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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 27 jours

RE2020 : le Conseil d'État rejette le recours pour inconstitutionnalité déposé par les filières du béton et de la terre cuite

Fin décembre 2021, plusieurs fédérations industrielles de la construction ont déposé une Question Prioritaire de Constitutionnalité auprès du Conseil d'État pour demander l'annulation « pour excès de pouvoir » des premiers décrets et arrêtés publiés en 2021 concernant les exigences et les méthodes de calcul de la RE2020. Ces organisations estimaient qu'une forme de favoritisme du recours au bois pour la construction de bâtiment était contraire à « la liberté d'entreprendre » et au « principe d'égalité ».« S'il est soutenu que les dispositions contestées établissent une différence de traitement entre la filière bois, qui présenterait de bons résultats en matière de stockage de carbone pendant la durée de vie des bâtiments, et les autres filières et matériaux, il résulte des termes des articles L. 171-1 et L. 171-2 du code de la construction et de l'habitation que les dispositions contestées s'appliquent indifféremment à tous les constructeurs et se bornent à introduire une exigence de résultats minimaux, sans identifier aucun matériau donné. Par suite, et en tout état de cause, il ne peut être sérieusement soutenu que ces dispositions porteraient atteinte au principe constitutionnel d'égalité devant la loi. »Avec la RE2020, « le législateur a entendu favoriser la réduction des émissions de gaz à effet de serre, dans un but de protection de l'environnement » en imposant une attente de résultats en termes de limitation de l'impact sur le changement climatique et calculée sur l'ensemble de la vie du bâtiment et en prenant compte du stockage de carbone durant le cycle de vie du bâtiment. Mais le Conseil d'État précise que « cette obligation n'impose toutefois pas aux acteurs de la construction un choix particulier de matériau, et ne fixe aucune prescription quantitative imposant directement une proportion de matériaux identifiés dans le bâti. L'atteinte ainsi portée à la liberté d'entreprendre des acteurs de la construction par le législateur n'est donc pas manifestement disproportionnée au regard de l'objectif d'intérêt général de protection de l'environnement ».Le Conseil d'État a donc déclaré dans sa décision du 29 mars « que la question de la conformité aux droits et libertés garantis par la Constitution des dispositions contestées ne présente pas un caractère sérieux. Il n'y a, dès lors, pas lieu de la renvoyer au Conseil Constitutionnel ».
Il y a 3 ans et 27 jours

LGV Sud-Ouest : deux recours contre le plan de financement

Des élus, dont le maire écologiste de Bordeaux Pierre Hurmic, demandent "l'annulation du plan de financement" de ce projet ferroviaire à 14,3 Mds€.
Il y a 3 ans et 27 jours

L’UFC-Que Choisir défend devant le Conseil d’État le droit à un prix raisonnable de l'électricité

Alors que cette mesure salutaire est attaquée par plusieurs organisations syndicales d’EDF devant le Conseil d’État, l’UFC-Que Choisir intervient ce jour dans la procédure en soutien du gouvernement compte tenu des effets inflationnistes qui résulteraient de son annulation. L’association demande parallèlement au président de République de prendre toutes les mesures permettant d’écarter une potentielle explosion de 47% des factures d’électricité des consommateurs en 2023.Une mesure gouvernementale limitant la hausse des factures d’électricité contestée par les syndicats de salariés d’EDFAlors que la hausse du tarif réglementé de vente aux particuliers (TRV) aurait pu atteindre 35% TTC en 2022, le gouvernement – sous l’impulsion de la société civile et de la Commission européenne – a pris plusieurs mesures pour la limiter. Parmi elles, outre la baisse de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (passée de 22,5 €/MWh à 1 €/MWh), le gouvernement a décidé d’agir sur l’ARENH, un dispositif permettant aux concurrents d’EDF d’acheter à un prix régulé une partie de sa production nucléaire. En relevant le plafond de l’ARENH de 100 à 120 TWh, EDF doit ainsi davantage rendre accessible à ses concurrents – et par capillarité faire bénéficier à leurs clients – l’avantage compétitif du parc nucléaire par rapport aux prix sur les marchés de gros.Les syndicats de salariés d’EDF attaquent actuellement devant le Conseil d’État les textes réglementaires précisant les modalités de ce relèvement du plafond de l’ARENH, en arguant notamment qu’il affaiblirait la situation financière d’EDF. S’il est vrai qu’EDF tirerait davantage profit de la vente de 20 TWh de sa production nucléaire sur les marchés à des cours en pleine ébullition autour de 200 €/MWh plutôt que d’en faire bénéficier les consommateurs français au prix régulé de 46,2 €/MWh, le véritable scandale réside dans le fait que les consommateurs sont privés depuis 2019 de la pleine jouissance de la rente nucléaire (1) alors qu’ils ont financé la construction des centrales, et sont ainsi artificiellement surexposés aux prix de l’électricité sur les marchés internationaux.Une annulation de la hausse du plafond de l’ARENH pourrait entraîner un rattrapage tarifaire de 16%Si la faible sensibilité de ces syndicats au montant de la facture d’électricité peut s’expliquer (puisque les salariés d’EDF bénéficient de « l’avantage énergie » : gratuité de l’abonnement, fourniture d’électricité à un prix équivalent à 4% du prix de base et exonération des taxes) (2), pour l’immense majorité des consommateurs, le prix de l’électricité constitue une préoccupation aussi forte que légitime. Et les conséquences qu’aurait pour les consommateurs une annulation du plafond de l’ARENH seraient concrètes et désastreuses. En effet, en se focalisant sur les seuls intérêts pécuniaires d’EDF, le recours de ses syndicats de salariés passe sous silence le fait qu’une telle annulation contraindrait vraisemblablement les concurrents d’EDF à augmenter leurs prix, mais que surtout les 65% de ménages au TRV seraient également affectés, puisque le TRV est calculé de telle sorte que plus la quantité d’électricité vendue au tarif de l’ARENH est limitée, plus son prix est élevé (3).Concrètement, si la hausse du TRV en 2022 n’avait pas été plafonnée à 4% par le gouvernement, elle aurait atteint 20% avec un plafond d’ARENH à 100 TWh. D’après les calculs de l’UFC-Que Choisir cette hausse aurait été réduite à 10% avec un plafond à 120 TWh. Dès lors, annuler les textes administratifs permettant aux fournisseurs alternatifs d’avoir accès à 20 TWh supplémentaires pourrait aboutir à ce qu’un rattrapage tarifaire de 16% soit effectué sur les factures des consommateurs en 2023 au titre du plafonnement à 4% effectué en 2022. En effet, bien que le gouvernement se soit engagé à ne pas procéder à un tel rattrapage, le flou demeure sur l’effectivité de cette promesse (4).Attention au scénario catastrophe en 2023 : + 47 % de hausse des factures !Limiter le risque d’un rattrapage massif sur les factures en 2023 est d’autant plus indispensable qu’un tel rattrapage viendrait s’ajouter à une hausse des factures qui pourrait déjà être phénoménale hors rattrapage. En effet, compte tenu de la cherté actuelle de l’électricité sur les marchés de gros et de l’absence d’arguments plaidant pour une baisse tangible au cours des prochains mois, l’UFC-Que Choisir estime (5) que la hausse du tarif réglementé en 2023 pourrait faire flamber les factures des consommateurs de 32%. Ainsi, un ménage moyen chauffé à l’électricité verrait sa facture bondir de 1 615 euros à 2132 euros. Si en plus un rattrapage tarifaire intégral en 2023 lié au plafonnement en 2022 du TRV devait avoir lieu, c’est une facture annuelle d’électricité de 2 380 euros (+765 euros, soit +47,3%, par rapport à 2022) qui viendrait peser lourdement et indûment sur le pouvoir d’achat des consommateurs. Soucieuse de préserver le pouvoir d’achat des consommateurs en assurant qu’ils puissent pleinement bénéficier de la compétitivité du parc nucléaire qu’ils ont financé, l’UFC-Que Choisir a donc décidé d’intervenir devant le Conseil d’État pour soutenir le bien-fondé de la décision du gouvernement d’augmenter le plafond de l’ARENH à 120 TWh en 2022. De plus, compte tenu de l’inquiétante perspective inflationniste des factures d’électricité en 2023, l’association presse le Président de la République : D’assurer que l’engagement pris par le ministre de l’Économie de ne pas faire supporter en 2023 aux consommateurs un rattrapage de factures au titre du plafonnement du TRV en 2022 soit traduit dans les faits ; De prendre au plus vite l’ensemble des dispositions permettant de limiter la hausse du TRV en 2023 (augmentation du plafond de l’ARENH à 150 TWh comme le permet la loi, fin de la TVA sur les taxes…). Notes (1) En raison du mécanisme d’écrêtement des demandes ARENH, précédemment décrit dans le détail par l’UFC-Que Choisir. Notons que l’UFC-Que Choisir déplore l’organisation actuelle du marché de l’électricité et formule des propositions de réformes (cf. Ibid.). (2) https://www.ccomptes.fr/system/files/2019-02/06-politique-salariale-EDF-SA-Tome-2.pdf (3) Cf. Ibid. (4) https://www.quechoisir.org/billet-du-president-plafonnement-du-prix-de-l-electricite-la-fausse-promesse-du-gouvernement-n98264/ (5) En se basant sur la formule officielle de calcul du TRV, et en prenant pour hypothèse un prix moyen du produit calendaire base 2023 de 200 €/MWh d’ici à la fin de l’année (un chiffre inférieur à celui actuellement constaté), un prix de 300 €/MWh pour le produit de pointe, et un maintien des autres paramètres ayant dicté l’élaboration du TRV en 2022 (frais de réseaux, prix sur le marché de capacité, coûts commerciaux et marge d’EDF).
Il y a 3 ans et 27 jours

Les Assises de la forêt et du bois s'achèvent sur "une vision ambitieuse"

INDUSTRIE. Conciliabule organisé à l'initiative du Gouvernement, les Assises de la forêt et du bois se sont achevées en proposant "quatre piliers" censés garantir le développement d'une filière en manque de structuration à l'aube d'une probable explosion de la demande en bois pour la construction et pour l'économie bas-carbone. Détails.
Il y a 3 ans et 27 jours

Le jalonnement cyclable franchit un cap de cohérence

La bible du jalonnement des réseaux et itinéraires cyclables se désigne déjà par son acronyme : le Jarlic, promis au destin de « best-seller de l’écosystème vélo du printemps 2022 » selon Camille Thomé, directrice de l’association de collectivités Vélo & Territoires. 500 internautes réunis par cette dernière ont assisté, le 15 avril, au webinaire de présentation de ce guide de référence pour la maîtrise d’ouvrage départementale et intercommunale.
Il y a 3 ans et 27 jours

Le Gouvernement veut accélérer le développement de la production de biométhane

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, annonce ce jour le lancement d’un nouveau dispositif de soutien par appel d’offres pour la production de gaz renouvelable en France. Le premier appel d’offres vise à soutenir la réalisation et l’exploitation d’installations de production de biométhane injecté dans les réseaux de gaz naturel correspondant à une production de 1,6 TWh PCS/an. Ces projets bénéficieront d’un soutien public sous la forme d’un contrat d’achat du biométhane produit.Grâce au soutien significatif apporté par l’Etat, le développement de la filière de production de biométhane s’est accéléré au cours des derniers mois : au 31 décembre 2021, 365 installations injectent du biométhane dans les réseaux de gaz naturel. Leur capacité de production s’élève à 6,4 TWh/an, soit une progression de 56 % en un an. Afin d’atteindre les objectifs fixés par la Programmation pluriannuelle de l’énergie à l’horizon 2028, le développement de la production de biométhane doit s’accélérer pour attendre une production de 14 à 22 TWh par an.L’appel d’offres se divise en 3 périodes. Une première période, avec une date limite de remise des offres en décembre 2022, permettra la contractualisation d’une capacité de production cumulée de 500 GWh PCS/an. Deux autres périodes, avec des dates limites de remise des offres respectivement fixées en juin et décembre 2023, porteront chacune sur la contractualisation d’une capacité de production cumulée de 550 GWh PCS/an. L’appel d’offres porte au total sur une capacité de production de 1,6 TWh PCS/an.Les lauréats bénéficieront d’un contrat d’obligation d’achat du biométhane produit sur une durée de 15 ans. Le lancement de cet appel d’offres permet de mettre en œuvre l'objectif de développement des capacités de production de biogaz mentionné dans le Plan de résilience présenté par le Premier ministre le 16 mars dernier.Par ailleurs, afin d’accélérer le développement de la production de biométhane, le Gouvernement a publié le décret relatif au dispositif de certificat de production de biogaz. Ce nouveau dispositif permettra à l’avenir de compléter les dispositifs de soutien public, en faisant participer les fournisseurs de gaz naturel au développement de la production de biométhane.Ainsi, les fournisseurs de gaz naturel auront désormais l’obligation de contribuer à la production de biogaz, en restituant à l’Etat des certificats de production de biogaz. Les fournisseurs de gaz naturel pourront s’acquitter de cette obligation, soit en produisant directement du biogaz injecté dans un réseau de gaz naturel, soit en acquérant des certificats auprès de producteurs de biogaz.Ce dispositif permet ainsi aux producteurs de biogaz de disposer d’un revenu associé à la commercialisation des certificats de production de biogaz, venant s’ajouter au revenu de la vente physique du biogaz.Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, déclare : « La crise actuelle de l’énergie nous le rappelle : nous devons sortir au plus vite des énergies fossiles en développant rapidement des alternatives décarbonées. Développer nos capacités de production de biogaz est un des leviers pour accélérer et assurer notre indépendance énergétique. Ce nouveau dispositif de soutien par appels d’offre et demain les certificats de production de biogaz, attendus par la filière, nous mettent sur la bonne voie pour atteindre cet objectif. »l’AFG, le Club Biogaz de l’ATEE et le SER saluent les signaux positifs envoyés par le Gouvernement pour l’essor de la filière L’Association Française du Gaz (AFG), le Club Biogaz de l’Association Technique Energie Environnement (ATEE), et le Syndicat des Energies Renouvelables (SER) saluent le lancement de l’appel d’offres « biométhane injecté » et la publication du décret sur les certificats de production de biogaz (CPB), des signaux encourageants qui témoignent d’une volonté d’accélérer le développement des gaz renouvelables en France. Le lancement, mercredi 27 avril, d’un appel d’offres « biométhane injecté » par le Ministère de la Transition écologique et la publication du décret sur les certificats de production de biogaz constituent un vrai signal positif adressé à la filière. Ils témoignent de la volonté du Gouvernement d’accélérer le développement des gaz renouvelables en France pour réussir la transition énergétique, dans un contexte de tensions internationales et de flambée des prix de l’énergie.Ces deux textes tiennent compte des principales observations formulées par nos associations. Ces dernières seront force de propositions pour finaliser ces deux dispositifs afin de maximiser le nombre de projets susceptibles de candidater aux périodes suivantes de l’appel d’offres et de déterminer la trajectoire d’incorporation de biométhane dans le portefeuille des fournisseurs de gaz. Enfin, les signataires réaffirment le haut potentiel des gaz renouvelables. Nos organisations resteront mobilisées aux côtés du Gouvernement pour compléter le cadre économique et réglementaire de l’ensemble des filières de production de gaz renouvelables, retrouver une dynamique de développement qui est aujourd'hui ralentie, et ainsi atteindre 20 % de la consommation de gaz dès 2030.
Cimbat
Il y a 3 ans et 27 jours

Les autorisations de construction de logements ont bondi au premier trimestre

CONSTRUCTION. Les dernières statistiques publiées par le ministère de la Transition écologique montrent un dynamisme des autorisations et mises en chantier de logements.
Il y a 3 ans et 27 jours

Podcast #12 – Arcosanti : Et au milieu du désert, une cité utopique

Raconté par Muriel Carbonnet – Production & réalisation : Sivagami Casimir Article original paru en juillet 2021 dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine C’est une ville en béton compacte et éco-responsable, conçue dans les années 1970 et édifiée depuis par plus de 8 000 personnes. Elle émerge du désert de la Sonora, à 110 km, au Nord de Phoenix, en Arizona, aux Etats-Unis. Ici l’architecture est travaillée. Les formes sont cubiques, angulaires ou absidiales. Les infrastructures unissent le béton brut et le bois. Les fenêtres sont plus volontiers rondes que rectangulaires. Les toits sont construits en escaliers. Et les bâtiments individuels se fondent les uns dans les autres à travers un réseau de couloirs donnant sur le désert environnant. Vous êtes à Arcosanti, une cité écologique créée de toutes pièces par l’Italo-Américain Paolo Soleri (1919-2013). ACPresse · Podcast ACPresse Arcosanti Ecolos avant l’heure Adepte de l’Arcologie (contraction d’architecture et d’écologie), l’architecte voulait montrer qu’il était possible de développer un projet urbain unique. Tout en respectant l’environnement. Thème peu en vogue il y a 50 ans – en dehors peut-être du mouvement hippie -, mais qui trouve tout son sens à notre époque. Ses idées semblent aussi logiques qu’attrayantes… Il s’agit bien d’un “laboratoire urbain”, comme l’annonce le panneau de bienvenue aux portes d’Arcosanti. Dans cette ville idéale auto-suffisante, les habitants n’ont plus besoin de voitures, la notion même de route n’a plus aucun sens. Les espaces de vie et de travail sont indistincts. Fini aussi les ampoules le jour, l’air conditionné l’été, même au beau milieu du désert ! L’ensemble forme un drôle de hameau ramassé, couvert d’oliviers et de cyprès, comme un peu d’Italie que l’architecte aurait semé çà et là. Un zeste loufoque.  Les espaces de vie et de travail sont indistincts. Ici, le Café, moments conviviaux en perspective. [©Elitemedia.network] Les principes de l’Arcologie Le projet s’appuie sur une structure communautaire dirigée par Paolo Soleri. Les réalisations d’Arcosanti ont toutes été construites avant 1990. Le “Crafts III” sert de centre d’accueil pour les visiteurs. Il comprend des magasins et des logements. Sa climatisation est passive organisée autour de systèmes de ventilation et de grandes baies. Le “Ceramics Apse” est une abside en béton coulé en place, en utilisant un moule en terre. Sa forme permet de capter le maximum de lumière en hiver et le minimum en été. On y fabrique des carillons éoliens (“Wind Bell”), l’une des sources de revenus de la communauté. Les formes sont cubiques, angulaires ou absidiales. Les infrastructures unissent le béton brut et le bois. Les fenêtres sont plus volontiers rondes que rectangulaires. [©Rosa Menkman]L’ensemble forme un drôle de hameau ramassé, couvert d’oliviers et de cyprès, comme un peu d’Italie que l’architecte Paolo Soleri aurait semé çà et là. [©Jan Pauw]Les toits sont construits en escaliers. Et les bâtiments individuels se fondent les uns dans les autres à travers un réseau de couloirs donnant sur le désert environnant. [©Ted Major] Le béton à l’honneur Le “East & West Housing” est un bâtiment d’habitation en béton coulé en place ou préfabriqué. Les “Vaults” sont constitués de deux voûtes en berceau non jointives et ouvertes à leurs extrémités, utilisées pour l’organisation d’ateliers, de réunions… Leur partie inférieure est réalisée en béton aussi, tandis que leur partie supérieure est formée de panneaux de béton préfabriqués. Des espaces sont accolées de part et d’autre sur le côté Est pour le stockage et l’atelier paysagiste. Et sur le côté Ouest pour les activités commerciales. Le sommet de la voûte sert de belvédère… Une vie communautaire et assez drastique somme toute pour les quelque 80 personnes qui vivent encore là au quotidien. [©Cody from Phoenix]Les “Vaults” sont constitués de deux voûtes en berceau, utilisées pour l’organisation d’ateliers, de réunions… [©Graeme Maclean] Piscine au milieu du désert environnant. [©heather vescent] Une vie communautaire et assez drastique somme toute pour les quelque 80 personnes qui vivent encore là au quotidien. Défendant toujours les principes de Paolo Soleri, même après sa disparition… Et qui fera peut-être de nouveaux adeptes, l’écologie étant dans l’air du temps ! En savoir plus sur la cité d’Arcosanti Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 27 jours

Cathédrale de Notre-Dame, ressources franciliennes, lieux publics privés : 3 expositions d’architecture à visiter ce week-end

En apprendre plus sur les ressources qui permettent de construire les villes, découvrir l'histoire de la ...More about Cet article Cathédrale de Notre-Dame, ressources franciliennes, lieux publics privés : 3 expositions d’architecture à visiter ce week-end est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 27 jours

Un projet Bercy-Charenton à Paris plus vert et moins dense

Les travaux de ce serpent de mer parisien, dont les premières études remontent au milieu des années 2000 sous le précédent maire Bertrand Delanoë, doivent désormais débuter "au mieux" en 2025 pour livraisons entre 2028 et 2030, a indiqué M. Grégoire lors d'une conférence de presse à l'Hôtel de Ville.Il n'y a aura aucun bâtiment de plus de 50 m de haut et la surface totale construite diminuera de moitié, passant de 500.000 m2 à 230.000 m2, notamment en raison de la création d'un parc d'au moins 3 hectares au cœur du futur quartier, a annoncé le bras droit de la maire PS Anne Hidalgo.Des immeubles devaient à l'origine être construits à l'emplacement de ce parc, sur un triangle de pleine terre situé au milieu de faisceaux ferroviaires.Juste à côté, une ancienne gare de marchandises aujourd'hui désaffectée sera elle finalement conservée dans un esprit de "préservation totale de l'héritage ferroviaire", a souligné M. Grégoire.Résultat, le projet ne prévoit plus que d'accueillir 3.500 habitants au lieu des 9.000 prévus en 2018, a indiqué M. Grégoire, même si 2.200 de plus pourraient être à terme logés dans des bureaux réversibles.Le projet vise à désenclaver non seulement la zone coincée entre les rails menant aux gares de Lyon et Bercy, la petite ceinture désaffectée, le périphérique et la Seine, mais aussi la commune voisine de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne), via le prolongement de la rue Baron Le Roy qui sera surélevée pour franchir les boulevards des Maréchaux.Avec cette refonte, Bercy-Charenton "devrait coûter moins cher" à la Ville, avec 150 millions de déficit au lieu de 200 millions dans le projet d'origine, qui "imposait trop de lourdes contraintes", a souligné M. Grégoire, rappelant que l'aménageur de la Ville, la Semapa, doit racheter les terrains à la SNCF pour ensuite les revendre.Le compromis trouvé entre socialistes, Verts et communistes, les trois composantes de la majorité d'Anne Hidalgo, est très favorable aux écologistes. Présente lors de la conférence, Emmanuelle Pierre-Marie, la maire EELV du XIIe arrondissement, s'est félicitée de "l'absence d'immeuble de très grande hauteur" qui a "permis de trouver des consensus"."C'est une concession du groupe communiste, sinon il n'y avait rien", a réagi auprès de l'AFP Nicolas Bonnet-Oulaldj, chef des élus communistes parisiens et élu du XIIe."Si le projet ne sort pas, on n'aura rien fait du mandat", a ajouté l'élu communiste en insistant sur le respect de "l'équilibre" trouvé pour les "logements et équipements publics", dont une future piscine "très attendue" dans un arrondissement qui n'en compte que deux pour 140.000 habitants."L'abandon des immeubles de grandes hauteurs de 180 mètres de haut est une avancée indéniable" mais "les immeubles prévus atteignent tout de même 50 mètres et sont très concentrés, ce qui préfigure de véritables îlots de chaleur urbain", a réagi de son côté Valérie Montandon, opposante LR de l'arrondissement.
Il y a 3 ans et 27 jours

A la centrale nucléaire de Gravelines, bientôt un rempart contre les inondations

Suite à l’accident de Fukushima et pour répondre aux obligations de sûreté de la quatrième visite décennale, la centrale nucléaire de Gravelines bénéficiera d’ici l’automne d’un tout nouveau rempart contre les inondations. Pour le premier site nucléaire français s’opère un chantier unique en son genre.
Il y a 3 ans et 27 jours

Grand Témoin: Valérie David, dir. développement durable/innovation transverse d'Eiffage

INTERVIEW. Valérie David a rejoint le groupe Eiffage fin 2007, comme directrice du développement durable. Dix ans plus tard, elle y ajoute une casquette consacrée à "l'innovation transverse". Son regard sur l'actualité des derniers mois, les grands enjeux qui l'animent, ses réflexions, sa vision, son message aux professionnels et son portrait en cinq traits sont à découvrir dans ce grand entretien.
Il y a 3 ans et 27 jours

Autodesk rachète Spacemaker spécialiste de l'IA pour l'aménagement urbain

A l'occasion d'Autodesk University, Autodesk annonce avoir signé un accord définitif pour acquérir Spacemaker pour un montant de 240 millions de dollars nets (environ 203 millions d'euros). Basé à Oslo en Norvège, Spacemaker utilise l'intelligence artificielle et la conception générative pour aider les architectes, les urbanistes et les promoteurs immobiliers à prendre plus rapidement et de façon mieux avisée, des décisions dans les premières phases d'une opération (en particulier lors des études d'avant-projet). Cela permet également d'intégrer les perspectives de durabilité dès le départ. En évaluant très rapidement, les meilleures options de conception, Spacemaker aide les architectes à optimiser les investissements immobiliers de leurs clients sur le long terme. L'acquisition de Spacemaker dote Autodesk d'une plateforme puissante capable d'apporter, grâce à l'intelligence artificielle, des fonctions modernes et accessibles d'automatisation, et d'accélérer la productivité des architectes en matière de design.Grâce à Spacemaker, les architectes peuvent rapidement créer et évaluer des options de conception relatives à un bâtiment ou à un aménagement urbain. Avec l'intelligence artificielle comme partenaire de l'architecte, la plateforme Spacemaker permet aux utilisateurs de générer, d'itérer et d'optimiser très tôt diverses options de conception, tout en tenant compte des critères de conception et des données comme le terrain, les cartes, le vent, l'ensoleillement, le trafic... Spacemaker génère rapidement des options de conception optimisées pour exploiter au mieux le site. De meilleurs résultats sont ainsi obtenus dès le départ. Les concepteurs peuvent alors se concentrer sur la partie créative de leur métier.« Spacemaker dispose d'une connaissance approfondie de l'automatisation et donne aux concepteurs la possibilité de créer et de tester des idées d'aménagement urbain en quelques minutes », explique Andrew Anagnost, PDG et Président d'Autodesk. « Avec deux milliards d'habitants en plus sur notre planète d'ici 2050, concevoir rapidement et durablement des plans d'aménagement urbain doivent être une priorité. La technologie de Spacemaker apporte un changement fondamental dans la façon dont nous imaginons et construisons les villes, tout en préservant la santé de la population et celle de la planète. »« Chaque décision que nous prenons reflète nos valeurs. L'acquisition de Spacemaker souligne notre engagement à accompagner les architectes et les designers à changer le monde pour le meilleur », déclare Amy Bunszel, vice-présidente principale pour les solutions de conception AEC (architecture, ingénierie, construction) chez Autodesk. « Associée à nos technologies et à nos équipes, la solution révolutionnaire de Spacemaker permettra aux designers de prendre des décisions de conception plus avisées et de contribuer à résoudre certains des plus grands défis qui nous attendent tous. »« Il y a quatre ans, nous nous sommes donnés pour mission d'aider les équipes de conception, d'ingénierie et de projet à réinventer le développement des villes et des quartiers dans le monde entier, pour qu'ils soient plus durables tout en maximisant l'investissement », a déclaré Havard Haukeland, PDG et cofondateur de Spacemaker. « Autodesk partage notre vision : celle de concevoir une planète plus saine pour tous. De plus, Autodesk dispose d'un réseau international unique qui permettra de rendre disponible notre solution plus rapidement auprès des équipes de planification. C'est une étape importante pour notre équipe et pour ceux qui nous ont soutenus depuis le début. »« En Norvège, les promoteurs immobiliers sont à l'avant-garde de la transformation numérique dans le secteur du bâtiment. Cela se traduit à la fois par une rentabilité accrue des projets mais surtout par une meilleure capacité à lutter contre le changement climatique grâce à des développements immobiliers plus durables », a déclaré Daniel Kjørberg Siraj, PDG d'OBOS. « Les entreprises qui rebattent les cartes telles que Spacemaker font partie de la solution. Aussi, il est primordial de leur ouvrir la voie dont ils ont besoin pour avoir cet impact. En tant qu'investisseur et utilisateur de la première heure, je suis très heureux de voir Spacemaker rejoindre Autodesk. J'attends avec impatience de voir cette technologie d'origine norvégienne transformer l'industrie à l'échelle mondiale. »
Il y a 3 ans et 27 jours

Jeudi Webinaire : comment construire un projet d’habitat participatif ? avec Audrey Gicquel

Habiter dans un logement collectif ne fait pas forcément rêver les français. Pourtant, il est une solution d’habitat, qui, si il est co-construit ou rénover et mieux dans une démarche écologique, peut donner toute satisfaction à ses habitants. Cela s’appelle l’habitat participatif.  Nous avons détaillé, il y a quelque temps, les particularités des différents types […]
Il y a 3 ans et 27 jours

Un climat favorable pour les affaires mais des difficultés d'approvisionnement croissantes

Selon le rapport mensuel de l'Insee pour avril 2022, dans l'industrie du bâtiment, les chefs d'entreprise sont légèrement plus positifs sur leur activité passée mais bien moins sur leur activité prévue.
Il y a 3 ans et 27 jours

Grafton lauréat du prix Mies van der Rohe 2022 avec le projet Town House

Rencontre avec plusieurs membres du collectif Architoo, composé d'enseignant·e·s-chercheur·e·s des écoles d'architecture et de paysage, un an après la publication de leur manifeste en faveur de l'égalité des genres et la parité au sein de ces établissements. Un chantier au long cours, à […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 27 jours

WICTOUCH : LA NOUVELLE GAMME DE POIGNÉES EN ALUMINIUM SIGNÉE WICONA

Un modèle, de multiples possibilités Ces nouvelles poignées s’intègrent parfaitement sur chacune des menuiseries de la gamme WICONA. Son design résolument moderne et minimaliste arbore des formes équilibrées qui répondent à toutes les exigences en matière d’esthétique tout en offrant confort et facilité de manipulation. Les poignées WICTOUCH apportent une cohérence à la fois visuelle et tactile dans tous les intérieurs. Le système est disponible dans 2 longueurs différentes : 140 mm pour les poignées de fenêtre et de porte et 219 mm pour les poignées de coulissant. Une version plus minimaliste, sans rosette est également proposée, offrant un design harmonieux et un aspect élégant à l’ensemble. Les poignées WICTOUCH, laquées ou anodisées sont commercialisées dans une palette de couleurs riches pour répondre aux besoins de chaque projet. Dans des environnements nécessitant une protection active, des revêtements antibactérien et/ou antiviraux peuvent également être appliqués. Côté sécurité toujours, WICONA a conçu un astucieux bouton-tirette impliquant une manipulation à deux mains afin que les enfants en bas âge ne puissent pas actionner le dispositif. Écoresponsables, les poignées de portes et de fenêtres jusqu’à 140 mm sont fabriquées en aluminium recyclé Hydro CIRCAL®, conforme aux normes EN 12020, EN 573-3, EN 515 et EN 775-1 à 9. Cet alliage est composé à 75% minimum à partir des profilés aluminium de menuiseries et de façades provenant de chantiers en déconstruction, ce qui lui permet de disposer d’une empreinte carbone parmi les plus faibles au monde, à savoir, 2,3 kg de CO2 par kilogramme d’aluminium. Une valeur 77% inférieure à la moyenne mondiale pour l’extraction d’aluminium primaire. Au-delà de 140 mm, les poignées WICTOUCH de WICONA sont proposées en aluminium bas carbone Hydro REDUXA. Certifiée par un organisme tiers indépendant, cette gamme d’aluminium est accompagnée d’une Déclaration Environnementale Produit (EPD) et affiche une empreinte carbone limitée à 4 kg de CO2 par kilogramme d’aluminium.
Il y a 3 ans et 27 jours

Aide aux maires bâtisseurs, politique de la ville... Vos textes officiels du vendredi 29 avril 2022

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
GDA
Il y a 3 ans et 27 jours

Soclova et Tri’n’Collect renouvellent leur partenariat

Soclova et Tri’n’Collect renouvellent leur partenariat pour deux années supplémentaires. [©Tri’n’Collect] En septembre 2021, l’acteur du logement social angevin Soclova faisait appel à la start-up Tri’n’Collect, spécialisée dans le recyclage. Cela, afin de valoriser ses déchets issus des chantiers et de limiter les extractions de ressources naturelles. Mais aussi, pour apporter une sécurité et une propreté sur ses chantiers. Depuis, les deux entreprises ont travaillé sur sept projets. Quelques mois plus tard, ils ont ainsi économisé 15 899 kg de CO2, soit 16 allers-retours Paris/New York. Et 67 616 kWh, l’équivalent de 196 mois de consommation électrique d’un foyer moyen en France. Forts de cette amélioration, Soclova et Tri’n’Collect ont renouvelé leur engagement pour deux années supplémentaires. Ainsi, d’ici fin 2022, neuf nouveaux chantiers verront les déchets valorisés du bailleur social. Parmi eux figurent le chantier de la résidence Jean de Beauvau et les mairies de Soucelles (49) et Villevêque (49). Un engagement environnemental mutuel « Dans un contexte de transition écologique et à l’heure de pénurie des matériaux, il devient urgent de s’engager ensemble dans une économie plus locale et durable, déclare Quentin Charoy, dirigeant et co-fondateur de Tri’n’Collect. Plus respectueuse de l’environnement, cette économie circulaire permet aussi la création d’emplois non délocalisables dans nos territoires. » Lire aussi : Dossier : Recyclage et valorisation Et Thierry Lignier, directeur général de la Soclova, d’ajouter : « La Soclova inscrit ses projets de constructions dans une démarche de chantiers éco-responsables. Et c’est dans ce cadre qu’elle souhaite atteindre des niveaux élevés de recyclage de déchets issus de ses chantiers. Et réduire ainsi son impact carbone. Avec l’appui et le support de Tri’n’Collect, ces six premiers mois nous confortent dans notre orientation. Nous souhaitons passer à la vitesse supérieure ».
Il y a 3 ans et 27 jours

Les granulés de bois pour remplacer le gaz russe et le fioul

Les chaudières à granulés de bois sont des générateurs à chargement automatique et peuvent équiper aussi bien une maison individuelle qu’une chaufferie tertiaire ou en pied d’immeuble collectif.
Il y a 3 ans et 27 jours

Ubiwan lance Ubispot*2, son nouveau capteur LTE-M

Aujourd’hui l’entreprise s’appuie sur une équipe de 20 collaborateurs qui accompagnent au quotidien 400 clients dans les secteurs du BTP, de l’industrie et de la maintenance. C’est pour maintenir cette relation privilégiée et pérenne avec eux et répondre à l’évolution de leurs besoins qu’Ubiwan a su faire preuve de réactivité en plaçant la gestion des données géographiques et l’innovation au cœur de sa stratégie de développement, avec le lancement d’ Ubispot*2, son premier capteur LTE-M. Dans ce contexte porteur, Ubiwan adresse un marché de 100 millions d'équipements et vise les 10M€ de CA d’ici 5 ans (vs 1,7M en 2020).La gestion de la mobilité au service des entreprisesSalariés nomades, matériels qui se déplacent et tâches déportées hors de l’entreprise : aujourd’hui, plus de 450.000 entreprises et administrations voient tout ou partie de leur activité s’exercer en dehors de bureaux ou de sites de production.Techniciens, réparateurs, livreurs, artisans, professionnels du TP et bien sûr transport : la gestion de la mobilité est aujourd’hui un enjeu clé pour ces professionnels… et leurs managers. Une solution de géolocalisation et de gestion de flotte répond avant tout aux besoins d’une entreprise qui vise à optimiser le pilotage de son activité hors de ses murs et à en dégager des bénéfices économiques et sociaux profitables à tous au sein de l’entreprise, de la TPE au grand groupe. Ubiwan s’appuie sur la géolocalisation en temps réel pour permettre à ses clients d’obtenir des données fiables sur les localisations et usages de leurs biens et ainsi optimiser l’activité globale de l’entreprise. Le déploiement d’un suivi de flotte se traduit par la présence d’un capteur GPS (Ubispot) branché ou apposé sur les équipements nomades (véhicules, matériels, engins) que l’on souhaite analyser pour, in fine, améliorer leurs performances.Paramétrés pour connecter l’ensemble d’une flotte (voitures, utilitaires, camions, poids-lourds, engins, matériels, containers, bennes etc.) à la plateforme Ubiwan Connect, les capteurs permettent l’accès à une profondeur d’analyse très élaborée. Jusqu’à 250 types de données différentes sont remontées par capteurs : localisation sur une carte interactive, vitesse moyenne du véhicule, déplacements, activités du moteur (arrêt, fonctionnement), comportement du véhicule (freinages, accélérations), inclinaison, etc. Outre la géolocalisation, le déploiement d’une solution de gestion de flotte influe sur la productivité (optimisation des plannings, dématérialisation des feuilles de route, affectation des missions via smartphone), la réduction des coûts d’entretiens des véhicules (utilisation raisonnée, baisse du taux de panne) ou encore la réduction de son empreinte carbone (optimisation des parcours).Mettre en place une solution de géolocalisation de flotte de véhicules implique d’obtenir et manipuler des données qui peuvent être sensibles. Raison pour laquelle cette démarche est soumise à la Réglementation européenne de protection des données personnelles (RGPD). D’un point de vue légal, celle-ci doit être justifiée par les impératifs de l’entreprise, et être acceptée par les collaborateurs. Ubiwan propose à cet effet un manuel destiné aux conducteurs pour encadrer l’utilisation des capteurs (mode privé, géolocalisation désactivée, temps personnel, etc.) afin d’assurer une utilisation respectueuse de l’outil.Ubispot*2, le nouveau capteur LTE-MChez Ubiwan, 50% des effectifs sont dédiés à la R&D. Une stratégie gagnante qui avait déjà permis à l’équipe de concevoir le premier capteur IOT bi-mode autonome 5 ans, primé au Salon Intermat de 2018. L’entreprise signe sa singularité par sa capacité à innover et à proposer des solutions adaptées aux mutations du marché, en témoigne le développement d’Ubispot*2, son nouveau capteur LTE-M.Tout terrain, ce nouveau capteur vient renforcer la gamme de capteurs autonomes et ne nécessite pas de branchement externe. Cette balise GPS permet de géolocaliser les équipements en étant simplement posée, accrochée ou vissée à son support en toute autonomie pendant 3 ans. 1 fois par jour, Ubispot*2 remonte les informations clés pour visualiser en un clic la situation de ses équipements.Extension de la technologie 4G, le LTE-M (Long-Term Evolution for Machines) combine une faible consommation énergétique et une couverture cellulaire étendue. En intégrant le réseau LTE-M, Ubiwan fait le choix d’un réseau fiable et pérenne. Le LTE-M ouvre également la voie à de nouveaux usages, en offrant une connexion performante, même à 100 km/h. Contrairement aux technologies LPWAN (Low-Power Wide Area Network), LTE-M assure la garantie d’acheminement des données et assure continuellement une capacité bidirectionnelle des données.De plus, cette technologie présente l’intérêt d’être accessible au niveau international, avec les mêmes exigences de qualité et de sécurité que tous les réseaux cellulaires et de parfaitement s’adapter au marché des objets connectés (IoT).Fiable et adaptée, tant sur le plan économique que technique, la technologie LTE-M utilisée pour Ubispot*2 offre la synergie d’une solution de géolocalisation optimale et d’une consommation énergétique réduite, idéale pour répondre aux enjeux des acteurs de l’Industrie, du BTP ou de la location.Pour David Babin, CEO Ubiwan : “Notre expertise IOT et notre maîtrise combinée des capteurs et des réseaux nous a permis d'intégrer le réseau LTE-M dans un contexte où le marché des réseaux connaît des évolutions majeures. En 2016, alors que nous étions ambassadeurs de la LORA Lalliance nous prévoyions l’avènement des réseaux LTEM et Narrowband IOT comme vecteurs d’adoption massifs de l’IOT. Notre politique R&D et notre cycle de qualification nous permettent aujourd'hui de considérer LTE-M comme mature et de proposer une solution à la fois innovante, pertinente et robuste pour nos clients. Notre vocation sera toujours d’intégrer les technologies qui représentent l’équilibre technique et économique.”
Il y a 3 ans et 27 jours

Saint-Gobain : nouveau record de CA au premier trimestre 2022

Le groupe affiche dans ses résultats trimestriels une croissance interne de 16,4 %.
Il y a 3 ans et 28 jours

Dossier détails : pilotis

    Figurant parmi les cinq points de l'architecture énoncés par Le Corbusier au début du XXe siècle, les pilotis constituent un élément emblématique du mouvement moderne. Les édifices juchés sur pattes, aux planchers surélevés au-dessus du sol font aussi partie des structures habitables les plus […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 28 jours

Responsabilité - l'indemnisation des tiers victimes des dommages de travaux publics

Le Conseil d'Etat affine la distinction entre dommages permanents et accidentels, et ses conséquences.
Il y a 3 ans et 28 jours

Place aux femmes, grâce à la clause sociale

Emploi - Dans le Grand Paris, l'EPT Est Ensemble utilise ce levier pour féminiser le secteur du BTP et répondre à la pénurie de main-d'œuvre : du deux en un !
Il y a 3 ans et 28 jours

L'indemnisation des tiers victimes des dommages de travaux publics

Responsabilité - Le Conseil d'Etat affine la distinction entre dommages permanents et accidentels, et ses conséquences.
Il y a 3 ans et 28 jours

Nouvelle méthode de gouvernement : Roux de Bézieux méfiant sur un retour des "grands-messes"

"Oui, le président de la République a été très vertical (...) dans la manière dont il a exercé le pouvoir" et "on voit bien que ça ne peut pas marcher dans le contexte politique actuel. Par contre, moi je ne crois pas qu'il faille retomber dans les grands-messes, où on met tout le monde autour de la table pour parler de tous les sujets en même temps, avec des gens qui sont plus ou moins concernés, tout ça n'aboutissant à rien", a-t-il déclaré lors du "Club de l'économie", organisé par le journal Le Monde.Durant la campagne et après sa réélection, Emmanuel Macron a promis de mettre en place "une nouvelle méthode" de gouvernement, basée sur "une plus large concertation", en particulier pour ses chantiers prioritaires que sont l'école ou la santé, mais aussi sur la future réforme des retraites.Pour le président de la première organisation patronale, "il y a une autre méthode à inventer", qui soit "très segmentée autour de certains sujets", le logement par exemple, et ne réunissant que les acteurs "concernés". Ce n'est "pas la peine de faire ça à grand renfort de Grenelle, de trucs et de machins, qu'on adore en France mais qui ne fonctionnent pas", a-t-il insisté.
Il y a 3 ans et 28 jours

URW proche d'un retour à la normale d'avant-Covid 19

Début 2022, le groupe, propriétaire du Forum des Halles à Paris et du centre commercial de la Part-Dieu à Lyon a dégagé 897,1 millions d'euros de loyers nets.C'est 34% de plus qu'au premier trimestre 2021, quand la lutte contre la pandémie avait largement ralenti l'activité des centres commerciaux, et à peine 5% de moins qu'en 2019.URW se félicite dans un communiqué d'une "forte reprise post-Covid-19".Le chiffre d'affaires des commerçants hébergés par URW est remonté à 93% de son niveau d'avant-Covid 19, et l'a même dépassé aux États-Unis, dont le groupe veut se désengager courant 2022-2023.Au cours du trimestre, il s'est d'ailleurs débarrassé d'un centre commercial à Los Angeles, ainsi que d'un centre à Solna (Suède) et d'une part dans le Carré Sénart en banlieue parisienne. Reflet de sa stratégie de désendettement et de concentration sur les emplacements au coeur des grandes métropoles européennes.La fréquentation de ses centres est cependant restée en retrait au cours du trimestre, à 82% du niveau de 2019. Les visites sont donc "plus productives", explique le groupe.URW, qui a annoncé en mars une nouvelle stratégie publicitaire basée sur la publicité ciblée et l'exploitation des données des visiteurs, a signé un partenariat de 8 ans avec Clear Channel France portant sur 600 écrans installés dans 20 centres commerciaux français.Sa branche expositions, comprenant notamment les parcs des expositions de Villepinte et de la Porte de Versailles, a logiquement bien profité de la fin des mesures sanitaires et de la reprise des évènements en présentiel.
Il y a 3 ans et 28 jours

Déchets du bâtiment : Valdelia salue la consultation publique du projet d’arrêté portant cahier des charges des éco-organismes de la filière

Valdelia, candidat à l’agrément pour élargir ses activités d’éco-organisme à la gestion des déchets de produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment, accueille cette nouvelle avec enthousiasme. L’éco-organisme considère ce texte comme ambitieux, plus équilibré et plus réaliste, qui inscrira progressivement la filière dans une perspective résolument tournée vers l’économie circulaire. Il appelle également les acteurs du bâtiment à se mobiliser autour de lui, et annonce la tenue d’un nouveau colloque intitulé « Bâtir ensemble une filière performante, édition #02 », le 22 septembre 2022, à La Maison de la Chimie, à Paris.Un pas de plus vers l’agrément des éco-organismesLa mise en œuvre de la filière relative à la gestion des déchets issus des produits et matériaux du secteur du bâtiment est bien en ordre de marche. Avec le lancement ce lundi 25 avril 2022 de la consultation publique de l’arrêté encadrant les objectifs qui devront être atteints par les éco-organismes agréés, le cadre réglementaire se précise encore un peu plus. Pour Arnaud Humbert-Droz, Président Exécutif de Valdelia : « Ultime étape avant la constitution de notre dossier de demande d’agrément, nous invitons l’ensemble des professionnels du bâtiment à être acteur de la filière en participant à nos expérimentations, et espérons convaincre les metteurs sur le marché encore indécis d’adhérer à notre modèle d’éco-organisme. »Cette étape fondamentale pour organiser la filière de demain vient conforter Valdelia et ses partenaires dans la nécessité d’accélérer leurs efforts dans le déploiement des expérimentations en cours. Quatre typologies d’expérimentations, déployées actuellement sur tout le territoire national, s’attachent à tester la chaîne opérationnelle complète de la gestion des déchets du bâtiment, et préfigurent d’ores-et-déjà les dispositifs qui seront déployés progressivement au lancement de la filière :La collecte en point d’apport volontaire chez les distributeurs et négoces.La collecte en point d’apport volontaire sur déchetteries professionnelles.La collecte en chantier de construction neuve.La collecte en chantier de rénovation et curage.En parallèle de cette approche pragmatique sur le terrain, Valdelia multiplie les rencontres avec les prestataires de collecte et de traitement pour affiner sa connaissance des savoir-faire actuels et imaginer les solutions qui contribueront non seulement à la seconde vie des produits, mais aussi à la préservation de la qualité des matières recyclées.L’éco-organisme : la réponse à la mise en place de la filièreLa filière REP PMCB et ses exigences réglementaires représentent une nouvelle donne pour tous les acteurs du bâtiment, et sa mise en place entraînera des changements culturels, juridiques et organisationnels dans le monde du bâtiment.Rejoindre le système collectif porté par Valdelia permettra aux professionnels du secteur de disposer d’un outil clé en main à leur service. Malgré un contexte difficile (nouvelles réglementations, problèmes d’approvisionnement matières, etc.), le projet d’arrêté signe un retour optimiste quant à l’entrée en vigueur de la REP PMCB. Il traduit une vision d’avenir et une opportunité de bâtir ensemble une filière industrielle innovante et performante.Pour Arnaud Humbert-Droz, Président Exécutif Valdelia : « Depuis l’arrivée de la nouvelle réglementation découlant de la loi AGEC, l’envie de construire ensemble, d’apporter des réponses opérationnelles, adaptées, respectueuses des intérêts de chaque partie prenante, ne nous a jamais quittés. Plus que jamais, nos équipes sont au travail pour faire en sorte que son application soit facilitée, et que l’ensemble des acteurs du bâtiment, mais aussi du réemploi, de la réutilisation et du recyclage, puissent développer et ancrer leur activité dans l’économie circulaire. »Un nouveau colloque annoncé : "100% opérationnel", dédié aux retours d’expérienceÀ l’occasion du nouveau colloque « Bâtir ensemble une filière performante - édition #02 », qui se tiendra le jeudi 22 septembre 2022 à la Maison de la Chimie à Paris, Valdelia et ses partenaires animeront des tables rondes, pour partager avec les différents acteurs du bâtiment leur vision et leurs retours d’expérience sur les sujets stratégiques de la filière des déchets issus du bâtiment : collecte et diversité des acteurs, traitement et complexité des déchets, réemploi et réutilisation des produits et matériaux, outils prêts à déployés et traçabilité des flux, R&D et innovation, ou encore progressivité et mise en place de la filière.
Il y a 3 ans et 28 jours

Le chiffre d'affaires de Nexity chute au premier trimestre 2022

CONJONCTURE. Le promoteur immobilier français a fait un point d'étape sur son activité commerciale. Il assure pouvoir garantir ses prévisions de chiffre d'affaires pour l'année.
Il y a 3 ans et 28 jours

Un appel d'offres lancé pour soutenir le développement de la production de biométhane

RENOUVELABLES. Le ministère de la Transition écologique annonce lancer un nouveau dispositif de soutien par appel d'offres pour faire passer la production de gaz renouvelable à la vitesse supérieure. Les installations de biométhane correspondant à une production annuelle de 1,6 térawatt-heure PCS sont les premières concernées.
Il y a 3 ans et 28 jours

Humidistop : Concepteur fabricant d'appareils contre l'humidité des murs, le calcaire et les ondes

Tous les produits Humidistop sont fabriqués en France et à prix direct usine. Outre les problèmes de santé qu’elle provoque, l’humidité incarne le plus sûr moyen de dévaloriser son patrimoine. De nombreuses solutions cohabitent sur le marché Français. Mais l’importance est de supprimer la cause du mal, pas seulement ses effets. D’autant que la cause de l’humidité n’est jamais là où le mal est visible, en effet elle se cache derrière vos placos, dans vos sols, entre les pierres, derrière le ciment…L’humidité ne tient pas lieu de fatalité et il est possible de la supprimer. Humidistop propose à tous les particuliers et les professionnels, ses inverseurs de polarité IPE STOP ONE et IPG GEOSTOP à prix usine pour supprimer l’humidité dans les murs (remontées capillaires). L'entreprise a développé depuis de nombreuses années ses propres appareils pour éliminer l’humidité dans les murs et plus particulièrement les remontées capillaires. L’inverseur de polarité électromagnétique IPE STOP ONE et l’inverseur de polarité géomagnétique IPG GEOSTOP sont des solutions qui s’adressent à tous les types d’habitation et s’adaptent à tous les budgets. Ces produits sont appréciés pour leur faible coût, leur rapidité d’installation et leur efficacité. En ce sens elles représentent une forte valeur ajoutée pour la valorisation de votre logement.
Il y a 3 ans et 28 jours

Sonepar disposera d'une marketplace dans les prochains mois

E-COMMERCE. Le distributeur de matériels électriques, Sonepar, a signé un partenariat avec Mirakl afin de créer une marketplace dédiée aux matériels électriques dans le B-to-B en France.
Il y a 3 ans et 28 jours

Bim : où en sont les acteurs de la construction ? Quelles sont les tendances ?

BATIACTU BUSINESS CLUB. Jusqu'où aller en matière de digitalisation ? Quelles sont les tendances et les outils numériques accessibles à tous les acteurs de la construction ? Jeudi 12 mai de 9h30 à 11h, le Batiactu Business Club se penche sur le sujet avec Autodesk, Bouygues Immobilier et le plan Bim.
Il y a 3 ans et 28 jours

Procès de Brétigny : "Vieillissement ne veut pas dire dangerosité du réseau", G.Pepy

JUSTICE. Après l'audition de l'ancien directeur de proximité du site de Brétigny, c'est Guillaume Pepy, à la tête de la SNCF au moment de l'accident de juillet 2013, qui a été entendu lors de cette première semaine de procès.
Il y a 3 ans et 28 jours

Nouvelle baisse des aides CEE pour les travaux d'isolation dans le résidentiel à partir du 1er mai 2022

En effet, une évolution de la réglementation entre en vigueur et engendre une baisse de 20% à 30% en moyenne du montant des “primes énergie”, l'aide financière du dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie, dédiées à l'isolation thermique des murs, combles, tuyaux d'eau chaude sanitaire et toitures terrasses des bâtiments résidentiels. Décryptage du groupe Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie.Pour Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques du groupe Hellio : “C'est un des dossiers qui sera sur la table du prochain ministère en charge du logement. L'État a en effet choisi de réduire drastiquement les aides à l'isolation thermique des logements pour contrer les arnaques à 1 euro. Cela est dommageable pour les ménages qui financeront moins bien les projets de rénovation de leur logement, mais aussi pour la filière professionnelle qui s'est structurée pour répondre à la demande, aujourd'hui en pleine crise.Une baisse paradoxale qui intervient au moment où la maîtrise de l'énergie n'a jamais été aussi cruciale pour lutter contre la précarité, le réchauffement climatique et la hausse des prix de l'énergie ! Attention, cette baisse ne concerne pas l'isolation dans le secteur tertiaire, par exemple, qui reste bien subventionnée aujourd'hui.”Baisse des primes financières pour les travaux d'isolation les plus effectués par les ménagesLe 39e arrêté du dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie paru le 10 décembre 2021 vient modifier la réglementation applicable aux aides financières des opérations d'isolation thermique dans le logement.En effet, sont modifiés les montants des primes issues du dispositif des CEE pour les opérations suivantes (1) :Isolation des planchers bas : la nouvelle prime au m2 est en moyenne de 4,73 euros, soit une baisse moyenne de 32%Exemple : en Charente-Maritime (zone climatique H2 des CEE), pour l'isolation des planchers bas d'une maison individuelle de 80m², l'aide CEE passe de 572 euros à 391 euros.Isolation des murs : la nouvelle prime au m2 est en moyenne 6,93 euros, soit une baisse moyenne de 33% pour les logements chauffés à l'électricité, et de 58% pour les logements chauffés au combustible.Exemple : en Charente-Maritime, pour l'isolation des murs d'une maison individuelle de 80 m² avec une surface de murs de 140m² à isoler, chauffée à l'électricité, la prime passe de 1.540 euros à 1.001 euros d'aides CEE.Isolation des toitures terrasses : la nouvelle prime au m2 est en moyenne de 5,26 euros, soit une baisse moyenne de 26%.Isolation des réseaux d'eau chaude sanitaire, ou “calorifugeage” : la nouvelle prime par mètre linéaire est en moyenne de 24,77 euros, soit une baisse moyenne de 21%. (1) La nouvelle prime au m² indiquée correspond à la moyenne des nouveaux forfaits sur la France à 5 500 euros du GWhc. Modifications techniques des dossiers d'obtention des primes financièresLe même arrêté publié en décembre, complété par l'arrêté du 18 février 2022, précisent d'autres modifications concernant :La visite préalable obligatoire avant la pose de l'isolation des murs et des planchers bas,Le respect d'un délai de réflexion de 7 jours entre la signature du devis et la pose de l'isolant des murs,Le respect des définitions précisées des différents procédés d'isolation,La résistance thermique nécessaire de l'isolant.
Il y a 3 ans et 28 jours

La CAPEB adopte un Plan de transformation stratégique et une feuille de route

La CAPEB accueille avec impatience les Assises du bâtiment annoncées par Bruno Le Maire lors de la séance officielle. Enfin, elle entend nourrir ses réflexions pour l’avenir des petites entreprises du bâtiment, comme elle a commencé à le faire ce 22 avril dans le cadre de son Congrès.A l’occasion de son Assemblée générale qui s’est tenue à Paris les 21 et 22 avril 2022, la CAPEB a adopté un plan de transformation stratégique, le plan CAP CAPEB, nourri des réflexions et des propositions de l’ensemble de son réseau pendant plus d’une année. Au travers de ce plan, la CAPEB entend adapter et moderniser ses pratiques actuelles pour mieux répondre aux besoins et aux attentes des entreprises artisanales du bâtiment, et dynamiser l’ensemble de son réseau en s’appuyant notamment sur ses compétences.Réunis en Assemblée générale, les présidents et délégués des CAPEB départementales ont adopté par ailleurs quatre résolutions résumant leurs priorités dans les domaines de l’économie de l’artisanat du bâtiment, des techniques et des professions, des compétences et de la formation professionnelle et enfin, de la protection sociale et de l’emploi.Validé par les délégués à l’unanimité lors de cette Assemblée générale, la CAPEB publiera dans les prochains jours son rapport d’activité pour l’année 2021 qui sera également mis en ligne sur son site capeb.fr.Enfin, au cours de la séance officielle qu’elle a organisée le 22 avril, la CAPEB a accueilli les représentants des deux candidats à l’élection présidentielle. Au vu des résultats de dimanche, la CAPEB prend donc acte et retient la proposition annoncée en primeur par Bruno Le Maire, en tant que représentant du candidat Emmanuel Macron, qui a invité la CAPEB à participer, après les élections législatives, à des Assises du bâtiment. La CAPEB se félicite de cette initiative qui s’impose en effet, compte tenu de la crise que connaît le secteur de la construction en termes de prix et d’approvisionnements.La CAPEB se félicite également de l’avis positif de Bruno Le Maire, exprimé en réponse à une question posée par la CAPEB, quant à la modification des règles de la mesure de la représentativité proposée par la CAPEB et l’U2P, pour que les TPE puissent occuper leur juste place.D’ici là, la CAPEB continue de porter ses revendications et ses priorités auprès des candidats aux élections législatives, résumées dans son Livre blanc.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « La CAPEB peut se réjouir d’avoir un réseau mature et décidé à se moderniser pour être encore plus efficace dans l’accompagnement des entreprises du bâtiment au quotidien. Le Plan de transformation, CAP CAPEB, permettra à la CAPEB de renforcer ses atouts au bénéfice de tous. Comme l’ont montré les débats du Congrès que nous avons organisés ce 22 avril, les entreprises artisanales du bâtiment peuvent renforcer leur place de leader dans les années qui viennent et ont de belles perspectives devant elles en termes d’activité. Elles savent s’adapter mais devront se réinventer, malgré l’environnement et les fortes concurrences auxquels elles doivent faire face. »
Il y a 3 ans et 28 jours

RE2020 : le Conseil d'État rejette un recours pour inconstitutionnalité

DÉCISION. Filtrant en amont les demandes de saisines du Conseil constitutionnel, le Conseil d'État a rejeté un recours déposé par plusieurs fédérations industrielles de la construction à l'encontre de la Réglementation environnementale 2020. Le fond de la requête, considérant que le texte conduisait à une rupture d'égalité entre les matériaux biosourcés et les produits "conventionnels", n'a pas été jugé recevable.
Il y a 3 ans et 28 jours

Nouvelle gamme de baskets de sécurité Heckel

Heckel dévoile sa nouvelle gamme de basket de sécurité inspirée du monde sportif. [©Heckel] Spécialiste de la chaussure de sécurité, Heckel dévoile Mascole Sport, sa nouvelle gamme de baskets de sécurité. Inspirée des modèles sportifs, Mascole Sport est composée de 5 baskets de sécurité. Pour la première fois, ces modèles associent une semelle extérieure en caoutchouc à une technologie inédite de semelles intermédiaires. Ces dernières ont été développées en phylon. Ce matériau dispose d’une structure inédite constituée d’air et de matière solide, ce qui rend les semelles plus légères. La semelle intermédiaire est présente sur l’ensemble de la surface de la chaussure et permet à la fois un meilleur amorti, une bonne absorption des chocs et une grande souplesse. Ainsi, à chaque moment de la journée, le pied est respecté dans son positionnement naturel. Cette gamme innovante procure une grande polyvalence d’utilisation dans les métiers de la logistique, du transport et de l’industrie. Des EPI novateurs Les chaussures de la gamme sont dotées d’un embout de protection non métallique léger. Il protège ainsi le porteur contre les chutes d’objets. Les modèles Mascole Sport sont aussi équipés d’une semelle anti-perforation . Les technologies, dont est munie cette gamme sont reconnues pour leurs propriétés en matière d’adhérence, d’élasticité, de résistance aux températures extrêmes et aux produits chimiques. De plus, les baskets sont conçues avec des matériaux favorisant la régulation thermique. La semelle de propreté et la doublure en polyester permettent d’évacuer la transpiration. Par ailleurs, cette gamme de baskets offre aux porteurs une sécurité accrue et un confort supérieur. Nous savons qu’aujourd’hui, les compagnons peuvent être réticents à porter des EPI toute la journée. Des spécialistes comme Heckel proposent donc des nouveautés, qui assurent sécurité et style. Un paramètre de plus en plus important pour les utilisateurs.
Il y a 3 ans et 28 jours

Avec le nouvel écoquartier "Les Fabriques", Marseille entend se transformer

IMMOBILIER. Un futur quartier de l'arrière port abritera une multitude de bâtiments autour de trois thèmes, habiter, travailler et sortir. Ce projet urbain, pensé comme un village, s'inscrit dans la dynamique du nouveau Marseille.
Il y a 3 ans et 28 jours

Plus de 7.200 sites de friches répertoriés avec l'outil Cartofriches

URBANISME. Des milliers de sites viennent d'être ajoutés à cette cartographie lancée en 2020. Les collectivités et porteurs de projets peuvent trouver via cette application une friche dans le secteur qui leur convient.