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Toute l'actualité du bâtiment

255421 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 112 jours

quelles aides et et quels travaux pour la renovation energetique en 2023

Découvrez quels travaux sont concernés par les aides à la rénovation énergétique en 2023.
Il y a 2 ans et 112 jours

renovation de l habitat et passoires thermiques quels defis pour demain

Le groupe Xerfi vient de publier une étude portant sur la rénovation de l’habitat. Avec l’arrivée en 2025 de l’interdiction à la location de tous les biens étiquetés G, Xerfi s’est posé la question des défis qui nous attendent et des stratégies à adopter face à la réglementation des passoires thermiques.
Il y a 2 ans et 112 jours

le tunnel du lyon turin epingle par le coi la transalpine reagit

Alors que le gouvernement français n'a toujours pas décidé des voies d'accès au tunnel du Lyon-Turin, le Conseil d’Orientation des Infrastructures (COI) doit rendre public son rapport d’actualisation des investissements de l'État dans le secteur des mobilités, dans lequel ce dernier propose trois scénarios visant à guider les choix du gouvernement sur ce sujet. Un document épinglé par la Transalpine, évoquant des propositions « pas à la hauteur » des enjeux du projet ferroviaire.
Il y a 2 ans et 112 jours

sopraverse simule des projets d etancheite en realite augmentee

Soprema lance Sopraverse, une application pour visualiser des projets d’étanchéité liquide en réalité augmentée. En mettant à disposition des simulations d’un futur projet, le spécialiste de l'étanchéité a pour ambition de faciliter le parcours d’achat des professionnels du BTP.
Il y a 2 ans et 112 jours

le barometre 2022 de la performance energetique et environnementale des batiments devoile

L’OID, aux côtés de l’ADEME, a dévoilé les résultats 2022 de son Baromètre de la performance énergétique et environnementale des bâtiments. Celui-ci prend en compte pour la première fois des indicateurs pour les hôtels et les actifs de santé, et met à jour les Top 15 et Top 30 relatifs à l’enjeu d’atténuation de la taxinomie européenne.
Il y a 2 ans et 112 jours

Santé-sécurité : le guide amiante de l'OPPBTP fait l'objet d'une mise à jour

PRÉVENTION. L'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics vient d'actualiser son guide dédié à l'amiante, afin de prendre en compte les évolutions réglementaires. La mise à jour s'adresse aux médecins du travail ainsi qu'aux équipes pluridisciplinaires.
Cimbat
Il y a 2 ans et 112 jours

Le casse-tête du partage de la valeur en entreprise

"Quand une entreprise a les moyens de verser des dividendes, elle doit en faire bénéficier ses salariés", répète à l'envi le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire.Pour préserver le pouvoir d'achat face à l'envolée des prix, l'exécutif exclut de réinstaurer l'indexation des salaires sur l'inflation, supprimée en 1983 en France, de crainte d'entretenir une spirale inflationniste.A la place, il propose de créer un dividende salarié, qui permettrait un meilleur partage du profit des entreprises en direction des salariés."Il sera mis en œuvre, c'est une question de justice", a martelé vendredi Bruno Le Maire sur BFM Business. "On ne peut pas demander aux Français de travailler plus longtemps", a-t-il ajouté en référence à la réforme des retraites, "et ne pas leur garantir en même temps une plus juste rémunération de leur travail".Les modalités d'un tel dividende, qui rencontre la résistance du patronat, restent toutefois à définir.Une loi contraignante "au cours du quinquennat" a été annoncée à l'automne. Début janvier, M. Le Maire a promis "des propositions concrètes" ainsi qu'"une convention" en février sur cette thématique.PME à la traînePlutôt qu'un nouveau mécanisme, experts et partenaires sociaux jugent plus opportun dans l'immédiat d'élargir, en les rendant plus attractifs et manœuvrables, les outils de partage de la valeur existant déjà.Il y a notamment la participation (mécanisme de redistribution des bénéfices obligatoire dans les entreprises de plus de 50 salariés) ou l'intéressement (prime facultative liée aux résultats ou aux performances non financières), qui s'accompagnent d'avantages fiscaux.C'est ainsi qu'à l'invitation du gouvernement, patronat et syndicats planchent depuis novembre sur leur généralisation et simplification, surtout pour les plus petites entreprises, encore à la traîne - le dividende salarié n'est pas en tant que tel au menu des échanges.Selon la Direction statistique du ministère du Travail (Dares), 88,5% des salariés d'entreprises de plus de 1.000 personnes bénéficiaient d'un dispositif de partage de la valeur en 2020, contre moins de 20% dans celles de moins de 50 salariés.Outre le coup de pouce financier, ces dispositifs ont l'avantage d'attirer et fidéliser les talents, un argument essentiel en cette période de recrutements difficiles.Leur déploiement rencontre cependant de nombreux obstacles, surtout chez les PME et TPE. Malgré des assouplissements déjà décidés dans la loi Pacte de 2019 et celle de l'été 2022 sur le pouvoir d'achat, sont cités complexité et méconnaissance des dispositifs, manque d'accompagnement, formule de calcul complexe pour la participation, risques administratifs, etc.Autre frein, la prime exceptionnelle défiscalisée et désocialisée (ex-"prime Macron"), une option plus souple parfois choisie par les entreprises au détriment d'outils de partage de la valeur."Pourquoi faire compliqué si on peut faire simple?", résume auprès de l'AFP Agnès Bricard, l'un des trois ambassadeurs chargés par le gouvernement de promouvoir les outils disponibles."Usine à gaz""Dans des PME, il faut parfois un à deux ans avant d'aboutir (à un accord) sur l'intéressement", pointe Nicolas Meurant, avocat associé chez Deloitte. Il lui semble malgré tout "beaucoup plus simple de lever les freins" actuels que de "créer un nouveau système".Emmanuelle Barbara, du cabinet d'avocats August Debouzy, rappelle ainsi qu'une précédente tentative de prime adossée sur les dividendes, instaurée en 2011 par l'ex-président Nicolas Sarkozy, était devenue "une usine à gaz" au champ d'application très limité. Elle avait fait long feu.Même si la France est l'un des pays européens les plus volontaristes dans ce domaine, la refonte des dispositifs existants se révèle ardue.Les discussions, censées aboutir d'ici fin janvier, ont viré au casse-tête. "On est très loin d'un accord", souligne Luc Mathieu, secrétaire national de la CFDT, à l'AFP. Côté syndical, on soutient l'idée d'une participation obligatoire dans les entreprises d'au moins 11 salariés. Une ligne rouge pour le patronat, opposé à toute nouvelle contrainte, souligne Stéphanie Pauzat, vice-présidente de la CPME, qui défend les intérêts des PME.Une obligation risquerait aussi d'être contreproductive en suscitant de fausses attentes dans une conjoncture marquée par une envolée des coûts énergétiques et une croissance au ralenti - avec moins de résultats à distribuer, estime Emmanuelle Barbara.
Il y a 2 ans et 112 jours

Retraites et pénibilité : la réforme est sur les rails

Suivi médical renforcé, création d’un fonds d’investissement pour la prévention de l’usure professionnelle… Pour accompagner le...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 112 jours

Top 10 des champions de la relation client dans la construction

CLASSEMENT. HCG France en partenariat avec "Les Echos" a réalisé un palmarès des entreprises disposant d'une relation client optimale. Dans les filières de la construction, l'immobilier se distingue tout particulièrement. Découvrez le top 10 du secteur.
Il y a 2 ans et 112 jours

Tout savoir sur les verrières de toit

Tout savoir sur les verrières de toit Qu’est-ce qu’une verrière de toit ? 
 
 Par définition, une verrière de toit est une structure en gda lun 23/01/2023 - 16:47 En savoir plus sur Tout savoir sur les verrières de toit Partager
Il y a 2 ans et 112 jours

Énergie: à quoi vont servir les groupes de travail sur le nucléaire et les renouvelables ?

FOCUS. Bercy vient de lancer deux groupes de travail sur la production d'énergie atomique et celle d'origine renouvelable. En voulant mieux structurer ces filières industrielles, l'exécutif s'attelle en réalité à un chantier beaucoup plus vaste qui brasse de nombreux enjeux, des approvisionnements critiques aux compétences des salariés.
Il y a 2 ans et 112 jours

Artelia consolide sa présence en Allemagne

ACQUISITION. L'ingénieriste Artelia a annoncé se rapprocher un peu plus d'une entreprise allemande avec laquelle il avait l'habitude de collaborer en rachetant l'intégralité de son capital.
Il y a 2 ans et 112 jours

L'ID.Buzz Cargo, le nouveau fourgon 100% électrique de Volkswagen

LE RENDEZ-VOUS VÉHICULE UTILITAIRE. L'ID.Buzz Cargo, le nouveau fourgon 100 % électrique de Volkswagen, peut compter sur son charme irrésistible et son agrément de conduite élevé pour conquérir le coeur de nombreux professionnels. A condition que les capacités d'emport limitées soient compatibles avec leur activité.
Il y a 2 ans et 112 jours

Emmanuel Dunand nommé président du directoire d’ICF Habitat La Sablière

Ancien de la SNCF, spécialisé dans l’immobilier, Emmanuel Dunand prend la tête du directoire d’ICF Habitat. La filiale est notamment en charge du logement des cheminots en Ile-de-France.
Il y a 2 ans et 112 jours

Le PEM de Toulouse Matabiau se cherche une maîtrise d’œuvre

Le 18 janvier 2023, la Région Occitanie a ouvert le concours de maîtrise d’œuvre pour la réalisation du pôle d’échanges multimodal (PEM) de Matabiau Gares à Toulouse (Haute-Garonne). Un projet emblématique qui vise à ouvrir la gare TGV sur la ville pour en faire le cœur des mobilités durables et accueillir plus de 150 000 […] L’article Le PEM de Toulouse Matabiau se cherche une maîtrise d’œuvre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 112 jours

Marché de l'immobilier : analyse de l'année 2022 et prévisions pour 2023

2022 Le début du retour à la normal Après une année 2021 à près d'un million deux cent mille transactions immobilières, l'année 2022, considérée encore comme exceptionnelle, marque cependant le début d'un rééquilibrage du marché de l'immobilier. En effet, pour 2022, le nombre d'unités vendues en termes de volume est estimé à un peu plus d'un million d'unités, soit une potentielle baisse entre 12% et 16% par rapport à 2021. Une année 2022 marquée par une augmentation En 2022, la hausse des prix atteint les 6% sur l'année. Les maisons continuent à surperformer pour atteindre une hausse de 8% en moyenne et les appartements de 5% en moyenne. Selon les réseaux du groupe Digit Re, le prix moyen d'une transaction en France avoisine les 250.000€ environ. Cependant, la fin de l'année 2022 est marquée par un ralentissement de l'augmentation des prix. Les grandes métropoles voient même leurs prix baisser, comme à Paris, au profit des villes périphériques qui attirent de plus en plus. Le désir de la pierre toujours présent Malgré la situation actuelle peu propice à l'achat d'un bien immobilier, la part des Français engagés dans un projet immobilier est toujours stable, puisque 16% d'entre eux déclarent avoir un projet immobilier dans les 12 prochains mois*.Pour Olivier Colcombet, Président de Digit Re et porte-parole de Drimki : « On constate sur la plateforme Drimki un fort trafic ce qui vient soutenir un certain appétit des Français pour l'achat et/ou la vente d'un bien immobilier. » Si la hausse des taux des crédits et le taux d'usure a un impact fort sur les Français, elles ont modifié le profil des acheteurs en faisant chuter les primo-accédants (33% novembre 2022 en contre 44% en mars 2022) et en augmentant le nombre d'investisseurs (24% ; + 9 points en novembre 2022 vs. Mars 2022).Pour Olivier Colcombet, Président de Digit Re et porte-parole de Drimki : « Il n'est pas rare lors des périodes de crise de voir des investisseurs réduire leur exposition en bourse pour se tourner vers l'immobilier qui reste toujours un investissement rentable, ce qui peut ainsi expliquer le changement des profils des acheteurs en cette fin d'année 2022. »2023 La continuité du rééquilibragePour Olivier Colcombet : « L'année 2023 devrait suivre la tendance des trois derniers mois glissants, c'est-à-dire une légère baisse en termes de volumes. Ce qui finalement est plutôt cohérent : plus de 3 millions de biens ont changé de mains ces trois dernières années sur environ 37 millions de logements en France, soit environ 10% des logements qui ont changé de propriétaire. Ce constat vient ainsi soutenir davantage la rareté de l'offre car généralement, on ne vend pas son appartement ou sa maison tous les deux ans. » Rénovation énergétique, le challenge Depuis fin août 2022, les propriétaires des logements classés F et G selon le DPE ne peuvent plus augmenter les loyers et depuis le 1er janvier 2023, la location des pires passoires classées G (qui consomment plus de 450 kilowattheures au mètre carré par an) est interdite. Cette dernière sera étendue à tous les logements G en 2025, puis aux F en 2028. Face à ces nouvelles réglementations, de nombreux propriétaires, notamment ceux dont le loyer perçu est un revenu, auront plutôt intérêt à vendre leur bien car les parcours de rénovation énergétique sont souvent longs (plusieurs mois sans locataire), complexes et coûteux. A l'inverse, si l'on compare avec la crise de 2007, l'épargne des Français est plus élevée. On constate ainsi que les propriétaires ne sont pas dans l'urgence d'une vente et donc dans la nécessité de baisser leur prix rapidement. La dureté du financement La problématique du financement et des règles bancaires, mêlée aux conditions économiques et donc à la confiance des ménages, seront les gros freins au désir d'acheter des Français. En novembre 2022, le taux d'intérêt moyen des crédits immobiliers s'est établi à 2,25%** alors qu'il s'élevait à 1,06% un an plus tôt. Il s'agit du plus haut taux depuis 7 ans et rien ne laisse présager, à date, que cette tendance va s'inverser. Concernant le taux d'usure, ce dernier est passé à 3,57% pour les prêts à taux fixe de 20 ans et plus depuis janvier 2023.Pour Olivier Colcombet : « Finalement pour 2023, nous ne craignons pas la tempête, que ce soit en termes de volumes ou de prix, mais la visibilité sur l'année est incertaine. D'un côté, nous avons la rareté de l'offre qui vient tendre le marché, et côté acquéreur, nous avons les conditions financières difficiles qui sont un frein. Est-ce qu'une porte ne serait pas ouverte pour le régulateur afin que ce dernier soutienne les projets des Français en cette période tendue ? » *Étude réalisée par BVA pour DRIMKI, du 16 au 17 novembre 2022 sur un échantillon de 925 personnes âgées de 25 ans et plus, issues d'un échantillon global de 1000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. **observatoire Crédit Logement/CSA, novembre 2022
Il y a 2 ans et 112 jours

Comment l’innovation technologique va-t-elle transformer l’immobilier ?

Les innovations technologiques submergent nos façons de vivre, de travailler, de consommer… Cependant, dans notre monde d’aujourd’hui, déstabilisé, en rupture, dans lequel les ressources s’amenuisent et qui nous oblige à tout repenser, ces innovations suffisent-elles, dans leur rythme et dans leur forme, à transformer notre industrie en pleine transition, face aux urgences climatiques et de décarbonation ? Doit-on faire le choix de la technologie ou de la frugalité ? Comment la technologie transforme-t-elle positivement la société, la Ville, l’immobilier, ses acteurs et leurs métiers ? Comment peut-elle être source d’inspiration ?Immobilier et Climat, choisir entre frugalité et innovation technologique ?Dans un contexte où la COP 27 vient de se s’achever, que les derniers rapports du GIEC nous rappellent clairement les impacts du changement climatique, nous soumettent des solutions, et où un plan national de sobriété énergétique a été publié par le gouvernement, nous devons nous interroger sur les leviers possibles afin que le secteur du bâtiment réduise ses émissions de gaz à effet de serre ainsi que sur la pertinence de ses leviers.L’industrie bâtimentaire pèse aujourd’hui 40% dans l’émission de CO2. Cette émission englobe en réalité toute la chaîne qui va du foncier jusqu’à la création et ensuite l’utilisation d’un bâtiment. En plus, nous pouvons y ajouter 20% de gaz à effet de serre pour tout ce qui touche aux déplacements, et c’est particulièrement le cas pour ce qui est des territoires et leur conception. « Est-ce qu’un territoire peut être frugal ? Non, car il n’agit pas seul, mais les habitants agissent. Il faut donc pouvoir réfléchir à une meilleure utilisation des matériaux, et de tout ce qui est à notre disposition » explique Matthias Navarro, CEO Redman. « La frugalité est donc un raisonnement sur une consommation modérée et réfléchie des ressources, et non une réduction de nos consommations parce que cela fait mal à nos finances » selon Arnaud Bekaert, Directeur Général Promotion Ile de France, Filiales, UrbanEra et Immobilier Commercial - Bouygues Immobilier.D’un autre côté, lorsque nous regardons l’histoire et la technologie au niveau global, celle-ci représente seulement 1% de l’impact carbone. Mais ce 1% a créé des transformations majeures dans d’autres secteurs. Elle permet aujourd’hui de faire beaucoup plus vite, de faire moins mais mieux.« La technologie nous fait agir en temps réel, 24/24, de prendre en compte les données météorologiques par exemple…La vraie question que l’on peut se poser est pourquoi la mise en place de ces innovations ne se fait-elle pas plus rapidement dans le secteur de l’immobilier ? » questionne Khadija Nadi, CEO DeltaQ. La crainte première est celle de l’obsolescence rapide de tout ce qui est hi-tech. Les objets connectés seraient mis au rebut plus rapidement, engendrant ainsi une accélération du sujet de l’impact climatique. Cela doit donc forcément amener un changement des mentalités. Aujourd’hui 85% des bâtiments existants seront encore debout en 2050. Et des solutions attendues pour 2030 sont déjà mises en oeuvre aujourd’hui au sein des Villes et des ruralités comme le changement des usages par exemple.« Au-delà du débat, ce combat se gagne et se perd ensemble. Ce qui est important c’est de comprendre que les enjeux ont changé, nous tendons vers un Temps que personne ne connait, vers une adaptation que personne n’a jamais faite, vers un modèle qui n’existe pas encore. Il faut donc travailler ensemble, main dans la main, et être ouvert d’esprit pour attaquer ce problème. » Philippe Le Fort, Director T&I – Head of Ambio Patrizia SE.La technologie aujourd’hui, une source d’inspiration pour l’immobilier ?Si la période du Covid a accéléré la transformation des usages que nous vivons aujourd’hui (le télétravail, la ville du quart d’heure), ces changements s’appliquent de fait au marché de l’immobilier. Les changements d’usages et de modèles viennent, en effet, de la demande et non plus de l’offre. Les habitudes de vie et de travail ont changé. Mais l’immobilier est souvent perçu comme étant lent à l’adoption de la technologie.Il y a beaucoup de choses qui ont changé dans la tech depuis 20 ans, avec notamment deux grands phénomènes clés qui ont transformés les industries : la convergence entre l’accès à la technologie avec le déploiement du smartphone (60 % de personnes en possède un aujourd’hui) et la démocratisation de la puissance de calcul à faible coût par le cloud. « Une capacité de calcul et de traitement qui était réservée à l’armée il y a à peine dix ans est devenue accessible à tout un chacun » explique Philippe Vimard, COO / CTO Doctolib.Dans l’hôtellerie par exemple, l’ère du digital a poussé le parc hôtelier et les hôteliers à améliorer leur qualité de service de façon significative et qualitative. « Finalement le Web 2.0 d’il y a quinze ans a challengé les hôteliers en leur apportant un accès direct au client, et en parallèle, en apportant au client un impact direct aussi sur le produit dans lequel il consomme. » énonce Alexandra Goguet, Senior Director Development France & Benelux Marriott International.Pour autant, les lignes vont devoir bouger. Les usagers cherchent davantage de services, de solutions, d’idées facilitant leur quotidien, afin de mieux habiter la ville et la consommer « utile ». « La technologie a un défi auquel elle doit composer : le capital humain et le capital planète/environnement. Toute technologie doit être pensée en ne perdant pas de vue l’aspect social, sociétal et planétaire. » détaille Stéphanie Zolesio Roux, Directrice Générale Executive, Casino Immobilier. La réalité aujourd’hui, c’est qu’il y a des technologies bien établies, qui existent, qui peuvent être déployées immédiatement dans les entreprises afin de faire une différence. Pour collecter de la donnée, créer une fondation, créer les produits de demain, de l’optimisation interne. « Si nous regardons ce qui s’est produit dans les autres industries, la technologie va venir disrupter l’immobilier, c’est une certitude. » explique Philippe Vimard. « Quand on manipule des actifs physiques, il est tentant de croire qu’on est assez immunisé face à la technologie. Mais je pense qu’on ne fera pas la transition environnementale, on ne réussira pas à attirer les talents de demain s’il n’y a pas de modernisation de la technologie. » conclut Robin Rivaton, CEO Stonal.Lorsque le Steering Committee de ULI France a réfléchi il y a quelques mois sur le thème de cette conférence, un accord a assez vite été trouvé, non sans débat sur le sujet de la technologie. La raison ? L’industrie immobilière tarde à intégrer les avancées technologiques alors que ces dernières ouvrent des possibilités incalculables sur l’avenir. « Nous avons des progrès à faire dans ce domaine. Alors oui la technologie c’est compliqué, ce n’est pas notre métier. Mais ne l’oublions pas, c’est aussi une vague que nous n’arrêterons pas. Nous devons être dans l’anticipation en stockant par exemple de la data pour un usage de demain. » résume Sébastien Chemouny, président ULI France et Head of France Allianz Real Estate.
Il y a 2 ans et 112 jours

De futurs talents de l'architecture révélés par la 11e édition du trophée béton école

Ils ont été 114 à postuler au concours cette année. Au final, quatre récompenses ont été attribuées aux étudiants qui ont le mieux su valoriser les qualités esthétiques, environnementales et techniques du béton.
GDA
Il y a 2 ans et 112 jours

"La part de budget manquante des concours est de l'ordre de 20%" (K Architectures)

SERIE PAROLES D'ARCHITECTE. Tous les quinze jours, Batiactu donne la parole à un architecte pour parler de son activité, de la profession et de sa vision pour une architecture plus durable. Cette semaine, Jérôme Sigwalt, de l'agence K Architectures, nous livre ses pensées sur le secteur.
Il y a 2 ans et 112 jours

Nouveautés aménagement extérieur : place aux produits circulables drainants

Ruissellement, inondation... l’imperméabilisation des sols en milieu urbain pose des problèmes, à résoudre en partie par l’aménagement de zones drainantes, avec des produits malins et made-in-France. (© Jouplast)
Il y a 2 ans et 112 jours

Les éoliennes de puissance inférieure à 10 kW sur les bâtiments

Il existe différentes technologies d’éoliennes individuelles que l’on peut installer sur des bâtiments. Elles peinent à décoller. Les éoliennes carrossées sont plus adaptées aux sites urbains.
Il y a 2 ans et 112 jours

Les autorisations de HLM toujours insuffisantes en 2022

"Les agréments (autorisations, NDLR) de logements sociaux seront encore bas en 2022, peut-être seront-ils un peu moins mauvais que l'année dernière, mais quoi qu'il en soit on comptera moins de 100.000 logements agréés", a déclaré Emmanuelle Cosse.En 2021, il y avait eu en métropole un peu moins de 95.000 agréments de logements financés par le fonds national des aides à la pierre, loin des objectifs fixés par le gouvernement et les bailleurs."Ce constat dans l'Hexagone vaut aussi dans les outremers, où la production marque un ralentissement inquiétant", a ajouté Emmanuelle Cosse.L'ancienne ministre a réclamé au gouvernement de revenir sur la réduction des loyers de solidarité (RLS), "impôt fainéant" selon elle, qui oblige depuis 2018 les bailleurs sociaux à réduire leurs loyers pour compenser la réduction des aides au logement (APL) versées aux locataires.Une revendication récurrente de l'USH, qui critique sans cesse les économies budgétaires au détriment du logement social réalisées sous le premier quinquennat d'Emmanuel Macron."La situation n'est pas bonne sur le plan du logement et elle n'est pas bonne sur le plan du logement social", a ajouté Emmanuelle Cosse, la dette des organismes HLM ayant augmenté de 3,5 milliards d'euros en 2022 du fait de l'augmentation du taux du livret A, qui sert à les financer.L'USH consacrera l'année 2023 à "l'engagement volontaire du mouvement HLM en faveur des énergies renouvelables et de la protection de la biodiversité", a promis Emmanuelle Cosse, réclamant davantage de subventions pour mener à bien la rénovation énergétique des logements sociaux.
Il y a 2 ans et 112 jours

Nouveautés Fabemi Terrasse et Jardin 2023

Nouveautés Fabemi Terrasse et Jardin 2023 Parement de mur THOLET : Dehors ou dedans, il crée l'ambiance ! 
 
 Les parements de murs ne cessent primavera lun 23/01/2023 - 14:20 En savoir plus sur Nouveautés Fabemi Terrasse et Jardin 2023 Partager
Il y a 2 ans et 112 jours

Nouveautés Fabemi Terrasse & Jardin 2023 – Des créations utiles au décor

L’hiver, mûrissent les projets d’aménagement extérieur qui feront honneur au printemps. Acteur majeur des matériaux de construction en béton, Fabemi répartit sa production entre trois métiers : Terrasse & Jardin, Voirie & Réseaux et Gros Œuvre. Cette année, l’offre de l’activité Terrasse & Jardin s’enrichit d’un parement de mur stylé et de deux pavés vieillis circulables, tandis que l’activité Voirie & Réseaux propose un pavé drainant circulable résistant et adapté à tous les concepts actuels de réalisations du domaine privé ou public. Des produits tous fabriqués en France. Pavé Tholet Parement de mur THOLET : Dehors ou dedans, il crée l’ambiance ! Les parements de murs ne cessent de se renouveler. Parfaitement imité de la pierre de l’Aveyron, le nouveau parement THOLET se distingue par son authenticité et son relief graphique qui s’adaptent à toutes les envies créatives. Conçu pour s’assembler à la perfection, le parement de mur THOLET se caractérise par un grain cuivré et chaleureux. En extérieur comme en intérieur, il habille et protège les murs avec élégance. La lumière, solaire ou électrique, sublime son relief irrégulier. Pavé Tolède Pavés TOLÈDE et MAUBEC : Le charme du vieilli martelé Le succès ne saurait tarder pour les nouveaux pavés carrossables TOLÈDE et MAUBEC qui viennent enrichir les collections déjà très variées de pavés multiformats, finition vieillis martelés. Les pavés martelés TOLÈDE et MAUBEC reproduisent sur leur surface une version moderne des coups de marteau que portait l’artisan pour vieillir le matériau. Utilisés pour tracer des voies circulables, ils s’intègrent avec une égale élégance dans un paysage urbain ou un parc arboré. TOLÈDE, avec ses 17 formats, se prête à un calepinage graphique et original. Réunissant 3 pavés grands formats, MAUBEC convient pour un pavage aux lignes sobres, dans un extérieur contemporain ou classique. Sa mise en œuvre est rapide grâce aux grands formats. TOLÈDE et MAUBEC affichent une Classe de résistance T5 : circulation de véhicules d’une charge totale inférieure ou égale à 3,5 tonnes, dans la limite de 25 véhicules par jour et par sens. Pavé Carus Pavé drainant CARUS : Un véritable atout  pour lutter contre l’imperméabilisation des sols Les perturbations climatiques qui se multiplient provoquent d’importants dégâts, notamment à cause de l’imperméabilisation des sols en milieu urbain. Celle-ci engendre de multiples problématiques liées à la gestion de l’eau et à des réseaux sous-dimensionnés : ruissellement, inondation…  En favorisant le cycle naturel de l’eau et en permettant son infiltration directe par l’ouverture des joints, le nouveau pavé drainant circulable CARUS Fabemi apporte une solution concrète pour rétablir la perméabilité des sols. Le pavé drainant CARUS Fabemi à écarteurs intégrés répond parfaitement aux contraintes urbaines et environnementales d’infiltration des eaux de pluie. Les ergots distanceurs intégrés répondent aux recommandations contenues dans le DP136 du Guide de mise en œuvre des revêtements drainants préfabriqués en béton (V3-sept2020). Le remplissage des ouvertures par gravillons nécessite l’utilisation d’un matériau de granulométrie 2/4, 2/6 ou 4/6 exempt de fine. Le pavé drainant CARUS Fabemi admet la circulation des voitures (Classe de trafic T3-4 – charge totale inférieure ou égale à 3,5 T), dans la limite de 150 véhicules par jour et par sens. www.fabemi.fr
Il y a 2 ans et 112 jours

Engie investit dans une start-up grenobloise

INNOVATION. Le fonds d'investissement Engie New Ventures, dédié aux start-ups agissant en faveur de la transition énergétique, soutient une jeune pousse spécialisée dans la production d'équipements de froid utilisant l'eau comme fluide frigorigène.
Il y a 2 ans et 112 jours

La CDI Fnaim admet que des réformes à la profession de diagnostiqueur sont nécessaires

Suite à un reportage TF1 discréditant la fiabilité des diagnostiqueurs immobiliers et des DPE, la CDI Fnaim admet que des réformes doivent être faites et propose des solutions.
Il y a 2 ans et 113 jours

VM devient « VM Matériaux » et dévoile sa nouvelle signature : « Construire demain, construire durable. »

Une vision et des changements que l'enseigne accompagne à travers une nouvelle identité. Elle devient « VM Matériaux » afin de réaffirmer son identité et son cœur de métier, et appose sous son logo une nouvelle signature : « Construire Demain, Construire durable. ».Facile à mémoriser, elle constitue une véritable promesse, celle de l'avenir. L'enseigne, qui a retravaillé ses fondamentaux depuis plus de deux ans, se réaffirme, par l'image et les mots, au cœur de son marché, celui de la construction et des matériaux. Cette nouvelle signature appuie son positionnement engagé, aux côtés de ses clients, pour une construction et une rénovation durables. Son esprit optimiste et visionnaire se lit à travers les expressions « demain » et « durable ». Fédératrice, la signature invite à se réunir autour d'engagements forts pour l'ensemble des parties prenantes : les collaborateurs.trices, les clients professionnels et particuliers, les fournisseurs... Elle symbolise également un marqueur fort pour le recrutement de nouveaux talents.Un acteur engagé dans la construction durable et qui se projette dans l'avenir avec ses clientsActeur moteur de la construction durable, VM se définit au-delà du « distributeur de matériaux ». Il est présent à chaque étape pour partager avec ses clients leurs enjeux, pour solutionner leurs problèmes, leur apporter expertise et conseil, et faciliter la réalisation de leurs chantiers.« Le VM Matériaux de demain ne sera jamais le VM Matériaux d'hier. Tout en préservant notre ADN, nous portons d'autres ambitions, totalement intégrées dans la stratégie. Nous nous fixons pour mission d'accompagner tous nos clients dans l'avenir, avec une volonté forte de modernisation digitale, sociétale, comportementale. La mise en avant de demain s'effectuera sur le faible impact carbone plutôt que sur le prix. C'est cela le nouveau VM Matériaux. ». Eric ROUET, Directeur Général de VM MatériauxUne réaffirmation des spécificités des points de venteDans un esprit de préservation de l'esprit de proximité, « VM Matériaux » constitue un marqueur fort de l'ancrage local de l'enseigne. L'évolution visuelle est repensée pour l'ensemble du territoire au-delà de la Vendée, son berceau historique, pour des secteurs où le maillage de VM est plus récent, tel que la Normandie.Elle vient consolider le parcours client qui opère ces dernières années une profonde modernisation. Si la mention « Matériaux » est ré-intégrée au bloc-marque, les repères sont conservés. L'identité visuelle du logo évolue subtilement. La forme clairement identifiable du carré reste intacte, ainsi que les codes couleurs. Les lettres sont adoucies par des formes souples et arrondies.L'identité sera déployée au fil des prochains mois sur les façades des show-rooms de l'enseigne, de ses points de vente Matériaux & Rénovation, Bois & Rénovation, LNTP...
Il y a 2 ans et 113 jours

FOAMGLAS - TOITURES ACTIVES

FOAMGLAS - TOITURES ACTIVES 
 C’est cette solution qui a été retenue pour le parking du Pôle médical d’Allonzier-la-Caille primavera lun 23/01/2023 - 12:04 En savoir plus sur FOAMGLAS - TOITURES ACTIVES Partager
Il y a 2 ans et 113 jours

132 logements livrés par Gaëtan Le Penhuel à Toulouse

Dans le nouveau centre-urbain de la Cartoucherie, à Toulouse (Haute-Garonne), l’agence Gaëtan Le Penhuel & Associés a inauguré en 2022, 132 logements, six maisons de ville et des locaux d’activités (4 600 m²), pour le promoteur local Promo Midi. L’ensemble des moyens architecturaux mis en œuvre visent à la définition d’ambiances, adaptées à la fois au […] L’article 132 logements livrés par Gaëtan Le Penhuel à Toulouse est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 113 jours

Le Livret A passe de 2 à 3 % à partir du 1er février

En février, le Livret A sera porté de 2% à 3%, un niveau sans précédent depuis 2009 mais toujours nettement inférieur à l'inflation qui affichait une hausse de 5,9% en décembre.
Il y a 2 ans et 113 jours

La cité administrative d'Amiens : une nouvelle référence de construction bas carbone pour Bouygues Bâtiment Grand Ouest

Après le projet de réhabilitation de la Cité administrative de Rouen, le groupement mené par Bouygues Bâtiment Grand Ouest a remporté la construction d'une nouvelle Cité Administrative, celle d'Amiens. Ce Marché Public Global de Performance d'un montant total d'environ 46,5 M€ est un projet exemplaire de 20 000 m² répartis sur 3 bâtiments qui allie qualité énergétique, environnementale, fonctionnelle et d'usage. La future Cité intégrée à la ZAC Gare-La Vallée accueillera 1100 agents à l'automne 2023.La Cité Administrative d'Amiens est l'une des 4 cités administratives françaises qui font l'objet d'une construction neuve. Implantée au coeur d'Amiens, la future Cité, dite du XXIème siècle, va intégrer le nouveau quartier de La Vallée aussi nommé « Gare La Vallée », un projet urbain qui s'étend sur 170 hectares entre les voies ferrées de la gare d'Amiens et les berges de la Somme. Il a été validé dans le contrat de développement territorial de l'Amiénois et vise à moderniser les services publics et à assurer l'attractivité du territoire. Le Groupement de conception – réalisation – exploitation - maintenance, mené par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, compte 9 sociétés cotraitantes aux expertises complémentaires, contribuant ainsi à la dynamique économique du territoire picard. Après 9 mois et demi de conception, les travaux ont démarré en octobre 2021 et s'achèveront à l'automne 2023.Un projet de construction bas carboneLa future Cité a été pensée pour être exemplaire en termes de construction durable, c'est-à-dire à la fois peu consommatrice d'énergie en phase d'exploitation, tout en garantissant le confort des agents et du public. Elle vise la labellisation Passivhaus, un niveau 3 Bâtiment biosourcé et un niveau bas carbone E2C1.Pour atteindre ces objectifs, le projet repose sur plusieurs axes forts :Une conception bioclimatique qui favorise les économies d'énergie, permet de réduire les dépenses de chauffage et de climatisation tout en améliorant le cadre de vie. Ainsi les volumes ont été pensés pour favoriser la lumière naturelle et bénéficier des apports solaires. De plus, la gestion de l'énergie sera optimale grâce au raccordement au réseau de chaleur urbain et au futur réseau de froid urbain ;Des solutions constructives préfabriquées en filières sèches : le projet intègre du bois à hauteur de 95 dm3/m2 de plancher avec notamment la mise en oeuvre de 9500m² de planchers bois CLT (Cross Laminated Timber), soit au total 1700m3 de bois pour les planchers. Ce projet est l'un des chantiers bois majeurs de Bouygues Bâtiment France, et les équipes chantier Bouygues Bâtiment Grand Ouest qui en assurent la pose bénéficient de l'accompagnement de WeWood, le pôle d'expertise en construction bois de Bouygues Bâtiment France.Une enveloppe thermique très performante (laine de roche de 220 mm d'épaisseur pour les façades, isolant polyuréthane en toiture terrasse, fibrastyrène pour le parking, isolation performante des longrines et dalles portées…) et des menuiseries mixtes bois/alu dotées de triple-vitrage.La mise en œuvre de matériaux naturels comme, par exemple, les revêtements de sol Marmoleum ou la peinture Algo à base d'algues.Un projet misant sur le confort et le bien-être des agents et du publicD'une superficie totale de 20000 m2, les 3 bâtiments accueilleront 18 services administratifs, soit 1 100 agents, un restaurant inter-administratif de 900 m2 ainsi qu'une crèche de 15 berceaux avec un jardin attenant. Les flux seront bien identifiés pour optimiser l'accueil du public et l'environnement de travail des agents.L'architecture des 3 bâtiments se veut flexible, avec des aménagements intérieurs modulables : la structure en poteaux poutres et les cloisons amovibles ont ainsi été pensées pour permettre une flexibilité des espaces de travail.Elle repose en outre sur le concept de biophilie, c'est-à-dire l'intégration du vivant dans l'environnement bâti, ce qui se traduit par une valorisation du bois dans les espaces de travail, la végétalisation des passerelles de liaison entre bâtiments et des espaces extérieurs, etc.Enfin, le projet s'intègrera harmonieusement dans le quartier grâce à une large partie des façades des bâtiments revêtues de tuiles émaillées.Ce matériau fait écho, de manière contemporaine, à la brique omniprésente à Amiens. Ces tuiles sont produites localement, en Picardie, à Saint-Germer-de-Fly, par la société EDILIANS. Les 7000 m² de façades en bardage tuiles émaillées seront intégralement réalisés en part propre, par les équipes polyvalentes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest.
Il y a 2 ans et 113 jours

VIEGA lance Temponox 

VIEGA lance Temponox  Le domaine d’application du système « Temponox » — chauffage/refroidissement — est reconnaissable au jmgcom lun 23/01/2023 - 10:50 En savoir plus sur VIEGA lance Temponox  Partager
Il y a 2 ans et 113 jours

L'AFG devient France gaz et renforce son ambition pour répondre aux grands enjeux énergétiques

Dans un contexte marqué par une crise mondiale de l'énergie, la filière gazière se met en ordre de marche pour répondre aux enjeux de transition et de souveraineté énergétiques de la France. La nouvelle identité de France gaz concrétise cette ambition technologique et industrielle visant la décarbonation intégrale de notre économie et la revitalisation de nos territoires. Interrogés par l'IFOP et France gaz, 84% des Français appellent les pouvoirs publics à accélérer le développement des gaz renouvelables dans nos territoires.« Il y aura un avant et un après 2022 dans le monde de l'énergie, et plus particulièrement pour notre industrie. Demain ce ne sont plus que les gaziers qui produiront du gaz, et celui-ci sera renouvelable et bas-carbone. Nous devons accélérer la transition énergétique grâce à une variété de sources et de technologies inscrites dans des projets d'économie circulaire, valorisant les ressources locales de nos territoires. » explique Jean-Marc Leroy, président de France gaz.France gaz : de nouveaux partenaires et un champ d'intervention étenduLa volonté de l'association est claire, résumée dans son slogan « France gaz, ensemble transformons l'énergie ». Forte d'une histoire de 150 ans, la nouvelle identité de France gaz rappelle l'existence d'un modèle gazier français, centré autour de deux piliers : la protection des Français, en complément des autres vecteurs énergétiques, et l'innovation, au service de la transition et de la sobriété énergétiques. Elle s'accompagne d'une nouvelle démarche, intégrant la filière agricole, l'industrie des déchets, l'univers des start-up et des développeurs de technologies de production de gaz renouvelables, comme la méthanisation ou la pyrogazéification. Elle appelle l'ensemble des acteurs à soutenir dès 2023 la construction d'une stratégie nationale énergie et climat ambitieuse et équilibrée.La filière gazière dépassera l'objectif fixé par l'actuelle Programmation pluriannuelle de l'énergie pour les gaz renouvelables. Grâce au développement de la production de ces gaz dans nos régions, elle propose, dans la future stratégie française énergie climat, de doubler cet objectif. Dès 2030, la filière vise 20% de gaz renouvelables et bas carbone dans notre consommation nationale.Protection et innovation : France gaz pour accélérer la production de gaz verts français et assurer la sécurité d'approvisionnementLa résilience et la mobilisation de la filière gazière française ont permis de répondre au risque de rupture énergétique cet hiver ; ce qui rappelle que la complémentarité entre électricité et gaz est indispensable pour assurer l'équilibre offre-demande.Le gaz de demain ne sera plus importé et fossile, mais local et vert. Grâce à de nouvelles technologies de production et au dynamisme de la filière méthanisation, dont plus de 80% des projets sont d'origine agricole, il permettra :d'opérer la transition énergétique et climatique : l'énergie produite à partir de biogaz, qu'elle soit valorisée sous forme d'électricité, de chaleur ou de biocarburant, contribue à l'objectif de neutralité carbone et à la souveraineté énergétique de la France ;de concrétiser les nouvelles politiques déchets : la filière biogaz permet la valorisation optimisée des déchets organiques et concourt aux objectifs européens de réduction de mise en décharge de matière organique ;de développer la politique agroécologique : la méthanisation permet de réduire les émissions naturelles de l'élevage, de diminuer le recours aux engrais fossiles, de lutter contre la pollution des eaux et de généraliser la mise en place de cultures intermédiaires, source de nombreux avantages : limitation de l'érosion des sols et augmentation du stockage de carbone.Les propositions de France gaz pour réussir la transition énergétiqueInscrire l'objectif de 20% de consommation de gaz renouvelables en 2030 dans la loi. L'industrie gazière peut doubler ses objectifs de production de gaz renouvelables et bas carbone ;Reconnaître le bénéfice du biométhane dans l'habitat, pour une mobilité durable et dans l'industrie avec :Le maintien des aides aux ménages chauffés au gaz et l'introduction du biométhane dans le logement neuf ;Sa reconnaissance comme une solution de décarbonation majeure du transport lourd : transport maritime, transport de marchandises et de voyageurs.La simplification des mécanismes de traçabilité et de valorisation du biométhane pour les industriels ;La mise en œuvre rapide des dispositions prises pour accélérer la filière comme le réajustement des tarifs d'achat pour tenir compte des effets de la crise dont l'inflation, le lancement des contrats de production de biométhane et le soutien au développement des contrats directs entre producteurs et entreprises.Une image positive des gaz renouvelables, notamment parmi les Français les mieux informésL'enquête menée par l'IFOP pour France gaz pour mesurer la connaissance et perception des Français des gaz renouvelables, indique qu'en matière de souveraineté énergétique, une large majorité de Français plébiscitent l'indépendance nationale. 79% déclarent que pour pallier les risques de pénuries énergétiques, les pouvoirs publics doivent mettre en place des actions destinées à renforcer la production française.La moitié des Français affirme connaître les gaz renouvelables mais de manière relativement superficielle. Pour autant, 86% déclarent qu'ils représentent une « solution innovante », 82% « une énergie d'avenir », 82% « une solution pour la planète » et 81% une « source d'emplois importante ».Interrogés sur les usages de ces derniers, le « chauffage des logements individuels et collectifs » et la « production de chaleur pour les industries et les exploitations agricoles » (87% pour chacun des deux), ainsi que le « chauffage des bâtiments publics tels que les piscines, hôpitaux, écoles, stades » (86%) restent les plus connus.En cohérence avec la volonté de nationalisation de la production énergétique, 84% des sondés considèrent que les pouvoirs publics doivent aller plus loin pour encourager le développement de la production de gaz renouvelables. Ils sont même 85% à être favorables au développement d'installations de production dans leur région.* Sondage Ifop pour France gaz réalisé par questionnaire auto-administré en ligne du 13 au 14 décembre 2022, auprès d'un échantillon de 1000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Il y a 2 ans et 113 jours

 NOUVEAU SMP-300 GRIFFON –  Revêtement élastique étanche à l’eau et à l’air, basé sur une technologie SMP innovante.

Expert des systèmes d’assemblage, de collage et d’étanchéité dédiés aux professionnels, Griffon lance le nouveau SMP-300 : un revêtement souple bénéficiant d’une élasticité permanente supérieure à 250% grâce à une technologie exclusive. Étanche à l’eau et à l’air, ce nouveau revêtement peut être appliqué sur des surfaces humides, ce qui permet aux professionnels de poursuivre les travaux quelles que soient les conditions météorologiques et augmenter ainsi leur productivité sur les chantiers. Doté d’une excellente adhérence sur la plupart des matériaux, le nouveau revêtement SMP-300 Griffon s’applique sans primaire pour réaliser de multiples travaux d’étanchéité, de protection et de réparation des toitures, des cloisons, des murs, des sols, des cadres de portes ou de fenêtres, des fissures… Il convient également pour l’étanchéité sous carrelage dans les pièces humides et les piscines. Résistant aux intempéries, aux UV, au chlore et à l’eau salée, il se nivelle automatiquement, ne se contracte pas et peut être enduit et peint. Des constructions étanches à l’air et à l’eau Bénéficiant des dernières avancées techniques Griffon, le SMP-300 se caractérise par de hautes qualités d’usage qui faciliteront la réalisation de l’étanchéité de tous types de matériaux : le béton, le métal, la pierre, le bois, le bitume, le zinc, le PVC et l’EPDM. 100 % résistant à l’eau, à l’air, aux intempéries et aux UV, ce revêtement polyvalent auto-lissant, qui ne se contracte pas, assure l’étanchéité et la protection totale des surfaces verticales et horizontales, en extérieur comme en intérieur. Simple d’application Exempt de bitume, d’isocyanates et de solvants, le revêtement SMP-300 Griffon est sûr et prêt à l’emploi. Il s’applique directement sur la surface au pinceau, au rouleau ou au pistolet*. Seau, pot, cartouche ou éco-poche, plusieurs conditionnements sont proposés pour s’adapter aux besoins spécifiques de chaque chantier. Sa mise en œuvre facile et rapide (temps de prise 60 minutes, résistant à une pluie légère après 30 minutes, totalement résistant à l’eau après 12 heures) en fait une solution de chantier extrêmement compétitive. Testé et certifié La qualité du SMP-300 Griffon a été testée conformément aux normes européennes EN 1026 (perméabilité à l’air des fenêtres et des portes), EN 1027 (étanchéité à l’eau des fenêtres et des bloc-portes) et EN 12114 (perméabilité à l’air des composants ou des parois de bâtiments). Le SMP-300 Griffon s’est vu attribuer la classe premium EMICODE® EC-1 Plus certifiant ses très faibles émissions de COV. https://www.griffonfrance.fr/fr
Il y a 2 ans et 113 jours

L'Institut de formation et de recherche du bâtiment devient Batys compétences

Depuis le 1er janvier 2023, l'association IFRB qui a pour but d'accompagner les entreprises du bâtiment dans la formation continue de leurs collaborateurs, a changé de nom et de logo.
Il y a 2 ans et 113 jours

INOHA lance sa plateforme de Business Intelligence

Dans cette période d’incertitude, les entreprises ont besoin de s’appuyer sur des données pertinentes, complètes et précises pour prendre les meilleures décisions. Dans cet objectif, INOHA, l’Association des Industriels du Nouvel Habitat, propose à ses adhérents un service innovant pour gagner en performance : INODATA, la nouvelle plateforme Business Intelligence, véritable observatoire de l‘économie et des tendances du Nouvel Habitat, favorisant le décryptage des données et la connaissance du marché. Un outil essentiel d’aide à la décision Exclusivement réservé à ses adhérents, la plateforme INODATA est accessible depuis l’espace du site Internet d’INOHA : www.inoha.org. Indispensable au bon pilotage des entreprises, elle regroupe, en un lieu unique, des données très complètes, essentielles à la prise de décision. Elle comprend : Sur le marché de la GSB, en collaboration avec la FMB, des données mensuelles sur 12 rayons, 64 familles, 274 sous-familles du référentiel INOHA en Grandes Surfaces de Bricolage ; Sur le marché du Négoce, avec XERFI, des données mensuelles sur 12 rayons ; Sur le marché de la GSA, avec GFK, des données mensuelles sur 12 rayons et 64 familles ; Sur le marché de la Jardinerie-Lisa, avec GFK, des données mensuelles sur 12 rayons et 64 familles. A cette offre, s’ajoutent des services et des études consommateurs exclusifs dans les domaines suivants : Economie générale avec 37 indicateurs macroéconomiques (matières premières, mise en chantier, moral des ménages, inflation …) ; Marchés : enquête trimestrielle sur les comportements d’achat et les circuits d’achat par enseigne, réalisée avec GFK ; Tendances : analyse des recherches des consommateurs sur Internet, observatoire des rayons et des acteurs de la distribution, réalisés avec la start-up Trajaan. Enquête sur les projets passés et à venir des consommateurs et les évolutions de leur comportements d’achat. Grâce à la nouvelle plateforme INODATA, les adhérents d’INOHA accèdent facilement aux données qui les intéressent, peuvent élaborer des tableaux de bord personnalisés et les partager entre collaborateurs grâce à la data visualisation. Une souscription à la carte INOHA propose une souscription à la carte pour s’adapter au besoin de chacune des entreprises adhérentes. De plus, en mutualisant les coûts, INOHA rend ces données accessibles à des tarifs très abordables. « INODATA est un outil très puissant sur la connaissance des marchés et des tendances. Aucune Association ou Fédération ne propose, à ma connaissance, ce type d’outil qui permettra à nos adhérents d’avoir une vision juste sur les marchés et un coup d’avance sur les tendances » souligne Jean-Luc Guéry, Président d’INOHA. A propos d’INOHA Association professionnelle des Industriels du Nouvel Habitat, INOHA fédère, depuis 1978, les fabricants de produits manufacturés destinés à l’entretien, au bricolage, à l’aménagement extérieur, au jardinage, à l’amélioration de l’habitat et à la construction résidentielle neuve. INOHA les fédère pour les aider à accélérer leur développement dans une approche multi-canal et s’engage auprès d’eux à les éclairer, à construire et à peser dans un esprit de partage, d’engagement et de respect. INOHA et ses adhérents sont au service des Français qui font de leur habitat une valeur refuge, source de leur bien-être.
Il y a 2 ans et 113 jours

ITE-SHOP lance ses nouveaux accessoires faciles et ajustables pour des chantiers encore plus rapides

Afin de proposer des équipements toujours plus faciles et adaptés aux contraintes de chantier, ITE-Shop a entièrement conçu et développé ces nouvelles solutions qui viennent compléter le catalogue en ligne - www.ite-shop.com - et les accessoires exclusifs de la marque (ISODEPORT RT+ et ISODEPORT Volet). Soucieux d’améliorer et de faciliter la vie des artisans sur les chantiers, ITE-Shop ne cesse d’imaginer des outils et des accessoires plus malins et plus économiques. Grâce à ses accessoires universels, plus besoin de s’équiper de la même pièce en plusieurs dimensions, les pièces s’ajustent aux différentes configurations directement sur le chantier. Le site de vente en ligne français www.ite-shop.com propose un catalogue complet pour les travaux d’Isolation Thermique par l’Extérieur, de l’isolant à la quincaillerie, l’outillage, ou encore les équipements d’échafaudage.ISODEPORT GC : une seule équerre pour répondre à 100% des besoinsConçue pour le déport de garde-corps en tableau ou en façade, le déport de gonds de volets ou tout autre charge moyennes ou lourdes, l’équerre ISODEPORT GC est une équerre à rupture de ponts thermiques de 120 mm, fournie avec un talon de 20 mm empilable pour d’adapter aux dimensions standards des isolants en 120 et 140 mm. Pour les épaisseurs spéciales, il suffit d’emboîter d’autres talons si besoin ou de couper proprement le corps de l’équerre, marqué tous les 10 mm pour assurer une précision de travail.Fabriquée en Polyamide 6-6 avec 30% de fibre de verre, l’équerre ISODEPORT GC assure une résistance de charge jusqu’à 2.138 kg sur un point de fixation, soit la meilleure résistance du marché selon le rapport d’essais réalisés par le CSTB (Rapport d’essais n° DSSF 21-06582).Pour faciliter la pose, le kit comprend un gabarit de perçage autocollant et la visserie nécessaire (sous avis technique) pour tout support (plein ou creux).ISODEPORT BM70 et BM100 : des blocs de montage à haute densité ajustablesLes nouveaux blocs de montage ISODEPORT BM70 et BM100 sont fabriqués en polystyrène expansé haute densité à 150 kg/m3 pour supporter en toute sécurité les charges légères telles que les points lumineux, les boîtes aux lettres ou encore les colliers de descentes.Conçus et produits en France, ils s’ajustent à toutes les épaisseurs grâce à des traits demarquage tous les 10 mm (découpe au fil chaud ou à la scie à main). Les blocs ISODEPORT BM70 et BM100 viennent se fixer directement dans l’épaisseur de l’isolant en PSE, en laine de roche, en fibre de bois ou en liège. Pour répondre à tous les besoins, ITE-Shop propose deux formats de bloc :ISODEPORT BM70 : bloc circulaire de 70 mm de diamètre avec une résistance de charge jusqu’à 20 kg (force de compression Pa sur toute la surface de 0.65 kN). ISODEPORT BM100 : bloc carré de 100 x 100 mm avec une résistance de charge jusqu’à 25 kg (force de compression Pa sur toute la surface de 1.00 kN).
Il y a 2 ans et 113 jours

[Innovation] Le marc de raisin comme base d’un futur isolant biosourcé ?

Céline Badouard est Doctorante sur l’élaboration de matériau bio-sourcé à l’université de Reims. Au coeur de la Champagne, elle a étudié la valorisation des déchets de pressurage du raisin pour les convertir en nouveau matériau biosourcé basé sur le marc de raisin.  La région Champagne s’est donnée pour objectif de réduire ses émissions de CO2 de 75% d’ici 2050. Parmi, […]
Il y a 2 ans et 113 jours

Il était une fois l'architecture bioclimatique : Oeco livre le pôle jeunesse de Foix

L'énarque Florence Contenay, inspectrice générale honoraire du ministère de l’Équipement et ancienne directrice de l'Institut français d'architecture (Ifa), est décédée le 12 janvier 2023. La loi de 1977 sur l'architecture et la création des Conseils d'architecture, d'urbanisme et […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 113 jours

Florence Contenay, disparition d'une militante de l'architecture

L'énarque Florence Contenay, inspectrice générale honoraire du ministère de l’Équipement et ancienne directrice de l'Institut français d'architecture (Ifa), est décédée le 12 janvier 2023. La loi de 1977 sur l'architecture et la création des Conseils d'architecture, d'urbanisme et […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 113 jours

Au Cameroun reprise des travaux annoncée sur un grand complexe sportif après un litige

Il y a quelques jours, l'entreprise, Magil Construction Corporation, avait dénoncé les "attaques infondées" du ministère des Sports qui l'accusait dans un courrier interne de vouloir résilier unilatéralement son contrat. L'entreprise, filiale du groupe français Fayolle, accusait de son côté l'Etat de ne plus payer ses factures depuis juillet 2021.Les travaux avaient été interrompus en août dernier pendant un mois, puis avaient repris "en service minimum jusqu'à ce jour", a précisé le constructeur canadien à l'AFP.En marge d'une visite vendredi sur le site, le ministre des Sports du Cameroun, Narcisse Mouelle Kombi, a réaffirmé la volonté de son gouvernement de voir ce projet aboutir "dans son entièreté" et Magil reprendre les travaux rapidement "dans le cadre du contrat" passé avec l'Etat.Il y a eu "un très grand malentendu" et "les chantiers vont reprendre", a de son côté assuré le vice-président de l'entreprise canadienne, Franck Mathière, également présent. "Ce projet arrivera au bout, c'est l'engagement qui a été renouvelé entre le gouvernement et Magil", a-t-il ajouté.Magil a indiqué à l'AFP espérer une reprise des travaux ce lundi 16 janvier. Le feuilleton du complexe du stade d'Olembé, qui a déjà largement dépassé le budget initial, est régulièrement l'objet de vifs débats dans les médias, l'opposition parlant d'un vaste "scandale financier" dû à la "corruption". Outre ce stade omnisports de 60.000 places, le projet prévoit une piscine, un gymnase ou encore des courts de tennis. Seul le stade a été achevé, in extremis, pour accueillir des matches de la Coupe d'Afrique des nations (CAN) 2021 de football organisée par le Cameroun début 2022.Ce chantier avait été confié en 2015 au groupe italien Piccini qui avait entamé les travaux seulement 15 mois après en invoquant des "raisons administratives indépendantes" de sa volonté.Le gouvernement avait ensuite unilatéralement résilié son contrat avec Piccini, remplacé en 2020 par Magil.