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255449 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 117 jours

Bordeaux : Skyline décroche une Pyramide

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Il y a 2 ans et 117 jours

modernisez votre facon de travailler avec microsoft 365

Créez un espace de travail dans lequel vos équipes peuvent : communiquer, interagir, collaborer, au bureau, sur le chantier ou en déplacement.
Il y a 2 ans et 117 jours

a la recherche d isolants biosources pour vos projets

Architectes, prescripteurs, recevez gratuitement l’échantillon du nouvel isolant Knauf "Thermasoft Natura", composé de fibres végétales biosourcées et recyclées.
Il y a 2 ans et 117 jours

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Le SeFlow 400 est un débitmètre portable monovoie, adapté aux applications de mesures de débits dans la distribution d'eau potable et sur les réseaux d’eaux usées.
Il y a 2 ans et 117 jours

40% de grévistes parmi les électriciens et gaziers du groupe Engie

Pour les autres salariés français du groupe, de droit privé, le taux de grévistes était de 7%, selon Engie.24.000 collaborateurs du groupe Engie, soit 55% des effectifs totaux pour la France, sont au statut des industries électriques et gazières et bénéficient d'un régime spécial de retraites. Le projet de réforme des retraites changerait en leur défaveur le mode de calcul des pensions, à ce jour beaucoup plus avantageux que le régime général.En dépit de ce mouvement social, "on n'anticipe pas de conséquences pour les clients", a précisé la direction d'Engie à l'AFP.
Il y a 2 ans et 117 jours

Forte mobilisation dans la rue contre la réforme des retraites malgré la réserve de certaines organisations patronales

De Calais à Nice, les manifestants ont battu le pavé dans la matinée, avant que le cortège parisien ne s'ébranle vers 14H15 pour dire "non" au recul de l'âge légal de départ de 62 à 64 ans, sur fond de large mécontentement social dans un contexte d'inflation."Je trouve qu'on se fout de notre gueule. Ils ne savent pas ce que c'est que de travailler jusqu'à 64 ans dans ces conditions-là", exprimait avec véhémence Manon Marc, animatrice scolaire croisée dans la capitale.Les premiers chiffres remontés par les autorités attestent d'une mobilisation très importante: 36.000 personnes ont ainsi défilé à Toulouse, 26.000 à Marseille, 25.000 à Nantes, 19.000 à Clermont-Ferrand, 15.000 à Montpellier, 14.000 à Tours, 12.000 à Perpignan et Orléans, 6.500 à Mulhouse et Périgueux...Les pointages de la police ou des préfectures sont particulièrement significatifs dans des villes moyennes, à l'image de Pau (13.600 manifestants), Angoulême (9.000) ou Châteauroux (8.000).Globalement, les niveaux sont comparables voire supérieurs à ceux du 5 décembre 2019: au démarrage de la contestation contre le précédent projet de réforme des retraites, la police avait compté 806.000 manifestants en France, la CGT 1,5 million."C'est énorme"Dans la foule, beaucoup de primo-manifestants, comme à Marseille, Jérôme Thevenin, cuisinier de 52 ans à la carrière "hachée", qui a longtemps travaillé comme saisonnier."Je n'ose même pas faire le calcul pour savoir quand je pourrai partir. Mais je vois la retraite approcher et je me sens davantage concerné", dit-il, en espérant que la mobilisation "fera réfléchir le gouvernement"."Je pense que le million va être dépassé", a déclaré le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, dans le carré de tête de la manifestation à Paris, évoquant une mobilisation "réussie"."On est clairement sur une forte mobilisation, au-delà ce qu'on pensait", a abondé le numéro un de la CFDT, Laurent Berger, également avant le départ du défilé parisien. "C'est énorme", s'est enthousiasmé Simon Duteil, de l'union Solidaires.A Marseille, le chef de file de La France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a estimé que "le gouvernement a perdu sa première bataille, celle d'avoir convaincu les gens de la nécessité de sa réforme".Les Français n'ayant pas recours au télétravail, qui s'est fortement développé depuis le Covid, doivent composer avec des transports en commun au compte-goutte.A la SNCF qui affiche un taux de grévistes de 46,3%, la circulation était "très fortement perturbée": un TGV sur trois circule, voire un sur cinq selon les lignes, et à peine un TER sur dix en moyenne. Le métro parisien est également "très perturbé"."Un conflit dur"De nombreux services publics font également l'objet d'appels à la grève, dont l'éducation, où le principal syndicat, la FSU, dénombre 70% d'enseignants grévistes dans les écoles et 65% dans les collèges et lycées.Le ministère chiffre pour sa part la mobilisation à 42% dans le primaire et 34% dans le secondaire. Quelques dizaines d'établissements ont été l'objet de blocus à Paris, Rennes, Tours et Toulouse notamment.Il n'y avait aucun trafic au port de Calais, premier de France pour les voyageurs, en raison d'une grève des officiers de port.Raffineries et dépôts pétroliers étaient aussi appelés à cesser leurs activités. Dans la raffinerie TotalEnergies de Feyzin (Rhône), où les expéditions ont été suspendues, le taux de grévistes a atteint 86%, selon la CGT.La direction d'EDF faisait part de 44,5% de grévistes sur ses effectifs totaux à la mi-journée.Pour le leader de Force ouvrière, Frédéric Souillot "on est partis pour un conflit dur" et "il faut bloquer l'économie"."Impôt sur la vie"Une réponse à Emmanuel Macron, qui a jugé mercredi qu'il fallait "faire le distinguo entre les syndicats qui appellent à manifester dans un cadre traditionnel et ceux qui sont dans une démarche délibérée de bloquer le pays".Les huit principaux syndicats présentent un front uni inédit depuis 12 ans. Les partis de gauche sont aussi vent debout contre une réforme vue comme "un impôt sur la vie", ont accusé les parlementaires socialistes.Cette première journée a valeur de test pour l'exécutif comme pour les syndicats, qui se retrouveront à partir de 18 heures pour décider d'une nouvelle date - le 26 janvier est sur la table.La CGT du pétrole veut se remettre en grève ce jour-là pour 48 heures, et le 6 février pour 72 heures.La CGT Mines-Energie a elle aussi annoncé une grève reconductible. Les baisses de production d'électricité se sont déjà fortement intensifiées jeudi, atteignant au moins l'équivalent de deux fois la consommation de Paris.Avant la présentation du texte en Conseil des ministres le 23 janvier, le gouvernement continue de faire œuvre de "pédagogie", Elisabeth Borne défendant un "projet porteur de progrès social pour le pays".Des organisations patronales réservées sur la réformeA la veille d'une journée de grève nationale et unitaire des syndicats de salariés, le CJD a dénoncé dans un communiqué une réforme "profondément inéquitable"."En France, le seul moyen de sauvegarder notre système serait donc de travailler toujours plus?", fait mine de s'interroger l'organisation, qui compte bien moins d'adhérents (environ 6.000) que les trois grandes organisations patronales (Medef, CPME et U2P), plutôt favorables à la réforme."Au CJD, des chefs d'entreprise expérimentent de nouvelles formes de coopération, certains autour des 32h, d'autres autour des congés illimités, etc. Il ne s'agit pas de travailler plus, il s'agit de travailler mieux en répartissant mieux la richesse produite", avance le CJD. L'organisation patronale avance également un argument écologique. Selon elle, "le principe de travailler toujours plus pour continuer à faire croître notre économie néolibérale s'inscrit dans une vision économique et anthropologique d'un autre âge, fondée sur une croissance infinie dans un monde fini"."Même en la décarbonant complètement, en la +verdissant+, la poursuite de la croissance n'est pas tenable", insiste le CJD.Depuis l'annonce des modalités de réforme des retraites le 10 janvier, d'autres organisations patronales ont exprimé des réserves, sur un ton cependant moins virulent.L'Union des employeurs de l'économie sociale et solidaire (Udes) a ainsi appelé le gouvernement à "largement renforcer" les mesures en faveur de l'emploi des seniors, tout en saluant le "bon équilibre" trouvé autour de l'âge légal de départ en retraite (repoussé à 64 ans d'ici 2030).La Fédération nationale des auto-entrepreneurs a déploré de son côté que les indépendants soient "oubliés injustement de certaines évolutions", citant notamment "la prise en compte de la pénibilité".Les critiques restent toutefois minoritaires au sein du patronat, le Medef ayant applaudi une réforme "indispensable" tandis que la CPME soulignait que "travailler plus longtemps était une nécessité pour sécuriser et équilibrer les finances du régime (des retraites) dans la durée."
Cimbat
Il y a 2 ans et 117 jours

les ventes de geberit penalisees par les hausses de prix en 2022

Les ventes du groupe suisse Geberit, spécialiste des installations sanitaires, ont chuté sur la seconde moitié de 2022. Il explique avoir fait face à une hausse de prix des matières premières et de l’énergie.
Il y a 2 ans et 117 jours

Les résultats de Geberit impactés par un second semestre difficile

RÉSULTATS. Après des ventes en hausse au premier semestre 2022, Geberit a fléchi en fin d'année. Le fabricant suisse de sanitaires annonce un chiffre d'affaires en légère baisse sur l'année.
Il y a 2 ans et 117 jours

Une vidéo dessinée met à l'honneur les métiers de mécanicien et technicien de matériels

FORMATION PROFESSIONNELLE. La fédération des distributeurs, loueurs et réparateurs d'engins de construction et de manutention a réalisé une vidéo dessinée pour faire découvrir aux jeunes les métiers de mécanicien et technicien d'engins, en atelier comme en itinérance.
Il y a 2 ans et 117 jours

logements sociaux moins de 100 000 autorisations en 2022

Dans un bilan dévoilé ce mercredi, la présidente de l’Union Sociale pour l’Habitat (USH) a déploré un déficit d’autorisations de logements sociaux, avec moins de 100 0000 logements de ce type agréés en 2022. Résultat : l’objectif du gouvernement de 250 000 logements sociaux construits en 2 ans ne sera pas atteint.
Il y a 2 ans et 117 jours

immobilier la part de logements f et g mise en vente est restee stable en 2022

La part des logements classés F et G mis en vente en 2022 est restée stable d’après une étude menée par le réseau immobilier Guy Hoquet. Un constat qui peut paraître étonnant étant donné l’entrée en vigueur au début du mois de l’interdiction de location des biens les plus énergivores.
Il y a 2 ans et 117 jours

a rennes un nouveau centre de formation dedie a la pac air eau a ete cree

Un nouveau centre de formation a vu le jour à Rennes pour accueillir des stagiaires afin de les former pour une maîtrise complète des pompes à chaleur air/eau Hitachi.
Il y a 2 ans et 117 jours

heiwa detaille sa feuille de route pour l annee 2023

L’entreprise Heiwa a connu une année 2022 très aboutie en termes d’objectifs qu’elle s’était fixée. Son directeur Franck Beauvarlet ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et veut surfer sur cette bonne dynamique pour continuer de développer sa marque au quatre coins de l’Hexagone. Voici quelles sont les perspectives de Heiwa pour cette année 2023.
Il y a 2 ans et 117 jours

Chez Vinci, performance économique, dimensions environnementale et sociale vont de pair

STRATÉGIE. C'est sur le chantier Universeine, au coeur du futur village des athlètes pour les Jeux olympiques de Paris 2024, que Xavier Huillard a exprimé ses voeux le 19 janvier 2023. L'occasion aussi, comme toujours, de faire un point sur l'année écoulée et sur celle qui s'annonce, toujours avec "un optimisme presque pathologique".
Il y a 2 ans et 117 jours

Vinci en 2022 : les enseignements avant l’heure du bilan

En amont de la publication des résultats de Vinci en février prochain, son PDG, Xavier Huillard, s‘est livré à un premier exercice...-Entreprises
Il y a 2 ans et 117 jours

Mano Mano va afficher le score carbone d'une partie de son catalogue

EMPREINTE CARBONE. La marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano, annonce mettre en place dès le mois d'avril un score carbone sur plusieurs produits de son catalogue.
Il y a 2 ans et 117 jours

De Notre-Dame-des-Landes à Bure, les projets contestés par les défenseurs de l'environnement

Voici quelques cas emblématiques :Cigéo à BureEn 2000, le projet Cigeo est implanté à Bure dans la Meuse. Il vise à enterrer à 500 mètres sous terre 85.000 m3 des déchets les plus radioactifs du parc nucléaire français d'ici 2035-2040.Différents collectifs écologistes et anti-nucléaires combinent occupation, manifestations et batailles juridiques.En juillet 2022, le gouvernement signe la déclaration d'utilité publique pour le projet, mais des opposants déposent en septembre un recours devant le Conseil d'État.SivensLe 26 octobre 2014, le corps d'un militant écologiste de 21 ans, Rémi Fraisse, est retrouvé sur le chantier du barrage de Sivens (Tarn), après des affrontements d'opposants au projet avec les forces de l'ordre.Cinq mois plus tard, le projet est abandonné au profit d'une retenue d'eau réduite de moitié. Le gouvernement fait évacuer le site occupé pendant seize mois par des "zadistes".LGV Lyon-TurinVieux de plusieurs décennies, le chantier de LGV Lyon-Turin et son tunnel de 57,5 km, est toujours en cours et en France, la question des voies d'accès de 150 km entre Lyon et Saint-Jean-de-Maurienne n'est toujours pas tranchée.A l'hiver 2018-2019, plusieurs manifestations réunissent successivement à Turin des dizaines de milliers de partisans et d'opposants au projet.Le projet de LGV du Sud-Ouest (GPSO), dont le chantier est prévu entre Bordeaux, Dax et Toulouse, est également critiqué par des élus et des militants en Nouvelle-Aquitaine.Europacity dans le Val-d'OiseLe projet Europacity, un mégacomplexe de commerces et de loisirs prévu à Gonesse (Val d'Oise) qui hérissait défenseurs de l'environnement, syndicats agricoles et petits commerçants, a été enterré fin 2019 par Emmanuel Macron.Mais, le devenir de 280 hectares de terres agricoles du Triangle de Gonesse avec notamment le projet de gare de métro du Grand Paris et l'extension du marché de Rungis restent un point de crispation entre les élus locaux et militants écologistes.Center ParcsFace aux interminables procédures judiciaires et à l'occupation du terrain par des "zadistes", le groupe Pierre et Vacances renonce à son projet de construction d'un Center Parcs dans la forêt de Chambaran (Isère) en 2020.En 2022, la justice bloque un projet du même type à Poligny (Jura) et refuse celui d'extension du Center Parcs Les Bois-Francs (Eure).Toujours en court, le projet du Rousset (Saône-et-Loire) est également contesté localement.Projet minier Montagne d'Or en GuyaneLe projet Montagne d'Or, porté par le consortium russo-canadien Nordgold-Orea mining, prévoit une exploitation minière de 8 km2 à ciel ouvert en forêt équatoriale.Le collectif Or de Question, qui rassemble 30 associations guyanaises et 120 ONG opposées au projet, dénonce la déforestation et les millions de tonnes de déchets générés.En février 2022, le Conseil constitutionnel a déclaré contraire à la Constitution une partie de l'ancien code minier, qui ne tenait pas suffisamment compte des conséquences environnementales du projet, ouvrant ainsi une voie de recours."Méga-bassines" des Deux-SèvresA l'automne 2022, plusieurs milliers d'opposants se mobilisent contre des chantiers de retenue d'eau dans les Deux-Sèvres (à Mauzé-sur-le-Mignon puis Sainte-Soline).Le vaste projet compte 16 retenues visant à stocker plusieurs centaines de milliers de m3 d'eau pour l'irrigation durant l'été, grâce au pompage des nappes phréatiques superficielles en hiver, lorsque la ressource est abondante.Le remplissage de la réserve de Mauzé-sur-le-Mignon a démarré à la mi-décembre.
GDA
Il y a 2 ans et 117 jours

Obligation de DPE et interdiction de louer des passoires énergétiques : qui est concerné et comment y remédier ?

Cette interdiction va petit à petit concerner de plus en plus de logements. Quels sont donc les biens concernés ? Comment faire pour améliorer l’efficacité énergétique de son logement ? Et quelles sont les aides pour entreprendre des travaux ? Cotoit, syndic de copropriété en ligne, fait le point sur la situation.Un point sur les passoires thermiquesLe terme de passoire thermique, ou passoire énergétique, est fréquemment employé aujourd’hui. Il désigne un logement dont le DPE est de classe F ou G, énergivores, qui consomment trop de chauffage et sont mal isolés.En France, cela concerne principalement de vieux bâtiments non-rénovés qui datent d’avant 1975 c’est-à-dire avant l’instauration des premières règles sur l’isolation et de la première loi sur les économies d’énergie de 1978.Bientôt, la location de logements passoires thermiques sera interdite, parce que ces logements surconsomment en été comme en hiver. De ce fait, ils contribuent au dérèglement climatique par l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre.Obligation d’audit et interdiction de location : le calendrierPour résoudre les problèmes liés aux logements passoires thermiques, les propriétaires devront réaliser un audit énergétique pour la vente de leur bien à compter du 1er avril 2023 pour les biens classés F&G. Cette mesure concernera les biens classés E en 2025 et les biens classés D en 2034.De plus, depuis le 24 août 2022, les propriétaires bailleurs ont l’interdiction d’augmenter les loyers des logements classés F et G si aucun travail de rénovation n’a été effectué. Les logements doivent, en effet, être au minimum classés E.Pour vendre ou louer un appartement passoire thermique, le propriétaire devra alerter les futurs occupants du montant des factures énergétiques. En cas de vente, le propriétaire devra quantifier les dépenses que devra effectuer le prochain propriétaire pour isoler le logement.A noter :L’énergie primaire correspond à l’énergie totale pour extraire, produire, acheminer l’énergie finale jusque chez vous. C’est la somme de toutes ces énergies.L’énergie finale, désigne l’énergie réellement livrée, consommée et facturée au consommateur. C’est l’énergie disponible.En 2023, un logement consommant plus de 450 kWh/m² par an d’énergie finale sera considéré comme indécent et donc, comme impropre à la location.À partir de 2025, un logement consommant plus de 420 kWh par an d’énergie primaire par mètre carré habitable par an sera impropre à la location. Sont concernés tous les logements classés G.En 2028, il sera interdit de louer des logements classés F. Les locataires pourront exiger du bailleur qu’il réalise des travaux de rénovation et d’isolation thermique.En 2034, les logements classés E seront considérés comme indécents et donc interdits à la location.En règle générale, pour faire sortir un logement de son état de passoire thermique, plusieurs actions correctives sont à réaliser en même temps.Comment améliorer son isolation thermique ?Le premier poste d’investissement consiste à bien isoler son logement. Une mauvaise isolation provoque des déperditions de chaleur importantes.Isoler la toiture et les combles permet une économie de chauffage de 30%Isoler les murs par l’intérieur ou l’extérieur permet d’économiser 25% d’énergie.Changer ses fenêtres et passer au double-vitrage permet d’obtenir 15% de plus.Opter pour une isolation d’un plancher bas offre 10% d’économie énergétique.Il existe d’autres sources de déperditions thermiques : air renouvelé, fuites par la cheminée, ponts thermiques autour des portes…Installer un système de chauffage performantUne fois que le logement est bien isolé, il faut s’équiper d’un système de chauffage qui offre un meilleur rendement.Il existe de nombreux choix tels qu’une pompe à chaleur air-eau, des radiateurs à inertie ou un poêle à bois et/ou à granulés.Améliorer la ventilationPour améliorer l’efficacité énergétique de son logement, il peut être judicieux de revoir sa ventilation. En effet, 20 % des déperditions de chaleur sont dues à un mauvais renouvellement de l’air. La ventilation est donc importante pour améliorer son confort thermique.On peut installer une ventilation mécanique (obligatoire dans les constructions neuves), notamment car son efficacité n’est plus à prouver. Les propriétaires peuvent avoir accès à des aides à la rénovation s’ils souhaitent changer les ventilations de leur logement passoire thermique.Rénovation énergétique : quelles aides pour financer les travaux ?MaPrimeRénov’ de l’AnahCette subvention de l’État est calculée en fonction des revenus et du gain écologique des travaux. MaPrimeRénov’ permet une prise en charge des travaux jusqu’à 90% pour les ménages modestes avec une dégressivité qui va jusqu’à 40% pour les ménages plus aisés.Le dispositif prévoit plusieurs bonus cumulables pour les passoires énergétiques si un gain énergétique d’au moins 55% est obtenu, ainsi qu’un bonus “sortie de passoire” pour les logements qui sortent des catégories F ou G, et enfin un bonus Bâtiment Basse Consommation (BBC) pour les habitations qui atteignent la classe énergie A ou B.Les travaux éligibles doivent être réalisés par un artisan qualifié RGE (reconnu garant de l’environnement). Autre condition indispensable : le logement doit être une résidence principale construite depuis au moins 15 ans.Les copropriétés peuvent aussi bénéficier de cette aide pour financer des travaux globaux sous l’égide du syndicat.L’éco-prêt à taux zéroLa plupart des travaux de réhabilitation d’une passoire énergétique peuvent bénéficier de l’éco-PTZ.Il s’agit d’un prêt sans intérêts pour les projets de rénovation énergétique. Son plafond passe à 50 000 euros en 2022, remboursables sur 20 ans.Une version de l’éco-prêt est aussi disponible pour les copropriétés.Le DPE : rappel et explicationsDepuis 2006, le DPE indique la performance énergétique d’un logement ou d’un bâtiment, en évaluant sa consommation d’énergie.L’étiquette énergétique (A, B, C, D, E, F et G) est calculée en fonction de deux facteurs : l’énergie primaire et les émissions de gaz à effet de serre. Depuis le 1er janvier 2023, l’énergie finale est obligatoire sur les DPE.Les seuils de chaque classe énergétique sont donc déterminés sur ces deux critères. Un logement est classé selon sa plus mauvaise performance, en énergie primaire ou en gaz à effet de serre.Le DPE liste les caractéristiques du logement : surface, orientation, matériaux des murs, des fenêtres, luminaires etc. ainsi que ses équipements de chauffage, de production d’eau chaude sanitaire, de refroidissement et de ventilation.Chiffres clefs sur les passoires thermiques en FranceLes statistiques du Ministère du Développement durable permettent de dresser un portrait robot des passoires thermiques. Sur les 30 millions de résidences principales au 1er janvier 2022, environ 1,5 million de logements seraient peu énergivores donc classés A et B.À l’opposé, environ 5,2 millions de logements soit 17% du parc de résidences principales seraient des « passoires énergétiques ».L’étiquette D est la plus fréquente soit 32% du parc immobilier.Les passoires énergétiques sont plus souvent des maisons individuelles que des logements situés dans un habitat collectif soit 19,6% contre 14,5%.Les logements les plus petits sont souvent les plus énergivores : près de 34% des logements de moins de 30 m² ont une étiquette F ou G, contre seulement 13% des logements de plus de 100 m².Les logements chauffés au fioul sont 44% à être classés F ou G ce qui est logique puisque le nouveau DPE prend en compte les émissions de gaz à effet de serre du logement.20% des Français déclarent avoir eu froid chez eux pendant au moins 24h durant l’hiver 2020-2021. Plus de 10% dépensent plus de 8% de leurs revenus dans leurs factures énergétiques.
Il y a 2 ans et 117 jours

Emploi : le déséquilibre entre l'offre et la demande se confirme dans le BTP

ANALYSE. La pénurie de candidats dans le secteur de la construction est devenue évidente en 2022, créant un nouveau rapport de force autour des négociations salariales. Combinée à d'autres difficultés économiques comme l'inflation des matériaux et la crise énergétique, la situation risque de perdurer en 2023.
Il y a 2 ans et 117 jours

Sylvania, pari gagné par Saipem

Sylvania, pari gagné par Saipem D’une surface de 26.000 m2, le siège social de SAIPEM en France reçoit ses 2.000 salariés dans un andresudrie jeu 19/01/2023 - 15:49 En savoir plus sur Sylvania, pari gagné par Saipem Partager
Il y a 2 ans et 117 jours

Journée de mobilisation contre le projet de réforme des retraites : les principaux secteurs en grève

EnergieLes agents d'EDF étaient 44,5% à faire grève jeudi. Ils ont procédé à des baisses de production d'électricité, dans les barrages et les centrales nucléaires, atteignant au moins l'équivalent de deux fois la consommation de Paris.La puissance disponible sur le parc nucléaire était de 63% de la capacité à midi, contre 72% normalement prévu, selon des données EDF analysées par l'AFP.Du côté des raffineries, la CGT TotalEnergies comptait entre 70 et 100% de grévistes, sur la plupart des sites du groupe.Selon un premier point de la CGT, il y avait 100% de grévistes dans les équipes du matin pour la bioraffinerie de La Mède, le dépôt de carburant de Flandres, près de Dunkerque, et l'usine pétrochimique de Carling (Moselle). La raffinerie de Donges (Loire-Atlantique) connaissait 95% de grévistes et celle de Normandie 80%, alors que les équipes de la raffinerie de Feyzin (Rhône) étaient en grève à plus de 70%, selon la CGT."Suite à l'appel à la grève, les expéditions de produits au départ des sites de TotalEnergies sont interrompues ce jour mais TotalEnergies continuera à assurer les approvisionnements de son réseau de station-service et ses clients", a confirmé la direction du groupe, indiquant qu'il n'y avait "pas de manque de carburants" dans ses stations.Jeudi à 9h30, 1,95% des stations étaient en pénurie d'au moins un carburant, selon des données publiques analysées par l'AFP. Lundi, elles étaient 3,75% à être concernées, en raison d'achats de précaution avant la journée de grève.A Paris, Marc Bontemps, secrétaire général CGT de la production d'énergie en région parisienne, mettait en garde contre "un risque de tension" sur le chauffage parisien, compte tenu d'une grève dans les incinérateurs d'Ivry et Issy-les-Moulinaux.TransportsLa grève était très suivie dans les transports avec quasiment aucun train régional, peu de TGV, un métro tournant au ralenti à Paris et une grande banlieue très peu desservie.Le trafic régional était quasiment arrêté avec 1 TER sur 10 en moyenne et une fréquence à peu près identique pour les lignes Transilien - les trains de banlieue parisienne - et certains RER.Le taux de gréviste à la SNCF était de 46,3%, dont 77,4% des conducteurs de trains de voyageurs, selon des sources syndicales. Malgré ces perturbations, le trafic routier francilien restait fluide, selon le site Sytadin, exploité par la Direction des routes d'Ile-de-France. Au port de Calais, dans le nord de la France, il n'y avait aucun trafic en raison d'une grève des officiers de port prévue jusqu'à 17H00, a indiqué la communication du port.A Lyon, une panne informatique a paralysé les quatre lignes de métro jeudi matin. Deux lignes avaient repris en début de matinée, mais pas les lignes automatiques B et D, auxquelles l'opérateur n'a pu substituer de bus relais à cause du mouvement social.Dans le secteur automobile, plus d'une centaine de salariés de l'usine Stellantis de Rennes-la Janais se sont mis en grève, selon la CGT.EducationLe Snes-FSU, premier syndicat du secondaire, a annoncé jeudi un taux de 65% des professeurs de collèges et lycées grévistes, et le Snuipp-FSU, premier syndicat du primaire, recense 70% d'enseignants grévistes.Selon le ministère, la mobilisation nationale se traduisait par un taux d'enseignants grévistes de 42,35% dans le primaire et de 34,66% dans le secondaire (collèges et lycées), bien en-deçà des chiffres des syndicats. Par ailleursLes programmes des télés et des radios publiques devaient être largement perturbés en raison d'appels à la grève à France Télévisions, Radio France et France Médias Monde (France 24 et RFI).C'était également le cas pour la presse quotidienne régionale : les journaux du groupe Nice-Matin ne sont ainsi pas parus ce jeudi. La parution de journaux régionaux a également été perturbé en région Rhône-Alpes, comme le Dauphiné Libéré.
Il y a 2 ans et 117 jours

DPE, RE2020, RTx, … le projet Cible veut unifier les méthodes de calcul et plus encore

Les moteurs et méthodes de calcul diffèrent entre le DPE, la RE2020, la réglementation thermique dans l’existant (RTx). Lancé par le CSTB, HQE-GBC et Effinergie, Cible veut aboutir à un outil unique.
Il y a 2 ans et 117 jours

A Paris, 12 logements de standing pour la résidence Ambre signée aEa

L’Agence Engasser & Associés (aEa) – en partenariat avec GestInn Group – a livré en 2022 la Résidence Ambre, rue d’Arsonval, à Paris (XV). Dans le quartier de Montparnasse, « Ambre » est un immeuble de standing de 12 logements (680 m² ; 2 M€ HT ; 2 900€/m² SHAB) où l’Art et les matériaux de qualité […] L’article A Paris, 12 logements de standing pour la résidence Ambre signée aEa est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 117 jours

L'architecte Anne Démians officiellement installée à l'Académie des beaux-arts

ÉVÉNEMENT. L'Institut de France a accueilli la cérémonie d'installation d'Anne Démians dans la section architecture de l'Académie des beaux-arts. Avec ses confrères, elle s'attèlera au sein de l'institution artistique à croiser les connaissances des différences disciplines.
Il y a 2 ans et 117 jours

Les DPE sont-ils fiables ? Le débat continue entre Hello Watt et les diagnostiqueurs...

Hello Watt défend son étude publiée début janvier, malgré les critiques. L'entreprise, qui conseille les particuliers sur leur consommation énergétique, publie une seconde étude plus complète portant sur 462 logements.
Il y a 2 ans et 117 jours

Le calendrier d'interdiction de location des passoires thermiques questionné par la Fnaim

Les travaux de rénovation énergétique des copropriétés, longs à mettre en œuvre, rendent le calendrier d'interdiction des passoires thermiques "intenable", a dénoncé la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim).
Il y a 2 ans et 117 jours

Berner lance sa nouvelle génération de forets

Berner dévoile sa nouvelle génération de forets Powerbreaker SDS-Max [©Brener] Groupe européen d’outillage et services, Berner dévoile sa nouvelle génération de forets à béton Powerbreaker SDS-Max. Celle-ci présente une tête de perçage inédite. Sa nouvelle géométrie des dents carbure permet une vitesse de perçage supérieure aux précédentes générations. La durée de vie est aussi augmentée et les risques de casse, diminués. Lire aussi : Fischer, l’ancrage du siècle Pour briser les plus gros morceaux de béton, des pointes carbure se positionnent sur la tête du foret. Ainsi, cela réduit les risques de bourrage. Pour poursuivre son amélioration, l’outil dispose d’une nouvelle pointe de centrage monobloc. Munie de trois taillants en carbure, elle augmente la résistance et la précision. Enfin, l’extraction des poussières se fait efficacement via des gorges à “gros volume”. Différents diamètres pour différents usages Les forets Powerbreaker SDS-Max existent dans différents diamètres. De quoi les adapter à chaque usage. Les diamètres de 45 et 55 mm sont utiles pour le perçage des évacuations des eaux usées. Celui de 65 mm permet la réalisation de travaux d’électricité. La longueur des forets varie entre 410 et 850 mm. En fonction de ses besoins, l’utilisateur peut installer un prolongateur ou un adaptateur, lui permettant d’atteindre une longueur de perçage de 1600 mm. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 117 jours

A l'aube de 2023, 3 chiffres peuvent redonner espoir aux artisans

INFOGRAPHIE. Difficile pour les petites entreprises de bâtiment d'être optimistes en ce début d'année 2023. Pourtant, quelques signaux semblent indiquer que la conjoncture, cette année, pourrait ne pas être si sombre qu'il n'y paraît.
Il y a 2 ans et 117 jours

Calixta, l'assistant digital au service de la performance énergétique

Calixta, l'assistant digital au service de la performance énergétique Un assistant digital au service des pros
 La nouvelle application en ligne Calixta, accessible andresudrie jeu 19/01/2023 - 14:26 En savoir plus sur Calixta, l'assistant digital au service de la performance énergétique Partager
Il y a 2 ans et 117 jours

Les métropoles ont gagné plus d'habitants entre 2013 et 2019

Au 1er janvier 2021, les 34.944 communes françaises sont regroupées en 1.248 intercommunalités -ou EPCI- de quatre types, selon leur nombre d'habitants.Parmi ces regroupements, 22 sont des métropoles (dont celle de Lyon qui a le statut de collectivité et non d'EPCI), 14 des communautés urbaines, 221 des communautés d'agglomération et 992 des communautés de communes, indique l'Insee, qui s'appuie sur les recensements de la population de 2019.Entre 2013 et 2019, la population a augmenté davantage dans les métropoles (+0,6% en moyenne par an), contre +0,4% en moyenne dans les autres EPCI."La population de toutes les métropoles augmente, mais la hausse est la plus élevée dans celles de Rennes, Toulouse, Bordeaux, Nantes et Montpellier (plus de 1% par an)", précise l'étude.En revanche, l'évolution de la population est plus modérée (au plus 0,2% par an) dans les métropoles de Grenoble-Alpes, Saint-Étienne et Rouen Normandie.Durant cette période, l'augmentation a été la plus forte dans les intercommunalités situées "dans le quart sud-est de la France, sur la façade atlantique et en région parisienne", ainsi que dans quelques EPCI voisins de l'Ile-de-France.De plus, "les communautés de communes situées autour des métropoles ou à l'est de la France près des frontières avec la Belgique, l'Allemagne ou la Suisse sont celles où la croissance est la plus forte", précise encore l'Insee.Seules 3% des communes françaises constituent des métropoles - créées en 2010 et qui regroupent plus de 400.000 habitants - mais elles concentrent 29% de la population française.Les logements sont le plus suroccupés dans les métropoles (18%), qui ne concentrent que 3% de résidences secondaires contre 20% dans les communautés de communes à dominante rurale.Dans les métropoles, la population est aussi globalement plus jeune, avec près d'un tiers des habitants âgés de moins de 25 ans du fait de la présence de campus universitaires, tandis que les personnes de plus de 65 ans y sont globalement peu nombreuses (17% contre 20% sur le territoire).
Il y a 2 ans et 117 jours

Oise : travaux de mise en accessibilité de la gare de Crépy-en-Valois jusqu’à l’été 202

La gare de Crépy-en-Valois, dans le département de l’Oise, améliore l’accès à ses quais pour les personnes à mobilité...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 117 jours

Seine-Maritime : dernière phase des travaux sur la RD 921 à Argueil

Dans le département de la Seine-Maritime, le chantier de la RD 921 à Argueil s’achèvera en mars...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 117 jours

Seine-et-Marne : dernière phase d’aménagement pour la zone d’activité industrielle de Torcy

Le programme de requalification de la zone industrielle de Torcy (Seine-et-Marne) est en cours d’achèvement. Les derniers aménagements...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 117 jours

Pyrénées-Atlantiques : un nouveau service d’urgences pour la clinique Aguilera à Biarritz

Dans le département des Pyrénées-Atlantiques, le nouveau service d’urgences de la clinique Aguilera à Biarritz ouvrira ses portes en...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 117 jours

Maud Tarnot, nouvelle directrice du développement durable d’Holcim France

Maud Tarnot est la nouvelle directrice du développement durable nouvellement créé d’Holcim France. [©Holcim] Holcim France vient de nommer Maud Tarnot au poste de directrice du développement durable nouvellement créé. Et ce, depuis le 1er décembre 2022. Maud Tarnot est directement rattachée à François Petry, Pdg d’Holcim France. Et travaille en étroite relation avec Magali Anderson, directrice du développement durable et de l’innovation Groupe. En s’appuyant sur le plan stratégique 2025 “Accelerating Green Growth1”, elle aura pour principales missions l’élaboration et le pilotage de la stratégie d’impact carbone du groupe en France. Mais aussi le déploiement du plan d’actions au plus près des territoires. Et enfin, le suivi de la performance ESG2, en engageant l’ensemble des collaborateurs. Le parcours de Maud Tarnot L’action de Maud Tarnot s’articulera autour de quatre grandes priorités. La première prend en compte la réduction des émissions de CO2 et l’adaptation au dérèglement climatique. La seconde comprend la protection de l’environnement, notamment de la biodiversité. La troisième, le développement de l’économie circulaire. Et la dernière, le renforcement d’un dialogue continu avec les parties prenantes et la concertation à l’échelle territoriale. Lire aussi : Holcim Go Circular prêt pour l’Ocean Race  Maud Tarnot  est titulaire d’un double master en affaires européennes de la London South Bank University et de l’Ecole de Management Léonard de Vinci. Elle est aussi diplômée de CentraleSupelec, où elle a obtenu un certificat de direction de l’entreprise durable. Elle est aussi titulaire d’une maîtrise de philosophie. Elle a débuté sa carrière au secrétariat général des affaires européennes (SGAE), au sein des services du Premier ministre. Elle a exercé les fonctions de responsable des affaires institutionnelles à l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de constructions (Unicem). Et a été secrétaire générale de l’Union nationale des exploitants du déchet (Uned) entre 2010 et 2016. Enfin, elle a rejoint Lafarge France en 2016 en qualité de responsable de la RSE et des affaires publiques. 1Accélérer la croissance verte.2Les critères ESG sont tout ce qui concerne les enjeux sociaux et environnementaux (dialogue social, emploi des personnes handicapées, formation des salariés, rémunération…). Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 117 jours

Dialectique féconde sur l’Ile de Nantes avec Atelier Martel et Atelier Rita

Dans le nouveau quartier République de l’Ile de Nantes, la construction pour Harmonie Habitat, maître d’ouvrage, d’un programme de 4 200 m² comptant 39 logements locatifs sociaux familiaux et 19 logements en accession sociale (et une surface commerciale), est l’occasion d’une dialectique féconde entre la radicalité constructive portée par Atelier Martel et la générosité sociale […] L’article Dialectique féconde sur l’Ile de Nantes avec Atelier Martel et Atelier Rita est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 117 jours

Semaine des start-up, innovations et nouveaux acteurs

Pendant la Semaine des start-up, du 23 janvier au 1er février 2023, découvrez 8 start-up innovantes du secteur du béton. [©ACPresse] Depuis toujours, ACPresse place l’innovation au cœur de ses contenus. Au-delà d’une simple valeur, elle en est aujourd’hui l’ADN. En ce sens, nous avons toujours porté un intérêt particulier aux dernières nouveautés du secteur du béton. Il est très important pour nous de vous faire découvrir des projets novateurs et des start-up innovantes. C’est pourquoi, du 23 janvier au 1er février 2023, nous organisons la Semaine des start-up. Vous pourrez découvrir 8 start-up œuvrant pour différentes causes : la réduction de l’impact carbone du secteur, le suivi des matériaux ou les transports sur chantier. Pendant une semaine, découvrez des vidéos exclusives réalisées par notre équipe lors du salon Batimat. Bonne lecture et bon visionnage ! Dossier publié dans Béton[s] le Magazine numéro 103 23 janvier, Jour 1 Fortera est une start-up américaine développant un liant à base de carbonate de calcium réactif. Un liant que l’on trouve dans les océans, qui permet de remplacer le ciment traditionnel. Découvrez VIDEO – Fortera, le liant venu des mers 24 janvier, Jour 2 Inex Circular est une start-up qui a pour objectif la valorisation des ressources non exploitées. En aidant notamment les professionnels à recycler leurs déchets de chantier. Découvrez VIDEO – Inex Circular : Pour une valorisation totale 25 janvier, Jour 3 Face au défi climatique, la start-up Traace propose une plate-forme permettant aux entreprises de réduire leur empreinte carbone. Une solution qui a attiré de nombreux clients. Découvrez VIDEO – Traace : Une plate-forme pour contrôler l’empreinte carbone 26 janvier, Jour 4 Face aux enjeux environnementaux, la start-up Nooco mesure, puis optimise l’impact carbone des projets du bâtiment. Les solutions apportées répondent aux problématiques majeures dans le secteur de la construction. Découvrez VIDEO – Nooco : Mesurer et optimiser son impact environnemental Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 117 jours

Isonat, premier acteur à proposer des solutions sarking composées uniquement d'isolants en fibre de bois, validées par une ETN

De nombreux essais ont permis de valider le bon comportement hygrothermique des différentes configurations, l'étanchéité et la durabilité de l'écran de sous toiture Duoprotect avec ses points singuliers et les conditions d'une mise en oeuvre sans platelage. Suite à ces essais, le bureau de contrôle Alpes Contrôles a étudié et validé le procédé de Sarking Isonat Multisol en climat de plaine < 900 m, et a ainsi délivré l'ETN Alpes Contrôle A27T210Q.Grâce à cette certification, Isonat, déjà premier acteur du secteur de l'isolation biosourcée à bénéficier d'avis techniques, participe activement à la professionnalisation de la filière avec des solutions d'isolation validées par des tierces parties indépendantes.Qu'est-ce qu'une ETN ?Une Enquête de Technique Nouvelle (ETN) est un avis émis par un bureau de contrôle indépendant sur un procédé de construction non traditionnel. L'avis se base sur un cahier de prescription de pose et des rapports d'essais soumis par le tenant de système. L'ETN permet d'apporter aux acteurs de la construction des informations fiables sur la mise en oeuvre et la durabilité du procédé visé, pour offrir plus de sérénité aux usagers.Le Sarking en fibre de bois Isonat : une association vertueuse qui allie confort des occupants et engagement pour la construction durableCes solutions sont très avantageuses à la fois pour l'artisan et pour le client final.Pour l'artisan :Elles peuvent être mises en oeuvre en toute sérénité car elles ont été validées par un bureau de contrôle spécialisé (ETN Alpes Contrôle A27T210Q).Elles permettent à la fois une mise en oeuvre traditionnelle sur platelage mais aussi une pose d'isolan directement sur chevrons, avec un isolant complémentaire entre chevron, afin de faciliter l'obtention d'une isolation thermique et acoustique élevée.Elles incluent tous les accessoires nécessaires à la pose (un nouveau pare-vapeur spécialement conçu appelé Vario® Supraplex, 3 références de vis et des adhésifs et mastics pour parfaire l'étanchéité), avec un cahier de prescription de pose détaillant toutes les étapes de mise en oeuvre.Et pour le client final :Ces solutions procurent un excellent confort thermique, été comme hiver, avec des résistances thermiques allant jusqu'à 10 m².K/W.Elles assurent également un grand confort acoustique vis-à-vis des bruits extérieurs, avec un affaiblissement jusqu'à 48 dB (rapport d'essai CSTB AC22-10623, détaillé dans le tableau en fin de communiqué).Le tout avec des produits fabriqués en France à partir de plaquettes de bois issues de chutes de scierie voisines dans un rayon de 60 km autour de l'usine de Mably.Ces solutions sont particulièrement bien adaptées en neuf à tout type de bâtiment dont on souhaite laisser la charpente apparente, en particulier les chalets des régions de montagne. Ils sont aussi très utiles en rénovation de maisons individuelles dans le but d'économiser de la hauteur sous plafond et de pouvoir ontinuer à habiter les combles lors des travaux.4 solutions pour couvrir les principales situations en climat de plaine < 900 mSarking traditionnel sur platelage avec écran Duoprotect :Sarking traditionnel sur platelage avec écran HPV :Sarking entre et sur chevrons sans platelage :Des solutions complètes, incluant les isolants Isonat et tous les accessoiresLa nouvelle membrane de gestion de vapeur d'eau et d'étanchéité à l'air Vario® Supraplex, conçue pour le SarkingConçue pour une isolation de toiture par l'extérieur en climat de plaine, avec protection temporaire de la toiture jusqu'à 1 mois.Revêtement antidérapant.Sans éblouissement.Traitement anti-UV renforcé.Bord pré-adhésivés.Une membrane hygrorégulante :Protège la toiture de la vapeur d'eau toute l'année.Laisse sécher la paroi en été.Particulièrement adaptée en cas de risque de canicule.Les vis Sarking de fixation des contre-lattesIsonat a validé son ETN en partenariat avec trois fabricants de vis couramment utilisées sur cette application, pour proposer à ses clients le choix entre les vis Würth Assy® 4 Isotop, LR Etanco Starking ou SFS Twin UD.Cette gamme couvre une plage de longueurs de 170 à 500 mm et permet une épaisseur maximale d'isolant sur chevrons de 320 mm.Les accessoires d'étanchéité de l'écran DuoprotectDans le cas des couvertures à faible pente (≤ 30%) ou pour le traitement des points singuliers, l'étanchéité de l'écran sous toiture est validée avec la mise en oeuvre des adhésifs Vario® Multitape ou Vario® Fast Tape après application d'une couche de primaire en spray ou liquide de chez Würth ou Proclima en surface du panneau, ou avec la dépose d'un ruban de mastic de chez Würth ou Sika dans la rainure.Un gros travail a également été effectué pour préciser le traitement de tous les points singuliers dans le cahier de prescription de pose.Une excellente performance acoustique pour une conformité réglementaire même en zone bruyanteLes solutions d'isolation en Sarking Isonat donnent d'excellentes performances d'affaiblissement acoustique vis-à-vis des bruits extérieurs, avec 36 dB dans le cas d'une finition en platelage bois, et 48 dB avec un complémentent d'isolation entre chevrons.La réglementation acoustique pour les bâtiments neufs exige un isolement minimum de 30 dB, ce critère pouvant monter à 45 dB suivant la proximité de sources importantes de bruit (route, voies ferrées, aéroport). Les solutions Isonat permettent ainsi de répondre aux cas les plus sévères de bruits extérieurs.
Il y a 2 ans et 117 jours

Marchands de sommeil : un bien confisqué par l'Etat devient résidence sociale

INSERTION. Habitat et humanisme a pris à bail auprès de l'Etat un bien confisqué par la Justice. Après rénovation, il deviendra un "petit collectif" dans lequel l'association logera et accompagnera des personnes en difficulté.
Il y a 2 ans et 117 jours

Le Groupe BDR Thermea chauffe des habitations historiques grâce à des chaudières 100% hydrogène

Mené dans la ville de Lochem dans l’est des Pays-Bas, ce projet pilote est une première mondiale. Il consiste à chauffer 12 maisons individuelles à l’hydrogène. Construites dans les années 1900 et classées monuments historiques, ces maisons seront chacune équipées d’une chaudière brûlant l’hydrogène pur sans aucune émission carbone. L’hydrogène sera directement injecté dans le réseau de gaz existant situé dans une zone industrielle voisine.Né d’une collaboration entre BDR Thermea et Alliander, l’opérateur du réseau, ce projet durera trois ans. Des tests approfondis seront réalisés en hiver lorsque la demande en chauffage est la plus importante. Ces maisons ont délibérément été choisies comme parc immobilier résidentiel pour leur ancienneté mais également en raison de leur statut patrimonial.Bertrand Schmitt, PDG du groupe BDR Thermea déclare : « Le chauffage des bâtiments et de l’eau contribue de manière significative à la consommation d’énergie et aux émissions de CO2. : le chauffage des locaux représente 63,6% et le chauffage de l’eau 14,8% de la consommation d’énergie résidentielle de l’UE. La décarbonation des bâtiments est donc urgente et l’hydrogène est l’une des technologies clé pour y parvenir au même titre que les réseaux de chaleur, les pompes à chaleur électriques et les solutions hybrides qui combinent pompes à chaleur et chaudières à gaz. »Une étude récente, publiée par le cabinet de conseil Guidehouse, montre qu’un mélange de technologies de chauffage est le moyen le plus rapide pour réduire de 45% la consommation de gaz naturel en 2030. Ce mélange pourrait générer un avantage financier cumulé de plus de 520 milliards d’euros jusqu’en 2050.Les pompes à chaleur jouent un rôle clé dans la décarbonation du chauffage et conviennent parfaitement aux maisons bien isolées et aux nouvelles constructions. Les hybrides peuvent réduire rapidement les émissions de carbone dans les bâtiments existants moins isolés, en réduisant la consommation de gaz jusqu’à 70%. A terme, la consommation de gaz restante peut être réduite en utilisant des gaz renouvelables comme l’hydrogène vert.