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Toute l'actualité du bâtiment

255421 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 114 jours

Le tri postal de Bordeaux transformé en logements par CoBe

Au cœur du secteur Armagnac Nord de la ZAC Saint-Jean Belcier à Bordeaux (Gironde), CoBe Architecture et Paysage a achevé la première phase de la transformation de l’îlot du Tri Postal (Lot 1 & 2), coordonnée par ECDM (Emmanuel Combarel et Dominique Marrec), en juin 2022 pour le compte de BNP Paribas Real Estate. Des […] L’article Le tri postal de Bordeaux transformé en logements par CoBe est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 114 jours

11ème Trophée Béton Ecoles : les lauréats

Jeudi 12 janvier 2023, à la Maison de l’architecture Ile-de-France, a été annoncé le palmarès de la 11ème édition du Trophée Béton Ecoles, un concours qui récompense les projets d’étudiants mettant en œuvre le béton. Parmi les 12 présélectionnés dans deux catégories, cinq équipes ont été récompensées. Le Trophée béton Écoles organisé depuis 2012 par […] L’article 11ème Trophée Béton Ecoles : les lauréats est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 115 jours

Évacuations dans le nord de l'Inde où les maisons se fissurent et s'affaissent

Si les causes de ce phénomène restaient obscures, les habitants de cette commune de l'Etat de l'Uttarakhand, l'imputent à la construction de routes et de tunnels pour un projet hydroélectrique à proximité.Le Premier ministre Narendra Modi a convoqué une réunion d'urgence, et le gouvernement a créé un panel d'experts pour mener une "étude rapide" sur les causes.Au moins 60 familles ont été relogées dans des abris, et de nombreuses autres, dont les habitations ont commencé à s'affaisser, devraient l'être à leur tour, a annoncé à l'AFP un responsable local, Himanshu Khurana.Mais selon plusieurs témoins, une grande partie de la population de la ville, qui compte 20.000 habitants, ont déja quitté leur domicile et nombre d'entre eux ont été contraints de dormir dans le froid glacial. Ils assurent avoir alerté les autorités depuis des semaines, voire des mois, au sujet de fissures dans les bâtiments et les routes, dont certaines suintaient de l'eau marron boueuse.Un autre responsable, qui a requis l'anonymat, a confirmé que plusieurs zones de la ville avaient été "délimitées comme dangereuses" et leur accès y était limité."Les gens sont très inquiets. On craint que toute la ville s'enfonce", a-t-il déclaré. Des hélicoptères survolent la ville.Située à environ 1.800 m d'altitude, Joshimath est un point d'accès majeur à un certain nombre de sites religieux importants dans l'Himalaya, attirant des milliers de pèlerins chaque année. Elle abrite également une importante base de l'armée indienne.La région, sujette aux tremblements de terre, a connu un certain nombre de catastrophes ces dernières années, que les experts attribuent à la fonte des glaciers et aux constructions sauvages.Y sont prévus plusieurs projets de construction, notamment de de centrales hydroélectriques et d'un axe routier afin d'améliorer l'accès - par l'armée - à la zone frontalière chinoise et aux sites de pèlerinage hindous - un des projets favoris de Narendra Modi.En février 2021, au moins 200 personnes ont été tuées lors d'inondations soudaines à Joshimath et dans les environs, un bilan humain que les experts ont en partie imputé à un développement excessif.
Il y a 2 ans et 115 jours

Des logements signés Margot-Duclos à Carrières-sous-Poissy

L’agence parisienne Margot-Duclos (Gilles et Guillaume Margot-Duclos) a livré en 2020, les 142 logements locatifs sociaux et en accession du macro-lots P7 de la ZAC Nouvelle Centralité à Carrières-sous-Poissy (Yvelines) pour deux promoteurs Pitch Promotion et Semiic Promotion. Un projet (7 720 m²) de son temps qui qualifie le logement comme lieu de vie. Communiqué. […] L’article Des logements signés Margot-Duclos à Carrières-sous-Poissy est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 115 jours

Art Déco. France / Amérique du Nord à la Cité de l’architecture

Après l’exposition « 1925. Quand l’Art déco séduit le monde » présentée en 2013, la Cité de l’Architecture et du Patrimoine à Paris (XVIe) poursuit l’exploration de cette période foisonnante avec Art Déco. France / Amérique du Nord et fait le récit des échanges intellectuels et artistiques transatlantiques de la fin du XIXe siècle aux […] L’article Art Déco. France / Amérique du Nord à la Cité de l’architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 115 jours

recticel simfocor r recoit le label d efficience environnementale solar impulse

Recticel est fier d'annoncer que son panneau d'isolation thermo-acoustique Simfocor® est désormais certifié «Solar Impulse Efficient Solution».
Cimbat
Il y a 2 ans et 115 jours

L'artiste camerounais Barthélémy Toguo choisi pour décorer des rames du tramway de Montpellier

"J'ai appelé cette œuvre +Feuille de vie+. On y trouve la tête d'un homme de profil, la bouche ouverte d'où sortent des plantes. C'est pour moi l'association de l'homme et du monde végétal, l'interaction qui existe entre l'individu et les éléments qui l'entourent", a expliqué l'artiste plasticien de 56 ans, via un communiqué.Figure montante de l'art contemporain, Barthélémy Toguo est à l'origine notamment du pilier de ballots colorés exposé sous la Pyramide du Louvre à Paris depuis octobre, une oeuvre monumentale nommée "Le Pilier des migrants disparus"."Le choix de Barthélémy Toguo a été une évidence car il nous renvoie à l'altérité du monde et retrace parfaitement l'identité de Montpellier", a expliqué le maire de Montpellier, Michaël Delafosse.Depuis le lancement du tramway à Montpellier en 2000, les quatre lignes en circulation ont toutes été décorées par des artistes, sur les thèmes de l'air, de la terre, de l'eau et du feu, dont les lignes 3 et 4 par le couturier français Christian Lacroix.La ligne 5, dont les travaux ont débuté récemment, reliera à partir de 2025 la périphérie nord-est au sud-ouest de Montpellier, en passant par le centre historique.L'usage du réseau de bus et de tram de Montpellier sera entièrement gratuit pour tous les habitants de la métropole dès la fin de cette année, comme c'est déjà le cas pour les moins de 18 ans et les plus de 65 ans ainsi que pendant les week-ends pour tous les habitants.
Il y a 2 ans et 116 jours

A Paris, la "promenade urbaine", symbole d'une mue difficile à La Chapelle

"En juillet 2019, on flânera sympa à La Chapelle." Cet engagement de la maire PS Anne Hidalgo, formulé en 2018, peut prêter à sourire pour quiconque déambule dans ce quartier du nord de Paris, à la limite du XVIIIe arrondissement.Dur en effet de déambuler paisiblement autour de la station homonyme: des grappes d'hommes proposent des cigarettes de contrebande ou, un peu plus loin, d'autres produits dans un marché de rue improvisé qui laisse peu de place au passant.Dans le petit square rénové et agrandi pour ce projet, pas une famille qui traîne en fin d'après-midi; quant à celui d'en face, bien entretenu par des personnes en réinsertion sous l'égide d'Emmaüs, il n'est plus accessible au public, se plaint Marie-Madeleine Petit, habitante du quartier depuis 1997.Sous le viaduc de la ligne 2 du métro, ouvrage métallique construit au début du XXe siècle, la "promenade urbaine" promise sur 1,4 km connaît plusieurs ratés: un skate park en mauvais état et donc dangereux pour la pratique, une exposition photo aux cadres tagués, des kiosques neufs mais vides...Plus que les toilettes sèches qui n'ont tenu que quelques mois avant d'être retirées, en raison de fuites d'urine sur la voie publique, l'abandon de la pépinière des Fermiers Généreux, à l'automne 2022, a été le désaveu le plus cinglant pour la mairie.Installée en février 2020 pour un budget de 265.000 euros, cette parcelle d'agriculture urbaine sur du bitume aura tenu trois ans avant d'être démontée en décembre.L'association retenue pour mener le projet, Vergers Urbains, s'est retrouvée débordée à partir de juin par des vagues de réfugiés qui y ont trouvé un abri, protégé de la pluie."On passait trop de temps sur les déchets et la réparation, on ne voyait pas le bout du tunnel", déplore Sébastien Goelzer, coordinateur de Vergers Urbains.Début juin, la mairie affirmait pourtant que l'arrêt de ce dernier n'était "pas envisagé" et prévoyait même un "renforcement des activités"..."Ambition inadaptée"Montrant le goudron et la base des piliers du métro calcinés par les feux des migrants, Loïc Guézo, président de l'association Demain La Chapelle, dit avoir prévenu la mairie contre "des usages créés ex-nihilo" et une "ambition inadaptée au quartier".Si les riverains ont participé à la concertation sur l'axe piéton, M. Guézo, 56 ans dont 22 dans ce quartier, dénonce une "poudre aux yeux: l'essentiel est décidé par les services techniques de la mairie".Interrogé par l'AFP, la mairie de Paris reconnaît que "le site ne fonctionne pas comme il devrait".Mais Alexandra Cordebard, maire (PS) du Xe arrondissement, refuse de parler d'échec : "certaines choses ont marché, d'autres pas et il y a eu des circonstances" avec le Covid et la récente vague de réfugiés, dit-elle.Dans son secteur, le réaménagement d'un rond-point végétalisé en place piétonne a entraîné le même débat entre transformation de l'espace public et entretien de l'existant. Si les opposants dénoncent son coût - 800.000 euros - et la présence d'hommes alcoolisés le soir, la mairie du Xe défend une "occupation beaucoup plus familiale en journée".Sur la promenade urbaine, le maire PS du XVIIIe arrondissement Eric Lejoindre défend lui des "acquis", comme les trottoirs élargis et les pistes cyclables. Pour quel budget ? L'élu socialiste juge "très élevé" le montant de 11 millions d'euros avancé par les associations.A défaut de nouveaux usages, Demain La Chapelle milite pour un axe "propre et éclairé, sans installation", estimant que depuis le démontage de la jardinière "les passants réinvestissent ce lieu".Philippe Girault, un autre membre de l'association, compte sur l'éclairage très attendu du viaduc par le dessous, qui doit mettre en valeur ce patrimoine de la Belle Epoque pour que les "gens s'approprient cet endroit".Et reçoit défavorablement l'idée d'un centre d'accueil évoquée par Anne Hidalgo, mi-décembre, après l'évacuation de 800 migrants.Un mois plus tard, la mairie est toujours "au stade de la réflexion", ont indiqué les élus interrogés.
Il y a 2 ans et 116 jours

Nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 31 janvier

Les représentants des syndicats sont réunis depuis 18h00 au siège de Solidaires, après une journée de grève et de manifestations qui a réuni selon la CGT plus de deux millions de personnes, et 1,12 million selon le ministère de l'Intérieur.Un niveau de mobilisation supérieur à celui du 5 décembre 2019: au démarrage de la contestation contre le précédent projet de réforme des retraites, la police avait dénombré 806.000 manifestants en France, la CGT 1,5 million.Quelques heurts, tensions ou dégradations ont été signalés à Paris, Lyon et Rennes.La réforme, qui prévoit de passer l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans, sera présenté lundi en conseil des ministres."Cette réforme est inacceptable et va à l'encontre des intérêts de la population", qui "ne s'y trompe pas", a déclaré le co-délégué général de l'union syndicale Solidaires, Simon Duteil, au nom de l'intersyndicale."Le gouvernement doit renoncer" au relèvement de l'âge légal à 64 ans en 2030 et à l'allongement accéléré de la durée de cotisation à 43 ans dès 2027, ajoute le communiqué lu devant la presse.Une nouvelle manifestation, à l'appel d'organisations de jeunesse et avec le soutien de la France insoumise, est prévue samedi à Paris.Depuis Barcelone où il participait à un sommet franco-espagnol, Emmanuel Macron a assuré de la "détermination" de l'exécutif pour faire aboutir une réforme "juste et responsable".
Il y a 2 ans et 116 jours

Frans Bonhomme : une année 2022 en hausse sous le signe de la digitalisation

RESULTATS. Distributeur spécialisé en solutions réseaux et infrastructures, Frans Bonhomme, affiche une hausse de son chiffre d'affaires dans les deux pays où il est présent.
Il y a 2 ans et 116 jours

À cause de l'inflation, une fin d'année 2022 compliquée pour les matériaux de construction

CONJONCTURE. La hausse des prix, des coûts et des taux d'intérêt n'a pas épargné l'industrie des matériaux de construction, qui a vu sa production flancher à la fin de l'année 2022. Si une accalmie est attendue pour 2023, les difficultés devraient toutefois plus ou moins perdurer.
Il y a 2 ans et 116 jours

Retraites : les chiffres des grévistes dans différents secteurs

ÉnergieLa direction d'EDF a comptabilisé 50% de grévistes sur son effectif total à la fin de cette journée de mobilisation, soit plus que la première et plus suivie des journées d'actions contre le précédent projet de réforme des retraites en 2019 (41,4%). De son côté, la CGT a avancé un taux de 57% de grévistes parmi les effectifs présents.Les électriciens ont procédé à des baisses de production électrique, dans les barrages et les centrales nucléaires, qui atteignaient jeudi à 15H30, 3.400 MW selon la direction, l'équivalent de trois ou quatre réacteurs nucléaires.Le parc nucléaire était disponible à 63% de sa capacité totale à midi, contre 72% prévu, selon des données EDF analysées par l'AFP.La direction d'Engie (ex-GDF Suez) a fait état de 40% de grévistes parmi les effectifs au statut des électriciens et gaziers (non affilié au régime général de retraite). Dans le secteur gazier, la direction de GRDF a recensé 41,4% de grévistes et GRTgaz dénombrait 52% de grévistes (60% des effectifs présents selon la CGT)Chez Enedis, 66% des effectifs présents ont fait grève, selon la CGT.Deux coupures volontaires et limitées de courant ont eu lieu à Chaumont (Haute-Marne) et Massy (Essonne). Cette dernière a été revendiquée par la CGT Energie.Du côté des raffineries, la CGT TotalEnergies comptait entre 70 et 100% de grévistes, sur la plupart des sites du groupe. Les expéditions ont été bloquées, mais il n'y a "pas de manque de carburants" dans les stations TotalEnergies, selon la direction, car des stocks existaient dans de multiples dépôts.Jeudi à 9h30, 1,95% des stations étaient en pénurie d'au moins un type de carburant, selon des données publiques analysées par l'AFP.TransportsLa grève a été très suivie dans les transports avec quasiment aucun train régional, peu de TGV, un métro tournant au ralenti à Paris et une grande banlieue très peu desservie."La journée est extrêmement forte tous collèges confondus", a estimé Laurent Brun, secrétaire général de la CGT-Cheminots.Le trafic régional a été quasiment arrêté avec 1 TER sur 10 en moyenne.Le taux de grévistes à la SNCF a été de 46,3%, dont 77,4% des conducteurs de trains de voyageurs, selon des sources syndicales. En comparaison, la première journée de mobilisation contre la réforme des retraites en 2019 avait été encore plus suivie: 55,6% de grévistes dont 85,7% de conducteurs.A Lyon, une panne informatique a paralysé les quatre lignes de métro jeudi matin et le mouvement social a empêché le recours à des bus de substitution. Le trafic était revenu à la normale dans l'après-midi.Dans le secteur automobile, plus d'une centaine de salariés de l'usine Stellantis de Rennes-la Janais ont fait grève, selon la CGT.ÉducationLe Snes-FSU, premier syndicat du secondaire, a fait état jeudi d'un taux de 65% des professeurs de collèges et lycées grévistes, et le Snuipp-FSU, premier syndicat du primaire, recense 70% d'enseignants grévistes.Selon le ministère, la mobilisation se traduisait par un taux d'enseignants grévistes de 42,35% en primaire, 34,66% en collèges et lycées.Par ailleursLa fonction publique d'État (2,5 millions d'agents) comptait 28% de grévistes, selon le ministère.Les programmes des télés et radios publiques ont été largement perturbés en raison d'appels à la grève à France Télévisions, Radio France et France Médias Monde (France 24 et RFI).C'était également le cas pour la presse quotidienne régionale : les journaux du groupe Nice-Matin ne sont ainsi pas parus ce jeudi.A La Poste, la direction a fait état de 14,64% de grévistes.
Il y a 2 ans et 116 jours

Bureaux : les investisseurs confirment leur intérêt pour la diversification des usages

IMMOBILIER. Le conseil en immobilier Knight Frank France fait le bilan de l'année 2022 dans le secteur des bureaux. La demande dans ce type d'opérations a largement progressé à Paris intramuros.
Il y a 2 ans et 116 jours

chauffe eau thermodynamique un investissement rentable

Découvrez en quoi et dans quelles conditions le chauffe-eau thermodynamique est un investissement rentable.
Il y a 2 ans et 116 jours

materiaux de construction vers un apaisement des tensions en 2023

Dans un contexte fortement marqué par l’inflation et la hausse des taux d'intérêt, l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) observe des évolutions contrastées pour les productions de granulats et de béton prêt à l’emploi (BPE) en 2022. Au troisième trimestre, la production de granulats a gagné du terrain (+2,1 %), tandis que celle du BPE décroche légèrement (-1 %).
Il y a 2 ans et 116 jours

reemploi avec noah upcyclea met en relation l offre et la demande

Le logiciel MyUpcyclea, qui a pour objectif de favoriser le réemploi et l’économie circulaire dans le bâtiment, s’est doté depuis novembre dernier du module « Noah ». Ce dernier permet de mettre en relation l’offre et la demande en matériaux et produits réemployables. Les explications d’Éric Allodi, cofondateur d’Upcyclea.
Il y a 2 ans et 116 jours

batiments publics une proposition de loi pour financer leur renovation energetique

Alors que les bâtiments publics de l’État et des collectivités représentent 76 % de la consommation énergétique des communes, leur rénovation est plus qu’urgente pour réaliser des économies d’énergie. C’est dans ce contexte que l’Assemblée nationale a voté en faveur d’une proposition de loi visant à faciliter le financement de la rénovation énergétique de ces bâtiments.
Il y a 2 ans et 116 jours

hirsch isolation s associe a kompozite pour optimiser la construction neuve

Hirsch Isolation s’est allié à Kompozite afin de pouvoir diffuser la donnée carbone individuelle de près de 1 000 de ses isolants.
GDA
Il y a 2 ans et 116 jours

Travail illégal sur les sites des JO : Bernard Thibault dénonce une certaine "hypocrisie"

CHANTIERS OLYMPIQUES. L'ancien responsable syndical désormais coprésident du comité de suivi de la charte sociale de Paris-2024 reconnaît la mise en place de dispositifs "plus développés qu'ailleurs" sur les chantiers des ouvrages olympiques en matière de lutte contre le travail illégal. Mais ils ne parviennent pas à empêcher totalement la présence de travailleurs sans-papier constate-t-il.
Il y a 2 ans et 116 jours

Révision mensuelle du taux d'usure pour aider l'accès au crédit immobilier

Cette annonce vient confirmer la piste envisagée la semaine dernière après une réunion entre le ministère de l'Economie et des Finances, la Banque de France, des banquiers et des courtiers.Le taux d'usure plafonne l'ensemble des frais d'un prêt immobilier: taux de crédit pratiqué par la banque, éventuelle commission des courtiers, assurance emprunteur. Son mode de calcul constitue aujourd'hui, dans un contexte de remontée des taux, un obstacle pour nombre d'acquéreurs, selon des acteurs du secteur immobilier.Depuis plusieurs mois, les taux d'intérêt remontent dans le sillage des taux directeurs de la Banque centrale européenne et plus vite que le taux d'usure.Rehausser le plafond du taux d'usure offre un bol d'air au marché: il permet aux banques de prêter plus cher, mais aussi à chaque autre composante du coût du crédit d'être prise en compte sans dépasser le plafond légal. Cela permet in fine l'acceptation de davantage de dossiers de demande de crédit.Le taux d'usure est calculé pour l'instant chaque trimestre par la Banque de France, qui fait une moyenne des taux pratiqués par les banques au cours des trois derniers mois, augmentée d'un tiers.Si "l'application de la formule des taux de l'usure a conduit à des hausses bien proportionnées" en 2022, selon la Banque de France, l'institution a remarqué qu'en fin de trimestre "certains dossiers, dans l'attente de la prochaine hausse trimestrielle significative du taux d'usure, sont ainsi reportés au début du trimestre suivant", créant un déséquilibre dans la répartition des crédits.Pour lisser les relèvements du taux d'usure, le calcul se fera donc tous les mois et non plus tous les trimestres à partir du 1er février et, ce, jusqu'au 1er juillet."Les taux d'usure resteront établis sur la base de la moyenne des taux pratiqués lors des trois mois précédents", a précisé la Banque de France.Un arrêté doit être publié dans les prochains jours pour officialiser la mesure.
Il y a 2 ans et 116 jours

Voir l’architecture d’Angers autrement…

Guy Bara, “En rang !”, Les Capucins, opérateur de santé . [©Guy Barra, Club photo d’Angers] Organisée par l’Association A3A et le Club photo d’Angers, l’exposition “Perspectives Architecture Photographie” montre des images contemporaines remontant à une cinquantaine d’années maximum sous un angle différent. Angers compte ainsi 2 892 sites inscrits à l’Inventaire général du Patrimoine culturel et 100 monuments répertoriés à l’Inventaire des Monuments historiques. Parmi lesquels 69 % de bâtiments civils et 21 % d’édifices religieux. Mais la cité angevine a su se réinventer au niveau architectural au fil des siècles. Et notamment, aux XXe et XXIe siècles. « Nous voulions faire découvrir l’architecture contemporaine aux Angevins et aux touristes », se souvient Christian Gonnord, membre du conseil d’administration de l’A3A et coordinateur de l’exposition. Lire aussi : Alphi – Lisa Ricciotti : Un autre regard sur l’étaiement Angers, sous un autre angle Gyu Bara, Passerelle de la gare. [©Guy Bara, Club photo d’Angers] Marie-Odile Mailet, Pont de la Confluence. [©Marie-Odile Mailet, Club photo d’Angers] Agnès de Ternay, Détail de l’Hôtel de Ville. [©Agnès de Ternay – Club photo d’Angers] Bruno Bianchi, Manufacture des Allumettes, à Trélazé, l’ancienne usine d’allumettes réhabilitée. [©Bruno Bianchi – Club photo d’Angers] Xavier Humeau, Maison de l’Autonomie, rue Jean Lecuit. [©Xavier Humeau – Club photo d’Angers] Bruno Bianchi, Tour TIP, Hauts de Saint-Aubin. [©Bruno Bianchi – Club photo d’Angers] Capitale historique et place forte de l’Anjou, berceau de la dynastie des Plantagenêts, Angers a été l’un des centres intellectuels de l’Europe au XVe siècle sous le règne du “bon roi René”. Ses universités, ses musées et son activité culturelle en font un centre culturel important, qui comprend en particulier le château des ducs d’Anjou, construit au XIIIe siècle. « Du chemin de ronde du château, on voit s’étaler la ville, si caractéristique avec ses cheminées de briques sur le fond bleu des toits. La ville qui mêle maintenant au matériau le plus tendre, le tuffeau, l’un des plus résistants, le schiste », écrit Armand Lanoux, dans “Le voyageur de la Loire”, 1965. Des monuments médiévaux en schiste aux maisons contemporaines coiffées, elles aussi, d’ardoises. En passant par de nombreuses réalisations Renaissance ayant célébré la pierre de tuffeau, l’architecture de la ville est ici bien résumée. Des perspectives inédites Agnès de Ternay, Centre commercial l’Atoll, à Beaucouzé. [©Agnès de Ternay – Club photo d’Angers] Agnès de Ternay , Cité U de Belle-Beille. [©Agnès de Ternay – Club photo d’Angers] Anik Le Barilleo, Fac de droit. [©Anik Le Barilleo – Club photo d’Angers] Guy Barra, Immeuble Podeliha, cours Saint Laub. [©Guy Barra, Club photo d’Angers] Guy Bara, Immeubles Le Quatuor, quartier de la gare cours Saint-Layd. [©Guy Barra, Club photo d’Angers] « Lorsque nous avons décidé de monter l’exposition avec le club photo d’Angers, les photographes n’étaient pas habitués à la photo d’architecture. Mais ils se sont pliés volontiers à l’exercice. » L’œil aiguisé de cette dizaine d’amateurs s’est arrêté sur des bâtiments emblématiques ou non, en appuyant sur la dimension géométrique du bâti. Mais aussi temporelle pour marquer le contraste saisissant, sur certains sites, entre l’ancien et le moderne. « Pour que les visiteurs se disent : “mais je n’avais jamais vu tel ou telle bâtiment comme cela.” On découvre alors quelque 75 photos, dont la Cité universitaire de Belle-Beille, l’Hôtel de Ville ou le Centre commercial L’Atoll d’Agnès de Ternay. La passerelle de la gare ou Les Capucins de Guy Bara. Ou encore, le pont de la Confluence de Marie-Odile Mailet… Et l’on retrouve le matériau béton au cœur de ces créations. M. C. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 116 jours

Les aides à la rénovation énergétique boostées en 2023

Quel est l'impact de cette évolution pour les particuliers ? Quels sont les travaux à réaliser en 2023 et lesquels bénéficient d’aides de l’Etat ? Préservation du Patrimoine Energie fait un point de la situation à date.Des aides renforcées en 2023, particulièrement pour les travaux de rénovation globaleDans un contexte où l’énergie est plus que jamais un enjeu majeur et une préoccupation pour les Français, il n’a jamais été aussi important d’avoir des logements performants. Les travaux de rénovation énergétique sont une réponse forte à cet enjeu et pour réduire l’empreinte carbone des logements.Dès le 1er février 2023, les montants des travaux finançables via MaPrimeRénov’ seront revalorisés pour tenir compte de la hausse des prix et favoriser les rénovations globales. Les plafonds seront ainsi revalorisés de 30.000 € à 35.000 €.Cette évolution des aides a pour objectif d’encourager les particuliers à mener leurs projets de rénovation globale mais l’enveloppe budgétaire allouée est encore faible face à l’enjeu de la transition énergétique.Au-delà du dispositif MaPrimeRénov’, la prime CEE (Certificats d’Economie d’Energie) aussi appelée Prime énergie devrait augmenter au bénéfice des particuliers cette année.Pour Sébastien Vernay, Directeur Général de Préservation du Patrimoine Energie : « Au regard de l’augmentation de l’obligation, et du retard constaté sur l’année 2022, le marché des CEE devrait retrouver sa dynamique en 2023. Ainsi, les aides pour les particuliers devraient augmenter et nous pouvons espérer voir se multiplier les initiatives comme celles de la prime Coup de Boost Fioul qui valorise le Coup de Pouce Chauffage déjà mis en place. »Ce qui change en janvier 2023 :Les propriétaires-bailleurs qui engagent des travaux de rénovation énergétique permettant de sortir leur bien des classes G, F et E, bénéficient d’un avantage fiscal et peuvent ainsi déduire le coût de leurs travaux de rénovation énergétique de leurs revenus. Pour encourager les travaux, ce déficit foncier a doublé, passant de 10.700€ à 21.400€.A compter du 1er janvier 2023, les logements de France métropolitaine dont la consommation annuelle d’énergie finale dépasse 450 KWH/m² habitables sont interdits à la location. Cela concerne 90.000 logements en France qui sont interdits à la location.Préservation du Patrimoine Energie, partenaire pour la rénovation énergétiqueSi 9 Français sur 10 disent avoir l’envie de réaliser des travaux de rénovation[1], nombreux sont ceux qui ne passent pas à l’action à cause de l’investissement nécessaire mais également à cause de la complexité du marché et la multiplicité des acteurs lors d’un parcours de rénovation. Pour répondre à cette préoccupation, Préservation du Patrimoine a créé sa filiale énergie. Du diagnostic énergétique aux démarches administratives en passant par l’éligibilité aux aides financières, les particuliers sont accompagnés de A à Z et ce avec un seul et unique interlocuteur, expert de la rénovation énergétique, également en charge et garant du suivi des travaux jusqu’à la fin du projet.L’activité Énergie de Préservation du Patrimoine intervient sur tous les travaux de rénovation visant à réaliser des économies d’énergies chez les particuliers, notamment via le photovoltaïque (panneaux solaires) et l’aérothermie (pompes à chaleur). En 2022, Préservation du Patrimoine a ainsi permis à ses clients de réaliser des économies de plus de 1.889.000€ sur leur facture annuelle (soit 850€ d’économies annuelles en moyenne par foyer et par an) et les travaux réalisés ont permis d’éviter plus de 18.000 tonnes d’émissions de CO2.Pour Sébastien Vernay : « Nous avons constaté que les particuliers rencontrent des difficultés lorsqu’ils souhaitent réaliser des travaux. A qui s’adresser ? Comment bénéficier des aides ? Comment s’assurer de la qualité des travaux ? Ça peut être un vrai défi de se lancer dans des travaux. Nous avons lancé notre offre pour répondre à ces questions. Nous conseillons les particuliers sur les travaux à réaliser, nous nous occupons également pour eux des tâches administratives nécessaires pour recevoir les aides. Les chantiers de rénovation énergétique réalisés par Préservation du Patrimoine ont ainsi bénéficié de 426.400 € de primes (via MaPrimeRénov’ et primes CEE) que nous avons reversées aux particuliers. Après la pose de nos produits, nous assurons également un suivi sur les performances des installations. »
Il y a 2 ans et 116 jours

L'Assemblée facilite les travaux de rénovation énergétique des collectivités et de l'État

Porté par le groupe Renaissance, le texte doit maintenant être examiné le 16 février par le Sénat. Le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu y a apporté son soutien, au nom de "l'exemplarité" afin d'"accélérer" dans la lutte contre le réchauffement climatique.Il s'agit de permettre "d'investir maintenant et de lisser dans le temps le coût de l'investissement", a expliqué le rapporteur Thomas Cazenave, qui est également président de la délégation aux collectivités territoriales de l'Assemblée.Il sera ainsi permis, à titre expérimental pour cinq ans, de déroger à certaines dispositions du code de la commande publique pour la rénovation de bâtiments: un tiers, public ou privé, pourra réaliser l'investissement, puis l'Etat ou la collectivité lui remboursera l'avance et les intérêts, à compter de la date de livraison des travaux, ce qui n'est pas possible actuellement.Cette dette ne sera pas "cachée" mais "clairement inscrite dans les comptes", selon M. Cazenave. Elle sera "utile et rentable", car son remboursement pourra être "partiellement financé par les économies d'énergie réalisées par les travaux", a assuré l'élu de Gironde, vantant "une souplesse attendue" sur le terrain.Les bâtiments publics de l'État et des collectivités locales représentent 380 millions de m2, soit 37% du parc tertiaire national. Ils sont responsables de 76% de la consommation énergétique des communes, en particulier dans les bâtiments scolaires.Le député LFI Jean-François Coulomme a souligné le "sérieux risque de surendettement de nos collectivités", et évoqué les "pratiques corruptives" susceptibles d'être favorisées par le recours à des financements privés.Au nom du groupe MoDem, Mathilde Desjonquères a demandé de ne pas "baisser la garde", rappelant les emprunts toxiques qui ont failli ruiner de nombreuses collectivités et plomber l'Etat après la crise financière de 2008.Deux élus RN se sont abstenus lors du vote du texte, le reste du groupe d'extrême droite votant pour, malgré des "imperfections"."On ne joue absolument pas aux apprentis sorciers", a affirmé M. Béchu. Ce sera "aux élus locaux de décider" d'un financement privé ou public, par exemple via la Banque des territoires, a souligné le rapporteur.
Il y a 2 ans et 116 jours

Le marché des matériaux de construction à la peine en fin d’année 2022

Attisées en premier lieu par les fortes tensions sur l’offre puis amplifiées par la crise énergétique, les hausses de coûts et de prix se sont diffusées à l’ensemble des secteurs d’activité (n’épargnant pas au passage les matériaux de construction) et entrainant dans leur sillage le retour d’une période de resserrement de la politique monétaire. L’année 2023 devrait certes marquer un apaisement de ces tensions (sans toutefois les voir disparaître) mais portera encore, à coup sûr, les stigmates de ce double choc passé. Fin 2022, même si l’activité constructive se montre encore très résiliente, certains indicateurs de demande traduisent bien les effets du choc de solvabilité encaissé par les agents publics et privés (repli des permis de construire et des ventes de logements, atonie des investissements des collectivités locales...). Dans ce contexte perturbé, la production de granulats et de BPE peine à trouver de l’élan et la tendance baissière se stabilise un peu en dessous de -4% sur un an à fin novembre.L’activité se redresse pour les granulats, pas pour le BPEÀ la lumière des premiers résultats de l’enquête mensuelle de novembre, les productions de granulats et de BPE observent des évolutions contrastées. Ainsi, l’activité des granulats aurait progressé de +2,9% par rapport à octobre, marquant le deuxième mois consécutif de hausse (données CVS-CJO). Les productions se situent certes encore -1,9% en deçà des niveaux de novembre 2021 mais, sur les trois derniers mois, la tendance est repartie à la hausse comparée aux trois mois précédents (+2,1%). Signal d’un regain d’activité du côté de la commande TP ou résultat d’un comportement de stockage préventif (dans un contexte de hausse des prix de l’énergie et de crainte des délestages) ? Difficile pour l’heure de trancher mais si ce raffermissement n’est pas confirmé ces prochains mois, il pourrait se solder par un contrecoup en début d’année 2023.La tendance sur les trois mois de septembre-novembre reste néanmoins baissière (-5,4%) rapportée à la même période de l’an passé. Au total, sur les onze mois de 2022, l’activité des granulats enregistre un repli de -3,8% sur un an. Du côté du BPE, après avoir augmenté en octobre, les livraisons du mois de novembre ont reculé par rapport au mois précédent (-2,2%) et apparaissent en net retrait (-9%) par rapport à celles de l’année dernière (CVS-CJO). Au cours du dernier trimestre, la production de BPE a cédé -1% au regard du trimestre précédent et s’inscrit -7,4% en dessous de celle des trois mêmes mois de 2021. En cumul depuis janvier, les cubages de BPE perdent -3,7% sur un an.Après une baisse de -5,5% en octobre sur un an (données CJO), notre indicateur matériaux, encore provisoire pour novembre, décrit un repli plus modéré (-3,3%). Au troisième trimestre, il s’inscrivait en baisse de -4,7% sur un an et affiche désormais une contraction de - 3,1% au cours des onze premiers mois de l’année.Bâtiment : les tensions se modèrent, les permis «dévissent»En décembre, selon la dernière enquête menée par l’INSEE dans l’industrie du bâtiment, le climat des affaires se maintient très au-dessus de la moyenne de longue période, à un niveau inconnu depuis 16 ans. Les entrepreneurs du gros œuvre ont perçu une amélioration de leur activité passée en cette toute fin d’année et sont également bien plus optimistes sur leur activité future. Le jugement qu’ils portent sur leurs carnets de commandes a cessé de se dégrader, le niveau de ces derniers restant confortable à 9,5 mois de chantiers en stock. Le moral des chefs d’entreprise du gros œuvre fait donc toujours preuve de résilience. Bien qu’elles demeurent importantes au regard du passé, les tensions sur l’offre se desserrent un peu. Il est toujours difficile de recruter mais les effectifs continuent de s’étoffer et la part des entreprises faisant face à une insuffisance de personnel se réduit légèrement. Quant aux difficultés d’approvisionnement, elles se modèrent mais 13% des entreprises ne peuvent produire plus pour cette raison (contre 18% en octobre dernier). Côté prix, la détente se confirme également mais très graduellement : en décembre, les entreprises étaient moins nombreuses que le mois précédent à annoncer une augmentation de leurs tarifs mais le solde d’opinion correspondant demeure encore très supérieur à la « normale ». L’activité reste donc solide dans le bâtiment si l’on en croît l’enquête.* Variation en % par rapport à la même période de l’année précédente en données corrigées du nombre de jours ouvrés - (p) Provisoire - (1) Données de production ; autres matériaux : livraisons - (2) Le volume de l’indicateur matériaux correspond à la somme des livraisons des produits suivants : ciment, BPE, granulats, produits en béton, tuiles et briques. La variation en % de l’« Indicateur Matériaux » est égale à la somme des variations de chaque produit - (3) Fin octobre.Côté construction, les données du ministère font état d’un raffermissement des mises en chantier (+1,8% sur les trois mois de septembre à novembre, comparé aux trois mois précédents – données CVS-CJO), notamment dans le segment du collectif (+7,5%) tandis que l’individuel cède du terrain (-5,2%). Pour autant, le nombre de logements commencés reste inférieur de -4,2% par rapport au même trimestre de l’an passé, atteignant 377.600 unités en cumul sur douze mois à fin novembre (soit -3,1% en glissement annuel). S’agissant des permis, leur nombre a plongé de -34,9% ces trois derniers mois (comparé aux trois mois précédents). Cette fois, c’est le segment du collectif qui dévisse (-47,8%), l’individuel perdant -6,7%. En dépit de cette chute sur les mois de septembre à novembre (-24,8% sur un an), le nombre de logements autorisés reste sur une tendance haussière en cumul sur douze mois (+5,6% à 491.200 unités). Le plongeon de la maison individuelle se constate aussi du côté des ventes avec un effondrement de -42,6% sur un an au cours du trimestre septembre-novembre, selon les données publiées par Markemétron. La demande avait été, il est vrai, particulièrement dynamique en 2021, appuyant de facto le recul constaté. Mais le nombre de ventes de janvier à novembre apparaît en net retrait, que ce soit au regard de 2021 (-31,3%) ou comparé à la moyenne de longue période (-23%) ; au total en 2022, à peine 95.000 maisons individuelles seraient vendues selon Markemétron, un niveau comparable à celui des années de crise.La détérioration des perspectives économiques, la résurgence de l’inflation, notamment énergétique, le repli du moral des ménages et l’accès au crédit plus difficile ont pesé (et pèseront encore) sur le marché immobilier en 2022 et 2023. Bien que la totalité des emprunteurs bénéficient à ce jour de crédits habitat à des taux largement inférieurs à l’inflation (2,34% en décembre pour une hausse des prix à la consommation à +5,9%, soit des taux d’intérêt réels largement négatifs, ce qui ne s’était jamais observé depuis la fin des années 50), la production de crédits se contracte. L’allongement de la durée moyenne des crédits, à un niveau record de 20,7 ans en décembre (contre 13,6 ans en 2001), ne parvient pas à compenser la hausse des prix des logements, la baisse du pouvoir d’achat des ménages et les exigences plus strictes des banques en termes de taux d’apport des emprunteurs.TP : légère embellieSelon la dernière enquête réalisée par la FNTP, l’amélioration de l’activité, amorcée en septembre, s’est poursuivie en novembre avec un volume d’activité en hausse de +1,8% sur un an. Cependant, les travaux réalisés restent en recul de -3,3% sur les trois mois de septembre à novembre, comparé à l’an passé et, en cumul depuis janvier, les facturations se contractent de -7,3% en euros constants sur un an. Cette embellie, qui se double d’une légère détente des coûts de production et d’un certain raffermissement des prises de commandes, apparaît encore fragile et trop tardive pour éviter un repli de l’activité des travaux publics en 2022 ; mais elle constitue toutefois un signal encourageant... qui reste à confirmer.
Il y a 2 ans et 116 jours

IDSB met du vert dans ses composants de structure

En Alsace où il siège, le fabricant de murs à coffrages intégrés et autres éléments de structure en béton, et plus récemment en bois, complète...-Industrie
Il y a 2 ans et 116 jours

Hérault : la poursuite de la rénovation du réseau de tramway à Montpellier à partir de janvier 2023

La métropole de Montpellier (Hérault) a révélé la suite des travaux de rénovation du réseau de...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 116 jours

Haute-Garonne : le stade de rugby de Labastide-Beauvoir est le premier à bénéficier d’une installation solaire dans la région

La pergola solaire du stade de rugby de Labastide-Beauvoir (Haute-Garonne) est la première installation d’un projet visant à équiper plus...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 116 jours

Le fonds souverain norvégien fait un nouveau pas dans les énergies renouvelables avec le rachat d'Iberdrola

Le fonds de 13.162 milliards de couronnes (1.227 milliards d'euros) va débourser 600 millions d'euros pour acquérir auprès du groupe énergétique espagnol Iberdrola 49% d'un portefeuille comprenant sept projets de fermes photovoltaïques et cinq projets de parcs éoliens à terre.Il s'agit de son deuxième investissement direct dans des infrastructures d'énergies renouvelables, une nouvelle classe d'actifs dans laquelle le Parlement norvégien l'a autorisé à investir aux côtés des actions, des obligations et de l'immobilier.En avril 2021, il avait déjà annoncé une prise de participation pour près de 1,38 milliard d'euros dans ce qui était alors le deuxième plus gros parc d'éoliennes en exploitation au monde, Borssele 1 & 2, dans les eaux néerlandaises de la mer du Nord.L'acquisition des actifs espagnols, prévue pour être bouclée au premier trimestre, porte sur une puissance installée de 1.265 mégawatts, permettant de couvrir la consommation annuelle d'électricité de 700.000 foyers espagnols, a-t-il précisé dans un communiqué.Neuf des 12 projets concernés sont actuellement en cours de développement et devraient être achevés d'ici à 2025, a-t-il ajouté.Censé faire fructifier les recettes pétrolières de l'Etat norvégien pour assurer les financements de son Etat-providence, le fonds se montre timide dans les infrastructures d'énergies renouvelables alors qu'il avait dans le passé exprimé son intention d'y consacrer environ 10 milliards d'euros entre 2020 et 2022."Notre expérience jusqu'à présent, c'est que de nombreux investisseurs recherchent de tels investissements et que leur valorisation n'est donc pas toujours attrayante pour nous", expliquait le chef du fonds, Nicolai Tangen, devant le Parlement en 2020.Iberdrola a de son côté indiqué qu'il pourrait étendre son partenariat avec le fonds norvégien "à d'autres actifs renouvelables, situés en dehors du périmètre initial, en Espagne ou dans d'autres pays".Dans un premier temps, l'investissement dévoilé mardi reste conditionné à l'aval des autorités espagnoles.Madrid a instauré en 2020 un contrôle des investissements étrangers dans les secteurs stratégiques, à l'origine pour protéger ses entreprises fragilisées par la crise sanitaire.Ce bouclier "anti-OPA" oblige les groupes étrangers voulant acquérir plus de 10% d'une entreprise espagnole ou de l'une de ses filiales jugée prioritaire à solliciter au préalable le feu vert de l'Etat.Dirigé par Ignacio Sanchez Galan, Iberdrola a fortement grossi ces dernières années, jusqu'à devenir l'un des leaders mondiaux des énergies renouvelables.
Il y a 2 ans et 116 jours

Associer rénovation énergétique et préservation patrimoniale : où en est-on ?

FOCUS. Après avoir lancé son label expérimental dédié au patrimoine en 2020, le collectif Effinergie vient de rendre les résultats de cette démarche consistant à conjuguer réhabilitation énergétique performante et préservation du bâti à caractère patrimonial. Sur la cinquantaine de projets ayant participé à l'expérimentation, seule une poignée a été sélectionnée.
Il y a 2 ans et 116 jours

Nooco pour calculer facilement son ACV

Le logiciel d’ACV Nooco pallie l’absence de données par défaut de la base Inies, encore lacunaire sur les lots techniques. Il offre aussi aux concepteurs une lecture ergonomique de la base et un gain de temps sur la saisie des composants.
Il y a 2 ans et 116 jours

Le Groupe em2c livre à Lyon l'immeuble WElink de 22.500 m²

L'immeuble tertiaire en R+3, développe 18.600 m² de SDP en superstructure (+ 3.900 m² de parking en sous-sol) dont 16.800 m² de bureaux, et 1.800 m² d'espaces collectifs (restaurant d'entreprise, salle de sport, conciergerie…). L'immeuble propose 129 places de stationnement en sous-sol.L'utilisateur ENEDIS a pris possession du bâtiment pour y réaliser ses aménagements intérieurs. L'immeuble y accueillera bientôt les 1.400 collaborateurs de sa Direction des Services Informatiques et de ses Opérateurs Informatiques et Telecom. Ce nouveau site sera le troisième en importance pour ENEDIS.Le bâtiment est candidat à la certification BREEAM Niveau Very GoodVoisin de la Halle METRO Gerland (livrée par le Groupe em2c en 2022), WElink fait partie de l'îlot économique de Canopéa (projet urbain mixte activité/logements) développé par Ginkgo et em2c.
Il y a 2 ans et 116 jours

Les députés adoptent un texte visant à "faciliter" la rénovation des bâtiments publics

POLITIQUE. Les députés ont adopté une proposition de loi ouvrant aux acteurs publics la possibilité de rénover les bâtiments publics en recourant à des financements privés.
Il y a 2 ans et 116 jours

Riou Glass rachète Diffuver

Après son entrée au capital du verrier italien Cappelletti & Roleri en mai, et du groupe belge Euroglas le mois dernier, RIOU Glass signe une troisième acquisition dans le cadre de sa stratégie de développement RIOU GLASS VERRE 2025. Le premier transformateur indépendant de produits verriers en France vient de réaliser le rachat de la totalité des parts du capital de l’entreprise ligérienne Diffuver, jusqu’alors détenues par son fondateur Philippe Melon et associé Rémi Maximin. L’opération de croissance externe vise à consolider le maillage territorial de l’ETI[1] en France. « Diffuver est un acteur reconnu en Auvergne-Rhône-Alpes avec lequel nous partageons un savoir-faire et les valeurs familiales communes, explique Christine Riou Feron, Présidente de RIOU Glass. Cette acquisition nous permet de parfaire notre maillage territorial déjà composé de 16 sites industriels en France. » Outre l’ancrage géographique, l’acquisition de Diffuver va également permettre de renforcer l’expertise de RIOU Glass dans la réalisation de vitrages de très grandes dimensions pour le marché de la façade, spécialité de Diffuver. Le rachat est enfin un moyen pour le groupe normand de déployer l’ensemble de sa gamme de solutions de vitrage sur le territoire. Une gamme qui s’étend du double au triple-vitrage à très hautes performances à des produits plus techniques (vitrages à store intégré, vitrages feuilletés opacifiants, pare-balles, écrans de protection sanitaire…) et design (vitrages décoratifs pour les portes d’entrée, crédences de cuisine, cloisons…). Philippe Melon continuera d’accompagner le développement de Diffuver avec à ses côtés Rémi Maximin, directeur du site de Marclopt, et les 40 collaborateurs que compte l’entreprise. « Ambition, passion et esprit de famille sont les valeurs que nous partageons avec le groupe RIOU Glass. Nous mettrons tout en oeuvre pour satisfaire leurs attentes et ainsi à travers eux, continuer cette belle aventure dans le monde du verre » conclut le fondateur de Diffuver.Diffuver, un savoir-faire de plus 35 ans dans le verreCréé en 1986, Diffuver est l’un des acteurs les plus importants de la transformation du verre plat de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Présente à Marclopt (42) et à Lyon (69), l’entreprise produit chaque année 100.000 m² de double vitrage. Sur la période 2020-2021, Diffuver a réalisé un investissement de 3 millions d’euros dans son outil de production afin de répondre à la forte demande du marché de la façade pour les verres de grandes dimensions. Un plan d’investissement qui a permis d’agrandir le site industriel de Marclopt et d’installer une table de coupe de verre feuilleté, deux centres d’usinage, ainsi qu’une ligne d’assemblage « Jumbo » de 56 mètres capable de réaliser des verres isolants de 6.000 x 3.210 mm. [1]ETI : Entreprise de Taille Intermédiaire
Il y a 2 ans et 116 jours

ECLISSE lance SYNTESIS®, la porte battante invisible et acoustique

ECLISSE lance SYNTESIS®, la porte battante invisible et acoustique INSONORISÉE ET INVISIBLE, UNE PORTE TOUT EN DISCRÉTION ! 
 
 Eclisse France apporte une innovation à com4 ven 20/01/2023 - 11:43 En savoir plus sur ECLISSE lance SYNTESIS®, la porte battante invisible et acoustique Partager
Il y a 2 ans et 116 jours

L'aménageur du quartier La Défense s'engage à utiliser plus de bois dans ses bâtiments

BIOSOURCÉ. Plus de bois, c'est ce que promet le quartier de La Défense, qui compte en injecter davantage dans ses futures constructions et rénovations. L'engagement a été signé avec un acteur de la filière.
Il y a 2 ans et 116 jours

A Châtenay-Malabry, Alfonso Femia ajoute 158 logements à l’écoquartier LaVallée

A Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), les Atelier(s) Alfonso Femia instaurent un dialogue urbain avec un programme mixte de158 logements et commerces. Livrée en 2022 pour Eiffage Immobilier IDF, l’opération mixte se développe sur pas moins de quatre bâtiments aux identités marquées dans l’écoquartier LaVallée . Communiqué. « Un projet urbain peut se construire à l’horizon de différents objectifs, […] L’article A Châtenay-Malabry, Alfonso Femia ajoute 158 logements à l’écoquartier LaVallée est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 116 jours

Avec l'ESPCI Paris, Anne Démians dessine l'établissement supérieur-laboratoire de demain

EN IMAGES. Au coeur du 5e arrondissement de Paris, l'École supérieure de physique et de chimie industrielles de la Ville de Paris va connaître une mutation d'ampleur visant à augmenter sa surface tout en créant un espace vert en coeur d'ilot. Une vaste opération qui n'en est qu'à sa première étape.
Il y a 2 ans et 116 jours

Prix Versailles 2022 : les lauréats mondiaux

Le jury du Prix Versailles a annoncé lors d’un événement au Siège de l’UNESCO à Paris (XVe) le 19 décembre 2022, les lauréats mondiaux du Prix Versailles 2022. L’Annonce officielle a été l’occasion pour le philosophe Gilles Lipovetsky (président du jury) de revenir sur l’excellence des projets finalistes. Au croisement de différentes disciplines, le jury […] L’article Prix Versailles 2022 : les lauréats mondiaux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 116 jours

SOPROFEN - Concours photos

SOPROFEN - Concours photos Parmi la centaine de chantiers recensés en France et en Belgique, SOPROFEN a réalisé près de 25 andresudrie ven 20/01/2023 - 10:42 En savoir plus sur SOPROFEN - Concours photos Partager
Il y a 2 ans et 116 jours

Comment réaliser et entretenir des toilettes publiques ?

Comment réaliser et entretenir des toilettes publiques ? La réalisation des toilettes 
 
 Une ville touristique doit être propre, accueillante et pratique gda ven 20/01/2023 - 10:40 En savoir plus sur Comment réaliser et entretenir des toilettes publiques ? Partager
Il y a 2 ans et 116 jours

Augmentation du prix de l'électricité : les verriers de Biot appellent au secours

"En France, pour être écouté, faut-il dire que je risque de faire faillite ?" : Anne Lechaczynski, à la tête depuis l'an 2000 de la Verrerie de Biot, PME familiale où elle a succédé à ses parents, se démène pour que survive cet artisanat d'art.Car la facture d'électricité de l'entreprise, qui emploie une quinzaine de personnes et réalise un chiffre d'affaires annuel de 2 millions d'euros, a explosé, passant de 63.000 euros en 2022 à 184.000 euros en 2023. Certes, elle va toucher environ 60.000 euros d'aides. Mais "il reste 60.000 euros à digérer et la société ne pourra pas faire face", confie cette sexagénaire qui a débuté sa carrière aux Etats-Unis comme "trader" dans les matières premières."Depuis trois mois, j'ai un peu retrouvé mon ancien métier. Je ne me consacre presque plus à mon entreprise mais à rechercher les fournisseurs d'électricité les moins chers", ajoute-t-elle.Appartenant à une véritable niche, les artisans et artistes-verriers ne sont plus que 400 en France, dont six à Biot. Et ils sont "particulièrement impactés" par la hausse du coût de l'énergie, explique Antoine Pierini, qui travaille seul."La particularité de notre activité, qui nous distingue par exemple de la céramique, est que nous devons maintenir en permanence nos fours de fusion du verre à 1.200 degrés. A cette température, il faut 15 jours pour éteindre un four sans le casser, et autant pour le ramener à cette température", détaille-t-il."Nous devons donc les maintenir allumés en permanence si nous ne voulons pas perdre des semaines de production", explique l'artisan, qui doit aussi faire face à la hausse "vertigineuse" du prix de la matière première: le verre, importé d'Allemagne, est ainsi passé de 1.400 à 3.000 euros la tonne."Les sept plaies d'Egypte""Porte-drapeau" depuis les années 50 d'une commune de 10.000 habitants sur laquelle est en partie implantée la prospère technopole de Sophia-Antipolis, la verrerie "ne rentre pas dans les critères d'aide prévus par le gouvernement", déplorent de concert le maire Jean-Pierre Dermit et le député Eric Pauget, tous deux LR.Avec la sénatrice (LR) Patricia Demas, ils ont saisi dès octobre le ministre de l'Economie Bruno Le Maire et Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des petites et moyennes entreprises et de l'artisanat. "Mme Grégoire a conscience du problème, mais la réponse apportée n'est pas adaptée à la réalité que vivent les verriers", souligne le parlementaire. Pour le député, il faut des "décisions fortes" pour préserver ce métier qui fait "l'identité d'un territoire et représente une richesse touristique". Ainsi, la verrerie de Biot attire 600.000 touristes par an, selon la mairie. Ce qui en ferait le 3e site touristique des Alpes-Maritimes.Depuis 2015, "on a eu les sept plaies d'Egypte", ironise Mme Lechaczynski. "Des inondations, qui ont détruit tout notre stock, puis le Covid, puis la guerre en Ukraine, accompagnée de l'explosion du prix de l'énergie"."Payer une facture qui ne résulte pas d'une mauvaise vision du chef d'entreprise que je suis, j'ai du mal à l'accepter", ajoute cette battante, qui veut garder espoir après avoir été conviée la semaine dernière à une table ronde avec le ministre délégué chargé des Comptes publics Gabriel Attal, de passage à Nice.Pour trouver des solutions, "nous pouvons désormais joindre un conseiller à la sortie de crise à la Direction départementale des Finances publiques", reconnaît-elle. "Ce conseiller étudiera les dossiers cas par cas", promet le directeur de cabinet de la préfecture."Mais il faut agir vite", insiste le maire de Biot: "Si on reste dans l'état, l'été prochain va être très compliqué".