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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 28 jours

RealWear améliore ses casques à réalité augmentée pour l'industrie et la construction

RealWear, un leader mondial des systèmes mains libres intelligents portés sur la tête, lance la version 12 de son firmware qui apporte une expérience utilisateur améliorée pour l’ensemble de ses devices. Cela comprend de nouvelles fonctionnalités allant d’une stabilisation vidéo améliorée à une dictée dans le cloud renforcée, en passant par la prise en charge d’Android 10.Les nouvelles mises à jour du firmware de RealWear apportent à la caméra du modèle phare de casques HMT-1 une stabilisation vidéo en temps réel. Celle-ci contribue à éliminer les micromouvements indésirables liés aux actions naturelles de l’utilisateur, ce qui permettra une collaboration plus fluide entre les équipes sur le terrain et les collaborateurs à distance. Le logiciel assure la détection des mouvements, un haut degré de précision, la capture dynamique du flou, l’EVS (stabilisation électronique de la vidéo) et des performances en mode basse consommation.« La version 12 promet d’apporter aux travailleurs de première ligne encore plus de clarté lorsqu’ils sont sur le terrain », commente Jon Arnold, vice-président des ventes EMEA de RealWear. « Avec un grand nombre de nos clients qui dépendent désormais de la technologie portable, il est essentiel que les travailleurs de première ligne puissent fournir la meilleure clarté et visibilité possible d’un site à leurs équipes et collègues qui peuvent être basés à distance. La version 12 répond à cette exigence en proposant une prise en charge linguistique supplémentaire, une dictée vocale améliorée et une stabilisation vidéo. »Outre la stabilisation vidéo, la version 12 apportera les mises à jour suivantes pour le HMT-1­:RealWear HMT-1 mis à niveau vers Android 10 - La version 12 mettra à niveau le firmware et les applications natives du casque RealWear HMT-1 vers Android 10. Cela améliore la fonctionnalité, la convivialité et la sécurité du dispositif. Tout nouveau RealWear Explorer - RealWear Explorer est un outil d’aide RealWear gratuit, très populaire et utile, qui fonctionne sur Mac ou Windows PC et qui reflète l’écran d’un HMT-1 sur l’écran d’un ordinateur. RealWear Explorer a été conçu à l’origine pour les développeurs, mais il est également très populaire auprès des utilisateurs finaux. En plus de tester l’interface utilisateur, il est idéal pour faire des démonstrations à un groupe plus important sur un grand écran afin de montrer le point de vue du travailleur de première ligne, pour tester les applications en cours de développement et pour faciliter la saisie des mots de passe. RealWear Explorer est compatible avec le HMT-1 et le HMT-1Z1. La société a ouvert ces derniers mois de nouveaux bureaux sur des marchés importants et a récemment annoncé qu’elle avait franchi une étape importante en livrant des dispositifs portables à plus de 3 000 entreprises clientes uniques dans le monde entier, dans divers secteurs.En raison de la pandémie et des restrictions de voyage qui en ont résulté, les ingénieurs n’ont plus été en mesure de se rendre dans les usines et les installations pour aider, en personne, les techniciens sur place. Par conséquent, RealWear est rapidement devenu le dispositif portable de choix pour la collaboration virtuelle à distance afin de dépanner les équipements et d’effectuer des contrôles de qualité, des audits, des inspections, des visites d’usines et des tests d’acceptation de produits et d’usines (FAT). Encouragées par ce succès, des sociétés de collaboration de premier plan dont Microsoft, Cisco et Zoom ont adapté leurs logiciels pour tirer pleinement parti de la solution de réalité augmentée de RealWear, qui est le choix des travailleurs de terrain de certaines des plus grandes marques industrielles du monde.RealWear développe des casques portables mains libres à commande vocale, conçus dès le départ pour répondre aux besoins uniques des secteurs du pétrole et du gaz, de la logistique et du transport, de la fabrication, de la santé et de l’automobile. Le produit phare de la société, le HMT-1, est le premier ordinateur tablette de classe Android, robuste et porté sur la tête, qui libère les mains des travailleurs pour les tâches dangereuses. Contrairement aux autres appareils disponibles sur le marché, le HMT-1 sert de dispositif de travail collaboratif toute la journée. Il offre aux travailleurs de terrain une autonomie de 9 à 10 heures à travers des utilisations variées. Les batteries sont également remplaçables à chaud pour éviter les temps d’arrêt ou la perte de progrès pendant le travail.
Il y a 3 ans et 28 jours

RealWear améliore ses casques à réalité augmenté pour l'industrie et la construction

RealWear, un leader mondial des systèmes mains libres intelligents portés sur la tête, lance la version 12 de son firmware qui apporte une expérience utilisateur améliorée pour l’ensemble de ses devices. Cela comprend de nouvelles fonctionnalités allant d’une stabilisation vidéo améliorée à une dictée dans le cloud renforcée, en passant par la prise en charge d’Android 10.Les nouvelles mises à jour du firmware de RealWear apportent à la caméra du modèle phare de casques HMT-1 une stabilisation vidéo en temps réel. Celle-ci contribue à éliminer les micromouvements indésirables liés aux actions naturelles de l’utilisateur, ce qui permettra une collaboration plus fluide entre les équipes sur le terrain et les collaborateurs à distance. Le logiciel assure la détection des mouvements, un haut degré de précision, la capture dynamique du flou, l’EVS (stabilisation électronique de la vidéo) et des performances en mode basse consommation.« La version 12 promet d’apporter aux travailleurs de première ligne encore plus de clarté lorsqu’ils sont sur le terrain », commente Jon Arnold, vice-président des ventes EMEA de RealWear. « Avec un grand nombre de nos clients qui dépendent désormais de la technologie portable, il est essentiel que les travailleurs de première ligne puissent fournir la meilleure clarté et visibilité possible d’un site à leurs équipes et collègues qui peuvent être basés à distance. La version 12 répond à cette exigence en proposant une prise en charge linguistique supplémentaire, une dictée vocale améliorée et une stabilisation vidéo. »Outre la stabilisation vidéo, la version 12 apportera les mises à jour suivantes pour le HMT-1­:RealWear HMT-1 mis à niveau vers Android 10 - La version 12 mettra à niveau le firmware et les applications natives du casque RealWear HMT-1 vers Android 10. Cela améliore la fonctionnalité, la convivialité et la sécurité du dispositif. Tout nouveau RealWear Explorer - RealWear Explorer est un outil d’aide RealWear gratuit, très populaire et utile, qui fonctionne sur Mac ou Windows PC et qui reflète l’écran d’un HMT-1 sur l’écran d’un ordinateur. RealWear Explorer a été conçu à l’origine pour les développeurs, mais il est également très populaire auprès des utilisateurs finaux. En plus de tester l’interface utilisateur, il est idéal pour faire des démonstrations à un groupe plus important sur un grand écran afin de montrer le point de vue du travailleur de première ligne, pour tester les applications en cours de développement et pour faciliter la saisie des mots de passe. RealWear Explorer est compatible avec le HMT-1 et le HMT-1Z1. La société a ouvert ces derniers mois de nouveaux bureaux sur des marchés importants et a récemment annoncé qu’elle avait franchi une étape importante en livrant des dispositifs portables à plus de 3 000 entreprises clientes uniques dans le monde entier, dans divers secteurs.En raison de la pandémie et des restrictions de voyage qui en ont résulté, les ingénieurs n’ont plus été en mesure de se rendre dans les usines et les installations pour aider, en personne, les techniciens sur place. Par conséquent, RealWear est rapidement devenu le dispositif portable de choix pour la collaboration virtuelle à distance afin de dépanner les équipements et d’effectuer des contrôles de qualité, des audits, des inspections, des visites d’usines et des tests d’acceptation de produits et d’usines (FAT). Encouragées par ce succès, des sociétés de collaboration de premier plan dont Microsoft, Cisco et Zoom ont adapté leurs logiciels pour tirer pleinement parti de la solution de réalité augmentée de RealWear, qui est le choix des travailleurs de terrain de certaines des plus grandes marques industrielles du monde.RealWear développe des casques portables mains libres à commande vocale, conçus dès le départ pour répondre aux besoins uniques des secteurs du pétrole et du gaz, de la logistique et du transport, de la fabrication, de la santé et de l’automobile. Le produit phare de la société, le HMT-1, est le premier ordinateur tablette de classe Android, robuste et porté sur la tête, qui libère les mains des travailleurs pour les tâches dangereuses. Contrairement aux autres appareils disponibles sur le marché, le HMT-1 sert de dispositif de travail collaboratif toute la journée. Il offre aux travailleurs de terrain une autonomie de 9 à 10 heures à travers des utilisations variées. Les batteries sont également remplaçables à chaud pour éviter les temps d’arrêt ou la perte de progrès pendant le travail.
Il y a 3 ans et 28 jours

Colloque GMH High Tech & Patrimoine

Le Groupement des Entreprises de Restauration de Monuments Historiques (GMH) renouvelle son colloque HIGH TECH & PATRIMOINE pour une 6e édition. Autour de nombreux intervenants, nous présenterons les innovations technologiques appliquées au patrimoine, mises en œuvre par des entreprises du GMH. Au programme : Les bétons du patrimoine 5 minutes pour une innovation : le GMH a retenu trois innovations des membres associés issues d’une recherche approfondie au service des chantiers et des monuments. La mécanisation des métiers du patrimoine Alerte aux WorldSkills : le métier de la taille de pierre a été retiré de la compétition mondiale WorldSkills. Témoignages d’entreprises du GMH Le patrimoine face aux changements climatiques, menaces et opportunités pour les entreprises du patrimoine Restaurer en matériaux biosourcés et géosourcés Restauration en terre crue du château de Sainte Christie d’Armagnac Jeudi 12 mai de 13H30 à 18H15, Espace Niemeyer, 8 avenue Mathurin Moreaux, 75019 Paris https://www.billetweb.fr/colloque-high-tech-gmh-2022  
Il y a 3 ans et 28 jours

Guide technique pour l’ITE sous enduit des façades

Knauf vient d’éditer un tout nouveau guide technique pour l’ITE sous enduit des façades. Il s’appuie notamment sur un ouvrage de référence, validé par Efectis France et le CSTB, le « Guide de Préconisations – Protection contre l’incendie des façades béton ou maçonneries revêtues de systèmes d’ITE par enduit sur PSE V2 », publié en septembre 2020 par l’AFIPEB, le SIPEV et le SNMI. Le document de 60 pages facilite la compréhension des récentes évolutions règlementaires pour la protection des personnes contre les risques d’incendie dans les établissements recevant du public et immeubles de logements collectifs. Knauf va encore plus loin que le guide syndical dans la simplification de la compréhension de la réglementation et sa mise en application. Le guide en traite les principes pratiques, en fonction des types de bâtiments (IMH jusqu’à 28 mètres de hauteur), et de leurs spéci cités (balcon, garage…), qu’il s’agisse de construction neuve ou de rénovation. Il décrit de manière très concrète les dispositions relatives à chaque type et à chaque point singulier, avec de nombreux exemples de bonnes pratiques. Ce sont plus de 100 vues de détail qui sont présentées pour la mise en œuvre. Knauf illustre également dans ce guide les différentes alternatives possibles de protection incendie, avec des guides de choix et un lien direct vers les solutions produits Knauf. https://www.knauf.fr/focus-produit-isolant/nouveau-guide-knauf-ite-sous-enduit   Cet article Guide technique pour l’ITE sous enduit des façades est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 28 jours

Guide « Les bétons du patrimoine »

Le nombre croissant de constructions en béton protégées au titre des monuments historiques ainsi que l’absence de règles de l’art sur la restauration des bétons anciens a motivé le GMH à rédiger un guide, permettant de prévenir leur vieillissement inéluctable. Une équipe pluridisciplinaire, réunissant architecte du patrimoine, historienne, bureaux d’études, laboratoires, entreprises de restauration et industriels, établit ainsi un panorama complet de ce matériau béton, devenu au fil du temps performant et standardisé, depuis la redécouverte des liants hydrauliques il y a 200 ans. 168 pages. https://librairie.sebtp.com/les-bétons-du-patrimoine  
Cimbat
Il y a 3 ans et 28 jours

74% de la surface d'exposition vendue à 6 mois de l'ouverture d'Idéobain

Organisé à Paris Expo Porte de Versailles du 3 au 6 octobre, l'édition 2022 d'Idéobain enregistre une forte participation avec 95 exposants dont 66 % internationaux.
Il y a 3 ans et 28 jours

Deux fois plus de vols d'engins de BTP entre 2020 et 2021

Effet secondaire des crises successives qui traversent le monde depuis 2020 ? Les vols se multiplient, notamment les vols de véhicules professionnels et d'autres matériaux sur chantier.
Il y a 3 ans et 28 jours

La gamme Usystem Roof s’élargit avec deux nouveaux panneaux de toiture en fibre de bois pour une isolation éco-responsable

Pour qu’isolation thermique, confort d’été et construction durable ne fassent qu’un, Unilin Insulation étoffe sa gamme de panneaux de toiture Usystem Roof avec de la fibre de bois. Deux nouveaux produits voient ainsi le jour : Usystem Roof OS Comfort Natural et Usystem Roof DS Natural Wool.Des matériaux durables au service de l’efficacitéLes nouveaux panneaux Usystem Roof d’Unilin Insulation conviennent particulièrement à l’isolation par l’extérieur des rampants de toiture en bio-construction, en neuf comme en rénovation.Ils offrent tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments.USYSTEM Roof OS Comfort NaturalUsystem Roof OS Comfort Natural est un panneau de toiture bi-matière 3 en 1 assurant à la fois le support de couverture, l’isolation thermique et la finition intérieure du plafond.Il permet de traiter toutes les configurations de manière traditionnelle : découpes noues et arêtiers, débords de toiture, fenêtres de toit, passage de cheminées, ...Composé de mousse de polyuréthane, de fibre de bois (60 mm) et d’un écran de sous-toiture HPV intégré, Usystem Roof OS Comfort Natural offre une isolation thermique performante, tout en préservant le toit des risques d’humidité, pour un confort en toute saison : gain de chaleur en hiver et maintien de la fraîcheur en été !L’écran de sous-toiture permet un jointement parfait sans bande ni manipulation complémentaire grâce aux recouvrements adhésifs intégrés pour un temps de pose réduit et une sécurité optimale des couvreurs.USYSTEM Roof DS Natural WoolPanneau sandwich chevronné à base de fibre de bois (densité de 50 kg/m3) et pare-vapeur intégré, Usystem Roof DS Natural Wool est une solution constructive bio-sourcée assurant l’isolation thermique et acoustique, le confort d’été et la ventilation du bâtiment.Autorisant de grands entraxes entre pannes, il convient à toutes les formes de toiture en pente et il est aussi facile à mettre en œuvre que le caisson chevronné Usystem Roof OS Comfort Natural. Il existe en version non lattée pour la pose parallèle à l’égout.Des finitions intérieures pour tous les goûtsPour répondre à toutes les envies en matière de décoration intérieure, les solutions Usystem Roof avec fibre de bois d’Unilin Insulation sont proposées dans une large gamme de finitions pour les plafonds, de la finition semi-finie à la finition complète :jusqu’à 12 finitions semi-finies personnalisables,2 décors synthétiques texturés pour une esthétique contemporaine (Deco White etDeco Beige),4 finitions bois véritable, brut, flotté, cérusé pour un intérieur authentique.Moins carbonés, les nouveaux panneaux de toiture avec fibre de bois Usystem Roof répondent aux exigences de la réglementation RE2020, contribuant à la réduction des émissions sur le cycle de vie du bâtiment. Ils sont par ailleurs éligibles à MaPrimeRénov'. Enfin, ils sont certifiés ACERMI, gage de qualité.
Il y a 3 ans et 28 jours

Pompe à chaleur 3 en 1 Qlima – Un choix essentiel au confort de la maison

Les pompes à chaleur (PAC) air/air connaissent un fort engouement en France. Ces systèmes, au mode de fonctionnement simple mais ingénieux, permettent d’allier confort et éco-nomies d’énergie, avec un impact moindre sur l’environnement. Assurant à la fois le chauffage de l’habitation et son rafraîchissement, les pompes à chaleur réversibles offrent un confort thermique idéal dans […]
Il y a 3 ans et 28 jours

TUBESCA-COMABI lance sa dernière échelle d’accès dalle complétant ainsi son offre pour le BTP et le transport

Tubesca-Comabi, leader français dans la fabrication et la commercialisation de solutions d’accès et de travail en hauteur, complète son offre de produits à destination du BTP grâce à une nouvelle échelle d’accès dalle et des évolutions produits notamment sur l’échelle de fouille. Cette gamme performante permet désormais de répondre à l’ensemble des besoins du gros oeuvre […]
Il y a 3 ans et 28 jours

Nanoleaf dévoile ses nouveaux accessoires les Lines Skins

Paris, le 22 avril 2022 – Nanoleaf, pionnier de l’éclairage connecté lance de nouveaux accessoires pour les Nanoleaf Lines, la toute nouvelle génération d’éclairage d’ambiance pour l’intérieur de la maison, ses loisirs et ses espaces de travail hybrides avec les Nanoleaf Lines Skins.  Les Nanoleaf Lines sont des barres lumineuses LED rétroéclairées à couleurs changeantes. […]
Il y a 3 ans et 28 jours

JO2024 : lancement des travaux du Centre aquatique de Marville en Seine-Saint-Denis

Ce jeudi 21 avril ont officiellement été lancés les travaux de construction du futur Centre aquatique de Marville, en présence de Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis, Yasmine CAMARA, Conseillère régionale d'Île-de-France déléguée spéciale aux Jeux olympiques et paralympiques, Pierre RABADAN, Adjoint à la Maire de Paris en charge du sport, des Jeux olympiques et paralympiques et de la Seine, Emmanuel CONSTANT, Vice-président du Département de la Seine-Saint-Denis chargé de l'Education et des Jeux olympiques et paralympiques, Zaïnaba SAÏD-ANZUM, Conseillère départementale déléguée au Sport, Mathieu HANOTIN, Président de Plaine Commune, Maire de Saint-Denis, et Gilles POUX, Maire de La Courneuve. Après une phase de conception, d'études et d'obtention du permis de construire, les travaux, débutés, en janvier 2022 sous la direction d'un groupement d'entreprises mené par GCC, s'achèveront en octobre 2023. Le site sera livré pour les Jeux en janvier 2024, avant une ouverture au grand public en septembre 2024. Cet équipement est financé à hauteur de 30,5 millions d'euros (valeur 2016) par la SOLIDEO, grâce notamment aux importantes contributions de la Ville de Paris et du Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis à son budget, et avec le soutien également de la Région Île-de-France. Un héritage sportif majeur pour la Seine-Saint-Denis Ce nouveau centre aquatique remplacera l'actuelle piscine ouverte en 1975 au sein du Parc départemental des sports de Marville situé entre les communes de Saint-Denis et de La Courneuve. Il offrira un espace totalement neuf de 4 600m2 dont près de 1 600m2 de plan d'eau, avec des bassins intérieurs et extérieurs, un espace bien-être et balnéothérapie, deux solariums, une plage aqualudique ou encore une lagune de jeux. Pendant les Jeux Olympiques, le Centre aquatique accueillera les entraînements de water-polo. Après 2024, ce nouvel équipement public renforcera considérablement l'offre aquatique du parc des sports de Marville, que ce soit pour une pratique sportive ou de loisirs, des clubs, des groupes scolaires et des habitant.e.s de la Seine-Saint-Denis. Le futur Centre aquatique s'inscrit ainsi pleinement dans le « Plan piscines » de 40 millions d'euros voté par le Département fin 2015 et visant à la rénovation de la moitié des piscines et à la construction de 5 nouvelles piscines en Seine-Saint-Denis. Un effort essentiel pour un territoire qui compte moins de 60 m2 de bassin de natation pour 10 000 habitants, contre plus de 160 m2 en moyenne en Île-de-France, et où plus de 50% des élèves entrant en 6ème ne savent pas nager.Un projet au cœur de la transformation du Parc des sports de MarvilleLe Centre aquatique s'inscrit dans le cadre du projet d'aménagement du Parc des sports de Marville. Ce site de 33 hectares, dont le Département est gestionnaire depuis 2019, bénéficiera de 30 millions d'euros d'investissement (hors Centre aquatique) afin de réhabiliter ses équipements sportifs pour en faire un site sportif structurant à l'échelle de la Seine-Saint-Denis tant en matière de pratiques sportives conventionnées que de pratiques sportives libres pour toutes et tous.« Le futur Centre aquatique de Marville constitue l'un des principaux héritages sportifs des Jeux de 2024 pour la Seine-Saint-Denis. Dans un territoire où nous manquons fortement d'infrastructures en matière de natation, ce futur Centre aquatique démontre à quel point les Jeux peuvent être un accélérateur des politiques publiques et de la pratique sportive pour toutes et tous, qu'elle soit de loisirs ou tournée vers la compétition. »Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis« Dès la rentrée 2024, les habitants de Seine-Saint-Denis et de Paris, et en particulier les plus jeunes d'entre eux, pourront bénéficier de ces nouveaux bassins qui auront accueilli les meilleures équipes du monde de water-polo pour leur préparation aux Jeux de 2024. Ce nouvel équipement concrétise les retombées positives et durables des Jeux sur nos territoires, notamment pour l'amélioration nécessaire de l'offre sportive nautique. »Pierre RABADAN, Adjoint à la Maire de Paris en charge du sport, des Jeux olympiques et paralympiques et de la Seine
Il y a 3 ans et 28 jours

Iberdrola annonce un bénéfice net en légère hausse au premier trimestre

Le géant espagnol, l'un des leaders mondiaux des énergies renouvelables, a engrangé 1,06 milliard d'euros de bénéfice entre janvier et mars, soit une hausse de 3% par rapport au premier trimestre 2021 (1,02 milliard).Ce chiffre est légèrement supérieur aux prévisions des analystes interrogés par le fournisseur d'informations financière Factset, qui tablaient en moyenne sur 1,04 milliard d'euros de profits.Il s'explique notamment par des bons résultats aux États-Unis et au Brésil, où l'activité a été stimulée par d'importants investissements, souligne Iberdrola dans un communiqué.Le groupe espagnol a vu en revanche son bénéfice reculer de 29% sur un an en Espagne, à 337 millions d'euros - soit moins d'un tiers de son résultat mondial.Cela s'explique par la flambée de "son coût d'approvisionnement", qui n'a pas été "répercuté aux clients" bénéficiant de tarifs fixes, assure l'entreprise dans son communiqué.A la bourse de Madrid, le cours d'Iberdrola était en légère baisse (-1,04%) à 07H50 GMT, dans un marché lui aussi en recul (-0,94%). Les prix de l'énergie ont connu une envolée ces derniers mois en raison de tensions sur les marchés liées au redémarrage de l'activité après des mois de pandémie, et à l'invasion de l'Ukraine par la Russie."La crise actuelle sur le marché énergétique démontre la nécessité d'accélérer la transition énergétique pour atteindre l'autonomie énergétique en Europe", souligne le président d'Iberdrola, Ignacio Galán.Cela doit passer par "des solutions inscrites dans un cadre européen" et par "un dialogue continu entre les agents et les administrations", ajoute M. Galan, cité dans le communiqué.Iberdrola précise avoir investi 2,1 milliards d'euros au premier trimestre, et 9,6 milliards d'euros sur les 12 derniers mois, en grande majorité pour développer sa capacité de production d'énergie renouvelable.Ces investissements ont concerné en premier lieu les États-Unis (32%), l'Espagne (20%), le Brésil (18%) et le Royaume-Uni (15%), avec des montants importants injectés dans l'éolien en mer, précise le groupe.Sur les 12 derniers mois, 3.500 mégawatts (MW) d'énergie renouvelable ont ainsi été installés, dont 1.218 MW dans le secteur photovoltaïque, 1.136 MW dans l'éolien terrestre et 998 MW dans l'hydroélectrique.Iberdrola, qui dispose désormais d'un portefeuille de 90.000 mégwatts, indique confirmer au vu de ses investissements ses objectifs pour 2022, avec un bénéfice compris entre 4 et 4,2 milliards d'euros.
Il y a 3 ans et 28 jours

Un projet de "maison virtuelle" de l'Ukraine pour les étudiants et universitaires, à Paris

C'est l'architecte Jean-Michel Wilmotte qui a réalisé le premier croquis. Jusqu'à 500 étudiants, chercheurs et universitaires fuyant le conflit en Ukraine vont être accueillis à la rentrée 2022.
Il y a 3 ans et 28 jours

Eoliennes, entrepreneurs individuels... Vos textes officiels du jeudi 28 avril 2022

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 3 ans et 28 jours

BIM : dictionnaire de l’industrie béton

L’industrie du béton s’est lancée dès 2015 dans un travail pionnier d’exploration du BIM pour inscrire la numérisation dans la construction et créer une dynamique sectorielle en faveur de la transition numérique. Cet engagement a été porté par la FIB (Fédération de l’Industrie du Béton) et le CERIB (Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton). Ces travaux aboutissent aujourd’hui à la constitution d’un premier dictionnaire de données portant sur la description des systèmes constructifs proposés par les industriels des produits préfabriqués en béton. https://fib.cobuilder.com/ Cet article BIM : dictionnaire de l’industrie béton est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 28 jours

Pack volet qui s’adapte aux conditions venteuses

Wizeo, le réseau de Fermetures Loire Océan, spécialiste des volets roulants, portes de garage, moustiquaires et brise-soleil a lancé le Pack Protec 10. Le nouveau volet roulant tient compte des forces du vent différentes selon les régions et des hauteurs d’immeubles. Son champ d’application s’étend en fonction de la localisation (mer, campagne, zone urbaine…) et de l’exposition du bâtiment pour plus de sécurité et de confort pour le résident. L’identification des différents vents en France a permis à Wizeo de développer trois sections de lame, plus ou moins épaisses, afin de garantir un volet résistant et offrir un plus grand confort de vie aux particuliers. Ce volet s’adapte à tous les formats de fenêtres, en neuf ou rénovation, et peut atteindre une largeur de 4,5 m. Équipés de coulisses larges permettant le bon maintien du tablier et de lames en alu résistantes, ces packs améliorent la protection de l’habitat. Les coulisses sontvprimordiales pour le bon fonctionnement du volet, avec leurs joints brosses, elles permettent de réduire le bruit et le passage d’air. Les lames offrent une excellente isolation phonique grâce à leur garniture en mousse polyuréthane et une finition soignée puisque la lame finale est plate. Motorisation SOMFY.
GDA
Il y a 3 ans et 28 jours

Pierre de Charente et couverture en zinc

La Maison Rémy Martin, reconnue à travers le monde pour ses Cognacs a entrepris la construction de nouveaux bureaux et espaces collectifs à Merpins. Ce bâtiment de 5 000 m2 connecte les chais de vieillissement d’un côté et le site d’embouteillage de l’autre. INCA Architectes et AIA Life Designers ont imaginé un grand parc paysager dans lequel le nouvel édifice, rappelant les chais historiques, est venu s’insérer. Ce bâtiment-promenade se distingue par deux parties longilignes reliées entre elles par des passerelles. Elles abritent toutes les fonctions et dessinent un véritable lieu de vie : accueil, bureaux, salles de réunions, restaurant, salle de sport, locaux du personnel. Des parvis, patios et jardins créent une transition douce entre le dedans et le dehors. La matérialité de la pierre de Charente est réinterprétée en façade de manière contemporaine et se marie harmonieusement au zinc VMZINC qui habille la toiture. Au total, 7 000 m2 de solutions zinc ont été mises en œuvre, soit environ 60 tonnes : Joint Debout en couverture ; Profil à Emboîtement pour les sous-face et agrafage sur-mesure sur les rives et pignons. Un seul aspect de surface, le QUARTZ-ZINC, a été retenu. Ce zinc, qui se patinera avec le temps, joue avec la lumière, une composante essentielle du projet. Au fil de la journée et selon la météo, il se nuance et crée des reflets. Maître d’ouvrage : Maison Rémy Martin Maîtres d’œuvre : Inca Architectes – Innovation Création & Architecture Et Aia Life Designers Entreprise de Pose : Alain COUTANT Couverture Photo : VMZINC – Franck BOUILLET
Il y a 3 ans et 28 jours

Matterport lance le fichier BIM et un plug-in Autodesk Revit pour l'industrie du bâtiment

Matterport, Inc. (Nasdaq : MTTR), l’entreprise de données spatiales à la tête de la transformation digitale du monde bâti, a présenté aujourd'hui le fichier BIM de Matterport, un nouveau service qui réduit considérablement le temps et les coûts de la modélisation des informations du bâtiment (Building Information Modeling, BIM) pour le secteur de l'architecture, de l'ingénierie et de la construction (AEC). Désormais inclus dans l’abonnement Matterport, les clients peuvent en un clic transformer un jumeau numérique Matterport capturé par une caméra 3D compatible en un fichier BIM prêt à l’emploi. Le résultat est fourni en quelques jours, prêt à être introduit dans l'application BIM de leur choix. Ce nouveau service accélère considérablement les projets et réduit jusqu’à 70% des coûts associés, en éliminant le processus manuel traditionnel qui demande beaucoup de temps et d'efforts. En complément, Matterport a également annoncé un nouveau système de plug-in pour les clients d'Autodesk® (Nasdaq : ADSK) Revit®, le principal logiciel BIM utilisé dans l'industrie pour créer des modèles d'espaces pour la conception, la visualisation, l'analyse et la construction. Désormais, les architectes, les concepteurs et les ingénieurs du bâtiment peuvent immédiatement télécharger le fichier BIM de Matterport dans Revit et commencer à créer et à gérer les informations d’un projet de construction ou de conception étape par étape. « Les lancements du fichier BIM et du plug-in Revit de Matterport témoignent de l'engagement de Matterport envers les secteurs de l’architecture, de l’ingénierie et de la construction. Il montre aussi comment l'utilisation des pratiques BIM et des plateformes technologiques peut accroître le niveau d’efficacité et automatiser la gestion de certaines activités pour les clients d'Autodesk », déclare Jim Quanci, directeur principal d'Autodesk Developer Network. « Nous sommes ravis de travailler aux côtés de Matterport pour rendre le BIM "as built" plus facile. »Stimuler la productivité tout en réduisant les coûts de modélisation de 70%L’offre BIM rassemble en un seul endroit toutes les informations relatives à chaque composant d'un bâtiment. Les parties prenantes du projet peuvent inclure dans le modèle BIM des informations sur les performances, les types de matériaux, les coûts, etc. Jusqu'à présent, ce processus nécessitait une quantité considérable de travail de mesure et de traduction CAO (conception assistée par ordinateur) pour introduire des quantités phénoménales de données dans le système, ce qui pouvait prendre plusieurs semaines, voire plus, selon la taille et la complexité du projet. Avec le fichier BIM de Matterport, les équipes peuvent générer le même résultat pour un coût qui s’élève à une fraction du coût habituel de développement de la documentation adéquate, tout en réduisant les coûts de modélisation pour leurs clients.« Les coûts de modélisation qui se répercutent sur le client peuvent être très élevés. L'économie de 70 % réalisée avec le fichier BIM de Matterport est significative, et nous pensons que nos clients seront très satisfaits de l’adoption de ce nouveau système de numérisation vers le BIM », a déclaré Akira Jones, directeur des services numériques chez HH Angus and Associates Ltd. « Comme nous utilisons déjà Matterport pour capturer des jumeaux 3D précis de tous nos espaces, il nous suffit de commander le fichier BIM en quelques clics et de le mettre dans Revit. Nous avons supprimé plus de 40 heures/personnes sur un travail récent, ce qui a permis à notre équipe de consacrer plus de temps pour offrir un excellent travail de conception pour nos clients. »Simplifier le flux de travail BIMLe fichier BIM de Matterport permet aux clients d'adopter facilement ce nouveau système de numérisation vers le BIM. Tout d'abord, un jumeau numérique est créé en scannant l'espace avec une caméra 3D comme la Matterport Pro2 ou en programmant un technicien hautement qualifié par le biais de Matterport Capture Services. Ensuite, le fichier BIM peut être commandé à partir de son compte Matterport. A la réception, les clients peuvent l'importer dans l'application BIM de leur choix. Pour ceux qui utilisent le plug-in Revit, le fichier BIM peut être immédiatement téléchargé dans leur espace Autodesk.« Nous avons travaillé avec Autodesk sur notre plug-in Revit et collaboré avec certaines des entreprises les plus importantes et les plus reconnues de l’industrie pour développer l'offre de fichiers BIM de Matterport. Avec le lancement de ces deux solutions pour le secteur de la construction, nous sommes ravis d'offrir le moyen le plus rapide et la plus pratique pour passer d'une numérisation 3D Matterport à un fichier BIM en quelques jours seulement et enun simple clic », a déclaré Preethy Vaidyanathan, vice-président des produits chez Matterport. « Le fichier BIM de Matterport n'offre pas seulement un retour sur investissement révolutionnaire pour nos clients du bâtiment, il sert aussi de source unique et fiable pour la conception, la construction et la gestion des propriétés.»
Il y a 3 ans et 29 jours

« L’Etat doit cesser d’infantiliser les maires », David Lisnard, président de l’Association des maires de France

L’amertume pointe, derrière la politesse diplomatique. Dès le soir du second tour de l’élection présidentielle, l’association des maires de France a félicité le président réélu. En exprimant le souhait d’un « dialogue loyal et fécond », le président David Lisnard et son premier vice-président André Laignel ont pris date pour un troisième tour musclé et sincère.
Il y a 3 ans et 29 jours

REDÉCOUVRIR LA VILLE ROSE - Livre

Attribuée à la Toulouse School of Economics, conçue par le duo irlandais pritzkerisé Grafton avec Vigneu & Zilio, l'Equerre d'argent 2020 aura notamment contribué à donner un coup de projecteur sur une ville dont on connaît trop peu la richesse architecturale. Pour le pire et le meilleur, Toulouse est en effet enfermée dans son […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 29 jours

L'Académie d'Architecture renoue avec ses prises de positions publiques

Le 8 mars dernier, l’Académie d’Architecture a rendu un rapport sur le Logement. Fruit du travail collectif effectué par les membres titulaires et associés de l’Académie d’Architecture : Patrick Céleste, Cloud de Grandpré, Catherine Jacquot, Pascale Joffroy, Roland Peylet et Bertrand Mathieu, il fait écho au plaidoyer du CNOA « Habitats, Villes, Territoires, l’architecture comme solution » mis en ligne en mars. Ces travaux s’adressent aux ministères, dans le but de faire...
Il y a 3 ans et 29 jours

Neuf morts dans un glissement de terrain à Bukavu en République démocratique du Congo

"A ce bilan s'ajoutent neuf blessés graves, cinq maisons complètement détruites et quatre véhicules endommagés", a précisé Bienfait Ngolombe, chargé de communication à la mairie de la ville.Selon lui, parmi les neuf morts figurent un bébé de huit mois, un jeune de 19 ans et une femme enceinte, dont "les maisons se sont effondrées et ont été englouties par la terre".Le bilan en fin de nuit était de deux morts, mais d'autres corps ont été retirés des décombres dans la journée de mardi.L'accident a eu lieu sur l'avenue Kadurhu, dans la commune de Kadutu de Bukavu, une ville dont les constructions s'étagent sur des collines, à la pointe sud du lac Kivu. Le lieu du sinistre, situé sur une forte pente exposée à l'érosion, est jugé impropre à la construction."Le danger est permanent, presque toutes les maisons proches du lieu du sinistre ont des fissures et les risques de glissement sont perceptibles dans presque toutes les parcelles", a déploré le chef de quartier, Faustin Buroko.M. Buroko."La population doit prendre conscience des risques auxquels elle s'expose en construisant sur de tels sites et le gouvernement devrait prendre des mesures", a-t-il ajouté, estimant à plus de 60 le nombre de ménages nécessitant une "relocalisation".Le gouverneur de province, Théo Ngwabidje Kasi, qui s'est rendu sur les lieux du sinistre, a dit avoir demandé au bourgmestre de Kadutu "d'identifier toutes les personnes qui ont construit à cet endroit". "Un délai leur sera accordé" avant que les autorités provinciales ne fassent procéder à la démolition des maisons, a-t-il déclaré.
Il y a 3 ans et 29 jours

A Rennes, accueillir plus d'habitants est un exercice d'équilibriste

"C'est pas New York ici!", "Non à la tour infernale !". A l'entrée de Rennes, une dizaine de banderoles accrochées aux façades de petites maisons expriment l'exaspération d'habitants face à l'arrivée d'une tour de 17 étages."Accueillir des gens, on n'a rien contre, ce qui nous dérange c'est la hauteur, on n'est plus dans le raisonnable", s'inquiète Benjamin Hubert, membre du collectif "L'Enchanteur désenchanté".Plus à l'est, un autre collectif, "Voir le ciel à Rennes", tente lui de "faire descendre" un projet d'immeuble de 15 étages. "On construit ce qu'on veut où on veut sans concertation, comme dans les années 1960. Les gens sont effarés par tant de béton, avec des maisons qui tombent comme des petits pains", s'emporte Philippe, riverain.Certains se plaignent aussi des embouteillages. "Je ne reconnais plus la ville à taille humaine où je suis née. Il n'y a plus de fluidité dans les transports, et les tensions montent entre les habitants", juge Françoise, 44 ans, membre du collectif Coudurr (collectif uni pour une densification urbaine rennaise raisonnée). Il réclame une pause des projets "défigurant les quartiers" et un débat public sur la "croissance folle de la métropole".Selon l'Insee, la métropole rennaise connaît une "forte croissance démographique" depuis 30 ans, et devrait compter 100.000 habitants supplémentaires en 2040. Face à ces prévisions et aux 22.000 demandes de logement social en attente, la métropole envisage 30.000 nouveaux logements d'ici 2028."La vraie question n'est pas de dire +il nous faut 30.000 logements+ mais de savoir jusqu'où on peut densifier une ville sans la rendre impossible à vivre", interroge Jean-Pierre Renault, président de l'association "Les amis du patrimoine rennais".Traumatisme"Rennes c'est aussi la vie de ses quartiers au tissu pavillonnaire important, où règne une certaine nonchalance. Or quand la ville se construit sur elle-même à toute vitesse, on peut faire des erreurs et ne pas toujours respecter l'harmonie avec l'environnement", poursuit cet architecte, qui craint une "monotonie des gabarits d'immeubles" et une "perte de repères" des habitants.Selon Alain Bénesteau, directeur de l'Audiar, l'agence d'urbanisme de Rennes, l'agglomération rennaise reste deux fois moins dense que sa cousine nantaise. "Le phénomène de décohabitation, avec les séparations et le départ d'étudiants du domicile parental, mais aussi le vieillissement de la population, font qu'on a besoin de davantage de logements à population égale", explique-t-il.A cela s'ajoutent une démographie dynamique et un solde migratoire positif dû à l'attractivité de la ville, qui conjugue faible taux de chômage et proximité avec le littoral et Paris grâce au TGV."Sur 5.000 nouveaux habitants annuels, 2.800 sont issus du solde naturel", martèle Marc Hervé, premier adjoint PS à l'urbanisme, rappelant que la densification concerne "une surface marginale, mais très visible car sur les grands axes"."Ce sont d'abord les Rennais qu'il faut loger, car les Franciliens ne représentent que 10% des transactions immobilières", assure l'élu. Il reconnaît que le développement à la verticale de la ville "peut constituer un traumatisme".Afin d'améliorer la concertation, une charte incite désormais les promoteurs à informer la population avant le dépôt du permis de construire."On essaye de satisfaire une partie des revendications", assure Marc Hervé.Face à la hausse des prix de l'immobilier à Rennes - +11% en un an dans l'ancien - pas question toutefois d'arrêter de construire. "Il faut que tout le monde puisse trouver un logement, notamment les bas revenus, car on a besoin de tous les métiers", prévient Jean-Yves Chapuis, ancien adjoint à l'urbanisme.Pour Ana Sohier, ex-élue UDB (Union démocratique bretonne, autonomistes) au patrimoine, "il faut réinterroger le concept des métropoles". "On concentre, puis on se plaint de la densification. Aujourd'hui la question se pose de mieux répartir l'activité économique pour mieux répartir les habitants", argumente-t-elle.
Il y a 3 ans et 29 jours

Les entreprises en campagne... pour recruter des apprentis

Au forum annuel de l'alternance mercredi 20 et jeudi 21 avril à la Cité des sciences àParis, une centaine d'exposants proposaient en vue de la rentrée prochaine quelque 6.600 offres en alternance, du CAP au Master."On a plus d'entreprises présentes qu'en 2019 - dernière édition en présentiel -, on a davantage d'offres de petites entreprises et dans plus de secteurs", témoigne Karine Leprat, conseillère emploi à la CCI Paris Île-de-France, organisatrice du salon.Ce constat local confirme l'engouement national pour l'apprentissage, avec 718.000 contrats signés en 2021, soit une hausse de 37% après déjà 42% en 2020.Pour Mme Leprat, si la réforme de 2018 a facilité l'accès des jeunes, l'apprentissage a été "clairement boosté" par les aides décidées pendant la crise du Covid, une prime de 5.000 euros pour un mineur et de 8.000 pour un majeur.Prolongées jusqu'à fin juin 2022, elles ont rendu le coût de la première année quasi nul pour l'employeur et évité un effondrement de l'embauche des jeunes."C'est flagrant, beaucoup d'entreprises se sont mises à l'alternance, notamment dans le supérieur", juge-t-elle. Avant la crise, l'aide était réservée aux entreprises de moins de 250 salariés recrutant des apprentis préparant un diplôme de niveau inférieur ou égal au bac, là où l'effet sur l'insertion professionnelle est le plus fort.Sur le salon, la plupart des entreprises l'admettent sans ambages. "Nos managers sont en demande d'alternants, ce sont des salariés performants qui ne coûtent pas cher. Et ils sont là pour une durée assez longue, souvent deux ans", souligne Chloé Drapier, elle même alternante en recrutement chez Center Parcs."Avec les aides, nous sommes passés de 100 alternants en 2019 à 200 cette année sur 1.000 recrutements", reconnaît Florence Hipolite, responsable recrutement chez Id Logistics."Crouler sous les demandes"Mais les employeurs y voient surtout un moyen de former de nouveaux salariés pour les fidéliser dans des secteurs sous tension."Nous avons de gros besoins de ressources avec une croissance à deux chiffres et nous voulons passer d'un taux de rétention (embauche à l'issue de l'alternance) de 40 à 50%", indique Mme Hipolite. "C'est pour tous nos métiers (RH, services administratifs, maintenance, logistique, transport...)", ajoute-t-elle.Sans les aides, "on aurait les mêmes objectifs d'alternants car on en a un a priori très positif", assure Caroline Monmarson, responsable RH Castorama en Île-de-France.Elle "croule sous les demandes" car "c'est un moyen très intéressant pour les jeunes de financer leurs études et d'avoir une expérience du monde du travail", explique-t-elle.Mais elle avoue avoir "de plus en plus de mal à recruter des jeunes plus exigeants sur les horaires, l'équilibre vie pro-vie privée, ce qui peut être compliqué dans le commerce".Présent pour la première fois, Fnac-Darty veut former en alternance, "300 techniciens électroménager" qui seront quasiment "tous ensuite embauchés", selon Pascal Rovaris, qui en coordonne les recrutements.Mais, en dépit des vidéos de témoignages qu'il a amenées sur son stand, il déplore que les jeunes recherchent davantage une alternance en informatique ou marketing que pour "un métier manuel encore dévalorisé".Si Aurélien Cadiou, président de l'Association nationale des apprentis de France, se réjouit que ces aides exceptionnelles aient permis "à des petites entreprises de découvrir l'apprentissage", il craint que les employeurs "qui en recruteraient parce que cela leur coûte moins cher qu'un stagiaire ne délaissent l'accompagnement".Selon une enquête de l'Observatoire de l'alternance menée fin 2021 auprès de 500 alternants, plus d'un quart d'entre eux indiquent ainsi ne pas avoir de tuteur en entreprise, pourtant obligatoire.
Il y a 3 ans et 29 jours

Santé-sécurité : plusieurs organisations du bâtiment renouvellent leur partenariat

RISQUES PROFESSIONNELS. La Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb), la Chambre nationale des artisans des travaux publics et du paysage (CNATP), l'Institut de recherche et d'innovation sur la santé et la sécurité au travail (Iris-ST) et l'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP) viennent de signer le renouvellement de leur convention de partenariat pour une durée de quatre ans. Détails.
Il y a 3 ans et 29 jours

Schneider Electric va vendre ses activités en Russie

CESSION. Le spécialiste des équipements et solutions pour l'énergie, Schneider Electric, a annoncé ce mercredi 27 avril vouloir se séparer de ses activités en Russie. Il prévoit de les vendre à l'équipe dirigeante locale.
Il y a 3 ans et 29 jours

Architecture : Quatre nouvelles stations de métro épurées pour la ligne 14

DIAPORAMA. Le prolongement de la ligne 14 du métro dans le cadre du Grand Paris Express a donné l'occasion à l'agence d'architecture Atelier Zündel Cristea d'imaginer quatre nouvelles gares. À la fois lumineuses et modernes, elles font écho à la ligne historique qui les traverse.
Il y a 3 ans et 29 jours

Copropriétés : les architectes peuvent élaborer le plan pluriannuel de travaux

MÉTIERS. Un décret publié le 27 avril ouvre de droit aux architectes inscrits à l'Ordre la possibilité de proposer l'élaboration des plan pluriannuels de travaux des les copropriétés, rendus obligatoires par la loi Climat et résilience.
Il y a 3 ans et 29 jours

Révision des prix : passe d'armes entre les bailleurs sociaux et les entreprises générales

SOLIDARITÉ. Dans un contexte économique difficile pour de nombreux acteurs, l'épineuse question de la révision généralisée des prix dans la filière construction a provoqué des étincelles entre l'Union sociale pour l'habitat (USH) et EGF-BTP (représentant les entreprises générales). Les deux parties s'expliquent auprès de Batiactu et appellent chacune à l'union du secteur face aux enjeux du logement.
Il y a 3 ans et 29 jours

Knauf Ceiling Solutions : 13 millions d'euros pour améliorer sa capacité de production

STRATÉGIE. Né en 2019 de plusieurs rachats dont celui d'Armstrong Ceiling Solutions, le fabricant de plafonds Knauf Ceiling Solutions a rapatrié des productions dans ses unités françaises et débloquer une enveloppe de plus de 10 millions d'euros pour améliorer ses process. Des initiatives révélatrices de ses ambitions.
Il y a 3 ans et 29 jours

Amélioration des moyens de lutte contre l’incendie à la cathédrale d’Amiens

Les travaux d’amélioration des moyens de défense et de lutte contre l’incendie à la cathédrale Notre-Dame d’Amiens, financés dans le cadre du « plan cathédrales » du plan de relance de l’État, débuté à l’automne 2021 se poursuivent sur un rythme soutenu. Le projet est divisé en deux tranches. La première, la tranche ferme, a débuté mi-octobre 2021 pour une durée de quatre mois avec un montant des opérations qui s’élève à environ 220 000 € et s’est achevée à la fin du mois de février 2022. La deuxième, la tranche optionnelle (TO1), qui a commencé début février, s’achèvera fin octobre 2022. Elle comprend l’installation d’une quatrième colonne sèche en tour Nord depuis le sol jusqu’en haut de la tour à 57 mètres, la création d’une échelle à crinoline à l’arrière de la tour Nord pour permettre un accès plus rapide des secours au chemin de ronde de la nef, un aménagement d’un accès direct aux combles du chœur depuis le chemin de ronde, la mise en place de deux murs coupe-feu supplémentaires dans le grand comble du vaisseau principal de la nef… Suivi des travaux – CRMH Hauts-de-France, site d’Amiens – ACMH : M. R. DUPLAT – Contrôle Scientifique et Technique (CST) : UDAP de la Somme – Bureau d’études techniques : AXIOME – Bureau de contrôle : BUREAU VÉRITAS CONSTRUCTION – Coordinateur Système de sécurité incendie (SSI) : HEXA INGÉNIERIE – Coordonnateur Sécurité et protection de la Santé (SPS): BUREAU VÉRITAS CONSTRUCTION – Entreprises : CHARPENTIER PM ; TEMPERE et SATELEC Drac des Hauts de France
Il y a 3 ans et 29 jours

Verdun classée au titre des sites patrimoniaux remarquables

Une partie de la commune de Verdun est désormais classée au titre des Sites patrimoniaux remarquables. La commune « en raison de la qualité et de la valeur d’ensemble de son patrimoine, la conservation, la restauration, la réhabilitation et la mise en valeur de la partie du territoire de la commune de Verdun caractérisée par la densité de son tissu urbain et la diversité de son patrimoine, ainsi que son environnement paysager proche » présente un intérêt public au point de vue historique, architectural, archéologique, artistique et paysager. La ville est implantée sur un éperon rocheux surplombant la plaine alluviale de la Meuse. Son histoire est associée aux guerres qui se sont succédées sur son territoire, marquant de leur empreinte la ville et son architecture. Ainsi, au XIXe siècle, la commune devient le centre d’un système militaire qui comprend aux alentours, le fort de Vaux ou de Douaumont. Mais la naissance de la ville est bien antérieure aux conflits contemporains, preuve en est les nombreux vestiges conservés : caves XIIIe siècle sous un édifice de la seconde reconstruction ou hôtel XVIe à l’arrière d’une façade remaniée au XXe siècle. Le classement d’une partie de la commune est l’aboutissement d’un projet de longue haleine impulsé par le maire et président de la Communauté d’Agglomération du Grand Verdun (CAGV), Samuel Hazard, et soutenu au niveau scientifique et technique par l’architecte des bâtiments de France de la Meuse, Nadia Corral Trevin. Le classement SPR s’est appuyé sur une étude financée par la DRAC Grand Est et menée par les historiens de la Manufacture du patrimoine et les architectes de l’agence Hame. Les autres SPR de la région Grand Est sont : Saint-Dié des Vosges (88), Reims (51), Saint-Mihiel (55) et Vic-sur-Seille (57). D’autres devraient prochainement être classés : Epinal (88), Neuf-Brisach (68) et Bouxwiller (67).
Il y a 3 ans et 29 jours

Lames sur Tribord

Implanté port des Minimes, à La Rochelle, le centre Tribord Sailing Lab a été équipé de 18 modules (12 droits livrés montés ; 6 d’angle non montés) de brise-soleil à lames fixes en aile d’avion, posés en casquette contre les façades. Les lames en aluminium extrudé et usiné (57 longueurs et découpes ; 198 lames en coupe droite ; 54 en coupe d’angle) sont reprises sur structure porteuse métallique par visseries inox entre plats usinés (36 dimensions) en aluminium. Cette solution d’ombrage passive contribue à l’obtention de la certification Breeam du bâtiment dédié à l’univers nautique. Maîtrise d’ouvrage : Décathlon Maîtrise d’œuvre : groupe Essor Architecte : PVA Architecture Fabricant : Tellier Brise-Soleil Entreprise : CSI Réseau Miroiterie Mélusine
Il y a 3 ans et 29 jours

La crue de la Roya a mis au jour d’anciens moulins

À Saorge, dans la vallée de la Roya, les pluies diluviennes de la tempête Alex ont emporté végétation, chaussée, terrains bordiers et de nombreux aménagements, mais également mis au jour des vestiges : un ancien pont traversé de part en part un bâtiment voûté qui dateraient de la fin du XVIIIe. La crue a également nettoyé la façade d’un second bâtiment, enfouie sous les remblais, par les ouvertures duquel on distingue des espaces voûtés partiellement effondrés. La présence d’ouvertures à la base des murs ouvrant sur des chambres des eaux ne laisse aucun doute sur l’identification de ces bâtiments comme d’anciens moulins accolés et installés sous le pont. Deux moulins à grain, presque alignés, étaient charpentés et couverts de schistes ardoisiers rouges. Ils sont dotés de chambres des eaux, à l’aplomb des meules, où se trouvent les turbines. Le premier en possède trois qui sont couvertes de voûtes et dont les ouvertures donnent sur le mur gouttereau ; le second n’en a que deux qui se partagent un exutoire commun. Ces deux moulins étaient alimentés par un canal qui captait l’eau en amont de la rivière et à partir duquel la distribution était assurée par des déversoirs dotés de martelières. Les conduites forcées qui les reliaient aux chambres des eaux, situées quatre mètres plus bas, étaient probablement en bois. Ultérieurement, un troisième moulin a été édifié en contrebas, alimenté par un canal adjacent au premier moulin qui s’est retrouvé intégré dans son extension. La crue de la Roya, après avoir détruit ses murs pignons, en a lessivé l’intérieur. Une meule, bien que déplacée, a résisté au charriage et permet d’attester qu’il s’agit d’un moulin à huile. L’étude du sol, également irréguliers, et des voûtes sur lesquels il reposait, permet d’exclure la présence de chambre des eaux. Contrairement au moulin à grain, la transmission se fait par le dessus, le lien entre la turbine et la meule se faisant par le biais d’une série de grands engrenages en bois qui occupent tout l’espace au-dessus des cuves. Plusieurs petits bassins, destinés certainement à la décantation de l’huile, sont situés à l’extérieur, au-dessous du lit actuel de la rivière dont le niveau de l’eau était certainement plus bas à l’époque. Photo : Le couvrement du moulin bas, en partie une arche du pont. Au premier plan, la nappe phréatique dans la fosse creusée par la crue. © Bernard Sillano, Inrap Fouille de sauvetage prise en charge par le Conseil départemental des Alpes-Maritimes et la Drac PACA Responsable scientifique : Bernard Sillano, Inrap Équipe : Françoise Paone et Gerlinde Frommherz, Inrap Contrôle scientifique : Franck Sumera, Service régional de l’archéologie, Drac Provence-Alpes-Côte d’Azur
Il y a 3 ans et 29 jours

Étude annuelle sur les placements immobiliers : "40 ans de performances comparées – 1981-2021"

En couvrant 4 décennies complètes, marquées par quatre crises économiques majeures (krach obligataire et boursier d’octobre 1987, éclatement de la bulle internet au début des années 2000, crise des subprimes en 2008 entraînant la crise financière globale, choc brutal sur l’économie mondiale à partir de 2020 avec l’irruption de la crise sanitaire), l’étude de l’IEIF aboutit à des conclusions robustes sur l’évolution longue des principaux placements.Cette édition 2022, avec les caractéristiques des placements à fin 2021, couvre la période de rebond économique et mesure les impacts majeurs laissés par la crise pandémique sur l’univers des placements quant à la hiérarchie des actifs.Au préalable, l’étude 40 ans de performances fait le point sur les caractéristiques des patrimoines des ménages pour appréhender leurs attentes en matière de placements mais également l’évolution de leurs comportements d’épargne.Un surplus d’épargne financière toujours très élevé en FranceSelon la Banque de France, le surplus d’épargne financière des ménages, constitué sur deux ans (entre le premier trimestre 2020 et le quatrième trimestre 2021) calculé comme la différence entre les flux d’épargne financière observés et les flux qu’on aurait obtenus en prolongeant la tendance pré-Covid, est estimé à 175 milliards d’euros, après 113 milliards à fin 2020.En moyenne sur l’année, le taux d’épargne des ménages en France s’établit à 19,5% en 2021 selon l’Insee après 21,4% en 2020. Le taux d’épargne financière a également reculé : il s’établit à 8,7% en 2021 après 12,2% en 2020.En 2021, l’épargne financière s’est principalement portée sur les dépôts bancaires qui ont progressé de plus de 104 milliards d’euros : dépôts à vue et dépôts rémunérés dont les encours s’établissent respectivement à 672 milliards d’euros et 1.161 milliards d’euros à fin 2021. L’assurance-vie a progressé de 39 milliards d’euros et représente désormais un encours de 2.178 milliards d’euros.En lien avec les performances de 2021, la Bourse continue d’attirer un nombre croissant d’investisseurs : 1,6 million de particuliers ont passé un ordre d’achat ou de vente en 2021, dont 217.000 nouveaux entrants.Des classements de performances différents selon les périodesSur 5 ans (2016-2021) : les performances des locaux Industriels (couvrant la logistique et les locaux d’activité) sont particulièrement élevées, en raison de la forte appréciation des valeurs vénales de la Logistique sur la période. Alors que les Actions présentent un TRI 5 ans de plus de 10%, l’immobilier coté est en territoire négatif, en lien notamment avec le comportement en bourse des Foncières Commerces.Sur 10 ans (2011-2021) : les Actions sont en tête du classement des performances avec un TRI 10 ans de 12,4% devant l’immobilier direct : les locaux Industriels sont en deuxième place avec un TRI 10 ans de 11,4% suivis par les Bureaux (7,8 %) et les Commerces (7,2%).Sur 20 ans (2001-2021) : comme sur 15 ans, les Commerces sont nettement en haut du classement avec un TRI 20 ans de 17,6%, suivi par les Foncières (TRI 20 ans : 12,3%). Les autres actifs immobiliers direct se positionnent ensuite : les locaux Industriels (TRI 20 ans : 10,4%) puis les Bureaux (TRI 20 ans : 10,3%) et le Logement (TRI 20 ans : 10,1% pour le Logement France et 9,4% pour le Logement à Paris).Sur longue période : Sur 30 ans (1991-2021), les Actions et l’Immobilier coté délivrent des niveaux de performances comparables. Le Logement est particulièrement performant sur 30 ans et distance les autres classes d’actifs immobiliers. Les TRI des SCPI et des Bureaux sont très proches, en lien avec la forte exposition historique des SCPI aux Bureaux. Sur 40 ans (1981-2021), les placements en bourse sont les plus performants : les Actions devancent l’Immobilier coté de 2 points. Le Logement à Paris présente un TRI supérieur à 10% sur 40 ans. L’immobilier non coté présente des performances supérieures à celles des obligations.Un couple rendement/risque toujours attractif pour l’immobilier vis-à-vis des autres classes d’actifsDe part ces caractéristiques, l’immobilier se positionne à mi-chemin entre les actions d’une part et les obligations d’autre part et présente un couple rendement -risque attractif par rapport à ces 2 références. Les couples rendement-risque permettent de positionner les différents placements les uns par rapport aux autres selon les durées observées, en distinguant pour un niveau de risque comparable, les niveaux de performances obtenus des différents placements ou à niveau de performance comparable, les placements qui se révèlent plus volatils, donc plus risqués.Les Bureaux et le Logement présentent des performances et des niveaux de volatilité proches sur 5 ans et sur 10 ans. Sur 10 ans, les Actions distancent les Foncières avec une performance plus élevée et une volatilité nettement plus contenue. Sur 15 ans, Le Logement, les Bureaux et les SCPI présentent des performances supérieures à celles des Actions. Comparés au Logement et aux Bureaux, les Commerces sont sur des niveaux de volatilité proches mais délivrent des performances plus faibles que ce soit sur 5, 10 ou 15 ans. Sur 30 ans, le Logement France présente une performance légèrement supérieure à celles des actifs côtés, mais avec deux fois moins de volatilité.Sur 40 ans, les Actions présentent des niveaux de performances et de volatilités plus élevés que ceux des autres actifs.ConclusionPour Stéphanie Galiègue, Directrice Générale déléguée de l’IEIF : « les résultats de l’édition 2022 confirment ceux de 2021 avec une dichotomie plus forte entre les classes d’actifs immobiliers dont les performances sont les plus robustes à l’image de l’Industriel, (en particulier la Logistique) et du Logement (faible volatilité) et celles dont le modèle a été fragilisé par la crise sanitaire malgré le rebond économique qui a suivi : Bureaux, Commerces. Seulement, les performances des actifs sur les 40 dernières années ont été portées par un environnement économique mondial particulier : les prochaines décennies risquent d’être marquées par la déglobalisation, les échéances climatiques et le vieillissement de la population, dans un contexte de faible croissance économique et d’inflation élevée. Cela modifiera nécessairement la structure de l’économie, de l’épargne et donc le comportement des différents placements. »
Il y a 3 ans et 29 jours

Stratégie'Réno, un outil numérique gratuit pour mieux conseiller ses clients lors de travaux de rénovation

Gratuit, ergonomique, ce service permet en quelques clics de déterminer et prioriser les impacts de travaux de rénovation énergétique sur d’autres lots de travaux. Accessible sur www.strategiereno.fr, cet outil se transforme en application en créant un bouton d’accès directement sur l’écran d’accueil de votre smartphone.Des recommandations de travaux générées en quelques clicsLors d’une première visite chez un client, cet outil permet à un artisan ou une entreprise d’évaluer en quelques minutes, l’état et la performance de chaque composant du logement : isolation des murs, du plancher bas, de la toiture, menuiseries, système de chauffage, ECS ou de la ventilation, etc. Des questionnaires simples et rapides, le guide pas à pas dans ce process.A l’issue de cette évaluation, l’outil identifie et priorise automatiquement les impacts des travaux envisagés sur les autres lots du logement.Il dispose alors d’un rapport d’évaluation, incluant des recommandations de travaux argumentées qui pourront être partagées à son client.Une prise en compte de la typologie du bâtimentLe professionnel est également accompagné dans l’identification de la typologie du bâtiment. Une sélection de typologies lui est proposée en fonction de la localisation du chantier et de la période constructive. L’outil s’appuie sur une base de données qualifiant 67 typologies de maisons individuelles et de logements collectifs. Cette étape permet de prendre en compte les spécificités du bâti dans l’établissement des recommandations de travaux.Un accès rapide à une bibliothèque techniqueUne bibliothèque technique permet d’accéder rapidement à des éléments clés sur les solutions de rénovation possibles, ainsi que sur les typologies de bâtiment rencontrés. Pour chaque solution technique possible, le professionnel retrouvera notamment les avantages de la solution, les diagnostics préalables à anticiper, les performances minimales recommandées, les points de vigilance à connaitre, etc.Pour chacune des 67 typologies de maisons individuelles ou de logement collectif, le professionnel retrouvera une présentation de leur représentativité et poids énergétique, de leur caractéristiques urbaines, architecturales et constructives, des risques à évaluer, ainsi que des stratégies de rénovation possibles.Cet outil a été élaboré de manière concertée avec les organisations professionnelles du bâtiment (CAPEB et FFB) et les pouvoirs publics (ADEME et DHUP), sous le pilotage de l’Agence Qualité Construction (AQC).
Il y a 3 ans et 29 jours

La chimie parie sur les chaudières biomasse pour se décarboner et se détacher du gaz

Le plan de Relance a permis d'accélérer les projets de décarbonation de l'industrie chimique qui compte notamment sur les chaudières biomasse pour se passer des combustibles fossiles, a indiqué France Chimie le 20 avril.
Il y a 3 ans et 29 jours

Wienerberger France mobilise ses salariés à l'occasion de la journée de la terre

Le 22 avril, journée internationale de la terre, sera l'occasion pour Wienerberger France de mobiliser ses salariés sur des actions liés à la décarbonation, l'économie circulaire et la biodiversité.
Il y a 3 ans et 29 jours

La section aérienne de la ligne 17 du Grand Paris Express confiée à NGE Génie Civil

La Société du Grand Paris a attribué à un groupement dont le mandataire est NGE Génie Civil le marché de génie-civil et d’aménagement de la section aérienne de la ligne 17 du Grand Paris Express.