que des solutions opérationnelles puissent y être apportées dans les meilleurs délais.Les entreprises adhérentes de l'UNICEM restent à l'écoute de leurs clients. Si certaines d'entre elles se sont arrêtées, c'est principalement parce que leurs commandes se sont effondrées. Elles sont en capacité d'accompagner la reprise, moyennant la mise en place d'une organisation du travail adaptée aux exigences de la situation sanitaire.L'ensemble des syndicats membres de l'UNICEM1 a ainsi collaboré à la rédaction de recommandations communes spécifiques au Covid-19, permettant, par leur mise en œuvre, d'assurer des conditions de travail protégeant les collaborateurs des entreprises de la filière.Ces recommandations communes ont été élaborées avec le concours des organismes de prévention (PREVENCEM et CERIB) et discutées paritairement avec l'ensemble des organisations syndicales représentatives des salariés. La CFDT a choisi de les valider aux côtés des organisations professionnelles d'employeurs. Elles viennent de recevoir l'agrément des Ministères de la Transition écologique et solidaire et du Travail, dans leurs domaines de compétences respectifs.Afin de prendre en compte les spécificités des syndicats professionnels membres, ces recommandations communes sont complétées par des recommandations propres à chaque filière. L'ensemble permet ainsi de décliner des guides de bonnes pratiques pour chaque métier.Pour Nicolas Vuillier, Président de l'UNICEM : « La validation des recommandations communes par les instances gouvernementales est une bonne nouvelle pour nos entreprises. Elles viennent en effet compléter les mesures déjà mises en œuvre sur les sites encore en activité et aideront le plus grand nombre à se mettre en ordre de marche pour répondre à la reprise attendue des chantiers du bâtiment et des travaux publics. Je remercie tous ceux qui ont activement contribué à la réalisation et validation de ce guide adapté à nos métiers ».Les guides sont disponibles sur le site Internet de l'UNICEM. 1 Ces syndicats représentent les industries des granulats (UNPG), des roches ornementales et de construction (SNROC), de la chaux (UP'CHAUX), du plâtre (SNIP), des minéraux industriels (MI-F) et de valorisation des déchets inertes (UNEV), les activités de béton prêt à l'emploi (SNBPE) et de pompage (SNPB), les activités des mortiers industriels (SNMI) et adjuvants, agents de démoulage et produits de cure (SYNAD).
Il y a 5 ans et 50 jours

Comment fonctionne un garde meuble ?

Un garde meuble, comment ça marche ? Nous sommes tous confrontés un jour à des déménagements pour des raisons professionnelles ou personnelles. Pour conserver nos affaires ou nos outils de travail intactes et en toute sécurité, la meilleure solution est de faire recours à un garde-meuble. Dans cet article, vous trouverez plus d’informations sur le fonctionnement d’un garde-meuble et comment ces lieux de stockage peuvent aider les artisans à stocker leur matériel en ville. Il s’agit d’un espace de stockage idéal pour les artisans opérant dans les centres villes, où il peut parfois être très compliqué de trouver un entrepôt. Entrepôt de stockage pratique et sécurisé Lors des travaux de rénovation d’une maison, d’un sinistre ou d’un déménagement, il se peut que nous ne trouvions pas d’espace pour mettre à l’abri nos affaires surtout les meubles. Pour garder les affaires intactes dans un endroit sécurisé, la meilleure alternative est de louer un garde-meuble qui se trouve non loin de chez soi. Ce choix est avantageux du fait de la diversité des offres en fonction du volume de stockage et de la durée de location selon vos besoins et vos budgets. En effet, les garde-meubles se trouvent dans des locaux hautement sécurisés, équipés de caméra vidéosurveillance, de dispositif d’alerte incendie, d’un contrôle d’accès par code, d’alarmes et parfois de vigile. Mais il n’y a pas que le lieu qui est sécurisé, les biens stockés bénéficient des meilleures conditions de stockages pour qu’ils restent intacts même après un long bout de temps. La ventilation et la température dans les garde-meubles y sont optimales. Il existe sur le marché deux grands types de garde-meuble en fonction de vos besoins. Il y a les garde-meubles classiques qui ne sont accessibles que sur rendez-vous et les self-stockages qui sont accessibles à tout moment. Bien évidemment, le self-stockage est le plus prisé de tous en raison de sa flexibilité bien que son prix soit plus coûteux. Comment choisir un garde-meuble ? Avant de louer un garde-meuble, vous devez avant tout choisir le lieu et la date de location qui correspondent à vos besoins. Le lieu est un choix stratégique, il ne devrait pas se trouver trop éloigné de votre domicile pour faciliter les déplacements en cas de besoin et pour limiter les frais. Si vous résidez en Isère (38), vous pouvez choisir une location de box à Grenoble. Pour dénicher le tarif le moins cher, il est possible de comparer les prix sur le net, à vous de choisir le garde-meuble adapté à votre budget. Votre choix s’orientera sur la taille, l’accessibilité, la sécurité et la qualité du garde-meuble. Certaines agences d’entrepôt de stockage proposent des box personnalisés selon la surface souhaitée, généralement de 1 à 50 m². Concernant l’accessibilité, les self-stockages sont plus flexibles, parfois 7 J/7 et 24 h/24. La sécurité et la qualité sont les critères qui différencient les garde-meubles d’une cave ou d’un garage. Plus vos affaires sont précieuses et valeureuses, plus vous devez donner plus de considération à la sécurité. Le coût de location dépend aussi de la zone géographique du garde-meuble, plus elle se trouve en ville, plus elle est chère. Pour vous donner une idée du coût de la location, à Paris, il faut débourser en moyenne 216 par mois le 12 m², à Bordeaux 173 euros et à Rennes 130 euros. Pendant les périodes de haute saison, les prix peuvent grimper en raison du nombre de la demande.
Il y a 5 ans et 50 jours

La FIB nouvel adhérent de France Industrie

Avec l'appui de ses adhérents, France Industrie s'attache à valoriser le rôle fondamental des entreprises industrielles en France, à promouvoir l'image des métiers industriels auprès des jeunes et à engager des actions sur les enjeux prioritaires communs à toute l'industrie : l'emploi et les compétences, la sécurité d'approvisionnement, la compétitivité, la transition écologique (énergie, économie circulaire), l'innovation, le numérique, l'attractivité des territoires, et la politique industrielle européenne.« Je tiens à saluer l'arrivée de ces deux nouveaux membres au sein de France Industrie. Plus que jamais en cette période critique pour l'économie française, l'expertise de Dalkia et la représentativité de la Fédération de l'Industrie du Béton vont contribuer à relever tous ensemble les défis de l'industrie de demain.» a déclaré le Président de France Industrie, Philippe Varin.