Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255065 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 67 jours

Stockage batterie au magnésium : des pistes pour améliorer leurs capacités et cyclabilités

Le magnésium est un matériau potentiel pour les batteries de nouvelle génération en tant que vecteur énergétique. Si les batteries au magnésium doivent remplacer les batteries lithium-ion, leurs performances de cyclage et leur capacité doivent être améliorées. Pour y parvenir, une équipe de recherche s’est concentrée sur Mg 1,33 V 1,67–× Mn × O 4 […]
Il y a 2 ans et 67 jours

Années 80. Mode, design et graphisme en France au MAD

Le musée des Arts décoratifs (MAD) à Paris célèbre les « Années 80. Mode, design et graphisme en France » présentée dans la nef. Cette décennie historique résonne en France comme un tournant à la fois politique et artistique dans les domaines des arts visuels, depuis l’élection de François Mitterrand en 1981 jusqu’à la chute du mur […] L’article Années 80. Mode, design et graphisme en France au MAD est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 67 jours

En Chine, la deuxième vie des infrastructures du "zéro Covid"

Du jour au lendemain, les villes se sont retrouvées avec sur les bras des dizaines de milliers de ces infrastructures temporaires. Certaines ont ainsi été transformées en mini-pharmacies, abris anti-froid, kiosques d'information ou encore bibliothèques.Depuis décembre, la Chine n'exige plus de test PCR pour accéder aux lieux publics et voyager dans le pays. Exit donc les cabines en métal ou PVC, autrefois omniprésentes, qui accueillaient le personnel chargé de prélever les échantillons."Nos chefs nous en ont apporté une ici", explique à l'AFP Mme Xu, une agente d'entretien vêtue d'une chasuble orange qui nettoie les abords d'une rivière à Suzhou, ville de 13 millions d'habitants près de Shanghai (est). "Après le travail, on s'en sert pour y mettre nos gants et nos outils. Et quand il pleut, on vient s'y abriter", raconte-t-elle devant l'installation qui accueille aussi chaises, tabourets, tables et extincteurs.Devant la gare, des policiers viennent désormais déjeuner dans une ex-cabane de test reconvertie en lieu de repos.Non loin de là, une cabine bleu ciel a été transformée en kiosque d'information pour les personnes en recherche d'emploi. A l'intérieur, un vieil autocollant bleu usé par le temps indique "test PCR"."Plutôt que de laisser ces cabines vides, on essaie d'en faire un autre usage" en "fonction des besoins du moment et de l'endroit", explique à l'AFP la mairie de Suzhou.PIB de ChypreCertaines ont ainsi été aménagées en mini-bibliothèques où les habitants peuvent venir échanger des livres.Durant la vague épidémique de décembre-janvier, d'autres avaient été converties en stations de consultation médicale et de distribution de médicaments anti-fièvre.Un type de reconversion très pratiqué en Chine, avec l'idée de réduire la pression sur les hôpitaux où affluaient des malades du Covid.La mise en place des tests PCR dans le pays (hors centres de quarantaine) aura coûté environ 200 milliards de yuans (27 milliards d'euros), selon le cabinet américain Goldman Sachs, cité par l'agence Bloomberg – soit l'équivalent du PIB de Chypre.Face à une opinion publique qui reste vigilante quant à l'utilisation de l'argent public, les autorités semblent donc pour l'heure poussées à reconvertir plutôt qu'à détruire.A Jinan, capitale de la province du Shandong (est), des cabines sont ainsi devenues des "cabanes chaleur" chauffées, où passants, livreurs et ouvriers peuvent s'abriter du froid, recharger leurs téléphones et bénéficier d'eau chaude gratuite.D'autres ont été reconverties en points services de la Croix-Rouge ou stations de tri sélectif.Beaucoup d'ex-cabines de tests PCR restent toutefois inutilisées, notamment dans la capitale Pékin ou dans la grande ville de Hangzhou (est), abandonnées dans les rues ou stockées en attente de leur sort.Lit et télévisionAu point que certains tentent de les écouler sur internet.Sur Xianyu, la principale application chinoise de vente de produits d'occasion, elles sont affichées entre 100 et 8.000 yuans (14 et 1.100 euros) suivant leur sophistication."La nôtre vient d'une entreprise qui n'en voulait plus", explique à l'AFP un vendeur.La situation des ex-centres de quarantaine et hôpitaux temporaires, dans lesquels étaient jadis placées d'office les personnes testées positives ou malades du Covid, est plus complexe car ces installations sont bien plus volumineuses.Un certain nombre restent ainsi pour l'heure inutilisées. Mais un peu partout en Chine, d'ex-hôpitaux de fortune sont reconvertis en hôpitaux d'appoint, c'est-à-dire renforcés avec des équipements et du personnel supplémentaires - avec là encore l'idée de soulager la pression pesant sur les hôpitaux classiques.Toujours à Jinan, un ancien centre de quarantaine en préfabriqué a été transformé en logement pour des employés d'entreprises situées à proximité. Au total, 650 chambres sont disponibles avec lit, placard, bureau, téléviseur ou encore climatiseur, selon la presse locale."C'est bien, ça permet une utilisation durable des ressources !", se félicite un internaute sur le réseau social Weibo.Certains sont plus circonspects. "Quid du wifi, de l'isolation thermique et de l'insonorisation?", s'interroge un autre utilisateur. "Un démontage n'aurait-il pas été moins coûteux ?"
Il y a 2 ans et 67 jours

En Equateur, IQON la plus haute tour de Quito est BIG

Après quatre années de chantier, Bjarke Ingels Group (BIG) a livré IQON, la plus haute tour mixte (54 000 m²) de Quito (Equateur) pour le développeur Uribe Schwarzkopf. Cette opération est le premier projet en Amérique du Sud de l’agence danoise. Communiqué. IQON s’élève à 130 mètres, ce qui en fait le plus haut bâtiment de […] L’article En Equateur, IQON la plus haute tour de Quito est BIG est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 68 jours

Dans le Vieux Caire, les habitants renouent avec leur patrimoine

"La première fois qu'on a ouvert un monument aux enfants, ils ont explosé de joie", raconte à l'AFP l'architecte May al-Ibrashy, depuis son bureau sur les toits du quartier d'al-Khalifa, encadré par deux minarets du 14e siècle.Cette fine connaisseuse du Vieux Caire a lancé en 2012 l'initiative "Athar Lina" ("le patrimoine nous appartient" en arabe) qui multiplie ateliers, visites guidées et même après-midis de jeu dans des monuments tels qu'Ibn Touloun, l'une des plus anciennes mosquées d'Afrique construite il y a près de 1.200 ans.Dans le dédale de ruelles du Vieux Caire, au coeur d'une mégalopole de 20 millions d'habitants, les constructions anciennes et les immeubles d'habitations se touchent.Mais la séparation reste bien réelle entre habitants et monuments, affirment les spécialistes.Depuis que l'Egypte s'est dotée dans les années 1980 d'une stricte politique de conservation, les monuments ont été "mis sous clé" car "cela semblait être le meilleur moyen de les préserver", rapporte à l'AFP Omniya Abdel Barr.Des idées héritées "du 19e siècle, quand on pensait que les Egyptiens ne méritaient pas leur patrimoine, qu'il fallait construire des murs entre eux et les monuments pour qu'ils ne les abîment pas", poursuit cette spécialiste de la préservation du patrimoine.Abattoir et bibliothèqueLe résultat, sa consoeur May al-Ibrashy l'a constaté: "les plus âgés étaient beaucoup plus liés aux monuments parce qu'ils y avaient plein de souvenirs d'enfance que leurs enfants n'avaient pas."Alors, à Athar Lina, on mêle présent et passé. Les femmes d'un atelier de broderie confectionnent dans une vieille maison rénovée des tentures qui représentent toute leur Egypte: des minarets et des arcades mais aussi un manguier, le teinturier du quartier, un marchand ambulant et les chiens errants du Vieux Caire.Au travers de cette réappropriation, comme des souvenirs d'enfance, des fêtes locales ou religieuses, "les habitants sentent que cet espace est le leur et c'est la meilleure stratégie de protection du patrimoine", affirme Mme Abdel Barr.Des souvenirs d'enfance, Mohammed Tareq, 39 ans, en a à la pelle dans son quartier populaire de la citadelle du Caire, construite par Saladin au 12e siècle.Petit, il longeait régulièrement Beit Yakan, une maison patricienne du 17e siècle, alors surnommée "la déchetterie". Plus âgé, il y a amené un bœuf avant le mariage de sa soeur, car un boucher avait investi les lieux pour en faire son abattoir.Aujourd'hui, il y travaille et fait visiter les lieux dans les effluves de plantes aromatiques qui s'échappent des moucharabieh qu'Alaa Habachi a fait sculpter par des ébénistes.En 2009, ce professeur d'architecture a racheté la demeure au fameux boucher, pour la sauver d'un ordre de démolition.Sur les 600 maisons patriciennes --reconnaissables à leur patio central-- du Vieux Caire, seules 24 sont aujourd'hui classées au patrimoine national, assure M. Habachi à l'AFP.Les autres, comme Beit Yakan, avec sa bibliothèque à deux étages et ses plafonds boisés mamelouks et ottomans, n'ont aucune protection légale."Personne ne sait vraiment dans quel état se trouvent celles qui sont encore debout, et chaque jour, on en démolit une nouvelle", déplore l'universitaire.L'"âme" du Vieux CaireOr, poursuit-il, "ces patios, tous orientés nord-ouest pour assurer une climatisation naturelle, jouaient un rôle social et économique majeur dans l'environnement urbain."Pour faire revivre ces zones de socialisation dans une ville où les espaces publics sont grignotés par les promoteurs et les travaux d'aménagement, Beit Yakan accueille régulièrement des ateliers, des campagnes de sensibilisation à la protection du patrimoine et des événements pour les habitants du quartier. Sans ces lieux ouverts à tous, le Vieux Caire pourrait être "abandonné", s'alarme M. Habachi.Or "ces bâtiments ne sont que le corps, c'est la communauté locale qui est l'âme" du Vieux Caire, rappelle-t-il.Une communauté qui n'a "que très peu d'endroit pour se retrouver, hors des appartements exigus et des rues bondées", note Mme Abdel Barr.Elle souhaite rester optimiste. Beit Yakan, Athar Lina et les autres euvent changer la donne et "apporter un peu de sérénité", dit-elle."Ces maisons pourraient devenir des sortes de squares du quartier où les femmes pourraient amener leurs enfants et profiter d'un coin de jardin pendant un moment", espère-t-elle.
Il y a 2 ans et 68 jours

Fraîcheur de ville, une résidence d’architecte à Arles

La MAV Paca a lancé un appel à candidature pour participer pour une résidence d’architecture à Arles (Bouches-du-Rhône) sur le thème « fraîcheur de ville – îlots de fraîcheur, stratégies de rafraîchissement urbain ». Jusqu’au 13 mars 2023. Pour atténuer les conséquences du réchauffement climatique, les villes auront à rafraîchir par des moyens soutenables, non seulement les […] L’article Fraîcheur de ville, une résidence d’architecte à Arles est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Cimbat
Il y a 2 ans et 69 jours

Annecy met en place des quotas pour réguler les meublés de tourisme

"Nous constatons que le nombre de meublés déclarés sur la commune d'Annecy est aujourd'hui quatre fois plus élevé qu'il y a cinq ans", a souligné le maire écologiste François Astorg lors d'un conseil communautaire.Des quotas s'appliqueront à partir du 1er juin prochain dans la commune, qui a été divisée en trois zones, la plus restrictive étant la vieille ville, cœur touristique d'Annecy. Au total, le nombre de résidences secondaires en meublés de tourisme sera limité à 2.200 sur l'ensemble de la ville, contre plus de 2.800 actuellement, soit 3% du parc de logements."On essaye de ramener les logements vers leur fonction première, qui est l'habitation à l'année", explique à l'AFP Sophie Garcia, conseillère municipale déléguée au logement abordable et à la mixité sociale. La ville espère ainsi faire revenir sur le marché quelques centaines de logements dans les trois ans. L'objectif de la municipalité est désormais de "retrouver un équilibre" entre les visiteurs et les personnes qui vivent et travaillent à Annecy. "On a des immeubles quasiment entiers dédiés à ça (la location touristique, NDLR), au détriment de la vie de voisinage, de la sérénité des résidents et du patrimoine d'Annecy", pointe l'élue annécienne.Cette mesure de quotas s'accompagne d'un durcissement de la réglementation sur les changements d'usage de locaux d'habitation en hébergement touristique avec, notamment, la limitation des autorisations à un seul bien par propriétaire ou encore l'obligation d'un renouvellement tous les cinq ans. Les nouvelles règles sont contestées par le Syndicat Annecy Meublés, représentant les intérêts des loueurs, qui qualifie cette politique de "discriminatoire et disproportionnée".Elle "ne résout pas le problème de logement et de nuisances" à Annecy et va affecter la rentabilité des biens des propriétaires, estime son président Marc Stakic, joint par l'AFP. Le syndicat envisage d'engager un référé en justice contre ces délibérations.La ville d'Annecy est l'une des premières en France à appliquer des quotas pour tenter de réguler le développement des locations de courte durée sur des plateformes de type Airbnb, Booking, Abritel etc."On espère aussi interpeller le législateur pour que l'Etat prenne position sur ce phénomène dont on n'avait pas pu prévoir la prise d'ampleur", indique la conseillère municipale Sophie Garcia.
Il y a 2 ans et 69 jours

Qualité de l'air intérieur : une start-up conçoit une solution pour les piscines

INNOVATION. Octopus Lab a élaboré une solution capable de contrôler la ventilation des centres aquatiques et ainsi d'optimiser au mieux le renouvellement d'air. Pour les propriétaires et exploitants de ces sites, c'est la garantie de faire des économies sur leurs dépenses énergétiques.
Il y a 2 ans et 69 jours

TotalEnergies alimentera en électricité renouvelable l'usine d'oxygène sud-africaine d'Air Liquide

"TotalEnergies développera une centrale solaire photovoltaïque de 120 MW et une ferme éolienne de 140 MW dans la province du Western Cape", a annoncé le groupe dans un communiqué."Ces projets fourniront environ 850 GWh par an d'électricité verte au site de Secunda de Sasol, situé à environ 700 kilomètres au nord-est, où Air Liquide opère la plus grande unité de production d'oxygène au monde", précise la major française des hydrocarbures.Ce site constitué de 16 usines - des unités de séparation des gaz de l'air qui peuvent produire 42.000 tonnes d'oxygène par jour - a été racheté mi-juin 2021 par Air Liquide à Sasol, pour environ 480 millions d'euros. Les deux groupes avaient alors annoncé avoir lancé un appel d'offres en vue de fournir 600 mégawatt (MW) d'énergie renouvelable au site à l'horizon 2025.Un premier contrat avait été annoncé en janvier avec Enel Green Power, pour une capacité de 220 MW. "Ensemble, ces contrats portent à 480 MW les capacités en énergies renouvelables acquises par Air Liquide et Sasol, dans le cadre de leur engagement à sécuriser une capacité totale de 900 MW d'énergies renouvelables", a salué Air Liquide dans un communiqué séparé."Les contrats d'achat d'électricité avec les entreprises sont un marché dynamique, dont nous voulons que TotalEnergies soit l'un des principaux leaders"", a déclaré Vincent Stoquart, directeur Renewables de TotalEnergies, cité dans le communiqué.La multinationale investit davantage dans les énergies renouvelables : 5 milliards de dollars en 2023 (contre 4 en 2022), sur 16 à 18 milliards d'investissements totaux.Mais TotalEnergies continue de développer des projets de gaz - comme au États-Unis, au Liban et au Qatar- ou pétroliers en Afrique, au point que des experts du Giec l'ont accusé début février dans une tribune publiée sur Franceinfo de "disqualifier les feuilles de route pour la transition énergétique basées sur la réduction de la demande en énergie".
Il y a 2 ans et 69 jours

Grand Témoin : Frédéric Gardès, P-dg du groupe Colas

INTERVIEW. Frédéric Gardès est arrivé à la tête du groupe Colas en 2019, d'abord comme directeur général puis comme P-dg début 2021, après un parcours tourné vers l'international. Quel regard porte-t-il sur l'évolution du secteur du BTP, et notamment des métiers des travaux publics, sur l'actualité de ses derniers mois, sur les perspectives pour l'entreprise qu'il dirige ? Découvrez ses réflexions, sa vision, son actualité, son message aux professionnels mais aussi son parcours et son portrait en cinq traits, dans cet entretien Grand Témoin.
Il y a 2 ans et 69 jours

En Seine-et-Marne, Acorus déploie ses activités dans le réemploi de sanitaires

REPORTAGE. L'atelier-test francilien de réemploi de sanitaires et plomberie est un succès pour le groupe Acorus, qui s'est lancé dans cette branche en novembre 2022. Batiactu vous fait visiter ce petit hangar destiné à s'agrandir.
Il y a 2 ans et 69 jours

Vers un réel effort d'investissements dans les infrastructures de transports

POLITIQUE. Promis depuis plusieurs mois, le Conseil d'orientation des infrastructures a officiellement remis son rapport à la Première ministre, Elisabeth Borne, le 24 février 2023. Cinq ans après un premier volet, le Gouvernement s'engage à fournir des efforts supplémentaires et dans la durée, principalement axés sur le ferroviaire, la régénération et la modernisation des réseaux, comptant sur une forte contribution des collectivités locales également.
Il y a 2 ans et 69 jours

Le gouvernement annonce quatre chantiers pour la réforme controversée de L'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN)

Le ministère de la Transition énergétique a confirmé jeudi qu'un amendement sera proposé "dans les prochains jours" dans le cadre de l'examen à l'Assemblée nationale du projet de loi d'accélération administrative du nucléaire, qui doit être soumis au vote des députés entre le 13 et le 15 mars. Quatre groupes de travail plancheront sur le transfert des missions de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire au sein de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN); les conditions de travail des personnels et l'attractivité des métiers ; les évolutions règlementaires à prévoir ; les sujets budgétaires et financiers. Ces chantiers seront menés pendant trois mois par les dirigeants des deux organismes en concertation avec les personnels, les parlementaires, l'Anccli (la fédération des Commissions locales d'information, installées autour de chaque centrale en France), a détaillé le cabinet d'Agnès Pannier-Runacher.Le gouvernement a annoncé le 8 février son intention de supprimer l'IRSN en indiquant qu'il s'agissait de "fluidifier les processus d'examen".Selon le ministère, cette réforme doit "consacrer l'indépendance et la transparence du système de sûreté nucléaire français", "renforcer les compétences et la puissance d'action de l'ASN", et "accroître l'attractivité des métiers de la sûreté nucléaire".Le ministère attend des dirigeants des trois organismes qui encadrent le nucléaire en France (ASN, IRSN ainsi que le Commissariat à l'Energie atomique ou CEA) un rapport détaillé sur la mise en œuvre de la réforme "d'ici juin", notamment "d'un point de vue réglementaire et financier".Selon le projet, experts, techniciens et scientifiques de l'IRSN – quelques 1.725 personnes au total - rejoindraient "en bloc autant que faire se peut" l'ASN, surnommée le gendarme du nucléaire car elle prend la décision d'autoriser ou d'arrêter des centrales, sur la base notamment de l'expertise technique de l'IRSN.La mise en œuvre de la réforme prendra un an à quinze mois, a souligné le cabinet qui, alerté par les syndicats, estime que expertise et pilotage stratégique devraient rester "séparés".Opposés à la réforme, ceux-ci accusent le gouvernement de vouloir "supprimer en 40 jours un organisme qui a mis 40 ans être construit" et qui garantit la crédibilité du système nucléaire français, en séparant l'expertise et la décision.Même si le ministère assure que la "publicité des avis d'expertise sera préservée", les salariés craignent de voir diminuer l'indépendance de l'organisation, et surtout de voir disparaître la transparence des avis des experts de l'IRSN publiés de façon indépendante, au moment où l'Etat et EDF veulent lancer un nouveau programme nucléaire et prolonger les centrales vieillissantes au delà de 50 ou 60 ans.Le ministère a admis jeudi qu'il ne savait "pas répondre" à la question de savoir si les avis de l'IRSN seraient publiés avant ou après les décisions de l'ASN. "Il va falloir que le sujet soit très précisément posé" a indiqué un responsable.Après une première grève - fait rarissime - le 20 février, l'intersyndicale de l'IRSN a annoncé un nouveau préavis pour le 28 février.
Il y a 2 ans et 69 jours

plan de sobriete energetique le logement se mobilise pour l acte 2

Les ministres de la Transition énergétique et du Logement ont réuni le groupe de travail Logement du plan sobriété énergétique.
Il y a 2 ans et 69 jours

oscar sonde les artisans sur les cee et maprimerenov

Visant à simplifier et former les professionnels du bâtiment aux aides à la rénovation énergétique, le programme OSCAR a tenu à sonder les impressions des artisans et entreprises sur le sujet.
Il y a 2 ans et 69 jours

un fonds pour lutter contre la precarite energetique

Interview avec Kevin Chaplais, directeur général d’Energie Solidaire, fonds qui finance des associations et projets impliqués contre la précarité énergétique des ménages.
Il y a 2 ans et 69 jours

saint gobain une annee 2022 historique en termes de resultats financiers

Le géant français des matériaux de construction Saint-Gobain a réalisé une année 2022 de tous les records. Sur toutes ses lignes financières, le groupe affiche les chiffres les plus élevés de son histoire, a indiqué récemment son directeur général, Benoit Bazin.
Il y a 2 ans et 69 jours

Infrastructures et investissements : comment Elisabeth Borne s'empare du rapport du COI

Le document du Conseil d’orientation des infrastructures, remis le 24 février à la Première ministre, dégage trois scénarios...-Travaux publics
GDA
Il y a 2 ans et 69 jours

Direct Garde-Corps

Direct Garde-Corps L'association des compétences de deux entreprises innovantes - TGVI et Inox&Co a donné naissance à Batipole ven 24/02/2023 - 16:14 En savoir plus sur Direct Garde-Corps Partager
Il y a 2 ans et 69 jours

Les domaines skiables français ont investi 380 M€ en 2022

Après la chute historique de leurs investissements en 2020 (237 M€), directement associée à la crise sanitaire, les domaines skiables français, bien soutenus par les pouvoirs publics, avaient limité le contrecoup économique en 2021 (268 M€). Il fallait déjà y voir une illustration de la confiance des professionnels dans leur filière. En affichant cette année le deuxième total de la décennie (après 2018), auquel il convient d’associer l’effet de l’inflation, les opérateurs tricolores confirment leurs certitudes vis-à-vis de la destination montagne.« En 2022, 380 M€ ont été investis sur les domaines skiables français. En hausse de 41,8% par rapport à la saison précédente et supérieur de 17,1% à la moyenne décennale, ce montant s’affiche comme le deuxième plus haut de la décennie. En France, les exploitants ont ainsi réinvesti cette année 26,1% de leur chiffre d’affaires hors taxes », analyse Atout France.Au-delà du montant, Domaine skiables de France et son président Alexandre Maulin retiennent la stratégie d’investissement : « Si les chiffres indiquent un retour à la normale, plusieurs tendances de modification durable des stratégies d’investissement sont à l’œuvre. Le choix des équipements à renouveler tout d’abord et, plus encore, le choix des équipements par lesquels les remplacer, est plus qu’hier dicté par des considérations d’économie et d’environnement, notamment sur les critères de la performance énergétique et de la polyvalence hivernale et estivale. Les décisions d’aménagement prennent également en compte les effets du changement climatique, tels que les scénarios du GIEC qui permettent de les modéliser à plus ou moins long terme. »L’intégralité́de l’enquête est à retrouver au sein du numéro 294 de Montagne Leaders accessible en ligne.
Il y a 2 ans et 69 jours

Polémique sur l’usage du fioul domestique pour le chauffage après les propos d'un ministre sur France Inter

Son intervention le mardi 21 février sur France Inter dans l’émission « Le téléphone sonne » est édifiante sur la méconnaissance des problématiques du chauffage en France et l’imposition des visions urbaines, à l’encontre de la cohésion et de l’égalité des territoires. En premier lieu, le Ministre méconnaît le fait que le fioul domestique traditionnel va disparaître de lui-même au profit de combustibles liquides moins émissifs en CO2. Ainsi, l’autorisation de la mise sur le marché français en 2022 du fioul domestique F30, dit « Biofioul » (biocombustible incorporant 30% d’énergie renouvelable d’origine végétale), et qui abaisse les émissions de CO2 de 10%, est la première étape vers le prochain F55 (55% de biocombustible renouvelable). Tous les pays européens travaillent sur la substitution du fioul par des combustibles liquides renouvelables et de synthèse ainsi que la Directive européenne sur les énergies renouvelables y incite. Par ailleurs, la politique du bouc émissaire est absurde et stigmatisante pour les Français habitant en zones rurales et périurbaines. Les consommateurs dont le choix énergétique est restreint de par leur situation géographique sont ainsi désignés comme « criminels » et désinformés sur les impacts de l’utilisation des énergies de chauffage. Certes l’usage du fioul domestique en chauffage émet plus de CO2 par kWh que d’autres énergies mais il faut en relativiser les proportions pour disqualifier ces propos excessifs, outranciers, inadmissibles de la part d’un responsable gouvernemental. Valeurs CO2 du DPE – étiquette climat / énergie (arrêté ministériel du 15 septembre 2006, modifié)Électricité de réseau : 180 grGaz de réseau (méthane) : 234 grGaz en citerne (propane) : 274 grFioul domestique traditionnel : 300 grBois de chauffage : 13 grEn comparaison : Biofioul F30 : 275 gr (disponible sur le marché)Biofioul F55 : 234 gr (en tests de compatibilité chaudières)Nota : seul le CO2 est considéré, à l’exclusion du CH4 (méthane) ou des HFC (fluides frigorigènes), polluants dont le fioul domestique n’est pas « criminel » Le Ministre au lieu de s’expliquer sur les défaillances des DPE, de la gestion des aides à la rénovation, de la chute des travaux pourtant prioritaires d’isolation crée une diversion péremptoire.Pour Eric Layly, Président de FF3C : « Si le Palais de l’Elysée ou les chambres parlementaires, qui utilisent du fioul domestique, ont les ressources pour opter pour d’autres solutions, qu’en est-il des Français habitant dans les territoires ruraux ? En pleine crise énergétique, les déclarations du Ministre sont particulièrement discriminantes pour près de 3 millions de foyers qui se chauffent au fioul domestique. »Le syndicat FF3C souligne en outre combien le rôle des entreprises de distribution d’énergies hors réseaux est crucial pour la sécurité d’approvisionnement des consommateurs qui, quelles que soient les crises passées et récentes, n’ont jamais été menacés de coupures.Emporté par la résurgence d’un culte imposant l’électricité, quoi qu’il en coûte, le Ministre en charge de la Ville et du Logement se rend coupable d’anathème sur un sujet qui demanderait de la tolérance, de l’adaptation aux territoires, de l’information objective et des mesures concrètes pour inciter les consommateurs à remplacer leurs équipements par des matériels biocompatibles neufs qui, au passage, permettent de réduire d’un tiers la consommation et de plus de 50 % si l’isolation du bâti était au rendez-vous.
Il y a 2 ans et 69 jours

Résultats records pour Saint-Gobain en 2022

RÉSULTATS. Après une année 2021 au sommet, le géant des matériaux de construction français continue de battre des records. Saint-Gobain annonce avoir signé une année 2022 historique.
Il y a 2 ans et 69 jours

Biti-Matériaux Locaux : pour que le seconde main devienne la norme

Depuis deux ans, l’association Biti Matériaux Locaux travaille à réduire l’empreinte carbone du secteur de la construction. Outre la...-Artisans
Il y a 2 ans et 69 jours

Carat, le liant carbo-négatif de Vicat prend de l’ampleur

Depuis octobre 2022, le ciment Carat de Vicat est utilisé dans les bétons à empreinte carbone réduite coulés sur le chantier du siège régional de Léon Grosse. [©ACPresse] Une couleur plus que surprenante pour du béton a fait son apparition sur un chantier de grande envergure à Bron (69). Une teinte noire qui s’estompe après le coulage et qui est due au premier liant carbo-négatif : Carat. Celui-ci permet de formuler des bétons avec une réduction de près de 90 % de l’empreinte carbone. Une recette concoctée par Vicat qui expérimente, pour la première fois, ses performances à grande échelle, sur le chantier de construction du siège régional de  Léon Grosse. Baptisé “8e chemin”, ce projet, mélangeant bureaux et logements, est le fruit d’une relation de confiance entre le cimentier et l’entrepreneur. Une collaboration qui a débuté en novembre 2021 et qui s’est amplifiée ces derniers mois. « Cette idée de construction a commencé en juin 2022, précise David Poulain, directeur de l’agence de Lyon de Léon Grosse. Et dès octobre 2022, nous avons pu couler les premiers bétons bas carbone Carat. » Au total, 850 m3 de béton à empreinte carbone réduite seront nécessaires sur ce chantier. Ils serviront à la création des planchers et de quelques voiles de l’édifice. Lire aussi : Vicat : Carat, un bijou carbo-négatif Un liant qui stocke durablement le carbone En ce qui concerne la composition de Carat, elle se caractérise par une diminution du taux de clinker dans le ciment. Ce clinker est substitué par un ajout du biochar, matériau biosourcé reconnu pour fixer durablement le carbone. Cette addition répond aux attentes de la RE 2020, qui encouragent à stocker le carbone biogénique dans les bâtiments. Pari réussi, Carat bénéficie d’un bilan carbone correspondant à un niveau d’émissions nettes négatif de – 15 kg éq CO2/t. Grâce à sa solution, le groupe Vicat enrichit ainsi sa gamme de bétons bas carbone Deca. De plus, le liant carbo-négatif conserve l’ensemble des propriétés et des usages d’un ciment traditionnel de type CEM II. « Expérimentation qui est couronnée de succès jusqu’à présent, déclare Laurent Legay, directeur des marchés et des offres chez Vicat. Nous avons un comportement des bétons qui est conforme aux attentes. Nous sommes satisfaits de sa performance et de sa mise en œuvre par les équipes de construction de Léon Grosse. » La collaboration technique entre Vicat et Léon grosse s’est accentuée ces derniers mois sur le chantier du “8e chemin”. [©ACPresse] A l’heure actuelle, la solution Carat n’est pas disponible sur le marché. Une fois la certification Atex obtenue, Vicat envisage sa commercialisation. « Nous sommes en cours de procédure. En attendant, nous travaillons avec des partenaires sur des opérations pour lesquelles l’assureur accepte de couvrir ces projets innovants. Après validation, nous pourrons généraliser l’utilisation de ce liant, partout en France, sur de nombreux chantiers », conclut Laurent Legay.   Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 69 jours

Coups d'arrêt dans l'immobilier, les craintes de marasme s'accentuent

L'ancien ralentit, le neuf s'écroule : le marasme guette le secteur de l'immobilier, frappé par des conditions de crédit plus difficiles."2022 a marqué, vraiment, une grande dualité, avec deux semestres qui sont particulièrement prononcés": le premier en nette hausse, le second en forte baisse, a exposé Elodie Frémont, présidente de la commission statistiques immobilières chez les Notaires du Grand Paris.Trois causes majeures à ce ralentissement, a-t-elle détaillé: "la difficulté du crédit à l'habitat, qui devient plus onéreux et plus compliqué à obtenir; un contexte général, aussi bien économique que géopolitique, plus tendu; et peut-être un engouement pour la maison au vert (...) qui semble se terminer."Depuis le confinement du printemps 2020, les prix des maisons anciennes augmentaient plus vite que ceux des appartements, poussés par une envie accrue de vert et d'espace.Si le prix des maisons continue d'augmenter plus vite que celui des appartements (5,8% contre 3,5%), les rythmes tendent à se rejoindre. "Une partie de ce que l'on qualifie d'appel du vert était aussi un appel de prix plus bas", souligne auprès de l'AFP Alain Tourdjman, directeur des études économiques chez BPCE.Maintenant que le prix des maisons a rattrapé celui des appartements, elles deviennent mécaniquement moins attractives, dit-il.Les craintes sur la consommation d'énergie et la réglementation qui se durcit pour les possesseurs de passoires thermiques ont pu pénaliser davantage le marché des maisons, celles-ci étant en général plus grandes et plus énergivores, pointe Alain Tourdjman.L'immobilier en province, qui augmentait plus vite qu'en Île-de-France, décélère aussi, même s'il continue de surclasser la région parisienne (6% d'augmentation annuelle, contre 1,4%).Coûteux créditsMais la cause principale du freinage est la difficulté à emprunter.La remontée rapide des taux d'intérêt a renchéri le coût du crédit. Si bien, ont calculé les Notaires du Grand Paris, qu'un acquéreur qui pouvait acheter une maison de 100 mètres carrés en janvier 2022 ne peut plus acquérir, avec le même montant emprunté, que 88 mètres carrés un an plus tard.Le taux d'usure, qui interdisait aux banques de prêter au-delà d'un certain taux, a un temps grippé le marché, avec des acquéreurs qui devaient rétracter leurs offres faute d'accès au crédit.Mais l'assouplissement de la réglementation décidé fin janvier ne va pas pour autant relancer le marché, estiment plusieurs professionnels. "C'est plus la contrainte de l'environnement économique et de la baisse du pouvoir d'achat qui réduit les volumes de crédit que le taux d'usure", estime Loïc Cantin, président de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim).Par rapport à l'inflation (5,2% en 2022), les prix de l'immobilier sont d'ores et déjà en baisse, souligne-t-il.Et ça ne va pas s'arrêter là. "Oui, nous allons assister à une poursuite de la décélération des prix dans les prochains mois", dit-il.Les économistes de BPCE estiment même que les prix dans l'ancien devraient refluer d'ici à la fin de l'année, de 2 à 3%.Le neuf en panneDu côté de l'immobilier neuf, les très mauvais chiffres s'accumulent. Jeudi, le pôle habitat de la Fédération française du bâtiment, qui regroupe aménageurs, promoteurs, constructeurs de maisons et rénovateurs, s'est alarmé d'une "crise sévère" touchant le secteur.Les constructions de maisons individuelles en lotissements ont chuté de 22,2% en 2022, celles en secteur diffus (hors lotissements) de 31%.En cause, pointe le pôle habitat, la remontée des taux d'intérêt, mais aussi la hausse des coûts de construction, aggravée par la guerre en Ukraine, et l'affaiblissement de dispositifs de soutien aux acquéreurs.
Il y a 2 ans et 69 jours

Technologie ultra performante contre le calcaire avec garantie de résultats

Depuis plus de 30 ans, EXPERTIMA Technologies, basée à Martigues (Bouches-du-Rhône), travaille sur le traitement physique de l’eau. Après 20 ans de R&D, son fondateur et ses ingénieurs ont conçu et développé une nouvelle technologie contre l’entartrage : le Procédé NT, breveté en 2006 et le Procédé NT-F breveté en 2019.Produits depuis 16 ans en Provence, ces équipements confirment leurs qualités : performances, aucun entretien, respect de l’environnement et de la qualité sanitaire des eaux.Un nouveau brevet déposé en Octobre 2019, après 3 années d’analyse des données SAV et de recherches, permet de traiter une palette encore plus large de qualités d’eau, avec des variations de TH et de pH qui influencent fortement l’entartrage des installations, et avec des performances encore plus élevées.Cette nouvelle technologie sans zinc permet au fabricant de s’affranchir des remarques soulevées par le rapport de l’ANSES (de Janvier 2019) sur les procédés comportant des anodes ou des catalyseurs en zinc.Toutes les unités anticalcaire conçues par EXPERTIMA Technologies disposent d’une attestation de conformité sanitaire (ACS), renouvelée tous les 5 ans.Aujourd’hui, EXPERTIMA Technologies possède une expérience acquise sur un parc de plus de 30.000 appareils suivis et en fonctionnement. Ils équipent intégralement la tour CMA CGM, à Marseille, et sont utilisés dans de nombreux bâtiments hospitaliers et de santé, en industrie, en marine et en habitat collectif.EXPERTIMA Technologies s’engage pendant 5 ans renouvelables sur l’efficacité anticalcaire de ses produits, de la petite à la grande installation.Assistance Technique en Ingénierie de l’eau, Ingénierie sanitaire et process thermo-hydrauliquesEXPERTIMA Technologies propose une gamme complète d’appareils de 0,2 m3/h à 500m3/h pour maintenir des installations pérennes.EXPERTIMA Technologies accompagne les ingénieurs (hydrauliciens, thermiciens) et techniciens, des BE et des entreprises de pose et d’exploitation pour protéger efficacement leurs installations, partout en France, et même à l’international.Forte de son expérience en bâtiments collectifs et sur les grands sites tertiaires et industriels, EXPERTIMA Technologies développe sa gamme domestique sous une marque spécifique pour le logement individuel.Une gamme spécifique pour l’habitat individuel : CALCÉO
Il y a 2 ans et 69 jours

Comment concevoir des voies pavées accessibles ?  

Tout projet de voirie peut être rendu « accessible » à condition d’intégrer ce critère bien en amont de la construction. Des pavés perméables et circulables Le choix des pavés pour réaliser une voie accessible peut s’orienter sur des formes simples à mettre en œuvre. Il sera plus facile d’assurer la planéité de l’ouvrage si les différents éléments s’imbriquent naturellement. La géométrie des pavés peut jouer sur la résistance mécanique au trafic. Le choix de la forme et de l’épaisseur du pavage a donc toute son importance. Pour accompagner le drainage des eaux de ruissellement, et si les propriétés du sol le permettent, vous pouvez sélectionner des pavés perméables. Ces éléments doivent être mis en œuvre avec des joints et des accessoires adaptés. Obligation d’accessibilité La voie pavée ouverte à la circulation des véhicules doit tenir compte des conditions de traversée des piétons. Au-delà de 12 mètres de large, la chaussée doit présenter un îlot central permettant aux usagers de s’arrêter à mi-chemin. Dans certaines configurations, l’intersection entre deux voies peut ne pas être perpendiculaire et allonger la distance de la traversée pour les usagers à pied. La mise en œuvre d’une traversée perpendiculaire pour les piétons permet de réduire sensiblement la distance. D’ailleurs le Code de la route, article R412-34 à R412-43, impose aux piétons de traverser perpendiculairement ou en continuité du trottoir. La Bande d’éveil de vigilance (BEV) doit signaler l’angle de la traversée. Elle doit être parfaitement perpendiculaire au passage piéton, et ce, quelle que soit l’orientation du trottoir. À défaut, les personnes malvoyantes ne sauraient anticiper correctement leur déplacement sur la chaussée. Sécurisation des voies pavées circulables L’aménagement d’îlots peut aussi se faire au profit de la sécurité des automobilistes. Les îlots directionnels peuvent simplifier considérablement les conditions de circulation. Il est également possible de protéger les sections de circulation dangereuses à l’aide de dispositifs adaptés. Les solutions de ralentissement par surélévation en font partie et contribuent à renforcer la sécurité de tous les usagers. Cette réduction des risques passe aussi par une bonne gestion des eaux de ruissellement. L’eau stagnante sur la voie rend la circulation plus complexe et surtout plus dangereuse. Pour assurer le drainage des eaux de ruissellement, il faut mettre en place un système de collecte de surface. Dans certains cas, ces eaux peuvent être simplement évacuées par infiltration dans les sols. Cela suppose toutefois la mise en place d’un revêtement en pavés perméable.
Il y a 2 ans et 69 jours

Dieselgate : un cabinet appelle les entreprises françaises à se porter partie civile

Bureau Brandeis veut mobiliser les propriétaires de flottes dont les émissions de CO2 des véhicules ont été minorées afin de lancer une...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 69 jours

Bouygues engrange des commandes dans son cœur de métier et réoriente sa stratégie avec Equans

Le conglomérat du BTP, des médias et des télécoms a enregistré en 2022 un bénéfice net en recul de 13,5% à 973 millions d'euros, mais le bénéfice opérationnel a progressé de 16,38% à 2 milliards d'euros.Le bénéfice net est en recul car il se trouve lesté de 90 millions d'euros de coûts exceptionnels liés notamment à des frais d'opérations de fusions-acquisitions concernant l'énorme rachat du groupe de services techniques Equans à Engie l'an passé, et à des frais liés au projet de mariage entre TF1 et M6, finalement avorté en septembre.Ces résultats sont à comparer à une base favorable en 2021 qui intégrait des plus-values de cessions de data-centers et des cessions d'actions d'Alstom.Malgré la guerre en Ukraine, l'inflation et l'envolée des taux d'intérêts, l'activité est restée soutenue dans la quasi-totalité des métiers. Le chiffre d'affaires global s'est inscrit en hausse de 18% à 44,3 milliards d'euros, en progression surtout à l'international (+34%)."La croissance est tirée par l'intégration d'Equans, par Colas et la construction, et dans une moindre mesure par les télécoms", relèvent les analystes d'Oddo dans une note.Seul Bouygues immobilier a vu son chiffre d'affaires baisser (-4%), dans un marché "globalement attentiste", selon le communiqué du groupe.Le chiffre d'affaires de la division "construction et services" s'est, lui, établi à 30,5 milliards d'euros, en hausse de 9%, essentiellement porté par Colas.Fin décembre 2022, le carnet de commandes de la construction et des services était "en hausse de 2% à 33,8 milliards d'euros, un niveau historique", s'est félicité le groupe.La branche construction enregistre une progression des ventes de 3% à 13,17 milliards d'euros et offre "une bonne visibilité" avec un "haut niveau de carnet de commandes" de 20,6 milliards d'euros.Intégration d'EquansPour la suite, "dans un environnement instable, marqué par l'inflation, la hausse des taux d'intérêt et la volatilité des devises, Bouygues vise pour 2023 un chiffre d'affaires proche de celui de 2022, et une augmentation du résultat opérationnel courant de ses activités (ROCA)", a indiqué le groupe riche de 196.000 collaborateurs.Côté Bouygues Telecom, l'activité commerciale est "restée dynamique", avec des ventes en hausse de 4% et la conquête de 449.000 nouveaux clients mobiles et 674.000 dans la fibre (FTTH). Au total, le parc mobile et fibre compte 19,9 millions de clients.Dans l'autre vitrine du groupe, TF1, le bénéfice net a reculé de 21,8% en 2022, à 176 millions d'euros, malgré une progression de ses ventes de 3% et les bonnes performances publicitaires durant la Coupe du monde de football. L'année aura été ternie par le mariage raté de TF1/M6 à cause des concessions demandées par l'autorité de la concurrence.A 6,6 milliards d'euros, la reprise d'Equans et de ses 70.000 salariés, est le plus gros rachat de l'histoire de Bouygues. Elle "nous positionne dans une nouvelle dynamique de croissance", et "significative" a commenté Olivier Roussat, directeur général du groupe lors de la présentation des résultats.En 2022, Equans, intégré à la branche Bouygues Energies et Services en octobre, aura contribué pour 3,8 milliards d'euros au chiffre d'affaires global. Son chiffre d'affaires annuel est de l'ordre de 13,8 milliards.Bouygues vise "une légère croissance de son chiffre d'affaires en 2023 et 2024", avant une "accélération" en 2025.Avec des services techniques allant de la gestion de l'énergie dans les bâtiments à la sécurité-incendie en passant par la ventilation, climatisation, chauffage ou le numérique, ce rachat doit permettre à Bouygues d'accélérer dans le secteur porteur des services à la transition énergétique.Avant l'acquisition, la division "construction et services" pesait 75% dans l'activité du groupe (dont 10% pour les services).L'intégration d'Equans déplace "son centre de gravité" vers une activité "beaucoup plus orientée vers ce sujet des énergies et services", a souligné M. Roussat. Un secteur amené à peser désormais pour un tiers du portefeuille d'activités (48% pour la seule construction), selon les projections.
Il y a 2 ans et 69 jours

Immobilier dans l'ancien : les prix ralentissent nettement (Notaires)

CONJONCTURE. La tendance se confirme de trimestre en trimestre : la hausse des prix de l'immobilier ralentit. Celle du nombre de transactions ralentit également. Les situations diffèrent cependant selon la zone géographique et le type de bien.
Il y a 2 ans et 69 jours

Comment bien choisir son assurance décennale ?

Comment bien choisir son assurance décennale ? Comparez les offres   
 
  Il est important de comparer les offres d'assurance décennale afin de gda ven 24/02/2023 - 13:53 En savoir plus sur Comment bien choisir son assurance décennale ? Partager
Il y a 2 ans et 69 jours

La Fédération Française du Bâtiment en 2022

Cette vidéo retrace les événements marquants de l'année écoulée. Elle met en lumière les réalisations de la FFB, les différentes actions menées pour promouvoir l'emploi, l'activité et les initiatives visant à favoriser la transition énergétique de la filière.
Il y a 2 ans et 69 jours

Guide de la sécurité incendie pour le feu intérieur des toitures terrasses TAN et bois

Le SNPU publie un nouveau guide pour utiliser les solutions techniques visant à se protéger des incendies provenant de l’intérieur des toitures-terrasses en bois et tôle d’acier nervurée.
Il y a 2 ans et 69 jours

L'école Gustave du BTP recrute aussi des femmes

Au campus lillois de l'école Gustave, école du BTP gratuite et rémunérée, la féminisation est en bonne voie. 10% de femmes y suivent la formation de pompier-chauffagiste.
Il y a 2 ans et 69 jours

"Le plan de sobriété énergétique a marché, y compris dans les TPE", A. Pannier-Runacher

RÉACTION. La ministre de la Transition énergétique a réuni syndicats, patronat et fédérations professionnelles pour faire un point d'étape sur la mise en oeuvre du plan de sobriété énergétique dans les entreprises. À l'issue de la réunion, la locataire de l'hôtel de Roquelaure a répondu aux questions de Batiactu.
Il y a 2 ans et 69 jours

Isonat lance la gamme Flex Contact, une nouvelle génération de panneaux isolants biosourcés en fibre de bois

Conservant les meilleurs lambdas du marché des isolants biosourcés, les produits de la gamme FLEX CONTACT répondent aux attentes des clients et s’inscrivent pleinement dans le cadre réglementaire de la rénovation énergétique. Cette gamme est aussi en parfait accord avec les enjeux stratégiques d’habitat durable avec moins de liant donc plus de fibre de bois dans ses panneaux.FLEX CONTACT, une solution d’isolation biosourcée qui accompagne les grandes tendances de fond du marché de l’isolationEn constante évolution, le marché des isolants biosourcés devrait tripler à l’horizon 2030 pour atteindre 33 millions de m² (9% de parts de marché*), la fibre de bois représentant la majorité des ventes avec 45% des volumes**.Ce potentiel de développement concerne aussi bien le marché de la rénovation (habitat particulier et bâtiments publics) que la construction neuve traditionnelle ou les maisons à ossature bois.Anticipant une telle croissance, Isonat se devait de répondre à une problématique phare des artisans en fabriquant des produits à la pose plus facile et avec moins de poussières.Les nouveaux panneaux FLEX 40 et FLEX 55 : un confort de pose qui répond à toutes les configurations d’isolation par l’intérieurFLEX 55Pouvoir isolant le plus performant du marché des biosourcés (0,036 W/(m.K)) Excellent isolant acoustique Le seul isolant biosourcé revêtu d’un voile de confort pour une découpe et une manutention facilitée.FLEX 40Pouvoir isolant parmi les plus performants du marché des biosourcés (0,038 W/(m.K)) Excellent isolant acoustique L’idéal en cloison, 4 références adaptées à la mise en oeuvre en logements, bâtiments collectifs et ERP.Une innovation technologique qui simplifie la manipulation, la découpe et la poseUne qualité de fibre qui améliore le confort de pose… avec beaucoup moins de poussières !Les panneaux FLEX 40 et FLEX 55 sont plus faciles à manipuler sur les chantiers. Leur fibre ne se délite pas et génère très peu de poussières lors de la découpe, rendant ainsi la pose plus simple et agréable à réaliser. La souplesse des panneaux et leur aptitude à la compressibilité facilitent également la mise en oeuvre entre les montants et les passages de gaines.Une nouvelle composition au service de la performance des panneauxLes panneaux FLEX 40 et FLEX 55 sont élaborés avec une nouvelle génération de liant, dont la quantité nécessaire pour la fabrication a été divisée par deux. Cette nouvelle formule permet d’obtenir des panneaux avec plus de fibres de bois, dont les qualités techniques améliorées assurent l’excellente cohésion de la matière et la robustesse des panneaux.Une éco-conception et une fabrication françaisePour la fabrication de ses isolants biosourcés en fibre de bois FLEX CONTACT, Isonat privilégie le Douglas certifié PEFC. Cette matière première provient des forêts locales et est issue des chutes de production des scieries voisines, dans un rayon d’environ 60 km autour de l’usine de Mably (42).Un emballage simple à lire et plus durableGrâce à ses nouveaux emballages, Isonat facilite le choix des poseurs comme des vendeurs. Pédagogique avant tout, il indique le nom de la gamme, la nature de l’isolant et ses bénéfices, des informations nécessaires et directement visibles sur un pack plus épuré.Côté recyclabilité, le taux d’encrage des emballages a été divisé par deux passant de 45% à 22% ce qui permet un recyclage des emballages plus important car il nécessite moins de traitement.*Sources internes Saint-Gobain.**Sources Étude MSI “Marché des Produits d’Isolation Thermique en France” - Janvier 2022.
Il y a 2 ans et 69 jours

que pensent les architectes du confort thermique

Le confort thermique dans le bâtiment est un sujet d’actualité. La France connaît de plus en plus souvent des épisodes de températures extrêmes. Le secteur de la construction doit donc relever le défi d’offrir aux usagers l’agrément d’avoir une température constante à l’intérieur du bâti. Comment s’y prennent les architectes pour répondre aux divers enjeux en phase de conception des projets ? Quelles techniques utilisent-il ? Plusieurs professionnels nous racontent leurs expériences.
Il y a 2 ans et 69 jours

quels travaux et equipements pour atteindre un bon confort thermique

Petit tour d’horizon des solutions de confort thermique les plus plébiscitées en 2022, de l’isolation aux systèmes de chauffage.
Il y a 2 ans et 69 jours

jean philippe bitouzet prend la direction generale de france air

Jean-Philippe Bitouzet est nommé comme nouveau directeur général de France Air. L’entreprise, basée aux portes de Lyon, compte sur son nouveau DG pour poursuivre sa dynamique de développement.
Il y a 2 ans et 69 jours

BePOSITIVE place la formation et l'emploi au coeur de l’édition 2023 !

Le Campus BePOSITIVE : un espace qui répond aux enjeux de la formation et de l’emploi pour les filières du bâtiment et de...-Construisons ensemble le monde décarboné de demain sur BePOSITIVE
Il y a 2 ans et 69 jours

EDF ENR construit pour Sodebo le plus grand parc en autoconsommation de France

Une initiative menée en étroite collaboration avec EDF ENRCe parc photovoltaïque, unique en France de par sa surface, permettra de produire l’équivalent de 11% de la consommation totale annuelle de Sodebo, soit la consommation de 1280 maisons de 100 m2 en chauffage électrique sur une année. Avec EDF ENR, filiale d’EDF, l’entreprise souhaite accroître sa part d’électricité d’origine renouvelable, ainsi que son autonomie énergétique : un choix qui fait sens pour l’entreprise vendéenne qui a toujours privilégié l’internalisation comme mode de fonctionnement.Une première mise en service à partir de novembre 2023L’installation des panneaux photovoltaïques, qui seront répartis sur différentes zones de son site de 124 hectares, débutera à l’automne 2023.Dans un premier temps, des ombrières photovoltaïques seront installées sur certains de ses parkings pour une mise en service en novembre de cette année. La seconde partie de l’installation suivra en avril 2024 et concernera l’installation de panneaux photovoltaïques directement au sol.Pour Marie-Laurence Gouraud, Co-Présidente de Sodebo : « Nous sommes conscients des enjeux de Développement Durable liés à notre activité et de notre responsabilité dans ce domaine. A ce titre, nous pilotons une feuille de route claire dont l’énergie est l’un des sujets prioritaires. Ce parc photovoltaïque est un projet de longue haleine que nous avons ouvert en 2020 et c’est aujourd’hui pour nous une réelle satisfaction de voir les travaux démarrer. Et des travaux il y en aura d’autres ! Les toits de nos futurs bâtiments accueilleront tous des panneaux photovoltaïques et nous prévoyons également l’installation de bornes de recharge pour voitures électriques et hybrides pour nos véhicules de société et pour les véhicules personnels de nos collaborateurs. »Pour Benjamin Declas, Président – Directeur Général EDF ENR : « Nous sommes particulièrement fiers de pouvoir accompagner Sodebo dans sa transition énergétique, avec ce projet d’une ampleur inédite, et nous remercions cette entreprise pour sa confiance dans le groupe EDF. L’autoconsommation photovoltaïque est aujourd’hui une solution éprouvée pour produire et consommer tout ou partie de son électricité. Elle donne accès à une énergie propre, décarbonée et respectueuse de l’environnement. Son déploiement rapide sur les sites industriels permet de répondre aux enjeux de maîtrise des coûts et de neutralité carbone de très nombreux professionnels. »Les chiffres clés du projet 95.000 m² de panneaux photovoltaïques seront installés 100% de la production d’électricité issue des panneaux photovoltaïques sera consacrée à l’autoconsommation de Sodebo11% de la consommation annuelle de l’entreprise sera ainsi couverte
Il y a 2 ans et 69 jours

isolation quels sont les travaux et isolants a privilegier

Le confort thermique est aujourd'hui un enjeu majeur. Avec la hausse des prix de l'énergie et le changement climatique, avoir un logement bien isolé est essentiel pour se protéger contre le froid et la chaleur. Quels sont les travaux à réaliser pour isoler efficacement une maison, et quels sont les isolants à privilégier ? Éléments de réponse.