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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 2 ans et 330 jours

Les primo-accédants moins nombreux parmi les acquéreurs d'un bien immobilier

Sur les 672 personnes ayant acquis un bien immobilier au cours des deux dernières années interrogées du 5 au 19 mai par l'Ifop, seuls 28% étaient des primo-accédants, c'est-à-dire qui n'étaient pas propriétaires jusque-là. C'est 10 points de moins qu'un an auparavant.Cela peut s'expliquer par la hausse continue des prix de l'immobilier ainsi que par l'augmentation des taux d'intérêt.À l'inverse, 36% des acquéreurs (+4 points) sont "secundo-accédants", c'est-à-dire qu'ils ont revendu un bien pour en acheter un autre."Ça va typiquement des couples qui agrandissent la famille (...) jusqu'aux personnes qui approchent de la retraite (...) et qui vont vendre un bel appartement ou une belle maison en Île-de-France pour aller s'installer au soleil dans quelque chose de plus petit", a détaillé en conférence de presse Olivier Lendrevie, président du courtier en crédits immobiliers Cafpi."Ces secundo-accédants, ils bénéficient de l'effet-prix à la revente maximum et même s'ils se positionnent sur un marché relativement cher, en ayant bénéficié de taux d'intérêt très bas, ils ont une capacité de financement plutôt très intéressante", a détaillé Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim.Parmi les acquéreurs, 17% ont acheté une résidence secondaire, stable par rapport à 2021, et 16% pour le louer, en nette hausse (+6 points). Selon la Fnaim, les prix de l'immobilier en France au 1er juin ont progressé de 7,7% en un an à 3.020 euros le mètre carré en moyenne. Les maisons continuent d'augmenter plus vite, avec 9,7% de hausse à 2.411 euros le mètre carré, tandis que les appartements ont pris 5,2% à 3.797 euros le mètre carré.
Il y a 2 ans et 330 jours

Le Bâtiment polluerait moins mais ne ciblerait pas encore assez les rénovations globales

ANALYSE. Dans son dernier rapport, le Haut conseil pour le climat souligne que la baisse des émissions de gaz à effet de serre du secteur de la construction se confirme. Mais ses auteurs alertent dans le même temps sur le manque de visibilité autour de la pérennisation des financements dédiés à la rénovation énergétique, et sur le fait que les chantiers globaux restent encore trop peu nombreux.
Il y a 2 ans et 330 jours

La collection i.life d’Ideal Standard : des possibilités infinies pour des salles de bains contemporaines

A l’occasion du Salone del Mobile 2022 qui s’est tenu à Milan, Ideal Standard a présenté ses nouvelles gammes i.life. La collection comprend trois offres distinctes : i.life B, S et A, chacune avec son propre caractère et ses propres caractéristiques de design, mais toutes conçues avec la même volonté : offrir des solutions accessibles et exceptionnelles pour la vie quotidienne. Les trois gammes sont complétées par différents produits pour le bain et la douche. Une offre infinie accessible La collection i.life a été conçue en collaboration avec le studio de design italien Palomba Serafini Associati (PS+A). Grâce à une grande variété de pièces – lavabos, meubles, baignoires et toilettes – les possibilités sont illimitées pour créer un espace unique et contemporain. Les nouvelles collections incarnent parfaitement l’approche SingularTM d’Ideal Standard en proposant des solutions dans toutes les catégories, pour offrir aux clients flexibilité et choix lors de la conception de leur salle de bains individuelle. SingularTM a, en effet, été spécifiquement développé pour rationaliser la conception des salles de bains et simplifier le processus de sélection. Cette approche permet aux architectes, designers, artisans, distributeurs et utilisateurs finaux de créer des espaces sur mesure pour tout secteur ou application. Le directeur du design d’Ideal Standard, Roberto Palomba, explique : «la nouvelle collection i.life est un véritable exemple de design qui crée une toile de fond pour la vie moderne, un design qui favorise un espace sûr, quelle que soit la taille ou la forme de votre salle de bains. Il s’agit d’une collection intelligente et polyvalente où le design, le confort et l’hygiène se conjuguent à merveille.» i.life B, simplicité et créativité i.life B est l’archétype du design léger, représentant la croisée entre la simplicité et la créativité, avec un résultat final saisissant. La gamme présente des formes géométriques douces dans les lavabos, les WC, les bidets et les meubles, avec une grande variété de modèles et de tailles, ce qui permet aux utilisateurs de profiter de la grâce du design quelles que soient les dimensions de l’espace. Les céramiques proposées par i.life B sont complétées par des meubles disponibles en sept finitions telles que blanc mat, beige sable, gris carbone mat et chêne naturel. La variété des options de couleurs proposées permet aux utilisateurs de personnaliser leurs espaces en choisissant des produits qui mettent en valeur leur salle de bains et reflètent leur vision du design. Deux couleurs de poignées différentes, Chrome brossé et Noir mat, viennent s’ajouter aux options de meubles pour donner aux clients une plus grande liberté de création. Le développement durable a également été pris en compte. Tous les bois utilisés pour la conception de toutes les gammes de meubles i.life sont certifiés PEFC, offrant ainsi des options écologiques pour la salle de bains de tous les jours. i.life S, des solutions gain de place Conçue spécialement pour gagner de la place avec des lavabos disponibles à partir de 45 cm de large, i.life S est parfaite pour l’aménagement des petits espaces (suites, salles de bains d’invités, petits appartements). Comme pour i.life B, les céramiques présentent des formes douces et carrées, ce qui contribue à donner un aspect léger et élégant à l’ensemble de la collection. Les lavabos, les toilettes et les bidets sont complétés par une sélection d’options de rangement innovantes, qui permettent de garder les salles de bains propres et bien ordonnées. Également disponibles en sept couleurs différentes, les meubles reflètent le design global de la collection et offrent des possibilités de conception infinies. i.life A, des formes épurées i.life A se caractérise par des céramiques aux formes douces et arrondies et un design accessible, ce qui rend la gamme à la fois pratique et élégante. Comprenant une variété de lavabos, i.life A offre un choix de pièces épurées et minimalistes, garantissant des solutions adaptées à chaque salle de bains, quelles que soient les exigences. Les céramiques peuvent être associées à des meubles assortis, disponibles dans les sept mêmes finitions que les produits B et S, pour aider les clients à obtenir un beau résultat. Des technologies éprouvées au service de l’hygiène et de l’installation Tous les WC d’i.life B et S bénéficient de la technologie innovante RimLS+ d’Ideal Standard. Grâce à une chasse d’eau puissante et à l’absence de rebord en surplomb, RimLS+ assure un nettoyage efficace de l’ensemble de la cuvette et un résultat sans éclaboussures. Les WC i.life sont également faciles à nettoyer, ce qui les rend indispensables pour des toilettes très fréquentées. L’installation a également été prise en compte avec le nouveau système de fixation caché, permettant aux professionnels de fixer des WC et des cuvettes suspendues au mur de manière beaucoup plus rapide et plus sûre. Le kit innovant EasyFix+ assure non seulement un gain de 10 % sur le temps d’installation, mais il garantit également que tous les éléments sont dissimulés dans la céramique afin de donner un aspect propre et contemporain à l’ensemble. Ce nouveau système permet de gagner du temps et de réduire les coûts sans compromettre la qualité. i.life douche et bain Les baignoires i.life, aux lignes incurvées, présentent un style contemporain qui s’harmonise avec l’ensemble de la collection. Elles sont disponibles dans un large choix de formes, y compris des baignoires duo, asymétriques et d’angle qui conviennent à une installation encastrée ou sur panneau. Un bord lissé et plus épais et des propriétés anti-rayures font des baignoires i.life un choix à l’épreuve du temps. La nouvelle gamme de parois de douche i.life, dotées d’un vitrage de 8 mm d’épaisseur, mesure deux mètres de haut et se caractérise par des profilés fins en aluminium poli avec de longues poignées solides, conformément à l’esthétique contemporaine de i.life. Pour répondre à toutes les configurations d’installation, un large choix de modèles et de tailles est proposé : parois pivotantes, pliables, coulissantes à une ou deux portes et parois fixes. La gamme de parois de douche i.life est complétée par les receveurs de douche Ultra Flat S i.life, disponibles en quatre finitions : blanc pur, gris béton, sable et noir. Carrés ou rectangulaires, ils se déclinent en 27 tailles. Les receveurs en résine texturée ont une finition gelcoat robuste, qui non seulement donne un aspect de surface « pierre » de qualité, mais présente également d’importantes propriétés antidérapantes. D’une épaisseur de 30 mm seulement et dotés d’une évacuation entièrement intégrée, ces receveurs assurent la finition parfaite de l’espace douche. La collection i.life peut être parfaitement associée aux robinets Ceraplan d’Ideal Standard, qui sont plus fins, plus simples et plus lisses que jamais. La gamme comprend différents modèles qui se marient parfaitement aux lavabos, aux vasques et aux bidets, ainsi qu’aux baignoires et aux espaces douches i.life. L’ensemble de la gamme i.life A, i.life S ainsi que les produits pour le bain et la douche sont disponibles dès maintenant. i.life B sera commercialisé à partir de septembre 2022. http://www.idealstandard.fr
Il y a 2 ans et 330 jours

Les premières Rencontres de l’ingénierie maritime touchent leur cible

Organisées par l’ESITC Caen du 22 au 24 juin 2022, les premières Rencontres de l’ingénierie maritime (RIM) ont permis aux différents acteurs concernés d’avoir enfin un lieu où échanger sur ce sujet primordial. Environ 500 visiteurs se sont relayés pour assister aux conférences et ateliers dédiés aussi bien aux perspectives de la croissance bleue qu’aux nécessaires adaptations des aménagements portuaires et maritimes en passant par les besoins en formation. Aperçu d’un programme riche en iode et en calculs.
Il y a 2 ans et 330 jours

La Banque de France défend le taux d'usure face aux critiques

"Certains courtiers ont parlé d'un effet d'exclusion des emprunteurs immobiliers qui serait associé au taux de l'usure, objectivement nous ne voyons pas cela", a assuré François Villeroy de Galhau à l'occasion d'une rencontre avec la presse.La Banque de France avance qu'une majorité des prêts sont consentis à un niveau encore inférieur de 50 points de base environ au taux de l'usure (taux maximum, tous frais compris, auquel une banque peut prêter de l'argent), tandis que le taux de croissance de ces prêts reste historiquement très élevé, à plus de 6,5% en rythme annuel."Aujourd'hui le financement de l'immobilier est bien assuré", a repris le gouverneur, niant tout effet d'éviction avancé par les intermédiaires en crédit immobilier.Le directeur général de l'Association française des intermédiaires en bancassurance (AFIB) Géraud Cambournac avait assuré à l'AFP courant juin que les banques traditionnelles rejetaient actuellement un cinquième des demandes de prêts apportées par les courtiers.Le taux d'usure est le taux plafond destiné à protéger les particuliers de conditions d'emprunt abusives et fixé chaque trimestre par la Banque de France.Avec la remontée des taux, certaines demandes de crédit ne peuvent plus être acceptées car le taux proposé serait supérieur au taux d'usure.À titre d'exemple, le taux d'usure est actuellement de 2,40% pour un emprunt sur 20 ans. Un relèvement de 15 à 20 points de base est attendu au 1er juillet.Les taux nominaux, hors frais liés à l'obtention d'un crédit, sont passés d'une moyenne de 1,12% en décembre à une fourchette de 1,25% à 1,30% en avril, selon la Banque de France. La hausse s'est poursuivie depuis, selon les estimations partagées par plusieurs courtiers."Il est probable que la hausse des taux de l'usure ne pourra pas être à la hauteur de la hausse du coût de refinancement" des banques, a déploré la Fédération bancaire française (FBF), attentive à la marge de ses adhérents.La Banque de France et le ministère de l'Économie avaient indiqué lundi qu'ils ne prévoyaient pas de modifier le mode de calcul du taux d'usure ni d'y déroger exceptionnellement, selon une source proche.Néanmoins, les autorités planchent sur une modification de la grille des taux d'usure pour les collectivités territoriales, projetant d'ajouter une catégorie pour les prêts avec une maturité supérieure à dix ans, inexistante aujourd'hui.
Cimbat
Il y a 2 ans et 330 jours

Pratiques et astucieux, les nouveaux sèche serviettes Cala XS et Cala Twist Air+ d’Acova

Pionnier du radiateur sèche-serviettes en France, Acova a toujours eu à cœur de proposer des solutions de chauffage alliant confort, design et praticité, s’adaptant à l’agencement de toutes les salles de bains. C’est ainsi que la marque enrichit sa gamme Cala avec deux nouveaux modèles : Cala XS pour se glisser dans les petits espaces et Cala Twist +Air, appareil soufflant pivotant offrant un chauffage à la carte. Cala XS, le porte-serviettes chauffant compact Avec son format mini (H 66,9 cm x L 49,6 cm), le porte-serviettes chauffant électrique Acova Cala XS convient parfaitement aux salles de bains exigües, installées dans les combles ou dans une suite parentale qui imposent un agencement rigoureux. Son design sobre, rythmé par des tubes horizontaux ronds, facilite la pose des serviettes. Proposé exclusivement en blanc, il est équipé d’une minuterie très simple à utiliser, réglable de 30 minutes à 3 heures par pas de 30 minutes, ce qui évite le fonctionnement en continu. Un atout appréciable à l’heure où les coûts énergétiques ne cessent de croître ! Acova Cala XS garantit une parfaite sécurité puisqu’il est possible de choisir la température maximale de surface parmi 4 niveaux : 45°C, 55°C, 65°C (par défaut) et 75°C. Cala Twist +Air asymétrique, confort et praticité à la carte Pour profiter d’une température agréable, en toutes saisons, dans la salle de bains et bénéficier d’une chaleur instantanée à la sortie de la douche, Acova propose le radiateur sèche-serviettes Acova Cala Twist + Air, doté d’un soufflant intégré. Fixé au dos du radiateur, le soufflant dispose d’un habillage dans la même couleur qui le rend invisible. D’une puissance de 1000 Watts, il apporte, à la demande ou de manière programmée, un appoint de chaleur immédiat. Il peut être activé seul ou en complément du radiateur, et ce même lorsque la chaudière est à l’arrêt pour une installation de chauffage central. Le soufflant est équipé d’un filtre anti-poussières et d’un témoin d’alerte de nettoyage qui garantit non seulement sa durabilité, mais qui constitue aussi un véritable avantage pour les étourdis. Malin et pratique à la fois grâce à son design asymétrique et sa fonction pivotante (à droite ou à gauche), Acova Cala Twist + Air facilite la pose et l’accès aux serviettes ainsi que le nettoyage à l’arrière de l’appareil. Pour s’adapter à toutes les installations et à tous les espaces, il est proposé : • en chauffage central en 2 hauteurs (1198 et 1478 mm), une largeur (496 mm) et deux puissances (545 et 672 Watts) ; • en chauffage électrique en 2 hauteurs (1226 et 1476 mm), une largeur (496 mm) et deux puissances (500 et 750 Watts). Pour combiner confort et économies d’énergie, les radiateurs sèche- serviettes Acova Cala Twist + Air sont équipés d’une télécommande infrarouge à distance à fixer au mur ou à poser sur son socle avec les fonctions suivantes : • affichage digital de l’heure ou de la température consigne (réglable de 7° à 28°C au pas de 0.5°C) ; • détection ouverture / fermeture de fenêtre : baisse de la température en cas d’ouverture de fenêtre et reprise du fonctionnement normal après fermeture ; • programmation journalière ou hebdomadaire pour un confort quotidien et des économies d’énergie ; • activation manuelle du soufflant pour un apport de chaleur immédiat et répondre aux imprévus. Source d’inspiration pour personnaliser son radiateur à la décoration de la salle de bains, Acova Cala Twist + Air se décline dans les 46 teintes intemporelles ou tendances du nouveau nuancier Acova. http://www.acova.fr
Il y a 2 ans et 330 jours

MaPrimeRénov', coups de pouce CEE, fioul : ce qui change au 1er juillet 2022

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Plusieurs dispositifs d'aide financière à la rénovation énergétique évoluent, ce 1er juillet 2022. Batiactu vous propose un tour d'horizon.
Il y a 2 ans et 330 jours

Le Groupe Atlantic lance son "Plan électronique 2024"

Leader européen du HVAC (Heating Ventilation Air Conditioning), le GROUPE ATLANTIC connait une forte croissance qui se traduit par une augmentation des besoins en cartes électroniques de l’ordre de 40% d’ici à 2024 pour l’ensemble des marques du Groupe.Le lancement du « Plan électronique 2024 », concrétise l’ambition du GROUPE ATLANTIC de développer son activité électronique afin de répondre aux besoins croissants de ses clients en matière de solutions éco-efficientes, connectées et intelligentes, ou encore d’intégration de nouvelles fonctions sur les produits de ses marques.Cet investissement stratégique permettra au Groupe d’augmenter ses capacités de production grâce à l’ouverture au sein de l’usine de la Roche-sur-Yon d’une 3ème ligne CMS (Composants Montés en Surface) ainsi que d’accroitre les volumes de stockage de ses composants et semi-finis*(+20%). La surface de production du site sera agrandie de plus de 650 m², les bureaux des équipes support et R&D de 1 500 m² ainsi que le laboratoire d’essais et de qualification. Les travaux, qui ont commencé le 28 mars dernier, se termineront en mars 2024.« Ce projet, qui s’appuie sur une équipe de 10 collaborateurs multi-métiers, permettra de maintenir et développer la fabrication de cartes électroniques sur notre site historique de La Roche-sur-Yon. Ce plan s’inscrit pleinement dans la volonté du Groupe de s’imposer comme un acteur majeur de la décarbonation et du bien-être dans les bâtiments grâce au développement de solutions de plus en plus éco efficientes et intelligentes pour le chauffage, la ventilation et la qualité de l’air intérieur », précise Guillaume Flipo, Directeur des opérations de l’unité électronique du GROUPE ATLANTIC.Ce projet aura un impact positif sur l’emploi : il prévoit le recrutement de 20 personnes, que ce soit en fabrication ou en R&D.GROUPE ATLANTIC est aujourd’hui, parmi les seuls dans son secteur activité, à avoir intégré la fabrication de cartes électroniques « Made in France ». Dotée d’un bureau d’études électronique intégré, l’unité Electronique du Groupe peut concevoir elle-même ses systèmes, répondant aux mieux aux usages de ses clients, tout en maîtrisant les coûts et en suivant les évolutions nécessaires pour répondre rapidement aux besoins du marché.
Il y a 2 ans et 330 jours

Un Grand Palais plus lumineux et ouvert à tous pour accueillir les JO

"Nous sommes dans les temps pour une livraison de la grande nef (13.500 m2 sur 200 mètres de long et 17.500 m2 de verrière) au printemps 2024", a assuré lundi à l'AFP Daniel Sancho, directeur du projet de restauration au sein de l'établissement public de la Réunion des musées nationaux (RMN) – Grand Palais, qui gère l'édifice.Un travail de mise aux normes et d'accessibilité est prévu avec des améliorations techniques majeures. La restauration de la nef et de ses balcons permettra d'augmenter la jauge de 5.600 à 9.000 personnes, selon M. Sancho. Le chantier, qui a débuté en mars 2021, vise à "éclairer l'ouvrage et sa construction" en retrouvant l'effet de transparence qui avait habité le lieu à son origine, avant d'être "cloisonné" et "assombri" par la peinture de certaines parois de verre en noir, a expliqué François Châtillon, architecte en chef des monuments historiques, en présentant l'avancement des travaux à la presse.La rénovation prévoit l'ouverture d'un axe central reliant le Palais de la découverte et son planétarium à la nef qui accueillait avant sa fermeture toutes sortes d'événements artistiques et culturels, comme des foires d'art, des défilés de mode et même des épreuves équestres.Les visiteurs des deux endroits entreront à l'avenir aux expositions par une seule entrée et pourront accéder à une vaste promenade centrale intérieure en accès libre.L'ancien manège aux chevaux, situé dans les soubassements du bâtiment, accueillera une "Galerie des enfants" qui présentera chaque année une exposition, avec une approche "Art et Sciences" ainsi que des ateliers.Les nombreuses mosaïques et la statuaire de l'édifice, très dégradées, seront complètement restaurées.Le Grand Palais rénové doit accueillir les épreuves d'escrime et de taekwondo des Jeux olympiques et paralympiques dans la nef en 2024. L'ensemble des espaces muséaux seront ensuite rouverts progressivement jusqu'en octobre 2025.Un Grand Palais éphémère, sur le Champ-de-Mars, accueille depuis 2021 les événements qui se tenaient habituellement sous la nef.Ce chantier présente un budget de 466 millions d'euros pour un bâtiment de 77.000 mètres carrés et 42.000 mètres carrés de toitures, qui n'a jamais été rénové dans son ensemble depuis 1900.Dans les années 2000, l'édifice s'était affaissé de 13 cm en raison de l'usure des pieux en chêne portant les fondations, par l'eau de la nappe phréatique. Ils ont été remplacés par des parois moulées en béton et la charpente a également fait l'objet d'une consolidation importante.
Il y a 2 ans et 330 jours

L’alsacien centenaire Socomec veut rendre intelligente l’énergie pour le bâtiment

Fondée en 1922, l’entreprise familiale est résolument tournée vers les enjeux futurs du pilotage et du stockage de l’énergie, qu’elle applique en particulier aux bâtiments.
Il y a 2 ans et 330 jours

EDF a recommencé à gagner des clients et mise sur les services

"A l'érosion succède un rebond commercial", a indiqué lors d'une conférence de presse Marc Benayoun, directeur en charge des clients, services et territoires, en faisant état d'une hausse nette de 550.000 clients depuis septembre 2021.Leur nombre est ainsi passé de 25,7 millions à cette date à 26,2 millions en mai 2022. Selon les chiffres fournis par EDF, le nombre de contrats est ainsi repassé au-dessus des niveaux de janvier 2021 (26 millions).L'essentiel de cette croissance du nombre de clients est lié au gaz et aux services, a souligné Marc Benayoun.Le nombre de contrats dans l'électricité est pour sa part resté globalement stable, une situation toutefois meilleure que les années précédentes durant lesquelles EDF perdait beaucoup de clients.Cette meilleure fortune s'inscrit dans un contexte de difficulté pour nombre de fournisseurs alternatifs avec la crise des marchés de l'énergie, ainsi que dans la perspective de la fin prochaine des tarifs réglementés du gaz, actuellement fournis par Engie.Pour l'avenir, EDF ne compte par sur une hausse importante de son activité de fourniture d'énergie (électricité et gaz) pour assurer sa croissance mais plutôt sur le développement des services énergétiques aux particuliers comme aux entreprises.Le groupe prévoit une hausse de quelque 50% de son Ebitda (excédent brut d'exploitation) du pôle clients, services et territoires à l'horizon 2030 : il doit passer d'un peu moins d'un milliard d'euros en 2021 (sur un total de 18 milliards pour le groupe EDF) à un montant compris entre 1,3 et 1,5 milliard en 2030.L'essentiel de la croissance proviendra donc des activités de services énergétiques, dont l'Ebitda doit doubler à l'horizon 2030.EDF compte pour cela s'appuyer sur sa filiale Dalkia, qui propose déjà des services aux entreprises et aux collectivités, mais aussi sur l'émergence de services sur des marchés jugés porteurs, comme la rénovation énergétique, la mobilité électrique ou encore le photovoltaïque.
Il y a 2 ans et 330 jours

Alexandre Witkowski, Cuenod : « Le biofioul est un produit d’avenir »

Directeur Général de Cuenod, filiale d’Ariston Group spécialisée dans la production de brûleurs, Alexandre Witkowski répond au Moniteur des Artisans sur les changements au 1er juillet 2022 et les perspectives du biofioul.
Il y a 2 ans et 330 jours

PlanRadar développe une nouvelle fonctionnalité de planification pour simplifier la gestion de projets de construction

Alliant une interface collaborative et un affichage épuré, il permet aux utilisateurs de visualiser les étapes clés d’un projet et de créer des calendriers de projet sur la base du fameux modèle de Gantt.Une nouvelle fonctionnalité intuitive et accessible pour adapter la gestion de projet en temps réelLe modèle de Gantt est un outil de visualisation efficace de l'état d'avancement des différentes tâches qui constituent un projet. La fonctionnalité baptisé « Gantt View » mise au point par PlanRadar permet aux utilisateurs de planifier le déroulement du projet au détail près, générer des graphiques clairs et précis à partir des listes de tâches, définir les principaux jalons et mettre en évidence les actions prioritaires. La fonctionnalité aide à identifier les éventuels problèmes en amont de leur apparition afin d’éviter les retards et de garantir le bon déroulement du projet.Il alerte également sur les retards dans le calendrier pour y remédier rapidement, et les utilisateurs peuvent utiliser la fonction « glisser-déposer » pour mettre à jour le calendrier en un clic à mesure que le plan de projet évolue. Il permet ainsi aux chefs de projet de suivre le rythme des imprévus pour ne négliger aucun détail.Concernant le lancement de cette nouvelle fonctionnalité, Ibrahim Imam, Cofondateur et CoCEO de PlanRadar, déclare : « La réussite d’un projet dépend de la capacité de l’équipe à garder le cap. C’est d’autant plus vrai dans le domaine de la construction, où la moindre erreur ou imperfection peut avoir d’énormes conséquences. De plus, au vu de la multiplicité des acteurs intervenant dans les phases de planification, de construction et de livraison, la gestion de tous les aspects passe nécessairement par un calendrier robuste et une répartition claire des responsabilités. À défaut, les délais peuvent ne pas être respectés, et ces retards représentent un coût non négligeable. Le calendrier de PlanRadar est conçu pour éviter cela en dotant les chefs de projet d’une fonctionnalité leur permettant de suivre l’avancement du projet, tout en supervisant les équipes concernées. »Une solution issue d’une R&D collaborative avec les utilisateursAttentif aux retours de ses utilisateurs, « Gantt View » est le fruit des remontées du terrain qui permet à PlanRadar de s’adapter continuellement aux besoins de ses clients en mettant régulièrement au point de nouvelles fonctionnalités.Pour Matthieu Walckenaer, Directeur général France : « Chez PlanRadar, la R&D est pilotée en collaboration avec nos clients, grâce à un comité de pilotage qui priorise leurs demandes, puis leur traitement. Ce travail permet de concevoir et d’implémenter des fonctionnalités nouvelles dans des délais très courts, pour servir des projets spécifiques. Notre modèle SaaS permet également à tous les utilisateurs de bénéficier des nouvelles livraisons de manière automatique. La nouvelle fonctionnalité « Gantt View » illustre parfaitement cette dynamique. »Compatible avec d’autres logiciels de planification, la fonctionnalité permet aux utilisateurs d’importer des calendriers depuis Primavera P6, Microsoft Project et ASTA Powerproject.La solution proposée est ainsi accessible, collaborative et adaptée pour tous les membres d’une équipe projet. En favorisant une interface intuitive et facile à prendre en main, PlanRadar continue de promouvoir auprès de l’ensemble de la chaîne de valeur une digitalisation des projets de construction et d’immobilier efficiente et opérationnelle.Le lancement de cette nouvelle fonctionnalité vient s’ajouter à celui de la solution d’intégration « PlanRadar Connect », après une phase d’investissement de série B de 69 millions USD pour la start-up. Ces fonds, levés dans le but d’accroître les capacités de R&D de la société, ont été affectés à un vaste éventail d’innovations, dont un nouveau centre technologique et une équipe dédiée à l’innovation pour mieux accompagner la croissance et l’évolution de la plateforme.Pour en savoir plus sur cette nouvelle fonctionnalité de planification et, plus largement, sur la plateforme PlanRadar, cliquez ici.
Il y a 2 ans et 330 jours

Label RSE “Maturité” attribué à la sablière Lafarge de Saint-Colomban

Au terme d’une série d’audits externes, le label RSE “Maturité” a été attribué à la sablière Lafarge de Saint-Colomban (44). [©Lafarge] Au terme d’une série d’audits externes, le label RSE “Maturité” a été attribué à la sablière Lafarge de Saint-Colomban (44). Reconnaissant ainsi son rôle d’acteur local engagé, appliquant les meilleures pratiques en matière d’exploitation, mais aussi de réaménagement. Ce dernier est mené de façon coordonnée avec les phases d’extraction. Et permet de recréer une variété d’habitats ayant un impact positif sur la biodiversité du site. Comme le démontre la présence du faucon crécerelle nichant dorénavant dans la sablière. Pour 2023, Lafarge vise le plus haut niveau : le label RSE “Exemplarité”. Un réaménagement, source de biodiversité Depuis l’origine, la gestion de la carrière s’inscrit dans une démarche de développement durable. Et fait l’objet d’une concertation continue avec toutes les parties prenantes locales. Le comité est composé de représentants de riverains, d’associations, d’élus de la commune et des communes limitrophes. Ainsi que d’autres instances locales. Ces comités sont l’occasion de faire des visites de la sablière. Ceci, afin d’échanger sur l’avancement de l’exploitation et du réaménagement coordonné. Et de présenter les résultats des suivis environnementaux. Eco-pâturage : Une méthode alternative C’est la 5e année consécutive que la sablière héberge des ovins et des caprins, pour assurer l’entretien du site en lieu et place d’une fauche mécanique. Les dizaines de moutons et de chèvres accueillies sont complémentaires, venant à bout des ronciers, chardons et autres espèces invasives… Issue de la concertation avec les parties prenantes, la remise en état du site, repose sur trois types d’aménagement qui prennent peu à peu corps au fil des années : la création de deux plans d’eau (2,5 ha et14 ha) ;un retour à l’usage agricole des terrains (18 ha) par comblement d’anciennes fosses d’extraction ;la création de terrains bocagers, avec un réseau de mares favorables au développement de la biodiversité. Dès à présent, les plans d’eau réaménagés sont favorables à l’hivernage de certains oiseaux aquatiques, tels la mouette rieuse et le goéland brun, ainsi qu’à des amphibiens.
Il y a 2 ans et 330 jours

Offre complète de tuiles émaillées

Edilians lance une offre complète de tuiles émaillées au rendu unique, adaptées aussi bien à la toiture qu’au bardage. Pour des restaurations de bâtiments civils, demeures historiques, palais nationaux ou édifices religieux, la technique d’émaillage en mono cuisson ou double cuisson garantit un niveau de finition irréprochable. Grâce à une palette de couleurs étendue, les jeux de teinte sont sans limite et permettent d’accorder les idées et les projets. La nouvelle offre émaillage se décline en trois gammes, toutes compatibles avec les solutions photovoltaïques de l’industriel. Disponible dans cinq modèles de tuiles dotées de l’appellation de terroir Huguenot (H10, HP10, PV10, Stretto, Diamant), la gamme BASIC affiche en toute sobriété une robe BLANC PLATINE à l’aspect satiné, autre apparence de l’émail blanc. De par son coloris, son Indice de Réflexion Solaire (SRI) en fait un parfait allié pour préserver les bâtiments de la chaleur et ainsi respecter les exigences de la RE2020 relative au confort d’été. La gamme ULTRA offre sa très haute qualité d’émail à de nombreuses tuiles : les fortement galbées (OMEGA Max, OMEGA 10, OMEGA 13), les faiblement galbées (Alpha 10, Delta 10, HP10, H10, Losangée Ste Foy, Standard 9, Standard 14, Diamant), les tuiles plates (20×30, 16×38, 17×27 Ste Foy, 16×27), les tuiles petit moule (Arboise Ecaille, Arboise rectangulaire, Beauvoise Huguenot), et certains modèles de tuiles Canal. Pour répondre aux projets les plus audacieux, EDILIANS a développé la gamme ULTIM. Avec son émail de très haute qualité, la diversité de ses aspects (glacé, satiné) et son offre inédite de nuances, reflets (y compris métalliques ou irisés) et jeux de matières, elle élargit les possibilités de créations. Disponible avec des accessoires métalliques laqués sur demande, elle se compose de 14 modèles de tuiles.
Il y a 2 ans et 330 jours

Collection d’enduits matricés pour personnaliser les façades

Sous brevet Weber, le matriçage d’enduit minéral témoigne d’une véritable ambition esthétique. La matrice préformée se révèle contrainte dans l’épaisseur de l’enduit pour laisser, par relief, une empreinte décorative. Weber terranova print autorise se positionne en alternative aux matériaux de construction traditionnels. Les enduits de cette gamme peuvent reproduire panneaux bois, mosaïque ou métal… à moindre frais par rapport au parement qu’il « copie », y compris en termes d’entretien. Le façadier gère intégralement la réalisation. Ces enduits garantissent une pérennité des façades, grâce à une imperméabilisation en profondeur. La technique matricée referme l’enduit, au lieu de l’ouvrir comme dans le cas du gratté par exemple. L’avantage se révèle double : cela pallie tout risque d’encrassement, fort d’une sensibilité moindre à la pollution végétale comme à la pollution atmosphérique, et évite aussi la perte de matière (atout écologique autant qu’économique). Weber propose des formations spécifiques en vue d’une exécution dans les règles de l’art et d’une durabilité optimale. Avec plus de 30 décors, 8 frises et 144 teintes, weber terranova print se distingue par la diversité des graphismes.
Il y a 2 ans et 330 jours

S'ancrer dans le paysage : un centre technique municipal par Brenas Doucerain, à L'Isle-d'Abeau

Au sommaire du numéro d'AMC spécial Intérieurs qui vient de paraître (n°306 - juin, juillet 2022) et disponible en format numérique : une enquête sur le commerce, entre deux mondes, entre boutiques réelles et e-commerce, mais aussi la mue du musée de Cluny, un portrait de l'agence MBL et une visite de la biennale […] Lire l'article
GDA
Il y a 2 ans et 331 jours

La France doit avancer "à grande vitesse" sur la ligne Lyon-Turin

"Cela fait vingt ans que nous sommes en retard, aujourd'hui nous devons absolument finaliser ce projet", a déclaré l'ancienne Première ministre slovaque lors de l'assemblée générale de la Transalpine, association qui rassemble les collectivités et entreprises soutenant le Lyon-Turin.La responsable a salué les avancées, côté italien, de l'aménagement des voies d'accès au tunnel de 57,5 km en cours de creusement sous les Alpes entre la vallée de la Maurienne (Savoie) et le Piémont, côté italien. Une vingtaine de TGV et quelque 160 trains de marchandises doivent l'emprunter à l'horizon 2030."Je ne suis pas aussi satisfaite côté français", a ajouté Mme Radicova, déplorant que le gouvernement n'ait toujours pas choisi le tracé des voies d'accès. Une décision était prévue au premier trimestre 2022, mais elle n'est pas venue depuis, alors que la présidence française de l'Union européenne se termine jeudi soir."Je comprends les circonstances politiques, le président Macron n'a pas de majorité au Parlement et ce n'est pas facile de négocier dans ces conditions. Mais depuis six ans que je suis à ce poste, il y a toujours eu un +mais+", a relevé la coordinatrice. "Il est temps de prendre des décisions claires, c'est crucial. Nous ne voulons pas construire un tunnel vide", a-t-elle insisté.Faute de voies d'accès adaptées au trafic prévu, ce dernier serait ineffectif.L'Europe a accepté de financer la moitié des voies d'accès, dont le coût s'élève à 1,9 milliard d'euros côté italien (pour 55 km) et oscille entre 5 et 7 milliards côté français (pour 140 km), à la condition que les deux États formalisent leurs engagements dans un "acte d'exécution". Le chantier du tunnel lui-même avoisine les neuf milliards d'euros.Faute de décision française en 2022, "nous courons le risque de rater les financements européens jusqu'en 2027", a prévenu Paolo Foietta, représentant de l'Italie au sein de la Commission intergouvernementale qui suit le projet."Nous sommes dans le même bateau et nous n'aimerions pas perdre un milliard", a-t-il poursuivi devant l'assemblée générale de la Transalpine.L'association, que préside Jacques Gounon, était réunie mardi à Lyon à l'occasion des "Journées de l'Europe connectée", des rencontres sur le thème de la mobilité durable organisés jusqu'à jeudi par la Commission européenne.
Il y a 2 ans et 331 jours

Plus de 70% des branches professionnelles ont des niveaux de salaires inférieurs au Smic

"La faiblesse du nombre d'accords garantissant des minima conventionnels au niveau du Smic est un élément caractérisant la faiblesse de la vie conventionnelle d'une branche permettant au ministre chargé du Travail de procéder à la fusion administrative des branches", préconise le gouvernement selon l'un des articles de son futur projet de loi sur le pouvoir d'achat."Au 17 juin, sur les 171 branches suivies du régime général couvrant plus de 5.000 salariés, 120 affichent une grille comportant au moins un coefficient inférieur au Smic en vigueur", détaille le gouvernement.Les récentes hausses successives du Smic (+2,2% en octobre 2021, +0,9% en janvier et + 2,65% en mai) ont en effet eu pour conséquence de "tasser" encore davantage certaines grilles salariales laissées en jachère faute de négociations régulières.Certes, si le minimum conventionnel est inférieur au Smic, l'employeur doit combler l'écart, un salarié ne pouvant pas être rémunéré en dessous. Mais lorsque plusieurs niveaux d'ancienneté sont rattrapés par le Smic, cela génère une concentration accrue de salariés autour du Smic. Autrement dit, même avec plusieurs années d'ancienneté, le salarié reste au salaire minimum, ce qui est communément appelé la "smicardisation" des rémunérations."Dans ce contexte inflationniste, tout l'enjeu pour les branches est de réussir à négocier rapidement pour réévaluer les salaires", souligne le gouvernement alors qu'une nouvelle hausse du Smic est prévue par l'Insee en août ou septembre du fait de l'inflation."Ainsi, afin d'inciter les branches à négocier sur les salaires", le gouvernement veut pouvoir les fusionner si elles ne le font pas, ce qu'il lui est impossible aujourd'hui en l'état actuel du droit.
Il y a 2 ans et 331 jours

Tout Faire muscle ses services achats et référencement

ORGANISATION. Groupement indépendant d'entrepreneurs de négoce, Tout Faire, a décidé de renforcer ses activités achats et référencement afin d'améliorer les services de ses adhérents.
Il y a 2 ans et 331 jours

Les autorisations de logements individuels ont bondi en un an en France

CHIFFRES DE LA CONSTRUCTION. Le ministère de la Transition écologique a publié les chiffres sur la construction de logements à fin mai 2022. Par rapport à la période pré-pandémique, le nombre d'habitations autorisées s'est envolé.
Il y a 2 ans et 331 jours

Qui est Estelle Brachlianoff, la nouvelle directrice générale de Veolia ?

CARNET-NOMINATION. Veolia, qui a acté son rapprochement avec Suez en début d'année, a également annoncé des changements de gouvernance. A partir du 1er juillet, les fonctions de président et de directeur général seront distinctes. C'est Estelle Brachlianoff qui prendra les rênes de la direction générale en remplacement d'Antoine Frérot, qui restera président du Conseil d'administration.
Il y a 2 ans et 331 jours

Renouvelables, efficacité énergétique : l'Europe revoit encore ses objectifs à la hausse

FOCUS. Le Conseil de l'Union européenne, actuellement sous présidence française, vient d'adopter des "orientations générales" sur deux propositions en rapport avec le fameux paquet de mesures législatives "Ajustement à l'objectif 55". Concrètement, les directives communautaires sur les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique vont être dotées d'objectifs encore plus ambitieux que ceux fixés à l'origine.
Il y a 2 ans et 331 jours

Hausse de l'obligation CEE : l'Etat consulte, les acteurs accroissent la pression

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Pour relancer le dispositif des certificats d'économie d'énergie (CEE), la Fédération française du bâtiment (FFB) demande deux gestes à l'administration. Une annonce en ce sens pourrait avoir lieu dans les semaines à venir.
Il y a 2 ans et 331 jours

Holcim produit le premier clinker recyclé au monde

Holcim annonce la production du premier clinker composé à 100 % de minéraux issus du recyclage. [©ACPresse] Le cimentier suisse Holcim vient d’annoncer avoir produit le premier clinker au monde composé à 100 % de minéraux issus du recyclage. L’opération s’est déroulée sur le site de la cimenterie d’Altkirch, dans le département du Haut-Rhin. « Quelque 2 000 t de clinker ont été fabriquées à partir de matériaux recyclés, indique le groupe Holcim. De quoi permettre de préserver les ressources naturelles de la carrière, en économisant l’équivalent de 3 000 t de matières premières extraites. Ce clinker n’a pas été intégré à la production du site. Mais il est en cours de transformation en ciment 100 % recyclé sur un autre site du groupe en France, avec des ajouts provenant aussi de matériaux recyclés… » Dix matériaux recyclés dans la composition L’essai s’est étalé sur 2 j sans arrêt, avec un monitoring permanent suivi par une équipe spéciale composée de 10 personnes. Parmi elles, des experts du centre de recherche de L’Isle-d’Abeau, les collaborateurs du site, la direction qualité de Lafarge et la direction industrielle. En effet, il existait plusieurs inconnues liées à cette grande première : quelle sera la réaction du mélange ? Quel sera son comportement à la cuisson ? Quel sera l’impact éventuel sur le four ? Dans le détail, Holcim a utilisé des matières premières alternatives toutes issues de l’économie circulaire et provenant, en grande partie, de sources locales. A savoir de la région Grand Est. « Dix produits recyclés différents ont été rassemblés, afin de disposer de tous les éléments nécessaires pour atteindre la composition chimique cible du clinker, reprend Holcim. Ceci, dans le but d’une conformité avec la norme ciment. Ainsi, chaque matériau a été caractérisé d’un point de vue chimique en laboratoire. » Le cimentier refuse de les citer tous, « pour des raisons évidentes de confidentialité. » Mais indique tout de même la présence de cendres de bois ou de déchets du traitement des minéraux… Une cuisson dans un four à 1 450 °C Côté fabrication, le processus est similaire à celui du clinker normal, une fois les constituants rassemblés sur le site. Pour commencer, les matériaux recyclés sont pré-mélangés dans la carrière où ils sont stockés, de façon à constituer une farine crue homogène. L’étape 2 est celle de la cuisson dans le four rotatif de la cimenterie, à la même température que les matériaux naturels habituels (calcaire et argile pour l’essentiel). C’est-à-dire à 1 450 °C. Viennent ensuite les classiques opérations de broyage et d’ajouts d’additions complémentaires qui permettront d’obtenir un ciment. Nous ne sommes donc pas ici en présence d’un véritable clinker bas carbone direct. Mais il permet une décarbonation indirecte du secteur cimentier à travers l’économie de matières premières vierges. Pour Holcim, cette première est un succès et le clinker obtenu est conforme aux objectifs de qualité fixés, ainsi qu’à la norme ciment. Il sera utilisé pour produire du ciment 100 % recyclé. En le mélangeant avec de l’eau recyclée, des armatures produites avec des aciers recyclés et d’autres composants valorisés, il deviendra possible de réaliser un béton 100 % recyclé. Holcim annonce la mise en œuvre d’un tel produit dès 3e trimestre 2022 ! Inscrit dans la trajectoire “net-zéro” « Cette percée montre ce qu’il est possible d’accomplir lorsque vous combinez l’expertise d’Holcim en matière de recyclage avec sa position producteur de ciment, indique Edelio Bermejo, directeur du Holcim Innovation Center. Développer un clinker 100 % recyclé nous fait franchir une étape supplémentaire dans notre quête de la construction circulaire. » Le nouveau clinker s’inscrit dans la trajectoire “net-zéro” d’Holcim pour décarboner l’environnement bâti. Ainsi, en 2021, le cimentier a recyclé 54 Mt de matériaux dans l’ensemble de ses activités dans le monde. Et prévoit de doubler ce taux d’ici 2030. Pour construire du neuf à partir de l’ancien, il intensifie le recyclage des déchets de construction et de démolition en nouveaux matériaux de construction. L’objectif de la démarche est d’atteindre 10 Mt d’ici 2025. En 2021, Holcim en avait recyclé 6,6 Mt. Et, en Suisse, il a lancé le premier ciment vert au monde contenant 20 % de déchets de construction et de démolition recyclés. Ceci, dans sa gamme EcoPlanet.
Il y a 2 ans et 331 jours

La construction de logements et de locaux se maintient à la hausse

Le niveau très élevé des autorisations des derniers mois provient du nombre exceptionnel de demandes de permis déposées en décembre 2021, probablement en lien avec l’entrée en vigueur de la réglementation environnementale (RE) 2020 au 1ᵉʳ janvier 2022. Un phénomène similaire s’était produit en 2013 au moment de l’application de la réglementation thermique (RT) 2012. Le nombre de logements autorisés au cours des trois derniers mois est nettement supérieur (+16,2%) à la moyenne des douze mois précédant la crise sanitaire (mars 2019 à février 2020).Au cours des trois derniers mois, on estime que les logements commencés sont restés stables (+0,0%), après avoir diminué de 3,2% lors des trois mois précédents, en données CVS-CJO. De mars à mai 2022, on estime que les mises en chantier de logements ont été légèrement supérieures (+0,5%) à leur moyenne des douze mois précédant le premier confinement.De juin 2021 à mai 2022, 502.800 logements ont été autorisés à la construction, soit 70.900 de plus qu’au cours des 12 mois précédents (+16,4%). Dans le même temps, on estime que 388.300 logements ont été mis en chantier, soit 2.000 de plus (+0,5%) que lors des 12 mois précédents (juin 2020 à mai 2021). Si on prend comme point de comparaison les 12 mois précédant la crise sanitaire (mars 2019 à février 2020), les nombres de logements autorisés et commencés au cours des 12 derniers mois sont supérieurs de respectivement 9,5% et 1,4%.Logements autorisésDe juin 2021 à mai 2022, 502.800 logements ont été autorisés à la construction, soit 70.900 de plus qu’au cours des 12 mois précédents (+16,4%).Les autorisations de logements individuels groupés (+28,1%) ont connu une forte progression. Les logements collectifs ordinaires (+15,5%), individuels purs (+15,0%) et en résidence (+11,3%) ont également augmenté.Logements mis en chantierAu cours des douze derniers mois, on estime que 388.300 logements ont été mis en chantier, soit 2.000 de plus (+0,5%) que lors des 12 mois précédents (juin 2020 à mai 2021).Les logements individuels purs (+ 11,4 %) auraient connu une forte progression. Les logements individuels groupés (+0,5%) auraient légèrement augmenté. Les logements collectifs ordinaires (-4,4%) et les logements en résidence (-8,6%) auraient décliné.Construction de logements, résultats à fin mai 2022Construction de locaux, résultats à fin mai 2022
Il y a 2 ans et 331 jours

Le cimentier français Vicat lance la marque Lithosys, dédiée à l'impression 3D béton

Le groupe a investi 2 millions d'euros en 2021 dans une unité de production et de recherche et développement dédiée à l'impression 3D béton, implantée à Chambéry (Savoie).
Il y a 2 ans et 331 jours

Les défis de la ville de demain, par l'AUC, Grand Prix de l'urbanisme

INTERVIEW VIDÉO. Caroline Poulin, Djamel Klouche et François Decoster ont reçu le Grand Prix de l'urbanisme 2021. Deux des trois cofondateurs de l'AUC dévoilent, pour Batiactu, leur vision de la ville, de la densité, de l'urbanité, et de la "façon française de faire la ville".
Il y a 2 ans et 331 jours

Fin de l'aventure pour le constructeur des maisons Phénix

« Phénix, pour que chacun ait sa maison » : tel était le slogan des maisons Phénix, une société du groupe Geoxia. Trois usines de l'entreprise ont obtenu un sursis car l'État a décidé de financer leur poursuite d'activité afin de finir en bonne et due forme des chantiers en jachère. Concernant les chantiers ouverts, Bercy a ajouté que les assureurs s'en occuperaient pour la suite, en prenant en charge le recrutement de la main-d'œuvre et les pénalités de retards ainsi que les surcoûts.Maisons Phénix a été créée en 1946 et s'est vite faite une place en France grâce à un modèle de maison individuelle standardisée, rapide et peu chère à bâtir. La société employait 1.150 personnes et, en 2021, réalisait un chiffre d'affaires de 252 millions d'euros. Après des premières difficultés financières à la fin des années 2000, Maisons Phénix avait vu son accès aux financements des banques coupé et la crise sanitaire suivie de la hausse des prix des matériaux et de l'énergie provoquée par la guerre en Ukraine ont eu raison de la société.Le plan « Grands Licenciements » a été activé par le ministère de l'Économie "pour aider les salariés à retrouver un emploi dans un secteur que l'on sait en forte demande de main d'œuvre".
Il y a 2 ans et 331 jours

La rénovation énergétique est "une bombe à retardement" (Jean-Marc Torrollion, Fnaim)

IMMOBILIER. Alors que le marché immobilier est en phase de ralentissement après des années record, la Fnaim, qui a présenté sa note de conjoncture semestrielle le 29 juin, rappelle à l'exécutif que la rénovation des logements est "le sujet de quinquennat" qui s'ouvre et appelle à un changement de paradigme.
Il y a 2 ans et 331 jours

Le Carburateur lance son nouvel appel à candidatures

Le dépôt des candidatures est ouvert jusqu’au 15 Juillet prochain. [©Le Carburateur] Le Carburateur, outil de création et d’accélération de croissance des entreprises de Marseille et de sa région, lance un deuxième appel à candidatures, le premier datant de 2019. Ceci, pour soutenir les jeunes start-up du territoire. Le Groupe CMA CGM, le Crédit Agricole Alpes-Provence, CI Média et NGE s’associent aussi pour supporter cette action. Le Carburateur pour stimuler l’entrepreneuriat à Marseille L’ensemble des partenaires souhaitent ainsi accompagner la nouvelle génération d’entreprises, porteuses de croissance économique et vecteurs du dynamisme économique du territoire. Le dépôt des candidatures est ouvert jusqu’au 15 Juillet prochain. Cet appel à candidatures porte sur 4 thèmes : Transport, logistique et économie bleue – catégorie parrainée par le Groupe CMLa ville connectée et solidaire – catégorie parrainée par CI MEDIAEnvironnement, constructions et infrastructures durables – catégorie parrainée par NGE, entreprise de BTPGestion de l’eau, de l’air et des déchets – catégorie parrainée par Crédit Agricole Alpes-Provence A l’issue d’une sélection effectuée par un jury composé d’experts mobilisés par chaque entreprise, les 4 start-up lauréates présenteront leur projet lors d’une cérémonie de remise des prix. Les entreprises récompensées bénéficieront chacune d’un soutien financier de 5 000 €. Ainsi que d’un accompagnement du Carburateur et des parrains du concours, qui se traduira par du mentorat et un café business avec le dirigeant.
Il y a 2 ans et 331 jours

Partenariat pour l’apprentissage entre la FBB et le CCCA-BTP

La FFB et le CCCA-BTP ont conclu un partenariat pour l’apprentissage. [©H. Gottschalk] La Fédération française du bâtiment (FFB) et le Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics (CCCA-BTP) ont conclu un partenariat. Celui-ci vise à renforcer leur collaboration pour l’apprentissage et la formation professionnelle dans le secteur du bâtiment. Ce dernier restant l’un des premiers employeurs de France. Par cette convention, la FFB s’engage à apporter son expertise métier et sectorielle. Et pour le CCCA-BTP, à mettre son expertise au service de la qualité de la formation professionnelle, et en particulier de l’apprentissage. En effet, les changements actuels inhérents à la volonté de construire bas carbone, de réhabiliter durablement le patrimoine. Ou encore d’améliorer la performance énergétique du bâti et la promotion de la transition numérique des métiers du bâtiment font émerger de nouvelles compétences. Ces dernières nécessitant de former et de recruter de plus en plus de jeunes diplômés. En mobilisant leurs structures, la FFB et le CCCA-BTP contribuent à l’évolution de la formation et donc de l’adaptation des compétences, avec un plan d’actions dès 2022.
Il y a 2 ans et 331 jours

Lancement de SMA Transport dédié à l’assurance “transport et maritime”

Le groupe SMA a annoncé le lancement de SMA Transport, son département dédié à l’assurance “transport et maritime”. [©SMA] En tant que mutuelle professionnelle, le groupe SMA se devait de répondre aux besoins spécifiques de ses clients. C’est dans ce cadre qu’il propose une offre d’assurance transport et maritime, conformément aux orientations de son plan stratégique “Ambitions 2024”. Ainsi, le groupe a annoncé, ce 28 juin, le lancement de SMA Transport. Ceci, afin de couvrir les entreprises de la construction pour le transport de leurs matériaux, de leurs engins, des éléments destinés à leurs ouvrages ou des biens qui leur sont confiés. Plusieurs acquisitions pour le groupe SMA SMA avait déjà acquis, en novembre 2021, Cinabre, société spécialisée dans l’assurance transport créée en 1867. Le groupe mutualiste a aussi repris, par un transfert de portefeuille, toujours en 2021, la Compagnie nantaise d’assurances maritimes et terrestres (Cnamt). SMA Transport sera basé à Bordeaux et s’appuiera sur les équipes et le savoir-faire de Cinabre. « Le transport est une nécessité pour un grand nombre de secteurs d’activité, dont celui du BTP. Et les besoins vont croître du fait du renchérissement des prix. La protection du matériel, des marchandises et des activités maritime et transport est donc une réelle préoccupation pour laquelle le groupe SMA a la capacité de répondre. Cette offre est portée par notre filiale SMA SA, notée A+ par Fitch. Par notre parfaite connaissance sectorielle de l’assurance maritime transport, nous sommes en mesure d’accompagner. Mais aussi de protéger nos sociétaires et de répondre aux besoins du marché », a commenté Grégory Kron, directeur général adjoint assurances Iard du groupe SMA. Un double objectif pour SMA Transport SMA Transport vise un double objectif. A savoir, proposer aux assurés du groupe SMA une offre complète en assurance transport et maritime. Ceci, avec des solutions adaptées au secteur de la construction. Ces dernières étant créées par des spécialistes de leur secteur et répondant aux exigences du groupe SMA en matière de qualité de service. Mais aussi, devenir un acteur de référence dans l’assurance transport et maritime avec des experts dédiés et une offre d’assurance pour tous les industriels ayant des risques liés au transport. Ainsi que pour les entreprises spécialisées dans la chaîne de valeur du transport. La gamme des produits d’assurance de SMA SA proposée par SMA Transport répond aux besoins de toutes tailles d’entreprises, de l’artisan au groupe opérant dans le monde entier.  Elle comprend toutes les garanties couvrant les activités liées au transport avec des solutions standards et des offres sur mesure.
Il y a 2 ans et 331 jours

« Les machines Cetec travaillent en papier comme en plastique »

Nouveau hall de l’usine Cetec de Périgueux, en Dordogne. [©Cetec] Cetec vient de fêter son 50e anniversaire. Quel bilan pouvez-vous tirer du chemin parcouru ? Mathias Elié : Cetec a réussi à traverser les époques en grandissant, et a su étendre ses gammes et ses technologies. Nous avons beaucoup travaillé sur l’innovation et sur nos positions de marché. A présent, Cetec arrive à maturité comme fournisseur français de chaînes d’ensachage complètes. Ceci, sur la gamme allant de 5 à 25 kg principalement. Au-delà, il reste quelques fournisseurs européens. Que des acteurs très professionnels de la chaîne d’ensachage… Au départ, Cetec était très centré sur les machines d’ensachage de nourritures pour animaux. Mais à une période, l’entreprise s’est retrouvée en difficulté. C’est toujours dangereux d’être mono-produit… Aussi, nous nous sommes diversifiés vers d’autres industries comme la semence, la minoterie, les matériaux pour le BTP ou les produits chimiques. Ces deux dernières activités génèrent chacune 15 % de notre chiffre d’affaires France. Cetec est très bien identifié sur ses marchés. Qui est Cetec aujourd’hui ? Comment envisagez-vous l’avenir ? Nous sommes une PME familiale de 90 personnes, basée en Dordogne. C’est-à-dire au cœur des territoires. Une entreprise fondée par Jean-Claude Labrue et reprise depuis par son fils Régis. Cetec possède un unique site de production, à Périgueux et réalise un chiffre d’affaires de 13 M€. Près de 40 % sont liés à l’export en direction de l’Afrique et des Amériques. Le gisement à l’international reste énorme. Mais, malgré tout, nous avons la volonté de rééquilibrer l’origine de nos revenus entre la France et le reste du monde. Notre plan de développement actuel court jusqu’en 2025 et prévoit un chiffre d’affaires de 15 M€ à parité entre la France et l’export. Parmi nos champs d’action, les sacs de 35 kg, qui s’intègrent tout à fait à notre scope. Tout comme les sacs de moins de 5 kg, parfaits pour la nourriture pour animaux. Toutefois, les sacs de 2 kg restent notre limite basse, car en deçà, il est nécessaire de changer de machines d’ensachage. De même, nous restons centrés sur les technologies de gaines ou de sacs formés. Pas de bobines donc en ligne de mire… Avez-vous mis en place des moyens particuliers pour atteindre vos objectifs ? Nous venons d’agrandir notre usine de près de 1 900 m2, ce qui nous a permis de retrouver plus d’aisance. Mais surtout des gains en productivité et la capacité de réaliser des tests d’ensembles complets avant livraison. Cetec assure l’essentiel de sa fabrication en interne, soit plus de 80 % des sous-ensembles. Qu’il s’agisse de la chaudronnerie, de la découpe, du pliage, de la peinture… Seuls, l’électronique ou les câbles sont sous-traités. Enfin, nous restons très réactifs, en termes de service après-vente et pour la refabrication de pièces pour nos machines. La disparition progressive du plastique dans les emballages impose une évolution des machines d’ensachage… Mais quels changements cela impose-t-il ? La véritable question devrait être : ce changement de matière pour les sacs est-il durable ? En effet, régulièrement, on passe d’une technologie à une autre, mais les cycles se raccourcissent. Jusqu’à peu, le marché était très déterminé à aller vers le plastique. Puis, le contexte législatif a changé et on est reparti vers le papier. Il y a une pression gouvernementale énorme, avec la mise en place d’une taxation non négligeable sur le plastique non recyclable. Mais les filières vont progresser sur le recyclage… Il faut savoir que le papier n’est recyclable que huit fois alors que le plastique l’est indéfiniment. D’autre part, il apparaît que le papier va permettre de plus en plus de choses. Mathias Elié, responsable commercial France de Cetec. [©Cetec] Ensacheuse Polyflex en cours d’assemblage dans l’usine Cetec. [©Cetec] Le nouvel atelier de câblage est équipé d’écrans tactiles. [©Cetec] Détail de ligne de fermeture de sacs sur l’ensacheuse Polyflex. [©Cetec] Ensacheuse Polyflex complète, prête à entrer en fonctionnement. [©Cetec] Dans ce contexte, Cetec est en train de créer de nouvelles générations de machines ? Déjà, nous avons procédé à pas mal de remplacements de machines. En parallèle, nous avons développé des machines acceptant les deux technologies. Ces installations s’articulent autour de deux postes. Tout d’abord, un magasin à sacs fait office de station d’ouverture. Puis, la zone de remplissage et de fermeture. Ainsi, la ligne Polyflex existe depuis cinq ans au sein de notre offre. Régis Labrue, directeur général de Cetec, avait su anticiper cette tendance lourde du marché. Aujourd’hui, une quinzaine de Polyflex tournent en France, travaillant aussi bien en 5 kg qu’en 25 kg, en papier comme en plastique. Notre leitmotiv est simple : “Ne vous casser pas la tête à choisir entre telle ou telle technologie, nos machines savent tout faire. Soit dès le départ, soit en termes d’évolutivité”. Ainsi, nos clients n’ont plus besoin de s’inquiéter en cas de changements de législation et de tendance de marché. Mais que vont devenir les équipements plus anciens ? En premier lieu, la modification de machines existante nous intéresse, car nous cherchons toujours à proposer des solutions durables. La démarche débute par un audit pour définir ce qu’il est possible de réaliser : amélioration, transformation, modification de parties spécifiques. Nous procédons souvent ainsi, mais dans la limite de certains process et d’un risque calculé. Nous faisons du rétrofit mécanique tant que cette approche est intelligente. 
Il y a 2 ans et 331 jours

Isolation des sous-faces par projection de laine de verre

Knauf Insulation présente une solution améliorée et plus adaptée pour une parfaite isolation des sous-faces de plancher. La laine minérale de verre à projeter JETSPRAY All In One Thermal est un produit d’isolation thermique par projection pneumatique de laine minérale de verre avec liant sur parois horizontales, poutres ou structures de bâtiment. Le procédé est constitué du produit isolant JETSPRAY All In One Thermal, associé au primaire d’accrochage JetSpray Primer Plus. Le Système est destiné à l’isolation thermique et à l’absorption acoustique des parkings ouverts ou fermés de bâtiments commerciaux et d’habitations, des bâtiments de stockage y compris agricole, des passages couverts ou balcons fermés, mais également des vides sanitaires de constructions normalement ventilés, ainsi que des caves et garages de maisons individuelles. Le nouveau système proposé par Knauf Insulation permet d’optimiser l’action et la pose car le liant a été intégré dans les sacs directement sur la ligne de fabrication. Désormais, il y a 2 réferences au lieu de 3. Cet article Isolation des sous-faces par projection de laine de verre est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 331 jours

Ras le vol, un dispositif pour sécuriser les chantiers

La FFB Grand Paris Ile-de-France a mis en place le dispositif « Ras le vol » depuis 2008, en partenariat avec les Directions territoriales de la sécurité de proximité (DTSP). Il permet d’accompagner les entreprises adhérentes dans leurs démarches de sécurisation des chantiers. A l’approche de l’été, ce dispositif est d’autant plus important pour protéger les chantiers lors des congés.En collaboration avec le ministère de l’Intérieur, « Ras le vol » regroupe plusieurs outils permettant d’évaluer les risques sur le chantier, de choisir les mesures de protection adaptées, de recenser les matériels de valeur, de signaler un chantier sensible aux autorités grâce à un partenariat avec les forces de l’ordre, ou encore de réagir efficacement après un vol. Le service juridique de la Fédération se tient à disposition de ses adhérents pour les accompagner dans leurs démarches.« Il faut également prendre en compte les préjudices indirects des vols liés notamment aux retards de chantier » explique Philippe Servalli, Président de la FFB Grand Paris Ile-de-France et dirigeant de l’entreprise Saint Denis Construction. « Le dispositif « Ras le vol », mainte fois éprouvé, permet donc de gagner du temps en cas de vol mais également et avant tout de les éviter. »
Il y a 2 ans et 331 jours

Les futurs abords de Notre-Dame

Il y a 2 ans et 331 jours

Batimat, Interclima, Idéobain, les 83 nominés aux Awards de l’innovation sont connus

La liste des nominés a été publiée le 21 juin. Les jurys se réunissent physiquement du 22 au 24 juin pour choisir les meilleurs dans chaque catégorie. Les lauréats seront annoncés le 4 juillet.
Il y a 2 ans et 331 jours

Chauffage Watts présente ses solutions adaptées  à l’installation d’une PAC en neuf et en rénovation

Soutenue par les réglementations et dans un contexte de crise énergétique, la pompe à chaleur a le vent en poupe sur le marché du chauffage individuel. A l’horizon 2050, elle devrait même s’imposer comme la solution incontournable en remplacement des vieilles chaudières et équiper jusqu’à 9 maisons sur 10. Pour des installations de qualité alliant une […]
Il y a 2 ans et 331 jours

Nature, Ciselée ou Tradition : Les nouvelles gammes de portes d’entrée de la ligne Prestige d’AMCC conjuguent haute sécurité et esthétique dans l’air du temps

MONDIAL DU BÂTIMENT | HALL 6 | STANDS C050 & D032 Sur un marché en croissance (+ 7% en 2021), les portes d’entrée au design contemporain sont plus que jamais à l’honneur, même si celles au style plus classique restent une valeur sûre. Certes, l’esthétique constitue l’un des critères importants au moment de choisir sa […]