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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 2 ans et 332 jours

Vendredi 1 juillet. Étape 1 : COPENHAGUE > COPENHAGUE (13 km)

Pour décider du premier maillot jaune du Tour, quoi de mieux et de plus symbolique qu’un contre-la-montre individuel sur le pont de la Reine Louise – le Danemark est un royaume – ouvrage réputé comme la voie cyclable la plus empruntée au monde. Les coureurs auront le privilège d’un circuit en ville qui les emmènera […] L’article Vendredi 1 juillet. Étape 1 : COPENHAGUE > COPENHAGUE (13 km) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 332 jours

Le futur parvis de Notre-Dame sera conçu comme une clairière

Parmi les quatre finalistes de cet appel à projet, c'est le bureau d'architecture Bas Smets, avec l'agence d'architecte et d'urbaniste GRAU et l'agence d'architecture Neufville-Gayet qui a été choisi par le jury présidé par la Maire de Paris, avec les représentants de l'Etablissement public chargé de Notre-Dame (EPRNDP) et du Diocèse de Paris.Le projet prévoit de longs couloirs arborés aux abords de la cathédrale pour offrir de l'ombre aux visiteurs en temps de grande chaleur, un parvis tel une clairière entourée d'arbres.La façade et ses vitraux resteront dégagés et ainsi mis en valeur.Derrière la cathédrale, l'espace entre le chevet et la Seine aujourd'hui divisé par des haies et clôtures, devient un square fait de pelouse, donnant une vue sur les arc-boutants et les vitraux de l'édifice gothique."Un lien est réalisé tout en finesse entre le parvis et la Seine, c'était un grand attendu", a indiqué Ariel Weil, maire de Paris Centre.L'enjeu de cet réaménagement sera également de renforcer la végétalisation des abords de l'édifice pour faire face aux changements climatiques et aux fortes chaleurs. Un dispositif technique facilitant le ruissellement de l'eau sur le parvis offrira même un îlot de fraîcheur aux visiteurs.En sous-sol, le parking souterrain devient le centre d'accueil des visiteurs et offrira une promenade intérieure donnant accès à la crypte archéologique et à une ouverture sur la Seine.La ville de Paris, qui prend complètement en charge le projet, débloque une enveloppe de 50 millions d'euros. Avec ce budget, les abords seront de nouveau accessibles aux visiteurs et aux fidèles au deuxième semestre de 2024. En même temps que la fin de chantier de la cathédrale. La totalité du projet sera définitivement livrée en 2027.Dans son domaine (architecture/aménagement de jardins en ville) Bas Smets est une étoile montante, déjà connu notamment pour la parc des Ateliers autour de la tour Luma à Arles et comme futur réaménageur du centre de Bruxelles.Le 15 avril 2019, un spectaculaire incendie s'est déclaré dans la cathédrale, provoquant l'effondrement de sa charpente, de sa flèche, de son horloge et d'une partie de sa voûte, ravagées par les flammes sous le regard catastrophé de millions de personnes à travers le monde.Emmanuel Macron a donné pour objectif la réouverture en 2024 de ce chef-d’œuvre de l'art gothique, même si certains travaux pourront se poursuivre après. Le monument doit notamment être rendu au culte pour "l'anniversaire" de l'incendie, en avril 2024.Avant 2019, l'édifice accueillait près de 12 millions de visiteurs, 2.400 offices et 150 concerts par an.Découvrez dans cette vidéo le projet porté par le bureau Bas Smets.
Il y a 2 ans et 332 jours

Chatard réinvente le blouson

Le nouveau blouson de Chatard s’intègre dans la gamme Green Tech de la marque [©Chatard] Concepteur d’EPI, Chatard dévoile son nouveau blouson haute visibilité en polyester recyclé, qui complète sa gamme Green Tech. A la fois pour homme et pour femme (avec une coupe cintrée), ce vêtement est un réel “couteau suisse”, car il répond à de nombreuses problématiques des personnels de chantiers. En effet, il s’adapte aux différentes conditions climatiques. Avec ses manches amovibles et la possibilité d’avoir une capuche, ce blouson peut être porté par temps de pluie, chaud ou froid. De plus, il est compatible avec les parkas de la même gamme. Ses couleurs sont personnalisables. Ce blouson est fabriqué dans un tissu stretch, issu à 80 % de polyester recyclé. Il répond ainsi à la démarche de Chatard de réduire l’impact environnemental de ses produits. Pour aller dans ce sens, ce vêtement offre une importante durabilité dans le temps. Des solutions de réparation sont même proposées par la marque.
Il y a 2 ans et 332 jours

Réélection de Bertrand Bedel à la présidence de la Fib

Bertrand Bedel est réélu à la présidence de la Fib pour un mandant d’un an. [© FIB] La Fédération de l’industrie du béton (Fib) vient d’annoncer la réélection de Bertrand Bedel à sa présidence. Ceci, pour un mandat d’un an. En parallèle, celui-ci est aussi président du Cérib. Bertrand Bedel a établi sa nouvelle feuille de route dans la continuité des objectifs déjà mis en place. Ainsi, il apportera les réponses aux exigences en lien avec la RE 2020 avec des solutions préfabriquées. De plus, Bertrand Bedel mettra en avant la dynamique d’écologie territoriale de la filière béton et de ses usines partout en France. Par ailleurs, étant dans une démarche de création de valeurs locales et durables, la Fib veut pouvoir tracer les matériaux. Bertrand Bedel a donc comme ambition d’inscrire l’industrie du béton dans une approche d’économie circulaire. Enfin, la Fédération et Bertrand Bedel souhaitent participer aux travaux de l’éco-organisme Ecominéro (la Fib en est un des membres-fondateurs). Lire aussi : Bertrand Bedel, nouveau président de la Fédération de l’industrie du béton
Il y a 2 ans et 332 jours

Passoires thermiques et nouveau DPE : quels sont les enseignements à tirer un an après sa mise en œuvre

Le groupe EX’IM, acteur majeur du diagnostic et du contrôle en France, a passé à la moulinette près de 30.000 diagnostics réalisés depuis le 1er juillet 2021 au sein de son réseau. Les résultats sont plutôt éloquents. Car avec la loi Climat et résilience, le DPE joue un rôle majeur : on ne lui demande plus seulement de renseigner sur la performance énergétique en cas de vente ou de location (une obligation, aujourd’hui), mais de dire demain si le propriétaire peut augmenter son loyer, si une rénovation doit être faite, ou même si un logement peut être loué.« 1 an que le nouveau DPE a vu le jour, et après plusieurs mois de réajustements, nous pouvons dire aujourd'hui qu'il est rôdé. Nous le savons, les échéances de la loi Climat sont une sorte de compromis, entre ceux qui voulaient aller beaucoup plus vite, et ceux qui appelaient au réalisme. Pour réussir à relever le défi de la rénovation énergétique en France, certains freins restent à lever comme augmenter les aides, car le reste à charge est parfois trop important encore ; ou accompagner mieux les ménages pour encourager à une rénovation globale, davantage vertueuse, plutôt qu’une rénovation mono geste comme on le voit avec MaPrimeRénov’. Notre métier de diagnostiqueur est donc au cœur de la démarche : de l'exécution du diagnostic à l'accompagnement, demain, nous l'espérons, des ménages dans leur parcours de rénovation. » Précise Yannick Ainouche, PDG d’EX’IM ; Président de la CDI Fnaim ; Administrateur de 3F Notre Logis.EX’IM dévoile ses chiffres : 5 leçons à tirer du nouveau DPELe réseau EX’IM a ainsi mené une étude sur 28 909 DPE transmis à l’Ademe. L’ensemble de ces DPE ont été réalisés par 22 agences au sein de son réseau, réparties en France. Tous ces DPE ont été réalisés selon la nouvelle formule entrée en vigueur au 1er juillet 2021. Un logement sur six ne pourra pas augmenter son loyer dès août 2022Dans notre échantillon, 16% des logements locatifs sont aujourd’hui classés en F (9,99%) et G (6,54%). Autant de logements où le loyer sera gelé à compter du 25 août 2022 : selon la loi Climat et résilience, le propriétaire doit justifier d’une classe énergétique E au minimum, s’il souhaite augmenter son loyer à partir d’août.1% des logements déclarés non décents dès 2023Bien avant la loi Climat et résilience, la loi Energie et Climat de 2019 envisageait un critère de performance énergétique minimal pour les locations. Tout logement avec une consommation supérieure à 450 kWh.an.m² (en énergie finale, c’est essentiel) ne peut plus être loué. On parle ici des pires passoires énergétiques. Dans notre échantillon, ces logements extrêmement énergivores restent marginaux et pèsent à peine 1% ce qui représente un peu plus de 100.000 logements à l’échelle du parc locatif français…6,5% des logements devront être rénovés avant 2025…1er janvier 2025, tout ce qui a une étiquette G sera interdit à la location. Sur les 28 909 DPE réalisés par EX’IM, plus de 8% des logements sont aujourd’hui classés en G. Tous ne sont pas forcément destinés à la location, mais si on considère les DPE réalisés dans un contexte purement locatif, on s’aperçoit tout de même que 6,5% des logements devront être rénovés avant 2025.…. Et 16% avant 2028,Rebelote en 2028, interdiction de louer un logement classé en F. Un logement sur dix aujourd’hui sur le marché locatif est concerné toujours selon notre échantillon. La rénovation a prévu d’accélérer, à partir de 2034, au tour de l’étiquette E. On s’attaque à un gros morceau puisqu’un logement sur quatre aujourd’hui est classé en E.Seulement 3% des logements déjà dans les clousLa France veut un parc BBC pour 2050. Qu’il s’agisse du parc locatif, ou des biens occupés par leurs propriétaires. L’ambition est énorme car aujourd’hui, les étiquettes A et B qui correspondent souvent à des biens construits après 2012, restent extrêmement marginales : moins de 3,5% du parc.
Il y a 2 ans et 332 jours

Maison individuelle : le groupe Geoxia en liquidation, l'Etat va faire un geste

LIQUIDATION. Le tribunal de Nanterre a tranché, en prononçant la liquidation du groupe Geoxia, spécialisé dans la construction de maisons individuelles. Aucune solution de reprise n'a pu être trouvée pour l'entité qui avait été placée en redressement judiciaire. Le ministère de l'Économie, contacté par Batiactu, va réagir pour soutenir les ménages et les salariés concernés.
Cimbat
Il y a 2 ans et 332 jours

Les délais de paiement se sont améliorés dans le BTP en 2021 mais des freins persistent

ANALYSE. Le rapport de l'Observatoire des délais de paiement indique dans son édition 2021 que le phénomène a perdu en intensité dans le secteur du bâtiment et des travaux publics. La situation est cependant encore loin d'être optimale, et les très petites entreprises sont toujours les plus exposées au manque de solidarité des autres acteurs de la filière.
Il y a 2 ans et 332 jours

Être jeune architecte : l’étau du temps qui passe

« Journal d’une jeune architecte »… « Journal d’une JEUNE architecte »…  Ce mois-ci, c’est ce mot qui m’a poussé à écrire… Qu’est-ce qui fait que l’on est ou non encore jeune architecte ? Est-ce valorisant d’être jeune ? Ou plutôt une étiquette nous faisant coller à la peau notre manque d’expérience ? Se sentir […] L’article Être jeune architecte : l’étau du temps qui passe est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 332 jours

Comment entretenir efficacement votre pergola à lames ?

Une pergola à lames est une petite construction design de jardin recouverte d’aluminium. Elle permet de profiter pleinement de son extérieur et sert aussi de support à des plantes grimpantes. Mais pour pouvoir bénéficier sur le long terme de tous ses nombreux bienfaits, il est important de veiller rigoureusement à son nettoyage. Il s’agit d’un détail très important. Découvrez dans la suite quelques recommandations sur comment entretenir efficacement votre pergola à lames. Protéger la structure de votre pergola à lames en prenant des dispositions Premièrement, l’entretien d’une pergola à lames requiert un nettoyage régulier. Ce nettoyage doit être effectué au maximum deux fois par an. Pour ce faire, on recommande de contacter Dokteur.store afin de bénéficier du meilleur traitement qui soit possible. Tenir compte des différentes saisons est un atout dans ce processus. Au printemps par exemple, il est conseillé de faire un premier entretien en guise de préparation du matériel à la chaleur estivale. En le faisant, le matériel va retrouver son lustre originel. Ensuite, pendant l’automne on observe généralement la tombée des feuilles. Lorsqu’elles finissent de tomber, pensez donc à nettoyer les poteaux de gouttière et à dégager les gouttières. Veillez surtout à ce que l’eau circule correctement à l’intérieur des poteaux à l’aide de fils chauffants. Par ailleurs, la structure de la pergola ne nécessite pas des produits spécifiques pour sa mise au point. Pour ainsi dire qu’un jet d’eau avec une éponge ou un chiffon doux fera l’affaire. Procurez-vous du savoir noir pour l’obtention d’un rendu éclatant. Il est aussi important de laver les pieds métalliques et les traverses. Cette action vise à supprimer tout résidu susceptible d’entacher le revêtement de la structure de pergola. Le matériel devrait redevenir comme neuf si toutes ces précautions sont prises. Vérifier et maintenir la propreté des lames de pergola Concrètement, prendre soin des lames d’une pergola contribue efficacement à son entretien. Cela suppose de passer d’abord en revue et de donner un coup de nettoyage aux ailettes. Ainsi, on recommande de se munir de l’eau, de savon et de vinaigre blanc pour faire partir les tâches et traces résistantes. N’utilisez pas d’eau chaude ou de nettoyeurs haute pression ou de brosses à poils. Sinon, l’effet inverse se produira. Avec les éléments précités, sachez que les lames de pergola seront libérées de toutes les saletés encombrantes. Servez-vous également de l’eau claire après l’action du savon ou du vinaigre blanc pour faire le rinçage. Cependant, il peut arriver que les chutes de neige soient fréquentes dans les différentes zones d’habitation. On les remarque souvent en hiver. Face à cela, il est conseillé d’enlever la neige des amas susceptibles de peser sur votre pergola à lames. Autrement, le poids de la neige au fil du temps pourrait impacter le matériel. Ensuite, les difficultés s’enchaînent et les pièces ou tout l’équipement risquent d’être changés. Soyez donc circonspect pour ce qui est de l’accumulation de la neige. Pensez à laisser les lames ouvertes pendant les chutes de neige en les réglant à 90 degrés. Enfin, les déconvenues sont limitées et la sécurité de l’équipement est bien assurée. Plus le matériel est bien entretenu, plus il dure longtemps.
Il y a 2 ans et 332 jours

Le gouvernement veut accélérer le raccordement aux réseaux de chaleur

La France compte aujourd'hui près de 900 réseaux de chaleur, des infrastructures en général publiques et fonctionnant pour 60% avec des énergies renouvelables ou de récupération (géothermie, biomasse, chaleur résiduelle de sites industriels ou de data centers...), le reste marchant encore au gaz."L'idée est d'instaurer le réflexe +je veux me chauffer, je réfléchis d'abord au réseau de chaleur+", dit Alexandre Dozières, sous-directeur de l'Efficacité énergétique et de la qualité de l'air au ministère de la Transition écologique, lors d'un échange avec des acteurs du secteur.Avec ce texte attendu en juillet, l'objectif "est de raccorder d'ici cet hiver un maximum de bâtiments qui sans le savoir sont à 50 mètres d'un réseau: le raccordement à +1 euro+ par logement sera mis en place, avec des aides bonifiées via des CEE" (certificats d'économies d'énergie), a-t-il précisé.Il s'agira d'"une prime forfaitaire, par bâtiment, avec peut-être une surprime en fonction du nombre de logements", a-t-il ajouté, évoquant un "raccordement gratuit ou presque, quelques euros ou quelques centaines d'euros" pour les bénéficiaires.Selon M. Dozières, "en termes de distance au réseau, il n'y a pas de critère qui enlèverait l'éligibilité: n'importe quel bâtiment à n'importe quelle distance d'un réseau peut bénéficier de la prime, néanmoins on a cherché a évaluer combien de bâtiments sont à 50 mètres, pour lesquels ce serait assez facile et pas trop cher" et qui permettraient de réduire de 2 TWh les consommations nationales de gaz.Le Syndicat national du chauffage urbain (SNCU) a recensé 3.000 bâtiments non raccordés à moins de 50 mètres d'un réseau."Ils ont là l'occasion de baisser leur dépendance au prix du gaz, qui fait des bonds de jour en jour, et d'accéder à une chaleur renouvelable", plaide la présidente du SNCU Aurélie Lehericy, qui "espère que les copropriétés vont prioriser dans les prochaines AG ce raccordement express".Selon elle, "cela reviendra entre 200 et 400 euros en moyenne (par logement), et notre expérience montre qu'à moins de 400 euros par logement, le coût est digérable, avec la compensation sur le coût de la facture" d'énergie.Dans un deuxième temps, l'Etat doit présenter une liste des réseaux de chaleur vertueux (fonctionnant à plus de 50% sur des énergies renouvelables, soit environ 500 réseaux à ce jour). Et à compter de juillet 2023, tout bâtiment situé dans le périmètre de ces réseaux et cherchant à remplacer son chauffage collectif, "sera obligé" de s'y raccorder, ajoute M. Dozières, sauf s'il trouve un mode de chauffage encore plus vert (de type géothermie ou solaire thermique).Aujourd'hui, les réseaux représentent 5% du chauffage en France, qui veut à la fois les verdir, les densifier et en construire de nouveaux.Les petites villes suffisamment denses sont également concernées. L'Etat, via l'Ademe, a lancé un appel à projets "une ville, un réseau" visant à encourager les communes de moins de 50.000 habitants à se doter de ces systèmes, pour les aider à sortir du gaz fossile.L'enjeu climatique, économique et géopolitique est majeur. Dans l'Hexagone, le chauffage représente 40% de la consommation d'énergie finale, plus que les transports ou l'industrie, et il n'est décarboné qu'à 20%.
Il y a 2 ans et 332 jours

Arabia Felix : c’était le Yémen. Une culture euphorique et perchée ?

Le Yémen est le royaume mythique de Saba a Mareb, celui de cette reine qui séduisit le roi Salomon par sa beauté et sa richesse. Dans les montagnes de « L’Arabie heureuse », l’Arabie Felix des Romains, la capitale Sana’a. « Un des plus beaux pays que j’ai visité », souligne l’architecte explorateur Jean Pierre Heim. Des souvenirs […] L’article Arabia Felix : c’était le Yémen. Une culture euphorique et perchée ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 332 jours

Traitement de l’air – qualité de l’air intérieur

VITAL’AIR QAI 90 La seule VMC Double Flux du marché dotée d’un module de détection des polluants L’habitat est un espace clos jusqu’à 8 fois plus pollué que l’extérieur. De nombreuses sources de pollution liées aux activités des occupants mais aussi émanant des équipements et des matériaux utilisés pour la décoration ou l’ameublement viennent dégrader l’air intérieur : humidité, fumées, gaz carbonique (CO2), produits d’entretien, cosmétiques, poils d’animaux, composés organiques volatiles (COV)… L’impact de cet air pollué peut avoir de graves conséquences sur la santé des habitants (asthme, allergies, fatigue, nausées, maux de tête…) mais aussi sur le bâti (moisissures…). Aussi, la ventilation de ces espaces clos est incontournable pour assurer une bonne qualité de l’air intérieur tout au long de la vie du bâtiment et pour préserver le confort et la santé des occupants. Pour assurer un air sain dans la maison, tout en limitant les pertes d’énergie générées par l’aération des pièces en hiver, AUTOGYRE, expert du traitement de l’air et de la ventilation, a conçu la VMC Double Flux VITAL’AIR QAI 90. Haute performance, cette VMC Double Flux, conçue et fabriquée en France, est la seule du marché à être équipée d’un détecteur de polluants. Elle permet de traiter et de purifier l’air intérieur, et garantit la qualité de l’air et le confort hygrothermique. Compacte, silencieuse et basse consommation, elle permet de récupérer jusqu’à 90% des calories extraites et de réaliser de substantielles économies sur la facture de chauffage. LA VENTILATION QUALITÉ DE L’AIR INTÉRIEUR Economie d’énergie La VMC Double Flux : Comment ça fonctionne ? La VMC Double Flux est un système d’extraction et d’insufflation motorisé avec échange thermique entre l’air vicié et l’air neuf. Elle permet d’expulser l’air pollué vers l’extérieur et de filtrer l’air entrant. L’air vicié passe par un échangeur thermique avant d’être rejeté à l’extérieur. L’air neuf, sans se mélanger à l’air pollué, récupère l’énergie en traversant l’échangeur de flux croisés. Ainsi thermiquement tempéré, cet air sain est diffusé dans les pièces principales par les bouches d’insufflation via le caisson de répartition. VITAL’AIR QAI 90 La VMC Double Flux intelligente La VMC DF VITAL’AIR QAI 90 d’Autogyre convient pour les constructions basse consommation et les maisons passives. En neuf comme en rénovation, pour un logement de 2 à 4 pièces principales équipé d’une cuisine et jusqu’à 3 sanitaires, elle garantit la qualité de l’air intérieur et offre un excellent confort de vie. Un module QAI qui détecte les polluants pour une meilleure qualité de l’air La VMC DF VITAL’AIR QAI 90 est équipée de 2 vitesses et d’un module électronique QAI (détection H²O, CO² et COV). Dès qu’il enregistre une dégradation de l’air ambiant dans l’habitation, la VMC passe en vitesse supérieure pour éliminer les polluants. Une fois l’air assaini, la VMC repasse automatiquement en petite vitesse. Une filtration renforcée et une meilleure gestion des filtres pour préserver la santé des occupants Dotée d’une filtration G4 sur l’air vicié et M5 + Charbon actif sur l’air neuf, la VMC VITAL’AIR QAI 90 permet de préserver une bonne qualité de l’air intérieur en éliminant les moisissures, les allergènes, les odeurs, les COV… Un boîtier sans fil de gestion des filtres ou une étiquette adhésive avec témoin lumineux permettent de gérer le remplacement des filtres d’extraction et d’insufflation et de faciliter leur entretien. Un très haut rendement pour encore plus d’économies sur la facture de chauffage Le caisson de la VMC VITAL’AIR QAI 90 est économe en énergie grâce à son moteur basse consommation électrique de classe A. Haute performance, il permet de récupérer jusqu’à 90% des calories extraites et de réaliser jusqu’à 18% d’économies sur la facture annuelle de chauffage. Un by-pass intégré pour un meilleur confort thermique Equipée d’un by-pass partiel à commande manuelle, la VMC DF VITAL’AIR QAI 90 d’AUTOGYRE présente l’avantage de rafraîchir l’air en été pour offrir d’avantage de confort, notamment la nuit. Le by-pass est situé à l’intérieur de l’échangeur. Une fois activé, par une simple pression sur l’interrupteur, il permet de dévier la majorité de l’air vicié afin qu’il soit directement rejeté en dehors de la maison. L’air neuf est toujours filtré et ne récupère quasiment plus d’énergie, il peut donc rafraîchir la maison les nuits d’été lorsque la température extérieure est inférieure à celle de l’intérieur. À l’inverse, le by-pass peut récupérer la chaleur en mi-saison en insufflant l’air chaud dans le logement directement après avoir été filtré. Le mode de gestion automatique ou la fermeture forcée sont activés via le commutateur de pilotage. Compacte et silencieuse De faible encombrement, grâce à son design compact, la VMC VITAL’AIR QAI 90 est la plus petite du marché. Ses piquages amovibles facilitent la pose. Par ailleurs, pour un meilleur confort, les entrées d’air en façade sont supprimées ce qui rend le système plus silencieux et évite les courants d’air. Composition du kit VMC VITAL’AIR QAI 90 – 1 bloc échangeur flux croisés classe A VITAL’AIR QAI – 1 caisson de répartition d’insufflation – 1 commutateur PV/GV/by-pass – 1 bouche cuisine Ø 125 mm – 6 bouches sanitaires Ø 80 mm – 1 boîtier ou 1 étiquette adhésive de gestion des filtres
Il y a 2 ans et 332 jours

Négoce génie climatique et matériels électriques : naissance de Coedis

FUSION. La fédération des distributeurs de matériels électriques (FDME) et la fédération des négociants en appareils sanitaires, chauffage, climatisation et canalisations (FNAS) ont décidé de fusionner pour créer Coedis, la Fédération des distributeurs d'équipements et solutions électriques, Génie Climatique et Sanitaires.
Il y a 2 ans et 332 jours

« Renouvellement des réseaux d'eaux : enjeu sécuritaire, sanitaire & environnemental », à la une de Solutions&Performances n°8

Le nouveau numéro de la lettre du CSTB dédiée à l'accompagnement de l'innovation, est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. A découvrir aussi dans cette édition en plus de vos rendez-vous habituels, la nouvelle rubrique Prévention proposée par notre partenaire l'OPPBTP, qui nous informe en matière de sécurité sur les chantiers. Tendances traite donc du défi quotidien des collectivités locales et agences de l'eau pour assurer la protection, la captation, le traitement, le stockage et la distribution de l'eau, dans le contexte de la transition environnementale. La rubrique Règlementation s'intéresse à la révision des fascicules relatifs à la fourniture, à la pose et à la réhabilitation des canalisations d'eau, mais aussi à l'évolution des usages des eaux usées traitées. Parole d'expert vous permettra de tout savoir sur les certifications QB08 et NF390, les performances qu'elles garantissent grâce aux essais réalisés par le CSTB, et les bénéfices qu'elles présentent pour la filière. La Parole aux professionnels recueille les témoignages d'une collectivité, d'une agence de l'eau, d'un maître d'œuvre et d'un distributeur de produits et procédés. Ils nous parlent notamment de leur collaboration avec le CSTB, de son expertise et des marques de qualité qu'il délivre. Avec Pathologies, proposée par notre partenaire l'Agence Qualité Construction, vous saurez tout sur les difficultés d'écoulement d'un réseau extérieur, qui finissent potentiellement par provoquer une obstruction complète du système d'évacuation avec débordement dans les parties habitables. La nouvelle rubrique Prévention présente pour sa part un géoradar qui permet de localiser les réseaux enterrés avant d'engager les travaux. Une solution mettant les salariés à l'abri de tout risque électrique et qui améliore la productivité des chantiers. Et toujours Innovations, qui présente les tendances en matière d'Avis Technique, l'animation Marquage et certificats pour tout comprendre sur les certifications dédiées aux réseaux d'eau et la rubrique Focus pour aller plus loin sur la thématique. Bonne lecture ! Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 332 jours

Renouvellement des réseaux d'eaux : enjeu sécuritaire, sanitaire et environnemental

Photo : Adobe StockSi les épisodes de canicule et de sécheresse sévères, toujours plus fréquents, nous montrent avec évidence que l'eau est à préserver à tout prix, certains enjeux cruciaux relatifs à cette ressource vitale sont invisibles, car ils se jouent en sous-sol. Avec un million de kilomètres de canalisations d'eau potable dans l'Hexagone et 380 000 km de canalisations pour les eaux usées, le réseau de distribution et d'assainissement est partout sous nos pieds. Mais après plus de cinquante ans de service, il est vieillissant sur pratiquement tout le territoire, ce qui entraîne une érosion progressive de son niveau de performance. Cette vétusté souvent naturelle est à l'origine de fuites dans les sols et le sous-sol, qui peuvent altérer la tenue structurelle de bâtiments et être ainsi à l'origine d'effondrements dramatiques en milieu urbain, comme ceux récemment déplorés dans plusieurs agglomérations françaises. Ces réseaux fuyards mettent aussi en danger les milieux récepteurs et la ressource, dans le contexte de la transition environnementale qui a justement pour objectif de les préserver au maximum : déversement d'eaux usées rejetant des substances toxiques dans les sols et le sous-sol et mettant la biodiversité en péril, et pertes massives d'eau potable – jusqu'à 25 % avant approvisionnement. Un défi pour les collectivités et les agences de l'eau Ce contexte met en exergue l'indispensable renouvellement des réseaux d'eau français. Mais l'importance des travaux et la nécessité d'une approche globale, pragmatique et intelligente, induisent un défi aux multiples facettes pour les plus de 30 000 collectivités et agences de l'eau qui gèrent les réseaux d'adduction et d'assainissement : préservation des milieux récepteurs, réduction des fuites et respect de l'environnement, maintien de la qualité et de la quantité d'eau distribuée, choix de produits performants et rationalisation des matériaux utilisés pour les réseaux, pertinence de ceux-ci selon la destination, durabilité, etc. Un défi d'autant plus complexe que les réseaux sont enfouis et donc difficiles d'accès, et parfois même mal connus. À ce titre, la phase de diagnostic souterrain est une étape décisive qui va contribuer à déterminer le choix de renouveler ou de réhabiliter. S'agissant des réseaux d'adduction d'eau potable, le renouvellement est le processus le plus adapté pour assurer la sécurité hydrique et d'approvisionnement tout en préservant la ressource. Concernant l'assainissement, deux options sont envisageables : le remplacement des canalisations – qui suppose des travaux de grande envergure – ou la réhabilitation de celles-ci – moins coûteuse et plus rapide – via des procédés de chemisage, d'insertion de coques rigides ou de projection de résine. Dans le cas d'un réseau d'assainissement non collectif, il est par ailleurs indispensable de faire vérifier la durabilité du média filtrant utilisé, afin de garantir un stockage performant et d'éviter d'affecter les milieux récepteurs. Toujours dans cet objectif de préservation de l'environnement et de rationalisation de l'utilisation des ressources, les industriels proposent des produits innovants incorporant des matériaux plasturgiques recyclés. Des études sont en cours pour évaluer avec précision leur durabilité en fonction des produits recyclés injectés, tout en garantissant une durée de vie standard de cinquante ans. Elles devraient arriver à leur terme d'ici à 2024. Notons que la durabilité de certaines canalisations pourrait être portée à cent ans pour les systèmes d'assainissement conçus à base de matériaux PRV, très robustes. Des travaux de recherche, dont les premiers résultats devraient être délivrés d'ici deux ans, sont également dédiés à cette thématique, qui suppose toutefois de savoir identifier et matérialiser des preuves fiables de cette pérennité allongée, quel que soit le matériau. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 332 jours

Révision des fascicules relatifs à la fourniture, à la pose et à la réhabilitation des canalisations d'eau

Les fascicules 70-1, 70-2 et 71 du cahier des clauses techniques générales (CCTG), applicables aux marchés publics de travaux de génie civil relatifs au domaine de l'eau, ont été révisés pour intégrer les évolutions de l'état de l'art, des normes et de la réglementation. Le financement public en matière d'assainissement ou d'adduction d'eau potable impose au titulaire des marchés de s'assurer des performances déclarées des produits. Lorsqu'un produit est utilisé, il doit être conforme à une ou plusieurs normes, et cette conformité doit être prouvée. Celle-ci est encadrée par le fascicule 70, qui a pour objet l´application d´une doctrine technique commune pour les ouvrages d´assainissement, d´eaux usées et/ou d´eaux pluviales, et le fascicule 71, qui a pour objet la fourniture et pose de conduites d'adduction et de distribution d'eau avec, notamment, des essais en surpression et dépression par un laboratoire accrédité. Révisés et publiés en octobre 2021, ces fascicules ont été enrichis pour apporter aux acteurs de la commande publique un cadre contractuel actualisé et exhaustif pour la passation de marchés : intégration des nouvelles technologies, pédagogie, rappel des responsabilités, contrôles en phase d'exécution et à réception. Évolution des usages des eaux usées traitées Un nouveau décret définit les différentes applications de réutilisation des eaux usées traitées. Il détaille les conditions de leur utilisation et les modalités d'obtention des autorisations. L'arrêté du 2 août 2010, modifié par arrêté du 25 juin 2014, autorise l'utilisation des eaux issues du traitement d'épuration des eaux résiduaires urbaines pour l'arrosage ou l'irrigation, à des fins agronomiques ou agricoles, de cultures, d'espaces verts ou de forêts. Le décret n°2022-336, paru le 10 mars 2022, vient élargir et faciliter les usages possibles de la réutilisation des eaux usées traitées en milieu urbain, aujourd'hui non réglementés. Sont notamment concernés le lavage de voiries, l'hydrocurage des réseaux ou encore la recharge des nappes, à condition de mettre en œuvre les modalités de suivi et de surveillance adéquates. Le producteur ou l'utilisateur des eaux usées traitées doit déposer une demande d'autorisation d'expérimentation auprès de la préfecture. Délivrée pour une durée maximum de cinq ans, elle doit justifier de l'intérêt du projet par rapport aux enjeux environnementaux et démontrer sa compatibilité avec la protection de la santé humaine et de l'environnement. Les usages non visés par ce décret doivent continuer à faire l'objet de dérogations au cas par cas. Les porteurs de projets peuvent bénéficier de l'accompagnement du CSTB pour constituer leur dossier. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 332 jours

Eau, essais et certification QB09

Marie-Cécile TrouilheParole d'expert Rencontre avec Marie-Cécile Trouilhe, chef de pôle Valorisation des performances, direction de l'Eau, CSTB. Pouvez-vous vous présenter ? Je fais partie de la direction de l'Eau où je suis responsable du pôle Valorisation des performances au sein de la division Réseaux et Ouvrages Extérieurs. Je suis également gestionnaire des marques de qualité QB09 et NF442. Pouvez-vous nous parler de la certification QB09 ? La marque QB09 certifie les produits systèmes d'assainissement sous Avis Technique concernant les réseaux et l'épuration. Les produits couverts sont notamment : les tubes pour réseaux d'eau et d'assainissement, les accessoires de réseaux, réseaux d'assainissement sous vide, réseaux de drains, dispositifs d'assainissement autonome, ainsi que quelques produits spécifiques tels que les citernes souples qui ont vocation à stocker l'eau destinée à la lutte contre les incendies , ou encore les Système Alvéolaires Ultra Légers qui permettent de réaliser des bassins de rétention d'eau (SAUL). Quelles performances certifiées ? Quels essais réalisés ? Pour l'ensemble des produits cités précédemment, la QB09 certifie les caractéristiques de durabilité, de mise en œuvre et de fonctionnalité. Des essais réalisés en laboratoires au CSTB permettent de garantir ces performances et leur constance dans le temps. La durabilité est évaluée par des essais matières (masse volumique, MFR, TIO, traction, Vicat...). Les caractéristiques de mise en œuvre et de fonctionnalité englobent des contrôles dimensionnels, des essais de résistance mécanique, d'étanchéité... Par ailleurs, des audits sont régulièrement réalisés directement en usine chez les industriels titulaires de la certification. Pour un nouveau certifié, deux audits sont ainsi menés durant les trois premières années. Si aucun problème majeur n'a été constaté à l'issue de ces six audits qui comportent également des prélèvements d'échantillons qui seront testés en laboratoires au CSTB, alors la fréquence des audits est réduite à un par an. Ces audits concernent l'ensemble du processus de fabrication, à savoir de la réception de la matière première qui compose les produits, jusqu'au produit fini et son stockage sur le parc du fabricant, ainsi que le suivi du système qualité mis en place par le fabricant. Quels avantages présente la QB09 pour les professionnels ? La QB09 permet aux professionnels d'avoir confiance dans leur choix, d'être certains de disposer d'un produit de qualité qui réponde pleinement aux besoins de l'ouvrage, et montrant que les caractéristiques et performances déclarées par les fabricants sont conformes et constantes dans le temps. C'est donc un gage de durabilité essentiel pour les maîtrises d'ouvrage. Par ailleurs, cela permet d'alléger de façon conséquente les essais réalisés à la réception des chantiers. Autre avantage concernant cette marque de qualité : c'est le CSTB qui maîtrise l'ensemble du processus de certification de A à Z, de la conception du référentiel, en passant par les aspects de gestion, les audits et les essais. Les fabricants ont donc un seul point d'entrée et donc un seul interlocuteur, le CSTB, ce qui simplifie les aspects logistiques et communicationnels. Des nouveautés à venir pour la QB09 ? Le CSTB travaille avec les professionnels de la filière pour mettre en place une évolution de la marque QB09 pour certains produits passés dans le domaine traditionnel - qui ne peuvent donc plus faire l'objet d'instruction d'Avis Techniques -, à savoir les systèmes d'assainissement en PRV gravitaires. Cette application verra le jour début 2023. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
GDA
Il y a 2 ans et 332 jours

Un géoradar pour détecter les réseaux enterrés

Une entreprise de canalisation se dote d'un géoradar pour localiser les réseaux enterrés avant d'engager les travaux. La solution met ses salariés à l'abri de tout risque électrique et améliore la productivité du chantier. Impact en prévention L'utilisation du géoradar est une solution de prévention très efficace. Un an après l'acquisition du matériel, l'entreprise n'a enregistré aucun sinistre sur ses chantiers de canalisation. En évitant l'accrochage des réseaux présents en sous-sol, le géoradar réduit significativement l'exposition des salariés au risque électrique et au risque d'incendie. Obtenir une image précise du sous-sol grâce au radar géologique Une entreprise spécialisée dans la pose de canalisations cherche à améliorer la préparation de ses chantiers. Elle investit alors dans un géoradar. En amont des travaux, le géomètre de l'entreprise réalise une cartographie très précise des différents réseaux présents dans le sous-sol (canalisations, réseaux câbles, conduites). Les plans 3D permettent ensuite au chef d'équipe d'adapter ses tracés et de prévenir tout risque d'accrochage avec l'existant. Au bout d'un an d'utilisation du géoradar, l'entreprise ne compte aucun sinistre. La solution se révèle donc très efficace en termes de prévention, en évitant d'exposer les salariés aux risques liés aux endommagements des ouvrages (incendie, risque électrique). Elle permet aussi d'accélérer le démarrage du chantier et sa productivité, grâce à une réduction significative de la fréquence et de la durée des arrêts. Lire la suite : Un géoradar pour détecter les réseaux enterrés - Prévention BTP (preventionbtp.fr) Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 332 jours

Anne-Sophie Douard - La parole aux professionnels

Anne-Sophie DouardLa parole aux professionnels Anne-Sophie Douard, responsable pôle gestion des opérateurs et contrôle, direction du Cycle de l'Eau, Nantes Métropole. Quel est votre rôle et celui de la direction du Cycle de l'Eau de Nantes Métropole ? Je suis responsable du pôle gestion des opérateurs et contrôle, pôle en charge à la fois du suivi et du pilotage des exploitants publics et privés d'eau potable, d'eau usée et d'eau pluviale, et du contrôle des raccordements au réseau assainissement des usagers particuliers aux industriels. Ce pôle fait partie de la direction du Cycle de l'Eau de Nantes Métropole, autorité organisatrice de la politique publique de l'eau. Celle-ci intervient dans quatre grands secteurs d'activité : l'eau potable, l'eau usée, l'eau pluviale et les milieux aquatiques. Sa mission est notamment de déterminer les grands schémas directeurs qui concernent les futurs besoins en termes d'infrastructures à rénover, mais aussi à construire pour les nouveaux usagers. Dans le même temps, elle est chargée de la maîtrise d'ouvrage de ces gros travaux. Elle est aussi garante de la gestion patrimoniale et de l'exploitation de ces réseaux et ouvrages qu'elle confie à des exploitants : Veolia (eau potable) et Suez (assainissement) pour le côté privé et la Régie de Nantes Métropole (direction des opérateurs publics de l'eau et de l'assainissement - DOPEA) côté public. La direction du Cycle de l'eau s'appuie sur sept pôles de proximité qui assurent également une activité d'autorité organisatrice assainissement dans les territoires, une organisation spécifique à Nantes Métropole. En 2019, le sud-ouest de la métropole a connu, pendant quelques mois, des apparitions de phénomène d'eau colorée. Ce problème est-il nouveau sur le réseau d'adduction d'eau potable ? Tous les propriétaires de réseaux et exploitants d'eau potable connaissent, à un moment donné, ce phénomène qui touche principalement les réseaux métalliques non revêtus. Peu fréquent, celui-ci provient d'une modification brutale du régime hydraulique, comme l'activation d'un poteau incendie, une casse sur le réseau ou une remise en eau après travaux. La répétition de ce phénomène d'eau colorée sur une période courte est le premier élément qui nous a alertés. Puis différents secteurs ont été confrontés à la même problématique. Cela a d'abord touché la partie Sud-Loire du territoire, puis, rapidement, la partie Nord-Loire, alors que ces deux zones sont alimentées par des eaux brutes différentes – eaux souterraines pour le sud, eaux de Loire pour le nord – traitées par deux usines différentes, puis distribuées par des réseaux différents. De plus, l'apparition de ces eaux colorées s'est produite sur des réseaux métalliques, mais aussi sur des réseaux plastiques sans que l'on puisse y associer une origine hydraulique. Connaître l'origine de ce phénomène est bien sûr devenu une priorité, aussi bien pour la direction du Cycle de l'eau que pour les exploitants. Ces derniers ont mené de nombreuses investigations. Ils ont effectué des manœuvres sur le réseau, des modélisations, des analyses de l'eau et des études métallographiques. Ils ont aussi contacté les usagers pour effectuer des prélèvements d'eau à leur domicile lorsque le phénomène était en cours, ce qui a permis de leur fournir les résultats sur la potabilité et l'ensemble des informations dont nous disposions à l'époque sur l'origine de cette coloration. En parallèle, la direction du Cycle de l'Eau s'est rapprochée d'autres collectivités qui avaient pu connaître ces recrudescences d'eau colorée pour essayer de trouver des similitudes entre les deux situations. Comment le CSTB vous a-t-il permis de faire disparaître ce phénomène ? À partir des nombreuses données que nous avions rassemblées, nous avons émis quelques hypothèses qu'il était nécessaire de confirmer. C'est pourquoi nous avons contacté le CSTB. Il nous paraissait intéressant d'avoir un regard extérieur critique afin de ne pas passer à côté d'une piste potentielle. Les experts du CSTB ont pu faire une synthèse de toutes les publications scientifiques qui existaient sur le sujet et réaliser une méthode statistique pour valider nos hypothèses. Il s'est avéré que les origines du problème étaient différentes entre le nord et le sud, malgré leur période d'apparition identique. Les deux usines étaient en travaux en même temps. Même si elles continuaient à produire de l'eau potable, les paramètres de celle-ci étaient légèrement modifiés à cause des travaux. Cela a entraîné une perturbation du biofilm à l'intérieur de nos réseaux et ainsi entraîné une mobilisation des dépôts à l'origine de la coloration. Nous avons alors mené des travaux en urgence sur les conduites métalliques non revêtues. Et quand les travaux n'étaient pas possibles dans l'immédiat, nous avons installé des systèmes de purge qui ont permis aux usagers de retrouver une eau sans coloration. Veolia, la Régie de Nantes Métropole (services usine et réseaux) et la direction du Cycle de l'Eau (pôles gestion patrimoniale, travaux et gestion des opérateurs) ont bouleversé leurs programmations et leurs plannings pour s'investir entièrement dans la résolution de ce problème. Au-delà du désagrément rencontré par les usagers, ce projet de recherche a été un beau travail collectif. Les conclusions de ce projet de recherche ont-elles été exploitées par Nantes Métropole pour anticiper l'apparition de ces phénomènes ? Nous avons en effet instauré une veille de certains paramètres des deux usines, bien au-delà de l'analyse de la potabilité de l'eau, qui n'est pas, dans ce cas, un indicateur pertinent. Grâce à l'expertise du CSTB, nous avons pu bien confirmer ce qu'il s'est passé et donc mettre en place cette vigilance sur certains paramètres de l'eau en sortie d'usine. Nous avons également ajusté notre programmation : le renouvellement des réseaux métalliques non revêtus, et surtout de leurs extrémités, est devenu prioritaire. Aujourd'hui, nous sommes revenus à une fréquence classique d'apparition d'eau colorée, habituelle avec les conduites métalliques non revêtues. Nous ne pouvons pas nous en contenter, notre objectif étant d'offrir un service toujours plus satisfaisant à nos usagers. Le travail d'amélioration est continu et nous menons en permanence des actions correctrices. En termes de communication, l'arbre des causes présenté par le CSTB nous permet de mieux expliquer aux usagers ce phénomène d'apparition d'eau colorée. Celui-ci a été traduit pour les exploitants afin qu'ils soient, eux aussi, en capacité de leur fournir des informations claires et précises. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 332 jours

Jean-Louis Clervil - La parole aux professionnels

Jean-Louis ClervilLa parole aux professionnels L'apport du CSTB a été majeur s'agissant de son expertise laboratoire et de son accompagnement de ce type d'expérimentations qui sont assez spécifiques. Jean-Louis Clervil, direction de l'Ingénierie et du Patrimoine, Eau de Paris Pouvez-vous vous présenter et nous présenter Eau de Paris Eau de Paris est une entité de 80 personnes qui s'occupe de la maîtrise d'ouvrage et de la maîtrise d'œuvre sur l'ensemble du patrimoine lié à l'eau de Paris. C'est une régie autonome financièrement pour assurer les missions régaliennes du service de l'eau : protéger, capter, traiter, stocker, distribuer et suivre. L'avantage d'Eau de Paris est de disposer d'un patrimoine à la fois historique qui date de la fin du 19ème siècle, mais utilisant des technologies modernes de captation, de transport et de traitement. Nous stockons l'eau dans cinq réservoirs principaux à Paris, pour distribuer l'eau potable à l'ensemble des Parisiens, soit trois millions d'usagers au quotidien. Nous suivons évidemment la qualité de l'eau en permanence, puisqu'elle est contrôlée à dix reprises - par Eau de Paris mais aussi l'ARS - tout au long de son parcours avant d'arriver dans le robinet du consommateur. Nous avons donc un outil formidable pour Paris, qui est particulièrement bien géré dans la cadre de la régie. Pour quelles raisons eau de paris s'intéresse à la réhabilitation par chemisage pour l'application Eau Potable ? La réhabilitation est une option que nous avons toujours envisagée, notamment pour des raisons environnementales. Mais cette technique n'est pas appropriée à toutes les situations et pose un certain nombre de questions qui ne sont pas toujours résolues, ce qui fait que dans de nombreux cas, nous préférons faire du remplacement. Les critères qui peuvent faire pencher la balance vers la réhabilitation par rapport à des travaux de remplacement classiques sont bien connus. Il s'agit de ceux présentés par les techniques « sans tranchées » : empreintes environnementale et socioéconomique plus faibles et coût plus compétitif sur la base d'une durée de vie que l'on peut estimer à 50 ans. Malgré un réseau parisien de 2 500 km qui n'est pas en terre mais à 90 % visitables, nous nous sommes tout de même intéressés à la réhabilitation. Mais il nous fallait lever quelques zones d'ombres concernant les techniques de réhabilitation, notamment sur la durée de vie des rénovations car certaines techniques ne sont pas garanties, comme la projection de résine. Mais aussi s'agissant des connexions en bout de tronçons qui sont assez complexes à réaliser, ou encore des difficultés de mise en œuvre, ou de maintenance à postériori sur ces réseaux. Le chemisage est une technique qui semble donc intéressante pour des conduites moyennement oxydées, qui ont été systématiquement réparées par le passé au niveau des joints de rapport extérieurs. En effet, le réseau parisien est essentiellement constitué de futs en fonte grise à Paris et qui ont une durée de vie très supérieures à 50 ans, puisque nous venons de qualifier une durée de vie de quasiment 240 ans. En revanche, la fiabilité des joints mécaniques qui sont soumis à des contraintes liées à la vie de la conduite et leurs durées de vie - bien moindres que celles de la conduite - étaient à expérimenter. On peut donc s'interroger sur la pertinence d'une réhabilitation par l'intérieur avec des résines, avec la spécificité de la mettre en place dans des canalisations situées dans des galeries techniques, et non en terre. L'autre sujet concerne évidemment l'attestation de conformité sanitaire (ACS) de la résine, car très peu de résines ont l'ACS. Par ailleurs, la mise en œuvre de ce type de produits dans des conduites situées dans des galeries d'eau et des égouts, pose un certain nombre de problèmes qui n'ont pas forcément encore été résolus par la filière afin de répondre à toutes les sollicitations nécessaires pour la déployer à Paris. Mais nous avons tout de même voulu mettre en œuvre ce chantier expérimental pour essayer de voir quels étaient les coûts induits, les plannings associés et surtout, la tenue de ce type de produit à l'intérieur d'une canalisation qui a plus de 150 ans. Quel était l'enjeu de réaliser un chantier expérimental à Paris ? L'enjeu était d'essayer de garantir l'étanchéité des tuyaux par l'intérieur, notamment en mesurant l'élasticité de la résine au niveau des joints, car ce sont eux qui évoluent, et non la conduite. Il fallait donc voir si un décollement se prononçait au niveau des pontages, si les effet de pontage ne créaient pas de fissures, mais aussi vérifier la tenue de la résine après projection en une ou plusieurs couches, pour voir s'il y avait des problèmes de cloquage, de tenue. Et enfin, vérifier comment l'intérieur des branchements était traité par la projection de résine, si cela ne créait pas de lutages de branchements qui empêcheraient l'eau de parvenir jusqu'aux abonnés. C'est donc particulièrement la technologie des joints qui nous intéressait, puisque la majorité des fuites du réseau parisien sont localisées à ce niveau, les fuites en section courante de fut n'existent quasiment pas à Paris. Pouvez-vous nous parler de l'apport du CSTB dans le suivi de ce chantier ? L'apport du CSTB a été majeur s'agissant de son expertise laboratoire et de son accompagnement de ce type d'expérimentations qui sont assez spécifiques. Et notamment, concernant la lecture des échantillons prélevés, le niveau de tests et la rigueur de ces niveaux de test s'agissant des prélèvements effectués sur le terrain, qui garantissent le résultat que doit apporter l'examen des échantillons. En effet, c'est un chantier qu'on ne pouvait pas mener seuls en tant que non-sachants. Nous sommes des sachants du réseau parisien en matière de production, distribution et technicité. En revanche, pour tout ce qui concerne les produits nouveaux et d'apports, nous sommes plutôt un laboratoire à ciel ouvert pour toutes les expérimentations possibles qui concourraient à l'amélioration du service d'eau. Avoir l'œil de spécialiste du CSTB était donc essentiel pour Eau de Paris, car nous ne possédons pas sa technicité de haut niveau en matière d'expertise laboratoire, qui a permis à Eau de Paris d'être certaine de ne pas de tromper. Des travaux de R&D doivent-ils être engagés pour améliorer et sécuriser ce type d'opérations ? En matière de réhabilitation, Eau de Paris ne constitue pas un marché porteur qui permettrait de favoriser le développement de la R&D. Les entreprises sont assez frileuses pour développer de nouvelles techniques et technologies pour un marché tout de même assez contraint et limité au domaine parisien, notamment s'agissant des méthodologies de mise en œuvre dans les égouts, environnement assez particulier. Le caractère très spécifique de notre réseau nous met quelque peu en défaut par rapport au développement de la R&D sur ce type de produits. Nous souhaitons poursuivre l'exploration de ce sujet, mais plutôt concernant d'autres techniques de réhabilitation que la résine, comme les chaussettes ou la polymérisation de produits non-pas pulsés sur les parois de canalisations, mais directement ajoutés dans celles-ci. Mais la question du financement se pose : comment qualifie-t-on ces sujets, comment les introduit-on dans les marchés ? Eau de Paris doit contribuer à faire développer des techniques auprès des entreprises pour satisfaire le réseau parisien, mais sans être propriétaire des droits de R&D. Ce n'est pas notre domaine de compétence, mais nous avons des pistes exploratoires sur ces sujets, car le coût du renouvellement à l'identique est très élevé : coûts des matières, nécessité d'analyser les cycles de vie des matériaux posés et de garantir leur réaffectation dans la chaîne de traitement de déchets. Nous avons besoin d'avoir des certitudes sur l'utilisation de ces techniques et la R&D aidera à développer les produits susceptibles d'être posés dans le réseau parisien interne. Comment Eau de Paris voit la certification des produits de canalisation ? Peut-elle lui apporter des bénéfices ? Les normes européennes nous protégeant encore concernant les critères techniques qui pourraient provenir de contrées qui ne respectent pas les conditions techniques normatives de l'Europe, nous nous positionnons plutôt sur des objectifs de performances à atteindre par l'équipement que l'on va poser, de durabilité de cet équipement et surtout, de maintenabilité. Nous souhaitons sortir du cercle vicieux de l'obsolescence programmée des produits que l'on nous propose. En effet, beaucoup d'équipement que l'on a posé à moindre coût et rapidement dans les années 80-90, doivent aujourd'hui être totalement repris. Ce que l'on souhaite mettre en place est une politique du long terme comme l'ont construite les ingénieurs des ponts et chaussées qui ont œuvré à la construction de ce réseau, à savoir construire pour toujours et utiliser des techniques de maintenance appropriées à ces réseaux qui sont faits pour durer. Vous intéressez donc aux produits certifiés ? Bien entendu, mais je pense que nous avons encore du travail pour mener une analyse normative et de la certification et la Direction de l'Ingénierie et du Patrimoine (DIP) a pour projet d'ici à 2026, de procéder au référencement de la classification des produits certifiés qui peuvent être utilisés sur les réseaux d'Eau de Paris. Nous avons un peu de retard sur ces sujets, car nous sommes un peu « enfermés » dans notre enceinte parisienne avec nos habitudes de travail sur la fonte, qui constitue 80 % de notre réseau. Mais on ne peut pas fermer la porte aux produits certifiés qui pourraient constituer une réelle valeur ajoutée. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 332 jours

Jean-Claude Marquant - La parole aux professionnels

La parole aux professionnels Jean-Claude Marquant, directeur projet eaux urbaines, Société Egis La NF390 apporte une garantie sur l'application du produit, indispensable pour le chemisage continu. L'utilisation de produits certifiée répond à l'obligation d'utilisation de la charte qualité des réseaux d'assainissement. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 332 jours

Méthanisation des eaux usées : l'énergie renouvelable de demain ?

Photo : Adobe StockLa technique de méthanisation par fermentation des eaux usées pourrait constituer une petite révolution. Le gaz créé via ce processus pourrait en effet être réinjecté dans les réseaux de distribution d'énergie, comme c'est le cas pour l'alimentation des bus de la ville de Strasbourg. Plusieurs Avis Techniques dédiés ont été délivrés par le CSTB. La méthanisation est une technique fondée sur la dégradation de matière organique par des micro-organismes, en conditions contrôlées et en l'absence d'oxygène. La méthanisation des boues urbaines et des eaux usées issues des réseaux de canalisations génère du biogaz, mélange gazeux saturé en eau à la sortie du digesteur et composé de 50 % à 70 % de méthane et 20 % à 50 % de gaz carbonique, et de quelques traces d'autres gaz. Cette énergie renouvelable peut être utilisée sous forme de combustible pour produire de l'électricité, de la chaleur ou du carburant, ou être injectée dans le réseau de gaz naturel après épuration. « Plusieurs Avis Techniques dédiés ont été délivrés par le CSTB. Ainsi, le dispositif VERINOX permet la réalisation d'ouvrages allant jusqu'à 10 000 m3. PRIM, un classement des dispositifs d'ANC Les dispositifs préfabriqués d'épuration des eaux usées (pour des maisons jusqu'à 20 pièces principales) sont soumis à une procédure d'agrément ministériel compte tenu des enjeux sanitaires et environnementaux induits par une installation d'assainissement non collectif (ANC) composés de ces produits. Cependant, les différents retours de terrain et études in situ mettent en évidence une sinistralité importante tant sur le fonctionnement que sur la stabilité et la durabilité des ouvrages. Pour réduire cette sinistralité, les cinq gammes de dispositifs disposant d'un Avis Technique ou d'un DTA sont classés sur la liste verte de l'Agence Qualité Construction (AQC) et relèvent donc de techniques dites maîtrisées, techniques courantes reconnues par les assureurs. En complément, pour éclairer davantage les maîtres d'ouvrage et les constructeurs, PRIM, un classement des dispositifs, a été conçu par le CSTB et construit avec des collectivités. Il permet d'identifier instantanément le niveau d'un dispositif en matière de pérennité et de robustesse (PR), mais aussi l'intensité technique (I) des règles de mise en œuvre fournies par le fabricant. Enfin, un dernier critère permet de tenir compte des enjeux du milieu (M), pour s'assurer que le dispositif est compatible avec une zone dite « non sensible », avec une zone sensible, en climat tempéré, chaud tropical ou équatorial, froid, voire avec une zone inondable. Le classement PRIM sera associé à terme à la certification QB09 pour les dispositifs relevant de ce référentiel, afin d'être directement repéré sur les produits certifiés. Il permettra d'identifier les installations d'ANC en fonction du niveau de maîtrise de la technique : niveau 2 : technique maîtrisée (faisant l'objet de DTU, d'ATec ou de DTA) ; niveau 1 : intermédiaire (faisant l'objet d'un guide professionnel collectif) ; niveau 0 : niveau de base, réglementaire (faisant l'objet d'un guide rédigé par le fabricant). Impact hydraulique des toitures végétalisées sur les réseaux d'assainissement Le GS 17 « épuration », en relation avec le GS 5.2 relatif à l'étanchéité des toitures-terrasses, a établi des critères pour évaluer l'impact des toitures végétalisées sur les réseaux d'assainissement. Ces critères permettent d'évaluer le fonctionnement des ouvrages et, ainsi, de prendre en compte les services écosystémiques offerts par la gestion à la source des eaux pluviales. Une demande d'Avis Technique est en cours d'instruction sur le sujet, ce qui permettra aux maîtres d'ouvrage d'avoir des informations objectives, dispositif par dispositif, ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent. Parution du fascicule documentaire FD P16-009 « Gestion décentralisée de la pollution des eaux pluviales en milieu urbain » Des travaux sur les techniques de dépollution des eaux pluviales sont menés depuis cinq ans et ont débouché sur la rédaction d'un fascicule documentaire. Par manque de maturité du domaine, il n'a pas été possible d'aboutir à une norme décrivant les modalités de construction et de choix des produits associés. Le fascicule permet toutefois de communiquer une information générale sur les techniques de dépollution, d'harmoniser le vocabulaire et de présenter les différents processus d'évaluation, que ce soit à l'échelle du produit ou de l'ouvrage. Les travaux de R&D du CSTB ont permis au GS 17 de compléter ce fascicule par une méthodologie d'évaluation des techniques de dépollution des eaux pluviales. Les Avis Techniques sur les dispositifs concernés constituent donc une source d'information complète sur leur conception et leur mise en œuvre, notamment en l'absence de norme produit et de règle de construction, et sont mentionnés par les fascicules 70.1 et 70.2 comme preuve de l'aptitude à l'usage. Tous ces travaux devraient permettre une meilleure lecture par les collectivités des solutions techniques innovantes qui émergent dans le domaine. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 332 jours

Les lauréats du Prix régional de la construction bois Bretagne 2022 révélés

Depuis 2012, le Prix National de la Construction Bois récompense les ouvrages en bois remarquables. Ici, c'est la sélection régionale Bretonne qui est révélée, avec 10 lauréats et coups de cœur choisis cette année.
Il y a 2 ans et 332 jours

SCREENAMAX : avec son nouveau zip-screen ultra compact et extra large, Soprofen révolutionne le marché de la protection solaire

Selon le dernier rapport du GIEC, en 2021, la température moyenne de la Terre a atteint les +1,2°C depuis la révolution industrielle. D’ici 2100, elle devrait même dépasser les +3°C. Cette hausse risque d’accentuer les phénomènes météorologiques extrêmes tels que les épisodes de canicules. D’où l’importance de l’introduction, dans la nouvelle réglementation RE2020, d’un objectif de confort d’été afin de garantir un minimum de fraîcheur dans les bâtiments en cas de fortes chaleurs. Parmi les solutions efficaces pour réduire la surchauffe et éviter le recours à la climatisation très énergivore figurent les stores extérieurs. Bénéficiant d’une expertise de 25 ans dans le domaine des protections solaires, SOPROFEN propose une gamme complète de solutions performantes adaptées à tous types de baies. Aujourd’hui, le leader français de la fermeture repousse les limites dimensionnelles et lance SCREENAMAX, une nouvelle gamme de screens ZIP ultra compacts et extra larges. SCREENAMAX, pour voir les choses en grand… Ces dernières années, la tendance est aux habitations baignées de lumière naturelle grâce à des baies vitrées XXL. Souhaitant offrir un niveau de performance et de confort thermique optimal en phase avec les exigences de la RE2020, et ce quel que soit le type d’ouverture, SOPROFEN a mobilisé son service Recherche & Développement pour trouver une solution qui s’affranchit des contraintes dimensionnelles. De là est née la gamme de stores extérieurs SCREENAMAX qui associe : – un coffre en aluminium extrudé à la compacité maximale, – une toile qui filtre jusqu’à 97 % des rayons solaires, – un nouvel axe, à l’intérieur duquel est intégré un second axe précontraint muni de paliers avec des roulements. Ce système breveté, appelé Zoomtech®, compense la gravité de l’axe pour éliminer sa flexion. Exclusivité SOPROFEN, ce procédé unique garantit ainsi une parfaite rectitude et autorise désormais la conception de stores de grandes largeurs, jusqu’à 7 mètres, avec une toile totalement lisse et un enroulement optimisé, le tout intégré dans un coffre réduit. De quoi répondre aux besoins de protection des ouvertures hors normes ! … en toute discrétion Assurant une gestion optimale de la luminosité et une température intérieure maîtrisée, SCREENAMAX est disponible dans 2 tailles de coffre ultra-compact qui optimisent le clair de jour : – un coffre de 85 mm avec un axe aluminium de 58 mm pour les baies jusqu’à 6 m de large et 2,30 m de haut, – un coffre de 105 mm avec un axe acier de 78 mm pour les ouvertures jusqu’à 7 m de large et 4 m de haut. Invisibles de l’intérieur, ils affichent une esthétique dans l’air du temps dont le design lisse et épuré aux lignes rectilignes leur permet de s’intégrer harmonieusement à tous les styles architecturaux, y compris les vérandas et pergolas. Pour une finition irréprochable, SOPROFEN a soigné les moindres détails : aucune vis n’est apparente sur le coffre, la barre de charge et les coulisses. Extra fines (22 mm), celles-ci s’effacent derrière le dormant et sont dotées d’un système de glissière qui assure un parfait maintien de la toile même par temps venteux. De plus, le profilé de maintien de la barre de charge ne laisse apparaître aucune soudure visible sur la toile. A cela s’ajoute une grande liberté de choix tant dans la gamme de toiles proposées qu’au niveau des coloris. Une personnalisation sans limite Au style contemporain, le nouveau screen extérieur zip SCREENAMAX de SOPROFEN se décline dans une large palette de couleurs tendances pour : – l’encadrement (coffre, coulisses, barre de charge) grâce à 15 teintes disponibles en standard et 3 finitions (lisse-satiné, lisse-mat ou structuré-mat). Tous les coloris RAL sont également réalisables en option, de même que la haute résistance « bord de mer » obtenue grâce au thermolaquage renforcé des parties visibles en aluminium qui leur confère une protection optimale contre la corrosion, – les toiles avec 5 gammes différentes et une offre de coloris étendue (plus de 300). Pour apporter une réponse adaptée à chaque espace, les toiles existent en version micro-perforées pour garantir une luminosité suffisante à l’intérieur tout en conservant une visibilité sur l’extérieur, ou occultantes pour préserver l’intimité et satisfaire les besoins d’obscurité dans certaines pièces (chambre…). Le confort de la motorisation solaire en plus Doté d’un panneau photovoltaïque ultra plat (7 mm d’épaisseur), le nouveau screen extérieur zip de SOPROFEN récupère l’énergie solaire et l’accumule dans une batterie positionnée dans l’angle avant du coffre pour une maintenance facilitée. Efficace avec une bonne exposition et par tous les temps (-20 à +70°C), il dispose de toute l’énergie nécessaire pour assurer en toute autonomie pendant 45 jours la montée/ descente du store, même par faible ensoleillement, à raison d’un cycle quotidien. Sans fil pour une installation rapide et pratique, le SCREENAMAX à motorisation solaire s’adapte à toutes les mises en œuvre sans risque d’endommager les finitions intérieures comme extérieures de l’habitation, et ce aussi bien en neuf qu’en rénovation. Egalement disponible en version motorisée filaire ou radio, il est compatible avec les solutions domotiques du marché. Grâce à cette nouvelle gamme de screens extérieurs zip SCREENAMAX qui offre aux ouvertures de grandes dimensions un écran total de protection pour un encombrement minimal, SOPROFEN révolutionne le marché de la protection solaire et se positionne d’ores et déjà comme un acteur incontournable du secteur. http://www.soprofen.fr
Il y a 2 ans et 332 jours

Porte rapide Dynaco S-5 Atex : la solution certifiée pour réduire les risques d'explosion

Dynaco propose des solutions de qualité pour les deux zones Atex 1/21 et 2/22 qui sont doublement certifiées, permettent de gagner du temps et de l'argent et offrent la tranquillité d'esprit. En bref, en installant des portes rapides S-5 Atex dans des zones sensibles aux explosions, vous augmentez la sécurité des hommes et des produits.Un environnement de travail sûrDe nombreuses industries sont confrontées aux zones Atex : des secteurs pharmaceutique, chimique et pétrochimique aux industries alimentaire et textile. Lorsque des gaz, des vapeurs ou des combustibles inflammables entrent en contact avec l'oxygène, toute source d'inflammation peut provoquer une explosion. Les étincelles, les flammes, les températures élevées ou l'énergie statique doivent donc être évitées à tout moment. En tant qu'employeur, vous devez être en mesure de permettre aux employés de travailler dans un environnement sûr et de réduire au minimum le risque d'explosion. Les portes rapides antidéflagrantes Dynaco S-5 Atex pour la catégorie 2 (zone 1/21) et la catégorie 3 (zone 2/22) sont un atout à cet égard.Certifié deux foisAffirmer qu'une porte est antidéflagrante est une chose. Dynaco, fait de cette preuve une réalité et les solutions Atex pour les zones 1/21 et 2/22 peuvent également présenter des certificats officiels pour l'ensemble de la porte en tant que produit fini et opérationnel. C'est unique dans le secteur et c'est une valeur ajoutée importante pour leurs clients, car de cette façon Dynaco apporte une tranquillité d'esprit, et évite beaucoup de travail administratif supplémentaire. Dans les environnements Atex, tous les composants de la porte doivent être antidéflagrants : de la structure métallique aux composants électriques, en passant par le tablier et les guides. Tous ces éléments sont toujours certifiés séparément par le fabricant respectif. Mais le travail de Dynaco ne s'arrête pas là, car en plus de ces certificats sous-jacents, les portes S-5 Atex sont également accompagnées d'un certificat de type, qui se rapporte au modèle, et d'un certificat de porte avec numéro de série, qui n'est délivré qu'après inspection de la porte entièrement finie et préassemblée. Apragaz, un organisme officiel européen de contrôle par organisme notifié, a visité l'atelier de Dynaco à cette fin. Ils vérifient, contrôlent et testent la conformité aux réglementations Atex et ne délivrent qu'ensuite leur rapport d'inspection C1 officiel. De solides atoutsOutre leur double certification, les portes rapides Dynaco S-5 Atex offrent d'autres avantages importants. Par exemple, ils réduisent le risque de contamination, assurent de meilleures conditions de travail et sont économes en énergie. En outre, ces portes permettent de réduire tous les coûts liés à l'Atex. Ils permettent une répartition aisée des différentes zones, minimisant ainsi la surface qui doit être conforme aux exigences Atex. Enfin, les portes ont un faible encombrement, prennent peu de place et peuvent être adaptées aux besoins spécifiques de l'entreprise, ce qui garantit un fonctionnement sans faille.
Il y a 2 ans et 332 jours

Les renouvelables progressent en France, loin cependant de l'objectif

Les énergies renouvelables ont progressé en 2021 en France pour atteindre 19,3% de la consommation finale brute d'énergie, loin cependant de l'objectif de 33% visé d'ici 2030.
Il y a 2 ans et 332 jours

Les investissements dans l'énergie vont "dans la bonne direction" selon l'AIE

Les énergies propres vont tirer la hausse des investissements énergétiques dans le monde cette année, même si c'est loin d'être assez, estime l'Agence internationale de l'énergie (AIE) ce 22 juin.
Il y a 2 ans et 332 jours

Riou Glass débarque à Paris

Le verrier normand vient d’intégrer Square, un showroom multimarques parisien appartenant au groupe belge Reynaers.
Il y a 2 ans et 332 jours

Spie Batignolles intervient dans la rénovation énergétique d'un gymnase universitaire à Poitiers (86)

Ce projet soutenu par l'Etat dans le cadre du plan France Relance, d'un montant de 1.880.000 euros, a pour première ambition d'améliorer nettement la performance énergétique du bâtiment, avec comme objectif une réduction de la consommation d'énergie primaire de 60%, et d'énergie finale de 64% — au-delà donc des objectifs nationaux.Les solutions proposées par le groupement vont permettre de maintenir le gymnase en service durant les travaux et d'offrir à terme aux utilisateurs et à l'exploitant un équipement confortable, aux frais d'exploitation réduits.Les travaux réalisés sur l'enveloppe du bâtiment sont également l'occasion de donner une toute nouvelle image à cette salle multisports située en bordure du campus Est de Poitiers, et sa valorisation bénéficiera à l'image du quartier et de l'Université au sens large.L'achèvement de l'opération est programmé pour le mois de septembre 2022.Une démarche globale de durabilitéL'Université de Poitiers vise la réalisation d'un « éco-campus », et cela passe cette année entre autre par la rénovation de l'un des éléments phares de son équipement sportif. Elle a opté pour l'expertise et la proximité de l'équipe constituée autour de Spie batignolles grand-ouest qui comprend le cabinet Créature Architectes, le bureau d'études Climat Conseil et la société d'ingénierie 3Ia.Le projet a été pensé dans une logique de durabilité, avec l'usage de matériaux biosourcés ou issus du réemploi et obtenus en filière courte, ainsi qu'une contribution à l'insertion professionnelle au travers du tutorat.Les travaux se caractérisent aussi par l'utilisation de technologies numériques avec la création d'une maquette BIM, l'emploi du programme de planification Teamoty, ou encore la réalisation d'un Plan d'Installation de Chantier digital et dynamique permettant de communiquer en temps réel avec les utilisateurs sur l'avancement des travaux.L'équipe débutera la réhabilitation par l'isolation des façades de l'édifice en béton érigé dans les années 1970. Elles recevront ainsi une isolation thermique par l'extérieur en laine de bois, réalisée à partir de matériaux biosourcés, un enduit décoratif, un bardage en matériaux composite ou une maille métallique anti graffiti selon la localisation. Les menuiseries actuelles en simple vitrage seront remplacées par des ensembles en aluminium double vitrage.La couverture qui a bénéficié de travaux d'entretien récents et dispose déjà d'un bon niveau de performance, sera conservée en l'état, dans le cadre d'une démarche qui vise à optimiser le ratio coût, performance.Du côté de l'équipement de ventilation, le complexe sera équipé d'une nouvelle VMC double flux afin de fournir un chauffage et une ventilation plus homogènes à l'intérieur des zones de sport (dojo et grand gymnase).Des travaux de rénovation de la chaufferie prévoient la dépose des chaudières gaz existantes, la pose d'un nouveau ballon d'eau chaude sanitaire électrique, le changement de l'armoire électrique et l'installation de centrales de traitement d'air double flux.Des robinets thermostatiques seront placés sur chaque émetteur intérieur pour une utilisation plus raisonnée et la mise en place d'une GTC permettra le pilotage et le contrôle en temps réel des différentes consommations énergétiques. Les éclairages existants seront remplacés par des luminaires LED au rendement énergétique supérieur.Sur les toitures des bureaux seront installés environ 100 m² de panneaux photovoltaïques venant se rajouter aux travaux déjà prévus dans le marché initial.Les opérations de maintenance se retrouveront facilitées par la création d'un local technique au rez-de-chaussée qui regroupera l'ensemble des installations.
Il y a 2 ans et 332 jours

Foin des vieilles pierres, le Tour de France contemporain 2022 de Chroniques

Ce Tour de France 2022, comme tous les précédents, sera l’occasion pour les commentateurs de la course de valoriser à outrance les belles ruines du pays. Le tout agrémenté de moult vues d’hélicoptère de la vieille église et du vieux château et de séquences ‘nostalgie’. Pourtant, l’heure est à l’innovation et à la technologie : […] L’article Foin des vieilles pierres, le Tour de France contemporain 2022 de Chroniques est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 332 jours

Théâtre National de Chaillot : Eiffage mène la danse

Eiffage Construction mandataire du groupement constitué avec Eiffage Énergie Systèmes, l’Agence d’Architecture Clé Millet, le bureau d’études BETEM et le scénographe Thierry Guignard, a remporté le contrat pour la deuxième phase des travaux de rénovation du Théâtre National de la Danse du Palais de Chaillot à Paris, pour un montant global de près de 40 millions d’euros.
Il y a 2 ans et 332 jours

Le Crédit Agricole Immobilier lance un appel à candidatures pour réinventer la ville

Le Village by CA, l’accélérateur et incubateur de start-ups du Groupe Crédit Agricole, et Crédit Agricole Immobilier lancent un appel à candidature pour réduire la charge carbone de l’immobilier.
Il y a 2 ans et 332 jours

Bas Smets, Grau et Neufville-Gayet au chevet de Notre-Dame de Paris

Au sommaire du numéro d'AMC spécial Intérieurs qui vient de paraître (n°306 - juin, juillet 2022) et disponible en format numérique : une enquête sur le commerce, entre deux mondes, entre boutiques réelles et e-commerce, mais aussi la mue du musée de Cluny, un portrait de l'agence MBL et une visite de la biennale […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 332 jours

Eiffage rénove le Palais de Chaillot

CONTRAT. La major Eiffage a remporté en groupement le marché pour réaliser la deuxième phase des travaux de rénovation du Théâtre national de la danse du Palais de Chaillot, classé monument historique.
Il y a 2 ans et 332 jours

Contributions du Club de l'Amélioration de l'Habitat à la transition démographique et l'adaptation du logement

Composé d’acteurs incontournables de la rénovation de l’habitat, ce groupe accompagnera et soutiendra les politiques publiques en faveur de l’adaptation des logements permettant de favoriser “le mieux vieillir chez soi” des seniors. Le Club a dévoilé les 4 axes d’action de ses travaux.Le contexte La transition démographique est porteuse de transformations profondes, aux conséquences majeures sur les grands équilibres de la société française avec le vieillissement de la population, qui pose la question de la dépendance et du “bien vieillir”.En 2030, 20 millions de personnes seront âgées de plus de 60 ans – dont déjà 15 millions aujourd’hui. Et ce sont 4,8 millions de Français qui auront passé les 85 ans, contre 1,4 million à l’heure actuelle. Cette transition démographie soulève de nouvelles problématiques et constitue un véritable défi sociétal et enjeu national. Le rôle du groupe de travail : précéder et accompagner le projet de loi “Générations Solidaires” Ce groupe de réflexion a pour vocation de précéder et accompagner le projet de loi n’ayant pu être étudié lors de la mandature actuelle mais qui le sera très certainement dès le début de la prochaine : “Générations Solidaires”. D’ores et déjà des dispositions d’aides financières sont annoncées dans le cadre du Projet de Loi de Finances 2023 et une aide financière pourrait voir le jour dès 2022 : “MaPrimeAdapt”. Les deux grands axes de cette aide consistent à aider les foyers modestes et très modestes à hauteur de 70 % des travaux d’adaptation et à permettre à tous les foyers (+ de 70 ans) d’avoir la possibilité de bénéficier d’un diagnostic de son logement en termes d’accessibilité et de mobilité. Le plan d’action du groupe de travail en 4 axesComposé d’un tour de table varié des acteurs de la rénovation de l’habitat, ce groupe accompagnera et soutiendra les politiques publiques en faveur de l’adaptation des logements pour favoriser le maintien à domicile des seniors. (Voire des PMR dans le sens de la future législation à venir). 4 grands axes de travail rythmeront l’année 2022 :1 : Anticipation, prévention, information, diagnostic et sensibilisation pour préparer le public au maintien à domicile. 2 : Création d’un référentiel technique et d’offres technologiques tant du point de vue des experts du bâtiment que des spécialistes en ergothérapie. 3 : Montée en compétences des filières professionnelles et élargissement des qualifications (programme pédagogique technique, marketing, psychosociologique…). 4 : Accompagnement global de la démarche par un tiers de confiance : administratif et financier, suivi technique, garanties de qualité et de performance dans le temps.Les résultats et premières recommandations de ce groupe de travail seront délivrés à l’occasion du colloque du Club qui célébrera ses 30 ans le 5 octobre prochain sur le Salon du Mondial du Bâtiment. Retrouvez plus d’informations sur le lancement de ces travaux en écoutant la chronique du CAH “Améliorer nos lieux de vie” enregistrée le 4 février dans le cadre de l’émission : “Les Rendez-Vous du Mondial du Bâtiment” sur Batiradio.
Il y a 2 ans et 332 jours

La France, leader mondial du solaire hybride photovoltaïque et thermique à la fois

Le marché français se classe parmi les trois premiers dans le monde pour trois segments en solaire thermique : en tête du marché du PVT, second en chauffage urbain et pour la chaleur en industrie.
Il y a 2 ans et 332 jours

« One Home », la nouvelle stratégie d'Unilin Insulation pour la construction d’un monde durable

« One Home », la nouvelle vision du groupe Unilin à laquelle Unilin Insulation contribue, en est le parfait reflet. Elle est axée non seulement sur la protection de la planète mais plus largement sur la qualité des espaces de vie dans l’habitat et sur celle de l’environnement de travail de ses salariés.One Home, 100% d’ambition pour 0% d’émissions : la vision de la durabilité en paroles et en actesEn déployant sa vision de durabilité « One Home », le groupe Unilin organise ses activités conformément à l’Accord de Paris sur le climat qui vise à limiter le réchauffement de la planète. L’entreprise s’engage à respecter des objectifs fondés sur la science. Ceux-ci seront contrôlés par l’initiative Science Based Targets, une tierce partie indépendante qui promeut les meilleures pratiques dans la lutte contre le changement climatique.Comprenant 12 objectifs à concrétiser d’ici 2050, la stratégie RSE « One Home » repose sur 3 piliers :PLANET HOME pour protéger la planète,YOUR HOME avec des produits innovants assurant des espaces de vie sains, confortables et durables,OUR HOME visant un environnement de travail sûr, stimulant et positif pour ses collaborateurs.Planet Home, protéger la planèteEn réduisant les émissions de gaz à effet de serreEn Europe, les bâtiments sont à l’origine de près de 36 % des émissions totales de CO2, principalement dues au chauffage et à la climatisation. Même si les solutions d’isolation d’Unilin Insulation contribuent à l’efficacité énergétique de ceux-ci, il n’en demeure pas moins que les matériaux utilisés et la façon dont ils sont produits génèrent encore des émissions de gaz à effet de serre. Pour les limiter, Unilin Insulation souhaite rendre l’ensemble de ses sites de production (dont celui de Sury-le-Comtal en France et ceux de Desselgem et Feluy en Belgique) neutres en carbone d’ici à 2030.Afin d’atteindre cet objectif, l’entreprise a d’ores et déjà entrepris des actions pour réduire les émissions générées sur ses sites de production ainsi que les émissions indirectes de l’électricité qu’elle achète.5% et se tourne vers les énergies renouvelables en équipant, par exemple :Son unité de Feluy de deux éoliennes de 3,6 MW chacune (l’équivalent de la consommation d’électricité de 3 400 ménages). Depuis fin avril, les turbines fournissent à l’usine plus de 70 % de l’électricité nécessaire à la production d’une isolation durable, le reste étant injecté dans le réseau électrique de la ville ;3 sites de production, dont celui de Desselgem, sont équipés de 14 551 panneaux solaires d’une puissance de 5,7 MWp, soit la consommation énergétique annuelle de 1 385 ménages. Sur le site de Sury-le-Comtal, Unilin Insulation fabrique, au plus près de ses clients, des produits Made in France.Différents projets y sont à l’étude pour restreindre les consommations énergétiques : installation de panneaux photovoltaïques, récupération de chaleur, passage à un éclairage Led à l’intérieur des bâtiments.Au global, la production d’énergie solaire et éolienne réalisée et planifiée réduira les émissions indirectes de CO2 de 34% d’ici à la fin 2024.En développant un modèle d’économie circulaire Dans le cadre de la décarbonation de ses activités, Unilin Insulation va agir sur toutes les autres émissions de gaz à effet de serre qui ne sont pas liées à la fabrication de ses produits mais à d’autres étapes du cycle de vie de ceux-ci (approvisionnement, achats, transport, déchets, ...).70% des panneaux seront recyclés d’ici 2030 : 90% des déchets de production et de chantier et 35 % des déchets de démolition.Afin de parvenir au recyclage de ses panneaux d’isolation en mousse de polyuréthane, Unilin Insulation s’implique activement, depuis fin 2021, dans le projet européen CIRCULAR FOAM qui vise à rendre la mousse de PU rigide circulaire sans sacrifier sa qualité. Grâce au recyclage chimique, les déchets de mousse rigide de PU seront transformés en nouvelles matières premières utilisées pour fabriquer de nouveaux panneaux isolants tout aussi qualitatifs.A l’horizon 2040, cet écosystème circulaire permettra de donner une nouvelle vie à 1 million de tonnes de déchets de mousse rigide de PU par an en Europe (provenant de l’isolation des bâtiments et des réfrigérateurs) mais aussi d’éviter 2,9 millions de tonnes d’émissions de CO2 et 150 millions d’euros de coûts d’incinération.En parallèle, Unilin Insulation s’engage à ne plus jeter ses déchets mais à les recycler autant que possible et a pour triple objectif :0 déchet de production mis en décharge d’ici 2023,0 déchet de chantier mis en décharge d’ici 2025,0 déchet de démolition mis en décharge d’ici 2030.Enfin, Unilin Insulation souhaite optimiser ses économies de CO2 en utilisant des matières premières recyclées, biosourcées ou basées sur le CO2 dans sa production. Cela a déjà été initié avec ses fournisseurs et la part du carbone circulaire pour produire les panneaux d’isolation devrait atteindre 5 % d’ici 2025 et 30 % d’ici 2030.Un nouvel emballage éco-responsable déjà mis en placePour réduire son empreinte carbone, Unilin Insulation s’attaque à l’ensemble de la chaîne de production. En intégrant au moins 50% de plastique recyclé dans un nouveau film rétractable pour emballer les plaques isolantes Utherm, cette initiative, développée et initiée avec ses partenaires, diminue de près de 42% les émissions de CO2, soit un gain annuel de plus de 1 000 tonnes. De même, en rendant les emballages plastiques transparents et en utilisant 35% moins d’encre, ces derniers peuvent être recyclés plus facilement, sans aucun compromis sur la qualité. Le nouveau film a ainsi été doté d’une barrière anti-UV afin de protéger les plaques isolantes de la décoloration lorsqu’elles restent entreposées longtemps à l’extérieur.YOUR HOME, des produits innovants au service d’espaces de vie sains, confortables et durablesAutour de YOUR HOME, deuxième pilier de sa stratégie de développement durable, Unilin Insulation se positionne comme un acteur engagé de l’isolation offrant à ses clients, professionnels et particuliers, des solutions à haute valeur ajoutée garantissant des espaces de vie sains, confortables et durables, conformes aux exigences réglementaires.Sachant que près de 75% du parc immobilier européen est inefficace sur le plan énergétique, l’isolation des bâtiments est donc une étape nécessaire pour réduire leur consommation.Bénéficiant de performances élevées en matière d’isolation, les plaques PIR et les panneaux de toiture d’Unilin Insulation bénéficient d’une durée de vie aussi longue que les bâtiments qu’ils isolent. Ces solutions compactes et légères, particulièrement adaptées à la rénovation, offrent un confort optimisé été comme hiver pour une empreinte carbone limitée. De plus, en réduisant l’émission de composés organiques volatils (COV) de ses panneaux en PU (classification A+), Unilin Insulation participe à une bonne qualité de l’air intérieur. Avec pour force motrice l’innovation, Unilin Insulation continue ses efforts en faveur du climat et de la construction durable non seulement en diminuant l’impact carbone de ses panneaux en PU, mais aussi en proposant des solutions mixtes avec des matériaux biosourcés ou en facilitant et sécurisant le travail des installateurs. Les derniers systèmes d’isolation par l’extérieur lancés en sont la preuve :USYSTEM Roof OS Comfort Natural et USYSTEM Roof DS Natural WoolPanneaux de toiture, spécial éco- construction, offrant tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments.UTHERM Sarking K Anti-Slide et UTHERM Sarking K Comfort Anti-SlideGammes de plaques isolantes dotées d’un revêtement anti-dérapant et anti- réfléchissant pour une sécurité de pose en climat de montagne.Elles garantissent, en outre, un confort thermique et acoustique en toutes saisons. Dans la continuité de ces innovations, une nouvelle gamme spécial ERP verra le jour au second semestre 2022.OUR HOME, pour un environnement de travail sûr, stimulant et positif pour ses collaborateursDernier volet de la politique RSE d’Unilin Insulation : le bien-être, la sécurité et la santé de ses salariés, des préoccupations majeures qui sont au cœur de ses activités.Visant le « 0 accident », l’entreprise a instauré une politique de sécurité positive et bienveillante afin de développer cette culture à tous les niveaux de son organisation. Les managers ayant un rôle clé à jouer, Unilin Insulation a mis en place, depuis 2019, un programme de formation pour tous les managers afin de développer les qualités de leadership en la matière. En 2021, l’entreprise a instauré des « Life Saving Rules », règles de sécurité pour sauver des vies, sur tous ses sites de production. Celles-ci garantissent une formation et une communication claires, l’analyse des situations à risque et l’élimination des obstacles qui s’opposent à un travail sûr.Enfin, Unilin Insulation déploie des programmes favorisant également le bien-être de ses employés sur et en dehors de leur lieu de travail.Afin de rendre compte de ses avancées concrètes en matière de durabilité, le groupe Unilin publiera un rapport annuel dès la fin 2022. En parallèle, les performances de durabilité de ses produits seront mesurées grâce à l’analyse de leur cycle de vie.
Il y a 2 ans et 332 jours

De l’art d’utiliser la pierre naturelle locale dans la commande publique : la preuve par l’exemple

 Rousson – Gard (30)  Quand la pierre naturelle locale donne naissance à une groupe scolaire – Zoom  Architecture et matériaux pour une signature régionale, voire locale   Le patrimoine architectural français se distingue depuis des siècles par sa grande diversité et la noblesse des matériaux utilisés dans ses solutions constructives, de même que par l’empreinte locale […]
Il y a 2 ans et 332 jours

WEBER habille les façades : prêt-à-porter et haute couture

Alors que son emblématique enduit monocouche fête en 2022 ses 50 ans, Weber n’a jamais cessé d’innover dans l’habillage des façades, notamment en termes de finitions. Projetés, écrasés, grattés, grésés, talochés… les enduits voient leurs applications se diversifier pour varier toujours davantage les rendus esthétiques. Également pionnier dans le matriçage d’enduit minéral, sa gamme exclusive […]
Il y a 2 ans et 332 jours

Travelling sur l'Adour, un cinéma à Biarritz par Farid Azib

Au sommaire du numéro d'AMC spécial Intérieurs qui vient de paraître (n°306 - juin, juillet 2022) et disponible en format numérique : une enquête sur le commerce, entre deux mondes, entre boutiques réelles et e-commerce, mais aussi la mue du musée de Cluny, un portrait de l'agence MBL et une visite de la biennale […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 332 jours

A Saint-Etienne-de-Lisse, chai Valandraud signé Touton Architectes

A Saint-Etienne-de-Lisse (Gironde), l’agence bordelaise Touton Architectes (Hugues et Edouard Touton) a livré en 2020 pour Thunevin SAS maître d’ouvrage le chai Valandraud, un ouvrage de 1 182 m² faisant partie du « réel collectif ». Communiqué. Afin de limiter sa présence dans le grand paysage, ce nouveau bâtiment de vinification vient se glisser dans l’empierrement courbe […] L’article A Saint-Etienne-de-Lisse, chai Valandraud signé Touton Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.