Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255873 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 331 jours

Bertrand Bedel, réélu président de la Fédération de l'industrie du béton

CARNET-NOMINATION. Il a passé de nombreuses années à travailler pour le spécialiste de la préfabrication de produits en béton, Alkern. Pour son nouveau mandat, il souhaite notamment promouvoir le zéro-déchet et le maillage dense des usines françaises.
Il y a 2 ans et 331 jours

VIPros Connect : L’animation commerciale démultipliée

Avec VIPros CONNECT, les leviers promotionnels disponibles sur vipros.fr sont désormais synchronisables avec les sites e-commerce des distributeurs spécialisés. L’objectif : faciliter l’acte d’achat des entreprises artisanales qui souhaitent profiter des offres VIPros. De la prescription… à la promotion des ventes Depuis son lancement, VIPros innove en permettant aux marques adhérentes d’aller au-devant des utilisateurs professionnels de leurs produits grâce à un dispositif mutualisé et totalement inédit ! Les offres “Cashback”, valables chez tous leurs partenaires distributeurs, sont venues compléter le programme de fidélité avec une dimension “animation commerciale”. Ces leviers promotionnels sont ainsi gérés au sein d’un seul et même dispositif, et permettent de réaliser un gain de temps précieux. La mesure des résultats en temps réel et l’optimisation des expériences successives permettent, en outre, une meilleure appréhension du marché. VIPros Connect : Un nouveau cap franchi avec des avantages concrets pour tous les acteurs du marché Grâce à VIPros CONNECT, les marques VIPros vont désormais pouvoir relayer leurs offres VIPros sur les sites e-commerce des distributeurs partenaires. Elles vont ainsi démultiplier les effets, gagner de nouveaux clients et renforcer les liens entre les différents acteurs. Les entreprises artisanales inscrites sur vipros.fr bénéficient d’une plateforme centralisée, multi- marque et multi-enseigne, qu’elles peuvent facilement appréhender. Leurs démarches en sont simplifiées et leurs avantages en VIPoints de fidélité ou en cash sont crédités plus rapidement. Les distributeurs spécialisés peuvent, quant à eux, profiter de la dynamique des offres VIPros en l’intégrant pleinement à leurs sites e-commerce, sans modifier leurs accords commerciaux avec leurs fournisseurs. Conscientes de l’intérêt de cette nouvelle opportunité commerciale, plusieurs enseignes e-commerce ont d’ores et déjà manifesté leur intérêt pour la plateforme vipros.fr et ont entrepris la phase opérationnelle qui conduit à la synchronisation des offres promotionnelles VIPros sur leurs propres pages produits. Une démarche que les marques VIPros espèrent déployer auprès du plus grand nombre de distributeurs spécialisés, dans une logique de partenariat et de dynamisation du marché.
Il y a 2 ans et 331 jours

Bertrand Bedel, réélu à la présidence de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB)

Après une formation bâtiment et génie civil, Bertrand Bedel a commencé sa carrière en qualité de conducteur de travaux chez Cipec puis créé sa propre entreprise générale de bâtiment. Après deux années au sein du groupe Point P, c’est en 1983 qu’il débute sa carrière dans l’industrie des produits en béton en rejoignant Premat Yonne, qui intégrera en 1989 le groupe Alkern. Pendant 36 ans, il a occupé plusieurs postes au sein du groupe Alkern, puis sa présidence jusqu’en avril 2019, date à laquelle il a rejoint son conseil de surveillance. Parallèlement, Bertrand Bedel a présidé entre 2001 et 2007 FIB Nord Pas-de-Calais et Picardie. Sa nouvelle feuille de route s’inscrit dans la continuité de la mobilisation de la FIB, au travers des travaux initiés pour faire valoir : La réponse des solutions préfabriquées en béton aux exigences de la RE2020 pour favoriser la sobriété du bâti, avec un faible impact carbone, d’excellentes performances thermiques du bâti et un meilleur confort des occupants en été, une fabrication en usine permettant d’optimiser leurs sections et leur masse dont la diminution contribue directement à réduire l’impact carbone et des FDES pour la majorité des produits pour évaluer l’empreinte environnementale des ouvrages.La dynamique d’écologie territoriale d’une industrie de proximité, avec un maillage très dense d’usines partout en France et des industriels ancrés dans les territoires, dans une logique de création de valeur locale et durable, de traçabilité des matériaux sur l’ensemble de la chaîne de production. L’inscription de l’Industrie du Béton dans l’économie circulaire, dans un logique de circuits courts, de chantiers propres, zéro déchet, aux nuisances réduites pour les personnels et les riverains, avec l’emploi de matériaux décarbonés ou recyclés, de co-produits industriels issus de réemplois ou de matériaux agro-sourcés 100 % recyclables et une réponse innovante aux nouveaux modes de conception, construction et déconstruction sélective.La participation aux travaux d’ECOMINERO, l’éco-organisme de la filière minérale, dont la FIB est membre fondateur, pour fournir des solutions optimisées et adaptées pour la reprise des déchets inertes du bâtiment, dans le cadre de la mise en place de la REP (Responsabilité Élargie du Producteur).La Fédération de l’Industrie du Béton (FIB) concourt en France à la promotion des intérêts des industriels fabricants de produits en béton et assure la représentation de ce secteur industriel auprès des pouvoirs publics, des collectivités locales et de l’environnement professionnel. Elle représente 100 % d’entreprises françaises TPE, PME et PMI, un maillage territorial d’industriels très dense, des entreprises industrielles locales créatrices de richesse et d’emplois locaux directs non délocalisables. L’Industrie du Béton représente en France461 entreprises 722 sites de production répartis partout en France96 % de PME-PMI françaises ancrées dans les territoires2,8 milliards d’€ de chiffre d’affaires, départ usine, hors taxes et hors transport, dont :67,4 % à destination du bâtiment32,6 % à destination des travaux publics et du génie civil20 millions de tonnes de produits en béton 19 200 emplois directs et non délocalisables Le 1er employeur des industries de la branche carrières et matériaux de constructionUne proximité de livraison sur les chantiers : entre 30 et 100 km pour la plupart des produits Une proximité des matières premières : pas plus de 50 km en moyenne d’une usineUn réseau 100 % local de production au plus près des marchés
Il y a 2 ans et 331 jours

L’usine Lafarge La Malle passe à la biomasse

Dans la poursuite de sa stratégie de réduction de ses émissions de carbone, la cimenterie Lafarge de La Malle a investi près de 1 M€ supplémentaire dans ses équipements. [©Lafarge] Après avoir investi 10 M€ au cours des deux dernières années pour améliorer sa performance environnementale, l’usine de La Malle, implantée à Bouc-Bel-Air (13), poursuit sa stratégie de réduction de ses émissions de carbone. Pour cela, elle investit près de 1 M€ supplémentaire dans ses équipements. Objectif : accueillir la fine de bois, un nouveau combustible non soufré issu de l’économie circulaire. Ainsi que de baisser de 10 % les émissions de soufre grâce à l’utilisation de combustibles plus vertueux. L’exploitation des déchets de bois provenant du bâtiment – et en particulier la fine de bois, inutilisable pour d’autres usages – dans le processus cimentier a été lancée en 2018. Il y a encore quelques années, entre 3 et 4 Mt/an de déchets de bois étaient enfouis sans valorisation. En 2021, la cimenterie a utilisé 41 % de combustibles alternatifs. L’objectif, d’ici à 2030 est de parvenir à des processus de combustion intégrant 65 % de déchets. Une valorisation vertueuse Cette valorisation est vertueuse à plusieurs égards : réduction de l’élimination des déchets ou de leur mise en décharge ;limitation des quantités de bois enfouies et, en conséquence, des émissions de méthane liées à leur décomposition ;baisse du recours au coke de pétrole, énergie fossile non renouvelable ;renforcement de l’économie circulaire. Ces déchets abondants se situant souvent à proximité des cimenteries, ils n’entraînent pas de trafic et de transport importants Travaux en cours La cimenterie Lafarge de La Malle s’est engagée, le 29 avril dernier, à exploiter son site sans dérogation administrative “SO2” en 2023. Impliquant de facto une baisse de ses émissions de soufre venant des argiles transformées sur le site. Mais aussi des combustibles utilisés pour chauffer le four de la cimenterie. L’usine La Malle s’est entourée d’entreprises régionales pour la conception et la réalisation de l’ensemble du génie civil, afin de pouvoir transporter, doser, sécuriser et injecter ce produit dans le four n° 1. La charpente est déjà en cours de construction pour une mise en service des injections de bois dans le mix combustible fin août 2022. Le four n° 2 de l’usine étant, quant à lui, déjà passé en phase d’essai. Puis, de développement à un système permettant d’utiliser ce nouveau combustible. 20 000 t/an de fines bois Avec une consommation prévisionnelle de l’ordre de 20 000 t/an de fines bois, la cimenterie apporte une solution circulaire pour le traitement final de déchets qui étaient auparavant non valorisés. Pour Pascal Baudoin, directeur de la cimenterie : « La Malle s’affirme comme un maillon clef de l’économie circulaire industrielle du territoire. Dans le cadre de notre feuille de route environnementale et de notre objectif de neutralité carbone, nous avons investi dans ce levier d’avenir. Qu’est la valorisation des déchets de bois du bâtiment, dans leurs fractions les plus fines qui restaient jusqu’à aujourd’hui difficiles à valoriser ».
Il y a 2 ans et 331 jours

Cembureau, ravi de l’ajustement du carbone aux frontières de l’UE

[©Eurostat] L’Association européenne du ciment, Cembureau se félicite de l’adoption des rapports du Parlement européen sur le système européen d’échange de quotas d’émission (ETS). Ainsi que sur le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières de l’Union européenne (CBAM). « Notre secteur a besoin d’un cadre réglementaire cohérent et prévisible pour concrétiser ses ambitions de neutralité carbone, rappelle Koen Coppenholle, président du Cembureau. Les textes qui viennent d’être adoptés offrent des améliorations significatives sur des questions clefs, que nous saluons. Celles-ci concernent aussi bien le renforcement du CBAM que l’inclusion des émissions indirectes. Ou encore la nécessité d’une solution d’exportation solide pour les secteurs CBAM et l’inclusion de l’incinération des déchets dans l’EU ETS. » Toutefois, Cembureauregrette que le compromis trouvé suggère de retarder d’un an la mise en œuvre de CBAM, à un moment où les importations de ciment de l’Union européenne augmentent de façon exponentielle… Financer l’innovation En effet, les données d’Eurostat montrent que ces importations ont grimpé de 300 % au cours des cinq dernières années (2016-2021). Ceci, avec des pics spécifiques lorsque le prix du carbone était au plus haut (+ 25 % en 2020 et + 54 % en 2021). Les données disponibles pour les trois premiers mois de 2022 révèlent une nouvelle augmentation de + 47 % par rapport à la même période en 2021. Dans ce contexte, Cembureau préconise la mise en place d’un CBAM “étanche”. Ainsi qu’une mise en œuvre réaliste en ce qui concerne la suppression progressive de l’allocation gratuite. Lire aussi : Shift Project – Réduire son empreinte carbone « Dans la perspective des discussions trilogues1, nous appelons les négociateurs à renforcer davantage le CBAM. Et à convenir de son introduction en temps opportun, reprend Koen Coppenholle. Nous pensons aussi que notre industrie a besoin d’un cadre réglementaire de soutien pour la capture du carbone et pour son utilisation. Par exemple, à travers le financement de l’innovation et des règles de comptabilisation équitables du CO2. En effet, les projets de captage, d’utilisation et de stockage du carbone (CCUS) du secteur cimentier européen sont essentiels dans la décarbonisation de notre industrie. » 1Réunions tripartites informelles sur des propositions législatives entre des représentants du Parlement, du Conseil et de la Commission européenne.
Il y a 2 ans et 331 jours

Lyon-Turin : le blocage français risque de faire perdre les aides européennes

GRAND PROJET. La menace plane déjà depuis quelques jours au-dessus du projet de liaison ferroviaire entre Lyon et Turin : faute de décision rapide concernant la réalisation des accès français au tunnel transfrontalier, l'Europe n'attribuera pas de financements au moins jusqu'en 2027. Invitée à participer à l'assemblée générale de l'association La Transalpine, le 28 juin 2022, la coordinatrice européenne Iveta Radicova a dénoncé l'immobilisme du Gouvernement français.
Cimbat
Il y a 2 ans et 331 jours

Gamme LSS de Dény Security : une offre complète de serrures de haute sécurité pour répondre à tous les besoins et toutes les configurations

Spécialiste de la sécurisation des accès, Dény Security dispose d’un savoir-faire reconnu dans la protection de tous types d’installation. Pour garantir un niveau de sécurité élevé à tous les sites, des plus simples au plus exigeants et ce quels que soient les secteurs (tertiaire, industriel…), le fabricant français enrichit aujourd’hui sa gamme de serrures LSS avec de nouvelles versions mécaniques. Une gamme universelle de haute sécurité D’une grande fiabilité, la gamme LSS de Dény Security se compose de serrures multipoints équipées d’un cylindre à profil européen ou d’un cylindre à profil rond Dény. Elles sont dotées de 2 à 9 points latéraux de fermeture selon les besoins (assurés par des pênes dormants ronds de 22 mm) et d’un pêne demi-tour anti-rebond qui maintient la porte fermée en cas de coupure de courant. Offrant un niveau de sécurité élevé, les serrures LSS sont autoprotégées, c’est-à-dire indémontables porte fermée. De même, leurs pênes anti-sciage assurent une protection efficace contre toute tentative d’effraction Entièrement réversibles (gauche/droite, tirant/poussant) sans démontage, les serrures de la gamme LSS, tout inox, s’installent en applique sur tous types de porte bois, métal, alu ou PVC, pleine ou profil étroit, grâce à leurs deux largeurs d’encombrement (60 mm ou 90 mm). Certifiées EN1627 – EN1630 quand elles sont mises en œuvre sur des bloc-portes blindés des fabricants partenaires de Dény Security (Afimès, Doortal, Eliot, Baumert…), les serrures possèdent alors une résistance à l’effraction allant du niveau CR4 à CR6.   Une réponse fiable pour tous Jusqu’ici disponible uniquement en version motorisée, la gamme LSS se décline désormais également en mode : – mécanique avec un mode de fonctionnement standard (verrouillage de la serrure à la clé de chaque côté) ou sortie libre côté intérieur en appuyant sur la béquille ou en tournant le bouton, – mécanique à éjection de pêne automatique qui bénéficie des mêmes caractéristiques avec, en plus, un re-verrouillage automatique de la serrure à chaque fermeture de porte. A béquille ou à bouton, ces nouvelles références mécaniques, donc sans tirage de câble, s’avèrent idéales pour offrir la sécurité d’une serrure multipoints aux sites isolés ou aux installations n’exigeant pas un haut niveau sécuritaire.   LSS motorisée une protection optimale pour les sites à hauts risques Dans sa version motorisée, la serrure LSS de Dény Security apporte encore plus de possibilités grâce à trois modes de fonctionnement : – standard où la béquille n’actionne que le pêne demi-tour, – sortie libre mécanique côté intérieur par béquille ou bouton, – sortie libre condamnée électriquement avec une béquille contrôlée côté intérieur. En « sortie libre » et condamnée, la serrure LSS motorisée fonctionne en sécurité négative permettant de garantir un verrouillage permanent même en cas de coupure de courant, tout en autorisant une évacuation en cas d’urgence grâce à la sortie libre. Intelligente grâce à sa carte électronique de gestion intégrée, elle peut également disposer, en option, d’un sur-verrouillage qui interdit toute manœuvre de la serrure, un point technique spécifique au milieu bancaire. Il est également possible de raccorder plusieurs serrures LSS motorisées pour réaliser des fonctions de SAS. Avec les nouveaux modèles mécaniques de la serrure LSS, Dény Security propose ainsi une gamme complète pour protéger efficacement et durablement n’importe quel site, sensible ou non, quelles que soient les configurations. Une version homologuée NFS 61-937 complète la gamme et autorise leur installation, dans les Etablissements Recevant du Public, sur les portes d’issues de secours en tant que Dispositif Actionné de Sécurité (D.A.S.). http://www.deny-security.com
Il y a 2 ans et 331 jours

Des solutions de logistique urbaine pour les flux de chantiers

Le séminaire « Chantier et logistique urbaine durable » qui s’est déroulé à Paris le 28 juin a présenté quelques solutions d’optimisation des flux d’approvisionnement des chantiers et d’évacuation de leurs déchets en milieu urbain.
Il y a 2 ans et 331 jours

Jouplast présente son nouveau profilé Profildeck H27 pour terrasse

Garantissant la résistance et la durabilité des terrasses en dalles, bois ou composite, ce profilé de 27 mm de haut est particulièrement adapté aux chantiers avec de faibles hauteurs de réserve et à la rénovation.Une structure autoportante unique pour 2 applicationsSur un chantier, on ne dispose pas toujours de la réserve suffisante, du fait de la hauteur des seuils de porte, pour créer une structure de terrasse dans les règles de l’art. Il est donc impératif de s’assurer, dès le début du projet, qu’on pourra mettre en œuvre une structure adaptée, robuste et durable. Fabriqué en France, le nouveau PROFILDECK® H27 JOUPLAST® est un profilé bi-face innovant de 27 mm de haut, qui convient à la pose sur plots de terrasses en dalles comme de terrasses en bois ou en composite avec de faibles hauteurs de réserve.D’une seule pièce de 3 m linéaires, ce profilé 100 % aluminium dispose d’un côté spécifique pour accueillir les écarteurs nécessaires à la pose de dalles et d’un côté pour le vissage des lames bois ou pour les clips des lames composites. Grâce aux adaptateurs compatibles, le PROFILDECK® H27 s’ajuste aussi bien sur un plot dalle que sur un plot bois de la gamme « Essentiel » JOUPLAST®. Utilisé côté dalles, le profilé est parfaitement adapté à la pose de grands formats (120 x 120 cm) ou de faibles largeurs (20 x 120 cm, 30 x 120 cm…).Utilisé côté bois, le profilé, accompagné de sa bande anti-condensation pour lambourde, contribue à prolonger la durée de vie d’une terrasse bois.Léger, facile à mettre à œuvre et à découper, le profilé bi-face PROFILDECK® H27 JOUPLAST® permet également de mixer les matériaux (bois-dalle). Profilé PROFILDECK® H27 JOUPLAST® Profilé aluminium bi-face Dimensions : L 3 m x H 27 mmHauteur totale face dalle : profilé + adaptateur + bande caoutchouc = 35 mm Hauteur totale face bois : profilé + adaptateur + bande anti-condensation = 33 mm Poids : 2,5 kg (835 g/mètre linéaire) Résistant aux températures entre – 30 °C et + 60 °C 100 % recyclablePrix public indicatif : à partir de 50 € TTCPoints de vente : négoces, grandes surfaces de bricolageJOUPLAST® propose également le profilé PROFILDECK® H55 : L 3 m x H 55 mm
Il y a 2 ans et 331 jours

Une alternative efficace aux revêtements métalliques conventionnels

Armacell propose Arma-Chek® Silver comme alternative aux revêtements métalliques conventionnels. Ce système de revêtement, facile à installer, intègre la solution d’isolation thermique AF/ArmaFlex®, qui se distingue par son excellente résistance à la diffusion de la vapeur d’eau qui permet de minimiser au maximum la conductivité thermique et le risque de corrosion. La solution intègre également la protection antimicrobienne active Microban®. Elle s’impose comme une alternative efficace aux revêtements métalliques conventionnels, il s’agit d’un isolant léger et flexible, qui contribue à éviter la corrosion sous l’isolation, éliminant la corrosion galvanique et offrant une efficacité énergétique optimale à long terme. Le revêtement retrouve sa forme d’origine après avoir été soumis à une pression ou un impact. Le revêtement Arma-Chek® Silver est particulièrement recommandé pour les installations dans le secteur de l’industrie alimentaire. Cet article Une alternative efficace aux revêtements métalliques conventionnels est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 331 jours

Frédéric Didier, directeur général de Wienerberger France, nouveau président de la FFTB

Frédéric Didier a été élu lors du conseil d'administration de la Fédération Française des Tuiles et Briques le 21 juin. Il succède à Laurent Musy, CEO du groupe Terreal.
Il y a 2 ans et 331 jours

L'autorité organisatrice de l’Habitat, un pas de plus vers la différenciation

En tant qu'autorités organisatrices de l’Habitat, les EPCI éligibles pourront adapter les politiques nationales aux spécificités de leurs territoires.
Il y a 2 ans et 331 jours

Vestack lève 10M€+ pour devenir un leader de la construction bas-carbone

“Une révolution technologique est nécessaire pour réconcilier la construction durable et le logement abordable” affirment Sylvain Bogeat, Nicolas Guinebretière et Jean-Christophe Pierron, co-fondateurs de Vestack.Ce nouveau tour de table de plus de 10 millions d’euros est mené par le premier fonds de private equity à Impact de Mirova, affilié de Natixis Investment Managers dédié à la finance durable, accompagné de Ring Mission, le fonds VC Impact de Ring Capital, et Karista via le Paris Region Venture Fund. Il permettra à la société d’accélérer :Le développement de nouvelles fonctions de son logiciel de conception digitale,Les travaux de R&D sur le système constructif et la commercialisation de nouveaux produits,L’accroissement de la capacité de production, en finançant l’ouverture de nouveaux sites d’assemblage et en nouant des partenariats de sous-traitance.Ces développements permettront à Vestack de devenir un leader technologique de la conception-construction de bâtiments bas-carbone.Vestack avait été accompagnée par le Paris Region Venture Fund lors d’une précédente levée de fonds en 2020, qui a permis à la société de développer sa solution de conception-réalisation, et d’ouvrir un premier site d’assemblage en Seine et Marne. La société a construit ses premiers projets et a signé près d'une vingtaine de contrats dans un marché en pleine expansion sous l’effet de la réglementation RE2020.Vestack s'appuie sur une technologie de conception digitalisée et une construction modulaire pour transformer la façon dont nos villes sont construites. L’entreprise permet ainsi à ses clients promoteurs de construire des bâtiments avec une empreinte carbone trois fois inférieure, deux fois plus rapidement, et sans aucun surcoût par rapport à une construction traditionnelle. La Greentech1 construit des bâtiments dédiés à du résidentiel collectif, des logements et du tertiaire (bureaux, crèches) allant jusqu’à cinq étages. Fondée en 2019, la société compte désormais une quarantaine d’employés sur ses différents sites en Île de France.La solution développée par Vestack s’appuie sur deux innovations. D’une part, l'entreprise a développé un logiciel facilitant la conception d’un jumeau numérique du bâtiment (Building Information Model)2 qui est ensuite décliné en instructions de production. Cette démarche design for manufacturing3 permet d'anticiper les spécificités de la construction modulaire, dès les premières esquisses de l'immeuble. Le groupe réalise d’autre part la construction hors-site des modules sous forme de panneaux de planchers et de murs en matériaux biosourcés.Les gains de productivité générés par la digitalisation, l’industrialisation et la robotisation absorbent les surcoûts liés à l’utilisation de matériaux plus respectueux de l’environnement. La construction modulaire favorise également l’écoconception des bâtiments grâce à l’optimisation de l’utilisation des ressources et à la réduction des flux logistiques, comme en témoignent les multiples labels accordés à la solution. La construction hors-site réduit également les nuisances liées aux chantiers, dont la durée est divisée par deux.Joanna Parent, Directeur des investissements au sein du premier fonds de Private Equity Impact de Mirova déclare : “L’objectif de la stratégie4 de capital investissement à impact environnemental de Mirova est d’accélérer le passage à l'échelle de solutions environnementales innovantes et positivement impactantes. Un quart des émissions de gaz à effet de serre mondiales et 75 % des déchets sont liés au secteur du bâtiment5. La problématique à laquelle s’adresse Vestack est cruciale pour maîtriser nos émissions de carbone dans les prochaines années et nous sommes particulièrement heureux de les accompagner”.Charlotte Lafont, Principal, Ring Mission : “La mission de Vestack qui consiste à démocratiser la construction bas carbone en réconciliant, respect de l'environnement, impact social en réponse à la crise du logement et enjeu économique lié à la compétitivité des solutions bas carbone par rapport aux constructions traditionnelles s'inscrit parfaitement dans la thèse de Ring Mission. Nous sommes ravis de nous associer à Karista et Mirova pour accompagner Vestack dans cette ambition."Benjamin Zerbib, Directeur d’Investissement, et Yvan-Michel Ehkirch, Managing Partner, Karista : “nous sommes fiers d’accompagner depuis 2020 Vestack avec la Région Ile-de-France dans sa mission de devenir un leader de la construction bas carbone. Ces nouveaux moyens doivent permettre d’accroitre les capacités de production et confirmer le positionnement de Vestack comme acteur incontournable du secteur. Nous sommes ravis d’accueillir Mirova et Ring pour cette nouvelle phase."
Il y a 2 ans et 331 jours

L'OPPBTP lance une étude pour améliorer les conditions de travail des charpentiers

Cette étude métier porte sur les conditions de travail d’une activité spécifique représentative du métier de charpentier en construction bois : la construction de maison individuelle avec murs à ossature bois.
Il y a 2 ans et 331 jours

Le robot qui trace les plans directement au sol des chantiers

Mis au point par Dusty Robotics, le robot Fieldprinter est guidé par le modèle BIM du projet. Il imprime ainsi les plans d’aménagement sur les dalles fraichement achevées.
Il y a 2 ans et 331 jours

Podcast #14 – Les Pavin de Lafarge : De la monarchie à l’industrie

Article initialement publié en 2008 Ils sont deux frères. Deux frères qui ont choisi d’exploiter la carrière familiale plutôt que de suivre les usages de leur milieu social, ceux des propriétaire fonciers gérant leur patrimoine tout en profitant du bon temps. Léon Pavin de Lafarge1 a 26 ans en 1833. Alors que sa formation de polytechnicien lui ouvre de nombreuses perspectives, il choisit de prendre la direction de la carrière familiale acquise quelques années plus tôt par son aïeul. L’usine comporte deux fours. Léon décide d’en construire trois nouveaux plus hauts et plus productifs. La petite affaire familiale prend rapidement de l’essor. Léon use de ses relations, des anciens camarades de polytechnique devenus ingénieurs du Génie Maritime et des Ponts et Chaussées. La chaux de Lafarge est utilisée à la construction de ponts de la vallée du Rhône, est livrée dans les ports de Méditerranée… Léon Pavin de Lafarge. [©Lafarge] Décembre 1839. L’affaire marche bien lorsque Léon décide d’arrêter et de passer la main à son frère cadet, Edouard, un jeune autodidacte au sens inné des affaires. Un abandon de courte durée puisque Edouard et Léon s’associent en 1848 pour créer la Société de Lafarge Frères. Acquisitions de carrières, création d’antennes, ouvertures d’agences en France… En 1864, la réputation de la chaux de Lafarge traverse le bassin méditerranéen et les frères Pavin fournissent 110 000 t de chaux pour le canal de Suez. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 331 jours

Cérib : Journées Expertise & Construction 100 % digitales

Les Journées Expertise & Construction, le rendez-vous de référence de l’innovation pour tous les acteurs de la construction [©Cérib] Du 4 au 7 juillet prochain, le Cérib organise ses Journées Expertise & Construction dans un format 100 % digital pour la 2e année consécutive. Ce rendez-vous de référence de l’innovation permet de partager avec l’ensemble des acteurs de la construction les connaissances techniques et scientifiques du Cérib. Et d’échanger autour des grandes thématiques qui font l’actualité du secteur. Au programme de cette 7e édition : 5 conférences thématiques. Mais aussi des temps de partage pour questionner, débattre et échanger en direct. Les conférences seront accessibles aux jours et horaires indiqués dans le programme, depuis la chaîne Youtube du Cérib. D’une durée de 20 à 30 mn, elles seront suivies de temps d’échanges en direct. A l’issue des Journées Expertise & Construction, les conférences seront disponibles en rediffusion. Lundi 4 juillet • De 10 h 00 à 11 h 30BBClic® 2020 : un démonstrateur pour positionner les solutions préfabriquées en béton pour la RE 2020Conférence animée par Nicolas Tinseau (Cérib) et Dominica Lizarazu (Perin & Cie) Mardi 5 juillet • De 10h 00 à 11 h 30Incendie en tunnel : justifier le niveau de sécurité de vos ouvragesConférence animée par Bérénice Moreau (Cérib) et Christophe Tessier (Cérib) • De 14 h 00 à 15 h 30 L’utilisation de l’approche performantielle de la durabilité en contexte opérationnelConférence animée par Blandine Albert (Lafarge France) et Jonathan Mai-Nhu (Cérib) Mercredi 6 juillet • De 10 h à 11 h 30Et si la formation était la solution pour une filière performante et innovante aujourd’hui et demain ?Conférence animée par Aline Gouhier (Cérib), Isabelle Filannino (Cérib) et Marc Dennery (C-Campus) Jeudi 7 juillet • De 10 h 00 à 11 h 30La métrologie 4.0 au service de l’industrie du bétonConférence animée par Kais Mehiri (Cérib) et Nicolas Tempête (Cérib).
Il y a 2 ans et 331 jours

La filière de recyclage des déchets du BTP lancée en 2023

La filière chargée du recyclage et du réemploi des déchets issus des produits et matériaux du bâtiment sera opérationnelle "dès le début de l'année 2023", a annoncé le ministère de la Transition écologique le 22 juin.
GDA
Il y a 2 ans et 331 jours

Un projet de végétalisation sur l'esplanade de La Défense débutera en 2024

Aujourd'hui, 35% de l'espace piétonnier du quartier d'affaires, long de 600 m, est végétalisé. Avec ce projet conçu par l'architecte-paysagiste Michel Desvigne, l'objectif est de porter cette part à 60% de l'esplanade, selon le directeur général de Paris La Défense, Pierre-Yves Guice."L'idée est de garder la cohérence du projet d'origine de Dan Kiley imaginé en 1972 en ajoutant des strates de végétalisation pour en faire un vaste parc sur dalle", a indiqué le paysagiste lors de la conférence de presse de présentation.Pour le président LR du département des Hauts-de-Seine qui finance le projet, Georges Siffredi, "le parvis minéral va connaître un changement radical" car cette "dalle de béton laissera la place à des ilots verts et de fraîcheur".L'esplanade a été bâtie sur des ouvrages du RER A, la ligne 1 du métro et l'autoroute A14.Entre les bassins Agam (au centre de l'esplanade) et Takis (en bas) et au pied des 450 platanes plantés il y a cinquante ans, des "strates intermédiaires" seront créées avec des arbres de mi-hauteurs, des grands parterres de plantes, une pelouse, des arbustes ou des haies."On veut révéler un jardin totalement méconnu de la région parisienne, qui reste fidèle à Dan Kiley et aux jardins classiques à la française", a détaillé le paysagiste Michel Desvigne, qui ne s'est "pas orienté vers une forêt urbaine" avec de grands arbres pour ne "pas occulter l'espace et tout le bâti", les tours du quartier d'affaires. Ce jardin se trouvera dans l'axe historique tracé par le jardinier de Louis XIV, André Le Nôtre, avec les deux autres jardins emblématiques des Tuileries et des Champs-Elysées.A partir de 2024, le projet "historique et qui va considérablement changer le quotidien des usagers", soit les 180.000 salariés et 42.000 habitants, sera "livré par séquences", a précisé le directeur général Pierre-Yves Guice.
Il y a 2 ans et 331 jours

Accidents de la main au travail : les équipements de protection individuelle garants de la sécurité

L’épisode caniculaire que nous venons de traverser à mis les organismes à rude épreuve et particulièrement pour les personnes contraintes de travailler en extérieur. Si la législation assouplit les règles en matière de chaleur, il y a un domaine sur lequel elle ne transige pas : Les équipements de protection individuelle (EPI), destinés à les protéger […]
Il y a 2 ans et 331 jours

TRAKMY ET L’AUXILIAIRE protègent les engins de chantiers zéro émission

Selon la Fédération Française du Bâtiment, Le coût des vols sur les chantiers est évalué à 1% du chiffre d’affaires du secteur, soit un milliard d’euros [1]. Une tendance renforcée par la récente flambée du prix des matières premières [2]. Pour contrer ce fléau, la start-up TRAKmy, experte de la géolocalisation depuis 2019, sécurise les […]
Il y a 2 ans et 331 jours

Inauguration : la fabrique du numérique du territoire intelligent ouvre ses portes à Angers

La Fabrique numérique du territoire intelligent vient d’ouvrir ses portes à Angers, en présence de Christophe Béchu, Maire et Président d’Angers Loire Métropole. Lieu de pédagogie et de co-construction des services de demain en matière de territoire intelligent et durable, cette Fabrique est un centre de partage entre les citoyens, les équipes d’Angers Loire Métropole […]
Il y a 2 ans et 331 jours

Solar Decathlon Europe 2022 : les français sur le podium

Initié en 2002 par le département américain de l’énergie, le Solar Decathlon a été créé en tant que compétition étudiante de niveau universitaire avec une vision claire : créer des solutions vivantes accessibles à base d’énergie propre pour nous sur cette planète. Dès le départ, le Solar Decathlon a mis au défi des équipes universitaires de […]
Il y a 2 ans et 331 jours

Une ferme devenue équipement culturel dans le Nord, par Pierre Audat et KLV2D

Au sommaire du numéro d'AMC spécial Intérieurs qui vient de paraître (n°306 - juin, juillet 2022) et disponible en format numérique : une enquête sur le commerce, entre deux mondes, entre boutiques réelles et e-commerce, mais aussi la mue du musée de Cluny, un portrait de l'agence MBL et une visite de la biennale […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 331 jours

33 finalistes pour le grand Prix d’Architectures 10+1 2022

Pour sa quatrième édition, le Prix d’architectures 10+1 récompensera onze réalisations construites en France depuis une année. Elles devront avoir été livrées avant septembre. L’une d’elles sera distinguée et recevra le Grand Prix d’architectures. Le jury choisira les réalisations les plus exemplaires dont les réponses lui paraissent les plus représentatives des enjeux architecturaux actuels. Il n’y a pas de catégories; le choix se fait indépendamment du programme...
Il y a 2 ans et 332 jours

Le rêve de la recharge solaire pour les voitures électriques

Sous le soleil brûlant du nord de l'Espagne, la "0", premier modèle de série de la start-up Lightyear, engrange assez d'énergie solaire pour parcourir chaque jour plus de 70 kilomètres gratis. Son capot avant et son long toit sont couverts de cinq mètres carrés de panneaux solaires.Ses fondateurs, de jeunes ingénieurs hollandais, ont gagné plusieurs courses à l'énergie solaire dans le désert australien. Profitant de la baisse des prix des panneaux photovoltaïques et des batteries, ils tentent d'appliquer cette technologie aux voitures de tous les jours.La carrosserie très aérodynamique de la "0" et ses moteurs intégrés aux roues lui permettent de consommer moins d'énergie que les SUV électriques qui dominent le marché et d'afficher une autonomie de 625 kilomètres pour une charge. En roulant peu, on pourrait ainsi ne la brancher que l'hiver, promet la marque."L'heure tourne: nous devons rouler durable dès que possible", souligne l'un de ses fondateurs, Lex Hoefsloot, à l'AFP. "Les bornes de recharge restent un obstacle majeur. Si nous n'en avons pas besoin, nous pourrons changer d'échelle bien plus vite."Lightyear a placé la barre très haut avec ce premier modèle construit à moins de 1.000 exemplaires et affichant un tarif de Bentley, à 250.000 euros. Une version abordable, autour de 30.000 euros, est annoncée pour 2024-2025.Trajets quotidiensAlors que le marché des voitures électriques explose, plusieurs modèles dotés de panneaux solaires sont attendus dans les prochains mois. Toyota proposait déjà des panneaux sur son hybride Prius (en option) et sur sa toute première voiture 100% électrique, la BZ4X. Idem pour le prototype de pick-up de Tesla, prévu pour 2023.Mercedes a équipé de cellules photovoltaïques le toit son luxueux prototype EQXX qui, avec le même profil effilé que la Lightyear, promet 1.000 kilomètres d'autonomie.Selon le chercheur américain Gregory Nemet, "les panneaux photovoltaïques sont devenus si bon marché que, même dans des zones peu ensoleillées, ça vaut le coup d'en mettre"."Même si un toit de voiture ne peut pas charger entièrement la batterie en un jour, il peut engranger assez d'énergie pour vous ramener de votre travail à votre domicile", signale ce spécialiste de l'énergie à l'université du Wisconsin.Avec quelques centaines d'euros supplémentaires par voiture, l'énergie solaire pourrait au minimum compenser l'usage de la climatisation, analyse Gautham Ram Chandra Mouli, spécialiste de la mobilité électrique à l'université de Delft (Pays-Bas).Attention cependant à l'endroit où l'on se gare, prévient l'expert: la voiture ne se recharge évidemment que si elle est à l'extérieur, et beaucoup moins l'hiver. En outre, elle se recharge bien mieux près de l'Equateur qu'en Europe du Nord.Sous le soleil de Californie, la start-up Aptera affiche de son côté 25.000 précommandes pour son premier modèle prévu pour la fin de l'année, une petite voiture à trois roues et deux places. Selon les versions, facturées entre 26.000 et 46.000 dollars, elle affiche entre 400 et 1.600 kilomètres d'autonomie.Un autre modèle solaire bien plus classique, mais aussi abordable et ambitieux, est attendu en Allemagne fin 2022: la Sion. Cette compacte dotée de cinq places est cubique et toute noire, car intégralement couverte de panneaux solaires."Nous avons développé une technologie qui permet de couvrir toute la voiture", explique Jona Christians, codirecteur de la grosse start-up allemande qui l'a imaginée, Sono Motors. Avec 18.000 précommandes enregistrées, ils prévoient de produire 260.000 voitures d'ici à 2030.La Sion intègre le système "Vehicule-to-Grid", qui permet à sa batterie chargée de restituer de l'électricité au réseau quand le soleil ne brille plus.Le petit constructeur compte aussi vendre sa technologie solaire à d'autres, comme le groupe français de remorques frigorifiques Chéreau.Une autre marque hollandaise, Squad Mobility, compte lancer des voitures solaires sans permis en 2023.Son patron Robert Hoevers, un ancien de Lightyear, voit dans le soleil l'avenir des voitures: "Les panneaux deviendront encore moins chers, les moteurs électriques plus efficaces: tôt ou tard, on roulera tous les jours à l'énergie solaire."
Il y a 2 ans et 332 jours

SNCF Réseau conclut deux contrats de renouvellement de rails

FERROVIAIRE. SNCF Réseau poursuit son programme de renouvellement des voies ferrés et a attribué deux nouveaux contrats pluriannuels en ce sens.
Il y a 2 ans et 332 jours

Le "bouclier loyer" validé par le Conseil national de l'habitat

Alors que la question du pouvoir d'achat s'impose dans les débats, le dispositif du "bouclier loyer" par le gouvernement sera inscrit dans le projet de loi de finances rectificative, à voter cet été par le Parlement.Il doit durer un an et se veut "une mesure juste qui protège le pouvoir d'achat des locataires et les propriétaires qui doivent continuer à investir pour la rénovation énergétique de leur logement malgré l'inflation", selon la ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires, Amélie de Montchalin sur Twitter.Dans la matinée, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire avait qualifié cette mesure de "meilleur compromis pour tous". Cela "permet de garantir qu'on va continuer à construire", avait-il plaidé sur BFM-TV.Alors que l'indice de référence des loyers pourrait atteindre environ 5,5% d'ici la fin de l'année et être plus élevé encore au cours du premier semestre 2023, si la mesure s'appliquait les loyers pourraient au maximum augmenter de 3,5%, pendant un an.Invité à se prononcer sur ce dispositif, le Conseil national de l'habitat (CNH), instance regroupant les acteurs du logement, l'a validé lundi après-midi.Encadrer momentanément la hausse des loyers est une approche "raisonnable", "on considère que tout le monde fait un effort", a réagi Jean-Marc Torrolion, président de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim). "Le pari est raisonnable", selon lui, "le temps que l'inflation diminue et il permettra d'amortir les effets de l'inflation sur cette période pénible exceptionnelle" et permettra de répondre aux "énormes enjeux de rénovation énergétique".Il vient aussi compléter l'interdiction, à compter d'août, d'indexer le loyer des passoires thermiques classées F et G ou de les augmenter lors du renouvellement du bail, souligne M. Torrolion selon qui près de 1,4 million de logements sont concernés.Les organisations de locataires au sein du CNH se sont au contraire opposées au dispositif de "bouclier loyer", y voyant "une position intenable sur le long terme"."Nous appelons le gouvernement à revoir sa copie", a réagi Alexandre Guillemaud, chargé de mission à l'Union Nationale des Locataires Indépendants (Unli) qui "s'inquiète des risques futurs impayés de loyer de la part de locataires qui n'auraient plus les moyens financiers de payer leur loyer augmenté auquel il faudra ajouter un dérapage des charges locatives (gaz, électricité, chauffage ...)".Hausse des APLLa ministre doit recevoir mardi 28 juin des associations de locataires, pour leur présenter sa mesure et arguer qu'un gel des loyers indifférenciés aurait notamment "pénalisé un propriétaire modeste qui vit de la location de son bien pour compléter sa retraite (...)"."Les bailleurs intermédiaires n'ont pas besoin de loyers pour vivre", rétorque M. Guillemaud, insatisfait également par la revalorisation des aides personnalisées au logement (APL) qui "ne suit pas suffisamment l'inflation".Les APL doivent augmenter de 3,5% au 1er juillet, ce qui pour le budget de l'État représenterait une dépense supplémentaire de 168 millions d'euros, selon des sources aux ministères de l'Économie et de la Transition écologique. Pour ce qui est des loyers, juridiquement, l'encadrement s'appliquera à partir du 15 octobre. Mais dans les faits, le taux qui s'appliquera entre le 15 juillet et le 15 octobre sera très proche de celui retenu par le gouvernement et donc le bouclier sera actif dès la mi-juillet, indique-t-on au ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires.Pour répondre au problème du pouvoir d'achat, le gouvernement doit par ailleurs présenter son projet de loi pouvoir d'achat d'ici 10 jours, un paquet non encore chiffré qui doit s'ajouter aux mesures déjà mises en place depuis l'automne dernier (chèque énergie, indemnité inflation, bouclier tarifaire sur l'énergie...).
Il y a 2 ans et 332 jours

Une nouvelle offre d'assurance pour le transport de matériaux dans le BTP

PROFESSION. Une nouvelle offre visant les entreprises du BTP a vu le jour dans le domaine du transport de matériaux de construction ou encore d'engins.
Il y a 2 ans et 332 jours

Étienne Faure - La parole aux professionnels

La parole aux professionnels Étienne Faure, formateur produits, société PUM. La certification permet de valoriser des produits pensés comme durables dès leur conception. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 332 jours

Patrimoine : un hangar à dirigeables se métamorphose en lieu culturel

EN IMAGES. La revalorisation de ce lieu patrimonial classé signe sa renaissance et va dynamiser la ville de Meudon, en région parisienne. Le promoteur Vinci Immobilier a dû respecter l'architecture industrielle typique du XIXe siècle.
Il y a 2 ans et 332 jours

Scoop ! Et le prochain Grand Prix national(e) de l’architecture sera …

Au moins, nul ne peut en vouloir aux fonctionnaires du ministère de la Culture de leur manque de subtilité. Quand ils ont une idée, c’est du premier degré. Ainsi en est-il de l’appel à contributions pour désigner le Grand Prix national de l’architecture 2022. Il est donc possible d’affirmer que la lauréate sera cette année […] L’article Scoop ! Et le prochain Grand Prix national(e) de l’architecture sera … est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 332 jours

Pour l’école de la République, l’ouverture plutôt que le repli sur soi ?

Le modèle social scandinave est enviable à bien des égards et notamment celui de l’école. Alors que l’enseignement se fait dans un cadre ouvert sur la ville et sur la communauté, dans nos contrées, l’école claquemure sans vergogne les enfants, en se plaignant de l’individualisme omniprésent et du manque d’ouverture des dernières générations. Un lien […] L’article Pour l’école de la République, l’ouverture plutôt que le repli sur soi ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 332 jours

Robot majordome pour room service

Un robot-majordorme capable de se déplacer de manière autonome dans un immeuble en empruntant les ascenseurs pour faire du room service, des livraisons, du nettoyage, ou encore des aides à la personne… c’est ce que propose désormais Koné en partenariat avec Yunji Technology, spécialisé dans les robots.
Il y a 2 ans et 332 jours

Geoxia au bord du gouffre… La crise du logement au pas de charge

Le groupe Geoxia, constructeur de maisons individuelles – soit Maisons Phénix, Maison familiale, Maison Castor, Maison Briot, Phénix évolution et évolutiv’habitat – a été placé en liquidation judiciaire le 28 juin 2022 (14 sur 17 sociétés plus précisément). Les offres de reprise ne tenant pas la route, le groupe en avait appelé au Président de […] L’article Geoxia au bord du gouffre… La crise du logement au pas de charge est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 332 jours

Paris invente le permis de construire à points

PLAN LOCAL D'URBANISME. Le nouveau PLU de Paris, qui se veut "bioclimatique" et "de transformation", fixe une grille d'évaluation des projets selon neuf critères parmi lesquels les porteurs devront choisir de surperformer sur au moins trois d'entre eux. Parallèlement, un système de notation, non opposable, devra, par ailleurs, "valoriser les efforts des maîtres d'ouvrages".
Il y a 2 ans et 332 jours

Métarchitecture… l’avenir architectural serait-il virtuel ?

Depuis une dizaine d’années, les agences d’architecture commencent à se familiariser avec la maquette virtuelle et le BIM. Mais voici qu’arrive maintenant le métaverse… La tentation de l’architecture virtuelle peut-elle permettre de retrouver un espace de liberté créative ? Qu’est-ce que le métaverse ?* Il nous est présenté comme l’aboutissement ultime d’Internet, le développement d’un univers […] L’article Métarchitecture… l’avenir architectural serait-il virtuel ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 332 jours

Mardi 5 juillet. Étape 4 : DUNKERQUE > CALAIS (172 km)

S’il n’y a que 43 km de Calais (Pas-de-Calais) à Dunkerque (Nord), l’étape pour les coureurs n’a rien de bucolique avec un parcours accidenté de 172 km – à travers successivement les monts des Flandres et les monts du Boulonnais – plutôt favorable à des attaques au long cours. L’occasion pour les rouleurs à grosses […] L’article Mardi 5 juillet. Étape 4 : DUNKERQUE > CALAIS (172 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 332 jours

Lundi 4 juillet : 1ère jour de repos – Sur la route des quatre Pritzkers

Première journée de repos pour le peloton et la caravane. Pendant que les coureurs survolent les Flandres, c’est l’occasion pour les suiveurs du Tour de France amateurs du grand art d’un périple dans les plats pays à la rencontre d’architectures contemporaines qu’il serait dommage de ne voir que du ciel. De Sønderborg à Dunkerque, point […] L’article Lundi 4 juillet : 1ère jour de repos – Sur la route des quatre Pritzkers est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 332 jours

Dimanche 3 juillet. Étape 3 : VEJLE > SØNDERBORG (182 km)

Sur ce parcours absolument plat, les équipes à la bagarre pour le Maillot vert du meilleur sprinteur devraient pouvoir contrôler la course. Contrôler pour ces équipes signifie mener un train d’enfer pour ne laisser aucune chance à personne de s’échapper. Ces 182 km seront donc avalés à bout de souffle ! Pour les suiveurs, encore une […] L’article Dimanche 3 juillet. Étape 3 : VEJLE > SØNDERBORG (182 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 332 jours

Samedi 2 juillet. Étape 2 : ROSKILDE > NYBORG (199 km)

Au terme des 200 km de course, les coureurs du Tour vont devoir traverser le « Grand Belt », et rouler sur 18 kilomètres sur un ouvrage d’art construit au-dessus de la mer pour rejoindre Nyborg, sur la terre ferme. Pour cette deuxième journée donc, la mère des étapes à bordures ! Il va falloir batailler, le moindre […] L’article Samedi 2 juillet. Étape 2 : ROSKILDE > NYBORG (199 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.