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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 2 ans et 65 jours

Immobilier neuf : La Normandie, n° 1 des recherches

Située dans le Gard, Uzès se classe n° 1 du Top 20 des villes les plus recherchées pour investir dans un logement. [©ACPresse] A l’heure à la crise du logement neuf, constat alarmant invoqué par la FFB, Valorissimo vient de réaliser une étude autour des tendances du marché de l’immobilier. Expert de l’habitat neuf, il met en relation promoteurs et prescripteurs à travers sa place de marché B2B. Ainsi, en termes de recherches de biens, l’année 2022 a été marquée par l’émergence de certaines régions. Et c’est en Normandie que la variation a été́ la plus importante, à + 66,8 % entre les semestres 1 et 2, en termes de recherches de biens neufs. Deuxième région sur ce podium, le Centre – Val de Loire, avec une augmentation de + 61,7 %. La Bretagne achève ce classement avec une variation de + 17,7 %. Quant aux zones qui connaissent historiquement les plus fortes recherches, elles restent ou connaissent une diminution : Ile-de-France (+ 6,66 %), Auvergne – Rhône-Alpes (- 5,49 %) et Provence – Alpes – Côte d’Azur (- 22,8 %). Lire aussi : Logements neufs : Une crise historique pour la FFB « Nous observons l’émergence de régions, telles que la Normandie, le Grand Est ou encore le Centre – Val de Loire, confirme Emma Leca, directrice générale de Valorissimo. Les investisseurs plébiscitent ces zones, en particulier pour leurs prix accessibles, autour de 200 000 € [pour un logement neuf moyen] et un potentiel de rendement intéressant. Cette tendance est liée au contexte actuel, avec une capacité de financement inférieure à celle de 2021. Nous pensons que cette tendance se poursuivra en 2023. » Si l’on prend les villes les plus attractives pour les investisseurs, Thonon-les-Bains (74) affiche 16 934 recherches en 2022. Elle est suivie par Cergy (95) et ses 10 335 recherches, et Bussy-Saint-Georges (77) avec 10 282 recherches. Uzès, ville la plus recherchée Valorissimo s’est ensuite intéressé à la variation du volume de recherches par ville, afin d’en ressortir un Top 20 [des villes ayant au moins 1 000 recherches par semestre]. La palme revient à Uzès (30), avec une augmentation de +168,8 % ! « Cette ville du Gard bénéficie d’une position géographique avantageuse, à 25 km de Nîmes, 40 km d’Avignon ou encore 80 km de Montpellier, détaille Emma Leca. Elle est intéressante pour investir dans une résidence secondaire. Et figure parmi les plus beaux villages de France… » Lire aussi : Les Français, leur logement et la rénovation énergétique Arrive en seconde position de ce classement, Honfleur, dans le Calvados (+ 88,9 %). Elle devance Narbonne (+ 74,7 %), ville située dans l’Aude. Les trois dernières villes du ce Top 20 sont Reims (51) à + 3,7 %, Strasbourg (67), à + 3,4 %) et, enfin, La Roche-sur-Yon (85) à + 2,05 % de hausse des recherches. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 65 jours

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Il y a 2 ans et 65 jours

l ardoise est le materiau ayant la plus faible empreinte carbone tout au long de son cycle de vie

Une conception respectueuse de l’environnement est déjà la norme dans le secteur de la construction. Et pour atteindre cet objectif, il est indispensable de connaitre l’origine des matériaux qui sont utilisés et leur impact.
Il y a 2 ans et 65 jours

Saint-Gobain : 2022, année de tous les records

Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. [©Saint-Gobain] Le groupe Saint-Gobain peut avoir le sourire. Pour lui, l’année 2022 est celle de tous les records. D’abord, son chiffre d’affaires bondit de 15,9 %, passant de 44,2 à 51,2 Md€. Son Ebitda grimpe de 14,9 %… Quant à son résultat net courant, il passe de 2,82 à 3,34 Md€, soit une hausse de 18,5 %. « Dans un environnement géopolitique, énergétique et macro-économique perturbé en 2022, le groupe Saint-Gobain a su, une nouvelle fois, dégager des résultats records. Au cours des quatre dernières années de transformation, il a été optimisé en profondeur. Un tiers périmètre a changé et plus de 60 % de nos résultats sont désormais réalisés en Amérique du Nord et dans les pays émergents », explique Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. Et de poursuivre : « Je suis confiant que 2023 sera une bonne année pour Saint-Gobain […]. Ceci, en nous appuyant sur la force de notre modèle opérationnel, dans un contexte de ralentissement de la construction neuve. Mais d’une bonne résilience de la rénovation. Dans ce contexte, nous visons en 2023 une marge d’exploitation comprise entre 9 % et 11 %. En ligne avec les objectifs de notre plan “Grow & Impact” que nous avons définis pour la période 2021-2025 ». La chimie de la construction fait des étincelles ! Ainsi, s’inscrivant dans ce plan, les années 2021 et 2022 marquent une accélération des résultats. Les solutions durables représentent près de 75 % des ventes du groupe, en forte croissance interne de + 10 % en moyenne annuelle. En parallèle, Saint-Gobain devient un leader mondial dans la chimie de la construction, avec 5,3 Md€ de chiffre d’affaires annuel. Ceci, grâce à une forte dynamique interne et à ses acquisitions récentes. Dans le détail, on retrouve Chryso, GCP Applied Technologies, Brasprefer et Matchem au Brésil, Urumix en Uruguay, Impac au Mexique, IDP Chemicals en Egypte, Choksey Chemicals en Inde et Best Crete en Malaisie. En aparté, Urumix constitue la première implantation de Saint-Gobain en Uruguay. Enfin, le résultat d’exploitation du groupe (5,34 Md€, à + 66 % vs 2021) est désormais bien équilibré entre les trois zones géographiques : 30 % en Amérique du Nord, 32 % en Asie & pays émergents et 38 % en Europe occidentale. Lire aussi : Chryso : Au cœur de la stratégie de Saint-Gobain Plus en détail côté “chimie de la construction”, l’intégration des nouveaux entrants se déroule bien. L’ensemble des synergies est validé ou en cours d’exécution. Dans ce cadre, GCP projette un Ebitda de 170 M$ (160 M€) en 2023, sa première année pleine au sein de Saint-Gobain. Quant à Chryso, il voit une croissance de + 20 % de son chiffre d’affaires, avec maintien de ses marges et l’ouverture d’une 5e usine d’adjuvants en Inde. Siège de Saint-Gobain, à La Défense, près de Paris. [©Gilles Trillard/Saint-Gobain] Une belle économie de CO2 Une excellente tendance de ventes et de résultats tirée aussi par la décarbonation du secteur de la construction. Saint-Gobain a d’ailleurs apporté sa pierre à l’édifice, évitant l’émission d’environ 1,3 Md de t de CO2 durant la vie des solutions vendues sur une année. Et de réussir trois premières mondiales. Tout d’abord, une production zéro carbone de vitrage en France. Idem dans le domaine de la plaque de plâtre en Suède. Enfin, une production très bas carbone (- 93 %) dans la production de laine de verre en Finlande. De quoi entrevoir de belles perspectives pour 2023. Dans un environnement géopolitique et macro-économique incertain, le groupe devrait continuer de surperformer ses marchés. Ceci, grâce à la pertinence de son positionnement stratégique au cœur des enjeux énergétiques et de décarbonation. Durant l’année qui vient, l’attention de Saint-Gobain sera focalisée sur la consolidation de son très bon niveau de performance opérationnelle. Toutefois, il anticipe un ralentissement modéré́ de ses marchés, avec une situation contrastée. Entre baisse de la construction neuve sur certaines zones géographiques et bonne résilience globale de la rénovation. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 65 jours

Rep : Ecominéro ouvre la contractualisation

Le déploiement de la Rep continue et les opérateurs de déchets vont pouvoir contractualiser, avec l’éco-organisme Ecominéro, dès le 1er mars.[©Ecominéro] La nouvelle filière du recyclage des déchets prévue le 1er janvier 2023 a été repoussée de cinq mois, pour un démarrage effectif au 1 er mai. Le déploiement de la Rep continue et les opérateurs de déchets vont pouvoir contractualiser, avec l’éco-organisme Ecominéro, dès le 1er mars. Ils auront jusqu’au 17 mars pour adresser leur dossier complet en vue d’obtenir son soutien financier. L’éco-organisme de la filière minérale précise que les dossiers réceptionnés après le 17 mars ne sont pas assurés de bénéficier du soutien à partir du 1er mai, en raison des procédures nécessaires à la vérification de leur conformité. Ceux-ci seront repoussés au 1er juin. « Je remercie les producteurs qui ont massivement adhéré́ à Ecominéro. Plus de 1 300 entreprises nous font confiance. Je précise, à l’intention des entreprises qui n’ont pas encore adhéré́, qu’il n’est pas trop tard ! Elles peuvent encore le faire, afin de se mettre en conformité́ au plus tôt. Avec Ecominéro, elles ont la garantie que leur éco-contribution servira à financer un large réseau de déchetteries et de plates-formes de recyclage », explique François Demeure dit Latte, directeur général d’Ecominéro. Lire aussi : Rendez-vous Ecominéro : Ouvrez vos agendas ! Ecominéro propose un accompagnement sur mesure L’objectif d’Ecominéro est de constituer le premier maillage de points de reprises. Celui-ci permettra d’offrir aux entreprises et aux artisans une solution simple et de proximité pour collecter et recycler les déchets inertes du bâtiment. « Nous comptons sur l’engagement de tous les opérateurs de déchets inertes pour intégrer notre réseau de collecte au plus vite. Si leur dossier est complété avant le 17 mars, nous leur garantissons un soutien financier à compter du 1 er mai 2023 », insiste François Demeure dit Latte. Ainsi l’éco-organisme accompagne les opérateurs de déchets dans cette nouvelle étape décisive de la Rep, en organisant des webinaires. Et en mettant à disposition des professionnels de nombreux outils pédagogiques pour faciliter leur compréhension du process de contractualisation.  Les prochains webinaires auront lieu : • Mercredi 1er mars de 14 h 00 à 15 h 00 ;• Mardi 14 mars de 11 h 00 à 12 h 00 ;• Mardi 28 mars de 11 h 00 à 12 h 00. Lire aussi : Le démarrage de la filière Rep repoussé au 1er mai 2023 Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 65 jours

Leader inspirant de solutions décarbonées, Rector repense son site internet pour mieux guider les professionnels du BTP

L’environnement réglementaire et les exigences des acteurs de la construction évoluent sans cesse. Pour mieux accompagner les professionnels du BTP dans leur choix de systèmes constructifs, Rector, acteur français de référence de la préfabrication béton, procède à la refonte de son site internet.Plus intuitif et doté de nouvelles rubriques, il offre un parcours client en phase avec leurs besoins et les enjeux du marché. De plus, ce dernier a été conçu pour minimiser son empreinte carbone afin d’être en adéquation avec les engagements RSE de l’entreprise.Les besoins du client au cœur du parcours utilisateurSuite à l’évolution du marché et des réglementations, Rector a souhaité que son nouveau site internet place les besoins de ses clients au cœur de la navigation et la recherche afin de mieux les orienter vers des systèmes constructifs adaptés.Ainsi, dès la page d’accueil, la recherche de solutions est organisée à partir de leurs grands enjeux – RE2020, bas carbone, thermique, acoustique, sismique, feu, biosourcé – en leur fournissant les informations essentielles pour comprendre et mieux appréhender les réglementations.Pour chacune des thématiques abordées, Rector présente, à la suite, ses systèmes et produits adaptés. En une seule page, le visiteur s’informe sur les règles à prendre en compte et sur les produits Rector !Pour guider les professionnels du BTP encore plus facilement vers les systèmes de la marque, le nouveau site internet propose également une recherche par type de projets pour :le résidentiel neuf : maisons individuelles, maisons individuelles groupées et logements collectifs.le non résidentiel neuf : Etablissements Recevant du Public, bureaux /commerces/ parkings, logistique et industries.la rénovation : rénovation de planchers, extensions et surélévations.Grâce à cette nouvelle structuration des pages et à une navigation optimisée, le nouveau site internet de Rector gagne en intuitivité.rector.fr, vitrine de la démarche RSE du groupeEn plus d’être un véritable outil de présentation de l’offre globale de la marque (produits, systèmes et services), le nouveau site de Rector se doit d’être également le reflet de la démarche RSE, entamée depuis deux ans, par le groupe.Une nouvelle rubrique « RSE » présente les enjeux, les axes stratégiques et les actions concrètes de Rector avec notamment :les innovations bas carbone développées pour mieux construire ensemble,l’obtention du label RSE Engagé niveau « confirmé » par l’AFNOR qui fait de Rector le premier industriel du béton à être distingué.Enfin, le nouveau site internet de Rector a été conçu pour réduire son empreinte carbone par rapport à l’ancienne version, tout en assurant un accès complet à l’information. Rector a ainsi :choisi un hébergeur qui utilise des énergies renouvelables (78% actuellement avec un objectif de 100% en 2025),hébergé toutes les vidéos sur YouTube afin d’alléger le site,favorisé le système de pagination classique au détriment des scrolls à l’infini.Le tout pour offrir une navigation rapide, performante et en phase avec les ambitions de l’entreprise.https://www.rector.fr/
Cimbat
Il y a 2 ans et 66 jours

En Ouganda, un équipement sportif et culturel par Francis Kéré

Diébédo Francis Kéré et l’architecte ougandais Jonathan Nsubuga (j.e.nsubuga & associates) ont livré à Kampala (Ouganda) en 2022, le Kamwokya Community Center, un équipement sportif et de loisirs (1 600 m²) pour l’association locale KCCC et la Fondation Ameropa. Au-delà de sa fonction pratique, le projet vise à transformer la communauté en devenant une source d’inspiration […] L’article En Ouganda, un équipement sportif et culturel par Francis Kéré est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 66 jours

Le Paris de 2040, objet de rudes négociations dans la majorité d'Hidalgo

L'actuelle version de ce document technique, texte de référence pour accorder ou non un permis de construire et guider l'aménagement d'une ville pour une décennie minimum, date de 2006.L'équipe de la maire PS Anne Hidalgo veut voir sa nouvelle version, baptisée "PLU bioclimatique" en ce qu'elle doit permettre l'adaptation au changement climatique, entrer en vigueur en 2024.Pour cela, l'adjoint socialiste à l'urbanisme, Emmanuel Grégoire, doit rassembler les alliés écologistes et communistes autour d'un accord, étape préalable pour se présenter comme le candidat légitime à la succession d'Anne Hidalgo en 2026.Le compromis doit être entériné lors d'un Conseil de Paris extraordinaire mi-avril, même si le cabinet du premier adjoint se laisse "le premier semestre". Ce dernier ne veut pas s'épancher sur des négociations qui "avancent bien".Ecologistes et communistes, en revanche, affichent leurs propositions et concessions afin de faire monter les enchères.Les hauteurs en questionAinsi, les écologistes, adversaires d'une densification trop poussée comme d'une ville verticale, "ont accepté les principes des surélévations pour faire du logement social", indique à l'AFP l'élu EELV Emile Meunier.Dans la ville façonnée par le bâti haussmannien de six étages, les immeubles pourront atteindre "neuf étages dans les rues les plus larges", selon M. Meunier, président de la commission urbanisme.L'adjoint PCF à la construction, Jacques Baudrier, se veut rassurant. "On ne souhaite pas surélever partout: souvent c'est d'un étage, ce qui n'est pas énorme, et que pour du logement".Les écologistes veulent en échange ancrer "la limite de 37 m" de hauteur "et nos partenaires de la majorité ne veulent pas", déplore Emile Meunier, qui pense à la dernière grande friche de Bercy-Charenton (XIIe).Les écologistes sont "assez conservateurs", tacle le président du groupe communiste, Nicolas Bonnet-Oulaldj, pour qui "il faut continuer à construire la ville", grâce aux dents creuses et aux surélévations, afin d'atteindre l'objectif fixé de 40% de logement public en 2035.Les deux alliés s'écharpent également sur le réaménagement de la porte de Montreuil (XXe), pour lesquels les écologistes viennent de proposer un contre-projet sans nouveau bâtiment."On est prêts à un certain nombre de concessions, mais Montreuil cristallise notre colère", bouillonne Jacques Baudrier, favorable aux bâtiments du promoteur Nexity, notamment un hôtel au-dessus du périphérique qui suscite l'ire des écologistes. Tout comme les projets d'"immeubles-ponts" de la porte Maillot (XVIe), retoqués par la justice en raison des risques de pollution.Bureaux : stop ou encore ?Les Verts, opposés aux autres grands projets urbains remontant au premier mandat d'Anne Hidalgo, quand Jean-Louis Missika était adjoint à l'urbanisme (Tour Triangle, gare d'Austerlitz), réclament aussi une diminution de 20 à 15 millions de m2 des surfaces de bureaux dans la capitale.Alors que les communistes souhaitent encore en créer "là où il y a des besoins, dans le nord et l'est", afin de rééquilibrer l'offre avec l'ouest parisien, explique Jacques Baudrier.Les deux alliés s'accordent sur les préemptions, moyen pour les écologistes de créer du logement social sans densifier la ville. Les communistes demandent que le budget alloué passe de 200 à 500 millions par an. Et les espaces verts ? Là aussi, plusieurs pierres d'achoppement : outre les constructions aux abords du périphérique, la petite ceinture, cette ligne ferroviaire désaffectée et aménagée pour la promenade sur certains tronçons, revient dans le débat.Les écologistes exigent son classement en zone urbaine verte afin de protéger ses 50 hectares qu'ils considèrent comme "la principale réserve de biodiversité de Paris". Mais les communistes y voient un "risque d'irréversibilité" pour une infrastructure potentiellement réutilisable pour le fret.Pour autant, les communistes ne veulent pas passer pour "le groupe qui soutient la bétonisation" et proposent une liste de 40 sites - dont de nombreux parkings aériens - à végétaliser. Un accord est-il possible d'ici avril ? "Il faut y arriver", dit Emile Meunier.
Il y a 2 ans et 66 jours

Feu de façade à Champigny-sur-Marne : les balcons en question

SINISTRE. Un incendie d'ampleur a frappé la résidence des Mordacs, à Champigny-sur-Marne, sans faire de victime. Le matériau utilisé pour les balcons serait à l'origine de la propagation rapide du sinistre.
Il y a 2 ans et 66 jours

Une start-up invente un compagnon électrique capable de déplacer 600 kilos de matériel

PREVENTION. La jeune pousse orléanaise FreeMoov a imaginé un robot pour aider les ouvriers à porter des charges lourdes sur des terrains accidentés et des pentes. Zoom sur cette innovation bientôt commercialisée...
Il y a 2 ans et 66 jours

keobiz digitalise la gestion comptable des tpe

Dédié aux TPE - dont du BTP -, le cabinet d'expertise comptable Keobiz offre tout un panel de services, dont des outils digitaux facilitant la gestion et les démarches administratives des entreprises. Présentation avec Hugues Husson, président des Activités réglementées de Keobiz.
Il y a 2 ans et 66 jours

bert geerinckx reprend les renes du groupe reynaers

Ce 1er mars, Bert Geerinckx succéde à Dirk Bontridder au poste de président du groupe Reynaers.
Il y a 2 ans et 66 jours

salaires des metiers du btp pour 2023

Découvrez comment fonctionnent et évoluent les grilles de salaire dans le BTP en 2023.
Il y a 2 ans et 66 jours

Bâtiments, infrastructures : le Gouvernement anticipe un réchauffement climatique de 4°C

CLIMAT. Le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Christophe Béchu, vient d'installer un comité ministériel de pilotage consacré à l'adaptation au changement climatique. Cette structure s'appuie sur un rapport fraîchement publié, qui revient notamment sur les normes liées aux bâtiments et infrastructures.
Il y a 2 ans et 66 jours

La Chine a accéléré sur les centrales au charbon en 2022

Les capacités de production d'électricité à partir de charbon que le géant asiatique a commencé à construire en 2022 étaient six fois supérieures à celles du reste du monde, d'après ce rapport.Cette étude a été réalisée par le Centre for Research on Energy and Clean Air (CREA), un institut de recherche basé en Finlande, et l'ONG américaine Global Energy Monitor (GEM)."La Chine continue d'être l'exception par rapport à la tendance mondiale actuelle qui est au déclin de la construction de centrales au charbon", note Flora Champenois, analyste chez GEM."La vitesse à laquelle les projets ont progressé en 2022, de l'obtention des permis jusqu'à la construction, était hors norme", juge-t-elle.La Chine est, en valeur absolue, l'un des principaux émetteurs mondiaux de gaz à effet de serre à l'origine du changement climatique, comme le dioxyde de carbone (CO2).Le président Xi Jinping s'est engagé à ce que le pays atteigne le pic de ses émissions de CO2 entre 2026 et 2030 puis la "neutralité carbone" d'ici 2060.Ces promesses sont considérées essentielles pour maintenir la hausse de la température mondiale bien en dessous de deux degrés.Mais même si la Chine honore ses promesses, l'expansion actuelle des centrales électriques au charbon rendra le respect de ces engagements "plus compliqué et coûteux", note l'étude.Cercle vicieuxAu total, selon le rapport, 106 gigawatts (GW) de nouveaux projets ont été approuvés en 2022 - soit l'équivalent de deux grandes centrales au charbon par semaine.La Chine dépend du charbon pour près de 60% de son électricité.La plupart des nouveaux projets de centrales ont été approuvés par des provinces frappées au cours des deux dernières années par des pénuries d'électricité dues à des vagues de chaleur record.Un cercle vicieux, car l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre accélère le changement climatique et entraîne à son tour une augmentation de la fréquence des phénomènes météorologiques extrêmes, selon la plupart des scientifiques.Le gros des approbations a débuté lorsque le gouvernement a annoncé en mai 2022 un investissement de 10 milliards de yuans (1,4 milliard d'euros) dans la production d'électricité à partir de charbon."C'est la même dynamique que celle observée lors du précédent boom, en 2015", déclare à l'AFP Lauri Myllyvirta, analyste du CREA. "Personne ne sait combien de temps les vannes resteront ouvertes, donc les collectivités locales se dépêchent de faire passer le maximum de projets possible."L'idée des autorités est que ces nouvelles centrales puissent servir d'appoint pour garantir un approvisionnement en électricité stable en cas de défaillance des énergies renouvelables."Idée fausse"Toutefois, face à l'augmentation de la demande en électricité en Chine, certaines provinces comme le Guangdong (sud) ou le Jiangsu (est), où les nouvelles centrales au charbon se multiplient, sont "à la traîne" en matière d'investissements dans les énergies propres, selon l'étude.Le géant asiatique a intensifié ses investissements ces dernières années dans les renouvelables (notamment le solaire, l'éolien, l'hydroélectrique) et les centrales nucléaires.Si cette croissance continue de s'accélérer et que la demande d'électricité se stabilise, "les ajouts massifs de nouvelles capacités de production au charbon ne signifient pas nécessairement que l'utilisation du charbon ou que les émissions de CO2 dans le secteur de l'électricité augmenteront", souligne ainsi le rapport.Les projets d'énergie renouvelable en Chine ont cependant des difficultés à obtenir un accès aux terrains nécessaires et dans certaines régions, le réseau ne peut absorber toute l'énergie produite, a déploré en février le chef de l'Association chinoise de l'industrie photovoltaïque.Toutefois, "la principale idée fausse que l'on peut avoir est que l'augmentation des renouvelables entraîne forcément un recul du charbon", déclare à l'AFP Li Shuo, un militant de Greenpeace Chine."C'est le cas dans le reste du monde, mais les besoins de la Chine en matière de sécurité énergétique (sont tels qu'ils) entraînent une croissance simultanée de l'éolien, du solaire et du charbon."
Il y a 2 ans et 66 jours

nexity atteint ses objectifs 2022 mais anticipe deja une baisse pour 2023

En 2022, le promoteur Nexity a atteint ses objectifs, avec 4,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires, notamment porté par la promotion immobilière et les services. Le groupe est toutefois plus méfiant pour 2023, prévoyant une baisse, notamment dans le logement neuf.
Il y a 2 ans et 66 jours

une maison dans une favela bresilienne sacree par un prix d architecture

À Belo Horizonte, dans la favela Aglomerado da Serra, une demeure reçoit le titre de « maison de l’année », décernée par le prix international d’architecture d’Archi Daily.
Il y a 2 ans et 66 jours

Un bénéfice net en très forte hausse pour Holcim en 2022

RÉSULTATS. Holcim annonce un chiffre d'affaires et un bénéfice net en hausse sur l'exercice 2022. Le cimentier suisse a pu tout particulièrement compter sur un de ses récents segments d'activité.
GDA
Il y a 2 ans et 66 jours

Macron défend sa réforme des retraites et appelle le Sénat à "enrichir" le texte

"J'ai vu (que) le Sénat voulait faire avancer les choses sur la politique familiale et les droits des femmes. Je pense que le gouvernement abordera (ce débat) avec de l'ouverture et de la volonté d'engager pour bâtir une majorité derrière ce texte", a poursuivi le chef de l'Etat.Il a encore fait observer que le Sénat, à majorité de droite, avait dans le passé "plusieurs fois porté des réformes qui étaient assez proches de celle d'aujourd'hui".Le texte sur la réforme des retraites doit être examiné à partir de mardi par les sénateurs, dix jours après des débats houleux à l'Assemblée qui n'ont pu être menés à terme.Dans un entretien au Parisien paru samedi soir, le patron du groupe Les Républicains à la chambre haute, Bruno Retailleau, a indiqué "souhaiter voter (le texte), après l'avoir modifié", afin notamment de "ne pas creuser les déficits, mais parvenir à les combler"."Nous comptons proposer au gouvernement deux options: soit une surcote de 5 % pour les mères de famille qui auraient atteint à la fois une carrière complète et l'âge légal, soit un départ anticipé à 63 ans", a ajouté M. Retailleau, évoquant également l'idée d'un "contrat de fin de carrière qui serait exonéré de cotisations familiales" pour les salariés âgés d'au moins 60 ans.Le président de la République, qui s'exprimait en marge d'une visite au Salon de l'agriculture à Paris, mettait fin à une discrétion médiatique observée depuis le début des débats sur la réforme.Il a au contraire longuement défendu son projet, toute la journée de samedi, auprès des nombreux badauds qui l'ont interrogé sur le sujet, parfois de manière vive."Je n'ai pas trouvé de colère chez nos compatriotes", a-t-il toutefois assuré, en disant percevoir "de l'inquiétude"."C'est aussi ça qui s'exprime dans les manifestations sur les retraites : quand on écoute les gens, c'est pas la retraite, le sujet. C'est le travail et les conditions de travail", a poursuivi Emmanuel Macron, en estimant que "beaucoup de gens qui manifestent, c'est la perspective de leur carrière, c'est 'est-ce que mon travail me paye assez ou pas?'"."Il y a un sentiment d'injustice", a-t-il encore considéré.
Il y a 2 ans et 66 jours

Plan sobriété, acte 2 : réunion de travail "Grands commerces et activités tertiaires"

Cette réunion a été l’occasion d’effectuer un premier bilan à la fois des consommations énergétiques et de l’effet des mesures mises en place cet hiver pour renforcer les économies d’énergie des activités et surfaces tertiaires. Cela a été tout l’objet des retours d’expériences demandés aux acteurs de la grande distribution, des centres commerciaux et d’autres surfaces tertiaires.La tenue de ce groupe de travail a été l’occasion de rappeler les enjeux singuliers liés à ces secteurs les activités marchandes représentant près de 45% des consommations du secteur tertiaire, soit 100 TWh (dont 30 TWh pour les grandes surfaces). Ce sont également des activités qui sont au cœur du quotidien des Français et qui peuvent permettre de faire évoluer les comportements.Dans ce cadre, il a été fait référence aux travaux menés durant l’hiver autour de l’association des enseignes de la grande distribution (PERIFEM), qui a organisé les discussions des grandes et moyennes surfaces, et qui a annoncé des mesures communes pour les enseignes de grande distribution, adoptées à leur tour par une quarantaine de fédérations représentatives du commerce. Ces mesures incluent notamment :L’extinction automatique des enseignes lumineuses dès la fermeture du magasin ;La systématisation de la baisse d’intensité lumineuse :Avant l’arrivée du public : diminution de l’éclairage de la surface de vente de 50% ;Pendant la présence du public, diminution de l’éclairage de la surface de vente de 30% sur les périodes critiques de consommation.La gestion plus sobre des besoins en énergie via, par exemple, la coupure du renouvellement d’air la nuit ou le décalage de la production de glace.Ce protocole de mesures ont déjà eu des résultats importants et devraient permettre d’économiser 1 TWh sur l’année, soit 7% de la consommation énergétique du secteur des grandes enseignes de distribution.En complément, le 14 décembre 2022, à la suite d’un point d’étape avec la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, une grande campagne de sensibilisation en magasin, visant à encourager le public aux économies d’énergie a été lancée dans le prolongement de la Campagne du Gouvernement : « Chaque geste compte ».La réunion a également été l’occasion de présenter les travaux qui ont été lancés par le Plan bâtiment durable qui fédère un large réseau d’acteurs du bâtiment et de l’immobilier. Dans le cadre de ce groupe de travail, son action permet notamment :de rassembler des retours d’expériences et des données sur les mesures de sobriété, en coopération avec l’ADEME et l’IFPEB, pour objectiver l’efficacité réelle des mesures et identifier les meilleures pratiques ;de valoriser et communiquer autour des bonnes pratiques ;d’animer avec La Poste une task force sur les enjeux spécifiques du « petit tertiaire ».Les premiers résultats de cette action devraient être disponibles au premier semestre 2023. Ils permettront de faire connaître les meilleures pratiques et que l’information circule bien durant l’été pour assurer une préparation idoine de l’hiver. Ces initiatives ont pour objectif de communiquer au mieux auprès des commerces et des gestionnaires de surface tertiaire. Elles viendront s’ajouter au programme « baisse les Watts », lancé en novembre 2022 et dédié à l’accompagnement TPE/PME pour mieux maîtriser leur consommation d’énergie.Les deux ministres ont salué les efforts entrepris par les acteurs et ont appelé à inscrire cette mobilisation dans la durée, afin de tenir l’objectif de 10% de réduction de consommation d’énergie d’ici deux ans. Tous les participants ont indiqué partager avec conviction cette ambition. Ils ont fait état de leur volonté de le faire, à la fois par conviction, ainsi que pour répondre aux aspirations de nombreux de leurs salariés et de leurs clients.Cette réunion a également permis de revenir sur les règlementations, qu’elles soient en vigueur ou à venir, qui nécessitent un travail de tous les instants, de l’Etat comme des acteurs privés.Ainsi en est-il du « décret tertiaire » notamment, qui imposera une baisse de 40% de la consommation énergétique d’ici 2030, 50% d’ici 2040 et 60% d’ici 2050. Ce dispositif fait l’objet d’un travail au quotidien entre les ministères et les représentants des secteurs tertiaires pour parvenir à des mécanismes à la fois ambitieux et opérationnels.Ainsi en est-il également des décrets qui imposent :la fermeture des portes des magasins climatisés ou chauffés sous peine d’une amende de 750 €.la fin des terrasses chauffées ou climatisées en extérieur, sous peine d’une amende de 1500€, voire 3000€ en cas de récidive.Au global, la réunion du groupe de travail « grands commerces et activités tertiaires » a été, pour les ministres et les participants, l’occasion de faire un triple constat : d’abord, celui de la mobilisation et du volontarisme des secteurs concernés, ensuite, celui de la nécessité d’anticiper les enjeux estivaux, comme la ventilation et la climatisation, et enfin, celui des marges de manœuvre qui restaient déployables pour rendre pérenne l’effort de sobriété énergétique.Pour Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique : « Le plan sobriété mis en œuvre par les enseignes de grande distribution a permis d’économiser plus de 10% d’énergie cet hiver. Ces mesures très concrètes de maîtrise de l’éclairage et du chauffage ont été mises en œuvre de manière systématique dans les enseignes. Nous engageons la filière à pérenniser et amplifier ces mesures, pour que les Français aillent faire leurs courses dans des espaces respectueux de l’environnement et engagés pour la transition énergétique. »Pour Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des Petites et moyennes entreprises, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme : « L’engagement des grandes surfaces commerciales est fondamental pour parvenir à atteindre une réduction substantielle de notre consommation énergétique, et donner l’exemple pour le reste du commerce comme des activités tertiaires. Nous travaillons avec les acteurs au quotidien, aussi bien sur les règlementations que sur les moyens techniques et opérationnels qui permettront d’atteindre les objectifs d’efficacité énergétique. »
Il y a 2 ans et 66 jours

Une nouvelle directrice administration, finance et stratégie pour Colas

CARNET/NOMINATION. Le groupe Colas a promu une collaboratrice jusque-là dans des directions de business units.
Il y a 2 ans et 66 jours

Nouveau record de projets d'investissements étrangers en France en 2022

Le nombre de ces projets dans lesquels la part des capitaux étrangers est majoritaire s'est élevé à 1.725, soit 7% en plus par rapport à 2021, qui était déjà un plus haut historique, a rapporté l'agence chargée de promouvoir le site France auprès des investisseurs étrangers.Ces décisions d'investir ont permis la création ou le maintien de 58.810 emplois, un chiffre en hausse de 31% sur un an si l'on tient compte tient compte des CDI intérimaires, principalement créés par les sociétés Manpower et Randstad."Hors CDI intérimaires, les emplois induits ont augmenté de 7% en 2022", précise dans son communiqué Business France, qui ne recense pas les montants investis pas toujours communiqués par les entreprises."C'est très positif, parce qu'il y avait une inconnue sur l'année 2022 avec tous les soubresauts que l'économie mondiale a connus", a déclaré à l'AFP le directeur Business France Laurent Saint-Martin. D'après lui, "ces bons résultats viennent récompenser une cohérence d'ensemble sur l'attractivité du pays".Si les années précédentes avaient montré que les réformes fiscales et du marché du travail avaient permis d'attirer plus d'investisseurs, "on ne savait pas encore comment la France était perçue au milieu des tempêtes", a observé le directeur de Business France dans une allusion à la crise sanitaire et aux conséquences économiques de la guerre en Ukraine.Dans un tweet, le président de la République Emmanuel Macron a lui aussi salué cette "année record", se félicitant que "la France attire plus que jamais et crée des emplois". "La politique conduite depuis 6 ans porte ses fruits !".Inflation plus faibleSe félicitant aussi "d'excellents chiffres", le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a lui salué dans un communiqué "la constance de nos alliés et amis américains, allemands et britanniques dans leurs choix d'investissement, traduisant ainsi leur confiance dans la capacité d'innovation et de création de la France."Les Etats-Unis ont en effet repris l'an dernier la tête du classement, avec 280 projets, devant l'Allemagne (256). Et les investisseurs américains sont de loin en tête en nombre d'emplois maintenus ou créées, avec 29% du total contre seulement 12% pour les projets allemands.Les créations d'établissements comptent pour la moitié des projets d'investissement mais seulement pour 29% des emplois créés, tandis que les extensions de sites existants représentent 46% des projets mais les deux tiers des emplois, le reste étant constitué par des reprises de sociétés par des investisseurs étrangers.Plus de quatre projets industriels sur cinq (81%) sont des extensions, "une preuve de la confiance en notre économie" et en l'"efficacité de l'outil industriel français" mais aussi de la "satisfaction" à l'égard de la main-d’œuvre française, selon l'agence.Un gros quart (26%) des investissements sont réalisés dans des activités de production qui comptent pour 30% des emplois, tandis que les sièges sociaux pour la France ou l'Europe qui représentent aussi près du quart des projets ne totalisent que 11% des emplois, détaille-t-elle.Si la construction automobile décroche après une "exceptionnelle année 2021", l'aéronautique, très affectée par la crise sanitaire, redécolle avec 52 projets et un nombre d'emplois associés qui a plus que doublé en 2022. La volonté de mettre en exergue l'industrie est clairement affichée mais le secteur des services compte tout de même encore pour près de la moitié (49%) des projets et de 56% des emplois.Business France rappelle que la France est "le 1er pays de l'OCDE en termes de financement public et d'incitations fiscales pour la R&D des entreprises".Autre élément qui a contribué à l'attractivité en 2022, "la France est reconnue comme un pays qui a mieux su gérer son inflation" laquelle a été nettement inférieure à la moyenne européenne, fait valoir Laurent Saint-Martin.D'autres données sur les investissements étrangers seront publiées en amont du Sommet Choose France le 15 mai, au cours duquel le président Emmanuel Macron réunira des patrons de grands groupes étrangers, indique encore Business France.
Il y a 2 ans et 66 jours

NGE recrute sur la motivation et le savoir-être : 50 postes à pourvoir en région Paca

NGE, les Entreprises Ephémères et Pôle Emploi Paca lancent un dispositif permettant de recruter des candidats sur les seuls critères de leur motivation et de leur savoir-être.
Il y a 2 ans et 66 jours

L'attrait pour les biens immobiliers en bord de mer plus puissant que la montée des eaux

Géographe à l'Université de Bretagne occidentale (UBO), Eugénie Cazaux a commencé à s'intéresser au sujet en 2015-2016, lors d'une mission au Bureau des risques inondation et littoraux au ministère de l'Écologie.La problématique de l'érosion côtière prend alors un caractère imminent avec le cas de l'immeuble Le Signal à Soulac-sur-Mer (Gironde), menacé par l'avancée de la mer. "J'avais appris que des gens avaient continué à acheter au prix du marché dans cette résidence jusqu'en 2011-2012", raconte-t-elle à l'AFP.L'immeuble sera évacué quelques années plus tard, en janvier 2014, par arrêté de péril imminent, avant d'être détruit en février 2023."Les atouts offerts par la mer sont tellement grands qu'il y a des gens qui trouveront toujours un intérêt à faire l'acquisition de ces biens, quel que soit le degré d'exposition aux risques côtiers", assure Mme Cazaux."Achat plaisir"Pour vérifier cette intuition, la géographe a exploité la base de données nationales des transactions foncières immobilières entre 2010 et 2016, dans le cadre de sa thèse, soutenue en octobre 2022. Elle a ensuite comparé ces données aux cartes de risques d'érosion et de submersion marine, avant de compléter ses recherches par des entretiens avec des agents immobiliers, élus et responsables de collectivités locales."Un travail sans précédent à l'échelle nationale", salue Didier Vye, maître de conférences en géographie à l'Université de La Rochelle.La chercheuse a ainsi découvert toute une série de "profils d'acquéreurs" prêts à acheter "des biens immobiliers menacés à très court terme par l'érosion".Cela va des investisseurs qui font de la location saisonnière et "savent qu'ils vont rentabiliser le coût d'acquisition de leur bien sur des temps très courts", en passant par les retraités soucieux de réaliser leur rêve d'une vie en bord de mer, sans oublier les acheteurs plus aisés "qui fonctionnent à l'achat coup de coeur", décrit-elle."Aujourd'hui, il y a un très fort décalage entre l'offre et la demande sur le littoral. Si un acheteur se rétracte, il y en a dix derrière prêts à acheter au prix", raconte-t-elle en décrivant le "biais d'optimisme" d'acheteurs qui "mettent à distance le risque".Agent immobilier à La Trinité-sur-Mer (Morbihan), Hervé Pinson (Côtes West Immobilier) ne dit pas autre chose: "Aujourd'hui, le problème, c'est pas de vendre, c'est de trouver le produit.""On a une bonne partie de la clientèle qui achète en connaissance de cause.Ils disent : ça sera inondé dans 30 ou 40 ans, on s'en fiche, on prend quand même", observe-t-il à l'AFP, en parlant d'"achat plaisir" pour des maisons dont le prix peut atteindre 3 millions d'euros.Pas d'effet XynthiaMême après le passage de Xynthia en février 2010 (53 morts), Mme Cazaux n'a pas réussi à trouver d'influence de la tempête sur les prix de l'immobilier dans les zones touchées de Charente-Maritime."Les prix n'ont jamais baissé", dit-elle. "Le désir de rivage reste plus fort."Certains quartiers frappés par la tempête ont même gagné en attractivité depuis la catastrophe, grâce aux travaux de reconstruction.La persistance de prix immobiliers élevés dans des zones menacées à terme par le réchauffement climatique pose la question des éventuelles indemnisations futures.En cas de submersion marine, le régime "Catastrophe naturelle", payé par chaque Français sur son assurance habitation, prend en charge les réparations.Dans d'autres cas, des fonds publics peuvent être engagés. Ainsi, les copropriétaires du Signal ont été indemnisés par l'État à hauteur de 70% de la valeur de leur logement, pourtant devenue négative."On a créé une forme de précédent", pointe la chercheuse, qui estime que cela peut empêcher l'émergence d'une "culture de la responsabilité" chez les résidents du littoral.
Il y a 2 ans et 66 jours

Le plan de sobriété de l'eau attendu pour la deuxième quinzaine de mars

Evoqué dans le cadre du salon de l'Agriculture par Emmanuel Macron, le plan de sobriété de l'eau devrait être dévoilé durant la seconde...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 66 jours

Élisabeth Borne lance un plan de 100 milliards d'euros pour le ferroviaire d'ici 2040

"L'État souhaite s'engager, aux côtés de la SNCF, de l'Union européenne et des collectivités locales, pour réussir une 'nouvelle donne ferroviaire', de l'ordre de 100 milliards d'euros d'ici 2040", a-t-elle déclaré en recevant un rapport du Conseil d'orientation des infrastructures (COI), un collège composé d'élus et d'experts chargé de plancher sur la question.Ce montant correspond à l'estimation des besoins lancée par le PDG de la SNCF Jean-Pierre Farandou, qui envisageait cette dépense sur quinze ans.Concrètement, l'État va commencer par ajouter d'ici la fin du quinquennat 1,5 milliard d'euros par an aux budgets actuels pour régénérer et commencer à moderniser les voies ferrées."Nous devons investir dans le développement du réseau", a indiqué Mme Borne. "Au-delà de la poursuite des projets de lignes nouvelles engagés et de la relance des trains de nuit, cela passera par le déploiement des RER métropolitains", a-t-elle ajouté.La Société du Grand Paris (SGP), qui construit actuellement le métro du Grand Paris autour de la capitale, doit travailler en tandem avec SNCF Réseau pour concevoir ces liaisons suburbaines autour d'une douzaine de grandes agglomérations de provinces.Elle "mettra ses compétences au service des régions et entamera dès le mois de mars des discussions avec les exécutifs locaux concernés pour déterminer le calendrier, les modalités opérationnelles et de financement", a indiqué la cheffe du gouvernement.Le gouvernement entend prendre pour base, parmi les propositions du COI, un scénario dit "de planification écologique".Celui-ci s'éloigne du cadrage budgétaire actuel pour ajouter des investissements jugés "les plus pertinents pour faciliter le report modal (de la route vers les transports collectifs, NDLR) et de la décarbonation".Donnant la priorité à la modernisation du réseau ferré et aux transports du quotidien, le scénario veut également mettre l'accent sur la rénovation des routes et voies d'eau, mais invite à réfléchir deux fois avant de construire de nouveaux axes routiers.Le gouvernement entend lancer en mars des discussions avec les régions et partenaires concernés, notamment dans le cadre des négociations des contrats de plan État-régions (CPER), afin de disposer en juin d'une planification précise des investissements d'infrastructures de transport.
Il y a 2 ans et 66 jours

Récupération de chaleur fatale

Récupération de chaleur fatale Aujourd’hui, il est tout à fait possible de remettre en valeur cette chaleur et de la réutiliser de Batipole lun 27/02/2023 - 12:43 En savoir plus sur Récupération de chaleur fatale Partager
Il y a 2 ans et 66 jours

Cegeprim Ultra de Cegecol® : un nouveau primaire garnissant avant ragréage spécial supports difficiles et rénovation

CEGEPRIM ULTRA est destiné à la rénovation des sols intérieurs sur tous supports, même les plus difficiles : panneaux de bois, parquet à lames, peinture/résine, film de colle bitume, dalle semi-flexible, chape asphalte. Ce primaire a été spécialement conçu pour apporter une solution performante pour tous travaux de rénovation.Fort pouvoir garnissant : CEGEPRIM ULTRA permet le remplissage d’interstices entre lames de bois ainsi que le rebouchage ponctuel.Confort à l’application grâce à sa consistance ajustable : l’utilisateur adapte la consistance à l’application recherchée en jouant sur la quantité d’eau de gâchage. A très faible émission de C.O.V, son odeur est très faible pour une application sans gêne pour l’artisan. Gain de temps : facile d’application et à séchage rapide, il change de couleur en séchant permettant ainsi à l’utilisateur d’identifier visuellement quand procéder au ragréage. Longue conservation : monocomposant et doté d’une longue conservation après ouverture, CEGEPRIM ULTRA offre à l’artisan la flexibilité d’utiliser la quantité nécessaire au chantier et de limiter les pertes et déchets sur le chantier. Transport et manutention facilités : CEGEPRIM ULTRA est conditionné en sac de 15 kg avec poignée.Associé au CEGESOL F (ragréage autolissant fibré classé P3), CEGEPRIM ULTRA apporte une solution complète de rénovation sur support bois avant la pose de tous types de revêtement.Caractéristiques techniques Taux de gâchage : 3,3 L d’eau par sac de 15 kg (2,7 à 3,3 L pour remplissage d’interstices et rebouchage ponctuel) Consommation : env. 400 – 600 g/m2 selon la rugosité de la surface et l’outil Durée de vie en pot: env.30 min à +20°C Durée de séchage: 30 à 60 min Conservation et stockage : 12 mois Couleur : gris après mélange – marron après séchage
Il y a 2 ans et 66 jours

Le ferroviaire, grand gagnant du rapport du COI

Les entreprises de travaux ferroviaires se projettent avec envie sur le scénario principal d’investissements dit « de planification...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 66 jours

Eiffage franchit le seuil des 20 milliards d'euros d'activité en 2022

INFOGRAPHIE. L'année 2022 du groupe Eiffage a été riche en activité. Chiffres d'affaires global et par branche, rentabilité, carnet de commandes... la plupart des voyants sont au vert. Des résultats à retrouver dans notre tableau de bord Batiactu.
Il y a 2 ans et 66 jours

Pourquoi acheter une passoire énergétique peut être une bonne affaire

IMMOBILIER. Pour y vivre ou pour le louer, acheter un bien avec un mauvais classement au diagnostic de performance énergétique (DPE) peut être une solution. Attention cependant, tous les biens classés E, F ou G ne sont pas des "bons plans". Tour d'horizon avec des professionnels de l'immobilier et de l'investissement.
Il y a 2 ans et 66 jours

Lancement de deux appels à création dans le cadre de l’activation culturelle 2023 de la Citadelle d’Ajaccio

Dans le cadre du programme d’activation de la Citadelle, la Ville d’Ajaccio et la société publique locale d’aménagement du territoire Ametarra lancent deux appels à création pour la saison 2023. Architectes, professionnels du design, artistes, plasticiens, photographes, vidéastes… sont invités à proposer une vision unique du site pour la création d’aménagements temporaires dans les douves de la Citadelle et la réalisation d’une installation artistique en lien avec la thématique de la Méditerranée.Pour cette troisième saison de l’activation, l’enjeu est de renforcer les tests programmatiques, d’ouvrir de nouveaux espaces au public, de proposer des événements variés et accessible à tous dans la Citadelle. Cette année 2023 mettra à l’honneur la Méditerranée.Pour se faire, artistes et professionnels du design et de l’aménagement sont invités à répondre aux deux appels à création lancés par la SPL Ametarra :Un appel à création pour l’aménagement temporaire des douves sud de la CitadelleUn appel à création arts visuelsAménagement temporaire des douves : Concevoir, produire, rendre accessible…Afin d’accueillir les différentes activités de la saison 2023, d’ouvrir de nouveaux espaces et d’offrir une meilleure expérience pour les visiteurs, la SPL souhaite faciliter l’accessibilité aux douves. Cet appel d’offres vise à sélectionner des artistes, architectes, professionnels du design et de l’aménagement d’espace afin de concevoir et d’assurer la production des aménagements sur trois volets essentiels :La création d’un nouvel accès desservant les douves : conception et fabrication d’un escalier ou d’une rampe respectant les normes d’accès et de sécurité, permettant de relier la passerelle de l’entrée de la Citadelle aux douves sud. Outre son aspect fonctionnel et réglementaire, il s’agira de proposer une œuvre artistique et architecturale à part entière dans un site patrimonial d’exceptionLa conception et la fabrication de mobiliers urbains originaux, temporaires et déplaçables: assises, tables et poubellesLa remise en état de fonctionnement du terrain de sport existantLes acteurs du projet font appel aux professionnels pour restituer une vision artistique, unique, et originale, qui s’intégrera au site et à son environnement, et facilitera les usages et pratiques quotidiennes des publics dans ce lieu d’exception.Date limite pour la transmission des candidatures : 20 mars 2023 à 12hSélection des équipes finalistes : 27 mars 2023Visite du site animée par la SPL : semaine du 3 avril 2023Présentation à l’oral du pré-projet et sélection du ou de la lauréat(e) : semaine du 8 mai 2023Production / Installation : du 1er juin 2023 au 10 septembre 2023Inauguration des aménagements : 15 septembre 2023Budget : 142.000 € HT pour le candidat retenuAppel à création « Arts visuels »Cet appel à création artistique vise à sélectionner un(e) artiste pour réaliser une installation éphémère dans l’espace public de la Citadelle Miollis. Le projet prendra la forme d’une création in situ qui devra dialoguer avec la thématique de la saison 2023 : la Méditerranée. Il s’agira de proposer :La création d’une ou plusieurs œuvres temporairesUne installation visible depuis l’extérieur du site, qui soit à la fois une œuvre signal et une invitation pour les visiteurs à pénétrer dans la Citadelle MiollisUne réflexion poétique et originale autour de l’histoire du site et de sa place dans la MéditerranéeUne grande liberté sera accordée au lauréat quant aux propositions des médiums utilisés dans le cadre de ce projet (vidéo, son, photographie, sculpture, installation lumineuse), et dans la mesure du possible. L’artiste sera accompagné d’un(e) commissaire d’exposition dans la conception de son œuvre. L’installation artistique sera inaugurée en juin à l’occasion de la soirée de lancement hè viva 2023. Il est demandé aux artistes de restituer au public leur vision unique de ce site patrimonial d’exception. Le ou la lauréat(e) devra s’adapter aux contraintes du site, favoriser les circuits courts et tenir compte de l’impact écologique dans la production de son œuvre.Date limite pour la transmission des candidatures : 20 mars 2023 à 16hSélection du ou de la lauréat(e) : semaine du 27 mars 2023Production / Installation : du 15 avril au 5 juinLancement de la saison 2023 : autour du 8 juinBudget : 12.000 € HTLes différents cahiers des charges sont à retrouver en ligne :www.ametarra.frwww.manifesto.parisContact projet : citadelle-ajaccio@ametarra.fr
Il y a 2 ans et 66 jours

La chute des réservations de logements neufs s'accentue fin 2022

Les réservations de logements neufs par des particuliers ont continuellement baissé en 2022, selon les statistiques provisoires du ministère de la Transition écologique. Une chute qui s'accentue au dernier trimestre.
Il y a 2 ans et 66 jours

qualite de l air dans les erp nouveaux decrets

Le CA 1510 conforme aux nouveaux décrets. Conformes aux décrets en vigueur, le CA 1510 mesure la qualité de l'air : CO2, température, humidité.
Il y a 2 ans et 66 jours

Enedis accélère les embauches et les apprentissages

"Nous sommes en croissance de l'activité et nous allons recruter plus fort que ce qu'on a fait les années précédentes", a indiqué à l'AFP Nicolas Marchand, directeur des ressources humaines chez Enedis. Le groupe emploie 38.000 salariés: les "hommes en bleu" qui entretiennent les lignes électriques de 37 millions de clients en France. Au total, 1,4 million de kilomètres de lignes.Il prévoit de recruter cette année 1.600 personnes en CDI et 1.300 alternants, du bac professionnel à l'ingénieur en passant par le BTS (mention "métiers de l'énergie"), a indiqué M. Marchand.Le nombre total de salariés devrait ainsi augmenter d'un millier environ fin 2023, "pas loin de 39.000", compte tenu des départs naturels au sein du groupe, calcule-t-il.Soit un vrai tournant. La courbe de l'emploi chez Enedis était orientée à la baisse depuis 2016. Elle a commencé à s'inverser en 2022.Car l'électricité doit à terme remplacer d'autres sources d'énergie fossile qui participent au réchauffement de la planète.Le développement des énergies renouvelables, solaire ou éolienne, "se fait à 90% sur le réseau de distribution", explique le responsable: "Quand vous installez des panneaux photovoltaïques, il faut les raccorder au réseau. C'est le travail d'Enedis, gérer les injections d'électricité, les électrons envoyés sur le réseau, pour ensuite pouvoir les redistribuer".Une grosse partie du développement d'activité chez Enedis porte aussi sur "l'électrification des usages". Par exemple, le raccordement des bornes de recharge pour les véhicules électriques.Alors qu'élèves et parents sont dans les affres de l'orientation scolaire en février et mars, Enedis a lancé une campagne sur les réseaux sociaux pour expliquer ses besoins dans ses 12 bassins régionaux.Le groupe souffre comme une grande partie de l'industrie d'un déficit d'image auprès de la jeunesse bien que ses salariés soient applaudis chaque fois qu'ils rétablissent le réseau après une tempête.Enedis prévoit aussi de travailler avec l'Education nationale pour promouvoir dès la classe de cinquième ses métiers.RTE, l'opérateur qui gère les lignes à haute tension, a lui aussi presque doublé son rythme de recrutement. L'entreprise, qui employait fin 2022 9.500 personnes, compte recruter 700 nouveaux collaborateurs en 2023, contre 400 habituellement, a-t-elle annoncé récemment.
Il y a 2 ans et 66 jours

Restart + Centrale : exposition monumentale et immersive à Bruxelles

Le collectif d’artistes Visual System est invité par l’Atomium à Bruxelles (Belgique) à investir ses espaces d’exposition dédiés à la création numérique avec Restart, exposition temporaire et Centrale, œuvre pérenne qui sculptent l’Atomium de lumière et de son. Jusqu’au 24 septembre 2023. Depuis 2013, l’Atomium — site touristique, patrimonial et culturel à Bruxelles, emblématique dans […] L’article Restart + Centrale : exposition monumentale et immersive à Bruxelles est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 66 jours

En Chine, la chapelle romantique d’UDG

A Sanya, dans la baie de Yazhou, dans le Hainan (Chine), l’agence chinoise United Design Group (UDG) a livré en 2020 une chapelle pour Poly Tourism Development maître d’ouvrage. Érigé entre la mer et le ciel, le bâtiment révèle des expressions poétiques du temps, de l’éternité et de la sacralité en créant un sentiment d’infini. […] L’article En Chine, la chapelle romantique d’UDG est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 66 jours

Un marché du bois qui s'annonce moins favorable en 2023

La situation s'annonce "moins favorable" pour le marché du bois cette année, en raison d'une conjoncture économique plus difficile, a prévenu vendredi l'Office national des forêts (ONF).
Il y a 2 ans et 66 jours

connaissez vous le connector optima

Le Connector Optima c’est l’accessoire malin pour des raccords simples et rapides d’ossatures métalliques pour l’isolation des murs et des combles
Il y a 2 ans et 66 jours

Saint-Gobain grimpe en Bourse, après des résultats records

Le titre progressait de 5,90% à 56,49 euros vers 10H20 (09H20 GMT). Depuis le début de l'année, il a bondi de 23%, parmi les cinq meilleures performances du CAC 40.La veille, le groupe avait révélé un chiffre d'affaires record pour l'année 2022: il a atteint 51,19 milliards d'euros, passant pour la première fois au dessus de la barre des 50 milliards, en hausse de 15,9%. Le bénéfice net s'établissait lui à 3 milliards d'euros, en hausse de 19,1%, également pour la première fois à ce niveau."Saint-Gobain a fait partie des grands gagnants dans le rebond du marché tiré par la baisse des prix du gaz et d'indicateurs macroéconomiques moins mauvais", ont estimé les analystes d'Oddo BHF dans une note.Ils tablent surtout sur une progression encore importante de la valorisation de l'entreprise. "Nous restons globalement convaincus que les changements des dernières années ne sont pas encore intégrés à leur juste valeur", expliquent-ils, soulignant que "Saint-Gobain présente un potentiel de rattrapage important par rapport à ses pairs".En 2023, le groupe anticipe cependant "un ralentissement modéré" de ses marchés, "avec une situation contrastée entre la baisse de la construction neuve dans certains endroits et la bonne résilience globale de la rénovation", indique un communiqué du groupe.Rien d'inquiétant pour les marchés qui se sont surtout concentrés sur sa marge d'exploitation, dont Saint-Gobain estime qu'elle sera comprise en 2023 entre 9 et 11%.Cette prévision est en effet jugée "rassurante" par les analystes de Jefferies, qui estiment que la marge du groupe va profiter de récentes cessions.Globalement, ils ont salué une entreprise qui "n'est pas la même société qu'avant", grâce à sa diversification géographique et au développement de solutions durables, qui représentent désormais "75% de son chiffre d'affaires".En 2023, Saint Gobain a prévu de distribuer à ses actionnaires un "montant total supérieur à 1,4 milliard d'euros" après 1,35 milliards d'euros en 2022.
Il y a 2 ans et 66 jours

Solideo, Société du Grand Paris : quel avenir après les grands projets ?

DÉCRYPTAGE. Jeux de Paris 2024 et leur héritage, Grand Paris Express : la région francilienne fait actuellement l'objet de grands chantiers d'infrastructures qui auront un fort impact sur l'aménagement du territoire et sur la vie de sa population. Menés par des établissements publics créés initialement pour une mission unique, la question de leur avenir se pose alors que ces sociétés et leurs équipes ont accumulé une expérience et un savoir-faire certains.