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Il y a 2 ans et 125 jours

Groupe Franc pour le parking silo de la gare d’Agen

En 2018, le Groupe Franc Architectures a livré, pour Gagne Park contractant général, le nouveau parking silo de la gare d’Agen (Lot-et-Garonne). L’habillage extérieur, destiné à valoriser l’architecture et le site, a été confié à Gantois Architecture. Il s’agit du projet le plus emblématique d’un vaste programme d’investissement de la ville et de l’agglomération destiné […] L’article Groupe Franc pour le parking silo de la gare d’Agen est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 125 jours

BePositive pour répondre aux enjeux de construction durable et d'emploi et formation

Le salon BePositive se tiendra à Lyon du 21 au 23 mars 2023 pour informer et échanger autour de la transition énergétique. Cette édition sera marquée par la construction durable avec le déploiement de la RE2020, ainsi que l'emploi et la formation pour répondre à la tension du secteur.
Il y a 2 ans et 125 jours

Sur la dune médocaine, la démolition du "Signal", symbole de l'érosion côtière

"Au travers de ce qui passe aujourd'hui", on voit "ce que la montée des eaux et l'érosion du trait de côte vont projeter dans plein d'autres endroits du littoral français", a déclaré sur place le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu.D'ici 2100, 20% du littoral et "jusqu'à 50.000 habitations" sont "concernées" par le phénomène, a-t-il ajouté, tandis que les mâchoires d'une pelle hydraulique commençaient à croquer l'immeuble construit en 1967 à 200 mètres de l'océan, et désormais à flanc d'une dune à moins de 20 mètres des flots.Phénomène naturel à l'œuvre depuis 18.000 ans sur le littoral atlantique, le recul du trait de côte se caractérise par un déplacement massif de sédiments sous l'effet des vagues, des vents et des marées. Selon les scientifiques de l'Observatoire de la côte de Nouvelle-Aquitaine, le littoral sableux du golfe de Gascogne pourrait ainsi reculer de 50 mètres, et les côtes rocheuses du Pays basque de 27 mètres, d'ici 2050.Le changement climatique, qui devrait engendrer ces 30 prochaines années une montée des eaux similaire à celle mesurée sur tout le siècle dernier, menace également d'accentuer le repli de 20 mètres supplémentaires par endroits, indique Nicolas Bernon, ingénieur en risques côtiers à l'Observatoire.Pour Vincent Duprat, 76 ans, l'un des 75 copropriétaires évacués dès 2014 après une série de tempêtes et de grandes marées, présent vendredi devant le chantier, "ce sont des souvenirs pour quatre générations" qui disparaissent, la mer ayant "repris ses droits"."Erreur humaine"L'immeuble a été l'unique bâtiment achevé d'un vaste projet "Grande Motte" de plus d'un millier d'appartements, avec un boulevard 2x3 voies en bord de plage, à une époque "où il fallait créer des villes nouvelles", raconte Jean-José Guichet, ex-président du syndicat des copropriétaires.Une "erreur humaine" que les autorités "n'assument pas", estime Danielle Duprat, amère et en colère, désignant de ses mains le front de mer et ses villas "inondées dans les années 1930", et la zone du Signal "où l'on a construit sans jamais prévenir les acheteurs du risque".Fin 2020, après six ans de feuilleton juridico-administratif, les copropriétaires ont obtenu une indemnisation à hauteur de 70% de la valeur originelle de leur logement.Un "accord one shot" voté au Parlement, qui "ne fera pas jurisprudence" pour éviter d'élargir le fonds "Barnier" - dédié uniquement aux risques naturels majeurs - aux milliers de propriétaires menacés par l'érosion dunaire, relèvent des spécialistes du dossier.Car dans la région Nouvelle-Aquitaine, selon le Groupement d'intérêt public (GIP) littoral, principal acteur local de la gestion de l'érosion, jusqu'à 6.700 logements et commerces pourraient être avalés par l'océan d'ici la moitié du siècle, si rien n'est fait.Pour Nicolas Castay, directeur de cette structure financée par l'État, la Région et les collectivités du littoral, "l'affaire du Signal a été un révélateur, un drame pour avancer. Les collectivités se sont équipées et outillées avec des spécialistes" pour lutter."Il faudra relocaliser"Aidées jusqu'en 2027 par un fonds européen de 38 millions d'euros et, pour plusieurs d'entre elles, par des soutiens de l'État, les collectivités de la région ont mis en place des stratégies "mixtes", allant de la protection "en dur", via des enrochements et des digues, jusqu'au déplacement futur des bâtiments menacés.Selon l'ingénieur Nicolas Bernon, "à long terme, il faudra relocaliser" car les ouvrages en dur, qui "protègent à court terme", intensifient le recul à leurs extrémités et devront être renouvelés régulièrement.Les maires, rassemblés au sein de l'Association nationale des élus du littoral, ont lancé vendredi "une alerte" en réclamant à l'État "des moyens, un fonds dédié et une écoute" pour financer ces projets.Le gouvernement qui a mis en place, via un "fonds vert", des co-financements au cas par cas pour l'année 2023 uniquement, mène actuellement une "concertation" avec les élus, a rappelé M. Béchu."Il faut des centaines de millions d'euros pour accompagner ce type de choses. Qu'on prenne quelques mois pour se demander quel est le meilleur mécanisme pour collecter cette somme, ça me semble plutôt rationnel", a déclaré le ministre.Dans la région, la station balnéaire de Lacanau (Gironde), pionnière pour relocaliser plus d'un millier de logements, a repoussé ce projet à l'après 2050, faute de moyens juridiques et financiers; elle privilégie désormais la construction d'une digue fixant temporairement le front de mer.
Il y a 2 ans et 125 jours

CERTIFICATION NF EN VUE POUR LA PORTE CYBÈLE EI60 DE MAF ATLANTIQUE

MAF Atlantique s’apprête à recevoir officiellement la certification NF, délivrée par l’AFNOR, pour sa porte va et vient coupe-feu en acier : Cybèle EI60. Seul industriel Français à obtenir le PV DAS et le PV feu sur ce type de porte, MAF Atlantique s’ouvre de nouvelles opportunités pour équiper les Établissements Recevant du Public (ERP), pour lesquels la norme NF est obligatoire sur les portes à grand trafic et avec accès PMR. La porte Cybèle EI60 est la dernière innovation de MAF Atlantique lancée en 2021. Cette porte va et vient vitrée motorisée 2 vantaux en acier coupe-feu (EI 60) peut mesurer jusqu’à 3 m de hauteur et 3,40 m en coupe-feu ½ heure (EI30). Elle répond au mode 2 des cahiers des charges pour les ERP, à savoir que sa position d’attente est généralement ouverte et qu’elle est équipée d’un système de retenue et d’un système de fermeture. La porte Cybèle EI60 se distingue aussi par une motorisation indépendante des vantaux (également certifiée). Elle répond à des critères de robustesse, de garantie du constructeur et de résistance au feu. La pérennité de la structure lui confère une bonne tenue dans le temps en adéquation au grand trafic et à la forte sollicitation.  Norme NF : tests réussis avec un essai coupe-feu du premier coup 12 mois de tests chez MAF Atlantique ont été nécessaires à l’obtention de la certification NF sur la porte Cybèle EI60. Chez le fabricant, la bonne anticipation de la part du bureau d’étude et la rigueur de fabrication par l’atelier ont permis à la porte Cybèle EI60 de passer les tests avec succès du premier coup : au niveau mécanique : PV DAS qui correspond au Dispositif Actionné de Sécurité. Sollicitée principalement sur les pivots, la porte répond parfaitement aux nombreuses actions d’ouverture et de fermeture maximale ; au niveau sécurité incendie : PV feu pour sa résistance au feu pendant 1 heure (60 mn = EI60). 1er industriel Français certifié NF sur une porte acier vitrée va et vient, motorisée résistante au feu Pour MAF Atlantique, l’obtention de la norme NF pour la porte Cybèle EI60, lui laisse entrevoir de belles perspectives pour équiper des établissements qui reçoivent de nombreux visiteurs et exigent aussi des accès PMR (hôtels, hôpitaux, établissements publics, aéroports, halls d’exposition…). La norme NF est obligatoire depuis 2004 dans les ERP pour les portes devant supporter un grand trafic de visiteurs. Elle n’est pas obligatoire pour les portes en mode 1. Elle l’est en revanche, pour les portes en mode 2, (généralement laissées ouvertes avec système de retenue et de fermeture) motorisées et résistantes au feu. MAF Atlantique devient ainsi le premier fabricant à proposer une porte acier vitrée va et vient, résistante au feu et motorisée certifiée NF. Retrouvez la vidéo des tests de la porte Cybèle EI60 par MAF Atlantique « La norme NF est une démarche volontaire de notre part. Son obtention pour la Cybèle EI60 nous ouvre des belles opportunités pour travailler en confiance avec nos clients sur des chantiers de construction ou de rénovation d’ERP.  En tant que fabricant Français, spécialisé dans les portes coupe-feu, nous sommes très attachés à la mise en conformité de nos produits avec les normes de sécurité et de technicité. Notre point fort est la motorisation et plus précisément la motorisation indépendante des vantaux. Être certifié NF a donc du sens pour nous et devient un gage de qualité de nos produits pour nos clients. »Guillaume Leborgne, Directeur de MAF Atlantique Porte Cybèle EI60 de MAF Atlantique – Équipe de la société Efectis devant la porte Cybèle mise en situation pour les tests.© MAF Atlantique Parmi ses spécificités, sans équivalent en France, la porte Cybèle EI60 se distingue par : – un PV DAS pour la version motorisée classique et pour la version motorisation indépendante des vantaux (accès PMR induit) ; – un PV Feu pour une résistance au feu pendant 60 mn (EI60) ; – une solution anti-pince doigts ; – les plus grandes dimensions du marché : 3 m de hauteur en EI60 et 3,40m en EI30 ; – des profilés assemblés par soudure par souci de solidité, de pérennité et d’esthétisme. La norme NF apporte les cautions suivantes : – Traçabilité : les caractéristiques de performance sont marquées sur la porte (sticker avec numéro de dossier de certification). – Qualité constante : la fabrication des portes est garantie par un système qualité contrôlé. – Information : le certificat ainsi que les notices techniques et de pose sont toujours fournis avec le produit. – Reconnaissance : le certificat est reconnu par les prescripteurs et contrôleurs techniques. À PROPOS DE MAF ATLANTIQUE Implantée depuis 18 ans à Guérande, en Loire-Atlantique, MAF Atlantique fabrique tous types de menuiseries – acier, bois et aluminium – vitrées prêtes à poser, avec une forte expertise dans le domaine des menuiseries coupe-feu. Dirigée par Guillaume Leborgne, l’entreprise dispose d’un bureau d’études intégré qui réalise des plans et des solutions uniques à chaque projet. Dotée d’outils industriels performants, MAF Atlantique fabrique avec précision des ouvrages de haute qualité. Destinées à la protection des personnes et des biens, les menuiseries produites par MAF Atlantique sont particulièrement adaptées aux établissements recevant du public (ERP). Filiale depuis 2015 du Groupe ACIEO (400 collaborateurs, 7 sociétés, 90 M€ de CA), MAF Atlantique possède la force d’un groupe industriel et la souplesse d’une PME. EN CHIFFRES : Créée en 2004 3 M€ de chiffre d’affaires en 2021et 3,5 M€ de prévisionnel en 2022. Outil de production de 1 500m2 Marquage NF disponible sur 18 références Membre de la French Fab Contact presse – Agence COM4 Sébastien CRUZ – scruz@com-4.fr Tél : 02 40 73 50 51 / 3 quai de Tourville – 44000 Nantes
Il y a 2 ans et 125 jours

Des coffrages et des étaiements qui savent innover

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. L’étai ST-Aluminium est entré au catalogue Alphi en 2022. [©ACPresse] Entre Batimat et Bauma, l’actualité du coffrage et de l’étaiement a connu quelques moments forts en 2022. L’occasion pour les industriels de dévoiler innovations et évolutions de produits, présentés dans les pages qui suivent… Dossier préparé par Arnaud Le Brun et Frédéric Gluzicki Alphi : En haut du Podium Altrad Coffrage & Etaiement : Une petite révolution Copac : Un moule de poutres bouleversant Coffrages Cosmos : Cob + Evo3, nouvelle banche-outil Doka : Universalité coffrance Hussor : Du modulaire, à présent Hussor Erecta : La tour H18 comme produit phare LPP: La tour MDS à tout niveau Mills : Davantage de sécurité collective Outinord : Une B10000 déclinée en deux versions Paschal : Extensions et améliorations de gamme Peri : Le balcon sans contrainte Retotub : Autour de quatre éléments Sateco : Assembler toujours plus vite… SGB – Hünnebeck : L’esprit de l’escalier Dossier préparé par Arnaud Le Brun et Frédéric Gluzicki Et les autres... Comme il est de coutume, tous les industriels du coffrage et de l’étaiement n’ont pas répondu présents à notre appel. Mais nous faisons le choix de les citer ici, car ils participent à l’offre du marché : Deko, Godon, Ischebeck, Metalusa, Meva, Noe et Ulma. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 125 jours

Stradal : « Nous voulons proposer plus de solutions personnalisées »

Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine. Roberto Huet, président d’Eqiom et de Stradal. [©ACPresse] Déjà président d’Eqiom, vous avez accepté de prendre, en même temps, la présidence de Stradal. Pourquoi ce choix ? Une nouvelle réflexion sur le positionnement de Stradal et sa performance sur le marché ont conduit à nommer un nouveau président à la tête de cette entreprise française. Aussi, ai-je été très honoré que l’on me propose ce poste, que j’ai accepté. L’industrie du béton est un monde différent de ceux du ciment, du granulat et du béton prêt à l’emploi. Pour moi, c’est une façon de rester sur le qui-vive pour mieux comprendre l’aménagement des territoires, même si appréhender ce nouveau secteur d’activité me donne beaucoup de travail. Stradal a aussi près de 60 ans d’existence en France. Comment pensez-vous écrire la suite de cette histoire ? Stradal profite d’une belle image historique auprès de ses clients. Et mes prédécesseurs ont accompli Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Cimbat
Il y a 2 ans et 125 jours

La reconversion de bureaux en logements devrait rester limitée, selon la Banque de France

ETUDE. Un document de huit pages de l'institution décrypte la tendance de ces transformations de biens immobiliers. Les contraintes économiques et administratives pourraient peser sur ce genre de programmes.
Il y a 2 ans et 125 jours

Eiffage et NGE lancés sur les rails du métro toulousain

CONTRAT. Après le lot 3, un autre marché a été attribué par Tisséo en vue de la réalisation de la troisième ligne de métro à Toulouse. Cette fois, c'est à un groupement Eiffage-NGE qu'il a été confié.
Il y a 2 ans et 125 jours

A Paris, un site patrimonial remarquable transformé en logements sociaux

RESTRUCTURATION. Un bâtiment Second empire, accueillant des écoles, a été transformé, sous l'égide des architectes Daniel Vaniche et Anthony Béchu, en logements sociaux et commerces, au coeur du 9e arrondissement de la capitale, pour le compte du bailleur Vilogia.
Il y a 2 ans et 125 jours

Nouveau planning de chantier Obat : quand simplicité rime avec puissance

Obat, le logiciel de gestion tout-en-un pour les artisans du bâtimentLancé en 2019, Obat est un outil numérique à destination de toutes les entreprises du bâtiment désireuses de simplifier et d’automatiser la gestion de leur activité. Ce logiciel moderne et intuitif permet de gagner de nombreuses heures grâce à des fonctionnalités de création de devis et de factures, de suivi de chantier, de signature électronique ou encore de personnalisation de documents comptables et administratifs.100% en ligne, Obat est accessible sur tablette, ordinateur ou mobile pour répondre aux besoins des utilisateurs en temps réel, même sur le terrain. Avec un abonnement débutant à 25 € par mois, ce logiciel SaaS tient compte de toutes les problématiques et des spécificités du secteur de la construction, peu importe le métier : plomberie, maçonnerie, électricité, peinture, menuiserie, etc.L’outil de planning de chantier le plus puissant du marchéSortie en décembre 2022 après de nombreux mois de développement, la fonctionnalité de planning de chantier d’Obat était une option très attendue par leurs utilisateurs actuels.Son objectif ? Permettre aux artisans indépendants et aux chefs d’entreprise BTP d’avoir une vision d’ensemble et en temps réel de leur activité. Délais, étapes du projet, avancement et état des travaux : cet outil se veut favoriser la bonne exécution des opérations, mais aussi le respect des délais annoncés et du budget.Si l’on devait choisir deux mots pour qualifier cette nouvelle fonctionnalité, ce serait sans aucun doute simplicité et puissance. Très complète, elle permet de découper ses chantiers en différents lots et d’assigner des tâches comme des ressources pour une gestion optimale et un gain de temps non négligeable. Comment ? En premier lieu, grâce à la création des fiches employés, sous-traitants, intérimaires et matériels. Les professionnels pourront ainsi gérer leur équipe depuis un même tableau de bord et assurer une meilleure répartition des tâches. Le plan de charge, quant à lui, permet de s’assurer en un clin d’œil que les ressources sont bien utilisées, avec un partage en temps réel à tous les membres de l’équipe.Avec la fonction calendrier, les artisans pourront également piloter leur emploi du temps plus facilement et avec davantage de précision. Planification des interventions, rendez-vous, management des ressources humaines et matérielles : une fonctionnalité tout-en-un pour gagner en productivité et fluidifier sa communication ! En version ordinateur ou mobile, l’outil s’adapte aux besoins de chacun. Grâce à ce logiciel 100 % en ligne, les professionnels du BTP peuvent enfin gagner du temps sur des tâches chronophages et se concentrer sur leur cœur de métier : la réalisation des chantiers et l’amélioration de la relation client !Envie de découvrir Obat ? Sachez qu’il est possible de profiter d’un essai gratuit de 14 jours : de quoi tester toutes leurs fonctionnalités, le tout sans engagement ! Pour obtenir plus d'informations, leur équipe de conseillers est disponible au 02 53 48 07 06.
Il y a 2 ans et 125 jours

Victor Remère : Une bétonnière comme four à pain

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 104 Au sein de cet espace de création artistique à ciel ouvert, prend place une bétonnière. [©Victor Remère] A la ferme urbaine “Zone Sensible” de Saint-Denis (93), l’art contemporain pousse entre les salades, les courgettes, les tomates…. Le “fruit de l’imagination” du Parti poétique, qui a repris au printemps 2018, avec les Fermes de Gally, l’exploitation des dernières terres maraîchères du département. Depuis sa création en 2003, le Parti poétique, fondé par Olivier Darné, plasticien et apiculteur urbain, développe en France et à l’étranger, des projets artistiques pluridisciplinaires grandeur nature. Ces derniers véhiculent les thèmes de la nature, de la culture et de la nourriture. Cultiver devient un art ! Au milieu des légumes Ainsi, au sein de cet espace de création artistique à ciel ouvert, prend place une bétonnière. Au premier regard, on est interpellé. Que vient faire cet équipement de chantier au beau milieu des légumes ? Qui plus est, lorsqu’on se rapproche, on lit sur le cartel “La Machine à pain”. Là, c’est trop, on veut comprendre ! « “La Machine à pain” est un pied-de-nez aux chantiers qui peuplent la Seine-Saint-Denis. Une bétonnière est ici détournée pour assumer un autre rôle important : abriter la cuisson des aliments. Comme une projection de l’extérieur vers l’intérieur, je me suis inspiré du jardin des cultures du monde de “Zone Sensible” pour créer un objet qui connecte toutes les cultures du département : un four à pain », nous explique l’artiste Victor Remère, né en 1989, et créateur de l’objet. Universalité du pain Un poème sur le pain de Francis Ponge fait office de porte d’entrée, comme une mise en garde ou une invitation. Dans ce texte, le poète met en avant l’universalité du pain, « comme si l’on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes ».  Il nous renvoie aussi à sa matérialité, à son ancrage naturel. Le pain est l’un des éléments le plus simple de la cuisine : des céréales, de l’eau et des levures suffisent à sa fabrication. C’est une micro-société naturelle, une ode à la sobriété. Au beau milieu des légumes, on retrouve la première bétonnière four à pain. [©Victor Remère] Au beau milieu des légumes, on retrouve la première bétonnière four à pain. [©Victor Remère] « Sensible à la richesse des paysages, je poursuis aujourd’hui mes recherches, mes travaux et mes explorations, en observant l’impact de l’activité humaine sur la faune et la flore », reprend Victor Remère. Et de conclure : « En réponse à “L’Horloge à légumes” installée sur le site de “Zone Sensible”, en 2020, “La Machine à pain” n’est pas autonome et son temps n’est pas linéaire. Là où l’agriculteur vient réveiller l’horloge le temps d’une saison, c’est le cuisinier qui réveille le four le temps d’un repas. Le pain devient vivant grâce à l’action combinée de l’homme, des arbres et du feu ». Un pied-de-nez amusant… M.C. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 104 Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 125 jours

RER E : Aérolithys fait mousser la gare de Nanterre-la-Folie

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 104 L’Archipel, le nouveau siège de Vinci, surplombe en partie la gare RER E de Nanterre-la-Folie. [©ACPresse] L’Archipel, le nouveau siège de Vinci édifié à Nanterre, s’intègre pleinement dans les ambitions du groupe de BTP. L’une d’entre elles est la valorisation de sites urbains délaissés. D’où le choix d’implanter le bâtiment en bordure d’une ligne ferroviaire. Celui-ci surplombe même en partie les voies de la ligne E du RER, aujourd’hui en construction. En fait, l’Archipel abrite, au niveau de son rez-de-chaussée, l’entrée vers la future station Nanterre-la-Folie. A l’heure actuelle, les rails sont posés et les quais, en cours de réalisation. C’est dans ce contexte que vient d’intervenir Béton Mousse Technologie (BMT) pour permettre la mise à niveau des quais de la station. « Une des solutions envisagées au départ était Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 125 jours

Sylvie Lupien : Soupçon de ciment et d’argent

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le magazine. Avec un soupçon de ciment coloré et une bonne dose d’argent ou d’or, les bijoux de la Québécoise Sylvie Lupien pétillent tout comme sa conceptrice. [©Sylvie Lupien] Il est 12 h 00, heure de Montréal et 18 h 00, heure de Paris, lorsque nous prenons contact avec la joaillière Sylvie Lupien. Nous découvrons tout son joyeux univers, qui pourrait très bien se résumer à la chanson “Comic strip”, interprétée par Brigitte Bardot et Serge Gainsbourg, en 1967. « Viens petite fille, dans mon comic strip. Viens faire des bull’s, viens faire des wip ! Des clip ! Crap ! Des bang ! Des vlop ! Et des zip ! Shebam ! Pow ! Blop ! Whizz ! » Ludiques, colorés, enjoués, pétillants et novateurs, ses bijoux sortent vraiment de l’ordinaire. Les Françaises en raffolent ! En effet, Sylvie Lupien cherche sans cesse à repousser les frontières de la joaillerie traditionnelle. Au sein de ses créations, on trouve des fleurs, des formes arrondies, des bijoux-sculptures, des bijoux-mobiles… « Je n’aime pas ce qui est classique. J’aime explorer de nouvelles matières, de nouvelles textures, de nouvelles formes, de nouveaux coloris. Les Françaises en raffolent ! », s’exclame Sylvie Lupien. Cette dernière partage son temps entre la production de pièces de petite série et celle d’œuvres de recherche, plus sculpturales. Elle est aussi passionnée de photographie… « Ces dernières années, j’ai participé à plusieurs ateliers de formation et cette approche m’a plongée dans la création. Mais cette fois, par le biais de la peinture, puis de la photographie. Me voilà donc emportée par la couleur et habitée par le souci d’intégrer de nouvelles matières dans mes bijoux. » Lire aussi : Aurélien Grudzien : Comme une ode au ciment… Subtile mélange de ciment et de couleur « Je n’aime pas ce qui est classique. J’aime explorer de nouvelles matières, de nouvelles textures, de nouvelles formes, de nouveaux coloris. Les Françaises en raffolent ! », s’exclame Sylvie Lupien. [©Sylvie Lupien] C’est comme cela que Sylvie Lupien a introduit le ciment coloré dans ses créations. « J’ai pensé au ciment comme médium. Le colorer et lui faire place honorable sur le bijou, lui faire côtoyer or ou argent, pierres fines ou perles, laiton ou cuivre… Jouer avec des formes, des grains, des couleurs. Oser le contraste. Car, si dans la joaillerie, j’apprécie la rigueur, le bel ouvrage et le caractère noble des matériaux, j’aime aussi cette idée d’introduire quelques touches de fantaisie, de folie. » Dès lors, elle s’est rendue compte combien elle était enthousiaste à la vue de ce mélange de matières, de styles, d’approches… Muriel Carbonnet Retrouvez les créations de Sylvie Lupien sur son site Article paru dans le n°104 de Béton[s] le magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 125 jours

Lancement d'une mission d'information sur le développement d’une filière de biocarburants, carburants synthétiques durables et hydrogène vert

Cette mission d’information a été créée à l’initiative du groupe Union Centriste (UC), dans le cadre de l’article 6 bis du Règlement du Sénat, qui confère à chaque groupe un « droit de tirage » pour la création d’une commission d’enquête ou d’une mission d’information par année parlementaire. Dans un contexte européen et international qui évolue rapidement, et alors que la décarbonation du secteur des transports apparaît comme un enjeu majeur pour atteindre la neutralité climatique à l’horizon 2050, la mission entend dessiner une stratégie de développement d’une filière de biocarburants, carburants synthétiques durables et hydrogène vert répondant aux besoins. Elle prévoit de rendre ses conclusions en juin 2023. Le bureau de la mission est ainsi composé :Président : Gilbert-Luc Devinaz (Socialiste, Écologiste et Républicain – Rhône)Rapporteur : Vincent Capo-Canellas (Union Centriste – Seine Saint Denis) Vice présidents :Pierre Cuypers (Les Républicains – Seine et Marne)René-Paul Savary (Les Républicains – Marne)Sébastien Pla (Socialiste, Écologiste et Républicain Aude)Bernard Buis (Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants – Drôme)Gérard Lahellec (Communiste républicain citoyen et écologiste – Côtes d’Armor)Henri Cabanel (Rassemblement Démocratique et Social Européen – Hérault)Franck Menonville (Les Indépendants – République et Territoires – Meuse)Daniel Salmon (Écologiste – Solidarité et Territoires – Ille et Vilaine) Secrétaires : Martine Berthet (Les Républicains – Savoie) Nadia Sollogoub (Union Centriste – Nièvre)
Il y a 2 ans et 125 jours

Puy-de-Dôme : la rénovation du centre aquatique de Chamalières se poursuit

Dans le département du Puy-de-Dôme, la déconstruction du centre aquatique de Chamalières suit son...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 125 jours

Puy-de-Dôme : des actions pour déminéraliser les espaces publics à Clermont-Ferrand

Dans le département du Puy-de-Dôme, une campagne de végétalisation des espaces publics est lancée par Clermont Auvergne...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 125 jours

Oise : aménagement des espaces extérieurs dans le quartier de Beauséjour à Noyon

À Noyon (Oise), la réhabilitation du quartier de Beauséjour entre dans sa deuxième...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 125 jours

On plante des arbres à Paris !

GDA
Il y a 2 ans et 125 jours

"En 2023, de premiers trains rouleront sur le Grand Paris express", B.Cathelain (SGP)

ENTRETIEN. Bernard Cathelain, membre du directoire de la Société du Grand Paris, fait le point auprès de Batiactu sur les temps forts qui rythmeront l'année pour les chantiers du Grand Paris express.
Il y a 2 ans et 125 jours

Vinci Construction France : Le tunnel qui mène au bas carbone

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 104 Le tunnel du lot de la ligne 18 doit se développer sur une longueur de 11,8 km. [©ACPresse] A l’horizon 2030, il faudra à peine 30 mn pour rejoindre l’aéroport d’Orly depuis Versailles. Telle est la promesse de la ligne 18 du métro francilien réalisé dans le cadre du programme “Grand Paris Express”. Cette liaison de métro automatique de 35 km à terme, dont 14 km en aérien sur un viaduc1, est pour le moment en construction, entre Orly et le Plateau de Saclay (CEA Saint-Aubin). Soit un premier tronçon dont la mise en service doit intervenir de manière progressive entre 2026 et 2027… La réalisation de la section Saclay – Versailles (6,7 km de tunnel), elle, démarre tout juste, pour une ouverture au trafic prévue en 2030. In fine, pas moins de 110 000 voyageurs devraient emprunter chaque jour cet axe nouveau, sans se douter à quel point il intègre des innovations majeures, en termes de matériaux de construction ! « En lançant le projet de construction de la ligne 18, la Société du Grand Paris, maître d’ouvrage de l’opération, a estimé à 352 000 t l’empreinte Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 125 jours

Les Emirats s'apprêtent à démarrer l'une des plus grandes centrales solaires au monde

La centrale Al Dhafra "a commencé à produire ses premiers kilowattheures en fin d'année dernière et devrait être mise en service avant l'été", a affirmé à l'AFP Olivier Bordes, à la tête de l'entreprise pour le Moyen-Orient.Situé en plein désert, à 35 kilomètres au sud d'Abou Dhabi, le projet présenté comme "la plus grande centrale solaire à site unique au monde" est détenu à 60% par les compagnies publiques émiraties, TAQA et Masdar, le chinois Jinko Power Technologie et le français EDF se partageant les 40% restant.Les panneaux photovoltaïques, installés sur une surface totale de 20 kilomètres carrés --soit un cinquième de la superficie de Paris-- auront à terme la capacité de produire 2,1 gigawatts (GW) et pourront "proposer de l'énergie décarbonée à 160.000" foyers, a affirmé à l'AFP Olivier Bordes.En visite mardi sur le site, le ministre français de l'Economie, Bruno Le Maire s'est félicité de la "coopération extrêmement étroite" entre la France et les Emirats arabes unis dans le domaine des énergies renouvelables.Le pays du Golfe, qui est l'un des plus grands exportateurs de pétrole au monde, accueillera fin novembre une conférence de l'ONU sur le climat, d'ores et déjà controversée.Le président de sa compagnie pétrolière nationale, désigné président de la COP28, Sultan Al Jaber, ne manque pas une occasion de souligner l'importance des hydrocarbures pour l'économie mondiale.Mais les Emirats investissent aussi massivement dans les énergies propres, avec l'ambition d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. Selon un communiqué publié mardi par Masdar, l'entreprise émiratie d'énergies renouvelables, les projets franco-émiratis ont permis d'installer plus de 6,2 GW de capacité de production d'énergies propres aux Emirats et ailleurs dans le monde, pour un montant de plus de 6 milliards de dollars (5,5 milliards d'euros).Bruno Le Maire, qui s'est rendu aussi en Arabie saoudite et au Qatar, a dit vouloir "accompagner" les pays pétroliers de la région dans la voie de la "décarbonation", en développant des projets dans les énergies renouvelables, le nucléaire, notamment en Arabie saoudite, et l'hydrogène vert.
Il y a 2 ans et 125 jours

Arabie saoudite : Une impression 3D béton sous 40 °C

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. En Arabie saoudite, l’entreprise Dal Al Arkan a imprimé une villa de 345 m2 entre août et juillet 2022, sous une température extérieure de40° C. [©Cobod] En 2021, le coffreur Peri avait imprimé un immeuble de trois étages en Allemagne. Ce qui était un record pour l’époque, mais battu depuis par compagnie immobilière saoudienne Dar Al Arkan. A Shams Al Riyadh dans le Nord-Ouest de la capitale Ryhad, une construction de 9,90 m de haut a été imprimée in situ ! Cette villa de trois étages, d’une superficie de 345 m2, fait partie d’un projet de développement de 12 Mm2, porté par la Vision 2030 du pays. L’impression a été réalisée à l’aide de la solution développée par le Danois Cobod. La villa saoudienne s’appuie sur un premier étage de 130 m2, qui inclut un spacieux hall d’entrée et plusieurs pièces à vivre, ainsi qu’une cuisine et deux toilettes. Le deuxième étage compte trois chambres, deux salles de bains, un salon et un balcon. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 125 jours

Action Logement conclut une année "difficile"... mais "pleine de résultats"

BILAN. L'organisme paritaire a été impacté, comme tous les acteurs du logement, par les événements de 2022. Pour autant, a détaillé Bruno Arcadipane, président du groupe, les résultats sont bons, en termes de livraisons de logements, mais surtout de réhabilitations.
Il y a 2 ans et 125 jours

Apprentissage : les entreprises artisanales attirent toujours plus de jeunes

FORMATION PROFESSIONNELLE. À l'occasion de la Semaine nationale de l'apprentissage dans l'artisanat, le réseau des Chambres de métiers et de l'artisanat et le Gouvernement dévoilent des nouveaux chiffres qui confirment l'appétence des jeunes pour ces métiers. La relation entre les nouvelles et anciennes générations fait notamment partie de la réflexion menée par les organisations du bâtiment.
Il y a 2 ans et 125 jours

QUINOA devient le groupe EOLIANCE

QUINOA devient le groupe EOLIANCE Chacune des sociétés qui composent le groupe porte une marque forte et une offre de produits primavera ven 03/02/2023 - 11:37 En savoir plus sur QUINOA devient le groupe EOLIANCE Partager
Il y a 2 ans et 125 jours

Nouveau nom et nouvelle identité visuelle, le groupe QUINOA devient le groupe EOLIANCE 

Depuis 2010, le groupe QUINOA s’est construit par l’union de sociétés ayant des savoir-faire uniques dans les métiers de la ventilation et du traitement de l’air.Chacune des sociétés qui composent le groupe porte une marque forte et une offre de produits complémentaires, ce qui a permis au groupe QUINOA de s’imposer comme un acteur majeur sur le marché. Il propose aujourd’hui une large gamme de solutions : centrales de traitement de l’air (Hydronic), protection incendie, grilles et brise-soleil (Panol), VMC résidentielles et accessoires (Autogyre et Eoliance Habitat) et réseaux aérauliques (Sotis). Le groupe intervient sur l’ensemble des segments du marché : maisons individuelles, habitat collectif, bâtiments tertiaires et bâtiments industriels.  Fort de cette large expertise dans le domaine du traitement de l’air, le groupe change de nom et devient EOLIANCE. Cette nouvelle appellation du spécialiste de l’air intérieur est assortie d’une nouvelle baseline « Penser l’air autrement ». Une alliance de compétences pour apporter une offre globale de solutions La raison d’être du groupe EOLIANCE est de contribuer au confort et à la santé des occupants dans leurs lieux de vie, et d’améliorer la qualité de l’air des bâtiments tout en réduisant leur consommation d’énergie et leur empreinte carbone.  Stéphane Nicoli Président du groupe EOLIANCE « La mission que nous nous sommes donnée, depuis 3 ans, a été de construire des produits et des services innovants qui feront, demain, la différence sur le marché. Nous sommes une communauté d’entrepreneurs solidaires aux savoir-faire incontestables, une alliance de professionnels experts des métiers du traitement de l’air aussi bien en termes de conception, de fabrication, que de pose des produits. Notre nouveau nom, EOLIANCE, incarne parfaitement les valeurs et l’identité de notre groupe. Notre nouvelle base-line, “Penser l’air autrement“, exprime notre volonté d’innover et d’apporter à nos clients des solutions d’avant-garde.»Le nouveau nom, EOLIANCE, marque à la fois le métier du groupe positionné dans le domaine de la Qualité de l’Air Intérieur, mais aussi sa volonté de tisser des alliances solides avec l’ensemble de ses clients, les installateurs en génie climatique et la distribution grand public et professionnelle. Il incarne la dynamique dans laquelle le groupe est résolument engagé, celle d’un acteur de premier rang aux compétences uniques sur son marché et qui, à travers ses solutions, met tout en œuvre pour réduire les émissions de CO2 et les consommations électriques, et contribuer à faire du bâtiment un secteur exemplaire en matière d’économie d’énergie et de confort pour les occupants. Stéphane Nicoli « .Aujourd’hui est une étape importante dans la vie de notre groupe : un nouveau nom et de nouvelles offres pour porter plus haut nos ambitions, nos valeurs et le savoir-faire de nos équipes.» www.eoliance.com
Il y a 2 ans et 125 jours

La lumière retrouvée des vitraux de la Basilique de Saint-Denis

L'heure de la renaissance pour cette vaste église située aux portes de Paris ? Restée dans l'ombre de Notre-Dame, la nécropole des rois de France - elle abrite les dépouilles de 43 d'entre eux - fait l'objet, depuis plusieurs années, d'importants travaux de rénovation.Depuis un an, les vitraux du déambulatoire sont l'objet de toutes les attentions. Ce chantier de plus de 2 millions d'euros a mis près de 25 ans à se concrétiser."Le temps du patrimoine est un temps long", souligne auprès de l'AFP Laurent Roturier, directeur de la DRAC d'Île-de-France, en charge du projet.Sur un plancher provisoire qui permet d'accéder aux voûtes de la basilique, classée parmi les monuments historiques en 1862, M. Roturier contemple la pose de plusieurs vitraux."On est au bout du chemin", glisse dans un sourire Guillaume Urvoas, vitrailliste. Un chemin long et fastidieux débuté en 1997.C'est à cette date que les plus anciens vitraux de la basilique sont mis à l'abri au laboratoire de recherche des monuments historiques (LRMH). Datant de la moitié du XIIe siècle, ils constituent un jalon de l'histoire du vitrail, ce qui les rend exceptionnels.Copies parfaitesAbîmés par le temps, usés par les intempéries, ces vitraux sont donc retirés. A leur place, des fac-similés en polycarbonate sont installés.S'ouvre alors un débat qui durera plusieurs années: faut-il les restaurer pour les réinstaller ou créer de parfaites copies ?C'est la deuxième option qui a été choisie par les experts. Au total, ce sont près d'une vingtaine de copies qui ont été réalisées.Un projet titanesque qui a commencé par un travail de recherche et documentation sur ces vitraux. Car, rappelle l'architecte du patrimoine Thomas Clouet, ils ont été démontés au moment de la Révolution française.S'ils n'ont pas été vandalisés, reste que certains morceaux ont été dispersés. "Il y a eu un travail de veille pour les retrouver, reconstituer leur histoire, leur parcours afin de pouvoir ensuite passer à la phase copie", détaille Laurent Roturier."On est sur un travail d'une précision folle. Tantôt sur la palette des couleurs ou la composition. C'est quelque chose qu'on ne fait qu'une fois dans une vie", assure le maitre-verrier Emmanuel Putanier, également directeur de l'entreprise Vitrail France."Notre cahier des charges était lourd. Comme on ne pouvait pas sortir les originaux du laboratoire, on a mis en place un mode opératoire pour faire des relevés directement sur place", poursuit-il.Surtout, il a fallu veiller à l'harmonie de l'ensemble: au cours des siècles, la basilique a fait l'objet de vagues successives de travaux. "On a pris en compte l'altération du temps dans les copies. Il ne fallait pas qu'ils paraissent neufs ou modernes", dit Emmanuel Putanier.Les pièces sont ensuite intégrées dans des verrières qui datent pour la plupart du XIXe siècle."Le plus important pour nous était de retrouver ce rapport à la lumière car c'est là l'esprit qui a présidé à l'édification de cette basilique, comme l'ont voulu ses fondateurs", insiste Laurent Roturier.D'autres travaux de rénovation sont en cours, notamment sur les tabernacles, dans cette basilique visitée chaque année par plus de 130.000 personnes.
Il y a 2 ans et 125 jours

Programme PROFEEL : RESTORE poursuit la démarche RENOSTANDARD, pour une rénovation globale et performante de la maison individuelle

Après 3 années de travaux, le projet RENOSTANDARD, porté par le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), se poursuit et devient RESTORE dans le cadre de la 2e phase du programme PROFEEL. Projet ambitieux, il a pour objectif de tester, développer et enrichir des solutions techniques intégrées, innovantes et réplicables pour faciliter le déploiement […]
Il y a 2 ans et 125 jours

Transition écologique : la route a de l'avenir « à condition de la penser dans les bons termes », selon Clément Beaune

Relation avec le rail, priorité à la transformation du réseau existant et futur des concessions, le ministre délégué en charge des...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 125 jours

Opération Dubarry par TAA à Toulouse

Taillandier Architectes Associés (TAA) a réuni pour Carle Promotion deux bâtiments de bureaux pour le lot 1.2a de la Cartoucherie à Toulouse (Haute-Garonne), l’opération Dubarry. Le projet de 9 409 m² (11.7 M€), livré entre novembre 2021 et août 2022, répond à plusieurs idées fortes : créer un épannelage harmonieux des hauteurs tout en générant un […] L’article Opération Dubarry par TAA à Toulouse est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 125 jours

Du polystyrène dans le béton

Article publié dans Béton[s] le Magazine n°104 Réalisation d’une chape en béton allégée. [©Edilteco] On ne le sait pas toujours, mais le styrène est un résidu de raffinage du pétrole. Il donne naissance au polystyrène par polymérisation et peut être expansé à la vapeur d’eau dans un Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 125 jours

Pour les justificatifs de charges, il faut aller chez le syndic

Il n'est pas obligé d'expédier ces documents par voie postale, même aux frais du copropriétaire qui les demande, a précisé la Cour de cassation.Les juges ont donc rejeté la demande d'un copropriétaire qui réclamait des indemnités à son syndic parce qu'il avait refusé de lui envoyer ces justificatifs, entre la convocation et la tenue de l'assemblée générale.Le décret de 1967, pris pour l'application de la loi de 1965 qui réglemente la vie en copropriété, indique que le syndic "remet au copropriétaire qui en fait la demande, aux frais de ce dernier, copie des pièces justificatives des charges", mais il indique aussi dans un autre article que le syndic "fixe le lieu de la consultation des pièces (...) soit à son siège, soit au lieu où il assure habituellement l'accueil des copropriétaires".Contrairement à ce que soutenait ce copropriétaire, la Cour a jugé que l'obligation de remettre des copies de pièces justificatives n'incluait pas l'obligation de les envoyer.(Cass. Civ 3, 9.2.2022, E 21-11.197).
Il y a 2 ans et 125 jours

Le Solo Show de Chris Morin-Eitner à la Galerie W

A la Galerie W (Paris IIIe), pour son Solo Show, le photographe bien connu des lecteurs de Chroniques, Chris Morin-Eitner rêve d’un futur où la nature reprend sa place dans la ville. Jusqu’au 4 mars 2023. « A l’aube du XXIe siècle, à la suite d’événements de nature inconnue, l’humanité quitte les grandes capitales, pour laisser […] L’article Le Solo Show de Chris Morin-Eitner à la Galerie W est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 125 jours

France 2030 veut booster l'industrie du bois pour la construction

Plusieurs dispositifs de soutien à la filière forêt/bois ont été lancés vendredi 3 février dont un pour l'« Industrialisation de...-Industrie
Il y a 2 ans et 125 jours

Alkern : Le miscanthus, granulat alternatif pour bétons

Alkern va produire des blocs de miscanthus à partir de 2024. [©Alkern] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Le miscanthus est un plante herbacée vivace de la famille des graminées, originaire d’Afrique et d’Asie du sud. Aussi appelée “herbe à éléphant”, elle a la faculté de repousser tous les ans à partir des mêmes racines, sans resemage. Et d’être résistante aux fortes Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne chaleur et économe en eau. C’est pourquoi, elle rencontre un intérêt croissant dans nombres de secteurs : agricole, industriel ou de l’énergie. Fin 2017, l’Union européenne a même reconnu les cultures de miscanthus comme pouvant faire partie des surfaces d’intérêt écologique de la politique agricole commune… Ce n’est donc pas par hasard qu’un industriel du béton comme Alkern s’y soit intéressé. « Dès 2012, nous avons co-fondé l’association Biomis G3 pour étudier les possibilités d’usage du miscanthus dans notre secteur d’activité », souligne Christophe Lagrange, directeur “offres” d’Alkern. La démarche s’inscrit aussi dans la politique de l’entreprise, qui vise, comme le rappelle son précepte, à “Innover durablement ensemble”. Une des manières de le faire est de proposer une économie de la ressource pour aller vers des produits différents. A ce titre, le miscanthus constitue une matière première intéressante. Ainsi, à partir du début de l’année 2024, Alkern compte proposer une première gamme de blocs béton allégé à base de miscanthus. « Il s’agira d’un bloc non structurel destiné au remplissage de murs autour d’une ossature porteuse ». Sur le site d’une carrière Lafarge Même si ses dimensions ne sont pas encore calées, ce bloc plein devrait mesurer entre 50 et 50 cm de long, entre 30 et 35 cm de large, pour une hauteur de 20 cm. Il sera aussi rectifié pour permettre une pose à joint mince. Côté liant, les choses sont encore à l’étape de la R&D. « Avec un R de 3 m².K/W, notre bloc offre une belle performance thermique. Il est perspirant et est considéré comme un puits de carbone de par l’utilisation du miscanthus. » Le nouveau bloc doit être produit au sein de l’usine de Bernières-sur-Seine (27), implantée au cœur de la carrière appartenant à Lafarge Granulats. « Nous sommes en train de reconstruire cette usine dans son ensemble car l’ancien bâtiment n’est pas adapté à nos futurs besoins, tant en termes de capacités de production que de taille pour accueillir les nouveaux outils de production », confirme Christophe Lagrange. La proximité de la ressource végétale a aussi dicté le choix de ce site particulier. Enfin l’usine dispose d’un port compatible avec les transports par voie d’eau et il est proches des agglomérations rouennaise et parisienne. Sans compter la présence de collaborateurs qui maîtrise le process industriel du béton.  Pour Alkern, ce bloc biosourcé ne représente qu’une première étape. Même si à date, aucune diversification de l’offre n’est actée, il est évident que l’industriel n’en restera pas là. Et sachant qu’il a la volonté de développer la filière du miscanthus… Retrouvez le dossier “Bétons et mixité : Le bon matériau, au bon endroit” en cliquant ici Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 125 jours

Agresta ou la parole d’un précurseur

Bloc réalisé à partir de granulats de bois Agreslith-C d’Agresta. [©ACPresse] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Ce n’est pas compliqué, le granulat de bois pour béton, Daniel Gaillard en propose depuis 1977, à travers sa société Agresta ! La mixité des matériaux est donc un sujet qu’il Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 125 jours

ABD System

ABD System développe des réservations pour fondations en béton de lin. [©ABD System] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Dans le domaine des fondations spéciales, la réalisation de pieux sécants nécessite, pour commencer, le coulage d’une murette de guide en béton. Celui-ci intègre des réservations circulaires, du même diamètre que la tarière de forage. Aujourd’hui, c’est un cylindre en polystyrène qui Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 125 jours

BePOSITIVE place l’emploi et la formation au coeur de l’édition 2023 !

 Des enjeux forts portés par le 1e Campus BePOSITIVE   La Transition Energétique est en marche ! Boostée par les engagements européens et les réglementations environnementales, elle est plus que jamais au coeur de l’actualité et des enjeux des filières de l’énergie et du bâtiment. Elles vivent aujourd’hui l’émergence de nouveaux marchés et de nouvelles activités […]
Il y a 2 ans et 125 jours

Les produits Ubbink choisis par un auto-constructeur

Pour composer sa toiture, ce propriétaire d’une maison individuelle a demandé au couvreur d’installer un écran de sous-toiture et des terminaux de ventilation selectionnés dans le catalogue Ubbink. À la rigueur technique, s’ajoute l’esthétique. Situé dans l’Aveyron, le village de Seveyrac est à une quarantaine de kilomètres de la ville de Rodez et dispose d’un […]
Il y a 2 ans et 125 jours

Carrojoint Premium de Cegecol® : un nouveau joint de carrelage esthétique et polyvalent

Pour répondre aux attentes des professionnels en quête d'un produit décoratif, à la fois performant sur le plan technique et confortable à l'application, CEGECOL® a développé CARROJOINT PREMIUM.Destiné aux carrelages des sols et des murs, en intérieur et extérieur, ce nouveau joint de carrelage polyvalent, coloré et design, offre également de nouveaux avantages :EsthétiqueSa finition ultra lisse et sa très fine granulométrie (0,3 mm) en font un joint esthétique et décoratif ;Décliné dans 17 couleurs tendance, du blanc, nude, caramel… au charbon, il s'assortit facilement aux carreaux utilisés et s'adapte parfaitement aux tons des pierres naturelles. Confortable a l'applicationSa texture fine et onctueuse le rend facile à appliquer ;Elle permet également un bon remplissage des joints allant de 1 à 10 mm (et de 1 à 5mm pour les pierres naturelles);Enfin, il se nettoie très facilement sur les carreaux sans creuser le joint.Hautement performantPolyvalent : CARROJOINT PREMIUM s'utilise sur sol et mur, aussi bien, en intérieur et extérieur ;Hydrofuge et résistant au gel, ce joint supporte également l'abrasion ;Joint flexible : il est adapté aux supports déformables, aux façades et aux sols chauffants ;Joint rapide : il sèche et se nettoie rapidement dès 15 min, la marche est possible après 3 h, ce qui permet une remise en service des locaux rapide.Caractéristiques pratiques de CARROJOINT PREMIUM Taux de gâchage : 1,4 à 1,45 litres par sac de 5kg Consommation : 0,3 à 3 kg/m2 Conditionnement : sac alu de 5kg, avec une visualisation de la couleur du joint sur l'emballage Conservation : 18 mois À très faible émission de C.O.V. (composés organiques volatils) : classée A+ et EC1PLUS Disponible en 17 coloris : blanc, coton, argent, cendre, ivoire, nude, caramel, travertin, dune, grège, châtaigne, chocolat, béton, platinium, ardoise, graphite, charbon.
Il y a 2 ans et 125 jours

La recherche révèle la raison de la longévité du béton romain

L’origine de la durabilité des édifices romains antiques vient d’être révélée dans une étude qui a fait l’objet d’une publication. Les capacités auto-cicatrisantes du  béton romain semblent en être la raison. Explications.    Si cette étude a été largement relayée par les média français, il nous semblait important de la graver dans le marbre béton, pour qu’elle […]